Le ministère public a requis un an de sursis et une interdiction définitive d’exercer contre une aide-soignante poursuivie pour violence sur personne vulnérable
Si les magistrats de la chambre correctionnelle de la cour d'appel de Bordeaux suivent les réquisitions de l'avocat général Xavier Chavigné, une aide-soignante quinquagénaire, employée actuellement dans une clinique, pourrait perdre son emploi.
Le ministère public a, en effet, réclamé une aggravation de la peine prononcée à son encontre en première instance : un an de prison avec sursis assorti d'une interdiction définitive d'exercer la profession d'aide-soignante. La cour rendra sa décision au mois de juin.
http://www.sudouest.fr/2015/04/16/l-aide-soignante-risque-gros-en-appel-1893435-2780.php
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