lundi 29 février 2016

Elles sèment la panique dans le métro parisien pour détrousser les voyageurs

Six personnes ont semé la panique dimanche matin dans le métro parisien. Elles ont fait exploser des pétards afin de faire peur aux passagers dans le but de les détrousser.
Six personnes ont créé un mouvement de panique à la station Tuileries du métro parisien, dimanche 28 février au petit matin. Elles ont jeté plusieurs pétards dans la rame de métro à l'arrêt. Leur but ? Faire peur aux voyageurs en simulant une attaque terroriste et profiter de la panique pour les détrousser.
"C'est du jamais-vu", ont commenté les policiers sur RTL. Ceux-ci sont parvenus à arrêter les quatre femmes du groupe. Elles sont poursuivies pour tentative de dégradation par moyen dangereux, mise en danger de la vie d'autrui, violence volontaire avec arme dans un moyen de transport collectif et interruption de trafic. Deux hommes, eux, ont réussi à prendre la fuite

Meurtre d'une jeune femme à Alès : "Je viens de tuer ma femme"

U n policier a abattu son ex-compagne avec son arme de service, ce samedi midi sur la rocade d'Alès, avant de se constituer prisonnier.
La voiture, une vieille Volkswagen Golf blanche immatriculée dans le Gard, est recouverte de deux draps blancs, sous une pluie battante. À l'intérieur, la conductrice, une jeune femme de 24 ans, est décédée. Le drame s'est produit ce samedi, aux alentours de midi, sur la rocade d'Alès, avenue du Maréchal-Juin, à hauteur du rond-point de la grande surface Leclerc. Si les investigations n'en sont qu'au commencement, la procureure de Nîmes, Laure Beccuau, confirme qu'il s'agit d'une "affaire criminelle, d'un drame familial survenu dans le contexte d'une séparation conflictuelle
L'auteur présumé a 34 ans. Il est fonctionnaire de police et travaille à la Direction centrale de la Sécurité publique (DDSP) du Gard." Selon nos informations, l'homme officie actuellement à Bagnols-sur-Cèze, au service de police secours, et était auparavant en poste au commissariat d'Alès. Au regard des premiers éléments de l'enquête, le policier aurait suivi son ex-compagne avant de la coincer juste avant le carrefour giratoire et de faire feu à plusieurs reprises.
"Il a tiré trois balles dans la tête de la conductrice, une jeune femme"
Selon un couple de témoins, qui se trouvait juste derrière le véhicule de la victime, "un jeune conducteur a barré la route de la voiture blanche. Il a tiré trois balles dans la tête de la conductrice, une jeune femme. Il a ensuite ouvert la portière de la Volkswagen. Il a récupéré un enfant dans ses bras. Un petit enfant. Il est ensuite parti précipitamment dans sa voiture noire. On a voulu intervenir avec un secouriste qui passait lui aussi par là. Mais il était déjà trop tard. On est sous le choc."
La problématique de la garde de l'enfant, âgé de 3 ans, aurait joué un rôle dans ce drame. Le mis en cause cherchait encore récemment un avocat. "L'homme s'est tout de suite rendu au commissariat d'Alès pour se constituer prisonnier", précise la procureure de Nîmes. Selon une source proche de l'enquête, le trentenaire aurait alors déposé son arme devant le chef de poste avant de déclarer : "Je viens de tuer ma femme. Je me rends."

Très discret sur sa vie privée

Selon nos informations, le policier a bel et bien tiré avec son arme de service mais "des vérifications doivent encore être faites pour confirmer ce point", selon Laure Beccuau. Le mis en cause a été placé en garde à vue et le SRPJ de Montpellier a été saisi de l'enquête pour préciser les circonstances de ce drame familial. Le suspect, par ailleurs pompier volontaire, est décrit comme "quelqu'un de très discret sur sa vie privée" par un policier.

