vendredi 31 août 2012

Lyon 6e : une péniche en feu quai de Serbie

Une péniche d'habitation en cours de rénovation dénommée Lonina a été détruite par les flammes vendredi après-midi à 15h30 quai de Serbie.
Rapidement sur les lieux, 54 sapeurs-pompiers ont éteint le feu à l'aide de 5 lances tout en évitant qu'il ne se propage aux péniches à proximité. Il a cependant entièrement embraisé l'embarcation sans faire de blessé. Un incendie qui a attiré de nomreux curieux sur le Pont de Lattre de Tassigny. Le Quai de Serbie est à l'heure actuelle coupé à la circulation.
Un malheureux incident qui survient trois semaines après un accident similaire survenu sur la Saône à Confluence.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/08/31/lyon-une-peniche-en-feu

Fort séisme aux Philippines, alerte au tsunami

Une violente secousse de magnitude 7,9 a été signalée vendredi après-midi dans l'est des Philippines par l'USGS, l'Institut américain de surveillance des séismes. Une alerte au tsunami a été lancée pour l'Indonésie et les Philippines
Un tremblement de terre d'une magnitude de 7,9 a frappé les Philippines vendredi et une alerte au tsunami a été émise pour la région, ont annoncé l'Institut géologique américain (USGS) et le Pacific Tsunami Warning Center.
L'épicentre du séisme a été localisé au large de la côte orientale, à 60 km de la ville de Guiuan dans la province de Samar, a précisé l'USGS. L'alerte au tsunami a été notamment déclenchée pour l'Indonésie, les Philippines et le Japon.
L'Institut de géophysique américain a précisé que le tremblement de terre s'est produit à 20h47 heure locale (soit 14h47, heure française) en mer, à 139 km à l'est de la ville philippine de Sulangan, à une profondeur de 33 kilomètres.
 

Brebières : il enlève une jeune femme devant une boulangerie, elle s'échappe en sautant du véhicule

Mardi vers 15 heures, une jeune femme a été brièvement enlevée par son ex-compagnon, qui l'a extraite de force du véhicule d'un ami pour l'emmener avec elle. La scène, d'une grande violence, selon plusieurs témoins, s'est produite à Brebières, près d'Arras, devant une boulangerie où la victime s'était réfugiée

Leur relation n'avait pourtant duré que... deux semaines. Après l'avoir saisie par les cheveux, l'individu, 37 ans, déjà condamné en 2004 pour enlèvement et séquestration, a entraîné son ex-compagne dans son véhicule Peugeot 307.
Mais profitant d'un ralentissement, la victime est parvenue à échapper à son ravisseur en se jetant de la voiture, tandis que passait un véhicule des pompiers de Vitry-en-Artois. Le violent a alors à nouveau tenté de remettre la main sur sa proie, alors que les pompiers lui venaient en aide.
Après avoir pris la fuite, Cyril Rouanet, 37 ans, auto-entrepreneur en bâtiment, a finalement été interpellé peu après à Aniche, près de Douai, par les gendarmes de la brigade de recherches d'Arras, en lien étroit avec les policiers de Douai.
Déféré au parquet ce jeudi matin, M. Rouanet a été jugé cet après-midi en comparution immédiate au tribunal correctionnel d'Arras. S'il a reconnu être allé beaucoup trop loin et avoir réalisé la gravité de ses actes, sur fond de jalousie maladive, il a finalement été condamné à dix-huit mois de prison, dont douze avec sursis et mise à l'épreuve de deux ans.

http://www.lavoixdunord.fr/region/brebieres-il-enleve-une-jeune-femme-devant-une-ia29b0n657688

Des arracheurs de colliers interpellés et incarcérés

La police vient de marquer un point contre les voleurs de colliers. Trois individus ont été interpellés. Deux suspects ont été mis en examen et incarcérés. La justice leur reproche une quinzaine de vols.
En quelques secondes et un coup sec, le collier disparaît. Avec l'été, ces vols «à l'arraché» se sont accumulés dans Toulouse comme les grandes villes, dopés par la hausse du prix de l'or. «Une bonne cinquantaine de faits sur Toulouse», prévient le procureur Michel Valet. Une évaluation basse d'un phénomène qui s'est accéléré en juillet et en août. L'arrestation fin juin d'un homme de 31 ans qui avait multiplié ces vols n'a pas freiné l'augmentation de ces infractions.

Au mois quatorze vols

Les policiers de la brigade de la voie publique ont passé leur été à traquer ces voleurs. Et une équipe vient de tomber avec l'interpellation lundi soir dans un comptoir de vente d'or d'un garçon de 18 ans. Un individu sans palmarès judiciaire qui proposait à la vente un collier arraché quelques heures plus tôt. Dans la foulée, la sûreté départementale a mobilisé quarante policiers pour remonter la piste de ses complices et les appréhender. Deux d'entre eux ont été arrêtés mardi soir derrière le commissariat central. Si le plus jeune a rapidement été mis hors de cause, un Franco-Tunisien de 24 ans intéressait beaucoup les enquêteurs. Outre un passé judiciaire chargé avec une dernière condamnation criminelle pour des attaques à main armée à Paris (7 ans de prison), cet homme est soupçonné d'au moins douze vols. Avec un bénéfice de «plusieurs milliers d'euros», estime le parquet.
Présenté à la juge d'instruction Sun-Yung Lazare, il a été mis en examen pour «vols aggravés» comme son jeune complice. Certaines victimes ont plus de 80 ans. Le parquet a donc retenu la circonstance aggravante de victime «particulièrement vulnérable». Et la justice s'intéresse aussi aux receleurs, ceux qui achètent les colliers. «Si nous pouvons apporter la preuve de l'infraction, nous poursuivrons», promet le procureur. Quant au patron de la sûreté départemental, le commissaire Marc le Soleul et ses hommes, ils savent que la lutte n'est pas terminée. «Nous ciblons déjà d'autres voleurs», confirme le commissaire, déterminé à stopper des vols «brutaux et lâches».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/31/1429343-des-arracheurs-de-colliers-interpelles-et-mis-en-prison.html

Il avait commis 31 cambriolages en six mois

Murad, Montpelliérain de 20 ans, reconnaît sans hésitation 31 cambriolages. "Dans la situation où j’étais, c’était la seule solution. Enfin, c’était la simplicité..."
Les vols ont été commis entre avril et septembre 2011, dans des entreprises, des restaurants mais aussi chez des particuliers, souvent “visités” plusieurs fois à quelques jours d’intervalle, à Montpellier, Lattes et Palavas. Des préjudices lourds, comme pour ce bureau d’études qui n’a pas pu se faire rembourser ses 2 400 € de chèques cadeaux et a notamment perdu tout le travail stocké sur les ordinateurs.

Avec lui comparaissent, devant le tribunal correctionnel, deux autres Montpelliérains : Jamel, 19 ans, et Florent, 20 ans. Le premier hébergeait Murad et a participé à un vol. Il a été le premier interpellé et, à son domicile, une grande partie du butin a été retrouvée. Le second a été son complice quatre fois.
"Vous avez à juger un professionnel du vol"
"Le cambriolage est devenu un véritable phénomène de société, un fléau. À tel point que Murad en a fait un métier, avec des sorties quasi quotidiennes, dénonce le procureur. Vous avez à juger un professionnel du cambriolage." Il réclame quatre ans de prison, dont deux assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve - sachant que le casier judiciaire du prévenu ne contenait qu’une mention, celle d’un vol commis en février 2011, pour lequel il avait écopé d’un sursis.
À la décharge de Murad, son avocat, Me Bonnafous, a rappelé le parcours difficile de son client : "Abandonné à l’âge de 6 mois, placé dans des familles de 1 à 7 ans, puis en foyer... Pour lui, le choix était de commettre des délits ou de faire la manche. Il a parfois dormi dans les établissements qu’il cambriolait, c’est dire s’il était dans la nécessité."
Au final, Jamel a écopé de six mois avec sursis ; Florent de dix-huit mois de prison, dont six assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve. Quant à Murad, il a été condamné à trois ans de prison, dont dix-huit mois avec sursis.

http://www.midilibre.fr/2012/08/30/il-avait-commis-31-cambriolages-en-six-mois,554913.php

Saintes (17) : deux Saintais en garde à vue pour séquestration et vol

Deux Saintais de 34 et 38 ans ont été placés en garde à vue en début de semaine au commissariat de police. L'un d'eux a été déferré, mercredi, devant un substitut du procureur de Saintes qui a fait une demande d'emprisonnement pour vol aggravé et séquestration. Le juge des libertés et de la détention devait se prononcer mercredi soir sur cette demande.
La garde à vue de son complice a, quant à elle, été stoppée pour des problèmes de santé et un transfert au centre hospitalier de Saintonge. En ce qui le concerne, une information judiciaire a été ouverte. Dès qu'il sera en état, il passera lui aussi par la case tribunal.

La victime ligotée sur un banc
Les faits se sont déroulés le 15 août dernier, rive droite à Saintes. Un homme, âgé de 47 ans, organise ce jour-là un vide-garages pour vendre tout un tas de choses dont il veut se débarrasser. C'est alors que débarquent deux trentenaires qu'il connaît, alcoolisés. Ces derniers commencent à l'agresser et à dégainer des armes factices. Une pluie de coups tombe. La victime, ligotée à un banc, ne peut se défendre.
Mais les deux individus ne s'arrêtent pas là. Armés d'une hache, ils s'en prennent au mobilier. L'agression dure plusieurs heures. Lorsque les tortionnaires repartent enfin, ils enferment leur supplicié dans son garage. Et n'oublient pas d'emporter avec eux de la hi-fi, des vêtements et divers objets.
C'est un voisin qui viendra libérer la victime dans la nuit. Traumatisé par ce qu'il a vécu, l'intéressé ne porte plainte que six jours plus tard, soit le 21 août. Les policiers de Saintes se mettent tout de suite sur la piste des auteurs de la séquestration et du vol. L'un d'eux est rapidement identifié. Il est arrêté lundi dernier et conduit en garde à vue avec sa compagne qui, hier, a été placée sous contrôle judiciaire pour recel d'objets volés.
Le complice a, quant à lui, été interpellé mardi matin et également placé en garde à vue. Les perquisitions ont permis de retrouver le matériel dérobé.

http://www.sudouest.fr/2012/08/30/sequestration-et-vol-806828-1531.php

jeudi 30 août 2012

Démarchage : une locataire raconte sa mésaventure

Des locataires du quartier Champagne ont reçu la visite de démarcheurs qui promettent une baisse des factures de gaz et d'électricité. Attention aux arnaques.
ILS sonnent chez les locataires et font miroiter une baisse des factures de gaz et d'électricité. Ils demandent un relevé d'identité bancaire, font signer un contrat et le tour est joué.
Ces démarcheurs sans scrupule sont passés chez Jessica Delecluse, avenue de l'Europe.

