mercredi 31 juillet 2013

Côte-d’Or : un guet-apens tendu sur une aire d’autoroute

Deux immigrés clandestins escortés par des agents de la police aux frontières ont profité à la mi-juillet d’un guet-apens tendu par des complices sur une aire d’autoroute en Côte-d’Or pour s’évader. Les faits remontent au vendredi 19 juillet, quand quatre agents de la police aux frontières de Metz « devaient escorter deux personnes à Lyon pour prendre l’avion », a déclaré une source policière, confirmant des informations divulguées samedi par nos confrères du Républicain Lorrain.
Selon la préfecture de Moselle, il s’agissait d’un « couple de Kosovars » en cours d’expulsion. Arrivées à l’aéroport Lyon-Saint-Exupéry, les deux personnes ont refusé d’embarquer. Elles ont alors pris le chemin du retour avec les agents, direction le centre de rétention administrative de Metz-Queuleu, selon la source policière.

Armés de cutters

Lors du trajet du retour, les clandestins ont demandé à plusieurs reprises à s’arrêter sur les aires d’autoroute pour aller aux toilettes. Sur l’un des parkings en Côte-d’Or, « quatre individus armés de cutters » ont surpris les policiers et les ont plaqués au sol. Le couple a alors pris la fuite avec ses complices à bord d’un « véhicule puissant » que les policiers n’ont pas réussi à rattraper, selon la même source.
Une enquête policière est en cours.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/07/31/cote-d-or-un-guet-apens-tendu-sur-une-aire-d-autoroute

Gaillac. La course-poursuite avec les gendarmes se termine en accident

Dans la nuit de lundi à mardi, des gendarmes de Graulhet, qui poursuivaient des malfaiteurs, ont été victimes d’un accident de la circulation en centre-ville de Gaillac. Heureusement, les deux militaires qui étaient à bord n’ont pas été blessés.
Tout a commencé quelques minutes auparavant à Graulhet. La patrouille repère des individus au comportement suspect près d’une voiture stationnée. Ils étaient visiblement en train de découper la clôture d’une maison qu’ils avaient sans doute l’intention de cambrioler. Gênés par la présence des gendarmes, les individus ont pris la fuite à bord de leur véhicule. Les militaires ont alors pris en chasse les malfaiteurs tout en lançant l’alerte pour qu’un dispositif d’interception se mette en place. Arrivés sur Gaillac, les gendarmes ont tenté de bloquer les fuyards. Mais dans leur manœuvre pour gêner la circulation des voleurs, ils ont perdu le contrôle de la voiture de service de gendarmerie qui a terminé sa course dans une barrière installée le long d’un trottoir, à proximité d’un rond-point. Les malfaiteurs ont du coup pu prendre la fuite. Ils ont cependant dû abandonner leur véhicule un peu plus loin. Elle a été retrouvée quelques instants plus tard par les gendarmes. L’enquête est en cours pour identifier les occupants qui ont peut-être laissé des traces et indices exploitables dans leur véhicule.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/31/1681125-la-course-poursuite-se-termine-en-accident.html

mardi 30 juillet 2013

Haute-Loire : incendie dans un château

Un important incendie s'est déclaré dans le château de Paulhac, près de Brioude en Haute-Loire, et a détruit la toiture, sans faire de blessé, a-t-on appris mardi auprès des pompiers, confirmant une information de La Montagne. L'incendie se serait déclaré vers 13H depuis la tour carrée du château, selon la même source. Il mobilisait mardi une soixantaine de sapeurs-pompiers, venus de toute la région, qui s'attendaient à plusieurs heures de travail avant de circonscrire l'incendie. Une de leurs priorités est la protection des oeuvres d'art, du mobilier et des tapisseries, dont certaines sont classées. Elles étaient soit évacuées du château, soit protégées par des bâches. Il n'était pas encore possible de dire si certaines étaient détruites définitivement.
La toiture du château, une surface de 2000 m2 qui avait été en partie refaite l'année dernière, a été presque entièrement détruite. Selon le propriétaire du chateau, Maurice Colosetti, interrogé par La Montagne, l'origine de l'incendie pourrait venir des suites d'un important orage qui a touché le secteur dimanche dernier. Le feu aurait couvert sous les toits pendant 48 heures avant de se déclarer. Pour leur part, les pompiers ne se sont pas encore prononcés sur les causes de l'incendie. Forteresse féodale classée, qui domine le pays de Brioude depuis dix siècles, le château comprend plus de 75 pièces et abrite des tapisseries et du mobilier. Il est toujours habité mais il est en partie ouvert aux visiteurs.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Haute-Loire-incendie-dans-un-chateau-621702

Landes : 13 nageurs et sauveteurs hélitreuillés lundi en l'espace d'une heure

Emportés, au large, par les courants, et ramenés, à terre, par la voie des airs via un hélicoptère. Ce lundi après-midi, sur les plage de Labenne et de Soustons, cinq baigneurs en détresse, épaulés par huit maîtres nageurs sauveteurs (MNS), ont été secourus par l'hélicoptère bleu du Détachement aérien de gendarmerie de Bayonne, basé sur l'aéroport de Biarritz.
Vers 16h30, à Labenne, un Allemand de 41 ans et sa fille de 11 ans, et deux hommes de 25 ans et 37 ans, ont été emportés au large par le courant. Six MNS sont venus à leur rescousse et ont, eux aussi, été, emmenés à 300 mètres du rivage. Ce sont donc 10 personnes que l'hélicoptère de la gendarmerie - nom de code ECU 64 - a ramené sur le sable, en une demi-douzaine de rotation. Personne n'a eu besoin d'être hospitalisé.

Une heure plus tard, à 17h30, à Soustons, c'est un garçonnet de 10 ans qui a été, lui aussi, emporté, à 200 mètres du bord par les courants. Deux MNS sont venus le soutenir, en attendant l'arrivée de l'hélicoptère. Là encore, plus de peur que de mal, puisque le garçon a été rendu à sa famille sans soins médicaux particuliers.
L'hélicoptère ECU 64 couvre tout le département des Pyrénées-Atlantiques mais aussi les Landes. En mer, l'appareil et son équipage peuvent intervenir jusqu'à 20 milles nautiques, soit 36 km, et en montagne, sur tous les reliefs inférieurs à 200 mètres.

http://www.sudouest.fr/2013/07/30/landes-13-nageurs-et-sauveteurs-helitreuilles-ce-lundi-apres-midi-1128316-4018.php

Accident mortel à Pagny : Quatre mois avec sursis

La conductrice, responsable du décès d’un petit garçon de 4 ans, suite à un accident survenu à l’automne dernier à Pagny-sur-Moselle, a été reconnue coupable, hier par le tribunal correctionnel de Nancy.
La quadragénaire avait comparu le 8 juillet dernier pour s’expliquer.
Le drame s’était noué le 13 octobre 2012 sur un parking. Le garçonnet faisait du vélo non loin de son petit frère dans les bras de son papa. Quand la quadragénaire était arrivée sur les lieux avec ses propres enfants à bord de son véhicule. Elle avait entrepris une manœuvre pour garer en marche arrière, son véhicule, une camionnette, en s’appuyant sur la vue partielle offerte par ses rétroviseurs. Elle n’avait alors écrasé le petit garçon. Formée au secourisme, elle a bien essayé de ranimer le petit, en vain.
« Vous rouliez dans un véhicule dangereux, une arme aveugle ! », lui avait reproché Me Niango, avocat des parents brisés de la petite victime.
Le vice-procureur, Jean-Paul Hartmann avait lui aussi estimé qu’une faute d’inattention avait été commise. A tout le moins un défaut manifeste de prudence.
Ce qu’a contesté, Me Julie Sammari, conseil de l’automobiliste. Pour elle, l’accident était imprévisible, l’enfant avait surgi soudainement, sa cliente n’avait pu l’éviter.
Le tribunal a pris le temps de la réflexion et a penché pour la version du parquet. Il a d’ailleurs suivi partiellement ses réquisitions, soit le quantum de la peine : quatre mois de prison avec sursis.
Il n’a en revanche pas prononcé d’amende ni de suspension du permis de conduire.
La conductrice devra aussi indemniser les parents à hauteur de 40.000 €.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/07/30/quatre-mois-avec-sursis

Accidents de quad et de scooters : les blessés toujours dans un état critique

L’état de santé du jeune homme de 23 ans qui a été accidenté dimanche vers 1 h 40 alors qu’il circulait sur un quad, est «stable». Avec un pronostic vital «toujours engagé» selon les médecins. Dimanche, cet habitant du nord de l’agglomération de Toulouse circulait au guidon d’un engin «en règle» selon les vérifications réalisées hier par les policiers de la compagnie de lutte contre l’insécurité routière. Le propriétaire de l’engin à quatre roues, qui était assuré, a été entendu hier dans le cadre de l’enquête. Il avait prêté son engin à un ami pour qu’il l’essaye. Un essai qui a tourné au drame lors d’une collision avenue de Fronton avec une voiture (lire notre édition de lundi). Les policiers recherchent toujours des témoignages pour étayer leur enquête - ils sont joignables au 05 61 12 76 63 ou 05 61 12 74 74. Dimanche le conducteur ne portait pas de casque ce qui a aggravé son traumatisme crânien. Une absence de protection déjà constatée la semaine dernière lors de l’accident d’Empalot. Les deux blessés, qui circulaient sur un scooter, sont toujours hospitalisés. Leur état de santé reste préoccupant et les jours qui viennent seront déterminants dans l’évolution de leur santé qui reste fragile. «Il faut porter un casque et l’attacher, même quand il fait chaud», insiste un policier, motard dans le civil. «Cette protection est indispensable pour tous les conducteurs de deux-roues même si, quand on est jeune, on se croit indestructible.» Un rappel qui pourrait se traduire par des contrôles spécifiques dans les jours qui viennent.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/30/1680778-accidents-quad-scooters-blesses-toujours-etat-critique.html

Cadavres de deux nouveau-nés sur une base aérienne : une femme militaire écrouée

Une femme militaire de 32 ans, a avoué être la mère des deux nouveau-nés dont les cadavres ont été découverts sur le site de la base aérienne 705 à Tours, a été écrouée. L'un des nourrissons était né il y a environ un an, et le second il y a trois ou quatre ans.

