lundi 30 septembre 2013

800 000 euros détournés : le président du Syndicat des eaux de Targon condamné pour "négligence"

Le président du syndicat des eaux de Targon, Alain Pargon, a été condamné à un an de prison avec sursis par la quatrième chambre du tribunal correctionnel de Bordeaux pour "négligence".
Le tribunal présidé par la juge Caroline Baret lui reproche ne pas avoir exercé son devoir de contrôle vis à vis de sa secrétaire qui avait détourné près de 800 000 euros au sein de la structure publique dont il avait la responsabilité. L'élu signait aveuglément les mandats qu'elle lui tendait. Edith Lapeyronie, la fonctionnaire, a pour sa part été condamnée à 36 mois de prison dont 18 mois ferme (son mari poursuivi pour recel a été relaxé).

Alain Pargon et Edith Lapeyronie ont été condamnés in solidum à rembourser la somme détournée.
Cette condamnation est une première pour un élu et devrait susciter un vif émoi parmi la classe politique à la veille des municipales."C'est très sévère car je n'ai pas pris un rond dans cette affaire. Je me suis fait avoir par quelqu'un en qui j'avais confiance. Tous les élus risquent de subir un jour le même sort que moi" s'est indigné Alain Pargon.
L'élu, par l'intermédiaire de son avocat Me Benoit Ducos-Ader a annoncé son intention de faire appel de la décision.
Maire de Soulignac, président de la communauté de commune de Targon, et président du syndicat des eaux, il a annoncé sa décision de quitter la vie politique après les prochaines municipales. "Je finis mal" a-t-il regretté.


http://www.sudouest.fr/2013/09/30/800-000-euros-detournes-le-president-du-syndicat-des-eaux-de-targon-condamne-pour-negligence-1184850-3201.php

Gironde : elle roulait sans permis depuis... 43 ans

Samedi, les gendarmes de Podensac ont fait une drôle de découverte. À la suite d’un léger accrochage de véhicules, les forces de l’ordre ont contrôlé les différents protagonistes.
La conductrice d’une des voitures, âgée de 61 ans, qui n’était pas en cause dans l’accident, conduisait sans permis, ni assurance… depuis ses 18 ans.

Le véhicule de la dame a été immédiatement immobilisé.
Et elle va devoir se résoudre à enfin passer son permis de conduire, si elle veut pouvoir de nouveau se mettre au volant.

http://www.sudouest.fr/2013/09/30/-1183896-4583.php

Accident sur la RD 939 à Campagne-lès-Hesdin : un motard gravement blessé

Dimanche, peu avant 18 h, les pompiers d’Hesdin ont été appelés pour un accident impliquant une moto sur la RD 939, à hauteur de Campagne-lès-Hesdin dans le sens Hesdin-Montreuil.
Il semblerait, d’après les témoins, que le motard, au guidon d’une moto ancienne MZ, a connu un incident mécanique qui a bloqué sa roue arrière, entraînant sa chute.
D’abord conscient, celui-ci a finalement perdu connaissance et a été transporté dans un état grave au CHAM.
L’intervention a occasionné un bouchon jusqu’à Mouriez. Les gendarmes de la brigade de Campagne-lès-Hesdin étaient sur place.

http://www.lavoixdunord.fr/region/accident-sur-la-rd-939-a-campagne-les-hesdin-un-motard-ia36b49122n1580939

Auch. Jugé pour avoir tué sa mère de deux coups de fusil

Quatre hommes seront jugés lors de la cession d’assises qui débute à 14 h. Parmi eux, Kevin Cappelot accusé d’être à l’origine de la mort de son oncle à Auch et Jean-Louis Sapène, pour le meurtre de sa mère à Barcelonne
La cour d’assises du Gers siège à partir d’aujourd’hui, 14 heures Présidée par Jacques Richiardi, président de chambre à la cour d’appel d’Agen, elle va d’abord juger jusqu’à mercredi soir, Anthony, accusé de viol et atteintes sexuelles sur mineures. Le jeune homme était lui aussi mineur au moment des faits. Le huis clos sera de mise. Jeudi et vendredi, c’est Kévin Cappelot, accusé de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner, sur la personne de son oncle, Bernard Zamparutti, qui jouera gros. Une semaine plus tard, les 10 et 11 octobre, il en ira de même pour Jean-Louis Sapène, 62 ans, qui répondra du meurtre de sa mère Gilberte. Âgée de 79 ans, elle avait été découverte sans vie dans son lit, à Barcelonne-du-Gers, le 3 octobre 2009, mortellement blessée par deux décharges de fusil tirées dans son dos. Ces deux affaires ont défrayé la chronique départementale en leur temps. C’est le 10 août 2011 que le corps de Bernard Zamparuti, 53 ans, charpentier, ancien rugbyman à Mauvezin, était retrouvé dissimulé près d’un container à ordures, au pied d’un des bâtiments de la résidence des Tuileries, à Auch où il habitait. La victime avait été battue à mort lors d’une bagarre nocturne qui avait «réveillé» plusieurs résidents. Deux proches de Bernard furent rapidement soupçonnés par les enquêteurs sur la base de témoignages recueillis auprès du voisinage. Mais bientôt, il n’en resta qu’un, Kevin, âgé alors de 21 ans. Ce Mirandais qui a toujours nié les faits, sera défendu par Me José Duguet du barreau de Toulouse. Si Kevin fut interpellé à Mirande, c’est au Chili que «la justice» est allée chercher Jean-Louis Sapène. Lui comparaîtra pour homicide volontaire sur un ascendant. Lui aussi, défendu par l’avocate agenaise Me Sophie Lagarde, a toujours nié les faits. Les deux affaires ont aussi en commun que «l’objet» qui a occasionné la mort de Bernard Zamparutti, comme le fusil de chasse qui a tué Gilberte Sapène, n’ont pas été retrouvés. Il est établi que Jean-Louis Sapène qui vivait au Chili depuis longtemps, était revenu auprès de sa mère à la période où celle-ci fut tuée. Il est établi aussi que celui qui était considéré comme «le chouchou» de sa maman, est reparti vers son pays d’adoption, la veille de la découverte de la dépouille de sa mère. Laquelle fut enterrée en l’absence de Jean-Louis qui n’est rentré en France que contraint et forcé par une mesure d’extradition, en mai 2011. Dans cette affaire, les enquêteurs pour qui ce meurtre n’a pas pu être le fait d’un rôdeur, n’ont pu recueillir aucun témoignage désignant formellement Jean-Louis. «Il n’y a pas de mobile, l’arme n’a pas été retrouvée et il n’existe aucune preuve matérielle» affirme Me. Sophie Lagarde. Comme son confrère, conseil de Kevin Cappelot, elle prévoit, sauf rebondissement à l’audience, de plaider l’acquittement de son client.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/30/1720288-auch-juge-avoir-tue-mere-deux-coups-fusil.html

dimanche 29 septembre 2013

Bordeaux : les fins de nuit deviennent agressives à Paludate

Une nouvelle fois, samedi matin, la brigade anticriminalité (BAC) est intervenue dans le quartier de Paludate. Les policiers de la BAC nuit ont l’habitude de ce quartier.
Mais depuis plusieurs semaines, ils ciblent plus particulièrement les vols avec violence. Un phénomène qui s’est accru au fil du temps. Des individus ne se contentent plus de menacer pour se faire remettre un téléphone portable ou de l’argent. Ils frappent.

Vers 3 h 30 samedi matin, à l’angle du quai de Paludate et du pont Saint-Jean, un individu en état d’ébriété très avancée a arraché la chaîne au cou d’un jeune homme. Un ami de la victime est intervenu et a ainsi contraint le voleur à rendre la chaîne. Celui-ci s’exécute, quitte les lieux avant de revenir un peu plus tard l’air menaçant et muni d’un couteau. L’homme n’en reste pas là et avec une pierre, brise la vitre d’une voiture en stationnement pour s’emparer d’un GPS. C’est à ce moment qu’il est interpellé par la BAC.
Peu de temps après, la même BAC nuit arrête un autre homme d’une trentaine d’années. Il était porteur d’un téléphone volé un peu plus tôt porte de Bourgogne, dans des conditions peu claires.
Ces deux interpellations font suite à celles survenues la veille dans le même secteur et sensiblement aux mêmes heures. Deux mineurs de 17 ans ont été arrêtés vendredi vers 5 h 30 rue Charles-Domercq. Ils avaient attiré un jeune homme dans une ruelle pour lui voler son téléphone après lui avoir asséné des coups de poings et un coup de tête. Un peu plus tôt, suivant un même scénario, un quadragénaire venait de voler avec violence un téléphone. Lui aussi a été interpellé par la BAC.
Face à la multiplication de ce type d’agressions violentes sur des victimes isolées et souvent enivrées, parquet et direction départementale de la sécurité publique ont décidé d’accroître leur vigilance. L’objectif : intervenir et interpeller au plus vite, côté policier tout en apportant une réponse pénale ferme aux auteurs de ces agressions côté justice.
D’où la présence importante de ces agresseurs lors des audiences de comparution immédiate du tribunal correctionnel du lundi.

