jeudi 31 juillet 2014

Boucau : une octogénaire rouée de coups dans sa maison de retraite

Une octogénaire a été rouée de coups par deux mineurs dimanche 27 juillet, qui lui ont dérobé une somme de 20 euros, dimanche, dans une maison de retraite à Boucau, près de Bayonne, a-t-on appris ce jeudi. Les deux mineurs, dont l'âge n'a pas été précisé, s'y sont introduits, ont frappé à la porte de plusieurs chambres, et sont entrés dans celle de la victime lorsqu'elle a ouvert.

L'octogénaire, qui souffre de contusions multiples, a été hospitalisée à Saint-Jean-de-Luz. Les deux jeunes mineurs ont été identifiés et arrêtés par la police. Ce sont deux jeunes mineurs bien connus des services de police,
SDF selon Sud-Ouest. Le premier a été interpellé lundi 28 juillet et a été mis en examen pour vols suivi de violences aggravées et placé dans un centre de rétention fermé. Le second mineur interpellé jeudi devait être déféré dans la journée devant un magistrat à Pau et devrait être mis en examen pour les mêmes chefs et également placé en détention.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/07/31/boucau-une-octogenaire-rouee-de-coups-dans-sa-maison-de-retraite-525898.html

Argenton (47) : un corps retrouvé dans le lac

Ce jeudi matin, le corps sans vie d'un homme de 74 ans a été retrouvé dans le lac du domaine du Grand Bertrand, à Argenton mais, à 10 heures, les sapeurs-pompiers qui se sont rendus sur les lieux ne l'avaient pas encore sorti de l'eau.
 
Selon les premières constatations effectuées sur place par les secours, l'hypothèse privilégiée est celle de l'accident.
L'homme, habitant de Fourques-sur-Garonne, serait tombé dans le lac alors qu'il était en train de pêcher. Son véhicule a été retrouvé non loin ce jeudi matin. L'accident pourrait donc avoir eu lieu mercredi soir.

http://www.sudouest.fr/2014/07/31/argenton-47-un-corps-retrouve-dans-le-lac-1630116-3755.php

Paris : remis en liberté, "l'étrangleur de Belleville" à nouveau arrêté

Il avait été mis en examen il y a deux semaines mais remis en liberté malgré deux agressions sur des femmes en pleine rue à Paris. Un homme de 37 ans est cette fois soupçonné d'un viol dans le même quartier de la capitale. Il est surnommé "l'étrangleur de Belleville".

Son surnom, il le doit à deux agressions commises en mai dernier dans Paris. Dans la nuit du 17 au 18 mai, cet homme - décrit comme un SDF - avait tenté d'étrangler deux femmes. Les faits se sont produits rue des Soupirs et rue de la Marie dans le XXe arrondissement. A
près plusieurs semaines d'enquête, cet homme de 37 ans d'origine guinéenne avait été placé en garde à vue le 10 juillet et mis en examen pour "vol avec violences". Il avait d'ailleurs reconnu les faits, particulièrement violents. Mais le chef d'accusation de "tentative d'homicide" n'avait alors pas été retenu. L'homme avait été laissé libre, sous contrôle judiciaire au motif qu'il présentait "toutes les garanties de représentation", révèle Le Figaro. Le parquet avait fait appel de cette remise en liberté. Elle n'avait pas encore été examinée.

Les enquêteurs craignent désormais que le même homme soit à nouveau passé à l'acte. Il a en effet été interpellé à nouveau mardi dernier. Cette fois, pour un viol présumé.  L'agression a eu lieu rue des Pyrénées dans le XXe arrondissement de Paris le 27 juillet, en pleine nuit. Une femme de 25 ans en a été la cible. Selon le Figaro, quatre agressions pourraient, au total, être attribuées à cette même personne.
 

mercredi 30 juillet 2014

Une voiture avec un enfant mise en fourrière

Selon le journal Le Parisien, la fourrière a enlevé samedi à Paris une voiture ainsi que l'enfant qui dormait à l'intérieur.

Selon le récit des parents, l'enfant de 12 ans somnolait à l'arrière de la voiture pendant que les parents faisaient une halte de dix minutes rue Lecourbe. En retournant au véhicule, celui-ci avait disparu. Paniqués, les parents retrouveront la voiture et l'enfant toujours endormi à la pré-fourrière de Balard.

Le père, Jean-François Debizé, directeur financier est scandalisé. "Les vitres sont un peu fumées, mais quelqu'un qui aurait regardé à l'intérieur l'aurait forcément vu", assure-t-il au Parisien. Il aurait décidé de porter plainte au commissariat pour "enlèvement et mise en danger", mais on lui aurait expliqué qu'il n'y avait "pas de raison valable", rapporte le journal. La préfecture de police a tout de même "ouvert une enquête administrative" et reconnait "qu"il y a eu 'un problème'". De son côté, le papa a dû payer 136 euros d'amende, " alors que la fourrière bénéficie d'une totale impunité" s'est-il encore plaint.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/30/97001-20140730FILWWW00151-une-voiture-avec-un-enfant-mise-en-fourriere.php

Saint-Denis : l'ex-siège de «L'Huma» en feu

Un s’est déclaré ce mardi en début de en plein centre-ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Une cinquantaine de pompiers ainsi qu’une quinzaine d’engins ont été mobilisés dès 18h30 rue Jean-Jaurès pour éteindre le feu qui s’était déclaré dans l’ancien bâtiment du journal «L’Humanité».
Cet immeuble a été conçu par l’architecte Oscar Niemeyer.

Les causes de ce feu de façade, qui a été maîtrisé vers 20 heures, demeurent inconnues. Aucune victime n'est à déplorer.
Le journal «L’Humanité» avait quitté les lieux en 2008. Le site, vide depuis le départ des journalistes, avait été racheté par l’Etat en 2009 pour y installer une sous-préfecture aux compétences élargies. Un projet plusieurs fois repoussé.

http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/incendie-au-centre-ville-de-saint-denis-29-07-2014-4035455.php

mardi 29 juillet 2014

Moncrabeau (47) : un ancien élu victime d’un accident de tracteur

Gill Laffitte, 84 ans, est décédé lundi en fin d'après-midi, sur sa propriété du lieu dit Aux Hérètes, sur la commune de Moncrabeau, après avoir été happé par son tracteur dont il venait de descendre.
 
Pris en charge par les pompiers, il était conscient à leur arrivée. Mais rapidement, son état de santé s'est dégradé et la victime a finalement succombé à un arrêt cardiaque.
Moncrabelais de souche, Gill Laffitte vivait sur sa propriété agricole exploitée par un membre de sa famille. Il avait occupé un poste au sein du Conseil municipal de Moncrabeau il y a une trentaine d'années environ.

http://www.sudouest.fr/2014/07/29/un-ancien-elu-victime-d-un-accident-de-tracteur-1627565-3769.php

Menton sauvent un homme de la noyade

Ce mardi matin vers 10h20, un touriste de 77 ans originaire d'Aubervilliers, a été secouru par deux nageurs-sauveteurs de Menton, alors qu'il se trouvait en grande difficulté dans la zone des 30 mètres près de la plage Rondelli.
Conscient, le septuagénaire, en villégiature avec son épouse, a été pris en charge par les sapeurs-pompiers du centre de secours de Menton et par une équipe du SMUR, avant d'être transporté au service réanimation du Centre Hospitalier Princesse Grace de Monaco.

http://www.nicematin.com/menton/les-nageurs-sauveteurs-de-menton-sauvent-un-homme-de-la-noyade.1842739.html

Une jeune fille grièvement blessée au parc d'accrobranches Chloro'fil

«Émilie aurait pu se tuer.» Dans son mobile-home du camping de la Tour à Agos-Vidalos, Gérard Normand est encore sous le coup de l'émotion après l'accident dont a été victime sa petite-fille, mercredi en fin d'après-midi, au parc d'accrobranches Chloro'fil à Argelès-Gazost.
Pour une raison encore inexpliquée, le système de ligne de vie a cédé et la jeune fille de 15 ans a chuté d'une dizaine de mètres. Émilie Daulé a été grièvement blessée, bien plus que la blessure à l'arcade sourcilière que nous avions seulement relatée dans notre édition du vendredi 25 juillet. La jeune fille a été victime d'un traumatisme crânien avec perte de connaissance, d'une fracture au-dessus de l'œil droit, d'une contusion pulmonaire, de fractures du coude et du poignet, de multiples contusions et plaies, selon un certificat établi par un médecin pédiatre des urgences du centre hospitalier de Tarbes que nous a fourni sa famille originaire de Picardie et en vacances dans la région. Sans compter les conséquences psychologiques. Les parents de la jeune fille ont déposé plainte contre le parc à la gendarmerie.
«C'est presque un miracle qu'elle soit encore en vie, souligne son père Philippe Daulé. Nous n'avons rien contre personne, mais nous voulons juste savoir ce qui s'est passé et rechercher qui est en cause, pas forcément le parc mais aussi le fournisseur du matériel, l'organisme de vérification… etc.»
Par ailleurs, le grand-père de la jeune fille estime que les premiers secours prodigués par les moniteurs du parc n'ont pas été assez rapides, voire carrément absents. En revanche, il tient à remercier les pompiers et les gendarmes, ces derniers ayant évacué la victime par hélicoptère au centre hospitalier de Tarbes et le service des urgences. De son côté, le responsable du parc Chloro'fil, Xavier Boniface, contacté par nos soins, se défend : «Les premiers éléments de l'enquête montrent que les règles de sécurité ont été respectées et s'orientent vers une défaillance du système de ligne de vie. Celui-ci est pourtant vérifié tous les ans. Nous avons fermé le parc durant deux jours et pour obtenir l'autorisation de réouverture, notamment du procureur de la République, nous avons mis en place un double système de sécurité.
Quant aux premiers secours sur la jeune fille, ils ont été donnés très rapidement par une monitrice dans un premier temps, appuyés très vite par deux autres collègues. Je précise que tous les employés du parc sont titulaires d'un brevet de secourisme et d'un diplôme de surveillance pour encadrer l'activité d'accrobranches. On peut dire que Chloro'fil est hors de cause. Enfin, j'ai appelé plusieurs fois le père de la jeune fille pour prendre de ses nouvelles».

