Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
mardi 28 février 2017
Hauts-de-France : le portail pour l’aide à la garde d’enfants ouvre ce mercredi
A partir de ce mercredi 1er mars, le conseil régional ouvre son portail dédié à l’aide à la garde d’enfants. Les familles pourront faire leurs demandes pour bénéficier de 20 ou 30 € par mois. Son adresse : www.age.hautsdefrance.fr.
Votée le 2 février dernier, cette aide se veut une nouvelle réponse sur-mesure pour redonner du pouvoir d'achat aux habitants qui doivent faire garder leurs enfants de moins de 3 ans pour aller travailler.
http://www.lunion.fr/18054/article/2017-02-28/hauts-de-france-le-portail-pour-l-aide-la-garde-d-enfants-ouvre-ce-mercredi
jeudi 23 février 2017
Un homme victime d'un accident mortel sur un chantier d'Eybens (Isère)
Un homme âgé de 36 ans est décédé ce jeudi 23 février, victime d'un accident du travail sur une zone de chantier à Eybens, dans la métropole grenobloise (Isère).
L'accident a eu lieu vers 8h30. L'homme a été percuté par un bloc de béton qui était transporté par une grue. Projeté sur six mètres, il a perdu connaissance et était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours.
Ces derniers n'ont rien pu faire : il est décédé avant d'avoir pu être transporté à l'hôpital.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble
L'accident a eu lieu vers 8h30. L'homme a été percuté par un bloc de béton qui était transporté par une grue. Projeté sur six mètres, il a perdu connaissance et était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours.
Ces derniers n'ont rien pu faire : il est décédé avant d'avoir pu être transporté à l'hôpital.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble
mercredi 22 février 2017
Des cuisinières à gaz Bosch et Siemens rappelées à cause «d’un risque d’explosion»
Avis aux consommateurs ! Le groupe BSH électroménager a lancé ce mardi un « nouvel avis de sécurité » concernant des cuisinières à gaz des marques Bosch et
Siemens qui présentent « un risque
d’explosion ». Un défaut du raccord de connexion au gaz pourrait affecter ces appareils et rendre leur utilisation dangereuse.
« Dans certains cas, du gaz pourrait s’échapper et pourrait, dans de très rares cas, exploser. » Le risque est « très faible », a expliqué Corinna de Crest, directrice marketing de BHS France, à France Info. Avis aux consommateurs ! Le groupe BSH électroménager a lancé ce mardi un « nouvel avis de sécurité » concernant des cuisinières à gaz des marques Bosch et Siemens qui présentent « un risque d’explosion ». Un défaut du raccord de connexion au gaz pourrait affecter ces appareils et rendre leur utilisation dangereuse.
« Dans certains cas, du gaz pourrait s’échapper et pourrait, dans de très rares cas, exploser. » Le risque est « très faible », a expliqué Corinna de Crest, directrice marketing de BHS France, à France Info.
>> A lire aussi : 170.000 exemplaires de gazinières exposées à un risque d'explosion
Près de 9.000 de ces appareils ont été vendus en France, note France Info. Les pays les plus touchés dans le monde sont l’Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique.
http://www.20minutes.fr/dossier/gaz
« Dans certains cas, du gaz pourrait s’échapper et pourrait, dans de très rares cas, exploser. » Le risque est « très faible », a expliqué Corinna de Crest, directrice marketing de BHS France, à France Info. Avis aux consommateurs ! Le groupe BSH électroménager a lancé ce mardi un « nouvel avis de sécurité » concernant des cuisinières à gaz des marques Bosch et Siemens qui présentent « un risque d’explosion ». Un défaut du raccord de connexion au gaz pourrait affecter ces appareils et rendre leur utilisation dangereuse.
« Dans certains cas, du gaz pourrait s’échapper et pourrait, dans de très rares cas, exploser. » Le risque est « très faible », a expliqué Corinna de Crest, directrice marketing de BHS France, à France Info.
9.000 appareils vendus en France
BSH électroménager préconise aux particuliers qui posséderaient un des appareils mis en cause de couper immédiatement l’alimentation en gaz et de ne plus se servir de la cuisinière. « Le remplacement du raccord de connexion gaz sera fait gratuitement au domicile du consommateur », précise par ailleurs le groupe.>> A lire aussi : 170.000 exemplaires de gazinières exposées à un risque d'explosion
Près de 9.000 de ces appareils ont été vendus en France, note France Info. Les pays les plus touchés dans le monde sont l’Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique.
http://www.20minutes.fr/dossier/gaz
lundi 20 février 2017
Pour sa femme malade, il se bat contre le système
Depuis plusieurs années, la femme d'Éric Grimal est atteinte d'une maladie neurodégénérative rare. Le Figeacois se bat pour obtenir une prise en charge globale.
Apparentée à Alzheimer, la dégénérescence fronto-temporale est une maladie rare, qui n'a malheureusement pas de traitement et qui ne se guérit pas. Le terrible diagnostic, enfin posé par un professeur toulousain en 2012, est tombé comme un couperet pour la femme d'Eric Grimal qui présentait depuis plusieurs années des troubles du comportement. Au fil du temps, la maladie s'est installée progressivement, insidieusement et a fait basculer la vie de ce couple figeacois dynamique qui n'avait même pas encore fêté ses 60 ans. C'est alors un véritable parcours du combattant qui a commencé. En karatéka confirmé, Eric Grimal se bat depuis avec courage et sans relâche pour offrir la meilleure prise en charge possible à sa femme
Depuis deux ans, sa femme a intégré l'unité Alzheimer de l'EHPAD de Bagnac-sur-Célé. «Attention je n'ai aucun grief à formuler contre le personnel qui travaille dans des conditions de plus en plus compliquées. Mais si on s'occupe d'elle au quotidien pour la toilette, les repas, pour le reste ce n'est pas adapté à sa maladie puisqu'elle ne souffre pas d'Alzheimer» déplore Eric qui pointe du doigt par ailleurs un grave problème d'orientation dès le départ. «Au début, on te dit : il faut maintenir le plus possible la personne à son domicile, puis après quand ce n'est plus possible on te parle d'accueil de jour, et puis après d'unité Alzheimer en EHPAD mais sans dire qu'il y a aussi des Maisons d'accueil spécialisées où les patients sont pris en charge presque complètement». Pour l'heure, les demandes et les recours d'Eric Grimal n'ont pas abouti. Mais il ne baisse pas les bras et hausse le ton pour faire bouger «le système». Un combat personnel qui pourrait un jour aider aussi de nombreuses familles touchées par la maladie
http://www.ladepeche.fr/communes/figeac,46102.html
Reconsidérer la prise en charge
Aujourd'hui usé par des années de lutte, des dizaines de courriers envoyés et de multiples démarches engagées, le mari aimant devenu «un aidant» veut dénoncer haut et fort le problème majeur de la prise en charge. L'Agence régionale de santé considère en effet que sa femme bénéficie aujourd'hui d'un hébergement et non pas de soins. Aucune aide, mis à part une allocation accordée par le conseil départemental pour la dépendance, ne lui est accordée. «J'ai écrit au président de la République, à l'ARS, aux élus locaux, j'en ai rencontré d'ailleurs certains. Ce n'est pas normal que les pouvoirs publics n'envisagent pas de faire prendre en charge ce type d'hébergement. Il faut reconsidérer la prise en charge, c'est une priorité» s'indigne l'ancien commercial qui ne décolère pas. «On n'est pas à l'hôtel ou au club Med quand même. On ne choisit pas d'y aller».Depuis deux ans, sa femme a intégré l'unité Alzheimer de l'EHPAD de Bagnac-sur-Célé. «Attention je n'ai aucun grief à formuler contre le personnel qui travaille dans des conditions de plus en plus compliquées. Mais si on s'occupe d'elle au quotidien pour la toilette, les repas, pour le reste ce n'est pas adapté à sa maladie puisqu'elle ne souffre pas d'Alzheimer» déplore Eric qui pointe du doigt par ailleurs un grave problème d'orientation dès le départ. «Au début, on te dit : il faut maintenir le plus possible la personne à son domicile, puis après quand ce n'est plus possible on te parle d'accueil de jour, et puis après d'unité Alzheimer en EHPAD mais sans dire qu'il y a aussi des Maisons d'accueil spécialisées où les patients sont pris en charge presque complètement». Pour l'heure, les demandes et les recours d'Eric Grimal n'ont pas abouti. Mais il ne baisse pas les bras et hausse le ton pour faire bouger «le système». Un combat personnel qui pourrait un jour aider aussi de nombreuses familles touchées par la maladie
http://www.ladepeche.fr/communes/figeac,46102.html
vendredi 17 février 2017
Colère des fans de Lilian Renaud
Samedi, s’ouvre, sur TF1, la saison 6 de The Voice. Sur le Net, les fans de Lilian Renaud, gagnant de la saison 4, s’émeuvent. A-t-on laissé tomber leur idole ?