http://www.midilibre.fr/2016/02/28/je-viens-de-tuer-ma-femme,1292664.php

vendredi 26 février 2016

Accident : vive émotion après la mort d'un jeune

Hier vers 13h50 à Marseille, un drame de la route a coûté la vie à Thomas, 20 ans. Le jeune homme, qui roulait sur son scooter Vespa, a été percuté par un véhicule conduit par une dame de 76 ans à l'angle de la rue Henri-Tomasi et de l'avenue de Lattre de Tassigny, dans le 9e.
La mort de cet étudiant en bachelor à Kedge Business School provoque actuellement un vif émoi, notamment sur Facebook où nombre de ses amis ont changé leur photo de profil, pour y mettre en hommage une photo d'un moment partagé avec lui.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3819051/accident-vive-emotion-apres-la-mort-dun-jeune.html

mercredi 24 février 2016

De nouveaux boutons de réactions sur Facebook

Ne dites plus "j'aime", mais "grrr", "wouaw" ou "j'adore". Facebook a lancé ce mercredi de nouveaux boutons de réaction pour accompagner le traditionnel "j'aime". Elles expriment la tristesse, l'affection, l'étonnement, l'hilarité et la colère.

Cette fonctionnalité est désormais disponible sur mobile, partout dans le monde. Il suffit de survoler le bouton "j'aime" pour faire apparaître les nouvelles icônes.



http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php

Accident à Sauvagnon (64) : le jeune motard est décédé

L'accident s'est produit dimanche, vers 16 heures, sur la route d'Arzacq
Un jeune homme de 24 ans était entre la vie et la mort, dimanche en fin d'après-midi, après l'accident qui s'est produit vers 16 heures, sur la route d'Arzacq, à Sauvagnon, en face du garage Renault.
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On ignorait dimanche en début de soirée les circonstances exactes de cet accident, mais il semblait que le jeune motard ait chuté avant de finir sa course dans le fossé.
Sur place, les secours ont tenté de le réanimer avant de le transporter en urgence vers le centre hospitalier de Pau.
Il est décédé lundi, en fin de journée, des suites de ses blessures.

http://www.sudouest.fr/2016/02/22/faits-divers-2280509-4584.php

La vieille dame était décédée quelques jours après avoir chuté du brancard

Alors qu'il veut placer en position basse le brancard sur lequel se trouve la cliente qu'il vient de ramener à la maison de retraite, la civière chancelle. Il tente de retenir la patiente mais, seul, il n'a pas la force d'éviter le pire. Le brancard tombe sur la droite.
La vieille dame pousse un cri de douleur : fracture du fémur, du genou, du coude et de deux côtes. Elle décédera cinq jours plus tard.

Hier, après de multiples renvois, l'affaire qui remonte au 21 juin 2013, était enfin audiencée. D'emblée, le président rappelle solennellement qu'au-delà du deuil de la famille, il faudra parler de droit, que les débats pourront leur être difficiles à entendre. Le jeune brancardier, apprenti au moment du drame, est mis en cause pour homicide involontaire, tout comme l'entreprise qui l'employait.
Le procureur résume parfaitement la situation d'un point de vue juridique : "La première expertise médicale nous dit que la pneumopathie pourrait être en lien avec le décès. Pourrait !" souligne-t-il. "L'autopsie indique quant à elle que 'les lésions ne sont pas à l'origine directe du décès'. Nous avons donc un lien de causalité indirect. Dans ce cas pour montrer la faute, il faut qu'il y ait un manquement délibéré à l'obligation de sécurité. Or, il n'existe aucun règlement spécifique du maniement d'un brancard. Mais… a-t-il commis une faute caractérisée en exposant quelqu'un à un risque dont il connaissait la gravité ? Oui, car lors de sa formation, il a appris qu'il faut être deux pour manipuler ce brancard."
Il requiert une peine avec sursis et une amende contre l'entreprise d'ambulances. "Comment reprocher une imprudence par manipulation à une personne morale ? s'insurge Me Capsié, défenseur de la société d'ambulances. Il faudrait un acte fautif d'un représentant de l'entreprise. Ce que ne peut être un apprenti". Il demande donc la relaxe pure et simple.
  • Le rapport du médecin légiste
Me Halimi, avocat du jeune prévenu, ne compte pas être en reste : "Un stagiaire travaille sous le couvert d'un professionnel. Il a manœuvré la civière d'après les instructions données par l'ambulancier diplômé qu'il secondait et qui était allé chercher un fauteuil roulant. Il a appelé des secours, on a redressé le brancard, amené la dame dans sa chambre. Le médecin de l'établissement ne l'a examinée que 30 minutes plus tard et on ne l'a amenée à l'hôpital que deux heures après la chute". Et là, l'avocat marque un court silence avant d'assener : "Le médecin légiste affirme que la fracture des côtes n'a pas entraîné de lésion pulmonaire. La patiente était sous dialyse, amputée des deux jambes et était affectée de troubles cardiovasculaires. Elle souffrait d'une pneumopathie depuis 2008. Par trois fois, les médecins de l'hôpital, en signant le certificat de décès, ont coché la case 'mort naturelle'."
Et de demander par conséquent la relaxe. Le tribunal s'est donné jusqu'au 15 mars pour faire connaître sa décision.
http://www.lindependant.fr/2016/02/24/la-vieille-dame-etait-decedee-quelques-jours-apres-avoir-chute-du-brancard,2161046.php

