lundi 31 août 2015

Funérailles à Roye : une ville sous haute protection

La mairie de Roye a conseillé lundi à ses habitants de ne pas sortir de leur maison afin d'éviter tout débordement lors des funérailles de trois des quatre victimes de la fusillade. Environ 300 caravanes sont attendues, une centaine de gendarmes quadrille la commune.
C'est  à 14 heures, en l'église Saint-Pierre de Roye, que se dérouleront les funérailles des trois victimes de la communauté des gens du voyage. Un important dispositif est attendu. Un périmètre de sécurité est prévu afin d'éviter la présence de journalistes.
Les obsèques du gendarme mortellement touché se dérouleront demain à Amiens. Le ministre de l'intérieur, Bernard Cazeuneuve sera présent.

Rappel des faits :

Il était 16h30, ce mardi 5 août, lorsque les gendarmes ont été appelés sur le site d'accueil communal de Roye, dans la Somme. Deux gendarmes ont essuyé les coups de feu du tireur alors qu'ils tentaient de le neutraliser. Un homme, vraisemblablement alcoolisé, avait ouvert le feu.
Appelés sur les lieux, les gendarmes ont tenté de neutraliser le tireur, « passablement alcoolisé » selon l'adjoint au maire Freddy Cantrel.

Le bilan est lourd : 4 morts et 3 blessés graves.

L'échange de coups de feu a fait 4 victimes. Un enfant en bas âge, sa maman, le grand-père des enfants sont décédés sur les lieux du drame. Un gendarme a succombé à ses blessures en arrivant à l'hôpital. Il était père de deux enfants.

L'aire d'accueil communal de Roye, commune de la Somme, a été mis en service il y a 5 ans, non loin de l'intermarché. Une quarantaine de personnes se sont sédentarisées sur le site, lieu « qui n'a jusqu'ici posé aucun problème », souligne Freddy Cantrel, adjoint au maire.

L'assassin présumé, un homme âgé de 73 ans, a été écroué à Fresnes.

Les dérapages sur l'autoroute A1 :

Des gens du voyage ont bloqué ce week-end l'autoroute A1 au niveau de Roye (80) dans les deux sens à l'aide de pneus et de palettes enflammés. Ils réclament que le fils incarcéré de l'une des victimes de la fusillade puisse assister lundi aux funérailles de son père.

Le juge d'application des peines a finalement donné son autorisation de sortie, entre 10h30 et 18h00 ce lundi pour assister aux obsèques sous escorte. Cette autorisation concerne l'un des fils (25 ans) de la victime (45 ans), incarcéré pour vol sans faits de violence et le neveu du défunt.
Cette décision était très attendue par la communauté des gens du voyage.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme/funerailles-roye-une-ville-sous-haute-protection-796243.html

Coma à Saint-Pierre : une bagarre à cause d'une histoire d'urine

L'étudiant de 21 ans dans le coma depuis la semaine dernière faisait partie du groupe qui venait de reprocher à d'autres étudiants d'uriner sur des murs, place Saint-Pierre. Samedi soir, l'un des protagonistes a été écroué à la suitede ces violences.
Des jeunes gens avinés qui urinent contre un mur, des remarques déplaisantes venues d'un autre groupe de jeunes, des coups qui partent et c'est le drame.
Depuis la semaine dernière, un étudiant de 21 ans est dans le coma à la suite de cette bagarre, sur fond d'alcool, ayant pour origine un motif d'une sidérante futilité.
Samedi soir, un homme de 23 ans a été écroué pour «violences volontaires entraînant une infirmité permanente, en réunion et sous ivresse manifeste.» Il serait l'auteur d'un coup de coude porté sur la victime qui l'aurait déséquilibré en arrière avant de chuter contre un trottoir. Un choc à l'origine d'une importante commotion cérébrale. Le jeune étudiant est tombé dans le coma peu après les coups qui remontent à la nuit de dimanche à lundi dernier. Il faisait partie du groupe qui reprochait à ses assaillants d'uriner par terre. Un second étudiant, moins impliqué dans les graves blessures de la victime, dont on craint aujourd'hui les conséquences neurologiques, a été placé sous contrôle judiciaire.
«Notre client n'a jamais imaginé qu'une telle bagarre aurait pu se terminer aussi tragiquement», ont précisé, ses avocats, Mes Alexandre Martin et Emmanuelle Franck.
Depuis samedi soir, le placement en détention d'un étudiant de 23 ans, considéré comme l'auteur du coup, est contesté par l'avocat de ce suspect, Me Pierre Dunac. «Nous sommes dans un contexte de violences réciproques et mon client aurait très bien pu être à la place de la victime aujourd'hui. On ne sait pas quel est véritablement le coup qui a provoqué la chute de ce garçon. Un seul témoin désigne mon client qui n'a jamais été poursuivi pour des affaires de violence auparavant.» L'avocat a d'ores et déjà demandé la remise en liberté de son client, un étudiant «au parcours universitaire brillant», par le biais d'un référé liberté qui devrait être examiné prochainement par la chambre de l'instruction. Ces deux suspects avaient été placés en garde à vue jeudi et entendus par les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/31/2167527-coma-saint-pierre-bagarre-cause-urine.html

dimanche 30 août 2015

Raismes : un cycliste octogénaire tué, l'automobiliste responsable en fuite

Un cycliste âgé de 81 ans qui circulait à vélo ce dimanche matin dans la rue Jean Jaurès à Raismes, a été percuté par une voiture qui semble-t-il sortait d'un stationnement, selon la police. L'automobiliste a pris la fuite, laissant la victime seule.

Malgré l'intervention des pompiers et du SAMU, le cycliste est décédé.

Selon un témoin oculaire, la voiture impliquée serait une berline de couleur blanche. Le conducteur responsable de cet accident mortel est évidemment
recherché par la police.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/raismes-un-cycliste-octogenaire-tue-l-automobiliste-responsable-en-fuite-795867.html

Victimes d'une liquidation judiciaire, elles créent leur boîte à Biot

Sans revenus du jour au lendemain, ces deux cadres d’une structure d’aide à domicile ont connu la galère. Désormais à la tête de leur propre entreprise à Biot, elles défendent le droit à l’optimisme
Rayonnante, voire même solaire. Face à son sourire contagieux, difficile d'imaginer les épreuves traversées ces derniers mois par Delphine Bellet. 
"Un véritable drame humain", soupire la trentenaire en retraçant sa mésaventure.
Salariée depuis l'été dernier au sein d'une structure d'aide à domicile dans la cité des Remparts, la cadre se retrouve en début d'année face à un point de non-retour. Tout comme ses quatorze collègues: "Du jour au lendemain nous n'avons plus été rémunérés."
Après deux mois de galère, la liquidation judiciaire* est prononcée.
Entre "l'absence de réponse de la hiérarchie"** et la peur de ne plus pouvoir remplir leurs réservoirs d'essence, les salariés vivent des heures difficiles.
Delphine Bellet et sa consœur cadre Faiza el Omri refusent pourtant de se laisser abattre: "On parlait souvent de ce qu'on aimerait faire, des erreurs à ne plus commettre… Plutôt que de râler, mon père nous a dit de nous lancer. On l'a écouté."
L'art de renverser la vapeur
Fortes de leur mauvaise expérience, elles n'en tirent que le meilleur. Repartir à zéro pour faire table rase du passé. Sans pour autant l'oublier.
"Mes anciens collègues? Certains ont changé de voie, d'autres mettront du temps à s'en remettre…", souffle la Cannoise, encore marquée par les mois d'angoisse.
Qui l'ont "changé à vie".
Fermement déterminée à "voir le positif", elle immatricule sa société en avril. Et obtient l'agrément préfectoral le mois dernier.
"Un grand moment de joie", commente-t-elle, selfie à l'appui.
En quelques semaines le tandem installe sa structure d'aide à domicile à Biot.
"Qui est mieux placé qu'un salarié pour monter son entreprise?", lance fièrement la cogérante de F & D Services.
En pointant la connaissance du terrain et du secteur, la jeune femme dynamique veut insuffler un vent d'optimisme à l'heure où les mots "crise" et "chômage" résonnent comme une fatalité.
"Chacun peut prendre en main son destin. Il faut se faire confiance!". Et oser créer. Pour parvenir à décoller et même embaucher: "Nous avons deux salariées. Bien évidemment, nous avons le projet de recruter sur la durée."
L'art de renverser la vapeur. Et d'avoir envie de le partager. Parce que même si elles "ne se paient pas encore", les deux amies désirent montrer que se relever reste possible. Même après une lourde chute. Aux bons entendeurs, elles les saluent d'un "si ça a marché pour nous, pourquoi pas pour vous?"
*La liquidation judiciaire a été prononcée le 3 avril 2015
**Une procédure judiciaire est en cours contre l'ancienne dirigeante de l'entreprise pour escroquerie.

http://www.nicematin.com/antibes/victimes-dune-liquidation-judiciaire-elles-creent-leur-boite-a-biot.2323676.html

