mardi 30 juin 2015

Pau : un personnel civil du 5e RHC jugé pour harcèlement sur une subordonnée

Hasard malheureux du calendrier, alors que le ministre de la Défense est revenu, hier, à Pau, pour montrer son attachement au 5e RHC, on a aussi beaucoup parlé de cette institution paloise à la barre du tribunal correctionnel. Un ancien chef de service civil, « mais avec rang d'officier supérieur », comme il le dit lui-même, comparaissait pour harcèlement sexuel sur une jeune militaire au grade de brigadier.
Elle était arrivée dans ce bureau en février 2012. Et selon son témoignage, les brimades, plaisanteries grivoises, et allusions plus que lourdes, ont débuté à l'été de la même année. Menue et effacée, la jeune femme a décrit au tribunal les vexations répétées qu'elle a longtemps subies sans broncher.

Tapes sur les fesses

Des phrases, surgies de nulle part de la bouche de son chef, comme : « Je vais te violer, t'étrangler comme un petit lapin ». Ou encore les tapes sur les fesses, l'obligation de regarder des photos de femmes nues sur l'ordinateur du même chef… Chaque fois, elle a montré qu'elle désapprouvait. « Des blagues qu'on s'envoie entre collègues », répond, à la barre, le quinquagénaire. « Ce n'était pas une collègue, mais une subordonnée », rectifie le président.

« Pour plaisanter »

Lui, semble ne pas trop comprendre pourquoi il est là. Il reconnaît bien les petites tapes sur les fesses, « mais c'était pour plaisanter ». Il a visiblement plus de mal à se souvenir de deux scènes que décrit la jeune femme, où il l'a soulevée, portée sur une table, et tenté de lui écarter les jambes…
Au printemps 2014, près de deux ans après son affectation, le brigadier craque, fait part à sa hiérarchie de ses problèmes. « J'étais dans un milieu militaire, et je suis un petit gradé. Je craignais pour ma carrière. Je n'avais pas du tout confiance en moi, je n'étais rien dans le régiment », dit-elle en réponse au président, qui s'étonne que la situation a duré si longtemps.

Un avertissement

Le chef de service, qui reconnaît devant le chef de corps un « comportement inapproprié », recevra un avertissement. Face à la situation, le « petit gradé » dépose plainte à la gendarmerie. L'enquête s'ouvre. Une enquête de commandement menée par l'armée vient s'y rajouter. Après de longs mois d'arrêt maladie pour « burn-out », le chef de service est muté. C'était la semaine dernière. Et le procès s'est tenu hier…
« J'ai perdu 8 000 euros, j'ai pris un échelon en moins et une mutation à un an et demi de la retraite. C'est lourd pour ce que je reconnais », lance à la barre le chef de bureau. « Manifestement, il ne comprend pas », s'inquiète Olivier Rouvière, l'avocat de la partie civile, qui dit la difficulté pour une femme militaire de dénoncer ces faits. « Au départ, elle ne voulait pas que cela s'ébruite. » « Tout ce que vous avez reconnu est constitutif de harcèlement sexuel », explique la représentante du parquet, quand l'avocat de la défense, Me Giral, plaide que « s'il reconnaît certains faits, il n'y a pas de raison de ne pas le croire quand il en conteste d'autres ».
Le chef de bureau est condamné à dix mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve, notamment obligation de suivre un stage sur les violences faites aux femmes.

http://www.sudouest.fr/2015/06/30/harcelement-a-la-barre-1975829-4344.php

AIN. Une fillette de 6 ans gravement blessée dans un accident

Dimanche, en début de soirée, une Toyota Yaris circulait sur la D 936. En traversant le hameau de Dhuys, le conducteur s’est retourné vers sa fille, qui dormait à l’arrière, dans un siège enfant. Il a perdu le contrôle de la voiture, qui a percuté un mur.
Le conducteur, un homme de 35 ans, originaire de Matafelon-Granges, n’a été que légèrement blessé. Sa fille, âgée de 6 ans, était sérieusement blessée.
Elle a été évacuée par hélicoptère vers l’hôpital mère-enfant de Bron (Rhône). Le conducteur était positif au dépistage d’alcoolémie effectué par les gendarmes.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/06/30/une-fillette-de-6-ans-gravement-blessee-dans-un-accident

lundi 29 juin 2015

Une inquiétante fièvre pour Léa

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Une semaine jour pour jour après sa longue opération, la petite Léa est toujours dans un état jugé critique. Ce lundi, ses parents, toujours à son chevet en réanimation, sont totalement désespérés.
En dépit d'un changement d'antibiotiques, la fièvre s'est imposée, dépassant même désormais les 40. Recouverte de glace, la fillette, toujours plongée dans un coma artificiel, poursuit son dur combat.
>>RELIRE. Vos messages les plus touchants à la petite Léa
Une épreuve insupportable aussi pour ses parents, partagés entre espoir, terreur et colère.
Ce lundi après-midi, sur les réseaux sociaux, quelques minutes seulement après avoir posté des nouvelles de Léa, plus de 6000 personnes s'étaient déjà manifestées pour apporter leur soutien à Jessica et Roland Baba. Léa est dans tous les cœurs.
>>RELIRE: PORTRAIT. Les combats de Léa pour vivre 
Un appel aux dons a été lancé pour soutenir financièrement sa famille épuisée et en manque de ressources.


http://www.nicematin.com/derniere-minute/une-inquietante-fievre-pour-lea.2268864.html

Léa toujours dans un état stationnaire après son arrêt respiratoire

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La petite Léa est toujours plongée dans un coma artificiel après son arrêt respiratoire de six minutes qui s'est produit vendredi soir.
Ce samedi, l'angoisse persistait chez ses parents, qui craignent, qu'à tout moment, son état empire.
>> LIRE AUSSI. Vos messages les plus touchants à la petite Léa
Toutefois, ils confirmaient dimanche que le pacemaker placé lors de l'opération de lundi avait bien fonctionné, empêchant ainsi son petit cœur de cesser de battre.
>> PORTRAIT. Les combats de Léa pour vivre 
Les prochaines heures seront déterminantes. Un appel aux dons a été lancé pour soutenir financièrement sa famille épuisée et en manque de ressources.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/lea-toujours-dans-un-etat-stationnaire-apres-son-arret-respiratoire.2267854.html

dimanche 28 juin 2015

Léa plongée dans un coma artificiel

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L'état de la petite Léa s'est à nouveau dégradé en cette fin de journée. 
En dépit d'un changement d'antibiotiques dans la journée, les médecins ne sont pour l'heure pas parvenus à faire chuter la forte fièvre de Léa, qui l'épuise depuis vendredi. 
Pire, la fillette a été victime d'un arrêt respiratoire, durant six minutes, en fin de journée.
Obligeant le staff médical à la ventiler au ballon avant de la replonger d'urgence dans un coma artificiel. Ses parents, sous le choc, craignent des séquelles.
Ce samedi est un cauchemar...
Contactée plus tôt dans la journée; sa maman, précisait que Léa pourrait souffrir d'un problème pulmonaire, les dernières radios faites n'étant pas bonnes.
"Léa lutte contre la mort"
Léa avait commencé à ouvrir les yeux et avait vu ses parents à son chevet. Une étape importante.
"Au début en nous entendant ou nous voyant, elle s'agitait dangereusement et ses constantes baissaient. Mais désormais, elle nous voit, referme ses yeux et nous écoute chanter calmement. On la sent plus présente que ces derniers jours", a raconté Jessica, sa maman, épuisée.
Et qui, après avoir fait un malaise au lendemain de l'opération, vient de s'abîmer la cheville et doit se déplacer en béquilles.
Le corps s'épuise, les nuits sans sommeil se multiplient. Le stress ne faiblit pas. Mais le combat doit se poursuivre pour Léa.
"C'est très très dur. C'est une épreuve contre la mort, elle lutte tellement. C'est terrible de la voir comme ça et d'être inutiles et impuissants. C'est très frustrant".
Un appel aux dons pour soutenir la famille
Plus que jamais, la famille Baba a besoin de se sentir soutenue.
A cet effet, un pot commun a été créé par l'association "Tous derrière Léa", afin de les aider durant ces longues semaines.
Des dons pourront ainsi être récoltés en toute transparence sur le site le pot commun
A noter d'ailleurs que depuis quelques jours, de nombreuses personnes font des appels aux dons sur les réseaux sociaux, sans doute de manière frauduleuse.
L'association tient donc à préciser que seul ce pot commun est officiel.
Enfin, toutes les personnes qui le souhaitent peuvent adresser des courriers, des dessins d'enfants... à la famille Baba, en écrivant directement au siège de l'association, "Association Tous derrière Léa", 1 lotissement les grands mûriers, 83490 Le Muy, et non à l'hôpital Necker.
Autant de petites attentions qui leur donnent la force d'avancer. Et d'y croire

http://www.nicematin.com/derniere-minute/lea-plongee-dans-un-coma-artificiel.2266787.html

