Il "regardait la télé comme d'habitude" quand il a "entendu un
gros bruit". C'était lundi soir dans un village des Pyrénées.
Un couple d'habitants a bien cru qu'il allait mourir quand soudainement le mur
de soutien de sa maison s'est écroulé sous une accumulation d'eau et de
boue.
Il a beaucoup neigé sur les Pyrénées récemment. Avec le redoux, de l'eau et de la boue se sont accumulées contre le mur soutenant cette maison située un peu à l'écart de Cazaril-Laspènes (Haute-Garonne), un minuscule village d'une vingtaine d'habitants à environ 700 mètres d'altitude et tout près de Bagnères-de-Luchon. Tard lundi soir, le mur a cédé, la maison s'est mise à pencher et menace désormais de s'effondrer.
"Elle est cuite, elle est cuite"
"On a entendu comme un tremblement de terre, les vitres ont cassé, on croyait qu'on allait mourir, on était impressionnés", a raconté à un correspondant de l'AFP Catherine Soula, qui habite là avec son époux Antoine depuis 35 ans. "On a senti le gaz, on ne pouvait pas sortir, tout était bloqué", a expliqué son mari Antoine Soula. Puis le couple a cassé une fenêtre pour sortir, coupé l'alimentation en gaz et appelé les pompiers.
Ces derniers ont mis en place un périmètre de sécurité autour du domicile et ont évacué ses habitants. Antoine et Catherine Soula, couple de quinquagénaires ont passé la nuit chez leur fille qui habite non loin de là. Ils se demandent s'ils vont devoir à l'avenir dormir dans leur camping-car. "Ah! la maison, c'est fini ! Elle est cuite, elle est cuite", dit Catherine Soula. La mairie a pris un arrêté de mise en péril de la maison, devenue inhabitable.
Il a beaucoup neigé sur les Pyrénées récemment. Avec le redoux, de l'eau et de la boue se sont accumulées contre le mur soutenant cette maison située un peu à l'écart de Cazaril-Laspènes (Haute-Garonne), un minuscule village d'une vingtaine d'habitants à environ 700 mètres d'altitude et tout près de Bagnères-de-Luchon. Tard lundi soir, le mur a cédé, la maison s'est mise à pencher et menace désormais de s'effondrer.
"Elle est cuite, elle est cuite"
"On a entendu comme un tremblement de terre, les vitres ont cassé, on croyait qu'on allait mourir, on était impressionnés", a raconté à un correspondant de l'AFP Catherine Soula, qui habite là avec son époux Antoine depuis 35 ans. "On a senti le gaz, on ne pouvait pas sortir, tout était bloqué", a expliqué son mari Antoine Soula. Puis le couple a cassé une fenêtre pour sortir, coupé l'alimentation en gaz et appelé les pompiers.
Ces derniers ont mis en place un périmètre de sécurité autour du domicile et ont évacué ses habitants. Antoine et Catherine Soula, couple de quinquagénaires ont passé la nuit chez leur fille qui habite non loin de là. Ils se demandent s'ils vont devoir à l'avenir dormir dans leur camping-car. "Ah! la maison, c'est fini ! Elle est cuite, elle est cuite", dit Catherine Soula. La mairie a pris un arrêté de mise en péril de la maison, devenue inhabitable.
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