Depuis ce mardi matin 8h00, un soixantaine de salariés du groupe Electrolux à Revin manifestent leur colère. Ils menacent de faire exploser une citerne de gaz de 6000 litres. Ils réclament des garanties sur leur avenir, dans le cadre de la cession du site à Selni.
Après le plan social, ils souhaitent rouvrir la table des négociations afin de percevoir eux aussi une prime. Ils soutiennent les représentants FO.
Les anciens salariés qui sont partis on eux, touché une série de primes (départ, licenciement…). Ceux qui sont resté, réclament à leur tour une prime.
Depuis ce mardi matin, ils alimentent un chemin constitué de palettes de bois auxquelles ils mettent le feu petit peu à petit peu. Ce chemin se termine sur une citerne de gaz propane destiné à alimenter les chariots élévateurs.
Une vingtaine de gendarmes et des sapeurs-pompiers sont sur place afin de sécuriser les lieux.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/09/30/revin-des-salaries-d-electrolux-tres-en-colere-menacent-de-faire-exploser-leur-usine-561402.html
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
mardi 30 septembre 2014
Agression sanglante en Gironde : deux hommes en garde à vue
Les gendarmes les considèrent comme des suspects. Interpellés par les gendarmes de Saint-Savin ce matin, ils devraient être interrogés ce mardi par la brigade de recherches de Blaye.
Ce matin 30 septembre, des hommes cagoulés avaient fait irruption chez un quinquagénaire, l'avaient agressé au tournevis et incendié sa maison dans la nuit.
Cambriolage qui a mal tourné? Violent règlement de comptes? Les enquêteurs de la brigade de recherche de Blaye et de la compagnie de gendarmerie de Blaye cherchent encore à établir la chronologie et le mobile d'une agression qui s'est déroulée la nuit dernière à Reignac, dans le Blayais.
Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes, des hommes cagoulés ont fait irruption au domicile d'un quinquagénaire et en sont repartis vers 2 heures ce matin 30 septembre. Le connaissaient-ils ? Savaient-ils précisément où ils se rendaient ? Cherchaient-ils quelque chose de précis ? L'ont-ils obtenu ? Autant de questions qui restent en suspens.
En prenant la fuite, les malfaiteurs ont incendié la maison. Le feu s'est propagé à une autre maison, déclenchant une alarme incendie. Des voisins du quinquagénaire ont donné l'alerte, permettant d'éviter une mort certaine. Car la victime de cette agression, prisonnière des flammes a été retrouvée avec un tournevis planté dans le cou.
Les secours lui ont prodigué les premiers soins sur place avant de la faire transférer à l'hôpital Pellegrin où, grièvement blessé, il devrait être opéré cet après-midi.
http://www.sudouest.fr/2014/09/30/reignac-33-un-homme-agresse-a-coup-de-tournevis-dans-sa-maison-1688094-2780.php
Ce matin 30 septembre, des hommes cagoulés avaient fait irruption chez un quinquagénaire, l'avaient agressé au tournevis et incendié sa maison dans la nuit.
Cambriolage qui a mal tourné? Violent règlement de comptes? Les enquêteurs de la brigade de recherche de Blaye et de la compagnie de gendarmerie de Blaye cherchent encore à établir la chronologie et le mobile d'une agression qui s'est déroulée la nuit dernière à Reignac, dans le Blayais.
Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes, des hommes cagoulés ont fait irruption au domicile d'un quinquagénaire et en sont repartis vers 2 heures ce matin 30 septembre. Le connaissaient-ils ? Savaient-ils précisément où ils se rendaient ? Cherchaient-ils quelque chose de précis ? L'ont-ils obtenu ? Autant de questions qui restent en suspens.
En prenant la fuite, les malfaiteurs ont incendié la maison. Le feu s'est propagé à une autre maison, déclenchant une alarme incendie. Des voisins du quinquagénaire ont donné l'alerte, permettant d'éviter une mort certaine. Car la victime de cette agression, prisonnière des flammes a été retrouvée avec un tournevis planté dans le cou.
Les secours lui ont prodigué les premiers soins sur place avant de la faire transférer à l'hôpital Pellegrin où, grièvement blessé, il devrait être opéré cet après-midi.
http://www.sudouest.fr/2014/09/30/reignac-33-un-homme-agresse-a-coup-de-tournevis-dans-sa-maison-1688094-2780.php
Sauvé des flammes après une agression
Le propriétaire d'une résidence de Reignac (Gironde) a été sauvé dans la nuit par ses voisins qui l'ont extirpé de sa maison en flammes alors qu'il venait de se faire agresser par, a-t-il dit, des cambrioleurs.
Selon les premiers éléments de l'enquête, deux cambrioleurs cagoulés se seraient introduits au domicile de la victime, qui se trouvait seule dans l'habitation et aurait pu les surprendre durant leur méfait. Une dispute se serait alors déclarée et la victime, un homme de plus de 50 ans, s'est retrouvé avec un tournevis planté dans le cou.
