mardi 31 mai 2011

Seine-et-Marne : un vieux bombardier s'écrase près de l’A5B

Un avion s’est crashé ce mardi 31 mai vers 17 h 30 près de l’aérodrôme de Melun-Villaroche (Seine-et-Marne), entre Moissy-Cramayel et Réau. Cet appareil de collection, un bombardier américain datant de la Seconde Guerre mondiale, a été aperçu par des témoins avec un moteur en feu. Selon des salariés de l’usine Snecma, voisine de l’aérodrome, l’appareil aurait ensuite amorcé un brusque virage.
Après avoir sectionné des lignes électriques, il a atterri dans un champ à quelque 300 mètres de l’autroute A5B, ont constaté deux journalistes du Parisien. Le pilote et son passager ont réussi à s’extraire de l’appareil. Ils sont indemnes. D’importants moyens de sécurité ont été déployés pour éteindre l’incendie et éviter que les réservoirs du B25 n’explosent.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/seine-et-marne-un-vieux-bombardier-s-ecrase-pres-de-l-a5b-31-05-2011-1475075.php

Une caméra cachée dans le vestiaire des femmes au conseil général

Une enquête a été ouverte à Montpellier après la découverte, en fin de semaine dernière, d'une caméra dans un vestiaire pour femmes au siège du conseil général de l'Hérault. La collectivité a porté plainte contre X.
"On a une petite salle où il y a des cours de gym le midi", ouverts aux salariés du département, explique-t-on au conseil général, confirmant une information de France Bleu Hérault. La caméra a été repérée par une fonctionnaire qui suivait les cours de gym.

http://www.midilibre.fr/2011/05/31/decouverte-d-une-camera-dans-un-vestiaire-pour-femmes-au-conseil-general,327522.php

Limoux. Bébé congelé : les grands-parents ont retrouvé leurs petites filles

« Nous sommes venus défendre notre fille et voir nos petits enfants ». Les parents de Nathalie De Mey incarcérée à Perpignan après la découverte d'un bébé congelé dans son appartement, ont fait plus de mille kilomètres depuis leur Belgique natale au terme d'un parcours du combattant avec l'administration Belge et Française pour obtenir un droit de visite. Ce sont des parents effondrés, bouleversés par les faits, mais dignes qui sont arrivés à Limoux hier. La maman de nous confier : « Cela fait huit ans que je pleure pour mon enfant, et mes petits enfants, vous comprenez ? » Une situation douloureuse pour cette famille Belge qui a vu s'éloigner, impuissante, leur fille, qu'ils savaient malheureuse comme ils tiennent à le préciser. Sans jamais couper ce lien ténu auxquels ils s'accrochaient, même si depuis de longs mois ils essayaient de la joindre au téléphone, mais Nathalie n'avait plus de portable. Pourquoi s'interrogent-t-ils encore ? Ils auraient tellement souhaité que leur fille revienne en Belgique avec ses enfants. En février dernier pendant les vacances enfin une lueur d'espoir, Nathalie promettait de venir, mais ils ont attendu en vain leur fille. Durant leur séjour limouxin les parents De May seront entendus mercredi par les gendarmes. Ils rendront visite à leur fille vendredi. En attendant, les grands-parents et leurs petites filles se sont retrouvés dans un bonheur tranquille comme dans n'importe quelle famille. Les fillettes ont retrouvé les câlins d'une mamy et d'un papy attentionnés et plein de tendresse.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/31/1094960-bebe-congele-les-parents-de-nathalie-ont-retrouve-leurs-petites-filles.html

Mystérieux tirs à Noisy-le-Sec

La police est intervenue lundi soir dans la cité du Londeau, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis), après qu'un habitant a signalé un coup de feu, provenant d'un appartement situé dans une barre de dix étages, vers 20 h 30. La police s'est immédiatement rendue dans le quartier mais, vers 22 heures, le mystère de ce coup de feu restait entier. Les forces de l'ordre sont restées sur les lieux, sous le regard curieux de quelques voisins.

La veille, en tout début de soirée, des détonations ont déjà été signalées dans ce même secteur, mais aucune arme n'a été trouvée et personne n'a été interpellé. Les faits signalés dimanche font l'objet d'une enquête confiée à la police judiciaire judiciaire de Seine-Saint-Denis.


http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/mysterieux-tirs-a-noisy-le-sec-30-05-2011-1473649.php

Le portier d’un bar attaqué au M16

L’arme était en réalité un jouet. Mais lorsque la bagarre éclate le 25 mai dernier devant un bar de la place Pie à Avignon, le portier et le gérant de l’établissement croient que leur dernière heure est arrivée.
Pour une raison qu’aucun des protagonistes n’a voulu livrer à la police, un différend opposait les responsables du bar à un passant.
Seul contre deux, ce dernier n’avait alors pas hésité à dégainer un fusil d’assaut. Une arme que le vigile avait pris pour une Kalachnikov.
Après avoir déposé plainte au commissariat, le portier avait parfaitement reconnu son agresseur sur photo. Un Avignonnais de 25 ans bien connu de la police.
C’est d’ailleurs en patrouillant dans le centre-ville, samedi soir, que la brigade anticriminalité a retrouvé sa trace. Arrêté et placé en garde à vue, le suspect a reconnu les faits. Mais il a surtout révélé que le fusil était purement factice. La perquisition de son domicile a d’ailleurs confirmé ses dires. Libéré à l’issue de la procédure, il sera néanmoins jugé, le 5 juillet, pour menace avec arme.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/05/29/le-portier-d-un-bar-attaque-avec-un-m16

lundi 30 mai 2011

Un véhicule de gendarmes fauche un groupe d'enfants près de Tours

Douze jeunes auraient été blessés, dont cinq gravement...
Un véhicule de gendarmes a fauché un groupe d'enfants, ce lundi, près de Tours, faisant 12 blessés. Pour une raison encore inconnue, le véhicule, banalisé selon France Info, aurait percuté un groupe de 23 jeunes qui marchaient sur un trottoir à Joué-lès-Tours. Cinq jeunes aurait été grièvement atteints et sept plus légérement. Selon le site de la radio, le plan rouge -visant à secourir plusieurs victimes au même endroit- a été déclenché.

http://www.20minutes.fr/article/733124/vehicule-gendarmes-fauche-groupe-enfants-pres-tours

Une femme et une fillette de 4 ans trouvent la mort sur l'A41

Lundi matin à 5h45, une femme de 35 ans et une fillette de 4 ans ont trouvé la mort sur l'A41 au niveau d'Aix-les-Bains (Savoie). Elles naviguaient avec le reste de leur famille, le père et une autre jeune fille, dans un pick-up. Le père se serait assoupi au volant lors du dépassement d'un poids lourd, et a percuté violemment l'arrière d'un autre semi-remorque. La partie droite de la voiture s'est totalement encastrée sous le camion. Le père est sorti de la voiture et a tenté un massage cardiaque sur sa fille. En vain. Le père et son second enfant (une fille de deux ans) ont été transportés à l'hôpital de Chambéry mais ne souffraient pas de blessures graves. La famille, originaire de Zurich (Suisse Alémanique), partait en vacances dans le Sud de la France

http://www.ledauphine.com/savoie/2011/05/30/une-femme-et-une-fillette-de-6-ans-trouvent-la-mort-sur-l-a41

À peine libéré, le voleur, qui se trouve sous curatelle, récidive

Il ne sait pas trop pourquoi il a forcé la porte de ce bar, à Béziers, le 4 avril dernier. L’homme est sous curatelle et le tribunal a ordonné une expertise psychiatrique lors de sa comparution immédiate.
Vers une heure du matin donc, le prévenu donne un coup de pied dans la porte du café puis force la réserve mais n’a pas le temps de voler quoique ce soit car l’alarme se déclenche.

Interpellé sur place et placé en garde à vue, il est finalement relâché avec une convocation devant le tribunal correctionnel.
À peine remis en liberté, le prévenu se rend dans un hôtel du centre-ville de Béziers. Il toque violemment dans la porte de la réception fermée. Puis il repart.
La gérante s’absente. Quand elle revient, elle le voit sortir de son établissement. Il a forcé la porte et emporté un ordinateur.
Le casier judiciaire du prévenu porte la trace de deux condamnations pour extorsion de fonds avec violence, outrage et rébellion. L’homme est régulièrement admis en psychiatrie. Et l’expert préconise une surveillance psychiatrique à vie mais établit que l’infraction n’est pas en lien direct avec son altération mentale chronique.
"Ma curatrice ne me laisse pas assez d’argent pour vivre. Avec 60 € par semaine, comment je paie mes cigarettes ?", s’exclame le prévenu qui nie être dangereux pour la société.
Le Parquet requiert trois mois de prison ferme et huit mois avec sursis.
Me Bar, pour la défense explique que son client a un problème avec son traitement médical.
Le prévenu a été condamné à deux mois de prison dont vingt jours avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans.
http://www.midilibre.fr/2011/05/29/a-peine-libere-le-voleur-qui-se-trouve-sous-curatelle-recidive,326692.php