Sur la bande-annonce de TF1, ils disent « je suis Amir » (saison 3), Slimane (Saison 5), Louane (saison 2), Claudio Capéo (saison 5), Kendji, (saison 3)… Personne de la saison 4, en 2015, Lilian Renaud remporte la partie avec 52 % des voix du public. Coaché par Zazie, le jeune fromager de Mamirolle est sorti de l’anonymat. Il l’emporte avec une interprétation magistrale de Over The Raimbow (Judy Garland). Le public a rencontré Lilian quelques mois plus tôt et ne l’a plus lâché. Sur scène certes, mais sur la toile aussi. Déclaration d’admiration, poèmes, montages photos, voilà Lilian virtuellement dans la cage d’escalier du salon, ou sur toutes les boules du sapin, on adresse des lettres au Père Noël, pour lui… Lilian fait battre les cœurs de tous âges. Aujourd’hui, le public laisse exploser une grosse colère sur la toile. Motif : Lilian méritait au moins de figurer dans la bande-annonce en forme de rétrospective de cette saison 6. Les fans vivent son absence comme un affront. « Peut-être pas assez « bad boy typé » pour TF1, ça m’énerve… », écrit Oli Pe. « Et Lilian Renaud dans tout ça ? Vous en parlez à quel moment ? L’avez-vous oublié ? Désolé, mais là, vous êtes dégueulasses de ne pas l’avoir cité. Honte à vous d’avoir oublié un artiste comme lui », note Dorina. « Quand une poule est malade dans un poulailler, toutes les autres lui tombent dessus, c’est le cas pour lui. Je ne regarderai plus cette émission que j’adorais, écœurée par la triste mentalité des responsables », envoie Christiane. Steven a une hypothèse toute personnelle. « Lors de la finale de The Voice 4, Lilian était opposé à Anne Sila. La prod de l’émission avait tout misé sur Anne Sila et la voyait et voulait vainqueur de la saison. Le public en a décidé autrement en sacrant Lilian. Alors, volontairement la prod et TF1 ne font pas de pub à Lilian car, ce vainqueur, ils ne l’ont pas choisi ». Les fans appellent même au boycott de la saison 6…
De son côté, la production se défend. « Je ne sais rien de cette bande-annonce, je ne l’ai pas vue. Mais Lilian Renaud a bénéficié de la même promotion que tous les artistes. Il a été soutenu comme tous. Il a fait le JT de TF1, le même nombre de primes de variétés. La suite dépend de son actualité musicale et de la ligne éditoriale de chaque émission », explique Romuald Ferrer, responsable de la communication des programmes de Flux TF1. Quant à savoir si TF1 a suffisamment soutenu Lilian Renaud, le communicant se ferme. « Je ne répondrai pas à cette question ».
La scène et les paillettes ne disent rien du tumulte que peut provoquer, intimement, cette pression économique et sociale. Ses chansons, en revanche disent ses aspirations
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/02/17/colere-des-fans-de-lilian
Sur la bande-annonce de TF1, ils disent « je suis Amir » (saison 3), Slimane (Saison 5), Louane (saison 2), Claudio Capéo (saison 5), Kendji, (saison 3)… Personne de la saison 4, en 2015, Lilian Renaud remporte la partie avec 52 % des voix du public. Coaché par Zazie, le jeune fromager de Mamirolle est sorti de l’anonymat. Il l’emporte avec une interprétation magistrale de Over The Raimbow (Judy Garland). Le public a rencontré Lilian quelques mois plus tôt et ne l’a plus lâché. Sur scène certes, mais sur la toile aussi. Déclaration d’admiration, poèmes, montages photos, voilà Lilian virtuellement dans la cage d’escalier du salon, ou sur toutes les boules du sapin, on adresse des lettres au Père Noël, pour lui… Lilian fait battre les cœurs de tous âges. Aujourd’hui, le public laisse exploser une grosse colère sur la toile. Motif : Lilian méritait au moins de figurer dans la bande-annonce en forme de rétrospective de cette saison 6. Les fans vivent son absence comme un affront. « Peut-être pas assez « bad boy typé » pour TF1, ça m’énerve… », écrit Oli Pe. « Et Lilian Renaud dans tout ça ? Vous en parlez à quel moment ? L’avez-vous oublié ? Désolé, mais là, vous êtes dégueulasses de ne pas l’avoir cité. Honte à vous d’avoir oublié un artiste comme lui », note Dorina. « Quand une poule est malade dans un poulailler, toutes les autres lui tombent dessus, c’est le cas pour lui. Je ne regarderai plus cette émission que j’adorais, écœurée par la triste mentalité des responsables », envoie Christiane. Steven a une hypothèse toute personnelle. « Lors de la finale de The Voice 4, Lilian était opposé à Anne Sila. La prod de l’émission avait tout misé sur Anne Sila et la voyait et voulait vainqueur de la saison. Le public en a décidé autrement en sacrant Lilian. Alors, volontairement la prod et TF1 ne font pas de pub à Lilian car, ce vainqueur, ils ne l’ont pas choisi ». Les fans appellent même au boycott de la saison 6…
De son côté, la production se défend. « Je ne sais rien de cette bande-annonce, je ne l’ai pas vue. Mais Lilian Renaud a bénéficié de la même promotion que tous les artistes. Il a été soutenu comme tous. Il a fait le JT de TF1, le même nombre de primes de variétés. La suite dépend de son actualité musicale et de la ligne éditoriale de chaque émission », explique Romuald Ferrer, responsable de la communication des programmes de Flux TF1. Quant à savoir si TF1 a suffisamment soutenu Lilian Renaud, le communicant se ferme. « Je ne répondrai pas à cette question ».
Disque de platine
Après « Le bruit de l’aube », disque de platine car vendu à plus de 150 000 exemplaires, le jeune homme sort, en novembre 2016, son 2e album, « Le cœur qui cogne », et déclare forfait pour la tournée qui doit suivre, terrassé par une double hernie discale. Son site officiel demeure muet. Sollicité, Lilian Renaud décline l’interview. « Je vis une situation assez complexe », écrit-il par SMS. Gérer les obligations liées aux contrats avec sa maison de disques, la télévision, et la pression même amicale des fans n’est pas aisé. Si Lilian se tait, son corps a parlé.La scène et les paillettes ne disent rien du tumulte que peut provoquer, intimement, cette pression économique et sociale. Ses chansons, en revanche disent ses aspirations
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/02/17/colere-des-fans-de-lilian
mercredi 15 février 2017
Braquage dans une boulangerie de Grand-Quevilly (Seine-Maritime)
Faites attention à ce que vous faites !"Il est 18h45 ce mardi de la Saint-Valentin quand la boulangère de ce quartier de Grand-Quevilly situé entre le cimetière Saint-Sever et le collège Jean-Texier voit entrer un client. Son visage est caché par une écharpe, il porte un bonnet et, par-dessus, la capuche de son manteau est rabattue. "On ne voyait que ses yeux" dira plus tard la commerçante.
