vendredi 28 février 2014

Rion-des-Landes : un camion renversé dans le fossé

La route départementale RD 41 est ce vendredi après-midi fermée à la circulation suite à un accident survenu à la mi-journée.
Un camion-citerne de 25 tonnes a versé dans le fossé. Le conducteur, âgé de 53 ans, a été évacué vers le centre hospitalier de Dax et souffre du genou et du thorax. Le contenu de la citerne ne serait pas polluant.
Alors qu'une opération de levage du poids lourd est prévu pour le début d'après-midi, une déviation est mise en place dans les deux sens de circulation. En sortant de Rion-des-Landes, les conducteurs sont invités à prendre la direction de Laluque, par la RD 27, puis de rejoindre Castets et l'autoroute A 63 via la RD 42. 

http://www.sudouest.fr/2014/02/28/rion-des-landes-un-camion-renverse-dans-le-fosse-1476405-3350.php

Sainte-Croix. Des écoliers prisonniers du bus renversé

Un bus transportant des écoliers de Cordes-sur-Ciel a dérapé hier matin et s’est couché dans le fossé sur le côté droit, bloquant toute issue par les portières. Les pompiers ont dû évacuer les 23 passagers par le toit.
Pour sûr, les écoliers de Cordes-sur-Ciel se souviendront du trajet qui les a conduits à Sainte-Croix, ce jeudi. Il était près de 10 heures, sur la petite route qui relie la départementale 600 au village lieu-dit «Les bouis», lorsque le bus scolaire s’est déporté, finissant sa course dans le fossé. Prudent, le chauffeur roulait très lentement, dans cette courbe à gauche. «Il n’y a pas eu de choc violent. Le bus s’est plus embourbé qu’autre chose», rassure l’adjudant-chef Marc Albinet au centre de traitement de l’alerte (CTA) des sapeurs-pompiers du Tarn. Là où ça se corse, c’est que le véhicule s’est couché sur le côté droit, celui des portières, bloquant les issues. Les 23 enfants et accompagnatrices se sont retrouvés piégés, prisonniers à l’intérieur. «Le chauffeur nous a alertés de suite par téléphone, permettant de déclencher aussitôt les secours», dit Nicolas Coulom, le patron de JLC Tourisme à Albi, qui effectuait ce transport. Les sapeurs-pompiers d’Albi et Carmaux ont afflué sur place. Les passagers ont été évacués un à un par le toit, au moyen d’une échelle.

«Ils révisaient leur table»

L’institutrice a fait le nécessaire pour éviter toute panique, le temps de l’opération. «Quand on est arrivés, elle leur faisait réviser la table de multiplication», sourit Nicolas Coulom. Il n’y a pas eu de blessé. Seule une accompagnatrice s’est sentie mal a posteriori, le contrecoup de l’émotion sans doute.
«Les enfants ont très bien réagi. L’Éducation nationale a mis en place un soutien psychologique dans l’après-midi. Ils n’ont pas ressenti le choc. C’est juste le fait d’être restés coincés une demi-heure dans le bus», résume l’adjudant-chef Thierry Dueymes, commandant de la brigade de gendarmerie de Cagnac, qui «souligne la réactivité des transports Coulom, qui a aussitôt envoyé un autre bus. Sitôt extraits du premier, les enfants montaient dans l’autre. Il n’y a pas eu d’attente. C’était carré.»
Les élèves cordais participaient à un échange avec l’école de Sainte-Croix, comme ils le font régulièrement, dans le cadre d’un regroupement pédagogique. «Le bus a dû déraper sur la chaussée mouillée. Il a tellement plu en ce moment», ont constaté sur place François Llonch, adjoint du maire de Cordes aux écoles et Claude Blanc, vice-président de la communauté de communes du Cordais et du Causse après cet accident «impressionnant mais avec au final plus de peur que de mal». «L’évacuation s’est faite par le toit pour ne pas avoir à casser une vitre», précise Nicolas Coulom, précaution évitant tout dégât sur le bus. «Mais le bus n’est rien, dit Nicolas Coulom. Ce qui compte, ce sont les enfants.»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/28/1829186-sainte-croix-des-ecoliers-prisonniers-du-bus-renverse.html

Gard : braquage au supermarché Lidl de Garons

Ce jeudi 27 février, à 6 h 30, un homme armé et cagoulé a réussi à se faire remettre le contenu du coffre au supermarché Lidl de Garons.
Seul, armé, cagoulé, un homme a débarqué ce jeudi 27 février au supermarché Lidl de Garons au moment où le personnel arrivait sur le site.
Avec une arme de poing, le malfrat est parvenu à se faire remettre le contenu d’un coffre qui contenait près de 1 000 € environ. Il était
6 h 30 lorsque le braqueur est passé à l’acte. Il ne serait resté que quelques instants dans le magasin avant de prendre la fuite à pied.



Le braqueur n'a pas été retrouvé
L’enquête a été confié aux gendarmes qui ont envoyé de nombreuses patrouilles dans ce secteur. D’ailleurs, une équipe qui se trouvait non loin du magasin s’est immédiatement déplacée sur les lieux. Mais le malfrat n’a pas été retrouvé. Il semble vraisemblable que cet homme ait pu s’enfuir avec une voiture garée non loin du commerce.
Témoignages du personnel et des personnes ayant pu assister au vol à main armée
Assez vite, les gendarmes de la compagnie de Nîmes ont dépêché sur les lieux des enquêteurs pour recueillir les témoignages du personnel et des personnes ayant pu assister au vol à main armée. Une équipe cynophile a tenté de pister le braqueur mais les recherches sont restées infructueuses

http://www.midilibre.fr/2014/02/27/gard-braquage-au-supermarche-lidl-de-garons,828002.php

jeudi 27 février 2014

Gironde : le stage d’aviron avait viré à l’évasion

Le 5 avril 2013, à la faveur d'un stage sportif d'initiation à l'aviron organisé sur le lac de Bordeaux pour plusieurs détenus du centre pénitentiaire de Gradignan, Christopher Brunson, 27 ans, s'était fait la belle. Prétextant un besoin pressant, il avait été autorisé par les surveillants à se rendre aux toilettes. Ne le voyant pas revenir, ils sont allés le chercher. Mais le détenu avait filé à l'anglaise.
L'employée d'un hôtel proche a un peu plus tard appelé la police pour témoigner d'une scène qui l'avait surprise. Un homme couvert de boue était arrivé en courant sur le parking de l'établissement et s'était jeté à l'arrière d'une voiture noire qui avait démarré. Elle avait eu le réflexe de noter le numéro d'immatriculation. Un renseignement qui a permis aux policiers de se mettre rapidement sur la piste de l'évadé et de l'interpeller quelques dizaines de minutes plus tard.
Christopher Brunson a donc été extrait de sa cellule hier pour être jugé devant le tribunal correctionnel pour « évasion d'un détenu bénéficiant d'une permission de sortie en récidive ».
Le conducteur de la voiture, sous contrôle judiciaire après avoir fait cinq semaines de détention provisoire après les faits, était aussi présent à l'audience. Il a soutenu, et après lui, son avocat, Me Éric Grosselle, qu'il n'était pas au courant que Christophe Brunson voulait s'évader. « Je ne l'ai appris que lorsque je l'ai déposé place de la Victoire. »
Pas de quoi convaincre la présidente Cécile Ramonatxo qui rappelait les éléments du dossier, et notamment les relevés téléphoniques, qui montraient que Christopher Brunson avait sollicité son ami par téléphone, dès la veille, et le matin même de l'évasion. « Mais il m'a dit qu'il était libérable », a maintenu le jeune prévenu.
  • Laissé sans surveillance
Me Éric Grosselle a considéré de plus que son client n'a en rien été responsable de l'évasion de son copain. « Il n'a rien initié pour l'évasion elle-même. »
Alors que le vice-procureur Marc Ottomani avait requis contre ce dernier huit mois de prison ferme, Me Grosselle a demandé la relaxe, « ou une peine qui couvre la détention provisoire et n'entraîne pas de révocation de sursis de peines précédentes ».
Me Dominique Laplagne s'est, pour sa part, attaché à convaincre que malgré un lourd casier judiciaire, Christopher Brunson ne méritait pas nécessairement une peine sévère. « Il faut s'interroger sur les motifs qui l'ont conduit à s'évader alors qu'il n'avait plus que sept mois de détention à faire. Mais ça correspondait à la sortie de l'hôpital de sa mère à Toulouse. »
Il a aussi pointé du doigt l'administration pénitentiaire qui avait laissé le détenu se rendre seul aux toilettes sans surveillance. « Il a filé à l'anglaise mais n'a rien cassé et n'a fait de mal à personne », soulignait encore Me Laplagne.
Le vice-procureur Marc Ottomani n'a pas vu les choses sous le même angle. « Nous sommes toujours confrontés aux mêmes manières de se défendre de la part des prévenus. L'un dit qu'il est innocent et qu'on doit le croire. L'autre qu'il ne recommencera plus jamais alors que sa dernière condamnation date de 2012. »
Il a requis à l'encontre de Christopher Brunson deux ans de prison ferme. Il a été condamné à un an ferme et son coprévenu à six mois ferme sans mandat de dépôt.
http://www.sudouest.fr/2014/02/27/le-stage-d-aviron-avait-vire-a-l-evasion-1474452-2897.php

Pontivy. Un motard pontivyen gravement blessé

Un chargement perdu par un camion a manifestement entraîné cet accident grave, à Cléguérec, près de Pontivy, ce mercredi.

Juste avant la déviation de Stival

Un motard a été gravement blessé, à la suite d’une collision avec une voiture, à Cléguérec (Morbihan), vers 16 h 30, ce mercredi.
L’accident s’est produit au lieu-dit Kerbédic, sur la route D764 entre Guémené-sur-Scorff et Pontivy, juste avant la nouvelle déviation de Stival.

La voiture fait une embardée

Selon les premiers éléments, un camion a perdu une partie de son chargement. Une voiture qui suivait aurait effectué une embardée sur la gauche pour éviter l’obstacle. Et a heurté un motard arrivant en face. 

