samedi 29 octobre 2016

Île d'Oléron : trois personnes grièvement blessées dans un accident de la route

L'accident a impliqué un camping car et une voiture vers 10h30 ce samedi matin
Un accident de la circulation a eu lieu ce samedi matin vers 10h30 à Saint-Pierre-d'Oléron, impliquant un camping-car et un véhicule léger sur la D734
On compte pour l'heure deux blessés légers et trois blessés graves.
23 sapeurs pompiers sont mobilisés ainsi qu'un véhicule de désincarcération, le Smur (structure mobile d'urgence et de réanimation) et un hélicoptère de Dragon 17.
http://www.sudouest.fr/2016/10/29/ile-d-oleron-trois-personnes-grievement-blessees-dans-un-accident-de-la-route-2551682-1584.php

jeudi 27 octobre 2016

Charente : il tente de braquer la coiffeuse, une cliente le met en fuite

Le braqueur a été mis en fuite par une cliente du salon qui l’a attaqué à coup de revues. Un appel à témoins est lancé par la police.
Vendredi dernier, un homme habillé de noir, encagoulé et arme au poing, fait irruption dans un salon de coiffure près du Champ de Foire de La Couronne, en plein après-midi. Vindicatif, il demande la caisse à la patronne. Cette dernière, qui a reconnu que l'arme était factice, lui rit au nez. Une cliente du salon, une septuagénaire n'écoutant que son courage, s'arme alors de revues pour le frapper et le met en fuite.
Chassé, le braqueur malhabile a été vu par des témoins monter dans une Clio bleue qui l'attendait au coin de la rue. Au volant, une jeune femme brune. Le numéro d'immatriculation arrivera aux oreilles de la police quelques heures plus tard. Il est envoyé par un témoin souhaitant rester anonyme. Problème : il correspond à un détenu de la prison de Vivonne (86). Après enquête un homme dans son entourage proche pourrait correspondre à la description des témoins. Nouveau hic : il a un alibi en béton.

Deux suspects relâchés

Pendant ce temps-là, les recherches des policiers ont été infructueuses. La voiture n'a pas été retrouvée au domicile familial du détenu inscrit sur la carte grise, à Roullet. Ce n'est que dimanche qu'elle fait sa réapparition. Saisie, elle est passée au peigne fin par les techniciens de la police scientifique.
Lundi, le frère de l'homme détenu et sa concubine sont interpellés. En garde à vue prolongée, ils ont nié en bloc l'ensemble des accusations. Ils sont ressortis libres hier matin.
La police d'Angoulême lance un appel à témoins. Toute personne susceptible de détenir des informations sur cette tentative de braquage commise au salon de coiffure « Nadège », rue Victor-Hugo à La Couronne vendredi, peut contacter le commissariat au 05 45 39 38 37. L'anonymat peut être préservé lors de ces témoignages.

http://www.sudouest.fr/2016/10/27/braquage-rate-chez-la-coiffeuse-2548680-813.php

mercredi 26 octobre 2016

Violences à Panjas : les Wallisiens condamnés

Hier, au tribunal correctionnel d'Auch, étaient jugés quatre Wallisiens pour les violences infligées à deux membres du club de rugby, lors des fêtes de Panjas en 2014.
Ils sont alignés devant la juge Laëtitia Ducourtieux, debout à sa demande. Le mur que forment les trois rugbymen aux carrures de titans est, au bas mot, impressionnant. Et il manque encore un prévenu à la barre…
Tous les habitants du village connaissent l'histoire des fêtes de Panjas de 2014. Tard dans la soirée, aux alentours de 4 h 30 du matin, il commence à y avoir de l'agitation entre la compagne de l'un des prévenus et l'une des victimes. Puis ça dégénère. Leurs compagnons arrivent à la bodéga pour «défendre leurs femmes». Les coups pleuvent, J.-P. et F. se retrouvent à terre. Vu les forces en présence, rien d'étonnant à ce que l'un d'eux se réveille le lendemain dans un hôpital bordelais, où il a été héliporté. «Ils sont même chanceux de s'en être sortis», complète leur avocate, Me Fréderic Dutin.

Légitime défense ou justice privée

Cet entraîneur de l'entente a, depuis, perdu une grande partie de son goût et de son odorat. Travaillant dans une cave coopérative avec la perspective de se spécialiser dans l'œnologie, pour lui, les dommages sont considérables.
Les débats d'hier ont vu trois des prévenus, deux frères et un ami, donner leur version de cette triste histoire. Le quatrième, engagé depuis dans l'armée, n'a pas pu assister à l'audience. On entend parler d'une jeune femme secouée (elle-même nie avoir été giflée), de cris et des tentatives de «calmer le jeu» des deux côtés. Deux Wallisiens plaident même la légitime défense, estimant que «n'importe quel autre homme aurait fait pareil à ma place pour protéger sa femme». La juge ne manque alors pas de remarquer que, s'il estime être dans son droit en assénant des coups à un homme à terre, «vous seriez donc capable de recommencer, de faire justice vous-même». L'homme évoque la colère, le dossier complète avec une consommation excessive d'alcool. Des excuses sont présentées. «C'est la première fois, alors qu'on se croise», précise F.
Il aurait pu s'agir d'une bagarre assez banale. Lors des fêtes de village, il arrive qu'on en vienne aux mains et les taux d'alcool à cette heure-ci sont rarement raisonnables. Mais «on ne s'acharne pas sur un homme à terre», martèle J-P, sapeurs-pompiers professionnel. Et son avocat d'ajouter les 27 témoins et les proches comme victimes du choc traumatique.
«Il est dur d'avouer qu'on a été lâche, insiste le procureur Philippe Pommereul dans son réquisitoire, mais invoquer la légitime défense !»
Trois de ces hommes ont été condamnés à 12 ou 15 mois de prison avec sursis (l'exclusion de cette mention au casier judiciaire étant accordée au militaire). Le dernier, le plus véhément d'après une partie des 27 témoins entendus, est condamné à 2 ans de prison, dont 6 mois ferme, de l'obligation de soigner son problème avec l'alcool et de dédommager les victimes. Malgré des provisions de 5 000 et 2 000 €, celles-ci n'en connaîtront le montant final qu'après une nouvelle expertise. Les deux hommes se sont dit «soulagés que justice leur ait enfin été rendue.»
 

jeudi 20 octobre 2016

Qui veut postuler au titre de Super mamie 2016 en Picardie ?

