vendredi 31 octobre 2014

Les images de l'incendie à la Maison de la radio à Paris

Mourenx (64) : un piéton percuté par une automobiliste

Un homme de 64 ans qui traversait l'avenue Charles-Moureu, à Mourenx, au niveau du rond-point du centre commercial Leclerc, a été renversé jeudi après-midi par une automobiliste.
Le piéton a été projeté sur le capot de la voiture puis son pare-brise avant de finir au sol. D'abord transportée en urgence à l'hôpital d'Orthez, la victime a été transférée à la polyclinique de Navarre, à Pau pour un traumatisme vertébral.
La conductrice de 37 ans n'aurait pas vu l'homme déjà engagé sur le passage piéton. L'enquête pour déterminer les circonstances de l'accident est conduite par la communauté de brigade de Mourenx.
http://www.sudouest.fr/2014/10/31/mourenx-un-pieton-percute-par-une-automobiliste-1721783-4310.php

Deux personnes intoxiquées dans un feu de chambre à Munster

Peu avant 23 heures, alors que les pompiers de Munster étaient de retour à la caserne suite à un accident de circulation, ils ont senti une odeur suspecte et ont constaté un dégagement de fumée à hauteur d'un appartement se situant 8 rue des Poitiers, à Munster, dans le Haut-Rhin.
A l'aide de la grande échelle, ils ont pu secourir un homme âgé de 41 ans qui se trouvait sur le rebord de la fenêtre. C'est dans un deuxième temps qu'une femme âgée de 27 ans a pu être secourue alors qu'elle se trouvait allongée dans la salle de bain en état d'arrêt cardio-respiratoire. C'est grâce à un massage cardiaque qu'elle a pu être sauvée. Les deux personnes, dont la jeune femme qui a sérieusement été intoxiquée, ont été transportées à l'hôpital Pasteur de Colmar.
Les deux pompiers qui ont secouru les occupants de l'immeuble ont été victimes d'un coup de chaud et soignés sur place.
http://www.dna.fr/edition-de-colmar/2014/10/30/deux-intoxiques-suite-a-un-feu-de-chambre-a-munster

A 77 ans, Jacqueline est expulsée de son «château» vétuste

La trêve hivernale empêchant les expulsions locatives commence demain. Trop tard pour Jacqueline. Handicapée, à 77 ans, elle doit quitter son T3 vétuste aujourd'hui.
«C'est tout sauf la vie de château !», lance Hugo. Ce maçon de 29 ans est venu donner «un coup de main» à une voisine pour la déménager. À 77 ans, Jacqueline Emanuelli-Moya est plus exactement expulsée. Après avoir loué pendant sept ans un HLM du Toit Familial de Gascogne dans la rue Darwin, la septuagénaire a été priée de quitter les lieux pour cause d'impayés. Baptisé «Le château», ce T3 d'environ 70 m2 souffre en effet d'une certaine vétusté. Problèmes d'humidité, de toiture, d'assainissement, un cumulus changé récemment mais toujours pas aux normes, sans parler du plancher qui s'effondre dans une chambre : on ne peut pas nier que ce n'est pas «la vie de château».
Mais pour cette dame cardiaque atteinte de polyarthrose, de lombarthrose et de bronchites chroniques, les problèmes d'accessibilité étaient les plus prégnants. «Il y a des rebords ou des marches et je ne passe pas avec mon fauteuil dans toutes les portes», explique-t-elle «à bout». Et d'évoquer les factures d'eau et d'électricité salées en raison de la déliquescence des installations. Cette relative salubrité, c'est le premier point.

Une dette de 2 000€

Mais d'après les différents services contactés, «cette personne s'était vue proposer en 2013 un autre logement plus adapté qu'elle a refusé». Un élément que nie fermement l'intéressée qui avait sollicité la pose d'une clôture dans le jardin pour ses chiens.Le second, c'est le fait que cette ancienne bénévole à la Croix-Rouge d'Aignan, héberge depuis des années un ami, Daniel, 53 ans. «Il a fallu justifier du fait que l'on n'était pas en couple», précise-t-elle. Les aides sociales variant bien sûr en fonction.
Enfin, le troisième et le plus épineux : Jacqueline est aujourd'hui redevable d'un peu plus de 2 000€ à son bailleur qui estime avoir fait preuve de souplesse. Le Toit Familial parle de 6 mois d'impayés quand elle assure avoir «toujours» honoré sa part d'environ 70 € sur les 390 réclamés, le reste de ses charges étant alors assumé par la CAF. Et à ceci, se greffent désormais les frais d'huissier...
L'association Regar, mandatée pour son relogement, «regrette une mesure tardive» mais affirme tout faire pour que cette dame ne dorme pas dehors ce soir. «Dans l'urgence, elle sera logée à l'hôtel», entend-on. Des services sociaux du conseil général en passant par la DDSCPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations), tout le monde assure être «allé au bout du process légal».
«J'ai donné toute ma vie et voyez où j'en suis», lance Jacqueline, résignée. Au premier semestre 2014, ils étaient 25 sur le département à être sous le coup d'une procédure d'expulsion.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/31/1982376-a-77-ans-jacqueline-est-expulsee-de-son-chateau-vetuste.html

Un braquage pour des chocolatines

Hier, tôt dans la matinée, une boulangerie du quartier Empalot a été attaquée par un groupe d'individus masqués et armés d'un couteau, qui ont pris la fuite. Leur butin ? Viennoiseries, gâteaux et bonbons. Une enquête a été confiée à la sûreté départementale.
Encore un commerce braqué sur Toulouse… Après le Lidl d'Empalot mercredi, c'est une boulangerie située en plein cœur de ce quartier populaire qui a été le théâtre d'un casse, très tôt dans la matinée d'hier. Sauf que cette fois, les malfaiteurs n'avaient semble-t-il pas d'argent à se mettre sous la dent. Ils ont donc fait razzia sur les croissants et les chocolatines.
Il était à peine 5 heures du matin quand un groupe composé d'au moins cinq personnes a fait irruption visage masqué dans la boutique. À l'intérieur se trouvait au moins un employé. L'un des agresseurs a alors sorti un couteau et l'aurait menacé.
À cette heure très matinale, la caisse aurait été vide. Le groupe s'est alors fait remettre tout l'alimentaire qu'il a pu trouver : viennoiseries, gâteaux, bonbons et autres chips, avant de prendre la fuite. Il s'agirait vraisemblablement de jeunes individus.

Un casse pour des sucreries ?

Ceux-ci espéraient-ils faire main basse sur du liquide et se sont-ils rattrapés en désespoir de cause sur les viennoiseries toutes chaudes ? Ou venaient-ils simplement se rassasier gratuitement ? Que la motivation soit l'argent ou les sucreries, cet acte reste a minima un vol avec violence et en réunion, passible d'un maximum de 7 ans de prison devant le tribunal correctionnel. Une enquête a été confiée à la sûreté départementale de la police nationale.
Si le préjudice n'a pas encore été chiffré, il n'est néanmoins pas négligeable pour ce petit commerce de proximité qui n'avait jamais connu de tel précédent.
Depuis le début du mois d'octobre, les attaques de petits commerces se multiplient à Toulouse. Au point que le «plan anti hold-up» a été déclenché de manière précoce en Haute-Garonne. Celui-ci vise, à l'approche des fêtes de fin d'année, à une surveillance accrue par la police des petits commerces. Difficile, toutefois, de refréner les ardeurs, qui semble même donner des idées, en témoigne ce casse, à peut-être de très jeunes individus.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/31/1982599-un-braquage-pour-des-chocolatines.html

jeudi 30 octobre 2014

L'Italie sous le choc après le massacre d'une famille à la hache

La presse italienne ne parle que de cette histoire depuis lundi dernier : un véritable carnage a eu lieu dans le quartier de San Giovanni, à Rome. Deux enfants ont été abattus à coups de hache et un autre gravement blessé par leur propre mère, qui s'est ensuite pendue.

Il appelle un ami à l'aide

Le père de famille a été réveillé en pleine nuit par un coup de couteau dans le ventre assené par son épouse. Effaré, il s'est rendu aux urgences, après s'être laissé convaincre par sa femme de ne pas révéler qu'elle était l'auteure de la blessure. Une fois arrivé à l'hôpital, l'homme, inquiet tente d'appeler à son domicile mais personne ne lui répond. Il demande alors à un de ses proches d'aller vérifier si tout va bien chez lui.

"Du sang partout"

L'ami découvre une horrible scène de crime dans l'appartement. Les deux enfants du couple âgés de 3 et 8 ans sont morts, lardés de coups de hache. La troisième fille, âgée de 5 ans, est gravement blessée mais vit toujours. Quant à la mère de famille âgée de 42 ans, elle s'est pendue dans la salle de bain. "Il y avait du sang partout", a relaté le témoin de la scène aux médias italiens. Une enquête est en cours pour tenter de comprendre comment cette femme au foyer, qui souffrait de dépression sévère, a pu en arriver à commettre un tel acte.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/30/1982084-italie-sous-choc-apres-massacre-famille-hache.html

mercredi 29 octobre 2014

Un cadavre découvert au bord des voies ferrées entre Nîmes et Montpellier

Le corps sans vie été découvert en bordure de la voie ferrée près du Mas de Crès près de Montpellier. Le trafic ferroviaire entre l'Hérault et le Gard a été interrompu une heure pour permettre l'intervention des équipes spécialisées.
Le trafic des trains entre Nîmes et Montpellier a été interrompu ce mercredi matin pendant 1 heure entre 9 h 45 et 10 h 45 après la découverte d'un corps sans vie près de la voie ferrée au niveau de Les Mazes - Le Crès près de Montpellier (Hérault).
La circulation a repris une vingtaine de minutes plus tard sur une voie seulement. La SNCF n'a pas précisé la nature du décès. Le TGV 9734 Barcelone > Lyon a subi 25 minutes de retard.
http://www.midilibre.fr//2014/10/29/nimes-montpellier-un-corps-au-bord-des-voies-ferrees-trafic-interrompu,1073135.php

Saint-Jean-de-Luz : un homme saute de 10 mètres pour échapper aux flammes

Un incendie a éclaté mardi soir vers 21h30 dans l'immeuble Britania, boulevard Victor-Hugo. Une personne était grièvement blessée ce mardi soir. Les dégâts sont énor
mes dans cet ancien hôtel.