Discours bien rodé
« Une femme est venue frapper à ma porte et s'est présentée comme étant envoyée par EDF-GDF en partenariat avec l'Opal. Elle disait qu'elle allait faire une mise à jour de mes factures de gaz et d'électricité et que je n'aurais plus à payer que 9,80 euros par mois au lieu de 30 euros. Elle m'a dit que j'aurais un nouvel échéancier. J'ai eu des petits doutes par moments mais le discours est bien rodé et cette femme avait réponse à tout. J'ai fini par signer une autorisation de prélèvement. »
En lisant avec attention le contrat qu'elle venait de signer, Jessica Delecluse s'est aperçue de l'arnaque.
Elle venait de contracter une assurance, un « pack zéro souci » du groupe IAG. En adhérant à cette assurance, moyennant une cotisation mensuelle de 9,80 euros, elle avait la garantie que la société en question interviendrait en cas de panne, dysfonctionnement, fuite… Le contrat proposé n'a quasiment aucun intérêt. Il offre de faibles niveaux de garantie (jusqu'à 200 ou 300 euros) et les exclusions sont nombreuses. De toute façon, ce contrat ne permet pas de faire baisser les factures, qui vont continuer à arriver au domicile de la locataire.
La locataire a appelé pour résilier mais elle tient à raconter sa mésaventure pour que les autres locataires se méfient de ces démarcheurs et ne signent aucun contrat.

Aucune autorisation de l'Opal
« Cette femme m'a montré une trentaine de contrats qu'elle venait de faire signer dans ma rue. Je voudrais que les gens soient au courant pour qu'ils résilient eux aussi ou évitent de se faire avoir à l'avenir. »
« Nous n'avons jamais donné d'autorisation. Au contraire, en général, nous mettons les gens en garde contre ces démarcheurs qui profitent de la faiblesse et parfois d'une certaine naïveté des locataires », précise François Lesourd, responsable de l'agence Opal du quartier. « La dernière arnaque de ce style consistait à vendre des flexibles pour le gaz sous couvert de sécurité. Les démarcheurs prétendaient que l'Opal préconisait cette disposition. C'était un mensonge. »
François Lesourd va faire en sorte que les employés d'immeubles passent l'information et que la communication interne relaie les appels à la vigilance. En cas de démarchage à domicile, en matière d'assurances, le délai de rétractation est de quatorze jours, week-end compris


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/demarchage-une-locataire-raconte-sa-mesaventure

Escroqués de 22 000 € sur du photovoltaïque

La colère gronde au 18 de la rue Frédéric-Passy à Montauban. Catherine et Jean-Paul Nesmes n'en finissent plus de tempêter. La raison de ce courroux se situe très exactement au-dessus de leurs têtes. Impossible en arrivant aux portes de leur coquet domicile de ne pas remarquer une petite éolienne qui tourne quasiment en continu sur le toit de l'habitation; toit recouvert pour une bonne partie de panneaux photovoltaïques. «En octobre 2011, explique Catherine Nesmes, nous avons pris la décision de sortir du nucléaire et des circuits traditionnels de distribution d'électricité. Nous avions alors une charge annuelle d'électricité de 9 500 KW et, avec le système que nous avions choisi, nous avions la possibilité de produire 11 400 KW.Largement de quoi couvrir nos besoins annuels et d'être complètement autonomes.» Après avoir obtenu l'indispensable accord de la mairie pour transformer une partie de leur habitation, les époux Nesmes se tournent vers la société Zen'it Energies basée à Lognes, près de Meaux (depuis son adresse sociale a été transférée à Dijon).

Les choses se compliquent

«Le total de l'installation à réaliser se montait à 29 500 €, poursuit Catherine Nesmes, le 9 décembre la société Zen'it Energies nous livrait seulement les panneaux photovoltaïques qu'ils laissaient sur des palettes avant de repartir. Là nous avons versé 9 832 €. Les panneaux seront installés que le 5 janvier et là nous remettons encore 5 000€. L'éolienne n'arrive que le 4 avril et lors de son montage nous nous apercevons que sa puissance n'est plus de 600 watts mais de 300. Nous débloquons encore une somme de 7 000€. Mais très rapidement, les choses se compliquent pour de bon. Le branchement de l'éoliennne a été effectué à l'aide de fils complètement dénudés qui se baladent dans le grenier et qui présentent un danger certain. Le montage des panneaux photovoltaïques est catastrophique. Rien ne fonctionne et pour le moment nous sommes à une production de 0 KW. Quand j' ai essayé de joindre la société Zen'it Energies, il n'y a plus personne au niveau de sa gérance. à force de recherches, j'ai fini par apprendre qu'elle avait été mise en liquidation judiciaire le 15 mai dernier avec, en sus, ce transfert de siège intervenu entre-temps entre Lognes et Dijon. À ce jour, nous estimons avoir été escroqués de 22 000 € et même si nous ne récupérons pas notre argent, il faut absolument éviter que d'autres personnes soient victimes de pareilles malversations.»

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/30/1428626-montauban-ils-ont-perdu-22-000-sur-du-photovoltaique.html

Incendie criminel : qui en veut aux camions de Loulou ?

Triste spectacle. Sur le parking sommiérois de la société Urbain-net, filiale de la holding Nicollin, les cinq camions-poubelles sont détruits. Conséquence d’un incendie d’origine criminelle, dans la nuit de mardi à mercredi. Hier matin, les techniciens en identification criminelle (Tic) de la gendarmerie ont en effet relevé deux départs de feu distincts sur les lieux du sinistre.
L’alerte a été donnée à 1 h 30 par un voisin réveillé par le klaxon de l’un des véhicules en proie aux flammes. Rapidement sur place, une quarantaine de pompiers du Gard se sont appliqués, jusqu’à près de 6 heures, à protéger les locaux de l’entreprise, un bâtiment tout proche qui abrite une cuve à carburants. Mais ils n’ont rien pu faire pour empêcher la destruction des deux camions-bennes comme des trois mini-bennes, stationnés en deux endroits du parking.

"Le feu s’est déclaré dix minutes seulement après le départ de l’équipe de nuit, qui vide toujours les camions avant de les garer ici", indique Faouzi Mansouri, directeur d’Urbain-net. Il évalue les dommages à près de 500 000 euros au total.
Une “guerre des poubelles”
Malgré ce sinistre, il n’y aura pas de chômage technique : la filiale de Nicollin (qui emploie jusqu’à 16 salariés en cette période estivale) a repris les tournées de ramassage sur le territoire de l’intercommunalité du Pays de Sommières dès hier soir. Cela, grâce à des véhicules récupérés dans la journée à Nîmes, Montpellier et Cannes. "C’est la synergie de groupe qui nous permet de continuer à assurer le service", fait remarquer Faouzi Mansouri.
La nouvelle organisation, justement, aurait-elle pu susciter des jalousies, dans un département qui a déjà connu une “guerre des poubelles” ? Urbain-net - qui assure des ramassages d’ordures sur les communes de Sommières, Nîmes, Le Grau-du-Roi, Aigues-Mortes ou encore Vézénobres, Mauguio et Carnon - a en effet été rachetée en février dernier par la holding Nicollin.
"La piste de la concurrence en terme de marché public n’est pas écartée, indique-t-on à la gendarmerie de Vauvert, en charge de l’enquête. Tout comme celle d’un employé licencié ou d’un voisin irrité par le bruit. Nous allons recueillir des témoignages tous azimuts."
"Nous n’avons aucun contentieux avec nos employés, ni nos fournisseurs ou nos clients", fait savoir pour sa part Faouzi Mansouri. Venu constater les dégâts, le maire de Sommières Guy Marotte, lui, ne décolère pas. "C’est navrant de constater qu’il y en a qui détruisent ce que font les autres. Ça fait mal."

http://www.midilibre.fr/2012/08/29/sommieres-qui-en-veut-aux-camions-de-loulou,554445.php

Pau: l'homme retrouvé mort dans son appartement était décédé depuis quinze jours

L'homme de 50 ans retrouvé mort dans son appartement par les pompiers, hier, rue Montpensier, à Pau, était décédé « depuis près de quinze jours », indique ce mercredi matin le parquet de Pau.
C'est ce qu'a révélé l'examen de corps réalisé par un médecin, hier soir. La thèse de la mort naturelle est retenue. « Aucun élément laissant penser à une origine criminelle n'a été découvert.

L'appartement était d'ailleurs fermé de l'intérieur », précise encore le parquet. C'est une voisine, inquiète de l'odeur très forte qui se dégageait de l'appartement de la victime depuis quelques jours, qui a alerté les pompiers, hier. Après avoir brisé une fenêtre pour entrer dans l'appartement, ces derniers ont découvert le quinquagénaire dans sa chambre. La victime vivait seule. Son corps a été rendu à son frère, son unique famille.

http://www.sudouest.fr/2012/08/29/pau-l-homme-retrouve-mort-dans-son-appartement-etait-decede-depuis-quinze-jours-806748-4749.php

mercredi 29 août 2012

Un procureur adjoint frappé par un homme dans le tribunal de Meaux

Un procureur adjoint a été frappé au visage mardi dans l’enceinte du tribunal de Meaux (Seine-et-Marne) par un homme qui était jugé pour des violences envers des policiers, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier. Le magistrat s’est vu délivrer 4 jours d’ITT, selon cette source.
L’homme était jugé au tribunal de Meaux pour des violences sur des policiers, lors d’une audience où siégeait ce magistrat. Un peu plus tard, il a reconnu le procureur adjoint dans l’enceinte du tribunal et lui a alors demandé de lui restituer son passeport, retenu dans le cadre de la procédure.
Le procureur ne pouvant lui restituer ses papiers, l’homme l’a alors insulté et lui a assené un coup de poing au visage, a-t-on indiqué de même source. L’agresseur a été jugé en comparution immédiate mercredi et placé sous mandat de dépôt en attente de son jugement.
 

Possible prise d'otages dans un avion à Amsterdam / mise à jour "fausse alerte"

DERNIERE MINUTE - L'incident serait dû à une incompréhension entre le pilote et la tour de contrôle...