Une femme, militaire, de 32 ans a été mise en examen vendredi pour homicides volontaires sur mineurs et placée en détention provisoire. Une information judiciaire avait été ouverte par le parquet de Tours après la découverte mardi 23 juillet de deux corps, présentés comme ceux de probables nouveau-nés, sur le site de la base aérienne 705.

"Les restes des cadavres ont été trouvés près des cuisines de la base", a raconté Philippe Varin, le procureur de la République à Tours. Des membres du personnel de la base aérienne avaient perçu une odeur très particulière qui émanait d'un des casiers qui n'était pas attribué. Dans ce casier, des personnels ont découvert deux sacs en plastique contenant des cadavres en état de décomposition. Une enquête avait été ouverte.
 
Elle passe aux aveux
 "Assez rapidement, il est apparu qu'une des personnels du mess, le restaurant militaire, avait à une époque eu des modifications d'apparence physique assez brutales qui avaient retenu l'attention de son entourage", a déclaré Philippe Varin. Avisée qu'on s'intéressait à elle, la femme de 32 ans s'est présentée à la gendarmerie. "Elle a tout de suite indiqué qu'effectivement elle avait eu deux nouveau-nés qu'elle avait tués, ce sont ses termes", a précisé le procureur. L'autopsie pratiquée a démontré que ce n'étaient pas des jumeaux.
 
Actuellement enceinte de 8 mois
Vraisemblablement, l'un des nourrissons était né il y a environ un an, et le second il y a trois ou quatre ans. Mère d'un enfant de 14 ans, la militaire est actuellement enceinte de 8 mois d'après les médecins qui l'ont examinée. Il s'agit là-aussi d'une grossesse non déclarée. "Elle a été placée en détention provisoire car on pouvait craindre, vu son état de grossesse actuelle très avancé, une récidive et aussi qu'elle tente de mettre fin à ses jours", a dit le procureur, évoquant une femme qui "vit seule" et "semble avoir des problèmes psychologiques".

lundi 29 juillet 2013

Sainte-Sixte: une femme gravement blessée dans un accident de voiture

Cet après-midi, à 15h45, un accident de la route a eu lieu sur la RD1089, à hauteur de Saint-Sixte, au lieu-dit la Fabrique. Touchée à la tête et au thorax, la conductrice a dû être héliportée à l’hôpital Nord.
Cet après-midi, à 15h45, un accident de la route a eu lieu sur la RD1089, à hauteur de Saint-Sixte, au lieu-dit la Fabrique. Une Opel Corsa a percuté un poids lourd arrivant en sens inverse.
La conductrice de la voiture, une femme d'une cinquantaine d'années habitant Sail-sous-Couzan, a été gravement blessée. Touchée à la tête et au thorax, elle a dû être héliportée à l’hôpital Nord.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/07/29/sainte-sixte-une-femme-gravement-blessee-dans-un-accident-de-voiture

Samatan (32) : une voiture prend feu, elle se réfugie sur le toit de sa maison

Dimanche, vers 3 heures du matin à Samatan, un véhicule a pris feu sous le porche d'une maison. Les fumées ont envahi le premier étage de l'habitation, ainsi que le bâtiment de l'ancienne mairie, aujourd'hui ateliers municipaux.
La propriétaire de l'habitation, âgée de 42 ans, s'est réfugiée sur son toit. Incommodée par les fumées, elle a été évacuée par les pompiers vers l'hôpital d'Auch.

http://www.sudouest.fr/2013/07/29/samatan-32-une-voiture-prend-feu-elle-se-refugie-sur-le-toit-de-sa-maison-1127417-2277.php

Tentative d’assassinat à Bar-le-Duc : un suspect écroué

Samedi, en cours de soirée, les deux individus mis en cause dans l’agression sauvage au marteau dont a été victime un homme âgé de 40 ans, jeudi soir à Bar-le-Duc, ont été déférés au parquet de Nancy .
Le premier, 34 ans, a été mis en examen pour tentative d’assassinat. Il s’était livré de lui-même au commissariat de police, vendredi vers 0h30, en état d’ébriété. Comme la loi l’y autorise, ce dernier a sollicité un délai pour préparer sa défense. Dans l’attente du prochain débat contradictoire, qui aura lieu demain après-midi devant le juge d’instruction, il a été placé en détention provisoire.
Un deuxième individu, âgé de 33 ans, a également été mis en examen dans ce dossier d’instruction, pour menaces envers une victime afin de l’inciter à ne pas porter plainte. Mais contrairement aux réquisitions du parquet qui avait requis un mandat de dépôt, le trentenaire, dont le rôle reste assez trouble dans cette histoire, a été remis en liberté.
Une information judiciaire contre X a été ouverte pour tentative d’assassinat. Elle vise le petit frère du suspect incarcéré. Âgé de 28 ans, il est très fortement soupçonné d’avoir participé à la violente agression. Le jeune homme était toujours en fuite hier soir.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/07/29/tentative-d-assassinat-un-suspect-ecroue

Campan : deux blessés dans une collision entre deux voitures

Samedi vers 17 heures, deux voitures sont entrées en collision à l’entrée de Sainte Marie de Campan sur la D935. Sous la violence du choc, la Nissan Juke immatriculée en Espagne qui descendait vers Campan est partie en tête à queue avant de s’immobiliser plusieurs mètres plus loin. Les deux conducteurs blessés ont été évacués au centre hospitalier de Bagnères. À cette heure d’affluence, un petit embouteillage s’est formé.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/29/1680112-campan-deux-blesses-dans-une-collision-entre-deux-voitures.html

Pyrénées : en posant pour une photo, une fillette de 3 ans chute de 6 m

La fillette, originaire de Bilbao, est tombée six mètres en contrebas après avoir basculé en arrière alors qu'elle était assise, aux côtés de sa soeur aînée, sur le rebord du pont, pour que ses parents la prennent en photo. 
Une Espagnole de trois ans a été légèrement blessée dimanche à Saint-Jean-Pied-de-Port (Pyrénées-Atlantiques) après avoir basculé de la rambarde d'un pont sur lequel ses parents l'avaient installée pour la prendre en photo, ont indiqué les gendarmes. La fillette, originaire de Bilbao, est tombée six mètres en contrebas après avoir basculé en arrière alors qu'elle était assise, aux côtés de sa soeur aînée, sur le rebord du pont, selon la même source.
Légèrement blessée au niveau de la tête


Par chance, sa chute a été amortie par un fond d'eau de la rivière située en contrebas, ont précisé les gendarmes. Légèrement blessée au niveau de la tête, elle a été transportée par hélicoptère à l'hôpital de Bayonne. Selon le journal Sud Ouest, elle souffre notamment d'un traumatisme crânien, mais son état est stable. Selon les premières constatations, la fillette a basculé car, en raison de sa petite taille, elle est passée sous la rambarde.

http://www.midilibre.fr/2013/07/28/pyrenees-atlantiques-en-posant-pour-une-photo-une-fillette-de-3-ans-chute-de-6-m,739778.php

dimanche 28 juillet 2013

Accident mortel sur l’A89 : le conducteur de l’autocar n’a «pas pu éviter la collision»

Joint dimanche le responsable de la société de voyages de l’est de la Haute-Loire dont l’un des chauffeurs serait en cause dans l’accident mortel qui s’est produit samedi matin sur l’A89 près de Clermont-Ferrand, confirme que le chauffeur de l'autocar n'a pas pu éviter la collision.
Il affirme également que le conducteur de l’autocar était « en repos depuis quarante-huit heures avant de prendre la route. » Après avoir été soigné pour des blessures légères au centre hospitalier de Clermont-Ferrand le chauffeur est rentré chez lui.
Pour mémoire, surpris par un ralentissement sur l’autoroute, il semble être à l’origine d’une collision avec une voiture qui le précédait, à bord de laquelle se trouvait une famille originaire de la Loire et qui partait en vacances. La mère et sa fille aîné de quinze ans ont perdu la vie dans cet accident dramatique.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/07/28/accident-mortel-sur-l-a89-le-conducteur-de-l-autocar-n-a-pas-pu-eviter-la-collision

Une adolescente de 15 ans et sa mère trouvent la mort dans un accident de la circulation sur l'A89

Samedi matin vers 11h05, le service départemental d'incendie et de secours du Puy-de-Dôme a été alerté d'un accident sur l'A89 au niveau de la commune de Malintrat dans le sens Thiers - Clermont-Ferrand.

Le bilan est de deux morts, une adolescente de 15 ans originaire de la Loire, et sa mère. La femme âgée d'une quarantaine d'années, grièvement blessée au moment de l'intervention des secours, a du être désincarcérée puis conduite au CHU Gabriel-Montpied de Clermont-Ferrand, où elle a succombé à ses blessures dans l'après-midi. Les 3 autres personnes qui se trouvaient à bord de cette même voiture ont été blessées légèrement. Tout comme le conducteur du bus.

Couché à l'extérieur de la chaussée, le bus ne contenait aucun passager, hormis le conducteur. Les 5 personnes qui se trouvaient à l'intérieur de la deuxième voiture impliquée dans l'accident sont indemnes. Le temps de l'intervention des secours, et du nettoyage de la chaussée, l'autoroute A89 a été coupée à la circulation au niveau du kilomètre 402.