Transporté dans un état grave

Le motard, âgé de 33 ans, demeurant à Pontivy, a été transporté dans un état grave au centre hospitalier du Centre-Bretagne à Noyal-Pontivy. 

http://www.ouest-france.fr/fait-divers-pontivy-un-motard-pontivyen-gravement-blesse-1961318

Castres. Bagarre et imbroglio à la gare routière

Une bagarre est survenue à Castres lundi matin entre des jeunes gens à la gare routière dans des circonstances qui ne sont pas très claires et qui font actuellement l’objet d’une enquête au commissariat de Castres. Il était 7h45 environ et le différend est survenu entre plusieurs garçons, dont certains venaient de descendre de l’autobus en provenance de Graulhet. Des coups ont été échangés avant que les nombreux jeunes gens présents à cette heure là sur ce site ne se dispersent. Deux plaintes ont été déposées par deux jeunes gens qui n’ont été que très légèrement blessés.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/27/1827660-castres-bagarre-et-imbroglio-a-la-gare-routiere.html

Détention prolongée de six mois pour J.-L. Cayrou, soupçonné d'un meurtre en Aveyron

Le corps de Patricia Wilson, disparu à Vabre-Tizac (Aveyron) à l'été 2012, n'a jamais été retrouvé. Jean-Louis Cayrou, ce jardinier aveyronnais soupçonné d'avoir tué la retraitée britannique à l'été 2012, voit sa détention prolongée de six mois.
Le juge de la liberté de Montpellier a prolongé ce mercredi pour six mois la détention préventive de Jean-Louis Cayrou,  ce jardinier aveyronnais soupçonné d'avoir tué Patricia Wilson, une retraitée britannique à l'été 2012. "Cela fait un an et demi que je suis en détention et je commence à trouver le temps long" a indiqué au juge Jean-Louis Cayrou, qui espérait être libéré et placé sous bracelet électronique.
 

mercredi 26 février 2014

Angoulême : il vole dans le TGV Bordeaux-Lille et se fait interpeller à la gare

Mardi, vers 16 h 30, les policiers angoumoisins procédaient à une opération de contrôle d'identité à la gare.
Ils ont alors été mis en alerte par des agents de la SNCF qui leur ont signalé que deux personnes avait été victimes de vol dans le TGV Bordeaux-Lille qui venait d'entrer en gare. L'une s'était faite dérober son ordinateur portable, l'autre un Iphone.
Les soupçons des deux victimes se portaient sur une même personne. Les policiers se sont déployés et ont fini par repérer un homme, dans un tunnel sous les quais, qui correspondait à la description donnée du voleur supposé.
Lorsqu'ils l'ont interpellé, les policiers ont effectivement trouvé les objets en sa possession.
L'homme âgé de 24 ans et actuellement domicilié à Niort a été placé en garde à vue au cours de laquelle il a reconnu les faits. Relâché, il est convoqué au tribunal correctionnel d'Angoulême lors d'une audience qui se déroulera en mars. 

http://www.sudouest.fr/2014/02/26/angouleme-il-vole-dans-le-tgv-bordeaux-lille-et-se-fait-interpeller-a-la-gare-1474055-813.php

Montfaucon : trois ans ferme en appel pour le chauffard de 19 ans

Alexis Di Benedetto, jeune Montfauconaise de 18 ans, et deux autres de ses camarades vauclusien trouvaient la mort dans un accident de voiture le 13 décembre 2012. En juillet 2013, la justice avait reconnu responsable le conducteur du véhicule, un jeune homme de 19 ans. Il vient d'être à nouveau condamné par la cour d'appel de Nîmes.
Cinq ans de prison, dont trois ferme, et l’interdiction de repasser son permis de conduire pendant huit ans. Tel est le jugement rendu par la cour d’appel de Nîmes, mardi 25 février dans le procès en appel de Thibault Martos, un Orangeois de 19 ans, accusé d’être à l’origine de la mort de trois de ses camarades et qui s’était tenu à Nîmes le 14 janvier. 
Trois jeunes sont décédés


Le drame remonte au 13 décembre 2012. Par une matinée pluvieuse, sept lycéens du lycée viticole d’Orange, qui n’ont pas cours, décident d’aller boire un café à Orange les Vignes.
Thibaut Martos conduit la première voiture, dans laquelle se trouve également Alexie Di Benedetto, âgée de 18 ans et originaire de Montfaucon, Bryan Reling, 17 ans, de Jonquières, Adrien Reynaud, 18 ans, de Courthézon, et François. Dans un second véhicule, deux de leurs amis les suivent.
Une portion limitée à 90 km/h
Sur le CD 72, commune de Courthézon, alors que Thibaut tente de doubler un utilitaire, lequel est lui-même en train de dépasser, à une allure estimée par un expert judiciaire à plus de 121 km/h sur une portion limitée à 90 km/h et sur chaussée mouillée, le jeune homme (titulaire de son permis de conduire depuis tout juste cinq mois) perd le contrôle de sa Clio et ne peut éviter le choc avec la voiture qui arrive en face.
Adrien, Bryan et Alexie sont éjectés du véhicule et décèdent.
En première instance, condamné à 5 ans de prison dont six mois avec sursis
François et Thibaut sont blessés comme la conductrice de la Peugeot 207 qui arrivait en face. En première instance, le tribunal correctionnel d’Avignon avait condamné Thibaut Martos à cinq ans de prison dont six mois avec sursis, en juillet 2013, et à une interdiction de repasser son permis de conduire pendant cinq ans.

http://www.midilibre.fr/2014/02/26/drame-de-courthezon-trois-ans-ferme-pour-le-chauffard-de-19-ans,827403.php

Les cliniques ne veulent pas des élèves infirmiers

En opposition avec le gouvernement, les cliniques privées ont décidé de ne plus accueillir d’élèves infirmiers en stage à partir du 1er mars. Les étudiants craignent pour leur diplôme.
Lundi, ils porteront un brassard noir. «Parce que nous sommes les otages d’un conflit qui ne nous concerne pas. C’est notre formation, notre diplôme qui est en jeu et, au milieu, il y a les patients », lance Cédric Simon, étudiant infirmier en troisième année à l’IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) de Toulouse, un des deux établissements formateur avec l’Institut régional de formation de la Croix Rouge.
À l’appel de la FHP (Fédération de l’Hospitalisation Privée), plusieurs cliniques du département n’accueilleront pas de stagiaires dans leurs services à partir de lundi 1er mars. Un «acte de résistance » selon la FHP en opposition avec le gouvernement avec qui elle négocie notamment la convention annuelle tarifaire. Un moyen -discutable- de rappeler le rôle de la FHP au sein du système hospitalier. «Le gouvernement ne doit pas dissocier secteur public et secteur privé. Nous accueillons 30 000 stagiaires chaque année. C’est une décision difficile, nous savons que les conditions de remplacement de ces stages seront insupportables et que les hôpitaux du secteur public ne pourront pas absorber tout le monde. Le Ministère et l’Assurance maladie doivent se remettre autour de la table avec nous » a déclaré hier soir Jean-Loup Durousset, président de la FHP, contacté à l’issue d’un comité exécutif exceptionnel.
Au niveau national, 80 % des 1 100 cliniques et hôpitaux privés se sont engagés dans ce mouvement. Selon le site de la FHP, c’était le cas hier soir en Haute-Garonne pour 24 établissements dont les cliniques de l’Union, Saint-Jean-du-Languedoc, le Parc, Ambroise Paré.
«Quarante de nos étudiants ont dû être recasés. Le CHU de Toulouse a fait de gros efforts alors qu’il accueille déjà 400 étudiants par an. Nous savons que c’est lourd pour les équipes. Si d’autres établissements se joignent au mouvement, ça risque de poser problème. Si les élèves de troisième année doivent différer leur stage, ils ne pourront pas passer leur diplôme en juillet » déclare Anne Abanadès, directrice de l’IFSI de Rangueil où un tiers des 750 étudiants partent chaque année en stage dans le secteur privé.
À l’IRFSS (Institut régional de formation sanitaire et sociale) de la Croix rouge française, six étudiants sont pour le moment sans affectation mais 114 pourraient être touchés par la décision des cliniques. «Nous allons tout faire pour trouver un stage à ces six élèves mais s’il y en a plus…» s’interroge Sophie Cazard, directrice de l’IRFSS.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/26/1827107-les-cliniques-ne-veulent-pas-des-eleves-infirmiers.html

Berck : le commissariat évacué à cause d'odeurs pestilentielles

Le commissariat de police de Berck, dans le Pas-de-Calais, a été évacué mardi pour une semaine au moins. La cause ? Des odeurs pestilentielles persistantes qui incommodent fortement les policiers et dont l'origine demeure inconnue. Des tests doivent être réalisés pour déterminer l'origine de cet air pollué.
"On est tous intoxiqués". Gorge qui gratte, yeux qui piquent, nez qui coule, maux de ventre : cela fait trois semaines que la soixantaine de policiers endure sans comprendre, selon une source policière, qui indique que trois de ses collègues ont été placés en arrêt maladie et que d'autres ont été victimes de malaises. "On est tous intoxiqués. On a l'exemple d'un collègue qui est arrivé seulement hier matin. Hier soir, il est rentré chez lui avec une barre dans la poitrine, il n'arrive plus à respirer, c'est vraiment qu'il y a quelque chose", a assuré Fabrice Kazmierzak, brigadier-chef à Berck et délégué syndical Unsa police.
"On ne peut plus accueillir les gens". Et cette odeur nauséabonde n'empoisonne pas que le personnel, mais tous ceux qui mettent un pied au commissariat, dont les plaignants. "En une minute, on pouvait faire éternuer dix personnes dans tout le commissariat. On a même eu des plaignants, qui venaient faire des déclarations au commissariat, et qui, pour l'une avait perdu la voix au bout d'un quart d’heure au service, et pour l'autre, avait fait un malaise. C'est hallucinant que dans un commissariat, on ne puisse pas respirer correctement, qu'on ne puisse pas accueillir les gens", ajoute-t-il au micro d'Europe 1.
Une évacuation pour analyses. Au départ, les policiers ont pensé à du gaz lacrymogène, une bombe, ou une grenade usager qui aurait pollué l'air du commissariat. Mais après une dizaine de vérification et le passage quasi-quotidien des pompiers, impossible de vérifier la source de cette odeur nauséabonde. Une vidange des égouts, mardi matin, n'a rien donné non plus.
Un peu plus tard dans la journée, le préfet du Pas-de-Calais a donc annoncé que les effectifs du commissariat seraient transférés pendant au moins une semaine dans des bâtiments provisoires, le temps de procéder à des analyses plus poussées de l'air.
Principe de précaution. "Nous avons pris contact avec un bureau d'étude qui va capter pendant une semaine, l'air qu'il y a dans le bâtiment et ensuite analyser très finement. Pendant toute cette période et pour une raison de précaution et de sécurité, j'ai pris la décision de retirer les fonctionnaires de police du bâtiment incriminé", a expliqué le préfet du Pas-de-Calais Denis Robin. "Le principe de précaution est appliqué, (...) c'est la décision qu'on attendait", a réagi M. Kazmierzak, "très satisfait". La médecine du travail devait rencontrer les policiers mardi soir.
 

