Le patron du tabac de Boisseuil (Haute-Vienne) avait découvert
un trou important dans ses comptes. Un trou provoqué par son employée qui volait
dans la caisse et qui subtilisait des jeux de
loterie à gratter. Jugée mardi devant le tribunal correctionnel de Limoges,
elle encourt 6 mois de prison avec sursis.
Ne soupçonnant pas dans un premier temps son employée, il avait finalement porté plainte sur la foi d'enregistrements de vidéo-surveillance qui accusaient l'employée. Elle avait été arrêtée le 8 novembre. Celle-ci se faisait par ailleurs aider d'un complice qui a également été arrêté. L'audience a permis de révéler que cette femme, âgée de 52 ans, était à l'origine d'un trou de 70.000 euros dans les comptes de son patron. Une somme qu'elle aurait amassée en volant directement dans la caisse et en subtilisant des tickets à gratter. Pour bien choisir ces derniers, elle utilisait une astuce de professionnel en grattant partiellement la case "nul si découvert", et en parvenant à voir si le code caché était celui d'un ticket gagnant. Dans le cas contraire, elle le remettait parmi les tickets à vendre.
Malgré de nombreux indices à charge, la prévenue s'est dite victime d'une enquête à charge et a nié être l'auteur des fait reprochés. Son défenseur a fait valoir qu'il pouvait justifier l'achat d'au moins 38.000 euros de tickets à gratter par sa cliente. Tout comme l'avocat du complice présumé, contre lequel 2 mois de prison avec sursis ont été requis, il a plaidé la relaxe. Le jugement a été mis en délibéré au 1er mars.
Ne soupçonnant pas dans un premier temps son employée, il avait finalement porté plainte sur la foi d'enregistrements de vidéo-surveillance qui accusaient l'employée. Elle avait été arrêtée le 8 novembre. Celle-ci se faisait par ailleurs aider d'un complice qui a également été arrêté. L'audience a permis de révéler que cette femme, âgée de 52 ans, était à l'origine d'un trou de 70.000 euros dans les comptes de son patron. Une somme qu'elle aurait amassée en volant directement dans la caisse et en subtilisant des tickets à gratter. Pour bien choisir ces derniers, elle utilisait une astuce de professionnel en grattant partiellement la case "nul si découvert", et en parvenant à voir si le code caché était celui d'un ticket gagnant. Dans le cas contraire, elle le remettait parmi les tickets à vendre.
Malgré de nombreux indices à charge, la prévenue s'est dite victime d'une enquête à charge et a nié être l'auteur des fait reprochés. Son défenseur a fait valoir qu'il pouvait justifier l'achat d'au moins 38.000 euros de tickets à gratter par sa cliente. Tout comme l'avocat du complice présumé, contre lequel 2 mois de prison avec sursis ont été requis, il a plaidé la relaxe. Le jugement a été mis en délibéré au 1er mars.
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