La compagnie Vueling dément ce mercredi toute prise d'otage dans un de ses avions qui a atterri à l'aéroport d'Amsterdam-Schipol , indiquant qu'un problème de communication entre le pilote et la tour de contrôle est à l'origine de la confusion.
L'appareil, en provenance de Malaga, est cerné par les services de sécurité néerlandais et les passagers sont toujours à bord, a précisé un porte-parole de la gendarmerie. Le ministère néerlandais de la Défense avait auparavant envoyé deux chasseurs F-16 au devant de l'appareil en vol, alors qu'il s'approchait de l'aéroport.
«L'avion s'est approché de manière inhabituelle de l'aéroport et cela a provoqué un malentendu entre le pilote et la tour de contrôle», a indiqué un porte-parole de la compagnie espagnole.
http://www.20minutes.fr/article/992583/pays-bas-prise-otage-cours-avion
La gendarmerie suspecte une prise d'otages dans un avion de ligne de la compagnie Vueling en provenance de Malaga et ayant atterri à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol avec 180 personnes à son bord, a annoncé la gendarmerie de l'aéroport. "L'avion a atterri à Schiphol, il s'agit d'une possible prise d'otage", a déclaré un porte-parole de la gendarmerie de l'aéroport à l'Agence France-Presse.

Le ministère néerlandais de la Défense avait envoyé deux chasseurs F-16 au devant de l'avion, rapporte le site d'information nu.nl.

Selon Reuters, Vueling dément qu'un de ses avions ait été détourné à Amsterdam. Selon elle, linformation faisant état d'un détournement est le résultat d'un problème de communication entre le pilote et la tour de contrôle


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/29/97001-20120829FILWWW00417-amsterdam-une-prise-d-otages-serait-en-cours-dans-un-avion.php

Un reptile exotique de 1,5 kg capturé à Beauzelle

Un très gros lézard a été attrapé lundi par les pompiers à la sortie de Beauzelle. Un téju d'Argentine noir et blanc de plus de 1,10 de long. Un animal sans papier !
Les agents de l'Équipement ont l'habitude des mauvaises surprises quand ils travaillent à l'entretien des fossés. Seulement lundi en fin de matinée, à la sortie de Beauzelle en direction de Seilh, un agent a été très surpris quand un gros reptile blanc et noir lui a filé entre les jambes. Appelés à la rescousse, les pompiers rejoints par les gendarmes sont partis en chasse, tentant de débusquer cet animal dont personne ne connaissait l'espèce.
Dans une buse réservée à l'évacuation des eaux, les pompiers ont repéré la Bête. En bloquant un accès, les soldats du feu devenus des attrapeurs de reptile ont poussé l'animal vers la sortie. Un collet, en principe réservé aux gros chiens errants, a ensuite permis d'immobiliser l'animal.

En pension au Reptiland, dans le Lot

Dans un premier temps, un vétérinaire attaché au service départemental d'incendie et de secours a estimé qu'il s'agissait sans doute d'un varan, un gros reptile qui prospère notamment en Indonésie. L'animal de bon poids et d'environ 1,10 m, a été confié à l'école vétérinaire «pour la nuit». Et hier un membre des services vétérinaires l'a transporté jusqu'à Martel, dans le Lot, où il a été confié au Reptiland, fort de 250 reptiles plus quelques araignées…
«Ce n'est pas un varan mais un Téju d'Argentine», affirme Christophe Gouygou, fils de «Pancho», le créateur du lieu. «Ces reptiles se vendent dans certaines animaleries. Pour en posséder un, il faut une autorisation», prévient ce spécialiste. Une autorisation, de la place et de l'argent parce que l'animal est du genre vorace si on en croit les échanges sur le sujet sur internet. «Cela mange un peu de tout, notamment des petits rongeurs, souris, rat, ou des lapins», précise Christophe Gouygou. Pas dangereux pour l'homme, cela peut mordre. «Une réaction de défense», estime le spécialiste.
Placé en quarantaine, le Téju d'Argentine est déjà visible au Reptiland de Martel. Il s'agirait d'un mâle. Comment est-il arrivé à Beauzelle ? Sans doute abandonné par son propriétaire, dépassé par la croissance de l'animal. «Avant on trouvait des chiens au bord des routes, déplore Christophe Gouygou. Maintenant, ce sont des reptiles…»

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/29/1427523-un-reptile-exotique-capture-a-beauzelle.html

Le motard de 16 ans accidenté lundi soir est toujours dans un état critique

Aristide, le jeune habitant de Chaumergy de 16 ans, grièvement blessé lundi soir sur son cyclomoteur sur la RD95, à Froideville, près de Chaumergy où il est domicilié, était toujours hier soir dans un état critique. Transporté par l’hélicoptère Dragon 25, il est en soins intensifs à l’hôpital de Besançon, dans le coma. Sa sœur et sa famille, qui sont à son chevet, ne s’expliquaient toujours pas les circonstances exactes de l’accident. Les premières constatations semblaient démontrer que l’adolescent, qui roulait sur sa petite moto de trial, se serait déporté dans un virage avant de heurter de plein fouet une voiture qui arrivait en face. Il a été projeté à une dizaine de mètres du point d’impact, face contre terre, son casque ayant été retrouvé à plusieurs mètres. Une enquête de gendarmerie est en cours.

http://www.leprogres.fr/jura/2012/08/29/le-motard-de-16-ans-accidente-lundi-soir-est-toujours-dans-un-etat-critique

La Rochelle : il plonge de la jetée, il n'y avait pas assez d'eau

Lundi après-midi vers 17 heures, un jeune homme de 26 ans qui s'amusait avec deux de ses amis sur la plage de Port-Neuf, à La Rochelle, a fait une chute de quatre mètres après avoir plongé de la jetée.
N'ayant pas tenu compte ni des panneaux interdisant l'accès au bout de la jetée ni de la marée descendante, l'homme s'est violemment écrasé au sol et enfoncé dans la vase.

Évacué dans un état grave par ambulance vers l'hôpital de La Rochelle, il souffrait notamment d'importants problèmes de motricité au niveau des membres supérieurs et inférieurs.
Plusieurs incidents se sont déjà produits sur ce site très couru par les casse-cou.

http://www.sudouest.fr/2012/08/28/le-plongeon-tourne-mal-805417-1391.php

mardi 28 août 2012

Explosion à Aubervilliers : un blessé

Un homme a été grièvement blessé mardi lors d’une explosion à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. Selon les premières informations recueillies par Europe 1, la victime était en train de manipuler une bouteille de gaz qui aurait explosé. Il aurait volontairement provoqué l’explosion, les enquêteurs n’excluant pas l’hypothèse d’une tentative de suicide.
L’homme âgé de 29 ans a été transporté dans un hôpital parisien. Il souffre de graves brûlures sur tout le corps. Son appartement a été dévasté par la déflagration. Les experts du laboratoire central de la Préfecture de police ont été dépêchés sur le lieu de l’explosion.
 

Un Cagnois tente de se jeter du balcon pour éviter la maison de retraite

Un homme de 80 ans a essayé de sauter du quatrième étage de son immeuble pour ne pas aller en maison de retraite. Il a été maîtrisé par son entourage
A 14 heures, ce lundi, il aurait dû s’installer dans une maison de retraite et quitter son appartement de la place De-Gaulle, dans le centre de Cagnes-sur-Mer...
Mais cet homme de 80 ans ne voulait pas en entendre parler. « Non, non et non ! » hurlait-il depuis son balcon. Des proches étaient même venus pour l’accompagner dans cette épreuve. Mais il ne voulait rien entendre. Alors, un peu avant 15 heures, il a essayé de se jeter de son balcon, de l’avant-dernier étage de son immeuble. « J’ai entendu du bruit. Un homme criait. Je me suis retournée et j’ai vu un homme qui tentait de passer par-dessus la rambarde. Il avait les cheveux blancs » rapporte Pauline, qui se trouvait sur la place. « J’ai vu deux personnes qui étaient autour de lui...» ajoute Julie.

Caroline, qui travaille dans un bureau en face de l’immeuble a également été témoin de la scène et a appelé la police. « On avait l’impression qu’il voulait se suicider » ajoute-t-elle.

Une première voiture de la Police nationale est arrivée sur place. Puis une autre, suivie par la voiture du SMUR, puis une ambulance des pompiers. La grande échelle et un camion incendie ont complété ce dispositif. Au cas où...
L’avenue Renoir a été bloquée pour permettre le déploiement de la grande échelle. Deux pompiers sont montés dans la nacelle. Quand elle est arrivée à hauteur du balcon, au quatrième étage, tout danger était écarté.

« Ce monsieur a été maîtrisé par trois personnes de son entourage » explique un sauveteur. Les policiers ont aussi pu entrer dans l’appartement pour s’assurer que tout allait bien. Le vieil homme a été pris en charge par les pompiers et emmené à l’hôpital de la Fontonne. Il devrait s’y reposer quelque temps.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/un-cagnois-tente-de-se-jeter-du-balcon-pour-eviter-la-maison-de-retraite.973602.html

Trois blessés dans une bagarre, hier, au bar-tabac le Cigalon

Elisabeth, la patronne du Cigalon, n'en a pas cru ses yeux et ses oreilles quand des cris l'ont sortie de son bureau hier vers 16 heures et qu'elle a découvert un homme de 33 ans en sang allongé dans le couloir, avec un coup de couteau dans le bras. À un mètre de là, elle a trouvé le présentoir de la presse renversé, mais aussi une jeune femme le visage tuméfié et un jeune homme avec une main coupée par du verre cassé. Les pompiers ont amené l'homme blessé au bras à l'hôpital tandis que les policiers entendaient les deux autres comme témoins. Le serveur, qui a essayé de séparer les protagonistes et qui a pris un coup à l'œil au passage, a également été entendu. Les deux hommes et la femme impliqués dans la bagarre se connaissaient. Tout serait parti d'un différend en terrasse concernant un prêt de 30€. Le ton serait alors monté et la dispute aurait dégénéré. Elisabeth, choquée, compte porter plainte. «La presse en l'air, l'étagère tordue, ce n'est pas grave, explique la gérante. En revanche, l'atteinte à l'image du Cigalon, si ! On est un endroit tranquille. Il n'y a jamais eu de problème ici. C'est un règlement de compte entre clients. On n'a rien à voir là-dedans. Mais psychologiquement, c'est dur de se dire qu'on va parler de nous en mal. Tout ce que je demande, c'est du calme. Ca mène à rien de se battre, sauf à traumatiser les autres clients.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/28/1426939-auch-trois-blesses-dans-une-bagarre-hier-au-cigalon.html

Prison ferme pour avoir brûlé la maison de leurs victimes

Les trois jeunes hommes, jugés en comparution immédiate, avaient mis le feu à un pavillon situé à Riorges, à côté de Roanne, dans la nuit du 17 au 18 juillet dernier avec une bouteille d'alcool ménager trouvé sur place.
Ils voulaient effacer les empreintes que l’un d’eux avait laissées sur place. Les trois cambrioleurs étaient repartis avec 5 000 euros de bijoux, deux téléviseurs et des armes de collection.

