jeudi 31 décembre 2015

Marseille: Une Kalachnikov et un Magnum 357 sur le siège passager

Quand un banal contrôle routier aboutit à la découverte d’un petit arsenal. Des policiers de la brigade anti-criminalité de Marseille (BAC) ont découvert une Kalachnikov, un revolver 357 Magnum, ainsi que leurs munitions, à bord d’un véhicule qu’ils avaient pris en chasse mardi soir.

Les armes étaient sur le siège passager

L’affaire, révélée par La Provence, a débuté avec un contrôle refusé par le conducteur d’une Renault Megane, sur l’avenue Saint-Antoine, mardi vers 19h40. Bloqué par la congestion du trafic sur cette importante artère de Marseille, l’homme a pris la fuite à pied pour échapper aux policiers. Les brigadiers ont alors découvert les armes et les munitions, simplement placées dans un sac plastique posé sur le siège passager.
>>A lire aussi : Un chargeur et 40 kg de cannabis saisis à La Bricarde le 15 octobre
Le conducteur n’a pas encore été retrouvé, mais le fils du propriétaire de la Mégane s’est très rapidement présenté aux policiers en affirmant que sa voiture avait été volée plusieurs jours auparavant, sans qu’il n’ait encore eu le temps de déclarer le sinistre.
L’individu qui a pris la fuite devrait pouvoir être identifié par ses traces ADN, à condition qu’il ait déjà été fiché, d’autant qu’il a laissé des traces de sang derrière lui en enjambant un grillage.
L’enquête confiée à la police judiciaire a déjà, rapporte La Provence, abouti au placement en garde à vue d’une personne.
http://www.20minutes.fr/marseille/1757927-20151231-marseille-kalachnikov-magnum-357-siege-passager

mercredi 30 décembre 2015

Saint-Jeure-d'Andaure : écrasés par un arbre, le père est décédé, le fils grièvement blessé

Ce mercredi matin, un dramatique accident s’est produit sur la commune de Saint-Jeure-d’Andaure, près de Saint-Agrève, en Ardèche. Un père et son fils ont été écrasés par l’arbre qu’ils étaient en train de couper, au lieu-dit Ribes. Le papa, âgé d’une soixantaine d’années, touché au thorax, est décédé. Le fils, âgé d’environ 25 ans, est grièvement blessé. Il est actuellement pris en charge par la trentaine de pompiers présents et devrait être héliporté dans les minutes qui viennent
http://www.ledauphine.com/ardeche/2015/12/30/saint-jeure-d-andaure-fauches-par-un-arbre-le-pere-est-decede-le-fils-grievement-blesse

Malaise mortel à la cafétéria

Un homme âgé d'environ 70 ans a été découvert inconscient à la cafétéria du magasin Super U situé rue des Sports à Lingolsheim, ce mardi vers 11h30. En arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des pompiers, il n'a pu être réanimé et est décédé sur place
http://www.dna.fr/actualite/2015/12/29/malaise-mortel-a-la-cafeteria

mardi 29 décembre 2015

Villandraut: ils volent la caisse de la boulangère

Le ou les voleurs ont de la suite dans les idées. Lundi soir, la boulangère de Villandraut et de Préchac rentre chez elle à bord de sa voiture. Elle a, avec elle, la caisse du week-end de ces deux commerces
Devant chez elle, au  moment de franchir le portail avec sa voiture, elle remarque deux cageots laissés en travers de l'allée. Tout naturellement, elle descend de son véhicule en laissant le moteur tourner afin de les dégager. Seulement pendant ce temps là, un homme monte à bord du véhicule, passe la première et s'enfuie avec la caisse et le sac à main de sa victime.
La voiture sera retrouvée un peu plus tard à quelques centaines de mètres de là.
Le  préjudice s'élève à  plus de 10 000 €. La brigade de Saint Symphorien et la brigade des recherches de Langon mènent l'enquête. Ils devraient être rejoints, cet après midi, par les techniciens en investigation criminelle
http://www.sudouest.fr/2015/12/29/villandraut-ils-volent-la-caisse-de-la-boulangere-2229861-2932.php

Braquage de chantier : que cherchaient les agresseurs ?

Le vigile d'un chantier de construction de logements a été braqué par quatre hommes, dans la nuit de samedi à dimanche, passage André-Maurois, dans le secteur de Bellefontaine à Toulouse. Quatre personnes ont fait irruption, aux alentours de 2 h 30, dans la salle de repos du rez-de-chaussée. L'un d'entre eux était muni d'une arme semi-automatique, un autre d'un fusil. Trois des braqueurs ont visité les étages tandis que le dernier est resté avec le vigile. Les malfaiteurs ont pris la fuite quelques minutes après leur arrivée. Ils étaient chargés de sacs don t le contenu reste mystérieux. L'hypothèse d'un vol massif de cuivre n'était pas confirmée hier. La victime n'a pas été blessée mais a été très choquée. Une enquête de police est ouverte.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/29/2246572-braquage-de-chantier-que-cherchaient-les-agresseurs.html

lundi 28 décembre 2015

Rémérangles (60) : 5.000 poussins périssent asphyxiés dans l'incendie d'un hangar

Lendemain de week-end difficile pour un agriculteur dans l'Oise : l'un de ses hangars a été entièrement détruit par un incendie, samedi, en fin d'après-midi. 5.000 poussins sont morts, asphyxiés par les fumées. Selon l'exploitant, le feu a été provoqué par un dysfonctionnement du chauffage au gaz
Quelque 5.000 poussins ont péri dans l'incendie d'un hangar dans une exploitation agricole à Rémérangles, dans l'Oise, a-t-on appris dimanche 27 décembre auprès de la préfecture et des pompiers.

Le feu, qui s'est déclenché dans un hangar de 250 m2 aux alentours de 17 heures samedi 26 décembre, a été éteint par le propriétaire avant l'arrivée des pompiers, ont indiqué les secours.

Les 5.000 poussins abrités dans cet hangar sont morts par asphyxie, a précisé la préfecture. L'incendie, d'origine accidentelle, serait dû à un "dysfonctionnement du chauffage au gaz", ajoute cette même source

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/oise/oise-5000-poussins-perissent-dans-l-incendie-d-un-hangar-892387.html

dimanche 27 décembre 2015

Deux blessés graves dans un accident à Le Bizot ( Doubs)

Les 4 jeunes rentraient chez eux lorsque leur véhicule a quitté la départementale 242. Deux blessés graves ont été hospitalisés à Besançon. 
Deux blessés graves et deux blessés légers , c'est le lourd bilan de l'accident qui s'est produit à 5h40 ce matin sur la route départementale 242 à le Bizot. Un seul véhicule est impliqué et l'enquête de gendarmerie devra déterminer pour quelle raison le jeune conducteur a quitté la chaussée. Ce dernier est légèrement blessé ainsi qu'un des quatre occupants. En revanche, une jeune fille de 17 ans a été éjectée du véhicule, elle a été transportée par l'hélicoptère Dragon 25 dans un état grave au Chu Jean -Minjoz de Besançon. Un autre passager, âgé de 18 ans,a du être désincarcéré avant  d'être hospitalisé à Besançon également.  Les quatre jeunes originaires du Haut-Doubs rentraient chez eux. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/haut-doubs

Joyeux anniversaire Michel Piccoli: 90 ans et des films d'anthologie

hebergement d'image Il pousse Brigitte Bardot dans les bras de Jack Palance avec Godard dans Le Mépris. Romy Schneider tente de percer son mystère dans Max et les ferrailleurs. Elle le retrouvera pour le meilleur et pour le pire dans Les choses de la vie. Michel Piccoli, qui fête aujourd'hui, ses 90 printemps, peut se targuer de posséder une des plus importantes filmographies du cinéma.
Son jeu a toujours reposé sur un charme ambigu. Ce comédien, qui incarna si parfaitement Dom Juan, sait subtilement fiancer la noblesse et la bassesse. Le cynisme est son miel. Mais malgré la finesse de ses compositions le spectateur n'arrivent jamais tout à fait à le détester.
Michel Piccoli a tourné près de deux cents films en 70 ans de carrière. À partir de 1960, on le voit régulièrement dans des long-métrages qui vont marquer le 7e art. Godard immortalise donc sa séduction hautaine dans Le Mépris. Catherine Deneuve finit quand même par le rendre fou d'amour, lui le comte Philippe de Saint-Germain, dans Benjamin ou les mémoires d'un puceau.
Claude Sautet sera son réalisateur fétiche. Il aura le génie de le «marier à l'écran» à Romy Schneider. La passion et la glace réunies, ça ne pouvait donner que de grands films (Max et les ferrailleurs, Les Choses de la vie, Une histoire simple, Mado).
En 2011, Nanni Moretti le fait élire pape dans son Habemus Papam. La plus belle des consécrations pour cet immortel acteur.
http://www.lefigaro.fr/culture

