mardi 31 janvier 2017

Un buraliste de Montpellier met en fuite 2 braqueurs armés

L'histoire incroyable du buraliste du quartier Richter à Montpellier s'est déroulée ce week-end. Samedi soir, avec sa femme, il a fait preuve de courage. Il a réussi à faire fuire deux braqueurs qui tentaient de lui voler sa caisse à l'aide d'un fusil à pompe
Jacques Chalembel porte encore les stygmates de l'agression dont il a été victime ce week-end, dans son bureau de tabac de Montpellier, le plus gros de l'Hérault.
Samedi soir, il est 20h30, l'heure de la fermeture. 2 individus cagoulés et armés pénètrent dans le tabac presse du quartier Richter.
Avec un fusil à pompe, ils braquent le propriétaire, sa femme et une employée. Ils veulent la caisse.
Mais le buraliste ne se laisse pas faire.

Ca a été instantané chez moi. J'ai écarté le fusil et je leur ai sauté dessus... Je les ai repoussé dehors, j'ai pris des coups sur la tête. Mais ils sont sortis dehors." explique le commerçant.

Mais les 2 braqueurs font demi-tour et tentent de rentrer à nouveau dans la boutique.
Pendant ce temps, la femme du propriétaire et une employée, sont derrière le comptoir, l'une d'elles tente d'activer une bombe lacrymogène, mais en vain, car elle n'arrive pas à oter la goupille de sécurité.

Ils ont dû changer d'avis. Ils m'ont resuivi dans le magasin pour essayer de remettre çà. Mais je me suis précipité pour retourner vers les individus alors ils sont partis, ils ont essayé de faire fonctionner leur fusil mais ils avaient des gants de moto et ils n'ont pas réussi à faire fonctionner ce fusil à pompe, c'est peut-être ce qui m'a sauvé la vie".

Les braqueurs ont finalement pris la fuite. Ils sont recherchés par la police.
En 15 ans, c'est la première fois que le buraliste se fait agresser.

Ils ont essayé de me tirer dessus, 2 fois, ça n'a pas fonctionné" conclut-il.

Mais il sait que sa profession est un métier à risques. Il a d'ailleurs été blessé au visage, et souffre de contusions aux bras et aux cervicales.
Et son commerce fait des envieux. Avec jusqu'à 1.600 clients par jour, c'est le plus gros tabac presse de l'Hérault.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=languedoc-roussillon

Saint-Jean-Saverne : l’intervention tourne au drame

Un homme a été grièvement blessé par balle ce matin près de son domicile à Saint-Jean-Saverne après avoir commis un vol avec armes dans une station-service de Saverne avec sa compagne.
Menacés, les gendarmes de la brigade de Saverne venus sur place ont fait feu sur le couple « après les sommations d’usage », selon le parquet de Saverne, touchant l’homme de 43 ans. Il est ce soir entre la vie et la mort.
Lire l'article de notre journaliste de Saverne, Guillaume Erckert (ABONNES)
Le communiqué du procureur de la République de Saverne :
"Ce jour, à 10 heures 30, un homme et une femme commettaient un vol de carburant sous la menace d’armes de poing dans une station service de Saverne.
A 10 heures 50, une patrouille de la brigade de gendarmerie de Saverne se rendait au domicile de deux suspects, à Saint Jean Saverne. Sur place, les intéressés brandissaient à nouveau des pistolets, ce qui amenait les deux gendarmes à faire usage de leurs armes.
L’homme était blessé et pris en charge par les secours. La femme était interpellée et placée en garde à vue pour vol avec arme et violence volontaire sur agent de la force publique avec arme.
Une enquête a été ouverte et confiée à la Section de recherches de la gendarmerie de Strasbourg
http://www.dna.fr/actualite/2017/01/30/l-intervention-tourne-au-drame

lundi 30 janvier 2017

Drame familial dans l’Ain : un ado mortellement poignardé par son demi-frère

Les parents qui étaient présents au domicile familial ont pu donner l’alerte
Un adolescent de 12 ans a été mortellement poignardé dans la nuit de vendredi à samedi à Péronnas (Ain) au domicile familial par son demi-frère, indique Le Progrès.
Le drame s’est déroulé vers 03H30 dans la chambre du collégien quand pour une raison encore indéterminée ce dernier a été frappé à plusieurs reprises par son demi-frère, âgé de 31 ans, avec "un couteau de cuisine", précise le parquet de Bourg-en-Bresse.
"Les parents étaient présents sur place et ont pu donner l’alerte. Malgré l’intervention des premiers secours sur place, quelques minutes plus tard, la victime est décédée des suites de ses blessures", ajoute le parquet.

Le suspect interné

"Interpellé sans difficultés" puis placé au centre psychothérapique de l’Ain à Bourg-en-Bresse en raison de son état mental, l’agresseur n’avait toujours pas pu être entendu dimanche par les enquêteurs. Aucune autre précision n’a été donnée sur le trentenaire.
Une information judiciaire pour "homicide volontaire sur mineur de 15 ans" a été ouverte, selon le parquet.
http://www.sudouest.fr/2017/01/30/drame-familial-dans-l-ain-un-ado-mortellement-poignarde-par-son-demi-frere-3152063-7.php

Carambolage sur l’A13 près de Paris : au moins 65 blessés dont 5 graves

Au moins 65 personnes ont été blessées, dont trois grièvement, dans un carambolage survenu tôt lundi sur l’autoroute A13, dans les Yvelines, selon la préfecture du département.
Selon un nouveau bilan établi vers 8H10, cinq personnes se trouvent «en urgence absolue», 60 autres ont blessées moins lourdement tandis que 14 personnes «impliquées» n’ont pas été blessées.
L’accident, qui s’est produit vers 5H00 dans le sens province-Paris de l’A13, à hauteur de la commune d’Epône, implique «deux bus non scolaires, un semi-remorque et quatre véhicules légers», a indiqué la préfecture à l’AFP.

Selon un bilan communiqué à 7H50, trois personnes se trouvent «en urgence absolue» et 62 autres en «urgence relative» tandis que 12 personnes «impliquées» n’ont pas été blessées.
Les circonstances de l’accident restaient à établir lundi matin.
Un gymnase a été ouvert à Aubergenville pour accueillir les blessés légers.
Un important dispositif de secours a été déployé. L’autoroute A13 a été coupée dans le sens province-Paris et les automobilistes sont invités à éviter le secteur.
http://www.lunion.fr/13581/article/2017-01-30/carambolage-sur-l-a13-pres-de-paris-au-moins-65-blesses-dont-3-graves

dimanche 29 janvier 2017

Un mort et un blessé par balles à la Courneuve

Un homme a été tué par balle et un autre grièvement blessé dimanche matin à la Courneuve (Seine-Saint-Denis) quand leur véhicule a été la cible de tirs, indiquent des sources concordantes.
Les pompiers sont intervenus vers 07h30 pour prendre en charge deux personnes touchées par arme à feu à la Courneuve, selon les sapeurs-pompiers.
Les deux hommes, âgés d'une trentaine d'années, ont été pris pour cible alors qu'ils circulaient en voiture dans un quartier du centre de la Courneuve. Un des occupants a été tué dans la voiture, où son corps a été découvert. L'autre, qui a reçu plusieurs balles, a été retrouvé quelques mètres plus loin. Il a été hospitalisé et "son pronostic vital est engagé", a précisé cette deuxième source.
Le ou les auteurs présumés, qui circulaient également en voiture, ont réussi à prendre la fuite. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été chargée de l'enquête.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Excédé par le bruit, il ouvre le feu au fusil de chasse sur des ouvriers

Excédé par le bruit du marteau-piqueur, un habitant de Revel a sorti son fusil de chasse pour cribler de plomb la maison en cours de travaux et assiègée par des ouvriers.
Le tribunal correctionnel de Toulouse a jugé dernièrement, Loïc, 33 ans. Ce dernier était soupçonné d'avoir tiré avec un fusil de chasse contre des ouvriers qui retapaient la maison voisine.
Mercredi, 11 heures, rue des sœurs, à Revel. Fortement alcoolisé de la veille et réveillé en sursaut par le bruit des marteaux-piqueurs provenant de la maison d'en face, Loïc a disjoncté. Déjà deux jours plus tôt, les ouvriers s'étaient étonnés de son comportement. Il hurlait et vociférait à leur encontre. Mais mercredi, ce jeune père de famille sans emploi est allé plus loin.
De son appartement, il a tiré à l'aide d'un fusil de chasse calibre 36, en direction de la fenêtre voisine où les ouvriers travaillaient. Ébahis, ces derniers ont découvrent 26 impacts de plomb sur le chambranle de la fenêtre et 50 impacts dans la pièce. Alertés, les gendarmes sont intervenus et retrouvent Loïc complétement endormi. Ce dernier s'était recouché après son coup d'éclat pour terminer sa nuit et pour cause, de par son ivresse, il pensait qu'il était 7 heures du matin
À l'audience, emmitouflé dans sa veste noire, il reconnaît les faits. «J'avais acheté cette arme à un vide grenier comme objet de décoration», explique-t-il à la présidente Tavernier. Cet homme, inconnu de la justice, écoute attentivement le réquisitoire d'Olivier Mouysset, procureur de la République. «Il a mis la vie d'autrui en danger en étant saoul à 11 heures du matin !», tonne le magistrat. Il requiert 10 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve avec notamment une obligation de soin, de travail et d'indemniser la seule victime partie civile, le propriétaire de la maison canardée. Ce dernier, absent de l'audience réclame d'ailleurs 10.000€ de dommages et intérêts !
En défense, Me Hélène Pronost tente d'abaisser le quantum de la peine.
Le tribunal a finalement condamné Loïc à 9 mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant 2 ans avec obligation de soin, de travail, d'indemniser la victime et interdiction de détenir une arme. 500€ ont été alloués à la partie civile, bien loin de 10.000 espérés.