Un incendie a éclaté ce mardi soir vers 21 h 30 dans l'immeuble de la résidence Britania, au 52 boulevard Victor-Hugo au centre de Saint-Jean-de-Luz.
http://www.sudouest.fr/2014/10/28/saint-jean-de-luz-un-homme-saute-de-10-metres-pour-echapper-aux-flammes-1718940-4383.php

Saint-Laurent-de-la-Salanque : l'agence immobilière employait une retraitée sans la déclarer

Dans le cadre de la lutte contre l'économie souterraine, les gendarmes de Saint-Laurent se sont intéressés récemment à une agence immobilière de la circonscription.
Une agence dont le dynamisme les intrigue, car ses activités ne semblaient pas avoir pâti du licenciement de ses employés, en 2012. Les militaires mènent alors une enquête discrète, qui a tôt fait de confirmer leurs soupçons, et  décident d'informer les services des impôts et de l'Urssaf de leurs doutes. 

Et le 10 octobre dernier, gendarmes et fonctionnaires décident de procéder à un contrôle de l'agence, où une employée est en train de conclure une vente. Or il apparaît que l'employée, âgée de 62 ans, ne figure sur aucun registre des employés, pas plus qu'elle ne fait l'objet d'une déclaration préalable à l'embauche.
L'employée dans un premier temps tente de nier toute implication, mais face aux éléments présentés, finit par reconnaître que, retraitée, elle est embauchée sans être déclarée par la gérante. Laquelle, absente au moment du contrôle, sera entendue par la suite et reconnaîtra avoir procédé de la sorte depuis deux ans. Elle répondra prochainement devant la justice de "travail dissimulé" et subira également un redressement fiscal, qui s'appuiera sur l'activité globale de l'agence au cours des années antérieures.
 

Fuite de gaz : plus de peur que de mal

Vers 17 heures, hier, un dispositif de secours important a été déclenché à Cahors, à la suite d'une alerte au gaz sur la voie publique. La fuite a été détectée avenue Maryse-Bastié, peu après le pont des Remparts. Les sapeurs-pompiers sont intervenus dans le cadre d'une procédure gaz renforcée de par la localisation de la fuite, en bordure de la route et au milieu d'un quartier, celui de la Croix-de-Fer. Cinq véhicules de secours ont convergé sur le site et un peu moins d'une vingtaine de pompiers a été mobilisée. Simultanément les équipes Urgence gaz de GRDF se rendaient sur place pour procéder très rapidement au colmatage de la fuite. Une rapidité qui a permis de limiter l'impact de l'incident. Les secours n'ont pas eu besoin d'instaurer un périmètre de sécurité. Si bien que quelques minutes après l'alerte, seuls les techniciens de GRDF étaient encore sur les lieux pour sécuriser l'installation. L'incident aurait été provoqué par une pelleteuse qui aurait touché une canalisation : des travaux sont en cours dans ce quartier.

mardi 28 octobre 2014

Loire-Atlantique: Un homme mis en examen et écroué pour l'assassinat de son fils de 17 ans

Un homme de 51 ans a été mis en examen et écroué lundi soir pour l'assassinat à coups de couteau de son fils de 17 ans, retrouvé mort samedi à leur domicile de Saint-Nicolas-de-Redon (Loire-Atlantique), a-t-on appris mardi de source judiciaire. Cet homme, qui nie la préméditation, a reconnu avoir tué son fils, mais après avoir voulu reprendre un couteau des mains de l'adolescent, à l'occasion d'une bagarre, a indiqué le parquet de Nantes, confirmant une information de Presse-Océan.
Déféré lundi après-midi, le quinquagénaire a été mis en examen pour «assassinat» et placé sous mandat de dépôt dans la soirée, conformément aux réquisitions du parquet, a-t-on ajouté de même source. Selon le parquet, les déclarations du père, qui ont beaucoup varié, sont «difficilement compatibles» avec les éléments matériels recueillis sur place.
L'adolescent est décédé dans la nuit de vendredi à samedi après avoir reçu cinq coups de couteau, dont un mortel au niveau du thorax, alors qu'il était dans un lit situé dans une mezzanine, a précisé le parquet. Son corps avait été découvert samedi après-midi, plusieurs heures après les faits, par un tiers venu au domicile du père, récemment quitté par la mère de l'adolescent, a expliqué cette source.

http://www.20minutes.fr/societe/1469659-20141028-loire-atlantique-homme-mis-examen-ecroue-assassinat-fils-17-ans

Un poids lourd transportant du carburant chute dans un ravin à Corps, en Isère

Un poids lourd stationné à Corps a chuté dans la Combe de Lara. Une chute vertigineuse qui avait de quoi inquiéter en raison de la proximité du lac du Sautet et d'un risque d'écoulement du contenu: du fioul. 
Les pompiers ont été alertés peu après 18 heures, ce lundi 27 octobre. Un camion venait de faire une chute de 70 mètres, en contrebas de la RN85, alors qu'il était garé à hauteur du garage du Dauphiné, à Corps. Les spécialistes des risques chimiques et du GRIMP ont été dépêchés sur place. Les premiers ont fait installer des barrages pour éviter une pollution du lac du Sautet. Les seconds ont dû gérer le relevage du poids lourd. Entre les deux, il a fallu dépoter la cargaison et mettre le carburant transporté dans un conteneur souple, ce qui a pris jusqu'à 2 heures du matin. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/10/27/un-poids-lourd-transportant-du-carburant-chute-dans-un-ravin-corps-579448.html

Bayonne : un conducteur prend la fuite suite à un accident et perd sa plaque d'immatriculation

Lundi 20 octobre, vers 15 heures, un motard a été grièvement blessé et hospitalisé suite à une collision avec une voiture, avenue du Maréchal-Soult, à Bayonne.
Le conducteur de l'automobile a pris la fuite, mais il a perdu une plaque d'immatriculation sur les lieux de l'accident. Celle-ci a permis de l'identifier. S'agissant d'un SDF, l'individu n'a pu être immédiatement localisé.
Son signalement a été en revanche diffusé aux forces de police, et samedi 25 octobre, vers 16 heures, à Anglet, des fonctionnaires de police secours ont reconnu, lors d'un contrôle, un individu pouvant correspondre au signalement diffusé. L'homme a été interpellé et placé en garde à vue car des témoins l'ont formellement reconnu et la clef de la voiture incriminée a été trouvée sur lui. Le mis en cause a continué de nier les faits. Il a été déféré au parquet lundi après-midi.
Un autre accident de la circulation suivi d'un délit de fuite s'est conclu par l'identification du conducteur, mais cette fois sur sa propre présentation au commissariat. La collision entre un scooter et une voiture a eu lieu dimanche 26 octobre, vers 5 h 15 à Anglet, avenue du Prince-de-Galles. Souffrant de multiples traumatismes, le pilote du scooter a été transporté à la polyclinique Aguilera de Biarritz. Le conducteur s'est lui présenté au commissariat d'Hendaye, spontanément après l'accident
http://www.sudouest.fr/2014/10/28/delits-de-fuite-resolus-1718189-3944.php

Condamné à un an de prison pour avoir foncé en voiture sur des vigiles

Un Villeneuvois de 24 ans a été condamné à un an de prison dont huit mois avec sursis et mise à l'épreuve pour une période de 3 ans. Quatre mois d'emprisonnement donc pour ce fou du volant dont le comportement a, comme le rappelait Fiametta Esposito, la procureur de la République, «failli tuer quatre personnes ce soir-là».
Ce soir-là, c'est la nuit du 24 au 25 octobre dernier et c'est devant une discothèque de Villeneuve bien connue. Il est 5 heures passées, et l'intéressé vient d'avoir des mots, un «échauffement», dira un portier videur, dans la boîte de nuit. Il en sort, pour y revenir mais au volant de sa voiture. Le personnel de sécurité n'a le temps que de s'écarter, l'avant du véhicule finit dans la façade. L'un des vigiles reconnaît derrière le pare-brise celui qui s'est manifesté quelques minutes avant.
Il veut le faire descendre mais lui ne veut pas en entendre parler. Du coup, il enclenche la marche arrière et blesse un ami piéton juste derrière sa voiture. À l'audience d'hier, cette victime en porte encore les stigmates. Nez cassé, hanche touchée, genou pas en grande forme. À la barre, juste devant son pote blessé avec ITT, ce Portugais de naissance reconnaît tout, mais ne parvient pas à expliquer son, ses gestes. Dix heures après, lors de son audition chez les policiers, il décrit encore «son coup de nerfs (…) Ils ne m'ont pas laissé dormir, tout le temps à me demander de signer des papiers».
Pour son avocate Me de Behr, même constat. «Il a pris conscience de ce qu'il a fait mais ce garçon ne comprend pas pourquoi il a eu ce comportement». Un début d'explication peut-être : «Son alcoolisme festif ne fait pas bon alliage avec sa nervosité». Les policiers ont procédé à un dépistage d'alcoolémie : 0,68 mg, plus de 1,2 g.
En demandant le mandat de dépôt, le ministère public entendait provoquer «un sursaut salutaire» chez l'intéressé. Cette part des réquisitions n'a pas été suivie par le tribunal. En revanche, ce fou du volant d'un samedi soir sur la terre a obligation de soins psychologiques.
«Ses nerfs lui ont joué des tours plus d'une fois», constatait la procureur de la République, qui rappelait que l'intéressé a été placé en garde à vue quelques heures après les faits «non pas pour ces violences, mais pour une tentative d'homicide volontaire au vu des premiers éléments». Des faits graves le 25 octobre déjà, qui le sont restés.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/28/1980702-condamne-an-prison-avoir-fonce-voiture-vigiles.html

Coup de hache en sortie de boîte : une futilité à l'origine de la bagarre

L'homme grièvement blessé dimanche matin à coup de hache, à la sortie d'une discothèque Toulouse, était toujours dans un état critique hier. Les enquêteurs de la sûreté départementale recherchent activement l'agresseur présumé.
Le jeune homme de 25 ans, très grièvement blessé, dimanche matin, vers 5 heures, d'un coup de hache à la tête, alors qu'il avait passé la nuit dans une discothèque toulousaine, route d'Agde (notre édition de lundi), était toujours entre la vie et la mort, hier. Les enquêteurs de la sûreté départementale étaient à pied d'œuvre afin de mettre la main sur l'auteur de ce coup ultra-violent.