mardi 23 février 2016

Charente-Maritime : accident sur la RD109, décès d'un jeune de 20 ans

Un jeune de 20 ans, originaire de Tougon en Charente-Maritime, est décédé dans un dramatique accident de voiture sur la RD109 hier. Deux des passagers ont été blessés, dont l'un grièvement. Le conducteur, lui, s'en est tiré indemne.

Vers 15h30, les quatre jeunes hommes roulent sur la RD109, une ligne droite qui dessine la limite entre les communes de Saint-Cyr-du-Doret et Saint-Jean-de-Liversay. Cahoteuse, refaite après quasiment chaque hiver pluvieux, la route de marais est connue pour sa dangerosité par les habitants du coin.

"Je n'aime pas cette route", confie par exemple Ghislaine Got, l'adjointe au maire de Saint-Cyr-du-Doret qui était de permance le jour de l'accident. "Il y avait déjà eu un accident, mais c'était il y a plus de cinq ans. Les gens font en général bien attention", ajoute-elle.

Lorsque l'élue arrive sur les lieux de l'accident vers 16h30, la voiture accidentée se trouve au fond du canal. Une équipe de plongeurs des pompiers vient d'arriver. "Le marais est si haut à cette période de l'année que l'on ne voyait même pas le toit du véhicule", raconte-elle encore abasourdie par la scène.

D'après le capitaine Brissiet de la compagnie de gendarmerie de La Rochelle, le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule. Après quelques embardées, la voiture a traversé la chaussée, percuté un platane au niveau de l'arrière gauche et s'est trouvée projetée dans le canal.

Selon les gendarmes, le passager avant a réussi à extraire ses amis de la carcasse en train de sombrer. Mais il était déjà trop tard, l'un des deux passagers arrières était déjà noyé. L'autre, âgé de 17 ans, a été transporté vers 17h au CHU de Poitiers par l'hélicoptère Dragon 17 de la sécurité civile.

L'enquête confiée à la compagnie de Gendarmerie de La Rochelle devra déterminer les causes exactes de l'accident. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente-maritime/charente-maritime-accident-sur-la-rd109-deces-d-un-jeune-de-20-ans-934759.html

Un camion en feu a bloqué l'A68 entre Albi et Toulouse

A 06h30 ce matin sur l'autoroute, dans le sens Albi Toulouse, la cabine d'un camion de travaux public a pris feu. Les sapeurs-pompiers sont intervenus et on maîtrisé le feu.
Il n'y a pas eu de blessé. La circulation a été coupée pendant 1 heure environ


