dimanche 31 janvier 2016

Eurodisney: l'homme armé jugé en comparution immédiate

L'homme arrêté jeudi dans un hôtel de Disneyland Paris en possession de deux pistolets et d'un coran sera jugé demain en comparution immédiate pour transport et détention d'armes et de munitions, a annoncé hier le parquet de Meaux, qui a requis son placement en détention provisoire jusqu'à sa comparution devant le tribunal correctionnel. Il encourt une peine de 5 ans de prison et 75.000 euros d'amende. Face aux enquêteurs, l'homme avait expliqué qu'il «gardait avec lui ses deux pistolets automatiques de petit calibre, qu'il a depuis longtemps, pour ne pas les laisser au domicile de sa mère à Paris, où il vit en ce moment», avait indiqué une source policière, confirmée par le parquet.
Sa compagne, qui devait elle aussi séjourner à l'hôtel New York près du «Disney Village», a également été entendue dans la nuit de jeudi à vendredi par les enquêteurs. «Aucun élément ne permet de l'incriminer dans une quelconque complicité», selon le parquet. Dans un premier temps, l'homme avait déclaré aux policiers qu'il était armé car il craignait pour sa sécurité, selon une autre source policière.

samedi 30 janvier 2016

Nantes : la mère refuse de venir chercher sa fille mineure au commissariat

L'adolescente mineure circulait de nuit sur la voie publique avec deux autres copines, la police a demandé aux parents de venir récupérer leurs enfants, une mère a refusé de se déplacer "par ce froid" ! La police a fait taxi !
L'histoire se passe vers 2h45 du matin. En pleine nuit place du Commerce à Nantes, la police s'inquiète de la présence de trois adolescentes. Trois copines qui ont 14 ans pour l'une et 15 ans pour les deux autres.  Toutes trois sans pièces d'identité. Elles ont été prises en charge et conduites à l'hôtel de police pour une vérification d'identité et de domicile. L'une des ados de 15 ans est signalée en fugue.
Les deux autres mineures sont remises à leurs parents. Pour la troisième en fugue, la mère a refusé de venir la chercher "par ce froid" ! La police a donc gentiment fait "taxi" et ramené la jeune fille au domicile familial ! 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/nantes-la-mere-refuse-de-venir-chercher-sa-fille-mineure-au-commissariat-916397.html

La directrice d'école menacée par le père de deux enfants, dont il n'a pas la garde

Un homme d'une quarantaine d'années père de deux enfants a été interpellé par les gendarmes du Psig de Limoux pour menaces proférées à l'encontre de la directrice de l'école de Mazerolles du Razès.
L'incident s'est produit sur le coup de 9 heures, mercredi, lorsque le quadragénaire domicilié dans la localité qui vit séparé de sa compagne demande à récupérer ses deux enfants vivant au domicile de la mère depuis l'été dernier, date de la séparation. Une situation qu'il ne supporte pas, ce n'est pas la première fois qu'il se présente à l'école avec la même demande expresse. Il perd son sang-froid lorsqu'il apprend de la bouche de la directrice qu'ils ne se trouvent pas l'établissement. Ils ne sont pas venus à l'école ce matin lui retorque-ton.
Le ton monte, et selon des témoins il réitère ses menaces à plusieurs reprises, assurant qu'il reviendra armé et avec d'autres personnes. Des habitants du village sont présents et assistent à la scène dont le maire de la localité M.Jean-Pierre Gleyzes.
Le mari de la directrice devra s'interposer pour l'empêcher de pénétrer dans l'établissement. Il sera placé en garde à vue quelques heures plus tard et présenté au Parquet.
En attendant de comparaître devant le tribunal à la mi-février, il lui est interdit d'approcher les victimes ainsi que de l'établissement scolaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/30/2266588-directrice-ecole-menacee-pere-deux-enfants-dont-garde.html

jeudi 28 janvier 2016

Deux jeunes Tarbais rouent de coups un homme jusqu'aux urgences

Selon nos confrères de «La République des Pyrénées», deux jeunes Tarbais, soupçonnés d'avoir roué de coups un homme qu'ils ont poursuivi jusqu'aux urgences de l'hôpital, ont été interpellés lundi à Pau. L'un des deux agresseurs croise en ville la victime qui aurait une dette envers eux. Le premier appelle alors son compère tarbais dans l'intention de la frapper. La victime essuie des coups de poing et des coups de pied jusqu'à ce que l'un des deux agresseurs lui montre la crosse de l'arme qu'il a sous son tee-shirt. La victime propose alors d'aller chercher de l'argent au foyer où elle réside. Mais, sur place, le jeune homme s'enferme à double tour dans sa chambre. L'établissement prévient alors la police. Entre-temps, la victime est partie se faire soigner aux urgences où les deux agresseurs, déterminés, l'y attendent. Cette fois, c'est l'hôpital qui alerte les forces de l'ordre qui procèdent à l'arrestation des deux acolytes. Dans leur voiture, une arme de type Airsoft et une matraque sont découvertes. Mais en garde à vue, ces derniers minimisent les faits, reconnaissant avoir asséné l'un une gifle, l'autre un coup de pied alors que la victime avait évoqué des coups de matraque dans la nuque… Les deux Tarbais, âgés de 20 et 22 ans, devront s'expliquer devant le tribunal en mars prochain. La victime, elle, s'est depuis évaporée.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/28/2265322-deux-jeunes-tarbais-rouent-coups-homme-jusqu-urgences.html

mercredi 27 janvier 2016

Jean-Luc Lahaye de retour devant les juges

Le chanteur Jean-Luc Lahaye sera confronté deux fois cette semaine à la justice: jeudi pour répondre de propos tenus sur une autre vedette des années 80, Julie Pietri, et vendredi dans une affaire de corruption de mineure. 

Des jeux sexuels par webcam

Vendredi, l’artiste de 63 ans, déjà condamné en 2007 à 10.000 euros d’amende pour des relations sexuelles avec une mineure de 15 ans, devra s’expliquer devant la cour d’appel de Paris sur un autre cas impliquant une très jeune fille, à laquelle il avait demandé en 2013 de s’adonner à des jeux sexuels par webcam interposée.

"Que je me tape Julie Pietri? Non merci"

Le chanteur avait été condamné en première instance à un an de prison avec sursis pour corruption de mineure. Et c’est en réagissant sur RTL à ce premier jugement que Jean-Luc Lahaye avait tenu le 18 mai 2015 les propos qui lui valent une confrontation judiciaire avec l’interprète du titre "Eve lève-toi". Interrogé sur son attirance pour les jeunes voire très jeunes filles - "J’ai toujours aimé les filles plus jeunes que moi, peut-être le syndrôme de Lolita" - , le chanteur avait lancé: "Que je me tape Julie Pietri? Non merci".
La chanteuse âgée de 60 ans avait alors porté plainte, pour injure et diffamation. Julie Pietri attaque à la fois "pour que les femmes ne se fassent pas insulter dès qu’elles dépassent un certain âge", et parce qu’elle "ne veut pas que son nom soit associé de près ou de loin à la vie publique de M. Lahaye", a précisé son avocat, Jim Michel-Gabriel.
La chanteuse demande au total 40.000 euros. Selon son avocat, elle entend verser l’argent, si elle en obtient, à des associations oeuvrant pour la protection des femmes
http://www.ledauphine.com/france-monde/2016/01/27/jean-luc-lahaye-de-retour-devant-les-juges

France 2 envisagerait de se séparer de Stéphane Bern et Patrick Sébastien

hebergement d'imageMichel Drucker confiait la semaine dernière qu’il n’était pas sûr de signer un nouveau contrat à la fin de la saison avec France 2. Officiellement, il envisagerait de se retirer momentanément du petit écran pour mieux assurer la tournée de son seul en scène, prévue sur les routes de France pour les prochains mois. Mais officieusement, il serait en désaccord avec la chaîne du service public. Selon Renaud Revel, journaliste médias de L’Express, France 2 lui aurait proposé un nouveau contrat d’un an, impliquant une réduction de la durée de Vivement dimanche ainsi qu’une coupe dans le budget de l’émission.

De la jeunesse…

Sur son blog, Renaud Revel ajoute que Stéphane Bern et Patrick Sébastien seraient également sur la sellette et qu’ils ne seraient pas assurés de se retrouver dans la grille des programmes de France 2 à la rentrée de septembre. Tous deux permettent pourtant à la chaîne de réaliser de bons scores d’audience, mais ils pourraient faire les frais du vent de jeunesse que souhaiterait faire souffler la direction sur son antenne.
http://www.20minutes.fr/television/1774267-20160127-france-2-envisagerait-separer-stephane-bern-patrick-sebastien

La ministre de la Justice Christiane Taubira a démissionné

La garde des Sceaux, Christiane Taubira, a démissionné, vient d'annoncer l'Élysée dans un communiqué. "Madame Christiane Taubira, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a remis ce 27 janvier 2016, sa démission au Président de la République, qui l’a acceptée. Ils ont convenu de la nécessité de mettre fin à ses fonctions au moment où le débat sur la révision constitutionnelle s’ouvre à l’Assemblée nationale, aujourd’hui, en Commission des Lois", peut-on lire dans le texte.

