dimanche 30 juin 2013

Paris : un homme entre la vie et la mort après une agression violente

Selon Leparisien.fr, un homme se trouve entre la vie et la mort, dimanche à l'hôpital Georges-Pompidou de Paris, après avoir été victime d'une agression extrêmement violente boulevard Sébastopol.
Un homme a été victime d'une violente agression samedi matin vers 3h30 boulevard Sébastopol, dans le Ier arrondissement de Paris. Selon Leparisien.fr, il était dimanche matin entre la vie et la mort après avoir été découvert par un passant, inconscient et baignant dans une mare de sang.
Evacué dans un état grave vers l'hôpital Georges-Pompidou (15e arrond.), son pronostic vital est engagé. L'homme, dont l'artère fémorale a été sectionnée, a déjà fait trois arrêts cardiaques. "Sa blessure pourrait avoir été causée par un coup porté avec une arme blanche", indique au Parisien une source proche de l'affaire.
 

Le locataire de l'appartement voulait mourir par le feu

Jeudi soir, vers 22 h 30, un violent feu d'appartement s'est déclaré au quatrième étage d'un immeuble de la rue Pierre-Taittinger à Reims, au quartier Croix-Rouge. Réfugié sur son balcon, à une douzaine de mètres du sol, le locataire a dû être évacué par la grande échelle des pompiers. L'enquête a révélé qu'il avait lui-même allumé l'incendie pour se suicider. Il avait le mis le feu à un tapis, avec son briquet, mais l'instinct de survie a repris le dessus quand les flammes ont commencé à ravager l'appartement. Il a tenté de les éteindre, s'occasionnant des brûlures aux deux jambes et à un bras. Il a également respiré pas mal de fumée. Les policiers l'ont interrogé sur son lit d'hôpital, où il se remet de ses blessures (elles ne présentent aucun caractère de gravité). L'acte de désespoir de cet homme d'une trentaine d'années, célibataire, n'est guère passé inaperçu dans son immeuble, une grande barre de douze étages. La fumée était montée jusqu'aux derniers niveaux, occasionnant une certaine panique. Plus de quarante appels sont parvenus en quelques minutes au centre opérationnel des pompiers qui a dépêché sur place deux fourgons, deux grandes échelles, deux ambulances et un véhicule de commandement, soit une vingtaine d'hommes.

http://www.lunion.presse.fr/region/le-locataire-de-l-appartement-voulait-mourir-par-le-feu-jna3b24n84160

Braquages à Auch : deux éducateurs présentés au juge d'instruction

L’enquête sur les trois vols à main armée, qui se sont déroulés la semaine dernière à Auch se poursuit. Hier matin trois personnes ont été présentées au juge d’instruction. Parmi elles, deux éducateurs du club «Le Relais».
Jeudi, cinq personnes, quatre hommes et une femme, se sont fait interpeller par la police d’Auch et par la police judiciaire de Toulouse dans le cadre des trois braquages qui se sont déroulés, le vendredi 21 juin et le dimanche 23 juin, à Auch. L’enquête avance : hier matin trois d’entre eux, deux hommes et une femme ont été présentés au juge d’instruction.
Un des deux hommes et la femme sont des éducateurs du club «Le relais» dont les locaux sont situés au Garros. Ils ont été mis sous contrôle judiciaire pour recel d’un objet provenant d’un délit, et ont pour le moment interdiction d’exercer leur activité professionnelle.
Le vendredi 21 juin, le tabac presse du Garros et le Shopi, situé rue de Lorraine ont été pris pour cible par un malfaiteur. Il s’avère qu’une arme a été cachée dans les locaux du club de prévention spécialisée «Le relais», en présence des deux individus. Selon le parquet, lorsque la police a interrogé les deux éducateurs sur ces vols à main armée, ils ont répondu : «Nous n’avons rien vu».
La troisième personne, un jeune homme majeur, a été présentée, hier matin, devant le juge des libertés et de la détention. Il a été placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan. L’homme aurait, dans un premier temps, caché l’arme dans les locaux du club «Le relais» puis, inquiété par la police, il l’aurait ensuite déplacée dans un autre lieu.
La garde à vue a été levée pour les deux autres individus interpellés jeudi, à partir de midi. L’enquête se poursuit, notamment pour retrouver la trace des braqueurs. Si un seul homme a agi à chaque fois le vendredi, ce sont deux malfaiteurs qui s’en sont pris, vers 23 heures, à l’établissement de restauration rapide Quick, le dimanche 23 juin. Plusieurs milliers d’euros ont été dérobés.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/30/1661819-deux-educateurs-presentes-au-juge-d-instruction.html

Vinealove, le premier site de rencontres autour du vin, est languedocien

Vinealove,  le premier site de rencontres autour du vin, réunit les passionnés de cépages. Une sorte de Meetic, Facebook et Linkedln à lui seul. Les rencontres sont professionnelles, amicales ou amoureuses.
 

La nuit porte conseil. Ça lui a pris il y a deux mois. Au saut du lit. L’idée maturait depuis quelque temps déjà dans sa tête sans que l’Héraultaise Françoise Pauly n’arrive à formuler clairement ses desseins. Quand tout s’est enfin bien articulé, ça n’a pas traîné. "Des idées, j’en ai beaucoup. J’en ai laissé passer aussi pas mal en n’allant pas jusqu’au bout. Là, j’ai pensé qu’il fallait que je fonce." C’est-à-dire monter Vinealove, le premier site de rencontres autour du vin. Une sorte de Meetic, Facebook et Linkedln à lui seul. Parce que les contacts établis ne sont pas qu’amoureux, ils peuvent aussi n’être qu’amicaux ou purement professionnels. L’essentiel étant de faciliter les liens entre les passionnés de vin.
“Winelover” en anglais


Françoise ne tarde pas à déposer son ingénieux projet et son nom de domaine. Ce sera donc Vinealove, pour vin et passion. "“Love” en anglais, ça veut dire bien sûr “amour”, mais pas seulement. “Passionné de vin” se traduit d’ailleurs par “winelover” en anglais." La Lattoise n’a pas investi la planète cépages par hasard. Elle y évolue depuis des années. D’abord comme journaliste à La journée viticole, puis comme chargée de relations presse et de communication pour le monde du vin.
Un bel engouement
"J’ai vraiment pris le virus, découvert des produits et des personnes d’exception mais aussi que la région où je vivais était en pleine mutation, pleine de promesses." Ensuite, Françoise participe au lancement rédactionnel du site Vitisphere. Puis, en 2003, s’investit dans la création d’un site, Vineajobs, destiné à recruter des professionnels de la vigne, toujours en service aujourd’hui sous sa houlette.
Des ambassadeurs qui parlent du site
Alors, quand elle évoque son projet du Meetic-Facebook du vin auprès de ses proches comme des professionnels qu’elle côtoie, Françoise fait mouche. S’entoure d’un webmaster compétent, définit les rubriques et leurs contenus. Associe à son projet Roxane, sa fille, elle aussi grande passionnée du vin. "On a beaucoup travaillé toutes les deux, pris le meilleur de ce qui existait et rajouté nos propres inventions." L’annonce de la mise en route de Vinealove s’est faite il y a quelques jours à Bordeaux lors de Vinexpo, le grand salon international du vin et des spiritueux. "On a distribué des flyers partout." Lancement officiel le 16 juin dernier. "On avait déjà 150 pré-inscriptions." Une semaine à peine d’existence et Vinealove dépassait les 600 membres. Un bel engouement.
50 % des inscrits sont à la recherche de l’âme sœur, pour les autres de relations amicales ou professionnelles. On recense autant de femmes que d’hommes, la moitié d’entre eux sont français, les autres de diverses nationalités. "On a sur le terrain, partout dans le monde, des ambassadeurs qui parlent du site, régulent les entrées pour ne pas s’encombrer d’importuns." Les inscriptions sont gratuites pour commencer. "Puis, nous les ferons à 15 ou 18 € par mois pour rentrer dans nos frais." En prévision aussi, des vinealove nights, dégustations plus accès sur un public de célibataires.
http://www.midilibre.fr/2013/06/29/le-premier-meetic-du-vin-est-languedocien,724621.php

samedi 29 juin 2013

Libournais : le chauffard risque sept ans de prison

Il n’y a pas eu un pleur, hier, au cours de l’audience, dans la salle du tribunal correctionnel de Libourne. Le père, la sœur et l’épouse de la victime, notamment présents, sont restés stoïques, malgré le drame qui les a frappés la nuit du 2 juin dernier.
Ce soir-là, Fabien Lachaume, conseiller en assurances, rentrait chez lui, après avoir accompagné son fils de dix ans au théâtre. Le Pessacais de 38 ans, marié depuis une semaine tout rond, a averti son épouse qu’il était sur le chemin du retour, qu’elle ne s’inquiète pas. Un peu après minuit, à Saint-Denis-de-Pile, dans le Libournais, une voiture l’a percuté par l’arrière, projetant son véhicule sur un poteau électrique, le tuant sur le coup.