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/29/1925811-grievement-blessee-a-chloro-fil.html

lundi 28 juillet 2014

Leers : bousculade mortelle dans une friterie, un mis en examen

Vendredi vers 21h30, un homme alcoolisé a pénétré dans une friterie de Leers. Apparemment il voulait qu'on lui serve de l'alcool, ce qui lui aurait été refusé vu son état d'ébriété. D'après La Voix du Nord, l'homme d'une quarantaine d'année s'est énervé jetant des frites au visage d'une femme qui mangeait là avec son mari et ses enfants. Agacé, ce dernier aurait alors repoussé l'homme soûl dehors. C'est alors qu'il aurait gravement chuté sur les pavés.

Le blessé a été conduit au CHRU, où il est mort dans la nuit de samedi à dimanche. Comme les versions divergent sur ce qui s'est passé, une information judiciaire a été ouverte. Le père de famille a été mis en examen pour "coups mortels", ce dimanche. Il risque jusqu'à 15 ans de réclusion. Pour l'heure, il a pu ressortir libre sous contrôle judiciaire.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/07/28/leers-bousculade-mortelle-dans-une-friterie-un-mis-en-examen-524225.html

2 militaires blessés dans un accident en Corse

Selon le journal Corse matin, deux militaires, mis à disposition du ministère de l'Intérieur en été pour participer notamment à la lutte contre les incendies, ont été blessés hier dans un accident de la route au col de Marsulinu en Balagne (région de Haute-Corse).

Les deux hommes ont effectué une sortie de route vers 12 h 40. Le blessé le plus important, un sous-officier de 31 ans, se trouvait dans un état sérieux mais stable. Hélitreuillé vers l'hôpital de Bastia, il a été ensuite transporté en soirée à l'hôpital d'instruction des armées de Sainte-Anne à Toulon pour être opéré. Le militaire souffrait de traumatismes thoracique et lombaire, en plus d'une fracture à la jambe. Le second blessé, un soldat de première classe âgé de 23 ans, a été éjecté du véhicule. Souffrant d'une entorse cervicale, il avait été évacué vers le centre hospitalier de Calvi-Balagne, avant de ressortir en milieu d'après-midi.

L'accident a mobilisé d'importants moyens, tels que les pompiers de Galéria, Calvi, l'ambulance de la Sécurité civile, le Samu, les sapeurs-pompiers du Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (Grimp).Le sous-préfet de Corte s'était également déplacé


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/28/97001-20140728FILWWW00116-2-militaires-blesses-dans-un-accident-en-corse.php

Au moins deux automobilistes blessés dans un choc frontal

La départementale 1 084 qui relie Ambérieu à Meximieux a été le cadre, dimanche, d’un sérieux accident de la circulation entre deux voitures qui sont entrées en collision frontale. Juste après 22 heures, au lieu-dit Les Brosses, un des deux véhicules (une Renault Clio qui circulait en direction de Meximieux et une Opel Corsa qui se rendait à Ambérieu) a quitté sa voie de circulation pour venir percuter celui qui arrivait en sens inverse. Dans chaque véhicule avait pris place un couple, l’un domicilié à Saint-Rambert, l’autre à Miribel. Dans le choc, au moins deux personnes ont été blessées, dont une femme enceinte. L’une des victimes a été transportée à l’hôpital Édouard-Herriot, l’autre à la clinique d’Ambérieu, par les sapeurs-pompiers et le Smur d’Ambérieu. De leur côté, les gendarmes ont mis en place une déviation de la circulation pour permettre l’évacuation des blessés et des véhicules.
St-Jean-sur-Reyssouze. Deux voitures détruites dans un incendie. Dans la nuit de dimanche, vers 1 h 30 du matin, une voiture garée devant une maison d’habitation s’est enflammée. Le feu s’est ensuite propagé à un deuxième véhicule, puis aux garages de deux maisons d’habitation. Les pompiers ont évacué cinq adultes et un enfant, tous indemnes, pendant les opérations, pour éteindre les flammes.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/07/28/leyment

« Une autre fois, on t’écrase »

Visiblement, le dialogue et l’invitation à la raison ne suffisent pas. Les attitudes irresponsables, les incivilités liées à des actes de vandalisme se multiplient sur la véloroute. En cette période estivale, alors que les promeneurs, joggers, rollers, cyclistes et cyclotouristes européens sont nombreux et apprécient la voie en site propre, rien ne va plus entre Avanne et la double écluse de Rancenay. « Des cadenas sont cassés et des barrières arrachées et sans doute jetées à l’eau. Des gens qui habitent le secteur roulent en voiture et utilisent, matin et soir, la véloroute pour aller au travail. Ce ne sont pas des jeunes qui roulent comme ils le font parfois en moto ou scooter. Là, ce sont des gens qui, pour gagner du temps, prennent la véloroute pour aller au boulot », rapportent Loïc Chevassu et Amala Konte.
Les deux jeunes vélogardes sillonnant le parcours se rappellent un excité du volant qui leur a lancé : « Une autre fois, on t’écrase ». Ils lui avaient expliqué qu’en cas d’accident, il ne serait pas couvert et que les gendarmes pouvaient lui infliger une amende de 135 € et la suppression de quatre points sur son permis de conduire. Résultat, des bornes anti-voitures seront implantées prochainement. Mais le passage ne peut être complètement fermé car les véhicules de service du Conseil général, de Voies navigables de France (VNF) et des pompiers doivent conserver un accès.

Difficile cohabitation

À parcourir la véloroute dans le sens Besançon – Saint-Vit ou Besançon – Baume-les-Dames, les deux jeunes vélogardes comme tous leurs collègues, sont aux premières loges pour voir que la voie est victime de son succès. Sauf que pour le partage et la cohabitation en découlant, c’est une autre histoire.
À cet égard, nombre de promeneurs en famille à pied ou en vélo ont déjà eu à subir les cris de cyclistes roulant en groupe, se prenant pour des pros et roulant à vive allure et hurlant aux promeneurs de s’écarter. Autres faits relevés par les vélogardes : la présence de crottin indiquant le passage interdit de chevaux et aussi détritus, poubelles, cartons de fast-food et pizza, cannettes vides jetés sur place.
« Les usagers sont tous différents et plus on approche de la ville, plus ils sont concentrés. Les vélogardes recrutés en lien avec Profession Sport, car ils sont aussi en formation et sont appelés à devenir animateur ou éducateur sportif, font de la dissuasion mais n’ont aucun pouvoir répressif », souligne Hervé Jactin, chef de service Jeunesse et Sports au département.
Les vélogardes ont leur petite idée sur les pêcheurs : ils les voient peu adeptes de la marche à pied et enclins à garer leur voiture sur la véloroute à cinq mètres de l’endroit où ils jettent leur ligne. Ah, Loïc Chevassu et Amala Konte tiennent pourtant à préciser : « Si des gens posent problème, il y a plein de gens sympas et c’est la majorité ».

Claude Jeannerot souhaite que les gendarmes répriment

Président du Conseil général du Doubs, Claude Jeannerot a fait part au préfet de l’accroissement des comportements irresponsables : « On a une montée des incivilités, des comportements irrespectueux, égoïstes, irresponsables. Les vélogardes ont un rôle pédagogique et éducatif. Mais je demande au préfet que les gendarmes, même si j’ai conscience qu’ils ont beaucoup à faire sur le terrain, interviennent et répriment. Je suis agacé par ces comportements de quelques-uns qui gâchent le plaisir du plus grand nombre ».
De Nantes à Budapest, la véloroute ou plus exactement l’Eurovélo 6, court dans le Doubs de Saint-Vit à Allenjoie, soit 135 km dont 100 km en site propre. Selon le Conseil général, « près de 380.000 passages ont été enregistrés depuis 2012 ».
Pour rappel........ LA SUITE SUR CE LIEN.............
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2014/07/28/une-autre-fois-on-t-ecrase

dimanche 27 juillet 2014

Berck-sur-mer : un homme retouvé mort le long de la D303

Ce dimanche vers midi, les pompiers ont été appelés pour un malaise dans une voiture située dans un fossé à Berck, sur la D303 à proximité du supermarché Carrefour. Lorsque les secours sont arrivés sur les lieux, ils n'ont plus que constaté le décès. Il s'agirait d'un homme d'environ 45 ans. Le médecin légiste procède actuellement à l'examen du corps.

Pour l'heure, on ignore ce qui a pu se passer.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/07/27/berck-sur-mer-un-homme-retouve-mort-le-long-de-la-d303-523749.html

A50-accident : une personne âgée percutée à un passage piéton

Sur l'A50, la sortie Saint-Cyr (Var) a été fermée au trafic pendant plus d'une demi-heure ce matin. La raison : une femme de 86 ans a été percutée par un véhicule. Elle souffre de plusieurs fractures et a été transportée à l'hôpital de Sainte-Anne par hélicoptère. 


