Stupéfiante découverte, ce jeudi 29 mai, à Montreuil-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Un passant, intrigué par la présence d’un pull dans un buisson, à hauteur du numéro 80 du boulevard de la Boissière, s’en est approché avant de découvrir un fusil d’assaut Kalachnikov à l’intérieur du vêtement.Aussitôt alertés, des policiers ont récupéré l‘arme de guerre qui était équipée de son chargeur. «C’est, encore une fois, la preuve que les armes les plus dangereuses circulent en libre-service en Seine-Saint-Denis, dénonce Stéphane Pelliccia du syndicat de police CFDT 93. A quand un lance-roquettes abandonné sur la voie publique ?»
Le fusil d’assaut a été remis aux experts de la police scientifique désormais chargés de déterminer s’il a pu servir dans une affaire récente.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/montreuil-un-fusil-d-assaut-kalachnikov-decouvert-dans-un-buisson-31-05-2014-3886517.php
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
samedi 31 mai 2014
Castelnau-d'Auzan. Un éleveur se fait voler 120 poulets
Mauvaise surprise hier après-midi pour un éleveur de Castelnau-d'Auzan. En rentrant à sa ferme, après 8 jours d'absence, il a constaté que 120 poulets manquaient à l'appel dans le bâtiment d'élevage. Il a alerté la gendarmerie vers 15 heures. Dépêchée sur les lieux, une patrouille de Condom n'a pas relevé de traces d'effraction sur le bâtiment. Difficile pour l'heure de dater le vol, qui a pu être commis entre le 23 mai et le début de journée d'hier. Depuis plusieurs mois, les vols de récoltes, de matériel ou carrément d'animaux se multiplient dans les fermes gersoises mais les agriculteurs renoncent souvent à porter plainte. Le préfet du Gers a organisé une conférence de presse sur le sujet ce mardi et annoncé que la lutte contre les vols agricoles allait faire l'objet d'un traitement particulier. Il est question notamment de mettre en lancer un réseau d'alerte par SMS.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/31/1891731-castelnau-d-auzan-un-eleveur-se-fait-voler-120-poulets.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/31/1891731-castelnau-d-auzan-un-eleveur-se-fait-voler-120-poulets.html
Triple homicide de Belfort: suicide du suspect
Un homme de 43 ans mis en examen fin janvier pour avoir tué trois personnes à Belfort est mort après s'être étranglé dans sa cellule de la maison d'arrêt de Mulhouse (Haut-Rhin), a indiqué vendredi son avocat à l'AFP.
Le détenu avait tenté de mettre fin à ses jours en utilisant les draps de sa cellule dimanche dernier. Il a finalement succombé à ses blessures jeudi, a précisé l'avocat, Me Julien Robin.
"À ma connaissance, il n'a pas laissé de message ou de mot pour expliquer son geste", a ajouté Me Robin, se disant "surpris" par cet acte.
Le 23 janvier, le quadragénaire avait abattu avec un pistolet son ex-compagne dont il était séparé depuis quelques semaines, mû par une "irrépressible pulsion de mort" et une "jalousie aiguë".
Il avait également tué un voisin psychiatre, sans doute visé par hasard, puis un ami d'enfance.
Le meurtrier présumé, qui n'avait ni antécédent psychiatrique, ni mention à son casier judiciaire, s'était livré lui-même à la police peu après les faits, sur les conseils de sa mère qu'il avait appelée après les meurtres.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/30/97001-20140530FILWWW00376-triple-homicide-de-belfort-suicide-du-suspect.php
Le détenu avait tenté de mettre fin à ses jours en utilisant les draps de sa cellule dimanche dernier. Il a finalement succombé à ses blessures jeudi, a précisé l'avocat, Me Julien Robin.
"À ma connaissance, il n'a pas laissé de message ou de mot pour expliquer son geste", a ajouté Me Robin, se disant "surpris" par cet acte.
Le 23 janvier, le quadragénaire avait abattu avec un pistolet son ex-compagne dont il était séparé depuis quelques semaines, mû par une "irrépressible pulsion de mort" et une "jalousie aiguë".
Il avait également tué un voisin psychiatre, sans doute visé par hasard, puis un ami d'enfance.
Le meurtrier présumé, qui n'avait ni antécédent psychiatrique, ni mention à son casier judiciaire, s'était livré lui-même à la police peu après les faits, sur les conseils de sa mère qu'il avait appelée après les meurtres.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/30/97001-20140530FILWWW00376-triple-homicide-de-belfort-suicide-du-suspect.php
vendredi 30 mai 2014
Coulonvillers (80): 2 blessés graves dans un choc entre une voiture et un tracteur
L'accident a eu lieu en milieu de matinée sur la D925 entre Abbeville et Doullens dans la Somme sur la commune de Coulonvillers (80): un tracteur et une voiture se sont percutés.
2 des 4 occupants de la voiture ont été gravement blessés et héliportés au CHU d'Amiens. 2 autres personnes, également passagers du véhicule, ont été légèrement touchées. Elles ont néanmoins été transportées à l'hôpital d'Amiens
http://picardie.france3.fr/2014/05/30/coulonvillers-80-2-blesses-graves-dans-un-choc-entre-une-voiture-et-un-tracteur-487831.html
2 des 4 occupants de la voiture ont été gravement blessés et héliportés au CHU d'Amiens. 2 autres personnes, également passagers du véhicule, ont été légèrement touchées. Elles ont néanmoins été transportées à l'hôpital d'Amiens
http://picardie.france3.fr/2014/05/30/coulonvillers-80-2-blesses-graves-dans-un-choc-entre-une-voiture-et-un-tracteur-487831.html
Médoc : traqué par les proches de sa victime, il se réfugie à la gendarmerie
Mercredi soir, vers 21 heures, devant la salle de prière des musulmans de Pauillac, située juste à côté de la gare SCNF, c'est une scène de panique qui s'est déroulée. « Plusieurs femmes sont arrivées en courant. Elles étaient terrorisées. Nous les avons aidées à se réfugier dans le hall d'un des immeubles. » Marie-Yvonne Berard, une habitante du quartier Canteranne, la cité voisine de cette salle de prière, évoque aussi des détonations en plein centre-ville.
Un témoin plus proche de la scène dit avoir vu « une voiture s'arrêter soudainement devant le lieu de culte. Plusieurs hommes étaient à bord. Ils étaient armés de battes de baseball et d'un fusil de chasse », raconte-t-il. Le groupe serait venu régler des comptes avec un jeune du quartier, tout juste sorti de prison. Sa famille d'origine marocaine avait décidé d'organiser un repas pour le recevoir. Sous contrôle judiciaire, l'individu en question venait de passer quatre mois en détention provisoire dans le cadre d'un dossier de violence en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Christopher Arénas, un jeune de de 24 ans issu de la communauté des gens du voyage, père de quatre enfants, était décédé le 11 janvier dernier après une soirée entre « amis » qui avait mal tourné.
Au final, après une traque commencée devant la salle de prière et qui s'est terminée dans l'enceinte de la gendarmerie, le mis en examen a sans doute évité le pire mercredi soir. Ses poursuivants n'ont pas hésité à tirer au moins trois coups de feu en l'air devant la brigade de Pauillac. Des douilles ont été retrouvées sur place. La poursuite aurait été menée par des proches de Christopher Arénas. « Sincèrement, je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Mais il y a un minimum de respect à avoir. L'affaire n'est pas encore jugée. Et l'on voit cette personne impliquée dans la mort de notre ami parader en ville. On lui organise même une fête ! Il aurait dû faire profil bas. C'était la moindre des choses. Et surtout ne pas revenir à Pauillac aussi vite. Que fait la justice dans cette affaire ? », s'indigne un représentant de la communauté des gens du voyage.
Du côté de la famille d'origine marocaine, tous sont encore sous le choc de ce qui est arrivé mercredi soir. « Entre nous et les gens du voyage, tout se passait très bien. Nous nous connaissons. Il n'y avait pas de problème. Ce que l'on demande aujourd'hui, c'est que l'on laisse la justice faire son travail. Elle doit aller au bout. C'est la seule solution pour en finir avec cette histoire », disent-ils.
Un habitué de la salle de prière de Pauillac reconnaît qu'il y a certainement eu maladresse. Il espère que le calme va maintenant revenir. « Notre lieu de culte est sacré », poursuit-il.
Hier, dans ce contexte tendu, les gendarmes précisaient que « les patrouilles [allaient] être multipliées et que le jeune qui [venait] d'être libéré a finalement été éloigné de Pauillac. Ce qui devrait permettre d'apaiser les tensions ». Sur le plan politique, une réaction n'a pas tardé. Dès mercredi soir, dans un communiqué, Grégoire de Fournas, le délégué du Front national à Pauillac, dénonçait « le communautarisme provoqué par l'immigration de masse et totalement incontrôlée ». Et le représentant du FN d'appeler « à une augmentation du nombre de gendarmes dans la ville ».
Florent Fatin, le nouveau maire centriste de Pauillac, se voulait rassurant sur la situation. « Mercredi, juste après les faits, le calme est rapidement revenu. Tout le monde est rentré chez soi », a-t-il déclaré, avant de poursuivre : « Les effectifs de police municipale ont aussi été renforcés ». Pour lui, même s'il entend « ne pas minimiser les faits », « il n'y a pas lieu d'opposer ces deux communautés ».
http://www.sudouest.fr/2014/05/30/des-coups-de-feu-apres-une-remise-en-liberte-1570674-3031.php
Un témoin plus proche de la scène dit avoir vu « une voiture s'arrêter soudainement devant le lieu de culte. Plusieurs hommes étaient à bord. Ils étaient armés de battes de baseball et d'un fusil de chasse », raconte-t-il. Le groupe serait venu régler des comptes avec un jeune du quartier, tout juste sorti de prison. Sa famille d'origine marocaine avait décidé d'organiser un repas pour le recevoir. Sous contrôle judiciaire, l'individu en question venait de passer quatre mois en détention provisoire dans le cadre d'un dossier de violence en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Christopher Arénas, un jeune de de 24 ans issu de la communauté des gens du voyage, père de quatre enfants, était décédé le 11 janvier dernier après une soirée entre « amis » qui avait mal tourné.
Au final, après une traque commencée devant la salle de prière et qui s'est terminée dans l'enceinte de la gendarmerie, le mis en examen a sans doute évité le pire mercredi soir. Ses poursuivants n'ont pas hésité à tirer au moins trois coups de feu en l'air devant la brigade de Pauillac. Des douilles ont été retrouvées sur place. La poursuite aurait été menée par des proches de Christopher Arénas. « Sincèrement, je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Mais il y a un minimum de respect à avoir. L'affaire n'est pas encore jugée. Et l'on voit cette personne impliquée dans la mort de notre ami parader en ville. On lui organise même une fête ! Il aurait dû faire profil bas. C'était la moindre des choses. Et surtout ne pas revenir à Pauillac aussi vite. Que fait la justice dans cette affaire ? », s'indigne un représentant de la communauté des gens du voyage.
Du côté de la famille d'origine marocaine, tous sont encore sous le choc de ce qui est arrivé mercredi soir. « Entre nous et les gens du voyage, tout se passait très bien. Nous nous connaissons. Il n'y avait pas de problème. Ce que l'on demande aujourd'hui, c'est que l'on laisse la justice faire son travail. Elle doit aller au bout. C'est la seule solution pour en finir avec cette histoire », disent-ils.
Un habitué de la salle de prière de Pauillac reconnaît qu'il y a certainement eu maladresse. Il espère que le calme va maintenant revenir. « Notre lieu de culte est sacré », poursuit-il.
Hier, dans ce contexte tendu, les gendarmes précisaient que « les patrouilles [allaient] être multipliées et que le jeune qui [venait] d'être libéré a finalement été éloigné de Pauillac. Ce qui devrait permettre d'apaiser les tensions ». Sur le plan politique, une réaction n'a pas tardé. Dès mercredi soir, dans un communiqué, Grégoire de Fournas, le délégué du Front national à Pauillac, dénonçait « le communautarisme provoqué par l'immigration de masse et totalement incontrôlée ». Et le représentant du FN d'appeler « à une augmentation du nombre de gendarmes dans la ville ».
Florent Fatin, le nouveau maire centriste de Pauillac, se voulait rassurant sur la situation. « Mercredi, juste après les faits, le calme est rapidement revenu. Tout le monde est rentré chez soi », a-t-il déclaré, avant de poursuivre : « Les effectifs de police municipale ont aussi été renforcés ». Pour lui, même s'il entend « ne pas minimiser les faits », « il n'y a pas lieu d'opposer ces deux communautés ».
http://www.sudouest.fr/2014/05/30/des-coups-de-feu-apres-une-remise-en-liberte-1570674-3031.php
Île-de-Sein. Ivre à bord de la vedette, il se jette à l'eau
Un homme s'est jeté à l'eau alors que l'Enez Sun, vedette à passagers, venait de quitter l'Île-de-Sein pour rejoindre le continent. Il a été repêché in-extremis.
Ce jeudi, en fin de journée, un homme, très alcoolisé, s'est jeté à l'eau alors qu'il venait d'embarquer sur l'Enez Sun, la vedette à passagers qui relie l'Île-de-Sein à Audierne (Finistère).
Le conducteur du bateau a alors fait demi-tour. Un zodiac a été mis à l'eau et l'homme a été repêché puis ramené au port d'Audierne. Pris en charge par les sapeurs-pompiers, il a été transporté au centre hospitalier de Quimper.
http://www.ouest-france.fr/ile-de-sein-ivre-bord-de-la-vedette-il-se-jette-leau-2580818
Le conducteur du bateau a alors fait demi-tour. Un zodiac a été mis à l'eau et l'homme a été repêché puis ramené au port d'Audierne. Pris en charge par les sapeurs-pompiers, il a été transporté au centre hospitalier de Quimper.
http://www.ouest-france.fr/ile-de-sein-ivre-bord-de-la-vedette-il-se-jette-leau-2580818
Découvert 10 h après avoir chuté d’une grue
Un homme de 29 ans avait entrepris, dans la nuit de mercredi à jeudi, l’escalade d’une grue, située sur le chantier d’extension de la Maison hospitalière Saint-Charles, à proximité du tunnel de la rue Charles-III. Avant de chuter de ladite grue et de s’écraser près de 25 m plus bas. Une chute semble-t-il amortie par des fers à béton.
L’accident serait survenu vers 4 h alors que la victime – en état d’ivresse – sortait d’une soirée et avait entrepris de se lancer dans l’ascension de la grue. Ce n’est que peu avant 14 h, soit près de 10 h après sa chute, que le noctambule était découvert, par hasard. Alors qu’elle sortait les poubelles, une employée de Saint-Charles était alertée par des cris en provenance du chantier. Sans pour autant pouvoir apercevoir la victime, quasi invisible, au fond d’un trou. Après avoir noué un bref dialogue avec le miraculé, l’employée contactait les secours. Elle venait sans doute de lui sauver la vie.
Les pompiers de Nancy-Joffre et Tomblaine, renforcés par l’équipe spécialisée du Groupe de recherches et d’interventions en milieux périlleux (GRIMP) parvenaient à trouver un accès – sans avoir à mobiliser les grands moyens du GRIMP – afin d’extraire la victime du chantier.
Visiblement, le périmètre du chantier Saint-Charles semblait bien sécurisé, hier, même si, côté rue de l’Abbé-Didelot, le barrièrage accolé à un mur, présente un signe de faiblesse.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/05/30/decouvert-10-h-apres-avoir-chute-d-une-grue
L’accident serait survenu vers 4 h alors que la victime – en état d’ivresse – sortait d’une soirée et avait entrepris de se lancer dans l’ascension de la grue. Ce n’est que peu avant 14 h, soit près de 10 h après sa chute, que le noctambule était découvert, par hasard. Alors qu’elle sortait les poubelles, une employée de Saint-Charles était alertée par des cris en provenance du chantier. Sans pour autant pouvoir apercevoir la victime, quasi invisible, au fond d’un trou. Après avoir noué un bref dialogue avec le miraculé, l’employée contactait les secours. Elle venait sans doute de lui sauver la vie.