"Le Président de la République a exprimé à Christiane Taubira, sa reconnaissance pour son action. Elle aura mené avec conviction, détermination et talent la réforme de la Justice et joué un rôle majeur dans l’adoption du mariage pour tous", poursuit le communiqué.

C'est le député socialiste du Finistère Jean-Jacques Urvoas, qui la remplace. "Il portera, aux côtés du Premier Ministre, la révision constitutionnelle et préparera le projet de loi renforçant la lutte contre le crime organisé et la réforme de la procédure pénale".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 26 janvier 2016

Céline Dion n’a pas assisté aux funérailles de son frère Daniel

Lundi, trois jours après les obsèques de René Angélil, avait lieu l’inhumation de Daniel Dion, l’un des frères de Céline Dion. Mais la chanteuse n’a pas assisté à la cérémonie qui s’est tenue dans sa ville natale de Charlemagne (Québec). Selon le site canadien TVA Nouvelles, elle « voulait laisser toute la place à son frère » et éviter que son statut de star internationale perturbe cet adieu.

Elle a chanté pour son frère

Samedi, Céline Dion s’était recueillie devant la dépouille de son aîné et avait souhaité pouvoir le faire dans la discrétion. Lors de cet ultime hommage, dans la plus stricte intimité, elle a chanté en l’honneur de son frère.
Daniel Dion est décédé le 16 janvier, à l’âge de 59 ans. Il était atteint d’un cancer

http://www.20minutes.fr/people/1773303-20160126-celine-dion-assiste-funerailles-frere-daniel

Selon Europol, Daech prépare «des attaques d'ampleur» en Europe

Hier à Amsterdam, le directeur d'Europol, Rob Wainwright a lancé le Centre européen de contre-terrorisme. À cette occasion, il a affirmé que Daech préparait de nouvelles attaques d'ampleur en Europe et plus précisément en France.
Depuis novembre, l'ombre du terrorisme plane sur l'Hexagone. Et selon les experts, la menace ne semble pas près de se dissiper, bien au contraire. Rapport à l'appui, le directeur d'Europol, Rob Wainwright a confirmé hier à Amsterdam que Daech n'en avait pas fini avec la France et tramait de nouvelles attaques. M.Wainwright a ainsi averti que l'organisation terroriste avait développé «une nouvelle capacité de combat pour effectuer une campagne d'attaques d'ampleur» concentrées plus précisément «dans des États membres de l'UE, et en particulier en France». Avant de souligner : «Les attaques viseront en priorité les cibles molles (ndlr : la société civile), en raison de l'impact que cela génère».

Renforcement du Centre européen contre le terrorisme

Fruit d'un séminaire entre experts des 28 États membres de l'Union européenne organisé après les attentats parisiens, le rapport présenté par le directeur d'Europol fait par ailleurs mention d'«un changement de stratégie de Daech qui veut agir globalement». Il signale aussi un «changement dans le mode opératoire» de l'organisation jihadiste implantée en Syrie et en Irak, désormais capable de réaliser «quand elle le souhaite», partout dans le monde, des «séries d'attaques complexes et bien coordonnées» grâce à des combattants locaux connaissant bien le terrain. L'analyse a démontré également que les commandants de Daech jouissent d'une «liberté tactique quand ils choisissent leurs cibles, afin d'adapter leurs projets à des circonstances locales spécifiques». Une liberté d'action qui rend «encore plus difficile la détection de tels projets et l'identification des personnes impliquées à un stade précoce».
Basé au siège d'Europol à La Haye (Pays-Bas), le Centre européen de contre-terrorisme, est actuellement doté d'une quarantaine d'analystes. Ses moyens doivent être renforcés dans les mois à venir, les pays de l'UE s'étant engagés à améliorer le partage de renseignements après les attentats de Paris. Rob Wainwright a indiqué qu'«il se concentrera en particulier sur la communauté de 5 000 citoyens européens qui ont été radicalisés en participant au conflit en Syrie et en Irak, dont un grand nombre est revenu dans nos sociétés et pose un grave risque de sécurité».

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/26/2263789-selon-europol-daech-prepare-des-attaques-d-ampleur-en-europe.html

lundi 25 janvier 2016

Un blessé grave dans un accident de moto à Limoges

Selon les premières constatations effectuées par la police, le conducteur du camion aurait tenté d'effectuer un demi-tour après avoir fait le plein d'essence.
Il n'aurait pas vu la moto qui circulait à sa hauteur et l'aurait violemment percutée en tournant sur sa gauche.
Le conducteur de la motocyclette, un homme de 49 ans, a été très gravement blessé aux deux jambes.
Il a reçu les premiers soins sur place par les Sapeurs Pompiers et le SAMU puis transporté au CHU de Limoges.
Plusieurs patrouilles de police ont dû être dépêchées sur les lieux pour procéder aux constatations d’accident et réguler la circulation assez dense à cet endroit à cette heure de la journée.
La brigade "accidents" a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l'accident.
Elle invite les personnes qui auraient été témoins ou qui détiendraient des informations concernant cette enquête à les contacter au 05.55.14.31.50.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges/un-blesse-grave-dans-un-accident-de-moto-limoges-912637.html

dimanche 24 janvier 2016

Perte de contrôle : deux jeunes femmes blessées

Samedi soir, vers 20 h 30, rue du 8 mai 45, (RD 939) à hauteur du carrefour avec l'Avenue de la gare, la conductrice d'un véhicule Renault Clio qui circulait dans le sens Labarthe de Neste/Lannemezan a, dans des circonstances encore inconnues, perdu le contrôle de son véhicule. La voiture a fini sa course dans l'entrée d'une résidence. À l'heure de l'accident, une pluie battante s'abattait sur la ville. Les occupantes de la Clio, deux lannemezanaises toutes deux âgées de 20 ans ont été blessées dans l'accident. Elles ont été évacuées vers centre hospitalier de la Demi-Lune après avoir été désincarcérées de l'habitacle par les pompiers de Lannemezan. La passagère du véhicule a ensuite été transportée vers un centre hospitalier toulousain aux fins d'examens complémentaires. Les Gendarmes de la communauté de Brigade de Gendarmerie de Lannemezan ont procédé aux premières constatations, tandis que les sapeurs pompiers ont assuré le transport des deux blessées vers l'hôpital
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/24/2262497-perte-de-controle-deux-jeunes-femmes-blessees.html

samedi 23 janvier 2016

Verglas dans le Haut-Doubs : 5 blessés dans un carambolage

Les secouristes sont intervenus pour une douzaine d'accidents de la route dans le Haut-Doubs, vendredi soir. A l'origine des accidents : la pluie, qui s'est transformée en verglas.
L'accident le plus sérieux s'est déroulé à Pont-lès-Moulins, dans le Doubs. Une vingtaine de véhicules ont été impliqués dans un carambolage, sur la D 50. Il y a 5 blessés légers. Le verglas avait rendu la route particulièrement glissante.

Une dizaine d'autres accidents ont été recensés dans le Haut-Doubs, dans la même soirée, sans faire de victime.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/verglas-dans-le-haut-doubs-5-blesses-dans-un-carambolage-911117.html

vendredi 22 janvier 2016

Un ado passe à travers un Velux et chute de près de huit mètres

Un adolescent âgé de 16 ans a été grièvement blessé en chutant d'un toit, jeudi à Nice, chemin du Sicou dans le quartier de l'Ariane
Selon les éléments recueillis par la police, cet adolescent scolarisé au lycée professionnel Vauban intervenait avec deux autres stagiaires, dans le cadre de travaux réalisés par une entreprise de menuiserie-ébénisterie.
Il s'est hissé sur un toit et est passé à travers un vélux qui a cédé sous son poids. Tombé d'une hauteur estimée entre six et huit mètres, le malheureux a un bras cassé et souffrait d'un traumatisme crânien.
Mais son pronostic vital n'était pas engagé quand les sapeurs-pompiers l'ont évacué à l'hôpital Pasteur.
Selon leur témoignage, les deux autres stagiaires lui avaient déconseillé de s'aventurer sur le toit, affirmant que leur employeur le leur avait formellement interdit
http://www.nicematin.com/faits-divers/un-ado-passe-a-travers-un-velux-et-chute-de-pres-de-huit-metres-16602

Arras : deux collégiens de 12 ans arrêtés

Deux collégiens de 12 ans scolarisés au collège François-Mitterrand à Arras ont été interpellés hier après-midi par la police après avoir aspergé un autre élève avec un bidon et menacé de le brûler, révèle La Voix du Nord.

Les faits se sont produits dans un petit chemin situé à proximité du collège-François-Mitterrand, rue de L'Abbé-Lemire, au sud d'Arras. Le parquet d'Arras révèle que les deux élèves de cinquième jouaient au football avec un bidon trouvé sur place et s'en sont pris à un troisième jeune, lui aussi âgé de 12 ans, « suite à une phrase malheureuse ».