L’autre conducteur, un Girondin de 29 ans, ne se rappelle plus de rien. Et pour cause. Ce soir-là, il affichait trois grammes d’alcool par litre de sang et, 300 mètres avant le choc, il était flashé à 167 km/h par un radar automatique sur la petite départementale 1089, normalement limitée à 90 km/h.
« Malade d’alcool »
Hier, la famille Lachaume n’a quasiment pas entendu, à la barre, la voix du chauffard, un ouvrier d’usine à Saint-Seurin-sur-l’Isle, frisant la trentaine, tout juste sorti de garde à vue, le dos légèrement voûté et les yeux copieusement cernés. Toujours sonné, plus de trois semaines après les faits. Aux questions du tribunal, il répond par des mouvements de tête, visiblement incapable de prononcer le moindre mot.
« Ce n’est pas un violent, il est juste malade d’alcool, explique son avocate. Il est suivi par un psychiatre et prend un traitement afin de ne plus boire. C’est quelqu’un de très fragile, de dépressif depuis plusieurs années. Il ne se souvient absolument plus de ce qu’il s’est passé lors de l’accident. Ce sont les enquêteurs qui lui ont rappelé les détails en garde à vue. » Dans son véhicule, le soir du drame, les gendarmes ont notamment retrouvé une bouteille de whisky.
Dans la salle d’audience du tribunal correctionnel de Libourne, ce drame de la route pourrait s’avérer banal mais reste extraordinaire par les chiffres présentés : une alcoolémie vertigineuse et une vitesse excessive. Surtout que le prévenu a déjà été condamné pour une conduite en état d’ébriété il y a quelque temps par la justice. Il avait récupéré son permis il y a quelques mois seulement.
Placé en détention
Hier, faisant l’objet d’une comparution immédiate, le prévenu a demandé un délai supplémentaire, autorisé par la loi, afin de préparer sa défense. Le tribunal a, en revanche, suivi les réquisitions du parquet qui demandaient de décerner un mandat de dépôt à son encontre, afin « d’éviter une réitération ».
Incarcéré à la maison d’arrêt de Gradignan, dès hier, il sera donc jugé le 12 juillet prochain, à Libourne, le même jour que le braqueur de boulangeries. Pour cet homicide involontaire avec circonstances aggravantes, il risque sept années de prison.

http://www.sudouest.fr/2013/06/29/le-chauffard-risque-sept-ans-de-prison-1100557-4626.php

La voiture d'une femme retrouvée avec un corps 4 ans après sa disparition

La fin du mystère dans la disparition de Bérénice Leprêtre ?  La voiture de cette jeune femme, disparue depuis mai 2009, a été découverte au fond d'une rivière près d'Angers, avec un corps à bord, ce quatre ans après sa disparition. Le véhicule a été découvert vendredi par sept mètres de profondeur près d'un pont qui enjambe la Maine, à Bouchemaine près d'Angers, à l'occasion d'un exercice de plongée des pompiers.

Ce secteur de la Maine, où certaines fosses atteignent 14 mètres de profondeur, est l'un de ceux qui avaient été fouillés lors de la disparition car il était situé sur le parcours que devait emprunter la jeune femme. A l'intérieur du véhicule un corps a été retrouvé, à la place du conducteur et portant notamment des sous-vêtements féminins. "Ce corps porte les stigmates d'un très, très long séjour dans l'eau", a indiqué le procureur adjoint d'Angers. L'état du corps va rendre très compliquée son identification. Des vérifications médico-légales sont en cours dont les résultats sont attendus dans le courant de la semaine prochaine, a-t-il précisé. Les enquêteurs n'ont pas réussi à déterminer par où le véhicule est entré dans l'eau, celui-ci ayant pu être porté par les courants et les crues durant les années pendant lesquelles il est resté immergé.
Page Facebook La jeune femme de 25 ans, aide-soignante, employée en intérim dans une résidence pour personnes âgées à Angers, a disparu le lundi 4 mai 2009 au soir après son départ de La Jumellière (Maine-et-Loire) où elle habitait avec son compagnon. Sa voiture était restée introuvable et aucun mouvement n'avait été enregistré sur son compte bancaire depuis sa disparition. Une enquête pour disparition inquiétante avait été ouverte dans un premier temps, avant qu'une information judiciaire pour enlèvement et séquestration ne soit ouverte. Les proches n'avaient jamais relâché leur mobilisation pour tenter de retrouver la jeune femme, en organisant notamment des battues ou en animant une page Facebook sur internet très active.
 

L'oncle violent condamné à deux ans de prison

La petite de 10 mois n'est pas morte des maltraitances. Le médecin légiste, lors de l'autopsie, a conclu qu'elle était décédée d'une asphyxie. Pas d'homicide donc, mais il a fallu ce décès, en juillet 2008 à Nesle (Somme), pour se rendre compte que ce bébé était maltraité.

À la barre du tribunal d'Amiens, c'est l'oncle de la petite qui comparait. Le dossier est sordide. Accro à l'héroïne à cette époque, de même que sa concubine, il gardait le bébé à son domicile. « C'est vrai que j'ai un caractère irascible, et avec les stupéfiants, ça s'amplifiait », dit-il. Le trentenaire essaie de minimiser les violences. Il ne convainc pas.

Une autre victime

La présidente rappelle comment il la secouait, alors qu'elle se trouvait dans son cosy (elle y passait ses nuits), comment sa tête se cognait sur les parois en plastique ; elle rappelle les déclarations de la concubine (qui n'est pas poursuivie), les « fortes claques », la « tête qui a heurté la porte d'une armoire le soir du drame . »

Le prévenu avoue juste l'avoir secoué quelques fois, et l'avoir fait tomber un jour. Sa défense n'est pas facile à tenir. D'autant qu'il y a une autre victime : le fils de sa concubine. L'enfant avait entre 3 et 5 ans au moment des faits, en 2008 et 2009. À l'hôpital, un médecin note de nombreuses traces de coups et des traces aux poignets et aux chevilles, comme s'il avait été attaché. Le beau-père reste sur sa position : « Il est déjà arrivé que je le corrige, mais sans que je lui casse quelque chose. (...) Et j'évitais de taper sur le visage », dit-il, très maladroitement.

Née accro à l'héroïne

Toujours en couple, l'accusé et sa compagne ont eu une petite fille. Elle a été placée dès la naissance elle aussi, puisqu'elle est née accro à l'héroïne.

« C'est un dossier de misère, morale et matérielle », commente le procureur Françoise Dalle. M e Zineb Abdellatif, l'avocate du prévenu, ne s'est pas attardée sur les faits mais sur la personnalité du trentenaire. « Un homme qui a du mal à s'exprimer », un « ours », « qui comprend que ce qu'il a fait est mal ».

L'homme a été condamné à deux ans de prison ferme.

http://www.courrier-picard.fr/region/l-oncle-violent-condamne-a-deux-ans-de-prison-ia0b0n122414

"Familicide" dans la Drôme : un mandat d'arrêt européen émis contre le père

Abdelkrim El Kadaoui, principal suspect du quadruple homicide dans la Drôme est toujours dans la nature. Un mandat d'arrêt européen vient d'être émis.
Les enquêteurs, toujours à la recherche du présumé auteur du meurtre de sa femme et des ses trois enfants  à Saint-Paul-Trois-Châteaux, n'excluaient pas, dès le départ, l'hypothèse d'une tentative du quadragénaire de partir au Maroc, son pays d'origine. Après quatre jours de traques intensives et des perquisitions, le fugitif reste introuvable. Un mandat d'arrêt vient d'être émis contre lui. 
Jeudi soir, une information judiciaire a été ouverte pour homicide volontaire

http://www.midilibre.fr/2013/06/28/familicide-dans-la-drome-un-mandat-d-arret-europeen-emis-contre-le-pere,724168.php

vendredi 28 juin 2013

Rappel de bocaux d'olives noires

Des bocaux d'olives noires de la marque "l'atelier de Charlotte", commercialisées sur des marchés de Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) et susceptibles d'avoir été achetées par des touristes, ont été rappelées à cause d'un risque de botulisme, a annoncé vendredi la préfecture des Alpes-de-Haut-Provence.
"La société l'Atelier de Charlotte située dans les Bouches-du-Rhône a mis en évidence un risque lié à la présence de "clostridium botulinum" dans des préparations condimentaires en conserve dénommées "Délices d'olives noires", affirme la préfecture dans un communiqué, relayant une alerte de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
Il a donc été décidé, par mesure de précaution, de procéder au retrait de la vente de plusieurs bocaux de 90, 180 et 270 g, tirés de lots dont les dates d'expiration vont du 13 avril 2014 au 22 août 2014.Toute personne ayant acheté ces bocaux, reconnaissables à leur sceau de cire argenté, est invitée à les rapporter ou à les détruire. Celles présentant des signes cliniques comparables avec ceux du botulisme (vision floue, sécheresse de la bouche accompagnée d'un défaut de déglutition voire d'élocution, faiblesse musculaire) doivent consulter leur médecin, précise encore la préfecture.
 

Bordeaux : les deux voleuses utilisaient des sacs à double fond

La technique est très bien rodée. Les voleurs sont équipés d’un sac à double fond dont les parois sont tapissées d’aluminium afin d’exercer le principe de la cage de Faraday qui protège des nuisances électromagnétiques.
  • Des voleuses déterminées
Ainsi, ces clients indélicats font leurs emplettes à moindre frais. Les commerces pensent avoir trouvé la parade en sécurisant vêtements, chaussures, parfums, bouteilles d’alcool et autres paires de lunettes en installant un détecteur qui sonne en franchissant le portique du magasin. Dissuasif certes, mais pas toujours efficace quand on a affaire à des malfaiteurs déterminés agissant avec aplomb.