http://www.ladepeche.fr/

lundi 22 février 2016

Béarn : le célèbre pilote de paramoteur Jérôme Scalvini tué dans un accident

L'accident s'est produit ce dimanche matin à Louvie-Juzon, en Vallée d'Ossau. Jérôme Scalvini était un pilote chevronné
Le paramotoriste Jérôme Scalvini est mort accidentellement ce dimanche matin peu après 10 heures. Il s'est écrasé dans un champ, sur le lieu-dit Pédestarrès à Louvie-Juzon, en Béarn.
Une défaillance de son moteur serait à l'origine d'une chute de près de 30 mètres. Le médecin du SMUR, arrivé sur place à bord de l'hélicoptère Dragon 64, n'a pu que constater le décès. 
Les gendarmes de la compagnie de Laruns et de la brigade du transport aérien de Pau sont saisis de l'enquête. Selon les premiers éléments recueillis sur place, le pilote testait un nouveau moteur lorsque l'accident s'est produit.
Ancien mécanicien hélicoptère dans l'armée, cet amoureux du ciel aguerri de 43 ans était installé à Limendous. En Béarn, il était célèbre sous le nom de Skyrider 64. Il avait récemment réalisé un survol de toute la chaîne pyrénéenne, compilant son expérience dans une vidéo. Invité récemment sur le plateau de France 3 Midi-Pyrénées. Il expliquait sa démarche par une volonté "de partager au maximum".  
http://www.sudouest.fr/2016/02/21/bearn-le-celebre-pilote-de-paramoteur-jerome-scalvini-tue-dans-un-accident-2280060-4344.php

A contre-sens sur l'autoroute, la voiture percute un poids lourd : une personne grièvement blessée

Une femme de 46 ans a été grièvement blessée dans une collision entre une voiture et un poids lourd survenue cette nuit vers 1h20 sur l'A36, dans le sens Mulhouse-Belfort, au niveau de l'aire de repos des Grands Prés sur le ban communal de Bessoncourt (Territoire de Belfort). 
D'après les informations recueillies sur place, la voiture circulait à contre-sens sur l'autoroute avant de percuter de plein fouet un poids lourd. 
Les secours ont procédé à une désincarcération de la conductrice prisonnière de l'habitacle de son véhicule. Son pronostic vital est engagé.
http://www.dna.fr/actualite/2016/02/22/la-voiture-percute-un-poids-lourd-une-personne-grievement-blessee

dimanche 21 février 2016

Trébeurden (22) : une femme est décédée en pratiquant du longe-côte

Une femme de 46 ans est décédée ce samedi après-midi sur la plage de Tresmeur à Trébeurden, près de Lannion dans les Côtes d'Armor, alors qu'elle pratiquait du longe-côte, de la marche aquatique. Elle marchait en groupe avec des membres de son club, lorsqu'elle a fait un malaise cardiaque. Les secours ont été appelés aussitôt, un hélicoptère du SAMU de Saint-Brieuc et les pompiers de Lannion et Perros-Guirec, mais ils n'ont rien pu faire pour la ranimer.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/trebeurden-22-une-femme-est-decedee-en-pratiquant-du-longe-cote-933297.html

Croix-Baragnon : 200 000 euros de Rolex volés en plein jour

Arrivés à bord d'une puissante voiture, une Porsche selon différents témoins, ils se sont arrêtés au milieu de la rue Croix-Baragnon. Un homme est descendu devant la boutique Dorise, joaillier et horloger renommé de cette rue très commerçante du centre de Toulouse, à moins de 300 mètres de la préfecture et de son poste de garde… Dès que la porte de la boutique a été ouverte, au moins deux individus sont sortis du véhicule, les visages dissimulés et une arme de poing à la main. Une fois dans la boutique, ils ont «cassé» une vitrine blindée où se trouvaient des montres Rolex. Les braqueurs se sont emparé de plusieurs modèles. Le butin n'était pas chiffré hier mais devrait dépasser la dizaine de milliers d'euros - environ 200 000 € selon leparquet. En revanche, malgré leur violente tentative, les voyous n'ont pas réussi à ouvrir les autres vitrines qui sont blindées et dont le système de sécurité permet l'ouverture d'une seule vitrine à la fois. Les braqueurs ont pris la fuite à bord de leur véhicule et ont disparu. Les enquêteurs de permanence à la sûreté départementale puis ceux du SRPJ de Toulouse se sont rendus sur place pour réaliser les premières constatations et entendre les témoins. Le responsable de la bijouterie qui se trouvait dans son bureau n'a pas vu les braqueurs, contrairement à son employé confronté à des individus déterminés mais calmes. «Plutôt pro», lâche un policier.