L’élection de Super Mamie, en Picardie, se déroulera le dimanche 27 novembre, à Amiens. D’ici là, le comité régional lance un appel à candidatures.

Créé en 1996, le concours vise à récompenser et mettre en avant des mamies anonymes et pourtant pleines de richesses. « Il est l’occasion, dans nos sociétés parfois trop superficielles, de retourner aux vraies valeurs et de permettre à des enfants et à des petits-enfants de mettre en lumière, sur scène, ces femmes extraordinaires, en leur réservant des surprises et des témoignages pleins d’amour et d’émotion », explique le comité.

Six familles sont présélectionnées à raison de trois personnes par famille : une super Mamie, l’un de ses enfants et l’un de ses petits-enfants.

Quel profil ?


La définition d’une Super mamie selon le comité ? « Super Mamie est la meilleure complice de ses enfants et de ses petits enfants qui sur scène nous la présentent, et nous disent pourquoi ils en sont fiers... Dévouée, dynamique, Super mamie appartient à une association, fait du bénévolat, maîtrise un talent artistique (chant, danse, sketch, poème, peinture, etc) ».

Pour s’inscrire, trois possibilités : par téléphone au 0344579494, par mail à comitesupermamie@wanadoo.fr ou sur le site Internet www.supermamie.com.

     http://www.aisnenouvelle.fr/region/region-en-direct

mercredi 19 octobre 2016

Une femme intoxiquée et hospitalisée après un feu de cave à Aix-les-Bains, en Savoie

Une femme a été hospitalisée ce mercredi 19 octobre après avoir été évacuée de son logement. Un feu s'était déclaré dans sa cave vers 11h30 avenue Franklin Roosevelt, à Aix-les-Bains. Intoxiquée, elle a été transportée en ambulance.
La cave a été endommagée, mais le feu ne s'est pas propagé et la victime n'aura pas besoin d'être relogée. L'intervention a mobilisé une douzaine de personnes, y compris un fourgon et une grande échelle, au cas où la fumée se serait propagée aux étages supérieurs, ce qui n'est pas arrivé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/aix-les-bains/femme-intoxiquee-apres-feu-cave-aix-bains-savoie-1112377.html

Alerte enlèvement à Grenoble: le père s'est rendu, le bébé retrouvé en bonne santé

La petite Djenah, quatre mois, enlevée hier par son père à Grenoble (Isère), a été retrouvée en bonne santé ce matin après la reddition de son père à la police, a indiqué le parquet
Le père s'est rendu. Il a appelé la police d'une cabine téléphonique à Échirolles (dans la banlieue de Grenoble). La BAC est intervenue. Il a été récupéré à 11h30 avec l'enfant en bonne santé", a déclaré Jean-Yves Coquillat, le procureur de Grenoble.
Vêtue d'un "pyjama rose bonbon", Djenah avait été enlevée par son père, Steeve Beni Y Saad, 28 ans, hier matin, alors qu'elle se trouvait avec sa mère dans un foyer accueillant des femmes battues à Grenoble.
Le jeune homme, sans domicile fixe, était entré dans le foyer en escaladant le balcon. Il avait frappé son ancienne concubine et bousculé une assistante sociale avant de s'emparer du bébé et de prendre la fuite. L'homme n'avait pas proféré de menaces à l'encontre de sa fille mais la justice avait cependant émis une alerte enlèvement au vu du jeune âge du bébé.
 

Désolé, cette vidéo n'est pas disponible sur votre mobile.....
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Alerte enlèvement pour un bébé de quatre mois à Grenoble

Djenah, petite fille de 4 mois, vêtue d'un pyjama rose bonbon, yeux marrons, un peu de cheveux châtains, a été enlevée le 18 octobre 2016 à Grenoble, par son père, Steeve Beni Y Saad, 28 ans. Il a emmené l'enfant dans un maxi cosy avec une couverture rose. Il s'agit d'un homme noir, porteur de lunettes de vue, 1,75 mètres, cheveux noirs et courts.
Si vous localisez l'enfant ou le suspect, n'intervenez pas vous même appelez immédiatement le 197, ou envoyez un courriel à : alerte.enlevement@interieur.gouv.fr

Le père était suspecté de violences familiales

Selon les informations du Dauphiné Libéré, le père de l'enfant -qui n'est pas sevrée- s'est présenté ce matin dans le foyer où est hébergée la mère. Il s'est alors emparé du bébé et a pris la fuite.
Le couple était séparé à la suite de violences dont le père est suspecté sur sa compagne. Cette dernière était prise en charge par une structure accueillant des femmes battues. Le père avait un droit de visite.
La sûreté départementale de l'Isère et l'antenne grenobloise de la DIPJ de Lyon sont co-saisies de cette affaire.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/10/18/alerte-enlevement-pour-un-bebe-de-quatre-mois-enleve-par-son-pere-a-grenoble

mardi 18 octobre 2016

Le combat des deux frères contre leur mère

Leur histoire avait ému la communauté sepfontoise et des communes environnantes au point qu'une pétition de soutien avait réuni plusieurs centaines de signatures. Les frères Varano, Bernard âgé de 35 ans et Mario âgé de 39 ans, tous deux lourdement handicapés, devaient être expulsés du domicile familial à la demande de leur mère. Les deux frères ont vécu toute leur vie dans cette demeure du centre de Septfonds que leur père avait faite construire. Ce dernier (décédé en 2012) et ses deux enfants (leur sœur vit dans le sud du département) ont ainsi vécu dans cette maison, sans leur mère partie refaire sa vie ailleurs il y a plusieurs décennies. Mais au décès d'Antoine Varano la mère, devenue propriétaire des lieux, décide de réclamer des indemnités d'occupation à ses deux fils, les assignant pour cela en justice sous peine d'expulsion. Dans un premiet temps, la mère obtiendra gain de cause… Jusqu'à ce que les conseils des deux frères contre-attaquent avec succès devant le tribunal des Affaires sociales puis devant la cour d'appel qui constata «l'état de besoin» de Bernard et Mario Varano, disant que leur mère «faute de pouvoir proposer une pension alimentaire, sera tenue de (les) loger à titre gracieux dans sa demeure de Septfonds». Me Laure Serny, l'avocate de Bernard et Mario Varano, stoppait du même coup la procédure d'expulsion que la mère s'apprêtait à engager contre ses deux fils. Fin de l'histoire ? En fait non.