Les deux jeunes femmes d’une trentaine d’années interpellées, mercredi, à 17 h 45, par les policiers de la compagnie de roulement du Service de sécurité de proximité (SSP) n’en sont pas à leur coup d’essai. Elles ont été interceptées par les agents de sécurité de la galerie marchande à Mériadeck alors qu’elles venaient de subtiliser des vêtements glissés dans leur sac indétectable. L’une d’elle était déjà connue de la justice. Elle avait été interpellée et incarcérée en 2009 pour des vols à l’étalage commis à grande échelle.
Les produits qu’elle dérobait étaient écoulés sur un site de revente sur Internet. Depuis peu, il semble que cette jeune femme, sans emploi, était spécialisée dans le vol de lunettes de marque. Le 14 juin, une boutique de la rue Porte-Dijeaux, à Bordeaux, a été victime d’un vol de quatre paires pour un montant de 875 euros. Un autre magasin de la même enseigne a été pris pour cible, rue Sainte-Catherine. Le préjudice était important.
  • Inscrite au fichier
Concrètement la voleuse et ses complices passent les portes avec des contrefaçons parfaites de lunettes, font des essais et repartent avec les paires exposées en laissant les fausses. En quelques secondes le tour est joué.
Suite à la plainte du commerçant, les experts de l’unité d’enquête criminalistique (UEC) ont effectué des relevés d’empreintes. Et sur le verre d’une paire de lunettes de soleil déposée par la voleuse sur un présentoir, une trace correspondant au pouce droit de l’une des voleuses interpellées à Mériadeck a « matché ». Son nom avait été intégré au fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) au printemps 2008 lors de la série de vols qui lui avait valu d’être condamnée et écrouée l’année suivante.
Les deux jeunes femmes appréhendées mercredi ont été placées en garde à vue et auditionnées par les enquêteurs du Groupe d’appui judiciaire (GAJ) du commissariat central. Elles seront déférées aujourd’hui devant un magistrat du parquet.

http://www.sudouest.fr/2013/06/28/une-voleuse-laisse-son-empreinte-sur-le-verre-1099025-2780.php

Bouxières-aux-Dames : Scène de ménage à la barre

Les griefs s’accumulent. D’un côté. Puis de l’autre. Ce couple de Bouxières-aux-Dames lave son linge sale. Mais pas en famille. Au tribunal correctionnel de Nancy. A la barre. Ce mardi. Devant tout le monde.
Après 17 ans de vie commune, ils sont censés être séparés depuis un an. Les choses sont en réalité plus complexes. Monsieur, un ouvrier de 40 ans, revient régulièrement. Plus ou moins avec la bénédiction de madame, une esthéticienne de 39 ans. Elle accepte qu’il s’occupe de leurs deux enfants de 8 et 14 ans. Elle accepte aussi qu’il fasse quelques menus travaux dans leur logement. Cela n’empêche pas l’épouse d’avoir peur de sa violence verbale et de vouloir rompre. « Dès que je lui dis quelque chose, il hurle. Je ne le supporte plus », se plaint la femme qui reproche à son ex, ses mauvaises fréquentations ainsi que son penchant pour l’alcool et la drogue. Le mari écarte les bras, soupire, hoche la tête en signe de dénégation. Puis contre-attaque : « Elle sait me faire sortir de mes gonds ou me calmer. Je suis une marionnette entre les mains de cette femme ».

« Comment je récupère mon bleu de travail ? »

La dernière fois où il est sorti de ses gonds, c’était lundi. La veille au soir, il a refusé d’aller chercher sa femme qui était chez une amie. Il y a eu un échange un peu vif au téléphone. L’épouse a rallié à pied le domicile de membres de sa famille à Vandœuvre où elle a passé la nuit. Puis elle est revenue au petit matin à la maison, à Bouxières-aux-Dames.
Et l’orage qui couvait a éclaté. L’ex-mari reconnaît avoir monté le ton et avoir mis des claques sur l’épaule de son épouse. Mais celle-ci affirme avoir pris des gifles au visage et avoir été victime d’une tentative d’étranglement. « Elle n’a pas de marque », relativise Me Alexandra Vautrin, l’avocate de la défense. De son côté, la substitut du procureur, Laëtitia Welter rappelle que le prévenu a déjà été condamné pour des violences conjugales en 2009 et elle requiert 6 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Jugement : 4 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Avec une obligation de soins psy « contre l’impulsivité » et interdiction de se rentre au domicile de son ex-femme.
« Comment je vais faire pour récupérer mon bleu de travail ? Je bosse ce soir », réagit l’homme. Les gendarmes qui l’ont escorté au tribunal, acceptent de faire un crochet avec lui jusqu’au logement de son ex. Histoire d’éviter toutes nouvelles scènes de ménage.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/06/28/scene-de-menage-a-la-barre

Villebrumier. Le chauffeur-livreur pillait les jardineries

Chez les cambrioleurs, comme dans les grands magasins, on en trouve pour tous les goûts. Des professionnels comme des gens plus amateurs, ce qui ne les rend pas moins dangereux. Les gendarmes de Saint-Jory (Haute-Garonne) ont interpellé la semaine dernière un chauffeur livreur de 35 ans installé à Villebrumier qui avait entrepris de «végétaliser» son pavillon. Un aménagement pour lequel cet homme qui travaille n’avait pas vraiment envisagé de dépenser un important budget.Les gendarmes l’ont surpris en pleine nuit - il était 2 h 35 dans la nuit de jeudi à vendredi dernier - alors qu’il était en train de dévaliser la «Jardinerie Toulousaine», route de Paris à Saint-Jory. Il quittait les lieux avec de l’outillage «emprunté» dans le magasin. Interpellé, cet homme s’est retrouvé pressé de question en garde à vue. Et les enquêteurs sont allés de surprises en surprises, surtout quand ils sont allés perquisitionner son domicile, à Villebrumier .

1 300 € d'arbustes

Chez lui, proprement alignés pour constituer une haie, 61 arbustes, notamment des thuyas, qui avait été dérobés quelques nuits auparavant à la «Jardinerie Grégori», également à Saint-Jory.Les gendarmes ont également découvert 49 outils (!) qui eux avaient été pris à la «Jardinerie Toulousaine» lors de l’arrestation en flagrant délit, plus une trentaine volée chez «Brico-Dépôt» à Montauban. Et pour transporter ce butin plutôt conséquent, le suspect avait également volé une remorque - autant faire dans le pratique. Ce vol remonte à la mi-avril sur un parking de Saint-Jory.Lors de ses auditions, cet homme a reconnu le vol de la remorque plus les quatre vols par effraction qui lui ont permis de constituer son butin, et son jardin ! Après avis du parquet, il a été laissé libre mais devra s’expliquer devant le tribunal correctionnel de Toulouse le 4 février 2014. Et il a passé un accord avec le pépiniériste chez qui il avait dérobé les arbustes. Pour éviter de tout arracher, il va devoir payer la note : 1 300 €. Et inutile de préciser qu’il n’a pas eu droit à une ristourne !

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/28/1660823-villebrumier-le-chauffeur-livreur-pillait-les-jardineries.html

Nîmes : une fonctionnaire de la préfecture suspectée de fraude aux titres de séjour

Interrogée depuis mardi dans les locaux de l'antenne de Nîmes du SRPJ de Montpellier, la fonctionnaire de la préfecture du Gard a été incarcérée ce jeudi soir à la maison d'arrêt de Nîmes.
La fonctionnaire est suspectée de fraude dans l’exercice de son travail au sein du service chargé de l’examen et de la délivrance des titres de séjour aux étrangers.
Ce sont les services internes de la préfecture qui ont débusqué une série d’anomalies voici quelques mois avant de prévenir le procureur de la République de Nîmes qui a ouvert une enquête dans la foulée. Les investigations ont conduit à l’ouverture d’une information judiciaire et à la désignation d’un magistrat instructeur de Nîmes.


Des sommes d'argent perçues indûment
La fonctionnaire, âgée d’une cinquantaine d’années, serait soupçonnée d’avoir indûment perçu de l’argent. Les montants et les conditions dans lesquelles les sommes auraient pu être remises n’ont pas été révélés.
Seule certitude pour la préfecture du Gard ? Certains titres de séjour n’auraient pas dû être délivrés et, dans certains cas, des cartes auraient été délivrées à des personnes qui ne se sont jamais déplacées dans les locaux préfectoraux.
Un garagiste sous contrôle judiciaire
En même temps que la fonctionnaire, les policiers du SRPJ auraient également placé sous contrôle judiciaire un garagiste de la région nîmoise. Il serait suspecté de complicité dans cette affaire de fraude qui comporterait un second volet lié à la délivrance de titres de séjour à des personnes malades.
Mercredi, la préfecture a confirmé son intention de suspendre la fonctionnaire.

http://www.midilibre.fr/2013/06/27/fraude-aux-titres-de-sejour-un-agent-prefectoral-en-garde-a-vue,723438.php

jeudi 27 juin 2013

Collision entre trois camions et un camping-car sur l’A7 : un blessé grave à Chasse-sur-Rhône

Une personne a été grièvement blessée dans un accident entre trois poids lourds et un camping-car s’étant produit, ce mercredi vers 14 heures, sur l’A7, dans le sens sud-nord au niveau de la commune de Chasse-sur-Rhône, juste avant le nœud de Ternay.
Un des poids lourds impliqué dans l'accident s'est immobilisé en travers des trois voies de circulation. L'axe a été totalement fermé à la circulation pendant plus de 3 heures, le temps pour les secours de prendre en charges les blessés et d'évacuer les véhicules accidentés.
Cette collision a entraîné d'importants ralentissements en direction de Lyon. Jusqu'à quinze kilomètres de bouchons ont été signalés entre Chasse-sur-Rhône et Reventin-Vaugris.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/06/27/chasse-sur-rhone-un-blesse-grave-dans-une-collision-sur-l-a7

Bordeaux : les casseurs de coffres écumaient les supermarchés

Ils visaient les petites et moyennes enseignes installées dans des zones commerciales isolées. Quatre hommes âgés de 23 à 39 ans et originaires du Tarn sont jugés depuis hier par la chambre de la juridiction interrégionale spécialisée du tribunal correctionnel de Bordeaux pour des vols ou tentatives de vols aggravés et pour leur participation à une association de malfaiteurs.
C’est la Section de recherches de Bordeaux, qui la première, en décembre 2011, avait fait le lien entre plusieurs dizaines de vols avec effraction commis depuis septembre 2010 au préjudice de petites et moyennes surfaces en Aquitaine et en Midi-Pyrénées.

