Hier matin, peu après 7 h 30, au supermarché Netto du 150 avenue Gambetta, deux hommes armés ont profité d'une livraison pour s'introduire dans le magasin. Le visage masqué, l'un avec une arme de poing, probablement un pistolet, l'autre avec un couteau, ils ont braqué une employée et demandé à se faire conduire au coffre.
Ils sont repartis sans faire de blessé, avec une partie du contenu du coffre.
à cette heure matinale, avant l'ouverture, il n'y avait heureusement pas de client. Les deux hommes sont arrivés à pied et repartis pareil après leur forfait.
«En 35 ans de maison, c'est la première fois que ça arrive. On ne s'y prépare pas. Mais ici on a du caractère, on a rouvert normalement sans rien dire» témoignait à voix basse une employée, hier dans la matinée. De fait, dès l'ouverture, le personnel a officié avec le sourire habituel, sans montrer aucun signe du choc subi.
L'enquête a été confiée à la brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Albi. Ils cherchent pour l'instant, grâce aux témoignages des employés, à identifier l'arme utilisée et le profil des braqueurs. En attendant les conclusions, la patronne de l'établissement n'a pas souhaité communiquer.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/09/2007817-braquage-a-main-armee-dans-le-supermarche-netto.html
Ils sont repartis sans faire de blessé, avec une partie du contenu du coffre.
à cette heure matinale, avant l'ouverture, il n'y avait heureusement pas de client. Les deux hommes sont arrivés à pied et repartis pareil après leur forfait.
«En 35 ans de maison, c'est la première fois que ça arrive. On ne s'y prépare pas. Mais ici on a du caractère, on a rouvert normalement sans rien dire» témoignait à voix basse une employée, hier dans la matinée. De fait, dès l'ouverture, le personnel a officié avec le sourire habituel, sans montrer aucun signe du choc subi.
L'enquête a été confiée à la brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Albi. Ils cherchent pour l'instant, grâce aux témoignages des employés, à identifier l'arme utilisée et le profil des braqueurs. En attendant les conclusions, la patronne de l'établissement n'a pas souhaité communiquer.
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