Les pompiers de Nancy-Joffre et Tomblaine, renforcés par l’équipe spécialisée du Groupe de recherches et d’interventions en milieux périlleux (GRIMP) parvenaient à trouver un accès – sans avoir à mobiliser les grands moyens du GRIMP – afin d’extraire la victime du chantier.
Grièvement blessé
Médicalisé sur place par les médecins du SMUR, l’homme était évacué vers les urgences de l’Hôpital central. Conscient mais grièvement blessé, il souffre notamment de fractures au niveau des deux jambes et des deux bras. Choix délibéré d’escalader la grue ? Pari stupide entre amis ? La police a ouvert une enquête afin de comprendre les circonstances de cette chute qui n’est pas sans rappeler le drame survenu en novembre 2013, sur le chantier de l’Ile-de-Corse à Nancy où un jeune de 22 ans avait trouvé la mort dans des circonstances similaires.Visiblement, le périmètre du chantier Saint-Charles semblait bien sécurisé, hier, même si, côté rue de l’Abbé-Didelot, le barrièrage accolé à un mur, présente un signe de faiblesse.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/05/30/decouvert-10-h-apres-avoir-chute-d-une-grue
jeudi 29 mai 2014
Tosse (40) : la fête tourne à la bagarre, trente gendarmes appelés en renfort
Venus mettre fin à une bagarre qui a éclaté dans la nuit de mercredi à jeudi, les gendarmes ont essuyé des jets de pierre et de bouteilles
La fête avait bien démarré mercredi soir dans le village de Tosse, lors d'une soirée dansante organisée par les jeunes du village. Mais elle a dérapé vers 1h30 avec un début de bagarre.
Cinq gendarmes sont dans un premier temps intervenus sur les lieux pour séparer les belligérants. Ils ont été rapidement pris à partie par une dizaine de jeunes les insultant et leur jetant des pierres et des bouteilles de verre. Les brigades de Tarnos, Castets, Capbreton, Dax mais également le Psig (Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) et la brigade de recherches de Dax ont été appelés en renfort. Soit une trentaine de personnels.
Les agresseurs avaient eu le temps de se disperser tandis que des contrôles étaient mis en place aux alentours du village pour interpeller les fauteurs de troubles. Trois d'entre eux ont été placés en garde à vue, un majeur et deux mineurs âgés de 17 ans, originaires de Mont-de-Marsan. Les investigations et les auditions sont en cours.
Le maire a déposé plainte pour dégradations
http://www.sudouest.fr/2014/05/29/tosse-40-le-fete-tourne-a-la-bagarre-trente-gendarmes-appeles-en-renfort-1570166-3570.php
La fête avait bien démarré mercredi soir dans le village de Tosse, lors d'une soirée dansante organisée par les jeunes du village. Mais elle a dérapé vers 1h30 avec un début de bagarre.
Cinq gendarmes sont dans un premier temps intervenus sur les lieux pour séparer les belligérants. Ils ont été rapidement pris à partie par une dizaine de jeunes les insultant et leur jetant des pierres et des bouteilles de verre. Les brigades de Tarnos, Castets, Capbreton, Dax mais également le Psig (Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) et la brigade de recherches de Dax ont été appelés en renfort. Soit une trentaine de personnels.
Les agresseurs avaient eu le temps de se disperser tandis que des contrôles étaient mis en place aux alentours du village pour interpeller les fauteurs de troubles. Trois d'entre eux ont été placés en garde à vue, un majeur et deux mineurs âgés de 17 ans, originaires de Mont-de-Marsan. Les investigations et les auditions sont en cours.
Le maire a déposé plainte pour dégradations
http://www.sudouest.fr/2014/05/29/tosse-40-le-fete-tourne-a-la-bagarre-trente-gendarmes-appeles-en-renfort-1570166-3570.php
mercredi 28 mai 2014
Villersexel : une voiture avait foncé dans la foule, 4 jeunes placés en détention
Dimanche tôt le matin, après une bagarre, une voiture avait fauché un groupe de personnes, faisant 4 blessés, dont deux gravement touchés. 4 jeunes ont été arrêtés et placés en détention dans 4 prisons du Grand Est
Comme nous vous le racontions dimanche, le bal avait mal tourné à Villersexel. Une bagarre avait éclaté entre plusieurs protagonistes. Puis, au petit matin, vers 4 heures, une voiture avait foncé dans un groupe de 5 personnes, faisant 4 blessés, dont deux graves.
Les gendarmes ont rapidement arrêté 5 jeunes hommes, tous originaires du secteur de Villersexel. Si l'un d'entre eux a été relâché et placé simplement sous contrôle judiciaire, les 4 autres ont été placés en détention. Ils sont âgés de 15 ans, deux de 18 ans et le plus âgé a 35 ans.
Il ont été placés en détention dans 4 prisons différentes pour qu'ils ne puissent pas communiquer entre eux à Besançon, Belfort, Epinal et Mulhouse.
L'enquête se poursuit pour déterminer les circonstances exactes de cette affaire
http://franche-comte.france3.fr/2014/05/28/villersexel-une-voiture-avait-fonce-dans-la-foule-4-jeunes-places-en-detention-486467.html
Comme nous vous le racontions dimanche, le bal avait mal tourné à Villersexel. Une bagarre avait éclaté entre plusieurs protagonistes. Puis, au petit matin, vers 4 heures, une voiture avait foncé dans un groupe de 5 personnes, faisant 4 blessés, dont deux graves.
Les gendarmes ont rapidement arrêté 5 jeunes hommes, tous originaires du secteur de Villersexel. Si l'un d'entre eux a été relâché et placé simplement sous contrôle judiciaire, les 4 autres ont été placés en détention. Ils sont âgés de 15 ans, deux de 18 ans et le plus âgé a 35 ans.
Il ont été placés en détention dans 4 prisons différentes pour qu'ils ne puissent pas communiquer entre eux à Besançon, Belfort, Epinal et Mulhouse.
L'enquête se poursuit pour déterminer les circonstances exactes de cette affaire
http://franche-comte.france3.fr/2014/05/28/villersexel-une-voiture-avait-fonce-dans-la-foule-4-jeunes-places-en-detention-486467.html
Fait-divers à Pommerit-Jaudy. Il tombe dans un feu de camp
Un homme de 19 ans est tombé dans un feu de camp, cette nuit, à 4h, lors d'une fête au lycée de Pommerit-Jaudy. Brûlé au 2e degré, il a été évacué à l'hôpital de Paimpol.
Le feu de camp avait été allumé dans un champ, dans l'enceinte du lycée Pommerit. Le jeune homme est étudiant dans l'établissement qui organise demain jeudi sa grande fête annuelle.
Une quinzaine de jeunes participaient à cette soirée alcoolisée.
http://www.ouest-france.fr/fait-divers-pommerit-jaudy-il-tombe-dans-un-feu-de-camp-2576613
Une quinzaine de jeunes participaient à cette soirée alcoolisée.
http://www.ouest-france.fr/fait-divers-pommerit-jaudy-il-tombe-dans-un-feu-de-camp-2576613
Bygmalion : le scandale touche la Lozère
Le scandale est en train de toucher la Lozère de plein fouet : Guillaume Lambert, ex-directeur de campagne de Sarkozy en 2012, et actuel préfet de Lozère depuis juillet 2013, s’est refusé à tout commentaire. Son absence, mardi, à deux manifestations publiques a été remarquée.
Englué dans l’affaire de fausses factures Bygmalion, Jean-François Copé a annoncé qu’il démissionnait de son poste de président de l’UMP à compter du 15 juin, après avoir tout tenté pour se maintenir, durant la réunion d’un bureau politique houleux.
Un parti qui tangue très fort
En attendant le congrès extraordinaire en octobre, trois anciens Premiers ministres - Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon - prennent la barre d’un parti qui tangue très fort.
"C’est étrange cette ignorance"
Lundi, l’avocat de Bygmalion et le directeur de cabinet de Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, ont admis que la société de communication avait facturé à l’UMP des conventions fictives pour 11 M€, pour masquer des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy.
Proche de Jean-François Copé, le député UMP de Lozère, Pierre Morel-à-l’Huissier a assisté hier matin au bureau politique de l’UMP. Il dit avoir « vu Copé vers 12 h 15. Il affirme qu’il a appris toute cette histoire de la bouche de ses proches il y a à peine 10 jours. Comme Sarkozy. C’est étrange cette ignorance. Avec ces fausses factures, ces surfacturations... Ce n’est pas tenable ».
"Le préfet Guillaume Lambert est un interlocuteur-clé"
Le scandale est en train de toucher la région de plein fouet : Guillaume Lambert, ex-directeur de campagne de Sarkozy en 2012 et actuel préfet de Lozère depuis juillet 2013, s’est refusé à tout commentaire. Son absence, mardi, à deux manifestations publiques a été remarquée : la cérémonie de la journée nationale de la Résistance et la remise des prix du concours national de la Résistance et de la Déportation. « Il est totalement étranger aux dispositions mises en place entre Bygmalion et l’UMP », a juste déclaré Me Christophe Ingrain, affirmant que son client avait appris « avec stupéfaction ces allégations ».
Pierre Morel-à-l’Huissier juge « qu’un certain nombre de personnes étaient au courant de l’affaire, dont M. Lambert qui signait les factures de la campagne en 2012. Logiquement, il devrait être entendu par les policiers. Je peux comprendre qu’il ne s’exprime pas et qu’il réserve sa réponse aux enquêteurs mais c’est un interlocuteur-clé de cette affaire. »
"C’est abracadabrant"
Député européen, le Nîmois Franck Proust, qui faisait partie de la cinquantaine de députés présents, hier, au comité stratégique de l’UMP, ajoute : « On attend les propos de Guillaume Lambert et que la justice fasse la lumière. C’est abracadabrant. Je n’ai jamais approché cette société », jure-t-il. Le Montpelliérain Arnaud Julien, secrétaire national de l’UMP, ne dit pas autre chose : « Je n’ai jamais travaillé avec Bygmalion même si cette société m’était très connue », confie celui qui dirige une boîte de relations publiques « en auto-entrepreneur, créée il y a six mois ».
"À croire qu’aux meetings de Sarkozy, il y avait des couverts en argent..."
Ex-député UMP de l’Hérault, Jacques Domergue a, lui, « rencontré les gens de Bygmalion lors de la rentrée politique annuelle du mouvement à Châteaurenard. Ils me semblaient bien. Mais je ne les connaissais pas plus que ça. Depuis le départ de Sarko, il n’y a plus de patron. Il faut assainir l’UMP et que les militants s’expriment. » Le fillonniste et maire de La Grande-Motte, Stéphan Rossignol a été « sollicité par Bygmalion. Je n’ai pas donné suite et je m’en félicite. Je ne comprends pas. Hollande a démarré sa campagne bien plus tôt que Sarkozy avec des primaires. À croire qu’aux meetings de Sarkozy, il y avait des couverts en argent... »
http://www.midilibre.fr/2014/05/27/bygmalion-le-scandale-touche-la-lozere,866762.php
Englué dans l’affaire de fausses factures Bygmalion, Jean-François Copé a annoncé qu’il démissionnait de son poste de président de l’UMP à compter du 15 juin, après avoir tout tenté pour se maintenir, durant la réunion d’un bureau politique houleux.
Un parti qui tangue très fort
En attendant le congrès extraordinaire en octobre, trois anciens Premiers ministres - Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon - prennent la barre d’un parti qui tangue très fort.
"C’est étrange cette ignorance"
Lundi, l’avocat de Bygmalion et le directeur de cabinet de Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, ont admis que la société de communication avait facturé à l’UMP des conventions fictives pour 11 M€, pour masquer des dépenses de campagne de Nicolas Sarkozy.
Proche de Jean-François Copé, le député UMP de Lozère, Pierre Morel-à-l’Huissier a assisté hier matin au bureau politique de l’UMP. Il dit avoir « vu Copé vers 12 h 15. Il affirme qu’il a appris toute cette histoire de la bouche de ses proches il y a à peine 10 jours. Comme Sarkozy. C’est étrange cette ignorance. Avec ces fausses factures, ces surfacturations... Ce n’est pas tenable ».
"Le préfet Guillaume Lambert est un interlocuteur-clé"
Le scandale est en train de toucher la région de plein fouet : Guillaume Lambert, ex-directeur de campagne de Sarkozy en 2012 et actuel préfet de Lozère depuis juillet 2013, s’est refusé à tout commentaire. Son absence, mardi, à deux manifestations publiques a été remarquée : la cérémonie de la journée nationale de la Résistance et la remise des prix du concours national de la Résistance et de la Déportation. « Il est totalement étranger aux dispositions mises en place entre Bygmalion et l’UMP », a juste déclaré Me Christophe Ingrain, affirmant que son client avait appris « avec stupéfaction ces allégations ».
Pierre Morel-à-l’Huissier juge « qu’un certain nombre de personnes étaient au courant de l’affaire, dont M. Lambert qui signait les factures de la campagne en 2012. Logiquement, il devrait être entendu par les policiers. Je peux comprendre qu’il ne s’exprime pas et qu’il réserve sa réponse aux enquêteurs mais c’est un interlocuteur-clé de cette affaire. »
"C’est abracadabrant"
Député européen, le Nîmois Franck Proust, qui faisait partie de la cinquantaine de députés présents, hier, au comité stratégique de l’UMP, ajoute : « On attend les propos de Guillaume Lambert et que la justice fasse la lumière. C’est abracadabrant. Je n’ai jamais approché cette société », jure-t-il. Le Montpelliérain Arnaud Julien, secrétaire national de l’UMP, ne dit pas autre chose : « Je n’ai jamais travaillé avec Bygmalion même si cette société m’était très connue », confie celui qui dirige une boîte de relations publiques « en auto-entrepreneur, créée il y a six mois ».
"À croire qu’aux meetings de Sarkozy, il y avait des couverts en argent..."
Ex-député UMP de l’Hérault, Jacques Domergue a, lui, « rencontré les gens de Bygmalion lors de la rentrée politique annuelle du mouvement à Châteaurenard. Ils me semblaient bien. Mais je ne les connaissais pas plus que ça. Depuis le départ de Sarko, il n’y a plus de patron. Il faut assainir l’UMP et que les militants s’expriment. » Le fillonniste et maire de La Grande-Motte, Stéphan Rossignol a été « sollicité par Bygmalion. Je n’ai pas donné suite et je m’en félicite. Je ne comprends pas. Hollande a démarré sa campagne bien plus tôt que Sarkozy avec des primaires. À croire qu’aux meetings de Sarkozy, il y avait des couverts en argent... »
http://www.midilibre.fr/2014/05/27/bygmalion-le-scandale-touche-la-lozere,866762.php
mardi 27 mai 2014
Grenoble : agressions de personnes âgées en série
Une vieille dame de 87 ans qui se fait voler son portefeuille dans un ascenseur, trois autres de 70, 84 et 90 ans qui se font dérober leur sac en pleine rue après avoir été frappées... Voilà les quatre dernières victimes, recensées par Le Dauphiné, d'une longue liste de femmes âgées agressées à Grenoble ces dernières semaines. Selon la police, elles sont 19 à avoir été victimes de vols avec violence en un mois et demi. Un seul et même homme pourrait être l'auteur de toutes ces agressions.
L'agresseur, qui n'a pas été identifié, emploie toujours le même mode opératoire, attendant que les vieilles dames soient entrées dans leur cage d'escalier pour leur voler argent, sac ou bijoux. Plusieurs victimes, souvent très âgées, ont été blessées, certaines étant hospitalisées pour des fractures.
Les policiers disposent de très peu d'éléments permettant d'identifier l'auteur des faits qui agresse souvent ses victimes de dos.
Pau : un an ferme pour avoir poursuivi trois femmes avec une hachette
Ivre, le trentenaire avait poursuivi sa compagne, la soeur de cette dernière et une amie jusque dans la rue, avec son arme.