Ils ont précisé au tribunal qu'ils avaient téléphoné aux pompiers pour éviter que le feu ne se propage aux habitations voisines.
Impliqués dans quatre autres cambriolages ou tentatives commis sur la région roannaise cet été, les trois voleurs avaient été interpellés par les gendarmes en milieu de semaine dernière.

Les trois hommes ont été démasqués alors qu'ils tentaient de revendre un téléviseur volé.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/08/27/prison-ferme-pour-avoir-brule-la-maison-de-leurs-victimes

Simon, 3 ans, sauvé de la noyade à Golfe-Juan

Les parents de Simon sont toujours auprès de lui à l'hôpital Lenval. Les dernières nouvelles font froid dans le dos. Son bras a beaucoup gonflé. Et, il est devenu bleu noir. Nous sommes très inquiets. »

Heureusement, Delphine et les autres habitants de la résidence Les Sables d'Or à Golfe-Juan peuvent être rassurés sur l'état de santé du petit bonhomme de trois ans et demi qui s'est coincé le bras avant-hier soir, dans une bouche d'aspiration d'une piscine.

Si Simon, originaire des Ardennes, présente d'importants hématomes, il ne devrait pas, selon nos informations, perdre l'usage de son bras. Un miracle au regard de l'accident dont il a été victime. Et dont on connaît désormais les incroyables détails du sauvetage…

Il se met à crier

Tout commence vers 17 heures par quelques barbotages dans la piscine de la résidence située au 114 avenue Blanchi. Le petit Simon nage avec ses brassards sous le regard attentif de ses parents. Il est tout sourire. Mais, d'un coup, il se met à crier. « Il était près du rebord, alors on a pensé qu'il s'était griffé la main,raconte Delphine. Mais quand on s'est approché de lui, on a vu qu'il avait le bras coincé dans un trou. » Précisément, il s'agit de la bouche de nettoyage qui sert à brancher un robot. L'orifice est situé à 15 centimètres en dessous du niveau de l'eau. Il est tout petit. Et les parents de Simon ont beau essayer, le bras ne veut pas en bouger. Panique. Le père du bambin se met aussitôt sur la pointe des pieds et s'efforce de maintenir la tête de Simon hors de l'eau. « Il hurlait toujours,reprend Delphine. On n'arrivait pas à savoir si c'était de la peur ou de la douleur. On craignait qu'il y ait une turbine au fond qui lui découpe le bras. » Par chance, ce n'est pas le cas. Mais toujours impossible d'extraire le bras. Même avec une boîte à outils.

La dalle attaquée au marteau-piqueur

Au bout de quelques minutes, ce sont une dizaine de pompiers qui prennent alors le relais. À leur tour, ils essayent de décoincer le bras. Ils usent de toutes les méthodes possibles. Ils injectent même du produit vaisselle pour faire glisser le membre. Mais rien n'y fait. Deux turbos pompes arrivent donc à la rescousse et vident la piscine. Décision est ensuite prise d'attaquer la dalle au marteau-piqueur pour atteindre l'objet qui retient Simon prisonnier.

Au bout de trois heures d'effort et d'effroi, le petit Ardennais est libéré. Du moins partiellement. Car son bras est toujours coincé dans le conduit. C'est ainsi qu'il est alors transporté, en urgence à l'hôpital Lenval de Nice, le bras dans le bout de tuyau. Là, son calvaire dure encore une heure. Le temps de découper en quatre morceaux le tuyau. Et de soulager, enfin Simon…

Un bouchon manquant

Depuis ce sauvetage, les morceaux de tuyau sont entre les mains des policiers du commissariat d'Antibes-Vallauris. Car les parents de Simon ont porté plainte après l'effroyable incident.

La première journée d'enquête a, du reste, été riche en enseignements. Le trou par lequel Simon s'est fait aspirer le bras n'aurait jamais dû être accessible. Un bouchon sert normalement à le fermer. Seulement, ce bouchon a été oublié dans le local technique. Or, la piscine venait justement d'être révisée le jour même. Entendus par la police, les employés qui ont effectué la révision ont assuré avoir remis le bouchon en place.

http://www.nicematin.com/antibes/simon-3-ans-sauve-de-la-noyade-a-golfe-juan.971770.html

lundi 27 août 2012

Charente/meurtre : une mise en examen

Un homme de 27 ans, soupçonné d'avoir mortellement agressé une octogénaire fin juin à Barbezieux (Charente), a été mis en examen hier pour assassinat et placé en détention provisoire, selon le parquet d'Angoulême.

Le suspect, domicilié à Angoulême, a été mis en examen pour "dégradation volontaire du bien d'autrui par un moyen dangereux pour les personnes, vol au préjudice d'une personne particulièrement vulnérable et assassinat", a-t-on précisé de même source. "Nous considérons sur la base de ses explications et des constations objectives (...), comme la découverte d'un couteau, qu'il avait prémédité son acte", a indiqué lors d'un point-presse le vice-procureur d'Angoulême, Cyril Vidalie.

Selon lui, l'intéressé a reconnu s'être rendu au domicile de la victime qu'il avait rencontrée en 2008. Cette année-là, alors qu'il était militaire volontaire servant sous contrat, il avait assisté des enquêteurs appelés chez l'octogénaire suite à un cambriolage. Le mis en cause, aujourd'hui agent de sécurité dans une entreprise privée, a "reconnu qu'il lui avait porté des coups de couteau, qu'il avait eu conscience qu'elle avait été tuée par ces coups de couteau et, par la suite, il a dissimulé son geste en simulant un cambriolage", a précisé M. Vidalie.

Identifié par un témoignage, il avait provoqué un début d'incendie dans la propriété de l'octogénaire et avait dérobé un véhicule. C'est suite à l'intervention des pompiers que l'habitante de Barbezieux, âgée de 83 ans, avait été retrouvée morte à son domicile. Le suspect, qui n'a pas d'antécédent pénal, n'a pas donné d'explications sur son passage à l'acte. Selon Cyril Vidalie, de nombreuses investigations sont en cours afin de déterminer notamment le mobile de l'agression.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00582-charentemeurtre-une-mise-en-examen.php

93 : un homme maîtrisé par le Raid

Un homme qui était retranché à son domicile, seul, ce matin à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) a été maîtrisé en milieu de journée par le Raid, selon la préfecture. Il n'y a pas eu de blessé lors de cette intervention, a précisé cette source.

Après une nuit agitée, la police avait été prévenue par des voisins, qui avaient indiqué que l'homme était armé. Des investigations étaient en cours en milieu de journée pour retrouver d'éventuelles armes. Il était retranché depuis 9 heures environ et tenait des propos "incohérents", se montrant menaçant.

L'homme, âgé d'une trentaine d'années, souffre de problèmes psychiatriques, et a dû être hospitalisé d'office à deux reprises, selon une source proche de l'enquête.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00444-93-un-homme-maitrise-par-le-raid.php

Pierrefitte: un forcené retranché chez lui

Un homme est retranché chez lui à Pierrefitte (Seine-Saint-Denis) depuis 9 h 30 ce lundi matin. Cet homme qui souffrirait de problèmes psychiatriques s'est montré menaçant et possèderait une arme. Le Raid a été appelé et vient d'arriver sur place

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/pierrefitte-un-forcene-retranche-chez-lui-27-08-2012-2138859.php

Elle trouve sa nounou sur Facebook et sort en boîte

Une jeune femme de 29 ans a été présentée samedi devant le Parquet de Béziers en vue de sa mise en examen. La garde de son fils, âgé de 2 ans et demi, lui a été retirée. L’enfant en bas âge a été confié à une famille d’accueil en attendant que sa mère passe devant les tribunaux.
Tout cela parce que la mise en cause aurait pris la décision de partir en boîte, abandonnant son enfant à un jeune recruté sur Facebook quelques instants plus tôt et qui s’était engagé à servir de nounou. Engagement qui n’a pas été tenu.

"Elle sera poursuivie pour délaissement d’enfant et risque une peine de sept ans d’emprisonnement", a confirmé Magali Issad, la substitut du procureur de la République de Béziers.
La mère en garde à vue
Vendredi soir, cette Biterroise décide, donc avec une amie, de sortir en boîte. Mais ce n’est pas une chose aisée quand on est mère célibataire et que la soirée n’a pas été programmée correctement. Il faut confier son enfant à une personne de confiance.
Selon nos informations, la mère de famille ne s’est pas arrêtée à cette simple difficulté. C’est vers les réseaux sociaux et Facebook qu’elle se retourne pour trouver, dans l’urgence, une nounou à qui elle va accorder toute sa confiance et son enfant.
Et, chose incroyable, cela marche. Un adolescent de 14 ans se présente, le contrat moral entre les deux personnes “raisonnables” est établi. La mère se prépare pour faire la fête et, à l’heure convenue, part s’amuser.
Mais en arrivant devant la boîte de nuit, surprise. La nounou est sur place. Le jeune qui doit garder l’enfant a, lui aussi, été invité à passer la nuit à faire la fête. L’enfant a donc été abandonné seul à la maison alors qu’il dormait.
Quelques instants plus tard, les pompiers sont appelés au domicile de la mère. L’enfant ère, en pleurs dans l’escalier, à la recherche de sa protectrice.
Voyant ce qui se passe, les services de police sont aussitôt contactés par les pompiers. La mère est appelée sur le champ alors que le garçonnet est conduit aux urgences de l’hôpital de Béziers pour que tout le monde soit bien certain qu’il ne lui soit rien arrivé de grave. Il sera immédiatement pris en charge par les services de l’aide sociale à l’enfance.
Sitôt arrivée, la mère est prise en charge par les policiers qui la placent en garde à vue.
Sa nuit ne s’est donc pas terminée comme elle l’avait prévu, aux sons des musiques poussées par le DJ d’une boîte de nuit. Mais simplement dans une cellule sans ambiance, dans laquelle elle a pu méditer sur son erreur. Pour tout le reste, elle devra composer avec la justice et les services sociaux.