Le forcené de Boé écroué

L'homme de 40 ans, armé d'un fusil à pompe qui a fait régner la terreur le jour de Noël au parc Passeligne-Pélissier de Boé, sera jugé lundi après-midi au tribunal en comparution immédiate pour «menaces de mort et violences avec arme». Il a été présenté hier devant un juge délégué au palais de justice et placé en détention provisoire. Dans un contexte mal vécu de séparation, vendredi matin il a averti sa compagne qu'il comptait se suicider. Mais il a refusé de lui révéler l'endroit où il se trouvait pour passer à l'acte. Tout en précisant qu'elle ne connaissait pas ce lieu de toute façon. Au prix de questionnements dans l'entourage sur les habitudes de son compagnon, la concubine a fini par trouver l'endroit et l'a vite rejoint au lac de Passeligne pour le dissuader d'accomplir son funeste projet. Mais le parc est loin d'être désert les jours fériés et les week-ends. L'homme a effrayé une joggeuse qui a eu un réflexe de peur en apercevant l'arme. Il lui a pointé dessus en déclarant : «Dégage ou je te bute !», avant de prendre à partie un autre coureur qui faisait aussi son footing matinal dans un site de verdure habituellement des plus tranquilles. La police a bouclé le parc, parlementé deux heures avec le forcené, avant de lui faire entendre raison. C'est un gradé du commissariat qui a joué le rôle de négociateur en le gardant au bout du fil jusqu'à ce que la situation se dénoue. Montrant qu'il était déterminé à en finir, il aurait à un moment donné du singulier huis clos avec son ex-concubine, tiré un coup de fusil en l'air. Une détonation assourdissante pour la victime lésée au niveau du conduit acoustique. Vers 14 h 30, il finissait par lâcher son arme sur les conseils insistants du policier. Mais dès que le commissaire ainsi que le négociateur se sont rapprochés de lui, l'individu a fait mine de reprendre son fusil. Aussi il a été neutralisé avec le taser. Le forcené aurait proféré des menaces de mort à l'encontre de la police : «La prochaine fois cela ne se passerait pas comme ça !», promettant un bain de sang. L'homme placé en garde à vue doit être soumis à une expertise psychiatrique. Jusqu'ici, cet individu domicilié à Bajamont et magasinier dans la vie, était traité pour troubles dépressifs. Il semble que la perspective d'une nouvelle rupture après un précédent divorce, l'a fait décompenser. Le Raid avait été demandé vendredi en renfort. L'hélicoptère a fait demi-tour car le suspect venait juste d'être interpellé
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/27/2245647-le-forcene-de-boe-ecroue.html#mLmhjlZcoB9yOtEo.99
 

samedi 26 décembre 2015

Lyon: une plaque de verre se détache de la tour Incity

Une quinzaine de pompier a été appelé en milieu de journée ce samedi 26 décembre car une plaque de verre de 5 mètres carrés s'est détachée du 26 ème étage de la toute nouvelle tour Incity de Lyon. L' élément n'a fait aucun blessé en tombant. 
Les secours ont tenté de faire tomber depuis l'intérieur de la tour les éléments qui menaçaient encore mais sans succès. Il a été décidé d'appeler les secours d'intervention en milieu périlleux (GRIMP), ils sont attendus sur place et vont intervenir depuis l'extérieur du bâtiment. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/

Un forcené menaçant armé d'un fusil à pompe à Passeligne

Un homme en dépression a basculé hier dans un accès de folie. Equipé d'un fusil à pompe, il a terrorisé sa compagne et des passants au lac de Passeligne. Il a fallu deux heures de négociations menées par un policier pour lui faire lâcher l'arme.
Un homme de 40 ans à tendance dépressive a créé sérieusement l'émoi, hier au lac de Passeligne de Boé, en exhibant un fusil à pompe de calibre 12. Il est plus de midi lorsque l'individu en question retrouve là-bas sa compagne, avec laquelle il se trouve en instance de séparation. On ne connaît rien des circonstances de ce rendez-vous, si ce n'est que cela ressemble à l'opération de la dernière chance. L'individu a du mal à encaisser la rupture. Dans un premier temps, il se livre à une forme de chantage affectif et promet de se suicider là, sous ses yeux. L'homme qui se balade armé dans le parc ne passe pas inaperçu. L'alerte est rapidement donnée au commissariat d'Agen, qui dépêche un équipage. À l'arrivée des fonctionnaires, le forcené est localisé de loin et le fusil à pompe est bien visible dans sa main.

Un coup de feu tiré

Dans ce même intervalle, deux promeneurs appellent «police secours» et indiquent avoir croisé cet homme menaçant qui les aurait visés avec son arme. Mise en joue, ou procédé pour les impressionner, afin qu'ils s'écartent ? En fin de journée, les témoins n'avaient pas encore été auditionnés sur ce point.
Un contact téléphonique est rapidement mis en place par un policier qui parvient à obtenir le numéro de portable du suspect. Il s'improvise négociateur et tente, durant deux longues heures, de le raisonner. Parallément, un périmètre de sécurité est établi par la police et les pompiers. Le gardien du site et la mère de l'auteur présumé, arrivée sur les lieux, sont placés sous protection. Deux ambulances se positionnent à l'entrée du parc. Le restaurant Imagine est contacté. Mais par chance, c'est période de fermeture. Le parc est grand avec plusieurs accès possibles. Les forces de l'ordre sont sur le qui-vive. L'entrevue pour parlementer avec la compagne s'enlise. L'individu est hors de lui. Et un coup de fusil, au moins, aurait été tiré selon la police. Victime d'un choc auditif lié à la détonation, la femme a été conduite aux urgences de l'hôpital. Elle devait être interrogée plus tard par les enquêteurs. L'intéressé, manifestement en crise, aurait également saccagé, de rage, sa propre voiture sur le parking de Passeligne avec la crosse de son fusil. Un individu aussi désespéré qu'incontrôlable.

Arrivée du Raid en hélicoptère

Le policier négociateur, toujours au bout du fil, a réussi à capter son attention deux bonnes heures, en jouant sur la corde sensible de ce père d'un enfant de 7 ans. Mais de par le profil imprévisible du forcené, et la présence dangereuse de ce type d'arme dans un lieu public, le concours du Raid de Bordeaux a été sollicité par le commissaire divisionnaire, arrivé sur place, qui est venu prêter main-forte au négociateur. Tous deux se sont mis à couvert du forcené, tout en le conservant dans le ur champ visuel. Alors que l'hélicoptère de la sécurité civile transportant les policiers du Raid s'approchait du site, la situation se débloquait brusquement, puisque le policier, en ligne, parvenait à lui faire décharger son fusil avant de le déposer à terre.
Le commissaire et le négociateur ont commencé à s'approcher, à environ 5 mètres de distance, tout en maintenant le dialogue. L'individu a été maîtrisé à l'aide du pistolet taser. Une décharge électrique, et les deux policiers ont pu le plaquer au sol et le neutraliser. L'hélicoptère n'a pas eu le temps de se poser. Il a opéré un demi-tour et regagné Bordeaux. L'homme a été placé en garde à vue. Il aurait commencé à réaliser la gravité de son acte. Selon les premiers éléments de la police, l'intéressé n'est pas connu de la justice. Il prendrait un traitement à base d'antidépresseurs et aurait «pété les plombs» face à cette nouvelle rupture sentimentale, après avoir connu un premier échec. Un drame vraisemblablement exacerbé par cette période de Noël où la solitude, pour les personnalités fragiles, est difficile à vivre.
 

Sortie de route : trois blessés

Il était environ 5 heures, hier matin, lorsque pour une raison que l'enquête ouverte par la police decazevilloise devra déterminer, un véhicule avec à bord trois jeunes hommes d'une vingtaine d'années a effectué une sortie de route, avenue de Rodez à Decazeville, après que le conducteur perdait le contrôle de son véhicule. Ce dernier heurtait violemment le pilier d'un portail et un muret, s'immobilisant ensuite au milieu de la chaussée. Choqués et souffrant de contusions, les trois jeunes hommes ont été conduits par les sapeurs-pompiers vers le centre hospitalier de Decazeville pour suivre des examens de contrôle. Ils ont pu en ressortir rapidement. Les investigations n'ont pas montré d'alcoolémie excessive.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/

vendredi 25 décembre 2015

Agression mortelle à Dunkerque : deux adolescents de 16 ans placés en détention

Deux adolescents de 16 ans ont été mis en examen pour coups mortels aggravés puis placés en détention ce jeudi en fin de journée à Dunkerque. Ils sont les auteurs présumés de l'agression qui a coûté la vie mardi à Kevin Pattyn, 22 ans, dans le quartier du Méridien à Malo. 
Les deux auteurs des coups mortels sur Kévin Pattyn, 22 ans, mardi en fin d'après-midi à Dunkerque ont été mis en examen ce jeudi pour "violences volontaires en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner" (coups mortels aggravés, ndlr). Les deux adolescents de 16 ans ont été placés en détention provisoire.

Une jeune femme de 19 ans, petite amie de l'un des deux agresseurs et auteur de coups sur la compagne de Kévin Pattyn, a elle été mise en examen pour violences en réunion. Elle a été laissée libre et placée sous contrôle judiciaire. 