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2978675/a50-accident-une-personne-agee-percutee-a-un-passage-pieton.html

vendredi 25 juillet 2014

La Rochelle : le comédien Thierry Redler, des "Filles d'à côté", entre la vie et la mort

Le comédien, connu pour son rôle de Marc dans la série a été retrouvé inanimé à bord du bateau sur lequel il vit à La Rochelle. Il est dans un état jugé très crtitique
Thierry Redler a été retrouvé par un de ses enfants aux alentours de midi, jeudi, à bord du bateau sur lequel il vivait depuis plusieurs mois dans le Vieux Port. Les secours sont intervenus sur les lieux pour tenter de le réanimer avant de le transporter à l'hôpital de La Rochelle. Son état est jugé très critique.
Principalement connu pour son rôle de Marc dans la série "Les Filles d'à côté" diffusée dans les années 90 sur TF1, Thierry Redler est également réalisateur.
Son téléfilm "Les Inséparables" avait été tourné à La Rochelle et à la Palmyre au cours de l'été 1999. 

http://www.sudouest.fr/2014/07/24/la-rochelle-thierry-redler-entre-la-vie-et-la-mort-1624218-1391.php

Meurtre à Meyzieu : la cible était une figure du grand banditisme régional

L’homme qui a été abattu de quatre balles dans la tête jeudi soir à Meyzieu était une figure du grand banditisme régional.
Nordine Aguguena, âgé de 51 ans, a été jugé dans une importante affaire de stupéfiants à Lyon en 2010. Connu du milieu grenoblois, son nom est associé à l’assassinat d’un détenu à la prison de prison de Varces en Isère. Il avait été blessé au poignet gauche par le sniper qui posté depuis une colline avait tué un détenu dans la cour de promenade en septembre 2008. Le sniper présumé s’était suicidé en prison. Le procès de ses complices avait eu lieu à Lyon en février dernier.
Jeudi soir, de nombreux coups de feu ont été tirés à plusieurs reprises sur une Mégane conduite par cette figure du grand banditisme régional.
Les occupants de la voiture suiveuse étaient plusieurs, la voiture a été retrouvée brûlée après les faits.


http://www.leprogres.fr/rhone/2014/07/25/meurtre-a-meyzieu-la-cible-etait-une-figure-du-grand-banditisme-regional

Un agent SNCF suspendu après l'incendie du poste de Vitry

La SNCF a annoncé jeudi soir que l'agent en service mercredi au poste d'aiguillage de Vitry-sur-Seine , dans le Val-de-Marne, touché par un incendie qui a paralysé le trafic en gare d'Austerlitz, "présentait un taux d'alcoolémie élevé" et avait été suspendu le temps de l'enquête. L'entreprise publique a cependant récusé tout lien avec l'origine du sinistre, dont "les premières constatations laissent apparaître (...) une origine soit électrique, soit accidentelle".
"Les premiers éléments de l'enquête font également apparaître que l'Agent Circulation de nuit dans le poste d'aiguillage présentait un taux d'alcoolémie élevé", a indiqué la SNCF dans un communiqué. "Cet agent a été entendu et immédiatement suspendu, en attendant les résultats définitifs de l'enquête", a-t-elle précisé.
"Il est difficile d'en savoir plus à ce stade. C'est ce que nous dit la police. On nous dit qu'il était en état d'ébriété. On doit d'abord voir si les faits sont avérés", a précisé un porte-parole de la SNCF. "Il n'y a aucun lien entre l'état d'ébriété et les constatations qu'on a pu faire, qui montrent que l'incendie est d'origine soit électrique soit accidentelle", a-t-il ajouté, évoquant notamment la piste "sans doute" d'un "court-circuit".
 

jeudi 24 juillet 2014

Trois enfants emportés par une baïne : les secouristes des P.-O. appellent à la prudence

En quelques minutes, trois enfants ont été emportés à une centaine de mètres au large depuis l’embouchure de l’Agly.
Mardi après-midi, coup sur coup, trois enfants qui jouaient dans l’embouchure de l’Agly ont été emportés au large par un phénomène de déversement, sur lequel les secouristes tentent d’alerter les vacanciers. Les faits se sont produits entre Torreilles et Le Barcarès, où un bouchon naturel de sable et de graviers a créé une retenue d’eau claire. « Or, à plusieurs reprises en quelques jours, expliquent les secouristes de la Société nationale de sauvetage en mer du poste de secours n° 8 du Barcarès, des vacanciers se sont amusés à creuser un petit chenal à travers le bouchon. Or lorsque l’eau s’infiltre, cela provoque un courant d’arrachement, un très fort courant qui reflue jusqu’au large. Mardi, à une demi-heure d’intervalle, ce sont tout d’abord deux enfants de 8 et 9 ans qui ont été emportés par une grosse baïne, puis un jeune adolescent de 14 ans ».
Sur les deux premiers enfants à avoir été emportés, un jeune de garçon a été récupéré à 150 mètres au large, tandis que la petite fille, qui était munie de brassards, est restée plus près du bord. Lorsqu’à son tour l’adolescent a été emporté, il s’est retrouvé à une centaine de mètres au large… « Par chance, nous exercions une vigilance renforcée à ce moment-là, et les deux garçons, transportés à l’hôpital pour des vérifications, ne sont pas blessés. Mais nous appelons chacun à la plus grande prudence et notamment à ne pas tenter de percer les bouchons qui retiennent l’importante retenue d’eau de l’Agly ». 

http://www.lindependant.fr/2014/07/23/trois-enfants-emportes-par-une-baine-les-secouristes-des-p-o-appellent-a-la-prudence,1910788.php

Il roue de coups sa fille de 16 ans parce qu'elle a menti

Un SMS inquiétant et le visage d'une ado défigurée. Il n'en a pas fallu davantage, ce week-end, à une jeune fille et à son père, pour se rendre à la gendarmerie de Portet-sur-Garonne. Ils venaient d'avoir des nouvelles inquiétantes d'une adolescente de 16 ans, rouée de coups par son père. «Il va me tuer», écrivait-elle.
Aussitôt, les gendarmes se sont saisis de l'affaire et ont procédé à l'interpellation du père de famille, un homme de 40 ans. À l'origine de cet épisode de violence, un mensonge de la jeune fille, toute nouvelle bachelière. «Elle avait prévu une semaine à Leucate avec deux copines, a-t-il expliqué, hier, à la barre des comparutions immédiates. Par SMS, je lui ai dit de faire très attention mais j'ai appris que, depuis le mardi, elle était partie chez un copain. Quand je l'ai su, j'ai préféré aller la récupérer à Leucate.»
L'adolescente est emmenée en voiture. «J'ai pété un plomb, j'ai vu rouge, concède le père de famille. Je lui ai asséné pas mal de coups au visage.» Et la présidente de décrire : «une dizaine de coups de poing, la tête frappée contre le levier de vitesse ou encore la boîte à gants.»
C'est à une station-service que la victime parvient à envoyer un premier SMS d'alerte à une amie puis, rentrée chez elle, enfermée dans, les toilettes, elle envoie la photo de son visage tuméfié.
À l'audience, le père ne nie pas les faits. «Je n'ai pas compris pourquoi elle nous fait faux bond…» Son avocate, Me Chorier, décrit un «dossier qui relève de l'intime. Nous avons deux personnalités complexes qui s'aiment et n'arrivent pas à communiquer.» Son client a évité la prison ferme. Il écope de 12 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/24/1923731-roue-coups-fille-16-ans-parce-menti.html

mercredi 23 juillet 2014

Druillat : une fillette gravement blessée dans un accident sur l’A40

Une voiture qui circulait sur l’A40 en direction de Genève, mardi vers 20 heures, a percuté la glissière de sécurité à hauteur de Druillat, avant de heurter le pilier d’un pont.
Parmi les cinq passagers, deux enfants ont été blessés dont une fillette de 8 ans, plus gravement atteinte. Elle a été transportée par le SAMU sur un hôpital lyonnais.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/07/23/druillat-une-fillette-gravement-blessee-dans-un-accident-sur-l-a40

Bordeaux : jaloux, il pointe une arme sur son ex-amie

Un revolver Smith et Wesson chargé de deux cartouches pointé sur la tempe. À la barre des témoins de la cinquième chambre du tribunal correctionnel, la jeune femme, victime, raconte avec effroi. "J'ai eu la peur de ma vie." C'était le 15 juin, au petit matin, à la sortie d'une boîte de nuit bordelaise.
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Guy Pagueleguim, 26 ans, a attendu patiemment que son ex-petite amie, qui l'avait quitté deux mois plus tôt, sorte dans la rue pour venir l'intimider. Ils s'étaient rencontrés lors de la Fête de la musique en juin 2012 et avaient vécu ensemble pendant deux ans. Mais il n'a pas accepté la séparation. "Je l'aimais." Pourtant, c'est une arme à la main qu'il surgit entre deux voitures et la met en joue. "Je vais te buter", lâche-t-il.
"C'était juste une menace", explique-t-il à la présidente du tribunal, Cécile Ramonatxo, qui cherche à comprendre les raisons d'une telle violence. Car Guy Pagueleguim, qui précise pratiquer la boxe thaïlandaise, a déjà frappé sa compagne pendant leur vie commune. Des gifles, des coups de poing, de pied, des insultes et des blessures en conséquence pour la jeune femme.
En six mois, la police est intervenue à plusieurs reprises au domicile du couple. "J'avais peur de le quitter", murmure son ex. "Au début, il était gentil mais après il a menacé ma famille. Quand il a cassé la porte chez moi, il a déchiré mes vêtements, mes chaussures, et aspergé l'appartement d'acide et d'eau de javel. Alors, je suis partie chez ma sœur et il m'a suivie là-bas."
Interpellé par la police le 27 juin, Guy Pagueleguim a été placé en garde à vue au commissariat central de Bordeaux et entendu par les enquêteurs de la brigade de répression des atteintes aux personnes (Brap) de la sûreté départementale. Chez lui, les policiers découvriront une machette, un couteau de boucher et des cutters.
"Nous sommes passés très près d'une catastrophe", observe le conseil de la partie civile, Me Ahmad Serhan. "C'est un dossier qui aurait pu se terminer aux assises, constate le vice-procureur Marianne Poinot. "Ce n'était pas un coup de sang, le 15 juin, mais un acte prémédité. Il a patienté plusieurs heures et ce n'est pas de la folie amoureuse. Nous sommes dans un véritable guet-apens."
Me Julien Plouton suggère une peine mixte. Le tribunal ira dans ce sens mais condamnera le prévenu à deux ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans, avec obligation de soins, de travailler, d'indemniser la victime et interdiction d'entrer en contact avec elle. Guy Pagueleguim, en récidive légale et écroué, a été maintenu en détention.