Un troisième drame de la route en six jours dans le département

C'est une véritable hécatombe et une semaine noire pour la sécurité routière en Haute-Garonne. En six jours, trois drames de la route ont endeuillé des familles et alourdi un peu plus la longue liste des personnes tuées, cet été, sur les routes du département. Hier, peu avant 2 heures du matin, sur la départementale 32, à Villemur-sur-Tarn, au Nord de Toulouse, le passager avant d'une Opel Zafira, un jeune garçon âgé de 19 ans, est mort dans un accident de circulation. Les trois autres occupants, âgés de 19 et 20 ans, dont le conducteur, ont été grièvement blessés et évacués vers l'hôpital Purpan. Pour une raison encore indéterminée, le véhicule aurait mordu le bord de la route. Le conducteur aurait alors perdu le contrôle de la voiture qui a fini sa course contre un platane. Un choc violent qui n'a m malheureusement laissé aucune chance au passager avant, un jeune gendarme adjoint de la brigade de l'armement basée à Balma. Le pronostic vital des trois autres victimes était engagé hier matin. Très vite, le Samu, les pompiers et les gendarmes se sont rendus sur les lieux pour porter assistance aux blessés et sécuriser les lieux. Les jeunes gens revenaient d'une fête en Tarn-et-Garonne, juste avant le drame. Cette tragédie intervient au lendemain d'un autre accident mortel, à Saint-Béat, où un automobiliste de 26 ans a lui aussi a perdu la vie, vendredi vers 2h30, après une sortie de route. Lundi soir, à Calmont, c'est un passager de 17 ans, domicilié dans le petit village de Aignes, qui est tué après une sortie de route. La Ford-C-Max avec trois occupants à bord avait quitté sa trajectoire pour terminer sa route contre un arbre, côté opposé. En seulement six jours, ce sont trois jeunes gens qui ont perdu la vie tragiquement. Dans la nuit de vendredi à samedi, les gendarmes ont comptabilisé sept accidents, dont celui de Villemur-sur-Tarn. Il est encore trop tôt pour déterminer l'origine de cette macabre série. Seule certitude, deux tiers des accidents mortels qui ont eu lieu depuis le début de l'année (33 au total, contre 31 l'année dernière à la même époque), ont pour origine une vitesse excessive ou une perte de contrôle. Ces trois derniers drames interviennent alors que la préfecture vient de dévoiler un premier bilan routier «encourageant» depuis le début de l'été. Une triste série qui rappelle qu'en matière de sécurité routière rien n'est jamais acquis.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/30/2167373-troisieme-drame-route-six-jours-departement.html

samedi 29 août 2015

Pas-de-Calais: Un jeune homme tué par balles à Bruay-la-Buissière

Une soirée d’anniversaire qui vire au drame. Samedi matin, un homme a été abattu dans une rue de la commune de Bruay-la-Buissière, dans le Pas-de-Calais, relate La Voix du Nord.

En pleine rue

Le corps d’un jeune homme d’une vingtaine d’années a été retrouvé, tôt samedi matin, au milieu de la rue Leverrier. Il aurait été abattu à l’aide d’une arme à feu à l’issue d’une soirée d’anniversaire qui aurait mal tourné.
Selon le quotidien, l’auteur présumé des coups de feu est un homme âgé d’une quarantaine d’années. Les circonstances du drame, ainsi que les motivations du meurtrier présumé, sont actuellement inconnues.
Une enquête a été ouverte par le parquet de Béthune.
http://www.20minutes.fr/lille/1675007-20150829-calais-jeune-homme-tue-balles-bruay-buissiere

Un couple d'octogénaires tué à Saint-Cloud

Un couple d'octogénaires a été retrouvé mort vendredi, pieds et mains liés dans un appartement de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), a-t-on appris samedi de sources concordantes. Au vu de l'état de décomposition avancée des corps, les faits remonteraient à "plusieurs semaines", a-t-on précisé de source judiciaire.

Inquiets de ne pas avoir de nouvelles du couple, qui ne répondait plus aux appels, des proches ont prévenu les pompiers, qui ont découvert vendredi vers 17 heures les deux corps, selon une source proche de l'enquête. Des traces de sang ont également été retrouvées. Les toutes premières constatations n'ont pas mis en évidence de trace d'effraction, a-t-on expliqué de source judiciaire.
Une autopsie a été ordonnée pour tenter de déterminer précisément les causes de la mort des deux octogénaires.

L'enquête a été confiée à la police judiciaire des Hauts-de-Seine, selon cette source.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/29/97001-20150829FILWWW00036-un-couple-d-octogenaires-tue-a-saint-cloud.php

Un corps retrouvé dans le canal

Jeudi, dans la soirée, un corps a été découvert par un promeneur dans le canal de Carpentras à Aubignan. Le passant a contacté les sapeurs pompiers qui ont constaté le décès de la personne, une femme âgée d’une soixantaine d’années. Elle s’est suicidée et a laissé une lettre à ses enfants.
http://www.laprovence.com/actu/politique-en-direct/3552743/un-corps-retrouve-dans-le-canal.html

Belfort : une bombe de la Seconde Guerre mondiale découverte en plein centre-ville vendredi dans le lit de la Savoureuse

ÉTAIT-ELLE dans la Savoureuse depuis la Seconde Guerre mondiale ? Elle n’avait, en tout cas, jamais été remarquée : des riverains ont constaté la présence d’une bombe allemande de 50 kg et ont appelé la police vendredi à 10 h 30, en remarquant, dans le lit de la rivière où le niveau est très bas en ce moment, l’engin qui était en partie immergé, au niveau du quai Keller. Soit en plein cœur de ville.
Le périmètre a été bouclé, le temps d’appeler les démineurs de la Sécurité civile basés à Colmar, qui ont mis plus d’une heure à la relever soigneusement. Les rues alentours ont donc été bloquées à la circulation durant l’opération.
Une fois posé sur le trottoir, l’explosif a été examiné : cette bombe était larguée par des avions Messerschmitt allemands durant le dernier conflit mondial, et Belfort n’avait pas été épargné en juin 1940 par l’ennemi. Pour les puristes, son dispositif de mise à feu est latéral et lui manquaient seulement les ailettes à l’arrière. L’engin était donc dans un état jugé relativement intact.
Cette découverte est plutôt rare aujourd’hui, d’autant que les bombes larguées par les Messerschmitt avaient la réputation d’être très efficaces et d’exploser dans la grande majorité des cas. Le quai Keller se situe entre la citadelle et la gare, et si le quartier n’a pas été, à Belfort, le lieu ayant subi le plus de bombardements, le tracé que faisait la Savoureuse était sans doute, entre 1939 et 1945, un indicateur géographique des pilotes pour les lâchers de bombes.
Mais la police insiste sur le fait qu’en cas de découverte d’un tel engin, mieux vaut éviter de le manipuler ni de le déplacer : il reste hautement dangereux. Il est conseillé d’appeler au plus vite le 17 et d’évacuer les lieux en attendant l’intervention des professionnels.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/08/29/belfort-une-bombe-de-la-seconde-guerre-mondiale-decouverte-en-plein-centre-ville-vendredi-dans-le-lit-de-la-savoureuse

vendredi 28 août 2015

Kerfourn (56) : un homme retrouvé mort près de sa moto

Dans la nuit de jeudi à vendredi, les pompiers ont été appelés pour secourir un homme inconscient près de sa moto, sur la commune de Kerfourn dans le Morbihan.
A leur arrivée sur les lieux du drame vers 4h30, les pompiers ont retrouvé un homme décédé, allongé sur le bord de la D2 qui mène à Noyal-Pontivy. A coté de lui, sa moto était stationnée sur la béquille. Il n'y avait sur place aucune trace d'accident et l'homme de 33 ans ne portait aucune blessure apparente.

Selon la gendarmerie, la piste d'un malaise est privilégiée.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/morbihan/kerfourn-56-un-homme-retrouve-mort-pres-de-sa-moto-794703.html

Des milliers d'hommages à la petite Léa

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Vous avez été des milliers à rendre hommage, sur les réseaux sociaux, à la petite Léa, partie trop tôt après un long combat contre plusieurs malformations cardiaques et pulmonaires.
Depuis la terrible annonce du décès de Léa, les messages pleuvent sur les réseaux sociaux.
Vous avez été plus de 30.000 à témoigner vos condoléances à la famille de la petite Muyoise sur la page Facebook "Tous derrière Léa" et plus de 6.000 sur celles de Nice-Matin et Var-matinDes hommages vibrants rendus à la fillette pour son combat extraordinaire et à ses parents, son frère et ses soeurs, pour leur force. 
Nous avons compilé les messages les plus touchants adressés à sa famille.
Anny Cure "Petite Puce dans ton grand champ étoilé court et joue avec les anges. Toute leur vie tu vivras dans le coeur de ta maman, de ton papa et de tous ceux qui t'ont aimée ! De là-haut, veille sur tous les autres enfants qui souffrent. Apaise la douleur, le chagrin de tes parents et de toute ta famille. Tu ne souffres plus! Tu es devenue un petit ange, que ta nouvelle vie céleste soit merveilleuse!"
Ln Vivien Blanchard-Payet "Rip petit ange, aujourd'hui les tiens sont tristes que tu sois partie mais lorsqu'ils pensent à toi et au combat que tu as livré, je suis sûre qu'ils sont fiers. Mes plus sincères condoléances à la famille."
Laetitia De Kanel Girard "Toutes mes condoléances... elle a mené un combat acharné et elle a donné de magnifiques leçons de vie à nous tous. Repose en paix petit ange..."
Danièle Giamarchi "Votre princesse a rejoint mon prince à moi, elle n'est pas seule, ils se prennent tous la main, je lui souhaite un beau et doux voyage, à vous, sa famille, beaucoup de courage"
Céline Rodio "Vole vole petite aile
Ma douce, mon hirondelle
Va t’en loin, va t’en sereine
Qu’ici rien ne te retienne
Rejoins le ciel et l’éther
Laisse-nous laisse la terre
Quitte manteau de misère
Change d’univers
Vole vole petite sœur
Vole mon ange, ma douleur
Quitte ton corps et nous laisse
Qu’enfin ta souffrance cesse
Va rejoindre l’autre rive
Celle des fleurs et des rires
Celle que tu voulais tant
Ta vie d’enfant
Vole vole mon amour
Puisque le nôtre est trop lourd
Puisque rien ne te soulage
Vole à ton dernier voyage
Lâche tes heures épuisées
Vole, tu l’as pas volé
Deviens souffle, sois colombe
Pour t’envoler
Vole, vole petite flamme
Vole mon ange, mon âme
Quitte ta peau de misère
Repose en paix petite Léa"