Car-jacking mardi soir

Selon différents témoignages, l'agression a été très rapide, moins de cinq minutes même si l'employé menacé parle de «minutes qui durent des heures». Le parquet a saisi la police judiciaire pour mener l'enquête. Ces spécialistes ne manquent pas d'éléments pour commencer leurs investigations. Les témoignages des victimes directes mais également ceux des commerçants voisins, tous ouverts lors de l'agression. Des caméras de la ville surveillent cette rue qui, malheureusement, n'a pas vécu hier sa première attaque de bijouterie. Les vidéos des différents magasins de la rue pourraient également être exploitées par les enquêteurs.Autre piste non négligeable, la voiture utilisée par les braqueurs. Une Porsche Macan a été retrouvée en feu quelques minutes plus tard dans une petite rue du quartier de la Côte Pavée. Un modèle qui, curieusement, est identique a celui dérobé avec violence mardi soir place des Ormeaux. Les braqueurs préparaient-ils leur coup ? La police judiciaire est restée muette, hier, mais la piste sera forcément étudiée de près

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/21/2281599-croix-baragnon-200-000-euros-rolex-voles-plein-jour.html

samedi 20 février 2016

Ménil-la-Horgne : un mort sur la Nationale 4

L'un des passagers d'un véhicule transportant 5 personnes est décédé samedi 20 février 2016 suite à un accident sur la RN4 à hauteur de Ménil-la-Horgne (Meuse). Le jeune homme, âgé d'une vingtaine d'années, est décédé pendant son transport à l'hôpital. 4 autres jeunes ont été hospitalisés à Toul
Cinq jeunes hommes, circulant à bord d'un véhicule ont été victime d'un accident sur la RN4 dans le sens Paris-Nancy, samedi 20 février 2016 vers 8h du matin. Leur véhicule a été victime d'une perte de contrôle à hauteur de la commune de Ménil-la-Horgne dans la Meuse.

L'un des passagers arrière,
selon L'Est Républicain, a été trouvé par les secours dans un état grave et est décédé pendant son transfert par les services sanitaires. Les quatre autres occupants, légèrement blessés, ont été hospitalisés à Toul (Meurthe-et-Moselle).

Selon le quotidien, les 5 jeunes gens se rendaient à un tournoi de football en Moselle.

Une enquête est en cours pour préciser les causes de cet accident mortel. Elle est menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Void-Vacon (Meuse).

http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/meuse/menil-la-horgne-un-mort-sur-la-nationale-4-932855.html

Carcassonne: trois blessés graves dans une collision

L'accident s'est produit à Fanjeaux, hier, vers 19 h 30. Une première personne a été évacuée par hélicoptère.
Deux voitures sont entrées en collision, hier soir, vers 19 h 30, sur la commune de Fanjeaux, au niveau de l'écart Taurines, sur la route départementale 4, en direction de Bram. Trois personnes ont été grièvement blessées lors du choc.

L'une d'entre elles a été transportée par hélicoptère vers un hôpital toulousain en raison de l'importance de ses blessures . Les deux autres devaient aussi être évacués pour soins dans la soirée. Deux équipes du Smur sont intervenues auprès des sapeurs-pompiers du secteur pour prendre en charge ces personnes. L'enquête de gendarmerie devrait permettre de déterminer les circonstances de cette violente collision.
http://www.lindependant.fr/2016/02/20/trois-blesses-graves-dans-une-collision,2159559.php

La Réunion: Au moins 75 personnes victimes d'une intoxication alimentaire

Les repas avaient été préparés par le même prestataire de service. Au moins 75 personnes ont été victimes d'une intoxication alimentaire après avoir consommé des repas préparés par une entreprise de restauration collective, à La Réunion, a-t-on appris vendredi auprès de la préfecture et des services de secours. Une dizaine d'entre-elles a été dirigée vers les urgences. L'état de santé des malades n'inspirent plus d'inquiétude depuis.
Les premiers cas d'intoxication ont été signalés jeudi après-midi dans deux foyers d'accueil médicalisé de la Saline les Bains et de Saint-Gilles les Bains (ouest de La Réunion). Peu après le déjeuner, une quarantaine de personnes, des adultes et des enfants, ont été atteintes de maux de tête, de vomissements et de diarrhées.