«Cohabiter avec elle est tout simplement impossible»

Bernard et Mario varana se retrouvent une nouvelle fois face aux demandes qu'ils estiment «inconsidérées» de leur mère. Celle-ci a réclamé le 20 septembre dernier devant le juge aux affaires familiales du tribunal de grande instance de Montauban , l'autorisation de retourner vivre dans la demeure de Septfonds, «sa» maison, dont la justice a laissé l'usufruit à ses deux fils compte tenu de leur situation et du délaissement dont elle fit preuve au cours de leur existence. Celle-ci invoqua des raisons pécuniaires à l'appui de sa demande, ce que contestent fermement ses deux fils qui affirment connaître par ailleurs son patrimoine. Leur mère qui a refait sa vie souhaitait donc réintégrer la maison qu'elle a quittée il y a longtemps maintenant. «Cohabiter avec elle est tout simplement impossible, soulignent les deux frères. Elle nous a oubliés depuis si longtemps. Elle a voulu nous mettre dehors. Elle n'a qu'à vendre les autres biens qu'elle possède»
Derrière les arguments que la mère a soumis à la justice, les deux frères voient surtout les manœuvres d'une mère «décidée à nous compliquer la vie»…Ce 20 septembre, la justice s'est déclartée incompétente pour statuer sur la demande de la mère.En redoutant une suite à l'offensive de leur mère, les frères Varano comptent une nouvelle fois faire appel à leurs nombreux soutiens pour conserver le droit de vivre en paix dans la maison où ils ont toujours vécu, avec leur père jusqu'au décès de ce dernier, et dans tous les cas sans leur mère qui les a toujours ignorés.
http://www.ladepeche.fr/communes/septfonds,82179.html

lundi 17 octobre 2016

Guet-apens contre des policiers suivi d'échauffourées avec une centaine de jeunes à Mantes-la-Jolie

Des agents de la brigade anticriminalité (BAC) ont fait face à une centaine de jeunes armés de cocktails Molotov et de projectiles.
Jets de cocktails Molotov et projectiles: des policiers ont été pris dans un guet-apens suivis d'échauffourées avec une centaine de jeunes dans le quartier sensible du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie (Yvelines), dans la nuit de samedi à dimanche.
Ces incidents n'ont pas fait de blessé, ni entraîné d'interpellation dans l'immédiat.
Vers 22H30, la police est appelée dans la cité du Val-Fourré, dans l'ouest de la ville, pour une fausse alerte à une "voiture brûlée".

Arrivés sur place, les agents de la brigade anticriminalité (BAC) font face à une centaine de jeunes, qui s'en prennent à leur véhicule à coups de cocktails Molotov et de jets de projectiles. "Heureusement, sans parvenir à y mettre le feu", a d'après la source policière. Les renforts reçoivent le même traitement à leur arrivée.

La cité du Val-Fourré est connue pour son trafic de drogues.
Alors que les échauffourées se déroulent dans l'obscurité puisque les lampadaires sur la voie publique ont été cassés, la cinquantaine de policiers mobilisés parvient à repousser le groupe de jeunes avec des tirs de Flash-Ball et de grenades lacrymogènes.
Les jeunes décident alors de se rendre sur la dalle du Val-Fourré, pour s'en prendre au bâtiment annexe de la mairie, brisant des vitres à coups de jets de projectiles.
La police parvient à les disperser avant qu'ils ne puissent pénétrer dans le bâtiment, vers 01H00 du matin.

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a salué dimanche le "professionnalisme", le "courage" et le "sang-froid" des policiers mobilisés, "qui ont su rétablir l'ordre public face à une centaine d'individus violents" et "repousser les assaillants" sans faire de blessé.

L'enquête à été confiée au commissariat de Mantes-la-Jolie.
La semaine dernière, trente-cinq kilos de résine de cannabis avaient été saisis dans ce quartier. "Les violences urbaines sont peut-être en lien avec ça", selon la source policière.
La cité du Val-Fourré, où les violences contre la police et les pompiers sont récurrentes depuis plusieurs jours, est connue pour son trafic de drogues.
Ces incidents interviennent
une semaine après la violente attaque au cocktail Molotov qui a blessé quatre policiers, dont deux grièvement, à Viry-Châtillon dans l'Essonne, près de la cité sensible de la Grande Borne, à Grigny, une commune limitrophe

http://www.sudouest.fr/2016/10/16/guet-apens-contre-des-policiers-suivi-d-echauffourees-avec-une-centaine-de-jeunes-a-mantes-la-jolie-2536793-4697.php

dimanche 16 octobre 2016

Un briviste décédé dans un accident à Monceaux-sur-Dordogne

Un briviste de 36 ans est décédé aux alentours de 20h samedi 15 octobre 2016 après un accident de la route dans le sud de la Corrèze.
Son véhicule dans lequel il circulait seul est sorti de la route départementale 169 pour une raison indéterminée au lieu-dit Bondigoux, sur la commune de Monceaux sur Dordogne.
Selon les gendarmes, l'homme a percuté un arbre avant de chuter dans un ravin profond d'une quinzaine de mètres, il est mort peu après l'accident.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/correze

Michel Claverie, champion à 86 ans !