http://www.midilibre.fr/2012/08/26/elle-trouve-sa-nounou-sur-facebook-et-sort-en-boite,553146.php

Du ferme pour les prévenus

Ils sont trois dans le box, âgés de 27 à 29 ans. Ce 22 août, vers 5 h du matin, ils sont contrôlés à Wattrelos une première fois par les policiers. Les agents ont été prévenus par un anonyme que des individus « essayent d'ouvrir les portes des habitations », explique Nourith Reliquet, la présidente du tribunal. Une heure plus tard, la patrouille tombe à nouveau sur les compères. Cette fois, ils sont fouillés : sur eux, « du matériel informatique, un appareil photo, des chèques vacances, de l'argent... » Le couple cambriolé, qui visiblement avait oublié de fermer la porte d'entrée de son appartement, est vite identifié : ce père et cette mère de deux enfants n'ont rien entendu de l'intrusion du trio, mais « ils sont très choqués », relève la présidente.
L 'un des prévenus, qui est en état de récidive et écopera de la plus lourde peine, nie avoir participé au cambriolage, mais pour l'avocat de la partie civile comme pour le procureur, « les faits sont établis ». La défense a beau pointer du doigt des réquisitions « aberrantes » et « disproportionnées » pour un vol « d'amateurs » (dix mois dont six avec sursis et douze mois dont huit avec sursis), le tribunal ordonne tout de même du ferme : les prévenus écopent respectivement de un, deux et six mois de prison.


http://www.nordeclair.fr/Locales/Wattrelos/2012/08/25/du-ferme-pour-les-prevenus.shtml

dimanche 26 août 2012

La Guerche-de-Bretagne. Il menace de s’immoler par le feu

Samedi, vers midi à La Guerche-de-Bretagne, un homme a été maîtrisé par la gendarmerie alors qu’il menaçait de s’immoler par le feu.
Âgé de 32 ans, il se serait rendu dans la matinée chez son ancienne compagne, avant de s’enfermer dans la voiture de celle-ci. C’est alors que la femme aurait appelé la brigade de Vitré. Une fois les gendarmes sur les lieux, l’homme aurait alors déversé le contenu d’un bidon d’allume-feu sur son torse avant de menacer d’allumer un briquet.
Les gendarmes auraient immédiatement cassé la vitre de la voiture grâce à leur bâton de protection télescopique afin de maîtriser l’individu. L’un des hommes aurait alors été légèrement blessé au bras à cause de la vitre cassée. Son collègue et l’homme qui menaçait de s’immoler sont quant à eux indemnes.
 

Simon, 3 ans, sauvé de la noyade à Golfe-Juan

Les parents de Simon sont toujours auprès de lui à l'hôpital Lenval. Les dernières nouvelles font froid dans le dos. Son bras a beaucoup gonflé. Et, il est devenu bleu noir. Nous sommes très inquiets. »

Heureusement, Delphine et les autres habitants de la résidence Les Sables d'Or à Golfe-Juan peuvent être rassurés sur l'état de santé du petit bonhomme de trois ans et demi qui s'est coincé le bras avant-hier soir, dans une bouche d'aspiration d'une piscine.

Si Simon, originaire des Ardennes, présente d'importants hématomes, il ne devrait pas, selon nos informations, perdre l'usage de son bras. Un miracle au regard de l'accident dont il a été victime. Et dont on connaît désormais les incroyables détails du sauvetage…

Il se met à crier

Tout commence vers 17 heures par quelques barbotages dans la piscine de la résidence située au 114 avenue Blanchi. Le petit Simon nage avec ses brassards sous le regard attentif de ses parents. Il est tout sourire. Mais, d'un coup, il se met à crier. « Il était près du rebord, alors on a pensé qu'il s'était griffé la main,raconte Delphine. Mais quand on s'est approché de lui, on a vu qu'il avait le bras coincé dans un trou. » Précisément, il s'agit de la bouche de nettoyage qui sert à brancher un robot. L'orifice est situé à 15 centimètres en dessous du niveau de l'eau. Il est tout petit. Et les parents de Simon ont beau essayer, le bras ne veut pas en bouger. Panique. Le père du bambin se met aussitôt sur la pointe des pieds et s'efforce de maintenir la tête de Simon hors de l'eau. « Il hurlait toujours,reprend Delphine. On n'arrivait pas à savoir si c'était de la peur ou de la douleur. On craignait qu'il y ait une turbine au fond qui lui découpe le bras. » Par chance, ce n'est pas le cas. Mais toujours impossible d'extraire le bras. Même avec une boîte à outils.

La dalle attaquée au marteau-piqueur

Au bout de quelques minutes, ce sont une dizaine de pompiers qui prennent alors le relais. À leur tour, ils essayent de décoincer le bras. Ils usent de toutes les méthodes possibles. Ils injectent même du produit vaisselle pour faire glisser le membre. Mais rien n'y fait. Deux turbos pompes arrivent donc à la rescousse et vident la piscine. Décision est ensuite prise d'attaquer la dalle au marteau-piqueur pour atteindre l'objet qui retient Simon prisonnier.

Au bout de trois heures d'effort et d'effroi, le petit Ardennais est libéré. Du moins partiellement. Car son bras est toujours coincé dans le conduit. C'est ainsi qu'il est alors transporté, en urgence à l'hôpital Lenval de Nice, le bras dans le bout de tuyau. Là, son calvaire dure encore une heure. Le temps de découper en quatre morceaux le tuyau. Et de soulager, enfin Simon…

Un bouchon manquant

Depuis ce sauvetage, les morceaux de tuyau sont entre les mains des policiers du commissariat d'Antibes-Vallauris. Car les parents de Simon ont porté plainte après l'effroyable incident.

La première journée d'enquête a, du reste, été riche en enseignements. Le trou par lequel Simon s'est fait aspirer le bras n'aurait jamais dû être accessible. Un bouchon sert normalement à le fermer. Seulement, ce bouchon a été oublié dans le local technique. Or, la piscine venait justement d'être révisée le jour même. Entendus par la police, les employés qui ont effectué la révision ont assuré avoir remis le bouchon en place.

http://www.nicematin.com/antibes/simon-3-ans-sauve-de-la-noyade-a-golfe-juan.971770.html

Il voulait prendre en photo une souris au McDonald’s, il se retrouve encerclé

« Souris est, vous ne pouvez pas filmer ». Voilà qui pourrait résumer la mésaventure vécue par Alexis, dimanche dernier, au McDonald’s République, place Bellecour. Ce soir-là, vers 20 h 30, l’intéressé, 25 ans, s’apprête à aller au cinéma, en compagnie d’une amie, Lucie, 24 ans. Pris d’un petit creux, ils décident de se rendre au McDonald’s tout proche.
La suite Alexis nous la raconte : « Quand on arrive au comptoir « à emporter », à l’extérieur, le caissier s’est momentanément absenté. À ce moment là, une souris apparaît derrière la caisse. Surpris, je dis « Oh une souris ! » en la montrant aux gens autour de moi. Je sors mon portable pour faire une photo, sauf qu’entre-temps, la souris est partie. Je la vois alors revenir entre des gobelets, mais je n’ai pas le temps de prendre la photo. Quand le caissier arrive, je tiens le téléphone, prêt à prendre une photo. On lui explique qu’il y a une souris. Il jette un œil, ne trouve rien et s’en va de nouveau. »
Les choses vont subitement s’envenimer. Un homme - le manager du restaurant - arrive et demande à Alexis et Lucie si c’est bien eux qui ont pris une vidéo de la souris. Alexis lui relate l’histoire. Mais, un vigile surgit et lui lance : « S’il vous plaît, il va falloir me montrer votre portable ». « Sous le choc, je lui montre que je n’ai pas de photo ni de vidéo, se défend Alexis. Nous réalisons alors qu’il y a un autre type (un deuxième vigile) sur notre gauche. Nous sommes donc encadrés par trois personnes. Ils me disent qu’ils ne peuvent pas nous laisser montrer ça aux détracteurs de la marque, et que de toute façon les souris ne vont jamais dans la cuisine… » Les vigiles finiront par s’écarter et le manager par proposer des boissons et des burgers gratuits. Alexis et Lucie refuseront spontanément avant de s’en aller. « Quand ils m’ont entouré, je me suis senti oppressé, comme dans un racket. J’avais le cœur qui battait fort. Je n’étais pas rassuré », confie, avec le recul, Alexis. « Sur le coup, je n’ai pas trouvé cela normal de voir une souris ici, reprend-il. En y réfléchissant, je peux le concevoir. Ce que je ne peux pas concevoir, en revanche, c’est la réaction des employés ».
Du côté de McDonald’s France, dont dépend le restaurant de Bellecour, non-franchisé, on ne nie pas l’incident. « Il peut y avoir des problèmes de rongeurs, mais une société de dératisation vient tous les mois. Et, à la rentrée, le restaurant va installer un dispositif à ultrasons, indique d’abord le service communication. Après, il n’y a pas eu d’altercation. Simplement, il n’est pas permis de prendre des photos dans nos restaurants, par souci de droit à l’image du personnel et des clients. On comprend que le client ait pu être surpris. Les salariés ont peut-être trop bien appliqué les consignes, mais on ne peut pas leur en tenir rigueur ».
Bref, chez McDo, « venez comme vous êtes », mais surtout pas avec un appareil photo. Alexis l’a amèrement appris à ses dépens : « Je ne dis pas que je n’y retournerai jamais. Mais, à celui de Bellecour, ça, c’est sûr que non ».

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/08/26/il-voulait-prendre-en-photo-une-souris-au-mcdonald-s-il-se-retrouve-encercle

Agen : un motard grièvement blessé

Une collision entre un véhicule léger et une moto s'est produite hier, vers 13 h 30, à l'intersection du boulevard Édouard-Lacour et de l'avenue du docteur Jean-Bru à Agen.
Le motard, Fabien Accosta, âgé de 28 ans, a été grièvement blessé lors du choc. Polytraumatisé, il a été évacué à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux pour être soigné. Le pronostic vital du jeune homme, habitant de Bajamont, n'est pourtant pas engagé.

Il semblerait qu'un non-respect de priorité soit à l'origine de l'accident, mais il était encore impossible d'établir hier, qui de l'automobiliste ou du motard était en cause

http://www.sudouest.fr/2012/08/25/un-motard-grievement-blesse-803771-2780.php

samedi 25 août 2012

Il menace sa femme et provoque l’intervention de la police, pour la 28e fois !