Banale dispute qui dégénère

Mardi vers 17h45, Kévin Pattyn et sa compagne ont croisé le chemin des trois prévenus rue de Douvres, près des résidences Britania à Dunkerque. Les deux jeunes femmes se sont d'abord disputées et la situation a dégénéré. Kévin Pattyn est décédé sur place, sous les coups des deux adolescents.
L'un des deux agresseurs est le frère de la compagne du défunt. Les cinq protagonistes se connaissaient, certains habitant dans le même immeuble du quartier du Méridien.
Les deux mineurs incarcérés encourent une peine de 10 années de réclusion criminelle


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/agression-mortelle-dunkerque-deux-adolescents-de-16-ans-places-en-detention-891403.html

Voiture suspecte à Besançon : 800 personnes évacuées de la messe de Minuit

Il était aux alentours de 19 h 30 ce jeudi 24 décembre lorsqu’une alerte à la voiture suspecte a été lancée, devant une église de Besançon où 800 fidèles étaient réunis pour la messe de Minuit. Un appel à la police a en effet désigné un véhicule stationné en dehors des emplacements matérialisés, devant l’escalier d’accès à l’église Saint-Joseph, rue du Capitaine-Faure, dans un quartier proche du centre-ville à Besançon. Bien entendu, dans le contexte de menace terroriste pouvant viser des lieux de cultes catholiques, la suspicion a été prise aussitôt très au sérieux par les autorités.
La célébration, entamée à 18 h, était sur le point de s’achever lorsque les fidèles ont eu la surprise de voir pénétrer dans l’édifice plusieurs policiers. « Ils nous ont expliqué que nous devions évacuer l’église », raconte un témoin. « Ils nous ont demandé de nous serrer près du mur dans les allées et de sortir dans le calme ».
Selon plusieurs témoignages, l’évacuation s’est déroulée sans incident, voire dans la bonne humeur… « Nous, on est sortis en chantant ! » confiait un père de famille et son fils, visiblement amusés par ce début de soirée rocambolesque.
Les autorités, elles, prenaient les choses très au sérieux. Aussitôt l’alerte lancée, un périmètre de sécurité de 200 mètres autour de l’église a été mis en place. Les lieux ont été confinés et tous les accès interdits. Sur place, ont convergé des dizaines de policiers et de militaires mobilisés dans le cadre du dispositif Sentinelle, déployé au lendemain des attentats de janvier à Paris, et renforcé depuis ceux du 13 novembre. Des sapeurs-pompiers en grand nombre étaient également sur place. « C’est le déploiement normal de sécurisation d’une zone suspecte dans les circonstances que nous connaissons », expliquait le policier qui cordonnait les opérations.
A 20 h 30, la voiture ne semblait plus inspirer d’inquiétudes : son propriétaire s’était fait connaître et s’était semble-t-il présenté sur place. « Mais nous attendons le service de déminage pour lever les derniers doutes », indiquaient les policiers.
Les personnes évacuées, elles, prenaient pour certaines les choses avec philosophie. De nombreux fidèles, dont les voitures étaient stationnées dans les rues neutralisées, ont dû repartir à pied… « Ça ne nous empêchera pas de réveillonner ! » souriait une Bisontine, marchant d’un pas décidé avec sa dinde sous le bras !
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/12/24/voiture-suspecte-a-besancon-800-personnes-evacuees-de-la-messe-de-minuit

jeudi 24 décembre 2015

Consommation de cannabis à usage thérapeutique ?

Le 30 juillet dernier à Saint-Gaudens, les services de police observent un individu au comportement suspect. Celui-ci tente de se dissimuler dans le hall d'un immeuble rue des Remparts. Contrôlé, il est trouvé porteur de 50 grammes de résine de cannabis. Au cours de la garde à vue, interrogé sur la provenance des produits, autant il reconnaît sa consommation illicite, l'acquisition et le transport de stupéfiants, qui constituent des infractions, mais, ; pour sa sécurité déclare-t-il, il ne peut dévoiler l'identité du revendeur sous peine de représailles.
La présidente questionne le prévenu âgé de 33 ans au lourd passé judiciaire, sur son activité actuelle : «comment occupez-vous vos journées». Ce dernier évoque confusément la recherche d'un emploi. «Vers quelle branche vous orientez-vous, précise la présidente du tribunal». Face à une réponse évasive, la présidente rétorque : «en fait, vous êtes plus axé sur la recherche de stupéfiants que d'un emploi».
La procureur évoque une pathologie, avec une addiction connue, et une maladie chronique. L'avocate du prévenu fait état d'un traitement à base de morphine suivi par son client pour soigner un cancer des testicules, alors qu'il était en détention à la maison d'arrêt de Foix.
À sa sortie de prison, le prévenu a stoppé ce traitement et s'est orienté vers le cannabis pour soulager ses douleurs avant une opération chirurgicale à venir début 2016.
Autant les vertus du cannabis thérapeutique sont reconnues, autant sa consommation est réglementée et interdite en France. D'autres produits pour soulager la douleur sont prescrits après avis médical. Face à ce qui constitue une infraction pénale, le tribunal condamne le prévenu à 1 mois de prison avec sursis et une mise à l'épreuve de 12 mois, ainsi qu'une obligation de soins.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/24/2243951-consommation-de-cannabis-a-usage-therapeutique.html

mercredi 23 décembre 2015

Caen : il escalade le sapin de la place Saint-Sauveur et termine au CHU

Il était une heure du matin quand un jeune homme de 21 ans a escaladé le sapin installé place Saint-Sauveur à Caen pour les fêtes sous les yeux de la police municipale médusée.
A une heure du matin , visiblement plus très frais, un jeune homme de 21 ans s'est mis à escalader le sapin de Noël de la place Saint-Sauveur à Caen. Ces amis sur place le laissent faire. Du public présent l'encourage à monter plus haut. Il tombe de l'arbre. Évacué par le SAMU en présence de la police municipale, il est admis au CHU avec un tassement de deux vertèbres. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/calvados/caen-la-mer/caen/caen-il-escalade-le-sapin-de-la-place-saint-sauveur-et-termine-au-chu-890595.html

Explosion dans une blanchisserie industrielle

Une explosion a fait trois blessés dont un grave il y a une heure dans une blanchisserie industrielle située zone des Cadestaux, à Vitrolles. C'est une chaudière défaillante qui serait à l'origine de la déflagration.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3726969/explosion-dans-une-blanchisserie-industrielle.html

Carmat: Décès du troisième greffé du cœur, la prothèse hors de cause

Le troisième patient ayant bénéficié d’une greffe d’une prothèse du cœur artificiel de Carmat est mort d’un arrêt respiratoire vendredi. La prothèse n’a pas eu d’incidence sur son décès, lié à une insuffisance rénale chronique, a indiqué ce mardi la société qui fabrique ce cœur artificiel.

Le patient de 74 ans souffrait d’insuffisance rénale

«Les analyses réalisées n’ont pas montré d’implication de la prothèse dans le décès du patient», contrairement aux décès des deux premiers patients greffés, a affirmé Carmat dans un communiqué.
L'homme de 74 ans avait regagné son domicile fin août, après avoir été greffé du cœur artificiel le 8 avril 2015 à Strasbourg. «Il souffrait d’une combinaison de pathologies sévères, en particulier d’insuffisance rénale, préexistante à l’implantation de la prothèse», selon Carmat.
>> A lire aussi: «Ce cœur artificiel est encore à un stade de maturation»

Un dispositif en cours de perfectionnement

Le coeur bioprothétique fabriqué par cette société est plein de promesses mais doit encore faire ses preuves, dans le cadre d'une étude de faisabilité. Les deux premiers patients greffés sont décédés à cause de défaillances du dispositif. Le premier, greffé en décembre 2013, est décédé 74 jours après l’opération menée à Paris, à l’âge de 76 ans. Le deuxième, âgé de 69 ans, est mort en mai dernier, 9 mois après avoir été greffé à Nantes et 4 mois après être rentré chez lui.
>> A lire aussi: Malgré le décès du deuxième patient, l’expérimentation «est un succès»
Ces deux décès ont été causés par une «microfuite de la zone sang vers le liquide d’actionnement de la prothèse», ayant engendré une «perturbation de l’électronique de pilotage des moteurs» du cœur artificiel, selon les analyses de Carmat.
En revanche, le décès de ce troisième patient n'est pas dû à un dysfonctionnement de la prothèse, qui était en parfait état de marche et a fonctionné «jusqu'à la fin» selon Carmat. Elle a été arrêtée par les médecins après le décès du porteur, a précisé à l'AFP Marcello Conviti, le directeur général de la société.

Un quatrième patient bientôt greffé

Par conséquent, ce décès ne remet pas en cause le planning de l'étude de faisabilité. Fin novembre, la société a obtenu les autorisations nécessaires pour greffer en France un quatrième et dernier patient dans le cadre de cette étude.
C'est la dernière étape avant une étude plus large, sur une vingtaine de patients dans dix centres d'implantation en Europe. Cette «étude pivot» visera à obtenir à terme le marquage CE, le sésame nécessaire pour une commercialiser ce dispositif inédit dans l'UE.

http://www.20minutes.fr/sante/1755443-20151222-carmat-deces-troisieme-greffe-ur-prothese-hors-cause

mardi 22 décembre 2015

DEPARTEMENTALE : Les sous-préfectures ont changé de numéro d'appel

La fin d'une année, le début d'une autre, c'est souvent l'occasion de prendre de nouvelles habitudes. Pour joindre les sous-préfectures, il vous faudra aussi changer vos habitudes. Certains numéros de téléphone ont changé.

- A Soissons, vous pouvez joindre le standard au 03 60 09 80 00. Le numéro de fax (03 23 74 56 51) reste inchangé.
 

- A Vervins, même modification : la sous-préfecture est désormais joignable au 03 60 09 80 82. Le numéro de fax ( 03 23 98 30 76) n'est pas modifié.
 