http://www.sudouest.fr/2013/09/29/agressive-fin-de-nuit-1183591-2780.php

Vannes. Il menace de mort le motard qui le verbalise

Ce samedi, vers 16 h, un automobiliste est arrêté pour excès de vitesse sur la RN166, à l’entrée de Vannes. Il vient d’être contrôlé à 130 km/h au lieu de 110 par un motard de la police nationale. Les faits auraient pu s’arrêter là, mais l’automobiliste s’énerve et insulte le policier. S’en suit un contrôle plus strict qui permet au policier de découvrir une boulette de cannabis de 2 g et un couteau papillon dont le port et le transport sont interdits.
Le jeune homme de 21 ans, originaire de la région vannetaise, est alors ramené au poste, où il fait un nouvel accès de colère. Cette fois, il menace de mort le motard qui l’a interpellé. Il est aussitôt placé en garde à vue.
Il sera convoqué en justice pour port d’arme et, en récidive, menace de mort sur une personne dépositaire de l’autorité publique et détention de stupéfiant.

http://www.letelegramme.fr/local/morbihan/vannes-auray/vannes/vannes-il-menace-de-mort-le-motard-qui-le-verbalise-29-09-2013-2250664.php

Millau. Collision frontale : quatre blessés, dont un enfant de 10 ans

Une collision frontale entre deux véhicules s’est produite, ce samedi, vers 10 h 45, à Millau. L’accident, dont les causes restent indéterminées, est survenu à hauteur de «La Borie Blanque», sur les hauteurs de la Cité du gant en direction de l’autoroute A75. Les sapeurs-pompiers de Millau et de Sévérac-le-Château sont intervenus sur place afin de porter secours à quatre personnes, âgées de 10, 38, 44 et 74 ans. Toutes les victimes, dont l’une plus lourdement atteinte, ont été conduites vers le centre hospitalier.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/29/1719811-millau-collision-frontale-quatre-blesses-dont-enfant-10-ans.html

Montpellier : l’amende amère pour les parents en retard à l'école

Les parents d’élèves connaissaient déjà la menace de retrouver leurs chères têtes blondes "à la police municipale" ou à "la gendarmerie" en cas de retard pour venir les chercher après l’école. La Ville de Montpellier a franchi une étape supplémentaire, facturant 8 € une fois passés dix minutes de retard après 18 h 45, c’est-à-dire quand le temps périscolaire est terminé. 
Une discrète décision municipale a même été votée en conseil municipal, le 16 décembre 2012, face à la recrudescence des retards des parents, comme de nombreuses communes l’ont fait, l’an passé également : "On a eu trois cas vraiment embêtant en fin d’année dernière", se souvient l’adjoint aux affaires scolaires, Jean-Louis Gély, pour justifier cette décision "très symbolique".
Tout retard excédant dix minutes après 18 h 45 sera facturé 8 €


Toutes les écoles n’appliquent pas cette sanction Très symbolique sauf quand l’amende amère tombe. Elle a récemment sanctionné une maman célibataire qui s’en est émue. Karine (1) paye déjà les activités périscolaires de la fin de l’école à 18 h 45. "1,73 € de l’heure. C’est en fonction des revenus", explique-t-elle. Mais quand, le 16 septembre dernier, elle arrive quinze minutes en retard pour chercher sa fille - la première fois de l’année et à cause d’un impératif professionnel -, la sanction tombe : 8 € à régler avec un papier officiel à en-tête de la mairie : "Tout retard excédant dix minutes après 18 h 45 sera facturé 8 € ", précise très explicitement le document.
"J’aurai à payer cette amende en même temps que les activités périscolaires", commente Karine, qui n’a pas eu moyen de négocier auprès des responsables de l’école. "Les animateurs présents n’ont fait qu’appliquer la règle, indique un directeur d’établissement. Mais il est vrai que toutes les écoles ne le font pas avec la même rigueur." Des disparités constatées dans les 121 écoles montpelliéraines : "La philosophie est plutôt d’être dissuasif face aux retards à répétition, tempère Jean-Louis Gély. Ce n’est pas le coût que cela engendre mais bien une fois l’école fermée, nous pouvons, comme seul recours, déposer l’enfant à une autre autorité, comme la police municipale qui a, par ailleurs, autre chose à faire."
 Lorsqu’il y a amende, c’est parce qu’il y a eu répétition
Il n’y a pas de chiffre statistique exact "mais très peu de cas sont signalés, assure Jean-Louis Gély. On compte un nombre infinitésimal d’amendes dressées depuis la rentrée scolaire. Lorsqu’il y a amende, c’est parce qu’il y a eu répétition. Si les parents préviennent, on trouve toujours moyen de s’arranger."
Une amende dont l’objectif reste la dissuasion pour les parents trop souvent en retard. Ce que conteste toutefois Karine qui voit plutôt dans les équipes du zèle ou de la permissivité.
(1) prénom d’emprunt.

http://www.midilibre.fr/2013/09/28/ecoles-l-amende-amere-pour-les-parents-en-retard,763131.php

samedi 28 septembre 2013

Go-fast: un barrage autoroutier forcé

Un conducteur soupçonné d'être impliqué dans un "go-fast" a forcé un barrage de douane à un péage autoroutier entre Paris et Rennes avant de finir sa course dans un fossé et de disparaître dans la nuit dernière, a-t-on appris auprès du parquet de Laval.

Le conducteur, qui circulait dans la direction de Rennes sur l'A81, a forcé le passage au péage de La Gravelle (Mayenne), aux portes de la Bretagne, peu avant minuit, échappant à un détachement de douaniers qui y étaient positionnés, a-t-il été précisé.

Le véhicule, endommagé, a ensuite échoué dans un fossé quelques kilomètres plus loin mais son conducteur a réussi à s'en extraire et à prendre la fuite sans être rattrapé.

 La voiture est soupçonnée d'avoir été impliquée dans un go-fast, un transport de drogue à grande vitesse mobilisant généralement de deux à trois véhicules. Selon les premières investigations, il n'a été retrouvé à bord ni stupéfiants ni armes et aucune voiture complice présumée n'a été identifiée.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/28/97001-20130928FILWWW00306-go-fast-un-barrage-autoroutier-force.php

Des hommes cagoulés frappent un garagiste

Un garagiste a été agressé, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans les quartiers Nord de Toulouse. Aux environs de 22 heures, trois individus cagoulés ont fait irruption dans l’établissement les Yris, spécialisé dans la carrosserie, route de Launaguet, à proximité du quartier des Izards, à Toulouse.
L’un des malfaiteurs était armé d’un fusil. Ils ont aussitôt menacé l’homme qui se trouvait dans l’établissement. Ils cherchaient à se faire remettre de l’argent liquide.
Ils ont entièrement fouillé les locaux. Violents, ils s’en sont pris physiquement à leur victime. Ils ont frappé le garagiste à plusieurs reprises avec un objet contondant occasionnant des blessures à la tête et au bras droit.

La victime conduite à l'hôpital

Les braqueurs ont fini par prendre la fuite en emportant quelques objets. De son côté, la victime est parvenue à alerter les secours.
Les services de police sont intervenus peu avant 23 heures. Le garagiste a été conduit à l’hôpital. Il ne souffrait pas de blessures importantes et a pu être entendu par les enquêteurs.
Sur place, les policiers ont procédé aux premières constatations. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/28/1719326-des-hommes-cagoules-frappent-un-garagiste.html

Pêcheur mort : deux ados mis en examen

Deux adolescents de 14 ans, soupçonnés d'avoir poussé à l'eau mercredi, à Sin-le-Noble (Nord), un pêcheur pour lui voler son vélomoteur, provoquant sa noyade, ont été mis en examen vendredi et placés en centre éducatif fermé, selon le parquet.

Les deux agresseurs présumés ont été mis en examen pour "vol avec violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner" et placés en centre éducatif fermé, a déclaré le procureur de la République à Douai, Eric Vaillant.

Les deux jeunes ont reconnu l'essentiel des faits qui leur sont reprochés lors de leur garde à vue. Ils ont confirmé lors de leurs auditions qu'ils voulaient voler le cyclomoteur. Lors du vol, l'un des deux jeunes a poussé la victime, un homme de 53 ans, dans l'étang où il pêchait. Ce dernier s'est noyé, selon les premiers résultats d'autopsie.

Les adolescents, au casier judiciaire vierge, encourent une peine maximale de 20 ans de réclusion criminelle car ils bénéficient automatiquement de l'excuse de minorité, étant âgés de moins de 16 ans. Le pêcheur était marié et père de trois enfants majeurs, avait dit jeudi M. Vaillant, ajoutant qu'il avait désigné mercredi soir "une association d'aide aux victimes pour porter aide et assistance à la famille".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/27/97001-20130927FILWWW00590-pecheur-mort-deux-ados-mis-en-examen.php

vendredi 27 septembre 2013

Explosion sur un chantier à Paris : au moins un mort

L'explosion, probablement accidentelle, s'est produite vendredi en milieu d'après-midi sur un chantier dans le sous-sol d'un immeuble dans le centre de la capitale. Le premier bilan fait état d'un mort et un disparu.
Au moins un ouvrier a été tué, un autre est porté disparu et trois blessés dans une explosion , vraisemblablement accidentelle, qui s'est produite vendredi sur un chantier dans le sous-sol d'un immeuble dans le centre de Paris , a-t-on appris de source policière sur place.

Les ouvriers travaillaient à la réfection d'une cuve de fioul quand une déflagration, d'origine pour l'instant indéterminée, s'est produite au premier sous-sol. Un blessé a été évacué, deux ont été repérés vivants sous les décombres et un autre était toujours porté disparu en fin d'après-midi.
 