samedi 28 janvier 2017

91 médicaments «inutiles et dangereux»

Comme tous les ans depuis 5 ans, la revue Prescrire vient de publier la liste des médicaments «plus dangereux qu'utiles» à éviter en raison des risques sanitaires «disproportionnés» qu'ils font courir aux patients. Sur les 91 recensés et commercialisés en Europe, 82 sont vendus en France.
Le registre des traitements critiqués – cancer, diabète, arthrose, allergies, maladie d'Alzheimer, nausées et vomissements – est vaste, que les médicaments en cause soient nouveaux ou anciens et les maux visés graves ou bénins. «La persistance des firmes à les commercialiser et l'inertie des agences du médicament qui tardent à les interdire totalement exposent les patients à des risques injustifiés», s'indigne la revue.

Des effets secondaires graves, voire mortels

Par exemple, des médicaments contre le rhume (décongestionnants), comme la pseudoéphédrine ou la naphazoline, exposent à un risque de troubles cardiovasculaires graves voire mortels : poussées d'hypertension, AVC, troubles du rythme cardiaque…
D'autres médicaments utilisés pour soulager les maux de gorge ou la toux, comme le Muxol ou le Bisolvon (sans efficacité prouvée) peuvent entraîner des réactions allergiques et des réactions cutanées graves, parfois fatales. Sur la centaine de médicaments recensés pendant la période 2013-2016, seulement une dizaine ont fait l'objet d'une suspension ou d'un retrait d'AMM (autorisation de mise sur le marché).
http://www.ladepeche.fr/sante/actu-sante/

vendredi 27 janvier 2017

Tarn: Les restes d’un corps découverts dans un fût d’acide

En intervenant chez un homme décédé mercredi, dans sa maison de Saint-Benoît-de-Carmaux, dans le Tarn, les policiers ont fait une macabre découverte rapporte 100 % radio.
En réalisant les constatations dans cette bâtisse où il régnait une odeur fétide, ils sont tombés sur un fût rempli d’un liquide, a priori d’acide. A l’intérieur, des restes d’un corps humain en état de décomposition. Jeudi, la police scientifique était sur place, ainsi que les enquêteurs du service régional de police judiciaire pour réaliser les relevés.

Grand banditisme ?

Selon 100 % radio, l’occupant des lieux, certainement décédé de mort naturelle, était d’origine marseillaise et avait des liens avec le milieu du grand banditisme. A-t-il réglé son compte à un autre malfrat ? Des chiens spécialisés étaient sur place pour fouiller les lieux. Les investigations de la PJ devraient permettre de déterminer l’identité de l’homme découvert dans le fût.
http://www.20minutes.fr/societe/cadavre/

jeudi 26 janvier 2017

Pays basque : interpellé après avoir soutiré 6 000 euros à un homme de 78 ans

Un individu a été déféré mercredi matin au parquet de Bayonne après avoir soutiré quelque 6 000 euros à un homme de 78 ans, par des manœuvres fort peu honnêtes.
Quelques semaines auparavant, alors qu’il était sorti de son domicile avec l’objectif de faire quelques courses, le septuagénaire a été abordé par le conducteur d’une fourgonnette blanche, qui lui a très aimablement proposé de l’emmener faire ses emplettes dans un magasin d’alimentation de l’agglomération.
De retour au domicile de l’homme âgé, après l’avoir aidé à porter ses courses, l’homme à la fourgonnette s’est royalement fait payer cette bonne action, puisqu’il s’est fait remettre cinq chèques par le septuagénaire, totalisant 6 000 euros. Les chèques ont été encaissés.
Estimant le filon bon, le malfaiteur a tenté de réitérer son mauvais coup, en emmenant le septuagénaire dans un autre magasin. Ce dernier, apeuré, s’est réfugié aux caisses du supermarché. Et la police a été prévenue. L’individu a été interpellé, placé en garde à vue. Laissé libre sous contrôle judiciaire, il sera jugé en juin.
http://www.sudouest.fr/2017/01/26/interpelle-apres-avoir-soutire-6-000-euros-a-un-homme-de-78-ans-3139749-3944.php

mercredi 25 janvier 2017

Deux hommes interpellés avec un Colt 45 et un gilet pare-balles à Échirolles, en Isère

Deux hommes ont été interpellés dans un hall d'immeuble rue d'Auvergne, à Échirolles. Ils avaient sur lui un pistolet automatique, des munitions ainsi qu'un gilet pare-balles.
Deux individus, l'un âgé de 17 ans et l'autre de 23 ans, ont été interpellés mardi soir à Échirolles. Les policiers grenoblois ont découvert sur eux un Colt 45, des cartouches pour le pistolet automatique et un gilet pare-balles.

Un pistolet volé à Vienne en 2012


L'armement a été découvert à l'occasion d'un contrôle de police à l'intérieur d'un hall d'immeuble qui était surveillé car lié à un trafic de drogue.

Le pistolet automatique aurait été volé à Vienne (Isère) en 2012 tandis que le gilet pare-balle ressemble selon les premières estimations policières à ceux utilisés par la gendarmerie.

Les deux hommes sont toujours en garde à vue ce mercredi

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/

Clash : l'audience interrompue

Les murs de la salle d'audience ont tremblé, hier soir, lors du procès d'assises de Hassan Bourkia. La violence du clash entre les deux avocats de ce procès : Me Frédéric David, pour la défense, et Me Laurent Mascaras, pour la partie civile, était telle que le président Alain Gaudino était contraint d'interrompre l'audience. La voix des deux ténors qui portait bien au-delà de la salle des assises, provoquait une brève interruption de l'audience correctionnelle se tenant au 1er étage du palais de justice.

La victime condamnée, il y a quinze jours

Au cœur de cet échange viril, le dévoilement d'une pièce fragilisant un peu plus le profil de victime d'Eddy Pitot. Après la lecture de son casier judiciaire portant neuf mentions dont celle d'un an ferme pour trafic de stupéfiant, le Caussadais de 48 ans dont le bras a été amputé par un coup de feu tiré en août 2014 à Cayriech par Hassan Bourkia, ne s'attendait pas à ce que l'avocat de la défense lui rappelle une très récente décision judiciaire. «N'avez-vous pas été condamné le 3 janvier dernier pour détention d'une arme de poing à la sortie d'une discothèque de Caussade», l'interrogeait Me David. «Non», lui rétorquait Eddy sous le regard médusé du ténor Toulousain qui avait un coup d'avance. Brandissant soudainement un exemplaire de «La Dépêche du Midi» en date du 4 janvier, le pénaliste donnait l'estocade avant même que le président rappelle la règle en la matière. «Cette pièce n'a pas été versée au dossier et vous ne l'avez pas communiqué aux parties», faisait légitimement remarquer le magistrat. «Son avocat peut tout de même nous dire ce qu'il en est, il le défendait ce jour-là, et son client a été condamné à six mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve», poursuivait Me David qui n'obtenait pas de réponse de son confrère. «Vous manquez de courage!», tonnait alors l'avocat toulousain recevant,de son côté, une réponse de stentor de Me Mascaras qui refusait d'être ainsi mis en cause.
Face à face, les deux avocats lâchaient les décibels comme jamais dans la salle d'audience, sans que personne ne puisse interrompre ce pugilat verbal. Contraint d'interrompre la séance et d'attendre que le calme revienne, le président convoquait un quart d'heure plus tard les deux ténors en salle du conseil pour les rappeler à l'ordre. L'audience pouvait alors se conclure par la plaidoirie de la partie civile.

