samedi 31 août 2013

Un avion se pose sur la rocade d'Albi

La scène semble tout droit tirée d'un film d'action. Le pilote d'un avion de tourisme victime d'une avarie au-dessus d'Albi, dans le Tarn, a pris l'audacieuse décision d'atterrir sur la rocade, ont rapporté les gendarmes du département à l'AFP.
L'avion, un petit appareil à aile haute propulsé par un moteur à hélice, s'est posé vers 17 heures sans heurter aucun véhicule, à une heure où le trafic est pourtant dense sur cette 2x2 voies séparée par un rail de sécurité. Aucun blessé n'est à déplorer, toujours selon la gendarmerie.

Atterrissage très court

L'avion venait de larguer des parachutistes et faisait route vers l'aéroport lorsqu'il a été victime d'une panne de moteur. Le pilote, confirmé, a tenté de le faire planer jusqu'à la piste mais a été contraint de le poser plus tôt, effectuant un atterrissage très court sur la rocade, a détaillé la tour de contrôle de l'aéroport, interrogée par une correspondante de l'AFP.
Le pneu avant de l'appareil a éclaté à l'impact de l'atterrissage et les services de secours ont procédé à l'évacuation de l'appareil peu avant 19H00, permettant le rétablissement de la circulation très perturbée par l'incident.
 

Saint-Paul-de-Jarrat. Agression d'une nonagénaire : «Ils pensaient que la maison était vide»

Les deux jeunes gens, 17 et 25 ans, qui ont agressé une nonagénaire jeudi matin, à son domicile, ont reconnu les faits. Ils parlent d’un «cambriolage» qui a mal tourné.
Les deux jeunes hommes interpellés jeudi après-midi par les enquêteurs de la brigade des recherches de Pamiers, en charge de l’enquête, n’ont pas mis longtemps à reconnaître qu’ils sont les auteurs de l’agression d’une nonagénaire, le même jour, à Saint-Paul-de-Jarrat. Aux enquêteurs, ils ont expliqué qu’ils croyaient la maison vide, et qu’ils voulaient simplement commettre un cambriolage. Ils étaient à la recherche d’argent.Ils auraient choisi la maison par hasard. Aucun des deux garçons n’était connu des services de police ou de la justice. L’un d’eux demeure à Foix, le second à Saint-Paul-de-Jarrat. Le plus jeune a été mis en examen et devra répondre des faits devant le juge des enfants. Le second comparaîtra dès mardi devant le tribunal correctionnel de Foix. Tous deux sont poursuivis pour violence avec arme, en réunion, sur une personnes particulièrement vulnérable.L’aîné a été placé en détention, le second sous contrôle judiciaire. Ils risquent un maximum de dix ans d’emprisonnement.
Mais l’occupante des lieux, une dame âgée de 91 ans, souffrante, se trouvait à leur arrivée. Elle était à la table de sa cuisine, en train de prendre son petit déjeuner. Les deux hommes n’ont pas hésité à la jeter au sol, essayant de l’attacher avec une bande de tissu, avant de lui poser un couteau de cuisine sur la gorge. Ils seront dérangés, quelques minutes plus tard, par l’arrivée d’une infirmière à domicile. Cette dernière, poursuivie par les deux hommes, parviendra à s’enfuir et à donner l’alerte. Alors qu’ils avaient quitté précipitamment la maison, à la recherche d’un endroit pour se cacher, les deux garçons croisaient la route d’un professeur à la retraite, qui avait eu l’un des deux comme élève. Plus tard, ils seront repérés par les ouvriers d’un chantier de rénovation où ils tentaient de se dissimuler. Ils seront arrêtés en fin d’après-midi. A leur domicile, des vêtements humides ont été saisis.Dans leur fuite, les deux agresseurs avaient remonté le Sios, ce petit cours d’eau qui coule à Saint-Paul-de-Jarrat. Pendant ce temps, la victime était secourue et entourée par ses proches. Elle n’est pas blessée, mais a été choquée par l’agression, comme l’infirmière qui s’est trouvée là, au petit matin, au domicile de la nonagénaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/31/1699167-ils-pensaient-que-la-maison-etait-vide.html

Roanne : ivre, elle mord une policière

Une quadragénaire a été interpellée jeudi, à 14 h 30, après avoir appelé à deux reprises les pompiers pour leur signaler que son compagnon venait de faire une tentative de suicide. Par deux fois les pompiers se sont déplacés pour rien, puisque qu’il n’en était rien...

Mécontente de leurs interventions, la requérante, alcoolisée, s’est mise à les insulter avant de porter un coup-de-poing à un pompier lors de la seconde intervention. Appelés, des policiers se sont rendus sur place pour l’interpeller. Lors de son transfert à l’hôpital, la quadragénaire a mordu une fonctionnaire de police à une main. Heureusement, elle portait des gants.
Après une nuit passée en garde à vue, la mise en cause a été déférée devant le procureur de la République qui lui a signifié sa convocation en justice.
La quadragénaire a été placée sous contrôle judiciaire par le juge des libertés et de la détention en attendant sa comparution.


http://www.leprogres.fr/loire/2013/08/30/roanne-ivre-elle-mord-une-femme-policiere

vendredi 30 août 2013

Incendie dans une école à Toulouse

Deux classes d'une école maternelle et élémentaire ont été endommagées par un incendie dans un quartier sensible de Toulouse vendredi matin, quelques jours avant la rentrée, ont indiqué les pompiers et la mairie.
C'est du papier ou du carton qui aurait brûlé dans les deux classes neuves de l'école Daniel Faucher dans le quartier de la Reynerie, l'une des cités du Mirail, ont précisé la police et la mairie. Les policiers étaient sur place pour déterminer si le feu, qui s'est déclaré un peu après 7H00, a été allumé intentionnellement.
Le groupe scolaire vient de bénéficier de 860.000 euros de travaux de rénovation, a dit la mairie. Les deux classes étaient une création nouvelle censée accueillir les enfants de maternelle. Compte tenu des travaux, elles étaient d'un accès relativement aisé, dit-on de source policière.
Le maire socialiste Pierre Cohen et sa première adjointe Gisèle Verniol se sont rapidement rendus sur place pour rencontrer les personnels et veiller à ce que toutes les dispositions soient prises pour que la rentrée se passe normalement.
 

Cambriolage à Valence-d'Agen : deux mineurs coursés par un tracteur et coincés sur l'aire d'autoroute

Deux jeunes mineurs âgés de 16 et 17 ans ont été appréhendés mercredi après-midi, vers 16h30, à proximité de l’aire d’autoroute de la Garonne, près de l’A62, après s’être fait courser par un agriculteur de la commune du Pin qui les avait pris en chasse sur son tracteur. L’histoire, digne des pieds nickelés, débute une heure plus tôt. En plein lancement de la campagne de la cueillette des pommes sur son exploitation, l’agriculteur, un ancien rugbyman âgé d’une quarantaine d’années au physique robuste, chemine sur son tracteur en direction de la ferme de ses parents lorsqu’il croise deux jeunes gens sur un scooter. Un deux-roues qui se révélera avoir été volé quelques jours plus tôt à Castelsarrasin. Intrigué de les croiser sur ce chemin privé, l’homme interpelle les deux cyclomotoristes pour savoir ce qu’ils font là.

Ils prétextent être allés chercher de l'aide à la ferme

L’un d’eux prétexte un pneu crevé. Ils seraient allés chercher de l’aide à la ferme, une bombe anticrevaison, mais tout est désormais rentré dans l’ordre. Une fausse explication qui va vite mettre la puce à l’oreille de l’agriculteur, qui sait que les jeunes n’ont pu trouver de l’aide à la ferme puisque cette dernière est vide. Ses parents se sont absentés pour la journée. Il va donc s’empresser d’aller jusqu’à la bâtisse où il découvre que les deux jeunes cambrioleurs ont tenté de fracturer la porte d’entrée. Ni une, ni deux, il fait demi-tour sur son tracteur et décide de retrouver la trace du scooter. Ce qu’il ne va pas tarder à faire en remontant la voie sans issue qui mène à l’aire d’autoroute de La Garonne sur l’A62 où il finit par visualiser le scooter caché entre un véhicule et le grillage.
C’est à ce moment qu’il décide d’alerter les gendarmes qui vont déclencher un vaste dispositif pour encercler les deux fugitifs. Les hommes des communautés de brigades de Valence-d’Agen et de Moissac, ceux du Psig de Castelsarrasin, de l’EDSR et de la BMO, soit une vingtaine de gendarmes, sont dépêchés sur place à vitesse grand V. Après un petit jeu de cache-cache qui va durer moins de trente minutes, les militaires vont finir par mettre la main sur les deux compères. Deux mineurs, originaires pour l’un de Golfech et pour l’autre de Castelsarrasin, pris en flagrant délit, puisque les gendarmes auraient découvert sur eux des bijoux et de l’argent qui venaient d’un cambriolage effectué un peu plus tôt dans la journée de mercredi à Castelmayran. La garde à vue des deux cambrioleurs aura sûrement permis aux enquêteurs d’élucider d’autres cambriolages puisque les deux garçons interpellés n’en étaient visiblement pas à leurs coups d’essai.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/30/1698014-deux-mineurs-cambrioleurs-courses-tracteur-coinces-aire-autoroute.html

Disparues de Perpignan : le congélateur aux traces d'ADN était à la caserne

Le congélateur contenant des traces d'ADN des deux disparues de Perpignan a été retrouvé à la caserne où travaillait Francisco Bénitez. 
Le mari et père des deux disparues de Perpignan, le légionnaire Francisco Benitez, avait transporté à la caserne le congélateur dans lequel a été retrouvé de l'ADN d'Allison après la disparition des deux femmes, a-t-on appris jeudi de source proche de l'enquête.
Hors de cause