Meurtre de Moliets (40) : peine réduite en appel pour Éric Aubin

Le verdict est tombé ce vendredi en début d'après-midi : les jurés et la cour n'ont pas suivi les réquisitions de l'avocat général. Jeudi, celui-ci avait demandé à ce qu'Éric Aubin, qui comparaissait devant la cour d'assises d'appel des Pyrénées-Atlantiques pour le viol et le meurtre d'Henriette Santamaria, le 29 mai 2010 à Moliets dans les Landes, soit condamné à la même peine qu'en première instance. Soit trente ans de réclusion dont vingt de sûreté.
La cour a en effet écarté la préméditation, comme l'avaient plaidé les avocats de la défense ce vendredi matin, estimant qu'il "existait des doutes" sur ce point. Les faits de viol et de meurtre ont, quant à eux, été avérés. Les déclarations d'Éric Aubin, selon lesquelles Henriette Santamaria étaient consentante, "ne sont pas apparues crédibles".

Si l'accusé est resté totalement impassible à la lecture du verdict, le mari de la victime a estimé qu'il s'agissait "d'un scandale. Les jurés n'ont pas compris". Son fils, Cyrille Santamaria, a quant à lui, hurlé sa colère à l'extérieur du palais de justice.

http://www.sudouest.fr/2013/09/27/meurtre-de-moliets-40-peine-reduite-en-appel-pour-eric-aubin-1182161-4344.php

Contresens sur l'A62 : le retraité fait demi-tour au péage

En panique et probablement stressé par les automobilistes qui klaxonnaient derrière lui, un retraité de 74 ans a roulé à contresens de la circulation, hier soir, vers 19 heures, sur le périphérique extérieur toulousain. Ce conducteur se trouvait au péage Nord, en direction de Bordeaux, lorsqu’il a réalisé qu’il n’avait pas suffisamment de monnaie pour poursuivre sa route. Derrière lui, une file d’automobilistes impatients se fait entendre pour qu’il aille plus vite. Le retraité a donc entrepris une marche arrière et fait demi tour pensant se retrouver sur la bonne voie. En roulant sur sa voie de droite et en sens inverse, en direction de Montpellier, le conducteur parcourt près de 2 kilomètres, clignotants allumés et au ralenti. Alertés, des agents de la Dirso se sont lancés à sa poursuite. Sur les autres axes rapides, les informations signalant la présence de la voiture égarée ont été répercutées sur des panneaux lumineux. Les motards de la police ont interpellé le conducteur entre les échangeurs des Izards et de Croix-Daurade. L’incident n’a fait aucun blessé.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/27/1718535-contresens-a62-retraite-fait-demi-tour-peage.html

Sète : 8 mois ferme pour avoir martyrisé un chat

Un Sétois comparaissait pour violences sur sa compagne (désormais son ex) et actes de cruauté envers un animal. Il a écopé de huit mois ferme.
Un Sétois âgé de 22 ans a été condamné en milieu de semaine à huit mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Montpellier. Il comparaissait pour violences sur sa compagne (désormais son ex) et actes de cruauté envers un animal.
Le félin, hors de danger, a été récupéré par la jeune femme


Samedi dernier, dans un accès de colère et sous l'emprise de l'alcool, il avait rudoyé et jeté au sol la jeune femme. Il s'en était ensuite pris au chat de celle-ci. Il lui avait brûlé les moustaches et le museau. Le félin, hors de danger, a été récupéré par la jeune femme, repartie dans sa ville d'origine, Toulouse.

http://www.midilibre.fr/2013/09/26/sete-8-mois-ferme-pour-avoir-martyrise-un-chat,762199.php

jeudi 26 septembre 2013

Paris : un vigile retrouvé mort au stade Jean Bouin

Un vigile chargé de la surveillance du stade Jean-Bouin, dans le XVIe arrondissement de , a été retrouvé sur les lieux jeudi matin, a priori victime de la chute d'une grille de ce complexe. Il s'agit d'un homme d'une trentaine d'années employé d'une société de gardiennage prestataire de services pour la municipalité, précise l' de ville
 
Une enquête judiciaire a été ouverte.
La rénovation de ce stade municipal, qui avait été inauguré en grand pompe le 30 août, a été sujet à controverse ces dernières années entre d'une part la majorité PS, et d'autre part la droite et les Verts qui ont critiqué son coût. Le stade sert à l'équipe de rugby du Stade français.

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-vigile-retrouve-mort-au-stade-jean-bouin-26-09-2013-3171867.php

Gironde : un chasseur excédé tire sur deux jeunes en quad

Les enquêteurs de la gendarmerie l’ont tout d’abord auditionné pour tentative de meurtre. Dimanche, en fin d’après-midi, un chasseur de 66 ans a tiré, avec son arme, sur deux jeunes gens d’une vingtaine d’années, excédé par les quads qui défilent devant sa palombière, au lieu-dit Moulin-Dieu.
Fou de rage, il a pris sa voiture et s’est rendu sur un parking bordant la piste forestière. Après avoir saisi son fusil dans son coffre, il a fait feu à une quinzaine de mètres du couple, un homme et une femme âgés de 22 et 21 ans.

Un seul coup a été tiré en direction des victimes qui, heureusement, ont été seulement très légèrement touchées : l’une a reçu un plomb sur la joue, l’autre s’est blessée à la tête en voulant s’échapper.
Le duo a tout de même réussi à mémoriser la plaque d’immatriculation du chasseur avant qu’il ne parte. Et les gendarmes ont pu rapidement interpeller le sexagénaire, habitant à Saint-Savin.
Le Girondin faisait l’objet d’une comparution immédiate, mercredi matin, devant le tribunal correctionnel de Libourne, pour violence avec arme et dégradation d’un bien (le véhicule des victimes). Il a été condamné à dix mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve durant deux ans. Il devra indemniser les victimes à hauteur de 3 000 euros et il lui est interdit d’utiliser une arme durant ces deux années.

http://www.sudouest.fr/2013/09/26/un-chasseur-excede-tire-sur-deux-jeunes-1180081-2966.php

Agen. Un muret s'effondre sur un sexagénaire

Un habitant de l’avenue Georges-Delpech à Agen a été pris sous un éboulement hier vers 10 heures. Coincé sous un amas de pierres, cet homme de 60 ans a été dégagé. Blessé légèrement, il a été hospitalisé. Propriétaire d’une maison et d’un parc en bordure du quartier de Rouquet, le sexagénaire travaillait à nettoyer la végétation envahissante en contrebas du muret de 4 m de hauteur.
En voulant arracher des mauvaises herbes qu’il destinait à un feu allumé dans son jardin, tout un pan de mur en pierres de taille a brusquement cédé, mettant à nu le terrain en pente.
Les habitations de l’avenue Georges-Delpech sont escarpées dans la montée de l’Ermitage. Des mouvements de terrain sont souvent déplorés. Les pluies incessantes du printemps ont sûrement eu pour effet de raviner les jardins surplombant la route de Bordeaux. Aussitôt la police a régulé la circulation avec des feux en alternance.

Le cèdre tronçonné aujourd'hui

Le service de la voirie de la mairie a procédé au déblaiement des pierres sur le trottoir et après le passage de l’élue Clémence Robert et du chef des espaces verts, la décision a été prise de tronçonner un cèdre majestueux et classé du Liban.
Car l’arbre planté tout près du mur penchait dangereusement vers la route laissant courir des risques pour les passants et les maisons en face. Les techniciens ont jugé que l’affaissement du mur avait dû fragiliser le cèdre dont la particularité est d’avoir peu de racines.
L’avenue a été coupée toute la journée le temps qu’une société d’élagage intervienne sur l’arbre imposant. Une opération qui se poursuit aujourd’hui.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/26/1717598-tentative-agression-sexuelle-personne-vulnerable-muret-effondre-personne.html

Narbonne : l'auteur de la rixe des Barques incarcéré

Les deux individus placés en garde à vue après la violente rixe lundi après-midi sur les Barques, ont été entendus par les services de police. La jeune femme a été relâchée. Quant à son compagnon, il a été incarcéré au centre pénitentiaire de Béziers.
La violente rixe qui s’est déroulée, lundi après-midi, sur les Barques a très certainement pour origine... un simple regard. Retour sur les faits. Un couple qui venait de passer entre les tables et l’entrée du Macar revient soudain chercher querelle aux clients et patron du bar. La jeune femme, âgée de 31 ans, n’a pas apprécié que quelqu’un la regarde... Le ton monte rapidement. Les menaces verbales proférées par le duo laissent rapidement place à la violence. Le compagnon de la jeune femme exhibe un couteau. Les chaises volent, le patron du Macar, Anthony Hill, se défend à l’aide d’une béquille empruntée à un ami. Dans le même temps, l’alerte est donnée au commissariat qui dépêche sur place une patrouille.
Le couple intercepté place de l'Hôtel-de-Ville


Entendant les forces de l’ordre arriver, le couple prend la fuite. L’homme, âgé de 32 ans et sa compagne seront interpellés, quelques minutes plus tard, alors qu’ils se trouvent place de l’Hôtel-de-Ville, devant le Monoprix. Une interpellation plutôt “musclée” puisque l’homme profère des menaces à l’encontre des policiers et se rebelle, s’opposant à ce qu’on lui passe les menottes.
La jeune femme relachée, son compagnon incarcéré
Finalement conduits au commissariat, les deux individus y sont placés en garde à vue. Mardi après-midi, la jeune femme, SDF comme son compagnon, a été relâchée.
L’homme, quant à lui, a été écroué à Béziers. En effet, auteur d’un délit routier, il n’avait pas daigné assister à sa comparution devant la justice, il y a quelques mois de cela. Condamné à deux mois de prison ferme, il est donc parti purger sa peine.
Il retrouvera son amie, le 21 février prochain, devant le tribunal correctionnel de Narbonne.