La compagne de la victime prise en flagrant délit de mensonge

Avant cela, la matinée comme l'audience de lundi, avait été plutôt favorable à l'accusé. Le témoignage de la compagne de la victime s'étant conclue par un parjure. «Vous êtes sûre d'avoir déposé plainte deux jours après le vol de votre fusil de chasse», l'interrogeait Me David qui recevait une réponse positive de l'intéressée et s'empêtrait dans ses mensonges : cette dernière ayant sur procès-verbal attestait ne pas avoir déposé plainte pour ce cambriolage qu'après un tir contre son auto. Une question qui avait son importance, l'arme du crime, un vieux fusil de chasse stocké dans le garage du couple ayant été dérobé par l'accusé un mois avant les faits, et quelques jours après un mystérieux coup de feu tiré contre le véhicule de la femme d'Eddy. Irrité par cette réponse, le président était implacable face à ce qu'il qualifiait comme un «flagrant délit de mensonge», en demandant au témoin de quitter immédiatement la salle.
Les experts en balistique et en ADN du laboratoire de police scientifique qui se succédaient confirmer également un point crucial : la défectuosité de l'arme. «Le système de sûreté est bloqué, et à chaque fois que l'on met des cartouches, les percuteurs sont actionnés», déclarait l'expert en balistique. Ce dernier ne pouvait toutefois dire si le tir ayant grièvement blessé Eddy Pitot, était dû à Hassan Bourkia lorsque celui-ci aurait appuyé sur la détente, ou si le coup de feu a pu accidentellement partir lorsque la victime a poussé l'arme braquée sur elle. «Je n'ai jamais eu l'intention de le tuer», répétait Hassan qui expliquait avoir volé l'arme à Eddy pour être sûr qu'il ne s'en serve contre lui. «Dette de stupéfiant ou autres, il sera difficile d'expliquer plus le mobile de cette affaire», concluait le président qui ouvrait toutefois la voie à une requalification des faits d'une tentative d'homicide en finalement des violences avec arme ayant entraîné une infirmité permanente. Un point qui ne pouvait que satisfaire Me David dont le client voyait sa peine maximale divisait soudainement par deux. Verdict ce soir...
http://www.ladepeche.fr/grand-sud/tarn-et-garonne/

mardi 24 janvier 2017

Affaire de Bruay-en-Artois : un ancien policier pense avoir trouvé l'assassin

Le crime a été prescrit en 2005, laissant la mort de Brigitte Dewèvre, en 1972, inexpliquée. Aujourd'hui, un ancien de la Police Judiciaire publie un livre dans lequel il reprend l'enquête, sur la base d'éléments nouveaux. Il pense connaître l'identité du meurtrier.
L'enquête ne sera jamais rouverte, le crime a été prescrit. Pourtant, avec la publication de son livre Brigitte, histoire d’une contre-enquête, Daniel Bourdon espère "faire bouger les lignes", trouver la vérité sur la mort de Brigitte Dewèvre, en avril 1972. "Il y a eu des erreurs, des oublis dans l'enquête", explique l'auteur. "Très rapidement j'ai trouvé de nouveaux élements."

Pas de miracle pourtant, l'ancien de la PJ n'est pas un "super-flic", prévient-il. Mais le fils de Bruay-en-Artois, qui avait 12 ans au moment du crime, a pu, en quelques mois, reprendre l'enquête et pense avoir trouvé de nouveaux témoignages clés. Retour sur les faits.

La mort d'une adolescente


Printemps 1972. En ce petit matin, le corps d'une adolescente, fille de mineur, est retrouvé sans vie. Il s'agit de Brigitte Dewèvre, 15 ans. Grande, mince, la jeune fille est dite un peu sauvage. Avec ses parents, elle habite le coron de la fosse 4, à Bruay. La veille, elle est partie dans l'après-midi rejoindre sa grand-mère, sans jamais revenir.

Rapidement, ce crime fait la Une des journaux et devient une affaire médiatique. Jour après jour, les journalistes relatent les avancées de l'enquête tel un feuilleton policier.  "Je la connaissais de vue, je n'habitais pas loin", explique Daniel Bourdon. "Mais il y avait ce partage, entre les enfants de bourgeois et les enfants de mineurs."

L'affaire dite de Bruay-en-Artois prend en effet un tournant social. La vie des mineurs redevient un sujet de débat sur la place publique, et les gueules noires de la région s'associent au parents de Brigitte pour réclamer justice

Un notaire arrêté, puis relâché
Si l'affaire prend à ce point une tournure sociale, c'est surtout à cause de l'arrestation d'un notaire, justement, de Bruay-en-Artois. Il s'appelle Pierre Leroy, habite dans les maisons bourgeoises, un peu plus loin. Sa Peugeot 504 a été trouvée non loin du lieu du meurtre.

Membre du Rotary Club, habitué des lieux de prostitution lillois, il est vite désigné comme le coupable et est incarcéré. Face à lui, le juge Pascal défend une "justice à ciel ouvert" et dévoile des éléments de l'enquête. Des reconstitutions ont lieu, on trouve des contradictions dans les dépositions.

Mais le 18 juillet 1972, la cour d'appel d'Amiens retire l'affaire au juge Pascal et fait relâcher Pierre Leroy, faute de preuves. "Le notaire ne peut mécaniquement pas être le criminel, mais ce n'est pas pour autant que tout est clair dans son récit", ajoute Daniel Bourdon, l'auteur du livre.
L'enquête parallèle
Suite à ça, un deuxième homme, Jean-Pierre Flahaut, se dénonce à la police. Il a 17 ans, est orphelin et prétend détenir les lunettes de Brigitte, que personne, même les membres de sa famille, ne reconnaît. Il est relâché et reconnu innocent.

L'enquête est au point mort. L'affaire est classée sans suite en 1981.

C'était sans compter la patience de Daniel Bourdon. Après 35 ans passés dans la police, à Paris, l'auteur fait une rencontre décisive et décide de revenir sur les lieux du drame, les lieux de son enfance : Bruay-en-Artois. "C'est une dame que j'ai connu quand j'étais enfant et qui m'a subitement apporté un élement nouveau, décisif", explique l'écrivain.

Guidé par ces nouvelles indications, il part à la rencontre des habitants de Bruay, parfois sans liens apparents avec l'affaire. Pendant 17 mois, il recueille ainsi des éléments nouveaux. "Certaines preuves, certains témoignages, sont de notoriété publique, mais ont été mis de côté. Quand on les met ensemble, ça donne quelquechose", ajoute-t-il sans plus donner de précisions.

L'assassin évaporé dans la nature ?


Une enquête, à nouveau, qui lui permet d'arriver à une conclusion : il pense connaître l'identité de l'assassin. "Dans mon livre, j'ai utilisé un pseudonyme mais son nom apparaît dans l'enquête et tout le monde va le trouver. C'était quelqu'un d'anonyme, de bonne famille. Il était gardien de nuit dans une église, très intéressé par la religion", précise l'ancien policier.

D'après l'auteur, le jeune homme en question s'est évaporé dans la nature, au lendemain de l'arrestation de Jean-Pierre Flahaut. Signe de culpabilité ? C'est ce que pense Daniel Bourdon, même si alors on pense qu'il est simplement parti faire une retraite religieuse. Depuis, personne n'a eu la moindre nouvelle, "il est introuvable".

Et après ?


Pour se protéger juridiquement, Daniel Bourdon a modifié certains noms, notamment ceux des personnes qu'il met au cause. Officiellement, c'est un roman. Un roman dont la suite est déjà en cours de préparation. "Depuis la sortie du livre, plusieurs personnes m'ont contacté pour livrer leur version des faits", explique l'auteur. "Pour moi Brigitte Dewèvre est la victime collatérale d'un système qui s'est développé dans la ville de Bruay."

Système qu'il entend bien expliquer dans un nouveau tome, toujours d'après lui avec le soutien de la famille. "L'objectif de ce livre, ce n'était pas tant de rappeler les faits que de faire sortir de nouveaux témoignages", conclut Daniel Bourdon. L'auteur sera en dédicace ce vendredi dans un supermarché de Bruay. Son livre
est également en vente sur internet.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/decouverte/histoire?r=nord-pas-de-calais

La majorité des couches-culottes contiendraient des résidus de substances toxiques

Des couches pas si propres. Des substances « à la toxicité suspectée ou avérée » ont été retrouvées en faible quantité dans la majorité des couches-culottes testées par le magazine 60 Millions de consommateurs, qui réclame une « tolérance zéro » pour ces composés dans les produits pour bébés.
Sur douze références de couches testées, y compris des produits étiquetés « écologiques », dix contiennent au moins une substance indésirable, déplore le mensuel dans son numéro paru ce mardi.
>> A lire aussi : Des traces d’hydrocarbures dans les couches-culottes qui inquiètent les médecins
Des composés organiques volatils (COV) irritants et neurotoxiques comme le toluène ou le styrène sont présents dans neuf des produits testés. Les teneurs sont inférieures aux seuils réglementaires, mais ces seuils ont été définis en cas d’inhalation : « il n’y a pas aujourd’hui d’évaluation du risque pour le cas de couches appliquées directement sur la peau, toute la journée », souligne Victoire N’Sondé, auteure de l’enquête.