Une soirée festive sans problème

Selon les témoins, la soirée s'était déroulée normalement dans la boîte de nuit. Puis deux petits groupes en sont venus aux mots, peut-être pour un regard trop appuyé envers une jeune fille.
Lorsque l'heure de la fermeture a sonné, les jeunes gens ont été priés de quitter l'établissement par les agents de sécurité qui les ont accompagnés à l'extérieur. «Dans la soirée, les membres des deux groupes étaient très aimables, polis, relate un témoin. Les choses ont dégénéré plus loin que la boîte de nuit.»
Selon certains éléments, la victime et ses amis auraient attendu l'autre groupe à quelques encablures de la discothèque. «Lorsqu'il est arrivé, ils ont sorti un cric et ont fracassé les vitres de sa voiture. Il s'est senti agressé.» Le groupe de la victime aurait alors pris la fuite, pourchassé par l'homme dont la voiture avait été vandalisée. Il serait parvenu à les stopper, un peu plus loin, toujours route d'Agde. C'est là qu'il aurait sorti la hache et asséné le coup violent sur la victime.

Pas d'interpellation

«Pour nous, ce qui s'est passé après cette soirée est dramatique, témoignait, hier, Gaëtan Delmas, le responsable du ÔClub, route d'Agde. Aucun des protagonistes, dans chaque groupe ne s'est jamais fait remarquer chez nous. Nous tenons à collaborer au mieux avec les enquêteurs.»
Hier, selon le procureur de la République Pierre-Yves Couilleau, aucune personne n'avait été interpellée dans cette affaire mais les enquêteurs travaillaient activement à identifier l'auteur du coup. De son côté, la victime était toujours hospitalisée dans un état critique.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/28/1980696-coup-hache-sortie-boite-futilite-origine-bagarre.html

lundi 27 octobre 2014

Deux enfants blessés dans un accident de la route dimanche à Grenade-sur-l'Adour

Un accident de la route impliquant trois véhicules s'est produit dimanche soir, vers 19 heures, à la sortie de Grenade-sur-l'Adour, en direction d'Aire-sur-l'Adour. Une voiture s'est lancée dans une manœuvre de dépassement lorsqu'une autre a surgi d'un chemin perpendiculaire. Surpris, ou pour éviter le choc, le conducteur a dû se rabattre et son véhicule est parti dans le fossé, heurtant au final un mur de clôture. 
Dans la voiture, sur les quatre personnes présentes, deux enfants ont été blessés. Le plus grand, âgé de 13 ans, a pu être soigné sur place. En revanche, le second, âgé de 9 ans, semblait plus sérieusement touché. Se plaignant des cervicales et des côtes, il pourrait avoir perdu connaissance après le choc. Il  a donc été transporté vers le centre hospitalier Layné, à Mont-de-Marsan, par les pompiers de Grenade.

http://www.sudouest.fr/2014/10/27/deux-enfants-blesses-dans-un-accident-de-la-route-dimanche-a-grenade-sur-l-adour-1717370-3452.php

Antoine Berge, le joueur de pipeau de «Bonne nuit les petits», est mort

Son célèbre air de pipeau a bercé plusieurs générations. Antoine Berge, l'interprète du générique la série télévisée pour enfants Bonne nuit les petits, est décédé jeudi dernier, à l'âge de 87 ans, à Fourneville, près de Honfleur, dans le Calvados.
Le célèbre morceau, inspiré d'une œuvre du compositeur italien du XVIIIe siècle, Jean-Baptiste Pergolèse, était joué dans la série par le marchand de sable.
Diplômé de la Guilde française des joueurs et faiseurs de pipeaux, Antoine Berge, architecte, a joué, enseigné et enregistré plusieurs disques avec son instrument favori.
Ayant reçu un cachet de 28 francs au moment de la création de l’émission, il avait réclamé en 1999 des réparations en justice pour droits d'auteur insuffisants. Selon lui, l'INA avait touché plus de 3 millions de francs grâce à ce générique.

http://www.20minutes.fr/television/1468771-20141027-antoine-berge-joueur-pipeau-bonne-nuit-petits-mort

Elle écrit au roi du Maroc pour récupérer ses deux petites filles

Le dossier des deux petites Tarbaises enlevées par leur père candidat au jihad semble au point mort. Leur mère lance un appel au roi du Maroc Mohamed VI.
Dans le salon de sa maisonnette de la banlieue tarbaise, Sandrine (1) a désormais une certitude. La seule. Elle subit «quelque chose qui (la) dépasse complètement, une situation diplomatico-politique inextricable dont (ses) deux filles sont les premières victimes». Raison pour laquelle elle a décidé samedi de s'adresser directement au roi du Maroc, Mohamed VI  pour demander son «attention bienveillante».
Rapide récapitulatif du dossier… Le 1er octobre dernier, Sandrine accouche à Tarbes d'un troisième enfant, un petit garçon. Mais deux jours plus tard son mari marocain, dont elle a assisté impuissante à la radicalisation salafiste, l'abandonne à l'hôpital avec le bébé. Prétextant sa mère mourante et des papiers à faire, il descend au Maroc avec leurs deux petites filles âgées de 4 et 2 ans et demi. 16 octobre ? Sandrine éberluée apprend l'arrestation de ce dernier à l'aéroport de Casablanca alors qu'aspirant jihadiste sous le nom de guerre Abou Assia El Maghribi, il s'apprêtait à rejoindre Raqqa en Syrie, via la Turquie, avec une nouvelle épouse et leurs deux fillettes. Deux petites Françaises que les autorités marocaines confient alors au père du terroriste présumé.
Depuis ? Sandrine a porté plainte contre son mari pour «enlèvement». Mais rien ne semble bouger quant au retour de ses filles en France.

Problèmes de santé

«Vendredi, j'ai pu parler à mes enfants au téléphone. L'aînée répète toujours la même chose. «Papa est parti, des messieurs sont venus nous chercher». Elle va avoir quatre ans mais elle refait pipi au lit», explique-t-elle, ce dimanche, très préoccupée aussi par la santé fragile de la plus jeune (lire ci-contre). Et par les zones d'ombre entourant son mari.
Celui-ci après s'être «déployé intensément pour se procurer une arme à feu en France», selon les enquêteurs, devait en effet partir s'entraîner en Syrie en vue d'un attentat contre le palais royal de Casablanca ou pour assassiner des ressortissants français. Publié hier par le ministère de l'intérieur marocain, un communiqué indique également qu'il prêchait le jihad à Tarbes. «Mais en aucun cas à la mosquée où on le voyait beaucoup moins et où les salafistes n'ont aucun pouvoir», affirme un pratiquant tarbais régulier.
Afin d'aider Sandrine et dans l'attente d'une décision judiciaire qui pourrait intervenir cette semaine à Tarbes, un comité de soutien s'est également constitué samedi (comite.assyla@yahoo.fr) et le délégué du défenseur des Droits devrait être saisi ce lundi, ainsi que la Ligue des Droits de l'Homme.
(1) Pour des raisons de sécurité et d'anonymat le prénom a été modifié.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/27/1980048-ecrit-roi-maroc-recuperer-deux-petites-filles.html

dimanche 26 octobre 2014

Angoulême : une retraitée de 69 ans jetée à terre pour son sac à main

Samedi soir, à 19h15, une femme de 69 ans a été violemment bousculée en centre-ville d'Angoulême, impasse d'Aguesseau, entre la Caisse d'Epargne et l'espace Franquin. D
Dépouillée de son sac à main, elle souffre de fractures à la clavicule et au fémur. La victime demeure hospitalisée à Girac.
Elle a chuté, « poussée en avant », indique-t-on au commissariat, par plusieurs agresseurs, sans pouvoir distinguer ceux-ci. Le sac à main a été retrouvé ce dimanche matin, à proximité : papiers et carte bancaire n'ont pas été emportés, mais il manque 200 euros en espèces.

Appel à témoins

Quelques minutes à peine après la fermeture des commerces, les policiers ne désespèrent de glaner des témoignages : toute personne qui aurait remarqué des comportements suspect est invitée à contacter le commissariat au 05 45 39 38 37.
http://www.sudouest.fr/2014/10/26/angouleme-une-retraitee-de-69-ans-jetee-a-terre-pour-son-sac-a-main-1716617-813.php

Courrières : un blessé par balle lors d'une tentative de braquage du magasin Netto

Samedi 25 octobre, vers 20h00, alors que le gérant sort de son magasin, plusieurs individus, dont au moins un armé, l'agressent. Plusieurs coups de feu auraient été tirés dont un blessera gravement le gérant à une jambe, selon La Voix du Nord.

Les pompiers confirment être intervenus au Netto de Courrières et avoir transporté un homme blessé par balle à la jambe au centre hospitalier de Lens.

Les malfaiteurs auraient ensuite pris la fuite à pied, sans butin.

L'enquête a été confiée à la Sûreté Départementale de Lens. Il y a un mois, le gérant, après un autre braquage de son magasin, confiait son ras le bol et celui de ses salariés au
journal en ligne

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/10/26/courrieres-un-blesse-par-balle-lors-d-une-tentative-de-braquage-du-magasin-netto-578504.html

Courcouronnes : un homme entre la vie et la mort après une agression à l'arme blanche

Le pronostic vital de la victime était engagé après son agression, samedi, sur une place commerçante de Courcouronnes (Essonne), par un individu armé d’un couteau.
Selon les premiers éléments recueillis, les deux hommes se connaissaient. Ils se seraient bagarrés pour un motif qui reste à éclaircir.
La victime, poignardée, a néanmoins pu désigner formellement son agresseur à l’arrivée des secours.

Le suspect a été interpellé dans la foulée tandis que la victime a été transportée dans un état grave à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne).

http://www.leparisien.fr/essonne-91/courcouronnes-un-homme-entre-la-vie-et-la-mort-apres-une-agression-au-couteau-26-10-2014-4242877.php

Villiers-le-Bel : quatre jeunes blessés à l’arme blanche

Il est un peu plus de 5 heures ce dimanche matin lorsque les sapeurs-pompiers sont appelés rue de la Navetière, dans la Zone d’activités des Tissonvilliers, à Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise. Sur place, ils découvrent quatre jeunes hommes, âgés de 17 et 20 ans, blessés à l’arme blanche. Deux d’entre eux sont gravement touchés alors que les blessures des deux autres sont plus légères
Ils ont été évacués vers les hôpitaux de Gonesse et d’Eaubonne. Aucun pronostic vital n’est engagé.

