jeudi 12 octobre 2017

12 octobre 1915 : Lyautey reçoit la Médaille militaire des mains d’un adjudant

Armée de Terre

1re guerre mondiale, Maroc. Encore général, Hubert Lyautey demande à l’adjudant Caviglioli de lui remettre la Médaille militaire afin d’honorer le corps des sous-officiers et en signe de reconnaissance pour leur participation à l’œuvre accomplie.
La Médaille militaire est la plus haute distinction militaire française destinée aux sous-officiers et aux soldats. Elle peut être concédée en récompense de services exceptionnels aux officiers généraux.
Créée le 22 janvier 1852 par... Napoléon III, elle honore les mérites de ses meilleurs hommes de troupe. Souvent appelée « la Légion d’honneur du sous-officier », la Médaille militaire est la troisième décoration française dans l’ordre de préséance, après l’ordre de la Légion d’honneur et l’ordre de la Libération.
Lors d’une cérémonie de remise de décoration, le 10 mai 1852, Louis Napoléon décore 1705 soldats et sous-officiers. Habilement, il fait le choix d’épingler la décoration sur l’uniforme de deux nouveaux maréchaux de France simultanément, en « récompense suprême » devant 80 000 soldats et une foule immense de Parisiens massés sur le Champ de Mars.
L’acte est symbolique : les soldats les plus anonymes et les plus grands chefs de guerre sont réunis sur un pied d’égalité sous une même devise « Valeur et Discipline ».
Cette initiative, étendue plus tard aux généraux et aux amiraux ayant rendu des services exceptionnels, assure pour toujours le prestige de la Médaille militaire
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mercredi 4 octobre 2017

Mont-Blanc: deux morts en 24 heures

En moins de 24 heures, deux personnes ont perdu la vie dans le massif du Mont-Blanc. Hier, aux alentours de 21h30, un homme de 30 ans a chuté à la sortie du couloir du Goûter, rapporte Le Dauphiné . Suite à une chûte d'environ 600 mètres, il a perdu la vie. 
Une seconde personne est décédée dans le couloir du Goûter du massif du Mont-Blanc ce matin. Une femme de 27 ans qui évoluait avec un groupe de quatre personnes a également fait une chute mortelle. Les deux victimes étaient équipées en matériel d'alpinisme. Ils n'étaient pas "encordés", c'est-à-dire qu'ils n'étaient pas accrochés par une corde.

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