L'appareil, a précisé un homme qui avait aidé Benitez au transport, a été transféré entre le 14 juillet, date de la disparition d'Allison, 19 ans, et de sa mère Marie-Josée, 53 ans, et le 22, date à laquelle le légionnaire l'a signalée, selon ces sources confirmant une information diffusée par la chaîne de télévision BFM. Cet homme, a-t-on ajouté de même source, s'était présenté de lui-même à la police il y a une dizaine de jours. Il a été entendu mais a été mis hors de cause. Selon lui, Francisco Benitez voulait se débarrasser du congélateur qui l'encombrait chez lui. A la caserne, le légionnaire disposait d'un petit appartement dans lequel se trouvait également la machine à laver le linge où a été découvert de l'ADN de Marie-Josée.

http://www.midilibre.fr/2013/08/29/disparues-de-perpignan-le-congelateur-aux-traces-d-adn-etait-a-la-caserne,750691.php

jeudi 29 août 2013

«Les infirmières ne travaillent pas pour ramasser des coups»

Une infirmière a été agressée, mardi soir, au CHU de Rangueil, à Toulouse, après une altercation avec un groupe de jeunes gens. Choquée par ces violences, une de ses collègues témoigne pour dénoncer «un climat d’insécurité» dans les urgences des hôpitaux.
«Il y a toujours un peu d’appréhension avant d’aller travailler. Parfois, on n’est pas tranquille», lâche Valentine (prénom d’emprunt), la voix douce mais teintée de colère.
Mardi soir, cette infirmière du CHU Rangueil, à Toulouse, a été choquée par l’agression d’une de ses collègues infirmières par les proches d’une jeune victime hospitalisée. Comme à Marseille, le 18 août, où un infirmier a été agressé au couteau, les urgences des CHU de Toulouse n’échappent pas non plus à ces bouffées de violence. «Ma collègue a été rouée de coups. Elle a reçu des coups de poing et un coup de genou dans le ventre par un individu qui était accompagné de tout un groupe. Ces violences sont inacceptables. On n’est pas là pour recevoir des coups !», dit-elle, dans un cri de rage pour défendre aussi une profession et un personnel médical «qui en ont ras le bol de servir de déversoir.» Mardi, vers 20 h 30, une quinzaine de jeunes gens déboulent au CHU pour voir leur copain hospitalisé. Mais les règles de visite, comme dans chaque centre hospitalier, sont strictes et encadrées. «On leur a expliqué qu’il ne fallait pas être plus de deux par box. Mais a priori ils ne le comprenaient pas», raconte Valentine, six ans d’expérience aux urgences de Purpan et de Rangueil. Le ton monte et une infirmière est violemment prise à partie et tabassée. «Tout le monde a été choqué. Pendant cet incident, mes collègues et moi-même étions obligés de quitter les chambres des patients pour expliquer au groupe le fonctionnement d’un hôpital et ses règles. C’est une dépense d’énergie supplémentaire et du temps que l’on perd au détriment des patients qui ont besoin de soins.»

Agressée aux urgences il y a un an

Il y a un an, Valentine a reçu un coup de poing dans la salle d’accueil des urgences par un homme ivre. «Il m’a cassé deux dents. J’ai déposé plainte. J’ai été obligée de m’arrêter de travailler à trois reprises pour soigner des abcès dentaires.»
Dans les CHU, des agents de sécurité sont pourtant déployés. «Ils font bien leur boulot mais les situations dégénèrent très vite et à tout moment. Certains pestent à cause du temps de prise en charge qu’ils jugent trop long, ou contre le fonctionnement… Au final, c’est le personnel médical qui trinque !»
L’amour du métier chevillé au corps et dévoué pour ses patients, Valentine livre son témoignage pour «alerter l’opinion sur des faits qui ne doivent pas tomber dans la banalisation.» Elle veut aussi dénoncer «un climat d’insécurité» aux urgences

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/29/1697762-les-infirmieres-ne-travaillent-pas-pour-ramasser-des-coups.html

Narbonne : touchée par un tir de carabine à plomb dans la rue

Une riveraine du quartier de Razimbaud, à Narbonne, a été touchée par un tir de carabine à plomb, mardi. Elle se trouvait dans la rue avec une amie.
Mardi après midi, une dame revient de ses courses, dans le quartier de Razimbaud, à Narbonne. En chemin, non loin de l’immeuble où elle habite, elle croise une connaissance, avenue de Provence.
Pincement au bras


La Narbonnaise s’arrête pour discuter cinq minutes avec elle, quand, tout à coup, elle ressent une douleur, comme un pincement, puis une sensation de brûlure en haut du bras. Attirée par des bruits, la dame lève alors les yeux vers l’un des immeubles qui se trouve non loin, mais elle n’aperçoit personne.
Plainte déposée
La riveraine examine alors son épaule et y voit une rougeur caractéristique de celle laissée par un tir de carabine à plomb. Ce que confirmera le médecin qui l’examinera aux urgences de l’hôpital. La Narbonnaise est allée porter plainte au commissariat, qui a ouvert une enquête.

http://www.midilibre.fr/2013/08/28/narbonne-touchee-par-un-tir-de-carabine-a-plomb-dans-la-rue,750342.php

mercredi 28 août 2013

Enfants abandonnés : le couple de Corréziens mis en examen, les enfants placés

Le couple de Corréziens, qui a abandonné successivement ses trois enfants la semaine dernière, a été mis en examen mercredi. Un juge a ordonné le placement provisoire des enfants.

Pour les enquêteurs, ils sont suspectés de "soustraction aux obligations parentales". Le couple de Corréziens, retrouvé lundi à Marseille après avoir successivement abandonné ses trois enfants à des nourrices, a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire, a indiqué mercredi le parquet de Brive. Les trois enfants, âgés de deux mois, deux ans et cinq ans, avaient durant la disparition des parents été confiés aux soins de l'assistance sociale du Conseil général de la Corrèze. Un juge des enfants, saisi de leur situation, a ordonné leur placement provisoire, indique-t-on de même source.
L'homme âgé de 36 ans, et sa compagne, âgée de 22 ans, ont été mis en examen pour "soustraction sans motif légitime aux obligations parentales de nature à compromettre la santé, la moralité ou l'éducation de leurs enfants". L'homme a par ailleurs été également mis en examen du chef d'abus de confiance pour avoir utilisé à des fins personnelles un véhicule appartenant à son employeur, la commune de Sarroux (Corrèze). Sa compagne a été mise en examen pour recel du même chef. Ils ont tous deux été placés sous contrôle judiciaire comportant notamment "une obligation de suivre des soins adaptés à leur état", ajoute-t-on de même source.
Un contexte "d'alcoolisation régulière" du père
"L'instruction en cours aura notamment pour objet de réunir des informations sur leur personnalité et faire la lumière sur les raisons qui ont conduit aux actes qui leurs sont reprochés", a précisé le parquet.
L'homme a été interpellé lundi par une patrouille de police à Marseille, où il passait des vacances, car il fumait un joint et les policiers se sont rendu compte qu'il était recherché. Placé en garde à vue, il a juste expliqué qu'il ne comprenait pas "faire l'objet d'attentions particulières de la Justice car il avait confié les enfants à des nounous". Sa concubine, qui dans la soirée avait téléphoné au commissariat pour prendre des nouvelles de son compagnon, avait également été placée en garde à vue. Ils ont tous deux été présentés mercredi au parquet de Brive.
Durant leur disparition, une source judiciaire avait indiqué que le couple était "en instance de se voir retirer la garde de ses trois enfants", vraisemblablement "pour des défauts de soins" dans un contexte "d'alcoolisation régulière" du père de famille.
 

Un restauteur mentonnais roué de coups et gazé pour 20.000 euros

Mardi matin, un restaurateur de la Promenade du Soleil a été agressé par deux hommes alors qu’il regagnait sa voiture stationnée dans un parking afin de lui dérober sa sacoche. A l'intérieur, plus de 20 000 euros, les recettes de plusieurs jours.
« Deux hommes m’attendaient.Ils m’ont gazé. Roué de coups. Et se sont enfuis avec ma sacoche ».
À l’intérieur, le montant des recettes mais aussi ses papiers d’identité et son permis de conduire.
Une agression qui intervient après celle du patron d'un magasin de la rue piétonne ce qui interpelle les commerçants mentonnais...

http://www.nicematin.com/menton/un-restauteur-mentonnais-roue-de-coups-et-gaze-pour-20000-euros.1411747.html

Narbonne : une dame de 76 ans blessée par balle chez elle en pleine nuit

Une Narbonnaise de 76 ans vivant seule chez elle a été blessée par balle, dans la nuit de mardi à mercredi, à son domicile, dans le quartier de Bonne Source à Narbonne. L'enquête s'oriente vers un cambriolage qui aurait mal tourné.
Une dame âgée de 76 ans a été blessée par balle, dans la nuit de mardi à mercredi, à son domicile, dans le quartier de Bonne Source. L'hypothèse d'un cambriolage qui aurait mal tourné est privilégiée.
Une balle dans la cuisse gauche


La Narbonnaise, qui a alerté elle-même la police, a été découverte dans le couloir, allongée au sol, vers 3 h du matin. La victime, consciente, présentait une blessure à la cuisse gauche. Elle a été transporté au centre hospitalier de Narbonne. Ses jours ne sont pas en danger.
Traces d'effraction
Le parquet a immédiatement saisi la police judiciaire de Perpignan, désormais en charge de l'enquête. Des traces d'effraction ont été relevées sur une fenêtre située au rez-de-chaussée de la maison. On ignore, pour l'heure, s'il y avait un, ou plusieurs individus. La propriétaire du domaine, pour sa part, se trouvait seule chez elle au moment des faits.