Aubagne : un enfant de 7 ans blessé avec une seringue trouvée devant l'école

Maman, il s'est passé un drame, il a piqué un petit garçon avec une seringue." Lorsque Corinne rentre chez elle mardi soir, son fils aîné est inquiet. J., son cadet, âgé de 8 ans et scolarisé à l'école primaire du Charrel lui raconte les circonstances de cet incident qui s'est déroulé à 16h30, à la sortie des classes."On a trouvé une seringue, je l'ai ramassé pour l'enterrer pour que personne ne se blesse et puis il y a eu une bousculade et D. a été piqué à la main", explique le petit garçon à sa mère.
D. a 7 ans et demi ; il est aussi scolarisé à l'école primaire du Charrel. Sa maman, Noëlle, est à quelques mètres de son fils lorsque celui-ci est blessé. Encore sous le choc deux jours après les faits, Noëlle est dans l'attente des résultats des examens sanguins de son fils. "Il a crié et j'ai vu l'autre petit avec la seringue à la main", se souvient-elle. La jeune maman se précipite, presse avec force sur la paume de la main de son fils puis file chez le pharmacien du quartier et le médecin le plus proche qui lui conseille de se rendre rapidement aux urgences de l'hôpital d'Aubagne. Là, "les médecins lui ont désinfecté la main pendant un bon moment, puis ils lui ont fait une prise de sang". Noëlle garde son calme devant son enfant, mais elle est inquiète. Heureusement, les tests pratiqués sur le petit garçon se sont révélés négatifs.
La maman contacte le bailleur social Erilia pour que le parvis de l'école soit nettoyé et les seringues et aiguilles enlevées. Les heures passent. Rien. Le commissariat est alerté. Erilia de son côté affirme avoir prévenu les services techniques de la Ville.
Noëlle a finalement déposé plainte jeudi au commissariat d'Aubagne pour "mise en danger d'autrui". Les policiers se sont chargés de ramasser le matériel. Selon toute vraisemblance, ces seringues proviendraient de la mallette d'une infirmière libérale d'Aubagne qui dans la nuit de lundi à mardi a été victime d'un vol à la roulotte.
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/aubagne-un-enfant-de-7-ans-blesse-avec-une-seringue-trouvee-devant-lecole

dimanche 29 mai 2011

Viry-Châtillon : Un adolescent se noie dans un étang

Un adolescent de 14 ans, scolarisé au collège des Gâtines, à Savigny-sur-Orge (Essonne) et habitant dans cette commune, est mort noyé dans la nuit de samedi à dimanche, dans un étang à Viry-Châtillon (Essonne). La victime, qui ne savait pourtant pas nager, s’est jetée à l’eau au cours d’une soirée organisée dans une maison située sur la rive de l’étang. Ne voyant pas leur ami remonter, les fêtards ont immédiatement appelé les pompiers qui ont repêché le corps, vers 1 heure du matin aujourd’hui. Les auditions des convives, pour connaître les circonstances du drame, se déroulent cet après-midi.

http://www.leparisien.fr/essonne-91/viry-chatillon-un-adolescent-se-noie-dans-un-etang-29-05-2011-1471868.php

Charente: huit blessés, dont trois grièvement, dans une collision

Huit personnes ont été blessées, dont cinq gravement, dans une collision entre deux véhicules sur la nationale 10, au nord de Barbezieux (Charente) dans la nuit de samedi à dimanche.

L'accident s'est produit vers 4 heures du matin quand les deux voitures, qui transportaient chacune quatre passagers, se sont percutées, ont précisé les gendarmes.

Les personnes les plus gravement touchées sont un homme de 38 ans, habitant Mont-de-Marsan, une jeune fille de 11 ans, également originaire des Landes et la conductrice de 30 ans de l'autre véhicule qui était immatriculé en Charente. Les cinq autres blessés sont une femme de 51 ans, une jeune fille de 21 ans ainsi que trois hommes de 44, 35 et 23 ans.

Les huit victimes ont été hospitalisées à Angoulême, ont indiqué les pompiers. Une enquête a été confiée à la gendarmerie afin de déterminer les circonstances de l'accident.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/charente-huit-blesses-dont-trois-grievement-dans-une-collision-29-05-2011-1471827.php

Pic de Bugarach. Malaise mortel pour un randonneur

Un randonneur toulousain âgé de 61 ans, Pierre Faconde, a succombé à une crise cardiaque, hier en fin de matinée, alors qu'il se trouvait à proximité du sommet du pic de Bugarach. L'accident qui s'est produit vers 12 h 50, est intervenu au moment où la victime, en position assise, se reposait au terme de l'ascension. Son épouse qui l'accompagnait, alertait les secours. Une équipe du GRIMP (groupe d'intervention en milieu périlleux) était dépêchée sur les lieux, tandis que l'hélicoptère du Samu ralliait le sommet avec un médecin urgentiste à son bord. Malgré la rapide intervention de ce dernier, hélitreuillé sur les lieux du drame, qui lui prodigua les soins de circonstance, notamment des massages cardiaques, le randonneur ne pouvait être ramené à la vie.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/29/1093648-pic-de-bugarach-malaise-mortel-pour-un-randonneur.html

Il conduit sans permis avec des amphétamines

Le 17 mai dernier, un conducteur est contrôlé à Agde. Non seulement il conduit sans le permis qu’il n’a jamais passé, mais il reconnaît avoir fumé du cannabis. On trouve sur lui et sa passagère, des bombonnes d’amphétamines, soit 2,9 g. "J’avais moins d’un gramme, le reste c’était à ma copine", se défend le prévenu. Il refuse qu’on lui prélève son sang : "Pas du tout mais comme je suis toxico, à la troisième piqûre, on ne trouvait toujours pas de veine, alors je leur ai dit d’arrêter".
Et d’expliquer que ce jour-là, ils étaient partis faire une grillade avec sa compagne et son enfant.

Son casier porte la trace de dix-sept condamnations, dont un homicide involontaire lors de la conduite d’une voiture, des vols avec violences, aggravés ou en réunion, des violences sur dépositaires de l’autorité publique, menaces, plusieurs conduites sous l’empire d’un état alcoolique, stupéfiants… Il est sorti de prison il y a cinq mois. Et a en sus, des problèmes de vue.
Le Parquet requiert huit mois de prison. "Il fait des efforts pour se réinsérer", plaide Me Galmiche-Boulanger.
Il a été condamné à deux ans de prison avec maintien en détention
http://www.midilibre.fr/2011/05/28/il-conduit-sans-permis-avec-des-amphetamines,326304.php

Mauvais traitements ou maladie ? Un bébé victime de multiples fractures

Un nourrisson de moins de deux mois est actuellement soigné au centre hospitalier pour de multiples fractures. Une information judiciaire a été ouverte à l'encontre de son père, âgé de 23 ans. ...

Tout démarre lundi 16 mai, lorsqu'un bébé, une petite fille de moins de deux mois, est admise au centre hospitalier de Douai pour une fracture du tibia droit. Le père, un Esquerchinois de 23 ans, évoque alors un accident domestique.
Mais au cours de l'examen médical, les médecins découvrent que l'enfant souffre d'autres fractures, d'arrachements ligamentaires et de plusieurs hématomes sur le corps. On pense tout de suite naturellement à des coups et à de mauvais traitements subis par ce bébé. Mais les médecins n'écartent pas une autre possibilité : la fillette pourrait souffrir d'une maladie communément appelée maladie des os de verre, qui provoque une importante fragilité osseuse et entraîne des fractures.
Mais jeudi soir, tout s'accélère. Vers 20 heures, une infirmière de l'hôpital qui entend le bébé pleurer s'introduit dans sa chambre. Elle surprend alors le père en train de le gifler. Très vite, elle éloigne l'enfant et signale l'incident.
Pris en flagrant délit, le père est alors interpellé par les policiers du commissariat de Douai et placé en garde à vue. Une enquête est ouverte par la brigade des mineurs pour ce coup porté à l'hôpital, mais aussi pour les fractures repérées sur l'enfant, le geste du père ne jouant pas en sa faveur... Ce dernier explique qu'à bout de nerfs, il n'a pas supporté entendre son enfant pleurer à l'hôpital. Mais il nie complètement avoir porté d'autres coups et être l'auteur des fractures.
L'individu a été déféré hier après-midi au parquet, qui a ouvert une information judiciaire à son encontre pour violence sur mineur de moins de quinze ans par ascendant sans incapacité de travail, en relation avec les coups portés à l'hôpital. Concernant, les fractures, une autre information judiciaire est ouverte pour violence habituelle sur mineur de moins de quinze ans contre le père et contre X, au cas où l'entourage de l'enfant, familial ou pas, serait aussi concerné. Des faits passibles d'une peine de dix ans ferme.
Par ailleurs, le parquet a également requis le placement en détention provisoire du père, qui devait encore être entendu hier soir par le magistrat instructeur pour une probable mise en examen.
Enfin, par précaution, le bébé a fait l'objet d'une mesure de placement pour être éloigné du cercle familial, le temps notamment que les examens médicaux confirment ou infirment la thèse d'une maladie des os de verre.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Douai/actualite/Secteur_Douai/2011/05/28/article_mauvais-traitements-ou-maladie-un-bebe-v.shtml

samedi 28 mai 2011

Ivre et sans permis, il percute... la voiture de la BAC

Un automobiliste ivre et sans permis a été placé en garde à vue dans la nuit de vendredi à samedi à Marseille, après avoir percuté, dans les quartiers nord de la ville, un véhicule banalisé dans lequel se trouvaient trois fonctionnaires de la brigade anti-criminalité (BAC).
En état d'ivresse manifeste et sous le coup d'une annulation de permis, le conducteur, âgé d'une trentaine d'années, a tenté de faire croire que c'était le passager du véhicule qui conduisait. Refusant le contrôle d'alcoolémie, il a été placé en cellule de dégrisement, et sera déféré dimanche au parquet.