L'homme est menaçant et tient dans la main un pistolet… Il réclame le contenu de la caisse et précise qu'il veut "l'enveloppe". La boulangère obéit et lui remet la recette, soit environ 150 euros.
Alerté et intrigué par des éclats de voix (les "ordres" du braqueur), le boulanger quitte son fournil et arrive dans la boutique. Le voyant arriver, le malfaiteur arme son pistolet, braque le couple, et, de plus en plus menaçant, prévient : "Faites attention à ce que vous faites !" Le braqueur se penche sur le comptoir prend les 80 euros du fond de caisse, sort et prend la fuite en courant.
Prévenue, la police arrive cinq minutes plus tard, entend les victimes et effectue des recherches dans le quartier.
En vain. Une enquête est en cours.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/metropole-rouen-normandie/rouen
L'homme est menaçant et tient dans la main un pistolet… Il réclame le contenu de la caisse et précise qu'il veut "l'enveloppe". La boulangère obéit et lui remet la recette, soit environ 150 euros.
Alerté et intrigué par des éclats de voix (les "ordres" du braqueur), le boulanger quitte son fournil et arrive dans la boutique. Le voyant arriver, le malfaiteur arme son pistolet, braque le couple, et, de plus en plus menaçant, prévient : "Faites attention à ce que vous faites !" Le braqueur se penche sur le comptoir prend les 80 euros du fond de caisse, sort et prend la fuite en courant.
Prévenue, la police arrive cinq minutes plus tard, entend les victimes et effectue des recherches dans le quartier.
En vain. Une enquête est en cours.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/metropole-rouen-normandie/rouen
lundi 13 février 2017
Accident mortel à Araules en Haute-Loire
Un jeune homme d'une vingtaine d'années a perdu la vie, lundi, dans un dramatique accident avec un poids lourd, sur la commune d’Araules, en Haute-Loire. Le passager du véhicule, âgé de 20 ans, est dans un état grave. En urgence absolue, Il a été transporté en hélicoptère jusqu’au centre hospitalier de Saint-Etienne.
C’est en fin de matinée que les secours ont été appelés sur la départementale 15, au lieu-dit Les Balayes. D’après les premieres constatations, à un croisement, alors qu’il s’introduisait sur la départementale, le véhicule se serait encastré dans le poids-lourd
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-loire/puy-velay
C’est en fin de matinée que les secours ont été appelés sur la départementale 15, au lieu-dit Les Balayes. D’après les premieres constatations, à un croisement, alors qu’il s’introduisait sur la départementale, le véhicule se serait encastré dans le poids-lourd
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-loire/puy-velay
samedi 11 février 2017
Pari stupide : un militaire vole un véhicule blindé
Le pari aura coûté cher à ce militaire du 8e RPIMa de 25 ans condamné à deux mois d'emprisonnement ferme par le tribunal correctionnel de Castres pour avoir volé un véhicule appartenant à son régiment. Mis au défi par ses amis, ou plutôt «de mauvaises fréquentations» selon la présidente Séverine Romi, le jeune militaire a décidé d'utiliser sans autorisation un véhicule blindé de 14 tonnes pour se rendre à une soirée d'anniversaire. «Je n'ai pas réfléchi, je voulais faire plaisir à mon ami et j'avais bu deux ou trois verres. J'ai pu sortir sans être contrôlé par la sentinelle», s'est-il expliqué. Le procureur de la République Céline Raignault a précisé que lorsque le prévenu a été contrôlé par les gendarmes, «le véhicule était investi par plusieurs personnes», qui n'étaient manifestement pas des militaires. «C'est bien au-delà de l'immaturité, c'est un délit dont il est question» a-t-elle ajouté.
La double peine peut paraître sévère mais ce jeune militaire n'en est pas à ses premiers faits. Il a récemment effectué un séjour en détention et son casier judiciaire est en train de s'alourdir rapidement. En quelques mois, il a comparu à plusieurs reprises devant le tribunal correctionnel de Castres, essentiellement pour des faits de vol.
Une affaire est également en cours devant la juridiction régionale spécialisée en matière militaire de Toulouse pour des infractions commises dans le cadre de ses fonctions.
Son avocat, Me Julien Soubiran, lie quant à lui les récents dérapages de son client aux «choses lourdes auxquelles il est exposé dans le cadre de ses missions» et à leurs conséquences psychologiques. Il a assuré que son nouveau projet d'entreprise contribuerait à le remettre sur le droit chemin.
http://www.ladepeche.fr/communes/castres,81065.html
Double peine
«Je traverse une mauvaise période depuis le mois de septembre 2016, mais aujourd'hui je me suis repris, je suis en voie de créer mon entreprise dans le domaine de l'automobile» s'est-il justifié. Car ce pari de trop va également lui coûter sa carrière militaire, les modalités de rupture de contrat ayant d'ores et déjà été entreprises.La double peine peut paraître sévère mais ce jeune militaire n'en est pas à ses premiers faits. Il a récemment effectué un séjour en détention et son casier judiciaire est en train de s'alourdir rapidement. En quelques mois, il a comparu à plusieurs reprises devant le tribunal correctionnel de Castres, essentiellement pour des faits de vol.
Une affaire est également en cours devant la juridiction régionale spécialisée en matière militaire de Toulouse pour des infractions commises dans le cadre de ses fonctions.
Son avocat, Me Julien Soubiran, lie quant à lui les récents dérapages de son client aux «choses lourdes auxquelles il est exposé dans le cadre de ses missions» et à leurs conséquences psychologiques. Il a assuré que son nouveau projet d'entreprise contribuerait à le remettre sur le droit chemin.
http://www.ladepeche.fr/communes/castres,81065.html
vendredi 10 février 2017
Retraité tué à Bourbach-le-Haut : deux frères écroués
Après plus de trois mois d’enquête, les gendarmes ont identifié les auteurs présumés du meurtre d’un retraité bas-rhinois de 63 ans dans la soirée du 28 octobre dernier au centre de Bourbach-le-Haut. Le malheureux se trouvait dans son camping-car en compagnie de son épouse. Il avait été mortellement blessé d’un coup de sabre pour un vol de 110 euros.
Roland Faullummel, un retraité originaire de Gries qui faisait du tourisme avec sa femme, avait stationné son camping-car sur une aire spécialement aménagée, sur la place centrale de Bourbach-le-Haut. Vers 21 h 30, des coups avaient retenti à la porte. Le retraité avait ouvert et s’était retrouvé nez à nez avec deux hommes armés d’un sabre et d’un pistolet à grenaille. Ils en voulaient à l’argent du couple.
Mais alors que le malheureux s’était exécuté, le ton était monté et l’un des agresseurs avait asséné un coup de sabre mortel à Roland Faullummel. Sa femme avait couru au restaurant La Bougie, situé à une centaine de mètres du parking, pour alerter les secours, mais il était déjà trop tard.
Au fil de leurs recherches, les gendarmes ont réussi à définir un profil particulier, celui d’hommes domiciliés dans le secteur. Des habitants de Bourbach-le-Haut leur ont parlé de perturbateurs qui se rendaient fréquemment chez un riverain. C’est sur eux que les enquêteurs ont concentré leurs recherches. Des perquisitions ont été effectuées et les indices récoltés ont tous mené vers deux frères. Il s’agit de Guillaume et Alexandre Dijoux, âgés respectivement de 25 et 27 ans, qui ont été arrêtés mardi à l’aube, à leurs domiciles respectifs à Masevaux. Des effets personnels, notamment des téléphones et des vêtements, ont été saisis.