http://www.midilibre.fr/2013/08/28/narbonne-une-septunagenaire-blessee-par-balle-dans-la-nuit-a-son-domicile,750112.php

Cahors. Agressée en pleine journée pour lui voler son sac à main

Le vol subi samedi, en fin d’après-midi, par une Cadurcienne, s’est déroulé très vite. Suivie par deux individus, elle les a juste vus fondre sur elle avant de pousser un cri. Témoignage…
Reprendre son travail, après une agression et vol de sac à main, n’est pas chose aisée. Encore bouleversée par la mésaventure qu’elle a vécue samedi, cette Cadurcienne a réintégré son poste, certes, mais a du mal à se défaire de cet envahissant souvenir qui la tourmente.
Les deux jeunes hommes (âgés entre 18 et 25 ans), très déterminés, qui se sont emparés de son sac, samedi vers 18 h 20, alors qu’elle regagnait son domicile, sont activement recherchés par la police.
«À cette heure-là, je revenais de l’espace culturel Leclerc. J’ai l’habitude de rejoindre le centre-ville en empruntant la rue des Capucins. Là, j’ai rapidement senti la présence de deux hommes dans mon dos. L’un d’eux était au téléphone. Tout s’est passé en l’espace de trois secondes. Ils se sont précipités sur moi et avec une grande vivacité, un des deux jeunes a coupé la sangle de mon sac que je portais en bandoulière», explique la victime. Bousculée, elle n’a néanmoins pas été menacée à l’aide d’une arme. «Mais celui qui s’est emparé de mon sac avait forcément une lame, car la sangle n’a pas été arrachée mais bien tranchée». Hier, la sangle encore présente dans la rue des Capucins (notre photo), présentait bien une nette coupure.

Une rue étroite et discrète

«Cela fait 27 ans que j’habite à Cahors. Les choses se sont dégradées. Je ne me sentais pas en sécurité, le soir. Mais maintenant, j’ai aussi très peur en pleine journée», reprend cette Cadurcienne qui a décidé de changer ses habitudes et surtout d’éviter la rue des Capucins.
Cet axe, très étroit, où l’on marche à l’abri des regards, est un raccourci bien connu de ceux qui se rendent vers le centre-ville depuis la rue André Breton ou la rue de la gare.
Dépossédée de son sac qui contenait les clés de son domicile, entre autres objets, la victime du vol n’était plus en mesure de rentrer chez elle. «J’ai été hébergée par l’une de mes amies», dit-elle avant de conclure : «Dans mon malheur, je n’ai pas été blessée». C’est l’unique point positif qu’elle retient de sa mésaventure.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/28/1697079-cahors-agressee-pleine-journee-voler-sac-main.html

Montpellier : le jeune postier se met au vol à l’arraché

Vendredi il avait agressé une retraité aux Aubes. Il a écopé de six mois dont quatre avec sursis et mise à l'épreuve.
Entre canonnade et frappes plus “chirurgicales”, le président Berthet place, l’un après l’autre, ses coups à l’ironie : "Je voulais vous féliciter pour votre courage ! Parce que vous vous êtes attaqué à une dame de 75 ans, le tribunal tenait à souligner votre abnégation. Vous êtes bien parti dans la vie ! Continuez comme cela !"
Retraitée agressée


À la barre, entre deux gendarmes, le jeune Marseillais, de bientôt 20 ans, pâlit. Et s’il est entendu que la corpulence de ce garçon-là tient plus de la danseuse du Bolchoï que de celle d’un bûcheron du Yukon, c’est pourtant bien lui qui, vendredi, a agressé cette retraitée, rue des Roitelets, dans le quartier des Aubes, à Montpellier. À l’intérieur de sa résidence. Alors qu’elle venait de se garer et gagnait la porte d’entrée, elle a été violentée par l’intéressé qui a ensuite, tout aussi rapidement, disparu, collier en or en main.
Un vol vite résolu
Un vol vite résolu par des policiers alertés entre-temps. Le collier, un souvenir de famille, rapidement mis au jour, avait été planqué sur un muret du quartier. Mais que diable est-il donc passé par la tête de ce postier en contrat à durée déterminée ? Venu passer quelques jours en villégiature, mais apparemment sans but très précis, à Montpellier. Et au casier judiciaire aussi désertique que certains atolls des Exuma.
"Je regrette profondément"
"J’avais plus d’argent, une amende majorée (de 375 €, NDLR)... Je savais pas comment la payer", raconte-t-il, toujours aussi penaud. Avec une envie que l’on sent de se carapater dans un trou de souris. Si tant est que le prétoire de la correctionnelle en abrite. Mais, malgré ce, de poursuivre : "J’ai honte de moi. Je sais que c’est mal et que je mérite une sanction. Je regrette profondément. Je suis quelqu’un de travailleur..."
"Avec ce type de comportements on gâche un avenir"
Le parquet "Il a réfléchi mais un peu tard : une fois qu’il a été arrêté, incarcéré", rappelle le représentant du parquet. Sur les faits : "C’est tout à fait impardonnable, inqualifiable. C’était une mère de famille, comme la vôtre. C’est avec ce type de comportements que l’on gâche un avenir", enchaîne le magistrat, avant de demander six mois d’embastillement dont quatre assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve.
Réquisitions suivies
"Le dossier n’est pas en lien avec la personnalité de ce jeune homme. Il est inconnu de services de police, est calme, très rapidement en panique. Là, il s’est comporté comme un véritable délinquant. Il a eu ce geste complètement hors de propos", plaide Me Guilbert en défense. Un délibéré plus tard, les magistrats ont suivi les réquisitions.
http://www.midilibre.fr/2013/08/27/le-jeune-postier-se-met-au-vol-a-l-arrache,749634.php

mardi 27 août 2013

Meurtre d'Angoulême : mis en examen, il nie avoir tué la victime

Il est entré à 13 h 45 ce lundi par la petite porte du palais de justice d'Angoulême, menotté et escorté par des policiers attentifs à d’éventuels débordements place Francis-Louvel. Mais une audience de tribunal correctionnel retenant le juge d’instruction, ce n’est qu’en fin d’après-midi, lundi, que Soufiane Tahri, 24 ans, a été mis en examen pour assassinat. Il lui est reproché le meurtre de Joachim Thouvenot, 23 ans, abattu d’une balle dans la tête en pleine rue, samedi après-midi, dans le quartier de la Grande Garenne, à Angoulême.
Présumé innocent d’ici le verdict d’un procès d’assises, Soufiane Tahri conteste avoir tiré sur la victime. « Il n’a rien dit devant le juge et, comme en garde à vue, il conteste les faits, commente Patrice Camberou, procureur de la République d’Angoulême. Des éléments très concordants existent contre lui. »

Non seulement les témoins qui ont vu les deux hommes courir l’un après l’autre le long du petit centre commercial de la Grande Garenne, mais aussi l’automobiliste que l’on avait dit effrayé en voyant débouler les deux hommes dans la rue. Connaissance de Joachim Thouvenot, le conducteur était prêt à lui en venir en aide. C’est arrivée à hauteur de sa voiture que la victime s’est effondrée, touchée au bras puis à la tête.
Quel différend pouvait donc opposer les deux jeunes hommes ? Si son casier judiciaire compte neuf condamnations, Joachim Thouvenot vivait en concubinage et paraissait s'être « rangé » depuis quelques années.
Condamné à deux reprises, notamment pour outrage et violence sur policier, Soufiane Tahri avait été interné à l’hôpital psychiatrique Camille-Claudel le 4 août, suite à une altercation. Une hospitalisation d’office prolongée le 13 août après les examens de rigueur. Jeudi dernier, un médecin autorisait une sortie probatoire, sous traitement, notant « une nette amélioration de la situation », rapporte le procureur Camberou : « Il n’y a pas d’anomalie administrative dans la procédure psychiatrique. »
Toujours est-il que des expertises psychiatriques seront diligentées. « Il convient de les attendre pour éventuellement en tirer des conséquences sur une responsabilité ou une irresponsabilité pénales ». Les proches de Joachim Thouvenot ont d’ores et déjà annoncé leur souhait d’organiser une marche blanche dans le quartier, vendredi après-midi. Présenté au juge des détentions et de la liberté hier en soirée, Soufiane Tahri devait être de toute évidence incarcéré dans la foulée.

http://www.sudouest.fr/2013/08/27/mis-en-examen-il-nie-avoir-tue-la-victime-1151282-813.php

Trois hommes poursuivis

Les incidents qui ont émaillé la nuit devant le Medley se sont achevés par la libération des quatre jeunes interpellés.
Trois d’entre eux sont convoqués en justice et le dernier a été mis hors de cause.
Les quatre hommes âgés de 19 à 25 ans, n’auraient pas avoué grand-chose durant leur garde à vue. L’un d’entre eux, confronté aux caméras de vidéosurveillance, a toutefois avoué avoir saccagé la vitre du fumoir à l’aide d’une barre de fer.
La soirée avait dégénéré à cause de leurs comportements alcoolisés et provoquant dans la discothèque. Les videurs, avaient préféré se débarrasser d’eux.
Après l’épisode de la barre de fer, les trois garçons présents à la soirée sont revenus au moment de la fermeture avec un quatrième à la sortie de la boîte de nuit. A bord de leur fourgonnette, ils ont pris en chasse une serveuse qui rentrait chez elle dans la voiture d’un de ses amis. C’est visiblement à cet ami que le quatuor en voulait.
Plus tôt, dans la soirée, ce dernier avait involontairement, selon des témoins, fait tomber l’un d’entre eux. Rancuniers, ils sont parvenus avec leur véhicule à immobiliser la voiture du jeune homme. Deux hommes en sont descendus avec des armes, notamment une matraque et un couteau de boucher.
Pris de panique, la serveuse et son ami sont parvenus à semer leurs présumés agresseurs en direction de Saint-Quentin tout en composant le 17. Ces derniers sont parvenus à intercepter la fourgonnette à hauteur du hameau de Bellecour.
Après une longue garde à vue, ils ont été remis en liberté hier en fin de journée. Trois sont donc convoqués le 25 novembre prochain devant le tribunal correctionnel. Ils devront répondre de dégradations, de mise en danger de la vie d’autrui et de menaces avec une arme.