Touchés aux cervicales, les fonctionnaires de police devraient faire l'objet de certificats médicaux prescrivant quelques jours d'ITT (incapacité temporaire totale de travail).

http://www.midilibre.fr/2011/05/28/ivre-et-sans-permis-il-percute-la-bac,326249.php

Vol d'un camion de viande 600 kg de volaille partent dans la nature

Une tournée comme les autres. Pour le chauffeur d'un grossiste en viande de Montmirail (Marne), celle de ce vendredi ressemblait à bien d'autre. Sauf qu'il n'a jamais pu la terminer… En livrant une boucherie du Soissonnais, l'employé a vu le camion frigorifique, et son chargement, partir sous ses yeux.
Le vol s'est produit dans le bourg d'Ambleny (canton de Vic-sur-Aisne), petite commune située à l'ouest de Soissons. Vers 7 heures du matin, le poids-lourd de marque Iveco s'arrête devant la boucherie Messiasse, pour effectuer une livraison de volaille. Le cinquième ou sixième client de la matinée… Il en reste encore une petite vingtaine à voir ensuite dans tout le département.
Le moteur est coupé. Le véhicule garé à quelques mètres seulement de la vitrine du boucher. La viande est déchargée comme il se doit puis déposée chez le commerçant. Pendant ce temps, une Citroën AX, a priori de couleur grise, se gare derrière l'ensemble routier.
Plus de 30 000 euros de préjudice
Un homme en descend, puis grimpe dans le camion côté conducteur. « Tout s'est passé très vite, en moins d'une minute », raconte une employée du commerce. Lorsque le chauffeur passe le pas de la porte, le camion frigorifique, avec près de 600 kg de brochettes et autres poulets à l'intérieur, file. Et l'AX aussi.
Les véhicules ont pris la direction de la région parisienne en empruntant vraisemblablement la RN 31. L'alerte donnée, les gendarmes de la compagnie de Soissons, ainsi que ceux de l'Oise, ont été mobilisés dans le cadre d'un plan de recherche de malfaiteurs. Malgré le déploiement des effectifs, le poids-lourd volé n'a pu être localisé.
Une enquête, menée par la brigade de Vic-sur-Aisne, a été ouverte. Le préjudice de ce vol est relativement important. Le véhicule représente une perte de 30 000,00 euros. Pour la marchandise, le montant s'élève à environ 2 500 euros.
 
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/ambleny-vol-dun-camion-de-viande-600-kg-de-volaille-partent-dans-la-nature

Aulnay-sous-Bois : 2 morts dans une bagarre

Une bagarre qui s'est déclenchée vers 1 heure du matin samedi, en pleine rue, près de la mairie d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a fait deux morts et un blessé. Les deux victimes, âgés d'une trentaine d'années, qui ont été tuées à l'arme blanche dans la nuit de vendredi à samedi seraient issues de la communauté indienne.

L'une des victimes est âgée de 34 ans, l'âge de la seconde n'était pas encore déterminé samedi matin. Un autre protagoniste, âgée de 25 ans, a été légèrement blessé et hospitalisé, tandis que trois personnes, l'une âgée de 22 ans, l'autre de 25 ans et une troisième, dont l'âge n'était pas déterminé samedi matin, ont été interpellées immédiatement après le drame et placées en garde à vue.

On ne connaît pas pour l'heure, les circonstances de l'altercation, mais les personnes impliquées auraient été en état d'ébriété au moment des faits, a-t-on précisé. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.
http://www.leparisien.fr/aulnay-sous-bois-93600/aulnay-sous-bois-2-morts-dans-une-bagarre-28-05-2011-1471046.php

Les sapeurs-pompiers à la recherche... d’un python

Il n’est fréquent que les sapeurs pompiers soient appelés pour chercher un serpent, encore moins un python. Pourtant c’est bien l’appel qu’ils ont reçu hier à 9 heures du matin. Un python s’est échappé de son vivarium installé dans un appartement, situé sur le chef-lieu de Verchaix, commune située près de Samoëns.
Il existe de nombreuses espèces de python, certaines peuvent atteindre 6 mètres, même si en moyenne ces serpents font 1,5 mètre à taille adulte, 80 cm pour les mâles. Les pythons royaux d’Afrique de l’ouest sont des animaux domestiques qui rencontrent un certain succès. Sauf, quand ses animaux justement se font la malle et qu’en bas de l’appartement en question, il y a une école.
S’ils s’attaquent en général à des petits animaux. Celui-ci encore jeune ne présentait qu’un danger relatif. Mais sa petite taille de 60 centimètres a compliqué encore la tâche. Après de longues heures de recherche, l’animal a finalement été retrouvé. Il n’avait pas quitté l’appartement, mais c’était tout simplement lové dans un classeur rangé dans un carton. Il a pu rejoindre ses trois autres congénères dans le vivarium.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/05/27/les-sapeurs-pompiers-a-la-recherche-d-un-python

Escroquerie à la TVA : réseau décapité

Deux ans de patience et de surveillances techniques pour faire tomber un réseau juteux d’escrocs à la TVA intracommunautaire ! Le travail des policiers du SRPJ de Nancy s’est accéléré en début de semaine avec un vaste coup de filet en Ardèche, à Lyon, Toulouse, Roanne et Montélimar. Treize personnes ont été interpellées, six bénéficient d’un mandat d’amener devant un juge d’instruction d’Epinal (Vosges), les sept autres seront convoqués pour leur mise en examen.
Le 22 juin 2009, quatre individus sont interpellés à Remiremont pour des vols de linge dans leur hôtel. Sur eux, les policiers découvrent 83 000 € et des papiers relatifs à des garages. Le parquet d’Epinal ouvre contre eux une information judiciaire pour blanchiment et une juge d’instruction, Fabienne Nicolas, saisit le SRPJ pour creuser.

500 000 €

Les surveillances techniques confirment l’intuition des policiers, ils sont au cœur d’une affaire d’escroquerie à la TVA entre l’Allemagne et la France. Leur enquête les mène à Annonay, en Ardèche. Les têtes du réseau s’y cachent. La technique de la bande est bien rôdée. Un complice acquiert une voiture plutôt haut de gamme en Allemagne et opte pour payer la TVA dans le pays où elle sera immatriculée, en l’occurrence la France. Ce qui ne sera pas le cas. En France, la bande passe par des garages coquilles vides afin d’établir pour les futurs acheteurs des véhicules de fausses factures affichant la TVA. Au total la bande a écoulé sur les deux années d’enquête 70 voitures pour un manque à gagner de 500 000 € pour le fisc.
Lors des perquisitions la police a mis la main sur 2 000 €, cinq voitures dont quatre de luxe et de nombreuses fausses factures liées à l’escroquerie. Ils sont aussi saisis sur leurs comptes 65 000 €. Au terme d’une garde à vue prolongée, les six apparaissant comme ceux qui tirent les ficelles seront conduits dans le cabinet du juge vosgien pour leur mise en examen pour blanchiment et escroquerie en bande organisée et peut-être leur placement en détention.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

vendredi 27 mai 2011

Une salariée de Perrier tente de se suicider sur son lieu de travail

Une ouvrière de production de Perrier a tenté de mettre fin à ses jours, aujourd’hui, en prenant son service, vers 5 h du matin.
Alors qu’elle s’apprêtait à se jeter dans le vide depuis une passerelle, elle en a été empêchée à la dernière seconde par des camarades qui lui ont sauvé la vie. Elle a été transportée dans un état de choc à l’hôpital.

La nouvelle a provoqué une émotion extrême et le personnel a cessé le travail tout aujourd’hui.
Les organisations syndicales, qui réclament traditionnellement une amélioration des conditions de travail et dénoncent l’existence d’un haut niveau de stress sur le site, du fait des objectifs de performances et de productivité en vigueur, ont décidé d’attendre lundi avant de faire la moindre déclaration

http://www.midilibre.fr/2011/05/27/dma-tentative-de-suicide-dans-l-usine-perrier,325788.php

Arnaquées sur leboncoin.fr

Elles pensaient sûrement réaliser une bonne affaire. Sur le site Internet leboncoin.fr, en janvier et février, une annonce était apparue, alléchante, qui proposait la vente de bijoux et de pièces de collection en or.


Trois personnes au moins se sont laissées tenter. Il fallait payer par mandat cash pour recevoir l'objet désiré, elles ont donc envoyé l'argent. Et ce qui devait arriver arriva : elles n'ont jamais rien reçu en retour. Les différentes victimes ont donc déposé plainte, tour à tour.
L'enquête, menée par la brigade économique et financière de la Sûreté urbaine de Lille, finira par porter ses fruits. En croisant les adresses IP des ordinateurs ayant servi à poster les petites annonces, les policiers remontent en effet à un seul et même individu. C'est un jeune homme d'une vingtaine d'années habitant Bousbecque qui est placé en garde à vue. Il aurait reconnu les faits. Il faudra désormais qu'il s'en explique devant un juge, le 3 janvier prochain
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/05/27/arnaquees-sur-leboncoin-fr.shtml