«Je ne me rappelle de rien. Je suis profondément désolé pour ce que j'ai fait et j'en ai honte. C'est ma famille. Je ne comprends pas comment j'ai pu m'en prendre à elle. » À la barre du tribunal correctionnel de Pau, devant lequel il comparaissait hier lundi, Henri D. se confond en excuses. Mais ce maçon intérimaire palois de 34 ans doit répondre d'une scène d'une rare violence contre sa compagne, la sœur de cette dernière et l'une de ses amies.
C'était dans la nuit du 19 au 20 avril. Peu avant 2 heures, la police est avertie qu'un homme armé d'une hachette pourchasse des femmes dans le quartier du Triangle. Henri D. est interpellé rue Émile Garet. Il a près de 2,60 grammes d'alcool dans le sang et vient d'être désarmé par des passants, alertés par les appels au secours des trois jeunes femmes.
Deux étaient assises sur le banc des parties civiles, hier. La troisième a renoncé à demander réparation à son conjoint mais pleure au fond de la salle. « C'est le père de ses deux enfants en bas âge », explique Me Caron.
L'alcool violent
Mais comment en est-on arrivé là ? Le prévenu s'est emporté sans raison, après avoir ingurgité de nombreux verres de whisky, s'est jeté sur sa compagne pour la frapper, a distribué les coups à ses amies qui tentaient de s'interposer et a poursuivi les victimes jusque dans la rue, une hachette à la main. « Dans l'appartement, il y avait un bébé d'un an », rappelle Me Cohade, qui défend l'une des jeunes femmes en larmes.
« C'est l'alcool », lâche le prévenu qui boit depuis ses 15 ans et « présente un risque de passage à l'acte violent » quand il est ivre, relève l'expertise psychiatrique. « J'essaie de décrocher. Je prenais des médicaments, mais ça n'a pas marché. Je suis prêt à suivre une cure dans un centre fermé », assure-t-il. Son avocate, Me Pather, plaide l'altération du discernement provoquée, selon elle, par le Baclofène, le traitement sous lequel se trouvait son client.
Pas sa première
La vice-procureure Stéphanie Paguenaud rappelle de son côté que le trentenaire, déjà condamné à huit reprises, n'en est pas à son premier dérapage. « Un mois avant cette affaire, il a été mis en cause pour des violences sur des policiers et doit d'ailleurs en répondre devant le tribunal, lundi prochain. »
L'homme a été condamné à un an de prison ferme : dix mois auxquels s'ajoute la révocation d'un sursis de deux mois précédent. Les juges sont allés au-delà des réquisitions et ont ordonné son maintien en détention. Il devra verser 1 500 euros de dommages et intérêts aux parties civiles.
http://www.sudouest.fr/2014/05/27/un-an-ferme-pour-l-homme-a-la-hachette-1567159-4344.php
«Je ne me rappelle de rien. Je suis profondément désolé pour ce que j'ai fait et j'en ai honte. C'est ma famille. Je ne comprends pas comment j'ai pu m'en prendre à elle. » À la barre du tribunal correctionnel de Pau, devant lequel il comparaissait hier lundi, Henri D. se confond en excuses. Mais ce maçon intérimaire palois de 34 ans doit répondre d'une scène d'une rare violence contre sa compagne, la sœur de cette dernière et l'une de ses amies.
C'était dans la nuit du 19 au 20 avril. Peu avant 2 heures, la police est avertie qu'un homme armé d'une hachette pourchasse des femmes dans le quartier du Triangle. Henri D. est interpellé rue Émile Garet. Il a près de 2,60 grammes d'alcool dans le sang et vient d'être désarmé par des passants, alertés par les appels au secours des trois jeunes femmes.
Deux étaient assises sur le banc des parties civiles, hier. La troisième a renoncé à demander réparation à son conjoint mais pleure au fond de la salle. « C'est le père de ses deux enfants en bas âge », explique Me Caron.
L'alcool violent
Mais comment en est-on arrivé là ? Le prévenu s'est emporté sans raison, après avoir ingurgité de nombreux verres de whisky, s'est jeté sur sa compagne pour la frapper, a distribué les coups à ses amies qui tentaient de s'interposer et a poursuivi les victimes jusque dans la rue, une hachette à la main. « Dans l'appartement, il y avait un bébé d'un an », rappelle Me Cohade, qui défend l'une des jeunes femmes en larmes.
« C'est l'alcool », lâche le prévenu qui boit depuis ses 15 ans et « présente un risque de passage à l'acte violent » quand il est ivre, relève l'expertise psychiatrique. « J'essaie de décrocher. Je prenais des médicaments, mais ça n'a pas marché. Je suis prêt à suivre une cure dans un centre fermé », assure-t-il. Son avocate, Me Pather, plaide l'altération du discernement provoquée, selon elle, par le Baclofène, le traitement sous lequel se trouvait son client.
Pas sa première
La vice-procureure Stéphanie Paguenaud rappelle de son côté que le trentenaire, déjà condamné à huit reprises, n'en est pas à son premier dérapage. « Un mois avant cette affaire, il a été mis en cause pour des violences sur des policiers et doit d'ailleurs en répondre devant le tribunal, lundi prochain. »
L'homme a été condamné à un an de prison ferme : dix mois auxquels s'ajoute la révocation d'un sursis de deux mois précédent. Les juges sont allés au-delà des réquisitions et ont ordonné son maintien en détention. Il devra verser 1 500 euros de dommages et intérêts aux parties civiles.
http://www.sudouest.fr/2014/05/27/un-an-ferme-pour-l-homme-a-la-hachette-1567159-4344.php
Toulouse. Ivre et armé dans une discothèque pour faire «son Belmondo
Débarquer dans une discothèque de Toulouse, ivre et l'arme à la ceinture n'est pas le meilleur moyen de passer inaperçu. C'est pourtant ce qu'a expérimenté Boudali tôt dimanche dans un établissement de nuit de la route de Revel, à Toulouse. À la porte, le personnel a remarqué l'arme et a alerté la police. Quelques minutes plus tard, des hommes de la brigade anticriminalité ont interpellé ce noctambule ce qui n'a pas été très facile. Dans ses poches, outre un revolver 38 Spécial chargé de quatre balles, 39 g de résine de cannabis et 1 800 € en liquide.
«Je suis bête avez-vous expliqué aux policiers lors de votre garde à vue, s'étonne le président Barrié. Vous avez expliqué garder l'arme pour quelqu'un…»
«Oui je n'en ai pas l'utilité», marmonne en guise de réponse cet homme de 31 ans.
Entre poker «un peu votre vie», note le président du tribunal correctionnel et le RSA, Boudali vivote.
«C'est quand la dernière fois que vous avez travaillé ?», tente le président.
«2009», lâche sans conviction le prévenu.
«En fait, vous vouliez faire votre Belmondo, annonce le président. En tout cas, vous l'avez présenté comme cela aux policiers.»
Le côté «Flic ou voyou» ne plaît guère au procureur Vétu, pas franchement conciliant, agacé par l'attitude du prévenu et par son casier judiciaire où son goût de la violence, et des armes, revient trop souvent. Sa rébellion lors de l'intervention des policiers n'arrangeant pas son cas. Le magistrat requiert 3 ans de prison dont 18 mois avec sursis.
De quoi motiver Me Christian Etelin, pas branché cinéma lui non plus mais plutôt droit. Sa plaidoirie ressemble à des travaux dirigés destinés au parquet. Et elle se termine par un démontage de «la tentative de l'usage de l'arme» décrit par un policier dans son audition. «Donc on résume : intervention parfaite des policiers qui bloquent les bras. Mais, tour de magie, les bras pourtant parfaitement bloqués arrivent quand même à se rapprocher de l'arme», ironise l'avocat. «Rien ne sert de noircir le tableau. N'exagérons pas», réclame Me Etelin.
Les juges n'ont pas remis de Palme mais la peine a été sérieusement revue à la baisse. Huit mois ferme pour Boudali qui a gagné dès la fin de l'audience les studios privés de Seysses.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/27/1889025-toulouse-ivre-arme-discotheque-faire-belmondo.html
«Je suis bête avez-vous expliqué aux policiers lors de votre garde à vue, s'étonne le président Barrié. Vous avez expliqué garder l'arme pour quelqu'un…»
«Oui je n'en ai pas l'utilité», marmonne en guise de réponse cet homme de 31 ans.
Entre poker «un peu votre vie», note le président du tribunal correctionnel et le RSA, Boudali vivote.
«C'est quand la dernière fois que vous avez travaillé ?», tente le président.
«2009», lâche sans conviction le prévenu.
«En fait, vous vouliez faire votre Belmondo, annonce le président. En tout cas, vous l'avez présenté comme cela aux policiers.»
Le côté «Flic ou voyou» ne plaît guère au procureur Vétu, pas franchement conciliant, agacé par l'attitude du prévenu et par son casier judiciaire où son goût de la violence, et des armes, revient trop souvent. Sa rébellion lors de l'intervention des policiers n'arrangeant pas son cas. Le magistrat requiert 3 ans de prison dont 18 mois avec sursis.
De quoi motiver Me Christian Etelin, pas branché cinéma lui non plus mais plutôt droit. Sa plaidoirie ressemble à des travaux dirigés destinés au parquet. Et elle se termine par un démontage de «la tentative de l'usage de l'arme» décrit par un policier dans son audition. «Donc on résume : intervention parfaite des policiers qui bloquent les bras. Mais, tour de magie, les bras pourtant parfaitement bloqués arrivent quand même à se rapprocher de l'arme», ironise l'avocat. «Rien ne sert de noircir le tableau. N'exagérons pas», réclame Me Etelin.
Les juges n'ont pas remis de Palme mais la peine a été sérieusement revue à la baisse. Huit mois ferme pour Boudali qui a gagné dès la fin de l'audience les studios privés de Seysses.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/27/1889025-toulouse-ivre-arme-discotheque-faire-belmondo.html
Delle : des munitions découvertes par des enfants
UN stock impressionnant de munitions de la Deuxième Guerre mondiale a été découvert par hasard, dimanche après-midi, par des enfants qui jouaient dans un bois, à proximité du centre de Delle (90). Tout commence vers 15 h lorsque des Dellois réunis autour de Thierry Félix, Mohamed Boutéba et Rachid Belouaj se retrouvent sur l’aire de pique-nique situé le long de la route de Faverois.
« Nous organisions un barbecue pour remercier toutes les personnes qui ont contribué, vendredi, à la réussite de la fête des Voisins à la Voinaie (un quartier de Delle) », témoigne M. Félix, le président de l’amicale des locataires du quartier.
« Après quelques minutes », poursuit Mohamed Boutéba, « les enfants sont revenus avec une dizaine de balles de 9 centimètres de long ».
Inquiets par la trouvaille, les pères de familles suivent leurs enfants et s’aperçoivent que d’autres munitions sont apparentes ; d’autres sont recouvertes de quelques centimètres de terre.
« En l’utilisant, », souligne Thierry Félix, « je me suis aperçu que le détecteur ne cessait de se déclencher. J’ai eu peur que les enfants percutent une des balles ou ne sautent sur un obus ».
Les adultes interdisent alors aux enfants de retourner dans la forêt. Quelques minutes plus tard, ils alertent des gendarmes qui intervenaient sur une collision, à quelques dizaines de mètres de là.
« Les gendarmes nous ont recommandé d’enrouler les munitions dans du papier pour éviter qu’elles ne s’entrechoquent », ajoute M. Boutéba. « Ils nous ont promis de faire le nécessaire auprès du service de déminage de Colmar ».
Hier, deux démineurs ont effectué une reconnaissance dans la forêt. En présence de Philippe Meinen, directeur général des services de la ville de Delle, ils ont mis à jour des morceaux de ferrailles ainsi que l’équivalent de deux caisses en plastique de balles de 9 mm. Elles se trouvaient au pied d’un arbre.
Les témoins de l’intervention ignoraient ce que les munitions faisaient à cet endroit. Daniel Kuntz, conseiller délégué chargé des forêts, que nous avons joint par téléphone, rappelait qu’il n’y avait jamais eu de combats dans la forêt delloise.
D’après l’élu, des coupes de bois ont eu lieu régulièrement et jamais personne n’a découvert de munitions. Pour lui, ces balles ont fait l’objet d’un dépôt sauvage par des personnes qui souhaitaient s’en débarrasser sans éveiller l’attention. Une hypothèse que juge plausible le service de déminage de Colmar.
Par ailleurs, l’élu rappelait, hier, que les barbecues en pleine forêt et sans aucune autorisation municipale, sont strictement interdits.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/05/26/delle-des-munitions-decouvertes-par-des-enfants
« Nous organisions un barbecue pour remercier toutes les personnes qui ont contribué, vendredi, à la réussite de la fête des Voisins à la Voinaie (un quartier de Delle) », témoigne M. Félix, le président de l’amicale des locataires du quartier.
Des jeux d’enfants
Pendant les préparatifs du repas, les enfants ont exploré la forêt, avec un détecteur de métaux acheté dans un magasin de jouets.« Après quelques minutes », poursuit Mohamed Boutéba, « les enfants sont revenus avec une dizaine de balles de 9 centimètres de long ».
Inquiets par la trouvaille, les pères de familles suivent leurs enfants et s’aperçoivent que d’autres munitions sont apparentes ; d’autres sont recouvertes de quelques centimètres de terre.
« En l’utilisant, », souligne Thierry Félix, « je me suis aperçu que le détecteur ne cessait de se déclencher. J’ai eu peur que les enfants percutent une des balles ou ne sautent sur un obus ».
Les adultes interdisent alors aux enfants de retourner dans la forêt. Quelques minutes plus tard, ils alertent des gendarmes qui intervenaient sur une collision, à quelques dizaines de mètres de là.
« Les gendarmes nous ont recommandé d’enrouler les munitions dans du papier pour éviter qu’elles ne s’entrechoquent », ajoute M. Boutéba. « Ils nous ont promis de faire le nécessaire auprès du service de déminage de Colmar ».
Hier, deux démineurs ont effectué une reconnaissance dans la forêt. En présence de Philippe Meinen, directeur général des services de la ville de Delle, ils ont mis à jour des morceaux de ferrailles ainsi que l’équivalent de deux caisses en plastique de balles de 9 mm. Elles se trouvaient au pied d’un arbre.
Dépôt sauvage ?
Près d’une heure trente a été nécessaire pour les extraire d’un trou mesurant un mètre de longueur, 40 cm de large sur 35 cm de profondeur. Quelques-unes de ses balles étaient encore conditionnées dans les restes de leurs boîtes d’emballages. D’autres étaient réunies par chargeur de huit cartouches. D’autres encore étaient oxydées après avoir séjourné dans le sol. Elles portaient des dates de fabrication comme 1936 ou 1940.Les témoins de l’intervention ignoraient ce que les munitions faisaient à cet endroit. Daniel Kuntz, conseiller délégué chargé des forêts, que nous avons joint par téléphone, rappelait qu’il n’y avait jamais eu de combats dans la forêt delloise.
D’après l’élu, des coupes de bois ont eu lieu régulièrement et jamais personne n’a découvert de munitions. Pour lui, ces balles ont fait l’objet d’un dépôt sauvage par des personnes qui souhaitaient s’en débarrasser sans éveiller l’attention. Une hypothèse que juge plausible le service de déminage de Colmar.
Par ailleurs, l’élu rappelait, hier, que les barbecues en pleine forêt et sans aucune autorisation municipale, sont strictement interdits.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/05/26/delle-des-munitions-decouvertes-par-des-enfants
lundi 26 mai 2014
Un SDF découvre un cadavre à Saint-Etienne
Samedi, un SDF a découvert le cadavre d’un quinquagénaire gisant au milieu des vieux vêtements et des emballages vides de nourriture, en bordure du boulevard du 38e Régiment d’infanterie, à Saint-Etienne. Il semble qu’il soit décédé depuis longtemps.