  • Même mode opératoire
Parmi les magasins visés : Le Mutant d’Artix (Pyrénées-Atlantiques) en novembre 2010 ; le Lidl de Montpon-Ménestérol (Dordogne) en octobre 2011 ; le Carrefour Market de Saint-Cyprien (Dordogne) ; le Weldom de Seissan (Gers) en septembre 2011 ; le Aldi de Gimont (Gers) en mars 2011 ; Le Mutant de Tonneins (Lot-et-Garonne) en septembre 2011 ; ou encore le Lidl de Latresne en juillet 2011.
À chaque fois, le mode opératoire était le même. Une entrée fracassante par le toit ou par l’arrière du magasin, la neutralisation ou la destruction du système d’alarme et la découpe du coffre-fort à la disqueuse, sur place ou à l’extérieur. Le butin s’élèverait à quelque 200 000 euros. Mais la note des dégradations commises pour accéder aux coffres serait du double !
Sur certaines des 17 scènes de cambriolage retenues par l’information judiciaire, des prélèvements de la police technique et scientifique - en particulier une empreinte laissée sur une boîte de pâtée pour chat destinée à régaler les chiens de garde à Brantôme - ont orienté l’enquête des gendarmes de la SR sur la piste de deux frères, Farid et Brahim Djellali.
  • Ecoutes téléphoniques
Des conversations téléphoniques interceptées et des surveillances physiques effectuées ont permis d’asseoir les soupçons des enquêteurs, qui ont pu constater les nombreuses virées nocturnes des deux frères. Le 12 mars 2012, ils étaient interpellés alors qu’ils rentraient du casse du Mutant de Boucau (Pyrénées-Atlantiques), les poches encore pleines d’argent.
À l’audience, la présidente, Marie-Élisabeth Bancal, en vient rapidement aux faits. Les juges ne sont pas vraiment aidées par les déclarations des uns et des autres. Les quatre hommes campent sur leurs positions. Ne nient pas l’évidence mais le reste. L’un, Renaud Mistri, ne se souvient pas « comment ça a commencé » et craint les représailles s’il parle. L’autre, Brahim Djellali, ne reconnaît que deux faits, assure qu’il était en Algérie pendant que les autres étaient perpétrés. Son frère Farid admet qu’il s’est renseigné sur Internet au sujet des supérettes et qu’il volait « quand [il avait] besoin de le faire ». Le dernier pique du nez pendant les réquisitions, qui pourtant lui reconnaissent un rôle mineur.
« C’est une équipe qui ne recherche que l’argent et qui n’agit pas au hasard », résume la vice-procureure Géraldine Bouzard en requérant de six mois à huit ans ferme. Comme Christophe Cariou-Martin, les avocats de la défense ne veulent pas de prix de gros et dénoncent l’interprétation faite des écoutes téléphoniques. Jugement aujourd’hui.

http://www.sudouest.fr/2013/06/27/casseurs-de-coffres-jusqu-a-huit-ans-requis-1098386-2780.php

Lavaur. La voiture pique du nez dans un jardin

Spectaculaire accident, hier matin, vers 9 heures, au lieu plaine de Borie, route de Castres, à Lavaur. Un Vauréen d’une quarantaine d’années a perdu le contrôle de sa voiture dans une longue ligne droite. Il tentait de doubler une Peugeot 306, dans le sens Lavaur-Castres. La conductrice au même moment tournait à gauche pour rejoindre le garage de carrosserie LGC où elle occupe l’emploi de secrétaire. Son véhicule a été endommagé sur le côté gauche. Elle ne souffre d’aucune blessure.

Le conducteur commotionné

Le conducteur de l’Alfa Roméo Giuletta, au moment de l’accrochage, a donné un coup de volant. Il a percuté le parapet d’un petit pont, poursuivi sa course le long d’une haie, avant de plonger dans le jardin d’une maison individuelle en défonçant au passage un compteur électrique, un poteau de téléphone et le grillage qui ceint la propriété. Commotionné, cet homme, qui était seul dans l’habitacle, a été pris en charge par les sapeurs pompiers du centre de secours de Lavaur. Il a été évacué pour examens vers les urgences du centre hospitalier de la ville. Les agents de la régie municipale d’électricité ESL sont venus sur les lieux pour mettre en sécurité les fils électriques. Sans électricité, sans téléphone, sans clôture, avec une voiture dont le devant est planté dans la pelouse du jardin, les propriétaires semblaient abasourdis. La police municipale a régulé la circulation et les gendarmes ont procédé aux constatations d’usage.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659352-lavaur-la-voiture-pique-du-nez-dans-un-jardin.html

Le conseiller financier détournait l’argent des clients depuis 36 ans

Employé dans une agence bancaire de Viriat, l'homme avait détourné plus de 1,3 million d'euros à ses clients. La justice l'a condamné à deux ans de prison ferme.
Salarié du Crédit Agricole de Viriat, il promettait à ses clients des taux d’intérêts mirifiques, jusqu’à 18%. Il leur versait des intérêts en piochant dans le capital. Il avait ainsi détourné 1 350 000 euros en 36 ans de carrière.
Il a été condamné ce mercredi à quatre ans de prison dont deux avec sursis

http://www.leprogres.fr/ain/2013/06/26/le-conseiller-financier-detournait-l-argent-des-clients-depuis-36-ans

mercredi 26 juin 2013

Un automobiliste grièvement blessé entre Blaye et Saint-André-de-Cubzac

Ce mercredi matin vers 7 h 40, deux voitures sont entrées en collision sur la D137, qui relie Blaye à Saint-André-de-Cubzac.
Un des deux conducteurs âgé de 40 ans a été très grièvement blessé et évacué en hélicoptère par Dragon 33 vers le CHU de Bordeaux.

Le second conducteur, âgé de 22 ans, blessé plus légèrement, a été transporté à l'hôpital de Blaye.
L'accident s'est produit à hauteur du lieu dit Le Cau, sur la commune de Berson.
Selon les premiers éléments recueillis par la brigade de gendarmerie de Blaye, le jeune conducteur, qui roulait dans le
sens
Saint-André-Blaye, aurait effectué un dépassement dangereux dans cette ligne droite.

http://www.sudouest.fr/2013/06/26/un-automobiliste-grievement-blesse-entre-blaye-et-saint-andre-de-cubzac-1097573-2766.php

Affaire du quadruple meurtre dans la Drôme: toujours aucune trace du père

«Les recherches se poursuivent. On en est au même point», a indiqué le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli, au lendemain de la découverte des corps des enfants, après celle du corps de leur mère la veille.
Selon le magistrat, «une soixantaine» de gendarmes sont mobilisés pour les recherches proprement dites, tandis que «20 à 30» poursuivent les investigations auprès des proches du suspect, à la recherche d’une piste.
Abdelkarim El Kadaoui, 43 ans, 1,78 m et de forte corpulence, est recherché pour le meurtre à l’arme blanche de sa femme de 29 ans, retrouvée baignant dans son sang chez sa mère, et pour celui de ses deux filles de 2 et 8 ans et de son fils de 9 ans.
Les corps des trois enfants, portés disparus depuis lundi soir, ont été découverts mardi matin dans la voiture de leur père, sur un parking situé «à 500 mètres à vol d’oiseau du lieu du premier crime», avait précisé le procureur.
Deux d’entre eux ont été vraisemblablement asphyxiés et le troisième porte des marques de strangulation.
Le suspect avait été tenu éloigné en 2006 «pour faits de violence sur son épouse» et a été condamné «dans les années 1990 pour trafic de stupéfiants», a indiqué M. Paganelli.
Le quadruple homicide est survenu dans un contexte de séparation. Craignant pour sa sécurité, l’épouse de M. El Kadaoui s’était installée chez sa mère après avoir un temps déménagé à Montélimar et à Orange dans le Vaucluse.


http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/06/26/affaire-du-quadruple-meurtre-dans-la-drome-toujours-aucune-trace-du-pere

Trois autres jihadistes interpellés mardi matin

Après le coup de filet de lundi, dans lequel six islamistes ont été interpellés, trois autres personnes ont été arrêtées mardi matin. Les deux affaires ne sont cependant pas liées.

"Ce matin (ndlr : martin matin), la Direction centrale du renseignement intérieur a opéré trois interpellations de trois individus connus et suivis pour leur appartenance au jihadisme. Cela veut bien dire que cette menace est toujours présente". C'est Manuel Valls lui-même qui a annoncé la nouvelle mardi à la mi-journée. Le ministre de l'Intérieur a indiqué que les trois personnes ont été arrêtées dans le Sud de la France.
Selon une source proche du dossier, il s'agit d'un couple et d'un autre homme. Ce dernier pourrait être relâché rapidement. Selon la même source, il s'agirait d'un affaire de financement d'une filière acheminement de militants à l'étranger.
Il s'agit d'une dossier distinct de celui de lundi. Ces interpellations surviennent en effet au lendemain de l'arrestation, dans trois villes de région parisienne, de six personnes âgées de 22 à 38 ans et connues des services de police. Les six suspects ont été placés en garde à vue dans les locaux de la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).  
 

mardi 25 juin 2013

Meurtre d’Alexandre Junca à Pau : les suspects à nouveau interrogés

Au moins trois des quatre personnes mises en examen pour « enlèvement, séquestration, actes de torture et de barbarie et assassinat » dans l’enquête sur la mort d’Alexandre Junca doivent être à nouveau entendues, jeudi et vendredi, par la juge d’instruction en charge de ce dossier, Lucile Pichenot, a-t-on appris, hier, de sources proches de l’affaire. La magistrate aurait prévu d’interroger une nouvelle fois Mickaël Baehrel, Claude Ducos et Fatima Ennajah. On ignore, en revanche, si Mike Bonnet est également convoqué.
Rappelons que toutes ces personnes sont incarcérées depuis leur arrestation, début avril. Lors des dernières auditions devant la juge d’instruction, les 2 et 3 mai dernier, tous avaient nié avoir participé au meurtre de l’adolescent disparu dans le centre-ville de Pau dans la nuit du 4 au 5 juin 2011 et dont le corps démembré avait été retrouvé, quatre mois plus tard, dans le gave de Pau.

http://www.sudouest.fr/2013/06/25/meurtre-d-alexandre-junca-a-pau-les-suspects-a-nouveau-interroges-1096276-4344.php

Marseille : 2 braqueurs échappent au GIPN

Deux braqueurs ont échappé au Groupe d'Intervention de la Police Nationale (GIPN) à Marseille, selon le site de La Provence. Ils étaient cernés mais ont réussi à s'enfuir en escaladant l'immeuble très dégradé de la cité Corot, dont la plupart des appartements sont squattés. Deux autres hommes ont été appréhendés par la Bac.
Les quatre malfaiteurs ont perpétré à 10 heures un vol à main armée dans un supermarché et se sont enfuis vers la cité après une course poursuite avec la police.
 

