Trois jeunes gens, Jason Ernoult, 20 ans, sa sœur de 17 ans et leur ami de 17 ans, sont morts dans une collision avec un camion poids lourd au carrefour de la D 10 et de la D21 à Campuzan.
Une véritable scène d'horreur. C'est ce qu'a découvert la propriétaire du jardin dans lequel les deux véhicules ont fini leur course. Dans la Clio, il y avait trois cadavres. Très choqué, l'un des premiers témoins de l'accident a été hospitalisé. Hier, vers 5 heures du matin, une Clio DCI blanche qui roulait sur la D21 dans le sens Castelnau-Magnoac-Campuzan a percuté avec une extrême violence un camion poids lourd de l'entreprise Libaros qui circulait sur la D 10 dans le sens Lannemezan-Mirande. Les trois occupants de la Clio sont morts sur le coup : Jason, le conducteur âgé de 20 ans et les deux passagers, la sœur du conducteur Mélissa et Rudy, âgés de 17 ans. Arrivés sur place très rapidement, les pompiers des centres de secours de Trie, Galan et Castelnau-Magnoac ont longuement désincarcéré les victimes. La voiture s'est encastrée contre un arbre et sous la violence du choc, le moteur s'est détaché du châssis. Un peu plus loin, le camion s'est renversé entre la route et la clôture démolie sur plusieurs mètres. La cabine s'est décrochée de la remorque et a tourné sur elle-même, expulsant le bloc-moteur. Évacué au centre hospitalier de Lannemezan, le chauffeur de l'entreprise Libaros est grièvement blessé mais miraculeusement, ses jours ne sont pas en danger. Le chargement du camion, qui transportait de l'enrobé, s'est déversé sur la route. «C'est la première fois que nous sommes confrontés à un tel accident», réagit le chef d'entreprise Jacques Libaros. Que s'est-il passé ? Selon les premières déclarations du chauffeur recueillies par les gendarmes de la communauté de brigades de Trie-sur-Baïse, le jeune conducteur aurait brûlé le «Stop» et le chauffeur du poids lourd n'aurait pu éviter la collision. Le conducteur, âgé de 20 ans, Jason Ernoult, roulait sans permis de conduire. Selon nos informations, il rejoignait avec sa sœur Mélissa et Rudy une mère de famille qui l'hébergeait occasionnellement à Campuzan. «C'est un refus de priorité du conducteur du véhicule léger qui est bien à l'origine de l'accident. En revanche, il n'y a rien à reprocher au chauffeur du poids lourd», confirme le vice-procureur de la République. Pour ce qui est d'une éventuelle alcoolisation ou prise de stupéfiants, il est encore trop tôt pour répondre : les prélèvements sanguins sont en cours. Bien que Michel, un agriculteur voisin, reconnaisse que «la route est mauvaise» car «elle est un peu cabossée et pas très large. Beaucoup de camions l'empruntent, notamment pour transporter du grain en cette période de récolte de maïs», le maire de la commune Guy Fontan, qui s'est rendu sur place dès les premiers instants, assure : «Ce n'est pas un endroit particulièrement accidentogène». Ce triple accident mortel porte à 15 le nombre de morts sur la route dans le département, un chiffre identique à l'an dernier au 31 octobre.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/31/2207840-trois-morts-dans-la-collision.html
samedi 31 octobre 2015
vendredi 30 octobre 2015
Bourth (27) : un chauffeur de poids lourd fait un malaise cardiaque au volant
L'homme, âgé de cinquante ans, était originaire de l'Orne. Il transportait des colis. Ce vendredi 30 octobre 2015, à 6h du matin, il a fait un malaise cardiaque au volant sur la D926 à hauteur de Bourth (27), dans le sud de l'Eure. Il était mort à l'arrivée des secours.
Le camion a quitté la route et s'est couché dans le fossé, percutant un poteau téléphonique, mais sans provoquer d'autre accident.
Rapidement mobilisés, les secours n'ont rien pu faire. Le conducteur était en arrêt cardiaque à leur arrivée.
L'homme, âgé de 50 ans, était originaire de l'Orne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/eure/bourth-27-un-chauffeur-de-poids-lourd-fait-un-malaise-cardiaque-alors-qu-il-transporte-des-colis-840863.html
Le camion a quitté la route et s'est couché dans le fossé, percutant un poteau téléphonique, mais sans provoquer d'autre accident.
Rapidement mobilisés, les secours n'ont rien pu faire. Le conducteur était en arrêt cardiaque à leur arrivée.
L'homme, âgé de 50 ans, était originaire de l'Orne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/eure/bourth-27-un-chauffeur-de-poids-lourd-fait-un-malaise-cardiaque-alors-qu-il-transporte-des-colis-840863.html
jeudi 29 octobre 2015
Migrants/Nord: des gendarmes pris à partie
Des forces de l'ordre ont été prises à partie aujourd'hui par des migrants du camp de Téteghem (Nord) dont le maire demande "le démantèlement immédiat" en raison des dangers qu'encourent les habitants de sa ville, selon lui.
Trois gendarmes ont été légèrement blessés par des jets de pierres à l'occasion d'une opération de contrôle dans ce camp situé près de Dunkerque.
Des véhicules de particuliers ont également été endommagés, a également indiqué la préfecture du Nord. «Dix-huit personnes ont été interpellées et les forces de l'ordre ont contraint les migrants à réintégrer le camp de Téteghem au sein duquel le calme est revenu», a-t-elle déclaré, ajoutant que le préfet « ne laissera pas les passeurs faire la loi au sein des camps et que les opérations de contrôle seront maintenues».
Selon le maire de Téteghem, trois pare-brises de voitures de particuliers circulant sur la voie d'accès à proximité immédiate du campement ont été brisés par ces jets de pierres.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/29/97001-20151029FILWWW00167-migrantsnord-des-gendarmes-pris-a-partie.php
Trois gendarmes ont été légèrement blessés par des jets de pierres à l'occasion d'une opération de contrôle dans ce camp situé près de Dunkerque.
Des véhicules de particuliers ont également été endommagés, a également indiqué la préfecture du Nord. «Dix-huit personnes ont été interpellées et les forces de l'ordre ont contraint les migrants à réintégrer le camp de Téteghem au sein duquel le calme est revenu», a-t-elle déclaré, ajoutant que le préfet « ne laissera pas les passeurs faire la loi au sein des camps et que les opérations de contrôle seront maintenues».
Selon le maire de Téteghem, trois pare-brises de voitures de particuliers circulant sur la voie d'accès à proximité immédiate du campement ont été brisés par ces jets de pierres.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/29/97001-20151029FILWWW00167-migrantsnord-des-gendarmes-pris-a-partie.php
mercredi 28 octobre 2015
EDF envoie une facture à un abonné décédé depuis 3 ans
Un abonné EDF a reçu dernièrement une facture de 12,82 € à payer. Problème : cet homme, Jean-Baptiste Bessière, 52 ans, est décédé en décembre 2012. EDF avait coupé le courant quelques jours avant sa mort. À la lecture de cette nouvelle facture, la sœur du défunt se dit stupéfaite.
Depuis trois ans, Martine Bessière tente de faire l'impossible deuil. Cette femme domiciliée à Ramonville-Saint-Agne reste profondément affectée après la mort de son frère Jean-Baptiste Bessière, 52 ans, dont le corps sans vie a été découvert le 11 décembre 2012, chez lui à Marseillan dans l'Hérault. Le rapport d'autopsie avait alors conclu à une mort par «hypothermie», à la suite d'un probable «malaise». Après de multiples lettres de rappel pour factures impayées, EDF avait coupé le courant quelques jours avant le drame. Effroyable cynisme de cette affaire, Jean-Baptiste Bessière vient de recevoir une nouvelle facture d'EDF, une régularisation d'un montant de 12,82 € datée du 24 septembre 2015, soit près de trois ans après sa mort ! «C'est une horreur absolue !», réagit Martine, qui ne comprend pas pourquoi ce géant de l'énergie hexagonale ne prend pas davantage d'égards dans la gestion du dossier sensible de son défunt frère. «Quand j'ai découvert cette facture, je pensais au moins qu'EDF aurait eu des mots réconfortants et adaptés à la situation. Il n'en est rien», se désole-t-elle, les larmes aux yeux. Une facture indélicate qui replonge Martine dans une incommensurable douleur.
«À la suite de la plainte d'une association de consommateurs contre EDF, qui n'avait pas répercuté une hausse de 5 % sur ses tarifs en juillet 2012, contrairement à ses concurrents, ce correctif intervient après une décision de justice nous obligeant à facturer les consommateurs. Les clients ont donc reçu ces dernières semaines, le montant de la régularisation», indique un conseiller EDF, joint au téléphone.
La société d'énergie réclamait à Jean-Baptiste Bessière, en 2012, la somme de 861, 30 €, pénalités incluses. À ce jour, EDF n'est nullement mise en cause par la justice dans la mort de Jean-Baptise Bessière. Une avocate toulousaine mandatée par la sœur du malheureux demande à se faire transférer les pièces du dossier après une plainte déposée à Montpellier, en février 2013. En grande difficulté physique et sociale, Jean-Baptiste Bessière, amoureux de jazz et passionné de culture, vivait seul dans la maison familiale de Marseillan. Le Pôle des solidarités de la direction de l'espace logement, à Montpellier, lui avait refusé une aide financière, en octobre 2012. Ce n'est que quelques semaines après sa mort qu'une indemnité journalière de son arrêt maladie s'élevant à 1 500 € lui est versée, somme due depuis juillet 2012 après un retard de la sécu. Trop tard. Un immense gâchis. «Cette somme aurait largement pu l'aider à payer ces factures d'EDF», murmure Martine, en feuilletant l'album de photos souvenirs consacrés à son petit frère
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/28/2206110-edf-envoie-facture-abonne-decede-depuis-3-ans.html
Depuis trois ans, Martine Bessière tente de faire l'impossible deuil. Cette femme domiciliée à Ramonville-Saint-Agne reste profondément affectée après la mort de son frère Jean-Baptiste Bessière, 52 ans, dont le corps sans vie a été découvert le 11 décembre 2012, chez lui à Marseillan dans l'Hérault. Le rapport d'autopsie avait alors conclu à une mort par «hypothermie», à la suite d'un probable «malaise». Après de multiples lettres de rappel pour factures impayées, EDF avait coupé le courant quelques jours avant le drame. Effroyable cynisme de cette affaire, Jean-Baptiste Bessière vient de recevoir une nouvelle facture d'EDF, une régularisation d'un montant de 12,82 € datée du 24 septembre 2015, soit près de trois ans après sa mort ! «C'est une horreur absolue !», réagit Martine, qui ne comprend pas pourquoi ce géant de l'énergie hexagonale ne prend pas davantage d'égards dans la gestion du dossier sensible de son défunt frère. «Quand j'ai découvert cette facture, je pensais au moins qu'EDF aurait eu des mots réconfortants et adaptés à la situation. Il n'en est rien», se désole-t-elle, les larmes aux yeux. Une facture indélicate qui replonge Martine dans une incommensurable douleur.
«À la suite de la plainte d'une association de consommateurs contre EDF, qui n'avait pas répercuté une hausse de 5 % sur ses tarifs en juillet 2012, contrairement à ses concurrents, ce correctif intervient après une décision de justice nous obligeant à facturer les consommateurs. Les clients ont donc reçu ces dernières semaines, le montant de la régularisation», indique un conseiller EDF, joint au téléphone.
Plainte déposée
Une facture envoyée automatiquement à tous les clients concernés par le contrat «Tarif bleu» et parmi eux, Jean-Baptiste Bessière pourtant décédé depuis bientôt trois ans. «Tout changement de situation de nos clients est pourtant pris en compte», s'étonne, navré, ce même conseiller. «J'avais pourtant envoyé à un EDF un certificat de décès de mon frère, poursuit Martine, ils étaient au courant.»La société d'énergie réclamait à Jean-Baptiste Bessière, en 2012, la somme de 861, 30 €, pénalités incluses. À ce jour, EDF n'est nullement mise en cause par la justice dans la mort de Jean-Baptise Bessière. Une avocate toulousaine mandatée par la sœur du malheureux demande à se faire transférer les pièces du dossier après une plainte déposée à Montpellier, en février 2013. En grande difficulté physique et sociale, Jean-Baptiste Bessière, amoureux de jazz et passionné de culture, vivait seul dans la maison familiale de Marseillan. Le Pôle des solidarités de la direction de l'espace logement, à Montpellier, lui avait refusé une aide financière, en octobre 2012. Ce n'est que quelques semaines après sa mort qu'une indemnité journalière de son arrêt maladie s'élevant à 1 500 € lui est versée, somme due depuis juillet 2012 après un retard de la sécu. Trop tard. Un immense gâchis. «Cette somme aurait largement pu l'aider à payer ces factures d'EDF», murmure Martine, en feuilletant l'album de photos souvenirs consacrés à son petit frère
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/28/2206110-edf-envoie-facture-abonne-decede-depuis-3-ans.html
mardi 27 octobre 2015
Un camion chute dans l'Ariège
Grosse frayeur pour le chauffeur espagnol. Hier, en début d'après-midi, un camion a raté un virage 2,5 km après Ax-les-Thermes. Après avoir arraché la glissière de sécurité sur plusieurs mètres, et un tonneau plus tard, le poids lourd - et son chargement de farine de son (céréales) - a fini sa course dans l'Ariège. Plus de peur que de mal, le chauffeur n'a été que légèrement blessé. En état, de choc, il a tout de même été transporté au centre hospitalier du Vald-Ariège. L'accident a mobilisé d'importants moyens. Du côté des gendarmes, la brigade motorisée de Foix et la brigade d'Ax étaient sur place. Côté pompiers, des effectifs sont venus d'Ax et de Vèbre ; l'équipe spécialisée dans les interventions aquatiques est aussi intervenue afin de récupérer les débris de camion dans la rivière. Un technicien spécialisé dans les risques technologiques a également été dépêché sur place. A priori, pas de risque de pollution de l'Ariège. En 2013, deux camions avaient manqué ce même virage, quelques mètres avant le pont de Berduquet (entre Ax et Mérens) à deux jours d'intervalle. L'accident d'hier est le sixième… en six ans.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/27/2205454-un-camion-chute-dans-l-ariege.html#df1tFvYZGDtPf2Ch.99
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/27/2205454-un-camion-chute-dans-l-ariege.html#df1tFvYZGDtPf2Ch.99
lundi 26 octobre 2015
Lagardelle-sur-Lèze : un homme et une femme blessés par des tirs de fusil de chasse
Un homme d'une cinquantaine d'années et une femme de 42 ans ont été blessés, dimanche soir, peu après 21h, par des tirs de fusil de chasse à Lagardelle-sur-Lèze. Leur pronostic vital n'est pas engagé. Ils ont été secourus par les pompiers. Une enquête de gendarmerie est ouverte.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/26/2204791-homme-femme-blesses-tirs-fusil-chasse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/26/2204791-homme-femme-blesses-tirs-fusil-chasse.html
dimanche 25 octobre 2015
Un homme interpellé après avoir tenté de tuer sa mère dans son sommeil
Un homme âgé de 39 ans, originaire de Marseille, a été interpellé à Vallouise (Hautes-Alpes) et placé en garde à vue après avoir voulu tenter de tuer sa mère dans son sommeil
Selon les premiers éléments de l'enquête, qui a été confiée à la gendarmerie, l'auteur présumé des coups de couteau a poignardé vendredi soir au cou et au thorax sa mère à son domicile avant de vouloir se suicider.