Une trentaine de sapeurs-pompiers ont été mobilisés sur cette intervention, ainsi qu'un nombre important de gendarmes compte tenu des nombreux automobilistes présents sur les routes auvergnates durant cette journée classée rouge dans le sens des retours.


http://auvergne.france3.fr/2013/07/27/un-mort-et-un-blesse-grave-dans-un-accident-de-la-circulation-sur-l-a89-294127.html

Spectaculaire incendie de bus dimanche matin à Nice

Il était 9h30 dimanche matin, à l'intersection de l'avenue Désambrois et du boulevard Carabacel à Nice, lorsqu'un bus a subitement pris feu. Aucune victime n'est à déplorer.
Par chance, presque par miracle, personne n'a été blessé. Mais que cet incendie a impressionné par le panache de fumée dégagé en quelques dizaines de secondes...
Il était 9h30 ce dimanche matin, avenue Désambrois à Nice, lorsqu'un bus de la ligne 30 du réseau "Lignes d'Azur" a subitement pris feu.
Sans raison apparente, le moteur s'est enflammé, laissant à peine le temps au conducteur et à ses cinq passagers de s'engouffrer vers la sortie.
Quelques dizaines de secondes plus tard, l'engin cramait littéralement. Les pompiers, sur place quelques instants plus tard, ont pu maîtriser l'incendie rapidement.
L'avenue Désambrois et le boulevard Carabacel ont immédiatement été fermés à la circulation, pour permettre de remorquer la carcasse.

http://www.nicematin.com/nice/photos-spectaculaire-incendie-de-bus-dimanche-matin-a-nice.1369002.html

Monferran-Savès. Deux blessées graves sur la RN 124

Le traditionnel week-end de chassé-croisé entre les juilletistes et les aoûtiens a débuté tragiquement, hier sur les routes du Gers. Tout commence vers 11 h 30. Une automobiliste de 37 ans, accompagnée de deux enfants, circule sur la RN124 en direction de L’Isle-Jourdain. Pour une raison indéterminée, elle mord le bas-côté de la route et se déporte sur la voie d’en face. La manœuvre se termine dans un break blanc, roulant dans le sens Toulouse-Auch. Le choc est terrible. Si les trois occupants du véhicule blanc, un couple et un enfant de 12 ans, sont légèrement blessés, le constat est plus terrible dans la Clio beige. Dépêchés sur les lieux, les secours de Gimont, Samatan et L’Isle-Jourdain retrouvent deux blessés graves dans le second véhicule : la mère de famille ainsi que la fillette âgée de 10 ans. Le deuxième passager, un garçonnet de 4 ans est plus légèrement atteint. Les deux victimes les plus durement touchées ont été héliportées vers l’hôpital de Purpan, à Toulouse. Les quatre autres ont été transportées par ambulance vers ce même centre hospitalier.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/28/1679469-monferran-saves-deux-blessees-graves-sur-la-rn-124.html

Nîmes : la colère gronde chez les habitants d'un immeuble infesté de cafards

Un des immeubles de la résidence du Vaccarès, rue Gaston-Teissier à Nîmes est envahi par des cafards et des moucherons. L'invasion a débuté à la suite du départ inopiné, il y a quelques semaines, pour raisons de santé, d’un locataire du 7e étage de l’entrée numéro 1. 
Le ras-le-bol aura bientôt atteint le point de non-retour dans un des immeubles de la résidence du Vaccarès, rue Gaston-Teissier à Nîmes. Depuis le départ inopiné, il y a quelques semaines, pour raisons de santé, d’un locataire du 7e étage de l’entrée numéro 11, ses voisins immédiats sont envahis par des cafards et des moucherons. Les bestioles proviennent du logement inoccupé, qui n’est pas fermé à clé et serait dans un état de très grande saleté.
"Je n'en peux plus" peste un voisine


Malgré les plaintes des voisins, auprès des proches du locataire hospitalisé et du propriétaire du logement, les cafards continuent de prospérer et gagnent peu à peu les étages du dessus et du dessous. Danièle, qui a acheté l’automne dernier un appartement au 8e étage, est envahie. Il y en a partout jusque dans les placards et dans la boîte où elle range le sucre. "Je n’en peux plus. J’ai déjà fait passer une entreprise de désinfection chez moi mais ça n’a servi à rien, les cafards sont revenus presque tout de suite."
La nuit, la cage d'escalier est couverte
Une autre voisine n’ose quasiment plus sortir de chez elle la nuit car la cage d’escalier est alors couverte de cafards, malgré l’odeur extrêmement agressive, à piquer les yeux, des produits de désinfection dont une autre voisine a badigeonné les parties communes des étages envahis, dans l’espoir de venir à bout du fléau.
Une intervention municipale prévue en... octobre
Ne sachant guère vers qui se tourner, les voisins, qui devraient demander l’aide de la mairie de Nîmes lundi, ont déjà contacté le conseil général mais auraient obtenu, pour toute réponse, qu’il leur faudra attendre le mois d’octobre pour une intervention, le service compétent étant débordé

http://www.midilibre.fr/2013/07/27/un-immeuble-infeste-de-cafards,739407.php

samedi 27 juillet 2013

Une jeune femme percutée par un train de marchandise à Bagnols-sur-Cèze

L'accident a eu lieu alors que se tient, en ce moment à Bagnols, le Garance festival, l'un des plus grands rassemblements reggae d'Europe. Il attire 40.000 à 50.000 festivaliers.

Une enquête est ouverte pour déterminer les raisons de la présence de la jeune femme sur la ligne ferroviaire, au milieu de la nuit. Un endroit interdit au public.

Selon nos confrères de
midilibre.fr, la voie ferrée qui traverse Bagnols, longe le secteur où se situe le "Kingston village", autrement dit, le site temporaire d'hébergement, des campeurs du festival, avant de franchir la Cèze.
Chaque année, des festivaliers s'aventurent dangereusement sur ces voies, pour rejoindre plus "facilement" les scènes musicales situées dans le parc Rimbaud, à quelques encablures de là. Le jour, mais aussi la nuit pour rentrer après les concerts.


http://languedoc-roussillon.france3.fr/2013/07/27/une-jeune-femme-percutee-par-un-train-de-marchandise-bagnols-sur-ceze-294241.html

Paris : interpellé dans le métro, il affirmait détenir une bombe

Un homme de 41 ans a été interpellé,  jeudi 25 juillet, vers 21 heures, à la station de Porte de la Chapelle, dans le XVIIIe arrondissement à Paris.

Le suspect avait été reconnu par des agents de la
. Ces derniers avaient été sensibilisés sur la présence d’un homme vêtu d'une djellaba ayant provoqué un début de panique, dans la même station, le 16 juillet dernier, en criant sur les quais : «descendez tous, j’ai une bombe !» avant de quitter rapidement les lieux
   Le suspect a été placé en garde à vue.

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-interpelle-dans-le-metro-il-affirmait-detenir-une-bombe-27-07-2013-3012177.php

Une fillette de 9 ans sauve un enfant de la noyade à Villecroze

Grâce à l'intervention d'une jeune belge, un enfant de 4 ans qui avait échappé à la vigilance de ses parents a échappé au pire, vendredi dans la piscine d'un camping du Ruou.
L'histoire aurait pu tourner à la tragédie mais a trouvé une issue heureuse, vendredi au camping du Ruou à Villecroze, grâce au courage d'une fillette de 9 ans.
Il est environ 12h30, lorsque Lucas, âgé de quatre ans, quitte la pataugeoire dans laquelle il barbotait pour plonger dans la grande piscine. Selon nos informations, l'enfant aurait échappé quelques secondes à la vigilance de ses parents.
Ne sachant pas nager, le bambin coule à pic sous les yeux d'Alix, une touriste belge âgée de seulement neuf ans. Cette dernière prend alors son souffle et part à la rescousse du bambin au fond de la piscine.
Inconscient à la sortie de l'eau, le garçonnet est immédiatement mis en position latérale de sécurité grâce au réflexe d'un pompier volontaire, lui aussi en vacances.
« Il a recraché l'eau qu'il avait avalée et a rapidement repris ses esprits. Il était choqué et s'est effondré en larmes », confiait un témoin, ce vendredi soir.
« Elle lui a sauvé la vie »
Un gendarme de la brigade de Salernes loue l'acte de bravoure de la jeune « secouriste ». « Je trouve cela héroïque. Elle lui a tout simplement sauvé la vie. On a déjà pris contact avec le maire de Villecroze pour que la fillette reçoive un diplôme d'honneur avant de repartir en Belgique ».
Par mesure de sécurité, Lucas a été transporté vers le centre hospitalier de Draguignan par les pompiers de Salernes pour des examens complémentaires.
Aucune enquête n'a été, pour l'heure, ouverte par la gendarmerie.

http://www.nicematin.com/draguignan/une-fillette-de-9-ans-sauve-un-enfant-de-la-noyade-a-villecroze.1367575.html