Condamnés pour avoir prostitué leurs copines

Un garçon de 22 ans a été condamné, hier, à cinq ans de prison pour proxénétisme aggravé. Sa petite amie, 16 ans, avait été contrainte de se prostituer en août 2010, à Toulouse.
Une adolescente de 16 ans, surnommée Shanaize, est passée du statut de la petite amie aimante à celui de prostituée battue. Une descente aux enfers vécue à Toulouse, entre le 29 et le 31 août 2010. Sous la coupe de deux garçons âgés de 18 et 21 ans, la jeune fille, tabassée, s'est retrouvée sur le trottoir avec sa copine de 15 ans, aux Ponts-Jumeaux, avant d'aller au commissariat du Mirail pour dénoncer les faits.
Hier, devant le tribunal correctionnel, trois garçons dont un Toulousain, âgés de 19 à 22 ans, étaient poursuivis pour proxénétisme aggravé et complicité de proxénétisme. En fugue, Shanaize se retrouve fin août 2010 à Toulouse. Elle vient de quitter le quartier de Pigalle, à Paris, où elle a fait connaissance de Jérôme Benrikie, 21 ans qui devient son petit copain. Mais la relation dégénère. En vacances dans la Ville rose, Benrikie, et son compagnon de route, Sambou Keita, dit « Mamadou », 18 ans, veulent gagner de l'argent. Shanaize est d'abord frappée dans une chambre d'hôtel de la banlieue toulousaine sous les yeux effrayés de sa copine. Elle subit une injection d'un produit douteux dans le bras qui lui provoque un malaise. On lui achète des jupes courtes et des chaussures à talons. Le soir, un jeune homme de 19 ans, Yann, qui dira plus tard ignorer tout de l'affaire, fait le taxi entre l'hôtel et le canal du Midi pour déposer les filles sur le trottoir. Pendant trois nuits, les adolescentes se prostituent sous la contrainte : entre 30 et 60 € la passe, tarif fixé par Benrikie qui récolte les gains. Jusqu'à ce que Shanaize mette fin au calvaire en se rendant à la police. « J'ai profité de l'argent mais ce n'était pas de la prostitution forcée », défendent en substance dans le box, Benrikie et Keita. Leurs avocats respectifs, Mes Derieux et Vercellone expliquent que leurs clients n'avaient peut-être pas conscience de tout. Pour Me Lakhal, défenseur du « taxi », « il est étranger à toute cette histoire. » Le tribunal a condamné lourdement Benrikie à cinq ans de prison. Keita écope d'une peine de trois ans dont un an avec sursis. Le troisième, Yann, poursuivi pour complicité, est condamné à un an de prison avec sursis.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/27/1092099-condamnes-pour-avoir-prostitue-leurs-copines.html

Un homme interpellé pour maltraitances et séquestration

Après plusieurs mois d’investigations, les policiers nationaux de Bagnols ont interpellé le 23 mai dernier un homme recherché activement.
A la suite d’une semaine de vacances, sa compagne de l’époque avait porté plainte au commissariat de Bagnols dénonçant des actes de maltraitances, de séquestration et de violences de la part de son compagnon. Après enquête, les policiers ont découvert que ces faits présumés seraient intervenus pour des motifs pécuniers. En l’occurrence, l’homme aurait séquestré sa compagne jusqu’à ce qu’elle lui ait payé la totalité du séjour de vacances.

Placé en garde à vue ce dernier a reconnu une dispute violente avec sa compagne de l’époque. L’enquête est toujours en cours.

http://www.midilibre.fr/2011/05/26/dma-recherche-pour-maltraitances-et-sequestration,325091.php

jeudi 26 mai 2011

Un père de famille de Saint-Georges-d’Espéranche meurt noyé

Ce mercredi devait être une journée en famille, de détente, en cette période estivale précoce. Elle s’est cependant achevée en drame pour une famille de Saint-Georges-d’Espéranche : le corps d’un père de famille a été retrouvé sans vie au fond de l’eau. Une noyade, déjà, alors même que la saison de la base de loisirs du Moulin, à Meyrieu-les-Etangs ne débute que ce week-end.
« On s’amusait. On a alors aperçu une masse sombre au fond de l’eau ». Ce témoignage, c’est celui livré par trois adolescents qui s’ébattaient sur la berge sud du plan d’eau, déjà très fréquenté en cette chaude journée de printemps. Ils ont aussitôt compris qu’il s’agissait d’une personne. A moins de dix mètres de la berge, la profondeur est d’environ 1,50 mètre. L’alerte était aussitôt donnée. Il était 18 h 25.
Immédiatement, les sapeurs-pompiers de Saint-Jean-de-Bournay, rejoints par une équipe médicale et des plongeurs de la caserne de Vienne, étaient sur place. La victime, inanimée, a été sortie de l’eau. Un long massage cardiaque débutait, avec le concours d’une équipe du Smur de Bourgoin-Jallieu. Malgré tous les efforts des secouristes, l’homme n’a pas pu être ramené à la vie. Agé de 34 ans et domicilié à Saint-Georges-d’Espéranche, il était père de quatre enfants.
Selon les premiers éléments, cet homme, sans emploi, était venu sur le site en fin de matinée, accompagné de sa compagne et des enfants de cette dernière. Pour profiter d’une journée de détente.
Après avoir pique-niqué sur la berge nord, au pied des bâtiments de la base, tous se sont amusés, profitant de la chaleur et de l’eau. Puis, vers 17 heures, sa compagne s’est absentée, pour raccompagner ses enfants et les copains de ces derniers à Saint-Georges-d’Espéranche.
Pendant ce temps, son compagnon a continué de profiter de l’eau, nageant probablement plusieurs largeurs. Aux alentours de 18 heures, la jeune femme était de retour, constatant que son conjoint n’était pas sur la berge. Elle ne s’est pas inquiétée outre mesure car son compagnon est bon nageur. C’est alors que les trois adolescents découvraient son corps, au fond de l’eau, sur la berge opposée.
Sur place, les gendarmes de la communauté de brigades d’Heyrieux/Saint-Jean-de-Bournay ont procédé aux constatations. L’hypothèse d’un malaise alors que la victime nageait est privilégiée. Hier soir, le parquet de Vienne a ordonné une autopsie afin de déterminer les causes exactes du décès.
« Ce drame survient alors que la base de loisirs était prête à ouvrir pour ce week-end. Il s’agit de la troisième noyade en trois ans. Ce matin même, une réunion de sécurité s’est tenue avec tous les acteurs », nous rapportait le gardien de nuit du site. Si la base de loisirs n’est pas encore ouverte, le plan d’eau est cependant accessible gratuitement, à tous, mais non surveillé. « Des panneaux rythment les berges, rappelant qu’il est interdit de se baigner. Cependant, chaque soir, je constate que des gens se baignent », déplorait l’homme.
Hier soir, on ne savait pas si l’ouverture de la saison de la base allait être maintenue ou reportée.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/05/26/un-pere-de-famille-de-saint-georges-d-esperanche-meurt-noye

Deux accidents graves avec des engins de manutention

Un dramatique accident s'est produit hier, vers midi, dans une ferme située au hameau le Rosel, commune de la Vicogne, au nord d'Amiens. Le père était en train de ranger des caisses de bois servant à stocker des pommes de terre en maniant un engin de levage. Il a engagé une marche arrière sans voir que son fils se trouvait à l'arrière de l'engin.

L'enfant de 4 ans a été héliporté


L'enfant, âgé de presque 4 ans, a été écrasé. Les secours ont aussitôt été alertés. Le médecin qui s'est rendu sur place ne s'est pas prononcé sur le pronostic vital de Tom. L'enfant a été évacué dans un état grave à l'hôpital d'Amiens Nord par hélicoptère.

L'autre accident grave s'est produit hier, vers 16h30, à Fransart, entre Rosières-en-Santerre et Chaulnes. Une femme manipulait un transporte-palettes lorsque l'engin s'est retourné.

La victime s'est retrouvée coincée en dessous. Les secours ont diagnostiqué une fracture ouverte à une jambe, et une autre à un bras. La victime a été endormie avant d'être évacuée à l'hôpital d'Amiens Nord.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Deux-accidents-graves-avec-des-engins-de-manutention

Un jeune se tue en voiture

Hier soir, vers 23 h, un jeune homme de Domazan a perdu la vie dans un accident de la route, sur l’avenue de Verdun, aux Angles, au niveau du magasin ED.

Il circulait dans le sens Avignon-Les Angles et a perdu, pour une raison encore indéterminée, le contrôle de sa voiture, qui a percuté le muret central avant de se retourner sur le toit. Il est mort sur le coup. Huit pompiers et la police de Villeneuve sont intervenus.


http://www.midilibre.fr/2011/05/26/dma-un-jeune-se-tue-en-voiture,325050.php

Il insulte les gendarmes sur internet...

Mécontent d’avoir passé la fin de soirée de samedi avec les gendarmes ? Un jeune homme a exprimé sa contrariété sur internet via Facebook après les dégradations dans le village.  Il faisait partie des cinq personnes à avoir été entendues par les militaires de la communauté de brigades de Satillieu (trois ont été mis en cause, NDLR).
Dans la nuit, il a donc écrit des propos injurieux à l’encontre des gendarmes. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’un correspondant nouvelle technologie est basé à Satillieu et qu’il a découvert ces insultes. Convoqué à nouveau à la gendarmerie mardi soir, le jeune homme aurait reconnu les faits. Il aurait précisé «ne pas avoir mesurer la portée de ses propos» selon les gendarmes. Qui tiennent à rappeler «que tout propos diffamatoires ou injurieux envers un tiers est totalement interdit y compris sur ses réseaux sociaux. La diffamation par voie électronique est un délit pénal. Cette infraction est de plus aggravée lorsque la personne visée est un fonctionnaire ou un dépositaire de l’autorité publique. Dans ce dernier cas, l’auteur de l’infraction est passible d’une amende délictuelle d’un montant maximum de 45 000€».
http://www.ledauphine.com/ardeche/2011/05/25/il-insulte-les-gendarmes-sur-internet

Le boucher ruiné par son héroïne

Encore une fois, hier, c’est l’histoire de l’héroïne qui vient tout gâcher qui a été jugé à la barre du tribunal correctionnel de Rodez. Cette fois, sa victime est un boucher "qui avait tout pour réussir", comme l’a lancé son avocat Me Galandrin. Artisan prometteur, a deux doigts de décrocher il y a peu le titre de Meilleur ouvrier de France, qui avait ouvert sa boucherie sous les arcades village de Sauveterre-de-Rouergue, ce garçon de 29 ans dort depuis huit mois en prison. "Je suis en train de tout perdre" a-t-il glissé aux juges, sans chercher la moindre compassion. Tout, c’est son affaire, qui n’est plus qu’un souvenir tant elle était criblée de dettes, mais surtout sa femme. La mère de quatre de ses cinq enfants, qui a entamé une procédure de divorce.
"J’aurai aimé qu’il soit arrêté avant."