Hospitalisée dans un état critique, la mère, âgée de 59 ans, a été opérée ce week-end mais son pronostic vital est réservé.
L'auteur présumé des coups de couteau, inconnu de la justice, devait être présenté ce dimanche après-midi à un juge d'instruction isérois en vue d'une mise en examen pour "tentative d'homicide sur ascendant".
http://www.sudouest.fr/2015/10/25/un-homme-interpelleapres-avoir-tente-de-tuer-sa-mere-dans-son-sommeil-2165342-7.php
Selon les premiers éléments de l'enquête, qui a été confiée à la gendarmerie, l'auteur présumé des coups de couteau a poignardé vendredi soir au cou et au thorax sa mère à son domicile avant de vouloir se suicider.
"Le fils affirme dans ses déclarations avoir eu l'intention de mettre fin à ses jours par asphyxie après avoir tué sa mère. N'y étant pas parvenu, il a finalement décidé d'appeler les secours pour tenter de la sauver" a précisé le procureur de la République de Gap.L'homme a affirmé ne pas avoir pris de médicaments. Des analyses ont été lancées pour vérifier s'il avait consommé de l'alcool ou des stupéfiants.
Hospitalisée dans un état critique, la mère, âgée de 59 ans, a été opérée ce week-end mais son pronostic vital est réservé.
L'auteur présumé des coups de couteau, inconnu de la justice, devait être présenté ce dimanche après-midi à un juge d'instruction isérois en vue d'une mise en examen pour "tentative d'homicide sur ascendant".
http://www.sudouest.fr/2015/10/25/un-homme-interpelleapres-avoir-tente-de-tuer-sa-mere-dans-son-sommeil-2165342-7.php
Il serait né à Albi mais ne sait plus qui il est
Une agression, la mort de sa femme, un choc post-traumatique et sa vie a basculé. Devenu amnésique, Jean-Claude ne sait plus qui il est et ne possède plus aucun papier d'identité. Seule piste : il serait né à Albi et aurait été Compagnon du devoir à Toulouse
Eva Tochou, chargée de son dossier au centre d'hébergement et de réinsertion «L'Accueil provençal» à Toulon, espère vite retrouver son identité. «Ce monsieur est présent dans notre institution depuis le 19 décembre 2013. Il n'a pas de carte nationale d'identité et aucun justificatif, raconte-t-elle. Et sans identité, nous ne pouvons rien faire : pas d'allocation, pas de logement.» En résumé, il serait condamné à vivre dans ce centre d'hébergement réservé normalement aux urgences.
Tout commence le 12 décembre 2013 où les services d'urgence sociale du 115 recueillent Jean-Claude, après que l'homme ait été agressé dans la rue, à Toulon. à nos confrères de Var matin, il raconte qu'à l'époque, il vivait dehors, du côté de la gare, depuis 7 ou 8 mois.
Pour Eva Tochou, cette période a en fait pu durer 3 ou 4 ans. «Compte tenu de son état, il est très difficile de retracer exactement sa vie».
«Jusqu'à présent, rien ne nous a permis réellement d'apporter des réponses à nos questions, explique Eva Tochou. Pour tenter d'en savoir plus nous nous tournons vers la presse. Nous espérons que des lecteurs ou des internautes reconnaîtront Jean-Claude, voire que certains l'ont croisé au cours de leur vie».
Un article a déjà été publié dans le journal quotidien de Toulon, Var matin.
«En publiant son histoire dans La Dépêche du Midi, j'espère en savoir plus sur la partie de la vie de Jean-Claude qui se serait déroulée à Albi et à Toulouse», s'encourage Eva Tochou.
Si vous reconnaissez cet homme, vous pouvez contacter Eva Tochou au 04 94 24 05 48 ou par mail à equipechrsap@gmail.com
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/25/2204224-serait-albi-sait-plus-est.html
Eva Tochou, chargée de son dossier au centre d'hébergement et de réinsertion «L'Accueil provençal» à Toulon, espère vite retrouver son identité. «Ce monsieur est présent dans notre institution depuis le 19 décembre 2013. Il n'a pas de carte nationale d'identité et aucun justificatif, raconte-t-elle. Et sans identité, nous ne pouvons rien faire : pas d'allocation, pas de logement.» En résumé, il serait condamné à vivre dans ce centre d'hébergement réservé normalement aux urgences.
Entre 73 et 75 ans et deux enfants
Son âge ? «Il aurait entre 73 et 75 ans. Nous pensons, d'après nos recherches, qu'il a travaillé dans les métiers du bâtiment et peut-être chez les Compagnons du devoir. Il aurait été marié avec une dame qui se prénommait Marie-Jeanne et aurait eu deux enfants», précise Eva Tochou.Tout commence le 12 décembre 2013 où les services d'urgence sociale du 115 recueillent Jean-Claude, après que l'homme ait été agressé dans la rue, à Toulon. à nos confrères de Var matin, il raconte qu'à l'époque, il vivait dehors, du côté de la gare, depuis 7 ou 8 mois.
Pour Eva Tochou, cette période a en fait pu durer 3 ou 4 ans. «Compte tenu de son état, il est très difficile de retracer exactement sa vie».
Un mystérieux parcours
L'assistante sociale s'est adressée à différents organismes (CPAM, hôpitaux, Urssaf, etc.) pour tenter, telle une enquêtrice de la police, d'éclaircir le mystérieux parcours de Jean-Claude.«Jusqu'à présent, rien ne nous a permis réellement d'apporter des réponses à nos questions, explique Eva Tochou. Pour tenter d'en savoir plus nous nous tournons vers la presse. Nous espérons que des lecteurs ou des internautes reconnaîtront Jean-Claude, voire que certains l'ont croisé au cours de leur vie».
Un article a déjà été publié dans le journal quotidien de Toulon, Var matin.
«En publiant son histoire dans La Dépêche du Midi, j'espère en savoir plus sur la partie de la vie de Jean-Claude qui se serait déroulée à Albi et à Toulouse», s'encourage Eva Tochou.
Si vous reconnaissez cet homme, vous pouvez contacter Eva Tochou au 04 94 24 05 48 ou par mail à equipechrsap@gmail.com
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/25/2204224-serait-albi-sait-plus-est.html
samedi 24 octobre 2015
Décès de l'actrice Maureen O'Hara à 95 ans
L'actrice irlando-américaine Maureen O'Hara, célèbre pour ses rôles dans le cinéma classique américain des années 40 et 50, est morte de cause naturelle à l'âge de 95 ans, a annoncé son agent samedi.L'actrice avait notamment tourné dans des films de John Ford "Quelle était verte ma vallée" (1941) et "L'homme tranquille" (1952) et d'Henry King "Le cygne noir" (1942).
Elle s'est éteinte tranquillement à son domicile à Boise, dans l'Idaho, entourée des membres de sa famille et en train d'écouter la bande originale de "L'homme tranquille", "sa musique préférée", selon son agent et co-auteur de ses mémoires Johnny Nicoletti.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/24/97001-20151024FILWWW00145-deces-de-l-actrice-maureen-o-hara-a-95-ans.php
Deux personnes emportées par une vague à St Briac sur mer (35)
Une femme âgée d'environ 55 ans et un homme d'une soixantaine d'années ont été happés par une vague, alors qu'ils pêchaient cet après-midi à la pointe de la Garde Guérin, à St Briac
A l'arrivée des secours, l'homme était en arrêt cardio respiratoire, la femme en état d'hypothermie. Une quinzaine de pompiers de St Briac, Dinard et St Malo ont pris en charge les victimes.
Elles ont été transportées à l'hôpital.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/deux-personnes-emportees-par-une-vague-st-briac-sur-mer-35-836431.html
Une personne s'est jetée à l'eau pour les sauver
Un surfeur les a aidés à regagner les rochers, un promeneur s'est aussi jeté à l'eau pour les secourir.A l'arrivée des secours, l'homme était en arrêt cardio respiratoire, la femme en état d'hypothermie. Une quinzaine de pompiers de St Briac, Dinard et St Malo ont pris en charge les victimes.
Elles ont été transportées à l'hôpital.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/deux-personnes-emportees-par-une-vague-st-briac-sur-mer-35-836431.html
Il court après sa compagne pour l'étrangler
Il était presque minuit, jeudi, lorsque les policiers sont intervenus, boulevard Scaliger, pour venir en aide à une jeune femme en détresse. Âgée de 27 ans, elle s'était réfugiée avec son enfant de 18 mois dans une boulangerie pour échapper à son compagnon. Celui-ci, saoul, pieds nus et en caleçon, la cherchait encore dans la rue lorsqu'il a été interpellé. Placé encellule de dégrisement, l'homme de 28 ans, déjà connu pour des faits similaires sur une ex-compagne, a été présenté devant le parquet hier soir et devrait rapidement répondre de ses actes devant un juge. D'après les éléments de l'enquête, une dispute conjugale serait à l'origine de l'accès de violence de l'Agenais qui avait près de 1,80 g d'alcool dans le sang. Dans sa frénésie, il a tenté d'étrangler sa compagne, au point de laisser d'impressionnants stigmates sur son cou. Les bruits de la dispute ont réveillé le bébé et sa mère a pu le prendre dans sa fuite, son agresseur sur les talons. À l'heure actuelle, la mère est hors de danger, même si les médecins lui ont prescrit 3 jours d'ITT, et garde son enfant avec elle. Un autre enfant, une petite fille de 7 ans, que l'homme violent a eu avec une précédente compagne et qui vivait avec le couple, a été placée sous la garde de sa grand-mère maternelle.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/24/2204047-il-court-apres-sa-compagne-pour-l-etrangler.html#Y4MpwIfkdOzqc8UE.99
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vendredi 23 octobre 2015
Le PDG d'Eiffage Pierre Berger est mort, annonce le groupe de BTP
Le groupe français de BTP et de concessions Eiffage a annoncé vendredi le décès de son PDG Pierre Berger, âgé de 47 ans, qui avait succédé au fondateur Jean-François Roverato à la tête d'Eiffage en août 2012.
"Eiffage annonce avec une grande émotion et une profonde tristesse que son président directeur général, Pierre Berger, est décédé cette nuit", indique le communiqué.
Le patron d'Eiffage a été victime d'une crise cardiaque, a déclaré à l'AFP le groupe, dont le conseil d'administration va se réunir lundi à une heure qui n'est pas encore fixée.
Jean-François Roverato, 71 ans, doit normalement participer à ce conseil d'administration en sa qualité de vice-président administrateur référent, selon la même source.
L'action du groupe, qui a construit le viaduc de Millau, reculait de 2,34% vendredi à 11H30 (09H30 GMT) à la Bourse de Paris. Depuis la nomination de Pierre Berger au poste de PDG le 29 août 2012, le titre est passé de 22,90 euros à 53,69 euros, jeudi soir à la clôture.
"Pour nous, c'est une profonde émotion et tristesse", a expliqué à l'AFP Philippe Luppo, coordinateur CFDT du groupe Eiffage.
"Pierre Berger était vraiment l'homme qui a su succéder à Jean-François Roverato, notre ancien PDG, un homme assez charismatique", a-t-il souligné.
"Lui non plus ne manquait pas de charisme pour diriger le groupe Eiffage", a assuré le dirigeant syndical.
Pierre Berger, polytechnicien et diplômé de l'école des Ponts et Chaussées, a été nommé président de Vinci Construction Grands Projets en 2005 puis à partir de 2007 a occupé en parallèle les fonctions de directeur général, en charge des travaux public, de Vinci Construction France.