http://www.aisnenouvelle.fr/article/actualites/trois-hommes-poursuivis

Aveyron, Tarn : Patricia et Amandine, toujours introuvables

Un an. Un peu plus même désormais que Patricia Wilson-» l’Anglaise» des Landes Basses vivant sur la petite commune aveyronnaise de Vabre-Tizac- a disparu. C’était dans la torpeur de la mi-août 2012, où une atmosphère caniculaire frappait le Bas Rouergue. Des températures pas anodines.
Alors que dans toutes les demeures, chacun se cloîtrait derrière les volets clos dans l’espoir de contenir la chaleur à l’extérieur, ceux de la maison de Patricia Wilson, isolée et en léger retrait de la route, étaient grands ouverts. C’est ce qui intrigua une de ses voisines qui le mardi 14 août se rendit sur place pour voir ce qu’il se passait. Là, la stupeur !
Non seulement, Patricia n’était pas là, mais dans la pièce à vivre, elle découvrit un incroyable capharnaüm. Ce qui n’était pas dans les habitudes de la Britannique. Après l’avoir appelée, elle découvrit très vite le sol maculé de sang séché. Il ne lui en fallait pas plus pour prévenir d’urgence la gendarmerie.
Aussitôt, et vu les craintes immédiates compte tenu de la quantité de sang retrouvé aussi sur les marches de l’escalier à l’arrière de la maison, un imposant dispositif de gendarmerie fut mis en place. Hommes, chiens, hélicoptère passèrent les abords immédiats du domicile, situé à la lisière des forêts du Ségala, au peigne fin. Rien.
Pas la moindre trace de la disparue. Les seuls éléments probants furent retrouvés, plus tard, dans la voiture du jardinier, devenu le suspect numéro 1 et mis en garde à vue trois jours après. Lui n’a jamais avoué quoique ce soit concernant la disparition de Patricia Wilson (après un an de détention provisoire, le juge des libertés et de la détention vient de décider de le libérer depuisle 24 août sous contrôle d’un bracelet électronique).
Mais aucune trace de Patricia Wilson. Pas plus du côté de Sanvensa où début septembre 2012 furent concentrées des recherches accrues, qu’autour de Vabre-Tizac, Saint-Salvadou, la Salvetat-Peyralès… des zones boisées et escarpées, surplombant, pour certaines les gorges du Viaur. Jusqu’à la fin de l’année 2012, avec l’appui de la brigade de recherches de Toulouse, les services de gendarmerie ne relâchèrent pas la pression. Mais rien. Pas de trace de Patricia Wilson. Et le mystère reste entier.

Amandine Estrabaud, sans nouvelle depuis 2 mois

Après son service, le 18 juin dernier vers 14 heures, elle a quitté à pied le lycée Anne-Veaute de Castres où elle travaillait comme assistante d’éducation. Et depuis plus de nouvelles. Amandine Estrabaud, 30 ans, reste introuvable et sa disparition est inquiétante. Très inquiétante même. D’abord parce qu’on a retrouvé le lendemain la porte de sa maison ouverte à Roquecourbe, ses balerines rangées devant sa porte et même une boucle d’oreilles tombée dans l’allée, devant le pavillon où elle était en train d’aménager. après la séparation avec son compagnon avec lequel elle vivait à Castres.
Depuis, les gendarmes qui agissent dans le cadre d’une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration» ne cessent de ratisser, fermer une à une toutes les portes. Ils ont cherché dans l’Agout, la rivière qui passe tout près de sa maison, dans les chemins creux et bien au-delà. Tous les proches, les collègues, les connaissances ont été entendus. Rien de rien. Pas de trace d’Amandine ni, d’ailleurs, de traces de sang ou de lutte dans sa maison qu’elle a très probablement rejoint en auto-stop après être sortie de son travail.
Un témoin aurait vu une fourgonnette blanche garée devant chez elle le jour même. Un indice bien maigre. On n’a pas davantage retrouvé l’automobiliste qui aurait pu la ramener jusque chez elle ce mardi après-midi de juin.
Alors pour se donner du courage, la famille et les amis d’Amandine ont organisé une «marche pour l’espoir» il y a un mois environ à travers les rues de Roquecourbe, village situé près de Castres où réside aussi une bonne partie de sa famille.
Dans l’ombre, une cellule de six gendarmes continue d’enquêter sans pour autant pourvoir privilégier une piste quelconque : soit un départ volontaire, un accident ou bien une mauvaise rencontre.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/27/1696393-aveyron-tarn-patricia-et-amandine-toujours-introuvables.html

Alès : la femme auteur des coups placée en détention

La femme de 42 ans, qui a asséné plusieurs coups de couteaux à un homme d’une quarantaine d’années, a été incarcérée au cours de la journée de dimanche à la maison d’arrêt de Nîmes.
L’affaire remonte à vendredi soir dernier. Dans un appartement à l’étage d’une maison du quartier de La Royale, une dispute entre voisins, à l’origine pour une question de bruit, avait dégénéré et bien failli tourner au drame.
"Violence avec arme en état d'ivresse"


La victime, très gravement blessée de multiples coups de couteau au niveau de l’abdomen, avait en effet perdu beaucoup de sang. Devant son état plus que préoccupant, le pronostic vital étant engagé, les secours l’avaient fait admettre au centre hospitalier régional Lapeyronie à Montpellier. Le médecin avait requis une interruption temporaire de travail de 21 jours. Après une prolongation de garde à vue samedi soir, le procureur de la République d’Alès, qui avait ouvert une information judiciaire pour “violence avec arme en état d’ivresse avec ITT de plus de 8 jours”, l’a fait déférer, dimanche matin à 9 heures, au parquet.
La juge d’instruction du tribunal d’Alès qui a été saisie, a mis la femme en examen pour les faits mentionnés ci-dessus.Le procureur a requis le placement de l’auteur présumé des coups de couteau en détention. Suivant ces réquisitions, le juge des libertés et de la détention a décidé le placement de la femme en détention, à la maison d’arrêt de Nîmes où elle a été incarcérée.
Plusieurs séjours en prison
Ses antécédents judiciaires n’y sont sans doute pas étrangers, avec déjà de multiples condamnations et plusieurs séjours en prison.Quant à l’état de santé de la victime, il s’est amélioré. "L’état vital a été engagé quelques heures, il est maintenant stabilisé", assurait le procureur Thierry Lescouarc’h.
L’instruction ouverte va désormais s’atteler à cerner les circonstances de l’altercation et des coups portés. Et prendre en compte d’éventuelles séquelles de ses blessures pour la victime
http://www.midilibre.fr/2013/08/26/la-femme-auteur-des-coups-de-couteau-placee-en-detention,749412.php

lundi 26 août 2013

Sarthe : plusieurs tonnes de métaux volées

Plusieurs tonnes de métaux, principalement de cuivre, ont été volées durant le week-end dernier dans la Sarthe lors de différents cambriolages perpétrés dans des entreprises du département, a annoncé lundi la gendarmerie de la Sarthe à qui ont été confiées des enquêtes.
A Semur-en-Vallon, les cambrioleurs ont réussi à s'emparer d'une palette de feuilles de cuivre de "presque trois tonnes", selon les gendarmes. Une société de Changé a constaté la disparition d'un touret de 250 mètres de cuivre. Enfin, à Boessé-le-Sec, un vol important d'alliage a été réalisé.
La gendarmerie a lancé un appel à la vigilance, à destination des entrepreneurs, afin que les mesures de sécurité soient renforcées au sein des établissements contenant des métaux.
 

Casse à la voiture bélier dans le Nord

Quatre hommes ont commis lundi en fin de matinée un casse à la voiture-bélier sur un distributeur automatique de la Caisse d'Épargne, dans la commune de Vieux-Condé, dans le Nord, près de Valenciennes, selon des sources policières.
Les quatre malfaiteurs, semble-t-il cagoulés et armés, se sont emparés d'une somme avoisinant les 130.000 euros, avant de prendre la fuite. Ils avaient auparavant défoncé le distributeur, dans lequel se trouvaient deux employés en train de le recharger, avec un véhicule de type 4x4, selon une source proche de l'enquête. Ces derniers ont été menacés par des armes de poing pendant le braquage.
Les malfaiteurs étaient encore recherchés par la police, lundi en fin de journée. Les deux véhicules à bord desquels ils ont pris la fuite dans un premier temps ont été brûlés, a indiqué la source proche de l'enquête. Ils seraient alors montés à bord d'une BMW, peut-être en direction de la Belgique.
 