Me Galandrin, défenseur du principal prévenu Quand il a été arrêté en septembre, trois autres comparses de la région millavoise, tous également piégés par la poudre blanche. Il avait pour habitude de venir leur "casser les pieds" pour le dépanner quand il n’avait plus assez de came pour satisfaire sa dépendance. Une came qu’il allait régulièrement chercher en Espagne, sur un coin de trottoir, en tapant dans la caisse de sa boucherie pour pouvoir payer quand son petit trafic ne lui permettait pas de subvenir financièrement à ses besoins. Ses trois “amis” ont effectué un passage en prison. Deux ont décroché, un autre est en passe d’y arriver. Comme le “boucher” qui s’est bien remplumé depuis sa détention. "J’aurais aimé qu’il soit arrêté avant" dit Me Galandrin. "Quand il a été arrêté à Albi en possession de stupéfiant. Mais après 48 heures de garde à vue, ils l’ont laissé libre. Totalement libre ! Vous croyez que c’est un imbécile ? Qu’il est stupide. Non. Il était est accro. Alors il a continué." Jusqu’à ce qu’un an après il soit pris dans le filet.
Dans son calcul, le substitut du procureur a évalué à plus d’une dizaine de kilos les achats du “boucher” en un an et demi. Lui faisant dire qu’à Sauveterre, le prévenu avait surtout ouvert une "boucherie, charcuterie, droguerie." "Le fait d’être toxicomane ne donne pas le droit d’empoisonner le reste de la société" soufflait le substitut qui avait bien aiguisé ses lames avant de laisser tomber ses lourdes réquisition, réclamant des peines de prison ferme à l’encontre des quatre prévenus, dont trois ans pour le principal d’entre eux. Les avocats des prévenus, Me Giucci, Me Tausssat et Me Galandrin feront observer aux juges qu’ils défendent des gens malades qui ne se sont pas enrichis.
Les trois sud-aveyronnais ont écopé de peine avec sursis et de peines de prison ferme qui se confondent avec les durées de détention provisoires qu’ils ont effectuée. Quant au boucher, il a écopé de deux ans de prison ferme et un an avec sursis.
http://www.midilibre.fr/2011/05/25/le-boucher-ruine-par-son-heroine,324711.php

Disparu le 25 avril, le sexagénaire parisien a été repêché à Banyuls

Le corps du Parisien, âgé de 67 ans, disparu le 25 avril dernier à Sérignan-Plage, a été repêché par un pêcheur banyulenc. Porté par les courants maritimes, il a été découvert... 150 km plus au sud, à 12 nautiques au large de Banyuls (22 km).
Identifié grâce à sa dentition, la victime était venue passer des vacances en famille au camping Amat. L’orage violent, accompagné de bourrasque de vent, qui a éclaté sur cette zone ce lundi-là, vers 18 h, semble être à l’origine de la noyade.

http://www.midilibre.fr/2011/05/25/dma-disparu-le-25-avril-le-sexagenaire-parisien-a-ete-repeche-a-banyuls,324631.php

mercredi 25 mai 2011

Nièvre: un parachutiste électrocuté en atterrissant sur une caténaire

Un homme de 45 ans, qui effectuait son premier saut en parachute dans la Nièvre, a été grièvement blessé lundi après avoir atterri sur une caténaire alimentée par un courant de 25.000 volts, a-t-on appris mardi aurprès des pompiers et du parquet.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme effectuait son premier saut seul mais était encadré par des moniteurs, a indiqué le parquet à l’AFP, confirmant une information du Journal du Centre.
«Il effectuait un saut de 4.000 mètres avec les moniteurs, ils l’ont lâché à 500 mètres d’altitude pour qu’il termine le saut. Vraisemblablement, il aurait fait un malaise et aurait dérivé», ont indiqué à l’AFP les pompiers. Le parquet était en train de vérifier cette hypothèse.
«Nous l’avons retrouvé accroché à une caténaire à hauteur de la commune de Marzy. Il a été transporté dans un état grave à l’hôpital de Nevers», ont ajouté les services de secours.
L’alimentation électrique ayant été coupée pour l’intervention des pompiers, le trafic SNCF a été interrompu pendant 2h30 sur la ligne Paris-Clermont, ont précisé les gendarmes.
http://www.lejsl.com/fr/accueil/article/5142949/Nievre-un-parachutiste-electrocute-en-atterrissant-sur-une-catenaire.html

Boulogne-sur-Mer : un homme de 35 ans interpellé après le meurtre d'une femme cette nuit

Un homme de 35 ans a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat central de Boulogne-sur-Mer, suite au meurtre d'une Boulonnaise de 47 ans dans la nuit de mardi à mercredi. Selon le parquet de Boulogne, il a été interpellé « dans la rue, quelques minutes après les faits ». Il s'agirait d'une connaissance proche de la victime.

Les faits se sont produits au deuxième étage d'un immeuble situé rue Jules-Baudelocque, en plein centre-ville, près de la gare des Tintelleries
C'est un habitant de la rue Jules-Baudelocque qui a prévenu les secours vers 1 h 30 du matin. Après avoir entendu des cris provenant de l'appartement de la victime, il aurait tenté d'entrer dans le logement, mais la porte d'entrée était bloquée. Quelques instants plus tard, il aurait vu un homme sortir de l'appartement en courant.
La victime, Valérie Murcha, a été retrouvée inanimée sur le sol, dans le salon. Elle avait reçu plusieurs coups de couteau au niveau du cou et du thorax. A son arrivée, le SMUR n'a pu que constater son décès.
http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Region/2011/05/25/article_boulogne-sur-mer-un-homme-de-35-ans-inte.shtml

Paris-Munich: le parquet fait appel

Le parquet de Nancy a interjeté appel du jugement de relaxe de la SNCF et de la compagnie ferroviaire allemande Deutsche Bahn (DB) dans l'affaire de l'incendie du Paris-Munich qui avait fait 12 morts en 2002, a-t-il annoncé aujourd'hui à l'AFP.

Le 16 mai, les juges avaient uniquement retenu la culpabilité du steward de la DB, Volker Janz, condamné à un an d'emprisonnement avec sursis. Ils avaient considéré que le lien entre les fautes des compagnies ferroviaires et l'incendie n'était pas direct et suffisant, et les avaient donc relaxées, provoquant la colère des parties civiles.

"Mes clients sont déçus de ce jugement. On peut avoir l'impression que c'est la lampiste qui est puni", avait notamment réagi l'avocat d'une famille de victimes, Me Alain Behr, qui avait demandé au parquet d'être "cohérent".

Dans la nuit du 5 au 6 novembre 2002, un incendie s’était déclaré peu après 02H00 alors que le train de nuit venait de quitter la gare de Nancy. Des vêtements suspendus sur une plaque chauffante avaient pris feu dans la cabine du steward du wagon-lit de la DB, situé en tête du train. Pris de panique, le steward était parti en courant pour prévenir ses homologues français, situés plusieurs voitures plus loin. Il avait alors verrouillé derrière lui la porte reliant le wagon-lit aux autres voitures, enfermant les passagers. Douze d'entre eux étaient morts, les autres parvenant à s'échapper en brisant les fenêtres avec des moyens de fortune.

Le procès, qui avait duré 15 jours, n'avait pu éclaircir ni les circonstances exactes de l'incendie et de la mort des 12 voyageurs. Mais il avait mis en lumière des normes de sécurité peu contraignantes, non-rétroactives sur les voitures anciennes, et finalement qualifiées d'"a minima" par le parquet. L'absence de moyen de communication entre les voitures, le manque d'extincteur ou la présence de crochets anti-intrusion entre chaque voiture avaient notamment été dénoncés par l'accusation.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/25/97001-20110525FILWWW00423-paris-munich-le-parquet-fait-appel-des-relaxes.php

Le corps nu et ligoté d'un homme dans le jardin public

Merci au lecteur qui vient de nous avertir du changement de l'article du Dauphiné
dont voici le texte exact
Un corps nu et ligoté d'un homme découvert dans le jardin public
Ce matin du 25 mai, vers 7h30, des élèves internes du lycée Froment, situé en centre-ville d'Aubenas, ont fait une macabre découverte. Alors que, sortant de l'internat, ils traversaient le jardin public pour rejoindre leur établissement scolaire, ils ont découvert le corps nu et ligoté d'un homme, près d'un muret. La police ainsi que le procureur de la République de Privas se sont aussitôt rendus sur les lieux
http://www.ledauphine.com/ardeche/2011/05/25/un-corps-nue-t-ligote-decouvert-dans-un-jardin-public

Ce matin du 25 mai, vers 7h30, des élèves internes du lycée Froment, situé en centre-ville d'Aubenas, ont fait une macabre découverte. Alors que, sortant de l'internat, ils traversaient le jardin public pour rejoindre leur établissement scolaire, ils ont découvert le corps nu et ligoté d'une jeune femme, près d'un muret. La police ainsi que le procureur de la République de Privas se sont aussitôt rendus sur les lieux, où ils se trouvent encore.

http://www.ledauphine.com/ardeche/2011/05/25/un-corps-nue-t-ligote-decouvert-dans-un-jardin-public

Clément, 4 ans, oublié dans un car scolaire

Ils sont où, mes copains ?" L’inquiétude a vite gagné Clément, lundi après-midi quand, au réveil d’un somme qu’il avait piqué dans le bus qui le ramenait d’un spectacle, il a découvert que ses camarades de classe avaient disparu. Seule restait encore la conductrice du car scolaire, interloquée elle aussi de voir un garçonnet dans son véhicule... alors qu’elle venait de se garer au dépôt, zone de la Coupe, à Narbonne ! Au même moment, à quelques dizaines de kilomètres de là, à l’école maternelle de Salles-d’Aude, on s’apercevait de l’absence de Clément, intrigué de voir qu’un goûter avait été prévu pour l’enfant. Il était alors 16 heures. "Or, ce n’est qu’à 17 h 10, quand ma femme est venue le chercher à l’école, que la directrice l’a prise à part pour lui expliquer la situation", reproche notamment le papa de l’enfant, Eddy Sigler. Et ce n’est qu’une demi-heure plus tard que Clément arrivera finalement à bon port, ramené en voiture par un employé de la compagnie de cars scolaires.
"En quel honneur on oublie un enfant de 4 ans et demi dans un bus ?" interpelle le père de Clément, qui ne peut se contenter de l’explication que le corps enseignant (*) lui a fournie : "Le maître a compté les enfants à la sortie du Théâtre de Narbonne, avant de monter dans le bus, mais pas à la descente, quand ils sont arrivés à l’école". Et personne n’est visiblement allé vérifier qu’un enfant était resté dans le car, avant qu’il ne redémarre.