Britanny Kassie Lemiere "Petit ange, on pense à toi et à ta famille, princesse. Tu t'es battue durant tout ce temps. Tu as su montrer que tu étais forte, aujourd'hui ton âme est en paix et soulagée de cette douleur. Une bougie sera allumée pour toi, promis. On soutient tes proches, grosse pensée à eux. Gros bisous là-haut."
Mati Flores "Ange de la terre et du ciel, Léa d'amour. .....Il sera dit que tu as vécu tant de vies ici-bas et en si peu de temps. Ce temps que nous aurions tous souhaité illimité pour que tu puisses regarder le monde entier avec et à travers tes chers parents et proches. Tu n'as pas été de passage, non, tu continues ton parcours. Mais cette fois sans douleur et parmi tes semblables d'en "haut". Quel dommage quand même et tellement douloureux pour les tiens. Le bon dieu t'aimait tellement qu'il t'a voulue à ses côtés. Vole avec les anges"
http://www.nicematin.com/derniere-minute/des-milliers-dhommages-a-la-petite-lea.2322055.html

Une femme retrouvée carbonisée à côté de sa voiture

Hier matin, des passants ont signalé une voiture en feu, à la sortie de Lannemezan. A l'arrivée des secours, le corps entièrement carbonisé d'une femme a été trouvé à quelques mètres du véhicule.
C'est un petit chemin à l'écart de la RD 929, à la sortie de Lannemezan, en direction d'Auch, un endroit ombragé, idéal pour faire une petite pause. En début de matinée, hier, des témoins signalent qu'une voiture est en feu sur ce petit bout de chemin parallèle à la RD 929, et qui longe presque l'autoroute, enjambée d'un pont à cet endroit. Un banal incident ? Pas vraiment, parce qu'à côté de la voiture, une Audi, gît le corps d'une femme, entièrement carbonisé.
Très vite, les gendarmes bouclent la zone, afin de procéder aux investigations de rigueur, et faire des relevés d'indices permettant de déterminer les causes de ce drame. Mais ils resteront muets, en l'état de l'enquête. Même mutisme du côté du parquet, où la substitut du procureur, Aude Le Hérissier, en charge du dossier, se refuse à dévoiler le moindre élément. «L'enquête débute à peine et aucune piste n'est écartée», consent-elle à déclarer.
À ce stade, toutes les hypothèses sont donc possibles. C'est peut-être un suicide, ou un acte criminel. Une autopsie devrait être pratiquée sur le corps de la victime, qui a été identifiée, mais le parquet a préféré ne pas dévoiler l'identité, «par respect pour la famille», selon les termes de Mme la substitut. Ce qui tendrait à prouver que la victime habite dans le secteur, ce que confirment d'autres sources proches de l'enquête.

Un précédent en 2013…

À moins que ce ne soit pour préserver, une fois encore, l'enquête. Qui pourrait tout de même s'orienter vers la piste criminelle, puisqu'en 2013, le 4 avril, un fait divers étrangement similaire s'était produit, non loin de là, à Montréjeau : le corps d'une jeune femme de 27 ans avait été découvert carbonisé, à quelques mètres de son véhicule en flammes… Pour le moins troublant. À l'époque, l'autopsie pratiquée n'avait révélé aucune blessure par balle ou arme blanche, et aucun élément ne permettait de «mettre en évidence l'intervention d'un tiers», avait alors déclaré le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet, privilégiant donc la thèse du suicide, mais en précisant toutefois qu'il ne s'agissait pas «d'une conclusion définitive». Pour l'heure, rien ne permet, hormis des coïncidences assez étonnantes, de relier les deux affaires. Mais c'est tout de même troublant…
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/28/2166413-une-femme-carbonisee-a-cote-de-sa-voiture.html

jeudi 27 août 2015

La petite Léa est décédée dans la nuit de mercredi à jeudi

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La petite Léa a rejoint les étoiles. C'est avec un immense chagrin que nous avons appris, ce jeudi, le décès de la petite Léa Baba, née prématurément et atteinte de plusieurs malformations cardiaques et pulmonaires. 
En cette fin de matinée, les milliers de personnes qui la soutiennent depuis trois ans ont découvert un message sobre de sa maman, Jessica, sur les réseaux sociaux. "Léa a rejoint les étoiles, mercredi, peu avant minuit. Je vous demande de respecter notre besoin de nous retrouver avec nos proches."
>> RELIRE. Léa, une vie de combat et de courage
Après plusieurs jours plutôt stables, la fillette a subitement rechuté, en fin d'après-midi, alors qu'elle se trouvait avec son papa, Roland. Sa maman, Jessica, avait pris le train un peu plus tôt pour rentrer au Muy quelques jours afin de préparer la rentrée scolaire de sa sœur jumelle Calysta, d'Emma et de son grand frère Valentin.
Après trois années de combat, la petite guerrière n'a pu lutter plus longtemps. Depuis sa dernière opération du cœur, fin juin, à l'hôpital Necker de Paris, Léa avait du mal à remonter la pente. En dépit de jours empreints d'optimisme, elle n'avait toujours pas quitté le service de réanimation. 
Ses obsèques seront célébrées ce samedi, dans l'intimité familiale.
Mes sincères condoléance à ses parents et à ses frères et sœurs...

http://www.nicematin.com/derniere-minute/la-petite-lea-est-decedee-dans-la-nuit-de-mercredi-a-jeudi.2321274.html

Choc frontal entre deux véhicules à Abbécourt: un mort

C’est vers 14 h 30 que le choc frontal a eu lieu entre deux véhicules, sur la D922, à la sortie d’Abbécourt, direction Manicamp, certainement dû à la pluie et à une chaussée glissante. Le conducteur du premier véhicule, un homme d’une trentaine d’années, n’est que légèrement blessé. Le second, également un homme d’une trentaine d’années, quant à lui gravement blessé, a dû être désincarcéré du véhicule par les secours. Ce dernier est décédé à la suite de ses blessures.
http://www.lunion.com/node/535840

Des vagues sur le lac de Vaivre

Du sable, du soleil, mais pas de baigneurs. Les sauveteurs recrutés cet été sur la plage de la zone de loisirs du lac de Vaivre ont passé leur temps à s’assurer que les visiteurs ne faisaient pas trempette. La raison : une prolifération de cyanobactéries potentiellement dangereuses pour l’organisme en cas de contact avec l’eau ou d’ingestion.
Cette interdiction de la baignade s’est ressentie à la Promenade du lac, le bar-restaurant qui dispose d’une terrasse avec vue sur la plage. « L’après-midi, c’était beaucoup plus calme que d’habitude », a constaté Benjamin Ach, le gérant de l’établissement. « On a une perte sèche sur le bar. Le restaurant, lui, n’a pas été trop touché. »
À deux pas de là, au Camping du lac, le premier bilan de la saison n’est pas réjouissant. « On a enregistré 3.278 nuitées depuis le 1er juillet, contre 5.242 en juillet-août 2014 », résume Catherine Maille, la gérante. « Pourtant, avec la météo, tout se prêtait à ce qu’on fasse une belle saison. Mais des clients qui avaient réservé ne sont pas venus car le lac était fermé. D’autres qui avaient pris une location à la semaine sont partis au bout de deux jours. »

Pas de stage de voile en août

Même si les campeurs ont droit à l’accès gratuit au Ludolac quand la baignade est interdite sur la plage, beaucoup sont repartis déçus : Catherine Maille a recueilli, par écrit, des dizaines de commentaires dans ce sens. Elle craint désormais que ses habitués – surtout des Belges, des Hollandais et des Allemands – délaissent de plus en plus Vaivre pour d’autres destinations. Pas rassurant pour les années à venir.
De l’autre côté du lac, à la base de voile, la saison a été « catastrophique », juge Gilles Felder, directeur du Club nautique haut-saônois Vesoul (CNHSV). La pratique des activités nautiques a été interdite pendant presque tout le mois d’août. Résultat : les stages de voile destinés aux 7-14 ans ont dû être décalés de semaine en semaine, en vain. C’est un vivier de nouvelles recrues potentielles qui s’amenuise : « À terme, si ça continue, le club va s’appauvrir ; on est inquiet pour l’avenir. »
D’autant que le CNHSV rencontre un autre problème : la location de pédalos, kayaks ou « paddles » au grand public n’a pas été possible ce mois-ci. Les finances risquent de s’en ressentir.
L’interdiction de consommer le poisson attrapé dans le lac, elle, est préjudiciable pour la pêche. Le président de la Gaule vésulienne, Michel Fournier, craint même que la situation se dégrade encore : « Si rien de sérieux n’est fait, le lac sera fermé totalement dans trois ans et les pêcheurs étrangers ne viendront plus au camping », avance-t-il. Les solutions envisagées par la communauté d’agglomération de Vesoul pour améliorer la santé du lac permettront-elles d’éviter ce scénario ? À vérifier
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/08/26/des-vagues-sur-le-lac-de-vaivre

mercredi 26 août 2015

Fusillade dans la Somme : 4 morts dont un gendarme et un nourisson

Une fusillade a éclaté mardi après-midi à Roye dans la Somme dans un camp de gens du voyage. Un enfant, une femme et un homme ont été tués et quatre autres personnes avaient été blessées dont deux gendarmes. L'un d'eux a succombé. La zone a été bouclée mais la situation, très tendue dans la soirée, tend à s'apaiser. François Hollande et Manuel Valls ont exprimé leur émotion mardi soir.

"Nous sommes sous le choc. C'est une communauté qui n'avait jamais posé aucun problème jusqu'à présent", a aussitôt réagi sur LCI Pascal Delnef, maire-adjoint de Roye. Quatre personnes ont perdu la vie dans une fusillade, à Roye en Haute-Somme, à l'est du département, sur un terrain occupé par la communauté des gens du voyage, situé près de l'autoroute A1.
La fusillade avait d'abord fait trois morts au sein d'une même famille -un bébé de 6 mois, une femme et un homme, tous trois issus de la communauté des gens du voyage- et quatre blessés graves, dont un enfant de 3 ans et deux gendarmes. Dans la soirée, le procureur et la préfecture ont annoncé la mort de l'un d'eux.
 