mardi 25 février 2014

Saint-Sulpice-de-Royan (17) : une bombe découverte sur un chantier

Une bombe de la Seconde Guerre mondiale semble-t-il a été découverte lundi après-midi sur un chantier de la zone industrielle de la Queue de l'Ane à Saint-Sulpice-de-Royan.
L'hélice a pu être isolée. Les artificiers doivent venir ce mardi pour la désamorcer. 

http://www.sudouest.fr/2014/02/25/saint-sulpice-de-royan-une-bombe-sur-un-chantier-1472848-1602.php

Accident de ski: une mère dénonce la Justice

Une mère de famille se dit prête à débuter une grève de la faim, un an après le décès de sa fille dans la station de ski de Morzine.

Dénonçant une justice à deux vitesses, elle est "en colère, surtout quand on voit l'exemple de Schumacher. Les gendarmes se sont mobilisés tout de suite et un procureur a bouclé l'affaire en un mois et demi" a-t-elle expliqué sur
RTL.

Natalia Weber réclame "le nom du responsable de la mort de (sa) fille" de neuf ans. Skiant sur une piste bleue, l'enfant, qui portait un casque, a percuté une barrière en bois et est décédée quelques jours après à l'hôpital. La mère argue que les "rondins ne sont pas protégés" et fustige la lenteur de l'enquête.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/25/97001-20140225FILWWW00046-accident-de-ski-une-mere-denonce-la-justice.php

Croix-Daurade. Grève au collège Auclert après l'agression d'un «policier»

Les enseignants et personnels du collège Hubertine-Auclert, dans le quartier de Croix-Daurade à Toulouse, étaient en grève hier pour protester contre des actes de violence répétés. Ils ont obtenu hier un poste supplémentaire et la présence de la police devant le collège.
La violence a atteint son paroxysme vendredi dernier, au collège Hubertine-Auclert. Un parent d’élève a violemment frappé au visage un membre de l’équipe mobile de sécurité, présent dans l’établissement depuis cinq jours pour tenter d’apaiser la situation… L’homme a été blessé au nez, et une plainte a été déposée. Cet acte de violence a été la «goutte d’eau» pour les enseignants et personnels d’encadrement, qui ont immédiatement fait valoir leur droit de retrait. Hier, une large majorité d’entre eux étaient en grève. Les élèves sont restés chez eux.
Dans les locaux vides du collège s’est tenue une réunion d’urgence entre les professeurs, l’équipe éducative, les représentants des parents d’élèves et le directeur académique adjoint, Franck Picaud. Ce dernier a assuré qu’un deuxième conseiller principal d’éducation (CPE) serait affecté dès le 17 mars au collège. Ce poste temporaire pourrait être rendu pérenne à la rentrée 2014. Autre mesure : la police sera présente à la sortie du collège toute cette semaine pour sécuriser les sorties de classe.
En revanche, il n’y aura pas de surveillant supplémentaire, comme les grévistes le demandaient.
«Le bilan de cette réunion est positif», a réagi hier soir une porte-parole des enseignants. Les cours devraient donc reprendre normalement ce mardi matin.
L’ambiance ne sera pourtant pas totalement sereine, dans ce collège qui connaît depuis trois mois une montée progressive de la violence. L’élément déclencheur aura été le «jeu» de certains élèves, qui ont déclenché jusqu’à sept fois (!) par jour l’alarme incendie du collège, à partir du mois de décembre. À chaque fois, les classes étaient évacuées, déclenchant des chahuts et des actes de violence. Plusieurs agressions ont eu lieu devant le collège. La dernière lundi 17 février, où un élève a été menacé avec une arme à feu.
Le matin même, quatre membres de l’équipe régionale mobile de sécurité - d’anciens policiers et gendarmes, des psychologues - démarraient leur intervention, à la demande du principal du collège. Cette équipe, créée en 2010, est intervenue 200 fois dans toute la région en 2013. Présents pour réaliser un audit «sécurité» de l’établissement et l’aider à retrouver de la sérénité, ils auront - bien malgré eux - contribué à provoquer cette réunion d’urgence. «Chacun attend maintenant les vacances avec impatience, souffle un enseignant. Tout le monde est épuisé…»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/25/1826532-croix-daurade-greve-apres-agression-policier-college.html

Rhône. Son garage lui apprend qu’il a acheté une voiture volée... deux ans après

Christophe Glaive, ouvrier en bâtiment domicilié à St-Priest, s’est saigné pour s’offrir une Mercedes, en avril 2013. Lorsqu’il a répondu à une annonce d’un particulier pour cette voiture d’occasion sur Le Bon coin, il a pris le maximum de précautions.

« J’ai demandé un certificat de situation administrative sur internet avec la photocopie de la carte grise et un ami policier s’est informé sur le numéro de châssis ». Patatras. Quelques mois plus tard, en juillet, en allant au garage Mercedes pour le faire réviser, on lui apprend que son véhicule est déclaré volé sur les fichiers informatiques de la marque. Dans un premier temps, la gendarmerie de Corbas vérifie sur un fichier national mais ne trouve pas de trace du délit. Christophe retourne au garage. Mercedes confirme : sa voiture est bel et bien volée.
Les gendarmes finissent par consulter le système d’information Schengen, un fichier utilisé par les États membres de l’Union Européenne mis en place en 2009, et constatent que le véhicule a été déclaré volé en Allemagne en février 2011.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/02/24/son-garage-lui-apprend-qu-il-a-achete-une-voiture-volee-deux-ans-apres

lundi 24 février 2014

Bordeaux: un tram déraille après une collision

Selon des informations de Sud Ouest, une rame de la ligne B du tramway de Bordeaux a déraillé aujourd'hui après être entrée en collision avec une voiture, au niveau de l'arrêt Pessac-Médiathèque.

Les quatre passagers de la voitures seraient légèrement blessés.
La circulation reste interrompue entre Pessac-centre et Bougnard. Des lignes de substitution ont été mises en place.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/24/97001-20140224FILWWW00174-bordeaux-un-tram-deraille-apres-une-collision.php

Reignac : une conductrice de 78 ans percute un tracteur

Ce lundi matin un accident s'est produit vers 11 heures, sur la D731, à proximité de la commune de Reignac. Une dame au volant de sa voiture, qui circulait dans le sens Chalais-Barbezieux, a percuté un tracteur.
La dame âgée de 78 ans a été blessée puis conduite vers l'hôpital de Barbezieux.
La Citroën C3 qui tentait de doubler l'engin agricole, a percuté le tracteur alors que ce dernier avait mis son clignotant pour tourner à gauche en direction du lieu-dit "Chez Guilbot".
Les pompiers de Baignes et Barbezieux ainsi que la gendarmerie de communauté de brigade de Barbezieux, Baignes et Brossac sont intervenus sur les lieux.

http://www.sudouest.fr/2014/02/24/reignac-une-conductrice-de-78-ans-percute-un-tracteur-1471801-1179.php

Castres. Deux amis se lancent dans le «tout jetable»

C’est l’histoire d’un pari un peu fou. Celui d’Albert Andrieu, ancien gérant du tabac de l’Albinque de Castres, et de son ami Jean Castagne, originaire de Mazamet et restaurateur à Grenoble. En 2012, les deux amis cherchent une affaire à reprendre. Albert y réfléchit d’abord seul, et tombe par hasard sur un business qui se développe de plus en plus, et dont les prix sont accessibles à tous : la vaisselle jetable et les produits d’entretien. Recyclable, réutilisable, écologique, l’idée est séduisante. Les deux amis connaissent pourtant des débuts difficiles : «on a eu du mal à trouver un local à vendre, qui soit accessible pour nous. Finalement, on a trouvé ce grand bâtiment en plein cœur de la zone industrielle de Mélou. L’avantage, c’est ce grand hangar pour gérer les commandes.» Oui, car le business d’Albert et Jean, ce n’est pas qu’un magasin physique, c’est aussi et surtout une boutique sur Internet ! Grâce à deux sites (l’un consacré à la vaisselle jetable, l’autre aux produits d’entretiens) qu’ils ont fondé en partenariat avec une société de communication toulousaine, ils ne visent qu’un objectif : élargir leur clientèle. Particuliers, professionnels, grandes entreprises, tous semblent vouloir porter écho à cette reconversion des deux amis.
D’autant que les deux amis entrepreneurs font appel à une main d’œuvre elle aussi locale : «nos principaux fournisseurs sont des sociétés essentiellement locales, de Carcassonne, Toulouse…», confirme Albert Andrieu. Depuis l’ouverture en décembre dernier, les affaires semblent décoller doucement, même si, selon les confidences des deux associés, «l’essentiel de nos commandes se fait par internet». Leur ambition est tracée : pour l’instant ils gèrent seuls le magasin, mais ils comptent bien engager une troisième personne réelle pour s’occuper de leur business virtuel, dans un avenir assez proche. Si jamais vous faites faire vos repas de fêtes par un traiteur ou un professionnel, ayez l’œil : la vaisselle d’Albert et Jean pourrait se cacher derrière la recette !