Les faits se sont déroulés devant une salle de réception où avait lieu un anniversaire. Une est en pour tenter de comprendre ce qui s’est passé. Pour l’heure, les blessés ne sont pas en état d’être entendus

http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/villiers-le-bel-quatre-jeunes-blesses-a-l-arme-blanche-26-10-2014-4242799.php

Une voiture folle fait un blessé grave en plein centre-ville

Un très violent accident de la circulation s'est produit, hier, au petit matin, en plein centre-ville de Toulouse. Il était aux environs de 5 h 50 sur le boulevard de Strasbourg, lorsque des témoins ont entendu un véhicule arriver en trombe depuis Arnaud-Bernard. Quelques secondes plus tard, le conducteur de cette voiture en a perdu le contrôle. Il est allé littéralement s'enrouler autour d'un platane du côté de la place Jeanne-d'Arc.
Aussitôt, les sapeurs-pompiers et le Samu ont été prévenus. Ils se sont rendus sur place où ils ont prodigué les premiers soins au conducteur et à son passager. Ce dernier n'a été que légèrement blessé mais le conducteur, âgé d'une vingtaine d'années, a été conduit à l'hôpital. Hier, son pronostic vital était engagé, il avait été placé en coma artificiel. Vitesse excessive ? Consommation d'alcool ? Non-port de la ceinture ? Problème technique ? Une enquête de police a été ouverte.
Cet accident a choqué les témoins présents hier matin sur les boulevards. À cette heure, les commerçants du marché Cristal étaient en pleine installation. La voiture folle, si elle n'avait percuté un arbre, aurait pu faire de nombreux blessés

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/26/1979518-un-blesse-grave-dans-un-accident-en-centre-ville.html

samedi 25 octobre 2014

Beauvais-Tillé (60) : les passagers du vol Rabat-Beauvais refusent de quitter l'avion

Vendredi en début de soirée, les passagers d'un vol Ryanair en provenance de Rabat (Maroc) sont restés à bord plus d'une heure après leur arrivée avec près d'un jour de retard. Ils réclamaient le remboursement de leurs billets

Selon nos informations, les péripéties ont commencé jeudi avec un précédent vol Rabat-Beauvais. Des Angolais sans-papiers, qui étaient à bord, se sont vu refuser l'entrée sur le territoire national par la police aux frontières et ont été renvoyés vers le Maroc.

Les autorités marocaines ont à leur tour bloqué les trois hommes, qui ont décidé de rester dans l'avion, obligeant la compagnie à annuler la rotation vers Beauvais. Les passagers qui devaient se rendre en France ont dû attendre une vingtaine d'heures avant de pouvoir prendre le vol suivant. Ryanair n'aurait alors pu réserver que dix-huit chambres d'hôtel ; les autres voyageurs ont dû patienter dans l'aéroport.

C'est pour se plaindre de la gestion de leur mésaventure par la compagnie à bas-coût irlandaise qu'ils ont décidé de rester dans l'avion après leur arrivée dans l'Oise vendredi à 18h45.

Malgré cette manifestation d'humeur, Ryanair n'a pas consenti à un geste commercial. La compagnie n'a pas souhaité commenter l'incident.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/10/24/beauvais-tille-60-les-passagers-du-vol-rabat-beauvais-refusent-de-quitter-l-avion-578036.html

TGV Paris-Brest: une bande de jeunes sème la panique

A 21h08 le TGV à destination de Brest quittait la gare Montparnasse à l'heure. Mais aux alentours de 23h il est arrêté en gare de Vitré pendant près d'une heure pour permettre l'interpellation d'un groupe de fauteurs de troubles.

Une dizaine de jeunes, âgés de 18 à 20 ans, est en train de semer la panique à bord du train. Montés sans titre de transport les jeunes hommes font du tapage, agressent verbalement les passagers et dérobent ordinateurs, portables et autres tablettes dans les bagages. Le chef de bord décide alors d'alerter sa hiérarchie qui fait appel aux forces de l'ordre. Le train est stoppé en gare de Vitré pour permettre aux gendarmes de procéder aux interpellations.

Vers minuit sept jeunes sont mis en garde à vue. D'après les premiers éléments les importuns seraient originaires des Yvelines et des Hauts de Seine mais leur destination reste encore inconnue. Aucun des objets déclarés volés par les passagers n'ont cependant été retrouvés sur eux, ce qui complique les affaires des gendarmes qui tentent aujourd'hui de rassembler des témoignages et plaintes de passagers.

Le Parquet de Rennes a été saisi

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/10/25/tgv-paris-brest-une-bande-de-jeunes-seme-la-panique-578116.html

Un cycliste percuté par une automobile

Ce vendredi, à 21h30, un cycliste âgé de 52 ans, habitant d’Uchaux, a été percuté par une voiture, sur la route d’Uchaux à Orange. Victime d’un traumatisme crânien avec perte de connaissance, il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers d’Orange et le Smur.
Transporté au centre hospitalier d’Orange, il a ensuite été transféré au service de réanimation de l’hôpital d’Avignon. Dans cette ligne droite, alors que la victime, accompagnée par un autre cycliste (originaire de Cavaillon) se dirigeait vers Uchaux, une voiture qui arrivait en face leur a fait des appels de phare pour leur signaler qu’ils étaient peu visibles. Le cycliste, qui ne portait pas de chasuble fluorescente obligatoire, s’est alors arrêté au milieu de la chaussée pour s’adresser au conducteur de l’automobile. Mais une voiture qui arrivait dans le même sens de circulation que les cyclistes ne les a pas vus. Elle a percuté le vélo par l’arrière et l’Uchalien a été violemment projeté.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3098857/un-cycliste-percute-par-une-automobile.html

Un forcené sème la panique en tapant sur les vitrines

Un forcené d'une trentaine d'années a été interpellé hier matin, à 10 heures, devant le bureau de Poste, par les policiers municipaux.
Depuis l'aube, cet homme d'une trentaine d'années, venu de Toulouse, terrorisait les passants et commerçants du centre-ville. Déjà connu pour des troubles psychiatriques, l'individu a fait l'objet d'un placement d'office à l'hôpital Bon Sauveur à Albi.
Lydie Laprade, gérante de la poissonnerie des Halles, se rendait dans son magasin : «Il était 5 heures, j'ai vu un homme taper violemment avec ses poings contre les vitres de la Banque Populaire, allées Jean-Jaurès. Quand il m'a vu au volant de ma voiture, il a traversé en courant la route. J'ai pris peur, j'ai accéléré. Il a tapé sur le capot», raconte-t-elle, encore sous le coup de l'émotion.
«J'ai appelé Patrick, mon mari, car j'avais besoin de réconfort et je ne me sentais pas en sécurité», confie-t-elle.
La peur de Lydie a été partagée par grand nombre de commerçants pendant plus de trois heures.
Allant de boutique en boutique, le forcené inquiétait ses interlocuteurs par des propos incohérents et des gestes menaçants.
Buralistes, pharmaciens et bouchers ont reçu sa visite alors qu'ils ouvraient leurs commerces.
À la police municipale, le standard a bien failli sauter sous les multiples appels de personnes troublées par le comportement démentiel de cet homme.
À 10 heures, alors que la porte d'entrée du Crédit Mutuel venait de faire les frais de l'agressivité de l'individu, il a été appréhendé par les policiers municipaux au grand soulagement des habitants.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/25/1979099-un-forcene-seme-la-panique-en-ville.html

Deux accidents mortels sur les routes de Haute-Garonne

Un jeune Ariégeois de 22 ans a été tué sur l'A66 et un Haut-Garonnais de 60 ans a trouvé la mort sur la D6 dans deux accidents de la route survenus hier matin.
Hier matin, en l'espace de trois heures, deux drames se sont joués sur les routes de Haute-Garonne. Il n'était pas encore 7 heures quand une Citroën, qui roulait sur l'A66 dans le sens Toulouse-Foix, a percuté l'arrière gauche d'un petit poids-lourd qui roulait devant elle à hauteur de la commune de Gibel. À bord, deux jeunes Ariégeois de 22 ans, amis et collègues de travail dans une concession automobile de Pamiers. Leur véhicule a heurté le rail de sécurité, fait des tonneaux et s'est immobilisé sur le toit. Marco Jover, le conducteur, a été éjecté. Il est mort sur le coup. Son passager, grièvement blessé, a été désincarcéré par les pompiers puis transporté par hélicoptère au CHU toulousain de Rangueil. Hier soir, son pronostic vital n'était plus engagé. Le conducteur du camion, un homme de 60 ans, n'a pas été blessé. L'axe autoroutier a été coupé près de trois heures. Dès hier matin, l'émotion était très vive à Foix où Marco Jover était bien connu. Le jeune homme évoluait depuis l'enfance au club de rugby de Foix, l'Union sportive fuxéenne. Après une parenthèse professionnelle toulousaine, il avait repris cette saison une licence dans son club de cœur.

Sortie de route au Fousseret

Vers 10 h 20, c'est un autre terrible accident qui s'est produit cette fois sur la D6 au Fousseret, dans le sud du département. Trois amis, retraités originaires de la région de Cazères, rentraient vers cette commune à bord d'une fourgonnette après avoir débarrassé un local familial au Fousseret. Voyant dans son rétroviseur un automobiliste entamer un dépassement, le conducteur a serré à droite. Trop. Le véhicule a heurté le bas-côté et terminé sa route dans un arbre. Les trois hommes étaient assis à l'avant du véhicule. Le passager situé le plus à droite, âgé de 60 ans, est mort sur le coup. Le passager du milieu, né en 1945, a été héliporté dans un état grave au CHU toulousain de Purpan. S'il souffre de plusieurs traumatismes, ses jours ne sont pas en danger. Le conducteur, âgé de 62 ans, a été blessé plus légèrement. Il a été évacué par ambulance vers le CHU de Rangueil.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/25/1978686-deux-accidents-mortels-sur-les-routes-de-haute-garonne.html

vendredi 24 octobre 2014

Il avoue le meurtre de l'ex de sa compagne

Un homme de 31 ans, qui s'est spontanément présenté à la police de Nancy pour avouer le meurtre du père des enfants de sa compagne, devait être mis en examen et placé en détention provisoire en fin d'après-midi, a-t-on appris de source judiciaire.