L'auteur "fait partie au sens large de la communauté du voyage"
Selon nos informations, c'est à 16h30 que les gendarmes ont été appelés suite à des coups de feu signalés dans le camp. Arrivés sur les lieux, ils ont été "accueillis" par une volée de chevrotines. Ils ont alors riposté, toujours selon nos informations. D'après le procureur, l'auteur des tirs, "fait partie au sens large de la communauté des gens du voyage". Il a été interpellé. La gendarmerie a procédé à une fouille du site et a alors découvert les corps. 
En début de soirée, François Hollande a tenu à exprimer "sa solidarité aux familles des victimes et à leurs proches". Le Président de la République a également salué "le courage et l'engagement des forces de la gendarmerie et leur apporte tout son soutien dans cette épreuve". "Mes pensées vont aux familles, aux victimes et au gendarme abattu en servant la France", a déclaré Manuel Valls sur Twitter.
Le travail des forces de l'ordre et des pompiers salué
Dans les minutes qui ont suivi l'annonce du drame, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a qualifié d'affaire "absolument dramatique" cette fusillade. L'homme qui "est entré dans une aire de gens du voyage à Roye dans la Somme a tué froidement un bébé de six mois", a déclaré le ministre à la presse. Il a exprimé sa "tristesse" et sa "compassion à l'égard de la famille qui a été décimée par ce tueur", et sa "gratitude" pour le courage des gendarmes qui se sont "courageusement interposés pour éviter un drame plus grave encore". "Nous tenons à rendre hommage aux forces de l'ordre et aux pompiers qui se sont montrés impressionnants, avait pour sa part affirmé sur LCI Pascal Delnef. Nous tenons également à souligner le courage dont ils ont fait preuve. "
Tout le secteur a été bouclé et le camp continuait à être inspecté, tandis que la tension était forte mardi soir sur place, certaines sources évoquant la venue de gens d'autres camps alentours.
La situation tend à s'apaiser
La situation, très tendue en début de soirée, tend à s'apaiser. Un peu plus tôt, deux journalistes, l'un d'Europe 1, l'autre de RTL, ont été frappés par des gens du voyage aux abords du camp, rapporte un journaliste de l'AFP présent sur place. Les deux journalistes agressés ont été conduits par les forces de l'ordre, au poste fixe de gendarmerie, qui se trouve à quelques mètres de l'entrée du camp.    "Un renfort policier" a été dépêché à proximité de l'hôpital d'Amiens, où plusieurs des blessés ont été admis, selon une source médicale autorisée.
Les causes de cette fusillade sont pour l'instant inconnues, a indiqué le procureur , précisant que le tireur avait utilisé un fusil de chasse. "En l'état, on ne peut pas parler de règlement de comptes mais d'une agression par un individu sur une famille."

mardi 25 août 2015

Le Boisle (80) : une conductrice dans un état grave, une enfant de 10 ans décédée

Elle n'avait que 10 ans. Une petite fille est décédée dans un accident de la route, ce lundi 24 août. La voiture à l'arrière de laquelle elle était embarquée a percuté frontalement un camion frigorifique, vers 15h00 sur la départementale D928, commune de Le Boisle (Somme).

Incarcérées dans leur voiture


Alertés pour un accident avec deux personnes incarcérées, les pompiers ne se doutaient pas du drame qui se jouait.

A leur arrivée, ils ont découvert la fillette, en arrêt cardio-respiratoire. Après désincarcération et tentative de réanimation, le médecin du Samu a déclarer le décès.

Le pronostic vital de la conductrice est engagé


Dans le même temps, il fallait s'occuper de l'autre victime, la conductrice. Une femme d'une soixantaine d'années. Elle a été transportée au centre hospitalier d'Amiens dans un état grave. Selon les pompiers, son pronostic vital est engagé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=picardie

Les taxis niçois offrent un chèque pour soutenir la petite Léa

hebergement d'image
Le sort de la petite Léa, 3 ans, n'a pas manqué d'émouvoir les taxis niçois. Leurs dons ont permis de rassembler 4.350€ pour la petite Muyoise née à Nice, qui souffre de cinq pathologies cardiaques très graves et de broncho-dysplasie sévère.
>> RELIRE. PORTRAIT. Les combats de Léa, 3 ans, pour vivre
Patrice Trapani annonce que le chèque issu de ce geste généreux sera remis à la rentrée à Jessica, la mère de Léa.
Un précieux soutien pour la famille de la fillette, à la santé encore fragile.
>> RELIRE. Léa est sur la voie de la guérison

http://www.nicematin.com/le-muy/les-taxis-nicois-offrent-un-cheque-pour-soutenir-la-petite-lea.2318957.html

Arnaques : les «faux policiers» font de nouvelles victimes

Hier, deux individus qui se sont fait passer pour des policiers ont abusé de la crédulité d'une personne âgée, route de Saint-Simon, à Toulouse. Ils sont parvenus à lui dérober un téléphone et une centaine d'euros. Une enquête a été ouverte.
Dernièrement, une autre personne âgée a été victime d'un faux commandant de police qui est parvenu à lui soutirer la somme de 1900€ par le biais de la carte de prépaiement type PCS. Une carte de crédit qui s'achète dans les bureaux de tabac à moins de 15 €.
Le mode opératoire est simple et a fait déjà plusieurs victimes à Toulouse. Un homme se faisant passer pour un commandant de police joint au téléphone une personne âgée. Le faux fonctionnaire indique à son interlocuteur qu'il y a un problème sur sa carte bancaire et qu'il faut qu'elle achète une carte PCS auprès d'un bureau de tabac pour effectuer des achats. Toujours au téléphone, le faux policier demande les codes figurant sur la nouvelle carte et une fois ces données en poche, l'escroc peut effectuer divers achats sur des sites en ligne. L'argent est automatiquement débité sur le compte bancaire de la victime qui se rend compte de l'escroquerie que tardivement.
Début juillet, la brigade financière de la sûreté départementale, à Toulouse, avait déjà enregistré une dizaine de plaintes avec le même procédé. «Lorsqu'une personne se présente au téléphone comme étant un policier, il faut demander son numéro et rappeler la ligne pour s'assurer qu'il s'agit bien d'un fonctionnaire de police. Il faut toujours effectuer un contre-appel», prévient un policier spécialisé dans les affaires d'escroquerie.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/25/2164359-arnaques-les-faux-policiers-font-de-nouvelles-victimes.html

Gard : la conductrice glisse dans le virage et finit dans le ruisseau

A cause des pluies qui se sont abattues en quelques heures, dimanche vers 15 heures, sur le Gard rhodanien, les pompiers sont intervenus sur un spectaculaire accident le long de la D6, sur la commune de Sabran (Gard). Une femme de 68 ans a été légèrement blessée.
Les pluies qui se sont abattues en quelques heures, dimanche vers 15 heures, sur le Gard rhodanien, ont fait craindre le pire sur les routes détrempées. Comme un peu avant 17 heures, lorsque les pompiers sont intervenus sur un spectaculaire accident le long de la D 6, sur la commune de Sabran.
Légèrement blessée
Lorsqu'ils sont arrivés sur les lieux, à la sortie d'un virage, au niveau du hameau de Combe, une automobiliste était coincée dans sa voiture, couchée sur le flanc à plusieurs mètres en contrebas d'un ravin où coulait un ruisseau. Quatre engins de secours, dont un de désincarcération et une ambulance, ont été dépêchés sur place par les pompiers de Bagnols et de Pont.
Il leur a fallu passer par le coffre et découper les portières pour pouvoir dégager la victime. Une femme âgée de 68 ans qui n'était, heureusement, que légèrement blessée. Elle a été évacuée sur le centre hospitalier de Bagnols pour des examens de contrôle. Elle a eu beaucoup de chance étant donné les circonstances de l'accident. Elle circulait en direction de Bagnols lorsqu'elle a perdu le contrôle de son véhicule dans le virage. Elle a expliqué aux secours avoir été gênée par la perte de visibilité dans l'habitacle, à cause de la buée présente sur le pare-brise et les fenêtres.

Visibilité réduite

C'est en voulant nettoyer une vitre qu'elle aurait perdu le contrôle de la voiture qui a glissé tout droit dans le virage, percutant un petit poteau luminescent sur la voie opposée, avant d'atterrir au fond du fossé, mais pas dans l'eau. Après les constatations d'usage par les gendarmes de la communauté de brigades de Laudun-Bagnols, le dépanneur mis de longues minutes avant de pouvoir sortir l'Opel du trou où elle était coincée par des pierres et de la végétation.

http://www.midilibre.fr/2015/08/24/la-conductrice-glisse-dans-le-virage-et-finit-dans-le-ruisseau,1205035.php

lundi 24 août 2015

Nièvre : Guy Ligier s'est éteint à l'âge de 85 ans

Guy Ligier, ancien pilote et fondateur de l'écurie de Formule 1 éponyme, est décédé dans sa résidence de Saint-Parize-le-Châtel, dans la Nièvre, ce dimanche 23 août 2015. Une figure emblématique du sport automobile s'est éteinte. Il était également très attaché au circuit de Magny-Cours.

Un passionné de sport 

Né le 12 juillet 1930 à Vichy, dans l'Allier, Guy Ligier a disputé 12 Grands Prix de F1 avant de fonder son écurie en 1976. Il aura ses plus grands succès sportifs à la tête de son équipe. Son pilote-fétiche était Jacques Laffite. Ce dernier a remporté six GP de F1 dans des Ligier bleues portant toutes les initiales JS pour Jo Schlesser, un grand ami de Ligier, et équipées de moteurs Matra ou Ford-Cosworth. Deux autres pilotes français ont gagné dans une Ligier à cette époque-là, les regrettés Patrick Depailler et Didier Pironi.

C'est aussi dans une Ligier, mais équipée d'un moteur Mugen-Honda, qu'Olivier Panis a remporté en 1996 le GP de Monaco, sa seule victoire en F1 et la dernière d'une Ligier dans la catégorie-reine du sport automobile. Après 326 GP disputés entre 1976 et 1996 (pour 9 victoires, 9 pole positions et 50 podiums), Ligier, alors en grande difficulté financière, a été rachetée par Alain Prost. Le quadruple champion du monde de F1 l'a rebaptisée Prost GP mais n'a jamais réussi à obtenir une victoire en 83 GP disputés de 1997 à 2001.