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/24/1825226-castres-deux-amis-se-lancent-dans-le-tout-jetable.html

dimanche 23 février 2014

Cannes: un policier blessé par un chauffard

Un policier de Cannes (Alpes maritimes) a été blessé ce dimanche par un chauffard qui tentait de prendre la fuite après avoir refusé de se soumettre à un contrôle d'identité, indique une source proche de l'enquête.

Selon cette source, le policier a été percuté par le chauffard qui était engagé dans une course poursuite avec les gendarmes après avoir refusé de s'arrêter lors d'un contrôle routier dans les Alpes-Maritimes.

Blessé à l'épaule et à la hanche, le policier a été transporté à l'hôpital, la course poursuite prenant fin peu après avec l'interpellation du chauffard, à Cannes, selon cette source qui a précisé que de la drogue pouvait avoir été retrouvée dans le véhicule.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/23/97001-20140223FILWWW00130-cannes-un-policier-blesse-par-un-chauffard.php

Accident mortel sur l'A9 à Saint-Aunès : elle meurt écrasée par le poids lourd

Un semi-remorque allemand circulant vers l'Espagne sur l'autoroute A9 à hauteur de Saint-Aunès (Hérault) a percuté une voiture poussée par sa conductrice sur la bande d'arrêt d'urgence. Coincée entre le poids-lourd et son véhicule, elle est décédée sur le coup.
Un terrible accident est arrivé samedi peu après 12 h 30 sur l'A9 à hauteur de l'aire de repos de Saint-Aunès, dans le sens Nîmes - Montpellier, près de Vendargues dans l'Hérault.
Elle poussait sa voiture sur la bande d'arrêt d'urgence


Sa voiture en panne, une automobiliste s'est placée à l'arrière de son véhicule et l'a poussé sur la bande d'arrêt d'urgence. Le camion l'a percutée avec une extrême violence et l'a littéralement broyée, la tuant sur le coup.
Le conducteur du semi remorque ayant perdu le contrôle a ensuite continué sa course folle et fini sa trajectoire dans une vigne en contrebas de l'autoroute. Par miracle le routier en état de choc est sorti légèrement blessé de sa cabine complètement disloquée.
L'accident a provoqué trois kilomètres de bouchon
La circulation se faisait sur les voies de droite et médiane uniquement. Les gendarmes du peloton autoroutier de Grand-Gallargues (Gard) sont chargés de l'enquête. Pour l'heure l'identité de la conductrice n'est pas connue.

http://www.midilibre.fr/2014/02/22/herault-grave-accident-sur-l-a9-vers-12-h-30-a-hauteur-de-saint-aunes-un-mort-un-blesse-leger,825729.php

Un cadre originaire de Besançon tué sur un chantier au Kenya

Âgé de 51 ans, originaire de Besançon, Philippe Vienot a perdu la vie dans un accident de travail survenu au Kenya. Ingénieur en télécommunications, il se trouvait en mission professionnelle dans ce pays d’Afrique de l’Est pour le compte de son entreprise, Camusat, spécialisée en infrastructures des télécommunications et dont deux des principaux sites se trouvent en Côte-d’Or.
Les faits ont eu lieu mercredi dernier à Nairobi. Chargé de la direction de la maintenance, Philippe Vienot s’apprêtait à contrôler une équipe sur un chantier. Il a remarqué un câble coupé dont une partie était liée à un poteau et l’autre se trouvait en travers de la route. À ce moment-là, arrivait un autocar. Le passage du véhicule a eu pour effet de soulever le câble, qui est allé frapper au cou Philippe Vienot. Ce dernier est décédé sous la violence du choc.
Cet accident dramatique a plongé dans la peine et le chagrin la famille de M. Vienot, ses trois enfants encore jeunes, son épouse Nathalie. Il a jeté la consternation à Chalèze, d’où est originaire cette dernière, qui est la sœur de Christophe Curty, maire de la commune doubienne.
Sorti de l’école nationale supérieure de l’électronique et des applications, Philippe Vienot avait beaucoup bougé au fil de sa carrière et effectué nombre de missions en divers pays étrangers. Il était domicilié à Fréjus avec sa famille. Ses obsèques auront lieu mardi 25 février, à 15 h, en l’église de Chalèze.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/23/un-cadre-tue-sur-un-chantier-au-kenya

Gard : un conducteur de 61 ans contrôlé à 202 km/h sur l'A9 à Nîmes

Un assureur gardois de 61 ans, roulant à 202 km/heure, a été contrôlé sur l’A9 à la hauteur de Marguerittes dans le Gard par les gendarmes le 19 février.
 

Le 19 février dernier, dans l’après-midi, un automobiliste roulant à 202 km/heure a été contrôlé sur l’A9 (Marguerittes) par les gendarmes de la brigade rapide. La vitesse est limitée à 130 km/h. Son permis de conduire lui a été retiré.
Cet assureur gardois, âgé de 61 ans, a par ailleurs fait l’objet d’une suspension administrative de six mois par le préfet du Gard. Il sera également convoqué devant le tribunal correctionnel de Nîmes.


Depuis le début de l’année, dans le Gard, en zone de gendarmerie nationale, la vitesse est à l’origine de 41 % des accidents corporels de la circulation routière.

http://www.midilibre.fr/2014/02/22/nimes,825869.php

samedi 22 février 2014

Un employé de Monoprix se pend sur son lieu de travail

"Le motif de son geste ne serait pas d’ordre privé", a indiqué une source policière précisant que l’enquête devrait déterminer les raisons précises de ce suicide. Les auditions de ses collègues qui ont fait la macabre découverte et de sa famille devaient débuter samedi matin afin d’en savoir plus, a ajouté la police. Dans une déclaration transmise à l’AFP, la direction de Monoprix "s’associe avec une grande émotion à la douleur de la famille, des proches et des collègues et leur exprime ses sincères condoléances". Soulignant que "Monoprix se tient bien sûr à l’entière disposition des services de police chargés d’enquêter sur ce tragique événement", l’enseigne indique n’avoir "à ce stade aucun commentaire à faire".

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/22/un-employe-de-monoprix-se-pend-sur-son-lieu-de-travail

Lot-et-Garonne : cambriolée, elle envoie son fils et son petit-fils à la poursuite des voleurs

Vendredi à 14 heures, au lieu dit Bourges à Montpouillan, un groupe de quatre personnes est entré chez Régine Roussille, 91 ans, en prétextant un compliment sur son chat. En une seconde, l'un deux a emporté son sac à main contenant notamment un chéquier et 90 euros en liquide. La minute d'après, le groupe prenait la fuite en voiture.
Avertis par la victime, son fils et son petit-fils, habitants à 100 mètres, sont partis, chacun dans leur voiture, à la poursuite des malfaiteurs. L'un par l'ouest et l'autre par l'est, ils ont cherché l'utilitaire blanc. C'est Léopold, 25 ans, petit-fils de Régine Roussille, qui a retrouvé les voleurs, les a doublés, bloqués et obligés à remettre le sac à main. Malheureusement, ce dernier ne contenait plus le chéquier et l'argent liquide.
Le signalement des individus et l'immatriculation du véhicule ont été communiqués aux gendarmes qui ont aussitôt déclenché le plan épervier aux alentours de Marmande. Ce dernier a été levé peu avant 16 heures, sans que les voleurs aient pu être retrouvés.

http://www.sudouest.fr/2014/02/21/montpouillan-47-cambriolee-a-son-domicile-elle-envoie-son-fils-et-son-petit-fils-poursuivre-les-voleurs-1469315-3755.php

Suite ripoux laon affaire allard

Le voilà fixé sur son sort, Eddie Allard. Lui, l’ancien capitaine de police au commissariat de Laon que sa hiérarchie promettait à une belle carrière. Lui aussi qui a activement participé aux magouilles d’Adem Keskin. Cette affaire de corruption et de blanchiment qui avait défrayé la chronique durant l’été 2009 vient enfin de connaître son épilogue. Quelques semaines après avoir entendu toutes les parties, les magistrats ont rendu leur jugement hier. Seuls Eddie Allard et l’une de ses anciennes compagnes, qui était elle aussi impliquée, avaient fait le déplacement pour entendre le délibéré.
L’ancien policier, qui estime avoir empoché 20 000 euros en l’espace de trois ans, a été condamné à 18 mois d’emprisonnement. L’interdiction à vie d’exercer une fonction publique, sauf un mandat électif ou électoral, a aussi été prononcée.
Celui par qui le scandale est arrivé, cet entrepreneur qui organisait la faillite de ses sociétés et faisait blanchir de l’argent sale à Eddie Allard et à d’autres, a écopé de trois ans de prison et l’interdiction définitive de gérer une société.
La compagne d’Adem Keskin a, quant à elle, été condamnée à quatre mois de prison avec sursis et même chose pour l’un des hommes de paille qu’il avait mis à la tête d’une société.
Deux anciennes petites amies d’Eddie Allard, qui avaient profité de l’argent et participé aux magouilles, sont condamnées à trois mois de prison. Enfin, un entrepreneur qui avait traité avec Adem Keskin devra payer une amende de 20 000 euros.

http://www.lunion.presse.fr/region/copy-of-210214-suite-ripoux-laon-affaire-allard-ia18b0n304585

Audincourt (25) : encore un concubin qui fait le coup de poing

Les maris ou concubins violents se succèdent à un rythme frénétique dans les locaux du tribunal de la cité des Princes.
Le coup de poing constitue le dénominateur commun à toutes ces affaires. Jeudi soir, Alexis et sa compagne ont eu des mots, dans leur maison au bas du quartier des Champs-Montants, à Audincourt. Selon la dame, peu avant 21 h, son concubin l’aurait giflée et lui aurait porté un coup de poing au visage, avant de quitter les lieux.
Elle a alerté la police et est allée faire soigner son œil gauche tuméfié aux urgences de l’hôpital de Montbéliard. « Elle hésitait à déposer plainte », confie un proche de l’enquête. Mais quand la dame a évoqué les précédents épisodes de violence, dont un remontant à 2009, les policiers lui ont fait comprendre qu’il était temps de réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Un équipage de police est parti dans le quartier, localisant vers 22 h 15 le présumé agresseur qui errait dans la rue, non loin de son domicile. Comme l’avait indiqué sa compagne, il avait bu -de la bière- et affichait un peu plus d’un demi-gramme d’alcool dans le sang.
Placé en garde à vue, il a nié le coup de poing alors que le visage de sa compagne laissait apparaître un impressionnant, et sans équivoque, coquard.
Cet intérimaire a justifié sa plongée dans l’alcool par une profonde dépression en lien avec la disparition de son père, il y a de cela deux ans. Un décès dont il ne se remettrait pas.
Sauf que ses problèmes d’alcoolisme semblent remonter bien avant ce drame...

