Alors qu’il se trouvait sur la plage de Torreilles dans les Pyrénées-Orientales (66), Thomas Pauline aperçut un homme de 67 ans en grande difficulté à une trentaine de mètres du rivage. Il se jeta alors à l’eau et parvint à ramener la victime jusqu’à la terre ferme. Il l’assista ensuite jusqu’à l’arrivée des secours. Il a, par son action, permis de sauver cette personne qui était en train de se noyer.
Pour ce fait héroïque, le préfet des Pyrénées-Orientales lui a décerné, par arrêté en date du 23 septembre 2016, la médaille de bronze pour acte de courage et de dévouement.
Félicitations à ce jeune réserviste étudiant en droit, âgé de seulement 18 ans, et résidant à Panazol en Haute-Vienne. A noter qu’il a signé un contrat dans la réserve opérationnelle cet été après avoir suivi le cycle de formation de la préparation militaire gendarmerie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
vendredi 30 septembre 2016
Prix à la pompe : vers la fin du pétrole pas cher ?
À la surprise générale, les pays de l'Opep sont parvenus à un accord, mercredi soir à Alger pour réduire leur production d'or noir afin de soutenir des prix durablement affaiblis par une offre excédentaire.
«Historique» disent les uns. «Éphémère», analysent les autres. Mercredi soir à Alger, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s'est entendue sur un accord de principe sur la réduction de la production de pétrole brut : de l'ordre de 700 000 barils par jour, soit entre un tiers et la moitié de l'excédent de production mondiale. Mais qui dit baisse de la production dit baisse de l'offre, donc hausse du prix du brut. Quel impact alors sur les prix à la pompe ?
Le cartel des quatorze membres de l'Opep qui produit 40 % du brut mondial, n'avait jamais autant actionné le levier de la limitation, depuis la crise de 2008 pour tenter de remonter le prix du baril, lequel s'affichait hier soir à Londres à 46 $ – encore loin des 114 $ atteints en juin 2014. L'offre de brut mondiale reste par ailleurs très abondante. Et le principal exportateur, la Russie, qui ne fait pas partie de l'Opep, a déjà dit qu'elle était pour un gel de la production au niveau atteint en septembre de cette année, estimant qu'un prix «juste» du baril devrait se situer entre 50 et 60 dollars.
L'un dans l'autre, la part du pétrole brut étant très faible par rapport aux taxes des pays consommateurs, les prix des carburants ne devraient augmenter qu'à la marge.
À ce stade, on sait que trois pays devraient être autorisés à produire «à des niveaux maximums qui font sens», selon le ministre saoudien du pétrole, Khalid al Falih, hier : l'Iran, pénalisé par les sanctions internationales ; le Nigeria, touché par des attaques de rebelles sur ses installations pétrolières du delta du Niger ; et la Libye, ravagée par la guerre civile.
On sait aussi que de nombreux membres de l'Opep souffrent économiquement de la concurrence des hydrocarbures de schiste américains, à l'image de l'Arabie Saoudite, prise à la gorge et dont le déficit public est estimé à 20 % du PIB. Pour parvenir à un accord, Ryad a d'ailleurs concédé à son grand rival Téhéran le droit d'être dédouané de limitation et donc de pouvoir augmenter sa production. Beaucoup d'inconnues demeurent encore dans la stratégie du cartel. Y compris dans quelques déclarations qui ont suivi l'accord d'Alger : «Il y a la possibilité que l'Opep ait réussi à se mettre d'accord sur un petit accord qui pourrait ouvrir la voie à un accord sur une réduction plus globale de la production lors de la réunion de Vienne, a résumé le ministre algérien de l'Énergie, Noureddine Boutarfa. Mais l'Opep le sait. La consommation pétrolière mondiale ne cesse d'augmenter. Et le risque d'un retournement du marché à plus ou moins moyen terme n'est pas à exclure. Une carte à jouer.
http://www.ladepeche.fr/economie/energie/
Le cartel des quatorze membres de l'Opep qui produit 40 % du brut mondial, n'avait jamais autant actionné le levier de la limitation, depuis la crise de 2008 pour tenter de remonter le prix du baril, lequel s'affichait hier soir à Londres à 46 $ – encore loin des 114 $ atteints en juin 2014. L'offre de brut mondiale reste par ailleurs très abondante. Et le principal exportateur, la Russie, qui ne fait pas partie de l'Opep, a déjà dit qu'elle était pour un gel de la production au niveau atteint en septembre de cette année, estimant qu'un prix «juste» du baril devrait se situer entre 50 et 60 dollars.
L'un dans l'autre, la part du pétrole brut étant très faible par rapport aux taxes des pays consommateurs, les prix des carburants ne devraient augmenter qu'à la marge.
Le plus dur reste à faire, avant Vienne fin novembre
Avant d'aller plus loin, il faut néanmoins attendre la réunion de Vienne, le 30 novembre. L'Opep devra y confirmer la contribution et les objectifs de production de chacun. Une précédente tentative du cartel pour réguler le marché avait tourné court en avril.À ce stade, on sait que trois pays devraient être autorisés à produire «à des niveaux maximums qui font sens», selon le ministre saoudien du pétrole, Khalid al Falih, hier : l'Iran, pénalisé par les sanctions internationales ; le Nigeria, touché par des attaques de rebelles sur ses installations pétrolières du delta du Niger ; et la Libye, ravagée par la guerre civile.
On sait aussi que de nombreux membres de l'Opep souffrent économiquement de la concurrence des hydrocarbures de schiste américains, à l'image de l'Arabie Saoudite, prise à la gorge et dont le déficit public est estimé à 20 % du PIB. Pour parvenir à un accord, Ryad a d'ailleurs concédé à son grand rival Téhéran le droit d'être dédouané de limitation et donc de pouvoir augmenter sa production. Beaucoup d'inconnues demeurent encore dans la stratégie du cartel. Y compris dans quelques déclarations qui ont suivi l'accord d'Alger : «Il y a la possibilité que l'Opep ait réussi à se mettre d'accord sur un petit accord qui pourrait ouvrir la voie à un accord sur une réduction plus globale de la production lors de la réunion de Vienne, a résumé le ministre algérien de l'Énergie, Noureddine Boutarfa. Mais l'Opep le sait. La consommation pétrolière mondiale ne cesse d'augmenter. Et le risque d'un retournement du marché à plus ou moins moyen terme n'est pas à exclure. Une carte à jouer.
http://www.ladepeche.fr/economie/energie/
samedi 24 septembre 2016
Jacques Chirac toujours hospitalisé, son épouse est rentrée chez elle
L'ancien président de la République Jacques Chirac est toujours hospitalisé à la Pitié Salpêtrière, à Paris, pour soigner une infection pulmonaire. Jacques Chirac, 83 ans, "poursuit son traitement", a indiqué sa famille à l'AFP, samedi matin.
» Qu'est-ce qu'une infection pulmonaire ?
Son épouse Bernadette Chirac, elle aussi hospitalisée depuis mercredi, est de son côté rentrée chez elle. Elle avait été admise dans le même hôpital que son mari, "épuisée", selon son gendre Frédéric Salat-Baroux.
Ce dernier, qui avait appelé mercredi au respect de la "tranquillité" et de "la vie privée" de l'ancien chef de l'Etat (1995-2007) et de sa famille en réaction à des rumeurs sur son décès supposé, a une nouvelle fois rendu hommage à "la compétence" et au "dévouement" des "équipes médicales, soignantes et administratives" de la Pitié-Salpêtrière. "Elles font la preuve, s'il en était encore besoin, de l'exceptionnelle qualité et de la valeur du service public hospitalier français", a-t-il souligné.
L'ancien président a été pris en charge dimanche matin pour le traitement d'une infection pulmonaire. Son retour du Maroc, où il séjournait avec son épouse Bernadette, avait été avancé de 24 heures sur avis des médecins.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
» Qu'est-ce qu'une infection pulmonaire ?
Son épouse Bernadette Chirac, elle aussi hospitalisée depuis mercredi, est de son côté rentrée chez elle. Elle avait été admise dans le même hôpital que son mari, "épuisée", selon son gendre Frédéric Salat-Baroux.
Ce dernier, qui avait appelé mercredi au respect de la "tranquillité" et de "la vie privée" de l'ancien chef de l'Etat (1995-2007) et de sa famille en réaction à des rumeurs sur son décès supposé, a une nouvelle fois rendu hommage à "la compétence" et au "dévouement" des "équipes médicales, soignantes et administratives" de la Pitié-Salpêtrière. "Elles font la preuve, s'il en était encore besoin, de l'exceptionnelle qualité et de la valeur du service public hospitalier français", a-t-il souligné.
L'ancien président a été pris en charge dimanche matin pour le traitement d'une infection pulmonaire. Son retour du Maroc, où il séjournait avec son épouse Bernadette, avait été avancé de 24 heures sur avis des médecins.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
vendredi 23 septembre 2016
Escroquerie présumée à l'assurance maladie
Falsification d'ordonnances et fausses facturations: une pharmacienne lyonnaise de 46 ans est soupçonnée d'avoir escroqué l'assurance maladie pour plus de 2,2 millions d'euros, a annoncé la police aujourd'hui.
Les policiers ont pu saisir 1,3 million sur les comptes de l'intéressée, qui a été interpellée mercredi et devait être présentée au parquet dans la journée. Son ex-mari avait lui été interpellé hier, les enquêteurs le soupçonnant "d'avoir bénéficié de fausses facturations pour des médicaments qui ne lui étaient pas destinés". Il a été laissé libre. C'est la sûreté départementale qui suit l'affaire.En août la justice avait condamné à 4 ans de prison un homme, présenté comme l'une des chevilles ouvrières d'une vaste escroquerie à la sécurité sociale dans les Alpes-Maritimes.
L'escroquerie, qui avait causé un préjudice estimé par les enquêteurs à plus de 600.000 euros à plusieurs caisses primaires d'assurance-maladie et caisses complémentaires entre 2009 et 2012, reposait sur la délivrance par des médecins complaisants d'ordonnances pour des médicaments généralement très onéreux, à de faux patients détenteurs de cartes Vitale usurpées. Ces derniers allaient ensuite présenter leur prescription chez un pharmacien qui ne leur délivrait pas les médicaments mais se les faisait rembourser par la sécurité sociale
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Les policiers ont pu saisir 1,3 million sur les comptes de l'intéressée, qui a été interpellée mercredi et devait être présentée au parquet dans la journée. Son ex-mari avait lui été interpellé hier, les enquêteurs le soupçonnant "d'avoir bénéficié de fausses facturations pour des médicaments qui ne lui étaient pas destinés". Il a été laissé libre. C'est la sûreté départementale qui suit l'affaire.En août la justice avait condamné à 4 ans de prison un homme, présenté comme l'une des chevilles ouvrières d'une vaste escroquerie à la sécurité sociale dans les Alpes-Maritimes.
L'escroquerie, qui avait causé un préjudice estimé par les enquêteurs à plus de 600.000 euros à plusieurs caisses primaires d'assurance-maladie et caisses complémentaires entre 2009 et 2012, reposait sur la délivrance par des médecins complaisants d'ordonnances pour des médicaments généralement très onéreux, à de faux patients détenteurs de cartes Vitale usurpées. Ces derniers allaient ensuite présenter leur prescription chez un pharmacien qui ne leur délivrait pas les médicaments mais se les faisait rembourser par la sécurité sociale
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
jeudi 22 septembre 2016
Mort de Jacques Chirac démentie : des nouvelles peu rassurantes de l'ancien président
La mort de Jacques Chirac annoncée puis le décès démenti, place ce jeudi à de nouvelles inquiétudes sur sa santé. L'ancien président serait dans un état "critique"...
[Mis à jour le 22 septembre 2016 à 17h04] La mort de Jacques Chirac, pourtant très vite démentie par son cercle rapproché, a provoqué un emballement d'une rare intensité sur la Toile mercredi. Ce jeudi, après la tempête, les informations sur l'état de santé de l'ancien président se font plus rares. Mais les quelques confidences lâchées par ses proches ne sont pas pour autant plus réjouissantes. Le Parisien écrit par exemple que Jacques Chirac serait dans un état "critique". Citant des "sources concordantes", le journal francilien évoque sans le dire clairement un possible arrêt des soins qui pourrait être prochainement décidé par la famille, en concertation avec les médecins. Le Parisien croit en effet savoir que "la famille aurait été avisée qu'elle aurait peut-être à décider de son sort".
Autre signe que la santé de Jacques Chirac semble des plus précaires, François Hollande se "tient informé" de la situation selon le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. De retour de New York où s'est tenue une assemblée des Nations unies, le chef de l'Etat, qui entretient une relation particulière avec son prédécesseur et ancien rival en Corrèze, suivrait de très près les événements à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Selon Stéphane Le Foll qui s'exprimait à l'issue du Conseil des ministres ce midi, "des relations se sont nouées avec un certain nombre de personnes" dans le clan Chirac, lui permettant d'être averti de toute évolution
http://www.linternaute.com/actualite/personnalites/
Autre signe que la santé de Jacques Chirac semble des plus précaires, François Hollande se "tient informé" de la situation selon le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. De retour de New York où s'est tenue une assemblée des Nations unies, le chef de l'Etat, qui entretient une relation particulière avec son prédécesseur et ancien rival en Corrèze, suivrait de très près les événements à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Selon Stéphane Le Foll qui s'exprimait à l'issue du Conseil des ministres ce midi, "des relations se sont nouées avec un certain nombre de personnes" dans le clan Chirac, lui permettant d'être averti de toute évolution
http://www.linternaute.com/actualite/personnalites/
Christine Boutin maintient ses propos sur la mort de Jacques Chirac
L'ex-ministre qui a agité médias et sphère internet mercredi avec son tonitruant tweet "Mort de Chirac" assure avoir appris la nouvelle de source qui lui a semblé "sûre." Elle persiste et signe, et... ne retire pas son post.