Samedi, le soir tombe lorsqu’un sans-abri se cherche un lieu pour passer la nuit. Il emprunte le boulevard du 38e Régiment d’infanterie, à Saint-Etienne, et pénètre sous le premier bosquet. Là, après avoir passé la barrière de ronces et d’orties, un abri de fortune est installé sous un acacia.
Le SDF fait alors une macabre découverte. Le cadavre d’un homme gît au milieu des vieux vêtements et des emballages vides de nourriture. Il semble qu’il soit décédé depuis longtemps. Les secours sont appelés, la police et les pompiers se rendent sur place. L’homme sans vie avait ses papiers d’identité sur lui. Il s’agit d’un Stéphanois âgé de 54 ans, résidant non loin de là, entre Saint-François et La Richelandière. Il vivait seul et n’avait plus de liens avec sa famille. Une enquête de police est ouverte et une autopsie aura lieu ce mardi.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/05/26/un-sdf-decouvre-un-cadavre-a-saint-etienne
Samedi, le soir tombe lorsqu’un sans-abri se cherche un lieu pour passer la nuit. Il emprunte le boulevard du 38e Régiment d’infanterie, à Saint-Etienne, et pénètre sous le premier bosquet. Là, après avoir passé la barrière de ronces et d’orties, un abri de fortune est installé sous un acacia.
Le SDF fait alors une macabre découverte. Le cadavre d’un homme gît au milieu des vieux vêtements et des emballages vides de nourriture. Il semble qu’il soit décédé depuis longtemps. Les secours sont appelés, la police et les pompiers se rendent sur place. L’homme sans vie avait ses papiers d’identité sur lui. Il s’agit d’un Stéphanois âgé de 54 ans, résidant non loin de là, entre Saint-François et La Richelandière. Il vivait seul et n’avait plus de liens avec sa famille. Une enquête de police est ouverte et une autopsie aura lieu ce mardi.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/05/26/un-sdf-decouvre-un-cadavre-a-saint-etienne
Reims : Evacuation de la Fac de pharmacie suite à un incident chimique
Environ 500 étudiants ont été évacués ce lundi vers 12h des locaux de la faculté de pharmacie de Reims. Des produits ont été déversés et mélangés accidentellement. Ce qui a eu pour effet l’émanation de produits soufrés, donc très nauséabond.
Une grande partie d’entre eux étaient en examen de second semestre. Ces examens seront reportés mercredi ou vendredi pour environ 250 étudiants
http://champagne-ardenne.france3.fr/2014/05/26/reims-evacuation-de-la-fac-de-pharmacie-suite-un-incident-chimique-485139.html
Une grande partie d’entre eux étaient en examen de second semestre. Ces examens seront reportés mercredi ou vendredi pour environ 250 étudiants
http://champagne-ardenne.france3.fr/2014/05/26/reims-evacuation-de-la-fac-de-pharmacie-suite-un-incident-chimique-485139.html
Stups et vols: vaste coup de filet lundi matin à Nice
La police a opéré un vaste coup de filet ce lundi matin, à Nice-Est, en interpellant pas moins de 13 personnes dans deux affaires, l'une portant sur un trafic de stupéfiants, l'autre sur une série de cambriolages et vols divers.
Selon nos informations, les enquêteurs de la sûreté départementale, qui ont investi à cet effet le quartier des Liserons, ont saisi 120 kilos de résine de cannabis ainsi que plusieurs armes de guerre et de poing.
La brigade des stups et la brigade de répression des actions violentes (BRAV) sont respectivement en charge de ces deux enquêtes.
http://www.nicematin.com/nice/stups-et-vols-vaste-coup-de-filet-lundi-matin-a-nice.1755501.html
Selon nos informations, les enquêteurs de la sûreté départementale, qui ont investi à cet effet le quartier des Liserons, ont saisi 120 kilos de résine de cannabis ainsi que plusieurs armes de guerre et de poing.
La brigade des stups et la brigade de répression des actions violentes (BRAV) sont respectivement en charge de ces deux enquêtes.
http://www.nicematin.com/nice/stups-et-vols-vaste-coup-de-filet-lundi-matin-a-nice.1755501.html
Eauze. Il se tue au volant en percutant un arbre
Hier vers 15 heures, un Elusate de 89 ans a trouvé la mort dans la collision de sa voiture contre un arbre, sur la RD 606 entre Eauze et Lannepax, tout près de l'église de Saint-Amand.
Un Elusate de 89 ans est décédé hier après-midi vers 15 heures sur la route départementale 606, entre Eauze et Lannepax. Il s'agit de Feliciano Oreja dont la voiture a violemment percuté un arbre, à hauteur de l'église de Saint-Amand. Il circulait en direction de Lannepax. Le véhicule a été retrouvé à la verticale, couché côté portières.
Une dizaine de pompiers de la caserne d'Eauze étaient sur place, mais ils n'ont rien pu faire pour sauver Feliciano Oreja. Les gendarmes de Condom étaient également présents. Feliciano Oreja avait une épouse mais pas d'enfants. Il était un joueur aguerri de quilles au maillet. Michel Gabas, le maire d'Eauze, s'est dit «choqué de ce dramatique accident.» C'est le huitième décès sur les routes du Gers depuis le début de l'année.
Un Elusate de 89 ans est décédé hier après-midi vers 15 heures sur la route départementale 606, entre Eauze et Lannepax. Il s'agit de Feliciano Oreja dont la voiture a violemment percuté un arbre, à hauteur de l'église de Saint-Amand. Il circulait en direction de Lannepax. Le véhicule a été retrouvé à la verticale, couché côté portières.
Huitième décès sur la route
Selon les premiers éléments de l'enquête, le conducteur se trouvait dans la montée de la RD 606, en direction de Lannepax. Un témoin dit l'avoir vu conduire, accélérer subitement, puis zigzaguer, avant de sortir de la route seul. Il a percuté un poteau blanc en plastique avant d'entrer en violente collision avec un arbre. Compte tenu de l'absence de traces de freinage, les enquêteurs évoquent la possibilité que l'automobiliste ait été victime d'un malaise.Une dizaine de pompiers de la caserne d'Eauze étaient sur place, mais ils n'ont rien pu faire pour sauver Feliciano Oreja. Les gendarmes de Condom étaient également présents. Feliciano Oreja avait une épouse mais pas d'enfants. Il était un joueur aguerri de quilles au maillet. Michel Gabas, le maire d'Eauze, s'est dit «choqué de ce dramatique accident.» C'est le huitième décès sur les routes du Gers depuis le début de l'année.
«L'Amour est dans le pré»: Découvrez ce que sont devenus les agriculteurs et agricultrices de l'année dernière
«L'Amour est dans le pré. Que sont-ils devenus?», ce lundi soir à 20h50 sur M6. La productrice de l'émission raconte les coulisses à «20 Minutes»...
Y a-t-il meilleure émission que «L’amour est dans le pré»? Oui, peut-être, «L’amour est dans le pré. Que sont-ils devenus?» qui chaque année fait le point sur les aventures des participants et participantes de la saison passée. Lundi soir, ce sont Damien et Elodie, Gilles et Katia, Sophie, Mathieu et Sylvain de la saison 8, mais aussi Pierre et Frédérique ou Bruno et Annie de la saison 7 qui se racontent. Tous ne sont plus ensemble. Mais certains parmi les 85 agriculteurs de «L’amour est dans le pré» ont contribué aux 50 idylles, 13 mariages et 29 enfants nés du programme. Virginie Matéo, la productrice de l’émission, raconte les coulisses de ce rendez-vous rétrospectif annuel.
http://www.20minutes.fr/television/1384817-l-amour-est-dans-le-pre-decouvrez-ce-que-sont-devenus-les-agriculteurs-et-agricultrices-de-l-annee-derniere
Y a-t-il meilleure émission que «L’amour est dans le pré»? Oui, peut-être, «L’amour est dans le pré. Que sont-ils devenus?» qui chaque année fait le point sur les aventures des participants et participantes de la saison passée. Lundi soir, ce sont Damien et Elodie, Gilles et Katia, Sophie, Mathieu et Sylvain de la saison 8, mais aussi Pierre et Frédérique ou Bruno et Annie de la saison 7 qui se racontent. Tous ne sont plus ensemble. Mais certains parmi les 85 agriculteurs de «L’amour est dans le pré» ont contribué aux 50 idylles, 13 mariages et 29 enfants nés du programme. Virginie Matéo, la productrice de l’émission, raconte les coulisses de ce rendez-vous rétrospectif annuel.
Qui participe au «Que sont-ils devenus?»
Tout le monde ne revient pas en deuxième année à «L’amour est dans le pré». Mais Virginie Matéo assure que tous les participants sont contactés. Et selon, elle, il n’y a «pas de chouchou. Ou plutôt tout le monde a un chouchou différent, du coup on essaie de les avoir tous. Mais certains ne souhaitent pas revenir, et dans ce cas on n’insiste pas».Les prétendantes et prétendants deviennent les stars de l’émission
Ce lundi soir, les agriculteurs vont se raconter. Mais la parole sera aussi laissée à Annie, une prétendante de Bruno de la saison 7, ou Sylvain, amoureux malheureux de Sophie l’an dernier. «On s’est rendu compte avec Nina, une prétendante de Philippe dans la saison 7 que les prétendantes marquaient autant si ce n’est plus le public que les agriculteurs. Il y en a qui sont de vrais personnages. Sylvain l’année dernière avait touché beaucoup de monde, il est hypergentil, hyperattachant, et du coup il a reçu un nombre de lettres impressionnantes». Oui, car comme dans un spin-off, les lovers et loveuses malheureux peuvent à leur tour recevoir du courrier et vivre leur histoire.La vérité sur une histoire
Les moments attendus de «L’amour est dans le pré» sont les retours sur dossiers. Que s’est-il réellement passé? Quel est le point de vue des différents protagonistes? Les témoignages de Gilles et Katia à venir ce lundi soir sont, à ce titre, assez emblématiques de cette volonté de laisser parler tout le monde sur l’histoire d’un couple. Virgine Matéo précise que «les uns et les autres sont toujours avertis qu’on va aussi voir leur partenaire d’avant. On nous reproche d’être putassier là-dessus, mais c’est intéressant de voir quelles sont les vérités respectives d’un couple qui s’est séparé». Exercice réussi.Une publicité vivante pour l’émission
Bon, la vraie raison d’être du «Que sont-ils devenus?» est peut-être aussi d’assurer le service après vente de l’émission. Les témoignages vendent beaucoup de rêve. Frédérique explique que «si on m’avait dit il y a deux ans que ça se passerait comme ça, j’aurais dit, non, non ce n’est pas possible, on n’est pas à Hollywood». Nicolas raconte qu’il a «pris énormément de confiance grâce à l’émission». Et Gilles assure que la notoriété aidant, il a passé le plus été de sa vie, expliquant «avant j’étais invisible, là elles voulaient toutes m’arracher ma vertu». Un bonheur de voir tous ces agriculteurs remonter sur scène cette année encore donc.http://www.20minutes.fr/television/1384817-l-amour-est-dans-le-pre-decouvrez-ce-que-sont-devenus-les-agriculteurs-et-agricultrices-de-l-annee-derniere
dimanche 25 mai 2014
Béarn : un adolescent blessé dans une collision entre une voiture et un cyclomoteur
Un adolescent de 15 ans circulant en cyclomoteur sur la RD 110, entre Ledeuix et Lucq-de-Béarn, est entré en collision, samedi midi, avec une automobile arrivant en sens inverse, dans un virage. Le jeune homme de 15 ans, blessé aux jambes et à la tête (traumatisme crânien), a été évacué par les pompiers d'Oloron au centre hospitalier.
D'après les premières constatations effectuées par les gendarmes de Monein, il semble que le jeune cyclomotoriste se soit déporté sur la gauche de cette route étroite dans le virage, ce que devra confirmer l'audition d'un témoin présent sur les lieux
http://www.sudouest.fr/2014/05/25/-1565573-4583.php
D'après les premières constatations effectuées par les gendarmes de Monein, il semble que le jeune cyclomotoriste se soit déporté sur la gauche de cette route étroite dans le virage, ce que devra confirmer l'audition d'un témoin présent sur les lieux
http://www.sudouest.fr/2014/05/25/-1565573-4583.php
Un mineur condamné par défaut pour meurtre
La cour d’assises des mineurs a condamné, hier, Sofiane Reguig, 23 ans, à huit ans de prison pour le vol avec arme commis le 21 novembre 2009 à 2 h 25, sur la piste du drive du Mac Donald’s de La Valentine à Marseille.
L’accusé a en revanche été acquitté pour le meurtre du passager du véhicule dans lequel une sacoche d’argent avait été dérobée environ 20 000 destinés à l’acquisition de voitures en Allemagne.
La victime s’était spontanément précipitée à la poursuite des voleurs et avait été tuée d’un tir dans le ventre. Un mineur, jugé par défaut, a lui été condamné pour le meurtre précédé du vol à quatorze ans de réclusion.
Deux co-accusés comparaissant libre pour association de malfaiteurs écopent de peines mixtes avec un an de prison ferme chacun couvrant la détention provisoire effectuée.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2891580/un-mineur-condamne-par-defaut-pour-meurtre.html
L’accusé a en revanche été acquitté pour le meurtre du passager du véhicule dans lequel une sacoche d’argent avait été dérobée environ 20 000 destinés à l’acquisition de voitures en Allemagne.
La victime s’était spontanément précipitée à la poursuite des voleurs et avait été tuée d’un tir dans le ventre. Un mineur, jugé par défaut, a lui été condamné pour le meurtre précédé du vol à quatorze ans de réclusion.
Deux co-accusés comparaissant libre pour association de malfaiteurs écopent de peines mixtes avec un an de prison ferme chacun couvrant la détention provisoire effectuée.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2891580/un-mineur-condamne-par-defaut-pour-meurtre.html
Bours. Une blessée dans la sortie de route
Le véhicule d'une famille de quatre personnes, deux adultes et deux enfants, est sorti de la route, hier vers 23 heures, sur la RD 8, à Bours, entre Bazet et Tostat. La voiture roulait en direction de Tostat. Les pompiers ont dépavillonné la voiture afin de porter assistance aux occupants. La mère de famille a été la plus touchée et a été transportée au centre hospitalier de Tarbes ainsi que les autres occupants pour y passer des radios de contrôle
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/25/1888104-bours-une-blessee-dans-la-sortie-de-route.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/25/1888104-bours-une-blessee-dans-la-sortie-de-route.html
Loire. Un motard gravement blessé à Andrézieux-bouthéon
Samedi en début de soirée, un accident de la circulation mettant en cause un motard s’est produit à Andrézieux-Bouthéon.