http://www.midilibre.fr/2013/09/25/rixe-sur-les-barques-l-homme-au-couteau-en-prison,761801.php

mercredi 25 septembre 2013

Un homme grièvement blessé par balle à Port-de-Bouc, près de Marseille

Un homme d'une quarantaine d'années a été grièvement blessé par balle à la tête lors d'un échange de tirs mercredi à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône), près de Marseille, a-t-on appris de source policière.
Son pronostic vital n'est pas engagé, a-t-on précisé de même source. L'homme a été transporté à l'hôpital Nord de Marseille vers 13h, ont indiqué les pompiers.

http://www.20minutes.fr/societe/1227721-20130925-homme-grievement-blesse-balle-a-port-de-bouc-pres-marseille

Six mois de prison avec sursis pour les quatre militaires

Le 5 avril dernier, un groupe de « sept ou huit » jeunes militaires célèbre dans Reims leur récent avancement. À une heure tardive et après consommation d’alcool immodérée, ils croisent deux hommes tout juste sortis de discothèque. L’instant d’après, l’un d’eux se retrouve roué de coups par quatre des militaires. Son vélo, coûteux car de compétition, est également dégradé. La raison de cet éclat de violence ? Euh… inconnue. « On lit votre première audition, vous ne savez même pas pourquoi vous avez tapé, soupire le président. Après on a l’impression que l’histoire est bien mise au point entre vous, qu’en réalité, vous auriez ce soir-là été insultés… Une bande de militaires avinés, c’est ce que vous étiez. »

Six mois avec sursis

À la barre, les trois prévenus présents ont la carrure robuste et le cheveu ras. Les explications sont bredouillées, Pas la peine de faire de longs discours : la scène a été filmée par la vidéosurveillance. Aucun de ces militaires n’avait encore été condamné par la justice civile. Depuis les faits, leur hiérarchie leur a infligé une punition de vingt jours. « Mais outre l’alcool que vous aviez bu, pourquoi avez-vous agi ainsi ce soir-là ? », insiste encore le président. Face à lui, Jean-Michel, Jean-Paul et Maui baissent la tête, penauds. L’un tente encore  : « Nous avons été insultés… »
Un mot sur la victime : avant de rencontrer ces joyeux drilles, elle était étudiante en Staps. Depuis l’agression, une douleur persistante à la hanche l’a obligé à se reconvertir dans des études de kinésithérapie. À l’issue d’un très bref délibéré, les quatre militaires sont condamnés à six mois de prison avec sursis. Une expertise précisera le montant des indemnisations à verser à la victime.

http://www.lunion.presse.fr/region/six-mois-de-prison-avec-sursis-pour-les-quatre-militaires-ia18b0n212560

Un portier de boîte de nuit arrêté pour violence

Les policiers municipaux souvent confrontés à des situations tendues et dangereuses n’ont pas ménagé leurs efforts, dernièrement, pour maîtriser un homme violent qui s’est présenté à eux avec deux couteaux de boucher. Vendredi, vers 17h30, deux policiers sont appelés pour renseigner des touristes égarés à la recherche d’un camping, chemin de Tournefeuille, à Toulouse. Mais une fois arrivés sur les lieux, les deux policiers tombent de manière fortuite face à un colosse de 1,90m, plus de 100 kilos, pris d’un accès de colère et qui venait de frapper un membre de sa famille. L’homme à la carrure d’athlète sort aussitôt deux lames de 25 cm chacune et menace les policiers qui décident d’engager le chien de la brigade canine pour rester maître de la situation. Des renforts arrivent également sur les lieux. Malgré l’usage de plusieurs bombes lacrymogènes, l’individu donnait toujours plus de fil à retordre aux policiers qui ont fini par le maîtriser. Cet homme, portier de nuit dans une discothèque, a été remis entre les mains de la police nationale et placé en garde à vue au commissariat central. À l’issue de son audition, le parquet a demandé des expertises supplémentaires. Ce suspect a été laissé libre mais devrait comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel pour violence et menaces sur des policiers.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/25/1716799-un-portier-de-nuit-arrete-pour-violence.html

Carcassonne : arrêté ivre et sans permis jeudi, il avait tué au volant en 2006

Cité en comparution immédiate ce mercredi matin, à 11 h, ce Carcassonnais de 28 ans devra répondre de multiples délits routiers commis à Carcassonne, jeudi soir.
C’est dans un département douloureusement touché par la mortalité routière, et les promesses de sévérité des autorités préfectorales que Sofiane B., un Carcassonnais de 28 ans, sera jugé devant le tribunal en comparution immédiate, ce mercredi matin, à 11 h, pour répondre de conduite sans permis, de circulation en état d’ivresse, de refus d’obtempérer et de mise en danger de la vie d’autrui.
Tous les risques possibles et inimaginables pour fuir la police
Les faits pour lesquels le jeune homme comparaît ce mercredi remontent au jeudi 19 septembre, vers 23 h 50. Ce jour-là, c’est parce qu’il roulait à vive allure dans le centre-ville de Carcassonne, qu’une patrouille de police a pris en chasse le chauffard, avec lequel se trouvaient deux autres personnes. Une course-poursuite au cours de laquelle le suspect a pris tous les risques possibles et inimaginables, en brûlant plusieurs feux rouges, et en n’hésitant pas à circuler en contresens sur certains secteurs de la ville... Jusqu’au moment où, en arrivant au rond-point Georges-Pompidou, à hauteur du centre Leclerc, le fuyard a fait une embardée.
Retrouvé à une vingtaine de mètres du lieu de l'accident
Si deux des occupants de la voiture accidentée ont été pris en charge et transportés au centre hospitalier, le conducteur, qui avait disparu dans un premier temps, a été retrouvé dans un fossé à une vingtaine de mètres des lieux de l’accident. En état d’ivresse et légèrement blessé, comme ses deux compagnons d’infortune, il a également été conduit à l’hôpital Antoine-Gayraud, avant d’être ramené au commissariat vers 1 h 30, vendredi matin... Puis placé en hospitalisation d’office à Limoux, à la demande expresse du parquet. Ce n’est finalement que mardi matin que le jeune a été ramené au commissariat de Carcassonne, où il a été placé en garde à vue.

http://www.midilibre.fr/2013/09/24/arrete-ivre-et-sans-permis-jeudi-il-avait-tue-au-volant-en-2006,761444.php

mardi 24 septembre 2013

Lionel Vast : «J’ai tué celle que j’aimais le plus au monde »

Il l’aimait et ne pouvait se résoudre à la perdre. Il avait menacé de la tuer et de se tuer après. Des menaces récurrentes, persistantes. Il avait même promis d’agir « à un moment mémorable » .
Lucie Assouline est décédée le 1er janvier 2009, après avoir annoncé qu’elle mettait « définitivement » fin à leur liaison. Une relation compliquée, mêlée de ruptures et de réconciliations.
Lucie était revenue à Dormans pour s’expliquer avec son compagnon, Lionel Vast, un homme décrit comme « impulsif » et « instable ». Il n’a pas supporté. Il s’est saisi d’une arme de chasse et a tiré à trois reprises dans la maison.

Il recharge l’arme et vient l’achever

Lucie s’est enfuie. Elle a tenté de se cacher derrière des voitures. Blessée au cou, elle a eu le temps de parcourir une dizaine de mètres, avant de s’écrouler sur le trottoir, le poumon droit perforé. « Je l’ai retournée tout doucement. Je l’ai embrassée… et je lui ai dit « On va partir ensemble mon cœur »… Je n’avais plus de balles. » Lionel Vast l’a reconnu lundi, il est retourné dans la maison pour recharger son arme, puis est revenu l’achever d’une balle dans la poitrine.
Le cœur de Lucie a explosé… La première balle, elle, n’était pas mortelle. Lionel Vast a alors retourné l’arme contre lui, se blessant grièvement à l’épaule. Un acte « théâtral » pour la famille de la victime. Tout comme les remords de l’accusé…
« J’ai tué celle que j’aimais le plus au monde… Je regrette tellement ce jour-là ». Pour le meurtre de Lucie Assouline, Lionel Vast, qui a toujours reconnu les faits, encourt 30 ans de réclusion criminelle. Il sera fixé sur son sort dans la soirée.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/lionel-vast-j-ai-tue-celle-que-j-aimais-le-plus-au-ia0b0n211898