Fille morte étranglée à Montpellier : "La preuve que la mère était perturbée

N ous avons la preuve que la mère, comme sa fille, étaient très perturbées dans leur fonctionnement psychique", indique le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret.
Vingt-quatre heures après son placement en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention, notamment pour la protéger, on commence à en savoir un peu plus sur la sexagénaire montpelliéraine mise en examen pour “assassinat sur descendant”. Cette femme est suspectée d'avoir mis fin aux jours de sa fille, le 14 juin dernier, dans le huis clos de leur appartement. Un crime révélé seulement mardi dernier à une voisine .
Atteinte de sclérose en plaques à un stade très avancé
"Nous avons la preuve que la mère, comme sa fille, étaient très perturbées dans leur fonctionnement psychique", indique le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret. Le magistrat souligne prendre "avec de très grandes précautions" le fait que la victime était atteinte de sclérose en plaques à un stade très avancé.
"C'est l'objet de l'information judiciaire ouverte. Ce qui est certain en revanche, c'est que ces deux femmes vivaient recluses et avaient développé un syndrome de Diogène (*) qui a été constaté sur place à la vue de leur logement. La victime était dans un état dégradé, c'est certain, atteinte d'une maladie psychosomatique, c'est possible", poursuit le procureur. Les enquêteurs devront également s'attacher à vérifier si les courriers laissés par la victime ont bien été écrits de sa main. Et s'ils lui ont été dictés ou non.
(*) Trouble du comportement amenant à des conditions de vie négligées ou insalubres.
http://www.midilibre.fr/2015/06/26/fille-morte-etranglee-la-preuve-que-la-mere-etait-perturbee,1181877.php

samedi 27 juin 2015

Vos plus touchants messages de soutien à Léa

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Le combat pour la vie de la petite Léa continue. Si les dernières nouvelles ne sont guères rassurantes avec un germe contracté lors de la dernière opération, les messages de soutien se multiplient sur les pages Facebook de Nice-Matin et Var-matin.
De quoi donner des ondes positives et du courage à la famille.
Voici des extraits des plus poignants.
Sandrine envoie plein de pensées positives: "Plein de câlins pour t'aider dans ce moment difficile. Bientôt tu riras à nouveau pour le plus grand bonheur de ta maman et ton papa..."
Pour Manon, "c'est une battante, elle est forte cette petite ! On est avec toi petite princesse, courage bisous". 
Véronique est positive: "C'est une battante la petite Léa, alors gardons espoir elle va s'en sortir".
Jason lance ses encouragements au nom des sapeurs-pompiers: "Courage ma belle! Tous les sapeurs-pompiers et ceux de la Sécurité civile sont derrière toi. On te donne tous nos forces pour que tu te bats. Tu n'as pas le droit de partir, c'est un ordre direct de mon commandant!"
"On te donne tous nos forces"
Virginie livre son témoignage plein d'espoir: "Ma mère est née avec une malformation cardiaque sévère, elle a eu deux opérations a coeur ouvert (4 ans et 25 ans). On ne lui donnait pas jusqu'à l'adolescence au départ. Elle s'est marié et a eu deux enfants par la suite ! Ne perdez pas espoir, rien n'ai jamais joué".
Terani: "Courage petite perle adorée tu es si belle et pleine de vie. Nous t'aiderons avec la force et l'amour de tout le monde pour te ramener auprès de tes parents. Gros bisous".
Cindy: "Plein de pensés positives pour toi et tes parents petite poupée. C'est un petit moment de fatigue mais tu vas vite reprendre le dessus, et tu va le combattre ce vilain germe. De tout coeur avec toi, garde le courage !"
Gégé sait que la petite Lea est soutenue par des milliers de fans: "Mais non... c'est juste un moment de faiblesse. Après tout ce qu'elle s'est battue, Léa ne va pas baisser les bras. Courage petite fée. Montre a tes parents et tous ceux qui t'aime combien tu es forte. Tu es l'espoir de milliers de fans. Gros bisous ma puce".
Ghislaine transmet ses ondes positives: "Accroche-toi petite poupée je sais que c'est facile à dire, car malgré que tu sois toute petite il y a une énorme place pour toi sur terre avec tout ceux qui t'aiment et qui pensent à toi , alors je t'envoie pleins d'ondes positives et je fais tout plein de gros bisous".
Saïd: "Petite pensée pour la maman et le papa. On ne peut pas rester insensible à votre histoire quand on a des enfants. Courage  Léa. Continue de te battre pour tes parents qui t'aiment".

L'état de la petite Léa s'est dégradé

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Après trois jours stables, l'état de santé de la petite Lea, opérée à cœur ouvert à Necker, s'est dégradé ce vendredi.
Selon les dernières nouvelles données par sa maman, sa fillette aurait contracté "un  méchant germe, provoquant une forte fièvre".
Des complications qui semblent exclure, pour l'heure, toute extubation. 
>> RELIRE.
La situation de la petite fille semblait pourtant s'améliorer après son opération, au point que les médecins avaient décidé ce jeudi de la sortir du coma.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/letat-de-la-petite-lea-sest-degrade.2265746.html

Anglet: un homme ligoté et blessé par balle

Un homme ligoté et blessé par balle, a été découvert, dans la nuit, allongé près d'un véhicule en feu dans un parking souterrain d'une résidence à Anglet (Pyrénées-Atlantiques), alors que les auteurs présumés de l'agression, trois hommes armés, ont pris la fuite.

L'homme blessé à l'abdomen a été évacué en soins intensifs à l'hôpital de Bayonne. L'alerte avait été donnée par un riverain peu après 4 heures en raison de la présence de fumée.

Trois hommes, armés et cagoulés, sont en fuite, selon la police.
Les enquêteurs n'excluent aucune hypothèse quant aux auteurs de l'agression.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/27/97001-20150627FILWWW00046-anglet-un-homme-ligote-et-blesse-par-balle.php

Accident de Colomiers : la 4e victime toujours dans un état grave

L'émotion était toujours très vive hier, à Colomiers, après l'accident qui a coûté la vie, dans la nuit de mercredi à jeudi, à Azhar Shaki, 18 ans, son frère Kamil, 19 ans, et Houssama Sebbar, 19 ans.
De nombreuses personnes, proches et anonymes, sont venues se recueillir sur les lieux du drame où elles ont déposé fleurs et bougies en mémoire des trois garçons.
Chacun avait également une pensée pour les deux autres victimes présentes dans la voiture au moment de la sortie de route. L'un d'entre eux, âgé de 18 ans, était toujours hospitalisé dans un état très grave. Il a été opéré jeudi et souffre d'un pneumothorax. Le jeune garçon, touché notamment à la moelle épinière, pourrait garder de lourdes séquelles physiques.
Le cinquième jeune homme, qui s'en est sorti indemne, avec de légères blessures, dont certaines au dos, était lui aussi toujours à l'hôpital, en état de choc.

Témoins recherchés

Les investigations menées par les policiers spécialisés de la brigade des accidents se sont poursuivies hier. Ils étaient toujours à la recherche de témoins qui auraient pu croiser cette Volkswagen Golf gris foncé, vers 3 h 30 cette nuit-là, du côté du chemin de la Nasque à Colomiers. La piste d'un animal, évoquée par la victime indemne, qui aurait incité le conducteur, Houssama Sebbar, à donner un brusque coup de volant est envisagée. Cette nuit-là, les cinq copains, tous originaires de Colomiers, se rendaient à la mosquée toute proche pour la prière du matin.
*Les témoins doivent se signaler en composant le 06 09 81 46 91 ou 05 61 12 74 74
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/27/2133420-accident-colomiers-4e-victime-toujours-etat-grave.html

vendredi 26 juin 2015

Alert info / EN DIRECT. Attentat en Isère: Cazeneuve se rend immédiatement sur place... Un mort et plusieurs blessés....

suivre en direct sur ce lien ....   http://www.20minutes.fr/societe/1640303-20150626-attentat-isere-cazeneuve-rend-immediatement-place-mort-plusieurs-blesses

 

11h16: L'individu a été interpellé

Contactée par 20 Minutes, la gendarmerie nationale indique : «C'est un véhicule qui a forcé le passage aux alentours de 10h-10h30. Il y a eu une explosion. Nous sommes sur un site classé Seveso. Pour nous le bilan provisoire est de 2 blessés. Les salariés ont été évacués. L'individu a été interpellé». Il n'a pas eu la confirmation que l'individu avait un drapeau islamiste mais privilégie la piste terroriste.

11h07 - L'homme est entré avec un drapeau islamiste
 
Selon les informations du Dauphiné Libéré, un corps décapité a été retrouvé à proximité de l'usine.

11h05 - Une explosion fait un mort et plusieurs blessés
Une explosion a eu lieu ce vendredi aux alentours de 10h dans la société Air Products à Saint-Quentin- Fallavier. Selon les premiers éléments, il y aurait un mort et deux blessés. L'individu a été interpellé selon nos informations.