L’animateur Arthur victime d’un malaise et héliporté vers les urgences

Arthur a été pris d’un malaise alors qu’il dinait dans un
restaurant
de Saint-Tropez avec sa compagne samedi soir, comme le révèle le site de Var Matin. L’animateur vedette de TF1 a été pris en charge par le Smur et les pompiers, avant d’être héliporté vers les urgences de Toulon.

Placé en observation toute la nuit, le présentateur des « Enfants de la Télé » a pu regagner son domicile parisien dimanche et son entourage se veut rassurant ! « Tout va bien. Arthur est au travail » confie un proche

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/25/1657987-animateur-arthur-victime-malaise-heliporte-vers-urgences.html

Escroquerie aux chevaux : un Belfortain interpellé

L’interpellation de ce Belfortain de 57 ans est relatée par nos confrères du Parisien. Il aurait été cueilli à son domicile par les enquêteurs du service central des courses et jeux (SCCJ) et des membres de la police judiciaire de Caen. Sur un site internet spécialisé intitulé super-trotteur.fr (aujourd’hui hors ligne, mais dont des captures d’écran circulent sur le web), il aurait proposé à des particuliers d’acquérir des parts dans des futurs champions. À des tarifs compris entre 3 500 € et 5 000 € la part, les chevaux pouvaient atteindre 35 000 €. La supercherie a été découverte en 2012. Lorsque l’un des acquéreurs, un Grenoblois, a pris contact avec un entraîneur normand supposé s’occuper de « son » poulain.

« Des centaines de victimes »

« J’ai envoyé un message de félicitations à l’entraîneur, qui venait de gagner une course avec un de ses pensionnaires », a raconté Patrick Garnes, la victime, à nos confrères du quotidien Ouest-France en octobre 2012. Patrick Garnes, qui a investi 5 000 euros dans ce cheval, apprend que le propriétaire n’a plus donné de nouvelles depuis des mois. « Non seulement, il ne paie rien mais en plus, il n’a pas donné les papiers nécessaires pour que le cheval puisse courir. L’entraîneur s’était vu confier près d’une trentaine de chevaux par ce monsieur. Sa structure est mise à mal. Et il y aurait des centaines de victimes comme moi », s’indigne Patrick Garnes qui a porté plainte à Grenoble.
Cette première plainte a été suivie de nombreuses autres. Selon le Figaro, une vingtaine de victimes se seraient manifestées. Mais elles pourraient être une centaine. Le quinquagénaire interpellé mardi, qui a nié les faits qui lui sont reprochés, pourrait avoir engrangé entre 800 000 et un million d’euros. Il avait déménagé et s’était fait très discret jusqu’à ce qu’il soit retrouvé et interpellé à son domicile de Belfort, après huit mois d’enquête. Il a été mis en examen pour escroquerie, jeudi à Argentan, dans l’Orne.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/25/escroquerie-aux-chevaux-un-belfortain-interpelle

lundi 24 juin 2013

Seine-et-Marne : des armes de guerre saisies

Les gendarmes de Seine-et-Marne ont découvert lundi des armes de guerre et plusieurs kilos d'explosifs cachés dans la carrosserie d'un véhicule, lors d'un contrôle au niveau d'un péage de l'autoroute A4, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information de BFMTV. "A ce stade", les gendarmes ont trouvé "trois kalachnikov, un lance-roquettes, dix grenades à main défensives, 29 détonateurs, 11 pains de plastique de 500 grammes et deux pains de plus d'un kilo, six chargeurs et 119 munitions", a détaillé cette source. Au moins une personne, le conducteur du véhicule, a été interpellée, a précisé une source proche du dossier.
Les gendarmes procédaient à "une opération de lutte anti-cambriolages", contrôlant des véhicules à la hauteur du péage de Montreuil-les-Lions lorsqu'un chien spécialisé dans la détection des armes et des billets a marqué l'arrêt au niveau du "pare-choc d'un véhicule". Les gendarmes ont "aperçu le canon d'une arme", ce qui a déclenché une fouille plus complète du véhicule. La section de recherche de la gendarmerie à Paris a été saisie de l'enquête.
 

Drame du cimetière : la victime sort du coma

Bonne nouvelle : l’épouse du conservateur des cimetières de Nancy est sortie du coma. Mais si elle est désormais consciente, elle n’est pas encore en mesure de parler. Cette sexagénaire avait été découverte inanimée, par son mari, vraisemblablement frappée à la tête avec un objet contondant, à son domicile, jeudi après-midi. Son pronostic vital était engagé à ce moment.
Le conservateur des cimetières et une femme de 58 ans, avec qui il aurait entretenu une relation extraconjugale, avaient été placés en garde à vue jeudi, après l’ouverture par le parquet de Nancy d’une information judiciaire pour « tentative d’homicide volontaire ». Mis hors de cause, les gardés à vue en sont ressortis libres dès le lendemain, les enquêteurs du SRPJ de Nancy en charge de l’affaire semblent désormais abandonner la piste du crime passionnel.
Suite à une mauvaise interprétation, nous avons entretenu une regrettable confusion dans nos précédentes éditions, selon laquelle l’épouse du conservateur aurait été placée en garde à vue alors que cette dernière, qui est la victime dans cette affaire, était hospitalisée au CHU.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/24/drame-du-cimetiere-la-victime-sort-du-coma

Saint-Martin-de-Caralp. Arrêté par les gendarmes après des coups de feu

Un homme de 58 ans a été interpellé hier matin par les gendarmes spécialisés du PI2G. Il avait tiré plusieurs coups de feu durant la soirée et la nuit, avant de se rendre sans opposer de résistance, au petit matin. Un stock d’armes a été saisi à son domicile.
Il était six heures, hier matin, quand l’homme s’est enfin montré à la fenêtre de la maison joliment rénovée qu’il occupe en bordure de la route de Saint-Girons, à trois cents mètres environ du col del Bouich. Depuis la fin de la soirée, il ne répondait pas aux appels du négociateur du PI2G, venu de Toulouse (1). Dans la nuit, il avait tiré à plusieurs reprises, mais sans viser les forces d’intervention, nombreuses, qui sécurisaient les alentours de son domicile.
Au petit matin, par contre, il a décroché à la première sonnerie. Après un bref dialogue avec le négociateur, il s’est montré à la fenête. Les deux hommes ont échangé quelques mots, et le tireur a passé la porte de son domicile, sans opposer de résistance. Il a été placé en garde à vue et a été entendu par les enquêteurs. Cette garde à vue a été prolongée hier soir, et l’homme pourrait comparaître dès demain devant le tribunal correctionnel.
Il était environ 22 h 30, samedi, lorsque des voisins ont donné l’alerte, en entendant une série de coups de feu. «Ils ont été tirés depuis l’arrière de la maison, confie Jean-Louis Pujol, le maire de la commune, qui a été appelé sur place, et n’est reparti qu’au petit matin. Dans la nuit, nous avons entendu d’autres coups de feu, qui n’ont atteint personne». L’homme n’aurait pas visé les forces de l’ordre, ni son voisinage.
Selon le parquet de Foix, un stock d’armes important a été saisi au domicile de ce quinquagénaire installé dans cette maison depuis longtemps, «une trentaine d’années environ», qui vivait seul, et n’avait jamais fait parler de lui. «Son geste n’est pas explicable», conclut le maire de la commune. Il pourrait s’agir, selon les premiers éléments de l’enquête, un problème de voisinage.
Peloton d’intervention 2e génération, basé à Toulouse, chargé des interventions sensibles dans la région Midi-Pyrénées.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/24/1657023-saint-martin-caralp-arrete-gendarmes-apres-coups-feu.html

Haute-Corse : un sexagénaire rhodanien se noie

Un sexagénaire originaire de la région lyonnaise s’est noyé ce dimanche vers midi à la plage de l’Ostriconi, commune de Palasca en Balagne en Haute-Corse. Ce nouveau drame porte à trois le nombre de noyades sur l’île en moins d’une semaine.
Âgée de 67 ans, la victime était considérée comme «en bonne santé»...
La cause de cette noyade n’a pas encore été établie, laissant ouvertes les hypothèses de malaise ou rupture d’anévrisme. Les secours ont mobilisé d’importants moyens pour cette intervention, avec l’hélicoptère médicalisé Dragon 2B, les pompiers de L’Île-Rousse, ainsi que des gendarmes.
Depuis jeudi dernier, trois personnes se sont noyées en Corse, où les noyades sont souvent liées à des malaises ou à un courant marin trop puissant, notamment dans des endroits non surveillés par des sauveteurs. Le 20 juin, un vacancier de 81 ans a aussi perdu la vie sur une plage à Tiuccia (Corse-du-Sud), tandis qu’un touriste d’une trentaine d’années a été retrouvé mort dans une rivière près de Ghisoni (Haute-Corse).

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/06/23/corse-un-homme-se-noie-le-troisieme-en-moins-d-une-semaine

dimanche 23 juin 2013

Landes: plusieurs bagarres et un gendarme blessé aux Fêtes de Saint-Sever

"C'était vraiment chaud", souffle le capitaine Bernard Guichené, commandant en second de la compagnie de gendarmerie de Mont-de-Marsan. A Saint-Sever, une bonne partie de la nuit, ses hommes ont eu à intervenir pour mettre fin à des bagarres, l'un d'eux a été blessé.
Une première altercation entre deux groupes de jeunes a eu lieu vers 23 heures. Une personne a été blessée au visage et au thorax par un tir de pistolet à grenaille. L'usage de battes de base-ball est également signalé.