«Pour rigoler, je dis souvent à mes amis que je battrai le record du 100 m pour mes 100 ans ! (1)» Le Tournayais Michel Claverie s'est (temporairement) éloigné de la piste de Trélut pour se rapprocher de Perth, la mégalopole australienne, organisatrice des championnats du monde Masters d'athlétisme, du 26 octobre au 6 novembre prochain.
L'an dernier, fraîchement et doublement médaillé des mondiaux, vous faisiez escale sur la plage naturiste du Cap d'Agde quand nous vous avions contacté. Où vous trouvez-vous, cette fois ?
À Saint-Pierre, à La Réunion, où nous venons d'arriver avec ma compagne réunionnaise. Cela me rapproche de l'île Maurice d'où je prendrai un vol direct pour Perth. Dans deux ans, ce sera plus simple. C'est Malaga qui organisera les mondiaux : je pourrai y aller en voiture depuis Tarbes.
Auréolé de vos titres, vous avez sûrement trouvé des partenaires pour couvrir tout ou partie de vos frais ?
Des sponsors ? Je n'ai même pas pris le temps d'en chercher, figurez-vous. Par contre, ici, j'ai appris que le CROS (2) de La Réunion pourrait prendre en  charge le billet d'avion. Alors, finalement, je ne suis plus licencié au Stado athlétisme mais au CAG de Saint-Pierre
Vous, une infidélité au Stado ?
Non ! Le Stadoceste reste mon club de cœur. Pensez donc : j'y avais joué au rugby étant junior. D'ailleurs, comme dans ma tête je suis resté jeune, quand j'entre sur la piste j'ai le même état d'esprit que quand, junior, j'entrais sur la pelouse.
Comment se déroulent vos entraînements ?
Je m'entraîne d'une heure à une heure trente, trois fois par semaine, sous les conseils de Barkri Darouèche, qui était champion du monde vétérans de la longueur, jusqu'à l'an dernier. Il a d'ailleurs modifié le programme que j'avais à Tarbes. Après l'échauffement (des gammes, des montées de genou), à chaque séance, je cours sur des distances différentes (3 fois 50 m, puis un 60 m, par exemple). Il m'a aussi appris à travailler le «lever de pied». Au niveau des temps, ça change, par rapport à avant, quand je courrais les pieds à plat !
Tout se présente pour le mieux, alors ?
Oui, excepté des petits problèmes de santé. Depuis deux mois, j'ai une sorte de tendinite aux adducteurs qui a été traitée, mais si je force un peu, la douleur se réveille. Mais par ailleurs, le dentiste me dit que ça pourrait venir d'une de mes dents qu'il faudrait arracher. On verra ça à mon retour d'Australie.
Les médecins doivent être ennuyés pour vous prescrire des médicaments qui ne tombent pas dans la liste des produits dopants ?
Moi, je ne me dope pas. Je prends juste des compléments alimentaires qu'on m'a indiqués. Et c'est vrai que ça booste !
Alors ce sera l'or, à la fin du mois ?
Oui, je vise l'autre médaille. L'an dernier, je n'ai pas bien compris cette médaille d'argent. Ce Japonais qui courrait pour le Brésil avait deux ans de plus que moi et m'est revenu de je ne sais où, comme une fusée. Pour moi, il devait être dopé, ce n'est pas possible. Mais cette année, le problème est réglé : il ne sera pas là. Je ne me vois que deux concurrents directs : un «vrai» Japonais qui affirme courir en 15» (ce dont je doute fortement) et un Australien qui serait à 16» 4.
Des supporters, en plus de votre compagne Jeanne ?
Oui, de nombreux amis en France, notamment. Et ici, au stade de Bois-d'Olive, les gens sont stupéfaits quand ils me voient m'entraîner. Quand ils demandent comment je fais, à mon âge, je leur demande justement de le deviner, cet âge. Et systématiquement, ils se trompent en me rajeunissant de 15 ans au minimum. Ce qui me fait un bien fou au moral ! C'est comme le fait de courir : ça me rajeunit et donc cela me rend heureux. À 86 ans, il y en a beaucoup qui ne sont pas en vie. Et quand ils le sont, il faut voir dans quel état, le plus souvent…
(1) 16 » 99 ; en 2015, Michel Claverie a franchi la ligne en 17 » 04.

http://www.ladepeche.fr/communes/tarbes,65440,sports.html

samedi 15 octobre 2016

Annemasse : la fillette de 8 ans fauchée au passage piéton est décédée

La fillette âgée de 8 ans violemment fauchée mardi après-midi sur un passage piéton de l'avenue du Maréchal Leclerc n'a pas survécu à ses blessures.

Prise en charge à l'hôpital cantonal de Genève où elle avait été admise en urgence mardi, acheminée par l'hélicoptère de la sécurité civile Dragon 74, la fillette est décédée vendredi en fin d'après-midi.
Les suites judiciaires ne seront officiellement connues que lundi, pour permettre aux agents de la brigade accident et délits routiers (BADR) du commissariat d'achever l'enquête.
Le conducteur de la voiture, un Annemassien âgé de 34 ans dépisté négatif à l'alcool et aux stupéfiants, devrait être poursuivi pour homicide involontaire
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2016/10/15/la-fillette-fauchee-au-passage-pieton-a-succombe

jeudi 13 octobre 2016

Le cri du coeur d'une mère : «Comment peuvent-ils vivre avec la mort d'Hamza ?»