Après les crimes de Monze : d'abord, s'occuper des enfants

Pour Alain, le père de Géraldine, cette jeune mère de famille assassinée à Monze (Aude) avec son compagnon par son ancien conjoint, ce qui compte aujourd’hui «c’est l’avenir des enfants».
En ce jour où se déroulent à Douarnenez les obsèques de Loïc et de Géraldine Cariou, le couple tué à Monze dans l’Aude par l’ancien conjoint de Géraldine (lire La Dépêche du 22 au 25 juillet), Alain le père de cette jeune mère de famille, se confie. Il lance un message d’espoir et d’union à tous les membres des familles directement touchées par ce double assassinat programmé dans des conditions d’exécution qui touchent à la barbarie.
Derrière l’horreur, et l’injustice d’un tel événement, c’est la vie que ce père ébranlé met en avant. «Depuis plusieurs jours déjà, depuis l’inimaginable, nous sommes rassemblés, nous les deux familles, pour le bien et le bonheur de nos petits-enfants. Ce qui compte aujourd’hui pour nous, c’est leur reconstruction. Qu’ils puissent reprendre le cours de leur vie. Qu’ils puissent, si cela se peut, retrouver rapidement l’insouciance. Nous allons tout faire pour qu’ils puissent se faire leur propre bonheur» explique-t-il en regardant obstinément devant lui. Alain pointe l’avenir bien au-delà du présent rempli de chagrin et traversé de désespoir, mais qu’il faut gérer, heure par heure. Sur le drame lui-même, il ne veut pas s’étendre. «C’est déjà du passé. C’est tragique. Dans un premier temps. Cela relève de l’impensable. Il nous faut pourtant l’assimiler et surtout repartir vers des éléments positifs de la vie. Depuis plusieurs jours déjà, je tente de recréer de la sérénité» ajoute-t-il. Ainsi, guette-t-il tous les signes positifs qui se manifestent, vante l’extraordinaire accompagnement, la compassion et la sincérité des habitants de Monze dont il avait déjà connu la joie de vivre et l’hospitalité.
ll raconte comment, il a été bouleversé mercredi soir lorsqu’un garçonnet du village est venu dire au revoir à la petite Lou, la fillette du couple épargnée par le tueur. Le garçon lui a confié sa glacière remplie de bonbons et de glaces pour adoucir, un peu, les heures qui suivraient, ce long et douloureux voyage du retour vers la terre natale de Bretagne, ultime étape de la tragédie à Douarnenez pour les obsèques de ses parents qui seront célébrées cet après-midi.
«Sur les raisons profondes de ce qui s’est passé, je cherche encore à me forger ma propre conviction» ajoute-t-il sans vouloir s’étendre sur le profil de l’assassin présumé de Géraldine, Christophe Motta, l’ancien compagnon, de sa fille qu’il avait croisé à plusieurs reprises lorsqu’il partageait encore le quotidien de Géraldine. C’était il y a plus de dix ans.
«Nous cherchons encore la meilleure solution pour assurer l’avenir des enfants mineurs de Loïc et de Géraldine. C’est du ressort de tous les membres de la famille, du conseil de famille qui doit être unanime face au juge des tutelles. Nous devons tomber d’accord. Nous proposons de les accueillir à Douarnenez où Lou se sent bien. Mais il ne sera pas question de rompre définitivement avec Monze où elle compte de nombreux amis» explique encore Alain qui parle à demi-mot de sa fille aujourd’hui disparue. «Elle était généreuse, donnait beaucoup autour d’elle». Mais secrète aussi au point de garder pour elle toute seule les soucis qui pouvaient s’insinuer dans cette vie merveilleuse, les dangers qui semblaient guetter et même menacer sa destinée depuis quelques semaines. Alors qu’avec Loïc, ils préparaient l’une des plus belles fêtes de leur vie commune depuis leur mariage en 2007. Leur double anniversaire de 40 ans pour Géraldine et de 50 ans pour Loïc. Ce devait être le 16 août. Mais la vie s’est arrêtée avant. Brutalement.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/27/1679321-apres-crimes-monze-abord-occuper-enfants.html

Avignon : un incendie brûle trois hectares de pinède à l'hôpital psychiatrique

Les patients du centre hospitalier de Montfavet à Avignon ont dû être évacués en raison d'un incendie qui a détruit trois hectares d'une pinède dans l'enceinte de l'établissement.
Soixante-dix patients du centre hospitalier de Montfavet à Avignon ont dû être évacués en raison d'un incendie qui a détruit trois hectares d'une pinède dans l'enceinte de l'établissement, a-t-on appris vendredi auprès des pompiers. Le feu qui s'était déclaré en dehors de l'enceinte de cet établissement de soins psychiatriques avait rapidement atteint la pinède du CH de Montfavet avant d'être circonscrit, a précisé la même source.
70 patients évacués


Par sécurité, 70 patients de deux bâtiments ont été évacués vers deux autres unités d'accueil du centre qui ont été confinées. Quatre avions bombardiers d'eau ont effectué quatre largages chacun, ont indiqué les secours. Une vingtaine de véhicules et une centaine d'hommes étaient encore mobilisés sur le terrain vendredi vers 18 h pour sécuriser le secteur. Une enquête sur l'origine du sinistre a été confiée à la sécurité publique d'Avignon.

http://www.midilibre.fr/2013/07/26/avignon-un-incendie-brule-trois-hectares-de-pinede-a-l-hopital-psychiatrique,739060.php

vendredi 26 juillet 2013

Cinéma Rosny: Un spectateur maîtrise un homme armé d'un fusil de chasse

L’histoire aurait pu être dramatique. Elle s’est bien terminée grâce à un spectateur attentif, selon leparisien.fr qui relate cette anecdote. Mercredi soir, vers 21h40, Fouad Ben Ahmed s’apprête à retirer trois places pour le  blockbuster «Man of Steel» aux guichets de l’UGC de Rosny 2.
>> Voir le témoignage en vidéo ici
Un homme  entre alors dans le cinéma  armé d’un fusil de chasse. «Il s’est d’abord adressé à une caissière avant de se diriger vers l’intérieur du cinéma», raconte Fouad au quotidien. Ce père de famille de 37 ans indique à cet instant avoir «eu très peur pour [ses] enfants». Aussitôt, il décide de suivre discrètement l’homme avant de le maîtriser grâce à une prise de ju-jitsu brésilien.

http://www.20minutes.fr/politique/1193005-20130726-rosny-spectateur-maitrise-homme-arme-fusil-chasse

Voiture contre scooter : un blessé grave

Un scooter et un véhicule sont entrés en collision hier soir vers 21 h 15 route des Romains à Strasbourg, dans le quartier de Koenigshoffen.
A l’arrivée des secours, le conducteur du scooter, âgé d’une vingtaine d’années, était en arrêt cardio-respiratoire.
Réanimée sur les lieux de l’accident, la victime a été conduite au CHU de Hautepierre.

http://www.dna.fr/actualite/2013/07/26/voiture-contre-scooter-un-blesse-grave

Vols : mauvais «trip» au marché Victor-Hugo

L’histoire prêterait à rire si elle n’avait pas handicapé, pendant plusieurs mois, Nathalie Labat, une commerçante du marché Victor-Hugo. Son voisin de loge, qui tient la triperie Barot, des Tripiers toulousains, a été interpellé, hier matin. Il est soupçonné de s’être, pendant plusieurs mois, servi dans le frigo de sa voisine, elle aussi tripière.
«Il arrive très tôt, à quatre heures du matin, souligne la commerçante. Comme il était tout seul, il allait se servir chez nous.» Pendant de longues semaines, la tripière remarque que ses produits disparaissent ou sont remplacés par de la viande visiblement moins fraîche que celle qu’elle stocke dans ses réfrigérateurs. «J’ai prévenu les services de police. Ils m’ont prise au sérieux. Ils ont mené leur enquête et la BAC l’a enfin interpellé ce matin (N.D.L.R., hier matin).» Et le voleur ne serait autre que son voisin immédiat, tripier lui aussi, installé juste derrière la loge de la victime. «On avait des rapports de commerçant à commerçant, relate Nathalie Labat. Il n’y a jamais eu de souci entre nous. Il prenait même des nouvelles de ma petite fille malade !»
Selon la victime, les vols duraient depuis de longs mois. Peut-être deux ans. «Je ne dormais plus depuis de longues nuits. Grâce à cette arrestation, je suis vraiment soulagée.» Rassurée mais épuisée, Nathalie Labat aspire désormais à exercer sereinement son métier dans l’ambiance traditionnellement conviviale de Victor-Hugo.
Le suspect, un commerçant de 53 ans, a été conduit par les policiers au commissariat central, boulevard de l’Embouchure, où il a été entendu par les enquêteurs. On ignorait, hier, le préjudice total subit par la commerçante.
La nouvelle de l’arrestation d’une des figures de Victor-Hugo a vite fait le tour du marché ce jeudi. «Comment peut-on faire ça à un autre commerçant ? s’interrogeait le responsable d’une loge. C’est incroyable.» D’autres se demandaient : «Ce n’est pas possible, il ne va pas pouvoir continuer de vendre ici ? !»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/26/1678598-vols-mauvais-trip-au-marche-victor-hugo.html

Hautes-Pyrénées : la police maîtrise un forcené lourdement armé

Le groupe d'intervention de la police nationale a arrêté mercredi soir un forcené lourdement armé au terme d'un face à face tendu de plus de six heures à Ibos, non loin de Tarbes dans les Hautes-Pyrénées.