Je connais du monde, tu finiras au chômage ! Maintenant, tu es dans la merde, tu finiras au trou !" Voilà le genre d’amabilité servi par ce père de famille sous l’empire de l’alcool (1,82 g), mercredi au matin, à un équipage de trois policiers venus à son domicile. Et ce, après que l’épouse de l’intéressé a alerté le commissariat central depuis la salle de bain, où elle s’était réfugiée à la suite d’une très violente dispute conjugale.
La 28e en fait pour les fonctionnaires depuis 2005 ! Mais cette fois, le jeune quadra ne s’est pas laissé faire. Il s’est débattu, avant de mordre le doigt d’un policier pour, une fois arrivé à l’hôtel de police, se jeter tête la première contre une porte vitrée. Et depuis le box de la correctionnelle, le prévenu réfute. En bloc. "Nous avons bien compris que votre discours est différent de celui des policiers", résume le président.

Le père de famille poursuit au sujet de la terreur de sa femme à son endroit, lorsqu’il s’emporte : "En onze ans, elle aurait pu s’évader !" Implacable.
"Il vient vous dire que, si la police intervient souvent, ce n’est pas de son fait mais de celui des voisins et des murs pas assez épais", s’agace Me Leygue, en partie civile. Poursuivant : "Il a déjà déambulé dans les couloirs de l’immeuble, un couteau à la main, en tapant aux portes de ses voisins. Sa femme est terrorisée par celui-ci et on veut bien la croire."
"Toute la procédure n’était que mensonge"
"À l’entendre, avec ses accents de sincérité, on aurait peut-être pu être enclin à le suivre. Mais au cours de l’instruction, nous avons compris qu’il était dans son monde. Et que toute la procédure n’était que mensonge", ironise le représentant du parquet face au déni dans lequel se drape le prévenu. Pour, ensuite, requérir à son encontre quatre mois de prison, assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve "pour soigner ses addictions diverses et variées".
Mais pour Me Carles, conseil du quadragénaire, le compte n’y est pas. "Effectivement, il conteste. Que l’on ne me dise pas que son épouse a peur. Aujourd’hui, elle a fait un témoignage en faveur de son mari. Les insultes ? Elles sont réciproques. C’est un couple pathologique. Dès que l’on se dispute, on appelle la police. Les forces de l’ordre, il les respecte. Il n’y a qu’un policier qui parle de violences, les autres n’ont pas porté plainte."
Au final, son client a été relaxé pour les faits de rébellion. Mais a écopé de trois mois de prison assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve pour les outrages.

http://www.midilibre.fr/2012/08/25/il-menace-sa-femme-et-provoque-l-intervention-de-la-police-pour-la-28e-fois,552613.php

En examen après la chute de sa femme

Un homme de 46 ans a été mis en examen vendredi à Bordeaux pour homicide sur conjoint et écroué, après la chute mortelle de son épouse du dixième étage d'un immeuble de Bègles, dans la banlieue bordelaise, rapporte aujourd'hui la presse locale.

L'homme avait été placé en garde à vue mercredi soir, peu après la chute de son épouse, âgée de 47 ans, du balcon de l'appartement que le couple occupait avec deux enfants. La chute serait intervenue à l'issue d'une violente dispute,
précise le journal Sud Ouest.

Le mis en examen, qui nie avoir défenestré son épouse, a été placé sous mandat de dépôt à la maison d'arrêt de Gradignan. Le parquet de Bordeaux n'a pu être joint samedi.
Selon une étude récente de la Délégation aux victimes pour le ministère de l'Intérieur, 146 personnes sont décédées en 2011, en grande majorité (122) des femmes, victimes de violences de leur conjoint ou ex-conjoint.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/25/97001-20120825FILWWW00240-mis-en-examen-apres-la-chute-de-sa-femme.php

Lacaune. Une adolescente à scooter grièvement blessée dans une collision

Jeudi soir, aux alentours de 21h45 à Lacaune au niveau du grand carrefour situé à la tour de Calmels, une collision s'est produite entre une voiture et un deux roues. La cyclomotoriste, âgée de 14 ans, touchée à la tête, a été très grièvement blessée. Lorsque les secours sont arrivés sur place, elle était inconsciente et il a été envisagé un moment de l'évacuer par hélicoptère avant que ne soit prise la décision de la diriger vers l'hôpital de Castres-Mazamet en ambulance. De son côté, le conducteur du véhicule 4x4 est sorti indemne de l'accident. Une enquête de gendarmerie a été ouverte et pour l'instant, on ignore les circonstances précises de la collision.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/25/1425440-lacaune-une-adolescente-a-scooter-grievement-blessee-dans-une-collision.html

Séquestrée et tabassée par son petit ami durant toute la nuit

Une jeune femme de 21 ans a vécu une nuit de violences et de séquestration, de la part de son petit ami, dans la nuit de mercredi à jeudi. Grâce à son téléphone portable, elle a heureusement été délivrée par les policiers du commissariat de Blagnac.
Il est 11 heures, jeudi matin, lorsque la mère de la jeune femme se présente au commissariat de Blagnac, paniquée. Le magasin dont s'occupe sa fille au centre commercial de Labège est resté fermé le matin, et elle n'a plus aucune nouvelle. La mère poursuit son récit : la veille, sa fille a demandé à revenir vivre chez ses parents. Elle veut quitter son compagnon, mais elle est terrorisée. Celui-ci lui a laissé des messages remplis de menaces de mort et d'insultes. Les parents tentent une médiation entre les concubins. Finalement, après une longue négociation, le jeune homme parvient à ses fins : récupérer sa petite amie. Mais arrivés à leur domicile commun, il met son plan à exécution : il l'enferme, confisque son portable. Il va la tabasser toute la nuit de mercredi à jeudi, lui répétant qu'«on ne le quitte pas».
Lorsque les policiers se rendent au domicile des concubins, leur voiture n'est plus devant leur domicile. C'est l'intervention, décisive, de la meilleure amie de la victime, qui va faire basculer l'enquête des policiers. D'abord, elle leur indique une autre adresse connue du petit ami. Les policiers n'y trouvent rien. Ensuite, la jeune femme commence à recevoir des SMS de sa meilleure amie. Cette dernière se trouve dans la voiture de son concubin. Elle a réussi à récupérer son téléphone portable, et elle parvient à indiquer discrètement par SMS, où la voiture se déplace. Après de longues minutes de chasse, les policiers blagnacais interceptent finalement la voiture sur un parking de Lacroix-Falgarde, au sud de Toulouse. L'agresseur est interpellé. Son procès en comparution immédiate devait avoir lieu hier soir

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/25/1425365-nuit-de-cauchemar-pour-une-jeune-blagnacaise.html

L’adolescent de 14 ans mis en examen pour les feux de la route de Gruissan

Le jeune Narbonnais de 14 ans qui a été interpellé au guidon de son vélo, mercredi après-midi juste après trois départs de feux volontaires sur la route de Gruissan (Midi Libre de jeudi), a été déféré devant le juge des enfants, jeudi.
Un délit punissable jusqu’à dix ans de prison

L’adolescent - qui nie les faits - a été mis en examen pour “destruction volontaire par moyen dangereux pour les personnes”. Un délit qui est punissable théoriquement jusqu’à dix ans de prison.
Ensuite il a été remis en liberté mais soumis à un contrôle judiciaire très strict. Ainsi, le garçon doit faire l’objet de soins psychologiques, se rendre chaque jour au commissariat pour signaler sa présence et il est sous le coup d’une interdiction de quitter Narbonne.
Ces mesures sont parmi les plus sévères qui soient prévues. Ce qui indique que l’affaire est prise très au sérieux. L’instruction ouverte, avec une commission rogatoire confiée aux gendarmes, afin d’effectuer des investigations complémentaires, doit confirmer si l’adolescent est bien l’incendiaire.
L’incendie avait été rapidement maîtrisé par les sapeurs-pompiers
Le jour des faits, il a été aperçu par des gendarmes et des douaniers qui trouvaient son comportement suspect.
Mais son avocat Me Pascal Oudin est persuadée de son innocence : "Ce sont des coïncidences. Il était peut-être là au mauvais endroit et au mauvais moment. Rien ne vient dire qu’il est l’auteur des faits. Seule l’instruction le dira".
L’adolescent qui avait un briquet sur lui, a expliqué qu’il s’en servait pour allumer des cigarettes, étant fumeur. Jusqu’ici, le garçon qui a six frères et sœurs, n’avait pas fait parler de lui.
L’incendie avait été rapidement maîtrisé par les sapeurs-pompiers, un jour où le vent était faible ou inexistant. Ce qui explique que les dégâts ont été limités dans un massif de la Clape qui très vulnérable au feu : 700 m2 de végétation près du château de Capitoul et 100 m 2 près du domaine des Mongettes. Deux plaintes ont été déposées, une émanant d’un propriétaire privé et une autre du domaine public.

http://www.midilibre.fr/2012/08/24/l-adolescent-de-14-ans-mis-en-examen-pour-les-feux-de-la-route-de-gruissan,552356.php

Voitures brûlées à La Rochelle : le procès renvoyé

Hier après-midi, le procès d'un Rochelais âgé de 29 ans, prévenu de la destruction par le feu d'une douzaine de voitures durant le premier trimestre 2012 dans le quartier de la Trompette, à La Rochelle, a encore été renvoyé.
Toujours pour le même motif : l'expertise psychiatrique ordonnée par le tribunal (le prévenu est sous curatelle) n'a toujours pas été produite.

Un autre délit commis
Ce retard à l'allumage judiciaire a contribué à d'importantes conséquences puisque l'homme, fragilisé, addict à l'alcool et devant suivre des soins à ce propos, a commis un autre délit entre les différents renvois : des violences à l'encontre de son ami.
Cela lui a valu sa condamnation, début août, à 18 mois de prison dont 12 ferme. Hier, il a donc fait un aller-retour entre la maison d'arrêt de Rochefort et le tribunal.
Il sera jugé le 8 janvier 2013.

http://www.sudouest.fr/2012/08/24/toujours-dans-l-attente-de-l-expertise-802159-1391.php

vendredi 24 août 2012

Grand-mère assassinée : le petit-fils et ses deux amis mis en examen

Il avait avoué jeudi le de sa propre grand-mère. Un jeune homme de 21 ans et deux de ses amis ont été mis en examen pour assassinat, vendredi soir à Auxerre, après l'assassinat d'une septuagénaire à Saint-Aignan, dans l'Yonne.

