Deux agents d'entretien ont été mis en examen vendredi après avoir dérobé des "centaines de milliers d'euros" trouvés chez deux soeurs âgées et fortunées décédées accidentellement à Bron, près de Lyon dans le Rhône. Âgés de 41 ans et de 44 ans, les deux hommes avaient été chargés de nettoyer le domicile après le décès des vieilles dames. Selon Le Progrès qui révèle l'affaire, plus d'un million d'euros a été retrouvé.
Ils ont été mis en examen pour vol et placés sous contrôle judiciaire. Une femme a également été mise en examen pour recel et laissée libre. Jeudi, cinq personnes au total avaient été interpellées dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 3 mars. Les deux autres ont été relâchées sans aucune charge retenue contre elles.
Une enquête de deux ans
Selon Le Progrès, c'est une enquête de police de deux ans qui a permis la découverte des sommes d'argent. Elle débute en avril 2013, après la découverte des cadavres de deux soeurs décédées chez elles. L'autopsie conclut à une mort accidentelle remontant à quatre mois plus tôt. Et au domicile des deux retraitées sont retrouvés 397.985 euros en espèces. Comment les deux femmes, dont l'une était enseignante et l'autre employée de la Poste, ont-elles pu amasser un tel magot ? L'enquête ne l'a pas encore déterminé. D'autant que les sommes en jeu sont encore plus importantes,
N'ayant pas d'héritiers et vivant dans l'isolement, les deux femmes avaient désigné des voisins comme légataires. En consultant les papiers des vieilles dames, ceux-ci se sont aperçus qu'elles disposaient en réalité d'une somme bien plus importante en espèces. Un total de 1,867 million d'euros manquait à l'appel, selon la source judiciaire.
L'argent était "dans deux sacs dans les chambres"
La police a mené l'enquête jusqu'à tomber sur des virements bancaires suspects sur les comptes des employés recrutés pour nettoyer la maison après la découverte des cadavres. Interpellés jeudi, certains des auteurs ont reconnu les faits et raconté avoir trouvé l'argent dans deux sacs dans les chambres des soeurs. Des perquisitions chez les mis en cause ont permis de mettre la main sur "quelques centaines de milliers d'euros" et des voitures, a-t-on ajouté de source judiciaire. Reste le mystère de la fortune des deux soeurs. Selon Le Progrès, elle semblait provenir de ventes de biens immobiliers
Une enquête de deux ans
Selon Le Progrès, c'est une enquête de police de deux ans qui a permis la découverte des sommes d'argent. Elle débute en avril 2013, après la découverte des cadavres de deux soeurs décédées chez elles. L'autopsie conclut à une mort accidentelle remontant à quatre mois plus tôt. Et au domicile des deux retraitées sont retrouvés 397.985 euros en espèces. Comment les deux femmes, dont l'une était enseignante et l'autre employée de la Poste, ont-elles pu amasser un tel magot ? L'enquête ne l'a pas encore déterminé. D'autant que les sommes en jeu sont encore plus importantes,
N'ayant pas d'héritiers et vivant dans l'isolement, les deux femmes avaient désigné des voisins comme légataires. En consultant les papiers des vieilles dames, ceux-ci se sont aperçus qu'elles disposaient en réalité d'une somme bien plus importante en espèces. Un total de 1,867 million d'euros manquait à l'appel, selon la source judiciaire.
L'argent était "dans deux sacs dans les chambres"
La police a mené l'enquête jusqu'à tomber sur des virements bancaires suspects sur les comptes des employés recrutés pour nettoyer la maison après la découverte des cadavres. Interpellés jeudi, certains des auteurs ont reconnu les faits et raconté avoir trouvé l'argent dans deux sacs dans les chambres des soeurs. Des perquisitions chez les mis en cause ont permis de mettre la main sur "quelques centaines de milliers d'euros" et des voitures, a-t-on ajouté de source judiciaire. Reste le mystère de la fortune des deux soeurs. Selon Le Progrès, elle semblait provenir de ventes de biens immobiliers
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