Le cadavre d'un homme de 41 ans avait été découvert samedi après-midi, le long d'une route départementale à une quinzaine de kilomètres de Nancy, alors que ses deux enfants âgés de 2 et 10 ans se trouvaient à bord du véhicule situé à quelques mètres de la scène de crime. "Il ressort de l'autopsie qu'il a reçu deux balles", a indiqué vendredi à l'AFP le substitut du procureur de Nancy, Pierre Jund.

L'enquête, qui poursuivait plusieurs pistes pour ce crime sans témoin, a connu un tournant majeur mercredi soir, lorsque le nouveau compagnon de la mère des enfants de la victime s'est présenté au commissariat de Nancy, en indiquant être l'auteur des coups de feu. "D'après ses déclarations, il s'agirait d'un différend ancien entre les deux hommes qui a dégénéré. On peut par ailleurs penser que leur rencontre a été fortuite", a indiqué M. Jund, alors que le suspect devait être mis en examen pour meurtre ce soir, avant son placement en détention provisoire.

Ce dernier, connu des services de justice principalement pour des cambriolages et des violences, était astreint au port d'un bracelet électronique. "Les faits se sont déroulés lors de ses 'heures de sortie'. Ensuite, lorsqu'il est rentré chez lui, il a décidé de couper son bracelet", a précisé le substitut du procureur.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/24/97001-20141024FILWWW00250-il-avoue-le-meurtre-de-l-ex-de-sa-compagne.php

Nord: Une jeune fille passée à tabac sous le regard de passants passifs

Nouveau drame de la passivité. Le 2 octobre, une étudiante de 18 ans a été rouée de coups par trois filles de son âge à l'entrée de la station de métro «Croix mairie» a-t-on appris, vendredi, par nos confrères de La Voix du Nord.

Une lèvre explosée et 2 jours d'ITT

Tôt, le jeudi 2 octobre, au moment de s'engouffrer dans la station de métro proche de la mairie de Croix, l'étudiante est prise à partie par trois filles de son âge. Très violentes, les agresseuses en veulent aux affaires de la victime, qui refuse de se laisser dépouiller. Très vite, les coups pleuvent et l'étudiante termine au sol, copieusement battue par les trois furies. le bilan est lourd: deux jours d'ITT (interruption temporaire de travail), des points de suture à la lèvre, des cheveux arrachés, des contusions sur tout le corps et un téléphone envolé.
Pendant qu'elle se faisait tabasser, et alors qu'elle appelait à l'aide, la jeune étudiante a pu constater que plusieurs personnes étaient passées sans pour autant essayer d'arrêter la bagarre. Les dires de la victime vont être confirmés par par les policiers après le visionnage des bandes de vidéosurveillance du métro. Selon nos confrères, les parents de l'étudiante dénoncent plus «la lâcheté des gens que la gravité de l'agression».
Cette affaire rappelle l'agression subie par une femme d'une trentaine d'années dans le métro à Lille. Là aussi, des personnes présentes sur le quai de la station n'étaient pas intervenues.
Une enquête a été ouverte pour tenter de retrouver les trois auteures du passage à tabac.
http://www.20minutes.fr/lille/1467599-20141024-nord-jeune-fille-passee-tabac-sous-regard-passants-passifs

Un cheval tombe dans une piscine

Les sapeurs pompiers des centres de secours de Cahors, Castelfranc et Prayssac sont intervenus pour le sauvetage d'un cheval tombé dans la piscine d'un particulier. Les faits se sont produits hier peu avant 8 heures. L'animal, d'un poids de 800 kg se trouvait dans 50 m 3 d'eau. Les sapeurs pompiers ont procédé au vidage de la piscine, et ont soulevé le cheval avec des moyens de levage. Très apeurée, la bête fort heureusement est sortie saine et sauve.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/24/1978477-un-cheval-tombe-dans-une-piscine.html

jeudi 23 octobre 2014

Bordeaux : après les agressions au laser, descente de police dans le quartier des Aubiers

Dans le jargon policier, cela s'appelle « donner un coup de pied dans la fourmilière ». Mercredi, en fin d'après-midi, plus d'une trentaine de policiers du Service de sécurité de proximité (SSP), de la brigade anticriminalité (BAC) et de l'unité cynophile légère, ont mené une vaste opération dans le quartier des Aubiers, à Bordeaux. Cette Slic (Structure légère d'intervention et de contrôle) menée sur réquisition du parquet n'a donné lieu à aucune interpellation mais les policiers ont procédé à des vérifications d'identité.
Ils ont également investi des barres d'immeubles et passé au peigne fin des caves et cages d'escaliers. L'objectif de cette mission, appelée à se renouveler au cours des prochains jours et des semaines à venir, est de sécuriser le quartier afin d'éviter notamment de nouvelles agressions de conducteurs de bus et de tramway avec des pointes laser.
Dimanche dernier, une nouvelle attaque au laser a été dirigée contre un conducteur. Désormais, au moindre signalement, le trafic cessera en direction des Aubiers selon la CGT transports qui se dit inquiète face à la recrudescence de tirs lasers.
Depuis le début de l'année, 51 faits ont été recensés par le syndicat Force ouvrière qui dénombre également 15 procédures d'agressions et quatre arrêts de travail liés à ce phénomène (lire « Sud-Ouest » du 16 octobre). « Un conducteur a dû être licencié en juillet dernier, rappelle Jean-Luc Doucereux, délégué FO. Après avoir été blessé par un pointeur laser, il a des problèmes de vue et tous ses permis lui ont été retirés. Nous n'avons pas trouvé de solution de reclassement et il a fini par accepter le licenciement. »
L'inquiétude et la tension montent chez les conducteurs. Mardi, Xavier Sanchez, secrétaire général CGT transports, a écrit au directeur de Keolis Bordeaux, Hervé Lefèvre, pour lui demander d'organiser une réunion intersyndicale dans les plus brefs délais. « Il est primordial que nous trouvions ensemble des solutions afin que les salariés comme les usagers ne soient plus des cibles, mises en danger par ces tirs laser. Il est urgent que nous ayons une intervention commune auprès du préfet, du procureur de la République et du président de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) afin d'endiguer ce fléau, d'autant que le sentiment d'insécurité et de ras-le-bol dans l'entreprise est grandissant. » Le syndicaliste menace même de décréter « un arrêt total du réseau » et de lancer un préavis de grève « pour être entendu ».
Les policiers de la Direction départementale de la sécurité publique, sensibilisés sur ces attaques au laser ont donc réagi. Au quotidien, des patrouilles fréquentes tournaient déjà dans le secteur mais, désormais, celles-ci vont s'intensifier et des policiers en tenue vont assurer une présence qui devrait être dissuasive.

http://www.sudouest.fr/2014/10/23/descente-de-police-dans-le-quartier-des-aubiers-1713104-2780.php

Incendie à Paris : une mère et son fils grièvement blessés

Une jeune femme et son enfant de 18 mois ont été grièvement blessés ce jeudi matin dans l'incendie de leur immeuble, dans le XIIIe arrondissement de Paris. Leur pronostic vital restait engagé, selon les pompiers.
"La jeune femme a fait deux arrêts cardiaques et a été réanimée par les médecins sur place", a précisé le lieutenant-colonel Samuel Bernès, porte-parole des sapeurs-Pompiers de Paris. Trois autres personnes ont été prises en charge, dans un état moins inquiétant.
L'incendie s'est déclaré peu après 4 heures dans un immeuble de cet arrondissement au sud de Paris. Les flammes ont d'abord pris dans un boîtier électrique de la façade du bâtiment, avant de se propager dans la cage d'escalier, montant six étages.
Le feu a ravagé l'escalier mais "les flammes n'ont pénétré aucun appartement", ont détaillé les pompiers, expliquant que la mère et l'enfant avaient été brûlés "en ouvrant leur porte". "De nombreuses personnes ont été évacuées mais le feu est maîtrisé et est en cours d'extinction", ont précisé les pompiers aux premières heures du matin.


http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/23/1977965-incendie-a-paris-une-mere-et-son-fils-grievement-blesses.html

mercredi 22 octobre 2014

La Rochelle : le match de foot se termine aux urgences de l'hôpital

Dans les jours à venir, les présidents de deux clubs de football rochelais seront convoqués à la mairie. Il s'agira alors de faire le point et de tirer les conclusions de l'acte de violence qui s'est produit, dimanche après-midi, lors de la rencontre entre deux équipes évoluant en 5e division de district.
En l'occurrence la formation B du Football club Atlantique de Villeneuve-les-Salines et l'équipe C La Rochelle Mireuil ; le match se déroulait sur le terrain du Petit-Marseille, devant un public d'environ 60 personnes.

Violence après le but

Là, juste avant le coup de sifflet final, un attaquant de l'équipe de Villeneuve, qui avait participé à l'action permettant à son équipe de marquer un troisième but, accrochant ainsi un victoire 3-2, s'est fait frapper par quatre ou cinq joueurs de l'équipe adverse. À la source de cette réaction, se trouverait une faute de l'intéressé. Dans l'hypothèse, « cela ne justifie pas les coups portés, c'est inqualifiable », déplorent conjointement le président du FC Atlantique, Christophe Dunoguiez et Saïd Chemmali, le président de La Rochelle-Mireuil.
Le premier était sur le stade en tant qu'arbitre ; le second se trouvait à Port-Neuf pour une autre rencontre. Christophe Dunoguiez précise que la situation n'a pas plus dégénéré car les coéquipiers de l'attaquant ont tout fait pour protéger le joueur, sans pour autant en venir aux mains. « Dans ce type de situation, je leur demande de garder leur calme », insiste-t-il.
Au final, le match a donc été à son terme et aucune mention n'a été portée sur la feuille de match, un document que la capitaine de Villeneuve-les-Salines, n'a cependant pas signé.