http://www.sudouest.fr/2014/07/23/jaloux-il-pointe-une-arme-sur-son-ex-amie-1622596-2780.php

SNCF : le trafic interrompu à la gare d'Austerlitz

Un important incendie dans un poste d'aiguillage à Vitry-sur-Seine, en banlieue sud de Paris, a contraint la SNCF a interrompre totalement le trafic au départ et à l'arrivée de la gare d'Austerlitz.
Le trafic est totalement interrompu entre Paris-Austerlitz, Choisy-le-Roi et Juvisy et devrait l'être toute la journée, précise la SNCF sur son site Infolignes. Les trains des lignes Paris/Orléans/Tours, Paris/Orléans/Vierzon/Bourges et Paris/Orléans/Limoges/Brive/Toulouse sont supprimés. Les voyageurs à destination de Saint-Pierre-des-Corps et Tours peuvent en revanche emprunter les TGV au départ de Paris-Montparnasse. Les Intercités de nuit 5706 et 5774 arriveront eux exceptionnellement en gare de Paris-Gare-de-Lyon.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/SNCF-le-trafic-interrompu-a-la-gare-d-Austerlitz-677216

Femme enceinte frappée: deux frères condamnés à 18 mois de prison ferme

Deux frères, âgés de 20 et 24 ans, ont été condamnés ce soir à Arras à 18 mois de prison ferme pour "violences" sur un homme et sa compagne enceinte de sept mois, a-t-on appris auprès de l'avocate des condamnés. "Ils ont tous les deux été condamnés à trois ans de prison dont 18 mois de sursis avec mise à l'épreuve", a déclaré Me Magali Contrafatto.

Les frères étaient jugés en comparution immédiate par le tribunal correctionnel d'Arras (...) pour "violences volontaires avec une ITT supérieure à huit jours, en réunion, et violences volontaires avec une ITT inférieure à huit jours sur personne vulnérable, en réunion", avait indiqué le parquet d'Arras. L'un des deux frères a néanmoins été relaxé des faits de violences sur la jeune femme, a précisé Me Contrafatto. Le procureur avait requis la peine plancher, c'est-à-dire quatre ans de prison, a-t-elle ajouté.

Le couple, proche de la trentaine, s'était fait agresser jeudi en fin d'après-midi en allant chercher ses enfants à la sortie d'un centre aéré à Boubers-sur-Canche (Pas-de-Calais). Un groupe de jeunes a d'abord fait des "commentaires un peu déplacés" à l'égard de la jeune femme, selon le parquet. Le compagnon leur a demandé d'arrêter et deux des jeunes du groupe s'en sont alors pris à lui et l'ont roué de coups. Il a eu une ITT (incapacité temporaire de travail) de 15 jours. La femme enceinte a elle aussi reçu des coups mais pas au ventre et a eu une ITT de trois jours.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/22/97001-20140722FILWWW00395-femme-enceinte-frappee-deux-freres-condamnes-a-18-mois-de-prison-ferme.php

mardi 22 juillet 2014

Des cas de "cancers graves" dans un laboratoire de Lyon

Une dizaine de "cancers graves" dont deux du sein, ont été diagnostiqués dans le personnel travaillant au laboratoire MATEIS, une unité mixte de recherche relié à l'Insa et au CNRS. C'est le site piecesetmaindoeuvre.com qui a révélé l'affaire, en se basant sur une note interne au laboratoire.
Fermeture du laboratoire. La note précise que les cancers ont touchés durant ces dix dernières années, une dizaine d'employés "ayant fréquenté les installations du microscope électronique du CLYM (centre lyonnais de microscopie) dans le laboratoire MATEIS". La suspension des activités du laboratoire où 85 permanents travaillaient, a été décidée.
La faute aux installations électroniques ? Le laboratoire reconnait s'être posé des questions sur les liens possibles entre les "cas de cancers et la fréquentation des installations de microscopie électronique". Même si dans les malades, certains n'avaient jamais utilisé ces appareils.
Mais selon une étude commandée par le laboratoire et menée par la société Algade, agréée par l'Autorité de sûreté nucléaire, les microscopes n'émettent pas de rayonnements pouvant entraîner des cancers.
Une enquête environnementale. "Des mesures environnementales et des investigations médicales par des professionnels indépendants sont en cours pour analyser un hypothétique lien entre les maladies et les éventuels risques professionnels" annonce le laboratoire MATEIS.
Selon les résultats définitifs attendus en septembre, "une décision de réouverture sera réexaminée", a ajouté le laboratoire.
 

Nouvelle attaque de requin à l'île de la Réunion

La série noire continue sur l'ile de la Réunion. Après les nombreux incidents de ces dernières années, un requin à fait une nouvelle victime ce mardi à Saint-Leu. 
 
Selon la chaîne Réunion 1ère, il s'agit d'un homme de 51 ans, professeur de mathématiques à la Saline. Le surfeur qui était dans l'eau alors que le temps était maussade et la mer agitée est sorti de l'eau par ses propres moyens.  
Il a été évacué vers l'hôpital. Selon les pompiers, il a été mordu à la jambe et au poignet. Ses jours ne seraient pas en danger. 

http://www.sudouest.fr/2014/07/22/nouvelle-attaque-de-requin-a-la-reunion-1622189-739.php

Isère : disparition de huit spéléologues

Huit spéléologues ont disparu à Sassenage, en Isère, selon une information du Dauphiné.com. Ils se sont engagés lundi matin dans la grotte des Cuves de Sassenage et ne sont pas rentrés de leur sortie. Leur parcours aller-retour devait durer à 12 heures, toujours selon le quotidien qui précise que ce sont des spéléologues très expérimentés
Le a déclenché le plan départemental de secours-spéléo ce mardi matin dès 9 heures. Les secouristes sont toujours sur place et fouillent les entrailles de la terre pour comprendre pourquoi les huit hommes ne sont pas remontés à la surface. Les huit spéléologues dont l'identité n'était pas connue ce mardi ne sont pas originaires de l’Isère

http://www.leparisien.fr/faits-divers/isere-disparition-de-huit-speleologues-22-07-2014-4019465.php

Les policiers se jettent sur la voie ferrée et sauvent in extremis un désespéré

Deux policiers toulousains n'ont pas hésité à franchir un passage à niveau afin de maîtriser un homme qui allait se jeter sous un train, dimanche midi, dans le quartier des Arènes. Ils sont parvenus à la maîtriser et à le plaquer contre une clôture dix secondes seulement avant que le train n'arrive.
Ils n'ont pas hésité à mettre leur vie en péril pour sauver celle d'un homme désespéré. Dimanche midi, à Toulouse, la salle d'information et de commandement de la police nationale a reçu un appel plus que préoccupant. À l'autre bout du fil, un homme annonçait qu'il allait mettre fin à ses jours en se jetant sous un train.

À quelques secondes près

Localisé à hauteur du passage à niveau, à l'angle de la rue de la Gravette et de la rue de Cugnaux, dans le secteur des Arènes, l'homme attendait le passage d'un train. Aussitôt, un équipage de deux policiers du service général de direction départemental de la sécurité publique s'est transporté sur place, toutes sirènes hurlantes. Ils ont trouvé le désespéré, habillé de vert, qui menaçait de se jeter sur les voies.
Après avoir rapidement examiné la configuration des lieux, les policiers n'ont eu que très peu de temps pour se décider. Le signal lumineux du passage à niveau s'est en effet déclenché et les barrières ont commencé à se baisser, indiquant l'arrivée imminente d'un train.
Malgré des discussions avec la victime, les fonctionnaires ont compris qu'il n'abandonnerait pas son projet. De concert, ils se sont faufilés derrière les barrières du passage à niveau. Ils ont foncé sur l'homme qu'ils ont plaqué contre le grillage du chemin de fer, à quelques centimètres seulement des rails. Ils l'ont maintenu fermement au moment où le train arrivait afin que, ni la victime, ni ses sauveurs, ne soient happés par le train qui les a frôlés. «Tout s'est joué à dix secondes près», relatait, hier, un professionnel.

Déception amoureuse

Le désespéré, un homme de 52 ans, a rapidement expliqué qu'il en était arrivé à cette extrémité en raison d'une déception sentimentale. Il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et transporté à l'hôpital toulousain de Purpan afin d'y recevoir des soins.
La semaine dernière déjà, des policiers de la brigade anticriminalité avaient évité le suicide d'un homme qui voulait se jeter depuis le troisième étage d'un immeuble. Avec sang-froid, ils lui avaient tiré dessus avec un flash-ball qui l'avait fait tomber à l'intérieur de son appartement. L'homme s'en était sorti avec quelques contusions mais la vie sauve.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/22/1922550-policiers-jettent-voie-ferree-sauvent-in-extremis-desespere.html

Une voiture se retourne et prend feu sur l’A6

Un accident spectaculaire, mais qui n’a fait aucun blessé, s’est produit lundi vers 17 heures sur l’A6, à la hauteur de Lissieu. À la suite d’une perte de contrôle, pour une raison restant à préciser, une voiture qui roulait en direction de Paris a fait une embardée avant de se retourner. Elle s’est immobilisée sur le toit, sur la bande d’arrêt d’urgence. L’automobiliste, indemne, a eu le temps de sortir de sa voiture avant qu’elle ne prenne feu. L’accident a provoqué un bouchon de trois kilomètres.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/07/22/une-voiture-se-retourne-et-prend-feu-sur-l-a6

lundi 21 juillet 2014

Seine-et-Marne : deux blessés dont un grave après une rixe à Dammarie

La nuit de dimanche à lundi a été particulièrement chaude à Dammarie-lès-Lys. Dans le quartier sensible de la Plaine du Lys, à proximité de la résidence Provence, une rixe avec arme blanche et barre de fer a éclaté entre plusieurs personnes. Pour l’instant, on ignore les causes de cette bagarre qui a fait deux blessés.
Deux hommes de 34 ans ont été pris en charge par les secours puis évacués tous les deux sur des hôpitaux parisiens. Selon un proche de l’enquête, le pronostic vital de l’un d’eux serait engagé.
 
http://www.leparisien.fr/dammarie-les-lys-77190/deux-blesses-dont-un-grave-apres-une-rixe-a-dammarie-21-07-2014-4016843.php

Difficile week-end pour les policiers de Limoges

La journée a débuté de bonne heure : à 6h30 samedi matin, les pompiers appellent la police. Dans le centre ville, ils ont affaire à un individu ivre qui refuse son transport.