Le petit-fils, âgé de 21 ans, s'était rendu jeudi dans une gendarmerie de Seine-et-Marne pour s'accuser du meurtre de la vieille dame de 75 ans, mardi, à la suite d'une dispute. Jeudi en fin d'après-midi, un complice présumé, Alexis, 22 ans, s'était également livré aux gendarmes de Seine-et-Marne, tandis que le troisième, âgé de 19 ans, était interpellé dans la soirée à Laval-en-Brie (Seine-et-Marne).

«Vipère»

«Le petit-fils a forgé le projet de tuer sa grand-mère et il a organisé une réunion de préparation avec ses deux copains, le mardi, pour décider de la manière de procéder», a déclaré le procureur de la République à Auxerre, François Perain. Selon ses déclarations en garde à vue, il vouait de la «haine» à la vieille dame qu'il qualifiait de «vipère» et s'était disputé avec elle après avoir trouvé sur la tombe de sa mère des «objets et pot de fleurs» qu'elle y avait déposés.

Equipés de «gants, d'un taser, d'une barre de fer et d'un jerrican d'essence», les trois amis s'étaient rendus au domicile de la vieille dame, dans la soirée de mardi. Là, après une nouvelle dispute, le petit-fils avait fait signe à l'un de ses amis de passer à l'action. Ce dernier utilise alors son taser sur la grand-mère qui bascule au sol, puis il l'étouffe à l'aide d'une barre de fer sur le cou.

Tentative d'incendier la maison

Le petit fils fouille ensuite la maison s'emparant de bijoux et documents qu'il estime appartenir à sa mère, avant de tenter de mettre le feu à la maison, en vain, à l'aide du jerrican. Puis tous regagnent la Seine-et-Marne. Tandis que les deux premiers reconnaissent les faits, leur complice présumé a tenté de minimiser sa participation, a souligné le procureur. Le corps de la septuagénaire avait été retrouvé mercredi par les pompiers alertés par des proches inquiets d'être sans nouvelles.


 http://www.leparisien.fr/faits-divers/grand-mere-assassinee-le-petit-fils-et-ses-deux-amis-mis-en-examen-24-08-2012-2135929.php

Beaune : une mort par noyade mais des traces de violence

L’enquête autour du cadavre retrouvé mercredi matin, vers 11 heures, au bord d’un des étangs du Parc Saint-Jacques à Beaune, a connu hier une avancée importante.
L’autopsie pratiquée sur la victime, une femme d’une quarantaine d’années, dont l’identité n’a pas été révélée, a, en effet, dévoilé qu’elle est morte par noyade, mais son corps présentait également des traces de violence.
Cependant, à ce stade de l’enquête, rien ne permet d’affirmer que ces violences et la mort par noyade sont directement liées.

Une personne entendue par la police

Par ailleurs, grâce aux témoignages déjà recueillis, une personne était entendue hier après-midi dans les locaux de la police judiciaire de Dijon. Seul élément livré par le procureur de la République, Éric Lallement, hier après-midi à ce sujet : « Cette personne a croisé la victime dans la nuit précédant la mort ». Le procureur a également précisé les circonstances de la découverte du corps : « La victime avait la tête encore dans l’eau, mais le corps sur la berge ».
Voilà qui relance toutes les hypothèses ouvertes après la découverte du corps : crime, accident, crise cardiaque… Dans notre édition d’hier, mercredi 22 août, un riverain parlait d’un parc « vraiment tranquille » alors qu’une voisine tempérait ce jugement : « La journée, c’est sans problème, mais le soir on voit des bandes de jeunes qui rôdent. Le reste de la journée, ce parc est fréquenté par des familles. »

http://www.bienpublic.com/actualite/2012/08/24/beaune-une-mort-par-noyade-mais-des-traces-de-violence

Agent du Grand Lyon immolé : un mois après, la famille attend des réponses

C’était le 19 juillet dernier. Vers 10 heures du matin, Manuel Gongora s’immolait sur le parking de son lieu de travail, à Vénissieux. Rapidement secouru par ses collègues et des salariés d’une entreprise voisine, l’agent du service Nettoiement du Grand Lyon était admis dans un état critique au pavillon des grands brûlés, à l’hôpital Edouard-Herriot.
Un mois après, l’état de Manuel Gongora, brûlé à 80 % au troisième degré, s’est légèrement amélioré. « Il a déjà subi plusieurs greffes. Il va en subir d’autres. Mais, le pronostic vital est encore engagé. La situation demeure précaire, la moindre greffe peut mal tourner. Néanmoins, plus le temps passe, plus c’est rassurant », confie l’avocat de la famille, M e Sylvain Cormier. Ce dernier a été appelé une semaine après le drame par l’épouse de l’agent du Grand Lyon.
Le 27 juillet, Anne-Marie Gongora a en effet déposé, au commissariat de Vénissieux, une plainte contre X pour « harcèlement moral » et « non-assistance à personne en danger ». « Nous voulons que toutes les responsabilités soient mises à jour pour mettre fin à la situation qui a conduit à ce drame afin qu’il ne se renouvelle pas », résume M e Cormier.
En un mois, l’enquête a bien avancé, selon l’avocat : « Nous avons transmis des pièces intéressantes au parquet de Lyon, notamment un témoignage très important, recueilli par un huissier ». M e Cormier ne veut pas en dire plus. L’enquête pourrait durer de longs mois. « Mais, une chose est sûre, la famille attend des réponses, souligne-t-il. Elle a pris en pleine figure le calvaire de Manuel. Elle s’est rendu compte de l’ampleur de son désespoir, que tout ce qu’il avait tenté pour alerter sur son cas n’avait servi à rien. Et puis, médicalement la situation reste très délicate. Pour la famille, tout cela est infernal ».
Le Grand Lyon en a pris conscience. L’employeur de Manuel Gongora a décidé de prendre en charge tous les frais d’hospitalisation, afin que la famille n’ait rien à avancer. Gérard Collomb a également rendu une visite discrète à Anne-Marie Gongora.
Quant aux conséquences à tirer du drame, comme il l’avait annoncé, le Grand Lyon s’apprête à mener une expertise sur les conditions de travail des agents. L’expert sera choisi début septembre, à l’issue de la séance plénière du CHSCT. L’expertise, dont le cahier des charges a déjà fait l’objet de cinq réunions, devrait débuter dans la foulée.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/08/24/agent-du-grand-lyon-immole-un-mois-apres-la-famille-attend-des-reponses

Un homme se noie dans un lac en Isère

Un jeune homme de 28 ans est mort noyé jeudi dans un plan d'eau à Pontcharra dans l'Isère, a-t-on appris ce vendredi auprès de la gendarmerie.
L'homme, qui traversait à la nage le plan d'eau des Lônes, large de 300 mètres, a disparu vers 16h30 jeudi. Ses amis, qui ont d'abord cru qu'il avait regagné la berge, l'ont cherché avant d'appeler la gendarmerie vers 18 heures.
Son corps a finalement été retrouvé à 21h30 par 100 mètres de profondeur à 50 mètres du rivage, a précisé la gendarmerie, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/24/1424845-un-homme-se-noie-dans-un-lac-en-isere.html

Le miraculeux périple d’un enfant de deux ans en pleine nuit

Quelle ne fut pas la surprise d’un agent de surveillance du camping municipal de Leucate-plage de découvrir, lors de sa ronde, un petit garçon de 2 ans et demi, vêtu d’une couche-culotte et un tee-shirt, devant l’entrée de l’établissement. Et il faisait encore nuit, ce matin, à 4 h 30 !
Mais le bambin n’était pas inquiet, tranquille même. Et, trop petit, pour parler. En tout cas, pour expliquer où étaient ses parents. Aussitôt, des recherches ont été lancées avec l’aide de la police municipale et des gendarmes. Sans succès. À partir de 6 h 30, des annonces ont été faites à la puissante sono du camping qui couvre la moitié de la station jusqu’à la plage. Trois longues heures se sont encore écoulées. Sans nouvelle.

Finalement, à 9 h 30, les parents se sont présentés au camping municipal. Ils avaient loué une maison de loisir dans un autre camping, baptisé “Comme chez soi”. Entre les deux campings, 200 ou 300 mètres. Que le petit débrouillard a parcouru à pied, après avoir faussé compagnie à son papa et sa maman qui dormaient. Tout est bien qui finit bien donc.

http://www.midilibre.fr/2012/08/23/dma-le-miraculeux-periple-d-un-enfant-de-deux-ans-en-pleine-nuit,551936.php

Sainte-Livrade (47) : « Il était ivre, menaçant et agressif »

S'il est parti à vélo chargé d'un couteau, d'un pistolet d'alarme et de gants en latex voir son amante, hébergée par une amie, c'est parce que, explique-t-il au tribunal, il avait peur « d'un guet-apens ». « Elle m'avait souvent répété qu'elle venait de Toulon et qu'elle avait des contacts là-bas. » Le motif officiel de l'entrevue devait être une explication sur des débordements précédents. Au milieu du mois d'août, le prévenu s'était emporté et avait cassé la voiture et l'interphone de son amante. A la suite de quoi cette dernière a provisoirement déménagé chez une amie.
Un long casier judicaire

Lorsque cet homme de 39 ans arrive au domicile livradais, les esprits s'échauffent. De l'histoire, chacun des protagonistes a sa version. Reste pour le prévenu des impondérables : un long casier judiciaire, une récente sortie de prison, après une condamnation de douze ans pour un braquage à main armée, et donc une récidive.
« Il a un lourd passé, mais il faut le juger aujourd'hui », plaide son conseil, Me Séverac. Si l'homme jugé hier en comparution immédiate était calme, posé, ce n'était « pas du tout le même » jeudi. « Il était ivre, menaçant et agressif », décrit le ministère public. Le tribunal lui a fait crédit de ses efforts d'insertion entrepris avant sa sortie de prison, qui ont débouché sur un contrat de travail.
Le trentenaire a été condamné à dix-huit mois de sursis et mise à l'épreuve, avec obligation de travailler et de se soigner au regard de sa consommation d'alcool, interdiction d'entrer en contact avec les victimes et de détenir une arme.

http://www.sudouest.fr/2012/08/23/en-sursis-apres-des-violences-801642-4697.php

jeudi 23 août 2012

Beaune : le corps d’une femme sans vie a été retrouvé, hier matin, près d’un étang

Le corps sans vie d’une femme a été retrouvé hier, mercredi matin, sur la berge de l’un des trois étangs du parc Saint-Jacques à Beaune. La découverte macabre remonte à 11 heures. C’est un promeneur qui a donné l’alerte à la police. D’après nos premiers renseignements, il s’agirait d’une femme d’une quarantaine d’années. Tout lien avec la disparue de Montlay-en-Auxois (nos éditions précédentes), âgée de 77 ans, est donc d’ores et déjà exclu.
A Beaune, la victime gisait sur la rive et elle ne portait pas de traces de violences apparentes. À l’heure où nous écrivions ces lignes, son identité restait inconnue, car elle ne portait pas de papiers d’identité sur elle.
Au moment de la découverte du cadavre, toutes les hypothèses restaient ouvertes : crime, accident ou crise cardiaque. La police judiciaire de Dijon est chargée de l’enquête. Une autopsie du corps, prévue aujourd’hui ou demain, sera sans doute décisive dans l’avancée de l’enquête.
Un homme qui promenait son chien, hier vers 18 heures dans les allées du parc nous a raconté qu’il avait bien vu des policiers, ce mercredi matin, au fond du parc : « Il pouvait être 10 h 30 ou 11 heures. Ils étaient toute une équipe et ils avaient l’air d’être sur les dents. » Il n’en savait pas plus, comme d’ailleurs les riverains que nous avons interrogés en fin d’après-midi.

