Corinne Carubia ne comprend pas. Tout était rempli, selon elle, pour que son fils, en classe de sixième mais souffrant de troubles spécifiques du langage écrit, ait droit à un auxiliaire de vie scolaire.
« Il y a tout un dossier médical avec des avis d’un neurologue, d’un orthophoniste, d’un ergothérapeute qui estiment que c’était indispensable » explique-t-elle.
Pourtant, en décembre dernier, elle a essuyé un refus de la Maison départementale des personnes handicapées. Un refus qu’elle n’accepte et qui va sans doute aboutir à un recours contentieux devant le Tribunal du contentieux de l’incapacité.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/27/saint-chamond-une-mere-en-colere-se-bat-pour-son-fils-dyslexique
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