Cet habitant d’une résidence de Boucau est fondé à récriminer contre les personnes qui occupent de façon récurrente sa place de stationnement privée, l’empêchant de rentrer chez lui. En effet, ce Boucalais est handicapé moteur.
Mais de la récrimination à l’agression, il y a une frontière que le Boucalais a malheureusement franchi. Les faits se sont déroulés mardi 1er octobre. À nouveau, cette personne handicapée constate que sa place de parking est occupée, cette fois par une automobiliste qui s’apprête à récupérer son véhicule.
Le handicapé agresse alors verbalement la conductrice, ainsi qu’un ami de celle-ci. Une fois la voiture partie, l’explication se poursuit entre les deux hommes.
Blessure superficielle
Le handicapé entre alors dans son domicile et se saisit d’un fusil de chasse à canon scié, chargé de balles en caoutchouc. Avec l’arme, il menace son contradicteur, en pointant le canon contre son cou, tout en l’agressant verbalement. Puis, il fait feu, à la tête.
La victime est blessée de façon superficielle, à la tête. Alertés, les policiers interpellent le handicapé, ils retrouvent également le fusil utilisé pour l’agression et les cartouches. La victime a déposé plainte. Son état n’a pas été sanctionné par des jours d’incapacité totale de travail (ITT). L’agresseur a été convoqué par le parquet. Il sera convoqué au tribunal.
http://www.sudouest.fr/2013/10/05/des-coups-de-feu-pour-une-place-1189749-4054.php
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