- A Saint-Quentin, les deux numéros changent. Pour contacter le standard, il faut composer le 03 60 09 81 11. Le numéro de fax est le 03 60 09 81 21.
 

- A Château-Thierry, deux nouveaux numéros également : 03 60 09 80 58 pour le standard et 03 60 09 80 59 pour le fax.

 http://www.aisne-info.net/actualite-2129-departementale-les-sous-prefectures-ont-change-de-numero-d-appel.html

Traînée par une voiture à Nantes : la scène a été filmée

Trois hommes ont été mis en examen hier pour leur implication dans un horrible fait divers : jeudi, une femme d'une quarantaine d'années a été poussée hors d'une voiture et traînée sur près de deux kilomètres dans le centre de Nantes. Elle se trouve toujours entre la vie et la mort.
Deux des suspects, dont le conducteur qui est l'ancien petit ami de la victime, et l'un de ses passagers, ont été mis en examen pour «tentative de meurtre», et un troisième pour «non-assistance à personne en danger».
Les trois hommes, âgés de 23 à 41 ans, devaient être présentés hier après-midi au juge des libertés et de la détention. La femme, âgée de 43 ans, passagère avant du véhicule, a été poussée hors de la voiture par son conducteur, non loin de l'hôpital de Nantes, et s'est retrouvée accrochée par sa ceinture de sécurité, à l'extérieur de l'habitacle.
L'ancien petit ami de la victime a alors démarré et accéléré, traînant la femme sur 1,9 km, en bordure de Loire. La ceinture a fini par céder dans un virage. La victime, «atrocement mutilée» a été transportée par le Samu au CHU de Nantes avec un pronostic vital «fortement engagé»
Les trois hommes, sans lien de parenté mais qui se connaissaient, appartiennent à «un milieu carencé, un peu marginal, sans activité professionnelle», et tous trois ont déjà été condamnés pour violences. Le chauffeur assure qu'il n'avait pas vu qu'il traînait le corps de son ancienne compagne, ce que semblent contredire les images et les témoignages.
Des témoins ont filmé l'altercation avec leurs portables et certains ont vu le conducteur donner des coups de poing à la femme avant de la projeter à l'extérieur»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/22/2243131-trainee-voiture-nantes-scene-ete-filmee.html

Retranché chez lui avec deux femmes et quatre enfants

Depuis 19 h 30 hier soir, un Villeneuvois de 25 ans était retranché chez lui, rue Camille-Saint-Saëns, retenant 2 femmes et 4 enfants. Selon les informations recueillies sur place, il s'agissait d'une de ses sœurs et d'une amie de celle-ci. Deux des enfants étant, eux, à sa sœur, les deux autres à lui. Une deuxième sœur du jeune homme s'est vue interdire l'accès à la maison et attendait la suite des événements dans une voiture.
Selon les premiers éléments, restant à confirmer, l'individu, en proie à une détresse financière et familiale, aurait «pété les plombs» après être tombé en panne avec son véhicule. A son père, venu le raisonner aux côtés des forces de police et des pompiers déployés aux abords de la rue Saint-Saëns, le jeune homme aurait simplement intimé de «trouver du pognon».
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Le parquet d'Agen, avisé depuis le début de l'affaire, avait décidé l'envoi en renfort de la Brigade anticriminalité à des fins de négociation avant une intervention éventuelle aux côtés de forces de police villeneuvoises. Finalement, peu avant 21h30, une des sœurs à ouvert la porte et le jeune homme s'est rendu, offrant un dénouement heureux à une soirée jusque-là stressante.
 

lundi 21 décembre 2015

Torvilliers (Aube) : deux blessés graves dans un choc frontal entre deux voitures

A Torvilliers près de Troyes dans l'Aube, peu avant 9h ce lundi matin, deux voitures sont entrées en collision dans un choc frontal sur la nationale 60. Les deux conducteurs, seuls au volant, un jeune homme d'une vingtaine d'année et un homme de 54 ans, sont grièvement blessés. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/aube/torvilliers-aube-deux-blesses-graves-dans-un-choc-frontal-entre-deux-voitures-889447.html

Bretagne: Un père de famille arrêté pour avoir enlevé sa fille de deux ans

Un père de famille a été arrêté dans la nuit de samedi à dimanche au péage de La Gravelle en Mayenne. Quelques heures plus tôt, vers 22h, l’individu et un ami s’étaient présentés au domicile de la mère, dont il est séparé, à Audierne dans le Finistère. Le père a alors enlevé sa fille de deux ans avant de prendre la fuite à bord d’un véhicule, rapporte Le Télégramme.

En garde à vue à la gendarmerie d’Audierne

Alerté, le parquet de Quimper a aussitôt délivré un mandat de recherche. Le père de famille étant domicilié à Chartres, les gendarmes du Finistère ont également contacté leurs homologues de Mayenne pour mettre en place une surveillance au péage de La Gravelle. Le véhicule des fuyards est finalement repéré vers 1h15 au péage et ses occupants interpellés.
Ramenés à la gendarmerie d’Audierne, le père de famille et son complice ont été placés en garde à vue dimanche matin. Ils risquent une mise en examen pour soustraction d’enfant, ainsi que pour violences volontaires aggravées sur la jeune mère de famille.
http://www.20minutes.fr/rennes/1754647-20151221-bretagne-pere-famille-arrete-avoir-enleve-fille-deux-ans

dimanche 20 décembre 2015

Kenya: L'atterrissage d'urgence de l'avion d'Air France du à une bombe factice

La bombe serait factice. Un avion d’Air France, en provenance de l’île Maurice et à destination de l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle à Paris, a dû se poser dans la nuit de samedi à dimanche à Mombasa, au Kenya, après la découverte d’un colis suspect à bord, a annoncé la police kényane.
L'objet découvert était en réalité «un ensemble composé de cartons et d'une espèce de minuteur», a déclaré, peu avant 16h, Frédéric Gagey, le président-directeur général d'Air France. Après analyse, il s'agit d'une fausse alerte (...) d'après les informations dont nous disposons.»

Atterrissage d'urgence au Kenya

Le vol AF 463, avec 459 personnes à bord et 14 membres d’équipage, avait quitté l’île Maurice à 21h locales et devait arriver à Paris à 5h50. Il a atterri à l’aéroport international Moi de Mombasa, sur la côte est du Kenya, à 00h37 locales. « Il a demandé un atterrissage d’urgence, après qu’un dispositif suspecté d’être une bombe a été découvert dans les toilettes. Un atterrissage d’urgence a été préparé, il a atterri sans problème et les passagers ont été évacués », a indiqué Charles Owino, un porte-parole de la police.

« Il y a eu un très gros bruit dans l’avion »

« Il y a eu un très gros bruit dans l’avion. Moi, je regardais mon écran et j’ai vu que l’avion était en train de tourner. Il y avait un peu de bruit, de secousses. Puis, à un moment donné, l’avion a beaucoup tremblé », a expliqué l’une des passagères à Europe 1.

« Des experts en explosif de la Marine et du Département d’investigations criminelles de la police (CID) ont été appelés, ont pris ce dispositif et le démontent pour voir s’il contenait de l’explosif », a-t-il ajouté. Le ministre kényan de l’Intérieur Joseph Nkaissery a indiqué en fin de matinée que la police interrogeait plusieurs passagers du vol, sans pouvoir en préciser le nombre exact.

« L’enquête est encore en cours, mais ce que je peux confirmer pour l’instant, c’est que les enquêteurs interrogent plusieurs passagers au sujet de l’engin qui a été trouvé à bord (du vol) d’Air France », a-t-il déclaré à la presse

Un retour dès ce soir à Paris des passagers et de l'équipage?

Le ministre s’est refusé à tout commentaire sur la nature de l’engin en question. « C’est une affaire internationale et nous parlons également aux autorités de l’île Maurice, pour savoir s’il y a eu une fouille des passagers avant qu’ils embarquent », a-t-il ajouté. Le ministère des Affaires Etrangères français a indiqué dans un communiqué que le Centre de crise et de soutien et l’ambassade de France à Nairobi avaient été mobilisés « en lien avec Air France et les autorités kenyanes, pour assurer l’hébergement et le retour dès ce soir à Paris des passagers et de l’équipage ».
Contacté, Air France a indiqué « retser en contact avec les autorités kényanes » et mettre « tout en oeuvre pour assurer le réacheminement de ses clients ». Un appareil doit être envoyé à Mombasa pour assurer leur retour vers Paris "en fin de journée » ce dimanche, indique la compagnie aérienne dans un communiqué.
Sur son compte Twitter, le ministère de l’Intérieur kényan a publié des images des passagers du vol évacués à l’hôtel Continental. Le ministre Joseph Nkaissery leur a rendu visite, et a déjeuné avec eux.
L’avion, qui est longtemps resté sur la piste d’atterrissage, a été déplacé en fin de matinée, alors que le trafic avait repris normalement sur l’aéroport.

http://www.20minutes.fr/monde/1754279-20151220-avion-air-france-atterrit-urgence-kenya-apres-alerte-bombe

Alerte à la bombe dans un avion d'Air France : "on ne connait pas encore la nature de l'objet