Herbicide glyphosate, irritant et cancérigène probable

Un modèle, des couches Carrefour pourtant estampillées « Eco Planet », recèle en plus des traces de l’herbicide glyphosate, irritant et cancérigène probable, et d’hydrocarbures toxiques, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), selon le magazine. Joint par l’Agence France Presse, Carrefour a souligné que l’ensemble de ses couches « respect (ait) scrupuleusement la réglementation en vigueur ».
Les « Baby Dry » de Pampers (marque de Procter & Gamble), de leur côté, contiennent des traces de deux autres pesticides classés cancérigènes possibles, ainsi que de dioxines et furanes, soupçonnés de perturber le système hormonal, selon l’analyse de 60 Millions de consommateurs.
Seules deux références ne comportaient aucune des substances recherchées : celles de la marque de distributeur E.Leclerc et les couches « Love & Green », « seule couche écologique de l’essai qui réussit son pari ».

La réglementation n’oblige pas à afficher la composition des couches

Ces substances sont présentes « à l’état de résidus » et « en dessous des seuils fixés par la réglementation », quand de tels seuils existent. Mais, les nourrissons étant « particulièrement sensibles aux substances toxiques (…), le principe de précaution doit prévaloir » et « tout résidu soupçonné de risques toxiques doit être écarté des couches pour bébé », plaide le magazine, d’autant que les bébés sont déjà exposés à ces substances via leurs jouets ou l’alimentation.
« Les bons résultats de deux marques de notre échantillonnage montrent que cet objectif est atteignable », ajoute 60 Millions de consommateurs. Le magazine regrette par ailleurs que la réglementation n’oblige pas à afficher la composition des couches, contrairement aux cosmétiques et produits de toilette.
Les couches-culottes sont essentiellement composées de cellulose (une fibre issue du bois), d’un film et d’un gel absorbant en matière plastique. Les substances toxiques pourraient provenir des solvants et des procédés chimiques employés lors de la fabrication, des produits servant à blanchir la cellulose ou encore des pesticides utilisés pour cultiver les céréales dont est issu l’amidon présent dans certains modèles, avance le magazine.
http://www.20minutes.fr/sante/

lundi 23 janvier 2017

Accident de la route : un mort et un blessé grave

Hier soir, un très violent accident de la route, impliquant trois véhicules, s'est produit aux Pujols, un peu avant l'aérodrome, en allant vers Mirepoix. Une septuagénaire a perdu la vie. Une autre femme, d'une cinquantaine d'années, est très gravement blessée. Trois autres blessés sont à déplorer.
D'après les premiers éléments, la collision implique trois voitures. L'accident s'est produit peu avant 19 heures. Le choc a été violent vu l'état des véhicules.
Aussitôt alertés, les pompiers ont dépêché d'importants moyens sur place : cinq véhicules de secours et d'assistance aux victimes, deux véhicules de désincarcération, deux du Samu et l'hélicoptère de la gendarmerie. Les casernes de Varilhes, Mirepoix, Pamiers et Saverdun ont été mobilisées.
Sur place, les secours n'ont pu que constater le décès de la plus âgée des victimes. La femme d'une cinquantaine d'années, gravement blessée, a été évacuée sur un hôpital toulousain par l'hélicoptère de la gendarmerie. Les trois autres blessés ont été orientés vers le centre hospitalier du Val d'Ariège.
L'accident a provoqué un important bouchon entre Mirepoix et Pamiers.
http://www.ladepeche.fr/communes/les-pujols,09238.html

Frasne : l’acte de bravoure de six pompiers volontaires

Six pompiers volontaires ont agi comme des pros lors de l’incendie du 3 décembre. Des bénévoles mis à l’honneur à Frasne.
Sapeur-pompier on le sait, c’est une école de la vie, notamment pour les jeunes qui apprennent la fonction. Chaque samedi à Frasne, les formateurs encadrent les jeunes sapeurs-pompiers (JSP) afin de leur apprendre le métier. À force de formations, de recyclages, de stages à l’extérieur, les soldats du feu en herbe arrivent à acquérir la technique des pros. La preuve, encore récemment.
Le 3 décembre à Frasne, un Haut-Doubien a porté secours à ses voisins dans un immeuble (L’ER du 5 janvier). Après avoir aidé l’habitant de l’appartement du dessous, il est allé réveiller celui du troisième. La cage d’escalier était envahie par des fumées épaisses et toxiques, les empêchant de redescendre. C’est à ce moment-là que les pompiers de Frasne sont intervenus.

Lettre de félicitations

Commandés par l’adjudant Luc Michel alors chef de groupe, ils sont montés rechercher les deux victimes, leur plaçant un dispositif de ventilation sur la tête, leur permettant de redescendre les trois étages. Les autres intervenaient pour neutraliser l’incendie en attendant l’arrivée des renforts de Pontarlier. Ces six volontaires, une jeune femme et cinq hommes, ont su agir comme des pros, avec une maîtrise exemplaire, empêchant la propagation du sinistre avant l’arrivée des renforts. Cet acte de bravoure leur a valu, lors de la cérémonie de Sainte-Barbe, la remise d’une lettre de félicitations de la part de leur hiérarchie.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2017/01/21/l-acte-de-bravoure-de-six-pompiers-volontaires

dimanche 22 janvier 2017

Quéven (56) : un piéton renversé par une voiture est décédé sur la RN165

Un homme a été renversée tôt ce dimanche matin par une voiture, sur la voie expresse RN165, au niveau de Quéven, dans le Morbihan. Le piéton est décédé. La route est rouverte.
Un accident mortel s'est produit vers 6h15 ce dimanche matin sur la RN165. Un homme d'une cinquantaine d'années, qui marchait au milieu des deux voies, a été renversé par une voiture dans le sens Brest-Nantes à hauteur de Quéven dans le Morbihan. Le piéton a été percuté par un premier véhicule, qui n'a pas réussi à l'éviter, les voitures qui suivaient non plus. La gendarmerie a ouvert une enquête.
La route qui avait été fermée, avec la mise en place d'une déviation, est désormais rouverte.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/morbihan

Gourette : les gendarmes appelés pour deux interventions coup sur coup

Samedi soir, les gendarmes du PGHM ont été appelés coup sur coup pour un accident de luge et deux skieurs bloqués sur des barres rocheuses
Les secouristes du Peloton de gendarmerie de haute montagne d’Oloron ont été appelés pour deux interventions coup sur coup samedi en fin de journée sur Gourette, qui a fait le plein de skieurs hier samedi.
A 18 h 45, ils ont été mobilisés sur un accident de luge. Une femme a été grièvement blessée dans le choc de trois luges : elle souffre d’un traumatisme crânien et du rachis cervical et a été héliportée vers l’hôpital de Pau. Deux autres personnes, une jeune femme de 25 ans et un homme de 35 ans ont été plus légèrement touchés et transportés sur le centre hospitalier d’Oloron.
Deuxième intervention, cette fois vers 19 h 30 et toujours à Gourette, ce sont deux jeunes skieurs de 25 et 30 ans qui s’étaient aventurés en hors-piste et se sont retrouvés bloqués dans des barres rocheuses au-dessus de la station. A la nuit tombée, ils ont appelé à l’aide, l’intervention a nécessité leur évacuation par l’hélicoptère de la Sécurité civile Dragon 64.
http://www.sudouest.fr/2017/01/22/gourette-les-gendarmes-appeles-pour-deux-interventions-coup-sur-coup-3127555-4344.php

Malaise fatal et sortie de route au volant de sa voiture

Les premiers intervenants ont pensé à un dramatique accident de la route mais il semble bien qu'un malaise soit à l'origine de la mort, hier matin, d'un conducteur, à Fonsorbes.
Peu avant 9 heures, selon des témoins, le véhicule Renault Clio de cet homme âgé de 70 ans s'est mis à dériver progressivement sur la chaussée, au niveau du chemin de Birazel à Fonsorbes. À vitesse réduite, il s'est déporté sur sa gauche avant de heurter un poteau en bois
Aussitôt, les services de secours ont été prévenus et se sont rendus sur place. Pendant de longues minutes, ils ont effectué un massage cardiaque sur la victime inconsciente. Malgré les efforts des sapeurs-pompiers, cet homme de 70 ans est décédé sur les lieux de l'accident.
Les gendarmes de la compagnie Toulouse-Mirail se sont rendus sur les lieux afin de les sécuriser mais aussi de recueillir les premiers témoignages. Les prélèvements et constatations d'usage ont été effectués hier matin.
Même si la voiture a terminé sa course abîmée contre un poteau, la thèse d'un accident de la route semblait écartée hier. Celle d'un malaise cardiaque était quant à elle privilégiée.
Pour autant, le parquet de Toulouse a été avisé et une enquête pour recherches des causes de la mort est ouverte. Elle a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Lys. Une autopsie du corps de la victime devrait avoir lieu très rapidement afin de confirmer ou d'infirmer l'hypothèse du malaise fatal.
S'il s'agit bien d'une mort naturelle, ce décès ne sera pas comptabilisé au nombre des personnes tuées sur la route. Une liste déjà trop longue aux prémices de l'année 2017 puisque quatre personnes ont trouvé la mort entre le 1er janvier et le 13 janvier sur les axes de Haute-Garonne (nos éditions précédentes).
Une femme de 68 ans était décédée dans un choc frontal à Miramont-de-Comminges, le vendredi 6 janvier. Sa passagère avait été très gravement blessée. Le mercredi 11 janvier, une femme de 78 ans n'avait pas survécu à la collision de son véhicule avec un train à Toulouse. Le 12 janvier, à Merville, une sortie de route avait été fatale à une automobiliste de 77 ans. Le lendemain, un homme de 82 ans, percuté par un camion, était décédé à Villematier.
http://www.ladepeche.fr/communes/fonsorbes,31187.html