A l'origine du circuit Magny-Cours

Grand ami de Guy Ligier, François Mitterrand, devenu président de la République, a incité l'Etat et les collectivités locales à investir beaucoup d'argent public dans le circuit de Magny-Cours, près de Nevers, pour qu'il accueille le GP de France de F1, de 1991 à 2008. Mais la fidélité de Guy Ligier pour la Nièvre ne s'est jamais démentie. En 2010, il entrait au capital du circuit de Magny-Cours. Sans relâche, il plaidait pour le retour du Grand Prix de France dans le calendrier de la F1.

Son héritage

Les héritiers de Guy Ligier se sont lancés dans la fabrication de voiturettes sans permis, très demandées sur le marché européen. Plus récemment, l'entrepreneur Jacques Nicolet a relancé la marque dans le sport automobile, avec l'accord de son fondateur, en baptisant Ligier des prototypes participant aux 24 Heures du Mans et au Championnat du monde d'endurance (WEC).
Les réactions se multiplient en BourgogneDans un communiqué de presse, François Patriat évoque sa « tristesse » à l'annonce de la disparition de Guy Ligier. « Homme de passion et de fidélité, empreint d’une grande humanité, reconnu pour sa chaleur humaine, il a su, jusqu’à son dernier souffle, relever de nombreux challenges qui ont fait rayonner la Bourgogne et la France dans le monde entier », poursuit le président de la Région Bourgogne. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/nievre/nievre-guy-ligier-s-est-etient-l-age-de-85-ans-792131.html

«Pronostic vital engagé» pour un piéton renversé par une voiture à Cilly

Vers 11 heures, ce lundi matin, une automobiliste a renversé un piéton dans la petite commune de Cilly, près de Marle, dans l’Aisne. Grièvement blessé l’homme d’une soixantaine d’années a – dans un premier temps – été pris en charge par les sapeurs-pompiers. Face à la gravité des blessures, les secours ont fait appel à l’hélicoptère du SAMU pour transporter en urgence la victime à l’hôpital de Reims. D’après le premier diagnostic du médecin « le pronostic vital serait engagé ».
L’automobiliste sous le choc a elle aussi été prise en charge par les sapeurs-pompiers.
Une enquête est ouverte par la gendarmerie pour essayer de déterminer les circonstances exactes de cet accident.
http://www.lunion.com/node/533689

Le mystère d'un soldat allemand

Un corps, qui pourrait être celui d'un soldat allemand de la Seconde guerre mondiale, a été découvert dans le Viaur. Les restes de la dépouille, coincés par un mur de pierres, n'ont pas encore pu être extraits.
Fortuitement, un pêcheur tarnais a peut-être fait l'une des découvertes les plus importantes de l'histoire de son département et ajouté une page dans le grand livre qui la relate. C'est en effet au cours du nettoyage d'un recoin du Viaur que Gaby Arcé a dévoilé les ossements de ce qui pourrait bien être un soldat allemand.
«Mon père était pêcheur. Ensemble, nous venions souvent ici et il fallait nettoyer cet endroit, dans le canal de la minoterie, raconte-t-il. C'est ainsi que j'ai retrouvé deux balles de revolver».
Le propriétaire d'alors, M. Tayac, venait souvent boire le café chez les parents de Gaby. Un jour, ce dernier lui a parlé de cette petite découverte. M. Tayac lui confie l'histoire de ce soldat allemand et opte pour le scénario suivant : la colonne allemande serait descendue du village et le soldat, au guidon de sa moto, serait passé par cet endroit, où il aurait été abattu par des maquisards. Ceux-ci auraient ensuite jeté son engin à l'eau avant de l'enterrer pendant la soirée.

Exécuté en 1944

Or, pour l'historien Jean Costuméro, ces faits ne seraient pas justes dans le sens où il n'y avait pas de maquis répertorié là. La thèse de la colonne allemande circulant sur la route serait cependant probable, le gendarme à moto ayant pu se déplacer entre les garnisons d'Albi et de Rodez.
Il aurait été exécuté entre janvier et juillet 1944 sans date précise. L'inhumation dans un mur reste encore inexpliquée ; un des mystères autour de cette passionnante histoire qui n'en a pas fini de s'écrire.
Pour Corinne Delage, du pôle des sépultures de guerre de l'Office national des anciens combattants, l'exhumation d'un soldat allemand serait une première dans le département du Tarn : «il se peut qu'il y ait eu des morts directement rapatriés ou enterrés dans des cimetières provisoires mais c'est bien la première sépulture sauvage que l'on retrouve.»

Entre pierres et eau

L'accès à l'endroit où reposerait le soldat n'est pas chose aisée. Gaby Arcé a une nouvelle fois utilisé sa barque verte, sur laquelle a embarqué Julien Hauser, représentant du VDK, association gérant les sépultures de guerre allemandes, en charge des fouilles, pour l'atteindre.
Les broussailles sur le mur dégagées, on aperçoit désormais la partie du mur où giserait le soldat allemand. Problème : la construction datant de 1934, elle ne demande qu'à s'écrouler si jamais des pierres étaient retirées. Second problème : les ossements se trouveraient à sa base.
Sagement, le représentant du VDK a pris la décision de reporter l'échéance. Il faudra donc revenir mais Alexandre Broniszewski, dont la société est propriétaire des lieux, avertit : «L'eau remontera d'un mètre ou plus en octobre et le corps sera inaccessible jusqu'en mai».
Pour éviter de casser tout le mur, la solution aurait été trouvée de descendre un échafaudage, mais cela aura un coût certain pour ce «bel acte de paix». L'association allemande VDK va donc solliciter des entreprises locales pour réaliser cette opération dans les prochaines semaines ou prochains mois, voire l'année prochaine.
Le soldat allemand inconnu n'est donc pas près de revoir la lumière du jour, et encore moins de retrouver sa famille. Une fois déterré, il pourrait prendre le chemin de Marseille, où sa plaque militaire serait reconstituée, puis celui de son pays d'origine, où la dentition et les ossements pourraient permettre son identification et, par la suite, une mise en relation avec les archives de l'armée allemande, réputées pour leur précision.
 

Pays de Montbéliard : accidents mortels en hausse, contrôles routiers renforcés

«Votre amende, vous pouvez vous la… ». Ni courtois, ni charmant, le père de famille intercepté samedi soir avenue Chabaud à Montbéliard. La police aurait pu relever l’outrage. À quoi bon. « On ferait ça toute la journée », soupire un policier. 90 €, c’est le montant de l’amende récoltée par cet automobiliste dont la fillette de deux ans est installée à l’arrière sans rehausseur (obligatoire jusqu’à 10 ans).

293 dépistages

« Au moindre choc, elle vole. Les conséquences peuvent être dramatiques. J’en appelle à votre responsabilité de père », tente, pédagogue, le policier qui dresse le PV. Le père renâcle. Bougonne. Ce qu’il voit, ce sont les « neuf billets de dix » ! Le casque à la main, le pilote d’un scooter affiche, lui, une tranquille attitude. « Je viens d’acheter ce scooter à un copain et je ne savais pas qu’il fallait barrer la carte grise ! ». Il repart avec 35 € d’amende. Pas de papier d’identité et pas d’assurance. « C’est le jeu », dit-il. « J’ai perdu… ».
Nuit blanche pour les services de l’ordre. Le Pays de Montbéliard est quadrillé. De l’apparition de la lune à celle du soleil. Côté police, la brigade de nuit commandée par Emmanuelle Dalangeville maille la circonscription d’un point fixe de contrôle (routier et alcoolémie) à un autre : avenue Chabaud et faubourg de Besançon à Montbéliard, avenue de l’Europe à Arbouans, rue Perlinski à Audincourt. « Pas spécial au week-end. On effectue des contrôles chaque nuit », dit-elle. Un Parisien est intercepté pompette au volant (0,82 g). Il a passé la nuit en garde à vue, en est ressorti avec une ordonnance pénale.
Côté gendarmerie, 17 gendarmes sont mobilisés de 3 h 30 à 6 h 30 pour un contrôle ciblé alcoolémie sur un site sensible : le rond-point de la mairie à Voujeaucourt, axe Besançon par la départementale, plateau de Blamont. Sortie de boîte de nuit aussi. Pour le coup, le commandant Carne est plutôt satisfait. « Manifestement, les jeunes sont raisonnables. La majorité contrôlée au volant à la sortie de discothèque affichait un zéro milligramme d’alcool dans le sang. Preuve que nos actions portent leurs fruits… ».
Actions qui conjuguent répression et prévention. La présence des services de l’ordre au bord des routes demeure dissuasive. Bon, nuançons. Pas pour tout le monde. En trois heures de contrôle, les gendarmes ont effectué 293 dépistages et ont relevé trois alcoolémies : de 0,60 g à 0,88 g d’alcool dans le sang. Jusqu’à 0,78 g, c’est contraventionnel : amende de 135 € et six points de retrait (ça cause et ça fait mal). Au-delà, c’est un délit (suites pénales) et une suspension de permis.
Les mauvaises langues diront que ces contrôles routiers visent à remplir les caisses vides de l’État. Tout faux. Ils sont motivés par une recrudescence des accidents graves et mortels (tous ou presque liés à l’alcool) depuis le début de l’année en zone gendarmerie. Pas plus tard que vendredi à Audincourt, un Montbéliardais de 21 ans, assis sur le hayon d’une décapotable, a été éjecté. Il se trouve dans un état critique au CHU de Besançon où il a été héliporté. La conductrice circulait avec 1,66 g d’alcool dans le sang.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/08/24/pays-de-montbeliard-accidents-mortels-en-hausse-controles-routiers-renforces

dimanche 23 août 2015

Roubaix : une voiture sans permis, avec deux enfants dans le coffre, percutée par un bus

Une voiture sans permis a été percutée par un bus ce samedi à Roubaix. Quatre personnes se trouvaient dans le véhicule, dont deux enfants dans le coffre. La passagère est dans un état grave
Ce samedi à Roubaix, rue de Tourcoing, une voiture sans permis a été percutée de plein fouet par un bus aux alentours de 17h45 a indiqué la DDSP confirmant une information de la Voix du Nord.
Quatre personnes se trouvaient dans le véhicule deux places : le conducteur, la passagère et deux enfants dans le coffre. Ils ont tous été blessé par le choc frontal.