Attentat de Daesh à Saint-Quentin-Fallavier : un homme décapité

10 H 35 : le procureur de Vienne se rend sur les lieux. L'antiterrorisme de Paris est saisi.

10 H 29 : selon nos premières informations recueillies sur place, on évoque un attentat. Plusieurs victimes seraient à déplorer dont une personne qui a été décapitée à l'entrée de la société. Toujours selon le Dauphiné Libéré, un homme a pénétré dans l'entreprise et a ouvert plusieurs bombones de gaz revendiquant d'être de Daesh des drapeaux islamistes en main.
Le quartier a été bouclé par les forces de l'ordre.
10 H 07 : une forte explosion suivie d'un incendie a eu lieu ce vendredi à 9 heures 50 dans la société Air Products située avenue des Arrivaux à Saint-Quentin-Fallavier. Un important dispositif de sapeurs-pompiers de gendarmerie est actuellement sur place. Plusieurs blessés seraient à déplorer.

http://www.ledauphine.com/

Plus de 4 heures otage dans sa propre voiture

Verdict ce soir dans l'affaire des séquestrations et des vols d'avril 2013 au Passage et à Estillac. Les victimes, dont une dame de 74 ans, ont témoigné hier. Depuis le début, l'accusé reconnaît les faits.
Sa 405 Peugeot était sur la réserve, et elle se souvient bien d'avoir appuyé sur le compteur du tableau de bord pour voir la distance qu'elle pouvait encore parcourir pour rentrer chez elle. C'est de cette façon que les enquêteurs du SRPJ d'Agen ont pu établir qu'en 4h30, la voiture avait parcouru 34 kilomètres.
Sur la réserve aussi elle était hier à la barre. Cette première victime de la nuit du 16 avril 2013 sortait de son entreprise, une imprimerie d'Estillac. Il est 3h30 et, pour la petite histoire, elle était la seule femme cette nuit-là. Elle a donc bénéficié des vestiaires avant ses collègues masculins. Elle est sortie en premier.
La suite, elle l'a racontée avec émotion mais avec calme aussi à la barre. Elle rejoint sa voiture sur le parking, enclenche la marche arrière. «J'ai entendu une portière arrière s'ouvrir, il m'a attrapé par les cheveux et m'a plaquée contre l'appui-tête. On a fait quelques mètres sur le parking, il a récupéré ses affaires dans une haie. Je lui ai proposé de me laisser au bord de la route, il a refusé». Pendant plus de quatre heures, l'accusé circule entre Roquefort, le parc Walibi, Estillac, Agen, le Passage. Il le dit lui-même, «J'avais vu qu'il n'y avait plus d'essence.» Elle et lui à bord de la Peugeot passent, repassent devant trois stations-service. Il est en fuite, se sait recherché pour le braquage d'un buraliste dans le Tarn. La mère de famille pense à tout, à la mort. Elle lui fait croire que sa carte bancaire est hors-service.

Arme disparue

L'individu a une arme. Factice ? Personne ne le sait mais, lui, affirme avoir acheté ce «pistolet à billes» dans un hypermarché. C'est impossible à vérifier, il l'aurait jeté dans la Garonne en prenant la fuite. Mais cette femme a certifié aux enquêteurs avoir entendu «un bruit métallique contre le levier de vitesse quand l'arme lui a échappé (…) Il était super-énervé parfois. Quand il restait silencieux, il me faisait super-peur. Je préférais quand il avait ses humeurs alors j'entamais des conversations. Je ne savais pas s'il allait me frapper.» à la décharge de l'accusé, aucune violence contre cette femme de 40 ans. Vers 8 heures ce matin-là, il enjambe un muret avenue des Pyrénées au Passage d'Agen (lire l'encadré). «Je n'ai pas regardé dans mon rétro, je suis partie.» Quelques minutes avant, ce Tarnais de 30 ans aujourd'hui a fait une deuxième victime. Cherchant encore une voiture, et toujours avec son otage dans la Peugeot, il repère une Audi devant une boulangerie du Chat d'Oc au Passage-d'Agen. Philippe, la deuxième victime, a témoigné aussi.

Charlie

«J'ai déclenché l'ouverture à distance et j'ai vu quelqu'un arriver en courant.» L'accusé lui demande ses clés, il refuse, fait un geste d'évitement avec le bras et la bombe lacrymo de son agresseur explose en heurtant le sol. Les deux hommes sont à terre, l'accusé quitte les lieux mais Philippe a eu le temps d'apercevoir «une femme comme figée» à l'intérieur de la Peugeot. Comme la première victime, la mémoire n'est pas effacée. Et le souvenir s'est ravivé début janvier. «Quand j'ai vu cette violence avec Charlie, j'ai revécu la même chose.» Sa présence en Lot-et-Garonne apparaît sur un retrait à un distributeur à Astaffort. Les policiers du SRPJ antenne d'Agen l'interpellent le 3 janvier suivant, à Toulouse. Après neuf mois de cavale. En mot de la fin pour la première journée, l'accusé a cherché à expliquer son geste. «C'est très très grave ce que j'ai fait. Je le reconnais.»
 

jeudi 25 juin 2015

Patrick Macnee, le John Steed de Chapeau Melon et Bottes de cuir, est mort

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L'acteur britannique Patrick Macnee, alias John Steed dans la série Chapeau Melon et Bottes de cuir, est mort en Californie à 93 ans, a annoncé aujourd'hui son fils cité par la BCC.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/25/97001-20150625FILWWW00363-patrick-macnee-le-john-steed-de-chapeau-melon-et-bottes-de-cuir-est-mort.php

La situation semble se stabiliser pour Léa

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Quatre jours après avoir été longuement opérée à cœur ouvert à l'hôpital Parisien Necker, la situation semble se stabiliser pour la petite Léa Baba.
Mercredi soir, c'est avec un immense soulagement que sa maman, Jessica, annonçait que le professeur Raisky avait pris la décision de refermer, enfin, son thorax. Une nouvelle étape positive dans le processus de guérison de Léa, qui reste toujours, pour l'heure, plongée dans un profond coma artificiel.
>>RELIRE. Les combats de Léa, trois ans, pour vivre
Sur les réseaux sociaux, la mobilisation ne faiblit pas. Des milliers de personnes témoignent chaque jour leur soutien.

http://www.nicematin.com/le-muy/la-situation-semble-se-stabiliser-pour-lea.2263741.html

La fille de Whitney Houston en fin de vie

La famille de Whitney Houston a annoncé que la fille de la chanteuse, Bobbi Kristina Brown, plongée dans le coma depuis plusieurs mois, avait été transférée dans un centre pour malades en phase terminale. La jeune femme, âgée de 22 ans, avait été retrouvée inconsciente dans sa baignoire le 31 janvier, à Atlanta (Georgie, sud-est).

"En dépit des soins reçus dans de nombreux établissements, son état de santé continue de se détériorer", a expliqué sa tante, Pat Houston, dans un communiqué.  "Elle a été emmenée dans un centre de soins palliatifs. Nous vous remercions tous pour vos messages de soutien et de prières. Elle est entre les mains de Dieu maintenant", a-t-elle ajouté

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/24/97001-20150624FILWWW00412-la-fille-de-whitney-houston-en-fin-de-vie.php

Chambley : un ULM s’écrase à l’atterrissage

Un pilote d’ULM de 72 ans, Jean-Paul Collignon, originaire de Peltre en Moselle, a trouvé la mort ce mercredi matin sur la base aérienne de Chambley Planet Air. Pour une raison encore inexpliquée, aux alentours de 10 h 30, l’appareil qu’il pilotait s’est crashé au moment de l’atterrissage.
Arrivés sur les lieux, les sapeurs-pompiers de Thiaucourt et de Jarny, aux ordres du capitaine Disse, chef du centre de secours de Pont-à-Mousson, ont tenté en vain de ranimer le pilote, en arrêt cardiorespiratoire. Le médecin du SMUR dépêché sur les lieux a déclaré le décès à 11 h 40.
Les gendarmes de la compagnie de Briey, aux ordres du capitaine Lallemand, ainsi que la compagnie de Mars-la-Tour, ont balisé la zone avant de faire appel à leurs collègues de la brigade de gendarmerie des transports aériens qui seront chargés de déterminer les causes de l’accident. D’après les premiers témoignages, l’aile de l’ULM avait été révisée l’an passé par le constructeur et l’appareil qui appartient au club ULM de Chambley était régulièrement révisé.
Deux pilotes de ce club, qui en compte près d’une centaine, avaient volé avant Jean-Paul Collignon sur le même appareil. Ils ont été témoins de l’accident et ont constaté que les manœuvres d’approche entamées par le pilote étaient totalement inhabituelles. Une autopsie du corps devra déterminer si le pilote, qui volait très régulièrement à Chambley, a été victime d’un malaise pendant son vol.
En tout cas, Jean-Paul Collignon était un pilote expérimenté qui volait depuis une quinzaine d’années sur des ULM multi-axes (petits avions) et qui était breveté sur la catégorie des ULM pendulaires, composés d’une aile delta et d’un moteur, depuis plus de deux ans.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/06/24/clambley-un-ulm-s-ecrase-a-l-atterrissage

mercredi 24 juin 2015

Une deuxième nuit stable pour Léa

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Opérée lundi à cœur ouvert à l'hôpital Necker de Paris, la petite Léa Baba se remet lentement.
Après une première nuit ponctuée de fièvre et saignements, la température est restée élevée toute la journée de mardi mais les poches de glace semblent enfin avoir fait leur effet.
Ce mercredi matin, sa maman annonçait que la fièvre avait enfin disparu dans la nuit. Une nouvelle rassurante dans le long processus de guérison.
>> PORTRAIT. Les combats de Léa, trois ans, pour vivre
Mais pour l'heure, la fillette reste plongée dans un profond coma artificiel.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/une-deuxieme-nuit-stable-pour-lea.2262548.html

Vol Nice-Paris : le steward sauve un passager

Selon Nice-Matin, un A320 d’Air France avait quitté le tarmac de Nice comme prévu lundi vers 15h20. Mais quelques minutes après le décollage, un passager était victime d’une insuffisance cardiaque. «L’homme, de forte corpulence, a fait un malaise, et c’est le steward qui s’est aussitôt porté à son secours», témoigne un voyageur.