La victime aurait alors été bousculée et aurait reçu plusieurs coups de poing notamment, avant d'être menacée. Les deux suspects auraient en effet projeté le bidon, contenant un produit indéterminé, sur le troisième jeune. Le liquide a fini sa course sur la veste de la victime. L'un des deux se serait alors approché et aurait craqué au moins une allumette en lui disant « je vais te cramer ». Fort heureusement, le bidon ne contenait que du liquide antipollution pour voiture, non inflammable.

Alertée, la police a interpellé les deux suspects interpellés et les a placés en retenue judiciaire. L'un des deux aurait les rapports et les heures de retenue dans son collège.

Face aux policiers, les deux collégiens mis en cause auraient admis les bousculades mais nié les coups. « L'un d'eux reconnaît avoir dit à la victime 'je vais te cramer', indique le parquet. Ils ont trouvé le bidon sur place, il ne s'agit pas d'une tentative d'immolation par le feu ». « Mais cela aurait pu être dramatique » indique un policier.

Les deux collégiens feront l'objet d'une mesure de réparation pénale. Ils devront a priori écrire une lettre d'excuse et réaliser un stage de citoyenneté.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 21 janvier 2016

Un piéton gravement blessé à Audincourt

La victime est un homme d'une cinquantaine d'années. Il a été évacué dans un état grave vers l'hôpital de Montbéliard.

L'enquête de la police déterminera pourquoi l'homme a été heurté par une voiture.

L'accident s'est produit dans la grande rue d'Audincourt. La rue a été coupée dans les deux sens le temps de secourir la victime. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/pays-de-montbeliard/un-pieton-gravement-blesse-audincourt-909245.html

mercredi 20 janvier 2016

Deux jeunes saisonniers polonais hospitalisés après un accident de luge à Megève

Deux travailleurs saisonniers polonais ont été blessés dans un accident de luge à Megève, en Haute-Savoie, dans la nuit du mercredi 20 janvier. Peu après minuit, les deux saisonniers et leur groupe d'amis ont décidé de se rendre sur le front de neige du Jaillet pour y faire de la luge sur des sacs poubelle.
Dans sa course, un jeune homme a violemment percuté un pylône. Victime d'un traumatisme facial, il a été pris en charge par le SMUR et transporté par hélicoptère vers le centre hospitalier d'Annecy. Une jeune femme, âgée d'une vingtaine d'années, a quant à elle été transporté à l'hôpital de Sallanches pour une plaie faciale.
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de l'accident et une éventuelle alcoolémie des blessés.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie

Prestation hommage de Johnny à 30.000 euros

La prestation du chanteur Johnny Hallyday, venu chanter sur la place de la République à Paris en hommage aux victimes des attentats de janvier 2015 à Charlie Hebdo et à l'Hyper Cacher, aurait coûté 30.000 euros révèlent la Lettre de l'Expansion et Le Progrès. Cette somme comprendrait le déplacement de Johnny et Laetitia entre Paris et Los Angeles ainsi que les factures d'un coiffeur et d'un maquilleur. Ces frais auraient été réglés par la mairie de Paris.

Matthieu Lamarre, responsable presse de la ville, explique : « Le coût pour la mairie de Paris a été de 17 000 euros. Le chiffre correspond essentiellement à des dépenses techniques : la scène, le câblage, les techniciens. Le reste - le déplacement du chanteur notamment - a été réglé par ses soins ou par sa maison de production. »

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 19 janvier 2016

Cognac : une lycéenne renversée sur un passage piéton

La jeune fille a été blessée lors du choc
Un accident s'est produit ce mardi matin vers 8 heures, boulevard de Paris à Cognac. Une lycéenne a été renversée par un automobiliste, qui ne l'aurait pas aperçue, alors qu'elle traversait sur les passages cloutés
La jeune fille, mineure, a été transportée au centre hospitalier. Ses blessures ne seraient pas d'une extrême gravité.
http://www.sudouest.fr/2016/01/19/cognac-une-lyceenne-renversee-sur-un-passage-pieton-2247396-882.php

Précarité : «On meurt dans la rue, mais aussi de la rue»

Il sera inhumé aujourd'hui à Cornebarrieu. Âgé de 42 ans, l'âge de la vieillesse pour la majorité des personnes qui vivent dans la rue, l'homme est décédé, la semaine dernière, en venant chercher un peu de réconfort à la Halte de nuit de Toulouse. Un lieu d'accueil de 25 places pour les personnes en grande précarité créé il y a une dizaine d'années par un collectif interassociations (secours catholique, entraide protestante, Emmaüs, association des cités) et situé dans le quartier du Grand Rond.
«La personne accueillie à la halte est décédée quelques minutes après son arrivée, ont communiqué les responsables. Les professionnels qui étaient présents ont tenté de le ranimer avant l'arrivée du Samu, sans succès. Toute l'équipe s'est mobilisée ainsi que les référents des bénévoles pour gérer au mieux ce triste événement avec les autres accueillis et engager les démarches liées au décès jusqu'en fin de soirée».
Alors que dans le cadre du plan Grand froid, la ville de Toulouse a ouvert 52 lits supplémentaires ce week-end à l'espace social du Grand Ramier, le manque de places pour les sans domicile fixe demeure toujours une problématique localement (beaucoup ne connaissent pas le 115). Et de nombreuses associations œuvrent, souvent dans l'anonymat, pour redonner une «mort digne» aux plus précaires. L'an passé, en France, 450 sans domicile fixe sont décédés dans la rue. «Mais ceux qui sont morts de la rue sont bien plus nombreux, estime Anne Barreda, directrice de la cité Madeleine à Toulouse qui gère plusieurs maisons relais. Vivre dans la rue fait vieillir précocement et tue. Avec l'association Goutte de vie, on s'occupe des obsèques du défunt, avec une cérémonie, on lui trouve aussi une tombe, en lien avec sa famille, s'il en a une».
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/19/2258757-precarite-meurt-rue-aussi-rue.html

lundi 18 janvier 2016

Le tennis mondial touché par des soupçons de matches truqués

La BBC et BuzzFeed rapportent dimanche que seize joueurs du top 50 mondial, parmi lesquels des vainqueurs de tournois du Grand Chelem, auraient truqué des rencontre en lien avec des paris frauduleux ces dix dernières années. Huit d'entre eux sont actuellement inscrits au tableau de l'Open d'Australie. Trois matches de Wimbledon seraient concernés. L'ATP a démenti avoir fermé les yeux sur cette affaire.
Les premiers coups de raquette ont été donnés cette nuit à l'Open d'Australie. Mais à Melbourne, c'est un évènement extra-sportif qui cristallisait les discussions.  Seize joueurs du top 50 mondial, y compris des vainqueurs de tournois du Grand chelem, sont en effet soupçonnés d'avoir truqué des matches en lien avec des paris frauduleux au cours des dix dernières années, ont rapporté dimanche la BBC et le site BuzzFeed. Ces joueurs "ont été signalés au comité d'éthique du tennis à propos de soupçons de matches truqués" et "tous ont été autorisés à poursuivre leur carrière, ajoute la BBC qui précise que des vainqueurs de Grand Chelem sont concernés.
 
Les deux médias britanniques, qui ne citent aucun nom de joueurs, affirment avoir eu accès à des preuves de corruption à grande échelle contenues dans des archives secrètes. Ces documents sont liés notamment à une enquête menée par l'ATP, l'instance dirigeante du circuit professionnel, en 2007, et montrent que des groupes de parieurs en Italie et en Russie ont misé des centaines de milliers de dollars sur des matches truqués, dont trois de Wimbledon. "Le rapport confidentiel des enquêteurs destiné au comité d'éthique, qui date de 2008, suggérait que des investigations soient menées sur 28 joueurs, mais cela n'a jamais été suivi d'effet", affirme la BBC. Selon ces médias, huit des joueurs signalés au comité d'éthique sont inscrits à l'Open d'Australie.
50.000 dollars ou plus par match truqué
Interrogé par la BBC, Mark Phillips, l'un des enquêteurs, raconte qu'"un groupe d'environ dix joueurs était le plus souvent mis en cause et se trouvait à la racine du problème. Les preuves étaient fortes, il y avait une bonne chance de tuer (la corruption) dans l'oeuf, de créer une forte dissuasion et d'éliminer les éléments corrupteurs". D'après BuzzFeed, les représentants des groupes de parieurs clandestins contactaient les joueurs dans leurs chambres d'hôtel lors de grands tournois et leur promettaient 50.000 dollars ou plus de récompenses pour truquer leur match. A Melbourne, le président de l'ATP Chris Kermode a démenti toute tentative d'escamotage. "Les autorités du tennis rejettent toute allégation selon laquelle des preuves de trucage de matches auraient été cachées ou ne feraient pas l'objet d'une enquête approfondie", a-t-il dit.
 