samedi 21 janvier 2017

Un speed rider originaire de Alpes de Haute Provence trouve la mort à la Plagne

Un adepte du ski à voile s'est tué vendredi à La Plagne. Le speed rider, âgé de 51 ans et domicilié dans les Alpes-de-Haute-Provence a percuté une parois rocheuse dans une phase de vol dans un secteur hors-piste de la station savoyarde
Un adepte du ski à voile s'est tué vendredi à La Plagne et un Canadien qui pratiquait du ski de randonnée sur les hauteurs de Sainte-Foy-Tarentaise a été emporté par une avalanche.
Le speed rider, âgé de 51 ans et domicilié dans les Alpes-de-Haute-Provence a percuté une parois rocheuse dans une phase de vol dans un seceur hors-piste de La Plagne (Savoie). Le speed riding est du ski qui se pratique avec une mini voile, permettant d'alterner  les parcours skiés et les phases de vol, skis aux pieds.
Également vendredi, un Canadien a été emporté par une avalanche en phase de descente au col de l'Argentière après une randonnée à ski avec deux autres personnes qui sont indemnes. Âgé de 46 ans, l'homme était parti avec son groupe de la station savoyarde de Sainte-Foy-Tarentaise

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/alpes-de-haute-provence

Libourne : un homme retrouvé mort dans l’incendie de son fourgon

Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un accident causé par un chauffage d’appoint.
Un homme a été retrouvé mort dans l’incendie de sa camionnette amménagée, ce samedi matin, dans la palus de Condat, avenue du Port du Roy, à Libourne. Il était peu avant 3 heures du matin quand les pompiers ont été alertés du sinistre. C’est seulement une fois le feu éteint qu’ils ont découvert le corps de la victime ainsi que celui d’un chien.
Selon nos informations, l’homme serait âgé d’une quarantaine d’années. Saisonnier dans les vignobles alentours, il vivait dans ce campement isolé, à la lisière d’un bois et au bord de route, depuis plusieurs mois avec une demi-douzaine d’autres personnes. Un terrain privé mis à disposition « en toute légalité » par le propriétaire, selon la municipalité.
Ce matin, les lieux avaient été gelés par les forces de l’ordre, des barrières bloquant l’accès à cette petite route fréquentée des joggeurs. Le véhicule calciné, type fourgon Trafic aménagé pour être habité, était en cours d’inspection par les spécialistes de la Section d’identification criminelle (SIC) de Bordeaux. Selon les premiers éléments de l’enquête et les témoignages des occupants du campement recueillis par les forces de l’ordre, il s’agirait «  d’un accident domestique, causé vraisemblablement par un appareil de chauffage d’appoint  », explique le commandant de la compagnie de gendarmerie de Libourne, Lofti-Nicolas Barbet. Un expert en incendie était encore attendu sur place pour déterminer les causes exactes du sinistre et une autopsie doit être réalisée ces prochains jours.

Pas le même contexte que le 3 janvier

Cette nuit, les températures sont tombées sous la barre des –7 degrés. En fin de matinée, malgré le soleil, les fossés étaient encore gelés, attestant de la dureté du froid dans cette zone rurale. Ce drame intervient dans un contexte crispé, un peu plus de deux semaines après un précédant sinistre qui avait causé, le 3 janvier, la mort dans des circonstances proches d’un sans domicile fixe dans un squat à Libourne, avenue du général-de-Gaulle.
« C’est une loi des séries qui endeuille notre ville », a réagi le maire Philippe Buisson, présent sur les lieux et qui connaît les personnes du campement. « J’avais reçu ces personnes il y a quelques mois dans mon bureau. Ce sont des gens sérieux, responsables, qui travaillent comme ouvriers agricoles, et sont connues des services sociaux et du CCAS avec qui ils sont en contacts réguliers. Certains ont de la famille dans le Libournais », affirme le premier magistrat.
La communication est d’autant plus sensible que ce drame intervient alors qu’en début de semaine Philippe Buisson avait communiqué sur son action en vue qu’aucune personne ne dorme dans la rue à Libourne.
Les habitants du campement avaient-ils été contactés depuis le déclenchement du plan grand froid ? « J’avais engagé avec eux une discussion sur la future maison des saisonniers qui ne les intéressait pas. Ils avaient rejeté l’hypothèse d’un relogement par choix de vie, précise l’édile. Nous ne sommes pas dans le cas de personnes sans domicile fixe qui auraient échappé à nos écrans radars (…) Nous ne sommes pas là face à une problématique sociale. »
Selon le maire, vendredi soir, 27 personnes ont été accueillies par l’association libournaise du Lien, qui a une capacité de 20 lits. Une résidence pour personnes âgée, qui était désaffectée, a également été ouverte par la Ville et héberge actuellement sept personnes.
Le sous-préfet, Hamel-Francis Mekachera, également présent sur les lieux, a lui expliqué qu’il fallait « tirer les enseignements de ce drame ». Il a annoncé que les patrouilles et maraudes «  seraient renforcées auprès des campings et des populations qui vivent dans des caravanes, comme les gens du voyage, et qui ne sont pas SDF  ». Avec une prévention accrue sur l’utilisation de chauffage d’appoint en cette période de grand froid.
http://www.sudouest.fr/2017/01/21/libourne-un-homme-retrouve-mort-dans-l-incendie-de-son-fourgon-3126581-2966.php
 

Un réseau de faux-monnayeurs démantelé en Seine-Saint-Denis

Quatre hommes ont été mis en examen après le démantèlement d’un atelier de faux billets fabriqués en Seine-Saint-Denis et écoulés en France. 
Les quatre hommes, âgés d’une cinquantaine d’années, ont été mis en examen pour contrefaçon de monnaie, transport et détention de fausse monnaie en vue de la mettre en circulation et association de malfaiteurs, a précisé la source.
Les policiers ont saisi plusieurs centaines de faux billets, essentiellement des coupures de 50 euros, du matériel d’impression, les fichiers numériques nécessaires à la fabrication des faux billets et plusieurs planches de billets de 20, 50, 200 et 500 euros. 
Trois d’entre eux ont été incarcérés dans l’attente d’un débat sur leur éventuelle mise en détention provisoire devant le juge des libertés et de la détention. Un quatrième a été placé sous contrôle judiciaire pour raisons de santé.

Préjudice de 500 000€

"Le préjudice financier supporté par les commerçants de ce trafic, qui a permis depuis 2015 d’écouler 10 000 faux billets essentiellement de 50 euros, est estimé à environ 500 000 euros", avait déclaré vendredi une source policière.
"C’est la plus importante officine de faux billets démantelée en termes d’écoulement" depuis celle découverte en 2012, avait ajouté cette source, faisant référence à l’arrestation de Dominique Patrom, dont l’atelier avait produit environ 10 millions d’euros de faux billets entre 2007 et 2012, et qui a été condamné à huit ans de prison en juin 2016 par la cour d’assises de Paris.
Les quatre hommes ont été arrêtés mardi par les policiers de l’Office central de répression du faux monnayage. Les investigations, qui avaient débuté mi-2016, ont permis d’identifier une tête de réseau, soupçonnée d’être chargé de la revente des billets ainsi que le faussaire présumé, qui avait installé son atelier dans un box de Seine-Saint-Denis. 
http://www.sudouest.fr/2017/01/21/un-reseau-de-faux-monnayeurs-demantele-en-seine-saint-denis-3126500-7.php

Drame au camping du Castagné

Hier, un jeune homme de 22 ans a trouvé la mort sur un chantier de terrassement, au camping du Castagné.
L'accident s'est produit vers 9 h 30, alors qu'une pelle mécanique travaillait sur des fondations de bâtiments en construction, à l'intérieur du camping. Les enquêteurs du commissariat d'Auch vont devoir déterminer comment la victime a pu être frappée par l'engin.
Selon les premières constatations, Kevin Vivet était descendu dans le puits creusé auparavant par la tarière que conduisait son collègue. Il comptait enlever des écoulements de terre. Le conducteur de la machine n'a vu le malheureux descendre. Il a plongé la tarière dans l'excavation sans l'apercevoir… Les secours n'ont rien pu faire pour le sauver. Ses collègues, très choqués, ont été pris en charge par une cellule psychologique. Kevin Vivet venait d'aménager à Seissan. Originaire de Bellegarde, le jeune homme était aussi un joueur apprécié du club de football Saint-Christie Preignan.
http://www.ladepeche.fr/communes/montegut,32282.html

vendredi 20 janvier 2017

Hôtel enseveli par une avalanche en Italie : "six personnes retrouvées vivantes

Selon les médias italiens, les pompiers ont localisé plusieurs personnes en vie en Italie dans l’hôtel enseveli par une avalanche
Les pompiers ont localisé six personnes encore en vie dans l’hôtel Rigopiano, plus de 40 heures après l’avalanche qui l’a dévasté, indique les autorités.
"Il y a six personnes retrouvées vivantes et ils sont en train de les extraire", a déclaré Federica Chiavaroli, sous-secrétaire d’Etat italienne à la Justice et présente au QG des secours à Penne, à une quinzaine de kilomètres en contrebas de l’hôtel.
Luca Cari, porte-parole des pompiers italiens, a lui aussi confirmé qu’au moins 5 survivants avaient été localisés.