Il a été choisi par le conseil d'administration d'Eiffage pour devenir directeur général délégué du groupe en décembre 2010, un poste de numéro 2 derrière Jean-François Roverato en attendant de prendre sa suite à la tête du troisième groupe de BTP français, derrière Vinci et Bouygues.
Eiffage a réalisé l'an passé un chiffre d'affaires de 13,98 miliards d'euros.
Le groupe emploie près de 70.000 collaborateurs autour de cinq métiers: concessions et partenariats public-privé (PPP), construction, travaux publics, énergie et métal.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/23/2203513-eiffage-annonce-le-deces-de-son-pdg-pierre-berger.html
"Eiffage annonce avec une grande émotion et une profonde tristesse que son président directeur général, Pierre Berger, est décédé cette nuit", indique le communiqué.
Le patron d'Eiffage a été victime d'une crise cardiaque, a déclaré à l'AFP le groupe, dont le conseil d'administration va se réunir lundi à une heure qui n'est pas encore fixée.
Jean-François Roverato, 71 ans, doit normalement participer à ce conseil d'administration en sa qualité de vice-président administrateur référent, selon la même source.
L'action du groupe, qui a construit le viaduc de Millau, reculait de 2,34% vendredi à 11H30 (09H30 GMT) à la Bourse de Paris. Depuis la nomination de Pierre Berger au poste de PDG le 29 août 2012, le titre est passé de 22,90 euros à 53,69 euros, jeudi soir à la clôture.
"Pour nous, c'est une profonde émotion et tristesse", a expliqué à l'AFP Philippe Luppo, coordinateur CFDT du groupe Eiffage.
"Pierre Berger était vraiment l'homme qui a su succéder à Jean-François Roverato, notre ancien PDG, un homme assez charismatique", a-t-il souligné.
"Lui non plus ne manquait pas de charisme pour diriger le groupe Eiffage", a assuré le dirigeant syndical.
Pierre Berger, polytechnicien et diplômé de l'école des Ponts et Chaussées, a été nommé président de Vinci Construction Grands Projets en 2005 puis à partir de 2007 a occupé en parallèle les fonctions de directeur général, en charge des travaux public, de Vinci Construction France.
Il a été choisi par le conseil d'administration d'Eiffage pour devenir directeur général délégué du groupe en décembre 2010, un poste de numéro 2 derrière Jean-François Roverato en attendant de prendre sa suite à la tête du troisième groupe de BTP français, derrière Vinci et Bouygues.
Eiffage a réalisé l'an passé un chiffre d'affaires de 13,98 miliards d'euros.
Le groupe emploie près de 70.000 collaborateurs autour de cinq métiers: concessions et partenariats public-privé (PPP), construction, travaux publics, énergie et métal.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/23/2203513-eiffage-annonce-le-deces-de-son-pdg-pierre-berger.html
jeudi 22 octobre 2015
Hollande annonce un plan pour les policiers
François Hollande a annoncé jeudi aux syndicats de police reçus à l'Elysée un plan global destiné à répondre à l'exaspération des forces de l'ordre, qui avaient manifesté leur colère la semaine dernière devant le ministère de la Justice.
L'ensemble des syndicats ont estimé avoir été entendus par le chef de l'Etat, qui les reverra fin mars au terme de négociations menées par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve et visant à déboucher sur un protocole d'accord.
Le seul bémol pour les syndicalistes consiste à savoir comment l'exécutif financera les mesures annoncées, qu'ils ne peuvent chiffrer pour l'instant mais implique "des budgets importants", ont-ils dit à leur sortie de l'Elysée.
François Hollande a également reçu des représentants des gendarmes, qui se sont également déclarés satisfaits
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/22/97001-20151022FILWWW00180-hollande-annonce-un-plan-pour-les-policiers.php
L'ensemble des syndicats ont estimé avoir été entendus par le chef de l'Etat, qui les reverra fin mars au terme de négociations menées par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve et visant à déboucher sur un protocole d'accord.
Le seul bémol pour les syndicalistes consiste à savoir comment l'exécutif financera les mesures annoncées, qu'ils ne peuvent chiffrer pour l'instant mais implique "des budgets importants", ont-ils dit à leur sortie de l'Elysée.
François Hollande a également reçu des représentants des gendarmes, qui se sont également déclarés satisfaits
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/22/97001-20151022FILWWW00180-hollande-annonce-un-plan-pour-les-policiers.php
mercredi 21 octobre 2015
Sirops et médicaments antitussifs : la plupart sont inutiles ou même dangereux
Selon une étude du magazine 60 millions de consommateurs, la plupart des sirops et médicaments antitussifs, que l'on peut se procurer en automédication, sont inutiles voire dangereux
Généralement, lorsque l'on tousse, un des premiers réflexes est d'aller chercher du sirop à la pharmacie. Un mauvais réflexe selon les conclusions de l'étude publiée dans le numéro de novembre 2015 de 60 millions de consommateurs. Le magazine a testé 37 antitussifs vendus en automédication. Résultat : si certains ont une efficacité très mesurée, les autres sont inutiles et même dangereux.
Le magazine met en garde contre trois produits dont "la formulation est aberrante". Contre la toux sèche, les comprimés Néo-codion et le sirop Rhinathiol sont pointés du doigt pour leurs contradictions au sein même de leur formule. Le troisième est le sirop Thiopectol qui contient un degré d'alcool trop élevé.
Il ne faut également pas se fier aux marques. On trouve de tout dans une même marque, le pire et le meilleur. "60 millions de consommateurs" relève également la présence de substances indésirables, alcool et allergènes potentiels tels que les conservateurs ou les colorants.
Au final, les personnes privilégiant l'automédication en cas de toux sèche devrait se tourner vers les bonbons au miel, citron ou autres afin de stimuler la production de salives ou alors consommer des boissons pour apaiser les muqueuses enflammées.
http://www.sudouest.fr/2015/10/21/sirops-et-medicaments-antitussifs-la-plupart-sont-inutiles-ou-meme-dangereux-2161270-4696.php
Les bonbons et boissons à privilégier
Contre la toux grasse, aucun médicament n'est recommandé. Ils ne font preuve d'aucune efficacité de par leur composition mais ne présentent pas d'effets indésirables ou dangereux.Il ne faut également pas se fier aux marques. On trouve de tout dans une même marque, le pire et le meilleur. "60 millions de consommateurs" relève également la présence de substances indésirables, alcool et allergènes potentiels tels que les conservateurs ou les colorants.
Au final, les personnes privilégiant l'automédication en cas de toux sèche devrait se tourner vers les bonbons au miel, citron ou autres afin de stimuler la production de salives ou alors consommer des boissons pour apaiser les muqueuses enflammées.
http://www.sudouest.fr/2015/10/21/sirops-et-medicaments-antitussifs-la-plupart-sont-inutiles-ou-meme-dangereux-2161270-4696.php
Une kiné tuée par son patient retranché chez lui
On en sait un peu plus sur la femme retrouvée morte dans son jadin ce matin à Saint-Martin de la Brasque (Vaucluse). La victime était kinésithérapeute. Elle s'appelait Muriel Bakkouch et avait 57 ans. C'est vraisemblablement en se rendant chez un patient que celui-ci l'aurait abattue en utilisant un revolver.
Le tueur présumé est retranché dans sa maison. Le Pelotoon d'intervention deuxième génération (PI2G) est sur place et se prépare à intervenir. L'homme aurait perdu son épouse il y a de cela une quinzaine de jours.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3633597/une-kine-tuee-par-son-patient-retranche-chez-lui.html
Le tueur présumé est retranché dans sa maison. Le Pelotoon d'intervention deuxième génération (PI2G) est sur place et se prépare à intervenir. L'homme aurait perdu son épouse il y a de cela une quinzaine de jours.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3633597/une-kine-tuee-par-son-patient-retranche-chez-lui.html
Bébé entre la vie et la mort en Meuse : le père suspecté
« L’origine des blessures de l’enfant serait accidentelle et due à des maladresses ». Telles sont les premières explications du père du nourrisson placé en garde à vue par les gendarmes de la communauté de brigades d’Étain, en Lorraine, depuis ce lundi. Ce trentenaire est suspecté d’avoir violenté ces dernières semaines son bébé âgé de moins de trois mois selon le parquet.
Rappelons que ce dimanche après-midi vers 13 h, rue de la Libération à Bouligny, les pompiers et le SAMU, après un appel du père, ont secouru le nourrisson qui à l’arrivée était en arrêt cardio-respiratoire. Le certificat médical dressé par les médecins indiquait un arrêt cardiaque de 17 minutes. L’enfant a dû être héliporté au CHU de Nancy-Brabois et les chirurgiens ont constaté que l’enfant souffrait également d’une fracture du crâne et avait sa jambe plâtrée, celle-ci ayant été fracturée le 28 septembre.
Ce mercredi, le pronostic vital de l’enfant était toujours engagé. Selon le parquet, l’enfant pourrait à l’avenir souffrir de séquelles et donc d’une infirmité permanente. Si tel était le cas, l’affaire de violences sur mineur, avec une incapacité supérieure à huit jours, passerait à une qualification criminelle.
La garde à vue du père prendra fin ce mercredi en début d’après-midi, mais le parquet s’oriente vers une ouverture d’une ’information judiciaire et la présentation du suspect à un juge d’instruction. Une présentation qui pourrait avoir lieu à Verdun ou au pôle d’instruction de Nancy.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2015/10/19/meuse-un-bebe-de-trois-mois-entre-la-vie-et-la-mort
Rappelons que ce dimanche après-midi vers 13 h, rue de la Libération à Bouligny, les pompiers et le SAMU, après un appel du père, ont secouru le nourrisson qui à l’arrivée était en arrêt cardio-respiratoire. Le certificat médical dressé par les médecins indiquait un arrêt cardiaque de 17 minutes. L’enfant a dû être héliporté au CHU de Nancy-Brabois et les chirurgiens ont constaté que l’enfant souffrait également d’une fracture du crâne et avait sa jambe plâtrée, celle-ci ayant été fracturée le 28 septembre.
Ce mercredi, le pronostic vital de l’enfant était toujours engagé. Selon le parquet, l’enfant pourrait à l’avenir souffrir de séquelles et donc d’une infirmité permanente. Si tel était le cas, l’affaire de violences sur mineur, avec une incapacité supérieure à huit jours, passerait à une qualification criminelle.
La garde à vue du père prendra fin ce mercredi en début d’après-midi, mais le parquet s’oriente vers une ouverture d’une ’information judiciaire et la présentation du suspect à un juge d’instruction. Une présentation qui pourrait avoir lieu à Verdun ou au pôle d’instruction de Nancy.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2015/10/19/meuse-un-bebe-de-trois-mois-entre-la-vie-et-la-mort
mardi 20 octobre 2015
L'État affrète un jet privé pour transférer les migrants de Calais
Selon Street Press et Europe 1, l'avion affrété par l'État français afin de transporter des migrants de la "jungle" de Calais vers des centres en France est un gouffre financier. Sans parler de l'efficacité de cette mesure, proche de zéro.
Selon les ONG qui travaillent sur place, les réfugiés envoyés vers ces CRA en France sont tous relâchés Maître Hardouin, avocate de trois Afghans, explique ainsi à Street Press que les erreurs juridiques sont légions et que les personnes concernées ne sont la plupart du temps pas expulsées. Bien souvent, elles traversent la France pour regagner à nouveau la "jungle" de Calais.
L'affaire, révélée par StreetPress, fait grand bruit : un jet privé affrété par l'État transporte quelques migrants dans des centres de rétention administrative (CRA) partout en France pour désengorger la "jungle" de Calais.
Selon Europe 1, 13 vols ont été effectués depuis le début du mois. Street Press précise qu'actuellement, il y a en effet au moins trois vols par semaine vers Nîmes, Metz, Toulouse ou encore Hendaye, pour seulement un maximum de cinq réfugiés par vol
Selon Europe 1, 13 vols ont été effectués depuis le début du mois. Street Press précise qu'actuellement, il y a en effet au moins trois vols par semaine vers Nîmes, Metz, Toulouse ou encore Hendaye, pour seulement un maximum de cinq réfugiés par vol
Certes, le jet, un Beechcraft 1900, loué à l'entreprise Twin Jet avec un contrat reconductible de 4 ans, sert aussi au transport d'enquêteurs de la Direction générale de la Police nationale ou de la surveillance aérienne. La location est estimée à 1,5 million d'euros par an.
Des réfugiés qui reviennent inlassablement à Calais
Selon les ONG qui travaillent sur place, les réfugiés envoyés vers ces CRA en France sont tous relâchés Maître Hardouin, avocate de trois Afghans, explique ainsi à Street Press que les erreurs juridiques sont légions et que les personnes concernées ne sont la plupart du temps pas expulsées. Bien souvent, elles traversent la France pour regagner à nouveau la "jungle" de Calais.
Alors pourquoi l'État continue-t-il ces transferts hors de prix ? Le ministère de l'Intérieur n'a pour l'instant pas commenté l'affaire.
Un bus et son chauffeur attaqués par un groupe de jeunes à Melun
Selon Le Parisien, un chauffeur a dû prendre la fuite lundi car son bus a été pris à partie par une vingtaine de jeunes. Il avait klaxonné car une voiture était mal garée.
La scène s'est passée lundi vers 16h20 dans le quartier Montaigu de Melun, en Seine-et-Marne, selon les informations du Parisien. Un chauffeur de bus klaxonne un véhicule mal garé sur une avenue. Quatre personnes sortent alors de la voiture et se mettent à l'insulter. Sentant que la situation va très vite dégénérer, il fait descendre les passagers de son bus par la porte arrière. Quelques instants plus tard, ce sont vingt à trente jeunes qui se mettent à caillasser le bus en le bloquant.