Quatre ans après la mort d'Hamza Benamra, fauché par une voiture dont le conducteur a pris la fuite, la mère de cet adolescent ne comprend pas. Et elle espère toujours que des témoins vont parler.
«Hamza, c'était un gros farceur, la joie de vivre… Tout le monde l'appréciait.» Myriam Benamra sourit en évoquant son fils, parti trop tôt à l'âge de 14 ans. Il circulait sur sa petite moto quand un conducteur lui a coupé la route, le 13 octobre 2013 rue Henri-Desbals au cœur de La Reynerie, à Toulouse. Son passager a été grièvement blessé. Lui n'a pas pu être ranimé par les secours. C'était il y a quatre ans. Le visage de sa mère s'est déjà fermé : «Il nous manque. Comment arriver à oublier sa disparition ? Comment imaginer que, peut-être, je croise des gens qui savent exactement ce qui s'est passé et ne parle pas ? Je ne le supporte pas !»
Le soir de l'accident, le conducteur de la Renault Clio responsable de l'accident (il a refusé une priorité) a pris la fuite, abandonnant les deux victimes. Un père de famille s'est livré 48 heures après à la police. Le début d'une incroyable série de mensonges et de mauvaise foi qui reste d'ailleurs en travers de la gorge des enquêteurs et du juge en charge du dossier. «Je n'en veux ni à la police, ni à la juge d'instruction. Ils ont cherché, vite compris que celui qui s'accusait ne se trouvait pas au volant. Mais qui alors ? Cet homme sait, sans doute. D'autres également mais personne n'ose se confier. Pourtant demain, eux aussi peuvent perdre un enfant dans un accident !»
Pour se protéger, chasser les fantômes, la famille Benamra a quitté le quartier de la Patte d'Oie, à Toulouse. «Nous avions trop de souvenirs là-bas mais cela reste délicat de vivre. Pourtant nous espérons toujours que quelqu'un se confie, dise qui conduisait la Renault Clio. Ils ont abandonné mon fils après l'avoir percuté. Salim, son copain, est resté trois semaines à l'hôpital. Aujourd'hui, si son corps va bien, cela reste très difficile pour lui. Il a vu son copain mourir. Comment les gens qui ont fait ça peuvent-ils vivre ?» s'interroge la mère, des larmes plein les yeux.
Avant l'été, la doyenne des juges d'instruction Myriam Viargues a clôturé le dossier. L'homme qui s'était livré et a passé six mois en détention sera poursuivi pour conduite sans permis mais pas pour l'accident dont le responsable reste inconnu. «Deux filles ont été soupçonnées. Si ce sont elles, elles vont bientôt se marier, avoir des enfants… Pensent-elles à notre douleur, à ce que nous subissons ?»
Au-delà des maux, Myriam Benamra espère pourtant toujours. «Je connais les cités et la loi du silence qui s'y impose. Je sais aussi que demain, quelqu'un peut parler pour se sortir d'un mauvais pas. Je l'espère. Pour savoir qui conduisait, mettre enfin un visage sur le ou la responsable de la mort d'Hamza et essayer, enfin, d'oublier ce drame pour ne conserver dans ma mémoire que le sourire de mon fils.»
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

lundi 10 octobre 2016

Appel à témoins de la police nationale

Numéro vert pour aider les enquêteurs à retrouver les auteurs de la tentative d'assassinat contre les policiers à #ViryChatillon
hebergement d'image

Grâce à un œil bionique, le bonheur retrouvé de Charlotte, non-voyante

Dans un mois, Charlotte Demeitrache fêtera sa première année avec son œil bionique. La plus jeune implantée d'Europe est désormais capable de sortir seule avec son dispositif.
Les toits de Londres, les lumières d'une fête foraine en Andalousie, la ligne d'horizon entre le ciel et l'eau sur une plage espagnole, voilà la carte postale estivale de Charlotte Demeitrache, non-voyante. En novembre 2015, la souriante brune de 30 ans est devenue la plus jeune Européenne dotée d'un œil bionique. Un implant de quelques millimètres dans son œil droit, relié à des lunettes et un boîtier portable, lui permet, petit à petit, de récupérer jusqu'à 60 pixels et donc de repérer des formes qu'elle ne voit plus depuis dix ans, conséquence d'une maladie dégénérative de l'œil, la rétinite pigmentaire.
Équipée depuis onze mois du système Argus®II de la société américaine Second Sight, Charlotte Demeitrache apprend vite. Après les séances de rééducation visuelles au CHU de Bordeaux où elle a été opérée, la jeune femme a enchaîné avec de la rééducation à domicile, un travail indispensable pour permettre à son cerveau d'interpréter correctement les informations envoyées par son nerf optique. «Il me reste encore six séances mais je suis déjà autonome. La rééducation va vite car j'ai un grand sens de la déduction, je n'ai rien oublié de ce qu'était mon environnement quand je voyais. Lorsque ma caméra s'arrête sur un obstacle, je vois un flash. Je prends alors le temps d'analyser la hauteur, la largeur, la forme de l'objet et je procède par déduction », précise-t-elle.

Voitures claires ou foncées

Alors Charlotte est devenue insatiable, ne sortant pratiquement plus sans son dispositif. Depuis une semaine, elle porte ses lunettes quotidiennement, se balade dans les rues de Fonsorbes où elle réside avec son compagnon et ses trois enfants, arrive à savoir si les arbres qu'elle distingue sont de son côté ou de l'autre de la route, joue avec ses enfants à identifier les voitures claires ou foncées sur le chemin de l'école… Aux écuries de Fontenilles, elle a même monté sa jument coiffée de ses grosses lunettes. «Je travaille encore sur les passages piétons, c'est plus difficile. Il m'est également difficile de faire la différence entre une fenêtre et une porte sur les façades. Mais j'ai fait un tour à moto avec les lunettes, c'était super, je voyais très bien les épaules et le casque de mon pilote et les voitures quand on les doublait. Aux écuries, j'arrive à retrouver les portes. C'est incroyable, je ne soupçonnais même pas tout ce que j'arrive à faire aujourd'hui », témoigne la jeune femme. Surtout, depuis quelques semaines, Charlotte assume. «Je ne me soucie plus du regard des gens, je n'ai plus peur de porter mes lunettes en sortant seule dans la rue, ça crée même de l'intérêt. Je suis même allée au meeting de la Patrouille de France à Francazal. Bien sûr je n'ai pas vu les avions, ça va trop vite, je les ai juste entendus mais j'ai pu me rendre compte des proportions du Belulga qui était garé sur le côté. C'est le bonheur ! »