La passagère, qui a été la plus touchée par l'accident, présente un traumatisme crânien. Les deux enfants, âgés de 9 et 11 ans, souffrent de multiples fractures à la mâchoire et au fémur. Le conducteur n'est que légèrement blessé. Les quatre personnes ont été transportées au CHR de Lille.

Selon les premiers éléments, la voiture sans permis circulait en sens interdit et le conducteur n'aurait pas vu le bus arriver par sa droite. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/roubaix/roubaix-une-voiture-sans-permis-avec-deux-enfants-dans-le-coffre-percutee-par-un-bus-791755.html

L'enquête est ouverte après la noyade d'un enfant de 4 ans

Samedi en début d'après-midi, il règne une atmosphère lourde sur le site du lac du Moulineau, à Damazan. Des voitures font demi-tour sur le parking. Une dizaine de personnes sont allongées sur l'herbe. Suite au drame qui s'est noué la veille, la baignade a été interdite «jusqu'à nouvel ordre», via l'arrêté municipal signé, en urgence, par l'adjointe en charge du dossier, Christine Agosti. Des affichettes «baignade interdite» ont été apposées à l'entrée et à plusieurs endroits du lac comme à l'entrée des vestiaires. L'accès au plan d'eau a été barré par un ruban de chantier. Seul le plan d'eau du wakeboard fonctionne. Il s'agit du premier décès, en 2015, sur un site de baignade publique. Alors qu'il s'apprêtait à quitter le site (NDLR : la baignade y est autorisée de 14h à 18h), un couple domicilié à Aiguillon depuis quelques années s'aperçoit que son fils de quatre ans a disparu.

Retrouvé inanimé au bout de 20 minutes

Des recherches sont entreprises dans les environs par les personnes présentes sur la plage. Dans le même temps, l'alerte est donnée auprès des autorités. Une vingtaine de minutes plus tard, le petit garçon est retrouvé, inanimé, dans l'eau, dans la zone de baignade surveillée, à quelques encablures du bord. Rapidement sur place, les pompiers de Damazan, relayés par un médecin et une équipe du SMUR, ont tenté de ranimer le petit garçon, en arrêt cardio-respiratoire, pendant près d'une heure et demie. Mais peu avant 19h45, le décès du garçonnet était constaté. À leur arrivée sur place, les gendarmes de Damazan, Houeillès et Nérac, sous la direction du capitaine Christophe Collin-Dufresne, ont dû gérer une situation très tendue : la décision a été prise d'évacuer du site le maître nageur, qui était pris à partie, afin d'éviter que la situation ne dégénère.
Chargés de l'enquête pour déterminer les raisons d'un tel drame, les gendarmes de la brigade de Nérac n'ont pu entendre les parents, encore en état de choc, hier après-midi. Ils ont fait l'objet d'une prise en charge psychologique. Plusieurs témoins seront également entendus, tout comme l'agent chargé de la surveillance de la baignade. Le corps du petit garçon, qui était scolarisé en maternelle à Aiguillon, a été transporté à l'institut médico-légal de Bordeaux, où une autopsie sera pratiquée à la demande du parquet, théoriquement dans la journée d'aujourd'hui. Bien entendu, le plan d'eau ne sera pas rouvert à la baignade tant que l'enquête ne sera pas parvenue à son terme.
*

Thalys : Qui sont les cinq héros grâce à qui un massacre a été évité ?

Trois Américains, Spencer Stone, Alek Skarlatos, Anthony Sadler ; un Britannique, Chris Norman, et un Français, qui souhaite garder l'anonymat, sont les héros de l'attaque du Thalys. C'est grâce à leur intervention commune qu'Ayoub El Khazzani a pu être maîtrisé.

Des héros. Voilà comment sont unanimement qualifiées les cinq personnes qui sont intervenues vendredi pour empêcher un massacre dans le Thalys entre Amsterdam et Paris. Trois américains, Alek Skarlatos, Spencer Stone et Anthony Sadler, un Britannique, Chris Norman, et un français anonyme ont permis de maîtriser Ayoub El Khazzani alors qu'il s'apprêtait à faire feu à la kalachnikov à l'intérieur du train.

• Alek Skarlatos, militaire américain de 22 ans :

Ce jeune homme de 22 ans à la carrure imposante est membre de la Garde nationale de l'Oregon, un Etat du nord-ouest des Etats-Unis. Il venait de rentrer d'une mission de neuf mois en Afghanistan, selon sa famille citée par des médias américains.

"J'ai vu un type entrer dans le train avec un AK (AK47, fusil d'assaut Kalachnikov, NDLR) et un pistolet. Je me suis tourné vers Spencer et lui ai dit "On y va, on y va!". Spencer, le premier, a attrapé le type par le cou, je me suis saisi du flingue, l'ai balancé avant d'attraper le AK", a raconté samedi le jeune homme sur la télévision NBC. Il avait relaté vendredi soir sur des télévisions françaises "avoir frappé à la tête (le suspect) jusqu'à ce qu'il perde connaissance".

"Je suis si fier de (mon fils). J'en suis sidéré", s'est exclamé son père, Emanuel Skarlatos, sur CNN. "Il m'a raconté que lui et ses amis avaient neutralisé un terroriste dans un train vers Paris. Simplement comme ça, comme si c'était normal", a déclaré M. Skarlatos, "stupéfait" par "le courage" et "l'instinct de survie" de son fils et de ses amis.
  
• Spencer Stone, militaire américain de 23 ans :

Spencer Stone, 23 ans, est également militaire. Première classe dans l'armée de l'air, originaire de Californie, Spencer Stone est l'ami de M. Skarlatos et voyageait avec lui et Anthony Sadler depuis dix jours à travers l'Europe. Il a été blessé dans l'
attaque et a été hospitalisé, mais il "va bien" selon ses deux amis.
  
• Anthony Sadler, étudiant américain de 23 ans :

Lui aussi est âgé de 23 ans. Etudiant en Californie, il était en vacances en Europe depuis une dizaine de jours.

"Je ne suis qu'un étudiant (...) Je suis venu voir mes potes pour mon premier voyage en Europe et nous avons arrêté un terroriste. C'est plutôt dingue!", a commenté ce jeune Noir américain, arborant un collier de barbe bien taillé et des tatouages au bras.

"Il est parti là-bas comme un jeune homme en excursion et il en revient comme un héros national pour la
France", a lancé son père, Tony Sadler, sur NBC, manifestement soulagé et fier de son fils.

• Chris Norman, consultant britannique de 62 ans :

Chris Norman était assis dans le même wagon que les Américains et s'est joint à eux pour maîtriser l'assaillant.

"Je ne me considère pas comme un héros (...) Je me suis dit : "OK, je vais probablement mourir donc autant y aller". Le forcené a commencé à sortir tout son arsenal puis il est allé du wagon 13 au 12. Je ne sais pas pourquoi il n'a pas réussi à tirer mais je pense que (c'est) parce que son arme s'est enrayée.", a-t-il raconté à la presse à sa sortie de l'hôtel de police d'Arras.

D'après le journal britannique Daily Telegraph, le sexagénaire, marié et père de deux enfants, vit en France depuis une vingtaine d'années et est installé à Nîmes (Gard).

• Français anonyme, employé de banque de 28 ans :

Le ministre français de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a  également souligné qu'"un voyageur français" était "intervenu en premier" pour tenter de stopper l'agresseur. "Voulant accéder aux toilettes de la voiture 12", ce voyageur "s'est trouvé face à un individu porteur d'un fusil d'assaut Kalachnikov en bandoulière". Il a "tenté courageusement de le maîtriser avant que l'agresseur ne tire", selon le ministre, "plusieurs coups de feu".
 

samedi 22 août 2015

Ariège : 5 touristes hospitalisés à Saint-Girons après une intoxication alimentaire aux champignons

5 touristes français et espagnols, qui avait consommé des champignons à Alos (Ariège), ont été hospitalisés dans la nuit de vendredi à samedi au centre hospitalier Ariège Couserans de Saint-Girons, victimes d'une intoxication alimentaire, a-t-on appris auprès des pompiers de l'Ariège
C'est un repas entre amis français et espagnols sur la commune d'Alos (Ariège) qui s'est mal terminé. Vers 4 heures du matin ce samedi, les pompiers et le service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR) de l'Ariège sont intervenus auprès de 12 de ces touristes souffrant de problèmes gastriques après avoir consommé des champignons, probablement des bolets vénéneux qu'ils auraient pris pour des cèpes, selon les secours.

Sur ces 12 touristes, 5 d'entre-eux, victimes de diahrrées et de vomissements, ont été transférées au centre hospitalier Ariège Couserans de Saint Girons où elles sont hospitalisées. Leur pronostic vital n'est pas engagé, a précisé le centre hospitalier. Le traitement symptomatique consiste notamment en une ré-hydratation des victimes.