Le chauffeur, âgé de 38 ans, parvient à s'enfuir et s'en sort avec le poignet fracturé, des douleurs aux côtes et une petite plaie à l'arrière du drâne. Interrogée par Le Parisien, une syndicaliste dit son ras-le-bol. "La direction ne nous prend pas au sérieux. Ils ont osé parler d'un incident. Mais regardez le bus !", s'insurge Véronique Hostiou, déléguée CFTC.
Dès l'annonce de l'agression, les chauffeurs de Transdev qui conduisent les véhicules du réseau Melibus ont ensuite fait valoir leur droit de retrait jusqu'à mardi matin minimum. La direction a dit "comprendre le droit de retrait". "Mais on ne doit pas abandonner ce quartier", ajoute-t-elle.
Le chauffeur, âgé de 38 ans, parvient à s'enfuir et s'en sort avec le poignet fracturé, des douleurs aux côtes et une petite plaie à l'arrière du drâne. Interrogée par Le Parisien, une syndicaliste dit son ras-le-bol. "La direction ne nous prend pas au sérieux. Ils ont osé parler d'un incident. Mais regardez le bus !", s'insurge Véronique Hostiou, déléguée CFTC.
Dès l'annonce de l'agression, les chauffeurs de Transdev qui conduisent les véhicules du réseau Melibus ont ensuite fait valoir leur droit de retrait jusqu'à mardi matin minimum. La direction a dit "comprendre le droit de retrait". "Mais on ne doit pas abandonner ce quartier", ajoute-t-elle.
lundi 19 octobre 2015
Belgique : une fille de 12 ans happée par un train, sa mère reçoit la facture
"Quand vous recevez cette lettre, vous tombez de haut. Comment est-ce possible ? Ces gens n’ont-ils pas d’enfant ? Sont-ils des monstres ?". La mère de Charlotte, 12 ans, n'a pas de mots pour exprimer ce qu'elle ressent depuis qu'elle a reçu une lettre de la SNCB (SNCF belge) lui demandant de rembourser 19 000 euros. En novembre 2014, sa fille Charlotte Nunez était tuée après avoir été happée par un train alors qu'elle se prenait en selfie avec une amie sur le quai de la gare.
En Belgique, l'affaire a pris un tour politique : "Comment peut-on ignorer l''impact émotionnel d'une telle lettre, envoyée à des personnes qui ont perdu un proche ? Au lieu de leur envoyer une facture de dégâts, même si elles ne doivent pas payer elles-mêmes, il vaudrait mieux montrer de l'empathie", a déclaré David Geerts, un membre du Parti socialiste au Parlement.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/belgique-une-fille-de-12-ans-happee-par-un-train-sa-mere-recoit-la-facture-833043.html
"Un peu d'empathie plutôt ?"
Le courrier stipule que les dégâts causés par l'accident s'élèvent à 19 000 euros. "Il est dit que ma fille est mineure et que je suis donc responsables des dommages causés par l'accident". La Société des chemins de fer belge (SNCB) n'a pas répondu aux sollicitations de Het Laaste Nieuws qui a révélé l'affaire. Le quotidien flamand précise que la maman de Charlotte, ne devra pas débourser cette somme elle-même puisqu'elle bénéficie d'une assurance familiale.En Belgique, l'affaire a pris un tour politique : "Comment peut-on ignorer l''impact émotionnel d'une telle lettre, envoyée à des personnes qui ont perdu un proche ? Au lieu de leur envoyer une facture de dégâts, même si elles ne doivent pas payer elles-mêmes, il vaudrait mieux montrer de l'empathie", a déclaré David Geerts, un membre du Parti socialiste au Parlement.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/belgique-une-fille-de-12-ans-happee-par-un-train-sa-mere-recoit-la-facture-833043.html
Une dizaine de personnes intoxiquées à la suite d'un incendie à Antibes
Un incendie s'est déclaré dans le sous-sol d'une résidence au 29 boulevard Wilson à Antibes dimanche vers 21 heures.
Le feu - dont l'origine reste pour l'instant indéterminée - serait parti de deux voitures.
Rapidement, un important dispositif de sapeurs-pompiers s'est déplacé sur les lieux pour circonscrire l'embrasement.
Une quarantaine de personnes, habitant l'immeuble, a dû être évacuée.
Et près d'une dizaine de riverains ont été intoxiqués par l'importante fumée
http://www.nicematin.com/antibes/une-dizaine-de-personnes-intoxiquees-a-la-suite-dun-incendie-a-antibes.2371450.html
Le feu - dont l'origine reste pour l'instant indéterminée - serait parti de deux voitures.
Rapidement, un important dispositif de sapeurs-pompiers s'est déplacé sur les lieux pour circonscrire l'embrasement.
Une quarantaine de personnes, habitant l'immeuble, a dû être évacuée.
Et près d'une dizaine de riverains ont été intoxiqués par l'importante fumée
http://www.nicematin.com/antibes/une-dizaine-de-personnes-intoxiquees-a-la-suite-dun-incendie-a-antibes.2371450.html
dimanche 18 octobre 2015
Avis de recherche: cet homme a disparu sur le chemin de Saint Jacques
Depuis le 10 septembre 2015, l´Autrichien Richard Krismer, né le 3 décembre 1959, est porté disparu sur le chemin de Saint Jacques. La famille en Autriche dit avoir été contactée pour la dernière fois depuis un camping dans la région de Lourdes. Il voulait faire une randonnée depuis la cité mariale jusqu´à Saint-Jacques-de-Compostelle à travers les Pyrénées. Description : Il mesure environ 1,80 cm, pèse environ 115 kg et porte un collier avec une croix. Il avait aussi une étiquette de bagage, une petite tente et un sac à dos portant la marque “Deuter”. Si vous avez des indices, merci de bien vouloir contacter le commissariat de Lourdes : 05.62.42.72.72http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/18/2200167-avis-recherche-homme-disparu-chemin-saint-jacques.html
samedi 17 octobre 2015
On le disait mort, ses obsèques sont organisées... Martial était vivant
Un SDF est pris de malaise dans la rue à Castelnaudary. Tout prête à croire qu'il s'agit de Martial Swolarski. Et c'est le début d'une serie de malentendus.
Depuis plus 20 ans, Martial Swolarski, sans domicile fixe, s'est établi à Castelnaudary. C'est au pied de la mairie ou devant la poste qu'il tend la main, espérant récolter quelques euros. Il a un frère, à Aurillac et une sœur qui vit en région parisienne. Ce mardi, celle-ci est informée, par l'APAM, association de protection juridique et d'accueil des majeurs, Martial est sous curatelle, qu'il est décédé. C'est la police municipale de Castelnaudary qui aurait identifié le malheureux alors qu'il était emmené par les sapeurs-pompiers. Ceux-ci le transfèrent au centre hospitalier de Carcassonne en signalant que le malade qu'ils transportent est Martial Swolarski. Justement celui-ci a, ici, un dossier pour y avoir été déjà hospitalisé. Dans les documents, figure son souhait de léguer ses organes à sa mort. C'est donc tout naturellement que la sœur est contactée pour un prélèvement de tissus et de cornée sur son frère qu'elle autorise et qui a donc lieu. Francis Swolarski, frère du défunt, s'occupe pour sa part d'organiser les funérailles. Pompes funèbres, crémation, notaire… Bref tout est en règle. Jusqu'à ce mercredi, en milieu d'après-midi, quand Francis Swolarski reçoit un appel des pompes funèbres pour l'informer que son frère est toujours vivant. «C'est une plaisanterie», lâche alors le frère de l'ex-défunt. «Chez nous on n'a pas l'habitude de plaisanter», lui rétorque-t-on avant de lui expliquer que c'est en contactant la mairie de Castelnaudary qu'ils ont appris, par la secrétaire, et qu'il y avait eu manifestement méprise. La police municipale que F. Swolarski contacte, explique alors que la victime ressemblait à s'y méprendre à son frère, qu'elle était de même corpulence, portait les mêmes vêtements, une même barbe, et qu'avec les tubes et le masque à oxygène appliqué par les sapeurs-pompiers, tous, de bonne foi, étaient persuadés qu'il s'agissait de Martial, d'autant que les secours étaient intervenus près du domicile de ce dernier. «Ma famille et moi avons passé deux jours terribles, dans un grand désarroi de savoir que notre frère était décédé», souligne Francis Swolarski.
Du côté de la mairie de Castelnaudary, on tient à préciser que ce sont les policiers municipaux eux-mêmes qui se sont aperçus de la méprise dès le lendemain en croisant Martial Swolarski dans la rue. Les gendarmes, le centre 15, l'APAM aussi «afin que les aides ne soient pas coupées à Martial» sont aussitôt prévenus. Les policiers municipaux et les gendarmes, se mettent aussitôt en quête de l'identité du décédé. Il est d'ailleurs très vite identifié…
De son côté le centre hospitalier carcassonnais réagit aussitôt. «Notre première préoccupation a été de prendre en charge la victime pour essayer de la sauver. Ensuite, dès que nous avons été informés de la méprise par le 15 et par les gendarmes, nous avons contacté les deux familles, reçu celle de la personne décédée et parlé, au téléphone avec la sœur de M. Swolarski au sujet de ce malentendu. Les deux ont très bien compris la situation», explique le directeur Bernard Nuytten.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/17/2199558-disait-mort-obseques-sont-organisees-martial-etait-vivant.html
Depuis plus 20 ans, Martial Swolarski, sans domicile fixe, s'est établi à Castelnaudary. C'est au pied de la mairie ou devant la poste qu'il tend la main, espérant récolter quelques euros. Il a un frère, à Aurillac et une sœur qui vit en région parisienne. Ce mardi, celle-ci est informée, par l'APAM, association de protection juridique et d'accueil des majeurs, Martial est sous curatelle, qu'il est décédé. C'est la police municipale de Castelnaudary qui aurait identifié le malheureux alors qu'il était emmené par les sapeurs-pompiers. Ceux-ci le transfèrent au centre hospitalier de Carcassonne en signalant que le malade qu'ils transportent est Martial Swolarski. Justement celui-ci a, ici, un dossier pour y avoir été déjà hospitalisé. Dans les documents, figure son souhait de léguer ses organes à sa mort. C'est donc tout naturellement que la sœur est contactée pour un prélèvement de tissus et de cornée sur son frère qu'elle autorise et qui a donc lieu. Francis Swolarski, frère du défunt, s'occupe pour sa part d'organiser les funérailles. Pompes funèbres, crémation, notaire… Bref tout est en règle. Jusqu'à ce mercredi, en milieu d'après-midi, quand Francis Swolarski reçoit un appel des pompes funèbres pour l'informer que son frère est toujours vivant. «C'est une plaisanterie», lâche alors le frère de l'ex-défunt. «Chez nous on n'a pas l'habitude de plaisanter», lui rétorque-t-on avant de lui expliquer que c'est en contactant la mairie de Castelnaudary qu'ils ont appris, par la secrétaire, et qu'il y avait eu manifestement méprise. La police municipale que F. Swolarski contacte, explique alors que la victime ressemblait à s'y méprendre à son frère, qu'elle était de même corpulence, portait les mêmes vêtements, une même barbe, et qu'avec les tubes et le masque à oxygène appliqué par les sapeurs-pompiers, tous, de bonne foi, étaient persuadés qu'il s'agissait de Martial, d'autant que les secours étaient intervenus près du domicile de ce dernier. «Ma famille et moi avons passé deux jours terribles, dans un grand désarroi de savoir que notre frère était décédé», souligne Francis Swolarski.
Du côté de la mairie de Castelnaudary, on tient à préciser que ce sont les policiers municipaux eux-mêmes qui se sont aperçus de la méprise dès le lendemain en croisant Martial Swolarski dans la rue. Les gendarmes, le centre 15, l'APAM aussi «afin que les aides ne soient pas coupées à Martial» sont aussitôt prévenus. Les policiers municipaux et les gendarmes, se mettent aussitôt en quête de l'identité du décédé. Il est d'ailleurs très vite identifié…
De son côté le centre hospitalier carcassonnais réagit aussitôt. «Notre première préoccupation a été de prendre en charge la victime pour essayer de la sauver. Ensuite, dès que nous avons été informés de la méprise par le 15 et par les gendarmes, nous avons contacté les deux familles, reçu celle de la personne décédée et parlé, au téléphone avec la sœur de M. Swolarski au sujet de ce malentendu. Les deux ont très bien compris la situation», explique le directeur Bernard Nuytten.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/17/2199558-disait-mort-obseques-sont-organisees-martial-etait-vivant.html
vendredi 16 octobre 2015
Aisne: le département à l’honneur du JT de TF1 dimanche
Le département aura droit aux honneurs du journal télévisé de TF1 ce dimanche midi. Après les actualités, Anne-Claire Coudray zoomera sur le département. Un long reportage sera consacré à une ballade entre Soissons et Saint-Quentin en passant par Laon, le chemin des dames et même les champs de betteraves pour finir aux marais d’Isle. Deux autres sujets traiteront de l’Art Déco à Saint-Quentin et de l’entreprise Saint-Gobain qui célèbre ses 350 ans.http://www.aisnenouvelle.fr/region/aisne-le-departement-a-l-honneur-du-jt-de-tf1-dimanche-ia44b0n280130
Un mort dans l'incendie d'un salon de coiffure à Nice, une crèche évacuée
Une personne est décédée vendredi après-midi dans l'incendie d'un salon de coiffure dans le centre-ville de Nice, tandis que deux autres ont
été intoxiquées.
