Humoriste, acteur, animateur radio, l’homme était également engagé auprès des personnes démunies (les Restos du Cœur) et exclues (SOS Racisme). Il s’était également porté candidat à l’élection présidentielle de 1981.
« Symbole même de la liberté bousculant sur son passage tous les tabous », l’artiste était souvent qualifié de grossier, voire vulgaire. Au lendemain de sa mort, Noël Copin, directeur de la rédaction de La Croix, s’interrogeait sur le véritable visage de l’homme : « Le masque de la trivialité n’était-il pas pour lui une sorte de bouclier » ?
Pour Jean Lebrun, dans un article paru le 25 juin, « Coluche, qu’on disait anarchiste farouche, était en fait un animal social à l’état presque pur (…), inventant un antiracisme enfin moderne, loin de l’ancien humanisme de bon ton ».
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