Implant, caméra et boîtier

Le système Argus ®II de Second Sight est composé d'un implant de quelques millimètres à l'intérieur et autour de l'œil, d'une paire de lunettes et d'un boîtier portable. La caméra, dans la monture des lunettes, transmet les données vidéos au boîtier qui les traduit en instructions lesquelles sont envoyées à l'implant par une connexion sans fil. Stimulées par impulsions électriques, les cellules non endommagées de la rétine transmettent les informations au nerf optique qui les envoie au cerveau. Le patient doit apprendre à les interpréter. L'innovation (97 000 €) bénéficie d'une prise en charge totale dans le cadre du «forfait innovation» mis en place par le ministère de la Santé pour 36 patients.

http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

samedi 8 octobre 2016

Un homme de 35 ans gravement blessé à l’arme blanche à Grenoble

l était un peu plus de 4h ce samedi matin rue des Alliés à Grenoble lorsqu’un homme de 35 ans a été grièvement touché à la tête par un coup de couteau. La victime a été transportée de toute urgence au CHU.
On ne connaît pas encore les circonstances de ce drame.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble

Grosse saisie de stupéfiants chez un couple de Dunes

Un kilo d'amphétamines, 1,7 kg de résine de cannabis et une culture indoor de 48 pieds d'herbe de cannabis... C'est la spectaculaire saisie que viennent de réaliser les gendarmes de la compagnie de Castelsarrasin chez un couple de Dunes.
Les militaires, qui travaillaient sur d'autres faits impliquant ce Dunois de 27 ans et sa compagne de 23 ans, sont tombés inopinément sur cette impressionnante quantité de stupéfiants. Même s'il paraissait difficile aux mis en cause de dire que c'était pour leur «consommation personnelle», ces derniers, placés en garde à vue, demeuraient peu diserts.
Après une prolongation de vingt-quatre heures de leur garde à vue, la jeune femme a été relâchée jeudi en fin d'après-midi, sans être, pour l'heure, poursuivie. Quant à son compagnon, il a été déféré, hier, devant le vice-procureur de la République, Pierre Vignolles. Ce dernier a réclamé l'ouverture d'une information judiciaire et un placement en détention provisoire. Une requête que suivait le juge des libertés et de la détention (JLD). Une affaire promptement soldée qui ne pouvait que ravir les hommes du colonel Christophe Daniel qui avaient, la semaine dernière, à Caussade, interpellé le conducteur d'un go fast transportant 10 kg de résine de cannabis en provenance de Paris.
http://www.ladepeche.fr/communes/dunes,82050.html

vendredi 7 octobre 2016

Altercation au Parlement européen : un blessé grave

Un député européen du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (Ukip) a été hospitalisé dans un état grave jeudi à Strasbourg. Il a été blessé lors d'une réunion des députés de son parti au Parlement européen
"Je regrette profondément qu'à la suite d'une altercation qui s'est produite ce matin lors d'une réunion d'eurodéputés de l'Ukip, Steven Woolfe s'est effondré et a été hospitalisé. Son état est grave", a déclaré l'ex-président du parti britannique europhobe Nigel Farage dans un communiqué. Après de premières informations alarmistes sur l'état de santé de l'eurodéputé, notamment le Daily Telegraph qui annonçait une hémorragie au cerveau, Steven Woolfe a tenu à rassurer ses amis sur son état de santé.
L'altercation est survenue deux jours après que l’eurodéputée Diane James a créé la surprise en annonçant qu’elle quittait la présidence du parti "pour raisons personnelles", 18 jour seulement après avoir été élue pour succéder à Farage. Steven Woolfe avait tenté de briguer la présidence du parti lors du congrès de Bournemouth, organisé en septembre, mais sa candidature, déposée trop tardivement, n'avait pas été retenue. Il avait alors dénoncé un "coup d'Etat".
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/

Une voiture entre dans un lycée, pas de blessé

Une femme couverte d'un foulard, présentée comme déséquilibrée, a pénétré en voiture dans un lycée du Puy-en-Velay, cassant la barrière d'entrée de l'établissement avant de se livrer à un rodéo autour des bâtiments sans faire de blessé, selon des sources concordantes. Le proviseur a été alerté vers 8h45 quand une voiture, moteur en marche et feux allumés, s'est arrêtée devant la barrière du lycée Charles et Adrien Dupuy et il a immédiatement prévenu la police, a rapporté Jeannine Buisson, directrice départementale de la Sécurité publique (DDSP) de Haute-Loire. Avant l'arrivée des forces de l'ordre, la conductrice a réussi à briser la barrière d'entrée de cet établissement non sécurisé et à circuler entre les bâtiments. Au moment où elle quittait les lieux, la police l'a interpellée, puis l'a placée en garde à vue, selon la même source. Suivi psychiatrique Le proviseur avait dans l'intervalle pu rassembler tous les élèves dans les locaux, leur évitant ainsi de se trouver sur la trajectoire de la conductrice. Selon la police, le femme, d'origine européenne, connue pour des crises d'hystérie, est suivie par l'hôpital psychiatrique du Puy-en-Velay. "Elle a été identifiée et elle n'a aucun lien avec la mouvance islamiste", a précisé le préfet du département, Eric Maire. L'enquête, confiée à la DDSP selon le parquet, devra notamment tenter de déterminer les raisons de son geste et les motifs de son port d'un ample foulard
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 6 octobre 2016

Harcelé, un écolier de 10 ans essaye de se pendre

Vendredi dernier, un garçon de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) a tenté de se suicider par pendaison, selon Le Parisien.
Fort heureusement, le nœud n'a pas été assez résistant et l'enfant a pu être sauvé.
Très secoué, le père a porté plainte pour "harcèlement moral". Depuis la rentrée son fils subirait nombre de brimades de plusieurs autres élèves, assorties de tapes derrière la tête. L'enfant aurait même perdu appétit.
http://www.ledauphine.com/

Un chef réputé de La Chapelle d’Abondance décède dans un accident à Châtel, en Haute-Savoie

Bernard Trincaz était le chef des Cornettes, un établissement incontournable de La Chapelle d'Abondance qui se transmet de génération en génération depuis 1894.
Bernard Trincaz s'apprétait à passer le relais à ses deux enfants, Virginie, âgée de 24 ans et Jémémy, 27 ans.
La famille est en deuil ce jeudi 6 octobre, et a publié une lettre aux amis et clients de l'établissement, annonçant qu'ils allaient "redoubler d'efforts, et de travail, pour lui, afin de le rendre fier de nous, dans l'esprit et les valeurs qu'il nous a inculquées. Il sera chaque jour à nos coté , et avec nous, pour continuer cette si belle histoire, que nos grands-parents, arrières grand parent, et arrières-arrières grands parents ont débutés avec tout autant de valeurs en 1894, depuis maintenant 5 générations."