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/02/21/encore-un-concubin-qui-fait-le-coup-de-poing

vendredi 21 février 2014

Prémont: indemnes après un spectaculaire accident

Jeudi soir, vers 21 heures entre Bohain et Prémont, un garçon âgé de 19 ans, titulaire depuis peu du permis de conduire a perdu le contrôle d’une Citroën DS dans une légère courbe. À bord se trouvait un passager de 18 ans domicilié à Saint-Quentin.
La voiture a fait plusieurs tonneaux et a achevé sa course sur le flanc au milieu de la route. Le choc a dû être violent car trois des roues, le pare-chocs avant et diverses pièces se sont retrouvés à vingt mètres de là.
Les pompiers de Bohain se sont rendus sur place et ont pu constater que les deux jeunes étaient indemnes.
La circulation a été réduite sur une voie, le temps de l’enlèvement de l’épave.
Le dépistage alcoolémie était négatif, par contre il ne fait pas l’ombre d’un doute que le chauffeur roulait trop vite par un temps pluvieux.

http://www.aisnenouvelle.fr/region/aisne/saint-quentinois/bohain-en-vermandois

Trafic de drogue à Pau : de la cocaïne cachée dans des colis de patates douces

S'il est parfois difficile de faire avaler des légumes à des enfants, les trafiquants de drogue, eux, en raffolent ! Et font même dans les variétés exotiques. Au chapitre des caches insolites, le tribunal correctionnel de Pau avait ainsi à juger une affaire de trafic de cocaïne entre le Suriname et les Pays-Bas, avec escales en Guyane, à Pau, à Bordeaux et en Belgique, via… des colis de patates douces drôlement épicés.
Les tubercules, vidés d'une partie de leur chair et farcis de sachets de poudre blanche, ne voyageaient pas par des convois clandestins savamment organisés mais tout simplement par la poste. « Les trafiquants savent bien que cette voie est l'une des moins risquées pour eux étant donné qu'il est impossible de contrôler tous les colis », rappelle la substitut du procureur, Orlane Yaouanq.
  • Colis suivi à la trace
C'est pourtant l'un de ces contrôles qui a révélé le pot aux roses, en août 2010, au service du tri postal de Cayenne. Un douanier ouvre alors au hasard un colis et trouve, au milieu de trois bons kilos de patates douces et d'ignames, 1,5 kilo de cocaïne. Le paquet est délicatement refermé, replacé dans le circuit des expéditions mais suivi à la trace. Onze jours plus tard, il arrive à destination, chez un militaire du 5e Régiment d'hélicoptère de combat de Pau totalement inconnu de la justice jusqu'alors.
À peine l'épouse du soldat le réceptionne-t-elle qu'elle se fait tomber dessus par des policiers. Placée en garde à vue, la jeune femme est rapidement mise hors de cause tandis que son mari passe aux aveux.
Jeudi, le jeune homme de 24 ans, qui a fait l'objet de quarante jours de mise à pied lorsque l'affaire est arrivée aux oreilles de sa hiérarchie, était sur le banc des prévenus, aux côtés d'un électricien installé en région bordelaise, de dix ans son aîné.
Leur point commun ? Tous deux ont servi de petites mains à un réseau plus vaste dont les têtes pensantes sont passées entre les mailles du filet. L'un et l'autre n'avaient jamais fait parler d'eux et ont succombé « pour faire face à des difficultés financières », plaident leurs avocats Mes Arcaute et Saint-Michel. Et récupérer une misère au vu des risques pris : 700 euros en mandat cash pour le militaire et un peu plus de 2 000 euros pour le second.
  • 62 000 euros d'amende
Guyanais d'origine, ils ont été démarchés par des proches. Un cousin pour le soldat qui, à force d'insister, l'a convaincu d'accepter de réceptionner des colis fournis par un Surinamien à destination d'un autre Surinamien vivant au Pays-Bas. Le militaire devait ensuite les acheminer à Bordeaux, où l'électricien, lui aussi persuadé par un ami, les aurait récupérés pour les acheminer par voiture en Belgique ou au Pays-Bas. Tous deux ont ainsi joué les mules entre cinq et sept fois, en 2010, et assurent ignorer l'identité des commanditaires. « À chaque fois, c'était une personne différente qui réceptionnait la marchandise au Pays-Bas. Je ne connais pas leur nom », affirme le Bordelais.
L'un et l'autre ont été condamnés à 1 an de prison dont six mois assortis de sursis. Un troisième prévenu, le cousin du soldat, qui vit toujours en Guyane et était absent à l'audience de jeudi, écope, lui, d'un an ferme. Le tribunal a décerné contre lui un mandat d'arrêt. Les trois hommes devront payer solidairement une amende douanière de près de 62 000 euros.

http://www.sudouest.fr/2014/02/21/patates-shootees-1468375-4344.php

Ivre, il tabasse un pompier à Gaillac

Il faisait nuit, ivre, il venait de se faire tabasser par des individus, place de la République à Gaillac, ce 23 août 2012. Les sapeurs-pompiers de la ville interviennent pour lui porter secours. Le jeune réagit et frappe violemment un pompier. Il a été jugé hier à Albi.
Nicolas C, 32 ans est un peu ici et un peu ailleurs. Il a du mal à entendre les propos de la présidente qui instruit son dossier de violences sur un sapeur-pompier sans incapacité. Il a comparu, hier, devant le tribunal correctionnel d’Albi. Nicolas n’en a qu’un vague souvenir de la nuit du 23 août 2012 à Gaillac.
«Je me souviens avoir été frappé par des individus sur la place de la République et je me suis réveillé dans le fourgon des pompiers. Si vous me dites que j’en ai frappé un, c’est sûrement vrai mais je ne m’en souviens pas du tout». Le prévenu, qui a 5 condamnations au casier judiciaire, a été placé sous curatelle renforcée. «Je n’étais pas dans mon assiette depuis plusieurs mois. Plus jeune, je me suis beaucoup drogué (cocaïne, héroïne) et j’ai dû avoir le contrecoup. Je sais pas», ajoute-t-il. Mais ce soir-là, il avait aussi beaucoup bu. Est-il allé chercher des noises à une bande de jeunes sur la place de la République et se mêler d’une bagarre qui ne le concernait pas ? En tout cas, il a reçu des coups et lorsque les sapeurs-pompiers interviennent à la suite d’un appel pour un secours à blessé sur la voie publique, ils ne trouvent personne. Ils aperçoivent Nicolas, en sang, qui titube un peu plus loin. Un sapeur-pompier s’approche et reçoit un violent coup de poing au visage. Nicolas est maîtrisé tant bien que mal et placé dans le véhicule de secours (VSAB). Il se débat et tente de mordre. Il a même créé quelques problèmes pendant sa garde à vue qui a dû être écourtée afin de le conduire au Bon Sauveur à Albi. Il y reviendra, plus tard, pour un séjour de 5 mois. Nicolas ne va pas très bien.
«Il était alcoolisé lors de cette soirée, rappelle le procureur de la République. Quelle peine lui infliger ? Un travail d’intérêt général de 150 heures me semble approprié d’autant qu’il en a déjà effectué un avec succès !»
Me Michel Albarède, son avocat, ne peut que se satisfaire des réquisitions. «C’est quand même désolant de voir qu’un jeune de 30 ans, adulte handicapé, se met à boxer un sapeur-pompier qui lui porte secours. C’est aussi déprimant de voir les ravages des drogues douces et dures. Il a passé 5 mois au BS». Le tribunal a suivi les réquisitions et a condamné le prévenu à 140 heures de travail d’intérêt général (TIG). Il a 2 mois de prison au-dessus de sa tête s’il ne les effectue pas.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=20247&WS=291720_2501986&WA=3828

Toulon : un jeune homme blessé par balle

Un homme d'une vingtaine d'années a été grièvement blessé par balle à la tête hier soir dans une cité de Toulon, ont rapporté des sources proches de l'enquête.

Connu des services de police pour différents délits, il a été retrouvé au troisième étage d'un immeuble du quartier La Beaucaire, gisant devant la porte d'un appartement. C'est un voisin qui a appelé les secours après avoir entendu un coup de feu, vers 22h40.

La victime a été tranportée dans un état grave à l'hôpital Sainte-Anne. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Toulon qui ne privilégiait "aucune thèse à ce stade".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/21/97001-20140221FILWWW00010-toulon-un-jeune-homme-blesse-par-balle.php

jeudi 20 février 2014

Val-de-Marne: un blessé dans une fusillade

Un homme a été blessé au cours d'une fusillade mardi soir dans la cité du Bois-Matar, à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), a-t-on appris aujourd'hui auprès de la préfecture confirmant une information du Parisien.

La fusillade s'est produite aux alentours de 22h30, au 12 rue des Châtaigniers dans le quartier sensible du Bois-Matar. Le pronostic vital de la victime, blessée au genou, n'est pas engagé. D'après le Parisien, l'homme, âgé de 21 ans, se trouvait dans sa voiture quand un autre véhicule s'est arrêté à sa hauteur, et qu'un individu en est sorti pour lui tirer dessus, avant de prendre la fuite. L'enquête a été confiée au service départemental de la police judiciaire.