Soigné aux urgences

Quant à la victime, elle a quitté le stade par ses propres moyens, avant l'arrivée des pompiers et de la police. La mairie de La Rochelle était alertée de la situation. Dans la soirée, le joueur agressé s'est rendu aux urgences de l'hôpital Saint-Louis. Neuf agrafes lui ont été posées sur le crâne. Il n'a pas déposé plainte. Il a quitté l'établissement public de soins vers 1 heure et reprendra l'entraînement dans dix jours.
La présidence de son club n'entend pas jeter de l'huile sur le feu et n'a pas déposé plainte. Saïd Chemmali souhaite aussi l'apaisement. Il déclare cependant : « Je vais réunir le bureau et des sanctions vous être prises. Ce qui s'est passé est dommageable car nous avons travaillé et nous travaillon pour cela n'arrive pas. »
http://www.sudouest.fr/2014/10/22/le-match-de-foot-vire-a-la-violence-1712230-1391.php

Deux employées d'un hôtel de luxe braquées pour 200 euros, route de Revel

Un nouveau braquage s'est produit, dans la nuit de lundi à mardi à Toulouse. Deux hommes armés ont braqué les employées d'un hôtel, route de Revel. Ils sont repartis avec 200 €. Il n'y a pas eu de blessé.
«Elles sont traumatisées. Elles ont eu très peur. Quand je les ai eues au téléphone, elles étaient en pleurs.» Pascal Gouga, le responsable de l'hôtel trois étoiles Quietat, route de Revel à Toulouse, était inquiet, hier, pour deux de ses employées. Les deux femmes ont en effet été braquées par deux malfaiteurs, dans la nuit de lundi à mardi.
Il était aux environs d'1 h 20 lorsque l'agression s'est produite. Les braqueurs ont pénétré dans l'hôtel en s'aidant d'une chaise posée sur la terrasse. Ils sont parvenus à se hisser jusqu'à la fenêtre de la salle du petit-déjeuner et à la faire coulisser.
L'une des réceptionnistes s'est alors aperçue de l'intrusion. «Elle a hurlé, décrit le responsable. Ils l'ont menacée et elle s'est tue. D'ailleurs, ce matin (N.D.L.R., hier matin) des clients ont dit qu'ils avaient entendu quelque chose. Ils pensaient que c'était peut-être une télé mais le bruit ne s'est pas répété.»
Pendant ce temps, au comptoir de la réception, les deux employées, dont une était en formation, étaient menacées par un couteau et une arme de poing. Les deux hommes voulaient absolument se faire conduire au coffre. «Mais nous n'avons pas de coffre, juste un tout petit fond de caisse. 90 % des paiements se font par carte bancaire. Ce n'est pas ici qu'ils pouvaient faire leur beurre, comme leur a dit notre collègue.»
Après s'être fait remettre moins de 200 €, les braqueurs se sont fait ouvrir les portes principales et ont conduit leurs deux victimes dans la laverie de l'hôtel. «Ils leur ont demandé de compter jusqu'à 200 et sont partis.»
Les deux victimes ont ensuite appelé la police. «Elles m'ont contacté après, poursuit le responsable. Elles étaient choquées et en pleurs.»
Les policiers de la sûreté départementale ont été saisis de cette affaire.
Il s'agit du cinquième braquage commis à Toulouse depuis vendredi matin, lorsqu'un jeune homme de 20 ans avait été tué par un policier alors qu'il venait d'agresser le personnel d'une supérette.

mardi 21 octobre 2014

Une convoyeuse de fonds en fuite après avoir dérobé 256 000€

Une salariée de la société de transport de fonds Loomis a pris récemment la fuite, sans doute à l’étranger, après avoir dérobé près de 256.000 euros à la compagnie, a-t-on appris mardi de source judiciaire et de source proche de l’affaire.
Le vol aurait eu lieu le 11 octobre mais n’a été découvert que quelques jours plus tard par la société, déjà marquée par le vol spectaculaire en novembre 2009 de 11,6 millions d’euros par un convoyeur de fonds, Toni Musulin, condamné depuis à cinq ans de prison
http://www.dna.fr/actualite/2014/10/21/une-convoyeuse-de-fonds-en-fuite-apres-avoir-derobe-256-000

Pont-à-Mousson : un motard "vert" sauve la vie d'une vieille dame

Un motard amateur d'enduro qui circulait à moto samedi dans un chemin, non loin du stade de Norroy-lès-Pont-à-Mousson a probablement sauvé kla vie d'une dame de 79 ans. «Le chemin était très gras», confie le motard, qui, entre chien et loup, distingue une forme au loin. Croyant, à un animal, il ralenti. Les bras lui en tombent. « Une petite dame de 79 ans était tombée dans une flaque d’eau. Ne dépassait qu’une épaule, et la tête, face contre terre. Son chien attendait à ses côtés ». Philippe (NDLR, le motard a souhaité rester anonyme) met pied au sol, et extirpe non sans difficulté la malheureuse de sa fâcheuse posture. Il repart ensuite à moto vers le stade pour donner l'alerte, puis retourne près de la dame pour attendre les secours. Venus en 4x4 les pompiers évacuent la vieille dame vers l'hôpital, où elle était toujours ce lundi.
On notera que le motard n'entend tirer aucune gloriole de son geste puisqu'il a souhaité rester anonyme. Il espère en revanche redorer le blason des amateurs de randonnées motorisées, souvent diabolisés
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/10/20/pont-a-mousson-un-motard-vert-sauve-la-vie-d-une-vieille-dame

lundi 20 octobre 2014

La vieille dame de 93 ans se fait dérober 14 000 euros par 3 faux-policiers

Une femme de 93 ans s'est fait dérober 14.000 euros, dimanche 19 octobre, par trois hommes entrés chez elle en se faisant passer pour des policiers à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
Les trois voleurs se sont présentés à l'entrée de son appartement munis d'une fausse carte de réquisition. Ils ont prétendu effectuer des vérifications après une série de cambriolages dans le quartier.

La nonagénaire a alors ouvert sa porte, laissant les trois malfaiteurs fouiller de fond en comble l'appartement, où se trouvait une enveloppe remplie d'argent
d'espèces. Cette enveloppe contenait 14.000 euros. Ils sont partis avec.
Une enquête a été confiée au commissariat d'Aulnay-sous-Bois.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/10/20/la-vieille-dame-de-93-ans-se-fait-derober-14-000-euros-par-3-faux-policiers-574956.html

Bergerac : il tire sur un SDF pour le faire fuir de la maison de retraite

L'après-midi chaude de samedi s'annonçait paisible dans le vieux Bergerac. Mais elle a été fortement troublée vers 16 heures par le comportement d'un SDF très alcoolisé. Avec plus de 2 g d'alcool dans le sang, il s'est mis à importuner des pensionnaires de la RPA Saint-Jacques, une maison de retraite voisine de l'église du même nom.
Alerté, le gardien de la résidence a tenté de temporiser, en vain. Sa démarche a eu l'effet inverse : l'individu l'a poursuivi jusqu'à la résidence. Le gardien, qui pratique le tir sportif, est allé chercher dans son logement de fonction un revolver de petit calibre, et l'a chargé de cinq balles. Il a tiré au sol à deux reprises, espérant faire fuir l'homme. Sans effet. Dans une seconde salve, également de deux balles, il a touché le SDF dans le gras de la cuisse, provoquant une blessure sans gravité, mais qui n'a en rien calmé sa vindicte.

Un autre SDF arrive avec un couteau

Un habitant du quartier, dont le passé n'est pas angélique, mais qui a réalisé que les choses prenaient une très mauvaise tournure, s'est alors interposé et a désarmé le gardien, espérant, lui aussi, faire baisser la tension.
Mais un autre SDF, armé d'un couteau alors que le premier ne manifestait son agressivité que par des paroles et des gestes, est intervenu sur les lieux. Une femme de service de la résidence est parvenue à désarmer ce deuxième agresseur et a jeté le couteau dans la fontaine de la place, où l'objet a été retrouvé aussitôt après.

Les résidents ont loué la gentillesse du gardien

Le gardien et ses agresseurs ont été placés en garde à vue. Le premier s'est vu confisquer toutes ses armes, mais a été vaillamment défendu par les résidents qui ont loué sa gentillesse. Il a lui-même été très choqué par cet épisode.
Il a été mis en examen pour violences avec arme sans ITT, tout comme le SDF qui a brandi un couteau et qui est par ailleurs en état de récidive.
Tous deux sont convoqués pour s'expliquer le 3 juin 2015, dans le cadre d'une procédure de « plaider-coupable ».

http://www.sudouest.fr/2014/10/20/des-coups-de-feu-en-plein-centre-ville-1709729-1733.php

Une nouvelle école incendiée par une voiture bélier à Corbeil-Essonnes

Une voiture bélier en flammes a été projetée dans la nuit de dimanche à lundi contre une école maternelle de Corbeil-Essonnes, provoquant un incendie.
C'est le deuxième incident grave de ce type en quinze jours dans cette ville.  Une voiture bélier en flammes a été projetée dans la nuit de dimanche à lundi contre une école maternelle de Corbeil-Essonnes, provoquant un incendie. "Le bâtiment a été noirci" mais personne n'a été blessé, le bâtiment étant inoccupé, a expliqué la source policière, confirmant une information d'i-Télé. Selon une deuxième source policière, "le sol du premier étage s'est effondré". "Deux individus ont été aperçus, qui ont pris la fuite à moto", a souligné cette source, ajoutant que le véhicule, qui a brûlé sous le préau de l'école,  avait été signalé volé à Villabé (Essonne).

Une quinzaine de pompiers sont intervenus entre 05H00 et 06H40. Selon eux, "les dégâts sont principalement dus à la propagation des fumées dans l'école". L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles. Dans la nuit du 5 au 6 octobre, une médiathèque et une école avaient été incendiées de la même manière dans le quartier sensible des Tarterêts, toujours à Corbeil.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/une-nouvelle-ecole-incendiee-par-une-voiture-belier-a-corbeil-8504791.html

dimanche 19 octobre 2014

Un homme s'accuse d'avoir tué son voisin

Un homme de 35 ans, qui s'accuse d'avoir tué en le poignardant son voisin à Athis-Mons dans l'Essonne, s'est rendu vendredi soir à la police.