Le malheureux a repris connaissance, avant d’être débarqué à Lyon avec les quatre personnes de son entourage vers 16h08.
A l’aéroport St-Exupéry, le Samu, assisté des gendarmes, a pris en charge cette urgence médicale.

Loin de réclamer des indemnités pour le retard occasionné, les passagers du vol arrivés à Paris-Orly à 18 heures (au lieu de 16h40 initialement prévu), ont salué l’équipage, dont l’action a sans doute permis de sauver un homme.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/24/97001-20150624FILWWW00110-vol-nice-paris-le-steward-sauve-un-passager.php

Haute-Savoie: un camion de secours des pompiers attaqué par des hommes armés

Un camion des pompiers qui transportait un homme blessé a été attaqué et incendié, mercredi matin à Duingt, en Haute-Savoie, par trois hommes armés.
Un véhicule de secours des pompiers qui transportait un homme lacéré au cutter a été la cible de trois hommes armés, ce mercredi matin, à Duingt, en Haute-Savoie. Il a été attaqué puis incendié par les malfaiteurs qui ont pris la fuite.
Le véhicule de secours et d'assistance aux victimes des pompiers transportait un homme lacéré au cutter vers l'hôpital d'Annecy lorsqu'il est tombé dans une embuscade.
Les faits se sont déroulés dans la périphérie de ce petit village en bord du lac d'Annecy. Les pompiers avaient été appelés pour porter secours à un jeune homme "frappé à plusieurs reprises et souffrant de coupures" a précisé le procureur de la République à Annecy Eric Maillaud.
Sur le chemin de l'hôpital, "un véhicule dépasse alors celui des pompiers, simule un accident pour contraindre les pompiers à s'arrêter. Ces derniers sortent et c'est à ce moment que la scène de violence démarre" a-t-il indiqué. Les pompiers font alors face "à deux ou trois agresseurs" selon un témoin qui aurait vu "au moins une arme" et entendu "un ou plusieurs coups de feu" tirés en direction des pompiers et de leur véhicule.
Le blessé était à l'intérieur du camion lorsqu'il a pris feu
Le camion a alors pris feu avec le blessé à l'intérieur. Il a été aussitôt extrait du véhicule par des chauffeurs de camions qui passaient et se sont arrêtés "pour prêter secours à tout le monde y compris aux pompiers".
Les malfaiteurs sont alors remontés dans le véhicule et ont pris la fuite. Le véhicule des pompiers a ensuite explosé, vraisemblablement "à cause de bonbonnes d'oxygène ou de gaz" à bord selon M. Maillaud.
Un pompier a été légèrement blessé "mais dans des circonstances restant à être déterminées", a encore indiqué le procureur qui n'a avancé aucun scénario précis. Le jeune homme blessé "est à l'hôpital en train d'être soigné, il ne peut pas être encore entendu et de toute façon il ne dit rien pour l'instant", a conclu le procureur.
La gendarmerie a activé un plan de recherche pour retrouver les trois agresseurs
 

mardi 23 juin 2015

Une personne happée par un TGV au Cros-de-Cagnes

Une personne a été happée par un train lundi soir vers 23 heures à hauteur du Cros-de-Cagnes.
Le trafic SNCF a été interrompu dans les deux sens pendant 1h30 avant de reprendre sur une voie. Les circonstances du décès n'ont pas pu être encore établies, la personne n'a pas pu être identifiée. 
Selon nos informations, certains TGV ont eu jusqu'à 5 heures de retard.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/une-personne-happee-par-un-tgv-au-cros-de-cagnes.2261029.html

Valentigney : un cadavre retrouvé dans le Doubs

Samedi, en début d’après-midi, un cadavre a été découvert dans le Doubs, aux abords de la départementale 126. Les pompiers sont intervenus pour extraire le corps de l’eau. Une autopsie a été réalisée ce lundi après-midi mais les résultats de l’examen médico-légal ne sont pas connus. Néanmoins, les enquêteurs pensent qu’il pourrait s’agir d’un Audincourtois de 68 ans qui était porté disparu. L’homme avait quitté son domicile le dimanche 14 juin sans emporter de papier, de téléphone et le traitement médical auquel il devait se soumettre. Son épouse avait alerté les forces de l’ordre. Des recherches d’envergure (un hélicoptère avait été requis, les pompiers avaient sondé le cours d’eau) avaient été effectuées pendant plusieurs jours.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/06/23/valentigney-un-cadavre-retrouve-dans-le-doubs

lundi 22 juin 2015

La Rochelle : un jeune homme tué à l'arme blanche

Ce lundi matin, plusieurs personnes étaient en garde à vue dans les locaux du commissariat de La Rochelle dans le cadre d'une enquête concernant la mort par arme blanche d'un jeune homme. Un décès survenu durant la nuit de dimanche à lundi, en centre-ville.
La victime, a priori un Rochelais, a été frappée d'un ou plusieurs coups de couteau par un ou plusieurs autres jeunes. La scène s'est déroulée dans des circonstances que les policiers cherchent encore à établir : rixe ou agression.
Le parquet se refuse à tout commentaire sur cette affaire.

http://www.sudouest.fr/2015/06/22/la-rochelle-un-jeune-homme-tue-avec-un-couteau-1959319-1391.php

A 50 ans, Didier repart à zéro après un «accident de la vie»

Il y a 3 ans, Didier Marty a dû stopper net sa belle carrière professionnelle à cause d'une maladie. À 50 ans, le manager castrais a su rebondir en créant sa société de jardinage.
À 50 ans, Didier Marty a décidé de commencer une nouvelle vie. «De redémarrer à zéro», lâche cet ancien cadre supérieur qui a troqué son costard-cravate contre une combinaison de jardinier. Il propose dorénavant ses services sous la bannière O2, leader des services à domicile en France, dont il a ouvert une franchise à Castres. En fait, ce Castrais s'est tout simplement créé son emploi que le marché du travail lui refusait malgré un CV béton. Parce que Didier Marty a un trou dans son parcours professionnel sans faute qui l'a mené à monter son entreprise de conseil en relation client après avoir été directeur régional d'un grand groupe de travail temporaire. «Jusque-là tout me souriait mais je l'ai payé cher», résume Didier Marty victime d'un «accident de la vie» qui va stopper net son ascension et lui fermer beaucoup de portes. «En 2013, j'ai eu une maladie rénale grave, explique Didier Marty qui ne fait pas de mystère sur ses ennuis de santé qui l'ont contraint à l'inactivité professionnelle pendant plus de 2 ans pour se soigner. J'étais en profession libérale à l'époque donc je n'avais pas d'indemnités journalières. J'ai vécu sur mes réserves». Et puis une fois guéri malgré un statut de travailleur handicapé qui l'empêche simplement de porter des charges lourdes à répétition, Didier Marty se remet en selle et cherche un emploi de manager qui correspond à son CV. «Je voulais repartir sur une activité de salarié. J'ai répondu à une centaine d'offres, explique le quinquagénaire qui arrive régulièrement à obtenir des entretiens qui se terminaient tous de la même façon quand il expliquait pourquoi il avait été «hors circuit» quelque temps. Je n'allais pas mentir et dire que j'avais pris des vacances. Mais ensuite on me disait que j'étais extraordinaire en entretien, que j'avais un super CV, qu'il fallait que je continue mais que cela ne serait pas moi qui travaillerais pour eux». Didier Marty n'étant pas du genre à s'apitoyer sur son sort, il va se poser les bonnes questions. «L'équation était simple ma situation, mon âge et la crise faisaient que c'était «no job» pour moi. Alors je me suis demandé ce que j'avais envie de faire. Et je me suis tourné vers ma passion de la terre et des végétaux, explique ce fils d'agriculteur qui a eu une formation d'ingénieur en agriculture. J'ai toujours aimé le jardin, tailler des arbres. Je me régalais à entretenir la ferme familiale et aider mes potes à faire leur jardin.» Alors Didier Marty décide de «revenir à ses racines» en utilisant son expérience professionnelle. «J'avais déjà créé des sociétés, j'avais les compétences pour ça, affirme-t-il après avoir étudié le marché «qui croît de 5 % par an sur Castres». Je ne prends la place de personne à part ceux qui travaillent au noir». Mais il ne voulait pas le faire n'importe comment cherchant à créer «une boîte plutôt à l'esprit solidaire» en s'adressant aux particuliers, «des personnes âges ou à mobilité réduite en priorité», qui peuvent déduire 50 % de ses prestations des impôts. «J'ai failli y rester avec ma maladie. J'ai vu la lumière au bout du tunnel. Aujourd'hui je vois la vie différemment. Avant j'étais tendu tout le temps, j'étais un bon manager de groupe du CAC 40. Je n'en suis pas très fier. La je veux m'éclater et simplement vivre décemment de mon travail», analyse Didier Marty qui va trouver chez O2 une philosophie et un fonctionnement qui lui vont bien.