Une trentaine de pompiers mobilisée

Une trentaine de pompiers a été mobilisée pour porter secours aux malades. L'agence régionale de santé de l'océan Indien (ARS-OI) a effectué jeudi des prélèvements sur les restes de repas préparés par un prestataire de service spécialisés dans la restauration collective.
Dans le même temps, «une action a été menée conjointement par les services de la Direction de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DAAF) et de l'ARS-OI dans les locaux du prestataire (...), afin d'identifier les germes en cause et de limiter le nombre de contamination», a indiqué la préfecture dans un communiqué.
Vendredi matin, 35 nouveaux cas d'intoxication étaient signalés dans deux centres de formation des apprentis (CFA) de Sainte-Clotilde (nord de l'île) et du Port (ouest de l'île). Les personnes, dont des apprentis logés dans les internats des CFA, étaient à leur tour atteintes de vomissements et de diarrhées.

Le même prestataire de service

La veille, les malades avaient consommé au dîner des repas préparés par le même prestataire de service. Les pompiers et le Samu ont été mobilisés pour prendre en charge les personnes.
En milieu d'après-midi, le préfet a pris un arrêté «suspendant immédiatement l'activité de la cuisine de l'entreprise, c'est-à-dire la fabrication et la livraison de repas». Le fabriquant a aussi obligation de rappeler et détruire tous les produits livrés les 17, 18 e 19 février, de désinfecter ses locaux et de «faire procéder à une visite médicale du personnel de production afin de confirmer leur aptitude à la préparation de repas.»
Dans la soirée de vendredi, la commune de Saint-Denis a publié un communiqué indiquant : «des symptômes d'intoxication alimentaire ont été détectés en début d'après-midi chez quelques bénéficiaires du dispositif de portage de repas à domicile». Ces repas provenaient du même prestataire déjà mis en cause. Les personnes atteintes se sont rétablies.

http://www.20minutes.fr/societe/1790667-20160220-reunion-moins-75-personnes-victimes-intoxication-alimentaire

Biterrois : ils avaient pillé une maison à Pomérols

Quatre personnes ont été arrêtées lundi par les gendarmes après un cambriolage commis en novembre à Pomérols. Ils seront jugés au mois de septembre.
Dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre, à Pomérols, plusieurs individus ont escaladé le mur d'enceinte d'une maison vigneronne au centre du village. Là, à l'abri du regard extérieur, ils ont fracturé la porte d'entrée et visité les deux étages. Les voleurs ont quitté les lieux en emportant des appareils numériques ainsi qu'une quantité très importante d'appareils photographiques de collection.

Un préjudice de plus de 60 000 €

Ont été également emportés dans le cambriolage, des caisses de nourriture, de bouteilles d'alcool, de vins grands crus, de la bière et des autres aliments non périssables. Deux véhicules, une Subaru et une Logan dont les clés étaient sur le contact, ont aussi été dérobés pour charger le matériel volé qui sera déposé dans un mazet. Les véhicules ont été  retrouvés entièrement calcinées le lendemain des faits. Le préjudice global s'élève à environ 60 000 €.
Les investigations menées par les enquêteurs de la communauté de brigades d'Agde ont permis l'interpellation ce lundi de quatre hommes originaires de Pomérols et Pinet. Trois sont convoqués devant le tribunal correctionnel le 26 septembre pour vol aggravé, destruction par incendie de deux voitures et conduite sans permis.

Une grande partie du matériel volé retouvée

Une grande partie du matériel volé a pu être récupérée ; notamment l'intégralité des appareils photo de collection. Ils ont été restitués à la victime. Les perquisitions ont aussi permis de découvrir au domicile d'un individu quelque 200 gr de résine et d'herbe de cannabis ainsi que 800 € en liquide. Une saisie qui fera l'objet d'une enquête pour trafic de stupéfiants.
http://www.midilibre.fr/2016/02/19/ils-avaient-pille-une-maison-a-pomerols,1289152.php
 

vendredi 19 février 2016

Pantin : un policier plonge dans l'eau glaciale pour sauver une femme

Rarement le terme de « police secours » aura trouvé autant de sens qu'à Pantin ce vendredi matin. Les secours ont été alertés qu'une femme se noyait dans le canal de l’Ourcq. Premiers sur place, les policiers en tenue de Pantin ont vu que la victime étant encore en vie. C'est à ce moment que l'un des fonctionnaires a posé son ceinturon et sauté dans l'eau à 4 degrés pour ramener cette femme, qui se trouvait à plusieurs mètres du bord.