C'est sur les ondes de RTL ce jeudi matin que l'ancienne ministre Christine Boutin a été interrogée sur la publication de son post Twitter de la veille: "Mort de Chirac". Pour rappel des faits, le couple Chirac est hospitalisé à Paris à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Jacques pour infection pulmonaire, Bernadette pour "souffler et récupérer un peu" a annoncé à l'Agence France Presse sa famille. Les rumeurs sur l'état de santé et la fin de vie de l'ancien chef de l'Etat sont allées bon train tout au long de la journée de mercredi. Animées notamment par les dires sur la toile de Christine Boutin. Cette dernière n'a toujours pas retiré son message ce jeudi matin et justifie ses propos au micro de RTL dans l'émission d'Yves Calvi: "J'ai fait ce tweet parce que j'ai eu l'information que j'ai estimée sûre, tant la source m'a semblée sûre. Le buzz qu'il y a eu après ce tweet, montre que les Français sont en attente de cette information (...) Ma vie politique a été jalonnée par celle de Jacques Chirac." Cette démarche serait pour elle une marque de "respect."
http://www.lindependant.fr/2016/09/22/christine-boutin-maintient-ses-propos-sur-la-mort-de-jacques-chirac,2260781.php
C'est sur les ondes de RTL ce jeudi matin que l'ancienne ministre Christine Boutin a été interrogée sur la publication de son post Twitter de la veille: "Mort de Chirac". Pour rappel des faits, le couple Chirac est hospitalisé à Paris à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Jacques pour infection pulmonaire, Bernadette pour "souffler et récupérer un peu" a annoncé à l'Agence France Presse sa famille. Les rumeurs sur l'état de santé et la fin de vie de l'ancien chef de l'Etat sont allées bon train tout au long de la journée de mercredi. Animées notamment par les dires sur la toile de Christine Boutin. Cette dernière n'a toujours pas retiré son message ce jeudi matin et justifie ses propos au micro de RTL dans l'émission d'Yves Calvi: "J'ai fait ce tweet parce que j'ai eu l'information que j'ai estimée sûre, tant la source m'a semblée sûre. Le buzz qu'il y a eu après ce tweet, montre que les Français sont en attente de cette information (...) Ma vie politique a été jalonnée par celle de Jacques Chirac." Cette démarche serait pour elle une marque de "respect."
http://www.lindependant.fr/2016/09/22/christine-boutin-maintient-ses-propos-sur-la-mort-de-jacques-chirac,2260781.php
Bernadette Chirac hospitalisée à Paris "pour souffler et récupérer un peu" (famille à l'AFP)
L'épouse de l'ancien président Jacques Chirac, Bernadette, 83 ans, a été hospitalisée mardi à Paris "pour souffler et récupérer un peu" car elle est "épuisée" à la suite de l'hospitalisation de son mari, a annoncé mercredi à l'AFP son gendre, Frédéric Salat-Baroux.
"Bernadette Chirac, profondément marquée par le décès de sa fille aînée Laurence (en avril, ndlr) et épuisée depuis quelques jours à la suite de l'infection pulmonaire de son mari, a été hospitalisée mardi à la Pitié-Salpêtrière", comme Jacques Chirac, "pour souffler et récupérer un peu", a déclaré l'ancien secrétaire général de l'Elysée, confirmant une information d'Europe 1.
A la mi-journée, M. Salat-Baroux, époux de Claude Chirac, avait réagi vigoureusement aux nombreuses rumeurs faisant état du décès de l'ancien président de la République, assurant qu'il était toujours hospitalisé mercredi et appelant "instamment" au respect de "sa tranquillité". M. Chirac, 83 ans, a été hospitalisé dimanche matin à la Pitié-Salpêtrière pour une infection pulmonaire.
"Jacques et Bernadette Chirac ont, comme chacun de nous, droit au respect de la vie privée. Rappelons s'il en était besoin que Jacques Chirac n'est plus en fonction depuis mai 2007, soit plus de neuf ans", a indiqué mercredi soir M. Salat-Baroux.
"Le minimum d'humanité est aussi de laisser en paix, dans cette période, leur fille et leur petit-fils, confrontés à une situation dont la difficulté est aggravée par une pression externe que rien ne justifie", a-t-il exhorté.
"Comme toutes les familles, les Chirac doivent pouvoir affronter en paix les épreuves de la vie. Notre société a donc tant changé qu'il faille deux fois par jour rappeler de telles vérités", a-t-il encore souligné.
http://www.ladepeche.fr/actu/france/societe-1/
A la mi-journée, M. Salat-Baroux, époux de Claude Chirac, avait réagi vigoureusement aux nombreuses rumeurs faisant état du décès de l'ancien président de la République, assurant qu'il était toujours hospitalisé mercredi et appelant "instamment" au respect de "sa tranquillité". M. Chirac, 83 ans, a été hospitalisé dimanche matin à la Pitié-Salpêtrière pour une infection pulmonaire.
"Jacques et Bernadette Chirac ont, comme chacun de nous, droit au respect de la vie privée. Rappelons s'il en était besoin que Jacques Chirac n'est plus en fonction depuis mai 2007, soit plus de neuf ans", a indiqué mercredi soir M. Salat-Baroux.
"Le minimum d'humanité est aussi de laisser en paix, dans cette période, leur fille et leur petit-fils, confrontés à une situation dont la difficulté est aggravée par une pression externe que rien ne justifie", a-t-il exhorté.
"Comme toutes les familles, les Chirac doivent pouvoir affronter en paix les épreuves de la vie. Notre société a donc tant changé qu'il faille deux fois par jour rappeler de telles vérités", a-t-il encore souligné.
http://www.ladepeche.fr/actu/france/societe-1/
mercredi 21 septembre 2016
Landres (54) : un jeune retrouvé mort chez lui
Que s'est-il passé dans la petite ville de Landres, dans le Pays Haut, en Meurthe-et-Moselle ?
Selon une information publiée par le Républicain Lorrain, l'agitation était grande mercredi 21 septembre au matin, à Landres.Secours, gendarmerie, identification criminelle se sont rendus à une adresse où un adolescent aurait été, selon ces informations, découvert sans vie.
Les premières constatations laisseraient penser qu'il pourrait s'agir d'un homicide.
La vice-procureur de Briey s'est rendue sur les lieux.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/meurthe-et-moselle
Chirac toujours hospitalisé, sa famille "demande qu'on respecte sa tranquillité"
Jacques Chirac est toujours hospitalisé à Paris pour une infection pulmonaire, a déclaré aujourd'hui à l'AFP le gendre de l'ancien président, Frédéric Salat-Baroux, qui a "demandé instamment qu'on respecte sa tranquillité".
"Il n'y a rien de plus à ajouter, le président Chirac est traité pour une infection pulmonaire et je veux rendre hommage à l'exceptionnelle qualité des équipes médicales", a-t-il ajouté, en réaction à des rumeurs sur le décès de l'ancien chef de l'État. Le gendre de M. Chirac "demande instamment durant cette période d'hospitalisation à ce qu'on respecte sa tranquillité, celle de son épouse, celle de sa fille et celle de son petit-fils
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
"Il n'y a rien de plus à ajouter, le président Chirac est traité pour une infection pulmonaire et je veux rendre hommage à l'exceptionnelle qualité des équipes médicales", a-t-il ajouté, en réaction à des rumeurs sur le décès de l'ancien chef de l'État. Le gendre de M. Chirac "demande instamment durant cette période d'hospitalisation à ce qu'on respecte sa tranquillité, celle de son épouse, celle de sa fille et celle de son petit-fils
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
RSA contre bénévolat: L'expérimentation polémique du Haut-Rhin devant le tribunal
Cette délibération votée par le conseil départemental du Haut-Rhin début février avait fait grand bruit. L’objet de cette délibération : une expérimentation que le président du département Eric Straumann (Les Républicains) veut mener sur son territoire proposant le conditionnement du versement du revenu de solidarité active (RSA) à des heures de bénévolat. Le dispositif doit être appliqué à partir de janvier 2017, sous réserve d’annulation du tribunal administratif qui examine ce mercredi le recours de l’Etat contre cette délibération.
>> A lire aussi: Dans le Haut-Rhin pour toucher le RSA, il faudra travailler sept heures bénévolement par semaine
Pourquoi cette délibération avait-elle été votée? Le Haut-Rhin a donc décidé que les bénéficiaires du RSA devront effectuer sept heures de bénévolat hebdomadaires, sans quoi ils pourraient être privés de leur allocation. L’objectif ? Qu’aucun bénéficiaire ne reste « enfermé dans sa situation », expliquait Eric Straumann. Autre raison mise en avant par le département pour justifier sa décision : l’incapacité de faire face au financement des allocations. « Ces politiques ont leurs propres limites et ne peuvent aujourd’hui suffire face à la réalité des enjeux économiques mais aussi sociaux, poursuivait le conseil départemental. Le nombre d’allocataires ne cesse de croître et le RSA est injustement perçu comme une forme d’assistanat par nos concitoyens. »
Pourquoi ça a fait polémique ? Immédiatement, cette proposition a été très discutée. La ministre des Affaires sociales Marisol Touraine avait très vite précisé que « le droit est défini nationalement et il n’est pas possible de conditionner le versement du RSA à l’exercice du bénévolat ou de telle activité ». Cette disposition a aussi des partisans. Même si un certain nombre d’entre eux souhaite que la « démarche soit bien cadrée ». Du côté d’associations de solidarité, aujourd’hui encore, le sujet inquiète. Une dizaine d’associations et fédérations locales, réunie sous le collectif Alerte Alsace qui vient de se lancer, juge la délibération illégale et souligne « qu’il est important de rappeler à quel point c’est stigmatisant. Les allocataires sont demandeurs, on n’a pas besoin de les forcer ». Les principaux représentants du collectif craignent par ailleurs que « l’action du Haut-Rhin soit un fer de lance, une offensive qui peut être généralisée nationalement ».
>> A lire aussi: «Une bonne mesure», mais «à contrôler avec rigueur»
Pourquoi est-ce jugé au tribunal ? Début avril, l’Etat a saisi le tribunal administratif d’un recours en annulation de cette délibération. Auparavant, le préfet du Haut-Rhin avait écrit un courrier à Eric Straumann lui demandant des « précisions nécessaires quant aux modalités de mise en œuvre de ces orientations, tout en réservant la possibilité pour l’Etat de déférer le moment venu cette délibération au tribunal administratif », rappelant que le fait d’attribuer le RSA contre sept heures hebdomadaires de bénévolat « serait contraire au code de l’action sociale et des familles ». De son côté, le président du département se réjouit « de cette saisine qui permettra de trancher juridiquement la marge de manœuvre laissée au département concernant cette prestation ».
http://www.20minutes.fr/dossier/rsa
>> A lire aussi: Dans le Haut-Rhin pour toucher le RSA, il faudra travailler sept heures bénévolement par semaine
Pourquoi cette délibération avait-elle été votée? Le Haut-Rhin a donc décidé que les bénéficiaires du RSA devront effectuer sept heures de bénévolat hebdomadaires, sans quoi ils pourraient être privés de leur allocation. L’objectif ? Qu’aucun bénéficiaire ne reste « enfermé dans sa situation », expliquait Eric Straumann. Autre raison mise en avant par le département pour justifier sa décision : l’incapacité de faire face au financement des allocations. « Ces politiques ont leurs propres limites et ne peuvent aujourd’hui suffire face à la réalité des enjeux économiques mais aussi sociaux, poursuivait le conseil départemental. Le nombre d’allocataires ne cesse de croître et le RSA est injustement perçu comme une forme d’assistanat par nos concitoyens. »
Pourquoi ça a fait polémique ? Immédiatement, cette proposition a été très discutée. La ministre des Affaires sociales Marisol Touraine avait très vite précisé que « le droit est défini nationalement et il n’est pas possible de conditionner le versement du RSA à l’exercice du bénévolat ou de telle activité ». Cette disposition a aussi des partisans. Même si un certain nombre d’entre eux souhaite que la « démarche soit bien cadrée ». Du côté d’associations de solidarité, aujourd’hui encore, le sujet inquiète. Une dizaine d’associations et fédérations locales, réunie sous le collectif Alerte Alsace qui vient de se lancer, juge la délibération illégale et souligne « qu’il est important de rappeler à quel point c’est stigmatisant. Les allocataires sont demandeurs, on n’a pas besoin de les forcer ». Les principaux représentants du collectif craignent par ailleurs que « l’action du Haut-Rhin soit un fer de lance, une offensive qui peut être généralisée nationalement ».
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Pourquoi est-ce jugé au tribunal ? Début avril, l’Etat a saisi le tribunal administratif d’un recours en annulation de cette délibération. Auparavant, le préfet du Haut-Rhin avait écrit un courrier à Eric Straumann lui demandant des « précisions nécessaires quant aux modalités de mise en œuvre de ces orientations, tout en réservant la possibilité pour l’Etat de déférer le moment venu cette délibération au tribunal administratif », rappelant que le fait d’attribuer le RSA contre sept heures hebdomadaires de bénévolat « serait contraire au code de l’action sociale et des familles ». De son côté, le président du département se réjouit « de cette saisine qui permettra de trancher juridiquement la marge de manœuvre laissée au département concernant cette prestation ».
http://www.20minutes.fr/dossier/rsa
mardi 20 septembre 2016
«Tous les attentats auraient pu et dû être évités», estime Georges Fenech
Georges Fenech en est certain. Celui qui a présidé la commission d’enquête parlementaire sur les attentats a affirmé ce mardi que la France « aurait pu éviter tous les attentats » et même qu’elle « aurait dû » les éviter.