Deux survivants jusqu’à présent

Le premier contact a eu lieu peu après 11 heures et les pompiers ont pu parler à plusieurs reprises avec ces personnes qui se trouveraient encore sous les décombres.
Plusieurs hélicoptères ont été appelés pour les conduire dès que possible à Pescara, la principale ville de la région sur la côte.
Une trentaine de personnes étaient portées disparues dans cet hôtel à flanc de montagne près de Farindola, dans les Abruzzes, enseveli mercredi après 17H00 (16H00 GMT) par une avalanche, peu après une série de fortes secousses sismiques d’une magnitude de 5,2 à 5,7 dans la région voisine d’Amatrice.
Jusqu’à présent, les secours avaient trouvé deux survivants et deux corps.
 
http://www.sudouest.fr/2017/01/20/hotel-enseveli-par-une-avalanche-en-italie-six-personnes-retrouvees-vivantes-3123275-4803.php

Accident à Ambernac (16) : le jeune homme blessé est décédé

L’accident s’est produit à 16h30 au lieu-dit L’Allemandie. Le conducteur de la voiture, âgé de 23 ans, est décédé des suites de ses blessures
Un accident de la circulation s’est produit vers 16h30 au lieu-dit L’Allemandie, sur la D169, à Ambernac, dans le nord-ouest du département.
Un jeune homme de 23 ans, seul en cause, aurait fait une sortie de route et percuté une pile d’un pont qui enjambe la Charente. La victime a succombé à ses blessures
http://www.sudouest.fr/2017/01/19/ambernac-16-un-jeune-homme-grievement-blesse-apres-une-sortie-de-route-3119987-813.php

jeudi 19 janvier 2017

Saint-Jean-d’Angély : blessée lors d’un accident de la circulation

L’accident s’est produit à un carrefour. L’automobiliste blessée a été hospitalisée
Les sapeurs-pompiers et la gendarmerie sont intervenus, ce jeudi vers 10 heures à Saint-Jean-d’Angély, au carrefour formé par l’allée d’Aussy et l’avenue du Général-de-Gaulle, à la suite d’un accident entre deux automobiles. Les feux de signalisations étaient à l’orange clignotant lors de la collision.
Un des conducteurs, une femme de 44 ans, a été blessée lors du choc. Souffrant de douleurs au thorax et à la nuque, elle a été transportée, consciente, par les pompiers au centre hospitalier de la ville afin que des examens médicaux soient pratiqués
http://www.sudouest.fr/2017/01/19/saint-jean-d-angely-blessee-lors-d-un-accident-de-la-circulation-3119468-1552.php

mercredi 18 janvier 2017

Un père violent écope d'un an de prison avec sursis

E.E., 42 ans, père de deux enfants désormais âgés de 9 et 12 ans, a été condamné hier à une peine de prison d'un an avec sursis assortie d'une mise à l'épreuve pendant trois ans pour des violences sur ces deux enfants.
Accompagnée de ses deux assesseurs Béatrice Curvale et Jean-Marie Guinard, la présidente du tribunal Brigitte Schildknecht a également condamné E. E., présent lors du jugement mais absent lors des débats, à une obligation de soins, de travail et de formation et d'indemnisation des deux victimes. Le tribunal a ordonné au prévenu d'indemniser son fils Damien à hauteur de 4 000 € et sa fille Daphné à hauteur de 3 000 € au titre de préjudice moral subis par ces deux enfants. Le jugement contient enfin une interdiction de détenir ou porter une arme pour une durée de cinq ans. À la lecture de sa condamnation, E.E. est resté abasourdi. «J'ai changé d'adresse. Je n'ai donc pas reçu la citation à comparaître», a expliqué le père de famille désormais domicilié à Carcenac-Peyralès en Aveyron. «Je vais donc faire appel de ce jugement sous dix jours.»
Mais restent les faits choquants reprochés à ce quadragénaire. «Violence aggravée par trois circonstances suivie d'une incapacité n'excédant pas huit jours, commise à Saint-Juéry courant janvier 2014 et jusqu'au 10 janvier 2015» couplée à des faits de «violence sans incapacité sur un mineur de 15 ans par un ascendant ou une personne ayant autorité sur la victime». A écouter Maître Pamponneau, avocate des parties civiles, «la seule à avoir pu rencontrer les deux enfants Daphné E. et Darren. E», représentés hier à l'audience par leur administrateur Mme Bordes, «ils ont toujours été très affirmatifs et constants dans leurs déclarations aux policiers. Ils ne sont pas là pour se venger. Fondamentalement, ils étaient là pour dire : on a eu mal tous les deux et peur l'un pour l'autre. Il s'agit de deux enfants malheureux d'être si mal aimés de leur père. Je demande au titre des dommages et intérêts 4 000 € pour Daphné et 6 000 € pour Darren.»

Frappés par un fouet, une latte de lit, un gourdin…

Dans cette affaire, on parle de d'un frère et sa sœur frappé alternativement avec un fouet, une latte de lit, une raquette à mouche électrique et un gourdin !
«Vous avez des enfants frappés et un père qui minore ces agissements et reconnaît tout au plus deux ou trois faits de violence lors de ses auditions. Même si son casier judiciaire est vierge, je requiers à son encontre huit mois de prison totalement assortis du sursis avec mise à l'épreuve, une obligation de soins et le retrait partiel de son autorité parentale.»
L'avocat du prévenu, on le répète, absent lors des débats hier après-midi à l'audience, ne reviendra pas «sur les déclarations constantes et circonstanciées des enfants sur les faits de violence. Néanmoins, le tribunal doit tenir compte du fait que E. E. n'a pas eu de mode d'emploi pour le rôle de père. Il n'a pas vu ses enfants depuis deux ans dans le cadre de son contrôle judiciaire. Or, ces deux enfants ont définitivement besoin d'un papa. Ce n'est pas en lui retirant , même partiellement son autorité parentale que vous permettrez à E.E. de se reconstruire

http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html

mardi 17 janvier 2017

Landes : un joggeur découvre le corps d’un homme dans un fossé

Dimanche matin, à Azur, un joggeur a découvert le corps sans vie d’un homme qui gisait dans un fossé. Une autopsie devrait déterminer les causes de ce décès
Le parquet de Dax a demandé une autopsie, après la découverte, dimanche matin, sur la commune d’Azur, du corps sans vie d’un homme, gisant au fond d’un fossé.
C’est un joggeur, qui effectuait sa sortie dominicale le long d’une route de campagne, qui a fait la macabre découverte, dans la matinée, totalement par hasard.
Comment l’homme a-t-il échoué là ? S’agit-il d’une mauvaise rencontre ? D’un accident ? À l’heure qu’il est, l’enquête s’oriente plutôt vers la thèse de l’accident.