Le groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) a arrêté mercredi soir un forcené lourdement armé au terme d'un face à face tendu de plus de six heures à Ibos, non loin de Tarbes dans les Hautes-Pyrénées, a-t-on appris jeudi de sources policière et judiciaire. L'homme, âgé de 50 ans, sans emploi, s'était retranché à son domicile, un ancien hôtel reconverti en meublé, et menaçait d'en découdre avec les policiers, selon les mêmes sources.
Il tire un coup de fusil sur un policier


Après une très longue négociation, qui a impliqué des proches du forcené, ce dernier, très agité, a accepté d'ouvrir sa porte : il a été neutralisé avec un pistolet à impulsion électrique, non sans tirer un coup de feu avec un fusil de chasse en direction d'un policier qui n'a été que très légèrement blessé.
Un arsenal impressionnant
Les policiers des Hautes-Pyrénées et leurs collègues du GIPN ont alors découvert un arsenal impressionnant : fusil à pompe, fusil de chasse, engins explosifs artisanaux, produits chimiques, cartouches de gaz, pétards, munitions de chasse et de guerre, pistolets automatiques, a énuméré le procureur de la République à Tarbes, Chantal Firmigier-Michel, lors d'un point de presse. Le forcené avait tenté de former des barricades avec des meubles tandis que les murs du logement étaient couverts de slogans hostiles aux forces de l'ordre, a-t-elle ajouté.
Hospitalisé en psychiatrie
L'enquête qui débute devra tenter de déterminer comment le forcené a pu se procurer les armes. L'homme a été immédiatement hospitalisé d'office à Mont-de-Marsan. Le forcené, qui a déjà connu par le passé "des épisodes" ayant nécessité son hospitalisation en psychiatrie, se trouve en "situation de détresse familiale", a ajouté le procureur. Il doit faire l'objet d'une évaluation psychiatrique et ne sera entendu que s'il est considéré comme pénalement responsable de ses actes.

http://www.midilibre.fr/2013/07/25/hautes-pyrenees-la-police-maitrise-un-forcene-lourdement-arme,738596.php

jeudi 25 juillet 2013

Retour sur l'affaire Pauline Lafont

L'affaire Pauline Lafont, fille de Bernadette Lafont décédée ce jeudi à 74 ans, éclate durant l'été 1988 et tient la France en haleine trois mois durant, jusqu'à la découverte dans les Cévennes du corps de la jeune actrice, en réalité victime d'un accident. Le corps est retrouvé par hasard le 21 novembre au pied d'une falaise à Gabriac (Lozère) par un agriculteur venu couper du bois. Le site, très isolé, n'est qu'à 4 km de La Serre du Pomaret, la demeure familiale à Saint-André-de-Valborgne (Gard) d'où Pauline, 25 ans, était partie se promener trois mois auparavant et où elle sera inhumée. 
Encore revêtu d'un survêtement, son corps porte une fracture à chaque fémur, vraisemblablement après une chute dans un à-pic brousailleux de dix mètres difficilement visible pour un promeneur. Une bague aidera à l'identifier. La blonde actrice a disparu le 11 août. "C'est l'angoisse totale", déclare le 14 à l'AFP Bernadette Lafont: "Peu avant que je me lève, Pauline est partie se balader dans les Cévennes, comme ça, sans rien emporter (... ). Elle a dit 'Je vais me balader', et voilà."  

"Bonsoir maman"

"La dernière fois que je l'ai vue, c'était la veille de son départ. Elle est venue m'embrasser dans ma chambre avec un merveilleux sourire en me disant: 'Bonsoir Maman'", ajoute-t-elle après des "ragots dégoûtants" à propos d'une dispute familiale. Rumeurs et hypothèses prospèrent alors que 300 hommes, des chiens, et même des radiesthésistes avec leur pendule, explorent la garrigue. En septembre, un hélicoptère avec caméra infra-rouge balaye la région. En vain.Les gendarmes penchent pour l'hypothèse d'une fugue et entendent une centaine de personnes après une plainte contre X déposée par le frère de Pauline pour "arrestation arbitraire et séquestration". 
Des témoignages dressent le portrait d'une jeune femme angoissée à un tournant de sa carrière, minée par une récente rupture amoureuse et une cure d'amaigrissement peu concluante. On en oublie les projets et la joie de vivre de l'héroïne de L'Eté en pente douce de Gérard Krawczyk (1987), qui venait de découvrir le taoïsme lors d'un voyage en Chine. "Pauline désirait prendre du recul. Elle sortira de sa cachette dans quelques semaines", assure un interlocuteur anonyme à plusieurs rédactions. Le présentateur vedette de La Cinq Guillaume Durand affirme savoir avec certitude où se cache l'actrice. Un hebdomadaire de potins rapporte que Pauline est dans un couvent. Bernadette Lafont s'accroche, ira jusqu'à Lausanne où sa fille doit inaugurer une discothèque le 1er septembre avec le fol espoir qu'elle honore son contrat.
En savoir plus sur
http://www.lexpress.fr/culture/cinema/retour-sur-l-affaire-pauline-laffont_1269249.html#0UeZDK3WeeIYzyua.99
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Oléron : le commerçant giflé par un adjoint au maire ne décolère pas

L’affaire du coup de poing entre un commerçant et un adjoint de Saint-Pierre-d’Oléron tourne au vinaigre.
Un mois après avoir été frappé par Benoit Guitton, adjoint en charge du développement économique et propriétaire de plusieurs boutiques dans la rue principale, Jean-Michel Cotonec, patron du café-brasserie Le commerce dans le centre-ville depuis dix ans, attend toujours une réaction de la mairie. Dans un courrier adressé au lendemain de l’altercation, il accuse l’adjoint « de se croire au dess us des lois » et demande au maire Pa trick Moquay de prendre des sanctions. « Le comportement de M. Guitton salit l’ensemble de la municipalité et votre action », écrit le patron du bistrot. Depuis, sa lettre est restée sans réponse.

Contentieux
Ce lundi 10 juin, à l’heure du café, Benoit Guitton propriétaire du magasin Banana Moon, voisin du Commerce, frappe d’un coup de poing au visage Jean-Michel Cotonec.
Lequel venait de réclamer une bâche de protection aux artisans qui nettoyaient la façade du magasin de Benoit Guitton.
Mais ce dernier n’avait pas apprécié d’être pris en photos par Cotonec (1). Sans avoir dialogué, les deux hommes en étaient venus aux mains. Devant plusieurs témoins, Guitton avait cogné le premier. Cotonec lui avait rendu son geste. Ce qui pourrait passer pour un incident de cour d’école ne l’est pas vraiment. Un contentieux court entre les deux hommes depuis de nombreuses années.
Le patron du Commerce ne compte plus les fois où il a vu débarquer la police municipale, venue lui sommer de baisser le son à l’intérieur de son établissement. L’an passé, le patron du Commerce s’est mis en conformité en installant un limitateur de pression. Mais cela n’a visiblement pas suffi.
Quelques jours après, le patron du commerce s’est en effet vu refuser l’installation de deux guitaristes qu’il fait pourtant venir depuis dix ans, deux semaines en août. Du jazz manouche à l’heure de l’apéro. Plutôt tranquille, mais pas encore assez au goût de certains. Dans un nouveau courrier adressé à la mairie, Cotonec parle cette fois « d’acharnement sur Le commerce. » Le coup de poing est le coup de trop. « Me faire taper sur la gueule, ça commence à bien faire ! Ce monsieur oublie ses responsabilités d’élu et d’officier de police. Il est un élu du peuple et cumule plusieurs mandats. Je ne considère pas ça comme un petit faits divers anodin. C’est de l’abus de pouvoir ! » ne décolère pas Jean-Michel Cotonec, qui n’est pas du genre à se laisser impressionner. Reste une interrogation : pourquoi la mairie reste -t-elle si silencieuse ? Le maire Patrick Moquay que nous avons cherché à joindre se refuse apparemment à tout commentaire. Benoit Guitton aurait même proposé sa démission qui aurait été refusée. Jean-Michel Cotonec a l’intention d’écrire à la Préfecture.

http://www.sudouest.fr/2013/07/25/le-commercant-gifle-ne-decolere-pas-1123899-4628.php

Incendie en pleine nuit au centre hospitalier spécialisé de Sarreguemines

Vingt-six patients se trouvaient dans le pavillon "les glycines" au moment où l’incendie s’est déclaré, vers 23 h 15. Si les dégâts matériels sont importants dans le bâtiment, le bilan humain est limité à neuf personnes incommodées par la fumée.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/07/25/incendie-en-pleine-nuit-au-centre-hospitalier-specialise-de-sarreguemines

L'Isle-Bouzon. Un touriste se tue en faisant du deltaplane

La base ULM de L’Isle-Bouzon a connu un mercredi noir. Alors que la journée démarrait sous un temps relativement calme, un homme a perdu la vie en voulant décoller en deltaplane, sur les coups de 11 heures. Arrivé quelques minutes auparavant en compagnie d’une dizaine d’autres personnes, l’estivant, âgé de 30 ans, s’est élancé de la butte. Mais, pour une raison indéterminée, l’appareil n’a pas décollé et a piqué une chute de 10 mètres, avant de s’écraser contre le sol. Le krach a été fatal pour le jeune homme. Malgré les soins prodigués par les pompiers de Saint-Clar et de Fleurance, celui-ci n’a pas survécu au choc. Présents sur place, les gendarmes de Fleurance et les techniciens en identification criminelle ont cherché à percer les causes de l’accident. Selon les premiers éléments recueillis, une défaillance serait intervenue au niveau du treuil. Conçu spécialement pour le décollage en plaine, l’élément aurait eu un raté et pourrait être à l’origine de la chute mortelle. Sous le choc, Jean-Claude Aynié, propriétaire de la base ULM de L’Isle-Bouzon, n’en revenait toujours pas, hier soir. «C’est la première fois qu’un accident de la sorte se produit sur le site», confie-t-il, tout en rappelant que les accidents de cette nature sont extrêmement rares. Habitué à prêter son terrain à des écoles de deltaplane, il avait accepté la demande faite par le groupe de moniteurs venus tout droit des Pyrénées. Quant au touriste décédé, ce dernier, originaire de la région parisienne, était venu prendre quelques jours de congés dans le département et résidait au camping de Saint-Clar, à quelques kilomètres du lieu de l’accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/25/1677835-isle-bouzon-touriste-tue-faisant-deltaplane.html