« Je vais vous surprendre, je crois que tous les attentats auraient pu être évités. Que ce soit Charlie Hebdo, l’hyper cacher, le Bataclan, Nice… Tous les attentats auraient pu et auraient dû être évités. Cela passe par une remise en cause totale de nos dispositifs, que ce soit de renseignement ou de sécurité mais préventif également », a déclaré le député Les Républicains sur La Chaîne Parlementaire (LCP).
>> A lire aussi : L'attaque du Bataclan aurait bien pu être évitée, selon Georges Fenech
Ce n’est pas la première fois que Georges Fenech fait de telles déclarations. Début juillet, il avait estimé que l’attaque du Bataclan aurait pu être évitée et que cet attentat représentait un « échec cruel, lourd de conséquences » des services de renseignements.
La commission sur « les moyens mis en œuvre par l’Etat pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015 » a préconisé début juillet la refonte des services de renseignement et des unités d’intervention, ainsi que le durcissement de l’arsenal pour les personnes condamnées pour terrorisme, dans ses 40 propositions
http://www.20minutes.fr/dossier/attentats
« Je vais vous surprendre, je crois que tous les attentats auraient pu être évités. Que ce soit Charlie Hebdo, l’hyper cacher, le Bataclan, Nice… Tous les attentats auraient pu et auraient dû être évités. Cela passe par une remise en cause totale de nos dispositifs, que ce soit de renseignement ou de sécurité mais préventif également », a déclaré le député Les Républicains sur La Chaîne Parlementaire (LCP).
Il reconnaît toutefois que « le risque zéro n’existe pas »
Nuançant ses propos, l’ancien président de la commission d’enquête a toutefois admis que « le risque zéro n’existe pas. Il est évident que malheureusement, il y aura toujours des risques et des attentats mais il faut s’entourer du maximum de précaution ».>> A lire aussi : L'attaque du Bataclan aurait bien pu être évitée, selon Georges Fenech
Ce n’est pas la première fois que Georges Fenech fait de telles déclarations. Début juillet, il avait estimé que l’attaque du Bataclan aurait pu être évitée et que cet attentat représentait un « échec cruel, lourd de conséquences » des services de renseignements.
La commission sur « les moyens mis en œuvre par l’Etat pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015 » a préconisé début juillet la refonte des services de renseignement et des unités d’intervention, ainsi que le durcissement de l’arsenal pour les personnes condamnées pour terrorisme, dans ses 40 propositions
http://www.20minutes.fr/dossier/attentats
Une septuagénaire gravement blessée par son chauffage d'appoint à Fleury-d'Aude
L'alerte a été donnée lundi, vers 21h. Une femme de 76 ans a été gravement blessée à son domicile de Fleury-d'Aude, par l'explosion de son chauffage d'appoint alimenté par une bouteille de gaz.
Les voisins ont d'abord entendu et ressenti une déflagration, puis ils ont découvert des débris de bois et de verre partout, avant de retrouver la victime étendue dans son jardin.
Le SMUR 11 et les pompiers de l'Aude ont constaté des brûlures au 3e degré sur les membres, nécessitant une évacuation vers le CHU de Montpellier.
Le maire avisé par la gendarmerie de Coursan a pris un arrêté pour mise en sécurité du logement, fragilisé au niveau des murs et de la toiture.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/aude/narbonne
Les voisins ont d'abord entendu et ressenti une déflagration, puis ils ont découvert des débris de bois et de verre partout, avant de retrouver la victime étendue dans son jardin.
Le SMUR 11 et les pompiers de l'Aude ont constaté des brûlures au 3e degré sur les membres, nécessitant une évacuation vers le CHU de Montpellier.
Le maire avisé par la gendarmerie de Coursan a pris un arrêté pour mise en sécurité du logement, fragilisé au niveau des murs et de la toiture.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/aude/narbonne
Ardennes : Un couple de 35 ans cultive du cannabis dans son pavillon où il élève ses 5 enfants
Lundi à Floing, on trouvait chez un couple de 35 ans qui élève 5 enfants, deux pièces consacrées à la culture du cannabis.
C’est une forte odeur émanant du pavillon qui a mis la puce à l’oreille des policiers sedanais, ce lundi à Floing. Sur place, les fonctionnaires de police trouvent un dispositif bien en place chez un couple de 35 ans, qui élève cinq enfants âgés de 5 à 10 ans. En effet, deux pièces sont entièrement consacrées à la culture du cannabis. Avec tout le matériel adéquat : isolant, régulateur de températures et bouteille d’oxygène. Une première pièce dans laquelle 38 pieds d’un mètre sont retrouvés. Dans la deuxième pièce, 1,5 kg de cannabis est retrouvé, alors qu’il était prêt à être utilisé.
Le couple a été placé en garde à vue. Il a indiqué que cette culture ne servait qu’à sa consommation personnelle et a été remis en liberté. Il passera devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières le 7 mars 2017.
http://www.lunion.fr/node/805859
C’est une forte odeur émanant du pavillon qui a mis la puce à l’oreille des policiers sedanais, ce lundi à Floing. Sur place, les fonctionnaires de police trouvent un dispositif bien en place chez un couple de 35 ans, qui élève cinq enfants âgés de 5 à 10 ans. En effet, deux pièces sont entièrement consacrées à la culture du cannabis. Avec tout le matériel adéquat : isolant, régulateur de températures et bouteille d’oxygène. Une première pièce dans laquelle 38 pieds d’un mètre sont retrouvés. Dans la deuxième pièce, 1,5 kg de cannabis est retrouvé, alors qu’il était prêt à être utilisé.
Le couple a été placé en garde à vue. Il a indiqué que cette culture ne servait qu’à sa consommation personnelle et a été remis en liberté. Il passera devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières le 7 mars 2017.
http://www.lunion.fr/node/805859
lundi 19 septembre 2016
Jacques Chirac, le quotidien d'un homme très diminué
Avant son hospitalisation, la santé de l'ancien président s'était fortement dégradée. Cloué dans un fauteuil, Jacques Chirac était également très déprimé.
Il a passé la nuit de dimanche à lundi à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Selon l'un de ses proches, Jacques Chirac, qui a dû être rapatrié d'urgence du Maroc pour une infection pulmonaire, serait conscient. Cette alerte sur l'état de santé de l'ancien président n'est pas la première.
Déprimé. Jacques Chirac est en effet très affaibli depuis plusieurs années, ce qui a profondément affecté sa vie quotidienne. Cloué dans un fauteuil roulant, l'ancien président est décrit par son entourage comme un homme déprimé, pour ne pas dire dépressif. Habitant depuis quelques mois avec son épouse, Bernadette Chirac, rue de Tournon à Paris, non loin du Sénat, il a dû renoncer à la routine qu'il s'était créée après son retrait de la vie politique. Finis les passages quotidiens par ses bureaux de la rue de Lille, exit les habituels déjeuners au Père Claude, un restaurant du 15e arrondissement.
Élocution laborieuse. Les visiteurs, eux aussi, se font rares. Les hommes d'affaires François Pinault, ancien dirigeant de Kering, et Marc Ladreit de Lacharrière, administrateur chez Renault, L'Oréal ou encore Casino, viennent encore voir l'ancien chef de l'État. Ce dernier peut aussi compter sur son compagnon de route Jean-Louis Debré. Mais les moments de lucidité s'envolent toujours plus vite, l'élocution est laborieuse, les conversations devenues presque impossibles. La dernière fois que Jacques Chirac est apparu en public, c'était en avril dernier, aux obsèques de sa fille aînée, Laurence. "Ce jour-là, il était prostré, effondré", confie l'un de ses intimes. Mais dès le lendemain, il avait déjà oublié.
Déprimé. Jacques Chirac est en effet très affaibli depuis plusieurs années, ce qui a profondément affecté sa vie quotidienne. Cloué dans un fauteuil roulant, l'ancien président est décrit par son entourage comme un homme déprimé, pour ne pas dire dépressif. Habitant depuis quelques mois avec son épouse, Bernadette Chirac, rue de Tournon à Paris, non loin du Sénat, il a dû renoncer à la routine qu'il s'était créée après son retrait de la vie politique. Finis les passages quotidiens par ses bureaux de la rue de Lille, exit les habituels déjeuners au Père Claude, un restaurant du 15e arrondissement.
Élocution laborieuse. Les visiteurs, eux aussi, se font rares. Les hommes d'affaires François Pinault, ancien dirigeant de Kering, et Marc Ladreit de Lacharrière, administrateur chez Renault, L'Oréal ou encore Casino, viennent encore voir l'ancien chef de l'État. Ce dernier peut aussi compter sur son compagnon de route Jean-Louis Debré. Mais les moments de lucidité s'envolent toujours plus vite, l'élocution est laborieuse, les conversations devenues presque impossibles. La dernière fois que Jacques Chirac est apparu en public, c'était en avril dernier, aux obsèques de sa fille aînée, Laurence. "Ce jour-là, il était prostré, effondré", confie l'un de ses intimes. Mais dès le lendemain, il avait déjà oublié.
Voyages au Maroc. En dépit de cet état de santé fragile, Bernadette Chirac insiste toujours pour continuer de partir au Maroc, à Agadir, où les Chirac ont leurs habitudes estivales. Le roi Mohammed VI met à leur disposition un palais ainsi qu'un important dispositif médical. Mais les médecins avaient fortement déconseillé le dernier voyage, comme les précédents.
dimanche 18 septembre 2016
Jacques Chirac hospitalisé à Paris
L'ancien chef de l'État souffre d'une infection pulmonaire. Il devrait rester plusieurs jours à la Pitié-Salpêtrière. Il est âgé de 83 ans.
L'ancien président de la République Jacques Chirac a été hospitalisé dimanche à Paris pour «le traitement d'une infection pulmonaire», a indiqué sa famille à l'AFP.
La semaine dernière, son épouse Bernadette Chirac indiquait qu'il était en vacances à Agadir au Maroc. De retour à Paris, l'ex-chef de l'Etat «a été hospitalisé ce matin à la Pitié-Salpêtrière pour le traitement d'une infection pulmonaire» et «il y restera hospitalisé dans les prochains jours», a précisé son gendre, Frédéric Salat-Baroux.
Selon Le Parisien, il aurait fait un malaise depuis ce lieu de vacances et aurait été rapatrié dans la nuit de samedi à dimanche. Une source proche de l'ancien président a précisé à l'AFP qu'il était conscient.
Jacques Chirac a été chef de l'État de 1995 à 2007. Il y a un an, en décembre 2015, il avait été hospitalisé pendant une quinzaine de jours pour un bilan de santé. Il a été médicalisé à plusieurs reprises depuis qu'il a quitté l'Élysée. En décembre 2013, il avait ainsi été hospitalisé pour une «intervention rénale» à La Pitié-Salpêtrière, à Paris. En février 2014, il avait également été brièvement hospitalisé à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine à la suite d'une «violente crise de goutte». Réputé pendant des décennies pour sa santé de fer, il avait connu en septembre 2005 son premier véritable ennui (un accident vasculaire cérébral) et avait alors dû être hospitalisé d'urgence au Val-de-Grâce. Ce problème de santé l'avait ensuite fortement affaibli.
Il a également été fortement éprouvé par la mort de sa fille aînée, Laurence, en avril dernier. Ses proches faisaient état ces dernières semaines d'une amélioration de son état de santé.
http://www.lefigaro.fr/
La semaine dernière, son épouse Bernadette Chirac indiquait qu'il était en vacances à Agadir au Maroc. De retour à Paris, l'ex-chef de l'Etat «a été hospitalisé ce matin à la Pitié-Salpêtrière pour le traitement d'une infection pulmonaire» et «il y restera hospitalisé dans les prochains jours», a précisé son gendre, Frédéric Salat-Baroux.
Selon Le Parisien, il aurait fait un malaise depuis ce lieu de vacances et aurait été rapatrié dans la nuit de samedi à dimanche. Une source proche de l'ancien président a précisé à l'AFP qu'il était conscient.
Jacques Chirac a été chef de l'État de 1995 à 2007. Il y a un an, en décembre 2015, il avait été hospitalisé pendant une quinzaine de jours pour un bilan de santé. Il a été médicalisé à plusieurs reprises depuis qu'il a quitté l'Élysée. En décembre 2013, il avait ainsi été hospitalisé pour une «intervention rénale» à La Pitié-Salpêtrière, à Paris. En février 2014, il avait également été brièvement hospitalisé à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine à la suite d'une «violente crise de goutte». Réputé pendant des décennies pour sa santé de fer, il avait connu en septembre 2005 son premier véritable ennui (un accident vasculaire cérébral) et avait alors dû être hospitalisé d'urgence au Val-de-Grâce. Ce problème de santé l'avait ensuite fortement affaibli.