Alcool

La victime a en effet été rapidement identifiée. Elle s’avère être un jeune homme de 35 ans. Originaire de Vendée, ce dernier cherchait à s’établir durablement dans la région.
L’enquête de la gendarmerie a pu révéler également que ce jeune homme avait consommé une importante quantité d’alcool dans les heures qui ont précédé son décès. Son corps ne présentait pas de traces suspectes, apparemment.
Il n’y avait ni moto, ni vélo à proximité. L’individu inanimé reposait là depuis une durée indéterminée, sans doute quelques heures seulement. Le fossé contenait également une importante quantité d’eau, gonflée par les pluies de ces derniers jours, ce qui aurait pu entraîner une mort par noyade.
Les médecins légistes devraient déterminer dans les heures qui viennent si cette thèse de l’accident est la bonne ou pas et permettre aux enquêteurs d’y voir un peu plus clair dans cette triste affaire.
http://www.sudouest.fr/2017/01/17/un-mort-decouvert-dans-le-fosse-3112522-3287.php

lundi 16 janvier 2017

Ils récoltent 900 000 € pour "soigner leur fille", et les dépensent en voiture et montres de luxe

La supercherie indigne l’Espagne. Les parents de Nadia, 11 ans, selon eux atteinte d’une affection génétique rare, ont appelé aux dons pour la sauver. Mais ils n’ont pas dépensé cet argent en soins…
Pour faire soigner la petite Nadia, atteinte d’une maladie rare, les Espagnols avaient donné près d’un million d’euros. Mais la solidarité s’est transformée en indignation contre son père, désormais visé par des enquêtes pour escroquerie et exploitation sexuelle de mineur.
Les parents de la fillette de 11 ans, atteinte de trichothiodystrophie, affection génétique rare, sans traitement, pouvant provoquer perte de cheveux, problèmes de peau, mais aussi retards mentaux et de croissance, voire la mort dans les cas les plus sévères, ont été entendus vendredi par un juge. Fernando Blanco et Margarida Grau ont été convoqués après la découverte par la police de photos de Nadia dénudée, dans une clé USB appartenant à son père.

600 000 € dépensés, mais pas pour des soins…

Selon la télévision régionale TV3, qui a eu accès à l’interrogatoire du juge, l’une des images montrait notamment les parents en pleine relation sexuelle sous les yeux de la fillette. Dans leur déclaration, ces derniers ont expliqué que les photos servaient uniquement à surveiller l’évolution de la maladie de Nadia. Cela n’a pas convaincu le juge, qui a ouvert une enquête pour "exhibitionnisme, provocation sexuelle et exploitation sexuelle", qui s’ajoute à la procédure pour escroquerie entamée en décembre
La police les accuse d’avoir dépensé près de 600 000 euros sur les 918 000 euros de dons reçus pour soigner leur fille. Ils ont ainsi acheté une voiture, une maison et des montres de luxe, et laissé le reste de l’argent dormir à la banque.

Une supercherie

Depuis des années, Fernando Blanco, 52 ans, multipliait les apparitions dans les médias espagnols avec sa fille, affirmant qu’elle était sur le point de mourir et implorant des dons pour la sauver.
Le public avait été séduit par Nadia, timide mais attachante, et par la quête héroïque d’un traitement racontée par son père, déjà condamné par le passé pour escroquerie. Il avait notamment affirmé avoir passé un mois en Afghanistan, "sous les bombes", pour rendre visite à un éminent généticien caché dans une grotte.
Fin novembre, Fernando Blanco avait expliqué avoir besoin d’argent pour payer un traitement révolutionnaire basé sur la manipulation génétique dans un hôpital de Houston, aux Etats-Unis. Une semaine plus tard, les journaux El Pais et Hipertextual dévoilaient la supercherie. Selon leurs investigations, la petite fille était non seulement hors de danger, mais il n’y avait aucune preuve des voyages du père. Ni l’hôpital de Houston, ni le traitement, ni le médecin qui devait s’en charger n’existaient.

Les médias pointés du doigt

Le parquet a ouvert une enquête dans la foulée, tandis que le père était arrêté près de la frontière française, alors qu’il tentait de s’enfuir avec de l’argent liquide, un pistolet chargé à blanc et la clé USB contenant les photos suspectes. Il s’est vu retirer la garde de sa fille, qui vit désormais avec sa tante.
L’affaire a scandalisé le pays et fait surgir des questions sur le travail de nombreux médias ayant relayé l’histoire sans la vérifier. "Comme c’était une histoire humaine, à faire pleurer (…) ils se sont lancés sans réfléchir", estime Marcel Mauri, professeur d’éthique journalistique à l’université de Barcelone.
"Ils n’ont pas pris de précautions pour éviter de raconter des mensonges. Ils ont péché par excès de générosité, par bonté, pour avoir cru qu’un père ne pouvait pas faire ça", analyse Rafael de Mendizabal, président de la commission déontologique de la Fédération des associations de presse.
Plus grave encore, selon plusieurs fondations, la tromperie a provoqué une chute des dons pour la recherche sur les maladies. 
http://www.sudouest.fr/2017/01/15/ils-recoltent-900-000-eur-pour-soigner-leur-fille-et-les-depensent-en-voiture-et-montres-de-luxe-3106558-4697.php

Jean-Luc Reichmann : TF1 n'a pas apprécié que l'animateur révèle la défaite de Christian

Tremblement de terre sur TF1 samedi 14 janvier : Christian, le plus grand Maître de Midi, a été éliminé des « 12 coups de midi » après 193 participations. Seulement, un grain de sable est venu enrayer la machine. Alors que la défaite du recordman de longévité dan un jeu télévisé français devait rester secrète jusqu'au dernier moment, Jean-Luc Reichmann l'a annoncée dans un message posté sur Facebook dans la nuit de vendredi à samedi.

Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais

Pour TF1, cette révélation avant l'heure a bien du mal à passer. D'autant que la chaîne avait tout mis en œuvre pour que cela n'arrive pas. Jeudi une conférence de presse avait été organisée pour annoncer la défaite du super champion, et il avait été demandé aux journalistes de ne pas révéler l'information  : « Évidemment, on vous demande de ne pas faire fuiter le départ de Christian avant samedi midi » avait même recommandé Jean-Luc Reichmann.

TF1 et Endemol aatterrés

Dans Le Parisien, un cadre de la chaîne aurait déclaré que la révélation de Jean-Luc Reichmann était « un manque de respect pour les téléspectateurs ». Même son de cloche du côté d'Endemol, la société productrice des « 12 coups de midi », qui va même un peu plus loin : « Reichmann ne supportait plus que Christian lui vole la vedette Il a voulu reprendre la main sur la communication. Mais ce n’est pas très malin de sa part », a révélé l'un des responsables.
Quant à savoir si la révélation était accidentelle ou volontaire, le principal intéressé n'a pas encore répondu
http://www.ladepeche.fr/tv-people/tele-medias/

dimanche 15 janvier 2017

Menacé avec une arme, Florent Pagny se fait braquer sa Porsche par deux faux policiers

Le chanteur, s’est fait dérober sa Porsche 911 turbo mais n’a pas été blessé
Le chanteur Florent Pagny s’est fait voler sa Porsche 911 turbo dans la nuit de samedi à dimanche par deux hommes se faisant passer pour des policiers et qui l’ont menacé d’une arme, rapporte Le Parisien.
L’agression a eu lieu "dans le secteur de Montfort-L’Amaury" (Yvelines), selon une source proche de l’enquête. Le chanteur s’est fait arrêter au volant de son bolide par deux hommes circulant dans une voiture équipée d’un gyrophare bleu. "Ils n’étaient pas en uniforme, ils avaient juste un gyrophare", précise la source.
Les faux policiers sont descendus de leur véhicule et l’ont menacé avec une arme de poing pour lui dérober sa Porsche. Le chanteur n’a pas été blessé
http://www.sudouest.fr/2017/01/15/menace-avec-une-arme-florent-pagny-se-fait-braquer-sa-porsche-par-deux-faux-policiers-3106577-4691.php

samedi 14 janvier 2017

Charente-Maritime : deux blessés graves dans un accident de la route

Le Codis 17 a reçu l'alerte à 15h55. : deux véhicules venaient d'entrer violemment en collision sur la départementale 728 située sur l'Île-d'Oléron. 19 pompiers se sont rendus sur les lieux de l'accident. Ils étaient accompagnés par les urgentistes du SMUR 17.
Les deux conducteurs, gravement blessés, ont dû être désincarcérés de leurs véhicules avant d'être médicalisés et transportés dans un centre hospitalier. La gendarmerie a totalement coupé la circulation pendant le travail des secours. Une déviation a été mise en place pour réguler le trafic automobile.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers/accident?r=poitou-charentes

jeudi 12 janvier 2017

Le chauffeur s'endort au volant : son camion quitte l'autoroute A62 au nord de Toulouse et se couche sur le bas-côté

Un spectaculaire accident s'est produit vers 4 heures du matin sur l'A62 au nord de Toulouse. Le chauffeur d'un poids-lourd s'est endormi au volant. Son camion a quitté l'autoroute et s'est couché sur le bas-côté.
La circulation sur l'autoroute A62 a été perturbé jeudi matin au nord de Toulouse près de la sortie Saint-Jory/Eurocentre, en raison de l'accident d'un semi-remorque qui a quitté la chaussée et s'est couché sur le bas-côté.
Selon la gendarmerie, le chauffeur s'était endormi au volant. Heureusement pour lui, il avait sa ceinture de sécurité et n'a pas été blessé dans l'accident qui n'a impliqué aucun autre véhicule.