Bernard Trincaz a disparu lors d'un accident de la route ce mercredi 5 octobre impliquant trois véhicules à Châtel. Il s'est retrouvé prisonnier de la tôle et n'a pas survécu à ses blessures.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie

mardi 4 octobre 2016

Comment se protéger du virus Eko qui se répand sur Facebook Messenger

Il prend la forme d'une vidéo postée par un ami, utilise votre nom et votre photo de profil pour mieux vous tromper et permettre aux pirates d'accéder à vos informations personnelles
Vous ne le connaissez sans doute pas par son petit nom mais vous avez très certainement déjà eu affaire à lui. Ces dernières 48 heures, de nombreux utilisateurs de Facebook ont été victimes du nouveau virus qui circule sur la messagerie instantanée Messenger. Baptisé Eko, il prend la forme d'une vidéo postée par un ami dans une fenêtre de discussion de Messenger et utilise votre nom et votre photo de profil pour mieux vous tromper.

Le lien redirige vers une fausse page YouTube nommée "xic.graphics". En cliquant sur la vidéo, l'utilisateur se voit proposer de télécharger et d'installer une extension de Chrome pour la lire sur son navigateur. Si vous êtes arrivés jusqu'ici, ne cliquez pas. Pour voir à quoi il ressemble, un utilisateur a capturé en vidéo le scénario du virus.

Le logiciel contient en réalité un virus de type "malware", ou cheval de Troie. Il permet à un virus de s'introduire dans votre ordinateur et de l'infecter. Une fois dans les tuyaux, le mouchard peut collecter les informations qu'il souhaite, de vos mots de passe à vos coordonnées bancaires, et les utiliser pour vous envoyer des factures et fausses demandes de paiement (phishing). Il pourra ensuite envoyer des messages du même type à vos contacts pour les infecter à leur tour.

Si vous avez téléchargé l'extension en question, tout n'est pas perdu. Il vous faut aller dans les paramètres de votre navigateur, sélectionner le menu "Extensions", repérer l'extension "Eko" puis la supprimer. Ensuite, changez votre mot de passe Facebook et effectuez un scanner de votre système à l'aide d'un antivirus. Vous pouvez aussi prévenir vos amis susceptibles d'avoir été dupés.

Contacté par le 
HuffPost, Facebook affirme être au courant de la situation et proposer une solution aux utilisateurs infectés par le virus. Ces derniers doivent recevoir une notification leur indiquant s'ils sont concernés par le problème. Le réseau social leur proposera alors de scanner gratuitement leur navigateur à l'aide d'un antivirus partenaire afin de repérer les éventuels outils malveillants.
http://www.rtl.fr/culture/futur

Toulouse : un motard fauche deux élèves dans l'enceinte du lycée Raymond Naves et prend la fuite

Deux lycéennes du lycée Raymond Naves à Toulouse, âgées de 15 et 16 ans, ont été fauchées par un conducteur de moto qui a perdu le contrôle de son véhicule avant de prendre la fuite, a-t-on appris de source policière. L'accident s'est produit vers 13h20 ce mardi 4 octobre.

Un motard a pénétré dans l'enceinte du lycée et effectué un "rodéo" quand il a tapé une barrière de sécurité et perdu le contrôle de son engin qui est venu percuter un groupe de lycéens. Une jeune lycéenne souffre d'un traumatisme crânien sévère et l'autre a été blessée à la jambe. Elles ont été toutes les deux hospitalisées.

L'homme, blessé lui-même à la jambe, a pris la fuite en abandonnant sa moto accidentée. De nombreux moyens de secours et de police se sont rendus sur place pour secourir les blessées et mettre la main sur le fuyard.

Il semble que le motard n'est pas un élève du lycée. Dès lors la question se pose : comment un homme a-t-il pu rentré dans l'enceinte de l'établissement avec son engin sans être inquiété alors que depuis la rentrée des mesures de sécurité renforcée sont censées avoir été mises en place dans tous les établissements scolaires. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse

Chaux-Champagny : une maison s'embrase

 l'arrivée des secours, cette ancienne maison rénovée était totalement embrasée.
Une vingtaine de sapeurs-pompiers sont intervenus sur place au moyen de trois lances. Un couple légèrement incommodé par les fumées a été examiné par un médecin. L'électricité a été coupée sur la totalité du village.
Vers 1h30 du matin, le sinistre était éteint. Il est resté sous surveillance toute la nuit. Des relogements seront nécessaires. Selon les gendarmes, le feu serait parti d'un insert avant de se propager à la toiture. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/jura