Il a réussi à la tirer vers le bord et les secours, entre-temps arrivés, ont pris le relais. La femme, âgée de 70 ans, a été hospitalisée en état d'hypothermie, dans un état jugé grave. Rien ne permet de savoir si cette femme s’est délibérément jetée à l’eau.
Le fonctionnaire a été lui aussi conduit à l'hôpital, sa température ayant chuté à 33 degrés. Il s'agit d'un policier stagiaire, qui a moins d'une année d'ancienneté et dont « la bravoure et le dévouement au péril de sa vie », sont déjà salués par le syndicat de police Alliance.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93

Un amour impossible entre un homme de 42 ans et une ado de 14 ans

Il a 42 ans. Elle en a 14. C'est l'histoire d'un amour impossible, d'une relation vouée à l'échec, d'un leurre. Franck et Charline (1) se sont rencontrés via snapchat. Au fil de leurs conversations, ils se sont attachés l'un à l'autre. Il est allé la voir à Narbonne. Elle est venue à Tarbes. Ils ont fait l'amour et ont vécu comme un couple du 19 juin au 1er juillet 2015, date à laquelle Franck est interpellé en gare de Tarbes, alors qu'il accompagne Charline au train. La mère de l'adolescente a attendu dix jours pour alerter la police, c'est dire si elle s'inquiétait pour sa fille.
La présidente Élisabeth Gadoullet explique que Charline se trouvait «dans un milieu pervers» de par sa présence sur un site de rencontre et les réseaux sociaux. «Avec vous, elle tombe sur une image d'adulte qui l'emmène encore plus vers la perversité, qu'est-ce qui s'est passé ?», interroge la présidente. «Un moment d'égarement, je ne sais pas.» Franck avoue qu'il était amoureux d'elle et elle aussi. Pendant l'enquête, il a déclaré : «Cela a été un coup de foudre. J'aime Charline et c'est réciproque. Je sais que c'est hors la loi mais je l'aime toujours». Aujourd'hui, il a coupé court et ne répond plus aux courriers de Charline et a entamé une relation avec une femme de son âge.
L'avocate de la mère de Charline, partie civile, estime que Franck a profité de la crédulité de Charline. «Il a cassé l'enfance de cette jeune fille.» L'avocate fait ensuite part des demandes de la mère en matière de dommages et intérêts. Elle réclame rien moins que 20.000 €. Le père, qui s'est aussi constitué partie civile, demande, lui, 20.000 € pour sa fille et 5.000 € à titre personnel. Des parents visiblement plus prompts à battre monnaie qu'à s'occuper de leur fille.

«Pas de perversion, juste de la transgression morale»

François Jardin, vice-procureur, rappelle que la loi «obligeait» Franck «à mettre le holà à cette relation. «Elle n'était pas apte à apprécier le caractère gravissime de la situation. Elle recherchait un pigeon pour la sortir de sa réalité.» François Jardin relève également des écritures différentes dans les lettres d'amour de Charline. Et de s'interroger sur la stabilité affective de l'adolescente.
Pour Me Stéphanie Balespouey, conseil de Franck, «cette histoire, c'est la rencontre de deux immaturités… Il n'y avait aucune perversion mais de la transgression morale, des deux côtés». L'avocate ajoute que la mère de Charline «était au courant de la situation. Elle a choisi de laisser sa fille seule pour qu'elle retrouve son amant et n'a déclaré une fugue que dix jours après et vient réclamer aujourd'hui 20.000 €».
Le tribunal a condamné Franck à 100 jours-amendes à 15 €. Il a ordonné son inscription au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS). Il a réduit à une juste mesure les demandes de la mère en lui octroyant 300 € de dommages et intérêts et a débouté les demandes du père.
(1) Les prénoms ont été changés.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/19/2280301-amour-impossible-entre-homme-42-ans-ado-14-ans.html

Blessé par balles à Héricourt : embrouille ou règlement de comptes ?