Pic du Midi d'Ossau : deux alpinistes sourds et muets secourus en pleine nuit

Il était près de 0h30, ce dimanche, lorsque le centre de traitement des alertes des sapeurs pompiers des Pyrénées-Atlantiques a été contacté par SOS Navarre, son homologue espagnol : via un numéro spécial, le service de secours ibérique venait d'être contacté par deux alpinistes espagnols sourds et muets en difficulté. Les deux hommes de 62 et 47 ans étaient bloqués sur le petit pic du Midi d'Ossau, sur la commune de Laruns.
Les deux hommes se sont retrouvés coincés en altitude à cause d'une corde qui s'est bloquée dans la roche. Après avoir passé plusieurs heures à tenter de la dégager, et n'étant pas équipés pour passer la nuit en altitude, ils ont fini par alerter les secours, en envoyant des messages à un numéro spécial de SOS Navarre.

Le relais a été passé aux pompiers des Pyrénées-Atlantiques qui ont réussi à localiser les victimes en échangeant des SMS avec elles, ce qui leur a permis de connaître leurs coordonnées GPS. Bénéficiant d'une bonne fenêtre météo et étant équipé d'un système de vision nocturne, l'hélicoptère de la sécurité civile Dragon 64 a pu décoller d'Uzein avec deux pompiers à son bord. Rapidement arrivés sur zone, les secouristes ont trouvé sans difficulté les deux alpinistes qui ont été hélitreuillés et ramenés au col du Pourtalet, indemnes. 
Pour la France, le numéro d'urgence au service des personnes ayant des difficultés à parler ou à entendre est le 114. Gratuit et accessible 24h/24 et 7j/7, il permet d'alerter par SMS depuis un téléphone portable ou par fax depuis un fixe les services de secours. Dès que les informations relatives au traitement de l’urgence sont recueillies (localisation, contexte, identité de la personne, etc.), le 114 établit le lien direct avec le service d’urgence local.

http://www.sudouest.fr/2013/08/25/pic-du-midi-d-ossau-deux-alpinistes-sourds-et-muets-secourus-en-pleine-nuit-1150046-4344.php

Vannes. Un homme retrouvé noyé dans le golfe du Morbihan

Dimanche soir, les gendarmes de Vannes n’étaient pas encore parvenus à identifier un corps retrouvé flottant et sans vie entre Arradon et l’Ile-aux-Moines, dans le golfe du Morbihan.
C’est un plaisancier qui a fait la macabre découverte samedi en fin de matinée.
La thèse criminelle a été écartée par les enquêteurs qui, par ailleurs, n’ont enregistré aucun signalement de disparition ces jours derniers.
Alors accident ou acte d’un désespéré ? L’autopsie devrait répondre à cette question pour cet homme apparemment âgé d’une soixantaine d’années.
 

Roquecourbe. 2 mois après, Amandine reste introuvable

Deux mois après sa disparition à Roquecourbe, le mystère autour de la disparition d'Amandine Estrabaud reste entier. Les gendarmes poursuivent leur enquête minutieuse mais sans résultat pour le moment. De leur côté, les proches de la jeune femme souffrent de "l'incertitude" malgré le soutien de la population qui avait organisé une marche de l'espoir le 27 juillet.
Assitante d'éducation à Castres, Amandine Estrabaud a quitté le lycée où elle travaillait le mardi 18 juin à 13 heures. C'est la dernière fois qu'elle a été vue. Les enquêteurs pensent que la jeune femme de 30 ans, qui n'avait pas de voiture, s'est ensuite rendue chez elle, un pavillon de Roquecourbe qu'elle avait acquis avec son compagnon, mais le couple n'avait jamais occupé les lieux. Après leur séparation récente, Amandine Estrabaud s'y était installé, en attendant de le vendre.
"On suppose qu'elle est rentrée en stop", a confié Liliane Sire, épouse de son oncle maternel Rolland Sire, habitant aussi à Roquecourbe.

Aucune trace de violence

Les circonstances de la disparition de la jeune femme intriguent les enquêteurs, les gendarmes du Tarn et ceux de la section de recherches de Toulouse. Ils ont retrouvé la porte du pavillon ouverte, une boucle d'oreille et des chaussures appartenant à la jeune femme ont été découvertes près de la maison. Toutefois, aucune trace de violence n'a été relevée.
Une information judiciaire pour "enlèvement et séquestration" a été ouverte dans ce dossier, mais les enquêteurs n'excluent aucune hypothèse. Amandine Estrabaud a pu être victime d'un accident dans la rivière Agout toute proche, d'un acte criminel ou, destabilisée par sa rupture récente, commettre un geste imprévisible.

"Un mystère"

"Nous sommes toujours au même point et n'avons aucun élément qui puisse nous diriger vers une piste en particulier, tout reste ouvert", a expliqué le colonel Pierre Bouquin, commandant du groupement de la gendarmerie du Tarn. "Actuellement, un groupe de six gendarmes travaillent sur cette enquête. Nous avons fait toutes les vérifications possibles, avons auditionné les témoins, l'entourage familial, les amis, les connaissances.... Nous avons fait des recherches autour de la maison, avons fait appel à trois chiens successifs, à des plongeurs, spéléos, au 8e RPIMa (régiment de parachutistes de Castres). Nous avons mené des recherches sur son téléphone, sur son ordinateur... Mais rien", a affirmé le militaire. "Cela reste un mystère", a-t-il ajouté.

Une famille mobilisée

La famille de la jeune femme, ses parents, son frère, ses oncles et tantes, se sont mobilisés dès la disparition signalée, le 19 juin, par la mère, Monique. Ils ont participé aux recherches et organisé la "marche de l'espoir" du 27 juillet. Elle a réuni 600 personnes.  "Tous ces gens aujourd'hui, c'est beaucoup de chaleur qui fait du bien. Car on commence à être vraiment au fond du gouffre", déclarait alors Rolland Sire. Mais si la famille continue d'être soutenue dans l'épreuve, Liliane Sire ne peut que constater que "cette  mobilisation n'a rien donné en ce qui concerne la progression de l'enquête", tout en saluant au passage le travail des enquêteurs.
Dès le début, un appel à témoins a été lancé avec le signalement de la jeune femme : brune aux cheveux longs, 1,65 m et 45 kg. Elle portait le jour de sa disparition un chemisier brun, une veste marron clair et une jupe brune droite s'arrêtant au-dessus du genou


http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/26/1695780-roquecourbe-2-mois-apres-amandine-reste-introuvable.html

Lunel : il gifle sa fille car elle refuse de jouer avec lui

La fillette de ce vacancier mulhousien ivre a fini à terre. Quasi KO. Il écope de six mois de prison avec sursis.
Et l’aveu vint, dans le prétoire de la correctionnelle : "Dimanche, j’ai décidé de terminer ce qu’on avait acheté comme alcool." "Vous n’étiez pas forcé de vider les bouteilles", objecte le président Beaudouin.
En villégiature au camping à Lunel


"Personne m’a poussé", concède le prévenu. Un Mulhousien plutôt grand gaillard. Qui, dimanche au Bon Port, un camping de Lunel où il était en villégiature, a plus que dérapé. Au terme d’une journée passée à enchaîner bières, vins rosés, apéritifs anisés et muscats.
Au point qu’effrayée en voyant son compagnon ivre, cette mère de famille a décidé d’assister à la soirée organisée par le camping avec ses enfants. Au retour, vers minuit, l’homme a voulu jouer au torero avec sa fille âgée de 7 ans. Apparemment surprise en voyant l’état de son papa, la fillette a refusé. C’est à ce moment précis, sans crier gare, que son père l’a violemment giflée. Un coup tel que l’enfant a chuté au sol, quasiment assommée.
"Ce n’est pas comme cela qu’on élève un enfant !"
Me Corbier-d’Hauteville Prévenus, les gendarmes auront bien du mal à calmer l’intéressé. Celui-ci se rebellant tout en outrageant militaires et magistrats. Les rendant responsables d’avoir gâché la fin de ses vacances.
"À leur retour... Je peux pas expliquer... C’est le trou noir. Jusqu’à la cellule de garde à vue...", indique le prévenu. Concédant un alcoolisme aussi ancien que chronique.
"Le vrai problème, c'est l'alcool !"
"Quelle que soit sa bêtise, son comportement (celui de la victime, NDLR), elle ne mérite pas ça ! Ce n’est pas comme cela que l’on élève un enfant. C’est un constat d’échec !", note Me Corbier-d’Hauteville, partie civile. Appuyant un peu plus là où ça fait mal : "Le vrai problème, c’est l’alcool. Et votre discours n’est pas du tout rassurant. Aujourd’hui, vous mettez votre famille en danger !"
Un point de vue partagé par le représentant du parquet : "On a affaire à une famille en difficulté, dans une situation économique précaire. Et au lieu d’apporter sa force de père, il rajoute de la difficulté à la difficulté. On le voit ce soir-là. C’est ce qui s’est passé. Et si quelqu’un a gâché les vacances de quelqu’un, c’est vous !"
Déjà condamné en 2008
D’où ces douze à quinze mois de prison (dont dix, assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve) requis contre ce bientôt quadragénaire. Déjà condamné en 2008 après avoir cogné sur sa compagne.
"Il n’arrête pas de réfléchir en se demandant comment il a pu commettre cet acte et il le regrette beaucoup. Il voulait que ce soient des vacances heureuses", plaide Me Faraj en défense.
Et dont le client a, au final, écopé de six mois, assortis d’un sursis et de sa nécessaire mise à l’épreuve.
http://www.midilibre.fr/2013/08/25/il-gifle-sa-fille-car-elle-refuse-de-toreer-avec-lui,748987.php

dimanche 25 août 2013

Le gérant d'une boîte de nuit blessé par balle

Le gérant d'une boîte de nuit d'Aix , "Le Studio", a été blessé par le tir d'une arme à feu, lors du braquage de son établissement, ce matin vers 5h.