"Notre approche, c'est la tolérance zéro envers toute forme de corruption. Nous ne sommes pas complaisants, nous sommes vigilants", a-t-il ajouté. A propos de l'enquête de 2007, il a affirmé que les investigations sur un match douteux entre le Russe Nikolay Davydenko et l'Argentin Martin Vassallo Arguello n'avaient pas apporté d'indices suffisants. "Il nous faut des preuves et non des soupçons ou des ouï-dire", a-t-il ajouté, soulignant que 18 sanctions pour corruption avaient été prononcées, dont six suspensions à vie. En 2009, l'ATP a introduit des règles anticorruption. Mais celles-ci ne sont pas rétroactives.

dimanche 17 janvier 2016

Gironde : 50 000 euros de bouteilles de vin volées au château La Croix

Le cambriolage s'est déroulé dans la nuit de vendredi à samedi dans un château de Catusseau à Pomerol. 1 500 bouteilles ont été dérobées
Un chai du Château La Croix, à Catusseau sur la commune de Pomerol, en Gironde,a été cambriolé dans la nuit de vendredi à samedi.
Les voleurs ont forcé la porte avant de s'emparer de 1 500 bouteilles de vin. Le préjudice s'élèverait à au moins 50 000 euros.Les cambrioleurs se seraient enfuis à bord d'un fourgon qu'ils avaient volé peu de temps auparavant. Une enquête de gendarmerie est en cours.
http://www.sudouest.fr/2016/01/16/1500-bouteilles-de-pomerol-volees-dans-un-chai-2245046-713.php

samedi 16 janvier 2016

Mort de Dan Haggerty: Le cancer a emporté la star de la série "Grizzly Adams" et « King of the Mountain »

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L'acteur américain avait 74 ans et a marqué des générations de jeunes Américains.

Le comédien américain Dan Haggerty est mort à l'âge de 74 ans le 15 janvier, a-t-on appris de son manager Terry Bomar. Ce dernier avait confié au Hollywood Reporter qu'Haggerty s'était éteint au St. Joseph Medical Center de Burbank, après avoir lutté contre le cancer pendant 5 mois. Il avait été diagnostiqué d'un cancer sur la colonne vertébrale en août dernier. "Je lui ai parlé hier, lui disant qu'on priait pour lui, a confié Bomar à THR. Je lui ai aussi dit, 'je t'aime'. Et la dernière chose que j'ai entendu de lui, c'était 'je t'aime'."
Père de 5 enfants (Megan, Dylan, Cody, Tracey et Tammy), Dan Haggerty était un visage commun pour de nombreux Américains ayant grandi dans les années 1970. En effet, c'est sur la chaîne NBC avec le rôle-titre de la série américaine Grizzly Adams, qu'il a accédé au rang de star. Après avoir connu un succès avec le film The Life and Times of Grizzly Adams, Dan Haggerty avait ensuite repris son rôle iconique d'homme des montagnes dans la série Grizzly Adams. L'acteur avait également joué dans d'autres séries cultes comme Drôles de dames ou La croisière s'amuse. Au cinéma, on l'avait aperçu dans Easy Rider et King of the Mountain, entre autres

"Il illuminait chaque pièce en y entrant. Il aimait la vie, aimait sa famille, aimait ses amis et ses fans", a commenté son manager et meilleur ami.
http://www.purepeople.com/tag/mort_t275/1

Créteil: Deux hommes en garde à vue après le meurtre d'un conseiller municipal

Deux hommes « majeurs » ont été interpellés ce samedi matin, dont l’un à Créteil (Val-de-Marne), et placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur le meurtre du conseiller municipal Alain Ghozland, a-t-on appris de source judiciaire.
Ces deux personnes sont « connues des services de police et de justice », a précisé cette source, confirmant une information de M6.
« La piste crapuleuse reste la piste principale », a-t-elle ajouté, alors que les gardes à vue venaient de débuter en début d’après-midi.

Sa voiture et ses cartes bancaires avaient disparu

Le corps du conseiller municipal (Les Républicains) Alain Ghozland, âgé de 73 ans, a été découvert mardi matin à son domicile à Créteil par son frère qui s’inquiétait de ne pas l’avoir vu à la synagogue la veille.
Son appartement était « en grand désordre » et sa voiture et ses cartes bancaires avaient disparu, avaient alors indiqué des sources policières. Ghozland « avait été violemment frappé, des traces d’effraction ont été relevées », avaient ajouté ces sources. L’autopsie a ensuite révélé qu’il était mort par asphyxie.
La Brigade criminelle de Paris a été chargée de l’enquête ouverte pour « homicide volontaire ».
Alain Ghozland, élu à Créteil depuis 1995, était également une personnalité connue de la communauté juive de la ville.
http://www.20minutes.fr/paris/1767243-20160116-creteil-deux-hommes-garde-vue-apres-meurtre-conseiller-municipal

vendredi 15 janvier 2016

Charente-Maritime : un corps découvert près du phare de la Coubre

Un corps en décomposition a été retrouvé ce jeudi sur la plage de la côte sauvage, à La Tremblade. L'identification risque de prendre du temps.
Le procureur de la République s'est déplacé ce jeudi sur la grande côte, au niveau du phare de la Coubre, sur la commune de La Tremblade (Charente-Maritime), pour constater la découverte d'un corps en état de décomposition avancée. Il aurait séjourné dans l'eau depuis un petit moment. L'identification risque donc de prendre un peu de temps.
Toutes les pistes sont ouvertes et le fichier des personnes disparues va certainement être ouvert. L'identification du corps apportera certainement des éléments déterminants à l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2016/01/14/charente-maritime-un-corps-en-decomposition-retrouve-pres-du-phare-de-la-coubre-2242913-1392.php

jeudi 14 janvier 2016

Charente : un médecin ORL soupçonné d'avoir détourné 286 000 euros

Il lui est reproché d’avoir détourné 286 000 euros en usant et abusant de la carte Vitale de ses patients
Des actes fictifs sur des enfants ou répétés sur des mêmes patients. C'est une vaste escroquerie à la Sécurité sociale qui est reprochée au docteur Manuel Albertyn, 47 ans, médecin ORL dont le cabinet se trouve au Centre Clinical de Soyaux (Charente). En trois ans, celui-ci est soupçonné d'avoir détourné quelque 286 000 euros en usant et abusant de la carte Vitale de ses patients ou de leurs ayants droit. Convoqué mardi au commissariat d'Angoulême, il a été placé en garde à vue le soir même. Hier, il était présenté au juge d'instruction qui lui a notifié sa mise en examen pour escroquerie dans la foulée.L'intéressé croyait, à tort, passer entre les mailles du filet de la Caisse primaire d'assurance maladie. Celle-ci avait déposé plainte auprès du procureur de la République en décembre 2014, solide dossier à l'appui. Très rapidement, les premières investigations ont conduit à l'ouverture d'une information judiciaire pour escroquerie le même mois, avec, à la clé, la saisie d'un juge d'instruction.

Deux volets à l'enquête

Confiée au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Limoges, l'enquête a révélé que le médecin ORL avait déclaré des actes sur des enfants « physiologiquement impossibles » à pratiquer, confirme une source proche de l'enquête. Ont été versés au dossier des actes répétés sur des mêmes personnes et, surtout, « non justifiés ».
http://www.sudouest.fr/2016/01/14/le-medecin-orl-aurait-fait-flamber-la-carte-vitale-2242239-1131.php

mercredi 13 janvier 2016

Choc frontal mortel à Ronchamp en Haute-Saône

La collision frontale a eu lieu à 12h15 à la hauteur du restaurant Le Relais Campagnard.

Le conducteur d'une des voitures, un homme de 60 ans est décédé sur place.

L'autre conductrice, une femme de 40 ans de Ronchamp a du être désincarcerée. Elle a été évacuée vers l'hôpital de Belfort.

L'enquête est confiée à la gendarmerie de Ronchamp.

Une déviation a été mise en place le temps que les secours interviennent. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/haute-saone/choc-frontal-mortel-ronchamp-en-haute-saone-903505.html

Marc Machin retourne en prison pour s'être soustrait à plusieurs décisions de justice

Marc Machin, acquitté fin 2012 après avoir été reconnu deux fois coupable d'un meurtre qu'il n'avait pas commis, a été écroué mardi pour s'être soustrait à ses obligations liées à d'autres condamnations en justice.

Marc Machin a été interpellé lundi après-midi dans un hôtel du IXe arrondissement de Paris car il ne s'était pas rendu à une audience en novembre devant les juges qui avaient délivré un mandat d'arrêt à son encontre, après avoir été condamné à six mois de prison pour des violences volontaires. Il n'a également pas respecté deux aménagements de peine décidés par le juge d'application des peines dans une affaire de vol et dans une affaire d'agressions sexuelles.

 
"Mon client n'était absolument pas en fuite", a déclaré à son avocat Louis Balling. "Il va désormais passer 18 mois en prison moins les remises de peine qui lui seront accordées au cours de sa détention", a-t-il ajouté.

Marc Machin avait été condamné en 2004 et 2005 pour le meurtre de Marie-Agnès Bedot en 2001 sur le pont de Neuilly (Hauts-de-Seine), avant d'être acquitté en 2012 au terme d'un troisième procès. Le véritable auteur du meurtre, David Sagno, s'étant constitué prisonnier en mars 2008, Marc Machin avait été libéré quelques mois plus tard, après avoir passé près de sept ans en prison.
 