"Heureusement, ça s’est bien terminé. Mais qu’en aurait-il été si Clément ne s’était pas réveillé, et qu’il était resté enfermé dans le bus, en plein soleil ?" imagine Eddy Sigler. Aujourd’hui, Clément va bien, physiquement. Psychologiquement, en revanche, "il est inquiet. Il se demande s’il ne va pas encore être abandonné, lors d’une autre sortie scolaire", témoigne son papa. D’autant que le petit garçon, en moyenne section de maternelle, est "de nature anxieuse. Déjà, tous les mardis, il fallait que sa grande sœur le convainque d’aller à la piscine avec l’école". Sans vouloir intenter quoi que ce soit, Eddy Sigler témoigne "pour que cela ne se reproduise pas. Et qu’à l’avenir, les enseignants fassent plus attention".
Hier, l’enfant est resté à la maison, avec sa maman. Quant à la prochaine sortie scolaire prévue en juin, "il est hors de question" que Clément y participe.
http://www.midilibre.fr/2011/05/24/clement-4-ans-oublie-dans-un-car-scolaire,324145.php

Le sniper d'un jour écope du sursis : l'affaire est retombée comme un soufflé

Des coups de feu ont été tirés place de Picardie, à Cambrai, le 7 mai. Coups de feu ayant suscité un vif émoi, des policiers de Cambrai ayant été apparemment pris pour cibles et l'épisode s'étant soldé par l'intervention du GIPN de Lille. Le suspect, David, a été jugéce lundi. Il a écopé du sursis. Selon sa défense, l'affaire est retombée comme un soufflé. Même les riverains ne semblent plus fâchés.

Il y a de cela une quinzaine de jours, des coups de feu ont retenti en pleine nuit, place de Picardie, à Cambrai, chahut nécessitant le déploiement du groupe d'intervention de la police nationale et se soldant par l'interpellation d'un habitant du quartier. Qui croisait le lendemain quelques riverains les trouvait plutôt chagrins. Voire remontés comme des coucous, car réveillés en pleine nuit avec une belle frayeur en prime (notre édition du 10 mai) !
Ce lundi, tandis que le procès du supposé tireur - qui a usé d'un pistolet chargé de balles à blanc - est à l'ordre du jour, la colère des riverains est, elle, retombée comme un soufflé. « Parce que l'on ne savait pas que c'était David !, commente cette habitante tout sourire, comme si aujourd'hui le sujet ne relevait plus que d'une vaste plaisanterie. C'est un gentil garçon. Personnellement, j'ai été très étonnée de savoir que c'était lui qui avait fait tout ce grabuge ! Je ne sais pas ce qui lui est passé par la tête. L'autre jour, d'ailleurs, il est revenu dans son appartement. j'ai failli l'engueuler ! » David, la quarantaine, charpenté comme un adolescent de quinze ans, n'effraie apparemment pas les sexagénaires.

« Un 13 juillet, ce serait passé inaperçu »

Il s'agirait d'un voisin plus ou moins lisse, connu certes de la justice (il a quatorze condamnations inscrites au casier judiciaire), et peut-être addict à l'alcool et aux médicaments. Mais certainement pas d'un grand « violent ». Cette voisine l'avoue d'ailleurs la main sur le coeur : pas la peine de jeter ce faux sniper en prison. « Ah mais cela non ! Mais s'il avait tiré avec de vraies balles, là, cela aurait été différent ! » La défense, portée par Me Faugeroux, tiendra le même discours : « Ces coups de feu, c'était comme des pétards. Si tout cela c'était passé un 13 juillet, ce serait passé inaperçu ! » Mais les faits datent du 7 mai.
Et quand vient l'heure où David doit se présenter à la barre du tribunal correctionnel, ces mêmes faits, évoqués par le président du tribunal, perdent soudain toute la légèreté depuis peu gagnée. « Vous avez tiré huit coups de feu, rappelle le président.
Quatre en direction des policiers (...) Chez vous, on a retrouvé trois armes (...) Et un pistolet d'alarme, c'est une arme !
» David, toujours l'oeil mélancolique, explique qu'il n'a « pas vu les policiers », mais qu'il a vu « quelqu'un entrer dans la cour », et qu'il avait peur « de se faire cambrioler ».
« Mais vous avez déjà fait usage de votre arme par le passé ? », questionne à nouveau le président. « Oui, j'ai tiré en l'air à cause de mon voisin. C'est quelqu'un de bruyant et il tapait sur sa femme ». « En somme, vous êtes le justicier du quartier », conclut le magistrat. Ce qui est assurément un rôle dangereux pour le représentant du ministère public. David « n'a pas conscience du danger qu'il commet (...) ni du sentiment d'insécurité » qu'il a fait naître dans le quartier, glisse la substitute du procureur, Mlle Pons, au cours de ses réquisitions. Elle demande huit mois de prison, dont deux assortis du sursis et deux ans de mise à l'épreuve. Pas de mandat de dépôt.
David écopera finalement de six mois de prison avec sursis. « Aujourd'hui, cette affaire s'est complètement dégonflée, dira Me Faugeroux en sortant du tribunal. Lorsqu'on a obtenu le placement sous contrôle judiciaire le 9 mai (le suspect était passé devant le tribunal et avait demandé un renvoi pour préparer sa défense, NDLR), l'affaire était déjà pour moi terminée ». S'il avait été jugé le 9 mai, soit 48 heures après les faits, et bien avant que l'émotion ne soit retombée, l'avocat estime que le tribunal aurait peut-être prononcé une peine plus lourde .
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/Cambrai/2011/05/24/article_le-sniper-d-un-jour-ecope-du-sursis-l-af.shtml

mardi 24 mai 2011

Un élève craque une allumette et met le feu dans une classe

Plus de peur que de mal hier matin à l’école primaire Jean-Jaurès de Pont-Saint-Esprit. Il était dix heures passées, la récréation battait son plein dans la cour de l’établissement, lorsque l’alarme incendie s’est déclenchée. Un feu s’était déclaré à l’intérieur d’une des classes et c’est une enseignante qui a eu le réflexe salvateur d’actionner l’alarme.
Les pompiers de Pont-Saint-Esprit ont pu se rendre rapidement sur les lieux. Ils ont très vite éteint le début d’incendie qui a pris au niveau d’une armoire tout ce qu’il y a de plus classique dans la classe des élèves de Clis (classe d’intégration scolaire) et où était entreposé du matériel scolaire, dont des documents papiers. Heureusement, il n’y avait pas de cours à ce moment-là et il n’y a pas eu de gros dégâts. Les pompiers ont évacué ce qui avait brûlé et ventilé les locaux pour en chasser la fumée.

D’après les premiers éléments relevés sur les lieux, c’est un élève qui aurait déclenché le feu par accident alors qu’il s’amusait avec des allumettes.
Le jeune garçon, âgé d’une dizaine d’années, aurait pénétré dans la classe à l’heure de la récré indiquant qu’il voulait aller y chercher son goûter.
A la sortie des classes hier, les parents, soulagés de savoir que leurs enfants n’avaient pas été menacés, semblaient relativiser l’événement. Certains ayant d’ailleurs appris la nouvelle de la bouche de leurs petits à la pause déjeuner.
Privés de salle, les onze élèves de la Clis suivront leurs cours entourés de leur équipe pédagogique habituelle dans une autre classe, jusqu’à la fin de la semaine.
http://www.midilibre.fr/2011/05/24/un-eleve-craque-une-allumette-et-met-le-feu-dans-une-classe,323888.php
Un homme de 55 ans, qui faisait l'objet d'un mandat d'arrêt après sa condamnation en janvier à deux ans de prison ferme pour avoir escroqué des particuliers via internet, a été interpellé hier à Marseille, a-t-on appris aujourd'hui de source proche de l'enquête.

Ses victimes lui versaient plusieurs milliers d'euros d'arrhes pour avoir accès aux services de "beautés blacks", louer des villas de rêve sur la Côte d'Azur ou encore acheter des propriétés et terrains à Madagascar. Les annonces étaient diffusées sur des sites internet qu'il avait lui-même créés.

Ces arnaques, nombreuses, lui avaient valu la condamnation en janvier par le tribunal correctionnel de Nice à deux ans de prison ferme. Laissé libre, il ne s'était pas présenté devant le juge d'application des peines (JAP) qui avait délivré un mandat d'arrêt à son encontre.
Particulièrement actif en Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca), Daniel Tramzal, surnommé sur la Toile le "Mozart de l'internet", a été arrêté par les policiers de la brigade des recherches et mandats (BRM) de la Sûreté de Marseille, mis sur sa piste par les gendarmes de La Croix Valmer (Var).