Il a fallu ensuite faire appel à d'importants moyens de levage pour sortir le camion et sa remorque. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse

mercredi 11 janvier 2017

Saulzoir : un faux agent des eaux et des faux policiers escroquent un octogénaire

Un homme de 82 ans s'est fait dérober mardi de l'argent à son domicile de Saulzoir, par un faux agent des eaux et deux faux policiers. Une enquête de gendarmerie a été ouverte. 
Le petit manège est bien connu et pourtant, il fonctionne encore. C'est cette fois un homme de 82 ans, habitant Saulzoir, qui a été victime mardi de faux policiers et d'un faux agent des eaux.
Vers 11 heures, ce dernier s'est présenté au domicile de la victime, prétextant un problème de compteur. Les deux hommes son descendus à la cave pour vérifier le soit-disant problème,  et lorsqu'ils sont remontés, deux faux policiers se trouvaient dans la maison. Ces derniers ont dénoncé le faux agent des eaux, en signalant à l'octogénaire que ses meubles avaient été fouillé. Une fois les escrocs partis, la victime a réalisé qu'une centaine d'euros lui avaient été dérobés.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord

lundi 9 janvier 2017

Coup de feu à Saint-Etienne du Rouvray (Seine-Maritime)

Une détonation

C'est hier (dimanche 8 janvier 2017) peu après 16h, alors que de nombreux clients étaient dans le Bar de la Cité, que le mari de la gérante de l'établissement et son employé ont entendu un bruit de coup de feu provenant de la terrasse située rue du Madrillet.

Alors qu'un mouvement de foule se produisait, le responsable du bar appelait Police-Secours en composant le 17

Un blessé ?

Rapidement sur place, les policiers (un équipage de Police-Secours et un équipage de la BAC) ont remarqué, devant le bar, un attroupement d'une quarantaine de personnes se trouvant sur le trottoir et sur le bord de la rue.

Les lieux ont été sécurisés et les témoins entendus. Les policiers n'ont trouvé aucune personne blessée .

Une enquête de la Sûreté départementale a alors débuté.

Selon nos informations, le coup de feu aurait fait un blessé qui serait parti du bar avant l'arrivée des policiers…
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/metropole-rouen-normandie/rouen

dimanche 8 janvier 2017

Une deuxième voiture à l'eau: le jeune conducteur était alcoolisé

Un automobiliste de 18 ans a perdu le contrôle de son véhicule à Strasbourg, ce dimanche un peu avant 7h, dans la bretelle de sortie de l'A350 menant à l'avenue des Vosges.
La voiture a quitté la route enneigée et dévalé le talus pour terminer sa course dans le canal de dérivation en contrebas. Le jeune conducteur et son passager ont pu s'extraire de l'habitacle par leurs propres moyens. Ils ne sont pas blessés.
L'automobiliste se trouvait sous l'emprise de l'alcool au moment de l'accident, à un taux supérieur à 0,8g/l de sang.
http://www.dna.fr/actualite/2017/01/08/strasbourg-sortie-de-route-voiture-eau-wacken

vendredi 6 janvier 2017

Le fils de Natha­lie Kosciusko-Mori­zet hospi­ta­lisé d'urgence après un acci­dent

Le garçon de 11 ans s’est fait rouler dessus par un auto­mo­bi­liste
Le fils aîné de Natha­lie-Kosciusko-Mori­zet, âgé de 11 ans, a été victime d'un acci­dent jeudi soir. Hospi­ta­lisé en urgence l'enfant souffre de douleurs au pied et à la cheville.
Grosse frayeur. Jeudi 5 janvier, aux alen­tours de 18h30, le fils-aîné de Natha­lie Kosciusko-Mori­zet, a été victime d’un acci­dent. Selon Closer, le petit Paul-Elie, âgé de 11 ans, marchait dans le VIe arron­dis­se­ment de la capi­tale, lorsqu’un auto­mo­bi­liste lui a roulé sur le pied. L’en­fant aurait traversé en dehors d’un passage piéton et aurait été surpris par un véhi­cule arri­vant à grande vitesse. Hospi­ta­lisé en urgence, il souffre de douleurs au pied et à la cheville gauche.
Son père, Jean-Pierre Philippe, divorcé de Natha­lie Kosciusko Mori­zet depuis mars 2016, s’est rendu au chevet de son fils. Mais la dépu­tée de la 4ème circons­crip­tion de l’Es­sonne n’a malheu­reu­se­ment pas encore pu voir son fils, puisqu’elle est actuel­le­ment en dépla­ce­ment à Las Vegas, aux Etas-Unis, aux côtés de François Fillon. Tous deux doivent assis­ter au Consu­mer Elec­tro­nic Show, le plus grand salon d’in­no­va­tion tech­no­lo­gique du monde.
 
Il y a deux ans, l’élue Les Répu­bli­cains confiait à Gala que malgré son emploi du temps très chargé, elle faisait tout pour passer du temps avec ses deux fils, Paul-Elie, 11 ans et Louis-Abel, 7 ans. « Je les accom­pagne presque chaque jour à l’école et je m’ar­range pour être là entre 19h30 et 20h30 pour leur donner le bain » avait-elle expliqué. Et d’ajou­ter : « Ils ont compris que j’avais un boulot spécial. J’étais dépu­tée lorsque le premier est né, et ministre de l’Eco­no­mie Numé­rique pour l’ar­ri­vée du second. » A plus de 8000 kilo­mètres de son fils blessé, elle doit sans doute rêver de le retrou­ver au plus vite. 
http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars

jeudi 5 janvier 2017

Grenoble : une femme de 70 ans ivre interceptée en roulant à contresens sur la N87

Une conductrice âgée de 70 ans a été interpellée mercredi soir à 23h45 sur la N87 alors qu'elle roulait en contre-sens, dans le sens Grenoble-Meylan.
Elle a été contrôlée, au souffle, à 0,95 mg/L d'air expiré, bien loin des 0,25 mg/L
autorisés par la loi.

L'un des tunnels de l'axe routier a été fermé pendant 25 minutes, pendant l'intervention des policiers.

 http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=alpes

mercredi 4 janvier 2017

La commercialisation de l'Uvestérol D suspendue après le décès d'un nourrisson

Dans un communiqué du ministère de la Santé, Marisol Touraine a annoncé ce mercredi le lancement d'une procédure de suspension de la commercialisation de l'Uvestérol D, soupçonné d'avoir provoqué le décès d'un nourrisson âgé de dix jours le 21 décembre.
Cette décision a été prise par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé "par mesure de précaution", explique l'ANSM dans un communiqué distinct, qui évoque un "lien probable" entre la mort du nourrisson et l'administration de l'Uvestérol D.
Un numéro vert sera mis en place
"Je souhaite rassurer les parents qui ont donné de la vitamine D, sous quelque forme que ce soit, à leurs enfants : ils ne courent aucun danger", indique la ministre. Et d'ajouter : "Mais je leur demande, à titre de précaution, d’arrêter le traitement par Uvestérol D". Un numéro vert d'information sera mis en place, joignable au 0800636636.
En France, ce médicament est prescrit chez tous les enfants de moins de 5 ans pour prévenir ou traiter la carence en vitamine D. Pourtant, la revue médicale "Prescrire" alerte depuis plusieurs années sur son utilisation. Entre 2006 et 2011, 23 cas de malaises avaient été constatés par la revue et confirmés par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afsspas). 93 cas d'effets secondaires seraient aujourd'hui répertoriés.
http://www.ladepeche.fr/sante/actu-sante/

dimanche 1 janvier 2017

Contrôles routiers renforcés la nuit de la St-Sylvestre, un gendarme blessé à Toulouse

Gendarmes et policiers étaient mobilisés en force cette nuit de la Saint-Sylvestre pour lutter contre l'alcoolémie au volant. Avec ce dispositif, les automobilistes sont restés prudents. Au Sud de Toulouse, un gendarme a été blessé lors d'un contrôle.
Gendarmes et policiers ont veillé sur cette nuit de la Saint-Sylvestre. Ils étaient mobilisés un peu partout dans la région, pour lutter notamment contre l'alcoolémie au volant.
Dans le Gers, 100 gendarmes étaient déployés sur les routes. Les automobilistes sont restés prudents, puisque moins de 10 contrôles se sont avérés positifs.

Un gendarme blessé lors d'un contrôle

En Haute-Garonne, un contrôle a dégénéré à Muret, au Sud de Toulouse. Alors qu'il était en train d'être contrôlé, un automobiliste a refusé de se soumettre au test d'alcoolémie et a pris la fuite, percutant au passage un gendarme. Blessé au visage, le militaire a été transporté à l'hôpital et est sorti ce matin, a t-on appris de la gendarmerie. Une enquête est en cours pour retrouver le conducteur du véhicule.

Dans ce département, 256 gendarmes étaient engagés lors de la nuit du nouvel an pour assurer la mise en place des dispositifs de sécurité. Avant 4 heures du matin, seul 4 contrôles s'étaient avérés positifs.
Le message des autorités est donc bien passé : les conducteurs sont en majorité restés prudent cette nuit de réveillon.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/societe/securite/police?r=midi-pyrenees