Il accumule les déboires avec la justice depuis sa libération
 
Depuis sa libération, il a accumulé les déboires avec la justice. En 2009, il a notamment été interpellé pour trois agressions sexuelles, pour lesquelles il a été condamné en mai 2010 à trois ans de prison. Il avait bénéficié d'une libération conditionnelle en décembre 2011 mais, n'ayant pas respecté le suivi socio-judiciaire de cinq ans auquel il était astreint, il était rapidement retourné en prison.

Il a également été condamné en avril 2013 à six mois de prison avec sursis pour recel de vol de téléphone portable et violences par le tribunal correctionnel de Paris, cinq mois après son acquittement.

La justice lui a attribué en 2014 plus de 660.000 euros pour sa détention injustifiée, une des indemnisations les plus fortes jamais accordées en France pour une erreur judiciaire.
 

mardi 12 janvier 2016

Armentières: L'employée se bat avec l'homme venu pour la braquer

Fallait pas la chercher. Lundi matin, un homme a tenté d’effectuer un vol à main armée au magasin Carrefour City d’Armentières, dans le Nord.
Aux environs de 6h30 du matin, lundi, une employée du supermarché Carrefour City est arrivée sur place pour prendre son service. Alors qu’elle s’approchait de l’entrée réservée au personnel, derrière le bâtiment, elle a été abordée par un individu au visage dissimulé et armé d’un couteau.

Une bagarre éclate

En menaçant l’employée, l’homme a demandé à s’introduire dans le magasin. Mais la salariée de Carrefour City ne s’est pas laissée faire et une bagarre a éclaté. Dans la confusion, les deux protagonistes ont chuté au sol. Le voleur présumé est finalement parvenu à se défaire de l’emprise de l’employée après lui avoir copieusement tiré les cheveux.
L’individu a réussi à prendre la fuite en direction de la gare d’Armentières malgré l’intervention d’un autre employé du magasin qui avait essayé de l’arrêter en tentant une balayette malheureuse.
Une enquête a été ouverte pour retrouver le voleur présumé. Les deux employés ont par ailleurs été conduits à l’hôpital pour des blessures mineures.
http://www.20minutes.fr/lille/1764571-20160112-armentieres-employee-bat-homme-venu-braquer

Une mère d'élève interpellée à Rieux dans l'école

Matinée très agitée lors de l'intervention des services sociaux et des gendarmes à l'école.
Jeudi dernier, c'est une fin de matinée très agitée qu'a vécue l'école primaire de Rieux-Minervois. Un épisode marqué par l'intervention des gendarmes de Peyriac-Minervois mais aussi de Carcassonne, et l'interpellation d'un parent d'élève et d'un proche. C'est à l'occasion d'une mission des services sociaux que l'épisode est survenu : l'équipe de travailleurs sociaux venait en effet chercher un écolier pour procéder à son placement en établissement, à la suite d'une décision de justice du 18 décembre.
Rappel à la loi au mois de mars
Une intervention pour laquelle l'assistance des gendarmes est sollicitée en amont. La présence des militaires aura visiblement alerté la mère de l'enfant de 7 ans et son frère, présents aux abords de l'école. Les adultes décident alors d'entrer dans l'école, et rallient la classe de l'enfant : à l'intérieur, la tension monte, des membres de l'équipe éducative sont bousculés. Invités par les gendarmes à quitter l'enceinte de l'école, la mère de l'enfant et son frère refusent de céder. Malgré des demandes répétées, et face au blocage, les militaires décident alors d'interpeller les deux adultes.
"Disproportionné"
Un déroulement des faits que l'oncle de l'enfant de 7 ans conteste : "Nous ne nous sommes pas introduits dans l'établissement, nous n'avons pas été violents. Les gendarmes ont utilisé la force alors qu'il n'y avait pas lieu, c'était disproportionné : des enfants et d'autres parents ont été choqués." Placés en garde à vue, la mère et l'oncle seront laissés libres, avec une convocation devant le délégué du procureur à Carcassonne pour un rappel à la loi en mars. D'ici là, la mère de l'enfant espère évidemment une évolution de la situation. Après une première rencontre, hier, avec les services sociaux et son avocate, une nouvelle audience pourrait permettre de modifier l'ordonnance de placement de fin 2015.
http://www.lindependant.fr/2016/01/12/une-mere-d-eleve-interpellee-a-rieux,2140382.php

Ce domino risque de révolutionner votre quotidien

L'entreprise toulousaine Sigfox et le groupe La Poste testent un nouveau protocole qui permettra d'envoyer les colis de chez soi, avec l'aide de son smartphone.
Et s'il suffisait de poser son colis dans sa boîte aux lettres pour qu'il soit envoyé dans la direction de votre choix ?
La Poste s'est associée à l'entreprise toulousaine Sigfox pour créer «Domino», un petit boîtier jaune qui permettra d'alerter les facteurs lorsque vous aurez besoin d'envoyer un colis.
«Il suffira d'installer le bouton aimanté dans sa boîte aux lettres, puis d'y déposer un objet à envoyer. Il faudra ensuite appuyer sur le «Domino» pour prévenir un facteur, qui viendra récupérer le paquet dans la journée. Entre-temps, une application sur le smartphone permettra également de régler les frais de livraison, et de rentrer l'adresse du destinataire», explique un porte-parole du groupe La Poste. Depuis octobre déjà, il n'est plus obligatoire de se rendre dans un centre de distribution lorsque l'on souhaite envoyer quelque chose par courrier. Mais, grâce à la société toulousaine qui fournit un réseau très performant, Domino va permettre d'aller encore plus vite. «Nous ne perdrons plus de temps avec Internet, tout se fera via le téléphone portable. Vous déposerez n'importe quoi (si cela a une taille standard), et on se chargera du reste» annonce encore l'enseigne jaune et bleue. Ce nouveau service de Colissimo sera expérimenté sur une zone pilote dans les prochaines semaines. Le protocole sera testé sur différents types de réseaux haut débit et bas débit. «Pour le moment on ne connaît pas tous les détails de l'opération». A priori, cette phase d'étude ne s'effectuera pas dans la Ville rose. «Mais si cela s'avère positif, un ou plusieurs objets connectés pourraient révolutionner le quotidien de nos clients», conclut le porte-parole du groupe La Poste.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/12/2254101-ce-domino-risque-de-revolutionner-votre-quotidien.html

lundi 11 janvier 2016

Violences conjugales : «Je ne l'ai jamais trompé, j'ai toujours obéi

Le 24 novembre dernier, les policiers saint-gaudinois reçoivent un appel inquiétant de Paris. La sœur de la victime qui vit à Saint-Gaudens considère que cette dernière est en danger, sous l'emprise de la violence de son conjoint. Elle alerte les services de police. Une patrouille intervient au domicile en cause. Après insistance, ces derniers obtiennent l'ouverture de la porte par la victime. Celle-ci en pleurs reçoit les policiers et déclare qu'elle a été frappée par son concubin. Son dos présente des traces importantes de lacération d'un centimètre de large, effectuées au moyen d'un fil électrique. Quatre jours d'incapacité temporaire de travail seront délivrés après examen par un médecin légiste. Au cours de la visite de l'appartement, les policiers découvrent et interpellent le mari dissimulé dans un placard.
À la barre du tribunal, le prévenu âgé de 32 ans, poursuivi pour violences aggravées donne une version des faits. Il explique que les problèmes qu'ils rencontrent au sein de son couple se règlent en famille. Soutenu par son avocate, Maître Liénard, tous deux dénoncent l'origine de son comportement, à savoir l'infidélité supposée de son épouse qui aurait placé leurs 4 enfants en famille d'accueil pour se rendre à Mayotte. Celle-ci aurait mené là-bas, une vie dissolue de célibataire qui aurait choqué la famille du couple originaire de l'île. Exaspéré, et «selon la coutume», il aurait voulu la punir.
La victime soutenue par Maître Diaka, réfute totalement ces accusations. Avec émotion, elle clame à la barre : «Je ne l'ai jamais trompé. J'ai toujours obéi». Elle explique qu'elle avait peur de ce dernier, au point de partir toute la journée dans un centre scolaire, laissant croire qu'elle effectuait une formation à la journée. Son avocat donne une autre vision des faits que celle de la partie adverse. C'est l'époux qui «serait parti prendre du bon temps au Sénégal pendant 8 mois alors que la jeune mère âgée de 25 ans venait de mettre au monde son 4ème enfant».
Maître Diaka évoque la pratique culturelle très forte. La procureur allègue un contexte de domination de l'homme alors que maître Liénard pour la défense évoque un mariage religieux bafoué par madame mais aussi un comportement culturel primitif de monsieur.
Où est la vérité ? Chacun présente sa vision des choses. Mais la présidente sermonne que «rien ne justifie l'exercice de violences». Le tribunal reconnaît le prévenu coupable et le condamne à 6 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve, une obligation de réparation des dommages, une obligation de s'abstenir de paraître aux abords et au domicile de la victime, un stage de sensibilisation aux violences sexistes. Le prévenu devra également s'acquitter de la somme de 1 000 euros pour préjudice moral. La décision concernant le préjudice matériel sera rendue le 11 février prochain après expertise médicale.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/11/2253328-violences-conjugales-ai-jamais-trompe-ai-toujours-obei.html

dimanche 10 janvier 2016

Un Cognaçais renversé à Thors (17)