Vers 21h30, cet homme "a arrêté un vendeur de pizza ambulant et lui a demandé de faire appel aux services de police car il venait de tuer un homme à la suite d'un différend", a expliqué une source policière, confirmant une information du Parisien.

Les policiers se sont alors déplacés jusqu'à lui et l'ont interpellé.

Ils se sont ensuite rendus dans un hôtel social d'Athis-Mons, où il vivait, et ont retrouvé dans une chambre voisine le corps d'un homme, victime de plusieurs coups de couteau à la gorge, selon une deuxième source policière.

Selon la première source policière, la victime est âgée de 50 ans. Le meurtrier présumé était "suivi par une unité psychologique".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/19/97001-20141019FILWWW00056-un-homme-s-accuse-d-avoir-tue-son-voisin.php

La Reynerie. Un homme attaqué au fusil de chasse en pleine nuit

Traquenard ou accident ? Règlement de comptes ou méprise ? Le flou demeure après l'agression dont a été victime vendredi soir vers 23 h 15 un homme qui traversait le square entre cheminement Cambert et le chemin Jean Gallia, au cœur de La Reynerie à Toulouse.
Cet homme âgé de 35 ans a été pris pour cible par un individu qui est arrivé le visage dissimulé, a sorti un fusil à canon scié et a tiré presque à bout portant sur la jambe droite de la victime. Un coup de feu avec des plombs de gros calibres qui ont provoqué de très importantes lésions de la jambe droite, en dessous du genou. Les pompiers et une équipe du Smur 31 lui ont porté les premiers soins. Sur place, aux policiers qui lui posaient les premières questions, la victime a affirmé ne rien savoir et ne pas comprendre cette agression. Transporté à l'hôpital Purpan, il a été opéré dans la nuit. Les orthopédistes auraient réussi à éviter l'amputation. Sa convalescence sera sans doute longue avec, c'est probable, de nouvelles interventions chirurgicales.
Côté enquête, les policiers de la sûreté départementale chargés de l'enquête ont de nouveau entendu la victime hier. L'homme affirme ne pas comprendre et pense avoir été victime d'une méprise. Une hypothèse que les policiers appréhendent avec prudence mais sans la négliger. La victime n'est pas connue des services de police, elle travaille, habite le quartier et elle n'aurait pas le «profil» d'un acteur des mondes parallèle et interlope. Sur place, à part le coup de feu, les témoins n'ont rien vu et presque rien entendu. L'agression a eu lieu dans un square particulièrement mal éclairé ce qui ne facilite pas les témoignages. L'agression, qui peut aussi s'appuyer sur des motifs plus privés, paraît en tout cas très éloignée des règlements de comptes qui ont secoué Toulouse ces derniers mois lors d'un conflit entre bandes sous fond de trafic de drogue aux Izards et à La Reynerie.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/19/1975170-reynerie-homme-attaque-fusil-chasse-pleine-nuit.html

samedi 18 octobre 2014

Lille : un homme tué par balles

Les faits ont eu lieu à Lille, rue Alfred de Vigny vers 10h30 ce samedi matin, juste devant le magasin "Centre technique de la literie". Des témoins ont entendu deux coups de feu et affirment que l'homme a été abattu. Les secours sont sur place. La police a confirmé la mort de l'homme, dont on ignore l'âge et l'identité vers 11h.

Selon La Voix du Nord, des personnes auraient relevé la plaque d’immatriculation du véhicule du meurtrier présumé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/10/18/lille-un-homme-tue-par-balles-573986.html

Toulouse : un homme blessé par balles par un tireur masqué au Mirail

Un homme a été sérieusement blessé par balle, la nuit dernire dans un square du quartier du Mirail à Toulouse, où un agresseur au visage masqué a surgi pour lui tirer dessus, a-t-on appris de source policière.
Le tireur, armé d'un fusil, est reparti aussitôt après avoir agi, a indiqué la police. Au tout début de l'enquête, toutes les hypothèses étaient envisagées samedi, dont celle d'un nouveau règlement de comptes. La victime, âgée d'une trentaine d'années, présente des blessures très sérieuses à une jambe, mais son pronostic vital n'est pas engagé, selon la même source.
L'agression s'est produite dans un square, entre deux cheminements, non loin de la station de métro Reynerie. Cette cité de la Reynerie fait partie du vaste ensemble du Mirail érigé il y a cinquante ans au sud-ouest de Toulouse.
La ville a connu depuis la fin 2013 une série de règlements de comptes dont quatre assassinats. Selon le parquet, ces violences s'inscrivent "sur fond de guerre de territoire à propos de trafics de stupéfiants". Lundi, à Toulouse, un homme de 21 ans avait été mis en examen et placé en détention provisoire pour "meurtre avec préméditation en bande organisée", dans l'enquête sur un assassinat à l'arme de guerre, commis le 14 août sur un parking, dans une commune située à la périphérie de la ville.

vendredi 17 octobre 2014

Biarritz : elle sauve les victimes, piste les agresseurs et les livre à la police

C'est une histoire à la Starsky et Hutch que l'on a pu entendre mercredi au tribunal de Bayonne. Suite à un vol de voiture avec agression, en août, une femme est intervenue, favorisant l'arrestation des malfrats
Les faits remontent à la fin du mois d'août. Dimanche 31, vers 4h30, un homme de 25 ans, aidé par un mineur, vole la Renault Laguna d'un couple sortant de discothèque, sur la voie publique à Biarritz.
Le vol s'est accompagné de violences sur les deux victimes, à qui les individus ont aussi volé un portable et un portefeuille. Ils s'enfuient.

Quatre ans ferme

Mais c'était sans compter l'intervention d'une femme, qui a finalement permis l'interpellation des deux jeunes gens. Après avoir aidé et transporté les victimes, elle avait pisté les auteurs des faits, appelé les policiers par téléphone et leur avait désigné les coupables !
Mercredi 9 octobre, le jeune homme de 25 ans, qui avait été placé en détention provisoire - et dont le casier judiciaire comptait déjà 22 condamnations, a écopé de quatre ans de prison ferme. Il a fait appel de cette décision.
http://www.sudouest.fr/2014/10/16/biarritz-elle-vole-aux-secours-des-victimes-piste-les-agresseurs-et-les-livre-a-la-police-1706613-4018.php

Les forces de l’ordre ramènent le condamné à bon port

Qu’un condamné soit raccompagné chez lui par les gendarmes, voilà qui pourrait surprendre. C’est pourtant ce qui s’est produit, mercredi, après la condamnation d’un homme à un an de prison avec sursis pour homicide involontaire.
Menacé de représailles par la famille de la victime, tuée dans un accident de la route survenu en 2012, sur la D5, à hauteur de Villeseneux, ce Givryen de 27 ans, issu de la communauté des gens du voyage et cousin du défunt, n’a eu en l’occurrence d’autre choix que de quitter le palais de justice de Châlons-en-Champagne sous escorte policière. À l’issue de son jugement, les familles des deux parties, qui avaient d’abord été évacuées de la salle des pas perdus en raison d’échanges houleux, se sont en effet retrouvées sur la voie publique, face au palais de justice, pour régler leur contentieux. Et la partie civile, mécontente de la décision rendue par la juridiction, de promettre vengeance. Les policiers ont cependant fini par disperser tout ce beau monde sans échauffourées, avant que le condamné ne puisse enfin sortir du tribunal de grande instance. En compagnie de sa compagne, celui a alors quitté Châlons, encadré par deux véhicules de police, jusqu’à ce que les gendarmes ne prennent le relais jusqu’à Givry-en-Argonne. Ramené à bon port, l’homme a pu ainsi regagner son domicile sans encombres.

http://www.lunion.presse.fr/region/les-forces-de-l-ordre-ramenent-le-condamne-a-bon-port-ia18b0n424488

La victoire du pain au chocolat

Licenciée sans préavis ni indemnité. Pour faute grave. Sarah recevait sa lettre recommandée avec AR datée du 11 septembre 2012. Dans le courrier, la direction régionale de Lidl à Gondreville, lui notifiait la rupture de son contrat. Embauchée en CDI deux ans plus tôt au terme de quarante CDD empilés depuis 2008, il est reproché à cette caissière de 27 ans, d’avoir croqué sur son lieu de travail, le 1er août 2012, un petit pain au chocolat du hard discounter. Sans l’avoir réglé. Une viennoiserie surgelée, cuite sur place à 0,39 €.
À son retour de congés, la caissièreavait fait l’objet d’une mise à pied conservatoire. Depuis son entrée chez Lidl, Sarah n’avait semble-t-il « jamais fait l’objet d’avertissement ou de reproches » et estimant la sanction « totalement disproportionnée », la caissière décidait de contester son licenciement devant les prud’hommes de Nancy.
L’affaire a été évoquée le 28 mars, devant la 2e chambre de la section commerce. Défendue par Me Florence Alexis, l’ex-caissière est restée fidèle à ses premières déclarations. Elle ne reconnaît aucun vol « Si les 26.000 salariés de Lidl consommaient sans régler, ne serait-ce qu’une fois par semaine, un article à un euro, le préjudice serait d’environ 1,5 M€», argumentait-on face à elle, en évoquant une répétition des faits.
Dans son jugement rendu le 26 septembre, le conseil de prud’hommes de Nancy a rejeté l’ensemble des arguments de Lidl. Les juges ont considéré que les attestations fournies par l’enseigne n’étaient pas « probantes ». Et de conclure à un licenciement pour faute grave « injustifié et dépourvu de cause réelle et sérieuse ». L’ex-caissière  s’est vue accorder 8.800 € de dommages et intérêts. La SNC Lidl peut encore faire appel du jugement..... lire la duite sur ce lien ...... http://www.estrepublicain.fr/economie/2014/10/16/la-victoire-du-pain-au-chocolat

jeudi 16 octobre 2014

Gers : un couple de sexagénaires blessé dans un accident de la route

Un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule mercredi midi, au lieu-dit Lamothe, alors qu'il empruntait la route de Castéra. Le véhicule a fini sa course dans le fossé.
Grièvement blessé, le conducteur âgé de 69 ans a été transporté à la clinique des Cèdres à Toulouse. Plus légèrement touchée, sa passagère âgée de 64 ans a été évacuée vers l'hôpital de Condom par les sapeurs-pompiers.