Nîmes : âgé de 5 ans, il échappe à la vigilance de l’école

L'enfant, scolarisé en CP à l'école Jean-Jaurès, est rentré chez lui tout seul vendredi à 16 h 30 avant de repartir en direction de l'école. Personne ne s'était rendu compte de son absence à l'étude. 
"Je suis sidérée. Personne dans l’école ne s’est aperçu de son absence, à croire qu'ils ne font pas l'appel le soir à l'étude !" La maman de ce petit garçon de 5 ans et demi, inscrit en CP à l’école Jean-Jaurès de Nîmes, en est encore toute retournée.
Vendredi à 16 h 30, à la sortie de l’école, après une bousculade devant la porte d’entrée, son fils s’est retrouvé en dehors de l’enceinte, alors qu’il devait rester à l’étude. "C'est notifié sur le cahier de correspondance, le vendredi soir, je ne peux venir le chercher avant 17 h 30", s'insurge cette Nîmoise. Délaissé sur le trottoir, le bout de chou a alors attendu quelques minutes avant de décider de rentrer seul à sa maison
Il a parcouru un petit kilomètre à pied
"Chose qu’il n’a jamais faite, il y a un petit kilomètre à parcourir, explique sa maman, encore sous le choc. Comme je n’étais pas au domicile, il est reparti à l’école et ce n’est que vers 17 h 10 qu’une passante s’est inquiétée de le voir seul sur le trottoir et a alerté l’école. Ces faits m'ont été confirmés par un commerçant de ma rue ainsi qu'un voisin qui ont vu mon fils peu avant 17 heures dans le quartier. Vous vous rendez compte, il aurait pu faire une mauvaise rencontre ou être victime d’un accident."
Une main courante a été déposée
Pour éviter qu’une telle mésaventure ne se reproduise et pour sensibiliser les surveillants, elle a déposé une main courante et écrit à l’inspectrice d’académie.
Joint par téléphone le directeur de l'établissement a refusé de se livrer à tout commentaire dans cette affaire, préférant nous renvoyer vers l'inspectrice de la circonscription qui, malheureusement, n'était pas disponible, ce lundi après-midi.

http://www.midilibre.fr/2013/09/23/age-de-5-ans-il-echappe-a-la-vigilance-de-l-ecole,760935.php

lundi 23 septembre 2013

Braquage mortel à Marignane : un complice présumé arrêté

Un braqueur présumé a été arrêté lundi après-midi dans l'enquête sur le braquage d'un bureau de tabac à Marignane fin août, qui s'était soldé par la mort d'un sexagénaire, tué pour avoir tenté d'arrêter les braqueurs.

L'enquête avance un peu plus sur sur le braquage d'un bureau de tabac à Marignane fin août, qui s'était soldé par la mort d'un sexagénaire, tué pour avoir tenté d'arrêter les braqueurs. Un deuxième homme, âgé de 22 ans, a été arrêté lundi après-midi. Interpellé à Marignane dans les Bouches-du-Rhône, le braqueur présumé a été placé en garde à vue au siège de la police judiciaire à Marseille.
Il est connu des services de police pour des affaires de violences et de stupéfiants.  Il est soupçonné d'être l'un des deux auteurs -l'autre ayant déjà été
arrêté, mis en examen et écroué- du braquage d'un bureau de
tabac le 22 août dernier, qui s'était conclu par la mort de Jacques Blondel, un retraité d'Air France âgé de 61 ans.
En fin d'après-midi ce jour-là, deux jeunes gens cagoulés et armés d'un fusil à pompe étaient entrés à "La Civette du rampal", commerce tenu depuis six ans par un quinquagénaire qui n'avait eu aucun problème jusque-là. Ils avaient mis le commerçant en joue et s'étaient emparé de cartouches de cigarettes et du contenu de la caisse.
"Ils vont faire un mauvais coup"
M. Blondel, qui revenait de la plage avec sa femme et sa petite-fille de 15 mois, s'était retrouvé nez-à-nez avec les malfaiteurs. Selon des propos rapportés par l'un des témoins, il aurait décidé d'intervenir, indiquant à son épouse: "Ils vont faire un mauvais coup." Le retraité avait alors percuté le scooter avec sa voiture. D'après un témoin, il avait tenté de raisonner les braqueurs, agrippant le fusil, mais l'un des deux jeunes, qui paraissaient "affolés" selon un autre témoin, avait
"repris l'arme" et "tiré une fois en l'air et deux fois dans sa direction".
L'un des deux auteurs présumés avait été interpellé quelques minutes plus tard à Vitrolles. Agé de 18 ans et déjà connu pour une douzaine de délits, il a été mis en examen pour "vol avec arme" et "meurtre afin d'assurer l'impunité de son auteur".
 

Floirac (33) : accident sur la N230, bouchon en formation

Le  Centre régional d'information et de coordination routières signale un accident survenu ce lundi matin sur la N230, rocade intérieure, direction Bégles, à hauteur de la commune de Floirac.
L'accident implique une moto.

Les secours sont actuellement en intervention. L'état de santé du motard n'est pas précisé


Un bouchon se forme entre les échangeurs 26 et 21.
Bison Futé recommance la prudence à l'approche de ce secteur

http://www.sudouest.fr/2013/09/23/floirac-33-accident-de-sur-la-n230-bouchon-en-formation-1177244-2874.php

Coglès. L'épicier du village, 79 ans, braqué et frappé pour quelques cigarettes

Un vol à main armée a été commis ce dimanche soir, dans la petite épicerie-tabac du bourg de Coglès (35), à 25 km au sud du Mont-Saint-Michel. Le malfaiteur a violemment frappé le commerçant, âgé de 79 ans.


L'épicerie du village est l'unique commerce de cette petite commune de 600 habitants. Elle est tenue par un couple de personnes âgées. Leur boutique, c'est leur vie, mais c'est évidemment une source de revenus très limitée. C'est pourtant sur elle qu'un braqueur a, bizarrement, jeté son dévolu.

Coup de crosse au front
Il est entré dans l'épicerie vers 20 h 40, alors que les tenanciers s'apprêtaient à fermer. La femme se trouvait dans une partie du logement assez éloignée de l'espace commercial, tandis que son époux, plus proche, a entendu du bruit dans une pièce privée attenante à la boutique.

Il s'y est rendu et s'est trouvé face à un homme cagoulé, portant un pistolet à la main. "Qu'est-ce que vous faites là ?", lui a-t-il demandé. Pour toute réponse, il a reçu un violent coup de pistolet au front.
"Couche-toi sur le sol !", lui a ordonné le malfaiteur. Il est resté ainsi allongé jusqu'à ce qu'il n'entende plus un bruit et s'est alors rendu dans le commerce, où il a constaté la disparition de son petit stock de tabac.
Sa blessure au front ne semblait pas inquiétante, mais le septuagénaire, très choqué par l'agression dont il a été victime, a été conduit au centre hospitalier de Fougères pour observation.

Jamais deux sans trois ?
Aussitôt alertés, les gendarmes de la compagnie de Vitré-Fougères ont engagé les recherches avec le soutien du Peloton de surveillance et d'investigation et des Techniciens en investigations criminelles de la gendarmerie. Des équipes qui ont fait leurs preuves en matière d'enquêtes criminelles : elles ont résolu les deux précédents vols à main armée qui se sont produits dans le canton du Coglais (mais dans des communes plus importantes que Coglès), et ont arrêté leurs auteurs. Le capitaine Gilles Oakes, adjoint au commandant de la compagnie, compte qu'il en aille de même pour cette affaire.


http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/cogles-l-epicier-du-village-79-ans-braque-et-frappe-pour-quelques-cigarettes-23-09-2013-2243964.php

A Lille, une professeur jugée pour avoir aimé une de ses élèves

Le procès d'une enseignante soupçonnée d'avoir eu une liaison amoureuse avec une de ses élèves de collège se tient lundi après-midi devant le tribunal correctionnel de Lille. Le professeur encourt jusqu'à 10 ans de prison.


C'est l'histoire d'une relation amoureuse interdite entre une professeure d'anglais et une élève de troisième qui est jugée ce lundi devant le tribunal correctionnel de Lille. L'enseignante a 34 ans, l'adolescente seulement 14. La première est poursuivie pour "atteintes sexuelles sur mineure de 15 ans par personne ayant abusé de son autorité"? Un délit passible de 10 ans de prison.

Il lui est reproché d'avoir entretenu une liaison avec la collégienne du 1er septembre 2011 au 24 avril 2013. Jusqu'à ce que les parents de la jeune fille ne la découvre. Selon l'avocate de l'enseignante, Me Aurélie Panier, il s'agissait "d'une relation consentie". "Ce n'est pas de la pédophilie, c'est une histoire d'amour interdite", avait-elle encore déclaré à l'issue d'une première audience en juin au cours de laquelle elle avait demandé le report du procès pour "permettre à la justice de travailler" sereinement, la "pression médiatique" ayant débouché sur une "atteinte à la vie privée" de sa cliente.

Interdiction d'approcher la jeune fille
En attendant ce procès, qui devrait se dérouler à huis clos, l'enseignante a été suspendue par le rectorat de Lille et placée sous contrôle judiciaire avec interdiction d'entrer en contact avec la jeune fille et ses proches, de se rendre aux abords et dans l'enceinte du collège ainsi que l'obligation de suivre des soins psychologiques.

En juin dernier, Jeremy Forrest, un professeur britannique de 30 ans qui avait fui avec une élève de 15 ans en France en 2012, a été condamné à cinq ans et demi de prison pour "enlèvement" et relations sexuelles avec une enfant en Angleterre. "En tant que professeur, votre devoir  était de stopper et non d'encourager la jeune fille dans sa passion amoureuse",  avait déclaré le juge avant de le condamner. Le professeur avait lancé "Je t'aime" à l'adolescente, aujourd'hui âgée de 16 ans. "Je suis désolée", s'était excusée la jeune fille, alors que Jeremy Forrest était escorté vers sa cellule.
 

Montpellier : bras de fer entre une prof handicapée et le rectorat

Cette enseignante greffée du dos doit faire 80 km par jour en voiture. Elle demande un rapprochement de poste. En vain.
 