Les policiers arrivent et découvrent un jeune homme de 23 ans très récalcitrant. Il insulte les nouveaux arrivants et projette d’un coup d’épaule un gardien de la paix à terre. Il est finalement conduit au commissariat et placé en dégrisement.

Coup de tête

En début d’après-midi, c’est un homme de 58 ans qui est contrôlé par la police alors qu’il circule sur un deux roues en état d’ébriété.

Mais il n’accepte pas le contrôle, il se rebelle, et donne un coup de tête à un policier. Il finit également au commissariat.

Les deux hommes ont reçu une convocation par officier de Police Judiciaire


http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2014/07/21/difficile-week-end-pour-les-policiers-de-limoges-520535.html

Un cadavre découvert dans une maison

Le corps d'un homme âgé d'une soixantaine d'années a été découvert dans les dépendances d'une propriété, hier. Une mort qualifiée de «naturelle» par le médecin présent sur les lieux avec les services de gendarmerie. Cet homme, sans attache ni domicile précis, occupait semble-t-il et avec l'accord des propriétaires, la dépendance d'une habitation de la commune. L'homme n'avait plus été vu depuis quelques jours. Hier, c'est probablement l'odeur dégagée par le cadavre en ces périodes de fortes chaleurs qui a favorisé la découverte du corps

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/20/1921627-un-cadavre-decouvert-a-mas-grenier.html

La voiture quitte l'A64 : trois blessés

Il était environ 8 h 30, hier, lorsqu'un véhicule Opel, immatriculé dans les Bouches du Rhône, (13), a quitté l'autoroute A64, au point kilométrique 185, à hauteur de Saint-Paul, pour venir finir sa course dans le fossé, de la RD 817 qui, à cet endroit longe l'autoroute. Le véhicule qui circulait dans le sens Bayonne-Toulouse a été percuté par l'arrière par un véhicule utilitaire Citroën Jumpy utilitaire immatriculé dans le Bas-Rhin (67), qui circulait dans le même sens.
Sous le choc, le conducteur de l'Opel a perdu le contrôle de son véhicule, qui a quitté la chaussée de l'autoroute, a escaladé le talus qui sépare l'A64 de la RD 817 Montréjeau-Lannemezan, a emporté la clôture qui délimite le domaine autoroutier, pour finir en contrebas dans le fossé de la route départementale.
Les trois occupants de l'Opel, qui rentraient de vacances ont été blessés, mais étaient conscients juste après l'accident. Malgré tout, deux d'entre eux ont dû être désincarcérés par les sapeurs-pompiers de Montréjeau. Ils ont ensuite été évacués vers l'hôpital de Saint-Gaudens après avoir été pris en charge par le SAMU 31. Les deux occupants du véhicule Citroën Jumpy sont quant à eux sortis indemnes de cet accident qui aurait pu être bien plus grave, quand on sait qu'il s'en est fallu de peu, que le véhicule Opel, ne finisse sur la chaussée de la RD 817. C'est le Peloton autoroutier de Gendarmerie d'Ibos qui a procédé aux premières constatations, et qui est en charge d'établi les circonstances exactes de cet accident spectaculaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/21/1921771-la-voiture-quitte-l-a64-trois-blesses.html

dimanche 20 juillet 2014

Accident. Choc frontal à Meillerie en Haute-Savoie

Il était 6 heures du matin quand, sur la Route Départementale 1005, en bordure du lac Léman, deux voitures se sont percutées de plein fouet. Le choc a été tel que tous les passagers des véhicules impliqués ont été blessés. Selon les premiers témoignages recueillis par les gendarmes d'Evian, un conducteur se serait endormi, quittant sa voie de circulation. La collision semblait inévitable. Des prises de sang ont été pratiquées et devraient révéler si les automobilistes étaient sous l'emprise de l'alcool.

L'accident a fait un blessé grave, un passager arrière du véhicule en cause. Il a été hospitalisé en Suisse voisine avec cinq autres blessés. Deux autres passagers aux blessures moins importantes ont été pris en charge à l'hôpital de Thonon-les-Bains


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/07/20/accident-choc-frontal-meillerie-en-haute-savoie-519897.html

Le jeune Rom lynché en Seine-Saint-Denis est sorti du coma

Le jeune Gheorghe, qui avait dans un premier temps été désigné sous le prénom de Darius, "va très bien", a déclaré à l'AFP Me Julie Launois-Flacelière. "Il est sorti du coma et son pronostic vital n'est plus engagé. Il parle et reconnaît sa famille, c'est très positif", a-t-elle détaillé.

Selon une source proche du dossier, confirmant une information du Journal du Dimanche, le juge en charge de l'instruction a pu lui rendre visite vendredi à l'hôpital.
Depuis quelques semaines, l'adolescent, souffrant de graves lésions crâniennes et soigné à l'hôpital parisien Lariboisière, n'était plus maintenu dans le coma que par les médicaments, que les médecins supprimaient peu à peu.

Selon son avocate, "il est trop tôt pour évaluer ses séquelles après un mois dans le coma mais sa mémoire montre des signes encourageants". L'adolescent de 17 ans, qui ne parle pas le français, bénéficie d'un interprète et d'une surveillance de sa chambre.
Gheorghe avait été retrouvé le 13 juin en fin de soirée, inconscient, dans un chariot de supermarché abandonné près de la Cité des Poètes, quartier sensible de Pierrefitte-sur-Seine.
L'adolescent, qui vivait depuis peu avec sa famille et d'autres Roms dans une maison désaffectée de cette commune du nord de Paris, avait été enlevé chez lui, devant ses proches, par un groupe de jeunes qui le suspectaient d'avoir cambriolé un appartement dans la cité.
Il était arrivé en France sous une fausse identité, pour rejoindre ses parents après s'être enfui d'un centre psychiatrique en Roumanie.
Un mois après les faits, ses agresseurs, dont le nombre n'est pas connu, n'ont pas été interpellés.

Début juillet, une information judiciaire pour "tentative d'homicide" et "enlèvement et séquestration" a été ouverte par le parquet de Bobigny.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/07/20/le-jeune-rom-lynche-en-seine-saint-denis-est-sorti-du-coma-520033.html

Orly : un blessé par arme à feu

Un homme a été blessé par arme à feu à Orly (Val-de-Marne) dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 heures. Né en 1987, le jeune homme a été touché à la jambe, mais son état n'est pas préoccupant. Il n'est pas connu des services de police.

Les faits, dont on ne connaissait pas encore les circonstances précises ce dimanche matin, se sont produits au croisement de la rue de l'Aviation et de la route Charles-Tillon.

  Les secours se sont rendus sur place. La départementale de la police judiciaire du Val-de-Marne a été saisie du dossier.

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/orly-un-blesse-par-arme-a-feu-20-07-2014-4014395.php

Loire. Roanne : un piéton traîné sur plus de 40 mètres par une voiture

Difficile de savoir ce qui s’est précisément passé ce samedi vers 17 h 45, place Berthelot, au cœur du quartier Mulsant à Roanne.
Selon les renseignements recueillis sur place, un automobiliste et un piéton, qui visiblement se connaissaient, étaient en train de discuter. « D’après des témoins, ils se sont embrouillés », rapportaient sur place les forces de police.
Selon nos informations, le piéton aurait laissé tomber son portable dans l’habitacle. Une hypothèse que l’enquête des services de police devra déterminer.
Quoi qu’il en soit, l’automobiliste aurait alors fait marche arrière et le piéton se serait accroché à une des vitres de la voiture. Loin de s’arrêter, « le conducteur l’a traîné sur une quarantaine de mètres et a pris la fuite quand le piéton a lâché prise », attestaient les policiers sur la base des témoignages.
Alertés, les pompiers de Roanne et le Samu se sont rendus sur place. Selon les premières constatations, la victime âgée de 31 ans, traînée sur le goudron brûlant, souffrait de brûlures sur le corps.
Ce samedi soir, les services de police recherchaient activement l’automobiliste

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/07/20/un-pieton-traine-sur-plus-de-40-metres-par-une-voiture

samedi 19 juillet 2014

HAUTE-LOIRE. La RN88 fermée en raison d'un accident de camion

La RN88 est fermée dans le sens Saint-Étienne / Le Puy à hauteur de Boavozy en Haute-Loire depuis 4h30 ce samedi. En cause : un camion frigorifique couché en travers des voies.
L'accident s'est produit au bas de la descente de Blavozy, au PK51,1. Le camion, appartenant à une société de Brives-Charensac, transportait dix tonnes de fruits et légumes en provenance de Lyon et à destination d'un magasin Brivois. Le chauffeur a été légèrement blessé et hospitalisé au Puy-en-Velay.
A 11h30, les opérations de relevage sont toujours en cours. Seule la moitié de la cargaison a pu être transvasée pour le moment. La nationale ne devrait pas être réouverte avant le milieu voir la fin d'après-midi.
Une déviation est mise en place à partir du giratoire de "Lachamp" par l'ancienne RN88 et le bourg de Blavozy.


http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/07/19/la-rn88-fermee-en-raison-d-un-accident-de-camion

Collision entre deux autocars en Allemagne : au moins neuf morts

Deux autocars circulant sur une autoroute près de Dresde en Allemagne sont entrés en collision samedi. On compte pour le moment 9 morts et plusieurs dizaines de blessés.