Vers 23h30, un mineur, identifié comme étant membre du groupe du tireur, voire le tireur lui-même, est interpellé. Un autre mineur faisant partie de la même bande est lui arrêté vers 3h30. L'un est originaire de Dax, l'autre de Tyrosse. Ils ont été entendus dans la matinée.
Peu avant 4 heures, une autre bagarre a éclaté du côté du cloître des Jacobins. "C'était à la sortie du bal disco", raconte le capitaine Guichené. "Des gendarmes sont intervenus pour séparer les protagonistes. L'un d'entre eux a été agressé par derrière et a reçu un coup de poing au visage. Il va être en arrêt de travail durant huit ou dix jours."
Une enquête est en cours pour découvrir l'identité du donneur de coup mais aussi d'autres participants aux événements.
"C'est très inquiétant", ne peut s'empêcher de penser le capitaine Guichené. "Sur fond d'alcoolisation très importante, ça partait dans tous les
sens
."
L'officier de gendarmerie se dit en particulier marqué par l'âge des hestayres, violents ou pas, et l'état dans lequel ils se mettent. "Ils sont souvent très jeunes et il y a beaucoup de filles parmi eux. Ils boivent rassemblés autour des coffres de voitures sont ouverts à quelques dizaines de mètres de la fête. Quand ils y arrivent, ils sont déjà totalement ivres."

http://www.sudouest.fr/2013/06/23/landes-plusieurs-bagarres-et-un-gendarme-blesse-aux-fetes-de-saint-sever-1094276-7.php

Nancy : la nuit, la fête, la mort

Grégory L’homme est mort sur un trottoir le 3 janvier 2010. Demain s’ouvre le procès des agresseurs présumés des noctambules nancéiens. Trois sont poursuivis pour les violences qui ont coûté la vie à la victime. Retour sur un mois de sauvagerie.
Il est mort comme un chien, au petit matin, sur le trottoir de la rue Pasteur. À quelques mètres seulement de son domicile. Ce 3 janvier 2010, à 6h15, Grégory L’homme, 34 ans, rentrait du « Chat Noir » quand il a été agressé par plusieurs individus qui l’ont violemment frappé et dépouillé. Réveillée par les cris, une étudiante, près de sa fenêtre, a entendu deux voix : « Une qui suppliait : ‘’ Arrête, arrête, j’ai rien fait !’’. Et une autre qui répondait : ‘’ Non, t’as pas rien fait, fils de p… ! ‘’ ».
Cette mort est le point paroxysismique d’une série d’agressions sauvages, commises l’hiver 2009-2010 et selon un même modus operandi. Au terme de ce mois de folie, une véritable psychose s’était emparée des noctambules de la cité ducale. Les victimes ? Des hommes seuls, sortant d’un bar ou d’une boîte de nuit et un poil éméchés. Repérés et suivis, ils étaient assommés, détroussés, roués de coups à la tête et au visage jusqu’à ce qu’ils dévoilent leur code de carte bancaire. S’ensuivaient des retraits. Ou de nouveaux coups, encore plus appuyés si le code était faux…
Sept hommes vont comparaître jusqu’à 3 juillet devant la cour d’assises des mineurs de Meurthe-et-Moselle. Ecroués depuis février 2010 et leur interpellation, David, Rémy et Jérémy Colin, 21, 19 et 18 ans au moment des faits, sont poursuivis pour 6 à 13 agressions dont celle qui a coûté la vie à Grégory L’homme. Avec la qualification pénale de « vol avec violences ayant entraîné la mort », ceux qui sont surnommés « Les Cubains » encourent la perpétuité.
Poursuivi pour un vol avec arme, Jordan P., mineur au moment des faits, risque en théorie jusqu’à 20 ans de réclusion. Tout comme Kevin D. également mineur, poursuivi également pour un autre vol aggravé et « détenu pour autre cause ». Placé sous contrôle judiciaire, Jordan P. comparaîtra, lui, libre, tout comme les deux autres hommes jugés pour des recels de portables.
Les pouvoirs publics ont longtemps nié l’évidence
Une autre personne a déjà été jugée, en mars. Après avoir reconnu lors de l’instruction 14 des 15 agressions (sauf celle de Grégory L’homme), Mehdi D., 15 ans au moment des faits, en a finalement assumé 5 devant le tribunal pour enfants et a balancé le nom des Colin. Reconnu au final coupable des 15 faits, il a écopé de 10 ans et n’a pas fait appel. Son témoignage sera capital.
Dans ce dossier, les pouvoirs publics ont longtemps nié l’évidence. Mais une fois la machine policière lancée, tout s’est accéléré. Les surveillances à la sortie des boîtes ainsi que les écoutes des cartes SIM insérées dans les boîtiers des portables dérobés ont débouché sur une vague d’interpellations, un mois après la mort de Grégory L’homme. L’instruction a fait le reste. Les receleurs auraient ainsi expliqué que David et Rémy Colin leur ont vendu le portable de Grégory L’homme. L’ADN de la victime aurait par ailleurs été retrouvé sur une basket portée par Rémy Colin.
« Les frères Colin ont très vite été présentés comme les instigateurs des agressions mais il y avait d’autres équipes qui tournaient », assure Me Rui Pereira, conseil de David et Rémy Colin. « Et il y a beaucoup de zones d’ombre. Lors de l’agression de Grégory Lhomme, les témoins ne voient que trois personnes. Le sang sur la basket ? Rémy la portait lors de son arrestation. Soit il est stupide, soit ce n’est pas lui… ». Une chose est sûre : les jurés ne manqueront pas, dans la chronologie des faits, de remarquer qu’une dernière agression a eu lieu le week-end suivant celle, fatale, de Grégory L’homme. La mort d’un homme n’a pas arrêté la folie des agresseurs…

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/23/la-nuit-la-fete-la-mort

Décès d'un pêcheur à pied tombé à l'eau

Un pêcheur à pied de 66 ans, tombé à la mer, est décédé samedi dans la Manche, a-t-on appris auprès de la Préfecture maritime de Cherbourg. L'alerte a été donnée vers 18h par un témoin qui avait observé l’homme tomber dans l'eau sur la plage des Gougins, à proximité de Quinéville (Manche). Après la mise en place d'un important dispositif de moyens aériens et maritimes, l'hélicoptère de la sécurité civile a repéré le pêcheur à 18h35. Ce dernier a été hélitreuillé inanimé et ramené sur la plage où les secours n'ont pu que constater son décès, précise le communiqué de la Préfecture maritime.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Deces-d-un-pecheur-a-pied-tombe-a-l-eau-614961

samedi 22 juin 2013

Bergerac : un employé tué par une voiture pendant la collecte des déchets

Ce matin, peu avant 9 heures, un employé de la Communauté d'agglomération de Bergerac (CAB)  chargé de la collecte des poubelles dans le hameau de La Conne, a trouvé la mort dans un
accident


Il descendait du camion et traversait la rue en direction d'une poubelle lorsqu'un automobiliste, surpris de voir le quadragénaire surgir de derrière le camion, n'a pu l'éviter.

Malgré les tentatives de réanimation des secours, la victime n'a pu être réanimée et est décédée des suites de ses blessures.

http://www.sudouest.fr/2013/06/22/bergerac-un-employe-municipal-tue-par-une-voiture-pendant-la-collecte-des-dechets-1093925-1733.php

novillada mortelle de Boujan, le maire et son adjoint condamnés

Le 4 août 2007, un spectateur est encorné par un toro qui a sauté les barrières des arènes, lors de la feria de Boujan. Le maire de l'époque et son adjoint ont comparu ce vendredi matin, devant le tribunal correctionnel de Béziers.  
Le 4 août 2007, la feria de Boujan bat son plein. Les gradins des arènes démontables sont pleines. 600 personnes s'apprêtent à suivre la novillada piquée programmée ce jour-là. Le jeune toro de 450 kilos est sorti du camion. Soudain le fauve saute une première palissade et défonce une autre barrière. Deux hommes se trouvent dans le sillage du fauve. Le premier qui a eu le réflexe de se jeter par terre est piétiné et s'en sort avec une blessure au bras. Le second, Bernard Coffin, 68 ans, membre du club taurin Paul-Ricard, reçoit des coups de corne à la jambe et à l'entrejambe. Il décède deux jours plus tard, au centre hospitalier, d'une détresse respiratoire. 
Ce vendredi matin, six ans après, Raymond Faro, premier magistrat de l'époque et son adjoint Bernard Martinez comparaissent devant le tribunal correctionnel de Béziers pour homicide involontaire par violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité ou de prudence. 
A l'issue des trois heures d'audience, ils sont reconnus coupables et condamnés à un an de prison avec sursis. Ils devront payer solidairement 25 000 euros à la veuve de la victime et 11 000 euros à chacun de ses quatre enfants

http://www.midilibre.fr/2013/06/21/novillada-mortelle-de-boujan-le-maire-et-son-adjoint-condamnes-a-un-an-de-prison-avec-sursis,720616.php

vendredi 21 juin 2013

Bethoncourt : prison ferme pour les agresseurs du dentiste

Au terme de deux jours de procès à Besançon, les agresseurs d’un dentiste ont été déclarés coupables de vol avec arme. Hier soir, vers 22 h, les jurés ont rendu leur verdict. Un Bethoncourtois de 22 ans, au casier judiciaire chargé, écope de 3 ans de prison dont 1 avec sursis. Trois ans dont 30 mois avec sursis pour le deuxième, un Bavanais de 21 ans. Enfin, un Bethoncourtois, également connu des forces de l’ordre, est condamné à 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis. Les peines sont toutes assorties d’une mise à l’épreuve. Les faits sont anciens, ils remontent à octobre 2009. Le soir-là, à la sortie de son cabinet, le docteur Prudhon, chirurgien-dentiste installé à Bethoncourt, avait été attaqué par trois hommes près de sa voiture. Il avait reçu plusieurs coups de couteau heureusement sans conséquence grave. Le dentiste a refusé d’assister à l’audience car, au cours de l’enquête, la mère de l’un des agresseurs avait reçu la médaille d’honneur de la famille