La victime se débattait avec son agresseur qui s'était emparé d'une partie de la recette de la soirée. Le projectile, sans doute tiré par une arme de poing automatique, a touché le mollet de l'homme âgé d'une trentaine d'années.

Le coup de feu a retenti alors que de nombreux clients se pressaient encore sur la piste de danse. Les trois malfaiteurs ont finalement réussi à prendre la fuite. La police judiciaire de Marseille analyse actuellement les bandes de vidéosurveillance pour tenter de les identifier


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2501997/le-gerant-dune-boite-de-nuit-blesse-par-balle.html

AMIENS Un enfant tombe à l'eau, son beau père le sauve avec la canne à pêche

    Il était environ 14 heures lorsqu'un enfant de 9 ans est tombé dans le canal de la Somme, au port d'Aval à Amiens, (de l'autre côté de l'école d'ingénieur en forme de soucoupe) quartier Saint-Maurice. Il accompagnait un homme se présentant au Courrier picard comme le mari de la maman. Tous deux étaient ici pour pêcher, l'endroit est en effet très prisé des amateurs. " J'ai entendu un plouf et j'ai vu le petit dans l'eau" a confié l'homme avant de rejoindre l'enfant à l'hôpital nord où il a été évacué par les pompiers d'Amiens. Le beau-père a eu le reflexe de lancer sa canne en direction de l'enfant qui ne sait pas nager. L'homme a hurlé, demandant de l'aide sans lâcher la canne auquel l'enfant a su rester accrocher. Il y avait de nombreux témoins, beaucoup ont alerté les secours. Les plongeurs des pompiers d'Amiens ont vite récupéré la victime consciente selon les témoins, mais en hypothermie

http://www.courrier-picard.fr/region/amiens-un-enfant-tombe-a-l-eau-son-beau-pere-le-sauve-ia201b0n166667

Un cycliste mortellement fauché sur la route à Agde

Un cycliste âgé de 47 ans a été renversé par une voiture samedi. Il n'a pas survécu à ses blessures.
Samedi, en milieu de matinée, un cycliste âgé de 47 ans a été fauché par une voiture alors qu'elle s’élançait sur la voie rapide à la sortie d’Agde en direction de Marseillan.
La victime, très gravement touchée notamment au dos et à la tête, a été héliportée au CHU Lapeyronie à Montpellier où elle est décédée des suites de ses blessures samedi après-midi. L’automobiliste à l’origine du drame assure ne pas avoir vu le cycliste.

http://www.midilibre.fr/2013/08/25/un-cycliste-mortellement-fauche-sur-la-route,748967.php

Golfe du Morbihan. Une plaisancière allemande meurt noyée

Une plaisancière allemande est morte noyée, samedi, à l’entrée du golfe du Morbihan, dans le chavirage d’un canot moteur.
Samedi, vers 17 h 30, quatre personnes de la même famille embarquées dans un canot à moteur de 4, 75 m ont chaviré à l’entrée du Golfe du Morbihan, non loin de la balise du Mouton, un endroit délicat en raison des forts courants de marée en cette période.
Sans attendre les secours, de nombreux plaisanciers sur zone plongent afin d’essayer de sauver les quatre personnes, toutes de nationalité allemande. Ils parviennent à secourir un homme et deux enfants, puis découvrent le corps inanimé d’une femme sous la coque du bateau.
Vents forts
Cette dernière, âgée d’une quarantaine d’année est alors transportée en urgence vers la côte par l’hélicoptère de la sécurité civile dépêché sur zone par le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) d’Etel. Elle sera ensuite prise en charge par le Samu vers l’hôpital de Vannes où son décès a été annoncé vers 20 h 30.
Une enquête de gendarmerie est en cours tandis que le bateau à moteur, qui dérivait par des vents forts de Nord-ouest, a été remorqué et mis en sécurité sur l’Île Berder, dans le Golfe. Les quatre occupants étaient équipés de gilets de sauvetage.
 

Pyrénées-Orientales : le feu maîtrisé par les pompiers détruit 20 ha à Tautavel

Une centaine de pompiers ont été mobilisés ce samedi soir avec l'appui de sept avions bombardiers d'eau pour lutter contre un feu de forêt parti en fin d'après-midi dans une zone isolée proche de Tautavel dans les Pyrénées-Orientales.
Selon L'Indépendant, les pompiers ont réussi vers 20 heures à maîtrisé l'incendie" qui s'est déclaré ce samedi avant 19 heures à Tautavel. "Le vent est un peu plus modéré, on a frappé fort et la situation est désormais plutôt favorable", a expliqué un responsable.
20 ha détruits


En deux heures, ce feu "virulent" s'est propagé à une vingtaine d'hectares dans une zone boisée isolée et difficile d'accès "stimulé par un fort vent", a indiqué un responsable du Centre opérationnel départemental incendie et secours (Codis).

Nous avons décidé de frapper fort" explique le responsable des pompiers
Les pompiers du département ont reçu le renfort d'un groupe de leurs confrères de l'Aude tout proche et une vingtaine de véhicules luttent contre le feu. Deux avions trackers, quatre canadairs et avion Dash ont été engagés contre l'incendie.
http://www.midilibre.fr/2013/08/24/incendie-dans-les-pyrenees-orientales-100-pompiers-et-7-avions-mobilises,748841.php

samedi 24 août 2013

Un TGV Lyon-Poitiers arrêté plus de 5 h en région parisienne

Un TGV Lyon-Poitiers avec 200 voyageurs à bord s'est retrouvé bloqué sameid sur les rails entre 8h20 et 14h à hauteur de Massy, dans l'Essonne, en raison d'un problème d'alimentation électrique.

Un TGV Lyon-Poitiers avec 200 voyageurs à bord a été arrêté pendant plus de 5 heures samedi à hauteur de Massy (Essonne), en raison d'un problème d'alimentation électrique, a-t-on appris auprès de la SNCF et d'un voyageur. D'autres TGV ont dû emprunter des itinéraires alternatifs et subissent des retards d'une heure environ, a-t-il précisé. A l'arrêt depuis 08h30 du matin environ le TGV 5356 est reparti peu après 14 heures a annoncé la SNCF. Il s'est retrouvé bloqué "en raison d'un problème d'alimentation électrique dans un petit secteur" aux alentours de Massy, a déclaré un porte-parole de la SNCF. "Le bar, qui se situe en bout de train, a été ouvert" et "un ravitaillement est prévu à la première gare quand le train aura redémarré", a ajouté le porte-parole.

"Juste avant Massy, le train s'est arrêté. On nous a expliqué que l'arrachage d'un caténaire" était en cause, a déclaré l'un des passagers du Lyon-Poitiers bloqué, Mehdi S., 21 ans, joint par téléphone, qui ne souhaite pas donner son patronyme. "On nous a seulement dit que l'attente était indéterminée. On est dans l'incertitude totale", a-t-il ajouté. "Au bout d'une heure et demie, on a pu ouvrir une porte du train. Une bonne partie du train est sortie sur un terrain vague" car il n'y a "plus d'électricité" et "pas de climatisation" dans ce TGV, a dit ce passager parti à 06H30 de la gare de Lyon Part-Dieu et qui devait arriver à Poitiers à 10H20.
 

Un plaisancier porté disparu dans l'estuaire de la Gironde

Vendredi vers 17h30, un voilier a été découvert chaviré dans l'estuaire de la Gironde sans aucun occupant à son bord, au niveau du banc de Saint-Estèphe. L'alerte a été donnée par les pompiers auprès du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (cross) d'Etel.
Le voilier de type Vaurien de 4 mètres nommé L'Archos était barré par un homme de 76 ans qui se rendait pour la journée au phare de Cordouan.
Malgré un important dispositif de recherches mis en place une bonne partie de la nuit avec deux hélicoptères de la marine et de l'armée appuyés par la Snsm, les sapeurs-pompiers et des gendarmes, le plaisancier n'a toujours pas été retrouvé ce matin. Les recherches se poursuivent.


 http://www.sudouest.fr/2013/08/24/un-plaisancier-porte-disparu-dans-l-estuaire-de-la-gironde-1149699-4626.php

Un hélicoptère s'abîme en mer du Nord

Trois personnes ont été tuées et une est portée disparue dans l'accident vendredi en mer du Nord d'un hélicoptère transportant des employés qui travaillaient sur des plateformes pétrolières, selon un nouveau bilan communiqué samedi par la police écossaise.
"Trois corps ont été récupérés, et une personne est portée manquante", a annoncé la police dans un communiqué. Le précédent bilan faisait état de trois disparus.
L'appareil, un Super Puma de la société CHC qui travaillait pour le compte de la société française Total, transportait 18 personnes quand il s'est abîmé en mer vendredi soir. L'hélicoptère avait quitté la plateforme Borgsten Dolphin et se dirigeait vers l'aéroport Sumburgh sur les îles Shetland (nord de l'Ecosse), quand l'accident s'est produit à environ trois kilomètres de sa destination. "Il semble qu'il y ait eu une perte de contrôle catastrophique qui s'est traduite par une chute soudaine de l'hélicoptère dans la mer sans qu'il y ait eu possibilité de faire un atterrissage contrôlé", a déclaré Jim Nicholson, en charge de la coordination des secours pour l'organisation RNLI, spécialisée dans le sauvetage en mer.
 

Le conflit chez Morey SA dérape: un salarié finit à l’hôpital

Vers 15 heures vendredi, alors que cinq salariés grévistes de l’entreprise Morey bloquent l’accès de l’entreprise à un camion venu charger du matériel, le directeur de l’entreprise, Daniel Morey, arrive en voiture Audi A8. Des heurts s’en suivent entre les grévistes et la voiture.