Le jeune homme de 27 ans a été transporté au centre hospitalier de Saint-Jean d'Angély
Un jeune homme de 27 ans, habitant à Cognac, a été renversé par une voiture, samedi, en milieu d'après-midi alors qu'il marchait sur le bas-côté de la départementale 121 entre Thors et Matha, en Charente-Maritime. Le piéton et la voiture allait dans le même sens.
Selon le conducteur de la voiture, le marcheur, qui portait un casque-audio, aurait soudainement fait un écart.
L'automobiliste a immédiatement appelé les secours. Le piéton, sonné, a perdu conscience quelques minutes, avant de revenir à lui mais avec des troubles ponctuels de la mémoire. La victime a été transportée au centre hospitalier de Saint-Jean d'Angély.
http://www.sudouest.fr/2016/01/10/un-cognacais-renverse-a-thors-17-2238616-1638.php

Les rétroviseurs sont-ils voués à disparaître des voitures ?

En attendant la mort du volant et des pédales promise par les voitures sans chauffeur, les rétroviseurs pourraient être les premiers à disparaître. Le constructeur automobile allemand BMW en fait l'économie sur une voiture de démonstration présentée au salon d'électronique grand public CES de Las Vegas. D'autres constructeurs s'y mettent aussi.

Si quelque chose rappelle un peu la forme des rétroviseurs extérieurs sur les deux côtés du véhicule, la protubérance est beaucoup plus petite. Surtout, il n'y a plus de miroirs : ils sont remplacés par des mini-caméras. D'autres caméras dans le haut de la lunette arrière rendent également superflu le miroir du rétroviseur intérieur. A la place, un écran combine en direct les images fournies par toutes les caméras, permettant au conducteur d'avoir à un seul endroit une vision bien meilleure de ce qui l'entoure que le système actuel. BMW assure en particulier qu'il n'y a plus aucun angle mort. Et donc plus besoin pour le conducteur de tourner la tête par précaution avant de changer de file.

L'équipementier français Valeo propose au CES avec son système "Sightstream" une configuration légèrement différente : le rétroviseur intérieur est toujours là, mais à l'extérieur les miroirs sont aussi remplacés par des caméras. Le système est un peu moins déconcertant pour le conducteur, qui doit toujours porter les yeux des deux côtés pour surveiller ce qui se passe derrière. Mais il regarde un écran à l'intérieur de l'habitacle, et plus un miroir à de l'autre côté de la vitre à l'extérieur.
Une première mise en production en 2016
BMW comme Valeo assurent que leurs dispositifs assurent une meilleure vision, en particulier la nuit et quand la pluie ou la buée sur la vitre empêchent aujourd'hui de bien voir à l'extérieur. La réduction de la taille du dispositif extérieur améliore également l'aérodynamisme de la voiture, réduisant sa consommation de carburant. De tels systèmes mettront peut-être encore un peu de temps avant d'arriver sur les véhicules de série.
Le constructeur américain General Motors a toutefois commencé à s'en inspirer sur sa Chevrolet Bolt électrique, qui entre en production cette année et dont il présentait la version finale cette semaine au CES. Le rétroviseur intérieur est relié à une caméra placée à l'arrière, permettant au conducteur d'y voir l'intégralité de ce qui se passe derrière lui, sans les obstacles représentés par les têtes des passagers installés sur la banquette arrière par exemple.
 

samedi 9 janvier 2016

L'état de santé de la lycéenne qui s'est défenestrée s'améliore

La lycéenne de 15 ans, qui s'est défenestrée lundi matin du troisième étage d'un bâtiment du lycée Jean-Dupuy à Tarbes, est sortie du coma jeudi. Elle est réactive aux sollicitations. Son état de santé s'améliore grâce au travail des équipes médicales de Rangueil et Purpan

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/09/2252422-etat-sante-lyceenne-est-defenestree-ameliore.html

vendredi 8 janvier 2016

5 voitures impliquées dans un accident à Limoges

Un accident de la circulation s'est produit vers 8h10 ce vendredi 8 janvier 2016 à Limoges. A hauteur du 106 avenue avenue Baudin, 5 véhicules ont été impliqués dans cette collision
En ce début de matinée du vendredi 8 janvier 2016, peu après 8h, 5 véhicules (4 en circulation et 1 en stationnement) ont été impliqués dans une collision à hauteur du 106 avenue Baudin à Limoges. Selon les autorités sur place, une voiture s'est notamment retrouvée sur le toit. Le bilan fait état de 2 blessés légers qui ont été transportés au CHU. L'accident a provoqué d'importantes difficultés de circulation dans le secteur jusqu'aux environ de 10h.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges/7-vehicules-impliques-dans-un-accident-limoges-899055.html

Un homme abattu par la police à Cergy

Un homme de 32 ans a été abattu par la police ce soir après avoir grièvement blessé un policier alors qu’il s’était retranché dans un appartement dans le quartier de Cergy-le-Haut, indique Le Parisien.

Connu pour des troubles psychologiques, l'homme a d'abord blessé un passager dans un bus à l'arme blanche puis il s'était retranché dans un appartement. Là, les forces de l'ordre ont tenté de l'arrêter mais ce dernier s'est défendu. Il a alors sérieusement blessé au bras l'un des deux policiers, indique le quotidien. Evacué vers l’hôpital de Pontoise, les jours du policier ne sont toutefois pas en danger.

Devant l’agressivité du forcené, les policiers ont alors utilisé un Taser (pistolet à impulsion électrique). Mais en vain. Ils ont alors tiré sur leur agresseur qui est décédé quelques minutes plus tard.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 7 janvier 2016

Accident à Vierzon : une lycéenne percutée par un bus

Vers 7h45 ce jeudi matin, une élève du lycée Henri Brisson a été percutée par un bus de lignes 18, devant son établissement, rue Charles-Hurvoy à Vierzon. Un bus a renversé une jeune fille. Celle-ci a été grièvement blessée à une jambe.. D'après Frédéric Couturier, le proviseur du lycée présent sur place, la jeune fille de 15 ans traversait sur le passage piéton. Elle a été rapidement transportée par le SMUR au centre hospitalier de Vierzon. La lycéenne souffre de fractures multiples sur une jambe, mais ses jours ne sont pas en danger. L'élève est scolarisée en seconde décoration-céramique du lycée.

Nouvelle mort sur les voies de chemins de fer

Deux drames mortels en trois jours sur les voies ferrées du département. Hier, vers 13 h 15, le conducteur d'un TER Agen-Bordeaux a signalé l'arrivée de son train. Mais la sexagénaire qui se trouvait sur la voie n'a pas bougé. Demeurant Miramont de Guyenne, la victime a traversé la voie à l'endroit où il n'existe pas de barrière au passage à Niveau 100, au sud de Marmande. La circulation d'au moins huit trains a été perturbée par l'accident, que les gendarmes ne voulaient pas encore hier classer en suicide. Les correspondances et dessertes n'ont été rétablies que vers 15 heures, après les constatations effectuées par les enquêteurs. Lundi, c'est une trentenaire qui a mis fin à ses jours sur la même voie ferrée, mais à Nicole, près d'Aiguillon.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/07/2251126-nouvelle-mort-sur-les-voies-de-chemins-de-fer.html#9wPUzXjYGz7bQJPg.99
 

mercredi 6 janvier 2016

Violents coups de feu à Toulouse : pas d'auteur… ni de victime

Des coups de feux ont déchiré la nuit lundi soir dans le quartier Bagatelle, à Toulouse. Sur place les policiers n'ont trouvé ni tireur, ni victime, et peu de témoin.
Une voiture s'arrête. Un homme descend fusil à pompe en main en hurlant «Je vais te buter». Trois coups de feux claquent en direction d'un homme qui s'enfuit en courant… Cette scène de violence date de lundi soir, vers 22 heures dans le quartier de Bagatelle, à Toulouse. «Elle a existé, nous en sommes certain. Pour le reste, le flou demeure important…», prévient un policier.
Les premières investigations menées lundi soir rue Vestrepain, à proximité d'une pharmacie, puis hier par les enquêteurs de la brigade criminelle et des atteintes aux personnes n'ont pas permis «d'avancées significatives», glisse une source proche du dossier.
Les règlements de comptes débouchent rarement sur des dossiers vite bouclées. Mais cette fois, les policiers doivent chercher l'auteur mais également la victime. Un homme qui s'il a été pris pour cible, a échappé aux coups d'un fusil décrit comme «à pompe» par les rares témoins, pas très précis dans leurs explications. Rue Vestrepain, rue de l'Aspin où l'homme visé aurait pris la fuite, les policiers ont cherché des traces de sang sans rien découvrir. Cette absence confirme que la victime a échappé aux plombs qui lui avaient été promis. Les vérifications dans les services d'urgence de l'agglomération ont confirmé l'absence de blessé par balle. Pas sûr que cet homme prenne le chemin des services de police dans les jours à venir.
Hier les enquêteurs de la sûreté vérifiaient un lien éventuel entre la voiture qui aurait été utilisée par le tireur et un vol de véhicule avec violence ; le propriétaire victime est venu déposer plainte dans la soirée de lundi. Une coïncidence trop troublante pour ne pas entraîner les vérifications d'usage.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/06/2250452-violents-coups-feu-toulouse-auteur-ni-victime.html