Déjà des clients

«Je leur ai envoyé mon CV et ils m'ont répondu tout de suite. Ils n'avaient rien à faire de mon âge ou de mon handicap. Ils m'ont aidé immédiatement, explique le Castrais qui va quand même se heurter au financement. Les banques refusaient de me prêter ou alors c'était les assurances du prêt bancaire qui me demandaient des tonnes de documents, certificats médicaux qui m'auraient demandé des mois d'attente». O2 le dirige alors vers l'ADDIE, une association qui aide justement des personnes exclues du marché du travail et du système bancaire à créer leur entreprise et donc leur propre emploi grâce au microcrédit. «Ils ne jugent que votre projet pas votre vie», résume Didier qui a pu créer sa franchise et démarrer sa nouvelle activité la semaine dernière. Distribution de tracts, publicité dans la presse, porte à porte… Didier, qui a le savoir-faire pour dénicher sa clientèle, a déjà signé plusieurs contrats. Et il entame son premier «chantier» ce matin. «J'espère pouvoir embaucher bientôt», prévient-il. Bref, Didier a su faire en sorte que la vie lui sourit à nouveau.
Pour joindre Didier Marty, composer le numéro national d'O2 en précisant son nom où votre ville au 02.43.72.02.02

http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/22/2129271-50-ans-didier-repart-zero-apres-accident-vie.html

dimanche 21 juin 2015

Landes : partis chercher du bois, ils trouvent un crâne humain

L'ossement, sans doute très ancien, a été découvert jeudi par un groupe de jeunes qui souhaitaient faire du feu (c'est interdit), au niveau de la plage Sud de Biscarrosse
 
Les faits remontent à jeudi soir. Des jeunes sont partis ramasser du bois dans le but de faire un feu tout au Sud de la dune de Biscarrosse, dans les Landes, à la limite de la zone interdite du Centre d'essai de missiles (CEM). Ils sont tombés sur un crâne humain. L'ossement probablement rejeté par l'océan et apparu sous l'effet de l'érosion a été aussitôt récupéré par les gendarmes.

Selon leurs premières constatations, il serait "vraisemblablement très ancien", si abîmé que le commandant de la compagnie de gendarmerie de Parentis-en-Born doute qu'il puisse être réellement identifiable. Le procureur de la République de Mont-de-Marsan a toutefois ordonné une expertise afin de tenter d'extraire d'éventuelles traces d'ADN, et ainsi lever le mystère.
A noter que les feux sont strictement interdits sur tout le littoral. Le premier des risques est la présence souterraine de nombreux obus de la seconde guerre mondiale. "Les gens ne s'en rendent pas compte mais ils peuvent être juste au-dessus de centaines de kilos d'explosifs. Et un feu peut suffire à tout faire exploser ", avertissait il y a quelques semaines le démineur en chef de Saint-Martin-de-Seignanx.
http://www.sudouest.fr/2015/06/21/landes-partis-chercher-du-bois-ils-trouvent-un-crane-humain-1958352-3350.php

Grenoble: un homme abattu dans une fusillade

Un jeune homme de 19 ans a été abattu au cours d'une fusillade qui a éclaté samedi soir peu avant minuit sur une place de Saint-Martin-d'Hères, dans la banlieue de Grenoble (Isère), a-t-on appris dimanche auprès du parquet. L'homme se trouvait à l'arrière d'un scooter, sur cette place bondée au moment des faits, lorsque vers 23 heures 30, des échanges de tirs ont débuté, le blessant mortellement au cou. Transportée par les pompiers en arrêt cardio-vasculaire, la victime est décédée à son arrivée à l'hôpital. Les circonstances de la fusillade restent à déterminer.

"Il n'était pas connu pour des faits de délinquance habituels. Il y avait beaucoup de monde sur cette place mais il n'y a pas de témoin direct de la scène", a précisé le parquet de Grenoble. "Aucun lien ne peut pour l'heure être établi avec les fusillades de ces derniers jours", a ajouté le parquet de Grenoble. Deux fusillades ont eu lieu jeudi soir en plein centre de Grenoble, la première aux abords d'une boucherie, la seconde sur une place, faisant deux blessés sur fond de règlement de compte.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/21/97001-20150621FILWWW00033-grenoble-un-homme-abattu-dans-une-fusillade.php

Toulon : accident mortel en pleine ville

Un homme d'une trentaine d'années a trouvé la mort dans un accident de voiture, à Toulon. La victme a été éjectée du véhicule. Le conducteur a été transporté à l'hôpital dans un état grave.
Ce matin, vers 4h20, une voiture, avec deux hommes à son bord, âgés d'une trentaine d'années, a fait toute seule plusieurs tonneaux, alors qu'elle roulait sur le boulevard Général de Gaulle, à Toulon. Le passager a été éjecté et est mort sur le coup.
Le conducteur, grièvement blessé, a été transporté à l'hôpital par les secours.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/06/21/toulon-accident-mortel-en-pleine-ville-752599.html

samedi 20 juin 2015

Saint-Ouenne (79) : le compagnon de la victime mis en examen pour meurtre

Jean-Pascal Bourdin, toujours hospitalisé au service des grands brûlés du CHU de Bordeaux, a été mis en examen pour meurtre par conjoint. Il est accusé d'avoir provoquer la mort de sa compagne, en l'agressant physiquement puis de l'avoir ligotée avant d'incendié leur maison.
Jean-Pascal Bourdin, âgé d'une cinquantaine d'années, a été placé en garde à vue dans sa chambre d'hôpital et mis en examen par un juge d'instruction du pôle criminel de Poitiers. Il devrait être placé en détention provisoire au CHU Pellegrin de Bordeaux. Une information judiciaire avait été ouverte le 5 juin dernier mais, dès le départ, le compagnon de la victime avait été considéré par les enquêteurs comme le principal suspect. Son état de santé ne lui avait pas permis jusqu'alors d'être entendu.
L'homme s'était lui-même présenté à la gendarmerie de Champdeniers-Saint-Denis mais avait été immédiatement hospitalisé dans un état très grave.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2015/06/20/saint-ouenne-79-le-compagnon-de-la-victime-mis-en-examen-pour-meurtre-752217.html

Argelès : enceinte, battue et enfermée dans le coffre de la voiture par son concubin

Un homme a été condamné hier pour violences sur sa compagne qui en a réchappé en sautant en marche. C'est une situation monstrueuse de souffrance infligée à une femme pendant 7 mois entre horreur, manipulation et humanité disparue.
Un déferlement de violences aggravées et habituelles sur sa concubine, et en récidive, dont un homme d'une trentaine d'années répondait hier au tribunal correctionnel de Perpignan. Tout s'est noué il y a quelques jours au sein du couple domicilié à Argelès. Lui est titulaire d'une carte de séjour et défavorablement connu notamment pour trafic de drogue. Sa vie se résume à "trois enfants de deux unions précédentes et des conneries . » Elle, âgée de 27 ans, est enceinte de 3 mois et demi et ne répond plus aux appels de sa famille depuis qu'elle s'est installée avec lui. À souffrir en silence. Battue tous les 2 ou 3 jours.
Alors ce soir-là, chez une amie à Collioure, elle veut mourir. Elle boit, enjambe la balustrade du balcon. Est retenue par son amie qui la cache lorsque son concubin s'enrage. À 4 jours de la fin de son contrôle judiciaire. Mais qu'importe. Il attrape sa compagne par les cheveux et la force à monter dans le véhicule. La jeune femme, d'une maigreur effrayante, trouve la force d'ouvrir la portière et saute en marche. Son concubin s'arrête, l'agrippe, l'insulte et l'enferme dans le coffre de son véhicule alors qu'elle crie à la mort.
Elle ne doit d'être encore en vie qu'à des témoins qui alertent aussitôt la gendarmerie. Mais la voiture poursuit sa course à vive allure et, dans l'énergie terrifiante du désespoir, la malheureuse ouvre le coffre et se jette sur la chaussée. "Préférant mourir plutôt que de continuer à vivre ce calvaire. » À la vue des forces de l'ordre, l'homme prend la fuite, puis perd le contrôle à Port-Vendres et s'immobilise après plusieurs tonneaux.
La victime, en sang, est évacuée vers l'hôpital où elle est toujours admise avec une ITT de 15 jours. "Plaie ouverte du crâne, corps tuméfié, dermabrasions multiples, traumatismes, les deux yeux au beurre noir, lésions sexuelles… », énumère son avocat, Me Jean Codognès, telle une liste détaillée et insupportable de l'horreur. "La meilleure façon de la protéger parce qu'elle était alcoolisée et que je ne pouvais pas la contrôler  », tente vainement d'expliquer le prévenu.
Il a été condamné à 3 ans de prison dont 1 avec sursis (4 ans dont 1 avec sursis étaient requis) avec mise à l'épreuve pendant 2 ans, à la révocation d'un sursis d'un an, à l'interdiction de séjourner dans les P.-O. durant 5 ans et d'entrer en contact avec sa victime

http://www.lindependant.fr/2015/06/20/enceinte-son-ami-l-enferme-dans-le-coffre-de-la-voiture,2047110.php