Saint-Jean-de-Védas : quatre malfaiteurs braquent la bijouterie

Ils ont abandonné à proximité du supermarché Carrefour leur voiture, un pneu crevé.
La bijouterie Histoire d'Or, située à l'intérieur de la galerie marchande de Carrefour à Saint-Jean-de-Védas, a été la cible ce matin d'un braquage, commis par trois ou quatre individus. Vers 10 h 15, trois malfaiteurs cagoulés ont fait irruption dans le magasin, en brandissant un fusil à pompe. Ils ont contraint les deux employés et les quatre clients présents à se coucher au sol, et ont successivement brisé sept vitrines.
"On se demande si on va se prendre une balle"


"Ils ont ciblé l'or" raconte un témoin de la scène, qui s'est trouvé ainsi pris en otage. "On a trouvé ça super long, même si on se doute que ça n'a pas duré longtemps. On a peur, plus pour les autres que pour soit, d'ailleurs. On se demande si on va se prendre une balle, on se dit : "Ils partent quand ? " Et puis après, on est vidés."
L'un des braqueurs s'est blessé 
L'un des malfaiteurs s'est blessé en cassant l'une des vitrines avec un marteau, et a laissé du sang sur place. Ils ont ensuite pris la fuite avec une voiture, une 508 volée le 21 juillet, lors d'un homejacking à Saint-Georges-d'Orques, près de Montpellier. Mais ils ne sont pas allés loin : au cours de leur fuite à vive allure, ils ont dû percuter un obstacle, et ont crevé leur pneu avant droit. Ils ont abandonné leur véhicule chemin du Rieu Coulon, en laissant à l'intérieur le fusil à pompe et des bijoux.
Tout le secteur a été rapidement bloqué par les gendarmes, qui ont mis des barrages sur tous les axes routiers, et envoyé un hélicoptère survolé le quartier.
Le précédent hold up avait échoué
Les policiers du Service régional de police judiciaire ont été chargés de l'enquête. Les techniciens de l'Identité judiciaire effectuent des prélèvements d'indices dans la bijouterie et et sur le véhicule, tandis que l'enquête menée par la brigade criminelle débute, avec l'audition des témoins et l'examen  des cameras de vidéo surveillance.
Cette bijouterie, qui a connu différentes enseignes commerciales, est régulièrement la cible de braquages. Le dernier,  en juillet 2011, avait échoué, les trois malfaiteurs, venus de la région marseillaise, ayant été successivement arrêtés par les gendarmes. 

http://www.midilibre.fr/2013/07/24/saint-jean-de-vedas-quatre-malfaiteurs-braquent-la-bijouterie-histoire-d-or,737992.php

mercredi 24 juillet 2013

Fêtes de la Madeleine : le rugbyman Brice Dulin se fait fracturer la mâchoire dans une altercation

Brice Dulin était samedi à Mont-de-Marsan en compagnie de ses partenaires landais, champions de France de rugby avec Castres, Romain Cabannes et Rémy Talès, pour présenter le bouclier de Brennus au public montois. À midi, avec d’autres joueurs du Castres Olympique, ils étaient ensemble à proximité des arènes pour cette réception.
L’arrière du CO est resté la journée et la soirée pour participer aux fêtes de la Madeleine. D’après plusieurs témoignages, à la suite d’un dîner où ils étaient invités, certains joueurs sont allés se coucher, Brice Dulin a souhaité prolonger les festivités. Et c’est dans la nuit qu’il s’est retrouvé pris dans une altercation, pour une raison qui reste à déterminer.

Bilan : l’arrière international, qui faisait partie de l’équipe de France en tournée en Nouvelle-Zélande début juin, souffre d’une fracture de la mâchoire qui le rend indisponible pour un ou deux mois. Ses proches ont appris la nouvelle le dimanche, après son retour chez lui à Agen, dans le Lot-et-Garonne.
Le joueur professionnel n’a pas pu participer lundi au rassemblement de l’équipe championne de France pour le stage entamé à Falgos (Pyrénées-Atlantiques).
Il devrait manquer les deux premiers matches de Top 14 face à Perpignan et Grenoble, au mois d’août.
Le manager de Castres Mathias Rolland indiquait hier que « Brice Dulin envisage de porter plainte contre ses agresseurs ».
http://www.sudouest.fr/2013/07/24/triste-soiree-pour-brice-dulin-1122780-3452.php

Déchaînement de violences dans les rues de Nantes et tentative d’homicide

La nuit de lundi à mardi a été agitée, dans le centre-ville de Nantes et dans les quartiers.
Rue du Maréchal-Joffre, vers 0 h 30, les policiers nantais ont été appelés pour une rixe. Quand ils sont arrivés, ils ont découvert une Peugeot 406 saccagée. Plusieurs personnes s’étaient réfugiées dans un bar, évoquant des violences, commises par les occupants de la 406, introuvables. À proximité, le conducteur d’une Megane bleue et son passager sont contrôlés.
Violences au CHU
Quelques dizaines de minutes plus tard, quelques rues plus loin, une voiture identique surgit. Deux jeunes gens en sortent et rouent de coups un homme, allant jusqu’à le frapper avec un cric de voiture, sous les yeux d’un témoin à proximité de l’Hôtel de ville, rue de la Commune. « Un vrai déchaînement de violence », affirme une source policière. Une enquête pourrait être ouverte pour tentative d’homicide.
Dernier acte, au CHU. La même Megane bleue fonce en direction d’un piéton, sur la rampe d’accès aux urgences du CHU. Il est soupçonné d’avoir participé à des violences commises un peu plus tôt dans la nuit, rue du Maréchal-Joffre. Le piéton se retrouve sur le capot du véhicule et un policier, appelé en urgence sur les lieux, interpelle le conducteur. Ce dernier est placé en garde à vue pour tentative d’homicide. Le piéton, lui, est également interpellé pour les violences de la rue Joffre.
Pourquoi ?
On ignore encore ce qui a déclenché ce déferlement de violences. Il pourrait s’agir d’une querelle opposant des jeunes de différents quartiers sensibles de Nantes, dont Bellevue et Malakoff. L’histoire, qui intervient dans un contexte de tension dans les quartiers, reste nébuleuse. L’enquête confiée à la Sûreté départementale permettra peut-être d’y voir plus clair.
 

Accident de scooter à Empalot : deux garçons entre la vie et la mort, un appel à témoins

Un violent accident s’est produit lundi soir à Toulouse. Deux jeunes hommes qui circulaient sur un scooter ont été grièvement blessés. Le conducteur de la voiture a été violemment pris à partie.
Un Renault Scénic qui sort du quartier d’Empalot, à Toulouse par la rue de Toulon. Au même moment, un puissant Yamah TMax progresse avenue du Maréchal de-Lattre-de-Tassigny vers le centre-ville. Au croisement, le choc, violent. Le conducteur et le passager du scooter chutent et restent inconscients. Le conducteur du véhicule sort, affolé. Des témoins alertent les secours à 20 h 42.
Très vite, un attroupement se forme. Le chauffeur est pris à partie. Des jeunes habitants du quartier l’accusent d’être responsable du drame. Il prend des coups, multiples, avant de parvenir à se réfugier à l’abri. L’arrivée de la police, venue sur place avec beaucoup d’effectifs a ramené le calme, permettant aux secours, pompiers et équipes médicales du Smur 31 de porter les premiers soins. Le plus important.

Qui a grillé le feu rouge ?

Parce que les deux hommes à terre, âgés de 20 et 26 ans sont grièvement blessés. Selon les premières constatations, tous les deux ne portaient pas de casque ce qui a aggravé les traumatismes crâniens dont ils ont été victimes. Le plus jeune, admis à l’hôpital Rangueil, souffre également de blessures importantes aux membres inférieurs. Peut-être se trouvait-il au guidon du TMax ? Hier les policiers restaient prudents sur le rôle de chacun faute d’indication précise. Et les médecins se montraient hier très réservés sur l’évolution de son état de santé. Déjà en septembre 2012, le frère de ce garçon a trouvé la mort dans les rues d’Empalot après avoir perdu le contrôle d’un quad. L’autre garçon qui se trouvait sur le deux-roues a également été hospitalisé mais à Purpan. Lui aussi son pronostic vital était engagé. Le conducteur du monospace a lui été évacué aux urgences mais pour soigner les conséquences des coups reçus après l’accident…
Une enquête est ouverte notamment pour déterminer quel véhicule n’a pas respecté le feu rouge, au croisement de l’avenue et de la rue. Le chauffeur affirme être passé au vert. Les policiers cherchent à le vérifier.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/24/1677212-accident-aempalot-deux-garcons-entre-la-vie-et-la-mort.html

Brive : des habitants et des militaires en garde à vue après une violente altercation

Une altercation entre des militaires du 126ème Régiment d'infanterie de Brive et des habitants du quartier des Chapélies a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi.

Plusieurs civils et militaires étaient en garde à vue mardi en raison de violences "réciproques" survenues à Brive-la-Gaillarde, dans la nuit du 16 au 17 juillet. Le parquet de Brive n'a pas démenti que des gardes à vue étaient en cours dans cette affaire, précisant simplement qu'une communication sur ce dossier interviendrait mercredi matin. "L'altercation" a impliqué un nombre non déterminé de militaires du 126ème Régiment d'infanterie de Brive et des habitants du quartier populaire des Chapélies.