Ecroué aujourd'hui à la prison de Nice, l'escroc, qui se cachait régulièrement dans un foyer catholique du quartier marseillais de la Joliette, va maintenant devoir s'expliquer sur les nouvelles plaintes de victimes, selon la même source

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/24/97001-20110524FILWWW00502-arnaques-un-homme-arrete-a-marseille.php

Meurtre de Bohars. La garde à vue contestée

Le principal suspect du meurtre commis à Bohars, fin mars dernier, va-t-il être libéré? C'est ce qu'espère son avocat, Me David Rajjou qui a introduit une requête en nullité de procédure devant la chambre de l'instruction à Rennes.
Au coeur de cette demande, une nouvelle fois, la réforme de la garde à vue: elle rend le plaideur assez confiant. «Mon client a été interpellé le 2avril et présenté au juge des libertés et de la détention le 7avril. Pendant cinq jours, il n'a vu ni magistrat, ni avocat». Suffisant à ses yeux pour considérer que la garde à vue de Mickaël Dombasi est nulle de son début jusqu'à sa fin. «Depuis le 14 octobre, la justice a demandé au droit français de se conformer au dispositif européen», rappelle Me Rajjou, «et notamment à la présence d'un avocat dès la première heure de garde à vue, sous peine de nullité».

Quelles conséquences?

Dans ce cas d'espèce, si la chambre d'instruction devait prononcer la nullité de cette garde à vue (elle devrait rendre son arrêt avant l'été), qu'adviendrait-il de celui qui se trouve en détention provisoire depuis son arrestation? Difficile à dire. Mais, selon l'avocat, «les charges qui sont contre lui ne résultent que de ses auditions en garde à vue et ont justifié à elles seules sa mise en examen. Depuis ce temps, il refuse de parler au juge d'instruction. Il n'a rien confirmé du tout. Si ces procès-verbaux sont annulés, le dossier repart à zéro».

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/meurtre-de-bohars-la-garde-a-vue-contestee-24-05-2011-1311663.php

De mystérieuses zones d'ombre autour du décès de Bertrand Liria

Quelques zones d'ombre entourent encore le décès de Bertrand Liria, ce jeune Tarnais de 25 ans, retrouvé mort, samedi, dans la Garonne, à Toulouse.
« On ne peut pas encore être affirmatif sur les causes du décès, sur ce qui s'est passé », indique Michel Valet, le procureur de la République, à propos du décès de Bertrand Liria, ce jeune Tarnais de 25 ans qui était porté disparu depuis le 14 mai et dont la dépouille a été retrouvée, samedi, dans la Garonne à la hauteur de la centrale hydroélectrique du Bazacle à Toulouse.
« Dans la prolongation de l'autopsie, poursuit le procureur de la République, d'autres expertises seront conduites ».
Ces examens visent à écarter toute éventualité criminelle même si, pour l'heure, « la thèse accidentelle (N.D.L.R : notamment de la noyade) est avancée » confie son papa.
Si le corps de Bertrand Liria ne présenterait pas de traces de coups suspects à même de faire penser à une agression, il n'en demeure pas moins que les enquêteurs ne savent pas comment s'est déroulé le drame.

Des trous dans son emploi du temps

C'est-à-dire comment et pourquoi il est tombé dans l'eau même s'il semble bien, comme l'ont indiqué ses amis, qu'il avait pas mal bu d'alcool ce soir-là. Les enquêteurs ne sauraient pas, non plus, précisément, ce qu'il aurait fait après s'être séparé de ses amis avec qui il avait passé une grande partie de la soirée dans un bar à concert de la place Saint-Pierre.
Est-il tombé juste après dans la Garonne où a-t-il poursuivi la soirée dans d'autres établissements nocturnes avant de chuter dans le fleuve ?
Un témoin aurait indiqué l'avoir vu dans l'un d'eux vers 4 heures, soit plus de 2 heures après qu'il se soit « volatilisé » de la place Saint-Pierre.
Les examens complémentaires qui seront réalisés sur sa dépouille devraient certainement permettre de dater avec précision le temps qu'il a séjourné dans l'eau. Autant d'investigations qui pourraient prendre plusieurs jours.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/24/1088937-de-mysterieuses-zones-d-ombre-autour-du-deces-de-bertrand-liria.html

Trafic de cannabis à Saint Gilles : cinq mois de prison

El Houssaine a été condamné hier par le tribunal correctionnel de Nîmes à 16 mois de prison dont 11 mois avec sursis. Plusieurs personnes ont été arrêtés dans la cadre de cette enquête menée par les gendarmes à la suite de renseignements donnés par la police municipale à Saint-Gilles.
Le trafic avait lieu place de la Chicanette. Chez Vero, la petite amie de El Houssaine, les gendarmes ont découvert 103 grammes de cannabis dans la chambre de son petit garçon et une cinquantaine de grammes chez le suspect. Hier, cet homme âgé de 27 ans défendu par Me Ferri a expliqué qu’il dépannait ses amis ou contacts. Pas plus.

Le substitut "estomaqué par ces explications" avait requis 18 mois de prison ferme.

http://www.midilibre.fr/2011/05/23/trafic-de-cannabis-a-saint-gilles-cinq-mois-de-prison,323632.php

Un car incendié à la Grande-Borne

Un car de tourisme a été incendié samedi soir alors qu'il se trouvait en bordure du quartier de la Grande-Borne, situé à cheval sur les villes de Grigny et de Viry-Châtillon dans l'Essonne. A 21h20, les pompiers sont intervenus pour éteindre le feu. Le bus était vide au moment des faits. Il était stationné le long de la N445, près du Fournil, une boulangerie de Viry.
C’est à cet endroit qu’une voiture de police avait déjà été incendiée le 4 avril dernier. A leur arrivée, les pompiers puis les policiers, appelés en renfort, ont été caillaissés. Le feu a été rapidement éteint, mais la tension était vive dans le quartier jusqu'à hier où une voiture de police a été victime de jets de pierre.

http://www.leparisien.fr/essonne-91/un-car-incendie-a-la-grande-borne-23-05-2011-1463428.php

lundi 23 mai 2011

Une enfant survit à une chute de 10 m

Une petite fille de 2 ans a survécu hier à une chute de quatre étages, depuis l'appartement de sa mère situé à Maxéville (Meurthe-et-Moselle), près de Nancy.

La petite fille est tombée par la fenêtre après être montée sur une chaise pendant que sa mère dormait, selon les pompiers.

Elle a atterri, environ 13 mètres plus bas, sur des écorces d'arbre se trouvant sur la chaussée. Des passants l'ont reconnue et l'ont ramenée à sa mère.
L'enfant, bien que consciente et ne présentant quasiment aucune blessure, a été transportée au centre hospitalier de Nancy.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/23/97001-20110523FILWWW00592--2-ans-elle-survit-a-une-chute-de-4-etages.php

Le gérant d'un magasin de chaussures vide le stock dans la nuit

Samedi, les employées du magasin Planet Shoes, situé dans la zone commerciale de l’ancien Champion, ont eu la désagréable surprise d’ouvrir la porte d’une enseigne totalement vidée de son stock, à l’exception de quelques chaussures d’hiver et de quatre robes.
D’après des commerçants voisins, c’est le gérant qui aurait tout emporté dans la nuit de vendredi à samedi.

Depuis, les vendeuses sont toujours en poste et ont de nouveau ouvert ce matin le magasin, attendant désespérément des clients... Et également d’en savoir plus sur le sort qui leur sera réservé.

http://www.midilibre.fr/2011/05/23/dma-vendeuses-dans-un-magasin-vide-par-le-gerant,323387.php

Téléphones mobiles: 3 pirates interpellés

Trois personnes ont été interpellées cette semaine dans le cadre d'une nouvelle opération visant à démanteler un réseau des pirates de codes de sécurité des téléphones mobiles, qui fonctionnait depuis plusieurs années, a-t-on appris auprès de la section de recherches de la gendarmerie de Marseille. Les suspects ont été arrêtés dans le Rhône, le nord de la France et en région parisienne, précise-t-on de même source.

Un autre réseau avait été mis à jour en septembre 2010 et une dizaine de personnes avaient été interpellées en France. Les mis en cause doivent être convoqués prochainement devant un juge d'instruction.

Les pirates étaient parvenus à capter les données des opérateurs grâce à la complicité d'employés qui leur fournissaient les codes à raison d'environ 3 euros par unité. Ces codes étaient ensuite revendus sur des sites internet au prix de 30 euros.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/23/97001-20110523FILWWW00435-telephones-mobiles-3-pirates-interpelles.php

Agen. Un adolescent tué par la chute d'un mur

Un dramatique accident s'est déroulé hier après-midi, sur le coup de 17 h 25, dans le quartier Grenier, rue Gustave-Flaubert à Agen. C'est le bruit fait par un mur qui s'effondre et un cri entendu par les voisins qui ont donné l'alerte. Sur place, les pompiers ont d'abord vu, sous un amas de parpaings, une main. Ils ont dégagé le corps d'un adolescent de 14 ans qui se trouvait entre la vie et la mort après avoir été grièvement blessé au niveau de la tête. Plus d'une heure durant, pompiers et médecins du SAMU feront tout pour maintenir en vie ce garçon afin de le transporter à un centre de secours. Malheureusement, il n'a pas survécu à ses blessures.
La victime était seule lorsque l'accident s'est produit. Sa mère, qui travaille en milieu hospitalier, était partie randonner dans le Villeneuvois. Elle est revenue peu après le décès de son gamin. La famille était arrivée voilà à peine un mois dans le quartier et personne ou presque ne la connaissait. « Je voyais le garçon tous les matins sur son scooter mais je ne le connaissais pas », déclare un voisin. La victime serait scolarisée au collège Dangla.
Le drame s'est produit sans témoin. Selon les premiers éléments de l'enquête de police, c'est un pan de mur d'un garage qui s'est effondré sur l'adolescent. Celui-ci serait allé chercher des fraises chez un voisin et aurait voulu passer par une petite fenêtre du garage pour rentrer chez lui, en se servant d'un grillage pour se hisser à hauteur. Il aurait fait bouger le mur qui s'est effondré sur lui. L'enquête devrait faire appel à un expert en construction pour savoir si le garage a été construit dans les règles de l'art.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/23/1088192-le-mur-lui-tombe-dessus-un-adolescent-tue.html