« Pendant leur garde à vue et devant la juge en charge du dossier, ils ont convenu qu’ils étaient directement impliqués dans les faits, a relevé le procureur de la République de Mulhouse. Ils étaient tous les deux présents sur les lieux. Reste à savoir qui a porté le coup mortel. Mais ce sont les deux coauteurs. » Tous deux ont ainsi été mis en examen pour extorsion, précédée ou accompagnée de violences avec arme ayant entraîné la mort, puis écroués. Les deux armes n’ont pour le moment pas été retrouvées. Ils les auraient jetées dans la nature.
Les proches de la victime, en particulier sa femme et ses deux enfants, ont « exprimé leur reconnaissance », par l’intermédiaire de leur avocat Me Thierry Moser, « et à saluer l’excellent travail des gendarmes ».
Le procureur de Mulhouse a également souligné « la qualité et l’efficacité du travail des gendarmes ».
http://www.dna.fr/faits-divers/2017/02/10/touriste-tue-deux-freres-ecroues
Roland Faullummel, un retraité originaire de Gries qui faisait du tourisme avec sa femme, avait stationné son camping-car sur une aire spécialement aménagée, sur la place centrale de Bourbach-le-Haut. Vers 21 h 30, des coups avaient retenti à la porte. Le retraité avait ouvert et s’était retrouvé nez à nez avec deux hommes armés d’un sabre et d’un pistolet à grenaille. Ils en voulaient à l’argent du couple.
Mais alors que le malheureux s’était exécuté, le ton était monté et l’un des agresseurs avait asséné un coup de sabre mortel à Roland Faullummel. Sa femme avait couru au restaurant La Bougie, situé à une centaine de mètres du parking, pour alerter les secours, mais il était déjà trop tard.
Une cellule spéciale
Pour identifier les deux hommes, en l’absence de témoins, exceptée l’épouse de la victime, les gendarmes avaient mis les moyens. « Une cellule d’enquête spécifique a été créée, avec quatre enquêteurs chevronnés de la section de recherches de Strasbourg et huit enquêteurs des brigades de recherche du groupement de gendarmerie du Haut-Rhin », a indiqué hier le colonel François Despres, commandant la section de recherches de la gendarmerie de Strasbourg. « Il y a eu un vrai travail d’enquête avec du terrain, de la proximité, des recoupements d’informations, a enchaîné le procureur de la République, Dominique Alzéari. Les brigades locales ont œuvré, des spécialistes en investigation criminelle ont été mis à contribution et finalement, cela a payé. »Au fil de leurs recherches, les gendarmes ont réussi à définir un profil particulier, celui d’hommes domiciliés dans le secteur. Des habitants de Bourbach-le-Haut leur ont parlé de perturbateurs qui se rendaient fréquemment chez un riverain. C’est sur eux que les enquêteurs ont concentré leurs recherches. Des perquisitions ont été effectuées et les indices récoltés ont tous mené vers deux frères. Il s’agit de Guillaume et Alexandre Dijoux, âgés respectivement de 25 et 27 ans, qui ont été arrêtés mardi à l’aube, à leurs domiciles respectifs à Masevaux. Des effets personnels, notamment des téléphones et des vêtements, ont été saisis.
« Pendant leur garde à vue et devant la juge en charge du dossier, ils ont convenu qu’ils étaient directement impliqués dans les faits, a relevé le procureur de la République de Mulhouse. Ils étaient tous les deux présents sur les lieux. Reste à savoir qui a porté le coup mortel. Mais ce sont les deux coauteurs. » Tous deux ont ainsi été mis en examen pour extorsion, précédée ou accompagnée de violences avec arme ayant entraîné la mort, puis écroués. Les deux armes n’ont pour le moment pas été retrouvées. Ils les auraient jetées dans la nature.
« Un vol de 110 €… C’est désespérant ! »
« Ce sont deux personnes sans emploi, qui ont des dépendances à l’alcool et à des produits stupéfiants, a encore précisé Dominique Alzéari. Le vol est le mobile principal. Un vol de 110 €, avec une personne décédée au final. C’est désespérant ! »Les proches de la victime, en particulier sa femme et ses deux enfants, ont « exprimé leur reconnaissance », par l’intermédiaire de leur avocat Me Thierry Moser, « et à saluer l’excellent travail des gendarmes ».
Le procureur de Mulhouse a également souligné « la qualité et l’efficacité du travail des gendarmes ».
http://www.dna.fr/faits-divers/2017/02/10/touriste-tue-deux-freres-ecroues
jeudi 9 février 2017
Aisne : trouvez un emploi grâce à Contact FM !
Du lundi au vendredi, de 12 à 16 heures, Contact FM offre un temps d’antenne à des demandeurs d’emploi et à des entreprises qui cherchent à recruter. Ça ne chôme pas !
Vous êtes à la recherche d’un emploi ou recruteur, cette émission est pour vous. Depuis le 16 janvier, Séb donne rendez-vous du lundi au vendredi de 12 à 16 heures sur Contact FM avec l’émission « Chasseurs d’emploi ». Le principe ? Offrir un temps d’antenne à des demandeurs d’emploi et à des entreprises ou des agences d’intérim qui cherchent à recruter.
«Il y a des appels par dizaines et des centaines de mails que l’on conserve et que
Séb, animateur de l’émissionCécilia en a fait l’heureuse expérience. « J’écoutais Contact FM en voiture, j’ai entendu qu’une recruteuse cherchait des chargés de clientèle. J’ai appelé. Le lendemain, j’ai été mise à l’antenne, j’ai parlé de moi et de mes motivations. On a eu un échange en direct avec la recruteuse. Deux jours plus tard, ça s’est soldé par un vrai entretien et, au final, un CDD jusqu’à octobre à Villeneuve-d’Ascq. Comme j’habite Lille, c’est parfait. »
« Elle a été la première à trouver un job grâce à l’émission, ça a créé une vraie émotion. Et depuis, il y en a eu d’autres, raconte Séb, qui ne ménage pas ses efforts. Il y a des appels par dizaines et des centaines de mails que l’on conserve et que l’on classe. Comme ça, si on reçoit plus tard une annonce qui correspond, on peut mettre en relation. »
Slogan ? « On ne vous lâche pas ». Pour l’heure, les demandeurs d’emploi sont plus nombreux que les entreprises, mais « ça ne fait que démarrer. Et on a déjà des agences d’intérim et des gens des ressources humaines de Toyota ou aujourd’hui des Brioches Pasquier qui appellent ».
La volonté est aussi à terme de donner des conseils aux auditeurs, par exemple sur la bonne tenue d’un entretien, la bonne présentation d’un CV ou d’une lettre de motivation. Pas anodin, Contact FM est la première radio régionale des Hauts-de-France avec 335 500 auditeurs par jour.
Une radio familiale, et plus la radio techno-dance qu’elle a longtemps été. Un liant puissant au service de l’emploi.
http://www.lunion.fr/15149/article/2017-02-08/aisne-trouvez-un-emploi-grace-contact-fm
Châtelaine ligotée à Barsac (33) : les agresseurs ont tous été interpellés
L’enquête à été menée par la Section de recherches de Bordeaux. ©Archives « SO »
Cinq hommes s’étaient introduits chez la propriétaire du château Menota, à Barsac en janvier 2015
C’est une battante. Le 31 janvier 2015, la propriétaire du château Menota, à Barsac (Gironde), avait fait preuve de son caractère affirmé. Entre minuit et deux heures du matin, cinq hommes avaient surgi par effraction dans sa maison. Le visage dissimulé par une cagoule, vêtus de sombre, gantés et munis d’armes de poing ils étaient entrés dans sa chambre, la réveillant en sursaut.
L’octogénaire avait été bousculée, ligotée et interrogée sur la présence d’objets de valeur et d’espèces. Les malfaiteurs avaient procédé à une fouille en règle de la demeure.
Discrètement mais sûrement, la propriétaire était parvenue à s’échapper pour aller donner l’alerte. Ce qui avait précipité la fuite des cambrioleurs. Moins important que ce qu’ils escomptaient, leur butin était constitué de bijoux, d’argenterie et du 4x4 de leur victime.
