L'enquête sur l'affaire de l'avocat marseillais ligoté avance : quatre personnes ont été écrouées après l'agression du juriste, ligoté et dévalisé à son domicile début février, parmi lesquelles l'homme qui avait installé un coffre-fort à son domicile.
L'agression remonte au 6 février au matin: deux individus étaient entrés au domicile de l'avocat, dans le centre de Marseille, sous un prétexte fallacieux, le visage dissimulé par des capuches et avec des armes de poing. L'avocat se trouvait alors à son domicile avec un autre homme. Les agresseurs les avaient ligotés, puis avaient fouillé l'appartement de fond en comble, volant quelques bijoux, deux téléphones portables, des montres et de l'argent liquide, avant de prendre la fuite en laissant leurs victimes entravées.
L'agression remonte au 6 février au matin: deux individus étaient entrés au domicile de l'avocat, dans le centre de Marseille, sous un prétexte fallacieux, le visage dissimulé par des capuches et avec des armes de poing. L'avocat se trouvait alors à son domicile avec un autre homme. Les agresseurs les avaient ligotés, puis avaient fouillé l'appartement de fond en comble, volant quelques bijoux, deux téléphones portables, des montres et de l'argent liquide, avant de prendre la fuite en laissant leurs victimes entravées.
Pistolet et gilet pare-balles
Les deux auteurs présumés des faits, ainsi que leurs complices, ont été interpellés fin mai à Marseille, puis mis en examen et écroués pour "vol avec arme en bande organisée, enlèvement, séquestration, et association de malfaiteurs", a-t-on appris de même source. Parmi eux, celui qui avait fait installer au domicile de l'avocat son coffre-fort, "un homme inconnu des services de police et qui avait 'donné le Coup' à des complices", dont un était déjà connu pour des vols et l'autre pour des faits de petite délinquance, le dernier ayant fourni le matériel.
Le butin n'a pas été retrouvé mais un pistolet automatique, ainsi qu'un gilet pare-balles, ont été découverts lors des perquisitions. L'enquête avait été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Marseille.
Les deux auteurs présumés des faits, ainsi que leurs complices, ont été interpellés fin mai à Marseille, puis mis en examen et écroués pour "vol avec arme en bande organisée, enlèvement, séquestration, et association de malfaiteurs", a-t-on appris de même source. Parmi eux, celui qui avait fait installer au domicile de l'avocat son coffre-fort, "un homme inconnu des services de police et qui avait 'donné le Coup' à des complices", dont un était déjà connu pour des vols et l'autre pour des faits de petite délinquance, le dernier ayant fourni le matériel.
Le butin n'a pas été retrouvé mais un pistolet automatique, ainsi qu'un gilet pare-balles, ont été découverts lors des perquisitions. L'enquête avait été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Marseille.
1 commentaire:
Bonjour Francis
Et cela continue!!!
Heureusement qu'il n'y a pas de blessés..Mais c'est un choc quand même quand on est agressé.
En Belgique, on vient d'interdire l'achat d'armes de collection et c'est bien!
Je te souhaite une bonne journée
Bises
Francine
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