La victime était gravement touchée puisque son état nécessitait son transport sur l’hôpital Nord. La brigade de gendarmerie et les pompiers qui sont intervenus sur les lieux tenteront de déterminer les causes de cet accident.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/05/25/un-motard-gravement-blesse
La victime était gravement touchée puisque son état nécessitait son transport sur l’hôpital Nord. La brigade de gendarmerie et les pompiers qui sont intervenus sur les lieux tenteront de déterminer les causes de cet accident.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/05/25/un-motard-gravement-blesse
samedi 24 mai 2014
Violente bagarre à Montauban : un homme roué de coups par l'ex de sa compagne
C'est une bien triste affaire aux conséquences extrêmement graves qui a eu pour cadre un appartement du quartier Saint-Jean-de-Villenouvelle dans la nuit de mercredi à jeudi. Vers 3h30 du matin les pompiers sont appelés pour transporter à l'hôpital un homme de 55 ans qui gît inanimé sur le sol de cet appartement. Ce quinquagénaire a reçu de violents coups à la tête qui l'ont plongé dans le coma. En raison de la gravité des blessures et des conséquences neurologiques à venir les services médicaux de garde aux urgences de nuit de l'hôpital tout proche des lieux du drame optent pour un transfert vers le CHU de Toulouse-Purpan. Où quarante-huit heures plus tard on estime toujours son pronostic vital engagé. Les OPJ de nuit du commissariat débutent l'enquête relayés ensuite par l'équipe d'atteinte aux personnes de la BSU.Sur place en même temps que les secours s'occupaient de la victime, les policiers trouvaient (fortement alcoolisés) une femme et un homme âgé de 45 ans et ancien compagnon de la femme encore plus jeune. Ce dernier défavorablement connu des services de police et de justice et déjà condamné pour violences sur la même personne était placé en garde à vue. Les enquêteurs dénouaient progressivement les fils de ce drame sur fond d'alcool et de jalousie. La jeune femme vivait une aventure avec le quinquagénaire mais avait obligation de venir sur Montauban pour régler toute une série de problèmes. Son ex-bon prince lui proposait de l'héberger. Elle débarquait avec son nouveau compagnon. Et ces retrouvailles s'arrosaient. Tant et si bien que l'alcool devenant de plus en plus oppressant le propriétaire des lieux entrait dans une rage folle et frappait son «rival». Il le faisait tomber à terre et s'acharnait sur lui à coups de pied dans la tête… Une fois dégrisé, il ne niait pas les faits et au terme de sa garde à vue, il était déféré hier après-midi devant le parquet. On retenait à son encontre la tentative d'homicide volontaire et la récidive s'appliquait à ces faits car il avait déjà cogné lourdement son rival quelques semaines plus tôt. Fort de cela il était écroué en début de soirée.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/24/1887603-violente-bagarre-montauban-homme-roue-coups-ex-compagne.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/24/1887603-violente-bagarre-montauban-homme-roue-coups-ex-compagne.html
vendredi 23 mai 2014
Bruch (47) : ivre, il prend la fuite après un accident sur l'A62
Jeudi à 19 h 30, un accrochage a lieu entre deux voitures sur l'A 62, dans le sens Toulouse-Bordeaux, à hauteur de la commune de Bruch.
Le conducteur d'un des deux véhicules prend alors la fuite et sera interpellé un peu plus loin par les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière.
Après contrôle, l'homme de 27 ans, originaire des Deux-Sèvres, affichait u n taux important d'alcool, soit de 3,12 grammes par litre de sang.
Il a immédiatement été placé en garde à vue.
http://www.sudouest.fr/2014/05/23/bruch-47-ivre-il-prend-la-fuite-apres-un-accident-sur-l-a62-1564197-3603.php
Le conducteur d'un des deux véhicules prend alors la fuite et sera interpellé un peu plus loin par les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière.
Après contrôle, l'homme de 27 ans, originaire des Deux-Sèvres, affichait u n taux important d'alcool, soit de 3,12 grammes par litre de sang.
Il a immédiatement été placé en garde à vue.
http://www.sudouest.fr/2014/05/23/bruch-47-ivre-il-prend-la-fuite-apres-un-accident-sur-l-a62-1564197-3603.php
SHOPPING Fête des Mères
Dimanche c'est la fête des mères.
Elle sera célébrée partout en Europe. Si en France on est 60% à offrir un cadeau à sa maman, à ton avis quel pays arrive en tête des plus généreux ?
Hé bien ce sont les Belges, 70% d'entre eux offriront un cadeau
Nous en France, on aime s'y prendre deux à trois semaines à l'avance pour être sûr de trouver LA bonne idée.
Maintenant parlons budget ! Alors, combien on dépense en moyenne, Chris? 52€. Le cadeau qui revient le plus c'est les fleurs, ensuite le chocolat et pour terminer les vêtements. Bon ça c'est pour les basiques. Mais dans le Grand Morning RTL2 les basiques on connait pas. On préfère l'originalité.
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Prix : 39€ sur Madamepopandkids.fr
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Nous en France, on aime s'y prendre deux à trois semaines à l'avance pour être sûr de trouver LA bonne idée.
Maintenant parlons budget ! Alors, combien on dépense en moyenne, Chris? 52€. Le cadeau qui revient le plus c'est les fleurs, ensuite le chocolat et pour terminer les vêtements. Bon ça c'est pour les basiques. Mais dans le Grand Morning RTL2 les basiques on connait pas. On préfère l'originalité.
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Voiture contre camion, un blessé grave
Un automobiliste, qui circulait dans le sens Colmar-Strasbourg, a percuté hier soir vers 22 h 10 un poids lourd d’origine ukrainienne, stationné sur la bande d’arrêt d’urgence de la RD 1083, à Erstein, au niveau de la station-service. Dès leur arrivée sur les lieux de l’accident, les sapeurs pompiers d’Erstein, aidés des agents du conseil général ont mis en place une déviation. Les hommes du feu de Benfled sont venus renforcer le dispositif, portant à 13 le nombre total de secouristes. Ces derniers ont procédé à la désincarcération du conducteur de la voiture, un jeune homme de 30 ans, originaire de Sand. Grièvement blessé, il a été transporté au centre hospitalier d’Hautepierre. Les gendarmes de la brigade d’Erstein, également sur place, ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de l’accident. À noter que le stationnement sur une bande d’arrêt d’urgence constitue une infraction, d’autant qu’un parking destiné au poids lourd est situé juste derrière la station-service. Les forces de l’ordre devront déterminer si le chauffeur du camion a été victime d’une panne ou non. La déviation a été levée peu après minuit.
http://www.dna.fr/actualite/2014/05/23/voiture-contre-camion-un-blesse-grave
http://www.dna.fr/actualite/2014/05/23/voiture-contre-camion-un-blesse-grave
Blagnac. Blessées par la chute des panneaux électoraux, elles déposent plainte
Mercredi matin, deux Blagnacaises, Djamila Zebbour et Angélique Garcia, ont eu très peur. En revenant de conduire leurs filles à l'école primaire René-Cassin, proche de la patinoire, plusieurs panneaux électoraux, soufflés par le vent d'Autan, leur sont tombés dessus. «J'ai été assommée, j'étais ensevelie, Angélique m'a sauvée en retenant plusieurs panneaux» raconte Djamila. Alertées par le fracas, d'autres parents et le personnel de l'école les ont secourues. Hospitalisées à Purpan, les deux amies n'en sont sorties que dans la soirée. Avec moult traumatismes dans le dos, aux côtes, au bras, aux cervicales, et une entorse à la cheville chacune. Ces mamans au foyer ont huit jours d'ITT (Incapacité temporaire de travail) en attendant l'examen de médecine légale, à Rangueil aujourd'hui. Minerve au cou, attelles au bras ou à la cheville, boîtant très bas, elles ont déposé plainte au commissariat. «Certains panneaux n'étaient attachés au grillage du stade que par de simples bracelets en plastique, qui se sont arrachés ou détachés avec le vent. On veut savoir ce qui s'est passé, on ne veut pas que cela se reproduise. Et si un enfant était passé à ce moment-là?» résume Djamila, qui n'a pas dormi de la nuit : «On a mal partout. Nos filles ont fait des cauchemars. Des copines leur ont dit que leurs mamans étaient mortes! On aurait apprécié que la mairie nous propose son aide».
Hier, la ville de Blagnac a pris conscience de la gravité de l'incident. «Les pompiers nous avaient parlé de blessures superficielles» assure Joseph Carles, le premier adjoint, qui a lancé une enquête interne sur la pose de ces panneaux : «Nous avons respecté la loi, mais avec 25 candidats, nous avions trois fois plus de panneaux que d'habitude, 150 en tout. Il n'y a aucun souci pour ceux qui sont implantés dans le sol, dans des gorges spécifiques, les autres étaient liés ensemble, mais on ne pouvait prévoir un tel vent». Hier soir, l'adjoint du quartier, Mohammed Maafri, devait aller voir les deux mamans pour les réconforter et leur proposer un accompagnement social, le temps qu'elles se remettent d'aplomb.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/23/1886854-blagnac-blessees-chute-panneaux-electoraux-elles-deposent-plainte.html
Hier, la ville de Blagnac a pris conscience de la gravité de l'incident. «Les pompiers nous avaient parlé de blessures superficielles» assure Joseph Carles, le premier adjoint, qui a lancé une enquête interne sur la pose de ces panneaux : «Nous avons respecté la loi, mais avec 25 candidats, nous avions trois fois plus de panneaux que d'habitude, 150 en tout. Il n'y a aucun souci pour ceux qui sont implantés dans le sol, dans des gorges spécifiques, les autres étaient liés ensemble, mais on ne pouvait prévoir un tel vent». Hier soir, l'adjoint du quartier, Mohammed Maafri, devait aller voir les deux mamans pour les réconforter et leur proposer un accompagnement social, le temps qu'elles se remettent d'aplomb.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/23/1886854-blagnac-blessees-chute-panneaux-electoraux-elles-deposent-plainte.html
Rodez : le "bad trip" d'une mère dans un appartement insalubre
Des enfants "oubliés" à l'école, les services de secours qui découvrent la mère endormie dans un appartement insalubre, visiblement alcoolisée ou droguée et à ses pieds, un chien et un chevreuil...
Selon nos confrères de Centre Presse, l’alerte a été donnée par les responsables d’une école de la ville. Des enfants avaient été "oubliés" par leur mère à la pause déjeuner de ce jeudi. Alertés, les secours ont retrouvé la mère des enfants à son domicile, dans un état laissant penser que la dame avait consommé une forte dose d'alcool et/ou des médicaments.
Elle aurait été retrouvée en compagnie d'un chien, d'un chevreuil et en présence de deux enfants en bas âge. "Bad trip" pour cette mère, les enfants ont immédiatement fait l'objet d'un placement provisoire.
http://www.midilibre.fr/2014/05/22/rodez-le-bad-trip-d-une-mere-dans-un-appartement-insalubre,864463.php
Selon nos confrères de Centre Presse, l’alerte a été donnée par les responsables d’une école de la ville. Des enfants avaient été "oubliés" par leur mère à la pause déjeuner de ce jeudi. Alertés, les secours ont retrouvé la mère des enfants à son domicile, dans un état laissant penser que la dame avait consommé une forte dose d'alcool et/ou des médicaments.
Elle aurait été retrouvée en compagnie d'un chien, d'un chevreuil et en présence de deux enfants en bas âge. "Bad trip" pour cette mère, les enfants ont immédiatement fait l'objet d'un placement provisoire.
http://www.midilibre.fr/2014/05/22/rodez-le-bad-trip-d-une-mere-dans-un-appartement-insalubre,864463.php
jeudi 22 mai 2014
Il faisait sauter des contraventions : prison ferme pour un policier
La peine. Un ancien policier de 47 ans qui faisait sauter des contraventions a été condamné jeudi à un an de prison, dont trois mois ferme, pour corruption, et à une interdiction définitive d'exercer par le tribunal correctionnel de Paris. La partie ferme de sa peine est couverte par les trois mois de détention provisoire qu'il a déjà effectués pendant l'instruction.
Quatre autres prévenus condamnés. L'ancien fonctionnaire, qui travaillait au service de traitement des contraventions de la préfecture de police de Paris, ne fera pas appel. "Je veux oublier cette histoire", a-t-il déclaré à l'AFP. Il "accepte sa condamnation", a "décidé de mettre cette histoire derrière lui et d'aller de l'avant" et n'avait de toute façon "pas l'intention de retourner dans la police", a souligné son avocat, Me Alexandre-M. Braun. Quatre autres prévenus, un policier et trois "corrupteurs" ont été condamnés à quatre mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende. Et quatre autres policiers, poursuivis pour complicité, ont été relaxés.
Des "annulations techniques". L'affaire avait éclaté après que le gérant d'une société spécialisée dans le contentieux lié aux annulations de points eut affirmé que le policier lui avait proposé ses services, et notamment 100 euros par point de permis dont l'annulation a pu être évitée. Un "tarif théorique", mais "jamais appliqué", selon Me Braun. Les policiers procédaient à des "annulations techniques" en rajoutant par exemple une mention erronée ou en recourant aux "indulgences
Landes : un enfant de 3 ans percuté par une voiture
Mercredi soir, vers 18 heures, une voiture qui venait de démarrer dans le bourg de Sorde-l'Abbaye, a percuté un enfant âgé de 3 ans et demi, rue Darre-Lavielle. Le petit garçon traversait la route pour rejoindre son père. L'automobiliste n'a pu éviter la collision survenue au niveau du pare-choc.
Souffrant d'un traumatisme crânien et domicilié à Peyrehorade, la jeune victime a été héliportée vers le centre hospitalier de Bordeaux. Son pronostic vital n'était hier soir pas engagé. Agé de 47 ans et résidant à Sorde, le conducteur n'était pas sous l'emprise de l'alcool et ne roulait a priori pas à une allure excessive.
http://www.sudouest.fr/2014/05/22/sorde-l-abbaye-un-enfant-de-3-ans-percute-par-une-voiture-1563034-3560.php
Souffrant d'un traumatisme crânien et domicilié à Peyrehorade, la jeune victime a été héliportée vers le centre hospitalier de Bordeaux. Son pronostic vital n'était hier soir pas engagé. Agé de 47 ans et résidant à Sorde, le conducteur n'était pas sous l'emprise de l'alcool et ne roulait a priori pas à une allure excessive.
http://www.sudouest.fr/2014/05/22/sorde-l-abbaye-un-enfant-de-3-ans-percute-par-une-voiture-1563034-3560.php
Que devient le Dr Krombach ?
Le docteur Dieter Krombach a très longtemps échappé à la justice, en France ou en Allemagne. Actuellement, il est incarcéré à la prison de la Santé, à Paris. A Fresnes, en décembre 2012, il a déclaré avoir été victime de violence de la part d'un de ses codétenus, Marc Machin, connu pour d'autres affaires… dont une erreur judiciaire.
Mais son recours devant la cour de cassation a été rejeté le 2 avril dernier. L'avocate de Dieter Krombach à la Cour de cassation, Me Claire Waquet, avait notamment invoqué devant la chambre criminelle le principe selon lequel un individu ne peut-être jugé deux fois pour la même affaire. Sans succè. Sa condamnation à 15 ans de prison prononcée en appel devant la cour d'assises du Val-de-Marne est désormais définitive : le médecin, par le biais des remises de peine, ne peut espérer sortir avant 2017 ou 2018 : il est âgé aujourd'hui de 79 ans.
Procédurier, Krombach sait l'être. Et la justice l'a laissé filer assez longtemps. En 1982, il avait affirmé avoir réalisé des injections sur Kalinka pour «favoriser le bronzage». Le médecin légiste avait qualifié ces injections «d'étranges et grotesques». Mais aucune analyse sérieuse n'a été réalisée sur les organes génitaux où il y avait pourtant des traces suspectes. Le parquet allemand a classé l'affaire.
Mais lorsque l'enquête est relancée en France quelques années plus tard, on va découvrir que ces organes génitaux ont été totalement retirés ! Par qui ? Pourquoi ?
En 1995, Krombach est condamné en France… mais pas extradé ! Pas de mandat d'arrêt international… En 1997, pour un viol sous anesthésie d'une jeune patiente de 16 ans, Krombach est condamné… avec du sursis ! Il écope ensuite de deux ans de prison pour escroquerie, mais, arrêté en 2000 en Autriche, il est relâché un mois plus tard, sans que la procédure d'extradition soit déclenchée !
Anecdote surprenante : la France a été condamnée par la Cour européenne des Droits de l'Homme. Le Dr Krombach a reproché à la France de le condamner par contumace pour des faits relevant d'un non-lieu en Allemagne !
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=25982&WS=291720_2501986&WA=5010
Mais son recours devant la cour de cassation a été rejeté le 2 avril dernier. L'avocate de Dieter Krombach à la Cour de cassation, Me Claire Waquet, avait notamment invoqué devant la chambre criminelle le principe selon lequel un individu ne peut-être jugé deux fois pour la même affaire. Sans succè. Sa condamnation à 15 ans de prison prononcée en appel devant la cour d'assises du Val-de-Marne est désormais définitive : le médecin, par le biais des remises de peine, ne peut espérer sortir avant 2017 ou 2018 : il est âgé aujourd'hui de 79 ans.