Le feu s'est propagé à une crèche située plus haut dans l'immeuble, nécessitant l'évacuation de 33 enfants par les pompiers. http://france3-regions.francetvinfo.fr/cote-d-azur/alpes-maritimes/nice/un-mort-dans-l-incendie-d-un-salon-de-coiffure-nice-une-creche-evacuee-831557.html
été intoxiquées.
Le feu s'est propagé à une crèche située plus haut dans l'immeuble, nécessitant l'évacuation de 33 enfants par les pompiers. http://france3-regions.francetvinfo.fr/cote-d-azur/alpes-maritimes/nice/un-mort-dans-l-incendie-d-un-salon-de-coiffure-nice-une-creche-evacuee-831557.html
jeudi 15 octobre 2015
Altercation mortelle à Gières (Isère): il reçoit une balle dans le dos et s'effondre
Mercredi 14 octobre en soirée, un jeune homme touché par une balle a juste eu le temps de taper à la porte d'un petit immeuble de Gières, avant de s'effondrer. La scène s'est passée dans le quartier du Collège Le Chamandier. Ce jeudi, les policiers poursuivent les recherches dans un parc
L'homme de 29 ans, connu des services de police, a reçu une balle dans le dos au niveau du coeur, vraisemblablement après une altercation. C'est à hauteur de la rue du Bois Taillis, à Gières, qu'il s'est effondré à la porte d'un petit immeuble, alors qu'une habitante venait d'ouvrir le hall d'accueil. Voyant l'individu ensanglanté, elle a appelé les secours en urgence, selon un témoignage recueilli par le Dauphiné Libéré. La victime n'a pas survécu.
Avant le décès, "les riverains ont entendu des gens en train de s'engueuler", rapporte la police. C'est la PJ qui a été saisie et "a priori, cet homicide n'a aucun lien avec les faits connus récemment dans la région de Grenoble", explique encore la police.
Ce jeudi matin, des policiers passaient le parc de la résidence au peigne fin, à la recherche d'une arme ou d'indices avec un détecteur de métaux. http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/altercation-mortelle-gieres-isere-il-recoit-une-balle-dans-le-dos-et-s-effondre-830177.html
L'homme de 29 ans, connu des services de police, a reçu une balle dans le dos au niveau du coeur, vraisemblablement après une altercation. C'est à hauteur de la rue du Bois Taillis, à Gières, qu'il s'est effondré à la porte d'un petit immeuble, alors qu'une habitante venait d'ouvrir le hall d'accueil. Voyant l'individu ensanglanté, elle a appelé les secours en urgence, selon un témoignage recueilli par le Dauphiné Libéré. La victime n'a pas survécu.
Avant le décès, "les riverains ont entendu des gens en train de s'engueuler", rapporte la police. C'est la PJ qui a été saisie et "a priori, cet homicide n'a aucun lien avec les faits connus récemment dans la région de Grenoble", explique encore la police.
Ce jeudi matin, des policiers passaient le parc de la résidence au peigne fin, à la recherche d'une arme ou d'indices avec un détecteur de métaux. http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/altercation-mortelle-gieres-isere-il-recoit-une-balle-dans-le-dos-et-s-effondre-830177.html
Une fillette de dix ans grièvement blessée à Cagnes
L'accident s'est produit peu après minuit, sur la commune de Cagnes-sur-Mer.
Une automobiliste de 37 ans a perdu le contrôle de sa Fiat au niveau du rond-point Saint-Véran. La voiture est allée percuter un arbre. La mère placée en garde à vue.
A l'arrière se trouvait une fillette de 10 ans. Elle n'était semble-t-il pas attachée. L'enfant a traversé l'habitacle et est allée heurter le pare-brise. Admise en urgence à la Fontonne, la fillette a dû être placée en coma artificiel. Son pronostic vital est engagé.
Après un passage par l'hôpital, la mère de l'enfant qui conduisait le véhicule a été placée en garde à vue par la police. Le test d'alcoolémie pratiqué sur elle s'est avéré positif.
La jeune femme rentrait semble-t-il d'une soirée.
http://www.nicematin.com/antibes/une-fillette-de-dix-ans-grievement-blessee-a-cagnes.2367999.html
Une automobiliste de 37 ans a perdu le contrôle de sa Fiat au niveau du rond-point Saint-Véran. La voiture est allée percuter un arbre. La mère placée en garde à vue.
A l'arrière se trouvait une fillette de 10 ans. Elle n'était semble-t-il pas attachée. L'enfant a traversé l'habitacle et est allée heurter le pare-brise. Admise en urgence à la Fontonne, la fillette a dû être placée en coma artificiel. Son pronostic vital est engagé.
Après un passage par l'hôpital, la mère de l'enfant qui conduisait le véhicule a été placée en garde à vue par la police. Le test d'alcoolémie pratiqué sur elle s'est avéré positif.
La jeune femme rentrait semble-t-il d'une soirée.
http://www.nicematin.com/antibes/une-fillette-de-dix-ans-grievement-blessee-a-cagnes.2367999.html
mercredi 14 octobre 2015
Thiérache: Charline Baudemont rentrée chez elle saine et sauve
Je vous avais alerté de sa disparition .. Saint Algis n'est pas très loin de Guise... elle a été retrouvée...
http://lespluslus.blogspot.com/2015/10/thierache-avez-vous-vu-charline.html
Sa famille avait signalé sa disparition au début du mois. Charline Baudemont, 26 ans, habitant Saint-Algis et kinésithérapeute à Hirson ne donnait plus signe de vie à ses proches, très inquiets.
Elle est rentrée chez elle « saine et sauve », nous annonce aujourd’hui sa famille. Elle s’est éloignée de son plein gré et n’aurait pas subi de violences.
http://www.lunion.com/node/572055
http://lespluslus.blogspot.com/2015/10/thierache-avez-vous-vu-charline.html
Sa famille avait signalé sa disparition au début du mois. Charline Baudemont, 26 ans, habitant Saint-Algis et kinésithérapeute à Hirson ne donnait plus signe de vie à ses proches, très inquiets.
Elle est rentrée chez elle « saine et sauve », nous annonce aujourd’hui sa famille. Elle s’est éloignée de son plein gré et n’aurait pas subi de violences.
http://www.lunion.com/node/572055
Un avion militaire s'écrase dans le Doubs
Un avion monoplace de l’armée suisse de type F18 s’est écrasé vers 11 h 30 ce matin sur la commune de Glamondans dans le Doubs. Le pilote s’est éjecté, et a été récupéré et pris en charge par les secours. L’avion s’est écrasé sur une zone non habitée. Un périmètre de sécurité de 300 mètres a été établi autour de la zone de l'accident. Plus d'infos sur le site de nos confrères de l'Est Républicain.
http://www.dna.fr/actualite/2015/10/14/un-avion-militaire-s-ecrase-dans-le-doubs
http://www.dna.fr/actualite/2015/10/14/un-avion-militaire-s-ecrase-dans-le-doubs
mardi 13 octobre 2015
Marineland d'Antibes: Des associations réclament une enquête après la mort d'une orque
Elles en appellent au préfet des Alpes-Maritimes. Dans un courrier daté du 8 octobre et transmis lundi matin, les trois associations Réseau cétacés, La dolphin connection et C’est assez ! réclament du représentant de l’Etat et des services vétérinaires qu’une « enquête sanitaire soit diligentée en urgence » à Marineland.Le tout pour « vérifier l’état de la nourriture et de l’eau des bassins » ainsi que « les conditions dans lesquelles sont détenus les mammifères marins », expliquent-elles. Une demande qu’elles appuient d’autant plus après l’annonce, lundi après-midi, du décès de Valentin, une orque de 19 ans née au sein du parc. « C’est une catastrophe. Il aurait fallu évacuer les bêtes tout de suite après les intempéries », s’agace Christine Grandjean, la présidente de l’association C’est assez !
>> A lire aussi : Des animaux du Marineland portés disparus après les intempéries
Dans la nuit du 5 au 6 octobre, plus de 90 % des installations du parc avaient été touchées par le déluge qui s’était alors abattu sur l’ensemble du département des Alpes-Maritimes. Le bassin des orques avait notamment été balayé par une vague de boue. Les systèmes de filtration n’avaient pas pu fonctionner pendant plusieurs jours. Et des poissons et des tortues avaient été tués.
Les causes du décès de Valentin connues ce mercredi
« Nous avons vécu une situation extrêmement difficile et sans précédent la semaine dernière et avons tout mis en œuvre pour sécuriser les infrastructures dévastées par les intempéries. Les soigneurs, experts et secours ont tout fait pour sauver les animaux et sécuriser les installations », avait indiqué le parc d’Antibes lundi, annonçant la mort de Valentin. Le delphinarium a fait savoir ce mardi à 20 Minutes que les causes exactes du décès de l’orque devraient être connues ce mercredi.http://www.20minutes.fr/nice/1708287-20151013-marineland-antibes-associations-reclament-enquete-apres-mort-orque
Nouvelles inquiétantes des orques du Marineland d' Antibes.
Nouvelles inquiétantes des orques du Marineland d' Antibes. Une source présente sur place qui a souhaité conserver l'anonymat nous dresse ce triste constat du jour :
50 centimètres de visibilité dans le bassin des orques, présence de mousse blanche et marron en surface et de boue collante composée d'HYDROCARBURES dans le fond.
L'orque Wikie (née au Marineland en 2001) est isolée dans un bassin, prostrée, elle s'alimente peu et a reçu du désinfectant sur les nageoires. Blessée, elle s'est faite attaquer par les autres orques, devenues très agressives.
Du fait de l'eau contaminée, ses blessures risquent fort de s'infecter. Après la mort récente de Valentin, on peut redouter le pire pour les survivants. Des échantillons d'urine de Wikie ont été prélevés afin de rendre compte de son état.
Notre contact sur place confie : "Ce spectacle est désolant, j'en ai la gorge serrée et une grande tristesse intérieure. Et ces bassins sont minuscules... J'ai un gros sentiment de honte".
Les orques doivent être retirées de ces bassins morbides où elles meurent à petit feu et placées dans des baies en mer, fermées le temps de mettre en place un vrai processus de réhabilitation. Nous leur devons bien ça.
Haut-Doubs : Romain se bat pour lui et les autres
C’était le 31 octobre 2013. Un accident très grave à la Vrine, près de Pontarlier. Romain est resté deux mois dans le coma avec un pronostic vital au départ engagé puis le côté gauche entièrement paralysé.
Mais ce n’est pas ça dont Romain Claudet voudrait parler aujourd’hui. C’est de son entreprise naissante, de ses projets, ses grands projets auxquels ils pensent presque chaque jour en rééducation.
« Voilà, je reprends une vie professionnelle. J’ai du tout réapprendre et je suis assez fatigable mais il y a encore deux semaines, je ne marchais presque pas ».
Romain explique qu’il a de la chance. La chance de pouvoir trouver l’énergie de se battre, la chance d’être pris en charge dans un centre comme celui des Salins de Bregille, la chance aussi d’avoir une famille qui puisse lui permettre de rebondir.
L’entreprise familiale, Chalets Claudet, a ainsi décidé de lui permettre de retourner vers l’autonomie en lui installant un atelier. « L’idée, c’est de fabriquer des sacs de bûchettes allume-feu en sapin. Les chutes de pièces de charpente sont broyées et j’enfourne tout ça dans des sacs. Et je me fixe des objectifs ».
Deux demi-journées de travail par semaine, le reste en rééducation. Et Romain donne tout ce qu’il a, comme toujours. Avec la fougue des vingt ans qu’il fêtera ce mardi.
Romain Claudet sait mieux que personne que rien ne sera facile, que chaque pas en avant est une victoire homérique. Et pourtant, il avance très vite, selon ses médecins et son entourage. Son projet « booste » sa récupération. « Et ma rééducation, elle se fait aussi avec le travail, quand je porte les sacs, je les décroche, ça me fait faire des gestes. Et puis je pense aussi à tout ce qui reste à faire. Ce projet de maisons en bois pour les personnes handicapées, ça me tient à cœur. Je me suis toujours donné à fond dans tous les projets. Celui-là, ce sera pareil ».
Dans l’immédiat, les sacs de bûchettes sont disponibles à l’achat au sein de l’entreprise Chalets-Claudet du lundi au vendredi, 33 rue de l’Hotaud à Frasne. (Renseignements au 0 381 897 506).
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2015/10/12/frasne-romain-se-bat-pour-lui-et-les-autres
Mais ce n’est pas ça dont Romain Claudet voudrait parler aujourd’hui. C’est de son entreprise naissante, de ses projets, ses grands projets auxquels ils pensent presque chaque jour en rééducation.
« Voilà, je reprends une vie professionnelle. J’ai du tout réapprendre et je suis assez fatigable mais il y a encore deux semaines, je ne marchais presque pas ».
Romain explique qu’il a de la chance. La chance de pouvoir trouver l’énergie de se battre, la chance d’être pris en charge dans un centre comme celui des Salins de Bregille, la chance aussi d’avoir une famille qui puisse lui permettre de rebondir.
L’entreprise familiale, Chalets Claudet, a ainsi décidé de lui permettre de retourner vers l’autonomie en lui installant un atelier. « L’idée, c’est de fabriquer des sacs de bûchettes allume-feu en sapin. Les chutes de pièces de charpente sont broyées et j’enfourne tout ça dans des sacs. Et je me fixe des objectifs ».
Deux demi-journées de travail par semaine, le reste en rééducation. Et Romain donne tout ce qu’il a, comme toujours. Avec la fougue des vingt ans qu’il fêtera ce mardi.
