Des morceaux
métalliques de plusieurs centimètres. C'est ce qu'un médecin a retrouvé
dans les artères d'un de ses patients qui se
plaignait d'avoir des douleurs dans le bras droit et à la tête depuis son
opération en juillet 2012.
Nourredine Lameche, 50 ans, n'a pas eu de chance. Déjà victime d'un infarctus en 2010, il décide de consulter un cardiologue en juillet dernier, qui lui conseille d'effectuer une coronarographie. Mais le chirurgien qui exerce à l'hôpital d'Annecy retire brusquement la sonde qui se brise en six morceaux dans le corps de Nourredine Lameche.
"J'avais des fourmillements dans le bras droit, des picotements dans la tête. Je n'arrivais plus à dormir. J'avais mal à l'épaule, raconte le patient au Parisien. En février 2013, il consulte un angiologue - le spécialiste des vaisseaux sanguins - et lui fait part de ses douleurs. "Il m'a fait un Doppler, a regardé mes artères et n'en a pas cru ses yeux". Et pour cause, le médecin découvre plusieurs morceaux métalliques de plusieurs centimètres qu'il décide de retirer au plus vite. Ces morceaux sont en train de se déplacer vers son cerveau et risquent de provoquer un AVC.
Nourredine est opéré en avril, à Lyon. Trois morceaux métalliques de 7, 6 et 3 cm sont retirés mais trois autres sont encore dans le corps. Le patient demande réparation et exige d'être indemnisé. "J'aurais pu mourir. J'attends des excuses du chirurgien", explique-t-il au Parisien. Une procédure de négociation à l'amiable a été lancée avec l'hôpital d'Annecy. Le chirurgien s'est dit prêt à assumer ses responsabilités si les experts confirment qu'il y a bien eu faute de sa part.
Nourredine Lameche, 50 ans, n'a pas eu de chance. Déjà victime d'un infarctus en 2010, il décide de consulter un cardiologue en juillet dernier, qui lui conseille d'effectuer une coronarographie. Mais le chirurgien qui exerce à l'hôpital d'Annecy retire brusquement la sonde qui se brise en six morceaux dans le corps de Nourredine Lameche.
"J'avais des fourmillements dans le bras droit, des picotements dans la tête. Je n'arrivais plus à dormir. J'avais mal à l'épaule, raconte le patient au Parisien. En février 2013, il consulte un angiologue - le spécialiste des vaisseaux sanguins - et lui fait part de ses douleurs. "Il m'a fait un Doppler, a regardé mes artères et n'en a pas cru ses yeux". Et pour cause, le médecin découvre plusieurs morceaux métalliques de plusieurs centimètres qu'il décide de retirer au plus vite. Ces morceaux sont en train de se déplacer vers son cerveau et risquent de provoquer un AVC.
Nourredine est opéré en avril, à Lyon. Trois morceaux métalliques de 7, 6 et 3 cm sont retirés mais trois autres sont encore dans le corps. Le patient demande réparation et exige d'être indemnisé. "J'aurais pu mourir. J'attends des excuses du chirurgien", explique-t-il au Parisien. Une procédure de négociation à l'amiable a été lancée avec l'hôpital d'Annecy. Le chirurgien s'est dit prêt à assumer ses responsabilités si les experts confirment qu'il y a bien eu faute de sa part.
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