Fusillade au péage de Toulouse lors de l'interception d'un go-fast

Une scène digne d'un film à grand spectacle s'est déroulée hier soir sous les yeux des automobilistes médusés qui arrivaient de l'autoroute A61 au péage du Palays, au sud de Toulouse. C'est là que les policiers du service régional de la police judiciaire de Montpellier et Toulouse (SRPJ) attendaient un go-fast, ces véhicules de grosse cylindrée chargés de stupéfiants, qui se relaient à toute allure sur les voies rapides pour transiter la drogue d'un pays à l'autre, la plupart d'entre eux venant d'Espagne.
Il est 20 h 30 environ lorsque les forces de l'ordre voient arriver le véhicule qu'ils pistent, une Porsche Cayenne noire. Mais l'interception ne se déroule pas comme prévu.
Apercevant le dispositif, le conducteur du puissant 4x4 commence par ralentir, fait demi-tour au péage et prend la fuite à contresens. Dans sa manœuvre, il percute un autre véhicule, mais cela n'arrête pas sa course. Les policiers se lancent immédiatement à sa poursuite. C'est alors que devant les automobilistes qui ralentissent en arrivant devant du péage, des coups de feu sont échangés entre la police et les malfaiteurs, au nombre de deux.
Il n'y a heureusement pas de blessés dans la fusillade.
Poursuivant sa course folle, la Porsche Cayenne quitte l'autoroute à la première occasion, direction Montgiscard, et s'engage à toute allure sur une petite départementale, la D16.
Mais à l'entrée du village de Baziège, un tir policier atteint semble-t-il les pneus du 4X4, faisant perdre au chauffeur le contrôle de son véhicule qui percute un muret et finit sa course dans le décor. Les deux individus sont immédiatement arrêtés.
L'un des deux malfaiteurs, légèrement blessé dans l'accident, est pris en charge par les pompiers et conduit au CHU de Toulouse. Un policier est également légèrement blessé.
À bord de la Porsche, les forces de l'ordre retrouvent une centaine de kilos de stupéfiants, dont on ignorait hier soir la nature.
Dans la soirée, un dispositif de gendarmerie a été mis en place pour dévier la circulation à l'entrée de Baziège, bourgade de 3 000 habitants peu habituée aux courses-poursuites
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/20/2128722-fusillade-peage-toulouse-lors-interception-go-fast.html

vendredi 19 juin 2015

Fusillades dans le centre de Grenoble : une vingtaine de coups de feux, 2 blessés

Deux fusillades ont eu lieu jeudi soir en plein centre de Grenoble, la première aux abords d'une boucherie, la seconde sur une place, faisant deux blessés sur fond de règlement de compte.
Deux fusillades ont eu lieu jeudi soir en plein centre de Grenoble, la première aux abords d'une boucherie, la seconde sur une place, faisant deux blessés sur fond de règlement de compte, a-t-on appris vendredi auprès du parquet, confirmant une information du Dauphiné Libéré. La fusillade la plus sérieuse s'est produite peu après 22h30, place Saint-Bruno, à une heure de grande fréquentation des terrasses de café.
"Une voiture avec trois individus armés jusqu'aux dents a débouché sur la place par une petite rue. Ils ont tiré 15 à 20 coups de feux dans toutes les directions", a relaté le parquet pour qui l'expédition évoquait "plus une opération pour faire peur qu'une expédition punitive". "Cela crée un climat d'insécurité violent", a déclaré le parquet qui a saisi la police judiciaire pour l'enquête.
Un miracle
Par miracle, la fusillade n'a fait qu'un blessé : un homme de 32 ans, inconnu de la police, atteint par une balle dans le mollet et dont les jours ne sont pas en danger. "Il faisait partie d'un petit groupe de cinq hommes assis à une table" qui a été visé. "Il est difficile à ce stade de savoir quelle était l'intention", a-t-on précisé. La voiture des tireur a été retrouvée brûlée à Quaix-en-Chartreuse (Isère), aux pieds des montagnes.
La place Saint-Bruno est connue pour être un place forte de trafic de drogue, soulignait vendredi le Dauphiné, une information confirmée par le parquet. De très nombreuses douilles de différents calibres (pistolet et fusil à pompe, notamment) ont été trouvées sur place. Une première fusillade avait éclaté vers 18H30 dans le quartier, aux abords d'une boucherie, et jusqu'à l'intérieur de la boutique. "Un jeune de 23 ans était poursuivi à scooter, il s'est réfugié dans la boucherie" et a reçu une balle dans chaque jambe.
Il a été amené peu avant 19H00 par des inconnus devant les urgences du CHU de Grenoble. "Il prétend qu'il ne sait pas qui lui a tiré dessus", a indiqué le parquet. Il ne souffre pas de blessures graves, les balles ayant traversé ses jambes sans créer de lésions. Les enquêteurs privilégiaient un règlement de compte pour les deux fusillades
 

Le sous-préfet Thilo Firchow suspendu, une procédure judiciaire ouverte

Thilo Firchow, secrétaire général de la préfecture de l'Aude a été suspendu de ses fonctions. Le procureur de la république de Carcassonne a ouvert une procédure judiciaire.
Les faits doivent être suffisamment graves. Thilo Firchow, secrétaire général de la préfecture de l'Aude, vient d'être suspendu de ses fonctions, avec interdiction de franchir les murs de la préfecture. Cette suspension s'accompagne d'une procédure judiciaire ouverte par le procureur de Carcassonne, Vincent Auger.
Originaire de Marseille, Thilo Firchow, 54 ans, marié, père de deux enfants, est arrivé dans l'Aude en septembre 2013, en provenance de Saint-Dizier (Haute-Marne) où il exerçait les fonctions de sous-préfet. Il avait été nommé sous-préfet par décret du président de la République, en date du 17 juillet 2014.

Juge d'instruction à Paris

Avant d'intégrer le corps préfectoral, le numéro 2 de la préfecture de l'Aude était magistrat de l'ordre judiciaire. Il a notamment exercé les fonctions de juge des enfants en 1990, puis juge d'instruction à Paris en 1993, chef de cabinet de la direction générale de la police nationale en 1998, puis chargé d'études de prévision auprès du ministère de l'intérieur.
Hier, nous avons cherché à joindre le préfet de l'Aude, Louis Le Franc, pour connaître les motivations d'une suspension aussi radicale. Fait rare dans le milieu préfectoral. Ce dernier n'a pas souhaité nous répondre, nous demandant de nous rapprocher du parquet de Carcassonne, seul habilité à s'exprimer sur cette affaire.
Joint au téléphone, le procureur de la République nous a confirmé la suspension immédiate de Thilo Firchow et l'ouverture d'une procédure judiciaire. Rien en revanche sur les faits. «Je n'exclus pas de vous transmettre par écrit un communiqué officiel dans les prochains jours, mais pas aujourd'hui (N.D.L.R. : hier), je considère que c'est trop tôt», nous a simplement précisé le procureur Vincent Auger.
Le ministère de l'Intérieur n'est pas plus loquace. «Si une procédure judiciaire est en cours nous ne pourrons pas vous dire grand-chose, mais je me renseigne et je reviens vers vous», conversation aimable avec un membre du cabinet, mais sans effet retour.
En attendant, immédiatement après sa suspension, Thilo Firchow a disparu de toutes les données officielles du site de la préfecture de l'Aude. Il n'est plus dans l'organigramme. Ni dans l'onglet curriculum vitae le concernant. On peut juste lire sous la mention «article créé le 18 septembre 2013» : «En attente de nomination». Comme si la gravité des faits reprochés à Thilo Firchow était de nature à ne plus le revoir exercer au sein de la préfecture de l'Aude...
 

jeudi 18 juin 2015

VIDEO. Guy Piérauld, la voix de Bugs Bunny, est décédé

hebergement d'image Vous ne connaissez pas son nom, mais sa voix, certainement. Voix française du lapin Bugs Bunny pendant près de quarante ans, Guy Piérauld est décédé mercredi à l’âge de 90 ans, selon la page Facebook de la Gazette du doublage.