Les échauffourées ont commencé entre 23h30 et minuit pour s'achever vers 02h30 du matin mercredi 17 juillet. Des jets de pierre ont eu lieu et des voitures et un engin de chantier ont été endommagés. L'origine de cette altercation serait l'intrusion la veille, d'un groupe de personnes du quartier dans la piscine d'une résidence privée voisine des Chapélies. Elle aurait alors dégénéré et un militaire du 126ème RI, présent sur place, aurait alors été malmené. Le lendemain soir, des camarades du régiment seraient revenus dans le quartier pour "régler leurs comptes".
"Calmer les esprits des deux côtés"
Depuis ces incidents, deux médiateurs de la mairie sont dans le quartier jusqu'à 3 heures du matin chaque soir. "On fait confiance à la justice", explique une source municipale, tout en soulignant qu'il s'agit d''une enquête délicate", avec "des tensions fortes entre les deux côtés" depuis les incidents. Le souci de la municipalité est de "calmer les esprits des deux côtés" et de "ne pas stigmatiser" en "montant une communauté contre une autre".
Des CRS ont été déployés samedi soir dans ce quartier en pleine rénovation urbaine et une compagnie devrait également l'être mardi soir, en raison de festivités qui se tiennent à Brive. Le Service d'information des armées (Sirpa) interrogé, a indiqué qu'une enquête judiciaire était en cours sur cette affaire et attendre ses conclusions. Le 126ème régiment d'infanterie est spécialiste du combat rapproché en milieu urbain. Des fantassins de ce régiment ont notamment été déployés au Mali au début de l'année dans le cadre de l'opération Serval.
 

mardi 23 juillet 2013

Un retraité mort d'une chute accidentelle ?

Hier, en fin de matinée, Michel Gueston, père de quatre enfants et veuf depuis cinq ans, a été retrouvé sans vie chez lui au 48 rue de l'Industrie. Une autopsie a lieu aujourd'hui pour connaître les véritables motifs de sa mort, même si l'on se dirige selon toute vraisemblance sur une chute dans son escalier. Une enquête a été ouverte.
Sa fille, qui a essayé en vain de joindre son père au téléphone la veille, s'est alarmée à juste raison. Lundi matin, elle a avisé les pompiers et ce sont ceux de la caserne du village qui ont fait la macabre découverte en entrant dans l'habitation. Son corps gisait en bas des marches menant à l'étage.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Bohain sont venus constater le décès avec le concours de la police scientifique criminelle de Laon. Michel Gueston connaissait des soucis de santé. Il avait déjà été hospitalisé pour être tombé de son escalier.


http://www.aisnenouvelle.fr/article/actualites/un-retraite-mort-dune-chute-accidentelle

Embardée à Montoy-Flanville : maman et bébé en observation

Une mère de famille et son nourrisson de deux semaines ont été touchés, hier en début d’après-midi, dans un accident de la circulation. Une sortie de route impressionnante aux conséquences physiques néanmoins minimes pour les deux victimes.
La voiture noire circulait sur la D603, en direction de Courcelles-Chaussy. Quelques dizaines de mètres après le croisement menant à Montoy-Flanville, la conductrice a mordu le bas-côté. Et perdu le contrôle d’un véhicule que les secours ont retrouvé une centaine de mètres plus loin. Il a fait un tête-à-queue, peut-être un tonneau, avant de s’immobiliser dans le talus. Heureusement que des arbres sont là pour que l’amas de tôle ne tombe plus bas.
La voiture a été désossée pour sortir les victimes. Protégé par son siège spécial, le bébé a été bien secoué mais les pompiers n’ont remarqué aucune trace de blessure. L’adulte souffrirait, elle, d’un bras cassé. Très choquée, elle a été transportée à l’hôpital ainsi que le bébé.
D’après l’enquête de gendarmerie, la conductrice aurait mordu le bas-côté au moment où elle croisait un camion sorti de sa voie de circulation. Elle aurait cherché à l’éviter.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/07/23/embardee-maman-et-bebe-en-observation

Montpellier : des fonds pour sauver Loocyan, atteint d'une leucémie

Sa grand-mère a créé une association à Montpellier afin que le garçonnet atteint d'une leucémie puisse être soigner aux Etats-Unis. Loocyan n'a plus que trois à six mois à vivre...
Le temps est compté pour Loocyan, un garçonnet de deux ans et demi, atteint d’une leucémie. Né en décembre 2011, ce petit bout a passé dix mois dans le service pédiatrie cancérologie de l’hôpital Debré, à Paris, où il a subi plusieurs chimiothérapies et deux greffes de moelle osseuse... sans grand succès.
Une opération dans un hôpital à Philadelphie


Malheureusement, sa famille est confrontée aujourd’hui à un nouveau drame : le manque d’argent qui pourrait permettre à Loocyan de suivre un nouveau traitement mis au point par le Pr Carl June, au sein du Children’s hospital de Philadelphie. "Pour cet hôpital, il faut que la famille soit solvable avant l’admission de Loocyan", explique sa grand-mère. "Nous avons tous estimé ce que nous pouvions offrir ou ce que nous pouvions vendre mais cela n’est pas assez ! "
Résultat, la grand-mère du garçonnet vient de créer à Montpellier une association SOS Loocyan afin de rassembler les fonds nécessaires pour engager des soins. "Notre principal objectif est de payer ses soins à Philadelphie. L’argent qui ne servirait pas directement à ses soins sera reversé à la recherche contre le cancer chez les enfants."
Déjà 150 dons récoltés
Aujourd’hui, un peu plus de 150 dons ont été effectués pour une somme globale d’environ 6 500 euros."Nous sommes encore loin du compte sachant qu’il faudra plusieurs centaines de milliers de dollars". Début mai, les médecins estimaient qu’il restait à Loocyan entre dix et trente semaines à vivre...
Le site : www.babyloo.org. L'association : 07 81 918 998 ou contact@babyloo.org

http://www.midilibre.fr/2013/07/22/montpellier-des-fonds-pour-sauver-loocyan,737341.php

Stains : un automobiliste ivre et sans permis fauche quatre piétons

Quatre personnes ont été blessées, ce lundi soir, vers 20 h 30, avenue François-Bégué à Stains (Seine-Saint-Denis), après avoir été fauchées par la voiture d’un automobiliste. Ce dernier a été rapidement interpellé. Trois victimes souffrent de blessures légères, tandis que la quatrième a été plus sérieusement touchée. 
Elle souffre de plusieurs fractures mais son pronostic ne semble pas engagé.

Le conducteur, qui ne possède pas de permis de conduire, a été soumis à un dépistage d’alcoolémie qui s’est révélé positif. Il avait pris le volant avec 1,8g d’alcool dans le sang. Il a été placé en cellule de dégrisement. Les victimes ont été hospitalisées.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/stains-un-automobiliste-ivre-et-sans-permis-fauche-quatre-pietons-22-07-2013-3000245.php

Mediator : un ex-chercheur de Servier mis en examen pour "corruption"

Un ancien chercheur de Servier, le Pr Jean Charpentier, pharmacien expert ayant participé à la demande de mise sur le marché du Mediator, a été mis en examen mi-juillet notamment pour "corruption" , a-t-on appris lundi de source judiciaire, confirmant une information du Monde. Trois médecins, anciens membres de la commission d'autorisation de mise sur le marché (AMM), ont été mis en examen pour "prise illégale d'intérêt" et un autre, également ex-membre de la commission d'AMM, pour "participation illégale d'un fonctionnaire dans une entreprise précédemment contrôlée", a précisé cette source.
Il avait assuré que les caractéristiques anorexigènes du Mediator avaient été gommées


Expert pharmacologique, agréé par le ministère de la Santé, le Dr Charpentier avait participé à la rédaction de la demande de mise sur le marché du Mediator, datée du 29 novembre 1973. Il avait été interrogé comme témoin en 2011 dans la cadre de l'information judiciaire pour "tromperie aggravée" ouverte à Paris sur le Médiator. A cette occasion, il avait assuré aux juges que les caractéristiques anorexigènes du Mediator avaient été gommées, pour en faire un antidiabétique, afin de faciliter l'obtention de son autorisation de mise sur le marché.
Risques cardiaques
Destiné aux diabétiques en surpoids, mais largement prescrit comme coupe-faim, le Mediator, commercialisé en 1976, a été suspendu en novembre 2009 et définitivement retiré du marché en juillet 2010 en raison des risques cardiaques encourus par les patients. Consultant chez Servier depuis 1965, M. Charpentier avait été payé jusqu'en 1995, alors que de ses propres aveux aux enquêteurs, il ne "faisait pratiquement plus rien pour eux depuis 1978-1989", selon son PV de 2011 dévoilé par Libération.
Les juges parisiens l'ont mis en examen pour "corruption" et également "complicité de tromperie" et "complicité d'obtention indue d'autorisation".

http://www.midilibre.fr/2013/07/22/mediator-un-ex-chercheur-de-servier-mis-en-examen-pour-corruption,737356.php

lundi 22 juillet 2013

Marseille:un homme blessé à la Kalachnikov

Un homme d'une quarantaine d'années a été grièvement blessé à la Kalachnikov ce soir alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture dans les quartiers sud de Marseille, ont indiqué des sources proches de l'enquête.  Il a été pris pour cible par deux tireurs qui se trouvaient sur un scooter sans plaque d'immatriculation, dans le 10e arrondissement, selon une de ces sources.

Onze marins-pompiers et quatre véhicules ont été dépêchés sur les lieux, a précisé un porte-parole du bataillon. La victime, touchée au thorax, a été transportée en ambulance à l'hôpital Nord, escorté par les policiers.

L'adjointe au maire chargée de la Sécurité, Caroline Pozmentier, a dénoncé "un nouveau drame qui illustre une spirale dramatique".