Dans des circonstances qui restent à déterminer, un salarié est percuté sur le flanc par l’Audi, tandis qu’un autre se retrouve sur le capot pendant au moins une dizaine de mètres jusqu’à ce que le véhicule se gare. Sans que l’on sache précisément à quel moment au cours de l’incident, un troisième gréviste frappe violemment le pare-brise arrière provoquant un éclat important.
Très rapidement, les sapeurs-pompiers et les gendarmes arrivent sur place. Le salarié percuté, légèrement blessé, se plaint de la jambe et du dos. Il est emmené à l’hôpital du Puy-en-Velay. Les gendarmes ont procédé aux constatations d’usages, fait souffler le conducteur dans un ballon, puis auditionné tous les témoins et acteurs de la scène au poste de gendarmerie de Rosières.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/08/23/le-conflit-chez-morey-sa-derape-un-salarie-finit-a-l-hopital

vendredi 23 août 2013

Trois personnes en garde à vue pour assassinat après la découverte de corps calcinés près d'Avignon

Trois personnes ont été placées en garde à vue pour «assassinat et complicité d'assassinat» après la découverte de deux corps calcinés à L'Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse), a annoncé vendredi le parquet d'Avignon, la piste d'un différend pour loyers impayés étant examinée.
«Les investigations conjointement menées par la section de recherches de Marseille et le groupement de gendarmerie du Vaucluse ont permis l'interpellation et le placement en garde à vue de trois personnes, soupçonnées d'assassinat et de complicité d'assassinat», souligne le parquet.
Il s'agit notamment d'un couple, arrêté à Bonnieux (Vaucluse).
Selon les premières conclusions de l'autopsie, les victimes - a priori deux hommes, dont l'identification «reste à confirmer, grâce notamment aux investigations scientifiques» - «sont décédées suite à des tirs par arme à feu, et ce avant l'incendie du véhicule».
L'un des suspects «reconnaît avoir été l'auteur de ces tirs, dont la cause ne peut à ce stade être établie avec certitude», ajoute-t-on de même source.
Cette affaire pourrait avoir comme origine un différend pour loyers impayés. «C'est l'hypothèse majeure envisagée, ce sont les premiers éléments qui ressortent de l'enquête, même si d'autres litiges ne sont pas exclus», a déclaré à l'AFP une source proche du dossier.
Les trois personnes devraient être déférées samedi, a précisé le parquet d'Avignon qui n'a pas souhaité confirmer cette piste, soulignant simplement qu'il s'agissait d'un «différend d'ordre privé».
Deux corps avaient été retrouvés jeudi matin par les pompiers dans le coffre d'un véhicule calciné. Ce sont des villageois qui, apercevant des flammes près de L'Isle-sur-la-Sorgue, avaient donné l'alerte vers 06H30.

http://www.20minutes.fr/article/1213063/20130823-trois-personnes-garde-a-vue-assassinat-apres-decouverte-corps-calcines-pres-avignon

Rochefort : elle met le feu à sa maison avec un enfant à l'intérieur

Jeudi soir vers minuit, une femme a mis le feu à sa maison, près de la place Le Melpomene. Quinze personnes habitant les habitations voisines ont été évacuées.
Un enfant de 8 ans qui vivait dans l’habitation et qui devrait être le fils de la pyromane a été évacué,choqué, au centre hospitalier de Rochefort.

Le feu, d’une grande intensité, a été éteint au moyen de deux lances. La maison a été entièrement calcinée. La famille a été relogée.
Selon les pompiers, la femme qui a mis le feu à sa maison souffrirait de dépression.

http://www.sudouest.fr/2013/08/23/rochefort-elle-met-le-feu-a-sa-maison-1148823-1391.php

Mayotte : un prisonnier met le feu à son matelas, un codétenu meurt

Un homme emprisonné à Mayotte a provoqué la mort par asphyxie d'un de ses codétenus en mettant le feu à son matelas dans la nuit de jeudi à vendredi.

Le drame s'est produit la maison d'arrêt de Majicavo, au nord de Mayotte, dans une cellule prévue pour douze personnes et occupée par neuf. Un homme emprisonné a provoqué la mort par asphyxie d'un de ses codétenus en mettant le feu à son matelas dans la nuit de jeudi à vendredi.
Les personnels de la prison, les pompiers, policiers et gendarmes, ont réagi vite, évitant un plus lourd bilan, a assuré à l'AFP le secrétaire général de la préfecture de Mayotte, François Chauvin.
Après le sinistre, les neuf occupants de la cellule ont été transférés dans la nuit au centre hospitalier de Mamoudzou, chef-lieu du département. Plusieurs étaient légèrement blessés mais un détenu asphyxié n'a pu être ranimé et a succombé. Sept autres ont réintégré la prison de Majicavo vendredi. L'auteur de l'incendie a été placé en garde à vue. Le parquet a ouvert une enquête.
 

Villefranche-de-Rouergue. Huit blessés dans une collision à Najac

Les faits se sont déroulés mercredi en tout début de soirée sur la commune de Najac au carrefour de Sourbins et de la route allant au VVF «les Hauts de Najac». Une berline immatriculée dans la Haute Garonne circulait en direction du chef-lieu de canton Quant en dépassant le «cédez le passage», elle a percuté un autre véhicule de Corrèze allant justement en direction du village de vacances. Alors qu’à cette heure-là, vers 19 h 15 le soleil était rasant, le conducteur a-t-il ébloui avec par voie de conséquence n’a-t-il pas vu le véhicule arrivant en face ? Toujours est-il qu’après le choc, il a fait un «tonneau» pour se retrouver dans le pré situé de l’autre côté de la route. Dans ce véhicule quatre personnes ont été blessées, en particulier le conducteur et son épouse. Dans l’autre, une personne devait subir des examens, et les autres passagers étaient choqués. les premiers témoins arrivés sur les lieux étaient eux aussi sur le choc. «Nous avons craint le pire», soupirait l’un d’eux, quelques minutes après l’accident...

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/23/1694040-villefranche-de-rouergue-huit-blesses-dans-une-collision-a-najac.html

Bouches-du-Rhône : il tente d'empêcher un braquage et meurt à l'hôpital

Alors qu'il tentait d'intercepter deux braqueurs ce jeudi à Marignane dans les Bouches-du-Rhône, un homme, grièvement blessé par balles, est décédé dans la soirée dans un hôpital marseillais.
L'homme a été pris pour cible par deux hommes qui venaient de braquer un tabac de la ville alors qu'il tentait de les intercepter à l'aide d'une bombe lacrymogène.
Il poursuit les braqueurs présumés en voiture


D'après les premiers éléments de l'enquête qui a été confiée à la PJ de Marseillaise, c'est vers 18 heures, que deux hommes en scooter ont braqué l'établissement. Ce témoin de la scène, âgé de 61 ans, a alors essayé de les intercepter en les prenant en chasse avec son véhicule, dans lequel se trouvait également son épouse. Il les a d'abord percuté, puis a tenté de les neutraliser à l'aide d'une bombe lacrymogène.
Touché d'une balle à l'abdomen, il décède à l'hôpital
L'un des malfaiteurs a alors fait feu, le touchant notamment à l'abdomen, a indiqué une source proche de l'enquête. L'homme a été évacué vers l'hôpital nord de Marseille dans un état grave avant de décéder.
Un des suspects arrêté
Après avoir tiré, les deux braqueurs ont pris la fuite abandonnant leur véhicule, une arme et leur butin. Quelques minutes plus tard, l'un des agresseurs présumés a été interpellé par la police sur la commune de Vitrolles. Le jeune homme, tout juste âgé de 18 ans ce jeudi, a été placé en garde à vue.
Son complice présumé, en cours d'identification faisait l'objet d'intenses recherches dans la soirée, a indiqué le parquet d'Aix-en-Provence.

http://www.midilibre.fr/2013/08/22/bouches-du-rhone-il-tente-d-empecher-un-braquage-et-meurt-a-l-hopital,748269.php

jeudi 22 août 2013

Vaucluse : deux corps carbonisés dans une voiture, un homme interpellé

Un homme a été interpellé jeudi dans le cadre de l'enquête sur les deux corps découverts calcinés le matin-même dans le coffre d'une voiture incendiée, à L'Isle-sur-la-Sorgue dans le Vaucluse.

Un homme a été interpellé dans le cadre de l'enquête sur les deux corps découverts calcinés jeudi matin dans le coffre d'une voiture incendiée, à L'Isle-sur-la-Sorgue, a-t-on appris de source proche de l'enquête.Le suspect a été placé en garde à vue par les gendarmes de la section de recherches de Marseille. Cette affaire pourrait avoir comme origine un différend privé d'ordre financier, a-t-on précisé de même source.

Ce sont des villageois qui, apercevant des flammes près de L'Isle-sur-la-Sorgue, ont appelé les gendarmes vers 06H30. Découvrant un véhicule calciné, les pompiers ont été alertés et ont trouvé les corps dans le coffre du véhicule. Un périmètre de sécurité a été mis en place et les gendarmes ont commencé à vérifier notamment si des personnes ont été portées disparues. L'identification des corps sera longue à établir, ont précisé les gendarmes. Les corps ont été extraits des restes du véhicule et transférés à l'institut médico-légal de Nîmes où leur autopsie aura lieu vendredi. 
Enquête de voisinage
A priori, il s'agirait de deux hommes, a-t-on indiqué de source judiciaire. Dans le cadre de l'enquête en flagrance, les gendarmes de la section de recherches de Marseille ont procédé aux premières constatations. Un hélicoptère a survolé la zone afin de photographier la scène de crime et de rechercher, dans un rayon de 10 kilomètres, toute trace de véhicule qui aurait pu être abandonné. Une enquête de voisinage a également été entreprise à L'Isle-sur-la-Sorgue et dans ses environs.
Le 10 août, des malfaiteurs fortement armés avaient tenté d'attaquer un fourgon de transport de fonds dans la zone de livraison d'un supermarché de L'Isle-sur-la-Sorgue. L'enquête avait été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Marseille.
 