Il a également été fortement éprouvé par la mort de sa fille aînée, Laurence, en avril dernier. Ses proches faisaient état ces dernières semaines d'une amélioration de son état de santé.
http://www.lefigaro.fr/
Éric a gagné 50 ans de loyer
Eric, papa célibataire de 31 ans, habite à Toulouse. Il a eu la bonne surprise de gagner 50 ans de loyer, près de 382 000 €. C'est Camille Combal, animateur de Virgin Radio, qui lui a annoncé.L'heureux gagnant raconte sa journée.
Comment ça s'est passé ?
Tous les messages étaient comptabilisés pour le tirage au sort. En trois semaines, j'ai envoyé huit messages... Sur le parking du boulot, j'ai vu mon téléphone sonner en masqué, et j'entendais en même temps la sonnerie à la radio. J'ai décroché et la sonnerie a coupé à la radio. Je me suis dis, c'est pas vrai, c'est pour moi !
Et vous êtes passé en direct...
J'ai eu un coup de stress parce que j'étais en direct, mais aussi parce que je venais de recevoir une énorme nouvelle ! J'y croyais pas du tout , même si j'entendais Camille à l'autre bout du fil. C'est juste dingue, on se dit toujours que ça n'arrive qu'aux autres. Lundi, je vais à Paris en direct, et même à l'émission télé, «Touche pas à mo n poste».
Et votre journée ?
Une journée de ouf ! J'étais très chargé au travail, donc il fallait faire la part des choses... Pas beaucoup de monde le savait...
Et maintenant ?
Consultant, je travaille souvent loin de chez moi. J'ai une fille de 19 mois et je suis séparé, donc en garde alternée. Comme je travaille beaucoup et suis souvent sur la route, ma fille passe beaucoup de temps chez la nounou. Mon contrat avec le client s'arrête bientôt, il est peut-être temps de penser à changer de travail, ça va pas mal aider... Et pourquoi pas acheter une petite maison pour qu'on soit bien avec ma fille et le chien !
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Tous les messages étaient comptabilisés pour le tirage au sort. En trois semaines, j'ai envoyé huit messages... Sur le parking du boulot, j'ai vu mon téléphone sonner en masqué, et j'entendais en même temps la sonnerie à la radio. J'ai décroché et la sonnerie a coupé à la radio. Je me suis dis, c'est pas vrai, c'est pour moi !
Et vous êtes passé en direct...
J'ai eu un coup de stress parce que j'étais en direct, mais aussi parce que je venais de recevoir une énorme nouvelle ! J'y croyais pas du tout , même si j'entendais Camille à l'autre bout du fil. C'est juste dingue, on se dit toujours que ça n'arrive qu'aux autres. Lundi, je vais à Paris en direct, et même à l'émission télé, «Touche pas à mo n poste».
Et votre journée ?
Une journée de ouf ! J'étais très chargé au travail, donc il fallait faire la part des choses... Pas beaucoup de monde le savait...
Et maintenant ?
Consultant, je travaille souvent loin de chez moi. J'ai une fille de 19 mois et je suis séparé, donc en garde alternée. Comme je travaille beaucoup et suis souvent sur la route, ma fille passe beaucoup de temps chez la nounou. Mon contrat avec le client s'arrête bientôt, il est peut-être temps de penser à changer de travail, ça va pas mal aider... Et pourquoi pas acheter une petite maison pour qu'on soit bien avec ma fille et le chien !
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Une explosion à New York fait 29 blessés
Une explosion d'origine "intentionnelle" dans un quartier très animé de New York a fait 29 blessés samedi. Les autorités ont souligné n'avoir aucune preuve de lien terroriste à ce stade.
L'explosion est survenue presqu'une semaine jour pour jour après les commémorations du 15e anniversaire des attentats du 11-Septembre. La déflagration a retenti vers 20h30 locales (00H30 GMT), sur la 23e rue entre les 6e et 7e Avenues, dans le quartier de Chelsea, à une heure où ses nombreux bars et restaurants sont très fréquentés.
Le président Barack Obama était régulièrement informé de l'évolution de la situation, selon la Maison Blanche.
"Il n'y a aucune preuve à ce stade de lien terroriste pour cet incident", a souligné le maire de New York, Bill de Blasio, lors d'un point presse sur les lieux, tout en soulignant que l'information restait "préliminaire".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
L'explosion est survenue presqu'une semaine jour pour jour après les commémorations du 15e anniversaire des attentats du 11-Septembre. La déflagration a retenti vers 20h30 locales (00H30 GMT), sur la 23e rue entre les 6e et 7e Avenues, dans le quartier de Chelsea, à une heure où ses nombreux bars et restaurants sont très fréquentés.
Le président Barack Obama était régulièrement informé de l'évolution de la situation, selon la Maison Blanche.
"Il n'y a aucune preuve à ce stade de lien terroriste pour cet incident", a souligné le maire de New York, Bill de Blasio, lors d'un point presse sur les lieux, tout en soulignant que l'information restait "préliminaire".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
samedi 17 septembre 2016
L'achat d'une maison à la famille d'un élu fait des vagues
L'agglo a acquis une propriété à Pratgraussals pour le chantier de la passerelle. La maison appartenant à la famille d'un élu, a coûté 50 % plus cher que l'estimation des Domaines.
La future passerelle sur le Tarn suscite une belle polémique. Non pas sur l'utilité du projet mais sur l'une des conséquences : le rachat par l'agglo d'une maison située sur la rive droite, à Pratgraussals, là où l'ouvrage aboutira. La bâtisse et son terrain sont acquis 300 000 € par la C2A alors que l'estimation des Domaines fait état d'une valeur de 203 500 €, soit une différence de 50 %. Mais ce qui intrigue c'est que les anciens propriétaires sont les parents d'un adjoint au maire d'Albi… d'où les nombreuses questions de l'opposition. Le président de l'agglo se défend de tout conflit d'intérêts et assure que le prix de la transaction permettra au final, de réaliser des économies. Il s'étonne que le sujet revienne à la surface dix mois après son vote en conseils municipal et d'agglo.
Pour Fabien Lacoste, élu PS, cette transaction a pourtant de quoi étonner : «Nous l'avons découverte en commission municipale. Quand j'ai vu le montant, j'ai demandé qui était le propriétaire. Je peux vous assurer que la réponse de la majorité a jeté un très grand froid. À ce jour, il n'y a pas de projet pour cette maison. On nous a dit que les piétons auraient depuis la passerelle une vue sur l'intérieur de la propriété. Compte tenu du lien familial avec un élu municipal, il y a de quoi d'un point de vue éthique se poser des questions.»
Roland Foissac, élu PC, s'interroge aussi : «C'est au-dessus de la valeur des Domaines alors que dans le même temps, la municipalité vend à un promoteur des bâtiments situés derrière la mairie, au-dessous du prix des Domaines.» L'écologiste Pascal Pragnère parle de «vente inacceptable» et de «cadeau» : «Il y a deux poids deux mesures avec l'argent du contribuable.» Pascal Pragnère proposera lors du prochain conseil que «cette maison accueille des migrants».
Sur le surcoût, l'élu se justifie. Sans cette acquisition, l'agglo aurait dû aménager des brise vues (pour 60 000 €) sur la passerelle pour empêcher les promeneurs de regarder à l'intérieur de cette maison située au bout du pont SNCF. La C2A aurait dû aussi payer une indemnité pour reloger la famille pendant les 12 à 18 mois de travaux pour 20 000 €. Enfin, la présence de la passerelle au-dessus de la propriété risquait de déprécier le bien «d'au moins 20 000 €». A cela s'ajoute la pose d'un filet de protection «pour empêcher des jets d'objets, ce que nous n'avons pas chiffré».
A défaut d'acquisition, restait la solution d'exproprier. Solution très incertaine selon Philippe Bonnecarrère : «Les contestations juridiques pouvaient entraîner des délais importants. On aurait encore parlé de cette affaire dans cinq à six ans» L'élu pense que l'issue au tribunal n'était pas garantie pour l'agglo : «La situation est atypique avec un droit de surplomb tout au long de la propriété. Or, vous ne pouvez pas survoler une propriété sans autorisation et il n'y a pas de jurisprudence en la matière.»
Philippe Bonnecarrère assure «avoir choisi la solution la plus économique et la plus sûre pour la collectivité, sans tenir compte de la personnalité des propriétaires». La polémique pourrait revenir sur le tapis lors du prochain conseil fin septembre.
http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html
Pour Fabien Lacoste, élu PS, cette transaction a pourtant de quoi étonner : «Nous l'avons découverte en commission municipale. Quand j'ai vu le montant, j'ai demandé qui était le propriétaire. Je peux vous assurer que la réponse de la majorité a jeté un très grand froid. À ce jour, il n'y a pas de projet pour cette maison. On nous a dit que les piétons auraient depuis la passerelle une vue sur l'intérieur de la propriété. Compte tenu du lien familial avec un élu municipal, il y a de quoi d'un point de vue éthique se poser des questions.»
Roland Foissac, élu PC, s'interroge aussi : «C'est au-dessus de la valeur des Domaines alors que dans le même temps, la municipalité vend à un promoteur des bâtiments situés derrière la mairie, au-dessous du prix des Domaines.» L'écologiste Pascal Pragnère parle de «vente inacceptable» et de «cadeau» : «Il y a deux poids deux mesures avec l'argent du contribuable.» Pascal Pragnère proposera lors du prochain conseil que «cette maison accueille des migrants».
Le président : «Nous avons fait des économies»
Face à cette salve de critiques, Philippe Bonnecarrère, le président de l'agglo, monte au créneau. Sur le surcoût, l'élu explique que la collectivité a fait des économies. «Si nous n'avions pas trouvé d'accord avec les propriétaires, nous serions partis au contentieux pour plusieurs années» insiste le président de l'agglo, avec le risque de perdre des subventions et de ne pas tenir le délai de livraison de la passerelle prévu en 2018. L'élu rappelle que le projet a changé et que l'architecte des Bâtiments de France a demandé de construire l'ouvrage en aval, côté Pratgraussals et non cathédrale comme envisagé dans un premier temps. «L'atterrissement nord de la passerelle en aval se trouve sur la propriété de cette famille. Les propriétaires avaient acheté cette maison en 2005 bien avant que le projet soit imaginé, pour y passer leur retraite. En le découvrant, ils se sont montrés très opposés.» Des fondations sont prévues sur une partie de leur terrain (30 m2) et l'agglo, maître d'ouvrage, prévoit de faire passer des engins de chantier sur la propriété. «C'est le secteur le plus délicat. La rue de Lamothe est très étroite» poursuit Philippe Bonnecarrère.Sur le surcoût, l'élu se justifie. Sans cette acquisition, l'agglo aurait dû aménager des brise vues (pour 60 000 €) sur la passerelle pour empêcher les promeneurs de regarder à l'intérieur de cette maison située au bout du pont SNCF. La C2A aurait dû aussi payer une indemnité pour reloger la famille pendant les 12 à 18 mois de travaux pour 20 000 €. Enfin, la présence de la passerelle au-dessus de la propriété risquait de déprécier le bien «d'au moins 20 000 €». A cela s'ajoute la pose d'un filet de protection «pour empêcher des jets d'objets, ce que nous n'avons pas chiffré».
A défaut d'acquisition, restait la solution d'exproprier. Solution très incertaine selon Philippe Bonnecarrère : «Les contestations juridiques pouvaient entraîner des délais importants. On aurait encore parlé de cette affaire dans cinq à six ans» L'élu pense que l'issue au tribunal n'était pas garantie pour l'agglo : «La situation est atypique avec un droit de surplomb tout au long de la propriété. Or, vous ne pouvez pas survoler une propriété sans autorisation et il n'y a pas de jurisprudence en la matière.»
Philippe Bonnecarrère assure «avoir choisi la solution la plus économique et la plus sûre pour la collectivité, sans tenir compte de la personnalité des propriétaires». La polémique pourrait revenir sur le tapis lors du prochain conseil fin septembre.
http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html
vendredi 16 septembre 2016
Lille : deux agents municipaux blessés suite à une rixe avec les forains
Une trentaine de forains de la foire de Lille espéraient être reçus en mairie, cet après-midi. Seule une partie a pu rentrer et lorsque le cortège de la manifestation contre la loi travail est arrivée, la situation a dégénéré. Deux agents municipaux ont été blessés
La mairie de Lille, dans un communiqué a dénoncé "des violences". Tony Coppier, représentant de la foire, explique que la police a gazé les forains après avoir entendu des pétards de la manifestation contre la loi travail qui passait juste à côté et "ensuite c'est parti en vrille" et quelques forains ont "jeté des barrières". Mais il plaide l'indulgence, eu égard à leur colère.
Les forains dénoncent le nouveau plan de la Citadelle qui leur laissera moins d'espace pour leur manèges et beaucoup moins de liberté d'installation...La mairie a fait savoir en fin de journée que " Les forains ont choisi de se placer hors de la République. Ils refusent de respecter les règles, d’accepter le partage de l’espace public. Ils veulent privatiser à leur profit la Citadelle alors qu’il est normal de faire de la place pour tous".
Par ailleurs, elle rappelle que les frais -30 000 euros- pour sécuriser le lieu dans le contexte de menace terroriste ont été entièrement pris en charge par la municipalité, en mobilisant "13 agents tous les jours de 16h à minuit". Les forains, eux s'interrogent sur cette "sécurisation" uniquement pour la foire et qu'ils jugent excessive.http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/
La mairie de Lille, dans un communiqué a dénoncé "des violences". Tony Coppier, représentant de la foire, explique que la police a gazé les forains après avoir entendu des pétards de la manifestation contre la loi travail qui passait juste à côté et "ensuite c'est parti en vrille" et quelques forains ont "jeté des barrières". Mais il plaide l'indulgence, eu égard à leur colère.