Véhicule accidenté sur l’A 62
Déployés, les gendarmes avaient vite récupéré la trace du véhicule. Il avait forcé une barrière de péage avant d’être retrouvé accidenté et abandonné sur le bord de l’autoroute A 62.Vide. Au vu de la gravité des faits, c’est la Section de recherches de Bordeaux qui avait été chargée de l’enquête.
Des investigations qui s’annonçaient d’emblée de longue haleine. Des prélèvements de police technique et scientifique, effectués dans la voiture volée et sur les lieux du saucissonnage, ont livré deux noms dans l’année. Deux jeunes déjà inscrits au fichier national des empreintes génétiques.
D’exploitations techniques en auditions, les gendarmes ont pu reconstituer la chronologie des faits et donner la composition de l’équipe de braqueurs. Très vite, il est apparu que les agresseurs étaient bien renseignés. Les gendarmes de la SR ont alors retrouvé la trace d’un ancien ouvrier viticole ayant travaillé pour la victime, un Arsacais de 37 ans, puis de deux de ses codétenus rencontrés lors d’une incarcération auxquels il aurait pu « vendre le coup ».
Mis en examen
Deux nouvelles personnes, visiblement les dernières, ont été arrêtées le mois dernier. Tous ces hommes, demeurant dans l’agglomération bordelaise ou dans le sud de la Gironde, âgés de 21 à 37 ans, ont été mis en examen pour vol en bande organisée avec arme et séquestration et écroués au cours de la procédure.
« C’est très révélateur d’une partie de notre activité », explique le colonel José Montull qui commande la Section de recherches de Bordeaux. « 15 % de nos dossiers concernent le monde du vin qui attire les convoitises par l’argent qu’il est supposé générer. Cela va des casses dans les chais au blanchiment en passant par le recel, les saucissonnages, les logiciels rançons, les faux virements ou les escroqueries. »
http://www.sudouest.fr/2017/02/09/les-agresseurs-tous-interpelles-3181750-2752.php
http://www.sudouest.fr/2017/02/09/les-agresseurs-tous-interpelles-3181750-2752.php
mercredi 8 février 2017
Dijon : un détenu se suicide à la maison d'arrêt
Un détenu en semi-liberté d'une quarantaine d'années a mis fin à ses jours dans la nuit du 31 janvier au 1er février à la maison d'arrêt de Dijon, a-t-on appris mercredi auprès de l'administration pénitentiaire, confirmant une information du Bien Public. L'homme serait décédé d'une surdose médicamenteuse.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/
Un homme tué par balle près de Marseille
Un homme de 34 ans a été tué mardi soir à l'arme automatique dans une rue d'Allauch, dans ce qui est probablement le premier règlement de compte de l'année près de Marseille, ont indiqué des sources policières. La victime a été prise pour cible "au bas d'une résidence" sur un boulevard de cette commune limitrophe de Marseille, a indiqué une source policière, confirmant une information de La Provence et d'Europe 1.
Une "vingtaine de douilles de kalachnikov ont été retrouvées", a-t-elle ajouté. Appelés vers 21 heures par des riverains qui avaient entendu les tirs, les pompiers ont expliqué avoir trouvé la victime en arrêt cardio-respiratoire et n'ont pas pu la ranimer.
L'homme, connu de la police pour son implication dans le trafic de stupéfiants, descendait de son véhicule lorsqu'il a été touché d'une ou plusieurs balles, tirées par deux suspects qui ont pris la fuite en voiture, a précisé une deuxième source policière. Une femme âgée de 30 ans selon les pompiers, qui l'accompagnait, "n'était pas visée" et n'a pas été touchée, a précisé cette source policière. L'enquête devra encore déterminer le mobile de cet homicide, mais "cela ressemble beaucoup au premier règlement de compte de l'année" 2017 dans la région marseillaise, a précisé cette source.
L'homme qui a été tué, "sorti assez récemment de prison", était "quelqu'un qui compte" dans les différents clans qui se livrent à une guerre meurtrière pour le contrôle du trafic de stupéfiants dans les cités marseillaises. Ce conflit commercial armé s'est mué ces dernières années, selon les enquêteurs, en une vendetta au cours de laquelle chaque meurtre appelle une vengeance.
2016 avait été une année noire pour les règlements de compte, avec 29 morts déplorées dans des homicides de ce type par la police dans les Bouches-du-Rhône, principalement à Marseille et dans ses environs. L'an dernier, au 7 février, 4 personnes avaient déjà trouvé la mort dans trois règlements de comptes différents.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
L'homme, connu de la police pour son implication dans le trafic de stupéfiants, descendait de son véhicule lorsqu'il a été touché d'une ou plusieurs balles, tirées par deux suspects qui ont pris la fuite en voiture, a précisé une deuxième source policière. Une femme âgée de 30 ans selon les pompiers, qui l'accompagnait, "n'était pas visée" et n'a pas été touchée, a précisé cette source policière. L'enquête devra encore déterminer le mobile de cet homicide, mais "cela ressemble beaucoup au premier règlement de compte de l'année" 2017 dans la région marseillaise, a précisé cette source.
L'homme qui a été tué, "sorti assez récemment de prison", était "quelqu'un qui compte" dans les différents clans qui se livrent à une guerre meurtrière pour le contrôle du trafic de stupéfiants dans les cités marseillaises. Ce conflit commercial armé s'est mué ces dernières années, selon les enquêteurs, en une vendetta au cours de laquelle chaque meurtre appelle une vengeance.
2016 avait été une année noire pour les règlements de compte, avec 29 morts déplorées dans des homicides de ce type par la police dans les Bouches-du-Rhône, principalement à Marseille et dans ses environs. L'an dernier, au 7 février, 4 personnes avaient déjà trouvé la mort dans trois règlements de comptes différents.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
mardi 7 février 2017
L’actrice Elsa Zylberstein en garde à vue pour délit de fuite
Au volant alors qu’elle n’a plus de points sur son permis, elle a eu un accident avec une piétonne. Après s’être d’abord enfuie, elle s’est présentée au commissariat
L’actrice Elza Zylberstein est actuellement en garde à vue pour délit de fuite, défaut de permis et blessures involontaires aggravées, au commissariat du IIe arrondissement de Paris, selon BFMTV.
Au volant ce lundi, elle aurait eu un accident avec une piétonne, une vieille dame dont l’état de santé ne suscite aucune inquiétude.
Mais la comédienne s’est d’abord enfuie, avant d’être prise de remords et de se présenter au commissariat. Elle n’avait en réalité pas le droit de conduire faute de points sur son permis.
http://www.sudouest.fr/2017/02/06/l-actrice-elsa-zylberstein-en-garde-a-vue-pour-delit-de-fuite-3173489-5581.php
Au volant ce lundi, elle aurait eu un accident avec une piétonne, une vieille dame dont l’état de santé ne suscite aucune inquiétude.
Mais la comédienne s’est d’abord enfuie, avant d’être prise de remords et de se présenter au commissariat. Elle n’avait en réalité pas le droit de conduire faute de points sur son permis.
http://www.sudouest.fr/2017/02/06/l-actrice-elsa-zylberstein-en-garde-a-vue-pour-delit-de-fuite-3173489-5581.php
Un automobiliste se tue en percutant un pylône électrique
Alors qu'il n'était âgé que de 28 ans, Guillaume Capdordi a trouvé la mort, hier matin, sur la route de Montauban, à Montbartier. Au volant de sa Renault Super 5 blanche, le jeune homme domicilié à Saint-Sulpice (Tarn) venait d'entrer dans la petite agglomération tarn-et-garonnaise. Vers 4 heures 40, il a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore indéterminée. Juste après avoir franchi la courbe placée à l'entrée de Montbartier, la voiture a traversé soudainement la route, a basculé dans le fossé situé sur sa gauche et a percuté de plein fouet un pylône en béton. Le choc contre le poteau électrique a été terrible. Seul occupant de la voiture, le conducteur est mort avant l'arrivée des secours. Le maire de Montbartier Jean-Claude Raynal s'est rendu sur les lieux du drame. La victime connaissait quelqu'un dans le bourg.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par la gendarmerie, le jeune automobiliste ne portait pas sa ceinture de sécurité au même de l'accident. Un prélèvement sanguin a été également effectué pour déterminer le taux d'alcoolémie
Le samedi 14 janvier, une jeune automobiliste âgée de 24 ans est décédée des suites de ses graves blessures contractées, la veille, à Toufailles, lors d'une collision frontale avec un fourgon.