Au moins neuf personnes ont été tuées et des dizaines blessées, certaines grièvement, après la collision samedi d'un autocar polonais avec un autre autocar sur l'autoroute A4 près de Dresde, dans l'est de l'Allemagne. Selon la police, l'accident, qui s'est produit dans la nuit, a tué aussi bien des personnes dans le car polonais que dans l'autre véhicule, a précisé la police.
D'après les premières constatations, l'autocar polonais a percuté un véhicule similaire devant lui avant de déraper et de heurter la barrière de l'autoroute. Il est ensuite entré en collision avec un autre bus qui circulait sur la voie opposée.

La police a bloqué la circulation dans les deux directions sur ce tronçon de l'autoroute A4 au niveau de Dresde. L'autoroute A4 traverse l'Allemagne d'ouest en est, débouchant d'un côté sur les Pays-Bas et de l'autre sur la Pologne.
 

Médecin agressé à Verdun l’auteur déclaré irresponsable

Il ne se sentait pas bien. A cours de subutex, Jérôme*, 35 ans, s’est dit qu’il pourrait s’en procurer dans un cabinet médical. Il est 13 h ce jeudi, quand il se rend chez un médecin autre que le sien, rue du Pont des Augustins.
Le cabinet ne rouvre qu’à 13 h 30. La secrétaire médicale demande alors aux patients d’attendre dans un couloir extérieur. Mais Jérôme insiste : «Je me suis énervé. Mais je n’ai frappé personne», parvient-il à balbutier à la barre du tribunal correctionnel de Verdun. L’homme souffre de gros problèmes d’élocution.
Il est accusé de violences sur la secrétaire médicale. Mais aussi sur un médecin, qui se trouvait dans une pièce à côté, en train d’ausculter un patient. C’est en entendant sa secrétaire appeler à l’aide que cette professionnelle de santé a rejoint l’accueil.
Si le prévenu dit ne pas les avoir touché, les victimes sont moins catégoriques. «Il nous a menacé avec le poing». Mais le personnel médical a surtout été choqué par la scène, décrite comme violente. A tel point que pour protéger le médecin, sa secrétaire est allée chercher une chaise, pour repousser l’agresseur, qui se l’est d’ailleur prise en pleine gencive, avant d’être poussé vers la sortie.
*Prénom modifié

http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/07/18/medecin-agresse-a-verdun-l-auteur-declare-irresponsable

vendredi 18 juillet 2014

Marseille: Un homme tué par balles dans les quartiers Nord

C'est le troisième règlement de comptes en l'espace d'une semaine...
Un homme a été tué par balles vendredi soir dans les quartiers nord de Marseille, dans ce qui constitue le troisième règlement de comptes en l'espace d'une semaine dans la ville, selon des sources proches de l'enquête.
La victime circulait en scooter dans le quartier Ste-Marthe (14e arrondissement) lorsque deux individus cagoulés se sont portés à sa hauteur en voiture, faisant feu avec un fusil d'assaut de type Kalachnikov.

http://www.20minutes.fr/societe/1420071-marseille-un-homme-tue-par-balles

CANTON DE ROYE (80) Deux accidents en trente minutes

En l’espace d’une demi-heure, deux accidents se sont produits vendredi 18 juillet dans le canton de Roye. Le premier a eu lieu sur la départementale 934, dans le sens Roye-Amiens vers 7 h 45. Une jeune fille de 19 ans y a perdu le contrôle de son véhicule et a fait plusieurs tonneaux. Légèrement blessée, elle a été transportée au centre hospitalier de Compiègne. Le second s’est produit sur l’autoroute A1 dans le sens Paris-Lille à hauteur d’Hattencourt. Un automobiliste qui rentrait du travail se serait endormi au volant. Il a ensuite percuté l’arrière d’un camion. Légèrement blessé lui aussi, il a été transporté au centre hospitalier de Péronne.

http://www.courrier-picard.fr/region/canton-de-roye-80-deux-accidents-en-trente-minutes-ia201b0n407275

Dordogne : il fait brûler des branchages, les flammes se propagent aux prés

Jeudi, 400 mètres carrés de pré ont pris feu, à Bussière-Badil (24). C'est un habitant de la commune qui a fait brûler des branchages dans son jardin et n'a pas maîtrisé les flammes.
 
Pourtant, il est interdit, depuis le 15 juin et jusqu'au 15 octobre, de faire des feux. L'homme a donc écopé d'une amende.

http://www.sudouest.fr/2014/07/18/dordogne-il-fait-bruler-des-branchages-les-flammes-se-propagent-aux-pres-1618764-1760.php

Accident du travail : il chute de trois mètres.

Au cours de travaux dans une maison en rénovation, un homme de 38 ans, originaire de Haute-Loire a été victime d'un accident du travail.  Il tentait de gagner le toit, à l’intérieur de la maison, quand il est tombé d’une échelle. Il a fait une chute de trois mètres.
Blessé, il a été secouru et transporté au centre hospitalier Émile-Roux, au Puy-en-Velay, par les sapeurs-pompiers pour des examens de contrôles. Les gendarmes ont constaté les faits.
Vals-près-Le Puy. Perte de contrôle au guidon du deux-roues. Une femme de 40 ans a été accidentée au guidon de son deux-roues aux abords de la place du Monastère, près de la mairie. Blessée léger, elle a été transportée au centre hospitalier Émile-Roux, au Puy-en-Velay.
Monistrol-sur-Loire. Blessé léger après une perte de contrôle de son deux-roues. Mercredi, peu avant 17 h 30, un homme de 40 ans, qui conduisait un deux-roues, a perdu le contrôle de son véhicule. Blessé léger, il a été pris en charge et conduit à l’Hôpital Nord de Saint-Étienne par les sapeurs-pompiers

http://www.leprogres.fr/faits-divers

Terrible incendie en centre-ville

Hier, vers 18 heures, un violent incendie s'est déclaré en centre-ville, dans un entrepôt qui abritait plusieurs tonnes de caisses qui se sont embrasées. La voie ferrée a été coupée durant une partie de la soirée.
«Je ne pense pas trop m'avancer mais c'est le feu de l'année !» Le constat, sans appel, vient des pompiers. Et pour cause. Hier, aux alentours de 18 h 45, un incendie a ravagé un hangar de stockage de caisses de bois de l'entreprise Sanz, grand producteur de fruits lot-et-garonnais, spécialisé dans les kiwis et les pommes.
De l'extérieur, le «spectacle» est impressionnant. Une épaisse fumée noire, visible à près de dix kilomètres à la ronde, s'échappe des locaux. Les habitants de la commune et les badauds de passage s'agglutinent devant le bâtiment en flammes. «Il faut les contenir, ils font n'importe quoi», confie même un des soldats du feu.
Les sapeurs-pompiers sont d'ailleurs rapidement intervenus sur place pour arroser abondamment le bâtiment, contenir les flammes et éviter tout risque de propagation aux habitations environnantes et, notamment, la caserne qui jouxte le bâtiment. Plus de quatre-vingts hommes sont mobilisés sur place et se relaieront jusque tard dans la nuit. Impossible d'intervenir. Les bâtiments contigus qui composent le hangar de 4000m² tombent comme un château de carte.
Pour l'heure, l'origine de l'incendie n'est pas encore connue. Et pour la communauté, c'est le flou total. «Nous n'avons aucune idée de ce qu'il y a pu se passer», confie le maire William Kherif. «J'ai parlé à M. Sanz. Il était très embêté.» D'autres témoins qui ont parlé avec le propriétaire iront même jusqu'à dire, «perdu, abattu».
La ligne SNCF Bordeaux-Toulouse située non loin des lieux de l'incendie a été coupée le temps de l'intervention pour plus de sécurité.
Aujourd'hui, les pompiers devraient en savoir plus sur ce qui a pu causer la destruction du hangar Sanz.-

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/18/1920569-terrible-incendie-en-centre-ville.html

jeudi 17 juillet 2014

Six mois après la disparition de son bébé une mère lance un appel désespéré

La mère du petit Habib Nedder, disparu avec son père en janvier 2014, a lancé un appel aux témoignages, six mois après la disparition de l'enfant avec son père, et deux mois après la découverte du corps du père dans une rivière de l'Ariège.
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"On me dit que la rivière a été fouillée, qu'on n'a pas de traces de mon fils, qu'il n'y a pas de poussette, pas d'affaire à lui, pas de doudou. Ça me réconforte parfois, en me disant que, peut-être, il n'était pas là-bas", a confié la mère, Jennifer Dana, à France 3.

http://www.sudouest.fr/2014/07/17/pas-de-traces-du-bebe-disparu-avec-son-pere-la-mere-lance-un-appel-a-temoins-1617714-7.php

Niort : il avoue avoir tué sa mère pour abréger ses souffrances

85 ans.
Les faits se seraient produits dans la nuit de lundi à mardi à Niort (Deux-Sèvres), au domicile du fils et de sa mère qui vivaient ensemble.

Alertés par un tiers, les secours y ont découvert le corps de l'octogénaire, tandis que le fils avait tenté de mettre fin à ses jours en se taillant les veines

Interpellé après une hospitalisation de quelques heures, le suspect a été placé en garde à vue mardi au commissariat de Niort où il se trouvait toujours mercredi en fin d'après-midi.