Les forains dénoncent le nouveau plan de la Citadelle qui leur laissera moins d'espace pour leur manèges et beaucoup moins de liberté d'installation...La mairie a fait savoir en fin de journée que " Les forains ont choisi de se placer hors de la République. Ils refusent de respecter les règles, d’accepter le partage de l’espace public. Ils veulent privatiser à leur profit la Citadelle alors qu’il est normal de faire de la place pour tous".
Par ailleurs, elle rappelle que les frais -30 000 euros- pour sécuriser le lieu dans le contexte de menace terroriste ont été entièrement pris en charge par la municipalité, en mobilisant "13 agents tous les jours de 16h à minuit". Les forains, eux s'interrogent sur cette "sécurisation" uniquement pour la foire et qu'ils jugent excessive.http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/
Effondrement mortel à Perpignan: l’office de l’habitat (re)condamné
Le 21 février 2009, une maison s’était écroulée quartier Saint-Matthieu à Perpignan causant la mort d’un homme de 79 ans.
La cour d’appel de Montpellier a rendu son délibéré mercredi dans l’affaire de l’effondrement mortel d’une maison dans le quartier Saint-Mathieu, voilà plus de 7 ans.
Le 21 février 2009, une habitation s’était écroulée au numéro 23 de la rue du Puis-des-Chaînes, coûtant la vie à un locataire de la bâtisse, Angel Dura-Montanell, 79 ans. Son épouse du même âge avait, quant à elle, été grièvement touchée, et en avait miraculeusement réchappé, protégée par une table. Or, le sinistre s’était produit quatre semaines après la démolition d’un immeuble attenant
L’office public de l’habitat (OPH), propriétaire dudit bâtiment, avait alors été poursuivi pour « homicide et blessures involontaires ». Tout comme l’entreprise Delta construction chargée de la maîtrise d’ouvrage (Me Mathieu Vachet), qui avait effectué la démolition et également l’architecte (MMes M. Canaby et R. Levy).
Le 18 décembre 2014, l’ensemble des prévenus avaient été reconnus coupables par le tribunal correctionnel de Perpignan. La société de démolition avait écopé d’une amende de 5 000 euros ainsi que son gérant, en outre sanctionné d’un an de prison avec sursis et une interdiction de gérer une entreprise liée à une activité du bâtiment pendant 5 ans (2 ans avaient été requis).
L’architecte avait été puni de 6 mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende sans l’interdiction professionnelle sollicitée par le parquet pour une durée de 6 mois. Et, l’OPH avait été condamné à 105 000 euros d’amende au total. Sachant que l’indemnisation des assurances avait été ventilée à hauteur de 50 % pour l’OPH, 30 % pour la société de démolition et 20 % pour l’architecte. Or, l’office de l’habitat défendu par Me Philippe Nese avait, seul, fait appel de sa condamnation.
La cour d’appel a constaté la prescription du délit d’« homicide involontaire » mais a reconnu l’OPH coupable des autres chefs de poursuites, ramenant l’amende de 100 000 euros à 40 000 euros (30 000 euros avaient été requis) et confirmant les dispositions quant aux intérêts civils.
« Nous sommes satisfaits de cette décision qui confirme le droit des victimes à être indemnisées, précisait hier Me Jean Codognes, l’avocat des parties civiles. L’OPH considère un dossier qui a coûté la vie à un homme et où son épouse a été grièvement blessée comme s’il s’agissait uniquement d’une affaire financière. Insensibles à la détresse humaine qu’ils ont provoquée. J’estime qu’il est normal que les responsables d’un tel drame soient rappelés à leur responsabilité. S’il y a un recours sur les deniers des contribuables, c’est-à-dire des locataires, ce serait particulièrement immonde. »
Or, dès hier Me Philippe Nese confirmait avoir déposé un pourvoi en cassation au nom de l’office d’habitat. « On considère que cela a été mal jugé, expliquait-il. On ira le développer devant la Cour de cassation. »
http://www.lindependant.fr/2016/09/15/effondrement-mortel-a-perpignan-l-office-de-l-habitat-re-condamne,2257850.php
La cour d’appel de Montpellier a rendu son délibéré mercredi dans l’affaire de l’effondrement mortel d’une maison dans le quartier Saint-Mathieu, voilà plus de 7 ans.
L’office public de l’habitat (OPH), propriétaire dudit bâtiment, avait alors été poursuivi pour « homicide et blessures involontaires ». Tout comme l’entreprise Delta construction chargée de la maîtrise d’ouvrage (Me Mathieu Vachet), qui avait effectué la démolition et également l’architecte (MMes M. Canaby et R. Levy).
Le 18 décembre 2014, l’ensemble des prévenus avaient été reconnus coupables par le tribunal correctionnel de Perpignan. La société de démolition avait écopé d’une amende de 5 000 euros ainsi que son gérant, en outre sanctionné d’un an de prison avec sursis et une interdiction de gérer une entreprise liée à une activité du bâtiment pendant 5 ans (2 ans avaient été requis).
L’architecte avait été puni de 6 mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende sans l’interdiction professionnelle sollicitée par le parquet pour une durée de 6 mois. Et, l’OPH avait été condamné à 105 000 euros d’amende au total. Sachant que l’indemnisation des assurances avait été ventilée à hauteur de 50 % pour l’OPH, 30 % pour la société de démolition et 20 % pour l’architecte. Or, l’office de l’habitat défendu par Me Philippe Nese avait, seul, fait appel de sa condamnation.
La cour d’appel a constaté la prescription du délit d’« homicide involontaire » mais a reconnu l’OPH coupable des autres chefs de poursuites, ramenant l’amende de 100 000 euros à 40 000 euros (30 000 euros avaient été requis) et confirmant les dispositions quant aux intérêts civils.
« Nous sommes satisfaits de cette décision qui confirme le droit des victimes à être indemnisées, précisait hier Me Jean Codognes, l’avocat des parties civiles. L’OPH considère un dossier qui a coûté la vie à un homme et où son épouse a été grièvement blessée comme s’il s’agissait uniquement d’une affaire financière. Insensibles à la détresse humaine qu’ils ont provoquée. J’estime qu’il est normal que les responsables d’un tel drame soient rappelés à leur responsabilité. S’il y a un recours sur les deniers des contribuables, c’est-à-dire des locataires, ce serait particulièrement immonde. »
Or, dès hier Me Philippe Nese confirmait avoir déposé un pourvoi en cassation au nom de l’office d’habitat. « On considère que cela a été mal jugé, expliquait-il. On ira le développer devant la Cour de cassation. »
http://www.lindependant.fr/2016/09/15/effondrement-mortel-a-perpignan-l-office-de-l-habitat-re-condamne,2257850.php
jeudi 15 septembre 2016
Yonne : deux hommes ont été électrisés par un câble à haute tension
Un accident du travail a fait deux blessés graves mercredi 14 septembre 2016. Deux ouvriers ont été électrisés alors qu’ils élaguaient des arbres à Charbuy, dans l’Yonne.
Les deux hommes étaient à bord d’une nacelle. Ils étaient en train de réaliser des travaux d'élagage quand ils ont touché un câble à haute tension.
Les deux ouvriers ont été transférés au centre hospitalier d’Auxerre. Ils ont été grièvement touchés et l’un d’eux était dans un état d’urgence absolue, ont indiqué les pompiers de l’Yonne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne
Les deux hommes étaient à bord d’une nacelle. Ils étaient en train de réaliser des travaux d'élagage quand ils ont touché un câble à haute tension.
Les deux ouvriers ont été transférés au centre hospitalier d’Auxerre. Ils ont été grièvement touchés et l’un d’eux était dans un état d’urgence absolue, ont indiqué les pompiers de l’Yonne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne
Accident mortel : le malaise ne convainc pas le parquet
Le visage marqué, Petra S., 41 ans, une saisonnière de Valence-d'Agen, qui était accompagnée de son mari, comparaissait, mardi, devant le tribunal correctionnel pour l'homicide involontaire de Jérôme Mendès. Cet habitant de Clermont-Soubiran (47) avait perdu la vie à l'âge de 37 ans, après une lourde collision avec un poids lourd.
Un conducteur d'un semi-remorque avait, en effet, perdu le contrôle de son engin au passage de Laspeyres, en octobre dernier, peu après que l'automobile conduite par Petra S., un Renault Espace, se soit soudainement déportée sur sa gauche (notre édition du 21 octobre 2015).
«Cet ensemble routier a été complètement déstabilisé par votre manœuvre et n'a pu éviter d'entrer en collision avec la Mercedes conduite par Jérôme Mendès», certifiait la présidente de l'audience, Nicole Bergougnan, qui demandait à la prévenue si elle avait des explications à donner sur cette tragique manœuvre. «Je ne me souviens de rien», indiquait la quadragénaire, comme elle l'avait toujours dit aux enquêteurs alors qu'elle était lourdement blessée sur son lit d'hôpital. «Vous étiez dépressive ?», insistait la magistrate. «Pas du tout, je venais de passer la journée avec ma petite-fille et j'avais un projet d'entreprise», attestait la mise en cause. «Vous aviez un permis probatoire ?», poursuivait la présidente. «Je venais de passer mon permis de conduire», expliquait Petra S.
La tension montait un peu plus lorsque l'avocat de la famille du défunt, Me Franck Dupouy, s'attaquait à la ligne de défense de l'accusée. «Avez-vous fait un malaise ?», la questionnait sans ménagement l'avocat marmandais. «Je le pense, c'est ce que me dit mon médecin», lui répondait Petra, qui rappelait avoir fait un AVC six mois avant l'accident. «Pourtant, vous avez toujours dit le contraire aux enquêteurs. Ce malaise opportun arrive bien à propos», tempêtait Me Dupouy, qui battait en brèche la demande de relaxe de sa consœur, Me Stéphanie Nauges. Un point sur lequel il était relayé par Me Virginie Beteille, qui défendait la veuve. «Elle était bien consciente au moment de sa manœuvre, deux témoins l'ont clairement dit.» Après une brillante démonstration évoquant la jurisprudence dans ce domaine, la substitut du procureur, Bérangère Lacan, qui ne croyait pas non plus à la thèse du malaise, faute d'éléments l'attestant, requérait douze mois avec sursis et la suspension du permis de l'accusée.
http://www.ladepeche.fr/communes/lamagistere,82089.html
«Cet ensemble routier a été complètement déstabilisé par votre manœuvre et n'a pu éviter d'entrer en collision avec la Mercedes conduite par Jérôme Mendès», certifiait la présidente de l'audience, Nicole Bergougnan, qui demandait à la prévenue si elle avait des explications à donner sur cette tragique manœuvre. «Je ne me souviens de rien», indiquait la quadragénaire, comme elle l'avait toujours dit aux enquêteurs alors qu'elle était lourdement blessée sur son lit d'hôpital. «Vous étiez dépressive ?», insistait la magistrate. «Pas du tout, je venais de passer la journée avec ma petite-fille et j'avais un projet d'entreprise», attestait la mise en cause. «Vous aviez un permis probatoire ?», poursuivait la présidente. «Je venais de passer mon permis de conduire», expliquait Petra S.
La tension montait un peu plus lorsque l'avocat de la famille du défunt, Me Franck Dupouy, s'attaquait à la ligne de défense de l'accusée. «Avez-vous fait un malaise ?», la questionnait sans ménagement l'avocat marmandais. «Je le pense, c'est ce que me dit mon médecin», lui répondait Petra, qui rappelait avoir fait un AVC six mois avant l'accident. «Pourtant, vous avez toujours dit le contraire aux enquêteurs. Ce malaise opportun arrive bien à propos», tempêtait Me Dupouy, qui battait en brèche la demande de relaxe de sa consœur, Me Stéphanie Nauges. Un point sur lequel il était relayé par Me Virginie Beteille, qui défendait la veuve. «Elle était bien consciente au moment de sa manœuvre, deux témoins l'ont clairement dit.» Après une brillante démonstration évoquant la jurisprudence dans ce domaine, la substitut du procureur, Bérangère Lacan, qui ne croyait pas non plus à la thèse du malaise, faute d'éléments l'attestant, requérait douze mois avec sursis et la suspension du permis de l'accusée.
Le chauffeur routier n'a pas «respecté son temps de pause»
Effarée par cette requête, Me Nauges ne manquait pas de rappeler que sa cliente n'avait «ni alcool dans le sang, ni stup, ni téléphone à la main. Elle a fait un AVC en mars, ce n'est pas rien, et elle a pu faire un début d'anévrisme ce jour-là, mais comme on n'a pas fait d'IRM sur le moment, nous n'avons pas de traces». C'est toutefois sur un autre protagoniste de cet accident mortel que l'avocate montalbanaise tentait de reporter une coresponsabilité. «Le chauffeur routier, qui n'avait pas respecté, une fois encore, son temps de pause, pouvait être aussi fatigué et donc moins vigilant. Son employeur lui avait fait de nombreuses remontrances à ce sujet», garantissait Me Nauges, qui n'oubliait toutefois pas de rappeler que le routier avait pu éviter de faucher des saisonniers qui travaillaient au même moment dans les champs. Le verdict a été mis en délibéré au 11 octobre.http://www.ladepeche.fr/communes/lamagistere,82089.html
mercredi 14 septembre 2016
Marseille: deux hommes blessés par balles
Deux hommes âgés d'une trentaine d'années ont été la cible, vers 19h30 à Marseille, de plusieurs coups de feu tirés par un ou plusieurs agresseurs qui ont pris la fuite, comme le rapporte La Provence.