Woody Woodpecker, Dupont…

Bugs Bunny pendant près de quarante ans, Guy Piérauld était avec son timbre de voix très cartoonesque l’une des plus célèbre voix françaises du doublage d’animation. Woody Woodpecker, c’était lui, tout comme Kiri le clown, et l’un des Dupont de Tintin.
Il doublait aussi des acteurs et fut la voix de Red Buttons dans la série Max La Menace. Il menait en parallèle une carrière d’acteur et joua pour Alain Resnais et François Truffaut. De 1992 à 1994, il était aussi Monsieur Albert dans la série de TF1 Le miel et les abeilles.
http://www.20minutes.fr/culture/1634651-20150618-video-guy-pierauld-voix-bugs-bunny-decede

Un homme blessé par balle la nuit dernière à Nice

A la suite d'un appel sur le 17, un homme de 34 ans a été trouvé blessé par balle ce jeudi matin vers 4h30 à Nice dans le quartier des Moulins, rue des Mahonias.
Secouru dans un état critique, il a été transporté en urgence absolue aux urgences.
Le blessé aurait été déposé plus tôt dans la nuit par des individus qui ont pris la fuite.
http://www.nicematin.com/nice/un-homme-blesse-par-balle-la-nuit-derniere-a-nice.2255120.html

Narbonne : un octogénaire "perdu" fait 15 km à contresens sur l'A9

L 'octogénaire "perdu" a fait environ 15 km à contresens sur l'autoroute A9.
Selon une information diffusée sur Lindependant.fr, mardi à mi-journée, un octogénaire a roulé une dizaine de kilomètres à contresens sur l'A9 entre Narbonne et l'aire de Bages sans causer d'accident. Selon nos confrères, l'homme "désorienté et tenant des propos incohérents"  a finalement  été pris en charge par sa famille.
http://www.midilibre.fr/2015/06/17/narbonne-un-octogenaire-perdu-fait-15-km-a-contresens-sur-l-a9,1177084.php

mercredi 17 juin 2015

Nord: un garçon de 7 ans se noie

Un garçon de 7 ans s'est noyé mercredi après-midi à Méteren (Nord) dans un bassin de rétention d'eau situé sur une propriété privée, a annoncé le parquet de Dunkerque.

"Un enfant de 7 ans a été découvert dans un bassin de rétention, noyé. Les premiers éléments de l'enquête portent à croire qu'il s'agit d'une noyade accidentelle", a indiqué le parquet. Le garçon habitait la commune. Les circonstances de sa présence dans le bassin de rétention, "en construction", n'étaient pas connues.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/17/97001-20150617FILWWW00280-nord-un-garcon-de-7-ans-se-noie.php

Meurtre du chantier : la soirée a viré au drame

À Saint-Gaudens, Malika Karimi était «bien connue». «Avenante», «très amicale», cette mère de famille de 43 ans se liait facilement et, le week-end, «aimait s'amuser et faire la fête». Mais une de ces nuits de fête, celle du 5 février 2012, a tourné au drame. Son compagnon d'un soir, un ouvrier portugais, comparaît depuis hier et jusqu'à mercredi devant les assises de la Haute-Garonne pour «viol» et «meurtre». Peu disert, Helder Barbosa est resté sur ses positions : une relation consentie sur le chantier où il travaillait, à Villeneuve-de-Rivière, après une nuit passée au Dancing, la boîte tout près. Puis une dispute qui a mal tourné.
Tous deux s'étaient rencontrés fortuitement quelques heures plus tôt. Entendu hier, un ami avec lequel se trouvait alors Malika souligne avoir été «frappé par l'insistance» de cet homme «à rencontrer des femmes» ce soir-là. Au cours de la soirée, les différents témoins ne les ont pas décrits comme un couple. Malika a côtoyé des amis, a également dansé seule. C'est seulement en fin de soirée qu'ils ont quitté le Dancing ensemble, après avoir beaucoup bu. À un moment donné, le videur du Dancing se souvient avoir «eu un petit souci avec le monsieur» à cause de la boisson. Il surveillait aussi «la dame, une habituée». «Elle était toujours polie, gentille. Mais elle côtoyait parfois des personnes qui posaient problème».
Réquisitions, plaidoiries et verdict attendu demain.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/17/2126260-meurtre-du-chantier-la-soiree-a-vire-au-drame.html

mardi 16 juin 2015

Accident de scooter mortel à Lanvéoc (29)

Un homme de 25 ans perdu la vie dans un accident de la route, la nuit dernière, à Lanvéoc, dans le Finsitère.

Il aurait perdu le contrôle de son scooter dans un virage, et terminé sa course quelques mètres plus bas dans un fossé.

C'est là que la victime et son deux roues ont été découvert en fin de matinée.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2015/06/14/accident-de-scooter-mortel-lanveoc-29-746915.html

Fusillade à La Ferté-sous-Jouarre : l'un des braqueurs se tue en fuyant

Quatre des cinq malfaiteurs à l’origine d’une fusillade qui a éclaté ce mardi matin en pleine rue dans le centre-ville de La Ferté-sous-Jouarre ce mardi matin ont été interpellés peu après 10h15 dans un village situé à une dizaine de kilomètres de là.
Le cinquième est mort
L’échange de tirs a eu lieu peu après 10 heures entre les braqueurs d’une bijouterie, rue des Pelletiers, et des policiers municipaux de La Ferté-sous-Jouarre. Quand, alertés par des témoins de l'attaque, les fonctionnaires municipaux armés sont intervenus. Quatre hommes armés venaient d'attaquer le bijoutier, un complice les attendait dans la rue au volant d'une voiture, prêt à prendre la fuite.

Les malfaiteurs portaient des brassards «police»

Le commerçant a été grièvement blessé d'au moins un coup de masse sur le crâne. Après avoir échangé quelques coups de feu avec les policiers municipaux, les cinq malfaiteurs, qui portaient des brassards avec la mention «police», sont parvenus à prendre la fuite à bord d'une voiture noire immatriculée dans le Val-de-Marne, en direction du sud-ouest, vers Crécy-la-Chapelle.

A Pierre-Levée, à mi-chemin entre La Ferté-sous-Jouarre et Crécy-la-Chapelle, la voiture des malfaiteurs, poursuivie par les gendarmes, roulait à très vive allure lorsqu’elle a percuté un camion dans l'artère principale du village. Il était 10h15, les militaires ont procédé à l’interpellation des fuyards blessés et alerté les secours. L'un des occupants de la voiture accidenté était mort.
Sur place à 11 heures, un journaliste du Parisien constatait la présence d’une dizaine de véhicules du Samu, des pompiers et de gendarmerie. Le parquet de Meaux a confié l'enquête à la police judiciaire de Meaux.
 

«J'ai vu la voiture des malfaiteurs s'encastrer dans le camion»

Maryse Bailleul, policière municipale à Lagny-sur-Marne, était en route pour prendre son service quand elle a assisté à la collision entre la voiture des braqueurs de la bijouterie et le camion, à Pierre-Levée, ce mardi matin. "Une voiture m'a doublée au moins à 90km/h au niveau de la mairie de Pierre-Levée. Il était 10h15. Puis cette voiture s'est encastrée dans un camion garé dans le virage de la Grand Rue. Je me suis arrêtée et je suis allée prêter assistance aux blessés. Sur le moment je n'en ai vu que deux mais j'ai appris ensuite qu'ils étaient plus nombreux à bord", témoigne la fonctionnaire. "Lorsque j'ai vu les gendarmes arriver et sortir avec des fusils j'ai compris que les occupants de la voiture étaient des malfaiteurs. J'ai alors aidé à évacuer et mettre en sécurité les habitants qui avaient été témoin de l'impact", raconte Maryse Bailleul.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77

Toulouse : deux policiers blessés lors d'une intervention au Mirail

Soirée agitée, hier, dans le quartier du Mirail, à Toulouse. Une patrouille de police de la Brigade anticriminalité a été prise à partie par un groupe d'une trentaine de personnes après le contrôle d'un véhicule aux alentours de 22h30, cheminement Edgar Varese. Les policiers ont reçu des jets de projectiles. Ils ont dû faire usage du flash-ball pour se dégager et faire appel à des renforts. Deux policiers ont été blessés. Il n'y a pas eu d'interpellation.
Les deux principaux syndicats de policiers, Alliance et Unité SGP-FO, condamnaient ce matin cette agression et pointaient des événements "récurrents". Dans la nuit de dimanche à lundi, des policiers avaient également été caillassés quartier de la Reynerie et avaient dû tirer deux coups de flash-ball pour se dégager.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/16/2125733-toulouse-deux-policiers-blesses-lors-d-une-intervention-au-mirail.html