Des CRS ont été déployés dans le quartier, qui avait déjà été le théâtre de deux fusillades en avril et mai 2013, a précisé la préfecture

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/20/97001-20140220FILWWW00298-val-de-marne-un-blesse-dans-une-fusillade.php

Gers : la vigilance de citoyens dérape en vendetta et finit au tribunal

Le tribunal d'Auch jugera prochainement pour violences volontaires des individus qui ont préféré se faire justice eux-mêmes. Leurs victimes n'avaient cependant rien à se reprocher.
A l'issue d'un état des lieux des enquêtes concernant les nombreux cambriolages et braquages des derniers mois, le procureur a tenu, ce mercredi, à rappeler sa fermeté vis-à-vis de ceux qui « veulent se faire justice eux-mêmes ». Mardi 25 février comparaîtront devant le tribunal ceux qui ont voulu prendre les choses en mains. 
Dans l'est du département, récemment, une jeune femme a cru être suivie par un SDF. Elle s'est réfugiée dans des toilettes publiques et s'y est enfermée. Entendant du bruit, elle a téléphoné à ses amis qui ont rappliqué et ont passé l'homme à tabac. Il se trouve que cet homme est un voyageur canadien qui fait le tour de l'Europe à vélo et qui venait se faire à manger dans cet abri de fortune. Les deux amis de la jeune femme comparaîtront pour violences volontaires.
L'autre affaire sera plus ardue à juger. Dans le village de Saint-Anne, en janvier, un couple de jeunes amoureux arrête sa voiture sur un chemin en forêt. Le propriétaire aperçoit la voiture et prévient son voisin car le propriétaire a organisé une milice de voisinage. 
Après une course-poursuite, il tire en l'air avec son fusil et le voisin tire dans la partie avant de la voiture des amoureux. Le voisin sort avec une batte de base-ball et casse la vitre de l'amoureux éberlué. Les jeunes appellent la gendarmerie. La brigade de L'Isle-Jourdain arrive et se rend compte que le propriétaire qui a tiré sur la voiture des jeunes et organisé la milice est l'un des leurs, affecté à l'accueil téléphonique à Auch.
«En dehors de son temps de service, ce gendarme avait créé sa petite milice avec les voisins, allant jusqu'à organiser des filatures. Évidemment, sa hiérarchie n'en savait rien. C'est d'autant plus navrant que les gendarmes effectuent un travail remarquable dans ce département», souligne le procureur. Sans préjuger des décisions de la justice, ce gendarme est sous le coup d'une enquête disciplinaire.
«Sur ces deux affaires-là, on n'est pas allé jusqu'au drame mais ce genre de comportement n'est pas tolérable. Je poursuivrai systématiquement tous les gens qui voudraient instaurer une justice privée», a conclu le procureur d'Auch en guise d'avertissement.
Les auteurs de cinq braquages toujours recherchés
Cinq des seize braquages commis à Auch entre octobre 2012 et le 25 janvier dernier ont été résolus. Six autres ont été classés sans suite et les cinq derniers sont encore en cours d’enquête. En 2012, cinq vols à main armée ont été commis, neuf en 2013 et un en 2014.
Ce mercredi, en présence du lieutenant-colonel Christophe Poussereau, patron des gendarmes du Gers, et de Marie-France Pipereau, commissaire de police d’Auch, le procureur, Pierre Aurignac, a tenu à faire le point sur ces vols, élucidés ou pas. Les trafiquants ont besoin d’argent pour acheter de la drogue et optent pour la solution du braquage.
  • Celui de la boulangerie La fontaine aux pains (19 octobre 2012) n’a pas été résolu, donc classé. 
  • Celui de Bouygues, le 3 décembre 2012, l’auteur a été interpellé, il est détenu et comparaîtra dans quelques mois devant le tribunal. 
  • Ceux de la boulangerie Secrets de pain (15 décembre), boutique Orange (29 décembre), Épi gaulois (31 décembre) et Lidl (8 janvier 2013) font l’objet d’un non-lieu.
  • L’auteur du braquage du Shopi (10 janvier 2013) est le même que pour la boutique de téléphonie Bouygues, avenue des Pyrénées. Il est donc en prison et comparaîtra pour ce vol lors de la même audience. 
  • Concernant le braquage du bar PMU Le Commercial (20 janvier 2013), l’auteur n’a pas été identifié. La juge d’instruction déclarera donc le non-lieu.
  • Pour la séquestration et le vol de la bijouterie de la rue Dupouy (28 janvier 2013), l’enquête est toujours en cours, menée par la police d’Auch et par le SRPJ de Toulouse.
  • Pour la station-essence de Leclerc (25 mai 2013), l’auteur a été jugé lors d’une comparution immédiate devant le tribunal et a écopé de trois ans de prison.
  • Pour les trois braquages du bar-tabac du Garros, du Shopi du Garros et du Quick, les auteurs ont été interpellés. Il s’agit de deux mineurs dont un est écroué. Mais l’enquête se poursuit tout de même. 
  • Le vol des Montres Gall (1er septembre) est toujours soumis à l‘enquête de la police et du SRPJ. 
  • Celui du bureau de tabac de l’escalier monumental a été résolu, puisque l’homme a été condamné à 18 mois de prison.
  • Enfin, le vol à main armée du Proxi de Masseube (25 janvier 2014) a été résolu et l’homme est en prison.
Selon le procureur, « l’équipe qui a commis le plus de vols à main armée a été arrêtée ».

http://www.sudouest.fr/2014/02/20/enquetes-en-cours-1467496-2277.php

Tribunal de Coutances. Il frappe un enfant de trois ans

Les faits remontent à novembre 2013, à Périers.

Un homme 29 ans comparaissait mercredi devant le tribunal correctionnel de Coutances pour violences sur mineur par ascendant. À l’époque des faits, dans la nuit du 27 au 28 novembre 2013, il vivait maritalement avec la mère de la victime, un petit garçon âgé de 3 ans et demi-atteint de mucoviscidose. Le couple est aujourd’hui séparé.
Le médecin avait constaté de nombreux hématomes sur le visage et le corps du jeune garçon. Le prévenu a été condamné à cinq mois d’emprisonnement avec sursis

http://www.ouest-france.fr/tribunal-de-coutances-il-frappe-un-enfant-de-trois-ans-1942899

Toulouse. Elle postule en envoyant une lettre de «démotivation»

Lassés d’envoyer des lettres de motivation pour décrocher un emploi ? Pourquoi ne pas essayer les lettres de «démotivation». C’est le pari qu’a fait Marina, étudiant de 22 ans en Master I de marketing et communication à l’IAE de Toulouse. Cette Toulousaine d’adoption a répondu à l’annonce de GlobeWhere, start-up spécialisée dans le secteur du tourisme, qui a établi cette demande originale pour un stage en Community Management. «Nous ne voulions pas d’une lettre copiée d’Internet» explique Julien Viruelle, cofondateur de l’entreprise, avant d’ajouter que ce sont «des qualités humoristiques et rédactionnelles» qui sont recherchées pour le poste. Marina dit s’être prêtée au jeu avec plaisir : «Ça a été plus compliqué qu’une lettre classique, mais c’est agréable d’écrire quelque chose de différent». Et cette différence fonctionne puisque selon les fondateurs de GlobeWhere, l’annonce a été visionnée plus de 700 fois depuis sa mise en ligne le 13 février dernier.
Alors avis aux amateurs, vous avez jusqu’à la fin du mois pour candidater à l’adresse job@globewhere.com. Un dernier conseil de Julien Viruelle : «Jouer la carte de l’humour à fond !».

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1822001-toulouse-elle-postule-en-envoyant-une-lettre-de-demotivation.html

Un chauffeur laisse un enfant en bord de route

Un chauffeur de bus de Contres (Loir-et-Cher), risque la suspension pour faute grave. Jeudi dernier, il aurait laissé un collégien sur le bas-côté, rapporte La Nouvelle République.

L'enfant, malade, a vomi dans ce car réservé au transport scolaire. Le chauffeur le laisse alors descendre prendre l'air et repart, le laissant seul en pleine campagne, peu avant 8h.

Récupéré par d'autres parents d'élèves, l'enfant parvient au collège, sain et sauf


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/20/97001-20140220FILWWW00054-un-chauffeur-laisse-un-enfant-en-bord-de-route.php

mercredi 19 février 2014

Landes: une mère reconnait deux infanticides

La mère de famille des Landes, déjà poursuivie pour l'infanticide d'un nouveau-né en septembre 2013, a admis aujourd'hui devant la juge d'instruction une part de responsabilité dans la mort d'un deuxième bébé né un an plus tôt, a-t-on appris auprès de son avocat.