Une fusillade qui, de source policière, pourrait être consécutive à une bagarre. Le pronostic vital de l'une des victimes est très sérieusement engagé.
Toujours de source policière, l'arme utilisée n'est pas une kalachnikov et la piste d'un nouveau règlement de comptes n'est pas privilégiée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Une fusillade qui, de source policière, pourrait être consécutive à une bagarre. Le pronostic vital de l'une des victimes est très sérieusement engagé.
Toujours de source policière, l'arme utilisée n'est pas une kalachnikov et la piste d'un nouveau règlement de comptes n'est pas privilégiée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Un SDF découvert mort hier matin
C'est au petit matin, aux alentours de 9 heures hier, que ses amis ont découvert le corps sans vie de M.F., sous un arbre, à proximité des cours de tennis de la prairie des Pratges (Photo DDM JL Mouysset). Âgé de 69 ans, ce SDF, avait pour habitude de passer ses soirées et même de dormir dans ce petit parc de l'agglomération figeacoise. Selon les premières constatations du médecin intervenant, le malheureux serait décédé aux alentours de 4 heures du matin. Le corps ayant été découvert sur la voie publique, le médecin n'a pas délivré de certificat de décès. Immédiatement informés et secondés par un technicien d'identification criminelle (TIC) venu de Cahors, les enquêteurs de la brigade de gendarmerie de Figeac ont ouvert une enquête en vue de déterminer les circonstances exactes du décès. À l'heure où nous rédigions cet article, nous ne savions pas si le parquet de Cahors avait ordonné une autopsie ou un examen de corps plus approfondi.
http://www.ladepeche.fr/communes/figeac,46102.html
http://www.ladepeche.fr/communes/figeac,46102.html
mardi 13 septembre 2016
Ardennes : une aide-ménagère jugée pour avoir dérobé 6 500 euros à un handicapé
Lundi, le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières a condamné une aide-ménagère de 60 ans pour avoir volé un handicapé chez qui elle intervenait à La Neuville-aux-Joutes. La dame a soustrait des chèques au malade atteint d’une affection neurologique dégénérative. Elle lui faisait faire des chèques d’une valeur moyenne de 200 euros.
Le montant total s’élève à près de 6 500 euros. L’abus de confiance s’est déroulé sur deux ans et demi, du 1er janvier 2012 au 1 er juin 2014. Une quinzaine de chèques ont été émis. « Il avait peur d’elle. Elle menaçait de ne plus venir. Monsieur a expliqué que vous et votre mari veniez le dimanche, vous remplissiez le chèque et lui demandiez de signer », relate le juge.
L’avocat de la prévenue, Me Bloquaux demandait la relaxe : « Si Madame avait voulu voler Monsieur, elle n’aurait pas choisi le chèque. C’est un moyen qui laisse des traces. Je ne suis pas convaincu de l’existence de l’infraction. » Le tribunal ne l’a pas suivi et condamné l’indélicate à 4 mois de prison avec sursis et la restitution de la somme volée.
http://www.lunion.fr/node/801045
Le montant total s’élève à près de 6 500 euros. L’abus de confiance s’est déroulé sur deux ans et demi, du 1er janvier 2012 au 1 er juin 2014. Une quinzaine de chèques ont été émis. « Il avait peur d’elle. Elle menaçait de ne plus venir. Monsieur a expliqué que vous et votre mari veniez le dimanche, vous remplissiez le chèque et lui demandiez de signer », relate le juge.
L’avocat de la prévenue, Me Bloquaux demandait la relaxe : « Si Madame avait voulu voler Monsieur, elle n’aurait pas choisi le chèque. C’est un moyen qui laisse des traces. Je ne suis pas convaincu de l’existence de l’infraction. » Le tribunal ne l’a pas suivi et condamné l’indélicate à 4 mois de prison avec sursis et la restitution de la somme volée.
http://www.lunion.fr/node/801045
lundi 12 septembre 2016
Deux motards tués sur les routes de Gironde ce week-end
Un jeune homme de 24 ans a été tué dans une collision vendredi soir à Bordeaux ; un autre a perdu la vie à Saint-Médard-en-Jalles.
Jonathan Bertonech, jeune motard de 24 ans, est mort dans une collision avec une voiture survenue vendredi dernier, vers 20 heures, à l'angle de l'avenue de Labarde et de la rue Pierre-Baour à Bordeaux. L'automobiliste avec lequel la collision s'est produite ne s'est pas arrêté. Les policiers ont cependant retrouvé le véhicule en cause quelques dizaines de mètres plus loin.
Quelques heures plus tard, la propriétaire de la voiture, une femme de 77 ans, s'est rendue au commissariat central de Bordeaux pour déclarer le vol de son véhicule. Elle a été auditionnée mais cela n'a pas permis aux policiers d'y voir plus clair sur la personne qui conduisait lorsque l'accident est survenu. Ils poursuivent leur enquête dans l'espoir de recueillir des témoignages, l'accident étant survenue à une heure où il y a encore une certaine circulation avenue de Labarde.
Un appel à témoin a été lancé par la police nationale : "Toute personne pouvant être tout, ou, en partie témoin des circonstances de cet accident est priée de prendre contact avec le commissariat central de police de Bordeaux, à la BADR, en téléphonant au 05 57 85 7159 / 7166 pendant les jours ouvrables et au numéro vert suivant le week end 08 00 00 49 38.
http://www.sudouest.fr/2016/09/12/-2497024-4583.php
Quelques heures plus tard, la propriétaire de la voiture, une femme de 77 ans, s'est rendue au commissariat central de Bordeaux pour déclarer le vol de son véhicule. Elle a été auditionnée mais cela n'a pas permis aux policiers d'y voir plus clair sur la personne qui conduisait lorsque l'accident est survenu. Ils poursuivent leur enquête dans l'espoir de recueillir des témoignages, l'accident étant survenue à une heure où il y a encore une certaine circulation avenue de Labarde.
Un appel à témoin a été lancé par la police nationale : "Toute personne pouvant être tout, ou, en partie témoin des circonstances de cet accident est priée de prendre contact avec le commissariat central de police de Bordeaux, à la BADR, en téléphonant au 05 57 85 7159 / 7166 pendant les jours ouvrables et au numéro vert suivant le week end 08 00 00 49 38.
A Saint-Médard-en-Jalles
Un autre jeune motard de 24 ans est décédé ce week-end au guidon de sa machine. Il a perdu le contrôle alors qu'il circulait avenue René-Descartes à Saint-Médard-en-Jalles. Il a été projeté à une quarantaine de mètres après être passé par-dessus un muret.http://www.sudouest.fr/2016/09/12/-2497024-4583.php
dimanche 11 septembre 2016
Les corps sans vie d'une mère et ses deux enfants découverts dans le sud des Ardennes
Les trois corps ont été retrouvés dans la nuit de samedi à dimanche au domicile des victimes, au Châtelet-sur-Retourne près de Rethel.
Selon les premiers éléments recueillis sur place, les corps d’une jeune femme et de ses deux enfants ont été découverts dans la nuit de samedi à dimanche au domicile familial, une maison neuve du Châtelet-sur-Retourne.
La mère, âgée de 30 ans, et ses enfants, âgés de 7 ans et deux ans et demi, gisaient sans vie dans la salle de bain de la maison. On ignore encore dans quelles circonstances ces trois personnes ont trouvé la mort.
Les enquêteurs de la gendarmerie se sont rendus sur place et ont apposé les scellées sur la maison. Une enquête est ouverte pour homicide aggravé.
http://www.lunion.fr/800152/article/2016-09-11/les-corps-sans-vie-d-une-mere-et-ses-deux-enfants-decouverts-dans-le-sud-des-ard
Selon les premiers éléments recueillis sur place, les corps d’une jeune femme et de ses deux enfants ont été découverts dans la nuit de samedi à dimanche au domicile familial, une maison neuve du Châtelet-sur-Retourne.
La mère, âgée de 30 ans, et ses enfants, âgés de 7 ans et deux ans et demi, gisaient sans vie dans la salle de bain de la maison. On ignore encore dans quelles circonstances ces trois personnes ont trouvé la mort.
Les enquêteurs de la gendarmerie se sont rendus sur place et ont apposé les scellées sur la maison. Une enquête est ouverte pour homicide aggravé.
http://www.lunion.fr/800152/article/2016-09-11/les-corps-sans-vie-d-une-mere-et-ses-deux-enfants-decouverts-dans-le-sud-des-ard
Béziers : six téléphones et 300 g de cannabis dans une cellule
L es problèmes de sécurité au centre pénitentiaire de Béziers ont été abordés, début septembre, entre le ministre Urvoas et les gardiens de prison.
Lors de la visite du garde des sceaux, Jean-Jacques Urvoas, au centre pénitentiaire de Béziers le 1er septembre dernier, les organisations syndicales des gardiens de prison ont évoqué nombre de problèmes avec lui. Jusque-là, les gardiens s'étaient abstenus de toute communication publique pouvant évoquer cette rencontre. Mais l'arrivée, il y a peu, d'un détenu suspecté d'avoir voulu attenter à la vie d'un gardien via un autre détenu et qui plus est, radicalisé, a ravivé des craintes (Midi Libre du jeudi 8 septembre).
"Le problème de la radicalisation des détenus a été abordé avec le ministre car nous avons le sentiment que la prison de Béziers est la poubelle de la région, explique Nicolas Burtz de FO. Nous avons proposé de mettre en place un principe de rotation trimestrielle pour tous les détenus signalés comme étant radicalisés. Ces rotations éviteraient que ceux-ci ne prennent leurs marques. Quand nous avons ce type de problème à Béziers, le détenu reste sur place, les autres prisons parviennent à s'en débarrasser, nous voulons comprendre pourquoi, nous, non ! Nous nous sentons nous aussi en danger vis-à-vis de ces personnes car nous ne sommes pas suffisamment formés et informés."
Il semble que le problème des fouilles aurait été lui aussi abordé. Selon les syndicats le ministre aurait renvoyé les gardiens vers leur chef d'établissement en ce qui concerne ce sujet. Ce qui ne nous a pas été confirmé.
En abordant le problème des téléphones, les gardiens ont reçu l'assurance que des brouilleurs de nouvelles générations allaient être installés très rapidement. Que la sécurité de la prison avait été prise en compte et qu'une enveloppe conséquente avait été débloquée. "Des travaux vont débuter au mois de novembre à Béziers pour éviter les projections, mais aussi en ce qui concerne la téléphonie", avait assuré le ministre de la justice lors de sa visite.
À plus ou moins long terme, des téléphones filaires pourraient être installés dans les cellules. Une expérimentation va être menée à la prison de Montmédy dans la Meuse.
http://www.midilibre.fr/2016/09/10/six-telephones-et-300-g-de-cannabis-dans-une-cellule,1391394.php
Il semble que le problème des fouilles aurait été lui aussi abordé. Selon les syndicats le ministre aurait renvoyé les gardiens vers leur chef d'établissement en ce qui concerne ce sujet. Ce qui ne nous a pas été confirmé.
Trop de trafics
"Encore une fois jeudi lors d'une fouille de cellule, nous avons récupéré six téléphones et trois savonnettes de 100 gr de résine de cannabis. Si nous pouvions fouiller les détenus, de telles choses n'arriveraient sans doute pas avec une aussi grande régularité", assure encore Nicolas Burtz. Le détenu mis en cause devrait être sanctionné dans un premier temps par l'administration pénitentiaire, puis ensuite par la justice.En abordant le problème des téléphones, les gardiens ont reçu l'assurance que des brouilleurs de nouvelles générations allaient être installés très rapidement. Que la sécurité de la prison avait été prise en compte et qu'une enveloppe conséquente avait été débloquée. "Des travaux vont débuter au mois de novembre à Béziers pour éviter les projections, mais aussi en ce qui concerne la téléphonie", avait assuré le ministre de la justice lors de sa visite.
À plus ou moins long terme, des téléphones filaires pourraient être installés dans les cellules. Une expérimentation va être menée à la prison de Montmédy dans la Meuse.
http://www.midilibre.fr/2016/09/10/six-telephones-et-300-g-de-cannabis-dans-une-cellule,1391394.php
samedi 10 septembre 2016
Portets (33) : deux plaisanciers portés disparus
Un bateau de plaisance amarré dans le port a coulé. Les deux occupants, un homme de 60 ans et son fils de 18 ans sont portés disparus. Des recherches sont en cours
Vendredi soir vers 23h30, un bateau de plaisance amarré dans le port de Portets a coulé. Il été amarré près d'une autre embarcation lorsque sous l'effet du mascaret, ses amarres ont lâché. Il semble avoir été soulevé puis serait passé sous le bateau voisin avant de disparaître dans la Garonne. Il y avait à bord deux occupants, un homme de 60 ans et son fils de 18 ans, originaires de Charente-Maritime.