Le vol qui reliait l'Île Maurice à l'aéroport Charles-de-Gaulle avec à son bord 459 passagers et 14 membres d'équipage a dû atterrir en urgence à Mombasa, au Kenya
Un avion d'Air France, en provenance de l'île Maurice et à destination de l'aéroport Charles-de-Gaulle à Paris, a fait un atterrissage d'urgence dans la nuit de samedi à dimanche à Mombasa, au Kenya, après la découverte d'un colis suspect à bord, a annoncé la police kényane

Le vol AF 463, avec 459 personnes à bord et 14 membres d'équipage, avait quitté l'île Maurice à 21 heures locales et devait arriver à Paris à 05h50. Il a atterri à l'aéroport international Moi de Mombasa, sur la côte est du Kenya, à 00h37. 
Un objet suspect dans les toilettes
L'avion "a demandé un atterrissage d'urgence, après qu'un dispositif suspecté d'être une bombe a été découvert dans les toilettes. Un atterrissage d'urgence a été préparé, il a atterri sans problème et les passagers ont été évacués", a indiqué Charles Owino, un porte-parole de la police.
"Des experts en explosif de la Marine et du Département d'investigations criminelles de la police (CID) ont été appelés, ont pris ce dispositif et le démontent pour voir s'il contenait de l'explosif", a-t-il ajouté. L'avion, qui était longtemps resté sur la piste d'atterrissage, a été déplacé en fin de matinée, alors que le trafic avait repris normalement sur l'aéroport
L'enquête toujours en cours
Contacté, Air France indique qu'à ce stade "on ne connait pas encore la nature de l'objet" découvert à bord. "Les autorités kényanes continuent leur enquête et nous restons en contact avec elles".
Le ministre kényan de l'Intérieur Joseph Nkaissery, qui s'est immédiatement rendu à Mombasa, a indiqué en fin de matinée que la police interrogeait plusieurs passagers du vol, sans pouvoir en préciser le nombre exact mais s'est refusé à tout commentaire sur la nature de l'engin en question. 
"C'est une affaire internationale et nous parlons également aux autorités de l'île Maurice, pour savoir s'il y a eu une fouille des passagers avant qu'ils embarquent." Ministre kényan de l'Intérieur
Une passagère du vol, interrogée dimanche matin par Europe 1, décrit elle  une "vraie alerte à la bombe".
"Vers 6 heures du matin, on a commencé à avoir des nouvelles par le personnel naviguant. Une hôtesse de l'air m'a dit qu'elle avait vu le minuteur derrière le miroir des toilettes et qu'il n'y avait plus de doutes possibles : il s'agissait d'une menace de bombe."  Une passagère sur Europe 1.
La radio nuance tout de même en précisant qu' "Europe 1 n'est, pour l'heure, pas en mesure de confirmer" ces détails.

http://www.sudouest.fr/2015/12/20/un-avion-d-air-france-atterrit-en-urgence-au-kenya-apres-une-alerte-a-la-bombe-2223250-4755.php

Le compagnon jaloux incarcéré

Blessée de plusieurs coups de couteau vendredi vers 1 h 30, place Abbal à Toulouse, une jeune femme âgée de 20 ans a été hospitalisée rapidement après sa prise en charge par les pompiers et le Smur 31. Depuis, elle est soignée à l'hôpital Larrey mais l'évolution de son état de santé n'a pas permis aux enquêteurs de la sûreté départementale de recueillir son témoignage hier.
Son compagnon, un garçon de 20 ans qui travaille dans la restauration, a rapidement reconnu être l'auteur des coups de couteau. Ils ont provoqué sept plaies dont une importante qui a entraîné des problèmes pulmonaires en touchant la paroie fibreuse qui entoure les poumons. Cet homme a été rapidement arrêté chez lui, cheminement Jean-Wiener, moins d'une heure après les faits dans la nuit de jeudi à vendredi. Il ne s'est pas opposé à son arrestation et aurait rapidement admis avoir porté plusieurs coups de couteau à sa compagne. Selon les premières explications qu'il a données, il aurait très mal supporté la volonté de sa compagne de le quitter pour aller vivre avec un autre.
Hier après-midi, ce garçon arrivé en France à l'âge de 11 ans et qui n'avait jamais rencontré de problème avec la justice jusqu'à la nuit de jeudi à vendredi a été présenté au parquet de Toulouse, qui a ouvert une information judiciaire pour «tentative de meurtre». Mis en examen, le suspect a été placé en détention comme l'avait requis le parquet.
 

samedi 19 décembre 2015

Un homme blessé par balles à Thory (89)

Un homme d'une cinquantaine d'année a été grièvement blessé par balles ce samedi matin à Thory, dans l'Yonne. La victime a été hospitalisée à Auxerre. Deux personnes sont en garde à vue
A Thory, dans l'Yonne, un homme d'une cinquantaine d'année a été grièvement blessé par balles ce samedi matin peu avant 10 heures. Pris en charge par les secours, il a été hospitalisé en urgence à Auxerre.

"La thèse de l'accident de chasse n'a pas encore été confirmée et deux personnes sont en garde à vue" a précisé le procureur de la République d'Auxerre. Une enquête a été ouverte, menée par la gendarmerie d'Avallon.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne/un-homme-blesse-par-balles-thory-89-888659.html

Transport de cannabis, conduite dangereuse et délit de fuite pour le même jeune homme

Transport de cannabis, conduite dangereuse et sans permis, délit de fuite, le jeune homme de 20 ans était poursuivi jeudi au tribunal de Narbonne pour mise en danger d'autrui avec un risque de mort. Tous ces délits se sont déroulés en juin dernier. Le 22 juin sur l'autoroute à Narbonne, les motards des Douanes veulent le contrôler. Mais le jeune prend la poudre d'escampette à 220 km/h, en direction de Toulouse où il sera finalement rattrapé par la brigade anticriminalité (BAC) de Toulouse alors qu'il vient de prendre une bretelle à contresens.
Dans sa course, il avait jeté sa cargaison d'herbe de cannabis (1,2 kg) qui sera retrouvée par les douaniers. Au tribunal, le jeune homme, dont le casier judiciaire est vierge, déclare pour justifier sa fuite qu'il a eu peur. Depuis, il a trouvé du travail dans une société de sécurité.
Le tribunal a suivi les réquisitions du procureur de la République qui avait demandé 10 mois de prison avec sursis assortis d'une mise à l'épreuve de deux ans.
 

Témoin d'un grave accident à Tinqueux, il porte secours à son oncle sans le savoir

Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 0 h 30, le conducteur d’une Golf a été sérieusement blessé lors d’un accident survenu à la sortie de Tinqueux, entre l’échangeur de la traversée urbaine et le rond-point de la zone de Thillois. Dérapant sur la chaussée humide, la voiture a effectué plusieurs tonneaux avant de s’immobiliser sur le toit, son unique occupant incarcéré à l’intérieur.
C’est un couple qui a découvert l’accident. « Mon amie a prévenu les pompiers pendant qu’un autre automobiliste me rejoignait », témoigne Antony Garcia-Torres. « Nous avons arraché la portière. Je tenais la main du monsieur pour le tenir éveillé. L’autre personne lui parlait très fort pour montrer qu’il n’était pas seul, qu’il y avait de la présence autour de lui. Ensuite, la police et les pompiers sont arrivés. Nous sommes repartis. »
Antony Garcia-Torres l’ignorait alors : il venait de porter secours à son oncle ! « Il avait le visage ensanglanté. Je ne l’ai pas reconnu. Il a trois côtes cassées, trois vertèbres tassées, des hématomes au genou mais pour les secours, c’est un miraculé. »
Aujourd’hui, son oncle a quitté l’hôpital et Antony Garcia-Torres recherche l’automobiliste venu l’aider, « un homme jeune, Maghrébin ». « Heureusement qu’il était là pour le soutenir moralement. Pour moi, il lui a sauvé la vie. J’aimerais le retrouver pour le remercier. »
http://www.lunion.fr/node/622173

vendredi 18 décembre 2015

Denain : il s'échappe du commissariat et fonce en voiture sur un fonctionnaire

Un individu de 43 ans s'est présenté jeudi vers 17 heures au commissariat de police de Denain, signalant qu'il venait de frapper d'un coup de poing son ex-compagne de 30 ans. Comprenant qu'il allait être placé en garde à vue, l'homme prend la fuite et rejoint son véhicule.

Au volant de sa golf, il fonce ensuite délibérément sur le chef de poste qui tente de lui barrer la route, puis prend la fuite.
Tendances suicidiaires

Les policiers retrouvent plus tard son véhicule au domicile de sa mère à Rainsars. Introuvable, l'homme recherché a signifié à ses proches qu'il avait l'intention de mettre fin à ses jours. Une procédure de géolocalisation est déclenchée, et un chien pisteur est utilisé dans le secteur afin de retrouver le fuyard, en vain.

L'homme est toujours recherché.

Le policier renversé, âgé de 45 ans, a été hospitalisé. Il souffre de plaies à la tête, d'une fracture du cubitus et d'une suspicion de fracture du radius. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/denain-il-s-echappe-du-commissariat-et-fonce-en-voiture-sur-un-fonctionnaire-887823.html

Toulon: Un missile tombe sur le pont d'une frégate

D’ordinaire, elle en tire. Pas cette fois. La frégate antiaérienne Cassard, amarrée à l’appontement Milhaud II à Toulon, s’est retrouvée avec un missile de type SM 1 Tartar sur le pont.