"Elle reconnaît que la mort a été donnée aux deux enfants", dont les corps ont été retrouvés début février dans un sac, à proximité d'une ferme à Saint-Loubouer (Landes), a déclaré Me Pierre Blazy à l'AFP à l'issue de l'audition.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/19/97001-20140219FILWWW00335-landes-une-mere-reconnait-deux-infanticides.php

Médicaments : le Motilium responsable de morts subites selon "Prescrire"

La dompéridone (Motilium et générique), un médicament utilisé contre les nausées et vomissements, serait responsable de 25 à 123 morts subites en 2012 rapporte la revue indépendante Prescrire. 
Selon la revue, le Motilium et ses équivalents fait d'ailleurs partie de la liste noire des 63 médicaments à éviter publiée fin janvier par Prescrire.
Environ 7% des adultes ont eu au moins une fois une prescription de ce médicament en 2012, soit environ 3 millions de personnes en France, d'après les données de l'Assurance maladie.
En rapprochant les données de remboursements de l'Assurance maladie et la fréquence des morts subites en France, Prescrire estime "que 25 à 120 morts subites sont imputables à la dompéridone en 2012" en France. 
On sait que les neuroleptiques exposent aux troubles du rythme cardiaque, rappelle Prescrire.
Depuis 2005, plusieurs études épidémiologiques, néerlandaises et canadiennes, ont montré que les morts subites cardiaques sont environ 1,6 à 3,7 fois plus fréquentes en cas d'exposition à la dompéridone. 
"Il est temps que les autorités sanitaires européennes retirent du marché ce médicament" poursuit la revue selon laquelle il "peut aisément être remplacé par de meilleures solutions pour les patients". 

http://www.sudouest.fr/2014/02/19/medicaments-le-motilium-responsable-de-morts-subites-selon-prescrire-1466962-4696.php

Izards : deux morts en 2 mois et des questions

Toutes les hypothèses restent ouvertes après les fusillades de décembre et janvier qui se sont soldées respectivement par la mort de Nabil Bennani, 18 ans et de Miloud Nemar, 25 ans,inconnu des services de police. Tous deux tués par arme à feu lors de règlement de comptes entre bandes. Pour cette dernière affaire la juridiction interrégionale spécialisée de Bordeaux (Jirs), compétente en matière de crime organisée et de grande criminalité est saisie. Les enquêteurs de la PJ toulousaine travaillent toujours sur ces deux affaires criminelles sur fond très probablement de trafic de drogue. Plusieurs personnes ont été entendues dans le cadre des investigations. Des recoupements sont toujours en cours. «Aujourd’hui, certains sont prêts à tout pour avoir le monopole du trafic et cela se règle à la méthode marseillaise», confie une source judiciaire. À l’origine de cette escalade de la violence, sans doute une rivalité entre deux cités, les Izards et Reynerie. Un «accord» passé entre dealers de ces deux cités pour se partager le business sur les Izards aurait mis le feu aux poudres. Des trafiquants plus aguerris verraient en effet d’un très mauvais œil cette nouvelle répartition du travail. Une nouvelle donne qui aurait été à l’origine des premiers coups de feu tirés le 4 décembre aux Izards puis entraîné la riposte du 5 décembre contre un employé de la pizzeria le Milano, qui a été visé par des tirs.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1821983-izards-deux-morts-en-2-mois-et-des-questions.html

Nîmes : des caissières embauchées et virées deux mois plus tard

L'hypermarché Leclerc, route de Beaucaire, a mis fin à la période d'essai d'une vingtaine de salariés en janvier. Elles dénoncent des méthodes injustes. 
Emue, Florence, 48 ans, a pleuré de joie lorsqu’elle a été embauchée en CDI à temps partiel (33 heures) au centre E. Leclerc. Christèle (1), l’une de ses collègues, a signé son contrat de travail à la même époque et, pour fêter cela, a acheté une voiture. Pour Florence, Christèle et les autres, cette embauche était une vraie respiration. Elles ont vite désenchanté et crient aujourd’hui au scandale.
Début novembre 2013, l’hypermarché E. Leclerc, route de Beaucaire, dont la surface de vente a doublé, recrute environ 30 salariés : des employés affectés aux rayons ou aux caisses. Tous à durée indéterminée. Deux mois plus tard, assurent Florence et Christèle, une vingtaine d’entre eux sont virés. L’entreprise a mis fin à leur période d’essai. Florence a été convoquée dans le bureau de la direction des ressources humaines. "La DRH m’a annoncé que pour “des raisons économiques”, on ne pouvait me garder... J’étais en larmes... Je me suis sentie humiliée, salie, trompée, raconte la quadragénaire. J’avais expliqué à mes enfants que j’avais obtenu un CDI. J’en étais fière..."
Nous étions aux caisses pour l’inauguration. Ils ont profité de nous"
Avant de rejoindre l’enseigne E. Leclerc, Florence était aide à domicile à Chateau-Silhol. "J’ai démissionné de mon emploi pour rejoindre l’hypermarché. Mais auparavant, j’avais obtenu de la DRH de l’enseigne E. Leclerc, l’assurance que je serais bien embauchée, assure Florence. Pendant les deux mois d’essai, on voulait leur montrer qu’on était au top. Je n’ai eu aucune erreur de caisse."
Florence et Christèle sont "écœurées". Car, comme leurs collègues, les deux salariées ont été sélectionnées par Pôle Emploi et ont suivi une formation POE (Préparation opérationnelle à l’emploi). Une formation financée par un organisme paritaire collecteur agréé. "Nous étions 13 hôtesses de caisse sélectionnées, témoigne Christèle. Pour une formation de six semaines. Ce sont les Assedic qui me payaient pendant ma formation. J’ai travaillé 33 heures par semaine pour 900 € (allocation d’aide au retour). D’autres ne touchaient que 400 €. Nous étions aux caisses lors de l’inauguration du magasin et à Noël. Ils ont profité de nous !"
Recours aux Prud'hommes
Les deux femmes ont, depuis, pris contact avec un avocat et devraient saisir le conseil des Prud’hommes. Selon Me Ève Soulier, leur avocate, les deux salariées ont travaillé au-delà de la date de la fin de leur période d’essai. L’avocate devrait donc demander la requalification de la rupture de leur contrat de travail en licenciement et réclamer des indemnités.
(1) Le prénom a été changé.

http://www.midilibre.fr/2014/02/18/des-caissieres-embauchees-et-virees-deux-mois-plus-tard,823934.php

mardi 18 février 2014

Corse : des pirates armés s'emparent d'un yacht

C'est un acte de piraterie peu commun dans ces eaux très fréquentées de la Méditerranée. Un yacht a été attaqué dimanche après-midi au large de Roccapina, dans le sud-ouest de la Corse.
et cagoulés, quatre hommes ont d'abord enfermé les trois passagers dans une cabine avant de les abandonner sur la petite annexe du bateau et de partir avec le navire. Selon France 3 Corse, le propriétaire, son épouse et leur ami n'ont réussi à rejoindre la côte que vers minuit. Accostés sur la plage de Campomoro, près de Propriano, ils ont alors prévenu les secours. Mais l'Armageddon, leur yacht de dix-sept mètres, n'a pas encore été retrouvé.

Trois heures dans une cabine

Les pirates en tenue de camouflage ont abordé le navire par l'arrière, grâce à un puissant semi-rigide. Les propriétaires, résidents de l'île de Beauté, n'ont pu lutter face aux fusils de leurs assaillants. Enfermés trois heures dans une cabine, les otages ont ensuite été priés de monter sur la petite embarcation de secours et ont été laissés seuls face à la houle nocturne.

Une
a été ouverte et a été confié à la gendarmerie. Bien que rare grâce à la prévention des patrouilles en mer, de tels actes de piraterie arrivent parfois au large du sud de l'île, prisé par les millionnaires. Mais les vols se déroulent généralement plutôt l'été, en pleine saison

http://www.leparisien.fr/corse/corse-des-pirates-armes-s-emparent-d-un-yacht-18-02-2014-3602423.php

Coups de feu sur un homme à Bassens (33): aucune piste

L'enquête sur la violente agression commise samedi soir à Bassens prendra du temps. Les limiers de la brigade criminelle de la police judiciaire (PJ) bordelaise ne font aucun commentaire et se concentrent sur leurs investigations. La seule quasi-certitude, c'est qu'il s'agit d'un règlement de comptes.
Les agresseurs, qui pourraient être deux, voire plus, ont sonné à l'interphone de l'appartement situé au rez-de-chaussée d'un immeuble au numéro 8 de la rue Camille-Jullian. Il était 20 heures environ. Le père de famille, qui a fêté il y a quelques jours ses 32 ans, est sorti dans le couloir. Quelques mots auraient été semble-t-il échangés avant que le ou les tireurs exhibent un pistolet automatique de calibre 9 mm et fassent feu à cinq ou six reprises. Par chance, aucun organe vital n'a été atteint et, hier, l'état de santé de la victime, hospitalisée au CHU, était en voie de stabilisation.
Les enquêteurs mobilisés sur l'affaire cherchent à cerner l'environnement de cet homme qui ne faisait guère parler de lui. Ils interrogent sa famille et ses proches pour tenter de comprendre qui pouvait lui en vouloir au point d'attenter à ses jours. Ses agresseurs sont-ils originaires de la région ou viennent-ils d'ailleurs ? Le mystère reste entier.

http://www.sudouest.fr/2014/02/18/coups-de-feu-sur-un-homme-aucune-piste-1465110-2754.php

La mère convoquée en juin prochain devant le tribunal

La mère de famille de 22 ans qui a laissé seule à son domicile sa petite fille de 3 ans sans surveillance devra venir s’expliquer devant le tribunal correctionnel de Mulhouse le 26 juin prochain.
Dans la nuit de samedi à dimanche, la jeune femme était sortie en boîte de nuit et n’était pas rentrée (lire DNA d’hier). Ce sont les policiers, alertés par les voisins qui entendaient des pleurs, qui avaient découvert l’enfant seule dans l’appartement situé au 6e étage dans cet immeuble de la rue Henri-Matisse aux Coteaux. L’enfant prise en charge à l’hôpital du Hasenrain (service de pédiatrie) a été confiée, pour le moment, à la garde de ses grands-parents. La mère, elle, qui s’était présentée dans la journée de dimanche au commissariat avait été placée en garde à vue. Le parquet a décidé de sa remise en liberté et de sa convocation devant le tribunal pour soustraction de parent à ses obligations légales. Une enquête sociale concernant la mère a été ouverte.

http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/2014/02/18/la-mere-convoquee-en-juin-prochain-devant-le-tribunal

Après plusieurs contrats, la postière de Gaillac ne sera pas embauchée : «Non au management par le stress»

«J’ai effectué 15 mois en CDD au poste de factrice à La Poste de Gaillac puis un an en contrat d’apprentissage à Couffouleux. Normalement j’aurais dû être embauchée mais on m’a dit qu’en raison de restrictions budgétaires et d’un nombre trop important d’arrêts maladie je ne serais pas gardée». Nadège Poujol qui se voyait bien poursuivre une carrière de postière est désormais sur le flanc et a décidé de le dire. «La Poste lui a fait signer sept à huit CDD, c’est illégal, ajoute Didier Gomez, délégué syndical Sud PTT, et en général après un contrat d’apprentissage l’embauche en CDI est au bout». Une entorse à la main gauche contractée pendant son travail aura été le déclencheur des malheurs de Nadège Poujol. «J’ai tenu 15 jours, poursuit la postière, puis j’ai revu le médecin qui m’a donné une semaine d’arrêt. J’ai ensuite eu un entretien avec mon tuteur qui m’a dit qu’avec tous ces arrêts, ‘‘je ne pourrai pas me plaindre des conséquences’’». Les syndicalistes n’hésitent pas à parler de «magouille», lorsqu’ils ont appris que la fille d’un cadre de La Poste venait justement d’être embauchée.