Nelly Lacince est à bout de force. Professeur agrégée d’EPS, elle ne supporte plus de faire le trajet de Montpellier, où elle réside, à Saint-André-de-Sangonis, son collège d’affectation. Pour cause, elle a subi, il y a tout juste deux ans, une greffe osseuse des lombaires à la suite d’un accident du travail survenu dix ans plus tôt. "Aujourd’hui, je suis obligée de faire 80 kilomètres en voiture aller-retour chaque jour. Cela m’est impossible. Résultat : j’arrive au collège, je boite, je repars le soir, je boite et quand je suis chez moi, j’ai tellement mal que je me couche."
Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé 
Le quotidien de cette enseignante de l’Éducation nationale, qui professe depuis près de trente-cinq ans, est devenu un véritable enfer, d’autant qu’au fil des mois, elle tente de faire entendre sa voix auprès du rectorat qui, selon elle, fait la sourde oreille. "J’ai obtenu la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé à hauteur de 17 % qui me donne le droit de travailler au plus près de mon domicile mais le rectorat ne veut rien entendre !"
De son côté, le rectorat, qui suit le dossier, "parmi les dizaines d’autres car notre région comprend de nombreux enseignants malades, du fait de l’âge des effectifs", assure que l’essentiel a été fait. Et d’expliquer que tout est une question de points d’attribution lors de demande de mutation.
Une reconversion plus appropriée ?
En clair : Nelly Lacince - qui arrivait d’une autre académie - a bénéficié, avec son handicap, de points supplémentaires qui lui ont permis d’intégrer l’académie de Montpellier sur une zone dite Montpellier nord où se trouve Saint-André-de-Sangonis. "Nous avons respecté à la lettre les conditions d’attribution du poste, assure-t-on au cabinet du recteur. On ne peut créer de passe-droit, et cela même si on comprend les difficultés de cette dame. Il y a une équité à respecter."
Quelle solution trouver alors ? "Une demande de reconversion semble le plus approprié." Seulement, Nelly Lacince souhaite continuer d’enseigner. "Je ne veux pas m’arrêter et encore moins me mettre en maladie. Je veux juste pouvoir éviter d’avoir des centaines de kilomètres à faire toutes les semaines comme l’ont contre-indiqué mon médecin traitant et mon neurochirurgien."
Un défenseur des droits
Un dialogue de sourds s’est installé qui pose par ailleurs un autre problème : celui de la fragilité physique - et de fait de la compétence - qu’éprouve cette enseignante qui dispense tout de même trois jours par semaine des leçons de sport à des collégiens. "Madame Lacince a été vue par le médecin du rectorat qui a considéré qu’elle était apte à occuper son poste d’EPS", affirme le cabinet du recteur.
L’enseignante, elle, a décidé de ne pas en rester là et a fait appel à un défenseur des droits pour continuer à mener un bras de fer bien désolant !

http://www.midilibre.fr/2013/09/21/une-prof-handicapee-face-a-la-rectitude-du-rectorat,760156.php

dimanche 22 septembre 2013

Charente-Maritime : un jeune homme de 22 ans grièvement blessé dans un accident

Un accident de la circulation a eu lieu samedi, vers 21h30, sur la route départementale 145, commune de Bédenac, dans le sud de la Charente-Maritime. Un véhicule conduit par un jeune homme de 22 ans a en effet quitté la route et réalisé plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser.
Les secours ont du procédé à la désincarcération de la victime avant de la transporter vers un hôpital de Bordeaux, dans un état grave.

http://www.sudouest.fr/2013/09/22/charente-maritime-un-jeune-homme-de-22-ans-grievement-blesse-dans-un-accident-1176366-1391.php

Gourdon. Lidl cambriolé : le préjudice estimé à 50 000 €

Dans la nuit de vendredi à samedi un ou des voleurs se sont introduits par effraction dans l’enseigne Lidl, située au lieu-dit Bouriat à Gourdon. Lidl s’appuie sur un concept minimaliste pour proposer des produits à prix très bas. Hier, à l’ouverture du magasin, le personnel a eu la très mauvaise surprise de voir que le coffre avait été dérobé. «Le ou les voleurs se sont introduits par le toit. Ils l’ont découpé» indique-t-on à la gendarmerie. Une enquête est en cours. «Le préjudice est de l’ordre de 50 000 €. Ils n’ont pas volé de denrées alimentaires. Hier, nous avons engagé le technicien en investigation criminelle pour effectuer les premiers prélèvements. La brigade de recherche de Gourdon est en charge de l’enquête. Le vol se serait produit en deuxième partie de nuit», poursuit la gendarmerie.
Un choc à Gourdon, petite ville plutôt paisible. «Jeudi dernier, j’avais fait le point avec le commandant de gendarmerie sur les cambriolages. Il n’y avait pas matière à s’inquiéter. Malheureusement c’est arrivé» confie Marie-Odile Delcamp, maire de Gourdon. Le vol du coffre était semble-t-il visé.
«Nous conseillons à tous les gérants de petits supermarchés d’être vigilants sur la clientèle. S’ils voient des personnes qui font des repérages, qu’ils n’hésitent à nous appeler au 05 65 23 55 00», conseille-t-on à la gendarmerie.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/22/1714387-gourdon-lidl-cambriole-le-prejudice-estime-a-50-000-e.html

Des frelons attaquent méchamment des cyclistes en Isère

Un groupe de randonneurs à VTT a été la cible de frelons samedi en Isère. L'un d'entre eux a été piqué une trentaine de fois et quatre personnes ont dû être hospitalisées.

Ils ont été piqués des dizaines de fois sans raison apparente. Dix cyclistes qui roulaient à Saint-Romans, en Isère, ont été victimes d'une attaque de frelons. Ils participaient à une randonnée à VTT organisée ce samedi par le club cyclotouriste local. Les insectes attendaient dans un tronc d'arbre au détour d'un chemin en terre, quand les sportifs ont eu le malheur de les croiser, rapporte France 3 Alpes
Les frelons ont alors foncé sur le peloton et s'en sont pris à une dizaine d'entre eux. L'un des cyslistes a même été piqué une trentaine de fois. Quatre personnes  ont dû être hospitalisées à cause de leurs innombrables piqures, dont deux dans un état sérieux.

samedi 21 septembre 2013

Millau : la nuit cauchemardesque d’une mamie séquestrée et ligotée chez elle

L’été dernier, dans le centre-ville de Millau, deux malfrats avaient "saucissonné" une octogénaire à son domicile pour ensuite lui voler ses bijoux et objets de valeur. Un an après, la victime est toujours traumatisée mais elle peut enfin respirer : le second suspect vient d’être arrêté par la police du côté d'Albi (81).
L’affaire qui suit, et que vient de résoudre la Brigade de sûreté urbaine (BSU) de Millau avec l’appui du SRPJ de Toulouse, défie tout simplement l’entendement. Celle-ci a démarré il y a un peu plus d’un an, le 13 juillet 2012 exactement.
Ce soir-là, dans le centre-ville de la cité gantière, Marie (*), âgée de 80 ans, ouvre légèrement la porte-fenêtre de son domicile pour laisser entrer la brise nocturne. Issue d’une famille de gantiers millavois, la mamie ne se doute pas qu’elle s’apprête à vivre une nuit de séquestration. Deux malfrats qui rôdent dans le quartier décident de profiter de la situation. Quelques minutes passent quand le duo pénètre dans son domicile, interpelle violemment la locataire, puis la ligote avec un câble de téléphone.


Ils menacent la victime de lui couper la tête avec un sabre
Le visage caché par une cagoule, les deux individus raflent tout ce qui leur tombe sous la main, des bijoux, mais aussi des couverts de valeur et du numéraire. Non contents de cela, et persuadés que la victime leur dissimule l’essentiel, ils s’emparent alors d’un sabre de décoration et la menacent de lui couper la tête avec.
Pour aller plus loin dans l’horreur, ils se saisissent ensuite d’un couteau de cuisine qu’ils posent au-dessus de l’une de ses mains, laissant entendre que son auriculaire y passera si elle ne coopère pas. Sous la contrainte, la mamie leur assure qu’elle ne cache rien. Le duo perd patience et prend alors la fuite avec son butin chiffré à plusieurs milliers d’euros. Il est un peu plus de 20 h. Après des heures et des heures d’efforts, la victime parviendra à se libérer de ses entraves au petit matin...
Durant plusieurs mois, les policiers vont se jeter à corps perdu dans cette affaire, plus particulièrement le capitaine Didier Eugène (BSU) et le brigadier Thierry Roques. Agissant sous commission rogatoire avec les forces supplétives du SRPJ de Toulouse, ces deux enquêteurs millavois vont faire preuve de patience et dénouer un à un les fils de cette affaire de “saucissonnage” supervisée par le parquet de Rodez. Grâce aux informations récoltées auprès du voisinage, à l’analyse en profondeur du mode opératoire et des comportements lors de l’agression, ces derniers réussissent d’abord à identifier un premier suspect.
Le principal suspect, âgé de 26 ans, a été arrêté mardi dans le Tarn
Mais la question de l’interpellation le concernant n’a pas à se poser : entre-temps, cet individu a déjà été écroué pour son implication dans des dossiers de vols avec violences. Reste donc son complice, soupçonné d’être l’auteur principal, qui va rester introuvable jusqu’à ce mardi, jour où les forces de l’ordre l’ont localisé et appréhendé près de son domicile, du côté d’Albi (81).
Membre de la communauté des gens du voyage, cet homme âgé de 26 ans a été aussitôt placé en garde à vue. Lors de la perquisition, les bijoux volés à Millau l’été dernier n’ont malheureusement pas été retrouvés.
Jeudi après-midi, il devait être présenté devant un juge d’instruction à Rodez en vue d’une probable mise en examen pour “vol en réunion sur une personne particulièrement vulnérable en raison de son âge” et “vol avec violences n’ayant pas entraîné d’ITT”.
Un mandat de dépôt a été requis à son encontre, nous a indiqué jeudi le commandant de police Éric Delchambre, qui tenait à préciser que "la victime était aujourd’hui encore traumatisée par cette affaire. Sur les faits, on est à la limite de la torture".
(*) Il s'agit d'un prénom d'emprunt.

http://www.midilibre.fr/2013/09/20/la-nuit-de-cauchemar-d-une-mamie-sequestree-chez-elle,759870.php

Bordeaux : il tue un homme avant de retourner l'arme contre lui

Deux hommes ont été blessés par arme à feu vendredi vers 22 heures 30, rue Camille Godard à Bordeaux.
Un homme d'une cinquantaine d'années a fait feu sur un second protagoniste (un homme également âgé d'une cinquantaine d'années) avant de retourner l'arme contre lui.