« Je me suis toujours donné à fond »
« Je suis à 100 %. Dans tout ce que je fais. J’ai été sixième mondial en trottinette freestyle. Aujourd’hui, je me dis que je vais bosser pour ce projet, créer une activité, et à terme, je voudrais monter une entreprise, avec mon père, qui permette de créer des maisons adaptées aux handicaps en employant des gens qui sont comme moi. Je me dis que je peux m’en sortir avec un projet. Si je peux apporter aussi un projet aux autres, qui se battent… »Romain Claudet sait mieux que personne que rien ne sera facile, que chaque pas en avant est une victoire homérique. Et pourtant, il avance très vite, selon ses médecins et son entourage. Son projet « booste » sa récupération. « Et ma rééducation, elle se fait aussi avec le travail, quand je porte les sacs, je les décroche, ça me fait faire des gestes. Et puis je pense aussi à tout ce qui reste à faire. Ce projet de maisons en bois pour les personnes handicapées, ça me tient à cœur. Je me suis toujours donné à fond dans tous les projets. Celui-là, ce sera pareil ».
Dans l’immédiat, les sacs de bûchettes sont disponibles à l’achat au sein de l’entreprise Chalets-Claudet du lundi au vendredi, 33 rue de l’Hotaud à Frasne. (Renseignements au 0 381 897 506).
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2015/10/12/frasne-romain-se-bat-pour-lui-et-les-autres
lundi 12 octobre 2015
Retraites complémentaires : taux plein à 64 ans ?
Le «trou» des régimes de retraites complémentaires dépasse les 5 milliards d'euros. Le patronat et les syndicats se retrouvent vendredi pour une réunion cruciale. Parmi les mesures envisagées figurent une baisse des pensions et un report de l'âge de la pension complète de 62 à 64 ans.
Le gouvernement de son côté encourage les partenaires sociaux à négocier et à trouver un accord. François Hollande a déclaré qu'il serait prêt à valider les conclusions qui émergeraient des négociations entre les syndicats et le patronat. Néanmoins, le chemin semble sinueux.
Et l'Agirc qui concerne 2,7 millions d'ex-cadres représente jusqu'à 65 % de leurs ressources. Ces caisses complètent celle de la Sécu, pour laquelle l'âge légal n'est pas (encore) remis en question, même si les lobbies libéraux sont à la manœuvre dans la perspective de la présidentielle.
La proposition de retraite à 64 ans émane du Medef. Son idée est la suivante : les salariés qui partiraient à 62 ans perdraient 25 % de leur pension complémentaire, et 15 % en cas de départ à 63 ans. Et ceux qui partiraient plus tard toucheraient des bonus de même ordre.
Le Medef pourrait accepter une augmentation sous plusieurs conditions : que les syndicats signent sur l'âge de départ, que l'échéance de la cotisation survienne dans plusieurs années et qu'une autre cotisation soit réduite, celle qui alimente la caisse des accidents du travail et des maladies professionnelles, en excédant de près de 2 milliards d'euros.
Il y a urgence à trouver un accord. Car en l'absence de décision, le régime des cadres arriverait à épuisement de ses réserves en 2018.
De plus, en cas d'échec des négociations, les syndicats et le patronat quitteraient la gestion des organismes. C'est le gouvernement qui devrait prendre en charge les caisses sociales
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/12/2195823-retraites-complementaires-taux-plein-a-64-ans.html
Le gouvernement de son côté encourage les partenaires sociaux à négocier et à trouver un accord. François Hollande a déclaré qu'il serait prêt à valider les conclusions qui émergeraient des négociations entre les syndicats et le patronat. Néanmoins, le chemin semble sinueux.
Négociations tendues
Concernant l'éventuel passage à 64 ans, s'il est acté, il concernerait les régimes complémentaires obligatoires, dont la gestion dépend des partenaires sociaux. L'enjeu est de taille : l'Arcco verse au moins 30 % de la retraite de 12 millions d'anciens salariés.Et l'Agirc qui concerne 2,7 millions d'ex-cadres représente jusqu'à 65 % de leurs ressources. Ces caisses complètent celle de la Sécu, pour laquelle l'âge légal n'est pas (encore) remis en question, même si les lobbies libéraux sont à la manœuvre dans la perspective de la présidentielle.
La proposition de retraite à 64 ans émane du Medef. Son idée est la suivante : les salariés qui partiraient à 62 ans perdraient 25 % de leur pension complémentaire, et 15 % en cas de départ à 63 ans. Et ceux qui partiraient plus tard toucheraient des bonus de même ordre.
Clivage syndical
Plusieurs syndicats, parmi lesquels la CFTC, la CGC et la CFDT, acceptent le principe, mais pas les montants. En revanche, la CGT et FO ne veulent pas en entendre parler. Mais toutes les centrales demandent des contreparties au patronat, à savoir le paiement de d'avantage de cotisations.Le Medef pourrait accepter une augmentation sous plusieurs conditions : que les syndicats signent sur l'âge de départ, que l'échéance de la cotisation survienne dans plusieurs années et qu'une autre cotisation soit réduite, celle qui alimente la caisse des accidents du travail et des maladies professionnelles, en excédant de près de 2 milliards d'euros.
Il y a urgence à trouver un accord. Car en l'absence de décision, le régime des cadres arriverait à épuisement de ses réserves en 2018.
De plus, en cas d'échec des négociations, les syndicats et le patronat quitteraient la gestion des organismes. C'est le gouvernement qui devrait prendre en charge les caisses sociales
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/12/2195823-retraites-complementaires-taux-plein-a-64-ans.html
dimanche 11 octobre 2015
Corse-du-Sud : un homme gravement brûlé dans l'incendie de son appartement
Un homme a été gravement brûlé samedi soir dans l'incendie de son logement au lieu-dit Villaranda, sur la commune d'Alata, a-t-on appris auprès du service départemental d'incendie et de secours (SDIS) de Corse-du-Sud.
Ce sont des voisins alertés par fumée qui ont prévenu les pompiers vers 18h. La victime, un homme âgée de 47 ans vivant seul, a été retrouvée sur la terrasse de son studio.
Brûlé au troisième degré sur 90% du corps, l'homme a été évacué dans un état désespéré vers le service des grands brûlés de l'hôpital de la Conception à Marseille.
L'habitation a été entièrement ravagée par les flammes. Les causes du sinistre n'ont pas été déterminées. Une enquête de gendarmerie a été ouverte.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/corse-du-sud/corse-du-sud-un-homme-gravement-brule-dans-l-incendie-de-son-appartement-827211.html
Ce sont des voisins alertés par fumée qui ont prévenu les pompiers vers 18h. La victime, un homme âgée de 47 ans vivant seul, a été retrouvée sur la terrasse de son studio.
Brûlé au troisième degré sur 90% du corps, l'homme a été évacué dans un état désespéré vers le service des grands brûlés de l'hôpital de la Conception à Marseille.
L'habitation a été entièrement ravagée par les flammes. Les causes du sinistre n'ont pas été déterminées. Une enquête de gendarmerie a été ouverte.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/corse-du-sud/corse-du-sud-un-homme-gravement-brule-dans-l-incendie-de-son-appartement-827211.html
(Vidéo)Joyeux anniversaire Jean Jacques Goldman
Jean-Jacques Goldman, né le 11 octobre 1951 dans le 19ᵉ arrondissement de Paris
Paraplégique, il retrouve goût à la vie en montant à cheval
Guillaume a le sourire. Le soleil d'automne qui baigne les terres du Daoudou, là où les fjords vont et viennent, n'y est pas étranger. Pourtant, victime, il y a cinq ans, d'un terrible accident de scooter, ce jeune Monégasque vivant la vie par les deux bouts, devenu paraplégique, aurait pu s'enfermer dans la chape de plomb de la solitude. Au contraire, l'envie d'avancer et de vivre, un point c'est tout, eut raison du doute et du découragement.
Le hasard faisant bien les choses, un beau jour il apprit que là-haut, du côté de Najac, dans la lointaine Aveyron, une ferme équestre développait un concept autour du handicap et du cheval. Dans son antre aux confins du Rouergue, paysanne au sens de l'accueil prononcé, Marie-Pascale Gauffre a toujours bousculé et les idées reçues et la force de l'habitude. De tout temps, elle a reçu chez elle vacanciers en mal d'espaces verts et curieux amateurs de cheval. De fil en aiguille, avec la patience du temps, elle restaurera une vieille bastide pour la transformer en un gîte pour handicapés. Avec toujours l'idée en tête de permettre à ces personnes souffrant de handicap que leur quotidien soit le moins éloigné possible de celui des valides. D'où aussi, après forces cogitations et tâtonnements, l'émergence d'un gros travail au niveau des selles et du harnachement. «Avec le handicap, il faut bien comprendre ce que l'on peut faire ou ne pas faire», assure Marie-Pascale. Au bout du chemin, cela est tombé à pic pour offrir à Guillaume la possibilité de donner libre cours à sa nouvelle passion. «C'est vrai que j'ai été un peu le cobaye volontaire», sourit-il, en racontant comment, n'ayant aucune sensation à ses membres inférieurs, il ne pouvait pas se contrôler et ses fesses passaient parfois par-dessus l'accoudoir… Les progrès du jeune cavalier impressionnent la maîtresse des lieux. «En disant à Guillaume qu'il peut randonner avec les autres, nous avons atteint notre but», salue-t-elle, tout en précisant : «J'ai tenu à ce que le prix des randos soit le même pour les handicapés que pour les valides».
Dans le corral, «Poème», le fjord fétiche de Guillaume, piaffe d'impatience. Il sait que l'heure de monter approche. Tous les deux vont filer pour une escapade tortueuse dans les forêts. Dans un éclat de rire, le jeune homme lâche : «Si j'écoutais Marie-Pascale, qui veut me faire passer les Galops, demain je m'engagerais dans les JO handisports». Mais pour lui l'essentiel est ailleurs. Cette joie de vivre, il la retrouve ici, en pleine nature, à trotter et galoper accroché à son cheval.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/11/2195252-paraplegique-retrouve-gout-vie-montant-cheval.html#k2DH4v7fOL7cuoF6.99
samedi 10 octobre 2015
Paris: trafic suspendu dimanche sur le RER A
Le trafic des RER A restera interrompu demain sur un tronçon à l'ouest de Paris, le temps de réparer les dégâts d'un incendie, a annoncé ce soir la RATP qui vise un retour à la normale lundi matin.
"Les travaux sont toujours en cours, on ne reprendra a priori pas le trafic demain (dimanche), l'objectif est la remise en service sur le tronçon interrompu (...) pour lundi matin première heure", a déclaré un porte-parole de l'opérateur de transport parisien.
Ces travaux concernant l'alimentation électrique et la signalisation sont dus à un incendie qui s'est déclaré hier en milieu de journée dans un local technique sur le quai de la station Nanterre-Préfecture, obligeant les pompiers à intervenir. Depuis, le trafic est interrompu entre Rueil-Malmaison et La Défense, sur la branche du RER A reliant Paris à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Les deux autres branches Ouest du RER A, vers Cergy et Poissy, devaient déjà être en travaux ce week-end. Les trains circulent normalement sur le reste de la ligne.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/10/10/97002-20151010FILWWW00148-paris-trafic-suspendu-dimanche-sur-le-rer-a.php
"Les travaux sont toujours en cours, on ne reprendra a priori pas le trafic demain (dimanche), l'objectif est la remise en service sur le tronçon interrompu (...) pour lundi matin première heure", a déclaré un porte-parole de l'opérateur de transport parisien.
Ces travaux concernant l'alimentation électrique et la signalisation sont dus à un incendie qui s'est déclaré hier en milieu de journée dans un local technique sur le quai de la station Nanterre-Préfecture, obligeant les pompiers à intervenir. Depuis, le trafic est interrompu entre Rueil-Malmaison et La Défense, sur la branche du RER A reliant Paris à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Les deux autres branches Ouest du RER A, vers Cergy et Poissy, devaient déjà être en travaux ce week-end. Les trains circulent normalement sur le reste de la ligne.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/10/10/97002-20151010FILWWW00148-paris-trafic-suspendu-dimanche-sur-le-rer-a.php
Trafic interrompu toute la journée sur une partie du RER A après un incendie
Le trafic des RER A, interrompu sur un tronçon à l'ouest de Paris après un incendie, ne reprendra pas de la journée samedi en raison de travaux.
"Le trafic est interrompu entre La Défense et Rueil-Malmaison, et entre Nanterre-Préfecture et Cergy-Le Haut/Poissy toute la journée", a indiqué la RATP ce samedi matin.
Des travaux, concernant l'alimentation électrique et la signalisation, doivent être faits après qu'un incendie s'est déclaré vendredi en milieu de journée dans un local technique sur le quai de la station Nanterre-Préfecture, obligeant les pompiers à intervenir. Un dégagement de fumée avait contraint à l'interruption du trafic entre les gares de Rueil-Malmaison et Auber.
Le trafic avait pu être rétabli vendredi en fin d'après-midi entre les gares de La Défense et Auber. Les rames circulent normalement en dehors du tronçon concerné, qui commande l'accès aux trois branches ouest du RER A (Poissy, Cergy et Saint-Germain-en-Laye) à partir de Paris. Des bus de substitution sont en place et des agents de la RATP sont présents sur le terrain pour informer les voyageurs. La régie invite les usagers à utiliser le réseau Transilien (trains de banlieue).
À noter que la ligne A du RER (réseau express régional) est la plus fréquentée d'Europe avec 1,2 million de passagers par jour en moyenne.