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/21/bethoncourt-prison-ferme-pour-les-agresseurs-du-dentiste

Double meurtre d'Aramon : le suspect s'est suicidé

L'auteur présumé du double meurtre d'Aramon a été retrouvé mort à Crillon-le-Brave (Vaucluse). L'homme s'est suicidé en se tirant une balle dans la tête dans une maison retirée à l'écart du village. Les gendarmes de la compagnie de Carpentras sont sur place et ont déjà pu établir un lien avec les crimes d'Aramon.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2412912/double-meurtre-daramon-le-suspect-sest-suicide.html

Vic-Fezensac. Il détourne des fonds publics : dix-huit mois de sursis

Un fonctionnaire d’État à la barre du tribunal. L’affaire est peu banale, surtout lorsque celle-ci touche un ex-agent des impôts. Employé à Vic-Fezensac, ce Gersois de 43 ans a réussi à duper l’administration fiscale durant un an, entre avril 2011 et mai 2012. Une période durant laquelle le quadragénaire a utilisé un logiciel utilisé au quotidien pour la comptabilité des collectivités territoriales. Placés sur des comptes d’attente, les deniers publics étaient directement versés sur son compte personnel. Au total, l’agent fait six virements en l’espace de treize mois, pour une somme légèrement supérieure à 8 300 euros. Présent à la barre du tribunal correctionnel d’Auch, le fonctionnaire, révoqué depuis quatre mois, a tenté de justifier ses actes. «Ces virements n’étaient en rien frauduleux. Ma hiérarchie me mettait la pression pour que je vérifie les comptes chaque jour et chaque semaine que tout soit régularisé». Un argument qui n’a pas convaincu Jean-Michel Dureysseix, président du tribunal, persuadé que l’homme a fait cela dans le but de «s’enrichir». «Surtout qu’à cette époque-là, vous aviez des soucis d’alcool et de dette liés à de nombreux abonnements sur des sites pornographiques. Reconnaissez au moins que votre raisonnement était altéré». Inquiet face à cette attitude désinvolte, le juge a également souligné le fait que cette «énorme erreur» aurait pu se terminer «aux assises, si le Code pénal n’avait pas évolué». Des éléments qu’a appuyés la partie civile. S’attendant à davantage de franchise, celle-ci a paru embarrassée. «D’un côté, on ne peut pas laisser passer ça, mais je me demande si Monsieur s’est rendu compte de ce qu’il a commis». Des faits pour lesquels la partie civile a réclamé le remboursement des sommes détournées, et l’euro symbolique. Agacé par l’argumentation du prévenu, le procureur de la République, Alix Chaumeton, s’est interrogé sur la gravité des actes, «qui ne sont pas une première dans le Gers». Et a souhaité lancer un avertissement significatif à l’ex-fonctionnaire en requérant une peine de deux ans de prison assortis du sursis.
Le tribunal a condamné l’ancien agent des impôts à une peine de dix-huit mois de prison avec sursis et au remboursement de l’intégralité des sommes détournées.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/21/1654797-il-detourne-des-fonds-publics-dix-huit-mois-de-sursis.html

jeudi 20 juin 2013

Condamné, le prof de maths cannois s’enfuit du tribunal de Grasse

Fou de jalousie, un professeur de mathématiques pratiquant les arts martiaux, crève l'oeil de l'amant de sa femme. Reconnu coupable et condamné à deux ans d'emprisonnement, l'homme s'est enfuit au moment des délibérés du tribunal de Grasse
Depuis mercredi soir, 17 heures, Gauthier Dietrich, 45 ans, professeur de mathématiques remplaçant dans le secteur de Cannes et Antibes est sous le coup d’un mandat de recherche.
Alors qu’il était attendu à la barre du tribunal correctionnel de Grasse, ce mercredi, pour se voir signifier sa condamnation, le prof de maths a préféré prendre la tangente. Il était pourtant présent à l’audience. Gauthier Dietrich était jugé pour avoir asséné un coup de poing qui a fait perdre un œil à sa victime. En son absence donc, il a été condamné à deux ans de prison ferme, avec mandat d’arrêt.
L’affaire remonte au 15 septembre 2010, à Cannes. Gauthier Dietrich, prof de maths remplaçant employé par le rectorat, est alors marié à une jeune Russe, qu’il a rencontrée dans le pays d’origine de la demoiselle. Cette dernière, sans attache sur la Côte d’Azur, si ce n’est son mari, s’amourache alors du gérant de l’hôtel dans lequel elle a trouvé un travail. « Ils s’entendaient bien tous les deux, ils étaient gais.  Le patron était très attentif avec la jeune Russe », affirmeront les employés de l’établissement durant l’enquête.
Droit, précis jusqu’à l’austérité, le prof de maths trompé a témoigné ce mercredi à l’audience: « J’ai compris qu’il se passait quelque chose entre eux lorsque je suis revenu d’un déplacement au Japon.» Les questions du président de la chambre collégiale du tribunal correctionnel de Grasse, Marc Joando, se font pressantes. « Vous étiez jaloux ? » Pas du tout, affirme le prévenu. « Ma femme me racontait qu’elle était sexuellement harcelée par lui. »
Tout se passait dans la chambre 8
Marc Joando plonge dans ses dossiers, feuillette ses notes, exhume d’un geste vif une série de témoignages. Tous allant dans le même sens: le couple illégitime semblait vivre un parfait amour consenti.
Tout se passait dans la chambre « 8 », au vu et au su des employés de l’hôtel. « La Russe ressortait de la “ 8 ” ébouriffée, un peu rouge, souriante, ravie. Ils ne se cachaient pas.»
L’épouse infidèle témoignera d’ailleurs aux enquêteurs que cet amour était consenti, sans entrave et que de harcèlement il n’y avait point.

http://www.nicematin.com/cannes/condamne-le-prof-de-maths-cannois-s%E2%80%99enfuit-du-tribunal-de-grasse.1309091.html

Une mini-tornade a frappé la Côte d'Or

Une tornade s'est produite en Côte d'Or, hier en fin d'après-midi, selon le Bien Public. D'après le quotidien régional, le phénomène a  touché à 18 heures le secteur de Châtillon-sur-Seine, et plus précisément les villes d'Etrochey, de Montliot-et-Courcelles et de Cérilly.

Une cinquantaine de maisons ont été endommagées. Une habitation "aurait été entièrement soufflée", précise le journal sur son site internet.

Une personne a été légèrement blessée, et une dizaine d'autres a dû être relogée.

Environ 15.000 foyers ont été privés d'électricité en Côte-d'Or et dans l'Aube.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/20/97001-20130620FILWWW00370-une-tornade-a-frappe-la-cote-d-or.php

mercredi 19 juin 2013

COLUCHE - Un jour, un destin

Le bras d'un cycliste arraché par un bus

Hier après-midi, un cycliste de 25 ans a été renversé par un bus de la RATP dans le IIe arrondissement de Paris, à l'angle de la rue du Louvre et de la rue d'Aboukir, selon Le Parisien. Son bras a été arraché. Le jeune homme a été conduit à l'hôpital, et son pronostic vital était alors réservé. Une enquête a été ouverte, et la RATP a ouvert une enquête administrative.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/19/97001-20130619FILWWW00547-le-bras-d-un-cycliste-arrache-par-un-bus.php

Deux jeunes grièvement blessés dans un accident

Deux jeunes originaires de la région de Château-Thierry ont été grièvement blessés lors d'un
accident
de la route survenu dans la soirée de lundi. Selon le premier bilan, leur pronostic vital n'était pas engagé. Cette sortie de route s'est produite avant-hier, vers 20 h 30, sur la départementale 866, reliant les communes de Nesles-la-Montagne et d'Artonges.

Les deux garçons, âgés de 23 ans, et domiciliés à Étampes-sur-Marne et Chierry, circulaient à bord d'une Volkswagen Polo noire. Le véhicule roulait en direction de Nesles-la-Montagne. Dans une descente, à la sortie d'un virage, le véhicule aurait percuté à plusieurs reprises le talus avant d'effectuer plusieurs tonneaux et de finir sa course sur le flanc de l'autre côté de la chaussée, contre une clôture.
Les sapeurs-pompiers et le Smur de Château-Thierry ont secouru les victimes, qui ont été ensuite hospitalisées.
Les gendarmes de la brigade de Château-Thierry sont également intervenus afin d'établir les circonstances de l'accident. À première vue, l'alcool pourrait avoir joué un rôle. Une bouteille de whisky, à moitié vide, ainsi que du soda ont été retrouvé dans l'habitacle. Les résultats des analyses de sang du conducteur confirmeront ou non cette hypothèse.

http://www.lunion.presse.fr/article/region/deux-jeunes-grievement-blesses-dans-un-accident

Un couple d’ambulanciers mis en examen

Des irrégularités ont été constatées dans la gestion de la société d’ambulances de Marckolsheim et le parquet de Colmar a ouvert hier une information judiciaire pour escroquerie et travail dissimulé.
Le juge Louis-Albert Devillairs a mis en examen hier soir le couple dirigeant la société ainsi qu’une de ses filles. L’homme et la femme âgés de 62 et 59 ans ainsi que leur fille ont été placés sous contrôle judiciaire.
C’est le groupe d’intervention régional (GIR) avec une brigade spécialisée de la police strasbourgeoise qui a mené les investigations et les interpellations. Il est notamment reproché aux mis en cause des transports non conformes aux prescriptions avec des chauffeurs et des véhicules non agréés. La caisse primaire d’assurance-maladie et divers organismes sociaux figurent parmi les victimes.
Laissés en liberté après paiement d’une caution de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour chacun d’eux, les trois mis en examen sont autorisés à poursuivre leur activité dans une société qui compte quinze salariés.

http://www.dna.fr/edition-de-selestat-centre-alsace/2013/06/19/un-couple-d-ambulanciers-mis-en-examen

Un bébé de deux ans agressé par un chien

Le drame s'est produit la semaine dernière dernier mais on ne l'a appris que ce mardi : un bébé de deux ans domicilié à Verdun était, jeudi vers 13 h, gardé par sa nourrice à Thierville (55), lorsque le berger allemand de cette dernière s’est jeté sur le petit garçon, le mordant très sérieusement au visage, notamment à la bouche et au nez.
Rapidement sur place, les sapeurs-pompiers de Verdun ont pris en charge le bébé qui a été transporté en ambulance au centre hospitalier de Nancy. Le pronostic vital de l’enfant n’est pas engagé. Une enquête est ouverte.
Quant à l’animal, il a été mis en quarantaine chez un vétérinaire afin de déterminer s’il n’était pas porteur de la rage. Il devrait être euthanasié par la suite.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/06/18/un-bebe-de-deux-ans-agresse-par-un-chien

Moissac. Pris à partie par la famille d'un délinquant, les gendarmes se font caillasser

C’est une affaire peu banale qui a eu lieu, lundi après-midi, près du centre de secours des pompiers de Moissac.