La semaine suivante, le mercredi 18 janvier, une octogénaire moissagaise s'est tuée au volant de sa voiture, après avoir pris l'autoroute A62, à contresens, à hauteur de Castelsarrasin.
Si 2016 a été considérée comme une année noire en matière d'insécurité routière dans le département, malgré un nombre de tués légèrement inférieur à 2015 (26 au lieu de 28), 2017 semble donc prendre le même chemin, notamment après ces trois morts constatés depuis le début de l'année.
Une situation déplorée par les forces de l'ordre qui multiplient pourtant les contrôles de vitesse et les opérations de sécurité routière. «On doit continuer d'avertir les gens que la route tue et qu'il y a des risques. Les opérations de sécurité routière vont se poursuivre en 2017. Il y a beaucoup à faire», avait souligné, en début d'année, le préfet Pierre Besnard, avant de rappeler que le Tarn-et-Garonne restait l'un des départements français les plus meurtriers au niveau de l'accidentologie. De tristes records dont on se passerait bien
http://www.ladepeche.fr/communes/montbartier,82123.html
Déjà trois personnes décédées sur la route en 2017
Ce nouveau drame de la circulation survenu, hier, à Montbartier vient s'ajouter à deux autres accidents mortels enregistrés depuis le début de l'année sur les routes du département.Le samedi 14 janvier, une jeune automobiliste âgée de 24 ans est décédée des suites de ses graves blessures contractées, la veille, à Toufailles, lors d'une collision frontale avec un fourgon.
La semaine suivante, le mercredi 18 janvier, une octogénaire moissagaise s'est tuée au volant de sa voiture, après avoir pris l'autoroute A62, à contresens, à hauteur de Castelsarrasin.
Si 2016 a été considérée comme une année noire en matière d'insécurité routière dans le département, malgré un nombre de tués légèrement inférieur à 2015 (26 au lieu de 28), 2017 semble donc prendre le même chemin, notamment après ces trois morts constatés depuis le début de l'année.
Une situation déplorée par les forces de l'ordre qui multiplient pourtant les contrôles de vitesse et les opérations de sécurité routière. «On doit continuer d'avertir les gens que la route tue et qu'il y a des risques. Les opérations de sécurité routière vont se poursuivre en 2017. Il y a beaucoup à faire», avait souligné, en début d'année, le préfet Pierre Besnard, avant de rappeler que le Tarn-et-Garonne restait l'un des départements français les plus meurtriers au niveau de l'accidentologie. De tristes records dont on se passerait bien
http://www.ladepeche.fr/communes/montbartier,82123.html
lundi 6 février 2017
Elle tente de mettre fin à ses jours dans le port de l'embouchure à Toulouse
Une jeune femme désespérée a tenté de mettre fin à ses jours, ce matin vers 8h30, dans le bassin du port de l'embouchure, à Toulouse, où se rejoignent le Canal du Midi, le Canal de Brienne et le Canal latéral à la Garonne. Elle s'est jetée à l'eau mais un joggeur n'a pas hésité à plonger à son tour. Il a rattrapé la victime et l'a ramenée sur la berge. Elle a été prise en charge par les pompiers et hospitalisée. Ses jours ne sont pas en danger
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
dimanche 5 février 2017
Aix-en-Provence. Ils avaient frappé à mort un septuagénaire
Le 31 octobre 2014, dans une zone pavillonnaire de Mimet, près d'Aix-en-Provence, des jeunes s'amusent. Bruits de scooters, pétards, fusées, ils ont l'habitude de se réunir sous un abribus à proximité du domicile de Jean Jelencik. Ils provoquent régulièrement le septuagénaire, avant de s'enfuir en courant dès que le vieux monsieur sort de chez lui, parfois armé d'un fusil ou d'un bâton. Mais ce soir-là, deux jeunes filles restent au milieu de la route et une échauffourée éclate entre ces deux cousines et Jean Jelencik. Deux garçons, le petit ami d'une des deux filles et un copain, volent à leur secours. Coups de pied, coups de poing, la victime chute au sol et subit un déchaînement de violences.
Demain devant la cour d'assises des Bouches-du-Rhôneprendront place neuf garçons et trois filles, dont sept étaient mineurs au moment des faits. Seuls quatre d'entre eux sont jugés pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, en réunion, tandis que huit autres répondent du seul délit de non-assistance à personne en danger. Ce n'est en effet que vingt minutes après avoir abandonné au milieu de la chaussée la victime inconsciente et «faisant des bruits bizarres» que les secours avaient été prévenus anonymement depuis une cabine téléphonique de Gardanne.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
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samedi 4 février 2017
Hérault : sidération à Pignan après la mort du gérant de la supérette
Jeudi 2 février, avant l'ouverture, Daniel Rouanet a été tué par un ex-salarié à la retraite. Le village plongé dans la sidération.
Quel autre mot que sidération pour décrire l'ambiance qui régnait, jeudi à Pignan ? Là où, en début de matinée, Daniel Rouanet, âgé de 55 ans et patron de la supérette à l'enseigne Spar, a été froidement abattu par un ancien salarié.
Que s'est-il exactement passé ? L'enquête confiée aux gendarmes de la compagnie de Castelnau-le-Lez permettra certainement de le dire.Chose certaine en revanche : il était 7 h 45 lorsque le suspect, ancien boucher à la retraité et âgé de 63 ans est arrivé devant le magasin. Là, il a fait feu sur la victime avec un fusil de chasse. Un seul coup - mais malheureusement fatal - aurait été tiré sur Daniel Rouanet. Le fils de ce dernier et un employé auraient assisté, impuissants, à la scène avant de parvenir à ceinturer le meurtrier présumé jusqu'à l'arrivée des gendarmes. Sur place quelques minutes plus tard, les pompiers ont vainement tenté de ranimer la victime.
Suspect et victimes entretenaient de bonnes relations
Très vite, les gendarmes ont gelé la scène de crime et verrouillé, avec l'aide de la police municipale, l'accès à la supérette pour permettre aux techniciens en identification criminelle de débuter leur travail de police technique. Un minutieux travail d'investigations qui a duré jusqu'en début d'après-midi.
Parallèlement, d'autres enquêteurs se sont chargés de la garde à vue du suspect. Un homme dont le geste restait, jeudi soir encore, inexpliqué. Car depuis qu'il avait quitté son emploi, le sexagénaire entretenait de bonnes relations avec la victime. Passant régulièrement boire le café. Jusqu'à jeudi matin. Lorsqu'il est arrivé devant le commerce, encagoulé, et a fait feu. Un geste aussi fou qu'incompréhensible. Et dont la genèse est peut-être à rechercher dans la personnalité même du tireur.
En effet, selon nos informations, plusieurs habitants avaient signalé aux autorités le fait que cet amateur de chasse déambulait régulièrement dans la commune, arme à la main. On a également appris que sa fille aurait tenté de le faire interner à plusieurs reprises au cours des deux dernières années. En vain. On sait enfin que, quelques mois auparavant, la gendarmerie était intervenue à la suite d'un problème le concernant. Intervention au cours de laquelle les militaires avaient saisi huit armes (des fusils) lui appartenant. "C'était un grand chasseur. L'hiver, il avait toujours ses fusils dans la voiture", raconte un témoin. Selon d‘autres habitants, "beaucoup savaient qu'il était dangereux mais que l'on ne pouvait rien faire".