Des travaux, concernant l'alimentation électrique et la signalisation, doivent être faits après qu'un incendie s'est déclaré vendredi en milieu de journée dans un local technique sur le quai de la station Nanterre-Préfecture, obligeant les pompiers à intervenir. Un dégagement de fumée avait contraint à l'interruption du trafic entre les gares de Rueil-Malmaison et Auber.
Le trafic avait pu être rétabli vendredi en fin d'après-midi entre les gares de La Défense et Auber. Les rames circulent normalement en dehors du tronçon concerné, qui commande l'accès aux trois branches ouest du RER A (Poissy, Cergy et Saint-Germain-en-Laye) à partir de Paris. Des bus de substitution sont en place et des agents de la RATP sont présents sur le terrain pour informer les voyageurs. La régie invite les usagers à utiliser le réseau Transilien (trains de banlieue).
À noter que la ligne A du RER (réseau express régional) est la plus fréquentée d'Europe avec 1,2 million de passagers par jour en moyenne.
vendredi 9 octobre 2015
Bouches-du-Rhône : deux enfants blessés dans une fusillade
Deux enfants ont été blessés par des tirs de fusil à plomb en fin d'après-midi à Lançon-Provence, selon une information de La Provence. Le gérant du bar a utilisé un fusil face à deux individus qui souhaitaient en découdre. Les enfants, blessés légèrement, se trouvaient par hasard à proximité de l'altercation.
PARIS-NORD Un déraillement provoque retards et annulations de trains
Un déraillement est survenu aux garages du Landy proche de la gare du Nord à 16h24. En conséquence, le trafic est perturbé.
Le TER 847433 Paris-Beauvais et le TER 847625 Paris-Creil sont déjà supprimés.
D’autres retards sont à prévoir.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/paris-nord-un-deraillement-provoque-retards-et-annulations-ia44b0n277026
Le TER 847433 Paris-Beauvais et le TER 847625 Paris-Creil sont déjà supprimés.
D’autres retards sont à prévoir.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/paris-nord-un-deraillement-provoque-retards-et-annulations-ia44b0n277026
Une femme gravement brûlée dans l'incendie de sa maison en Haute-Vienne
Les pompiers ont été appelés à 8h ce matin pour un incendie à Laurière, en Haute-Vienne. De la fumée noire sortait par la fenêtre d'une maison, et une personne se trouvait à l'intérieur.
Quand les pompiers sont arrivés à Laurière au hameau La Courrière, ce vendredi 9 octobre 2015 peu après 8h, l'incendie avait été maîtrisé par des voisins ; mais la victime était toujours à l'intérieur de sa maison.
Ils sont allés la chercher et ont constaté qu'elle était gravement brûlée.
Elle a été évacuée en hélicoptère vers le CHU de Limoges.
Les causes de l'incendie ne sont pas encore déterminées.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/une-femme-gravement-brulee-dans-l-incendie-de-sa-maison-en-haute-vienne-826031.html
Quand les pompiers sont arrivés à Laurière au hameau La Courrière, ce vendredi 9 octobre 2015 peu après 8h, l'incendie avait été maîtrisé par des voisins ; mais la victime était toujours à l'intérieur de sa maison.
Ils sont allés la chercher et ont constaté qu'elle était gravement brûlée.
Elle a été évacuée en hélicoptère vers le CHU de Limoges.
Les causes de l'incendie ne sont pas encore déterminées.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/une-femme-gravement-brulee-dans-l-incendie-de-sa-maison-en-haute-vienne-826031.html
Un cadre de La Poste suspendu pour des covoiturages avec sa voiture de fonction
Un cadre du groupe La Poste dans le Sud-Ouest est suspendu pour avoir véhiculé des passagers via la plateforme de covoiturage Blablacar avec sa voiture de fonction. Il facturait donc des frais qu'il ne payait pas. L'information a été révélée ce vendredi matin par nos confrères de France Bleu Béarn.
"Une enquête interne est en cours, elle vise à qualifier les faits", reconnaît la direction de La Poste. Cette dernière doit déterminer dans quelle mesure il est possible de faire des covoiturages avec une voiture de fonction. "Il n'y a pas d'enquête pénale".
"La Poste lui reproche une utilisation monétarisée de son véhicule de fonction", explique pour sa part le syndicat SUD PTT, dans un communiqué.
Le cadre visé est le directeur du service courrier et colis pour les Pays de l'Adour, c'est-à-dire les départements des Pyrénées-Atlantiques, des Landes et des Hautes-Pyrénées. 2800 personnes travaillent sous son autorité.
"Ce n'est pas un très bel exemple de loyauté, indique Dany Migazzi, déléguée SUD PTT, dans le service courrier colis des Pays de l'Adour. Le covoiturage, c'est se rendre service mutuellement pour ne pas payer cher. Là, c'est juste pour gagner de l'argent, c'est ce qui est choquant."
L'adjoint du cadre devrait assurer l'intérim le temps de la suspension.
http://www.sudouest.fr/2015/10/09/un-cadre-de-la-poste-suspendu-pour-des-covoiturages-avec-sa-voiture-de-fonction-2149539-4344.php
"Une enquête interne est en cours, elle vise à qualifier les faits", reconnaît la direction de La Poste. Cette dernière doit déterminer dans quelle mesure il est possible de faire des covoiturages avec une voiture de fonction. "Il n'y a pas d'enquête pénale".
"La Poste lui reproche une utilisation monétarisée de son véhicule de fonction", explique pour sa part le syndicat SUD PTT, dans un communiqué.
Le cadre visé est le directeur du service courrier et colis pour les Pays de l'Adour, c'est-à-dire les départements des Pyrénées-Atlantiques, des Landes et des Hautes-Pyrénées. 2800 personnes travaillent sous son autorité.
200 000 kilomètres en deux ans
Il effectuait régulièrement des allers-retours entre Pau et Troyes, où se trouve son domicile, relate SUD PTT. Ce qui représente un trajet de 900 kilomètres et 200 000 kilomètres effectués en deux ans."Ce n'est pas un très bel exemple de loyauté, indique Dany Migazzi, déléguée SUD PTT, dans le service courrier colis des Pays de l'Adour. Le covoiturage, c'est se rendre service mutuellement pour ne pas payer cher. Là, c'est juste pour gagner de l'argent, c'est ce qui est choquant."
L'adjoint du cadre devrait assurer l'intérim le temps de la suspension.
http://www.sudouest.fr/2015/10/09/un-cadre-de-la-poste-suspendu-pour-des-covoiturages-avec-sa-voiture-de-fonction-2149539-4344.php
Deux blessés dont un grave la nuit dernière dans une collision
Deux voitures se sont percutées ce vendredi matin, peu après 5h, sur le boulevard René-Cassin à Nice.
Un occupant de l'un des véhicules accidentés a été gravement blessée. Une deuxième victime a été plus légèrement touchée.
Les deux blessés ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
L'accident a créé un très gros bouchon puisqu'à 7 heures, les véhicules étaient encore à l'arrêt dans le secteur.
http://www.nicematin.com/nice/deux-blesses-dont-un-grave-la-nuit-derniere-dans-une-collision.2362038.html
Un occupant de l'un des véhicules accidentés a été gravement blessée. Une deuxième victime a été plus légèrement touchée.
Les deux blessés ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
L'accident a créé un très gros bouchon puisqu'à 7 heures, les véhicules étaient encore à l'arrêt dans le secteur.
http://www.nicematin.com/nice/deux-blesses-dont-un-grave-la-nuit-derniere-dans-une-collision.2362038.html
mercredi 7 octobre 2015
Lille : 4 blessés dont 1 grave après une chute dans un escalator du métro
C'est dans un contexte "festif" que l'accident a eu lieu. Vers 21h10 mardi soir, un groupe d'une vingtaine d'étudiants s'engage dans un escalator montant de la station de métro Rihour à Lille, tous ne sont munis que d'une seule chaussure. Probablement dans le cadre d'une soirée de bizutage ou d'intégration
Un blessé grave
L'un d'entre eux perd alors l'équilibre et entraîne trois camarades dans sa chute. Le bilan est sérieux : un jeune homme de 20 ans souffre d'un traumatisme crânien, les trois autres (un homme de 23 ans et deux femmes de 21 ans) souffrent de multiples contusions, plaies saignantes, ou douleurs au dos selon la police.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/lile-4-blesses-dont-1-grave-apres-une-chute-dans-un-escalator-du-metro-824393.html
Un blessé grave
L'un d'entre eux perd alors l'équilibre et entraîne trois camarades dans sa chute. Le bilan est sérieux : un jeune homme de 20 ans souffre d'un traumatisme crânien, les trois autres (un homme de 23 ans et deux femmes de 21 ans) souffrent de multiples contusions, plaies saignantes, ou douleurs au dos selon la police.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/lile-4-blesses-dont-1-grave-apres-une-chute-dans-un-escalator-du-metro-824393.html
Tentative de meurtre : un homme déféré et écroué
Un homme de 54 ans a été déféré devant le parquet de Montauban et écroué, hier soir, après une querelle qui dégénéré, dimanche soir, dans une maison située sur la route de Lamothe-Capdeville (lire notre édition d'hier). Il était un moins de 20 heures. Un étudiant âgé de 21 ans a été blessé à la main par une décharge de fusil de chasse.
Par miracle, le jeune homme a détourné au dernier moment le canon d e l'arme qui était braqué sur sa tête et a pris la fuite pour donner l'alerte chez les voisins.
Selon les enquêteurs, l'alcool semble bien avoir été au centre «de cette discussion qui a mal tourné» entre les deux individus. L'ex-compagne du tireur présumé ainsi que sa fille de 12 ans se trouvaient également sur les lieux au moment des faits.
Opéréedans un hôpital toulousain à la suite de sa blessure, la victime a pu être entendue hier par les policiers montalbanais.
Présenté au juge d'instruction, l'auteur des faits a été mis en examen pour tentative de meurtre, ce qui pourrait le conduire vers la cour d'assises.
En attendant, l'homme de 54 ans a été placé ensuite en détention.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/07/2192533-tentative-de-meurtre-un-homme-defere-et-ecroue.html
Selon les enquêteurs, l'alcool semble bien avoir été au centre «de cette discussion qui a mal tourné» entre les deux individus. L'ex-compagne du tireur présumé ainsi que sa fille de 12 ans se trouvaient également sur les lieux au moment des faits.
Opéréedans un hôpital toulousain à la suite de sa blessure, la victime a pu être entendue hier par les policiers montalbanais.
Présenté au juge d'instruction, l'auteur des faits a été mis en examen pour tentative de meurtre, ce qui pourrait le conduire vers la cour d'assises.
En attendant, l'homme de 54 ans a été placé ensuite en détention.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/07/2192533-tentative-de-meurtre-un-homme-defere-et-ecroue.html
mardi 6 octobre 2015
Etats-Unis : un garçon de 11 ans abat sa voisine de 8 ans pour une histoire de chiot
Un garçon de 11 ans, vivant dans l’Etat du Tennessee, au sud des Etats-Unis, a été inculpé pour assassinat après avoir abattu sa voisine de huit ans, qui ne voulait pas lui montrer son chiot, a annoncé le shérif du comté.
McKayla jouait dehors quand le tueur présumé lui a demandé de voir son chiot, a expliqué Latasha Dyer, la mère de la fillette à la chaîne locale WATE 6 news, qui a mis en ligne le témoignage dimanche. McKayla aurait répondu « non », juste avant de se faire tirer dessus au niveau du thorax. Selon la maman de la victime, le garçon « harcelait » et « insultait » sa fille. « J'ai été voir le principal (de l'école qu'ils fréquentaient, NDLR) le concernant et il a arrêté pendant un moment et puis tout d'un coup hier il lui a tiré dessus », a-t-elle expliqué.
G. W. McCoig, shérif du comté de Jefferson, a fait savoir, lors d’une conférence de presse, que le garçon avait été inculpé pour assassinat et placé en détention dans un centre pour mineurs
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/06/2191995-etats-unis-garcon-11-ans-abat-voisine-8-ans-histoire.html
McKayla jouait dehors quand le tueur présumé lui a demandé de voir son chiot, a expliqué Latasha Dyer, la mère de la fillette à la chaîne locale WATE 6 news, qui a mis en ligne le témoignage dimanche. McKayla aurait répondu « non », juste avant de se faire tirer dessus au niveau du thorax. Selon la maman de la victime, le garçon « harcelait » et « insultait » sa fille. « J'ai été voir le principal (de l'école qu'ils fréquentaient, NDLR) le concernant et il a arrêté pendant un moment et puis tout d'un coup hier il lui a tiré dessus », a-t-elle expliqué.
G. W. McCoig, shérif du comté de Jefferson, a fait savoir, lors d’une conférence de presse, que le garçon avait été inculpé pour assassinat et placé en détention dans un centre pour mineurs
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/06/2191995-etats-unis-garcon-11-ans-abat-voisine-8-ans-histoire.html
lundi 5 octobre 2015
Chemises arrachées, tentatives de séquestration : des patrons d'Air France pris en chasse par les salariés
La situation était tendue lundi matin chez Air France où la direction a confirmé en comité central d'entreprise que son plan de restructuration menacerait 2900 postes, ont annoncé les syndicats selon lesquels le CCE a été interrompu par une manifestation de salariés qui ont investi le siège. La direction va porter plainte pour "violence aggravée".
Sur les images, un dirigeant a la moitié de sa chemise déchirée dans le dos, un autre est carrément torse nu. La direction d'Air France a annoncé lundi à la mi-journée "condamner fermement les violences physiques" et qu'une plainte serait déposée pour "violence aggravée" sur certains de ses membres. Le directeur des ressources humaines Xavier Broseta "a manqué de se faire lyncher" et a dû quitter la salle en "escaladant des barrières pour se sauver", a ainsi raconté un délégué CGT.