mardi 5 janvier 2016

La femme retrouvée vivante à 300 mètres de sa voiture

La Gapençaise qui avait disparu depuis ce matin, a été retrouvée aux environs de 12h30, au col de Gleize, à 300 mètres de sa voiture, dans la neige, par deux randonneurs. Elle était en état d’hypothermie et avait consommé des médicaments. La femme de 30 ans a été évacuée à l’hôpital de Gap.
Son mari a prévenu les secours aujourd’hui, dans la matinée après avoir reçu un message de sa femme disant qu’elle allait mettre fin à ses jours. Cette dernière venait juste de déposer sa fille à la garderie. Sur les conseils de son mari, les secours se sont concentrés dans la zone du col de Gleize, lieu où elle avait l’habitude d’aller. Sur place, les pompiers et les policiers du commissariat de Gap ont retrouvé sa voiture avec des médicaments à l’intérieur.
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2016/01/05/la-voiture-d-une-gapencaise-retrouvee-vide-au-col-de-gleize

En famille, les casseurs forçaient avec efficacité

L'arrestation d'un garçon de 15 ans, puis de son oncle et d'un receleur a permis à la sûreté départementale d'élucider une série de dix-huit casses commis en décembre à Toulouse.
L'alerte d'un témoin a permis à un équipage de la brigade anticriminalité de repérer un jeune garçon mercredi dernier dans le quartier Saint-Michel, à Toulouse. Ce mineur transportait un grand écran au milieu de la nuit ce qui semblait confirmer les soupçons de cambriolages. Patients, les policiers ont observé, espérant identifier un éventuel complice où la planque où se trouvaient les objets volés. Une surveillance a priori sans résultat même si les investigations menées par les enquêteurs de la brigade des atteintes aux biens ont montré son utilité.

Dix-huit casses en un mois

Placé en garde à vue, le mineur qui avait quitté l'établissement spécialisé de Lavaur seulement depuis un mois (!) a joué les durs mais pas très longtemps. Les policiers ont en effet découvert dans ses poches le barillet de l'appartement qui avait été vidé. Ennuyeux pour affirmer sa bonne foi. Et son téléphone portable ne manquait pas de clichés divers, véritable catalogue de son butin. En poussant leurs investigations, les enquêteurs de la sûreté ont identifié, et arrêté, deux individus : une vieille connaissance qui avait «acheté» le butin et un homme, âgé de 35 ans, cambrioleur «presque de métier», lâche un observateur et dont la voiture avait été repérée lors de la planque des hommes de la Bac.
Cet individu sous tutelle, au casier judiciaire long comme ses séjours en prison (déjà 24 condamnations), n'a pas résisté aux questions des policiers. Il a admis 18 cambriolages, tous perpétrés dans les abords de la Grande rue Saint-Michel à Toulouse, rue Sainte-Catherine et rue Notre-Dame courant décembre. Son neveu apportait sa jeunesse tout en perfectionnant son art du forçage de serrures… Quant au présumé receleur, l'occasion a fait le larron et il a cru pouvoir «faire un billet» avec console de jeux vidéo, télévision et bijoux. Manqué.
Le mineur a été reconfié au juge des enfants et les adultes devaient être jugés hier après-midi devant le tribunal correctionnel. Faute d'expertise, et de la présence du tuteur, l'affaire a été renvoyée au 27 janvier. L'oncle a repris ses quartiers en prison ; le receleur a été laissé libre.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/05/2249843-en-famille-les-casseurs-forcaient-avec-efficacite.html

La mini-tornade dévastatrice n'a duré que 2 minutes

Un phénomène aussi violent que subi a frappé hier matin, le secteur de Loubressac. Une mini-tornade a suivi un couloir étroit arrachant des toitures sur son passage. Pas de blessé, mais les dégâts sont très lourds.
Un témoin découvrant hier, le hameau de Py sur la commune de Loubressac, peu de temps après le passage d'une mini-tornade s'est exclamé : «C'est l'apocalypse !». Les anciens sur place n'avaient jamais connu cela certains estimaient la force des vents supérieurs à 150 km/h. Le tourbillon orageux d'une extrême violence qui s'est engouffré vers 8 h 30 dans le creux de cette vallée longeant la rivière Bave, s'étendant du petit hameau de Granou jusqu'à celui de Vailles, en passant par Py et Gamot, a laissé derrière lui un paysage dévasté. Des toitures ont été emportées par le vent, des arbres n'ont pas résisté aux rafales et ont été couchés sur la route aussi facilement que des brindilles. Par chance, aucun blessé n'est à déplorer.
Le temps était orageux, menaçant mais aucun signe annonciateur d'un déchaînement imminent n'a mis en garde les habitants du hameau. La mini-tornade s'est soudain formée pour suivre un couloir étroit, balayant les lieudits de Py et de Gamot sur Loubressac avant de jeter ses dernières rafales dans un bruit de tonnerre sur la ville de Saint-Céré faisant voler les panneaux publicitaires. Les deux hameaux se situant dans l'épicentre ont subi les plus gros dégâts. Trois toitures ont été arrachées sur Py dont celle de la crêperie, trois autres ont été emportées ou endommagées par la chute d'arbres sur Gamot.
Le véhicule d'une conductrice circulant sur la Départementale 30, entre Saint-Céré et Carennac, au lieu-dit Granou s'est retrouvé coincé au milieu de la chaussée, soudain barrée par la chute d'arbres, de part et d'autre de la voiture. Une équipe du Département en charge des routes est intervenue avec l'aide des pompiers. Le long de la D 30 et dans les prairies autour ce sont quelque 200 arbres qui ont été déracinés, emmenant dans leur chute lignes électriques et téléphoniques. La Départementale 30 est restée fermée à la circulation et une déviation instaurée jusque dans l'après-midi par les gendarmes, le temps d'évacuer le bois. Il a fallu, également, dégager des arbres tombés sur la RD 19 entre Prudhomat et Saint-Céré, un axe où la circulation a été, malgré tout, maintenue. «Le phénomène a été brutal et n'a duré que 2 minutes» précisait le maire de Loubressac Antoine Béco venu réconforter des sinistrés sous le choc. Les pompiers de Saint-Céré, Bretenoux et Vayrac, commandés par le lieutenant Escaffre se trouvaient toujours sur place hier en fin d'après-midi pour procéder aux opérations de bâchage des toitures. Des entreprises locales ont aussi donné un coup de main pour protéger les maisons de la pluie. La solidarité s'organise pour aider le hameau blessé par la tornade à panser ses plaies.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/05/2249839-la-mini-tornade-devastatrice-n-a-dure-que-2-minutes.html

lundi 4 janvier 2016

Internement abusif : une mère se bat pour retrouver la garde de ses deux enfants

Depuis maintenant cinq ans, Valérie Dubois, mère de famille se bat pour récupérer la garde de ses deux enfants. Elle les voit seulement deux fois par mois. Le tribunal pour enfants d'Orléans vient de suspendre la mesure éducative prise à l'encontre de sa fille de 15 ans. Un pas en avant pour cette mère de famille.

L'affaire Valérie Dubois a défrayé la chronique. Selon son mari,  la jeune femme qui fréquentait à l'époque l'Eglise évangélique Charisma, souffrait de délires mystiques qui risquaient de mettre en danger sa vie et celle des deux enfants du couple. Un médecin avait rédigé les deux certificats médicaux qui avaient permis l'internement. Elle avait été internée à l'hôpital psychiatrique de Fleury-les-Aubrais.

Un internement qui s'est révélé être abusif. En septembre 2013, les juges ont condamné l'époux à huit mois d'emprisonnement avec sursis et 3.000 euros d'amende, contre quatre mois avec sursis en première instance. Dispensé de peine en première instance, le médecin qui avait rédigé les deux certificats médicaux qui avaient permis l'internement a été condamné, lui, à six mois de prison avec sursis et à la même amende que l'époux.