Pour abréger ses souffrances

Ce serait pour abréger les souffrances de sa mère que le fils aurait décidé de la tuer. Lundi soir, après lui avoir fait avaler des somnifères, le sexagénaire aurait ensuite attendu qu'elle s'endorme avant de lui mettre un sac en plastique sur le visage afin de provoquer une
par asphyxie.

Au
de son audition, il a reconnu avoir donné volontairement la mort à sa mère: «Il accepte la situation», a indiqué son avocat, Me Ambroise Garlopeau. «Il ne voulait plus voir souffrir sa mère. C'est un acte réfléchi. Son seul regret, c'est de ne pas être mort à l'heure où je vous parle», a-t-il ajouté.

Le Parquet de Niort, qui avait ouvert une enquête de flagrance pour homicide volontaire, a été dessaisi du dossier au profit du Pôle criminel du Tribunal de grande instance (TGI) de Poitiers (Vienne), devant lequel sera déféré le sexagénaire avant sa probable mise en examen pour meurtre.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/niort-il-avoue-avoir-tue-sa-mere-pour-abreger-ses-souffrances-16-07-2014-4005987.php

mercredi 16 juillet 2014

Angoulême : elle chute des remparts en voulant récupérer son portable

Les policiers d'Angoulême ont été contactés ce mercredi très tôt, dans la nuit, pour une chute accidentelle, depuis les remparts sud de la ville. En contrebas du boulevard Emile Roux, une jeune Bulgare de 22 ans a été retrouvée dans un jardin. Elle a chuté lourdement de 7 à 8 mètres. Consciente et capable de bouger ses membres à l'arrivée des secours, elle a du être transportée à l'hôpital de Girac.
 
Elle a expliqué aux policiers avoir trébuché et laissé échapper son portable, par dessus le rempart, en écrivant un sms. Courageuse, ou inconsciente, la jeune fille a alors entrepris de descendre les quelques mètres qui la séparait du téléphone, le long du rempart, avant de chuter lourdement.
Atterrissant dans le même jardin que son précieux téléphone, elle a pu prévenir un ami, qui a lui-même contacté les secours.
Une enquête est en cours au commissariat d'Angoulême.
Chaque année, entre trois et quatre chutes depuis les remparts sont à déplorer dans la ville.

http://www.sudouest.fr/2014/07/16/angouleme-elle-chute-des-remparts-en-voulant-recuperer-son-portable-1616772-813.php

mardi 15 juillet 2014

Dordogne : il sort un fusil pour récupérer ses clés de voiture

Dimanche en début d'après-midi, à Montpon-Ménestérol (24), un homme qui sortait d'un repas arrosé n'a pas supporté que son entourage lui confisque ses clés afin de le ramener en toute sécurité à son domicile. Le Périgourdin a tout de même réussi à rentrer chez lui. Il en est revenu quelque temps après avec un ami et armé d'un fusil.
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Mal leur en a pris, puisque les deux hommes ont été interpellés par les gendarmes. Placés en garde à vue, ils devaient être libérés, lundi soir. Ils comparaîtront prochainement devant la justice.

http://www.sudouest.fr/2014/07/15/dordogne-il-sort-un-fusil-pour-recuperer-ses-cles-de-voiture-1615588-4776.php

Un randonneur de 80 ans chute de cinq mètres

Ce dimanche, en fin de matinée à Opedette, un randonneur de 80 ans a chuté de cinq mètres depuis le belvédère. L'homme, originaire du Vaucluse, a été secouru par les pompiers de Cereste et de Reillanne ainsi que par un médecin du Smur et les militaires du PGHM. Il a finalement été héliporté vers l'hôpital de Digne.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2961555/un-randonneur-de-80-ans-chute-de-cinq-metres.html

Ivre, il percute un motard et prend la fuite

Au volant de sa fourgonnette Romario a percuté un motard, dernièrement, boulevard Lascrosse, à Toulouse. La moto, sous le choc, a glissé sur 60 mètres jusqu'à l'entrée du parking Compans Caffarelli. «Je ne m'en suis pas aperçu madame, je ne l'explique, je ne m'en suis pas aperçu», tente-t-il de s'expliquer auprès de la présidente du tribunal correctionnel, pour justifier le délit de fuite qui lui est reproché. Un policier, en dehors de ses heures de fonction, est témoin de l'accident. Il a suivi la fourgonnette alors qu'elle prenait la fuite ou bien continuait simplement sa route si l'on en croit ses dires. Il a donc sommé Romario de le suivre et l'a ramené sur les lieux de l'accident. Le motard, au sol souffre d'une double fracture tibia-péroné. L'alcotest révèle que l'automobiliste conduisait en état d'ébriété avec 0,78 gramme d'alcool par litre d'air expiré. Romario annonce une fausse identité sous le coup de la panique étant donné qu'il n'était alors pas en possession du permis de conduire, retiré depuis 2012. Mais cela ne lui a pas empêché de monter son entreprise de transport de matériel électrique après avoir perdu son permis de conduire ! «Il faut que je travaille» se défend-il. Le procureur requiert de 6 mois de sursis, 8 mois sans avoir le droit de représenter le permis de conduire et 1 mois de sursis supplémentaire pour l'usurpation d'identité. Il est finalement condamné à 3 mois de prison ferme, 7 mois de sursis et deux ans d'obligation de soigner son alcoolisme.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/15/1918773-ivre-il-percute-un-motard-et-prend-la-fuite.html

lundi 14 juillet 2014

Incendie d'ans l'Aude : trois hectares partent en fumée à Lézignan-Corbières

Dimanche, vers 17 h 30, un incendie s'est déclaré non loin d'Escouto can Plaou, à Lézignan-Corbières. Trois hectares ont brûlé.
La cité, située à la sortie de la commune, sur la départementale en direction de Castelnau-d'Aude, est bordée de pinèdes. C'est là, sur un terrain en friches, que le feu a pris, pour des raisons que l'enquête de gendarmerie devra déterminer. Immédiatement, d'importants moyens ont été dépêchés par les sapeurs-pompiers audois. Trois groupements terrestres - pompiers et sécurité civile - épaulés dans les airs par deux bombardiers d'eau, ont été mobilisés. Vers 19 heures, l'incendie était maîtrisé. On comptabilisait trois hectares de brûlés. Quelques habitants ont été confinés chez eux, par précaution. Personne, en revanche, n'a été blessé.

http://www.midilibre.fr//2014/07/14/lezignan,1024614.php

Vingt-six victimes d’intoxication alimentaire après un mariage

Un des mariages célébrés ce week-end à Sedan ne s’est pas bien terminé pour vingt-six des invités. Réunis dimanche dans une salle louée du château fort, plusieurs ont commencé à développer les symptômes d’une intoxication alimentaire en fin d’après-midi.
Les pompiers et un médecin sont arrivés sur place. Dix-neuf personnes ont été transportées entre les hôpitaux de Sedan et de Charleville-Mézières.
Sept autres invités, déjà en route vers leur domicile, se sont sentis mal dans leur voiture. Les pompiers les ont récupérés au niveau de l’échangeur de Woinic pour les rediriger vers le CHU de Rethel.
« Il n’y a pas de personnes à risque, enfants ou personnes âgées, touchées, rassure le sous-préfet de l’arrondissement de Sedan, Emmanuel Yborra. La plupart des victimes sont rentrées chez elles dans la soirée. »

Le plan blanc déclenché

L’hôpital de Sedan a déclenché par précaution le plan blanc. Du personnel supplémentaire a été rappelé pour pallier un éventuel afflux massif de patients. Le plan blanc a été rapidement levé.
« L’État va effectuer des prélèvements dès demain (aujourd’hui) pour déterminer ce qui a causé cette intoxication », renseignait dimanche le sous-préfet. Et d’insister : «  La fête était privée. Ni le château, ni le restaurant ne sont en cause. »
Via facebook, la directrice de l'Hôtel Restaurant Le Château Fort, Aurore Iwanciw, tenait à apporter cette précision : « L'intoxication alimentaire qui a eu lieu au Château Fort n'a aucun rapport avec l'établissement que je dirige, puisque les faits ont eu lieu dans la salle annexe louée par les mariés qui ont eux même amené leur nourriture. »

http://www.lunion.presse.fr/accueil/vingt-six-victimes-d-intoxication-alimentaire-apres-un-mariage-ia0b0n377747

Bagarre à l'arme blanche : un blessé grave, une arrestation et des questions

Un individu a été arrêté et placé en garde à vue dans le cadre de l'enquête conduite par la gendarmerie sur la violente rixe qui a eu pour cadre la rue du Pont à Moissac dans la nuit de vendredi à samedi, faisant un blessé grave à l'arme blanche. Il est supposé être l'auteur des coups de couteau (1).
L'enquête conduite dans le cadre de l'affaire de violence qui s'est déroulée à Moissac vers quatre heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi (lire notre édition d'hier en page 28) n'a pas traîné. Après au moins deux auditions, un individu a été arrêté et présenté au parquet, soupçonné d'être un des acteurs de la rixe et surtout d'être l'auteur des coups de couteau portés à un homme.
Pour l'heure, la gendarmerie refuse de communiquer sur cette affaire au regard de son volet judiciaire et de l'instruction d'usage. Toutefois, dans le quartier de la rue du pont, les discussions allaient bon train hier matin, permettant d'y voir un peu plus clair sur cette affaire qui s'apparente à un différent qui a mal tourné.