Mis en cause dans des cambriolages

Enfin d’après-midi, rue des Religieuses, en effet, une patrouille de gendarmes de la communauté de brigade (COB) de Moissac qui se rendait au domicile d’un mineur mis en cause dans plusieurs cambriolages et des grivèleries de carburant sur la commune, a été violemment pris à partie par la famille de l’intéressé et d’autres individus du quartier. L’échange durant lequel les noms d’oiseaux ont été nombreux, s’est conclu par le caillassage en règle du véhicule des militaires. C’est ainsi les vitres brisées de leur «Peugeot Teppee» que les gendarmes sont rentrés à la brigade. Non sans ramener, le jeune délinquant âgé de seize ans qui avait été placé en garde à vue durant la matinée. Ce dernier ayant réclamé durant ses auditions des médicaments laissés à son domicile, c’est durant c’est aller - retour que la tension serait montée avec des membres de sa famille en l’occurrence son frère A. A., 18 ans.

Un multirécidiviste de 18 ans déjà condamné à deux mois de prison ferme

Un individu très défavorablement connu des gendarmes moissagais et de la justice. Il y a trois semaines à peine, ce Moissagais a été, de facto, condamné à quatre mois de détention dont deux fermes devant le tribunal correctionnel de Montauban (notre édition du 25 mai).
Ayant refusé d’obtempérer à un contrôle de la police municipale alors qu’il roulait au volant d’un véhicule sans avoir de permis, il avait pris tous les risques pour leur échapper. Une véritable course-poursuite s’était engagée dans les rues près du lycée François-Mitterrand jusqu’aux abords de l’Uvarium. Stoppé grâce à l’intervention des gendarmes, le jeune chauffard n’avait pas manqué d’invectiver les forces de l’ordre durant son transfert à la brigade. Hier, l’individu devait être à nouveau placé en garde à vue en vue d’une probable révocation de son sursis…
De son côté, son jeune frère qui a passé la nuit dernière à la brigade, a vu, hier matin, sa garde à vue prolongée de vingt-quatre supplémentaires. Une affaire qui ne manquera, sans doute, pas d’être évoquée par les différentes personnalités constituant le conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) de Moissac qui tient son assemblée plénière, ce matin, à la mairie.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/19/1653241-moissac-pris-partie-famille-delinquant-gendarmes-font-caillasser.html

Béziers : Il a braqué la caisse de la station

Accusé d'une série de vol il a été interpellé après avoir braqué la caissière d'une station service à Béziers.
On peut appeler ça un coup de théâtre. Ou du moins un rebondissement. À la fin du procès, l’avocate qui indique aux juges que sa cliente est sagement et tranquillement assise au fond de la salle, à écouter son compagnon se défendre tout seul, n’est pas courant. La prévenue de recel est simplement arrivée en retard à l’audience, elle n’a pas voulu déranger. Lui est accusé de toute une série de vols, dont un à main armée, requalifié avec violences, contre la caisse de la station-service d’une grande surface du Biterrois.
Il pointe une arme vers la caissière


Ce soir-là, le 27 décembre 2011 vers 19 h 30, l’homme, au volant de sa voiture, pointe une arme qui se révélera factice, à la caissière. Il est encagoulé, elle s’exécute. L’employé lui donne 300 € ainsi que son propre sac à main. Rapidement, il le lui rend. La victime se rend compte que son porte-monnaie a disparu, en revanche, elle retrouve… une cagoule.
Des cheveux permettent de remonter à un suspect, déjà très connu de la justice, pour des vols et affaires de stupéfiants. Cet individu vit avec une femme dont la voiture est la même que celle qui a servi au braquage.Une perquisition met au jour une arme de poing factice - un jouet du fils du couple - que la victime reconnaît. Un jeu vidéo et des dizaines de capsules à café sont également retrouvés… Mais pas la console correspondante ni la machine spécifique. En fait, ces affaires devaient être livrées à des particuliers, elles ont été prises lors du vol d’un dépôt de la Poste juste avant Noël.
Le produit de plusieurs vols retrouvé lors de la perquisition
Une carte d’assurance et une trousse à pharmacie sont également retrouvées dans la perquisition. La trousse possède une étiquette du conseil général et une plaque d’immatriculation correspondant à un véhicule victime d’un vol à la roulotte quelques jours auparavant.
Début janvier, le jeune homme, aujourd’hui âgé de 27 ans, a été interpellé dans le cadre d’une autre affaire, à Rodez. Il est depuis en prison et était libérable en juillet 2014. À l’audience, il a tenté d’expliquer que, le jour du vol à la station-service, il déménageait un proche à Mende, que les affaires commandées et jamais reçus par les clients avaient en fait été dérobées par des facteurs. Le jeu vidéo et les dosettes à café, il dit les avoir achetés au marché aux puces…
Après s’être manifestée, la jeune femme âgée de 29 ans n’a rien dit pour sa défense, elle est restée muette. Les juges l’ont condamnée pour recel à six mois de prison avec sursis. Pour lui, ce sera trois ans, dont deux fermes.

http://www.midilibre.fr/2013/06/18/il-a-braque-la-caisse-de-la-station,718885.php

mardi 18 juin 2013

Enlèvement spectaculaire d'une ado : le témoin "digne de foi" serait un mythomane

L'affaire avait un fort relent de polar mal digéré. Un homme qui affirmait avoir assisté à l'enlèvement, rocambolesque, d'une adolescente à Grasse, dans les Alpes Maritimes, s'est avéré être un fabulateur, relate le quotidien Nice Matin. Les policiers s'étonnaient de descriptions trop précises. Mais aussi et surtout, les caméras de sécurité de la place de la Buanderie, sur laquelle s'étaient prétendument déroulés les faits, n'ont rien révélé de suspect. Et toujours aucune disparition. 
L'homme, un Marseillais de 22 ans, aurait monté le récit de toute pièces. Et il n'en serait pas à son coup d'essai, selon les policiers. Il serait coutumier des plaintes déposées "pour tout un tas de raisons : violence, agressions, etc.", rapporte NiceMatin.fr.

Il avait pourtant été jugé dans un premier temps digne de foi. "il semblait choqué et avait de la suite dans les idées". Il aura quand même réussi à mobiliser les policiers durant deux jours. Lesquels policiers poursuivent malgré tout leur travail de vérification avant de boucler le dossier.
L'homme pourrait lui-même être poursuivi pour ses déclarations

http://www.sudouest.fr/2013/06/18/enlevement-spectaculaire-d-une-ado-le-temoin-digne-de-foi-serait-un-mythomane-1088958-7.php

Carlus. Un éleveur gravement blessé après une chute du toit

Un exploitant agricole de Carlus se trouvait hier soir dans un état très grave, au centre hospitalier régional de Toulouse-Rangueil où il avait été admis en début d’après-midi suite à un
accident
domestique. Il était 12h45 environ, à Carlus. En cette journée très ventée, Jean-Michel Dourel était occupé sur un bâtiment de son exploitation située au lieu-dit «Bayonne». L’éleveur, juché sur le toit, changeait des plaques en fibrociment lorsqu’il a basculé dans le vide, dans des circonstances que l’enquête de gendarmerie devra préciser. Une rafale de vent l’a peut-être déséquilibré. L’éleveur aurait chuté d’une hauteur de 5 à 6 mètres. Alerté à 12h47, le Codis du Tarn a dépêché sur les lieux une ambulance des pompiers d’Albi et une équipe médicale du Smur. Un premier diagnostic effectué par un médecin urgentiste mettait en évidence un grave traumatisme à la tête. Il fallait, très rapidement, évacuer le blessé sur le CHU de Rangueil. Un hélicoptère du Samu s’est posé à Carlus pour le prendre en charge.

Tandis que les gendarmes de Réalmont effectuaient les constatations d’usage, le maire de Carlus suivait minute par minute les opérations de secours. Thierry Ginestet était d’autant plus affecté par cet accident que Jean-Michel Dourel est l’un de ses adjoints au conseil municipal. «Il était encore chez nous dimanche soir pour des travaux de foin. C’est vraiment très dur ce qu’il lui arrive», confiait hier soir l’épouse du maire. Face à ce coup du sort, la solidarité paysanne s’organisait déjà hier soir au village. En l’absence forcée de l’éleveur, le maire et des amis de Jean-Michel Dourel (qui vit seul avec sa mère, depuis le décès de son père) devaient s’occuper de nourrir et d’abreuver ses vaches. Jean-Michel Dourel est en effet à la tête d’un très bel élevage de limousines que la préfète du Tarn Josiane Chevalier avait visité il y a quelques semaines, lors de sa tournée dans le canton d’Albi Sud. Tous ses proches et amis espèrent qu’il pourra surmonter cette très difficile épreuve.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/18/1652547-carlus-un-eleveur-gravement-blesse-apres-une-chute-du-toit.html