Il va bien », assurait, hier, une source proche de l’enquête, évoquant l’état de santé de l’Héricourtois, blessé par balles, ce mercredi après-midi (notre précédente édition).
« C’est regrettable. Et cela provoque une émotion légitime », constate Fernand Burkhalter. « Surtout pour une ville réputée calme comme Héricourt. Il ne s’est pas passé d’événements de ce type, depuis des lustres », complétait, hier, le maire de la ville.
Fernand Burkhalter avait rapidement été prévenu ce mercredi. « J’étais en réunion », raconte-t-il. « Je ne me suis pas rendu sur place immédiatement. » À une centaine de mètres de la mairie, un homme de 29 ans a été blessé par balles.
Les faits se sont déroulés dans la principale rue commerçante d’Héricourt. À hauteur du 43 de l’avenue du Général-de-Gaulle. « Devant les panneaux publicitaires », indique une riveraine. Autrement dit, un élément de signalétique urbaine ancré face à un porche qui débouche sur le Centre communal d’action sociale. L’endroit est légèrement à l’écart. Propice aux secrets. « Il y a de la fréquentation », laisse entendre une voisine.

Un véhicule, à proximité de l’agression

L’homme visé a reçu deux balles dans les cuisses. Pas du plomb. Mais du petit calibre, genre 7,65. La victime a été secourue par les pompiers de la ville. Une équipe médicale du Smur a également été mobilisée. Les pompiers ont finalement dirigé le blessé vers l’hôpital de Belfort. La victime, un homme déjà connu des forces de l’ordre semble s’en sortir plutôt bien.
Les services de police de la ville ont procédé aux premières constatations. Le parquet de Vesoul a co-saisi les services du SRPJ pour comprendre les tenants et aboutissants de cet acte violent. Les enquêteurs travaillent encore dans le cadre d’une enquête dite de flagrance, qui à terme devrait déboucher sur l’ouverture d’une information judiciaire.
La victime dans ses premières déclarations aurait assuré ne pas connaître son agresseur. Les faits seraient-ils liés à une embrouille qui serait montée en température ? La piste du règlement de compte ne semble pourtant pas exclue.
Hier, Julie Bressand, la vice-procureur de Vesoul n’excluait pourtant pas de qualifier juridiquement les faits de tentative de meurtre. Selon un témoin, les policiers auraient peu de temps après les faits fait enlever un véhicule, à proximité des lieux de l’agression. Ce serait a priori celle de la victime.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/02/19/hericourt-vise-pourquoi

mercredi 3 février 2016

Michel Drucker recadré par le cancérologue de Michel Delpech

Claude Maylin, le cancérologue de Michel Delpech, était invité ce mardi sur le plateau de BFMTV. Le spécialiste a estimé que Michel Drucker aurait dû se taire quand il a annoncé en juin dernier que Michel Delpech allait succomber à son cancer au plus tard en septembre.
C’est une histoire qui avait fait beaucoup de bruit en juin dernier. Proche de Michel Delpech, alors atteint d’un cancer de la gorge et de la langue depuis plusieurs années, Michel Drucker avait annoncé qu’il ne restait que très peu de temps à vivre au chanteur : « L’autre jour, je suis arrivé alors que les médecins venaient de le quitter. Il avait demandé aux médecins : "Dites-moi la vérité en face". Il voulait savoir : "J’en ai pour combien de temps ?" Et les médecins lui ont dit : "Vous ne serez plus là en septembre" », avait-il raconté au Parisien. Une déclaration qui a fait bondir Claude Maylin, le cancérologue en charge du chanteur.  « Nous médecins, premièrement, on n’a pas le droit de le dire. Deuxièmement, on ne sait pas. Au mois de mai, il était très bien. On n’a jamais parlé de mort. J’ai beaucoup de respect pour Michel Drucker mais lorsqu’il est dans son émission. Il faut qu’il y reste », a-t-il lancé. Pour le docteur, la déclaration de l’animateur aurait contribué à nuire l’état de santé de Michel Delpech et l’aurait aucunement aidé dans son combat.
Ce n’était pas la première fois que le professeur Maylin se rendait sur le plateau de BFMTV pour évoquer Michel Delpech. Deux semaines après la mort de celui-ci, il avait raconté son parcours de soins et avait salué son combat.