8 à 9 coups de couteau

La violente bagarre aurait démarré environ vers 2 h 30, dans la nuit pas spécialement chaude pour l'été, dans la bâtisse 26 de la rue du pont. Le ton a monté, des insultes ont fusé, des cris ont suivi sous les coups. Puis un homme s'est soudain affaissé, victimes de plusieurs coups de couteau, huit à neuf rapportent certains. Malgré la souffrance, le blessé a pu se relever et échapper à son ou ses agresseur(s), cherchant visiblement à fuir les lieux, à pied, prenant la direction de la caserne des pompiers, comme en attestaient encore tôt le matin les nombreuses traces de sang.
Pris en charge par les secours, il a été évacué par le Smur vers le centre hospitalier de Montauban. Rapidement, un diagnostic concluait à ce que ses jours n'étaient pas en danger, malgré l'impressionnant nombre de plaies et le volume de sang perdu.

Un coin à trafics…

Il semble que les relevés effectués par les membres du service d'identité judiciaire rue du pont, mais aussi de part et d'autre, ainsi que les divers témoignages recueillis par les enquêteurs, aient conforté l'efficacité des investigations. C'est désormais sous le couvert de la justice qu'il conviendra de faire la lumière sur les circonstances et les raisons de cette violente bagarre qui aurait pu tourner au meurtre. Beaucoup de questions demeurent... Dans le quartier, il ressort clairement que les riverains ne sont pas dupes des trafics qui se jouent sous leurs fenêtres et notamment sur les parkings situés sous le pont. L'endroit, un peu reculé, est propice aux échanges. Mais il facilite également la planque de produits à écouler, qui dans des parcelles d'espaces verts, qui sous des ailes de voitures stationnées. Un contexte que les forces de l'ordre ont dans le viseur depuis quelques temps et auquel la municipalité a décidé de s'attaquer. La bagarre a-t-elle un lien avec ces trafics ? S'agit-il d'un règlement de compte ?
(1) Toute personne n'ayant pas été condamnée définitivement par un tribunal bénéficie de la totale présomption d'innocence.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/14/1918200-bagarre-arme-blanche-blesse-grave-arrestation-questions.html

dimanche 13 juillet 2014

Un chalutier sombre près de Brest

Echoué depuis le 22 mai près du phare des Pierres Noires, au large du Conquet (Finistère), le chalutier Celacante a sombré alors qu'une équipe tentait depuis plusieurs jours de le dégager du rocher où il avait trouvé appui.

Le Celacante s'est échoué alors qu'il tentait de porter secours à un voilier, rappelle Ouest-France. Depuis mardi, une société spécialisée, Marine and Sub, travaillait à son remorquage vers Brest. Mais l'opération s'est avérée impossible, le chalutier étant immergé par l'arrière. Il a fini par couler samedi dans l'après-midi à 300 mètres du phare. Il repose par 10 mètres de fond. De nouvelles opérations devraient être mises en place pour le dégager.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/13/97001-20140713FILWWW00133-un-chalutier-sombre-pres-de-brest.php

Un policier tue sa compagne et se suicide

Un policier de Monaco en arrêt-maladie, a tué hier soir sa compagne avant de se suicider, dans leur maison de Saint-Martin-du-Var, commune de la vallée du Var près de Nice, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. "Il s'agit d'un meurtre suivi d'un suicide", a indiqué la gendarmerie à l'AFP.

La direction de la Sûreté publique (DSP) monégasque a fait part ce dimanche de sa "profonde émotion" après ce drame familial, précisant que ce fonctionnaire était en congé maladie depuis mars et "n'était pas en possession de son arme de service détenue, comme c'est la règle, à la DSP", selon un communiqué transmis par le gouvernement princier.

Selon les gendarmes, une violente dispute a éclaté, vers 19 heures, entre cet homme et sa conjointe, quand celle-ci, accompagnée de son fils né d'une première union et d'un ami de ce dernier, est venue récupérer des affaires dans leur maison. Selon les gendarmes, l'homme a d'abord tiré en l'air pour faire fuir les deux garçons. En s'enfuyant, ces derniers ont entendu un second coup de feu, probablement celui tiré par le policier sur sa compagne, a-t-on ajouté.

Une soixantaine de gendarmes ont été mobilisés, la brigade locale de Carros, mais aussi les pelotons de Nice, Gilette et Marseille ainsi que le peloton d'intervention d'Orange (GIGN). Aucun contact n'ayant pu être établi avec l'homme, c'est finalement vers 01h30 que les militaires ont investi les lieux, découvrant les deux corps. Selon les premiers éléments d'investigation, il s'est probablement suicidé immédiatement après avoir tué sa conjointe. Une enquête a été ouverte par le parquet de Nice.

Selon le communiqué du gouvernement monégasque, le policier était en congé depuis le mois de mars, date à laquelle il avait subi une opération orthopédique. "Le Gouvernement princier s'associe aux policiers de la Principauté pour présenter ses vives condoléances aux familles dans le deuil", ajoute-t-il. Selon le quotidien Nice Matin, l'homme, âgé de 54 ans, souffrait de dépression.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/07/13/97001-20140713FILWWW00070-un-policier-tue-sa-compagne-et-se-suicide.php

La voiture prend feu au péage : 200 000 euros de dégâts

Tout s'est passé très vite pour les cinq passagers du véhicule à l'origine de l'incendie vendredi soir, vers 20 h 45. Arrivés au péage du Passage, à la sortie de l'A62, ils ont remarqué qu'une fumée s'échappait du capot.
Sortis de la voiture immatriculée dans la Sarthe pour aller chercher un extincteur, ils se sont retrouvés impuissants face à la rapidité du feu.
En quelques minutes, en effet, l'incendie s'est propagé à tout le véhicule resté à l'arrêt au poste de péage, carbonisant l'habitacle et les affaires des cinq jeunes. Quand les pompiers agenais ont maîtrisé l'incendie à 21 h 35, la voiture n'était plus qu'une épave calcinée. La cabane du péage a elle aussi subi de lourds dégâts estimés entre 200 000 et 250 000 euros

http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/13/1917731-voiture-prend-feu-peage-200-000-euros-degats.html

samedi 12 juillet 2014

Bois-Guillaume (76) : un pharmacien et ses clients maitrisent un braqueur

A 19H15, la pharmacie de la rue de la Haie de Bois-Guillaume était encore ouverte. Un homme à la démarche étrange et au visage emmitouflé est entré.

Le pharmacien a compris qu'il avait affaire à un personnage dangereux. Il avait déjà été braqué. Il a maitrisé l'individu avec l'aide de clients de son officine.

L'homme portait sur lui une arme qui tire des balles en caoutchouc, un "gomme cogne". L'individu a ensuite été interpellé par les forces de l'ordre.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/07/12/bois-guillaume-76-un-pharmacien-et-ses-clients-maitrisent-un-braqueur-516157.html

Bordeaux : les vols à la fausse qualité se multiplient

La vieille dame de 87 ans ne s'est pas méfiée et a vu disparaître tous ses bijoux, sans se rendre compte de quoi que ce soit. Jeudi, vers 10 h 30, deux hommes frappent à sa porte dans le quartier Saint-Genès, à Bordeaux. Les visiteurs se présentent comme artisans missionnés pour intervenir sur le toit d'une maison voisine où ils ont détecté d'importantes infiltrations d'eau susceptibles d'entraîner des dommages collatéraux. La vieille dame les accueille en confiance et conduit l'un des deux individus dans le grenier afin qu'il fasse un état des lieux après la pluie tombée ces derniers jours. Elle le laisse observer et rejoint le rez-de-chaussée pour discuter avec le second qui l'occupe et détourne son attention.
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  • Un duo de voleurs
Quelques minutes suffisent à l'homme laissé seul pour fouiller la chambre de l'octogénaire et s'emparer de bijoux d'une grande valeur, la plupart en or sertis de diamants. Les faux artisans demandant une quarantaine d'euros en liquide pour leur intervention puis indiquent qu'ils enverront la facture plus tard et repartent sans avoir laissé leur carte de visite.
Une heure plus tard, alors qu'elle revient faire ses courses dans le quartier, la vieille dame s'aperçoit du vol. L'alerte est donnée. Trop tard. Quand la police intervient, les malfaiteurs sont déjà loin…
Deux jours auparavant, à quelques centaines de mètres de là, de l'autre côté des boulevards, à Talence, deux hommes se présentant cette fois comme des plombiers, ont fait une autre victime. Selon les enquêteurs de la brigade de répression des atteintes aux personnes (Brap) de la Sûreté départementale, il pourrait s'agir du même duo de voleurs.
Par conséquent, la police appelle à la plus grande vigilance et renouvelle son message de prudence auprès des personnes âgées prises pour cible. Faux employés d'EDF ou de la Lyonnaise des eaux venus relever un compteur, faux policiers qui mènent une enquête, faux employés de nettoyage, faux facteurs, etc. Les stratagèmes sont nombreux et, hélas, sont toujours payants pour les voleurs qui s'attaquent à des personnes vivant le plus souvent seules à leur domicile.
Après un repérage, les malfaiteurs écument un secteur de la ville puis changent de quartier. Ils prennent un maximum de précautions et laissent peu d'indices sur leur passage.
Pour lutter contre ce fléau et sensibiliser les retraités, les policiers de la Direction départementale de la sécurité publique ont déjà fait beaucoup de prévention. Ils ont imaginé des saynètes interactives avec des comédiens bénévoles jouant des situations de la vie courante où un inconnu, déclinant une fausse qualité, trouve n'importe quel prétexte pour s'introduire au domicile de la personne âgée qui se fait emberlificoter.
« Il faut impérativement demander à voir la carte professionnelle même si la personne est en tenue de travail ou porte un uniforme, rappelle un policier bordelais. En cas de doute, ne pas hésiter à appeler le 17 police-secours qui enverra une patrouille sur place. » Il faut savoir que les seniors, représentant 20 % de la population, sont victimes des deux tiers des vols par ruse et de près d'un tiers des cambriolages.

http://www.sudouest.fr/2014/07/12/les-vols-a-la-fausse-qualite-se-multiplient-1613328-2780.php