lundi 3 octobre 2016

Kim Kardashian braquée à Paris, des bijoux volés pour 9 millions d'euros

C'est l'un des plus gros vols de bijoux des dernières années en France: la star de téléréalité Kim Kardashian a été braquée dans la nuit dans son hôtel parisien par des hommes déguisés en policiers qui ont emporté un butin estimé à neuf millions d'euros après l'avoir ligotée.
"Choquée" par cette agression, la vedette américaine, venue à Paris pour la Fashion Week, a été entendue par la police judiciaire parisienne avant de s'envoler depuis l'aéroport du Bourget tôt lundi matin, ont affirmé des sources proches du dossier, sans préciser sa destination.
Des "hommes armés et masqués, habillés comme des agents de police", ont fait irruption dans la nuit de dimanche à lundi dans sa chambre et l'ont tenue en joue, a déclaré une porte-parole de la star. "Elle est vraiment très sonnée, mais, physiquement, elle est indemne."
Selon une source judiciaire, le butin est conséquent: il est évalué à une bague d'une valeur de quatre millions d'euros et d'un coffret de bijoux pour un montant de cinq millions. "Deux téléphones ont également été dérobés", selon une source policière.
La brigade de répression du banditisme (BRB) a été saisie de l'enquête, notamment pour retrouver les braqueurs.
Les faits se sont déroulés vers 02H30 dans une discrète résidence hôtelière de luxe près de la Madeleine et des grands magasins, dans un quartier cossu de la capitale.
Les braqueurs, au nombre de cinq, portaient "des blousons de police", selon une source policière. Ils ont entravé le veilleur de nuit, et deux d'entre eux, a précisé la source judiciaire, sont ensuite entrés dans les appartements de la star téléréalité. Kim Kardashian a été "ligotée" et "enfermée dans la salle de bain", selon des sources policières.
Fuite à vélo?
Au moins un des assaillants était armé. Ils pourraient avoir pris la fuite à vélo puisque des vélos qui se trouvaient dans le hall ont été volés.
Au même moment à New York, son mari, le rappeur Kanye West, chantait depuis une heure au festival The Meadows lorsqu'il a lancé au public "désolé, le concert est fini", avant de s'éclipser. Un responsable du festival a invoqué une "urgence familiale".
Devant la lourde porte rouge de la résidence hôtelière théâtre de l'agression, qui restait close, un attroupement de journalistes et de quelques curieux s'est formé lundi matin. "Y a que des stars là-dedans. Kanye West, Jay Z., Kim Kardashian elle est là depuis une semaine, je la vois aller et venir", a dit un serveur de café voisin.
"C'est drôle! Enfin, c'est cruel, mais il paraît qu'ils l'ont scotchée dans la baignoire. Ça c'est drôle!", s'amusait Valérie, une passante.
La candidate à la primaire de la droite pour la présidentielle Nathalie Kosciusko-Morizet s'est inquiétée sur Europe 1 pour "l'image de Paris" et la "contre-pub que ça représente", alors que le tourisme est déjà en berne depuis les attentats de 2015. Elle a évoqué une "urgence générale sur la sécurité à Paris".
Dimanche, la vedette de téléréalité ultramédiatisée, 35 ans, habituée de la Fashion Week parisienne, était au premier rang pour le défilé Balenciaga. Elle a assisté également au show Givenchy en plein air. Vêtue d'une nuisette blanche, elle faisait peu de cas de la fraîcheur de la soirée.
Sur son compte Instagram, qui compte 84 millions d'abonnés, Kim Kardashian a posté ces derniers jours depuis Paris plusieurs photos d'elle dans des tenues sexy et excentriques.
La semaine dernière, elle avait été approchée dans la capitale parisienne par Vitalii Sediuk, un ex-journaliste ukrainien qui fait régulièrement parler de lui pour ses agressions de stars en public. Une vidéo le montre en train de tenter de lui embrasser le derrière.
http://www.ladepeche.fr/

dimanche 2 octobre 2016

Bientôt des cheminots en civil et armés

Six mois après son adoption, la «loi Savary» concernant «la prévention et la lutte contre les incivilités, les atteintes à la sécurité publique et les actes terroristes dans les transports» va entrer en application.
Ainsi, depuis les décrets parus vendredi au Journal officiel, des agents de SNCF et de la RATP vont pouvroi travailler armés et en civil.

Formés par la police

Les deux sociétés doivent d'abord choisir et former les agents de la sûreté ferroviaire et du Groupe de protection et de sécurisation des réseaux (GPSR) qui opèreront en civil. Les personnes sélectionnées devront avoir au minimum cinq ans d'expérience. Leur formation ne débutera pas immédiatement, puisque les formateurs devront au préalable... être formés par la police nationale, ce qui ne devrait commencer qu'à partir de la semaine prochaine. Chaque agent amené à mener des missions en civil devra disposer d'un agrément préfectoral à son nom.
Le décret précise que les agents de sécurité seront aussi autorisés à procéder à des «palpations de sécurité» dans le cas de «circonstances particulières liées à l'existence de menaces graves pour l'ordre public, notamment à l'entrée des gares ou des trains».
Déjà, depuis le mois d'avril, les personnels peuvent réaliser des «inspections visuelles» et à fouiller les bagages des voyageurs. Dans les transports parisiens, les agents de sécurité de la RATP procèdent à environ 25 contrôles de ce type par jour.A la SNCF, les premières patrouilles pourraient commencer avant la fin octobre.
http://www.ladepeche.fr/actu/france/societe-1/securite/

samedi 1 octobre 2016

Un immeuble évacué dans le quartier Montaudran à Toulouse

Pompiers et policiers se sont mobilisés ce vendredi soir à partir de 22 heures autour d'un immeuble de l'impasse Bitet, dans le quartier Montaudran à Toulouse. Un homme âgé de 43 ans s'y serait suicidé. Selon ses voisins, cet homme souffrait de sérieux problèmes psychologiques.
L'immeuble a ensuite été évacué avant l'arrivée des démineurs de la sécurité civile qui ont passé le logement au peigne fin. Des vérifications qui prennent du temps selon les autorités présentes sur place qui parlent de la nécessité de "lever le doute". Cependant, il n'y aurait pas d'explosif dans cet appartement situé au 2e étage du bâtiment. Il y a deux ans, des armes et des munitions y auraient pourtant été trouvées. L'homme décédé ne portait pas un gilet pare-balles comme le croyait un témoin qui avait aussi parlé d'une ceinture explosive. "Un simple gilet tactique", précise une source proche des vérifications en cours.
Pendant l'intervention des forces de l'ordre et des démineurs, le directeur de cabinet du préfet s'est rendu sur place avec le numéro 2 de la Direction départementale de la sécurité publique de Haute-Garonne.

http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html