Dans la matinée, des centaines de salariés ont investi le siège de la compagnie aérienne aux cris de "De Juniac démission" et "On est chez nous", forçant des barrière (voir les images ci-dessous) et interrompant le comité central d'entreprise lors duquel la direction venait de confirmer que son plan de restructuration menacerait bien 2900 postes, principalement au sol. La mise en oeuvre de ce plan "alternatif" au projet de développement "Perform 2020", dont les négociations ont échoué avec les syndicats de navigants, concernerait 300 pilotes, 900 PNC (hôtesses et stewards) et 1700 personnels au sol, selon elles.
"Le plan D ? Démission de la direction"
Plus de 500 personnes avaient commencé à manifester à 10h devant le siège, selon une source aéroportuaire. "Gagey dégage", "le plan D ? Démission de la direction" ou "Valls arbitre vendu !" pouvait-on lire sur les pancartes tenues par des salariés vêtus de leur uniforme. "Direction irresponsable" ou encore "ras le bol d'être mis les uns contre les autres", criaient certains devant les fenêtres du siège. Trois syndicats (FO, CGT et Unsa) ont appelé les personnels à la grève et une plus large intersyndicale intercatégorielle à manifester pendant la tenue du CCE.
La direction avait chiffré à 2900 postes le sureffectif induit par ce "plan B", vendredi en conseil d'administration. Mais elle avait alors évoqué 700 postes menacés chez les PNC et 1900 au sol. Le président d'Air France Frédéric Gagey a également confirmé que 5 avions quitteraient la flotte long-courrier en 2016, puis 9 autres en 2017. La compagnie dispose actuellement de 107 avions sur ce réseau, actuellement déficitaire pour moitié. Air France procèdera à des réductions de fréquences sur 22 lignes en 2016 et à une "plus forte saisonnalité" sur 6 autres lignes, qui "n'existeront que l'été ou l'hiver par exemple", a rapporté une source syndicale. En 2017, la compagnie fermera par ailleurs 5 lignes, en Inde et en Asie du sud-est, ont indiqué plusieurs sources.
dimanche 4 octobre 2015
La presse britannique décrète «la fin du monde»
«Le crash», «l'humiliation», la presse britannique a décrété «la fin du monde» dimanche après l'élimination du XV d'Angleterre de sa Coupe du monde de rugby la veille.
Le Mail on Sunday montre le capitaine Chris Robshaw à genoux, bouche ouverte et regard perdu après l'échec «embarrassant» face à l'Australie (33-13) sous le titre: «End of the World». «Humilié sur son propre sol», écrit le Daily Telegraph qui ajoute que «le rêve d'une nation a été brisé». «L'agonie», abonde le Sunday Times.
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2015/fil-info/la-presse-britannique-decrete-la-fin-du-monde-772898
Le Mail on Sunday montre le capitaine Chris Robshaw à genoux, bouche ouverte et regard perdu après l'échec «embarrassant» face à l'Australie (33-13) sous le titre: «End of the World». «Humilié sur son propre sol», écrit le Daily Telegraph qui ajoute que «le rêve d'une nation a été brisé». «L'agonie», abonde le Sunday Times.
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2015/fil-info/la-presse-britannique-decrete-la-fin-du-monde-772898
Roppe : la voiture s’arrête devant la station-service et s’embrase
« Nous avons eu chaud. Nous pourrons mettre un cierge à l’église. »
Le commentaire de Danièle Margaine, la gérante de la station-service tabac presse du 74 B avenue du général de Gaulle de Roppe ne le dit pas. Mais son fils, Yohan Margaine, a évité une catastrophe ce samedi matin.
Sa présence d’esprit et sa réactivité ont empêché qu’un feu de voiture n’embrase à la fois la toiture du magasin, n’endommage ou ne détruise les pompes à essence.
Cet incident débute lorsqu’un couple gare sa petite Twingo, devant le garage situé dans le prolongement de la boutique.
« D’un seul coup », témoigne la caissière, « il y a une épaisse fumée qui est sortie de la voiture. J’ai rapidement vu des flammes. Elles étaient hautes. »
L’incident est visible de la RD 83 où les usagers ralentissent pour regarder. À la station-service, c’est un peu l’affolement mais ce n’est pas le cas de Yohan Margaine. Tandis que l’arrêt d’urgence des pompes est activé, le jeune homme lâche tout et se précipite avec une idée en tête éloigner le véhicule du bâtiment et des pompes pour écarter tout risque de propagation ou d’explosion.
« Je n’ai pas réfléchi », déclare-t-il. « J’aurais pu me brûler les mains, les bras ou le visage. Je m’en rends compte avec le recul. »
Avec l’aide d’un client, il pousse la petite berline d’une dizaine de mètres. Puis il vide le contenu de trois gros extincteurs et de deux petits dans l’habitacle.
Après les avoir vidés », s’étonne-t-il, « il y a encore de la fumée. »
Quelques minutes plus tard, les pompiers de Belfort-Nord ont définitivement éteint l’incendie avec une lance à mousse. Le feu a détruit la voiture et causé des dégâts limités à la porte de garage, la façade et la toiture.
L’hypothèse accidentelle reste privilégiée pour expliquer cet incendie. Il pourrait avoir été provoqué par une ou des cigarettes mal éteintes qui se trouvaient dans le cendrier de la voiture. Un habitacle où se trouvait aussi une bouteille d’oxygène. Les gendarmes n’écartaient pas une fuite sur le tuyau de cette bouteille.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/03/roppe-la-voiture-s-arrete-devant-la-station-service-et-s-embrase
Le commentaire de Danièle Margaine, la gérante de la station-service tabac presse du 74 B avenue du général de Gaulle de Roppe ne le dit pas. Mais son fils, Yohan Margaine, a évité une catastrophe ce samedi matin.
Sa présence d’esprit et sa réactivité ont empêché qu’un feu de voiture n’embrase à la fois la toiture du magasin, n’endommage ou ne détruise les pompes à essence.
Cet incident débute lorsqu’un couple gare sa petite Twingo, devant le garage situé dans le prolongement de la boutique.
« D’un seul coup », témoigne la caissière, « il y a une épaisse fumée qui est sortie de la voiture. J’ai rapidement vu des flammes. Elles étaient hautes. »
L’incident est visible de la RD 83 où les usagers ralentissent pour regarder. À la station-service, c’est un peu l’affolement mais ce n’est pas le cas de Yohan Margaine. Tandis que l’arrêt d’urgence des pompes est activé, le jeune homme lâche tout et se précipite avec une idée en tête éloigner le véhicule du bâtiment et des pompes pour écarter tout risque de propagation ou d’explosion.
« Je n’ai pas réfléchi », déclare-t-il. « J’aurais pu me brûler les mains, les bras ou le visage. Je m’en rends compte avec le recul. »
Avec l’aide d’un client, il pousse la petite berline d’une dizaine de mètres. Puis il vide le contenu de trois gros extincteurs et de deux petits dans l’habitacle.
Après les avoir vidés », s’étonne-t-il, « il y a encore de la fumée. »
Quelques minutes plus tard, les pompiers de Belfort-Nord ont définitivement éteint l’incendie avec une lance à mousse. Le feu a détruit la voiture et causé des dégâts limités à la porte de garage, la façade et la toiture.
L’hypothèse accidentelle reste privilégiée pour expliquer cet incendie. Il pourrait avoir été provoqué par une ou des cigarettes mal éteintes qui se trouvaient dans le cendrier de la voiture. Un habitacle où se trouvait aussi une bouteille d’oxygène. Les gendarmes n’écartaient pas une fuite sur le tuyau de cette bouteille.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/03/roppe-la-voiture-s-arrete-devant-la-station-service-et-s-embrase
samedi 3 octobre 2015
Charleville-Mézières: une voiture les renverse, un couple de malvoyants dans un état grave
Les deux quinquagénaires ont été grièvement blessés. La conductrice de la voiture qui les a percutés a été choquée
Un couple de malvoyants a été renversé par une voiture, ce samedi, à 14 heures, alors qu’il traversait sur un passage piéton face au nº1 de l’avenue Gustave-Gailly.
Percutées de plein fouet, les deux personnes âgées d’une cinquantaine d’années ont été transportées au centre hospitalier de Charleville-Mézières dans un état grave. La conductrice, âgée de 35 ans, très choquée après cet accident, a elle aussi été emmenée à l’hôpital. Selon les premiers éléments relevés par les pompiers et la police, il semblerait que la conductrice du véhicule a été éblouie par le soleil rasant.
http://www.lunion.com/node/563225
Un couple de malvoyants a été renversé par une voiture, ce samedi, à 14 heures, alors qu’il traversait sur un passage piéton face au nº1 de l’avenue Gustave-Gailly.
Percutées de plein fouet, les deux personnes âgées d’une cinquantaine d’années ont été transportées au centre hospitalier de Charleville-Mézières dans un état grave. La conductrice, âgée de 35 ans, très choquée après cet accident, a elle aussi été emmenée à l’hôpital. Selon les premiers éléments relevés par les pompiers et la police, il semblerait que la conductrice du véhicule a été éblouie par le soleil rasant.
http://www.lunion.com/node/563225
Quillebeuf-sur-Seine (Eure) : un étudiant caennais emporté par la marée en bord de Seine
Un jeune homme a été porté disparu vendredi 2 octobre en fin de matinée. Il effectuait des prélèvements d'eau en bord de Seine. Un hélicoptère a été mobilisé pour les recherches. En vain.
Les pompiers de l'Eure ont été alertés à 13 heures 20. Ils ont travaillé conjointement avec leurs collègues de Seine-Martime et l'appui d'un hélicoptère sur une opération de recherche, celle d'un jeune homme qui effectuait des prélèvements d'eau dans le cadre des ses études à l'Université de Caen. Il aurait été emporté par la marée, au niveau du pont de Tancarville (Seine-Maritime).
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/quillebeuf-sur-seine-eure-un-etudiant-caennais-emporte-par-la-maree-en-bord-de-seine-821597.html
Les pompiers de l'Eure ont été alertés à 13 heures 20. Ils ont travaillé conjointement avec leurs collègues de Seine-Martime et l'appui d'un hélicoptère sur une opération de recherche, celle d'un jeune homme qui effectuait des prélèvements d'eau dans le cadre des ses études à l'Université de Caen. Il aurait été emporté par la marée, au niveau du pont de Tancarville (Seine-Maritime).
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/quillebeuf-sur-seine-eure-un-etudiant-caennais-emporte-par-la-maree-en-bord-de-seine-821597.html
Tunnel sous la Manche : trafic interrompu après l'intrusion de migrants
L e trafic dans le tunnel sous la Manche près de Calais a été interrompu vers 0 h 30 dans la nuit de vendredi à samedi lorsqu'une centaine de migrants se sont introduits collectivement sur le site.
"Aux alentours de 0 h 30 une centaine de migrants ont forcé une clôture et le passage auprès d'agents de sécurité du tunnel. Nous avons dû suspendre le service", a indiqué une porte-parole du groupe Eurotunnel. Celle-ci a précisé que les forces de l'ordre étaient actuellement sur le site et le trafic toujours suspendu.
http://www.midilibre.fr/2015/10/03/tunnel-sous-la-manche-trafic-interrompu-apres-l-intrusion-de-migrants,1221769.php
Attirer l'attention de l'opinion publique
Dix blessés légers dont sept migrants ont été pris en charge par les cinq ambulances présentes sur place, a rapporté à l'AFP un officier des pompiers du Pas-de-Calais. "Actuellement les autres migrants sont en cours de sortie. Ils avaient pénétré dans le tunnel sud et le tunnel de service", a-t-il précisé. Interrogée sur la présence aux côtés des migrants de militants du mouvement anarchiste No Border, la représentante d'Eurotunnel a affirmé qu'il était "fort probable qu'il s'agisse d'une opération réfléchie ayant pour but d'attirer l'attention de l'opinion publique".Travaux de sécurisation
Le site du tunnel, qui totalise 650 hectares et un périmètre d'une vingtaine de km, a fait l'objet pendant l'été de nombreuses tentatives d'intrusion, généralement la nuit. Un pic à 1 700 avait été atteint le 3 août. D'importants travaux de sécurisation - nouvelles barrières, renforcement d'effectifs, chiens renifleurs - avaient été entrepris. Le nombre de tentatives avait baissé pour se fixer autour de la centaine par nuit, selon plusieurs sources policières. Certaines de ces intrusions se sont soldées par la mort de migrants. Depuis le 26 juin, 13 d'entre eux sont morts aux abords du tunnel en tentant de rallier l'Angleterre, qu'ils considèrent comme un eldorado. Environ 3.500 migrants vivent dans des conditions indignes dans le camp de la nouvelle jungle, à l'est de Calais.http://www.midilibre.fr/2015/10/03/tunnel-sous-la-manche-trafic-interrompu-apres-l-intrusion-de-migrants,1221769.php
vendredi 2 octobre 2015
Thiérache: avez-vous vu Charline Baudemont ?
Charline Baudemont, 26 ans, n’a plus été vue depuis mercredi matin. Elle vit à Saint-Algis et travaille en tant que kinésithérapeute à l’hôpital d’Hirson. Elle circulait avec une Citroën C3 bleu ciel. Si vous avez vu cette jeune femme ou si avez des renseignements la concernant, contactez la gendarmerie au 03 23 98 91 28.
http://www.lunion.com/node/562407
http://www.lunion.com/node/562407
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