 Dix homicides par arme à feu, selon un mode opératoire similaire, ont été perpétrés dans la ville et sa région depuis début 2013 après une année 2012 particulièrement sanglante (24 règlements de comptes mortels recensés dans les Bouches-du-Rhône).
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/22/97001-20130722FILWWW00474-marseilleun-homme-blesse-a-la-kalachnikov.php

Gan (64) : le père de famille disparu s'est signalé à la gendarmerie

Signalé disparu par son ex-femme vendredi 19 juillet, Yves Le Henaff s'est rendu de lui-même à la gendarmerie de Gan, où il réside, ce matin, peu content d'avoir trouvé son avis de disparition dans la presse quotidienne.
Ce quadragénaire  a expliqué avoir eu besoin de faire un break, de partir réfléchir en montagne, d'après ses déclarations, relayées par le parquet de Pau.

Le père de famille était toutefois parti de chez lui en laissant ses effets personnels : carte bancaire, porte monnaie, papiers d’identité et double des clés.
Un appel à témoin avait été diffusé dès samedi

http://www.sudouest.fr/2013/07/22/gan-le-pere-de-famille-disparu-s-est-signale-a-la-gendarmerie-1121512-4344.php

Pour se sortir du pétrin, ils mentent à la police

Une femme, qui avait simulé une agression violente, et un homme, qui prétendait avoir été victime d’un car-jacking, viennent d’être confondus par la police. Ils avaient menti pour cacher leurs erreurs.
Deux personnes viennent d’être prises en flagrant délit de mensonges par les policiers de la sûreté départementale alors qu’elles avaient dénoncé des agressions imaginaires. Vendredi 12 juillet, une femme a appelé la police. Elle a expliqué que, vers 8 heures du matin, des hommes encagoulés, gantés et munis d’une arme de poing s’étaient introduits dans son domicile toulousain. Selon elle, ils l’avaient violentée, avaient fouillé son domicile et déchiré des papiers dont la copie d’une plainte.
Et de poursuivre son récit en narrant que ses agresseurs l’avaient obligée à avaler un comprimé. Résultat, elle s’était endormie pour ne se réveiller qu’aux environs de midi et demi. Constatations au domicile, audition de la victime… les enquêteurs n’ont pas mis de temps avant de s’apercevoir que l’agression était inventée de toutes pièces. Les investigations ont en effet démontré que cette femme avait réalisé des dépenses de plusieurs milliers d’euros sur internet. Victime elle-même d’une arnaque, elle avait envoyé de l’argent à l’étranger afin d’acquérir un ordinateur portable. Les papiers que ses pseudos agresseurs auraient déchirés avaient trait, en fait, à ses numéros de comptes et ses codes internet. Cette femme a été poursuivie par le parquet et a écopé d’un rappel à la loi.
Un jeune homme de 25 ans a eu lui aussi la mauvaise idée de mentir à la police. Fin avril, il est venu expliquer qu’un agresseur lui avait dérobé sa voiture, une BMW Tuning, sous la menace d’une arme. Ce même véhicule a été retrouvé accidenté au rond-point Jean-Maga. En procédant aux investigations, les enquêteurs ont démêlé le vrai du faux. Convoqué la semaine dernière et placé en garde à vue, le jeune homme a reconnu qu’il avait perdu le contrôle de son bolide en faisant la course avec une Audi.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/22/1675708-pour-se-sortir-du-petrin-ils-mentent-a-la-police.html

Gard : un jeune dauphin sauvé par les pompiers au Grau-du-Roi

Un jeune dauphin échoué sur la plage a été sauvé par les pompiers de Nîmes dans la nuit de samedi à dimanche. Il a été ramené au large par la SNSM.
Les pompiers de Terre de Camargue et les plongeurs de Nîmes ont sauvé un dauphin dans la nuit de samedi à dimanche au Grau-du-Roi. Le dauphin était échoué entre eau et plage à Port-Camargue. Ce sont des promeneurs qui ont donné l'alerte vers 23 h 30.
Le directeur du Seaquarium du Grau-du-Roi, les plongeurs de Nîmes et la SNSM (société de sauvetage en mer) ont été appelés en renfort. Le dauphin a été porté sur une civière et transporté vers le bateau de la SNSM puis relâché au large. Aux dernières nouvelles, ce jeune cétacé qui  mesurait environ 1,60 mètres est sain et sauf.

http://www.midilibre.fr/2013/07/21/au-grau-du-roi-un-jeune-dauphin-sauve-par-les-pompiers,736793.php

dimanche 21 juillet 2013

Arrêt non prévu d’un train à Etampes... pour bébé en vue

Un train rejoignant Tours à ce dimanche après-midi a pris du retard pour une raison insolite. « 23 à 24 minutes », de retard indiquait la à l’égard des usagers. Vers 14 h 30, le train a dû faire un arrêt à Etampes (Essonne) pour faire descendre d’urgence une femme enceinte.

« Une jeune femme a effectivement montré des premiers signes d’accouchement.

Nous avons fait débarquer la personne en gare d’Etampes pour qu’elle soit prise en charge par les pompiers dans les meilleures conditions possibles. Le bébé n’est né ni dans le train, ni en gare », précise la SNCF.

http://www.leparisien.fr/essonne-91/arret-non-prevu-d-un-train-a-etampes-pour-bebe-en-vue-21-07-2013-2997523.php

Béziers : il reçoit une balle en pleine ville

L'homme, père de famille, a été touché au genou.
Ce samedi, vers 20 h, à Béziers, un homme de 39 ans a reçu une balle dans le genou. Deux coup de feu ont été tirés en pleine ville, rue du 22-Septembre, dans le quartier du Faubourg. 
La victime n'était pas dans un état de santé inquiétant. Elle a été transportée par les pompiers à l'hôpital de Béziers. 

Les circonstances exactes de l'incident restent à déterminer. 

 http://www.midilibre.fr/2013/07/21/beziers-il-tire-sur-sa-victime-en-pleine-ville,736767.php

A Bordeaux, la police lutte contre la mode des bains de minuit

Avec la chaleur écrasante et durable, l'envie est parfois trop forte d'aller piquer une tête dans la piscine. Peu importe qu'il fasse nuit ou qu'elle soit fermée. Pour certains c'est la conclusion d'une soirée alcoolisée ou le résultat d'un challenge lancé entre amis, pour d'autres l'occasion de joindre l'utile à l'agréable lors d'un cambriolage...
Depuis une dizaine de jours, les policiers bordelais constatent une recrudescence des intrusions nocturnes dans les piscines. Aussi bien celles de particuliers que les établissements publics, comme la piscine Galin visitée à au moins deux reprises.

Dernières en date, dans la nuit de vendredi à samedi, rue Godard, deux jeunes Bordelais, passant par les parties communes d'une résidence ont accédé à la piscine des résidents. Interpellés, ils ont bénéficié d'un rappel à la loi. Car cette baignade interdite relève bien de la loi. 
Vers 7 heures, samedi, trois jeunes se sont introduits par escalade dans la piscine Judaïque, bénéficiant d'une fenêtre restée ouverte et en se faisant la courte échelle. Ils ont été mis en fuite par le gardien qui a pu intercepter un des intrus. Il s'agit d'un étudiant en BTS  de 21 ans qui a expliqué avoir passé une soirée arrosée avec des amis avant d'avoir l'idée de se baigner. Après une nuit dégrisante en garde à vue, il a été remis en liberté et bénéficie, lui aussi, d'un rappel à la loi. 
Dans la nuit de vendredi à samedi, en zone gendarmerie, c'est la piscine de Monségur qui a également subi des dégradations sur son enceinte. Une enquête est en cours. Ces événements récents ont conduit les forces de l'ordre à organiser des rondes supplémentaires et contrôles aux abords de ces établissements publics. 
http://www.sudouest.fr/2013/07/21/bordeaux-la-police-lutte-contre-la-mode-des-bains-de-minuit-1120745-2780.php

Corse : un projet d'évasion "d'une rare violence" déjoué à la prison de Borgo

Des ingrédients pour préparer une évasion "d'une rare violence" étaient cachés dans un extincteur, lui-même caché dans le faux plafond d'un local commun.

Les surveillants de la  prison de Borgo (Haute-Corse) ont découvert dans la soirée du 19 au 20 juillet  du matériel qui devait servir à une évasion. Les "ingrédients" pour préparer "une évasion d'une rare violence" étaient  cachés "dans un extincteur, lui-même caché dans le faux plafond d'un local  commun", a annoncé la CGT Pénitentiaire.

Cagoules, gants, menottes... Le matériel en question, découvert lors d'une "fouille ciblée" suite à des  "suspicions", concernerait "des cagoules, gants, colliers de serrage - menottes  en plastiques -, armes factices, et des ingrédients qui devaient servir à  fabriquer une bombe agricole". Une enquête administrative et une enquête judiciaire ont été ouvertes à la  suite de cette découverte, pour établir qui a introduit le matériel et à qui il  était destiné, ont indiqué des sources concordantes.

L'explosion du "parachutage". Pour l'heure, "il est difficile de dire qui a planifié l'évasion, étant  donné que le matériel a été retrouvé dans les lieux communs de la prison  auxquels les détenus ont accès", précise-t-on. De plus, "il faut établir qui a introduit le matériel car de nombreuses  personnes de l'extérieur pénètrent dans la prison", ajoute la source proche du  dossier.

Par ailleurs, la prison de Borgo est confrontée à "un phénomène en pleine  explosion" : le "parachutage" d'objets projetés par-dessus les murs, indique un  responsable de la C.G.T. Pénitentiaire, en critiquant le manque de moyens  alloués, notamment de scanners pour assurer la sécurité. L'établissement pénitentiaire
corse a dernièrement connu une ambiance "de  guerre ouverte" entre l'ancien directeur, parti depuis, et certains personnels  de la prison, alors que des familles de détenus avaient dénoncé un "climat  délétère" et des "traitements dégradants".