Jeudi en fin de matinée, le missile est tombé sur le pont au cours d’un « mouvement de munitions planifié », selon Var Matin. Cet accident de manutention n’a « occasionné aucune blessure au personnel, ni aucun dégât sur le navire 
http://www.20minutes.fr/marseille/1753523-20151218-toulon-missile-tombe-pont-fregate

jeudi 17 décembre 2015

Une collecte pour Grégory tué à Echirolles

Des amis de Grégory Baharizadeh, le jeune homme de 18 ans tué le 5 novembre dernier à Echirolles (38) ont lancé une collecte sur le site Leetchi pour venir en aide à la famille.
Ce sont des amis proches de Grégory Baharizadeh et sa famille qui ont pris l’initiative de lancer cette cagnotte sur le site internet Leetchi.com.

Cette plateforme permet de collecter des fonds pour diverses causes et projets. Farid Righi, un ami des parents de Grégory a souhaité mettre en œuvre cette action intitulée " Solidarité pour la famille de Greg " pour témoigner affection et solidarité et affection, et répondre aux nombreux appels de personnes souhaitant soutenir la famille.

" On a été très touchés par ce qui est arrivé et par cette violence. Ce sont des amis très proches et on ne souhaite à personne de connaître un tel drame, qui nous renvoie à notre responsabilité de parents. Il faut se soutenir mutuellement et faire vivre le mot la fraternité, surtout dans le contexte actuel. Ce drame intervient dans le contexte de la clôture du procès dans l’affaire de Kevin et Sofiane, tués dans un parc d’Echirolles en 2012. Cette violence répétée, nous n’en voulons plus..."

Ce père de famille a jugé utile de lancer cette collecte car les  démarches administratives pour activer les fonds d’aide aux victimes prévus dans ce type de situations sont souvent longs et complexes à se mettre en place et qu’ils ne couvrent pas toujours les frais engagés par les familles.
Une marche blanche avait été organisée le 11 novembre à Echirolles pour honorer la mémoire de Grégory.

Lancée début décembre, les 54 contributeurs ont déjà cagnotté 2062 euros. Il reste 45 jours pour ceux qui souhaiteraient le faire.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/une-collecte-pour-gregory-tue-echirolles-886353.html

mercredi 16 décembre 2015

État d'urgence: cinq armes de guerre saisies dans l'Aisne

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Au total, 34 perquisitions administratives ont déjà été menées dans l’Aisne depuis le 15 novembre
Dans le département de l’Aisne, à ce jour, ce sont 34 perquisitions qui ont eu lieu, dans 18 villes de l’Aisne (Soissons, Villers-Cotterêts, Tergnier, La Fère, Château-Thierry, Laon, Chauny, Etampes-sur-Marne, Cuffies, Gauchy, Beautor, Marchais-en-Brie, Berzy-le-Sec, Belleu, Saint-Quentin, Joncourt, Etaves-et-Bocquiaux, Bézu-Saint-Germain).
Ces perquisitions ont abouti à quatre placements en garde à vue, cinq procédures judiciaires incidentes (principalement pour infractions à la législation des stupéfiants, et détention illégale ou non déclarée d’armes à feu), et deux infractions à la police administrative en lien avec l’exploitation d’un établissement recevant du public.

Collecte de données informatiques « indispensables »

Des petites quantités de drogues ont été saisies, ainsi que vingt-cinq armes, éléments d’armes et munitions, détenues illégalement ou non déclarées. Parmi elles, ce sont cinq armes de guerre qui ont été saisies. De nombreuses données informatiques ont été consultées et ont permis de collecter des renseignements « indispensables à la lutte contre la radicalisation violente », selon la Préfecture.
Dans un communiqué de presse, le préfet de l’Aisne précise que ces perquisitions «  sont menées de manière concertée avec l’ensemble des forces de l’ordre, ainsi qu’avec les services de la préfecture de la zone de défense, dans le respect des droits individuels, et de la réglementation en vigueur.  »
Dans le cadre de l’État d’urgence, les perquisitions administratives peuvent être décidées par l’ensemble des préfets de département. Elles doivent être «  précises et motivées, n’intervenir qu’en présence de l’occupant, de son représentant ou de deux témoins, et être exécutées en présence d’un officier de police judiciaire territorialement compétent.  »

http://www.lunion.fr/node/620154

OM : Vincent Labrune entendu par un juge dans l'affaire des transferts présumés douteux du club

Le président de l'Olympique de Marseille Vincent Labrune est entendu mercredi matin par un juge dans l'affaire des transferts présumés douteux du club marseillais.

Vincent Labrune, président de l'OM est entendu mercredi par un juge dans l'affaire sur les transferts présumés douteux du club, a indiqué une source judiciaire confirmant une information d'iTELE. L'enquête porte notamment sur 18 opérations de transfert ou de prolongation de contrats de joueurs passés par l'OM et a déjà donné lieu à la mise en examen de l'ancien président du club Jean-Claude Dassier (2009 à 2011) et de l'ancien directeur général Antoine Veyrat (2008-2011).

 
Elle a déjà donné lieu à la mise en examen de l'ancien président du club Jean-Claude Dassier (2009 à 2011) et de l'ancien directeur général Antoine Veyrat (2008-2011), à l'issue d'une convocation chez le juge.
 
Les transferts de Lucho, Mbia, Diawara, Azpilicueta, Gignac, Ben Arfa ou Heinze dans le collimateur

Parmi les opérations dans le collimateur de la justice figureraient celles concernant Lucho, Mbia, Diawara, Abriel, Niang, Azpilicueta, Rool, Morientes, Kaboré, Rémy, Gignac, Cheyrou, Ben Arfa ou Heinze. La justice soupçonne des opérations surévaluées, qui auraient pu donner lieu à des commissions indues versées à des agents ou des intermédiaires, au préjudice de l'actionnaire du club, pour un montant de 55 millions d'euros, a expliqué cette même source.

A l'origine du dossier, une information judiciaire pour "extorsion de fonds, blanchiment et association de malfaiteurs", ouverte en juillet 2011. Les enquêteurs soupçonnaient à l'époque des extorsions au préjudice du club, sous la forme de versements indus de commissions au profit de membres du milieu à l'occasion de transferts importants.
 
Toutes les gardes à vue des dirigeants ont été levées sans charge

Des perquisitions avaient déjà eu lieu au siège de l'OM en janvier 2013, au cours desquelles des documents avaient été saisis. Les locaux marseillais de l'agent Jean-Luc Barresi avaient également été perquisitionnés. En novembre 2014, puis en janvier 2015, des vagues de mises en garde à vue avaient conduit dirigeants de l'OM, intermédiaires et agents de joueurs à s'expliquer devant les enquêteurs, notamment l'actuel président du club, Vincent Labrune, et ses prédécesseurs Jean-Claude Dassier et Pape Diouf. Les gardes à vue des dirigeants avaient alors été levées sans charge.

Plusieurs fourgons de livraison attaqués à la veille des fêtes

Les cadeaux déposés sous le sapin à l'occasion de Noël sont de plus en plus souvent issus de la vente par correspondance, notamment via internet. Certains malfaiteurs l'ont bien compris et, à un peu plus d'une semaine de Noël, ils ont décidé de faire main basse sur les précieux colis.
Hier, les attaques de camions de livraison se sont succédé dans l'agglomération toulousaine. La première agression s'est déroulée aux alentours de 9 heures du matin à Portet-sur-Garonne. Alors qu'un chauffeur allait livrer une société, il a été sommé par deux hommes encagoulés et vêtus de sombre de leur laisser son fourgon Mercedes. Pas armés mais très persuasifs, les deux hommes sont vite repartis avec l'engin. L'alerte a aussitôt été donnée auprès des services de gendarmerie et de police. Une heure plus tard, les deux malfaiteurs ont dû abandonner le fourgon sans emporter la marchandise après avoir eu un accident dans le quartier du Mirail. Ils ont pris la fuite à pied.
Un peu plus tard, vers 11 heures, route de Fenouillet à Toulouse, une agression en tout point similaire s'est produite. Le chauffeur d'un camion de livraison de la Poste, arrêté à un feu, a été bousculé par deux hommes encagoulés. Ils l'ont obligé à sortir de sa cabine et sont repartis avec le camion. Dans l'après-midi enfin, route de Launaguet, le même scénario s'est joué pour le chauffeur d'une voiture de livraison. S'agit-il de la même équipe ? La gendarmerie et les policiers de la sûreté départementale sont chargés de ces enquêtes.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/16/2239306-plusieurs-fourgons-de-livraison-attaques-a-la-veille-des-fetes.html

mardi 15 décembre 2015

Péronne (80): un corps retrouvé dans l'étang de Cam

Un corps aurait été retrouvé lundi soir aux abords de l'étang de Cam à Péronne dans la Somme. Il s'agirait d'un homme d'une soixantaine d'années vivant dans la commune rue du Faubourg de Paris
Le corps aurait été découvert lundi soir avant 21h aux abords de l'étang de Cam derrière l'Historial de Péronne (80).
Mais ce mardi matin, les gendarmes continuaient leurs investigations sur place.

L'identification de la victime a permis aux forces de l'ordre de procéder à une enquête de voisinage. Il s'agirait d'un homme d'une soixantaine d'années vivant rue du Faubourg de Paris à Péronne (80).