Direction pathogène

Au-delà du cas de Nadège Poujol, le syndicat Sud PTT entend dénoncer le «management par le stress» de la direction de la DOTC de La Poste. Membre de ce syndicat, Frédéric Maury raconte : «Malgré de beaux discours, La Poste devient de plus en plus agressive envers le personnel et les syndicalistes. Preuve en est au centre du courrier d’Albi où une plainte à l’encontre de notre syndicat a été déposée par un cadre de la direction. Nous avons à faire à une direction pathogène». Après la plainte, une pétition a été lancée et signée par 80 agents sur près de 120 que compte le centre albigeois. Didier Gomez conclut : «De nombreux agents sont en souffrance, notre rôle est de le dire malheureusement nous ne sommes pas entendus. Il faut toujours aller à l’épreuve de force. Nous sommes là pour tenter d’arranger les choses et dans le cas de Nadège Poujol, elle préfère travailler plutôt que d’aller devant le tribunal».Hier soir, la direction de La Poste tenait à préciser : «95 % des agents sont en CDI, les contrats d’apprentissage permettant d’acquérir une expérience ne débouchent pas systématiquement sur un emploi en CDI. Dans le cas de la postière de Gaillac, La Poste n’a en effet par pu donner une suite favorable à un CDI pour des raisons budgétaires».
Direction opérationnelle territoriale courrier

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=20064&WS=291720_2501986&WA=3786

Verdun : ivre, il tente de cambrioler la caserne des pompiers

DANS LA NUIT de dimanche à lundi, vers minuit, un sans domicile fixe verdunois âgé de 47 ans a dégradé la porte du poste de garde de la caserne des sapeurs-pompiers de Verdun.
Il a en fait forcé le digicode de cette porte, puis s’est introduit dans le local. Il a tenté de s’emparer d’un casque et d’une paire de gants, mais n’a pu les emporter avec lui, les pompiers l’ayant mis rapidement en fuite.
Prévenue par les soldats du feu, une patrouille des policiers du commissariat de Verdun a rapidement repéré l’individu avant de l’interpeller. Celui-ci, bien connu des services de police, était en état d’ébriété au moment des faits, l’éthylomètre indiquant un taux d’alcoolémie, d’1,5 g d’alcool par litre de sang.
Placé en garde à vue, l’individu a reconnu avoir fracturé la porte. Il cherchait, selon lui, un endroit pour passer la nuit… Il devra s’expliquer sur ces faits, le 9 avril prochain au tribunal de Verdun où il est convoqué pour tentative de vol.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/02/17/ivre-il-tente-de-cambrioler-la-caserne-des-pompiers-de-verdun

lundi 17 février 2014

Un dentiste blessé par balle dans son cabinet

Un dentiste a été grièvement blessé par balle en pleine tête cet après-midi dans son cabinet au Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis par un homme qui a pris la fuite, selon des sources concordantes.

La victime, dont l'identité n'a pas été précisée, a été blessée alors qu'il se trouvait en consultation dans son cabinet médical, situé dans le centre-ville de Blanc-Mesnil, a indiqué une source proche de l'enquête. "Le personnel a entendu une détonation", a raconté cette source. Des collègues du praticien ont alors "ouvert la porte", et l'ont "découvert gisant au sol", avec une blessure à la tête.

Selon une source policière, le dentiste était entre la vie et la mort en fin d'après-midi. L'auteur présumé du coup de feu, âgé d'une soixantaine d'années, était activement recherché, a précisé cette source.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/17/97001-20140217FILWWW00310-un-dentiste-blesse-par-balle-dans-son-cabinet.php

Ostréiculteur disparu à Bourcefranc (17) : un corps retrouvé

Un corps a été repêché dimanche dans la zone où un ostréiculteur avait disparu, fin septembre. L'identification est en cours
Le corps d'un homme a été retrouvé au large de Port des Barques, à Bourcefranc, dimanche, dans la zone où Thierry Bordas, un ostréiculteur de 54 ans, avait disparu en septembre dernier. 
Le corps a été repéré en mer par un autre ostréiculteur, qui a immédiatement prévenu la gendarmerie.
S'il est probable qu'il s'agit de Thierry Bordas, rien n'est encore confirmé. L'identification est toujours en cours et les résultats devraient être connus assez rapidement. 


http://www.sudouest.fr/2014/02/16/ostreiculteur-disparu-a-bourcefranc-17-un-corps-retrouve-1463761-1675.php

Roderen : un enfant renversé devant son école

Un garçon de 7 ans, qui se rendait à l'école primaire rue Grand rue à Roderen, ce lundi peu avant 8 h, a été renversé, alors qu’il traversait la route devant son école, par une voiture qui s'était arrêtée et qui redémarrait à faible allure.
La jeune victime a été secourue par les pompiers locaux, ceux de Thann, avant d'être examiné par un médecin du Samu 68.
Le garçon blessé au visage a été transporté par l'hélicoptère du Samu (Héli68) à l’hôpital Emile Muller à Mulhouse.
La brigade de gendarmerie de Thann s’est rendue sur les lieux, ainsi que le maire de la commune


http://www.lalsace.fr/actualite/2014/02/17/roderen-un-enfant-renverse-devant-son-ecole

Le retour à la vie du petit Fabio, percuté par une moto sur le circuit de Saint-Maur

Le 16 mars 2013, la vie des Bernardinatti a basculé quand leur fils cadet a été percuté par une moto sur le circuit de Saint-Maur. Aujourd’hui, au centre de Roquetaillade, Fabio fait tout pour retrouver l’usage de ses jambes.
C’est l’histoire d’une résurrection. Celle d’un garçon de 11 ans qui s’amusait avec son grand frère et des copains un samedi après-midi, au circuit de motocross de Saint-Maur. Dix pilotes s’entraînaient ce jour-là sur le terrain du «Peyré». L’un d’eux a perdu le contrôle de son engin. La moto a volé, percutant le groupe d’enfants. Deux, touchés à la tête, ne se relèveront pas. Jona, 12 ans, de Pouylebon, est toujours hospitalisé à Lamalou-les-Bains, dans un état de coma vigil. Son copain Fabio espère qu’il se réveillera bientôt...
Fabio Bernardinatti, c’est le petit miraculé de Saint-Maur, ce village de l’Astarac qui reste profondément marqué par l’accident du 16 mars 2013. La famille Bernardinatti s’était installée en 2010 à Saint-Maur, pour un nouveau départ. Laurent et Christelle, originaires de Montauban, avaient choisi de quitter l’agitation de Perpignan pour voir grandir leurs trois enfants, Axel, Fabio et Juline dans la campagne gasconne.
À l’été 2013, ils allaient accueillir leurs premiers clients à leur table et dans leurs chambres d’hôtes. En un instant, ce samedi 16 mars à 17 h 30, tout s’est brisé.
«Fabio a pris la moto en pleine tête, il souffrait d’une douzaine de fractures sur le côté droit du crâne», rappelle son papa. Aujourd’hui encore, Laurent Bernardinatti se repasse le film, image par image, de la «scène de guerre» qu’il a découverte en arrivant au circuit. Axel, l’aîné, indemne mais en état de choc... et quelques mètres plus loin, dans un dévers, le corps désarticulé de Fabio, le cadet. «Il ne bougeait plus. Axel a cru qu’il était mort et moi aussi», raconte ce père qui, aujourd’hui, avec son épouse Christelle, ressent «le besoin de témoigner, de partager»... pour que le poids des 81 jours de coma de Fabio soit moins lourd à porter.

Le printemps chasse la mort

Comme un exutoire, Laurent a noirci les pages du journal de bord que Laetitia, une infirmière du service des soins intensifs de Purpan lui avait tendu, le 18 mars. À cet instant, les parents de Fabio vivaient une torture psychologique. «Les médecins ont réservé leur diagnostic 48 heures, puis ils l’ont étendu à 72 heures. Ensuite, ils nous ont dit : dans six jours, on pourra dire que le pronostic n’est plus très engagé mais seulement engagé», raconte Christelle. La mort cessera de frapper dans la tête de Fabio le 20 mars... le jour du printemps, celui d’un fol espoir pour Laurent et Christelle. Ils écriront 250 pages... jusqu’au réveil de Fabio, le 5 juin, au centre de rééducation Paul-Dottin, à Ramonville-Saint-Agne où il avait été admis le 14 mai. «C’est un enfant très courageux. Il s’est battu, semaine après semaine, pour reprendre possession de son corps. Quand il s’est réveillé, ses bras étaient verrouillés, ses jambes ne fonctionnaient pas, les tendons s’étaient rétractés. Un médecin nous a laissés entendre qu’il pourrait rester comme ça. Au final, c’était tout simplement les muscles qui étaient tétanisés après ces deux mois et demi de coma.»
Christelle raconte encore ces moments magiques où elle est devenue «orthophoniste à plein-temps» pour son fils. «Je lui montrais des post-it de couleurs et de formes. Il savait lire, c’était formidable.»
Fabio n’a pas perdu ses facultés cognitives et intellectuelles. Avant l’accident du circuit de Saint-Maur, il préparait son entrée en 6e au collège de l’Astarac. Ce retour progressif à la vie scolaire se fera finalement à L’Isle-Jourdain, la ville où les Bernardinatti sont désormais installés. Axel est en 4e au collège Louise-Michel. Fabio l’y rejoindra le 17 mars. «Heureusement que ce n’est pas le 16, j’ai en horreur ce chiffre désormais», lance Christelle.


http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/17/1820218-retour-vie-petit-fabio-percute-moto-circuit-saint-maur.html