Des recherches ont rapidement été entreprises par les sapeurs-pompiers, notamment un plongeur qui a tenté de retrouver les personnes disparues, mais sans résultat. Interrompues en raison de la nuit les recherches ont repris ce matin cette fois avec des plongeurs de la gendarmerie d'Arcachon.
http://www.sudouest.fr/2016/09/10/portets-33-deux-plaisanciers-portes-disparus-2495693-2780.php
Des recherches ont rapidement été entreprises par les sapeurs-pompiers, notamment un plongeur qui a tenté de retrouver les personnes disparues, mais sans résultat. Interrompues en raison de la nuit les recherches ont repris ce matin cette fois avec des plongeurs de la gendarmerie d'Arcachon.
http://www.sudouest.fr/2016/09/10/portets-33-deux-plaisanciers-portes-disparus-2495693-2780.php
Spectaculaire collision à Escatalens
Le choc a été violent, hier, vers 7 heures 38, entre Montech et Escatalens. Deux voitures sont entrées en collision au carrefour entre la route de Seysses et la RD 813. Une conductrice de 29 ans, domiciliée à Saint-Porquier circulait sur le grand axe départemental reliant Escatalens à Finhan et n'a pas pu faire autrement que de percuter la Dacia conduite par un homme de 75 ans qui a débouché de la route de Saysses. Selon les premiers éléments de l'enquête, la jeune automobiliste, au volant d'une Rover devait rouler un peu trop vite sur cette route et n'aurait pas été en mesure d'éviter le télescopage avec le véhicule du septuagénaire. Ce dernier, de son côté, n'aurait pas marqué le céder-le-passage à la sortie de la route de Saysses.
Toujours est-il que le résultat de la collision sera saisissant sur cette route départementale : des débris joncheront le sol de toutes parts, la Rover sera pulvérisée et terminera sa course dans le fossé, en bordure d'un verger.
Sur les lieux de l'accident, les gendarmes ont proccédé aux tests d'alcoolémie qui se sont révélés négatifs pour les deux conducteurs.
http://www.ladepeche.fr/communes/escatalens,82052.html
Tests d'alcoolémie négatifs pour les deux conducteurs
Miraculeusement, le bilan de cet accident de la circulation ne se limitera qu'à deux blessés légers. qui seront transportés vers le centre hospitalier de Montauban. Le septuagénaire Jacques Gatty, domicilié sur cette route de Saysses , à MOntech souffrait d'un traumatisme crânien. Selon des proches, celui qui est vice-président du club de l'Escarbille, l'association du troisième-âge de Montech devait rester jusqu'à hier soir en observation avant de pouvoir regagner ensuite son domicile.Sur les lieux de l'accident, les gendarmes ont proccédé aux tests d'alcoolémie qui se sont révélés négatifs pour les deux conducteurs.
http://www.ladepeche.fr/communes/escatalens,82052.html
vendredi 9 septembre 2016
Ile-de-France : une fillette de 4 ans hospitalisée après avoir avalé du cannabis
Une enfant a fait un grave malaise lundi matin à Sartrouville (Ile-de-France), rapporte Le Parisien. Âgée de 4 ans, la petite fille s’est évanouie alors qu’elle était en classe, nécessitant l’intervention des pompiers. Elle a été emmenée à l’hôpital Necker à Paris avant d’être transférée au centre hospitalier d’Argenteuil.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
Convoqués au tribunal
Un médecin du Samu a tout de suite reconnu les symptômes de la fillette et a interrogé la mère sur sa consommation de drogue. La jeune femme a rapidement reconnu que son petit ami et colocataire, âgé de 26 ans, avait pour habitude de consommer du cannabis. Interpellé et placé en garde à vue, l’homme a avoué qu’il avait laissé traîner de la drogue dans l’appartement et que la petite fille avait dû la trouver et l’ingérer. Le couple est convoqué en février prochain devant le tribunal correctionnel de Versailles.http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
jeudi 8 septembre 2016
Béganne (56). Partie de pêche dramatique : le second pêcheur retrouvé mort
Mercredi en fin d'après-midi, les plongeurs de la gendarmerie de Quiberon ont retrouvé le corps du second pêcheur disparu depuis mardi soir. Il était parti pêcher dès mardi matin avec son beau-frère, qui avait été retrouvé mort dans la nuit. La thèse de l'accident est privilégiée.
L'alerte avait été donnée dès mardi soir par les familles des deux pêcheurs. Les hommes, deux beaux-frères, étaient partis pêcher mardi matin du port de Foleux à Béganne sur leur embarcation de cinq mètres.
Les premières recherches terrestres en soirée avaient permis de retrouver dans la Vilaine le corps flottant du plus jeune des deux hommes, un habitant de Caden de 52 ans. L'embarcation avait également été repérée retournée et immergée à quelques dizaines de mètres du bord.
L'embarcation va être renflouée ces jours-ci afin de déterminer les causes du chavirage. La piste accidentelle est largement privilégiée par les enquêteurs
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine
L'alerte avait été donnée dès mardi soir par les familles des deux pêcheurs. Les hommes, deux beaux-frères, étaient partis pêcher mardi matin du port de Foleux à Béganne sur leur embarcation de cinq mètres.
Les premières recherches terrestres en soirée avaient permis de retrouver dans la Vilaine le corps flottant du plus jeune des deux hommes, un habitant de Caden de 52 ans. L'embarcation avait également été repérée retournée et immergée à quelques dizaines de mètres du bord.
Recherches délicates pour les plongeurs
Mercredi matin, les gendarmes bénéficiaient pour leurs recherches d'un survol du fleuve par l'hélicoptère venu de Rennes et de plongeurs de la brigade nautique de Quiberon. Ce sont ces derniers qui ont découvert vers 16h30 le second pêcheur, un habitant de Noyal-Muzillac de 65 ans. Son corps se trouvait au fond de l'eau à plusieurs mètres de l'embarcation. Les plongeurs ont connu des difficultés pour repérer la victime, la visibilité sous l'eau étant très limitée à cause de l'eau de la Vilaine rendue opaque par la boue.L'embarcation va être renflouée ces jours-ci afin de déterminer les causes du chavirage. La piste accidentelle est largement privilégiée par les enquêteurs
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine
mardi 6 septembre 2016
INFO LE FIGARO - Isabelle Dinoire, la première greffée du visage dans le monde, est morte
Elle avait 38 ans quand son labrador lui avait dévoré une partie du visage. Quelques mois après, elle avait été greffée au CHU d'Amiens. Il s'agissait d'une première mondiale. Mais l'hiver dernier, elle avait subi un nouveau rejet du greffon et avait perdu une partie de l'usage de ses lèvres. Par ailleurs, les lourds traitements anti-rejet qu'elle devait prendre à vie avaient favorisé la survenue de deux cancers. Isabelle Dinoire est décédée cet été onze ans après sa greffe.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
lundi 5 septembre 2016
Violent incendie dans la zone artisanale d'Aimargues : 100 personnes évacuées
Deux bâtiments ont été entièrement détruits par le feu dans la zone artisanale d'Aimargues près de Lunel dans le Gard. Un violent incendie s'est déclaré vers 14 h 00. 100 personnes ont été évacuées par les pompiers. Le secteur est bouclé.
L'incendie en cours dans la zone artisanale de la Peyre à Aimargues a déjà ravagé deux bâtiments. Celui des messageries Badaroux d'où est parti l'incendie et celui tout proche d'un centre de tri de la Poste. C'est maintemant les locaux de la Soframa, entreprise spécialisée dans la boulangerie, qui sont menacés. L'entreprise Royal canin se trouve à une centaine de mètres du foyer.
Le feu s'est déclaré en début d'après-midi. Il est attisé par un vent de Nord-est qui vient de se lever, ce qui complique la tâche des secours.
L'entreprise Badaroux emploie 50 personnes dans le secteur, la Poste 80.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard
L'incendie en cours dans la zone artisanale de la Peyre à Aimargues a déjà ravagé deux bâtiments. Celui des messageries Badaroux d'où est parti l'incendie et celui tout proche d'un centre de tri de la Poste. C'est maintemant les locaux de la Soframa, entreprise spécialisée dans la boulangerie, qui sont menacés. L'entreprise Royal canin se trouve à une centaine de mètres du foyer.
Le feu s'est déclaré en début d'après-midi. Il est attisé par un vent de Nord-est qui vient de se lever, ce qui complique la tâche des secours.
"A 14 h 00 le secteur était noir de fumée, on ne voyait plus rien" raconte Jérôme Curato l'un de nos reporters sur place.
100 personnes évacuées
Les pompiers ont évacué 100 personnes qui travaillent dans la zone de La Peyre. Le secteur est bouclé.L'entreprise Badaroux emploie 50 personnes dans le secteur, la Poste 80.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard
Une jeune femme victime d'un coup de lame
Vive émotion, hier, en début de soirée, chemin du Ramelet-Moundi, à la limite des communes de Toulouse et Tournefeuille. Pour une raison que l'enquête devra déterminer, une rixe a éclaté entre plusieurs personnes, chez des gens du voyage sédentarisés, peu avant 19 heures. Selon nos informations, une jeune femme, âgée de 25 ans, aurait reçu un coup de couteau dans la jambe et saignait abondamment.
Les sapeurs-pompiers et le Samu se sont rendus sur les lieux afin de lui prodiguer les premiers soins. La victime a ensuite été conduite à l'hôpital. On ignorait hier soir la gravité de ses blessures.
Plusieurs équipages de police ont également été appelés sur place afin de sécuriser l'endroit où se sont vite rassemblées de nombreuses personnes dont certaines haussaient le ton.
Une enquête de police a été ouverte. Les témoins ont été auditionnés et les constatations d'usage ont été réalisées.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Plusieurs équipages de police ont également été appelés sur place afin de sécuriser l'endroit où se sont vite rassemblées de nombreuses personnes dont certaines haussaient le ton.
Une enquête de police a été ouverte. Les témoins ont été auditionnés et les constatations d'usage ont été réalisées.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
dimanche 4 septembre 2016
Deux hommes blessés par balle à Grenoble
Les pompiers de Grenoble ont été appelés à 06h56 ce matin : deux hommes ont été retrouvés blessés par balles, au niveau de la rue du 4ème régiment du génie.
L'un est grièvement blessé au thorax, l'autre, plus légérement, au niveau du tibia. Ils ont été transportés à l'hôpital Michalon.
Selon nos informations, au moins l'un des deux était bien connu des services de police pour des affaires de trafic de drogue. L'enquête a été confiée à l’antenne grenobloise de la police judiciaire de Lyon.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/deux-hommes-blesses-par-balle-grenoble-1077711.html
L'un est grièvement blessé au thorax, l'autre, plus légérement, au niveau du tibia. Ils ont été transportés à l'hôpital Michalon.
Selon nos informations, au moins l'un des deux était bien connu des services de police pour des affaires de trafic de drogue. L'enquête a été confiée à l’antenne grenobloise de la police judiciaire de Lyon.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/deux-hommes-blesses-par-balle-grenoble-1077711.html
De Ligonnès : les terrifiantes révélations
En avril 2011, les corps des cinq membres de la famille Dupont de Ligonnès étaient découverts enterrés. Cinq ans après la tuerie, des mails révélés cette semaine et écrits par le père de famille un an avant apparaissent diaboliquement prémonitoires.
Dans la nuit du dimanche 3 avril 2011 au lundi 4, Agnès, la mère et les enfants Anne, Benoît, Arthur et Thomas Dupont de Ligonnès vont être exécutés de plusieurs balles dans la tête. Mais malgré une chasse à l'homme organisée sur tout le territoire, malgré un mandat Interpol, Xavier, le père reste introuvable. Et le mystère entier, impénétrable, inaltérable. Jusqu'à ces mails découverts par Anne-Sophie Martin, révélés dans un livre, «Le disparu», publié cette semaine, qui éclairent d'un jour nouveau le quintuple meurtre, l'élimination méthodique de la femme et des quatre enfants. Des écrits qui laissent penser à une mûre réflexion, un acte méticuleusement préparé. Une glaçante plongée dans l'horreur. Noir sur blanc, le père de famille envisage plusieurs scénarios un an avant le massacre. Dont celui du suicide collectif, ou l'hypothèse de mettre le feu à la maison quand tout le monde dort.
Les corps seront retrouvés le 21 avril par la Police, quelques jours après le déclenchement d'une procédure de disparition inquiétante. Ils sont enterrés sous une chape de ciment, saucissonnés dans des bâches et saupoudrés de chaux vive. A leurs côtés reposent également leurs deux chiens, eux aussi éliminés de la surface de la terre. La maison familiale du 55 boulevard Schumann à Nantes est devenue une sinistre nécropole. Mais il manque donc le père. Quelques jours après le massacre, on le suit à la trace. Il passe notamment par Toulouse, puis direction le Var. C'est là qu'on perd sa trace définitivement. Les policiers butent sur une image prise par une caméra de vidéosurveillance sur un parking de Roquebrune-sur- Argens : c'est la dernière fois qu'on voit Xavier Dupont de Ligonnès
Comment un homme de 50 ans, décrit comme bien sous tous rapports, issu d'une vieille famille de la noblesse française, qui avait l'air heureux et qui avait fait également un bon mariage a pu arriver à ce paroxysme de l'horreur ?
Les enquêteurs ont fouillé dans son passé. La situation financière inextricable est mise en avant comme mobile. Ils penchent pour la thèse de son suicide effectué dans l'arrière-pays varois. C'est là que se seront concentrées les recherches et c'est là qu'en 2013 une grosse campagne de fouilles sera menée… En vain. Il y aura aussi ce corps découvert à Cogolin, avec, à côté, des journaux contenant des éléments sur l'affaire. Fausse piste, encore une fois. Comme tous les signalements, plus de 800, qui arrivent chez les enquêteurs. Certains farfelus, d'autres troublants, tous vérifiés, et à chaque fois sans résultat.
Son suicide ? «Je n'y ai jamais cru» explique Anne-Sophie Martin, «et c'est selon moi pour ça que l'enquête est un peu sortie de route au début, parce qu'ils étaient persuadés qu'il s'était suicidé».