Procédurier, Krombach sait l'être. Et la justice l'a laissé filer assez longtemps. En 1982, il avait affirmé avoir réalisé des injections sur Kalinka pour «favoriser le bronzage». Le médecin légiste avait qualifié ces injections «d'étranges et grotesques». Mais aucune analyse sérieuse n'a été réalisée sur les organes génitaux où il y avait pourtant des traces suspectes. Le parquet allemand a classé l'affaire.
Mais lorsque l'enquête est relancée en France quelques années plus tard, on va découvrir que ces organes génitaux ont été totalement retirés ! Par qui ? Pourquoi ?
En 1995, Krombach est condamné en France… mais pas extradé ! Pas de mandat d'arrêt international… En 1997, pour un viol sous anesthésie d'une jeune patiente de 16 ans, Krombach est condamné… avec du sursis ! Il écope ensuite de deux ans de prison pour escroquerie, mais, arrêté en 2000 en Autriche, il est relâché un mois plus tard, sans que la procédure d'extradition soit déclenchée !
Anecdote surprenante : la France a été condamnée par la Cour européenne des Droits de l'Homme. Le Dr Krombach a reproché à la France de le condamner par contumace pour des faits relevant d'un non-lieu en Allemagne !
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=25982&WS=291720_2501986&WA=5010
Lyon : un piéton renversé par le tramway
Une femme a été blessée mercredi après-midi alors qu’elle traversait les voies du tramway sans voir qu’une rame arrivait.
L’accident s’est produit à 14 heures sur la ligne T3 reliant la gare de la Part-Dieu à Meyzieu ZI après l’arrêt Reconnaissance Balzac. Touchée à la tête, la victime a été transportée à l’hôpital Edouard-Herriot.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/21/lyon-un-pieton-renverse-par-le-tramway
L’accident s’est produit à 14 heures sur la ligne T3 reliant la gare de la Part-Dieu à Meyzieu ZI après l’arrêt Reconnaissance Balzac. Touchée à la tête, la victime a été transportée à l’hôpital Edouard-Herriot.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/05/21/lyon-un-pieton-renverse-par-le-tramway
mercredi 21 mai 2014
Arcachon : interpellé en sortant de la maison qu'il venait de cambrioler
C'est un passant qui a alerté le commissariat, lundi à midi. En plein coeur d'Arcachon, il a été étonné de voir un homme pénétrer dans une maison, par une porte-fenêtre au premier étage.
Le groupe de sécurité et de proximité (GSP) du commissariat d'Arcachon s'est aussitôt rendu sur les lieux et a arrêté l'homme à sa sortie de la maison, un gros sac à la main, rempli d'objets qu'il venait de dérober, comme un ordinateur, une console de jeux ou encore des bibelots.
Lors de la fouille, les policiers ont aussi trouvé des chéquiers et autres objets provenant d'un cambriolage commis la veille, toujours à Arcachon, alors que les occupants de la maison étaient sortis pour profiter du beau temps. Ainsi que des objets de valeur, comme un appareil photos, dérobés dans une voiture dont il avait forcé l'ouverture.
Cet homme de 36 ans, originaire du Nord de la France, récemment sorti de prison et arrivé à Arcachon il y a une semaine, est déféré ce mercredi matin au parquet de Bordeaux et devrait être jugé en comparution immédiate, au tribunal correctionnel, dans l'après-midi.
http://www.sudouest.fr/2014/05/21/arcachon-interpelle-en-sortant-de-la-maison-qu-il-venait-de-cambrioler-1561802-2733.php
Le groupe de sécurité et de proximité (GSP) du commissariat d'Arcachon s'est aussitôt rendu sur les lieux et a arrêté l'homme à sa sortie de la maison, un gros sac à la main, rempli d'objets qu'il venait de dérober, comme un ordinateur, une console de jeux ou encore des bibelots.
Lors de la fouille, les policiers ont aussi trouvé des chéquiers et autres objets provenant d'un cambriolage commis la veille, toujours à Arcachon, alors que les occupants de la maison étaient sortis pour profiter du beau temps. Ainsi que des objets de valeur, comme un appareil photos, dérobés dans une voiture dont il avait forcé l'ouverture.
Cet homme de 36 ans, originaire du Nord de la France, récemment sorti de prison et arrivé à Arcachon il y a une semaine, est déféré ce mercredi matin au parquet de Bordeaux et devrait être jugé en comparution immédiate, au tribunal correctionnel, dans l'après-midi.
http://www.sudouest.fr/2014/05/21/arcachon-interpelle-en-sortant-de-la-maison-qu-il-venait-de-cambrioler-1561802-2733.php
Le cadavre d'une sans abri dans une voiture
Un retraité a découvert hier matin le cadavre d'une femme sans abri allongé sur la banquette arrière de sa voiture, à Franconville (Val-d'Oise), a-t-on appris ce matin de sources concordantes, confirmant une information du Parisien.
L'homme a fait cette macabre découverte peu après 6h, dans une allée située près de son pavillon où il avait l'habitude de garer sa voiture, un vieux monospace Renault qu'il n'utilisait que rarement, a indiqué une source policière. «En passant près du véhicule, il a vu que le coffre semblait ouvert. Il s'est approché et a découvert à l'intérieur le corps recroquevillé d'une femme âgée d'une quarantaine d'années», a raconté cette source.
L'enquête a permis de faire le rapprochement avec une femme sans domicile fixe, aperçue quelque jours plus tôt par un voisin, allongée sur un banc situé dans le quartier, a-t-on précisé. La date et les circonstances exactes du décès ne sont pas encore connus, a-t-on précisé. Selon les pompiers, la victime était en «état de rigidité cadavérique» lorsqu'elle a été découverte. Une autopsie a été ordonnée par le parquet de Pontoise.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/21/97001-20140521FILWWW00095-le-cadavre-d-une-sans-abri-dans-une-voiture.php
L'homme a fait cette macabre découverte peu après 6h, dans une allée située près de son pavillon où il avait l'habitude de garer sa voiture, un vieux monospace Renault qu'il n'utilisait que rarement, a indiqué une source policière. «En passant près du véhicule, il a vu que le coffre semblait ouvert. Il s'est approché et a découvert à l'intérieur le corps recroquevillé d'une femme âgée d'une quarantaine d'années», a raconté cette source.
L'enquête a permis de faire le rapprochement avec une femme sans domicile fixe, aperçue quelque jours plus tôt par un voisin, allongée sur un banc situé dans le quartier, a-t-on précisé. La date et les circonstances exactes du décès ne sont pas encore connus, a-t-on précisé. Selon les pompiers, la victime était en «état de rigidité cadavérique» lorsqu'elle a été découverte. Une autopsie a été ordonnée par le parquet de Pontoise.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/21/97001-20140521FILWWW00095-le-cadavre-d-une-sans-abri-dans-une-voiture.php
Cavanac. Deux enfants blessés à l'école à cause des violentes rafales de vent
Hier, peu avant que les enfants retournent en classe, une grosse branche d'acacia s'est décrochée au beau milieu de la cour de l'école de Cavanac. Deux enfants qui se trouvaient à proximité ont été blessés.
Terrible vent Marin. Les fortes rafales qui ont balayé le département hier et continueront encore aujourd'hui à sévir ont fait deux blessés, hier en tout début d'après-midi dans la cour de l'école de Cavanac.
Les enfants étaient encore en récréation lorsqu'une rafale particulièrement violente a arraché une grosse branche de l'acacia qui trône au milieu de la cour, tout près du terrain de sport et aux abords des salles de classe.
Un enfant de six ans, souffrant de lésions diverses et cutanées a été soigné sur place par les sapeurs pompiers tandis que l'un de ses petits camarades, âgé de cinq ans, a été transporté au centre hospitalier. Le petit, en effet, présentait une lésion importante au niveau du front et a reçu sept points de suture aux urgences.
Selon nos sources, si son transfert fut un temps envisagé vers l'hôpital Purpan de Toulouse, l'équipe médicale y aurait renoncé faute de lésions de nature particulièrement inquiétantes. Selon nos sources, il devrait toutefois rester hospitalisé encore aujourd'hui en observation.
Le maire de la commune, Michel Maury, n'a pas souhaité faire de déclarations hier soir. Toutefois, nous l'avons dérangé au cours d'une réunion importante en mairie et il nous a confié son désarroi et le fait qu'il pensait fortement aux deux enfants blessés.
Le premier magistrat de la commune a ajouté que «tout récemment, des arbres ont été taillés, voire coupés dans le village». «Celui-là, n'avait pas été traité, ni considéré comme dangereux», a-t-il continué. Effectivement, devant l'école, un tronc témoigne de travaux récents. En outre, les effets du vent Marin sont souvent inattendus. Le fait est que déjà, sur le coup de l'émotion, des parents d'élèves de l'école du village dénoncent une éventuelle négligence. Où un manque d'entretien.
À Cuxac-Cabardès, juste en face de l'école, le pire a été évité hier matin quand un grand peuplier n'a pas résisté à des rafales approchant les 100 km/h et s'est abattu juste en face de l'école sans, heureusement, n'atteindre quiconque.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/21/1884843-deux-enfants-blesses-a-l-ecole.html
Terrible vent Marin. Les fortes rafales qui ont balayé le département hier et continueront encore aujourd'hui à sévir ont fait deux blessés, hier en tout début d'après-midi dans la cour de l'école de Cavanac.
Les enfants étaient encore en récréation lorsqu'une rafale particulièrement violente a arraché une grosse branche de l'acacia qui trône au milieu de la cour, tout près du terrain de sport et aux abords des salles de classe.
Un enfant de six ans, souffrant de lésions diverses et cutanées a été soigné sur place par les sapeurs pompiers tandis que l'un de ses petits camarades, âgé de cinq ans, a été transporté au centre hospitalier. Le petit, en effet, présentait une lésion importante au niveau du front et a reçu sept points de suture aux urgences.
Selon nos sources, si son transfert fut un temps envisagé vers l'hôpital Purpan de Toulouse, l'équipe médicale y aurait renoncé faute de lésions de nature particulièrement inquiétantes. Selon nos sources, il devrait toutefois rester hospitalisé encore aujourd'hui en observation.
Le maire de la commune, Michel Maury, n'a pas souhaité faire de déclarations hier soir. Toutefois, nous l'avons dérangé au cours d'une réunion importante en mairie et il nous a confié son désarroi et le fait qu'il pensait fortement aux deux enfants blessés.
Le premier magistrat de la commune a ajouté que «tout récemment, des arbres ont été taillés, voire coupés dans le village». «Celui-là, n'avait pas été traité, ni considéré comme dangereux», a-t-il continué. Effectivement, devant l'école, un tronc témoigne de travaux récents. En outre, les effets du vent Marin sont souvent inattendus. Le fait est que déjà, sur le coup de l'émotion, des parents d'élèves de l'école du village dénoncent une éventuelle négligence. Où un manque d'entretien.
À Cuxac-Cabardès, juste en face de l'école, le pire a été évité hier matin quand un grand peuplier n'a pas résisté à des rafales approchant les 100 km/h et s'est abattu juste en face de l'école sans, heureusement, n'atteindre quiconque.
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Justice : une Audoise fait condamner Air France
La cour d’appel de Paris a confirmé mardi 20 mai le jugement du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis), en date du 4 avril 2013, qui avait condamné Air France pour discrimination, après la plainte d’une jeune Carcassonnaise.
Élève infirmière au moment des faits, Horia Ankour, qui devait se rendre en Israël pour participer à une opération humanitaire "Bienvenue en Palestine", organisée par des militants pro-palestiniens, avait été débarquée d’un vol à destination de Tel-Aviv, le 15 avril 2012, au motif qu’elle n’était ni israélienne, ni juive.
Condamnée en première instance, Air France avait fait appel
Humiliée, mais munie d’une attestation d’Air France qui reconnaît l’avoir débarquée, la passagère assigne la compagnie aérienne sur citation directe. Une procédure qui permet à la victime présumée de saisir directement un tribunal. Condamnée en première instance, après les sévères réquisitions du procureur Abdelkrim Grini, la compagnie nationale décide toutefois de faire appel.
L’affaire semble prendre un nouveau tournant
Examinée dix mois après par la cour d’appel de Paris, l’affaire semble prendre un nouveau tournant avec le réquisitoire de l’avocat général Denys Millet, qui lui demande la relaxe. Car pour lui, et "même si la question de l’appartenance à la religion juive est délicate en France", "on ne peut dans le contexte actuel, reprocher à Air France de répondre aux attentes des autorités israéliennes qui interdisent, notamment aux militants pro palestiniens, l’entrée de leur territoire".
Faire exécuter l’arrêt "qui n’est pas suspensif"
Des arguments jugés irrecevables mardi pour la cour d’appel de Paris, à "la grande satisfaction" de Me Albert, Goldberg, l’un des avocats d’Horia Ankour. "D’autant qu’on n’a pas été épargné par le ministère public", ajoutait le conseil bien décidé à faire exécuter l’arrêt "qui n’est pas suspensif".
Mardi, la compagnie se réservait le droit de se pourvoir en cassation.
http://www.midilibre.fr/2014/05/20/une-audoise-fait-condamner-air-france,863504.php
Élève infirmière au moment des faits, Horia Ankour, qui devait se rendre en Israël pour participer à une opération humanitaire "Bienvenue en Palestine", organisée par des militants pro-palestiniens, avait été débarquée d’un vol à destination de Tel-Aviv, le 15 avril 2012, au motif qu’elle n’était ni israélienne, ni juive.
Condamnée en première instance, Air France avait fait appel
Humiliée, mais munie d’une attestation d’Air France qui reconnaît l’avoir débarquée, la passagère assigne la compagnie aérienne sur citation directe. Une procédure qui permet à la victime présumée de saisir directement un tribunal. Condamnée en première instance, après les sévères réquisitions du procureur Abdelkrim Grini, la compagnie nationale décide toutefois de faire appel.
L’affaire semble prendre un nouveau tournant
Examinée dix mois après par la cour d’appel de Paris, l’affaire semble prendre un nouveau tournant avec le réquisitoire de l’avocat général Denys Millet, qui lui demande la relaxe. Car pour lui, et "même si la question de l’appartenance à la religion juive est délicate en France", "on ne peut dans le contexte actuel, reprocher à Air France de répondre aux attentes des autorités israéliennes qui interdisent, notamment aux militants pro palestiniens, l’entrée de leur territoire".
Faire exécuter l’arrêt "qui n’est pas suspensif"
Des arguments jugés irrecevables mardi pour la cour d’appel de Paris, à "la grande satisfaction" de Me Albert, Goldberg, l’un des avocats d’Horia Ankour. "D’autant qu’on n’a pas été épargné par le ministère public", ajoutait le conseil bien décidé à faire exécuter l’arrêt "qui n’est pas suspensif".
Mardi, la compagnie se réservait le droit de se pourvoir en cassation.
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mardi 20 mai 2014
Marmande : jet de pierres sur un TGV lundi soir
Lancé depuis la Gravette, le projectile a provoqué un retard dans le trafic. La SNCF entend déposer une plainte
La SNCF entend déposer une plainte après le jet d'un caillou dont a été la cible un TGV qui passait devant la cité de la Gravette lundi, vers 20 heures, à Marmande.
Le projectile a cassé une vitre du train à destination Toulouse, où il s'est arrêté. La SNCF a ensuite décidé de couper le trafic le temps de sécuriser la voie. Ce qui a provoqué du retard sur un TER, un Teoz et deux trains de marchandises.
La circulation a repris normalement dès 21 heures lundi soir.
http://www.sudouest.fr/2014/05/20/marmande-47-jet-de-pierres-sur-un-tgv-lundi-soir-1560596-3603.php
La SNCF entend déposer une plainte après le jet d'un caillou dont a été la cible un TGV qui passait devant la cité de la Gravette lundi, vers 20 heures, à Marmande.
Le projectile a cassé une vitre du train à destination Toulouse, où il s'est arrêté. La SNCF a ensuite décidé de couper le trafic le temps de sécuriser la voie. Ce qui a provoqué du retard sur un TER, un Teoz et deux trains de marchandises.