Internée en juin 2010 à l'hôpital psychiatrique de Fleury-les-Aubrais (Loiret) sur décision préfectorale, elle en était sortie un mois plus tard grâce à l'intervention du juge des libertés et de la détention

http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/loiret/internement-abusif-une-mere-se-bat-pour-retrouver-la-garde-de-ses-deux-enfants-895691.html

Gens du voyage : une cohabitation de plus en plus difficile avenue Emilie-de-Villeneuve

Les riverains du parking de la cuisine centrale ne supportent plus la cohabitation imposée par les gens du voyage depuis six mois. Leur pétition et autres démarches n'ont pas abouti pour une erreur d'adresse!
Exaspération et sentiment d'insécurité à la gare SNCF en octobre dernier, tensions à La Borde-Basse en novembre : la fermeture, notamment, du camp de la Vivarié pour travaux (qui devraient s'achever bientôt) a amené les gens du voyage à s'éparpiller et s'installer sur des terrains propices à les accueillir, certes, mais illégalement. C'est le cas d'une poignée de familles qui ont implanté leurs six caravanes sur le parking jouxtant la cuisine centrale, avenue Emilie-de-Villeneuve. Une petite communauté, sans véritables ressources au regard de la vétusté de leurs logis mobiles. Leur présence et surtout leur mode de vie quotidien ont très vite incommodé les riverains. «Ils se sont branchés sur l'électricité publique, qui a été coupée en répression. Une solution qui, de fait, nous en privait aussi», témoigne un membre du collectif de quartier qui s'est constitué courant novembre.
A force d'insistance, à grand renfort de plaintes et de courriers demandant l'évacuation de ces résidences mobiles, le collectif a été invité à la mairie le 18 novembre, dans le cadre d'une réunion publique.

Une sorte de discrimination

Le collectif a ainsi dénoncé la situation dans une pétition de 400 signatures : dégradations, immondices au niveau des poubelles collectives, aboiements incessants, combats de coqs, pigeons volés et plumés sur place, feux de camp quotidiens avec du bois coupé alentour... «Tout cela nous oblige à nous barricader, on n'a plus de vie intime, on se sent brimés, victimes d'une sorte de discrimination!»
Quelques jours plus tard, alors que le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples se mobilise pour que les gitans accèdent à l'électricité, EDF rétablit le courant, un compteur est installé. «Pas de souci, constate le collectif. Mais le camp est toujours là, sous nos fenêtres...» Un de ses porte-paroles est enfin reçu à la sous-préfecture le 9 décembre.

Une erreur d'adresse

Contre toute attente, cet entretien fait ressortir une anomalie : «Le bémol, indique le collectif, c'est qu'après une ordonnance datant du 21 août du tribunal de grande instance pour faire évacuer le camp, identifié à ce moment-là au niveau de la «rue» et non «avenue» René-Cassin, sous le pont de Lameilhé, les jours suivant la notification de la décision judiciaire le camp s'est déplacé avenue Emilie-de-Villeneuve; l'ordonnance du 21 août n'avait donc plus d'objet!»Ainsi, le 10 décembre, un courrier du sous-préfet Jean-Yves Chiaro conclut : «En l'absence d'une décision de justice visant précisément le terrain illégitimement occupé et les occupants eux-mêmes, toute intervention des forces de l'ordre en vue de leur évacuation constituerait une voie de fait pouvant être sanctionnée à titre personnel par le juge pénal.» Une conclusion qui a surpris le maire Pascal Bugis dans un courrier du 17 décembre dernier, dans lequel il indique que «l'huissier de justice a relancé sa demande de concours de la force publique qui doit être accordée pour faire cesser cette occupation».
Impatients en cette période de fêtes bien désagréable pour les voisins, les membres du collectif entendent ne pas baisser les bras : «Tout cela est une bataille étatique et communale, juste pour une erreur d'adresse, au détriment de l'intérêt du citoyen... le citoyen de base sacrifié sur l'autel de la sainte République», constatent-ils amèrement.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/04/2249229-cohabitation-plus-plus-difficile-avenue-emilie-villeneuve.html

dimanche 3 janvier 2016

Il tente de se suicider devant sa mère

La scène est atroce. Suite à une peine de coeur, un homme de 63 ans a tenté de mettre fin à ses jours hier matin dans l'allée des Paladins (Marseille 12e) : il s'est tranché la gorge devant sa mère avant que les policiers ne viennent effectuer un point de compression dans l'attente des marins-pompiers. Opéré dans la journée, l'homme a survécu.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3736378/il-tente-de-se-suicider-devant-sa-mere.html

samedi 2 janvier 2016

Valence : une voiture fonce sur des militaires postés devant une mosquée

Un homme a foncé hier au volant de sa voiture sur quatre soldats en faction devant la grande mosquée de Valence, provoquant une riposte des militaires, sur fond de crainte de nouveaux attentats. Le chauffeur, dont les motivations restaient mystérieuses, a été grièvement blessé à un bras et à une jambe dans cette riposte.

L'homme a dirigé délibérément à deux reprises sa Peugeot 307 sur les militaires de l'opération Sentinelle, qui ont fait usage de leurs armes après sommations.
Le conducteur a agi seul. «On a vu cette personne, elle est d'origine maghrébine», a dit l'un des imams de la mosquée, Abdallah Dliouah.
Selon les tout premiers éléments de l'enquête rapportés par une source proche, il s'agirait d'un homme de 29 ans, originaire de Bron (banlieue lyonnaise) et inconnu des services de police. Son véhicule, un break rouge, était immatriculé en Savoie.
Selon M. Dliouah, l'agression a eu lieu vers 14 h 30 sur le parking de la mosquée qui a accueilli au total quelque 3 000 fidèles. L'incident est intervenu entre deux offices en ce jour de prière pour les musulmans.
Un des militaires a été touché par le véhicule à un genou et à un tibia. Un fidèle âgé a aussi été légèrement blessé à une jambe par une balle perdue et a été secouru par un soldat.

L'antiterrorisme pas saisi

Selon la préfecture, la grande mosquée de Valence - la seule de la ville - est un lieu très calme, «où le culte se passe de manière apaisée». «C'est une mosquée modérée et calme», a confirmé le maire de Valence, Nicolas Daragon (Les Républicains). «La mosquée n'avait jamais reçu de menaces», a assuré pour sa part M. Dliouah.
Hier soir, les motivations du conducteur restaient à déterminer, mais son interrogatoire devrait permettre d'en savoir un peu plus sur les raisons de son geste. À ce stade de l'enquête, le parquet antiterroriste n'avait pas prévu de se saisir de l'affaire.
Les ministres Le Drian et Cazeneuve (Défense et Intérieur) ont apporté «leur entier soutien aux militaires visés» tout comme le Premier ministre Manuel Valls. Le Conseil français du culte musulman a condamné «avec la plus grande fermeté cette agression lâche» et réitéré «son appel à la sérénité et à la vigilance».
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/02/2248616-valence-voiture-fonce-militaires-postes-devant-mosquee.html
 

vendredi 1 janvier 2016

Steaks infectés : inquiétude levée

«Nous sommes vigilants, mais il n'y a pas d'inquiétude majeure» : la préfecture de l'Ariège est rassurante après avoir révélé qu'un lot de steaks hachés avait été trouvé porteur d'escherichia coli, une bactérie pathogène.
Aucun cas d'intoxication par la bactérie escherichia coli, décelé dans de la viande hachée confectionnée par la société Les Fils de Fort Basile, à Lorp-Sentaraille, n'a été détecté, pour l'heure, en Ariège. Et l'inquiétude semble en passe de se dissiper.
L'infection remonte à une huitaine de jours maintenant et concerne environ 70 kg de viande hachée. «Nous avons été alertés dès le lendemain de la production par le laboratoire spécialisé en charge des analyses, confie Alain Garcia, l'un des responsables de la société. Il ne s'agissait alors que d'une suspicion, mais nous avons alerté l'ensemble de nos clients et pu récupérer ainsi près de la moitié de la viande hachée». Ces clients : des particuliers, clients de grandes surfaces du Couserans, des restaurateurs… «Nous avons préféré rappeler les lots très rapidement, reprend Alain Garcia. Nous avons eu hier (mercredi, N.D.L.R.) la confirmation de la présence de cette bactérie». Et de conclure : ce sont des choses qui arrivent, en dépit des précautions qui sont prises».
De son côté, la préfecture a décidé de tirer la sonnette d'alarme : «La date limite de consommation, pour ces lots, est désormais dépassée, souligne Anne Pény, directrice de cabinet. Les grandes surfaces ne peuvent plus en vendre. Les restaurateurs ont été prévenus. Restent les particuliers, qui peuvent avoir un bout de steaks haché au fond de leur congélateur. Nous en sommes donc au stade de l'information des consommateurs, en lien et en accord avec la société concernée. Nous sommes vigilants, mais il n'y a pas d'inquiétude majeure».
Reste un mauvais coup pour la petite entreprise du Couserans. Alain Garcia ne s'en cache pas. Il redoute en effet les conséquences économiques de cette affaire, que l'entreprise pourrait rapidement ressentir.
L'étiquette comporte « Fils de Fort Basile – Lorp Sentaraille ». Le numéro de lot concerné, figurant au milieu de l'étiquette, est le 15355.


En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/01/2248113-steaks-infectes-inquietude-levee.html#X6BVOg2fmFWiV1rt.99