"Il a tué celui qui l'avait aidé...", résume un Pignanais.Ce dernier rappelant qu'à l'époque, face aux interrogations de certains concernant l'embauche de ce salarié, Daniel Rouanet avait répondu : "C'est un Pignanais !" Peut-être la phrase résumant le mieux l'humanité dont faisait montre le chef d'entreprise. Confortant, au-delà du seul drame, ce sentiment où l'injustice le dispute à l'incompréhension.
À l'instar de cette voisine, agent immobilier. "Dites-moi comment, dans un village comme celui-là, ce genre de chose est possible ? Vraiment, je suis révoltée ! Je le connaissais depuis 1991. Même nous, on ménage les gens, on fait attention. Pignan, Fabrègues... Tous ces coins maintenant, il commence à s'y passer des choses anormales."
http://www.midilibre.fr/2017/02/03/herault-sideration-a-pignan-apres-la-mort-du-gerant-de-la-superette,1462088.php
Suspect et victimes entretenaient de bonnes relations
Très vite, les gendarmes ont gelé la scène de crime et verrouillé, avec l'aide de la police municipale, l'accès à la supérette pour permettre aux techniciens en identification criminelle de débuter leur travail de police technique. Un minutieux travail d'investigations qui a duré jusqu'en début d'après-midi.
Parallèlement, d'autres enquêteurs se sont chargés de la garde à vue du suspect. Un homme dont le geste restait, jeudi soir encore, inexpliqué. Car depuis qu'il avait quitté son emploi, le sexagénaire entretenait de bonnes relations avec la victime. Passant régulièrement boire le café. Jusqu'à jeudi matin. Lorsqu'il est arrivé devant le commerce, encagoulé, et a fait feu. Un geste aussi fou qu'incompréhensible. Et dont la genèse est peut-être à rechercher dans la personnalité même du tireur.
En effet, selon nos informations, plusieurs habitants avaient signalé aux autorités le fait que cet amateur de chasse déambulait régulièrement dans la commune, arme à la main. On a également appris que sa fille aurait tenté de le faire interner à plusieurs reprises au cours des deux dernières années. En vain. On sait enfin que, quelques mois auparavant, la gendarmerie était intervenue à la suite d'un problème le concernant. Intervention au cours de laquelle les militaires avaient saisi huit armes (des fusils) lui appartenant. "C'était un grand chasseur. L'hiver, il avait toujours ses fusils dans la voiture", raconte un témoin. Selon d‘autres habitants, "beaucoup savaient qu'il était dangereux mais que l'on ne pouvait rien faire".
"Beaucoup savaient qu'il était dangereux"Reste à savoir si des troubles psychiques ou psychiatriques peuvent l'avoir incité à ce passage à l'acte.Une hypothèse sérieusement passée au crible par les enquêteurs au vu du passé à tout le moins troublé de l'intéressé.
"Il a tué celui qui l'avait aidé...", résume un Pignanais.Ce dernier rappelant qu'à l'époque, face aux interrogations de certains concernant l'embauche de ce salarié, Daniel Rouanet avait répondu : "C'est un Pignanais !" Peut-être la phrase résumant le mieux l'humanité dont faisait montre le chef d'entreprise. Confortant, au-delà du seul drame, ce sentiment où l'injustice le dispute à l'incompréhension.
À l'instar de cette voisine, agent immobilier. "Dites-moi comment, dans un village comme celui-là, ce genre de chose est possible ? Vraiment, je suis révoltée ! Je le connaissais depuis 1991. Même nous, on ménage les gens, on fait attention. Pignan, Fabrègues... Tous ces coins maintenant, il commence à s'y passer des choses anormales."
http://www.midilibre.fr/2017/02/03/herault-sideration-a-pignan-apres-la-mort-du-gerant-de-la-superette,1462088.php
vendredi 3 février 2017
Côtes-d'Armor: une mère et sa fille trouvées mortes
Deux femmes, une mère et sa fille, ont été tuées à leur domicile de Plounévez-Quintin dans les Côtes-d’Armor rapporte Ouest-France. Un homme souffrant d’une plaie à la tête, qui serait le père de famille, a été transporté à l’hôpital.
Hier soir, les voisins s’inquiétaient de ne pas avoir de nouvelles de la famille. Ils ont alors appelé les secours, qui ont fait une macabre découverte peu avant 20 heures.
Une sexagénaire et sa fille gisaient, mortes, dans la maison. Un homme, qui serait vraisembablement le père de famille, a aussi été trouvé sur place. Souffrant d’une plaie à la tête, il a été transporté à l’hôpital par les pompiers. Homicides ou suicide, aucune hypothèse n'est pour l'instant privilégiée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Hier soir, les voisins s’inquiétaient de ne pas avoir de nouvelles de la famille. Ils ont alors appelé les secours, qui ont fait une macabre découverte peu avant 20 heures.
Une sexagénaire et sa fille gisaient, mortes, dans la maison. Un homme, qui serait vraisembablement le père de famille, a aussi été trouvé sur place. Souffrant d’une plaie à la tête, il a été transporté à l’hôpital par les pompiers. Homicides ou suicide, aucune hypothèse n'est pour l'instant privilégiée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
jeudi 2 février 2017
Maltraitance: une institutrice condamnée
Une institutrice accusée d'avoir maltraité un enfant a été condamnée aujourd'hui par le tribunal correctionnel de Tours à quatre mois de prison avec sursis et à une interdiction d'exercer une profession en contact avec des enfants.
Me Michel Brugière a indiqué qu'il avait "immédiatement" fait appel de ce jugement, estimant qu'il "n'y a aucune preuve" contre l'enseignante, âgée de 50 ans. Celle-ci, a-t-il avancé, a surtout été victime de sa réputation de "maîtresse sévère" à son arrivée en septembre 2014 dans une école de Joué-lès-Tours, une commune populaire de la banlieue de Tours.
» Lire aussi - Une institutrice suspendue pour avoir scotché ses élèves à leur chaise
Le 2 décembre 2014, elle avait fait taire un garçon de sa classe de 24 élèves de CE1-CE2, qui perturbait souvent les cours avec deux de ses camarades. Selon elle, en lui fermant la bouche et en posant son index sur les lèvres. Lui, assure de son côté avoir été "étranglé" par sa maîtresse.
Alertée par le récit d'une camarade de classe, la mère de l'enfant, qui n'avait d'abord rien remarqué, observe des traces de doigts sur un côté du cou du garçonnet. Le lendemain, elle se plaint auprès de la directrice et obtient le soutien d'autres parents d'élèves qui assurent que la maîtresse maltraite leurs enfants. Ce n'est qu'une quinzaine de jours plus tard que la mère portera plainte. L'avocat de l'enseignante souligne que sa cliente n'a jamais été sanctionnée pour de tels faits depuis qu'elle a débuté sa carrière en 1996. "J'ai rarement vu un dossier aussi creux, sans certificat médical", a-t-il commenté
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Me Michel Brugière a indiqué qu'il avait "immédiatement" fait appel de ce jugement, estimant qu'il "n'y a aucune preuve" contre l'enseignante, âgée de 50 ans. Celle-ci, a-t-il avancé, a surtout été victime de sa réputation de "maîtresse sévère" à son arrivée en septembre 2014 dans une école de Joué-lès-Tours, une commune populaire de la banlieue de Tours.
» Lire aussi - Une institutrice suspendue pour avoir scotché ses élèves à leur chaise
Le 2 décembre 2014, elle avait fait taire un garçon de sa classe de 24 élèves de CE1-CE2, qui perturbait souvent les cours avec deux de ses camarades. Selon elle, en lui fermant la bouche et en posant son index sur les lèvres. Lui, assure de son côté avoir été "étranglé" par sa maîtresse.