La circulation a repris normalement dès 21 heures lundi soir.
http://www.sudouest.fr/2014/05/20/marmande-47-jet-de-pierres-sur-un-tgv-lundi-soir-1560596-3603.php
Hier à 12h30, un poids-lourd circulant entre Figeac et Capdenac-Gare a fait un saut de plus d'une centaine de mètres dans le ravin. Arrêté au bord du Lot, le tracteur qui remorquait un conteneur de tabac en vrac a pris feu. Le chauffeur âgé de 49 ans, originaire de Dordogne, est décédé. Un impressionnant dispositif a été mis en place pour éviter tout risque d'incendie et de pollution.
Hier à 12h30, un poids-lourd circulant entre Figeac et Capdenac-Gare a fait un saut de plus d'une centaine de mètres dans le ravin. Arrêté au bord du Lot, le tracteur qui remorquait un conteneur de tabac en vrac a pris feu. Le chauffeur âgé de 49 ans, originaire de Dordogne, est décédé. Un impressionnant dispositif a été mis en place pour éviter tout risque d'incendie et de pollution.
Il n'était pas tout à fait 12 h 30 hier quand les riverains de la route de Capdenac, aux abords du lieu-dit les Plantades, ont entendu un bruit assourdissant puis plusieurs explosions. Une épaisse fumée noire s'est ensuite élevée des berges du Lot. L'accident s'est produit juste après un virage assez serré. Pour une raison encore inconnue, un poids-lourd a quitté la chaussée et a fait une chute vertigineuse d'une centaine de mètres. Il a dévalé la falaise et fini sa course en s'écrasant juste avant la rivière. Le tracteur qui remorquait un porte-conteneur maritime chargé de tabac a pris feu. Sur cette zone escarpée, difficile d'accès, un impressionnant dispositif a été rapidement déployé par les sapeurs-pompiers lotois et aveyronnais. A leur arrivée, le tracteur était complètement embrasé et le malheureux chauffeur décédé. Agêe de 49 ans, la victime avait pris son chargement à Sarlat et se dirigeait vers Marseille. «Après avoir pris connaissance de l'état de la victime, notre seconde priorité a été d'éteindre le feu du tracteur au moyen d'une lance à mousse pour protéger le bois environnant» indiquait la capitaine des pompiers de Figeac, Céline Duval. Puis il a fallu s'assurer qu'aucune autre victime n'était impliquée. De la route, l'équipe du GRIMP 12 est descendue en rappel pour identifier la plaque d'immatriculation. Des plongeurs sont également intervenus pour faire des relevés dans le Lot afin d'écarter tout risque de pollution. En tout 65 sapeurs-pompiers ont été mobilisés et 24 engins engagés dans cette opération dirigée par le commandant Delmas et qui s'est déroulée sous les yeux de la sous-préfète de Figeac, Véronique Laurent-Albesa et des élus de Capdenac-le-Haut. La gendarmerie était également fortement mobilisée. En plus des gendarmes figeacois, les militaires de la brigade de recherche et les techniciens en identification criminelle de Cahors ont été dépêchés sur place afin de procéder aux premières investigations et déterminer les causes exactes de ce dramatique accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/20/1884260-le-chauffeur-meurt-brule-dans-l-accident.html
Il n'était pas tout à fait 12 h 30 hier quand les riverains de la route de Capdenac, aux abords du lieu-dit les Plantades, ont entendu un bruit assourdissant puis plusieurs explosions. Une épaisse fumée noire s'est ensuite élevée des berges du Lot. L'accident s'est produit juste après un virage assez serré. Pour une raison encore inconnue, un poids-lourd a quitté la chaussée et a fait une chute vertigineuse d'une centaine de mètres. Il a dévalé la falaise et fini sa course en s'écrasant juste avant la rivière. Le tracteur qui remorquait un porte-conteneur maritime chargé de tabac a pris feu. Sur cette zone escarpée, difficile d'accès, un impressionnant dispositif a été rapidement déployé par les sapeurs-pompiers lotois et aveyronnais. A leur arrivée, le tracteur était complètement embrasé et le malheureux chauffeur décédé. Agêe de 49 ans, la victime avait pris son chargement à Sarlat et se dirigeait vers Marseille. «Après avoir pris connaissance de l'état de la victime, notre seconde priorité a été d'éteindre le feu du tracteur au moyen d'une lance à mousse pour protéger le bois environnant» indiquait la capitaine des pompiers de Figeac, Céline Duval. Puis il a fallu s'assurer qu'aucune autre victime n'était impliquée. De la route, l'équipe du GRIMP 12 est descendue en rappel pour identifier la plaque d'immatriculation. Des plongeurs sont également intervenus pour faire des relevés dans le Lot afin d'écarter tout risque de pollution. En tout 65 sapeurs-pompiers ont été mobilisés et 24 engins engagés dans cette opération dirigée par le commandant Delmas et qui s'est déroulée sous les yeux de la sous-préfète de Figeac, Véronique Laurent-Albesa et des élus de Capdenac-le-Haut. La gendarmerie était également fortement mobilisée. En plus des gendarmes figeacois, les militaires de la brigade de recherche et les techniciens en identification criminelle de Cahors ont été dépêchés sur place afin de procéder aux premières investigations et déterminer les causes exactes de ce dramatique accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/20/1884260-le-chauffeur-meurt-brule-dans-l-accident.html
Un arsenal de braqueurs découvert à Montreuil
Une tentative de fuite. Deux hommes ont été interpellés dans la nuit de dimanche à lundi à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, après avoir abandonné un véhicule dans lequel plusieurs armes, dont des kalachnikovs, ont été trouvées, a-t-on appris de sources concordantes. Les deux hommes, âgés d'une trentaine d'années et "très connus des services de police", ont été arrêtés vers 02H00, après avoir tenté de fuir un contrôle de police, a raconté une source policière.
Un arsenal. "Ils se trouvaient en voiture quand ils ont été repérés. Ils ont tenté de fuir à pied mais ont été rattrapé quelques mètres plus loin", a raconté cette source. Plusieurs armes, dont deux kalachnikovs et un revolver, ainsi qu'une masse, des combinaisons et une pince coupante ont été découverts dans le véhicule. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargée de l'enquête.
lundi 19 mai 2014
Accident mortel d'un poids-lourd entre Lot et Aveyron
Le chauffeur d'un camion a trouvé la mort ce lundi après la chute de son poids-lourd dans un ravin près de Capdenac-Gare. La cabine du camion a pris feu.
A 12h30 ce lundi, sur la RD840, entre Figeac et Capdenac gare, à la limite entre les départements du Lot et de l'Aveyron, un chauffeur de poids-lourd a perdu le contrôle de son véhicule qui a quitté la route pour basculer dans le ravin.
Le poids-lourd, qui transportait du tabac en vrac entre la Dordogne et Marseille, a pris feu après une chute de 50 mètres. Le chauffeur a péri dans l'incendie. Son identification est en cours.
http://midi-pyrenees.france3.fr/2014/05/19/accident-mortel-d-un-poids-lourd-dans-l-aveyron-480313.html
A 12h30 ce lundi, sur la RD840, entre Figeac et Capdenac gare, à la limite entre les départements du Lot et de l'Aveyron, un chauffeur de poids-lourd a perdu le contrôle de son véhicule qui a quitté la route pour basculer dans le ravin.
Le poids-lourd, qui transportait du tabac en vrac entre la Dordogne et Marseille, a pris feu après une chute de 50 mètres. Le chauffeur a péri dans l'incendie. Son identification est en cours.
http://midi-pyrenees.france3.fr/2014/05/19/accident-mortel-d-un-poids-lourd-dans-l-aveyron-480313.html
Dordogne : en ULM, un Charentais percute une ligne électrique
L’engin ultraléger motorisé a percuté une ligne à haute tension. Le pilote a été légèrement blessé
Hier en fin d'après-midi à Valeuil, un homme âgé de 65 ans a été blessé dans un accident d'ULM. Le moteur ayant subi une avarie, l'engin ultraléger motorisé a percuté une ligne à haute tension. Le pilote, un sexagénaire originaire de Brie (Charente), a été légèrement blessé. Les pompiers l'ont transporté au centre hospitalier de Périgueux. L'accident n'a pas eu de conséquence pour les usagers de l'électricité, même si la ligne a été sectionnée
http://www.sudouest.fr/2014/05/19/dordogne-en-ulm-un-charentais-percute-une-ligne-electrique-1559339-813.php
Hier en fin d'après-midi à Valeuil, un homme âgé de 65 ans a été blessé dans un accident d'ULM. Le moteur ayant subi une avarie, l'engin ultraléger motorisé a percuté une ligne à haute tension. Le pilote, un sexagénaire originaire de Brie (Charente), a été légèrement blessé. Les pompiers l'ont transporté au centre hospitalier de Périgueux. L'accident n'a pas eu de conséquence pour les usagers de l'électricité, même si la ligne a été sectionnée
http://www.sudouest.fr/2014/05/19/dordogne-en-ulm-un-charentais-percute-une-ligne-electrique-1559339-813.php
Marssac. Un an ferme pour le mari violent et ivre
Le tribunal correctionnel d'Albi a condamné à un an de prison ferme un homme auteur de graves violences conjugales. Jugé vendredi en comparution immédiate, il a été incarcéré immédiatement à la maison d'arrêt d'Albi. L'affaire, qui remonte à la nuit de mercredi à jeudi mais qui n'a été révélée que ce dimanche, s'est passée à Marssac, sur fond d'alcool. Le conjoint, qui serait âgé d'une quarantaine d'années, est arrivé ivre et avec un fusil, très énervé, et a dit à sa femme «si tu me quittes, je te tue et je tue ta fille». Craignant pour elle et pour son enfant âgée d'une douzaine d'années, la conjointe a porté plainte à la gendarmerie d'Albi. L'enquête a mobilisé la brigade d'Albi, le peloton de surveillance et d'intervention (Psig) ainsi que la brigade de recherche d'Albi. Présenté au parquet, le conjoint violent, déjà privé de son permis de conduire à cause de ses excès d'alcool, a été poursuivi pour «menaces de mort avec ordre de remplir une condition et violences avec arme», les menaces étant considérées comme violences.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/19/1883808-marssac-un-an-ferme-pour-le-mari-violent-et-ivre.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/05/19/1883808-marssac-un-an-ferme-pour-le-mari-violent-et-ivre.html
Essonne: des policiers sauvés par des gendarmes
Deux guet-apens ont eu lieu ce week-end à Grigny dans l'Essonne rapporte Le Parisien. Un premier accrochage a eu lieu vendredi soir lorsqu'une patrouille de la brigade anti-criminalité a été poursuivie par une vingtaine de jeunes masqués et armés de pavés et de cocktails Molotov. Les policiers ont été secourus par des gendarmes qui passaient à proximité.
Un deuxième incident a eu lieu hier soir : une voiture de police a été prise d'assaut par une trentaine de jeunes armés de barres de fer. Dans les deux cas, les dégâts n'auront été que matériels.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/19/97001-20140519FILWWW00029-essonne-des-policiers-sauves-par-des-gendarmes.php
Un deuxième incident a eu lieu hier soir : une voiture de police a été prise d'assaut par une trentaine de jeunes armés de barres de fer. Dans les deux cas, les dégâts n'auront été que matériels.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/19/97001-20140519FILWWW00029-essonne-des-policiers-sauves-par-des-gendarmes.php
dimanche 18 mai 2014
Incendie d'immeuble à Brest : un homme retrouvé mort
Un homme de 49 ans est décédé dans l'incendie d'un immeuble de la rue Henri de Bournazel, à Brest cette nuit. Les pompiers appelés peu après minuit sont intervenus pour un important feu d'appartement, qui s'est d'ailleurs propagé à d'autres logements. Onze habitants ont dû être relogés.
Ils ont déployés d'importants moyens pour faire face à l'incendie, une trentaine d'hommes, trois véhicules, deux échelles. Les pompiers ont été appelés peu après minuit pour un feu d'appartement, d'origine accidentelle, rue Henri Bournazel dans le centre de Brest.
Sur place ils ont découvert le corps d'un homme de 49 ans. Le feu s'est propagé à trois autres appartements, largement détruits par le feu. Onze habitants, qui ont pu réchapper de cet incendie, ont dû être relogés.
http://bretagne.france3.fr/2014/05/18/incendie-d-immeubles-brest-un-homme-retrouve-mort-479489.html
Ils ont déployés d'importants moyens pour faire face à l'incendie, une trentaine d'hommes, trois véhicules, deux échelles. Les pompiers ont été appelés peu après minuit pour un feu d'appartement, d'origine accidentelle, rue Henri Bournazel dans le centre de Brest.
Sur place ils ont découvert le corps d'un homme de 49 ans. Le feu s'est propagé à trois autres appartements, largement détruits par le feu. Onze habitants, qui ont pu réchapper de cet incendie, ont dû être relogés.
http://bretagne.france3.fr/2014/05/18/incendie-d-immeubles-brest-un-homme-retrouve-mort-479489.html
Le Cannet des Maures : accident mortel de parachute
Deux parachutistes se sont télescopés dans leur phase d'atterrissage. L'un est mort, l'autre a été blessé à la jambe.
Le drame s'est déroulé hier après-midi, sur la commune varois du Cannet des Maures.
Deux parachutistes, tous deux confirmés, s'étaient lancés simultanément d'un avion pour effectuer un saut de 4.000 mètres. Alors qu'ils étaient en phase d'atterrissage, ils se sont percutés en plein vol.
L'un d'eux, âgé de 65 ans a perdu la vie, l'autre, touché à la jambe, a été transporté dans un hôpital de Toulon.
L'enquête sur les circonstances de l'accident a été confiée à la gendarmerie du Luc (Var).
http://provence-alpes.france3.fr/faits-divers
Le drame s'est déroulé hier après-midi, sur la commune varois du Cannet des Maures.
Deux parachutistes, tous deux confirmés, s'étaient lancés simultanément d'un avion pour effectuer un saut de 4.000 mètres. Alors qu'ils étaient en phase d'atterrissage, ils se sont percutés en plein vol.
L'un d'eux, âgé de 65 ans a perdu la vie, l'autre, touché à la jambe, a été transporté dans un hôpital de Toulon.
L'enquête sur les circonstances de l'accident a été confiée à la gendarmerie du Luc (Var).
http://provence-alpes.france3.fr/faits-divers
Cévennes : le planeur finit sa course au beau milieu des arbres
Entre Ponteils-et-Brésis et Concoules, dans les Hautes Cévennes, l'engin a touché la cimes des arbres. Le pilote n’a pas été blessé. Une équipe est venue samedi pour tenter de sortir l’aéronef héraultais de sa fâcheuse position.
Grosse frayeur vendredi après-midi pour ce pilote de planeur qui a fini son périple dans une forêt, sur la commune de Ponteils-et-Brésis, en lisière de celle de Concoules.
Il était aux alentours de 14 h 30 lorsque l’accident s’est produit. Le planeur, arrivant de la haute vallée de l’Hérault, venait de survoler Ponteils-et-Brésis dans le sens Nord-Sud, et se trouvait au-dessus de la forêt, peu après le hameau de Planzolles, sur les contreforts du Mont Lozère, lorsqu’il a heurté la cime des arbres.
des transports aériens
L’engin a alors piqué du nez, puis basculé vers l’avant au milieu des pins, pour finir sa course quasiment à la verticale, comme suspendu en l’air, le nez à 4 mètres du sol.
Le pilote est parvenu à s’extirper de l’habitacle, pour sortir indemne, et a dû se dire qu’il venait de l’échapper belle.
Erreur d'appréciation du pilote, brusque rafale de vent..., une enquête de gendarmerie a été déclenchée, ainsi qu’une autre par la gendarmerie des transports aériens, compétente en cas d’accident d’un aéronef, pour cerner les circonstances de cet accident.