Accident à Massy-Palaiseau : l’A 10 coupée

La collision entre un motard et un véhicule léger s’est produite ce jeudi matin vers 9 h 45 sur l’autoroute A 10, dans le sens -province à hauteur de Massy-Palaiseau. Et depuis 10 heures environ, l’A10 a été coupée à la circulation pour permettre à l’hélicoptère chargé de transporter le motard, un homme de 40 ans très sérieusement blessé, de se poser sur l’autoroute et de le conduire le plus rapidement possible au centre hospitalier du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne).
La conductrice de la voiture, une femme de 33 ans, a également été blessée et prise en charge dans un hôpital du secteur. Le trafic risque de rester perturber plusieurs heures car l’autoroute ne sera rouverte que partiellement tant que les deux véhicules accidentés ne seront pas évacués de l’axe.
http://www.leparisien.fr/palaiseau-91120/accident-a-massy-palaiseau-l-a-10-coupee-16-10-2014-4217529.php

Ces affaires célèbres résolues par des tests ADN

29 décembre 1995

Céline Figard, 19 ans, disparue dix jours plus tôt après être montée à bord d'un camion sur une aire d'autoroute du sud de l'Angleterre, est retrouvée violée et étranglée à 120 km de là. La police soumet des milliers de routiers à un test d'ADN et identifie Stuart Morgan, 36 ans, condamné à la prison à vie en 1996.

18 juillet 1996

L'adolescente britannique Caroline Dickinson est violée et tuée à Pleine-Fougères. Un vagabond de 39 ans, avoue, mais l'ADN le disculpe. Il confondra en revanche l'Espagnol Francisco Arce Montes, 55 ans, arrêté pour une agression en 2001 à Miami. Il est condamné en 2005 à 30 ans de prison.

11 juin 1998

L'exhumation du corps d'Yves Montand, décédé en 1991, pour un prélèvement d'ADN permet d'exclure qu'il est le père d'Aurore Drossart, contrairement à ce qu'elle prétendait avec sa mère depuis des années.

19 avril 2000

Après 200 ans de mystère, l'ADN révèle que l'enfant mort le 8 juin 1795 à la prison du Temple est bien le roi Louis XVII, fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette.

23 juillet 2006

À Séoul, Jean-Louis Courjault découvre dans son congélateur deux corps de nouveaux-nés. Avec sa femme Véronique, ils nient être les parents de ces bébés tués à la naissance, mais le 10 octobre 2006, les expertises ADN prouvent le contraire.

2 octobre 2008

Multirécidiviste en liberté conditionnelle, Pierre Bodein, 59 ans, dit «Pierrot le Fou», est condamné à perpétuité en juin 2004 dans le Bas-Rhin. Malgré ses dénégations, son ADN le désigne comme l'assassin de trois femmes.

20 septembre 2009

L'auteur de lettres de menaces signées «cellule 34», accompagnées d'une balle et envoyées fin 2008 à plusieurs personnalités politiques dont Nicolas Sarkozy, est arrêté dans l'Hérault grâce à des comparaisons ADN.

10 septembre 2014.

Un Landais de 56 ans, marié et père de deux enfants est arrêté à Retjons et avoue engarde à vue le meurtre de Christelle Blétry, tuée de 123 coups de couteau fin 1996 (il s'est rétracté depuis). Des traces ADN retrouvés sur les sous-vêtements de la jeune femme désignent cet homme condamné en 2004 pour tentative d'agression sexuelle.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/16/1973319-ces-affaires-celebres-resolues-par-des-tests-adn.html

mercredi 15 octobre 2014

Charente : une affaire trouble de faux-billets

Deux histoires, bien distinctes, ont été contées mardi devant le tribunal correctionnel d'Angoulême, qui examinait l'émission de faux billets de 10 et 20 euros, depuis le Sud-Charente, entre 2004 et 2006. La première version, celle des prévenus, est simpliste.
Louis, Girondin de Laruscade, 66 ans, a trouvé en 2004 une trousse de faux billets, dans une cabine téléphone de sa commune. Il décide de les revendre à Jean-Paul, retraité du cirque, pour 1 000 euros. C'est ce dernier et son épouse qui les auraient écoulés dans des lotos, comme à Chatignac ou encore dans une boucherie chalaisienne. Tous les deux sont décédés en 2008 et 2012.
Problème, l'enquête de gendarmerie, les auditions et même des écoutes téléphoniques et du domicile de Jean-Paul à Saint-Vallier, accablent Patricia, sa fille, et Charles, son gendre, 56 ans tous les deux. « Charles l'artiste », comme le surnomme son propre fils, magicien dans le cirque qui aurait, d'après ses propres aveux, fabriqué 300 000 billets de 10 euros et au moins 5 000 billets de 20 euros. Il a raconté aux gendarmes, lors de l'une de ses garde à vue, l'avoir fait grâce à une imprimante offset, dans une remorque, à Saint-Vallier, et les avoir vendus ensuite entre 2 et 2,5 euros pièce.

3 millions d'euros potentiels

Des aveux extorqués, selon lui, par les gendarmes à lui et à sa femme, Patricia, tout comme les témoignages de leurs enfants. Son compte en banque en Belgique a reçu près de 91 000 euros en 2005 : « La vente d'une caravane et de chevaux ! », se justifie-t-il.
Après avoir multiplié les versions, Patricia et Charles ont nié, mardi, leur implication : « C'était mon père, confesse-t-elle, je ne sais pas pourquoi il a fait ça à son âge. » Dans ses réquisitions, le procureur fait peu de cas des accusations du couple quant à son malmenage par les gendarmes : « Cela sonnait un peu comme du Audiard ! Mais on n'a pas sorti les tenailles : de la pression, il n'y en pas eu ! » Patrice Camberou a requis 3 ans de prison dont un an et demi avec sursis et 20 000 euros d'amende pour Charles, 2 ans avec sursis pour sa femme et 6 mois de sursis et 1 000 euros d'amende pour le troisième, Louis. La décision a été mise en délibéré au 25 novembre.

http://www.sudouest.fr/2014/10/15/une-affaire-trouble-de-faux-billets-1704369-1114.php

Douaisis : de faux clowns affolent la Toile et les cours d’écoles

C’est le mot-clef star de ce début de semaine sur les réseaux sociaux virtuels du Douaisis : clown. Un, deux, plusieurs ? Nul ne le sait vraiment. Mais ce que l’on dit partout sur Internet et dans les cours de récréation, c’est que ces clowns font peur aux enfants.
Le commissaire Thierry Courtecuisse, chef du district de police, « conçoi(t) très bien que les parents soient inquiets » mais veut d’abord s’appuyer sur du « concret ». Lundi après-midi, une plainte est déposée : une adolescente scolarisée au collège Anatole-France à Sin-le-Noble dit avoir été poursuivie par un clown armé. « La collégienne est très choquée, indique le commissaire. Elle décrit un individu menaçant avec une arme blanche. » Deuxième plainte ce mardi pour des faits qui se seraient produits vers 11 h 20, à proximité du collège de Lambres : une fille dit avoir été accostée par une personne déguisée en clown qu’elle a vue dans l’entrebâillement d’une porte de fourgonnette.
Les deux plaintes forment le socle de travail des enquêteurs. « On a aucune raison de mettre en doute la parole de ces adolescentes, dit Thierry Courtecuisse, mais on doit corroborer leurs déclarations et faire la part du vrai et du faux. » Le travail s’annonce plutôt compliqué : « Il n’y a pas de précision particulière sur les vêtements, un véhicule,... ». Dès ce mardi,les patrouilles de police ont été renforcées aux abords des établissements scolaires. « J’ai déployé un dispositif avec des effectifs en civil mais en une dizaine d’interventions aucun clown n’a été repéré. »
Au manque de précision des plaignants s’ajoute l’emballement et le flou des réseaux sociaux. « À Dechy, des parents nous ont remis des extraits de pages Facebook mais qui ne sont pas datées, il faut faire le tri », pointe le commissaire. Pas simple quand des clowns sont vus presque en même temps à Sin, Dechy, Guesnain ou encore Waziers.
Dans les établissements scolaires, le sujet est suivi de près par les éducateurs. Sans toutefois céder à une quelconque psychose : « Nous n’avons vu aucun clown, dit-on à la direction du collège Anatole-France. On écoute les élèves, c’est notre travail. » Même discernement au collège Romain-Rolland de Waziers où la rumeur disait que des parents avaient retiré leurs enfants mardi. « Il n’y a rien de tout ça », coupe le principal-adjoint.
Où est la vérité alors ? Doit-on voir dans ces faux clowns la copie du Joker, l’adversaire masqué de Batman dans le film The Dark Knight, ou celle de Killer Klowns (clowns tueurs) ? Batman était justement diffusé ce dimanche sur TF 1, y aurait-il un lien avec les événements ? « Ça ne peut s’inscrire que dans le contexte d’une mauvaise blague de potache », avance le vice-procureur Rémi Schwartz. Mais qui peut coûter cher.

« Nez rouge et perruque noire »

Guy (1), Dechynois de 33 ans, n’est pas du genre à se raconter des histoires. Pourtant, quand sa fille scolarisée à l’école Joliot-Curie de Dechy lui a parlé de ce clown, il a immédiatement fait le rapprochement avec la scène vécue samedi matin. « Je revenais de Lambres-lez-Douai, témoigne Guy. J’étais au volant de ma voiture et je roulais vers Dechy par la rue de Férin (qui longe la rocade est) quand j’ai vu un homme sur le bord de la route. »
Il était vers 11 h 30, il pleuvait et l’homme marchait seul vers Dechy. « Il portait un nez rouge, une perruque noire et avait un costume du genre gabardine. C’était bizarre, sous la pluie comme ça, déguisé... ça faisait un peu marche funèbre. »
C’était donc samedi matin, à Dechy, et Guy ne pensait pas que cette rencontre allait trouver une résonance énorme sur les réseaux sociaux et dans les cours d’école. « Depuis lundi, les enfants et leurs parents ne parlent que de ça, certains disent même qu’ils sont plusieurs, qu’ils se déplacent en groupe... » Des déclarations qui ne sont pour l’instant étayées par aucun fait concret.
1. Prénom d’emprunt.

http://www.lavoixdunord.fr/region/douaisis-de-faux-clowns-affolent-la-toile-et-les-cours-ia16b0n2436530