L'homme le plus recherché de France est devenu une ombre, puis a disparu. Laissant derrière lui une des plus grosses énigmes criminelles de l'histoire
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
Les corps seront retrouvés le 21 avril par la Police, quelques jours après le déclenchement d'une procédure de disparition inquiétante. Ils sont enterrés sous une chape de ciment, saucissonnés dans des bâches et saupoudrés de chaux vive. A leurs côtés reposent également leurs deux chiens, eux aussi éliminés de la surface de la terre. La maison familiale du 55 boulevard Schumann à Nantes est devenue une sinistre nécropole. Mais il manque donc le père. Quelques jours après le massacre, on le suit à la trace. Il passe notamment par Toulouse, puis direction le Var. C'est là qu'on perd sa trace définitivement. Les policiers butent sur une image prise par une caméra de vidéosurveillance sur un parking de Roquebrune-sur- Argens : c'est la dernière fois qu'on voit Xavier Dupont de Ligonnès
Comment un homme de 50 ans, décrit comme bien sous tous rapports, issu d'une vieille famille de la noblesse française, qui avait l'air heureux et qui avait fait également un bon mariage a pu arriver à ce paroxysme de l'horreur ?
Les enquêteurs ont fouillé dans son passé. La situation financière inextricable est mise en avant comme mobile. Ils penchent pour la thèse de son suicide effectué dans l'arrière-pays varois. C'est là que se seront concentrées les recherches et c'est là qu'en 2013 une grosse campagne de fouilles sera menée… En vain. Il y aura aussi ce corps découvert à Cogolin, avec, à côté, des journaux contenant des éléments sur l'affaire. Fausse piste, encore une fois. Comme tous les signalements, plus de 800, qui arrivent chez les enquêteurs. Certains farfelus, d'autres troublants, tous vérifiés, et à chaque fois sans résultat.
Son suicide ? «Je n'y ai jamais cru» explique Anne-Sophie Martin, «et c'est selon moi pour ça que l'enquête est un peu sortie de route au début, parce qu'ils étaient persuadés qu'il s'était suicidé».
L'homme le plus recherché de France est devenu une ombre, puis a disparu. Laissant derrière lui une des plus grosses énigmes criminelles de l'histoire
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
samedi 3 septembre 2016
L'AP-HP suspend la distribution de lait maternel après deux décès suspects
Le lactarium d'Île-de France, abrité par l'hôpital Necker à Paris, a pris cette décision à la suite d'une suspicion de contamination de trois grands prématurés dont deux sont morts.
Il s'agit «d'une mesure de précaution». Ce samedi, l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé que le lactarium d'Île-de-France, rattaché à l'hôpital Necker, suspendait sa distribution de lait maternel, issu de dons. À l'origine de cette décision, une «suspicion de contamination de trois grands prématurés», dont deux sont décédés, écrit l'AP-HP dans un communiqué.
Depuis le 6 août, trois nouveau-nés ont été contaminés par une bactérie appelée «Bacillus Cereus». Celle-ci peut contaminer les aliments et être responsable d'intoxications alimentaires (vomissements, diarrhées) souvent bénignes chez l'homme mais qui peut avoir «des conséquences graves chez certains grands prématurés ou personnes fortement fragilisées», explique l'AP-HP. Deux des nourrissons sont décédés «sans qu'il soit possible à ce stade de dire si c'est l'infection (bactérienne, ndlr) qui est à l'origine de l'aggravation de leur état», poursuit l'AP-HP, précisant que le troisième grand prématuré se porte bien. En clair, on ignore si la bactérie est à l'origine de leur décès.
Les hôpitaux de Paris tentent aussi de savoir si le lait donné à ces grands prématurés pesant moins d'un kilo pourrait être à l'origine de ces contaminations. En effet, tous trois ont reçu dans leur alimentation du lait d'origine maternel délivré par le lactarium d'Île-de-France. Il a donc été décidé de suspendre leur distribution par mesure de «précaution», avec rappel des lots. Même si à ce stade, «les contrôles microbiologiques effectués sur les laits délivrés par le lactarium de Necker (y compris ceux administrés aux trois nouveaux nés concernés) ont tous été négatifs», reprend l'AP-HP. Pour l'heure, il «n'est pas possible d'affirmer que ce lait soit à l'origine des contaminations, mais il n'est pas non plus possible de l'exclure à ce stade», ajoute l'établissement.
Chaque année, le lactarium d'Île-de-France, qui approvisionne les services de néonatologie de la région Ile-de-France et d'autres régions, délivre 6000 litres de lait. Les prématurés reçoivent ce lait le temps que la lactation de leur propre mère se mette en route ou lorsque la maman ne peut pas ou ne souhaite pas allaiter, rappelle l'Hôpital Necker. 90% des bébés recevant les dons de lait sont des bébés prématurés. Les 10% restant sont des bébés hospitalisés pour des pathologies graves du système digestif ou autre.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/index.php
Depuis le 6 août, trois nouveau-nés ont été contaminés par une bactérie appelée «Bacillus Cereus». Celle-ci peut contaminer les aliments et être responsable d'intoxications alimentaires (vomissements, diarrhées) souvent bénignes chez l'homme mais qui peut avoir «des conséquences graves chez certains grands prématurés ou personnes fortement fragilisées», explique l'AP-HP. Deux des nourrissons sont décédés «sans qu'il soit possible à ce stade de dire si c'est l'infection (bactérienne, ndlr) qui est à l'origine de l'aggravation de leur état», poursuit l'AP-HP, précisant que le troisième grand prématuré se porte bien. En clair, on ignore si la bactérie est à l'origine de leur décès.
Des examens sont en cours
Des analyses de souches ayant contaminé les nouveau-nés sont donc en cours. «Il s'agit de savoir si ces souches sont identiques et donc s'il peut y avoir une origine commune à ces trois situations de contamination», détaille l'AP-HP. Le résultat de ces examens sera disponible au plus tard en fin de semaine prochaine. Parallèlement, d'autres enquêtes sont réalisées pour identifier les causes de ces contaminations.Les hôpitaux de Paris tentent aussi de savoir si le lait donné à ces grands prématurés pesant moins d'un kilo pourrait être à l'origine de ces contaminations. En effet, tous trois ont reçu dans leur alimentation du lait d'origine maternel délivré par le lactarium d'Île-de-France. Il a donc été décidé de suspendre leur distribution par mesure de «précaution», avec rappel des lots. Même si à ce stade, «les contrôles microbiologiques effectués sur les laits délivrés par le lactarium de Necker (y compris ceux administrés aux trois nouveaux nés concernés) ont tous été négatifs», reprend l'AP-HP. Pour l'heure, il «n'est pas possible d'affirmer que ce lait soit à l'origine des contaminations, mais il n'est pas non plus possible de l'exclure à ce stade», ajoute l'établissement.
6000 litres de lait distribués chaque année
Le don de lait est très encadré. «Le lait collecté est pasteurisé et contrôlé en respectant le guide de bonne pratique», affirme l'Hôpital Necker sur son site Internet. Sont effectués «des contrôles bactériologiques, virologiques (examens sérologiques vis à vis des virus HIV, HCV …)» et un «dépistage des fraudes (recherche de protéines de lait de vache)». Lorsqu'une jeune maman accepte de faire don de son lait, l'équipe du lactarium lui fournit tout le matériel nécessaire: tire-lait, récipients. La maman remplit l'équivalent d'un petit biberon par jour, le congèle et le remet aux équipes du lactarium qui passent les récupérer tous les quinze jours.Chaque année, le lactarium d'Île-de-France, qui approvisionne les services de néonatologie de la région Ile-de-France et d'autres régions, délivre 6000 litres de lait. Les prématurés reçoivent ce lait le temps que la lactation de leur propre mère se mette en route ou lorsque la maman ne peut pas ou ne souhaite pas allaiter, rappelle l'Hôpital Necker. 90% des bébés recevant les dons de lait sont des bébés prématurés. Les 10% restant sont des bébés hospitalisés pour des pathologies graves du système digestif ou autre.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/index.php
Nouvoitou (35) : une fillette, dans un état grave après être tombée dans la piscine
Les pompiers sont intervenus ce vendredi soir pour tenter de ranimer une fillette de 18 mois, tombée dans la piscine familiale à Nouvoitou (35). Son pronostic vital est engagé.
C'est sa maman qui a alerté les secours ce vendredi en fin de journée. Elle ne voyait plus sa petite fille qui était tombée dans la piscine.
La fillette âgée de 18 mois était en arrêt cardiaque à l'arrivée des pompiers et des médecins du Smur. Elle a été transportée en urgence absolue à l’hôpital sud de Rennes. Son pronostic vital est engagé.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Châteaugiron.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine
C'est sa maman qui a alerté les secours ce vendredi en fin de journée. Elle ne voyait plus sa petite fille qui était tombée dans la piscine.
La fillette âgée de 18 mois était en arrêt cardiaque à l'arrivée des pompiers et des médecins du Smur. Elle a été transportée en urgence absolue à l’hôpital sud de Rennes. Son pronostic vital est engagé.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Châteaugiron.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine
Une fillette très grièvement blessée suite à la chute d’un portail
Une fillette âgée de six ans a été très grièvement blessée à la tête suite à la chute d’un portail en fer forgé, vendredi vers 16h30 à Ettendorf (Bas-Rhin) .
Selon les premières constatations, celui-ci serait sorti de ses rails de guidage au moment où la jeune victime, qui habite à Ringendorf, jouait dans l’entrée avec d’autres enfants.
Inconsciente à l’arrive des secours, elle a été prise en charge par les pompiers de Bouxwiller, Haguenau et du val de Moder. Elle a été conduite par hélicoptère à l’hôpital de Hautepierre. Son pronostic vital est engagé.
http://www.dna.fr/edition-de-saverne/2016/09/02/une-fillette-gravement-blessee-suite-a-la-chute-d-un-portail
Selon les premières constatations, celui-ci serait sorti de ses rails de guidage au moment où la jeune victime, qui habite à Ringendorf, jouait dans l’entrée avec d’autres enfants.
Inconsciente à l’arrive des secours, elle a été prise en charge par les pompiers de Bouxwiller, Haguenau et du val de Moder. Elle a été conduite par hélicoptère à l’hôpital de Hautepierre. Son pronostic vital est engagé.
http://www.dna.fr/edition-de-saverne/2016/09/02/une-fillette-gravement-blessee-suite-a-la-chute-d-un-portail
vendredi 2 septembre 2016
Deux blessés graves dans un accident de la route
L'accident s'est produit dans la nuit de jeudi à vendredi, à 2h30 du matin, sur la route départementale à la sortie de Malause, dans le Tarn-et-Garonne. Le jeune conducteur a perdu le contrôle de sa voiture et fait plusieurs tonneaux. Il a été héliporté au CHU de Purpan dans un état grave, la passagère a été transportée à l'hôpital de Montauban dans un état grave aussi.
http://www.ladepeche.fr/communes/malause,82101.html
http://www.ladepeche.fr/communes/malause,82101.html
jeudi 1 septembre 2016
Il gravit seul le Mont Blanc et se tue à la redescente
En fin de matinée, mercredi 31 août, les hommes du PGHM de Chamonix ont du intervenir sur une opération de secours dans la face nord du Mont Blanc. Malheureusement, ils n'ont rien pu faire pour secourir la victime de la chute, un allemand de 67 ans originaire de Munich
Celui-ci était seul en course.Il évoluait sans piolet ni baudrier et n'était pas encordé. Il venait de gravir le Mont Blanc par la voie normale et c'est à la redescente que l'accident s'est produit. 100 mètres environ sous le sommet, sur une arête extrêmement étroite, de 40 centimètres de large environ, il a chuté, une chute d'environ 200 mètres en sautant un mur de glace.
"A cet endroit, explique l'un des secouristes du PGHM joint par téléphone, la moindre faute de cramponage est fatale, on se prend le crampon dans le pantalon ou les lacets et on part". D'autant que l'homme croisé par une cordée d'allemands était fatigué par l'ascension et l'altitude. C'est une cordée bulgare qui le suivait qui a assisté au drame et a donné l'alerte. Le malheureux est mort sur le coup.
Une enquête est ouverte par les gendarmes pour comprendre exactement ce qui s'est passé. Un nouveau décès qui rappelle l'importance de ne pas partir seul en montagne pour ce genre d'ascension : " on ne doit pas banaliser l'altitude" répètent les professionnels de la montagne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/chamonix
Celui-ci était seul en course.Il évoluait sans piolet ni baudrier et n'était pas encordé. Il venait de gravir le Mont Blanc par la voie normale et c'est à la redescente que l'accident s'est produit. 100 mètres environ sous le sommet, sur une arête extrêmement étroite, de 40 centimètres de large environ, il a chuté, une chute d'environ 200 mètres en sautant un mur de glace.
"A cet endroit, explique l'un des secouristes du PGHM joint par téléphone, la moindre faute de cramponage est fatale, on se prend le crampon dans le pantalon ou les lacets et on part". D'autant que l'homme croisé par une cordée d'allemands était fatigué par l'ascension et l'altitude. C'est une cordée bulgare qui le suivait qui a assisté au drame et a donné l'alerte. Le malheureux est mort sur le coup.
Une enquête est ouverte par les gendarmes pour comprendre exactement ce qui s'est passé. Un nouveau décès qui rappelle l'importance de ne pas partir seul en montagne pour ce genre d'ascension : " on ne doit pas banaliser l'altitude" répètent les professionnels de la montagne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/chamonix
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