Samedi matin, une équipe est venue sur le terrain pour tenter de sortir le planeur de sa fâcheuse situation et le récupérer sans trop de casse.
http://www.midilibre.fr/2014/05/18/le-planeur-finit-sa-course-au-beau-milieu-des-arbres,862290.php
Grosse frayeur vendredi après-midi pour ce pilote de planeur qui a fini son périple dans une forêt, sur la commune de Ponteils-et-Brésis, en lisière de celle de Concoules.
Il était aux alentours de 14 h 30 lorsque l’accident s’est produit. Le planeur, arrivant de la haute vallée de l’Hérault, venait de survoler Ponteils-et-Brésis dans le sens Nord-Sud, et se trouvait au-dessus de la forêt, peu après le hameau de Planzolles, sur les contreforts du Mont Lozère, lorsqu’il a heurté la cime des arbres.
des transports aériens
L’engin a alors piqué du nez, puis basculé vers l’avant au milieu des pins, pour finir sa course quasiment à la verticale, comme suspendu en l’air, le nez à 4 mètres du sol.
Le pilote est parvenu à s’extirper de l’habitacle, pour sortir indemne, et a dû se dire qu’il venait de l’échapper belle.
Erreur d'appréciation du pilote, brusque rafale de vent..., une enquête de gendarmerie a été déclenchée, ainsi qu’une autre par la gendarmerie des transports aériens, compétente en cas d’accident d’un aéronef, pour cerner les circonstances de cet accident.
Samedi matin, une équipe est venue sur le terrain pour tenter de sortir le planeur de sa fâcheuse situation et le récupérer sans trop de casse.
http://www.midilibre.fr/2014/05/18/le-planeur-finit-sa-course-au-beau-milieu-des-arbres,862290.php
La ronde de nuit des parents-taxi
«Teenage'car» est une association qui propose une ronde de ramassage effectuée par les parents. L'objectif ? Que les jeunes rentrent sans encombre de leurs virées nocturnes.
Lycéen(e), en fin de soirée, cherche moyen sûr de rentrer à son domicile. Pour répondre à tous les critères, deux duos mère-fille inventent le concept «teenage'car» : un taxi associatif conduit par les parents. Anne Trolliet, la fondatrice détaille la formule.
Quel est le but de «Teenage'car» ?
Le but est de ramener les jeunes qui ont entre 16 et 19 ans en toute sécurité à leur domicile, entre minuit et 3 heures, le jeudi, vendredi et samedi. Pour cela, nous louons deux véhicules de huit places. Pour l'instant, nous sommes deux conductrices. L'idée, c'est qu'il y ait un turn-over. Ce sont les parents qui prennent contact avec l'association. On leur fait signer un contrat et ils s'engagent à être conducteurs. Plus il y aura de parents, plus il y aura de jeunes ramassés.
C'est donc un service payant ?
Oui, parce qu'il y a des frais de location, d'essence, d'assurance… Mais les «courses» se font bénévolement. Nous ne sommes pas des taxis. En fait, il s'agit de payer un petit peu pour la sécurité de nos enfants. Pour l'instant nous avons établi deux zones. La A, 5 euros pour les trajets de moins d'une heure aller/retour (du centre-ville jusqu'à Balma, Roseraie, Bonnefoy, L'Union…) ; la B, 8 euros pour les trajets de plus d'1 h 30. Les tarifs sont dégressifs : plus les parents font de courses par mois, moins le trajet retour de leur enfant coûte cher. À terme, on espère obtenir des subventions de la mairie, du conseil général et/ou de la région. L'objectif est que cela soit peu onéreux. Cela fonctionne un peu comme les crèches associatives.
D'où vous est venu ce concept ?
Je suis maman de trois enfants, et enseignante au lycée. Entre 16 et 19 ans, les jeunes sortent beaucoup. Soit ils restent en boîte jusqu'au premier métro, soit ils dorment chez des copains. Dans tous les cas, il faut souvent qu'ils marchent dans la rue, de nuit. Nous sommes de nombreux parents à ne pas s'être couchés en attendant nos enfants. Là, il y aura un point de rendez-vous à une heure donnée, et l'enfant sera posé devant sa porte. Et si jamais il ne se présente pas, nous appelons les parents. C'est avec les parents que nous sommes en contact.
C'est plutôt une idée originale…
Je n'ai pas trouvé une association identique en France. Cela demande beaucoup de logistique. Pour l'instant, nous, les deux chauffeurs, sommes des mamans. Et nos filles respectives sont impliquées dans le projet. Une page facebook va bientôt être créée, et j'ai contacté de nombreux lycées à Toulouse pour parler du projet. Si on fait connaître le concept et si les parents se mobilisent, cela fonctionnera!
Contact : trolliet.anne@free.fr ou 06 73 50 41 56.
Lycéen(e), en fin de soirée, cherche moyen sûr de rentrer à son domicile. Pour répondre à tous les critères, deux duos mère-fille inventent le concept «teenage'car» : un taxi associatif conduit par les parents. Anne Trolliet, la fondatrice détaille la formule.
Quel est le but de «Teenage'car» ?
Le but est de ramener les jeunes qui ont entre 16 et 19 ans en toute sécurité à leur domicile, entre minuit et 3 heures, le jeudi, vendredi et samedi. Pour cela, nous louons deux véhicules de huit places. Pour l'instant, nous sommes deux conductrices. L'idée, c'est qu'il y ait un turn-over. Ce sont les parents qui prennent contact avec l'association. On leur fait signer un contrat et ils s'engagent à être conducteurs. Plus il y aura de parents, plus il y aura de jeunes ramassés.
C'est donc un service payant ?
Oui, parce qu'il y a des frais de location, d'essence, d'assurance… Mais les «courses» se font bénévolement. Nous ne sommes pas des taxis. En fait, il s'agit de payer un petit peu pour la sécurité de nos enfants. Pour l'instant nous avons établi deux zones. La A, 5 euros pour les trajets de moins d'une heure aller/retour (du centre-ville jusqu'à Balma, Roseraie, Bonnefoy, L'Union…) ; la B, 8 euros pour les trajets de plus d'1 h 30. Les tarifs sont dégressifs : plus les parents font de courses par mois, moins le trajet retour de leur enfant coûte cher. À terme, on espère obtenir des subventions de la mairie, du conseil général et/ou de la région. L'objectif est que cela soit peu onéreux. Cela fonctionne un peu comme les crèches associatives.
D'où vous est venu ce concept ?
Je suis maman de trois enfants, et enseignante au lycée. Entre 16 et 19 ans, les jeunes sortent beaucoup. Soit ils restent en boîte jusqu'au premier métro, soit ils dorment chez des copains. Dans tous les cas, il faut souvent qu'ils marchent dans la rue, de nuit. Nous sommes de nombreux parents à ne pas s'être couchés en attendant nos enfants. Là, il y aura un point de rendez-vous à une heure donnée, et l'enfant sera posé devant sa porte. Et si jamais il ne se présente pas, nous appelons les parents. C'est avec les parents que nous sommes en contact.
C'est plutôt une idée originale…
Je n'ai pas trouvé une association identique en France. Cela demande beaucoup de logistique. Pour l'instant, nous, les deux chauffeurs, sommes des mamans. Et nos filles respectives sont impliquées dans le projet. Une page facebook va bientôt être créée, et j'ai contacté de nombreux lycées à Toulouse pour parler du projet. Si on fait connaître le concept et si les parents se mobilisent, cela fonctionnera!
Contact : trolliet.anne@free.fr ou 06 73 50 41 56.
Montpellier : l’ex-inspectrice des impôts reconvertie en voleuse
Déjà connue pour des faits de vols, la quinquagénaire a dépouillé une personne âgée infirme.
Une ex-inspectrice des impôts de 58 ans, reconvertie en aide à domicile, vient d'être interpellée. La police la soupçonne fortement d’avoir spolié des retraités dont elle s’occupait.
L’affaire date de l’été dernier. La voleuse qui s’occupait alors d’un couple de retraités, avenue du Pont-Trinquat, s'était proposée pour aider leur voisin infirme et dont l’épouse venait d’être hospitalisée pour plusieurs semaines.
C'est alors qu'elle se serait servie du chéquier de la victime pour effectuer plusieurs virements sur son compte en banque... Pour un préjudice évalué à plus de 1 500€. Déjà connue pour des faits de vols, la quinquagénaire sera poursuivie devant le tribunal correctionnel.
http://www.midilibre.fr/2014/05/17/laverune,861934.php
Une ex-inspectrice des impôts de 58 ans, reconvertie en aide à domicile, vient d'être interpellée. La police la soupçonne fortement d’avoir spolié des retraités dont elle s’occupait.
L’affaire date de l’été dernier. La voleuse qui s’occupait alors d’un couple de retraités, avenue du Pont-Trinquat, s'était proposée pour aider leur voisin infirme et dont l’épouse venait d’être hospitalisée pour plusieurs semaines.
C'est alors qu'elle se serait servie du chéquier de la victime pour effectuer plusieurs virements sur son compte en banque... Pour un préjudice évalué à plus de 1 500€. Déjà connue pour des faits de vols, la quinquagénaire sera poursuivie devant le tribunal correctionnel.
http://www.midilibre.fr/2014/05/17/laverune,861934.php
samedi 17 mai 2014
Lafitte-sur-Lot (47) : un enfant de 20 mois mordu par le chien de la famille
La brigade de gendarmerie de Tonneins a ouvert une procédure après les morsures dont a été victime un enfant de 20 mois vendredi vers 19h15 au domicile familial de Lafitte-sur-Lot.
La petite victime jouait avec l'animal de la maison quand elle a été mordu. L'enfant, blessé à l'oeil et à l'oreille, a été admis vers le centre hospitalier de Marmande.
http://www.sudouest.fr/2014/05/17/lafitte-sur-lot-un-enfant-de-20-mois-mordu-par-le-chien-de-la-famille-1558099-7.php
La petite victime jouait avec l'animal de la maison quand elle a été mordu. L'enfant, blessé à l'oeil et à l'oreille, a été admis vers le centre hospitalier de Marmande.
http://www.sudouest.fr/2014/05/17/lafitte-sur-lot-un-enfant-de-20-mois-mordu-par-le-chien-de-la-famille-1558099-7.php
Simorre. Ils tentent d'entrer en camionnette dans le bar
Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 23 heures, une rixe a éclaté devant le Bouche-À-Oreille, un bar très animé de Simorre. Quatre personnes, de passage dans leur famille, se présentent pour boire un dernier verre. Ce n'était pas le premier, assurent les témoins, ni la première fois que ces quatre-là créaient des problèmes dans le village. La serveuse les éconduit : l'établissement ferme. La réponse ne plaît pas. Il fallait qu'ils aient grand soif, car ils prennent alors le volant pour tenter d'entrer dans le café… en camionnette. Les dégâts sont importants. Le vacarme et l'altercation attirent dans la rue le compagnon de la serveuse, qui habite tout près. Il tente de s'interposer. Mal lui en prend. Le voilà passé à tabac, au point qu'il quitte le village pour se mettre en sécurité. D'autres témoins de la scène, une dizaine de personnes, ont été menacés. La gendarmerie ne tarde pas à arriver, mais les quatre hommes sont partis… pour revenir 2 heures plus tard. Ils s'en prennent alors à une maison voisine, tentant de forcer la porte, et menaçant les habitants. Nouvel appel des gendarmes. À leur arrivée, plus personne. Une plainte a été déposée par les propriétaires, l'enquête suit son cours, dans un climat pesant : ce n'est pas la seule procédure en cours, dans ce village pourtant paisible et vivant. Petits larcins, menaces de mort, voilà plusieurs mois que des exactions diverses ont conduit les commerces à des mesures inhabituelles. Ainsi, les patrons du bar ne souhaitent plus ouvrir après 20 heures, l'épicier ne laisse plus sa devanture à midi, etc. Les commerçants du village ont écrit à la mairie, pour réclamer la sérénité dans Simorre.
Montpellier : le braqueur voulait aussi écraser son frère
Le suspect, âgé d'une vingtaine d'années, a été interpellé jeudi matin par le SRPJ en flagrant délit après le braquage d'un bureau de tabac.
La PJ (police judiciaire) a interpellé jeudi matin un individu qui venait de commettre un braquage dans un bureau de tabac à Montpellier. Sous la menace d'un couteau, il s'était fait remettre 2 500 € de recette. En sortant du commerce, il a été arrêté par les policiers de la BRI et de la BRB.
Le suspect interpellé a 20 ans
Le procureur de la République Christophe Barret vient d'indiquer que le suspect, âgé de 20 ans, va être mis en examen pour ce braquage mais aussi pour tentative de meurtre : en début de semaine, il avait tenté d'écraser son frère en lui fonçant dessus à deux reprises, dans les rues de Montpellier.
http://www.midilibre.fr/2014/05/16/montpellier-le-braqueur-voulait-aussi-ecraser-son-frere,861788.php
La PJ (police judiciaire) a interpellé jeudi matin un individu qui venait de commettre un braquage dans un bureau de tabac à Montpellier. Sous la menace d'un couteau, il s'était fait remettre 2 500 € de recette. En sortant du commerce, il a été arrêté par les policiers de la BRI et de la BRB.
Le suspect interpellé a 20 ans
Le procureur de la République Christophe Barret vient d'indiquer que le suspect, âgé de 20 ans, va être mis en examen pour ce braquage mais aussi pour tentative de meurtre : en début de semaine, il avait tenté d'écraser son frère en lui fonçant dessus à deux reprises, dans les rues de Montpellier.
http://www.midilibre.fr/2014/05/16/montpellier-le-braqueur-voulait-aussi-ecraser-son-frere,861788.php
vendredi 16 mai 2014
La Rochelle : une mère de famille menacée à l'arme de poing devant la crèche
La scène s'est déroulée ce vendredi devant la crèche de la Pallice, peu avant 9 heures. L'homme, un voisin, a été interpellé et placé en garde à vue
Ce vendredi, peu avant 9 heures, un homme domicilié en face de la crèche municipale de la Pallice (quartier ouest de La Rochelle), située avenue Denfert-Rochereau, a brandi une arme de poing contre une mère de famille conduisant son enfant à la structure. Le commissariat a été rapidement averti de la situation. Des policiers ont interpellé l'homme, ont saisi son revolver et l'ont placé en garde à vue.
Des tensions existeraient déjà entre cet homme, sa femme et son fils, et des parents fréquentant la crèche. Ceux-ci stationnaient sur le trottoir d'en face, quitte parfois à ne pas respecter la sortie de garage de son domicile. Le flux de véhicule devant son domicile pourrait aussi être à l'origine de ces tensions.
Des injures et menaces ont déjà été enregistrées par le personnel de la structure d'accueil de la petite enfance et par la police, suscitant un vif émoi. L'incident de ce vendredi a fait monter l'inquiétude d'un cran.
http://www.sudouest.fr/2014/05/16/la-rochelle-il-brandit-une-arme-de-poing-contre-une-mere-de-famille-1557090-1391.php
Ce vendredi, peu avant 9 heures, un homme domicilié en face de la crèche municipale de la Pallice (quartier ouest de La Rochelle), située avenue Denfert-Rochereau, a brandi une arme de poing contre une mère de famille conduisant son enfant à la structure. Le commissariat a été rapidement averti de la situation. Des policiers ont interpellé l'homme, ont saisi son revolver et l'ont placé en garde à vue.
Des tensions existeraient déjà entre cet homme, sa femme et son fils, et des parents fréquentant la crèche. Ceux-ci stationnaient sur le trottoir d'en face, quitte parfois à ne pas respecter la sortie de garage de son domicile. Le flux de véhicule devant son domicile pourrait aussi être à l'origine de ces tensions.
Des injures et menaces ont déjà été enregistrées par le personnel de la structure d'accueil de la petite enfance et par la police, suscitant un vif émoi. L'incident de ce vendredi a fait monter l'inquiétude d'un cran.
http://www.sudouest.fr/2014/05/16/la-rochelle-il-brandit-une-arme-de-poing-contre-une-mere-de-famille-1557090-1391.php
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