Sentiment de sécurité

Jérôme qui habite une maison sur l’allée des peupliers dont il est propriétaire depuis onze ans nous faisait part de son sentiment : « C’est vraiment tranquille ici. J’ai un enfant de 11 ans qui se promène souvent dans le parc, sans souci. » Une maison à côté, la voisine tempère ce jugement : « La journée, c’est sans problème, mais le soir on voit des bandes de jeunes qui rôdent. En avril, quand on est arrivés, il y a même eu une baston assez dure, entre jeunes. Le reste de la journée, ce parc est fréquenté par des familles. »
De fait, hier après-midi, il ne subsistait sur les lieux du drame que la délimitation posée par la police. Les familles se promenaient sans se douter de rien. Ce parc est situé à l’extrémité du quartier Saint-Jacques, quartier populaire, fait de HLM et de maisons de location et d’habitations privées. Situé entre le commissariat de police et un centre commercial tout proche, il est limité à l’ouest par la ligne de chemin de fer. Ce parc a fait l’objet cette année, d’importants travaux de réhabilitation et d’embellissement paysager. Trois étendues d’eau sont reliées par des petits ponts et des chemins piétonniers. Rien dans ce décor bucolique ne peut laisser présager un tel drame.

http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2012/08/23/beaune-le-corps-d-une-femme-sans-vie-a-ete-retrouve-hier-matin-pres-d-un-etang

Lille : un enfant de 4 ans grièvement blessé par une voiture

Vers 9h ce matin, les pompiers sont appelés sur la boulevard d'Alsace de Lille. Sur l'un des passages piétons, près de la Porte d'Arras, un père accompagné de deux enfants, l'un, son petit âgé de 4 ans, et une petite fille de 12 ans, ont été percutés par une voiture.
 
L'automobiliste, une femme, qui conduisait une Smart, aurait été éblouie par le soleil et ne les aurait pas vus. Selon un témoin, rapporte la brigade accidents de Lille, la voiture roulait à une vitesse normale. Les trois piétons onté été blessés. Le père et la fillette de 12 ans, légèrement, l'enfant de 4 ans est par contre dans un état jugé grave. Son pronostic vital est réservé.

Tous ont été conduits à l'hôpital. L'automobiliste, perturbée psychologiquement, a elle aussi été hospitalisée.

http://www.nordeclair.fr/Actualite/Depeches/2012/08/23/nef-1618283.shtml

Un père et son fils écroués pour coups mortels

Après la querelle tragique qui a eu pour cadre la rue du Lot, un père et son fils ont été mis en examen hier et écroués. Ils reconnaissent des violences, mais pas l'intention homicide.
Comment une querelle de voisinage amorcée par l'excès de bruit tourne au drame rue du Lot à Saint-Vite et se solde par la mort d'un homme, un ferrailleur de 50 ans, jeune marié et père de quatre enfants ? La garde à vue d'un père âgé de 38 ans et de son fils de 18 ans, interpellés lundi soir par les gendarmes, a permis d'apporter des éclaircissements sur les circonstances. Excédée, samedi soir vers 18 heures, par du tapage généré par un groupe de jeunes dans la rue, la victime vient siffler la fin de la partie. Le fils en question évolue dans la bande. L'homme repart mais le trouble persiste. Il revient une seconde fois, peut-être équipé d'une matraque, et une altercation germe cette fois avec le père, arrivé dans l'intervalle. L'entrevue houleuse tourne au pugilat physique entre le père et la victime qui se retrouvent face à face. D'après les auditions, le fils serait arrivé dans le dos de cette dernière et lui aurait asséné sur le crâne des coups de queue de billard. Des assauts violents qui laisseront peu de chance au quinquagénaire de s'en sortir. Puisque dès le départ, son pronostic vital était engagé et Martial Monclin décédera mardi soir à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux.

Degré d'implication ?

Les mis en cause qui vivent dans la même rue que le ferrailleur, appartiennent à la communauté des gens du voyage sédentarisés. Le jeune est sans profession. Il se peut que l'altercation ait eu lieu dans un contexte d'alcoolisation, difficile à démontrer dans la mesure où l'arrestation des suspects a eu lieu 48 heures après. Présentés hier après-midi au parquet d'Agen, le père et le fils ont été mis en examen pour «violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner». Une information judiciaire est ouverte de ce chef au criminel. Père et fils ont été placés sous mandat de dépôt et écroués, conformément aux réquisitions du procureur. Tous deux étaient connus de la justice pour un fait de violences. Les investigations vont devoir démontrer à présent le degré d'implication de chacun

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/23/1423565-saint-vite-un-pere-et-son-fils-ecroues-pour-coups-mortels.html

Il frappe sa femme enceinte à coup de pied et de poing

Mardi en fin d’après-midi, les policiers bagnolais sont alertés par des riverains qui entendent des cris et soupçonnent des violences dans un logement du centre-ville.
Une fois sur place, ils constatent qu’une femme enceinte, qui apparemment vient d’être victime de plusieurs coups, tente de s’enfuir de son domicile.

Les policiers interpellent finalement l’auteur présumé des coups, un homme âgé d’une trentaine d’années, qui dans un premier temps refusait d’ouvrir sa porte aux forces de l’ordre.
Il aurait asséné plusieurs coups de poing et de pied ayant entraîné huit jours d’ITT (interruption temporaire de travail) sur le corps de la victime avant que cette dernière parvienne à se réfugier dans la salle de bains puis à s’échapper du logement.
La future mère âgée d’une trentaine d’années a été mise en sécurité pendant que son agresseur présumé a été placé en garde à vue puis remis en liberté. Il répondra de violences conjugales ultérieurement devant le tribunal correctionnel de Nîmes.

http://www.midilibre.fr/2012/08/23/il-frappe-sa-femme-enceinte-a-coup-de-pied-et-de-poing,551814.php

Le meurtrier avait déjà égorgé sa première femme

L’émoi est grand dans le quartier de Brigitte Biangana, à Meaux. Ses proches viennent d’apprendre que l’homme qui a tué la mère de famille d’une vingtaine de coups de couteau, le 5 août, n’en était pas à son premier . Elkias Varela Fontes a écopé, le 16 avril 2002, de vingt ans de réclusion criminelle, une peine assortie d’une période de sûreté de dix ans. Il a été condamné par la cour d’assises des Alpes-Maritimes pour avoir, deux ans plus tôt, égorgé sa compagne de l’époque en pleine rue, à Nice.

Brigitte Biangana ignorait ce sombre passé. De seize ans son aîné, l’homme est décrit comme quelqu’un « de sportif qui ne fait pas son âge ». Ils se rencontrent le 30 juillet 2011, soit quatre jours après sa sortie de prison. L’homme vient d’arriver à Meaux pour commencer sa réinsertion. Il est déménageur dans une association meldoise qui s’occupe de fournir du travail aux ex-détenus. Ils vivent près d’une année sous le même toit, puis la romance semble s’essouffler.

Deux versions s’opposent à ce sujet. Certains de ses proches assurent que c’est parce que Brigitte Biangana avait découvert son passé qu’elle avait brutalement décidé de rompre. Ce que ne supportait pas le Cap-Verdien. D’autres encore croient savoir que la jeune femme hébergeait un jeune Ivoirien d’une vingtaine d’années, dont Elkias Varela Fontes était très jaloux. Et que c’est pour cette raison que le
serait passé à l’acte le 5 août, après une énième scène de jalousie.

Un peu plus tôt, la victime aurait averti son frère qu’elle se sentait menacée. Elle avait d’ailleurs envoyé ses trois enfants de 8 ans, 6 ans et 1 an et demi en vacances chez un oncle aux Etats-Unis. Selon une voisine, elle s’apprêtait à les rejoindre. « Elle m’avait confié vouloir se faire coiffer, pour être belle avant d’aller là-bas », se souvient cette dernière. Mais son ex-compagnon ne lui en a pas laissé le temps. Il aurait usé d’une ruse pour s’introduire chez elle.

Le mouvement Ni putes ni soumises s’est saisi du dossier. Sa représentante en Seine-et-Marne, Rachida Ben-ahmed, organise une
silencieuse* samedi à la mémoire de la victime, tandis que le comité parisien a déjà interpellé la garde des Sceaux, Christiane Taubira. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, doit recevoir aujourd’hui la présidente. Asma Guénifi réclame « la constitution d’un fichier recensant les personnes condamnées pour actes de violence à l’égard des femmes, la mise en place d’un suivi psychologique obligatoire pour les criminels récidivistes dans les prisons, ainsi que la création de modules de formation relatifs au droit des violences faites aux femmes à l’Ecole nationale de la magistrature et pour les agents de la force publique ». Le parquet de Meaux a ouvert une information judiciaire afin de faire toute la lumière sur cette affaire.
* La marche silencieuse partira du parvis du tribunal de grande instance de Meaux samedi à 15 heures. Un premier arrêt est prévu au commissariat de police, puis un second au parc Chenonceau. Ensuite, le cortège rejoindra le domicile de Brigitte Biangana, au 7, rue Bela-Bartok à Meaux-Beauval.


http://www.leparisien.fr/meaux-77100/le-meurtrier-avait-deja-egorge-sa-premiere-femme-23-08-2012-2134324.php