Selon ses voisins, la victime, un ouvrier en usine à la retraite depuis 4 ans, était sous tutelle pour des problèmes financiers. Ils voyaient régulièrement des jeunes s'inviter chez lui et lui soutirer probablement de l'argent....
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme/peronne-80-un-corps-retrouve-dans-les-etangs-885329.html

Nantes: Six hommes arrêtés après une vingtaine de cambriolages

Les gendarmes de Nantes ont réussi un nouveau coup de filet, lundi matin, dans une affaire de cambriolages, rapportent Ouest-France et Presse Océan. A l’aube, six hommes entre 20 et 41 ans ont été interpellés sur un terrain vague de Saint Herblain, surveillé depuis quelque temps, et occupé illégalement par plusieurs familles.
Sur place, les gendarmes ont saisi deux caravanes volées, de l’outillage en grand nombre et des groupes électrogènes. Au total, les six suspects pourraient être derrière une vingtaine de cambriolages, d’entreprises et d’habitations, réalisés des Pays de la Loire au Morbihan.
Déjà connus des services pour des faits simitaires, quatre d’entre eux avaient été entendus fin octobre lors d’un vol commis dans une entreprise de café, à Sautron. Sur ce même camp, la marchandise dérobée et d’autres objets provenant de cambriolages antérieurs avaient déjà été saisis.
http://www.20minutes.fr/nantes/1751155-20151215-nantes-six-hommes-arretes-apres-vingtaine-cambriolages

lundi 14 décembre 2015

Julien Lepers viré de «Question pour un champion»? La toile s'emballe

La colère enfle peu à peu. Depuis le début de l’après-midi, une rumeur affole Twitter : selon Télé Star, Julien Lepers aurait été viré de Question pour un champion. Animateur du jeu télévisé culte depuis 27 ans, la direction aurait décidé de le remercier, afin de « rajeunir » la case. Info ou intox ? Si pour l’instant, France Télévisions n’a pas encore confirmé -ou non-, l’info, la rumeur a suffi pour littérallement enflammer la toile. Question pour un champion sans Julien Lepers ? Les internautres répondent non, non, non, et non !

Un départ inenvisageable

Si vous n’êtes pas encore au courant, sachez qu’un mini tsunami médiatique est en train d’ébranler la twitosphère. La cause ? L'éventuelle éviction de Julien Lepers. Sur Twitter, son nom est rapidement entré dans les trending topics, et les publications ne cessent de se multiplier, mélant hommage, humour, tristesse et dévastation
Pour certains, la journée tourne donc clairement au drame. Et elle pourrait bien empirer. Comme le révèle également Télé Star, Julien Lepers n’a pas confirmé l’information, mais ne l’a pas démentie non plus. « Je ne sais pas qui vous a dit ça, mais je serai à l’antenne ce soir » a-t-il confié avant d’ajouter, « vous savez il faut rester décontracté dans la vie ! ».
http://www.20minutes.fr/television/1750603-20151214-julien-lepers-vire-question-champion-toile-emballe

8 000 € de produits de beauté sous le manteau

Un homme de 52 ans se rendait dans les grands magasins, près de Toulouse, pour voler des produits de beauté avant les fêtes de Noël. Préjudice : 8 000 €.
Un butin qui s'élève à près de 8 000 € de produits de beauté, d'alcool et de lames de rasoir. À trois reprises, le 26 novembre, les 2 et 3 décembre, un homme a réussi à échapper à la vigilance de grandes surfaces à Bruguières, Montrabe et Flourens, en périphérie toulousaine, avec sous le bras une quantité impressionnante de produits impayés. Cet homme, âgé de 52 ans, a été jugé dernièrement par le tribunal correctionnel.

Sacs recouverts de papier aluminium

Son mode opératoire était toujours le même. Pour éviter de sonner aux portiques, il remplissait des sacs de courses recouverts de papier aluminium dans son caddie et quittait le supermarché à l'aide d'un complice par une caisse fermée. Le second individu récupérait le magot. Il n'a jamais été retrouvé. Ce sont finalement les caméras de vidéosurveillance qui ont permis aux gendarmes de retrouver le véhicule du voleur et de l'interpeller. Ce dernier reconnaît les faits. «Que pourrais-je dire d'autre ?» avoue-t-il humblement. Le procureur Mouysset relève que «ce ne sont pas des denrées alimentaires qui sont volées». «Il vole pour alimenter le marché noir de ces produits».

Prison avec sursis requise

Six mois de prison avec sursis sont requis contre cet homme jamais condamné. Son avocate, Me Jessica Guy, tente de relativiser l'importance du butin. «C'est à partir d'un inventaire de fin de journée que les magasins listaient les produits volés. Il n'est pas sûr que tous les produits manquants aient été volés par mon client». Elle rappelle le parcours de vie «qui n'est pas celui de quelqu'un qui s'inscrit dans une délinquance d'habitude». Le tribunal a finalement condamné le prévenu à 3 mois de prison avec sursis.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/14/2237562-8-000-e-de-produits-de-beaute-sous-le-manteau.html

dimanche 13 décembre 2015

Bus attaqué à Sevran: «J’ai eu peur pour les enfants»

« Je n’ai pas dormi, j’ai fait des cauchemars toute la nuit. » La conductrice du bus agressée jeudi après-midi à Sevran par des mineurs, qui ont pris le volant du véhicule avant de l’écraser contre un arbre, se dit « abattue » sur BFMTV, qui a recueilli son témoignage, visage dissimulé.
A 16h30 jeudi, une altercation éclate entre une quinzaine de jeunes à l’arrière du bus, qui se trouve à proximité de la gare RER de Sevran-Beaudottes. Elle demande alors aux passagers de descendre. « A ce moment-là, j’ai eu peur pour les enfants, raconte-t-elle, car « il restait encore des mamans qui rentraient de l’école avec leurs enfants.

« Mon collègue m’a dit "descends, descends, sinon ils vont te tuer" »

« Ils avaient des bâtons et de grosses bombonnes de gaz blanches. Ils voulaient fermer les portes pour que les gens fermement à l’intérieur », témoigne la conductrice. L’un « m’a dit "toi, tu descends". J’ai refusé. Il ne m’a pas gazée directement sur le visage mais je l’ai senti quand même. Il m’a donné des coups dans le dos et m’a tiré le bras. Mon collègue m’a dit "descends, descends, sinon ils vont te tuer" ».
Ils démarrent alors le bus, et en perdent rapidement le contrôle. « Je ne pensais pas qu’ils allaient vraiment prendre le volant et partir. Ils n’ont pas réussi à gérer le bus et au bout de 100m ils se sont explosés contre un arbre », dit-elle. Après l’incident, quatre adolescents ont été interpellés et placés en garde à vue.
http://www.20minutes.fr/societe/1749687-20151213-bus-attaque-sevran-peur-enfants

samedi 12 décembre 2015

Saisie de dizaines de documents administratifs chez un buraliste

Jeudi, le comité opérationnel départemental anti-fraudes a mené une série de contrôles, chez des buralistes et des bars «à chicha». Rue de Verdun, des dizaines de documents administratifs servant de «caution» ont été emportées.
Le comité opérationnel départemental anti-fraudes de l'Aude, composé de la douane, de la police, de l'Urssaf et des services fiscaux a procédé jeudi à une série de contrôles dans les débats de tabac de Carcassonne ainsi que dans deux bars à «chicha». Chez un buraliste de la rue de Verdun, les forces de l'ordre ont saisi des dizaines de documents administratifs tels que cartes Vitale, ou d'identité etc, retenus comme caution de crédit par le débitant.
C'est une pratique très ancienne chez ce buraliste qui explique «pouvoir faire ce qu'il veut de ces documents administratifs qui lui sont remis de manière délibérée». Il ajoute avoir pris conseil auprès de deux avocats, qui lui ont expliqué que «ce qui n'est pas interdit par la loi est autorisé», et qu'il ne «s'interdira pas de se retourner contre les forces de l'ordre», le cas échéant, pour l'avoir privé de ces preuves, par dizaines, de dettes de ses clients. Dont acte. Il affirme pouvoir «faire crédit» pour du tabac et pouvoir retenir des documents administratifs afin d'avoir la garantie de les récupérer, les dettes en question. Le dossier est actuellement «épluché» par les forces de l'ordre (la police en est saisie) et le parquet de Carcassonne n'a pas donné suite à nos appels répétés hier après-midi. Face à ce silence des autorités, le buraliste dégaine ses arguments. «Depuis des années, plus de vingt ans, je fais du social, je rends service. Peut-on me le reprocher ?», demande le buraliste. La question est posée. Le Ministère public, après les rapports de police dira s'il est autorisé à faire crédit de tabac, et à détenir cartes d'identité, passeports et autres documents officiels.

Tabac de provenance indéterminée pour la «chicha»

Au cours de cette opération le Codaf a également contrôlé deux bars à «chicha» du centre-ville. Dans l'un d'eux, selon nos sources, les policiers et les douaniers ont prélevé des sachets de tabac-gras destiné aux pipes à eaux dont le gérant n'a pas été en mesure de justifier la provenance. La législation en vigueur impose que les tenanciers se fournissent chez le débitant officiel le plus proche de leur établissement, ce qui manifestement ne fut pas le cas pour celui-ci qui n'a pas su justifier ses achats. Pour lui donc, également, une enquête est en cours

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/12/2236735-saisie-de-dizaines-de-documents-administratifs-chez-un-buraliste.html

vendredi 11 décembre 2015

Le meurtrier du Marcassin condamné à quinze ans de réclusion criminelle

Johnny Durmort a été reconnu jeudi 10 décembre responsable de ses actes mais sans en avoir totalement le contrôle. L’avocate générale requérait 20 ans de prison.
Les jurés de la cour d’assises des Ardennes devaient répondre à cinq questions, jeudi 10 décembre. La première était de savoir si Johnny Durmort a «  volontairement donné la mort  » à Jean-Dominique Valet, son voisin de palier de l’hôtel Le Marcassin de Charleville-Mézières, le 18 septembre 2013. L’avocat de la défense, M e  Migne, dénonce une enquête «  très très rapide  », et entièrement menée à la charge de son client.