Chaque année, on déplore en France un millier d’intoxications dues aux champignons. Les conséquences sur la santé peuvent être graves : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe. Ces intoxications sont parfois mortelles. D'où
les recommandations du ministère de la santé en matière de ceuillette :

  • ne pas ramasser un champignon si vous avez le moindre doute sur son état ou son identification, certains champignons vénéneux hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles 
  • cueillir uniquement les spécimens en bon état et prélever la totalité du champignon (pied et chapeau) afin de permettre l’identification ;
  • éviter les sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) car les champignons concentrent les polluants.
  • au moindre doute, jeter le champignon ;
  • déposer les champignons séparément dans une caisse ou un carton, mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement ;
  • en cas d’apparition d’un ou plusieurs des symptômes associés à une consommationde champignons de cueillette (tremblements, vertiges, troubles de la vue, nausées, vomissements…), il faut appeler immédiatement un centre antipoison (www.centres-antipoison.net) ou le Centre 15. Les symptômes peuvent apparaître jusqu’à 12 heures après la consommation. Il est utile de noter les heures du ou des derniers repas, l’heure de survenue des premiers signes et de conserver les restes de la cueillette pour identification.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/ariege/ariege-6-personnes-transferees-l-hopital-de-saint-girons-apres-une-intoxication-alimentaire-aux-champignons-791243.html

Une postière frappée et séquestrée

Une employée de La Poste de Seysses, un petit bureau traditionnel situé au cœur de la commune, a été attaquée par plusieurs individus, dans la nuit de jeudi à vendredi. Terriblement choquée par cette violente agression, la victime a été prise en charge par les services de secours. L'agence est restée fermée toute la journée d'hier. Hier, vers 4 h 30, des malfaiteurs s'introduisent au domicile de cette employée, à Seysses, près de Toulouse. Muni d'une arme de poing, l'un des agresseurs assène un violent coup sur le crâne de la victime qui est contrainte de suivre le commando armé jusqu'au bureau de poste avec les clés de l'agence. Une fois sur place, les assaillants exigent de se faire ouvrir un coffre-fort. Ils s'emparent du contenu, un butin relativement modeste, et prennent aussitôt la fuite, laissant la victime traumatisée et blessée à la tête. Alertés, les secours et les gendarmes arrivent sur les lieux. La victime est prise en charge et les premières investigations commencent. Face à la gravité des faits, le parquet de Toulouse a saisi les gendarmes de la section de recherches et la brigade de recherches de Muret pour poursuivre l'enquête criminelle. Les spécialistes et techniciens en investigation criminelle de la gendarmerie étaient également sur les lieux pour effectuer les premiers relevés d'indices. Une affaire qui rappelle deux précédentes attaques contre deux employées de La Poste de Bellefontaine et du quartier Saint-Cyprien, à Toulouse, en 2012 et 2013. Parmi les suspects, deux frères, dont l'ex-directeur d'agence, ont été écroués après une enquête des policiers du SRPJ

http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/22/2163485-une-postiere-frappee-et-sequestree.html

Aude : gravement brûlés par une friteuse à Port-la-Nouvelle

E n début d'après-midi, ce jeudi 20 août, deux personnes séjournant au camping Cap de Roc ont allumé leur friteuse, qui s'est enflammée. 
En début d'après-midi, ce jeudi 20 août, deux personnes séjournant au camping Cap de Roc ont allumé leur friteuse, qui s'est enflammée. Dans un geste malheureux, l'un des deux hommes a jeté de l'eau sur l'huile bouillante pour éteindre les flammes…
Un geste qui n'a eu d'autre conséquence que d'attiser les flammes, le brûlant au 3e degré. Sur place, les secours l'ont évacué par hélicoptère vers le service des grands brûlés de l'hôpital Lapeyronie. Le second campeur, brûlé au 2e degré, a pour sa part été transporté vers le centre hospitalier de Narbonne.
http://www.midilibre.fr/2015/08/21/port-la-nouvelle-gravement-brules-par-une-friteuse,1204173.php

vendredi 21 août 2015

Gentilly: un corps calciné dans une poubelle

Les sapeurs-pompiers de la ville Gentilly, dans le Val-de-Marne, ont découvert un cadavre calciné dans une poubelle la nuit dernière alors qu'ils intervenaient pour un feu de poubelle, révèle Le Parisien.
C'est à la brigade de criminelle de Paris, immédiatement saisie du dossier, que revient la tâche d'identifier le cadavre de la victime qui gisait parmi les déchets, ainsi que les circonstances de son décès.
Les enquêteurs cherchent des indices auprès du voisinage, mais les témoignages obtenus ce matin n'ont permis d'établir aucune piste sérieuse.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/21/97001-20150821FILWWW00252-val-de-marne-un-corps-calcine-dans-une-poubelle.php

L'appel à l'aide du père d'un enfant autiste

Marc Harduin n'en peut plus. Son fils Hugo, âgé de 6 ans doit être scolarisé, comme la loi l'y oblige. Mais Hugo souffre d'un trouble autistique. Il ne peut donc pas être scolarisé dans une école primaire classique. «On a fait un essai dans l'école de Mondonville. Mais c'était intenable, il ne pouvait pas rester en place plus de 15 minutes».
Depuis 2013 Marc espère donc qu'une place se libère pour Hugo en Institut médico éducatif (IME). Mais depuis 2013, il est sur liste d'attente. Jusque-là, il confiait donc son fils à une nounou. Problème : «maintenant que mon fils à 6 ans, on me supprime l'allocation de l'Apaje qui me remboursait une part du salaire de la nounou. Financièrement je n'en peux plus. Je gagne 1 300 € par mois et je paye la nounou 850 €. L'État m'abandonne. D'un côté il n'y a pas de place dans les IME. Et de l'autre on me retire une aide financière cruciale.»

Une situation qui touche de nombreuses familles

La situation de Marc n'est malheureusement pas un cas isolé, comme le confirme Sylvie Cros, directrice de l'IME de Plaisance-du-Touch : «Je suis assaillie de parents en situation de détresse. Actuellement nous disposons de dix places. Or il y a 30 enfants sur liste d'attente. Et les temps d'attente sont extrêmement longs». Même son de cloche du côté de la Maison Départementale des personnes handicapées (MDPH), qui indique qu'il «manque actuellement plus d'une centaine de places dans les IME de Haute-Garonne».
Contactée, l'agence régionale de santé, qui gère le nombre de places crée chaque année, n'a pas répondu à nos demandes d'informations. On ne sait donc pas si davantage de places seront créées à la rentrée.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/21/2162701-appel-aide-pere-enfant-autiste.html

jeudi 20 août 2015

Des moustiques tigre repérés en région parisienne

Plusieurs moustiques tigre ont été repérés en région parisienne a annoncé l'agence régionale de santé. Ces derniers peuvent véhiculer des maladies comme la dengue ou le chikungunya.
L'agence régionale de santé (ARS) a révélé mercredi que des moustiques tigre pouvant véhiculer le virus de la dengue et du chikungunya ont été repérés aux abords de Paris. Le Parc floral situé dans le Bois de Vincennes et certains jardins ouvriers de Créteil sont concernés.
L'ARS se veut rassurante et précise qu'il s'agit d'une "présence ponctuelle" et que des opérations de démoustication sont menées autour des sites concernés "afin d'empêcher son installation durable". Elle ajoute qu'"'aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n'a à ce jour été recensé en Ile-de-France".
De son côté la mairie de Paris a confirmé la présence du moustique tigre au Parc Floral et a précisé qu'une intervention serait menée dès mercredi soir après la fermeture du parc pour "procéder à l'éradication de cette espèce nuisible".
Cette présence a été signalée ces derniers jours par un promeneur. Selon la mairie, "l'implantation dans le parc est récente et par conséquent très modérée, de plus elle s'avère localisée aux abords de trois points humides très éloignés des habitations". "Aucun autre espace vert de la capitale n'est touché" a ajouté la mairie.
Le moustique Aedes albopictus (également dénommé moustique tigre) est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya, qui circulent dans de nombreuses régions du monde (Amérique, Asie, Océanie...). Pendant sa période d'activité (de mai à novembre), il peut transmettre les virus après avoir piqué une personne infectée.
Le moustique est déjà implanté dans 20 départements métropolitains, pour la plupart situés dans le sud de la France où des cas autochtones de dengue et de chikungunyas (contractés en métropole sans avoir voyagé)  ont été observés. Ainsi en 2014, quatre cas autochtones  de dengue ont été détectés en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, ainsi qu'un foyer autochtone de chikungunya (11 cas confirmés et un cas probable) dans l'agglomération de Montpellier.
Par ailleurs, ce n'est pas la première fois que le moustique tigre est observé en Île-de-France. Il a été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, mais les traitements avaient permis d'éviter son implantation.
 

mercredi 19 août 2015

Un sexagénaire percute un platane

Un Castelsarrasinois de 65 ans a perdu, hier en fin de matinée, le contrôle de son véhicule sur la route de Lafrançaise à Castelsarrasin. Il a terminé sa manœuvre contre platane. Blessé, il a été acheminé par les pompiers au centre hospitalier de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/19/2161838-un-sexagenaire-percute-un-platane.html

mardi 18 août 2015

Pas-de-Calais: Un enfant de 21 mois se retrouve sur le toit d'une maison

Des prédispositions pour l’escalade. Un petit garçon de 21 mois est parvenu à grimper sur le toit de sa maison, lundi, en début d’après-midi. Il a été secouru par un voisin, raconte La Voix du Nord.

Il jouait dans le jardin

Cette mésaventure familiale a eu lieu à Gouy-Saint-André, une petite commune du Montreuillois, dans la Pas-de-Calais. Le jeune enfant avait échappé à la vigilance de sa mère, alors qu’il jouait dans le jardin en compagnie de sa sœur aînée.
Au retour d’une tâche ménagère à l’intérieur de la maison, la maman n’aperçoit plus le petit garçon. Elle lève la tête et l’aperçoit tout en haut du toit du pavillon sur les faîtières. Panique. « Je suis montée sur le toit attenant à la maison pour le voir et lui parler, lui dire de ne pas bouger. Lui, il était tranquille, ça l’amusait, il faisait signe en bas », raconte la mère au quotidien régional.