Les contrôleurs SNCF cessent le travail après une agression dans un train de nuit

La SNCF a connu, hier, une flambée sociale, provoquée par l’agression d’un contrôleur dans la nuit de samedi à dimanche. Selon les syndicats, la quasi-totalité des trois cents contrôleurs en service ont posé leur sac à partir de midi. Le fort mouvement a touché l’établissement de Lyon, à savoir les secteurs de Lyon, Saint-Etienne et Valence, qui compte au total six cents contrôleurs. L’arrêt soudain du travail s’est effectué dans le cadre d’un exercice du « droit de retrait ». Le code du travail permet aux salariés de cesser le travail s’ils estiment être confrontés à « un danger grave et imminent pour leur vie ou leur santé ».
Selon Stéphane Boulade, représentant régional de Sud-Rail, l’arrêt spontané de l'ensemble des contrôleurs de la région devait avoir d’importantes répercussions sur le trafic. Un train ne peut pas partir sans contrôleur à bord. Dès le début d’après-midi, des annulations de trains ont commencé à s’afficher sur les panneaux des gares. Mais la direction n’a fourni aucune estimation précise. Des mouvements d’humeur se sont fait sentir chez les usagers dépourvus d’information. « On est conscient de la gêne occasionnée mais on ne peut plus aller au travail la peur au ventre » dit Bernard Blondet, représentant CGT de la région de Lyon.
L’agression qui a déclenché cette réaction, unanimement soutenue par les syndicats, a eu lieu dans le train de nuit Nice-Strasbourg. Au sud de Valence, un des trois contrôleurs du convoi a été violemment pris à partie par un homme ivre. Bousculé, griffé, la chemise arrachée, projeté au sol, selon les précisions rapportées par les syndicats. L’agent aurait subi deux jours d’interruption totale de travail. La direction régionale de la SNCF a livré une version moins violente. » Un SDF alcoolisé a légèrement agressé un contrôleur » a déclaré un porte-parole de l’entreprise. L’agresseur aurait été débarqué en gare de Valence et remis aux services de police.
Cette agression s’ajoute à deux incidents survenus dans le week-end. « On sentait venir le ras-le-bol, ça été la goutte d’eau » explique Stéphane Boulade. Hier vers 16 heures, une soixantaine de contrôleurs se sont rassemblés dans un établissement à proximité de la gare de Perrache. Une rencontre a eu lieu avec Laurence Witz et les responsables du comité d’hygiène et de sécurité au travail. Les quatre syndicats de contrôleurs (Sud, CGT, CFDT, UNSA) ont fait front commun. Les discussions étaient en cours sur la validation du droit de retrait. Une réunion sur la sécurité qui était prévue dans un mois, a été avancée à aujourd’hui. Les contrôleurs réclament des embauches immédiates. Un préavis de grève pour vendredi est envisagé par les syndicats.

"On ne veut plus être les cibles d'une société violente"

Témoignages. Les syndicats comptabilisent 25 outrages et agressions en moins de trois mois. La direction minimise la gravité.
Saïd, 32 ans, est contrôleur sur les lignes régionales. Samedi, entre Valence et Lyon, il s’est fait insulter et pousser dans les escaliers par un voyageur sans billet. » On ressent une agressivité permanente, c’est très pénible » témoigne le jeune homme. Vendredi, Vanessa, 23 ans, tentait de raisonner un jeune couple qui se battait dans le train. Résultat : une bordée d’injures et des menaces graves. « Les gens n’ont plus de respect » confie la jeune femme. Selon les syndicats, vingt-cinq outrages et agressions se sont produits dans les trains des lignes de la région de Lyon depuis le mois de mars dernier. La liste est longue de menaces, insultes, jet de pierres, et même coup de gaz lacrymogène, comme le 4 mai dernier. « On ne veut plus être les cibles d’une société violente qui n’a plus de respect » dit Bernard Bondet, représentant CGT. Réunis hier après-midi à Perrache, les contrôleurs de la région dénoncent tous » la multiplication des agressions » et regrettent amèrement un profond malentendu. « Un contrôleur ce n’est pas que la répression, ce n’est pas que les PV pour des défauts de billets, c’est un rôle d’accompagnement, de conseil, d’aide auprès de tous les voyageurs et d’abord les plus fragiles » témoigne un agent. Pour les syndicats, la dégradation de la situation renvoie à « une politique de déshumanisation des gares », avec de moins en moins de personnel. Et du coup des contrôleurs qui se retrouvent en première ligne. « Si je devais m’arrêter à tout, je déposerais plainte une fois par semaine, l’autre jour quelqu’un m’a menacé de me casser la mâchoire parce que je lui demandais de payer un supplément de 4 euros » confie Stéphane, un des nombreux contrôleurs exaspérés. De son côté, la direction minimise la situation : « Il ne faut pas tout confondre, un outrage et une agression ce n’est pas la même chose » dit un porte-parole qui n’a pas de statistique sur le sujet.

De nombreuses perturbations, sans précision

Les perturbations devraient continuer ce matin, avec des répercussions probables dans les TER mais peu d’impact sur les TGV selon la direction de la SNCF. La liste des trains supprimés ou retardés n’a cessé de s’allonger sur les panneaux des gares lyonnaises, au cours de la journée d’hier. A 17 heures, la quasi-totalité des TER au départ de Perrache était annulée. « L’agression d’un contrôleur risque de perturber fortement la circulation des trains au départ de Lyon » indiquait un message sur le panneau lumineux. Il était toutefois impossible de connaître l’ampleur exacte des perturbations. « On met tout en œuvre pour trouver le maximum de solutions » a déclaré la direction régionale de la SNCF. Des services de cars ont été mis en place pour remplacer les TER. Certains trains ont fait des arrêts supplémentaires pour combler l’absence d’autres convois. Aucun chiffre n’a été fourni. Le site Internet de la SNCF n’apportait pas de précision. Une évaluation officieuse a fait état de trois trains supprimés sur quatre à Perrache, moins à la Part-Dieu. Un flou qui a provoqué des mécontentements chez les usagers, notamment dans les deux grandes gares lyonnaises. « Il n’y a pas de conducteur non plus ? je ne comprends pas pourquoi l’absence d’un contrôleur empêche le train de rouler » s’agaçait un voyageur qui souhaitait rejoindre Vienne depuis Perrache.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/05/23/les-controleurs-sncf-cessent-le-travail-apres-une-agression-dans-un-train-de-nuit

Une demeure viticole et ses barriques partent en fumée dans le Sauternes

La demeure viticole du château Pernaud à Barsac, dans l'appelation Sauternes, ses cuves et ses barriques en bois ont été totalement détruites dans un incendie qui s'est déclaré dans une maison d'habitation attenante, a-t-on appris auprès des pompiers de la Gironde.
Selon les premières constations effectuées par la gendarmerie, une friteuse oubliée dans la cuisine de la maison d'habitation serait à l'origine de l'incendie.
Une dizaine de véhicules de pompiers appelés peu après 12H00 ont découvert la demeure viticole de 500 m2 totalement embrasée à leur arrivée.
Dix cuves inox, deux cuves béton d'une contenance de 500 hectolitres environ ainsi que 100 barriques en bois et de nombreuses bouteilles de vin ont été détruites dans l'incendie.
Une partie contiguë servant de chais a été en revanche préservée, ont précisé les pompiers.
Un sapeur-pompier en légère hyperthermie a été conduit à l'hôpital

http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/une-demeure-viticole-et-ses-barriques-partent-en-fumee-dans-le-sauternes-22-05-2011-1461598.php

dimanche 22 mai 2011

Patrons de cabaret ligotés et frappés

e ne souhaite à personne ce que nous venons de vivre. Nous avons été attaqués dans notre maison par des fous. C’est grave, et d’une cruauté… », confiait, hier, Pierre Meyer, le patron du Royal Palace à Kirrwiller, en Alsace.
Jeudi, après la matinée de spectacle au cabaret, le couple Pierre et Cathy Meyer regagne sa maison à proximité du music-hall. Vers 22 h, ils se délassent dans le salon devant la télévision lorsque leur caniche, Simon, fonce vers la cuisine en aboyant. Pierre Meyer ouvre la porte-fenêtre et trois hommes encagoulés, portant des blousons noirs et des gants, lui sautent dessus, le frappent et le plaquent sur le sol de la cuisine. « Je me suis débattu mais ils étaient trois sur moi. L’un d’eux est allé vers ma femme et l’a violemment frappée. Là, je n’ai plus résisté et ils nous ont attachés. Ils nous ont ligoté les mains et les pieds avec des cordons de rideaux et des cravates », raconte le propriétaire du troisième cabaret de France.

Pistolet sur la tempe

Tout va très vite. Les individus ne sont pas identifiables, seuls leurs yeux sont visibles. Ils hurlent, frappent le dos, la tête, les côtes du couple avec des bâtons, un manche de hache, une crosse et sortent une arme à feu. « Le chef m’a mis un pistolet sur la tempe et m’a menacé de mort en me disant : " Dis-nous où est l’argent ou je te tue !" Je leur ai dit que je ne gardais plus d’argent à la maison. Là ils ont frappé encore plus fort. Ils ont réclamé la combinaison du coffre et mon portefeuille. »
Le supplice dure une longue heure et demie. « Ils ont cogné mon épouse au visage, elle saignait du nez. Ils lui ont même serré le cou. Quelle lâcheté de s’en prendre ainsi à une femme ! »
http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2011/05/22/patrons-de-cabaret-ligotes-et-frappes