La première victime est décédée peu après les faits.
Le tireur se trouvait samedi matin dans un état jugé grave par les médecins.
Une querelle amoureuse ou familiale pourrait constituer la toile de fond de ce drame.
Une femme était en garde à vue au commissariat central de Bordeaux samedi matin.
Choquée, elle devrait être entendue par les enquêteurs dans la journée.

http://www.sudouest.fr/2013/09/21/bordeaux-il-tue-un-homme-avant-de-retourner-l-arme-contre-lui-1175957-2780.php

Ganac. Un promeneur finit sa route dans le ravin

Hier matin, le véhicule d’un homme d’une quarantaine d’années est sorti de route dans la forêt domaniale de Micou, à Ganac. Alors qu’il se rendait aux champignons, le quadragénaire remonte dans sa voiture et enlève le frein à mains. L’épisode ne dure que quelques minutes.
Après une chute de 20 mètres, la voiture finit sa course dans un ravin, sur le toit.
Le quadragénaire arrive à sortir seul de sa voiture et à regagner le sentier. Prévenus par des promeneurs, les pompiers et le Samu arrivent sur les lieux, quelques minutes plus tard. Le promeneur est ensuite transféré au Chiva pour des examens de contrôle.
Après le tragique accident survenu dans les Hautes-Pyrénées la semaine dernière, les gendarmes demandent aux promeneurs et cueilleurs de champignons la plus grande vigilance, lorsqu’ils partent en excursion.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/21/1714045-ganac-un-promeneur-finit-sa-route-dans-le-ravin.html

Enceinte, elle est agressée à l'arme blanche à l'abdomen

Une femme enceinte a été poignardée à l'abdomen lors d'une tentative de vol à l'arraché vendredi à Salomé (Nord), a-t-on appris auprès des secours. La victime a été transportée au CHR de Lille dans un état grave, ont annoncé les pompiers.
Ses jours ainsi que ceux de son bébé ne sont pas en danger, ont précisé les gendarmes. Agée de 40 ans, cette femme se trouvait sur la voie publique lorsqu'elle a été poignardée avec un couteau par un individu qui lui a volé son sac ou a tenté de le faire, selon les pompiers. Aucun suspect n'avait été interpellé vendredi soir. La brigade de gendarmerie locale est chargée de l'enquête.
 

vendredi 20 septembre 2013

Mably : la RN7 coupée à cause de l'incendie d'une ancienne usine désaffectée

Ce vendredi, un violent incendie ravage une ancienne usine désaffectée, située le long de la RN7 à Mably. Selon les secours, le sinistre d’origine indéterminée a détruit 2000m2 d’un bâtiment d’une superficie de 14000m2
Ce vendredi, un violent incendie ravage depuis le début de l'après-midi une ancienne usine désaffectée, située le long de la RN7 à Mably. Selon les secours, le sinistre d’origine indéterminée a détruit 2000m2 d’un bâtiment d’une superficie de 14000m2.
Une cinquantaine de pompiers sont mobilisés. La RN7 est coupée depuis 14 heures et pourrait l’être encore cette nuit car la façade de cet immense bâtiment d’un seul tenant, voué à la démolition début 2014, risque de s’effondrer.


http://www.leprogres.fr/loire/2013/09/20/mably-une-ancienne-usine-desaffectee-ravagee-par-un-incendie

Ivre : il parcourt 100 km à contresens sur l'autoroute

Un automobiliste ivre de 51 ans a parcouru une centaine de kilomètres à contresens sur l'autoroute sans provoquer d'accident et sans être inquiété, entre Abbeville (Somme) et Rouen, jeudi soir, a-t-on appris vendredi auprès de la police.
L'homme, parti d'Abbeville, a roulé à contresens sur l'A28 jusqu'à Rouen, parcourant quelque 100 kilomètres sans provoquer d'accident, entre 22h00 et 23h00 jeudi.

Ce n'est qu'après avoir quitté l'autoroute qu'il a pu être intercepté, dans le centre de Rouen. L'homme a été repéré par des caméras de surveillance, a-t-on précisé.
Placé en garde à vue, l'automobiliste, qui n'a pu être immédiatement entendu en raison de son état d'alcoolémie avancée, affichait toujours plus de 2g d'alcool par litre de sang après six heures de dégrisement, a précisé la police. Son permis lui a été retiré.

http://www.sudouest.fr/2013/09/20/ivre-il-parcourt-100-km-a-contresens-sur-l-autoroute-1174994-7.php

De « très fortes probabilités » que le corps soit celui de Xavier

IL n'y aura pas de dénouement heureux. Selon le parquet de Châlons, il y a « de très fortes présomptions que le corps repêché » soit celui de Xavier Godmé, 26 ans, découvert par des pêcheurs, le week-end dernier, coincé dans un amas de branchages entre les communes de Magenta et d'Épernay dans la rivière Marne.
Xavier n'avait plus donné signe de vie depuis la nuit du vendredi 6 septembre. Ce soir-là, l'Agéen avait décidé de sortir avec quelques copains. La virée s'est terminée dans une boîte de nuit, toujours à Épernay, dans un établissement nocturne situé à deux pas de la rivière. Depuis son départ de l'établissement, on était sans nouvelles de Xavier.
L'autopsie pratiquée à Reims a pu établir « que les vêtements et la gourmette du disparu étaient similaires à la description donnée ». Il s'agirait donc, selon toute vraisemblance, d'une chute dans l'eau. Les berges escarpées et le courant de la rivière auraient empêché le jeune homme, tombé à l'eau en pleine nuit, de remonter sur la berge.
Consternation
À Aÿ, là où vivait Xavier Godmé, l'heure est à la consternation. On se rappelle en effet de la solidarité et de la mobilisation dont avait fait preuve une bonne partie de la population de la commune.
Des battues avaient été organisées le long du canal ainsi que dans les champs qu'aurait pu traverser Xavier pour regagner son domicile. Deux jours de suite, une unité de plongeurs de Reims avait inspecté le cours d'eau jusqu'au barrage de Cumières. En vain.
La sœur de Xavier, Sophie, sous le choc, tient à souligner l'élan de solidarité qu'a suscité la disparition de son frère. « Je n'ai pas les mots pour remercier toutes les personnes qui nous ont apporté leur soutien. Que ce soit par des messages ou d'autres qui ont pris de leur temps pour venir aux battues et tenter de retrouver la trace de mon frère. Nous n'avons pas encore la confirmation définitive que c'est bien le corps de mon frère qui a été repêché. » L'interminable attente se poursuit pour cette famille. Certainement sans illusion sur l'issue de l'analyse ADN pratiquée.

http://www.lunion.presse.fr/region/de-tres-fortes-probabilites-que-le-corps-soit-celui-jna3b24n208542

Albi. À 17 ans, il aurait mis le feu à la voiture par vengeance

Il s’en passe dans le quartier de Lapanouse! Nous relations récemment l’intervention mouvementée d’une patrouille de police pour séparer des participants à une rixe. Un homme de 26 ans, se présentant comme victime, s’en était pris aux fonctionnaires, assénant un coup de tête l’un et une gifle à l’autre. Pour ces violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, l’intéressé, jugé en comparution immédiate, avait écopé de 6 mois de prison. La nuit qu’il passait en garde à vue au commissariat, sa voiture, une Renault Scénic, avait brûlé rue Maréchal-Lyautey. Ce volet de l’affaire a bien sûr fait l’objet d’une enquête. Grâce à la vidéoprotection mise en place par la mairie d’Albi à Lapanouse, les policiers de la BSU avaient pu identifier deux hommes qui se trouvaient près du véhicule juste avant qu’il ne brûle. Un majeur de 19 ans a été interpellé mercredi après-midi mais c’est un mineur de 17 ans, arrêté hier matin dans le lycée d’Albi où il étudie, qui a reconnu être l’incendiaire. Ayant participé à la bagarre, il aurait voulu se venger de l’homme de 26 ans. Sa garde à vue a été prolongée hier soir tandis que le jeune majeur était laissé libre.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/20/1713294-albi-17-ans-aurait-mis-feu-voiture-vengeance.html

Minervois : un incendie ravage 25 hectares de pinède à Beaufort

Après le feu à Narbonne, un autre incendie a éclaté ce jeudi vers 19 heures à Beaufort, près d'Olonzac dans l'Hérault.
Jeudi vers 19 h, un incendie a éclaté dans une pinède, à Beaufort, près d'Olonzac, dans le Minervois Héraultais. Attisé par un vent très violent, il a rapidement pris beaucoup d'ampleur.
Les sapeurs-pompiers du secteur ont immédiatement déployé de lourds moyens. Une trentaine de camions de lutte contre les feux de forêt a été dépêché. Une centaine de soldats du feu a été mobilisée.


