La scène s'est passée lundi vers 16h20 dans le quartier Montaigu de Melun, en Seine-et-Marne, selon les informations du Parisien. Un chauffeur de bus klaxonne un véhicule mal garé sur une avenue. Quatre personnes sortent alors de la voiture et se mettent à l'insulter. Sentant que la situation va très vite dégénérer, il fait descendre les passagers de son bus par la porte arrière. Quelques instants plus tard, ce sont vingt à trente jeunes qui se mettent à caillasser le bus en le bloquant.
Le chauffeur, âgé de 38 ans, parvient à s'enfuir et s'en sort avec le poignet fracturé, des douleurs aux côtes et une petite plaie à l'arrière du drâne. Interrogée par Le Parisien, une syndicaliste dit son ras-le-bol. "La direction ne nous prend pas au sérieux. Ils ont osé parler d'un incident. Mais regardez le bus !", s'insurge Véronique Hostiou, déléguée CFTC.
Dès l'annonce de l'agression, les chauffeurs de Transdev qui conduisent les véhicules du réseau Melibus ont ensuite fait valoir leur droit de retrait jusqu'à mardi matin minimum. La direction a dit "comprendre le droit de retrait". "Mais on ne doit pas abandonner ce quartier", ajoute-t-elle.
Le chauffeur, âgé de 38 ans, parvient à s'enfuir et s'en sort avec le poignet fracturé, des douleurs aux côtes et une petite plaie à l'arrière du drâne. Interrogée par Le Parisien, une syndicaliste dit son ras-le-bol. "La direction ne nous prend pas au sérieux. Ils ont osé parler d'un incident. Mais regardez le bus !", s'insurge Véronique Hostiou, déléguée CFTC.
Dès l'annonce de l'agression, les chauffeurs de Transdev qui conduisent les véhicules du réseau Melibus ont ensuite fait valoir leur droit de retrait jusqu'à mardi matin minimum. La direction a dit "comprendre le droit de retrait". "Mais on ne doit pas abandonner ce quartier", ajoute-t-elle.
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