Descente par l’échelle de pompiers

C’est un voisin qui a pris le risque de grimper pour récupérer et protéger le bambin. Ensemble, ils ont attendu l’arrivée des pompiers d’Hesdin pour redescendre par la grande échelle. Tout est bien qui finit bien. Une chose est sûre : l’enfant grimpe vite
http://www.20minutes.fr/lille/1668075-20150818-calais-enfant-21-mois-retrouve-toit-maison

Braquage à la boulangerie : pris en flagrant délit par les gendarmes

Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu avant trois heures du matin, une patrouille de la gendarmerie de Balma a interpellé deux individus qui sortaient de la boulangerie Guillot, avenue Pierre Coupeau, voisine de l'église. Les deux braqueurs , ne répondant pas aux injonctions des forces de l'ordre, ont pris la fuite. Le premier, qui a tenté de s'échapper à bord de son véhicule, a été interpellé quelques minutes plus tard près de la mairie après une course-poursuite. Entre temps, des renforts étaient arrivés de la brigade de Saint-Orens ainsi que du PSIG Escalquens. Le second, qui n'avait pas eu le temps de s'engouffrer dans le véhicule de son complice, a également été rattrapé dans la foulée. Les deux hommes, qui étaient repartis bredouilles, se sont rendus sans violences. Âgés de 18 et 23 ans, domiciliés dans le Tarn, ils ont été présentés hier après-midi dans le cadre d'une comparution immédiate au Tribunal de grande instance de Toulouse
http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/18/2161362-braquage-boulangerie-pris-flagrant-delit-gendarmes.html

lundi 17 août 2015

Toulouse: Il entend des voix et se met à tirer sur les anges, dans le ciel

Jeanne d’Arc n’est pas la seule à avoir entendu des voix. Un homme a été interpellé dimanche matin, rue Déodora, dans le quartier toulousain du Pont des Demoiselles, alors qu’il tirait des coups de feu dans le ciel.

Statue d’ange

Il ne cherchait pas à faire un carton au tir aux pigeons, mais voulait régler ses comptes avec les anges. L’homme de 33 ans a en effet expliqué aux policiers qu’il avait retrouvé dans sa cave une statue de chérubin. Et cette dernière lui avait ordonné de tirer sur ses acolytes, dans le ciel.
A priori, les voies du Seigneur ne sont pas impénétrables pour tous. Arrêté, le tireur d’anges a été hospitalisé.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1667515-20150817-toulouse-entend-voix-met-tirer-anges-ciel

Ils portent plainte contre l'hôpital antibois après la perte de leur bébé

Après la mort de leur bébé, Judicaelle Vincent et Zied Mahjoub ont déposé plainte contre l'hôpital de la Fontonne d'Antibes. L'hôpital attend lui aussi les résultats de l'enquête.
"On nous a enlevé ce qu'on a de plus cher". Judicaelle Vincent et Zied Mahjoud ont perdu Léon, leur bébé âgé de sept jours.
Né à la maternité de la Fontonne (Antibes), il est décédé le 26 février au CHU de l'Archet, à Nice.
Le lendemain, le couple porte plainte au commissariat d'Antibes contre l'hôpital pour homicide involontaire.
Ils attendent, depuis, les conclusions de l'enquête.
http://www.nicematin.com/antibes/ils-portent-plainte-contre-lhopital-antibois-apres-la-perte-de-leur-bebe.2311435.html

dimanche 16 août 2015

La jeune fille de 17 ans bloquée à 250 mètres de fond au Gouffre Berger dans le Vercors est sortie

L'alerte avait été donnée à 9h20 ce dimanche 16 août : une jeune fille de 17 ans qui souffre de vomissements, d'épuisement et d'hypothermie bloquée au fond du Gouffre Berger. Les secours-près de 65 hommes-ont été déclenchés. Elle a finalement pu sortir seule peu avant 13 heures.
C'est en fait avec l'aide des secouristes spéléos qui faisaient partie du groupe de l'expédition que la jeune fille a pu remonter à la surface du Gouffre. A 13 heures elle était encore examinée par le médecin du SAMU pour évaluer son état de santé et la nécessité ou pas de l'emmener en observation à l'hôpital.
Finalement, tout est bien qui finit bien.

Le dispositif est levé
Une trentaine de sapeurs-pompiers, cinq hommes du PGHM, Un secours spéléo a été déclenché ce matin au Gouffre Berger, situé sur le plateau de Sornin dans le massif du Vercors.10 de la CRS Alpes, qui seront rejoints par les spéléo civils de secours de l'Isère. C'est un important dispositif de sauvetage qui avait été déclenché sur le plateau de Sornin dans le massif du Vercors.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/une-jeune-fille-de-17-ans-bloquee-250-metres-de-fond-au-gouffre-berger-dans-le-vercors-788001.html

Une fillette gravement blessée dans un accident à Mennessis

L’accident a eu lieu dans la nuit, vers 1h30. La conductrice d’un des véhicules était alcoolisée.
Il est 1 h 17 du matin quand le choc a lieu, sur la D1, à hauteur de Mennessis. Une automobiliste, circulant dans le sens Saint-Quentin Chauny, a priori sous l’emprise de l’alcool, se serait déportée sur la gauche, avant de percuter une voiture qui arrivait dans le sens inverse. À son bord, cinq passagers : deux parents, leurs deux enfants, et leur nièce.
L’automobiliste du véhicule déporté est indemne et aurait subi une prise de sang pour confirmer sa prise d’alcool. Sur les cinq passagers de l’autre véhicule, seul le père et sa fille de 6 ans ont été blessés. La jeune fille, plus sérieusement touchée à la tête, a été transportée vers le Centre Hospitalier de Saint-Quentin, accompagnée des autres passagers. Tous y ont subi des examens complémentaires.
Une enquête est en cours
http://www.lunion.com/node/529030

Le corps d'une femme trouvé sur le causse

S'agit-il bien d'Hélène Truel disparue à Bagnac-sur-Célé il y a près de deux mois ? C'est la question qui se pose, et à laquelle tentent de répondre les enquêteurs, depuis que le corps inanimé d'une jeune femme a été signalé par un promeneur, à proximité du village de Corn, vendredi après-midi. En tout cas, tout semble correspondre, même si les gendarmes et le procureur de la République veulent faire preuve de prudence dans cette affaire, tant que l'autopsie, qui sera réalisée en début de semaine prochaine, n'aura pas déterminé avec certitude l'identité de la personne retrouvée. «A priori, tout en restant assez prudents, tous les éléments dont nous disposons à l'heure actuelle nous orientent vers la jeune femme disparue fin juin : le lieu, le sexe, les vêtements, et l'état du corps, qui indique qu'elle est décédée depuis plusieurs semaines», avance le procureur de la République Nicolas Septe. Mais l'état de décomposition avancé du cadavre ne permet pas à l'heure actuelle de fournir un avis définitif. Seul un prélèvement ADN pourra confirmer cette hypothèse.
Hélène Truel, 35 ans, originaire de Decazeville (Aveyron) avait quitté son domicile de Bagnac-sur-Célé le 20 juin, et n'a plus donné signe de vie depuis. Elle avait été aperçue pour la dernière fois à Cambes, en bordure de la D802, tout près de Corn. Les vêtements qu'elle portait ressemblent fortement à ceux retrouvés sur la jeune femme décédée. «Étant donné qu'il n'y a pas eu d'autres disparitions signalées depuis, nous avons de fortes raisons de penser qu'il s'agit bien de cette jeune femme», avance Nicolas Sept. Une information judiciaire a été ouverte dès la disparition d'Hélène Truel. Si l'autopsie concorde, la deuxième étape sera de connaître les circonstances de la mort de la jeune femme. «D'une part, il faut s'assurer que la personne retrouvée est rattachable à l'information judiciaire. Ce sera ensuite au juge d'instruction d'apprécier la suite qu'il souhaite lui donner», indique le procureur.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/08/16/2160281-le-corps-d-une-femme-trouve-sur-le-causse.html

samedi 15 août 2015

Méditerranée : une quarantaine de migrants meurent étouffés dans la cale d'un bateau

La marine italienne a annoncé ce samedi à la mi-journée la mort d'une quarantaine de migrants en mer Méditerranée. Ils ont été retrouvés dans la cale d'un bateau, vraisemblablement morts étouffés.
Au moins 40 migrants sont morts, probablement d'asphyxie, dans la cale d'un bateau en tentant de traverser la Méditerranée, a rapporté ce samedi l'agence de presse nationale Ansa. Selon un porte-parole de la marine italienne, Costantino Fantasia, le bateau transportait environ 300 migrants lorsqu'il a rencontré des difficultés au large des côtes libyennes.
Les personnes décédées se trouvaient "probablement dans la cale", a poursuivi le porte-parole précisant que les circonstances de la tragédie ne sont pas encore élucidées et qu'une mission de sauvetage est actuellement en cours. Les opérations de sauvetage sont conduites par un bâtiment de la marine italienne, le Cigala Fulgosi, et un grand nombre de personnes ont déjà été secourues, a-t-il déclaré.
Selon une journaliste de la chaîne de télévision RaiNews, qui se trouvait pour un reportage au centre de coordination des opérations de la marine, l'opération de secours a débuté peu après 07h00 du matin (05h00 GMT). Un hélicoptère de la marine a repéré un bateau en difficulté à environ 21 milles des côtes libyennes, au sud de l'île italienne de Lampedusa.
Plus de 2000 migrants sont morts en 2015 en Méditerranée
Le bateau, qui transportait quelque 300 migrants, était "surchargé et commençait à couler", a raconté la journaliste de RaiNews. Un navire de la marine s'est alors approché, a commencé les opérations de secours, et a découvert dans un deuxième temps qu'il y avait une quarantaine de corps dans la cale. D'après les nombreux témoignages recueillis auprès des survivants de ces voyages très dangereux entre la Libye et l'Italie, les passeurs ont l'habitude d'entasser dans la cale les migrants ayant payé le moins pour la traversée.
Piégés dans cet espace confiné, les migrants courent le risque de mourir étouffés ou asphyxiés par les émanations de carburant, ou encore noyés si le bateau chavire et coule sans leur laisser le temps de sortir. Très souvent, les passeurs ou les passagers du pont font usage de violences pendant la traversée pour empêcher ceux de la soute de sortir, un mouvement peut faire chavirer ces embarcations toujours surchargées.
Au total, plus de 2000 personnes qui tentaient de fuir leur pays pour rejoindre l'Europe ont péri en mer Méditerranée depuis le début l'année. Le bilan était de 3.279 pour 2014, selon le chiffre fourni par l'Organisation internationale pour la migration (OIM).