Alertée par le récit d'une camarade de classe, la mère de l'enfant, qui n'avait d'abord rien remarqué, observe des traces de doigts sur un côté du cou du garçonnet. Le lendemain, elle se plaint auprès de la directrice et obtient le soutien d'autres parents d'élèves qui assurent que la maîtresse maltraite leurs enfants. Ce n'est qu'une quinzaine de jours plus tard que la mère portera plainte. L'avocat de l'enseignante souligne que sa cliente n'a jamais été sanctionnée pour de tels faits depuis qu'elle a débuté sa carrière en 1996. "J'ai rarement vu un dossier aussi creux, sans certificat médical", a-t-il commenté
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Hôpital : les infirmières mettent en cause le comportement d'un médecin
11 infirmiers, infirmières et aides soignantes du service des soins continus du centre hospitalier de Lavaur, dans un courrier daté du 15 décembre 2016, mettent gravement en cause les pratiques d'un médecin, chef de service de l'établissement. Des rumeurs en ville, des bruits de couloir, des supputations, mais rien, jusqu'à présent, n'avait filtré hors des murs. Nous avons eu possession de ce courrier où figurent de lourdes accusations : «Nous sommes face à un médecin qui n'est pas disponible et laisse les soignants mais aussi les patients livrés à eux-mêmes. (..) Il prend certaines décisions seul, notamment la non-réanimation d'un patient sans consulter ni la famille ni l'équipe soignante». Hier, nous avons joint ce médecin. Ce praticien ne souhaite pas commenter ou se justifier sur le fond de l'affaire, mais il est apparu décontenancé et blessé dans son honneur : «Je ne veux pas rentrer dans la moindre polémique qui rajouterait des problèmes supplémentaires à l'hôpital. J'ai une conscience professionnelle et en aucun cas je ne chercherais à nuire à personne».
Cette lettre a été adressée à Bernard Carayon, maire et président du conseil de surveillance : «Après lecture, je l'ai transmise à la direction de l'hôpital qui est seule compétente dans cette situation, indique-t-il. L'hôpital a ensuite redirigé la missive vers l'Agence Régionale de Santé (ARS) qui a demandé à la direction de l'hôpital vauréen «de traiter avec diligence cette situation».
http://www.ladepeche.fr/communes/lavaur,81140.html
Une affaire qui tombe à un bien mauvais moment pour l'hôpital avec un directeur en maladie et qui a perdu la confiance du conseil de surveillance et du président de la CME, l'absence de DRH et de directeur des services financiers, et des difficultés budgétaires.
http://www.ladepeche.fr/communes/lavaur,81140.html
«L'affaire tombe mal»
Hier après-midi, Bertrand Perin, directeur adjoint (le directeur est actuellement en maladie) a précisé qu'il avait bien pris en compte le problème : «J'ai reçu ce docteur en présence de la directrice des soins infirmiers et du président de la CME. Je lui ai dit de changer de comportement et de revoir l'organisation du service. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de faire un grand déballage sur la place publique. J'ai également envoyé un courrier aux signataires pour les informer qu'ils pourraient bénéficier de la protection fonctionnelle. Je les recevrai individuellement».http://www.ladepeche.fr/communes/lavaur,81140.html
Une affaire qui tombe à un bien mauvais moment pour l'hôpital avec un directeur en maladie et qui a perdu la confiance du conseil de surveillance et du président de la CME, l'absence de DRH et de directeur des services financiers, et des difficultés budgétaires.
http://www.ladepeche.fr/communes/lavaur,81140.html
mercredi 1 février 2017
Villeneuve-sur-Lot : un SDF passe une nuit enfermé à Leclerc
Le jeune homme de 22 ans s’est occupé en jouant à la Playstation, avant d’uriner sur les manettes….
En revanche, il n’a pas trouvé les toilettes, pourtant proches de l’Espace culturel. À tel point qu’il a uriné par terre, y compris sur les manettes de jeu, dégradées comme d’autres objets utilisés durant sa nuit. Il s’est endormi à nouveau, près de la console de jeu, vers 5 heures, avant d’être définitivement réveillé au petit matin par les employés. Pour cette nuit inoubliable, il fera l’objet d’une Convocation par officier de police judiciaire, le 8 juin, devant le tribunal correctionnel d’Agen
http://www.sudouest.fr/2017/02/01/la-drole-de-nuit-d-un-sdf-enferme-a-leclerc-3157458-3603.php
Les employés du centre Leclerc de Villeneuve-sur-Lot ont fait une drôle de découverte, mardi matin, à leur embauche. Un sans domicile fixe de 22 ans, présent sur le secteur depuis plusieurs jours, a été enfermé dans le centre commercial – à son insu, a-t-il expliqué – lundi vers 21 heures. « Je m’étais mis sur un canapé dans la galerie marchande, et je me suis endormi », a-t-il ensuite déclaré aux policiers.
Convoqué devant le tribunal
Une fois réveillé, au cœur de la nuit, il s’est dirigé vers l’Espace culturel du centre commercial pour prendre une console de jeux PS4, qu’il a aussitôt branché pour jouer au célèbre jeu « Fallout 4 » pendant plusieurs heures. En guise de petit-déjeuner, il s’est servi dans les rayons : lait, chips et bonbons ont fait l’affaire.En revanche, il n’a pas trouvé les toilettes, pourtant proches de l’Espace culturel. À tel point qu’il a uriné par terre, y compris sur les manettes de jeu, dégradées comme d’autres objets utilisés durant sa nuit. Il s’est endormi à nouveau, près de la console de jeu, vers 5 heures, avant d’être définitivement réveillé au petit matin par les employés. Pour cette nuit inoubliable, il fera l’objet d’une Convocation par officier de police judiciaire, le 8 juin, devant le tribunal correctionnel d’Agen
http://www.sudouest.fr/2017/02/01/la-drole-de-nuit-d-un-sdf-enferme-a-leclerc-3157458-3603.php
RD 119 : trois personnes grièvement blessées dans une collision frontale côte de Millet
Un nouvel accident de la circulation est survenu hier vers 13 h 30, sur la route de Mirepoix (RD 119) au lieu-dit «côte de Millet», commune de La Tour -u-Crieu. L'accident s'est produit au niveau de l'intersection avec la route de Verniolle.
Pour une raison indéterminée, deux véhicules roulant en sens contraires se sont violemment percutés. Sur le coup, deux des occupants ont été éjectés, un autre est demeuré incarcéré dans l'épave d'une des voitures en cause.
Rapidement, un dispositif de sec ours se mettait en place, avec interdiction de circulation. De nombreux véhicules de pompiers étaient engagés, montés par les hommes de Pamiers, Varilhes et Saverdun, auxquels étaient joints les deux SMUR, le site de l'accident étant sécurité par la gendarmerie, et plus loin par la police qui en bloquait l'accès. Les pompiers ont donc transporté au CHIVA trois victimes, grièvement blessées.Les trois victimes sont ariégeoises.
En quelques semaines c'est le troisième accident qui survient entre la Tour-du-Crieu et Les Pujols sur la RD 119, dont malheureusement deux furent mortels. L'enquête ouverte par la gendarmerie devra déterminer les causes de cette nouvelle collision.
http://www.ladepeche.fr/communes/la-tour-du-crieu,09312.html
Rapidement, un dispositif de sec ours se mettait en place, avec interdiction de circulation. De nombreux véhicules de pompiers étaient engagés, montés par les hommes de Pamiers, Varilhes et Saverdun, auxquels étaient joints les deux SMUR, le site de l'accident étant sécurité par la gendarmerie, et plus loin par la police qui en bloquait l'accès. Les pompiers ont donc transporté au CHIVA trois victimes, grièvement blessées.Les trois victimes sont ariégeoises.
En quelques semaines c'est le troisième accident qui survient entre la Tour-du-Crieu et Les Pujols sur la RD 119, dont malheureusement deux furent mortels. L'enquête ouverte par la gendarmerie devra déterminer les causes de cette nouvelle collision.
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