Un jeune skieur lorrain se tue en VTT dans les Alpes

C'est une terrible nouvelle qui vient de frapper le monde du ski vosgien et même français que rapportent nos confrères de Vosges Matin.
Âgé de 24 ans, le Gérômois Romain Claudon, technicien de l'équipe de France de ski de fond, s'est tué accidentellement dimanche à La Féclaz (Savoie) en faisant une lourde chute en VTT et n'a malheureusement pas survécu à ses blessures.
Plus d'informations sur le site de Vosges Matin.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/06/15/un-jeune-skieur-lorrain-sur-tue-en-vtt-dans-les-alpes

lundi 15 juin 2015

LOIRE. Jonzieux : une femme grièvement brûlée en cuisinant

Dimanche, les pompiers sont intervenus au lieu-dit La Rouchouse, à Jonzieux, pour une personne grièvement brûlée. Une femme d’une soixantaine d’années souffrait de sérieuses brûlures aux avant-bras et aux jambes, qui ont nécessité son transport par hélicoptère sur l’hôpital des grands brûlés de Lyon.
Les pompiers de Jonzieux et Saint-Genest-Malifaux ont dû attendre le renfort de leurs collègues de Firminy, avec leur grande échelle, pour pouvoir la sortir de chez elle avant d’être héliportée.
C’est en cuisinant à proximité d’un liquide inflammable que l’accident se serait produit
http://www.leprogres.fr/loire/2015/06/15/une-femme-grievement-brulee-en-cuisinant

Bergerac : un élu victime d'un grave accident de moto

Alain Céréa est hospitalisé à Bordeaux, souffrant de multiples fractures et d'un traumatisme crânien
Alain Céréa, conseiller municipal de Bergerac, élu l'an dernier sur la liste de Daniel Garrigue, est hospitalisé à Bordeaux.

Il a été victime, vendredi soir, d'un grave accident de la circulation, alors qu'il roulait, à moto, sur la départementale 32 à Prigonrieux.
Héliporté à Bordeaux, Alain Céréa, âgé de 61 ans, souffre de multiples fractures, ainsi que d'un traumatisme crânien. Il a été plongé samedi dans un coma artificiel.
Alain Céréa (Modem) est délégué à la prospective et au numérique, auprès de Liliane Brandely pour les questions relatives au développement économique et d'Alain Gipoulou pour le sport.
http://www.sudouest.fr/2015/06/15/bergerac-un-elu-victime-d-un-grave-accident-de-moto-1951803-4835.php

Un homme jugé à Pontoise pour avoir tué Maeva, 23 ans, d'une dizaine de coups de batte de baseball

Les éclaboussures de sang maculent la chambre des murs au plafond. Dans le lit, le petit Lorenzo, un an, hurle à pleins poumons, le bras coincé sous le corps sans vie de sa mère. C’est une scène d’horreur qu’a découvert Alan, le 8 avril 2012, en rentrant chez lui après son travail. Maeva, sa compagne âgée de 23 ans, vient d’être tuée d’une dizaine de coups de batte de baseball dans leur logement de la petite commune de Chérence (Val d’Oise).
Toute la semaine, Alain Berruet va devoir répondre de cet « assassinat » devant la cour d’assises de Pontoise (Val-d’Oise). Cet homme de 63 ans n’a pas reconnu les faits tout de suite. Ami du père de la victime, il a fait mine de l’épauler des mois durant, allant même, selon un témoignage cité par l’Agence France Presse, jusqu’à l’accompagner pour choisir la couronne mortuaire de sa fille.

« Il aurait décidé de se faire justice tout seul »

Finalement confondu par la présence de sa fourgonnette sur les lieux du crime, l’accusé a fini par reconnaître les faits en garde à vue, les justifiant par « un coup de folie ». « C’est l’histoire d’un homme ordinaire dépassé par une situation extraordinaire », explique à 20 Minutes, Philippe Louis, son avocat. Pour la comprendre, il faut remonter près de dix mois avant la nuit du drame.
Ce jour-là, Rodolphe, le fils d’Alain Berruet se tue en voiture. Terrassé par le chagrin, le sexagénaire ne comprend pas ce qui a conduit son fils à rouler bien trop vite et sous l’emprise de l’alcool. Il se remémore alors l’histoire d’amour que Rodolphe a entretenue avec Maeva bien des années auparavant.
Son fils ne supportait pas la rupture. Et les deux anciens amants continuaient à s’échanger des SMS. « Jusqu’à ce jour où elle lui a fait comprendre que c’était vraiment fini », poursuit Philippe Louis. Alain Berruet se serait alors imaginé que c’est à cause de la jeune femme que son fils s’est tué, ce soir-là, en voiture. « Il s’est monté la tête et aurait décidé de se faire justice tout seul… », raconte encore son avocat.

Il est retourné chez lui prendre des gants

Le coup de folie ? Les parents de Maeva n’y croient pas. « C’est contradictoire avec l’enquête, lance ainsi Ariane Lachenaud, leur avocate jointe par 20 Minutes. Alain Berruet assure être passé devant le cimetière où son fils est enterré. Il est ensuite retourné chez lui prendre des bottes et des gants pour ne pas laisser de trace avant de retourner chez Maeva. Cela prouve bien que les faits étaient prémédités. »
C’est en tout cas l’hypothèse qu’ont retenu les juges d’instruction durant l’enquête. Renvoyé pour « assassinat » devant la cour d’assises, Alain Berruet encourt donc la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict sera rendu vendredi.

http://www.20minutes.fr/societe/1630951-20150615-homme-juge-pontoise-avoir-tue-maeva-23-ans-dizaine-coups-batte-baseball

Un corps sans vie repêché dans le canal

Un corps sans vie a été repêché dans le canal à Palétès, près de Saint-Girons, hier, en fin d'après-midi. C'est un promeneur qui a fait la macabre découverte et prévenu les secours. Le corps se trouvait pris dans des grilles qui ferment le canal.
Les pompiers de Saint-Girons ont été prévenus et la malheureuse victime a pu être enlevée de l'eau, après avoir été dégagée.
Il s'agit d'un homme de 32 ans, qui a pu être très rapidement identifié, mais son identité n'a pas été révélée. Il ne demeurerait pas dans le département. Sa disparition n'avait pas été signalée.
Les gendarmes de Saint-Girons se trouvaient sur les lieux de la découverte macabre. L'homme portait des habits de pêche lorsqu'il a été retrouvé, ce qui semble accréditer la thèse accidentelle. Chute, noyade, malaise ? Une enquête a été immédiatement ouverte pour déterminer les causes de ce décès.
 

dimanche 14 juin 2015

Stains : un homme grièvement blessé par balles

Un homme âgé de 34 ans, très connu des services de police, notamment pour des affaires de stupéfiants, a été très grièvement blessé par balles samedi soir, à Stains, en Seine-Saint-Denis. Dimanche, son pronostic vital était toujours engagé.
Les faits se sont produits vers 21 h 25, à hauteur du 28, boulevard Maxime-Gorki, dans le centre-ville.
Selon les premiers éléments de l’enquête confiée au service départemental de la police judiciaire (SDPJ), l’homme sortait de sa voiture quand un véhicule s’est posté à sa hauteur. Avant qu’il ait eu le temps de réagir, un des passagers a tiré plusieurs coups de feu.
La victime a été atteinte de trois balles : au foie, au bassin et à une jambe. Sérieusement blessée, elle s’est écroulée au sol.
L’ami qui l’accompagnait n’a pas été touché. C’est lui qui a transporté la victime à l’hôpital Delafontaine, à Saint-Denis, où elle a été opérée en urgence dans la soirée de samedi.
Dès samedi soir, les enquêteurs ont procédé aux premières constatations sur place. Une des balles a été retrouvée dans la voiture de la victime, les deux autres se trouvaient au sol, à proximité. Ils ont également mené une enquête de voisinage. La victime n’a pas encore pu être entendue. Pour l’heure, les enquêteurs n’excluent aucune piste, y compris celle d’un règlement de comptes sur fond de trafic de stupéfiants.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93

Fausse manœuvre à Trondes : deux enfants percutés

Ce samedi, une fête familiale a tourné au drame sur un terrain privé de la commune de Trondes, dans le Toulois. Peu après 17 h, un jeune homme d’une vingtaine d’années se met au volant d’un 4x4 et tente une manœuvre pour le déplacer. Selon les premières constatations des gendarmes, et diverses auditions des témoins, le conducteur aurait alors perdu le contrôle de son véhicule percutant deux enfants qui passaient au même instant devant la voiture. Une fillette de 2 ans, domiciliée à Écrouves, est légèrement blessée. À ses côtés, un garçon de 3 ans, domicilié à Trondes, est lui plus sérieusement touché à la tête et au thorax notamment. Devant la gravité de ses blessures, les sapeurs-pompiers de Toul et de Nancy-Gentilly décident de faire appel à l’hélicoptère du SAMU pour un transport d’urgence à l’hôpital d’enfants de Nancy-Brabois. Le garçon y est admis vers 18 h 30. Prise en charge par une ambulance, la fillette a été également admise peu après dans le même établissement hospitalier. Cet accident a provoqué un grand émoi parmi la population de ce petit village. De nombreux badauds venant assister au ballet des secours installés à proximité du stade.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/06/13/fausse-manoeuvre-a-trondes-deux-enfants-percutes