Vulnérable contre irresponsable ?

Mais les éléments qui l’accablent souffrent peu la contestation. L’avocate générale, Helen Frame, rappelle les traces de sang, l’empreinte des chaussures et l’ADN. Elle reprend aussi les différentes versions de l’histoire livrées par l’auteur des coups, dont la dernière, racontée au premier jour de l’audience, met en place deux scènes de crime, alors qu’il est reconnu que la victime «  est tombée dès le premier coup  ». Des «  éléments de preuves objectifs suffisants  », pour l’avocate générale, comme pour les jurés qui déclarent Johnny Durmort coupable.
http://www.lunion.fr/616046/article/2015-12-11/le-meurtrier-du-marcassin-condamne-a-quinze-ans-de-reclusion-criminelle

Atteint d'une leucémie agressive, Mateo, 16 ans, a lancé un appel aux dons pour pouvoir bénéficier d'un traitement de la dernière chance qui coûte 172 000 euros.
Mateo a tout essayé, chimiothérapie, radiothérapie et greffe de moelle osseuse, mais sa leucémie, très agressive est revenue. Un traitement de la dernière chance qui n'existe qu'aux Etats-Unis est encore possible. Mais il coûte 187 000 dollars, soit environ 172 000 euros.
Pour l'aider à financer ce traitement, Mateo et sa famille ont lancé un appel aux dons. " Je m'appelle Matéo Lepetit, j'ai 16 ans et je vais bientôt mourir... Lorsque ça arrivera, je n'aurais pas connu l'amour, je n'aurais pas eu mon permis et pleins d'autre choses encore, raconte Mateo sur son blog. Il y a deux ans, on m'a diagnostiqué un cancer...féroce. J'aime la vie, je ne sais pas pourquoi elle m'a fait ça, mais je veux continuer à profiter même si je suis affaibli. Vous pouvez m'aider par des mots de soutient qui me permettront de garder le moral ou par des dons qui financeront le traitement qui pourrait me guérir et qui coûte 187 000 $." Pour le moment, ce vendredi à 8h55,  65 211 € ont été récolté.

 
20 cas sur 22 traités

Le traitement est dispensé dans une clinique à Seattle, aux Etats Unis, détaille France 3 Isère. Il existe depuis 2011 et a déjà fait ses preuves. 20 cas sur les 22 personnes traitées ont été soignés
 
Faire un don
Pour faire un don, il est possible de passer par un virement PayPal ou d'envoyer un chèque à Matéo Lepetit, à l'adresse suivante : Mairie de Saint Pierre de Chartreuse, Place de la Mairie, 38380 Saint Pierre de Chartreuse.
 

A20 : la remorque d'un poids lourd prend feu

Hier à 15 heures 20 pompiers, ainsi que des gendarmes, le personnel ASF sont intervenus pour un feu de remorque sur l'A20, à hauteur de Flaujac-Poujols dans le sens Toulouse-Paris (photo François Gomez / les pompiers du Lot). On ne déplore aucun blessé. La remorque tractée par un poids lourd, suit à l'éclatement d'un pneumatique a pris feu. Le chauffeur dans un premier temps a tenté de l'éteindre par ses propres moyens, puis à détaché la remorque du poids lourd pour que le feu ne se propage pas. Le feu a été maîtrisé vers 18 heures. La circulation a a momentanèment été interrompue, avec un passage sur une seule voie.
http://www.ladepeche.fr/

jeudi 10 décembre 2015

Jacques Chirac hospitalisé pour un bilan de santé

Jacques Chirac, 83 ans, a été hospitalisé mercredi après-midi dans un hôpital parisien car il se sentait «affaibli depuis quelques jours», mais son état ne présente «aucune inquiétude», a déclaré ce matin à l'AFP la fille de l'ancien président de la République, Claude Chirac.

«Se sentant affaibli depuis quelques jours, Jacques Chirac a été hospitalisé mercredi après-midi afin de faire un contrôle général de son état de santé. Il devrait rester à l'hôpital pendant quelques jours, voire une petite semaine. Son état ne présente aucune inquiétude», a indiqué la fille cadette de l'ex-chef de l'État. «Ses jours ne sont pas en danger», a ajouté un très proche.

Jacques Chirac, président de la République de 1995 à 2007, a été hospitalisé à plusieurs reprises depuis qu'il a quitté l'Élysée, ce qui a alimenté à chaque fois des rumeurs sur son état de santé, voire sur son décès. En décembre 2013, il avait ainsi été hospitalisé pour une «intervention rénale» à La Pitié-Salpêtrière, à Paris. En février 2014, il avait également été brièvement hospitalisé à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine à la suite d'une «violente crise de goutte». Réputé pendant des décennies pour sa santé de fer, il avait connu en septembre 2005 son premier véritable ennui (un accident vasculaire cérébral) et avait alors dû être hospitalisé d'urgence au Val-de-Grâce. Ce problème de santé l'avait ensuite fortement affaibli.

Ces dernières années, il éprouve de plus en plus de difficultés à se déplacer même s'il continue à aller très régulièrement dans les bureaux de sa fondation, tout près de l'Assemblée nationale. En janvier 2014, son épouse Bernadette Chirac avait déclaré penser que son époux ne parlerait plus jamais en public. Souffre-t-il aussi de la maladie d'Alzheimer? «Honnêtement, je ne le crois pas (...) Il n'a pas vraiment les symptômes, mais c'est vrai qu'il a une petite baisse de sa mémoire, surtout par moments, c'est très variable», avait-elle alors indiqué. Sa dernière apparition à une cérémonie officielle remonte au 21 novembre 2014. Il avait alors assisté à la remise annuelle du prix de sa fondation, au cours de laquelle le président François Hollande lui avait rendu un hommage appuyé. Diminué par la maladie, la main sur l'épaule de son garde du corps, Jacques Chirac était arrivé sous les applaudissements de la salle. Cette année, il n'était pas présent pour la remise de ce prix.

Jacques Chirac a fêté ses 83 ans le 29 novembre

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 9 décembre 2015

Deux militaires en civil à nouveau agressés en centre-ville

Deux militaires en civil ont été pris à partie, dimanche matin, lors d'une rixe à la sortie d'une boîte de nuit à Toulouse. Trois jeunes individus seront jugés le 13 janvier
Plus de deux semaines après l'agression par arme à feu de trois militaires en civil quartier La Gloire à Toulouse, deux autres militaires en tenue civile ont été pris à partie par trois individus lors d'une rixe, rue Gabriel Péri, à Toulouse ce week-end.
Dimanche matin, aux alentours de 4 h 30, les deux soldats sortent d'une boîte de nuit lorsque la bagarre éclate. Un regard de travers, une alcoolisation massive, une cigarette refusée, les raisons de l'altercation sont floues. Toujours est-il que 5 et 10 jours d'ITT (interruption totale de travail) ont été notifiés aux deux militaires. Trois individus, Yassim, 25 ans, Medy, 23 ans, et Jordan, 24 ans, interpellés au moment des faits, devaient être jugés hier par le tribunal correctionnel de Toulouse. Ces trois prévenus ont demandé un délai pour préparer leur défense. Les magistrats ont eu à se prononcer sur leur incarcération ou non dans l'attente du procès.
Pour le procureur De Survilliers, «ces trois individus doivent être placés en détention». «Les faits sont extrêmement graves, ils ont roué de coups leurs victimes». Il rappelle que des propos faisant l'apologie du terrorisme auraient été tenus au moment de l'agression. «Faux !» rétorque Me Thomas Hérin-Amabile, avocat de Yassim. L'avocat dénonce «les contre-vérités du procureur». Il plaide avec force pour éviter l'incarcération de son client qui nie avoir participé à la rixe, rappelant que «la qualité de militaire des victimes était inconnue au moment des faits». Pour Me Élodie Goig, avocat de Medy, «des provocations ont eu lieu de part et autre entre les victimes et les prévenus». Elle rappelle que son client «reconnaît et regrette» les faits. Me Bruno Binard, avocat de Jordan, condamné une seule fois par le passé déjà pour des violences à l'encontre de militaires, plaide le maintien en liberté de son client.
Face aux trois prévenus, les victimes sont présentes dans la salle. Leur état physique témoigne de la violence de la bagarre. Pourtant costauds tous les deux, l'un apparaît le visage tuméfié et s'aide d'une béquille pour marcher. Quant à l'autre, également marqué, il porte son bras en écharpe.
Le tribunal a finalement décidé de laisser libre et sous contrôle judiciaire Yassim et Medy, jamais condamné. Jordan lui a été incarcéré dans l'attente du procès qui se tiendra le 13 janvier.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/09/2234534-deux-militaires-en-civil-a-nouveau-agresses-en-centre-ville.html