Le supermarché de La Charité-sur-Loire, dans la Nièvre mercredi soir. Le magasin vient de fermer et sept employés s'affairent encore à l'intérieur. Soudain, trois hommes font irruption. Ils sont armés de matraques et de bombes lacrymogènes. Leurs visages sont cachés par des masques, dont l'un est tiré du film Scream.
La suite de l'histoire, révélée dans le Journal du Centre, c'est la gendarmerie qui la raconte. "Ils se sont fait remettre le fonds de caisse, l'argent qui se trouvait dans le coffre et dans un distributeur automatique de billet", raconte-elle. La scène dure quelques minutes seulement. Les braqueurs ont agi avec "détermination" et "sans-froid", précise la gendarme qui précise qu'aucun employé n'a été blessé. Montant estimé du butin : 18.000 euros.
Dans la saga de films d'horreur "Scream" de Wes Craven, un tueur en série arbore un masque blanc et au menton allongé faisant référence au célèbre tableau du peintre norvégien Edvard Munch, "Le Cri".
La suite de l'histoire, révélée dans le Journal du Centre, c'est la gendarmerie qui la raconte. "Ils se sont fait remettre le fonds de caisse, l'argent qui se trouvait dans le coffre et dans un distributeur automatique de billet", raconte-elle. La scène dure quelques minutes seulement. Les braqueurs ont agi avec "détermination" et "sans-froid", précise la gendarme qui précise qu'aucun employé n'a été blessé. Montant estimé du butin : 18.000 euros.
Dans la saga de films d'horreur "Scream" de Wes Craven, un tueur en série arbore un masque blanc et au menton allongé faisant référence au célèbre tableau du peintre norvégien Edvard Munch, "Le Cri".
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