25 hectares de pinède brûlés
Les moyens aériens n'ont pu être déployés en raison de la nuit tombante.
A 22 heures, l'incendie n'avait toujours pas été définitivement fixé mais l'évolution semblait favorable. Un premier bilan indiquait 25 hectares de pinède ravagés par les flammes.
Un peu plus tôt dans la journée, un feu avait détruit 90 ha de végétation à Narbonne, à quelques kilomètres de là.
http://www.midilibre.fr/2013/09/19/minervois-un-incendie-ravage-25-hectares-de-pinede,759415.php

jeudi 19 septembre 2013

Villeneuve-sur-Lot : un homme armé d'un fusil fait irruption au centre des impôts

Ce jeudi matin, vers 10 heures, un individu armé d'un fusil, le dissimulant difficilement sous un manteau, a pénétré dans le centre des finances publiques de Villeneuve-sur-Lot, chemin de Velours.
L'homme a fait mine de se diriger vers l'accueil, avant de rebrousser chemin et sortir du centre.

Un fonctionnaire des impôts, qui avait repéré l'arme sous le manteau, a aussitôt donné l'alerte.
Actuellement, cette personne est activement recherchée par les services de police.

http://www.sudouest.fr/2013/09/19/villeneuve-sur-lot-47-un-homme-arme-au-centre-des-impots-1173766-3603.php

Vaste escroquerie aux voitures trafiquées : dix-sept Mosellans interpellés

La section de recherches de Metz et le groupe d’intervention régional viennent de démanteler un réseau mosellan spécialisé dans la vente de berlines et de grosses cylindrées au compteur trafiqué. Dix-sept personnes, la plupart travaillant dans des garages automobiles, ont été arrêtées cette semaine dans la région de Creutzwald. Onze voitures ont été saisies par la justice.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/09/19/vaste-escroquerie-aux-voitures-trafiquees-dix-sept-mosellans-interpelles

Voitures incendiées à Albi : une information ouverte contre X

Qui a incendié une trentaine de véhicules en l’espace d’à peine deux mois dans les secteurs de Lapanouse, Saint-Martin et Jarlard ? Pour l’heure, on l’ignore mais la justice veut se donner tous les moyens pour identifier, interpeller et traduire devant la juridiction compétente le ou les auteurs. Hier, le procureur de la République d’Albi, Claude Dérens, a ouvert une information judiciaire contre X du chef de «destruction volontaire par incendie de biens appartenant à autrui».
Le parquet a donc décidé de regrouper dans un seul dossier les 29 plaintes accumulées par le commissariat d’Albi entre le 14 juillet et le 9 septembre. Ce chiffre additionne les 22 voitures détruites directement par un objet incendiaire et les 7 autres véhicules qui ont connu le même triste sort par propagation des flammes.
«Ces faits qui ont particulièrement troublé l’ordre public et empoisonné la vie des habitants de ces quartiers devaient être relayés par une réponse pénale forte. Aussi, j’ai décidé de saisir le juge d’instruction dont on connaît l’opiniâtreté, ce qui devrait permettre de faire avancer l’enquête», justifie le procureur.
Un message de fermeté qui s’adresse bien sûr aux victimes, aux habitants et aux élus. La juge Françoise Allien va donc prendre la direction d’une enquête qui s’annonce compliquée.
À ce jour, aucun élément matériel ni témoignage précis n’a permis à la brigade de sûreté urbaine d’avancer de manière significative vers la résolution de cette affaire. Selon nos informations, un même mode opératoire aurait été utilisé sur la plupart des incendies. Les fonctionnaires du groupe d’atteinte aux biens n’ont pourtant pas ménagé leur peine. La brigade anticriminalité et les équipages du roulement en surveillance, de jour et de nuit, dans les quartiers concernés n’ont pas chômé non plus. Le procureur a d’ailleurs souligné leur «travail particulièrement opiniâtre» qui va donc se poursuivre, avec d’autres moyens peut-être, sous la direction de la juge d’instruction.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/19/1712416-albi-voitures-incendiees-une-information-ouverte-contre-x.html

Narbonne : les policiers victimes d'odeurs épouvantables au commissariat

Le syndicat Alliance Police nationale dénonce "les conditions sanitaires inacceptables" régnant au commissariat.
Nouveau coup de gueule, ce mercredi, du syndicat Alliance Police nationale. Après avoir dénoncé l’exiguïté et le mauvais agencement des locaux du commissariat de Narbonne, suite à l’agression d’un fonctionnaire de police par un détenu, le syndicat dénonce, cette fois-ci, les "conditions sanitaires inacceptables" qui règnent à l’hôtel de police.
"Une odeur d'excréments et de vomis"


Une position dictée par les événements survenus, mercredi matin au sein même du commissariat. "A 6 h, le chef de poste ouvre la porte de la cellule de dégrisement à une personne interpellée en état d’ivresse. Se dégage alors une odeur d’excréments et de vomis", explique Alliance. Insoutenable pour les narines des policiers présents. "L’odeur s’est répandue dans le poste obligeant les fonctionnaires, pris de spasmes, à sortir pour s’oxygéner. Seul le chef de poste est resté pour assurer la remise en liberté de la personne présente dans la cellule de dégrisement", poursuit le syndicat. Faute de pouvoir aérer les locaux, le poste de police est resté "sinistré" plusieurs heures durant.
"La police nationale refuse d'être le parent pauvre de la fonction publique"
Dans un communiqué, Alliance Police nationale dénonce donc "avec force des conditions sanitaires inacceptables. Les policiers ne peuvent plus exercer quotidiennement dans un poste insalubre où leur santé est exposée. La police nationale refuse d’être le parent pauvre de la fonction publique et d’exercer là ou nul autre ne pourrait l’accepter".
Une demande de réunion urgente d'un comité hygiène et sécurité
Le syndicat prévient qu’il va saisir le préfet pour demander "la réunion urgente d’un comité hygiène et sécurité et la visite de l’inspecteur santé et sécurité au travail".
Pour Alliance, "les policiers ne pourront à ce sujet se contenter de promesses mais au contraire d’investissements concrets et rapides".

http://www.midilibre.fr/2013/09/18/alliance-police-denonce-les-conditions-sanitaires,758901.php

mercredi 18 septembre 2013

Un promoteur immobilier tué d'une balle dans la tête à Ajaccio

C'est le 17e assassinat en Corse en 2013 : un promoteur immobilier a été tué par balles mercredi à Ajaccio dans le quartier d'Aspretto alors qu'il quittait un chantier et s'apprêtait à prendre son scooter. Deux inconnus ont ensuite pris la fuite.

Un promoteur immobilier a été abattu d'une balle dans la tête mercredi en début d'après-midi à Ajaccio, en Corse-du-Sud, selon des sources policière et judiciaire. Cet assassinat porte à 17 le nombre de personnes tuées par balles en Corse depuis le début de l'année.

L'homme a été atteint aux abords d'une résidence de luxe du quartier d'Aspretto, à la sortie d'Ajaccio en direction de l'aéroport. Il a été la cible de deux individus circulant sur un deux-roues, alors qu'il quittait un chantier et s'apprêtait à prendre son scooter. Les deux inconnus ont ensuite pris la fuite à bord d'un véhicule. Selon une source judiciaire, la victime n'était a priori connue des services de police.
 

Pays basque : un pêcheur tombé à l'eau finalement sauvé au large de Socoa

Hier soir, vers 21 h, le Centre régional opérationnel de secours et de sauvetage (CROSS) d’Etel est alerté par le sémaphore de Socoa qu’une fusée de détresse rouge a été tirée dans sa zone. La fusée a en fait été lancée par le propriétaire de "l’Imanol", un bateau de pêche aux oursins et aux ormeaux d’environ 7 m.
Le pêcheur, en raison des conditions météo défavorables (mer 4) et d’une forte houle, s’est vu contraint de sauter à la mer avec son gilet de sauvetage équipé de flash light afin de ne pas s’écraser avec son bateau sur les rochers.

Sain et sauf
Deux bateaux de pêche ont alors été détournés afin de lui prêter assistance tandis que le Cross dépêchait simultanément les SNSM de Saint-Jean-de-Luz et d’Hendaye ainsi que l’hélicoptère de la gendarmerie de Bayonne, l’ECU 64, basé à l’aéroport de Biarritz.
Un hélicoptère espagnol a également été sollicité mais il n’a cependant pas eu le temps de rallier la zone, le pêcheur ayant été récupéré sain et sauf par un des bateaux de pêche. Escorté par la SNSM, il a rejoint Saint-Jean -de-Luz où, ne souffrant d’aucune contusion ni hypothermie, il a pu retrouver son épouse et rentrer chez lui.
De source Cross Etel, "l’Imanol" se serait disloqué sur les rochers mais aucun risque de pollution n’est envisagé

http://www.sudouest.fr/2013/09/18/un-pecheur-tombe-a-l-eau-finalement-sauve-au-large-de-socoa-1172582-4018.php