Pompier disparu à Vesoul : les recherches restent vaines

Les enfants du village n’en reviennent pas : « Qu’est-ce qu’il se passe ? Il n’y a jamais eu autant de monde ! » Devant l’église de Neurey-en-Vaux (Haute-Saône), environ 70 pompiers et gendarmes sont réunis. À une douzaine de kilomètres de là, à Villers-lès-Luxeuil, un autre groupe est rassemblé ; une cinquantaine de civils bénévoles en font partie.
À pied, de part et d’autre de la RD 14, tous se préparent à passer au peigne fin les chemins de forêt de ce coin de la Haute-Saône, à l’ouest de Luxeuil-les-Bains. Les gendarmes se sont aussi fait prêter deux motos tout-terrain par leurs collègues du Territoire de Belfort, afin de s’enfoncer le plus possible dans les bois.
Ce vaste dispositif, qui réunit près de 200 personnes, vise à retrouver la trace de Philippe Marchal. Le pompier professionnel de Vesoul, âgé de 48 ans, a disparu de son domicile mercredi dernier, après avoir appris le décès de sa mère. Il est parti de chez lui à VTT dans la soirée et n’est jamais réapparu.
Le commissariat de police de Vesoul, qui a ouvert une enquête pour disparition inquiétante, a recueilli cette semaine plusieurs témoignages qui n’ont rien donné. Mardi matin, une Luxovienne pensait avoir aperçu Philippe Marchal dans la cité des thermes. Vérifications faites grâce à des images de vidéosurveillance, cette piste a été écartée.
C’est un autre témoignage qui a permis d’orienter les recherches dans le secteur de Neurey-en-Vaux et Villers-lès-Luxeuil, d’où Philippe Marchal est originaire. Un bûcheron a signalé mardi aux policiers avoir vu le quadragénaire à vélo vendredi dans ce secteur. L’information est considérée comme crédible, car le disparu connaît parfaitement la région.
Mais sur le terrain, « aucun élément probant n’a été découvert », confiait hier soir le commandant de la compagnie de gendarmerie de Lure. Les recherches n’étaient pas abandonnées pour autant : un hélicoptère de la gendarmerie, équipé d’une caméra thermique, devait survoler le secteur à la tombée de la nuit, avec une équipe au sol en relais. Si aucun résultat n’est enregistré, un nouveau dispositif sera mis en place cet après-midi.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/22/pompier-disparu-a-vesoul-les-recherches-restent-vaines

Loire-Atlantique. Un enfant enterré dans le sable surpris par la marée

Un enfant enterré dans le sable jusqu’au cou a failli périr noyé, mercredi, sur une plage de Saint-Michel-Chef-Chef, en Loire-Atlantique.
Un jeune garçon a été sauvé in extremis de la noyade, mercredi 21 août, vers 17 h.
L’enfant de 8 ans s’était fait recouvrir de sable jusqu’au cou sur l’estran de la plage de Tharon, à Saint-Michel-Chef-Chef.
7 personnes mobilisées pour creuser
Seule sa tête émergeait. Malheureusement, il n’avait pas prévu la rapide montée de la marée.
Il n’a pu s’en sortir que grâce à l’intervention d’un nageur-sauveteur. Sept personnes ont creusé à la main pendant près de dix minutes pour le libérer
 

Mort suspecte d'un bébé à Béziers

Un enfant de 2 ans et demi est décédé mercredi matin à l'hôpital. La mère et le concubin sont en garde à vue, selon le Midi Libre.
Les sapeurs-pompiers étaient intervenus mercredi matin vers 6 h dans un appartement du centre ville de Béziers pour venir en aide à un bébé. Ils ont pris en charge le garçon âgé de trente mois et l'ont transporté à l'hôpital, où il est décédé.
 
Selon le quotidien régional, lorsque les pompiers ont pris l'enfant en charge, il était en arrêt cardiaque. Le vice-procureur de la République de Béziers, Henri Bec, a indiqué au Midi Libre que la maman était déjà partie travailler lorsque son concubin l'a appelée en lui disant que l'enfant n'allait pas bien. Elle serait rentrée à ce moment-là.
 
Ce sont les secouristes qui ont alerté le commissariat pour mort suspecte. Une autopsie sera pratiquée vendredi. Depuis mercredi matin, la mère et son compagnon sont en garde à vue.
 

Vaucluse. 2 corps retrouvés dans un véhicule calciné

Deux corps ont été découverts dans le coffre d'un véhicule calciné à L'Isle-sur-la-Sorgue, dans le Vaucluse, a annoncé ce jeudi une source proche de l'enquête.
Ce sont des villageois qui, apercevant des flammes près de L'Isle-sur-la-Sorgue, ont alerté les gendarmes vers 6h30. Devant le véhicule calciné, ces derniers ont prévenus les pompiers qui ont découverts les corps dans le coffre.
Un périmètre de sécurité a été mis en place. Les gendarmes doivent maintenant savoir si des personnes ont été portées disparues. Selon eux, l'identification des corps sera longue. La section de recherches de Marseille s'est rendue sur place.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/22/1693837-vaucluse-2-corps-retrouves-dans-un-vehicule-calcine.html

Assises de l'Aude : séquestré et torturé pour des bijoux en or disparus

La session de rentrée des Assises de l'Aude se tiendra du 2 au 6 septembre et verra se juger une affaire pour des faits d'extorsion, d'enlèvement et de séquestration. Faits qui remontent au mois d'août 2010, à Carcassonne et Villeneuve-Minervois.
C’est par un sordide règlement de compte sur fond de sévices, que s’ouvrira la session de rentrée de la cour d’assises de l’Aude, du 2 au 6 septembre. Cinq jours, au cours desquels les Carcassonnais Brandon Dedinger, Grégori Gouin, William Sinama Tarmalingom et Mickaël Torres devront répondre d’extorsion, d’enlèvement et de séquestration. Des faits commis en bande organisée, entre les 29 et 30 août 2010 à Carcassonne et à Villeneuve-Minervois, sur la personne de Yohan Rossi.
"Dans cette affaire, nous avons cinq protagonistes et cinq versions différentes..."


Ce dossier criminel fait suite à une série de cambriolages (45 au total, Ndlr) perpétré dans l’Ouest audois en juillet et août 2010 par les quatre accusés et la partie civile. Pour ces vols avec effraction, tous ont d’ailleurs été condamnés à des peines d’emprisonnement de 2 à 4 ans, lors de l’audience du tribunal correctionnel de Carcassonne, le 9 novembre 2011...
Fin août 2010, c’est parce qu’une partie du butin de ces jeunes cambrioleurs aurait disparu, notamment des bijoux en or, que les soupçons se seraient orientés sur Yohan Rossi, à la faveur d’une discussion. Le jeune homme aurait alors été retenu et frappé sur Carcassonne, avant d’être conduit et séquestré durant toute une nuit dans un sous-bois proche de Villeneuve-Minervois.
Une tentative de scalp ?
Un sous-bois dans lequel Yohan Rossi a reçu plusieurs coups de couteau dans le dos et sur les jambes, ainsi que sur le front avec une profonde entaille laissant penser à une tentative de scalp. La victime a également été brûlée sur le corps, avec des bouts de bois incandescents, avant d’être ramenée à Carcassonne, où les accusés l’auraient aidé à se rétablir, avant de repartir vers Villeneuve-Minervois.
"On devrait trouver le fin mot de l'histoire"
Là, c’est à la faveur d’une panne mécanique de la voiture de ses bourreaux, que la victime a été libérée et a pu prévenir ses parents pour qu’ils viennent le chercher. "Dans cette affaire, nous avons cinq protagonistes et cinq versions différentes", souligne Me David Sarda, qui assistera Brandon Dedinger, le plus jeune de la bande. "Au début, c’était un peu fouillis, mais on devrait trouver le fin mot de l’histoire à l’audience", espère Me Laurence Cormouls-Houlès pour Mickaël Torres, âgé de 32 ans aujourd’hui.
Deux affaires de moeurs également jugées
Du lundi 9 au mercredi 11 septembre, la Cour d’assises, présidée par Régis Cayrol, examinera ensuite le cas de Bernard P., accusé du viol de ses deux filles et de son fils. Des viols incestueux commis entre 1998 et 2005 à Toulouse, Saint-Rustice et Lévignac dans la Haute-Garonne, ainsi qu’à Castelnaudary. Selon nos informations, c’est l’une des victimes, aujourd’hui âgée de 26 ans, qui aurait dénoncé les agissements sordides de son père, dans le courant de l’année 2010, alors qu’elle était suivie par un psychologue. Les trois parties civiles seront assistées de Me Véronique Lavoye, l’accusé de Me Philippe Calvet.
La dernière affaire, qui occupera le jury populaire, sera abordée du jeudi 12 au vendredi 13 septembre. Dans le box des accusés, Sébastien Gomez devra répondre de viol sur une jeune femme. Sa défense sera assurée par Me Pascal Oudin. La victime, quant à elle, sera assistée par Me Céline Colombo.

http://www.midilibre.fr/2013/08/21/sequestre-et-torture-pour-des-bijoux-en-or-disparus,747856.php