Transporté au CHU de Bordeaux, l'homme qui souffrait par ailleurs de plaies multiples, a été pris en charge par les médecins et ses jours ne seraient pas en danger. Les malfaiteurs auraient ensuite incendié le domicile, détruisant totalement l'habitation, tandis que le feu s'est propagé dans la maison voisine. Alertés par les flammes, ce sont les voisins qui ont pu secourir la victime.
La brigade de recherche de Blaye (Gironde), appuyée par la section de recherche de la gendarmerie de Gironde, sont chargés de l'enquête tandis que des investigations techniques sont en cours.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/30/97001-20140930FILWWW00119-sauve-des-flammes-apres-une-agression.php
Selon les premiers éléments de l'enquête, deux cambrioleurs cagoulés se seraient introduits au domicile de la victime, qui se trouvait seule dans l'habitation et aurait pu les surprendre durant leur méfait. Une dispute se serait alors déclarée et la victime, un homme de plus de 50 ans, s'est retrouvé avec un tournevis planté dans le cou.
Transporté au CHU de Bordeaux, l'homme qui souffrait par ailleurs de plaies multiples, a été pris en charge par les médecins et ses jours ne seraient pas en danger. Les malfaiteurs auraient ensuite incendié le domicile, détruisant totalement l'habitation, tandis que le feu s'est propagé dans la maison voisine. Alertés par les flammes, ce sont les voisins qui ont pu secourir la victime.
La brigade de recherche de Blaye (Gironde), appuyée par la section de recherche de la gendarmerie de Gironde, sont chargés de l'enquête tandis que des investigations techniques sont en cours.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/30/97001-20140930FILWWW00119-sauve-des-flammes-apres-une-agression.php
Rangueil : un employé du Crous et un étudiant violemment agressés
Riadi, 31 ans et Miloud 20 ans comparaissaient hier devant le tribunal correctionnel de Toulouse pour avoir agressé, en réunion, Claude, un agent de maintenance de la cité universitaire «Tripode C» à Rangueil et Teddy, un étudiant venu à son secours. Mercredi après-midi, alors que Claude était en pause cigarette avec une collègue devant la résidence, il a demandé à des jeunes qui s'étaient assis sur le capot de sa voiture de descendre. Claude était loin de se douter que sa requête allait provoquer une réaction d'une extrême violence. Il s'est fait insulter par les jeunes gens avant qu'un des individus, dit, le «boxeur», lui porte un coup au niveau de la pomme d'Adam. La victime est tombée au sol et a perdu connaissance. Une habitante de la résidence a filmé toute la scène, «une scène d'une extrême violence» selon Me Boguet, l'avocat de Claude. Un étudiant, Teddy, qui a été témoin de la scène depuis sa fenêtre, a eu le courage de descendre afin de lui porter secours. Le groupe de jeunes gens s'en est alors pris à lui aussi. Il a reçu un coup de pied dans le dos et un violent coup au visage lui provoquant une double fracture de la mâchoire. Il ne peut plus parler. «Des faits d'une gravité extrême que l'on retrouve rarement en comparution immédiate», selon son avocat, Me Martin. Seuls Riadi et Miloud ont été déférés devant le tribunal, l'auteur principal des coups dit «le boxeur» et un autre individu courent toujours. Face aux doutes sur la participation de chacun, le tribunal a décidé de renvoyer l'affaire au parquet afin que des investigations approfondies puissent être faites. Les deux prévenus ont été écroués.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/30/1962186-rangueil-un-employe-du-crous-et-un-etudiant-violemment-agresses.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/30/1962186-rangueil-un-employe-du-crous-et-un-etudiant-violemment-agresses.html
Meurtre à l’arme blanche à Besançon : la police recherche un témoin
Il n’y a eu aucune évolution notable, hier, dans l’enquête sur le meurtre de Mustapha Ziamari, samedi soir, rue de Cologne à Besançon. L’autopsie de la victime, pratiquée en début d’après-midi, a confirmé que la cause de la mort était bien un coup de couteau à la carotide. Les enquêteurs de la police judiciaire se concentrent sur la recherche de témoins, dont un principal qui semble en fuite pour le moment. M. Ziamari avait quitté le groupe d’amis avec lesquels il se trouvait pour aller parler à l’écart à un homme, avec lequel il avait déjà eu un différent. Ses amis l’avaient vu revenir quelques minutes plus tard, titubant et se tenant la gorge.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/30/meurtre-a-l-arme-blanche-la-police-recherche-un-temoin
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/30/meurtre-a-l-arme-blanche-la-police-recherche-un-temoin
lundi 29 septembre 2014
Spectaculaire incendie de pneus ce dimanche soir à Wittelsheim
Incendie de pneus hier soir à Wittelsheim dans la banlieue de Mulhouse. Alertés vers 20h, les Pompiers ont constaté qu'une centaine de tonnes de pneus brûlait sur un terrain vague où était également stocké du matériel de recyclage.
Il a fallu une quarantaine de pompiers pour venir à bout de l'incendie. il y a eu également des explosions de bouteilles de gaz.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/09/29/spetaculaire-incendie-de-pneus-ce-dimanche-soir-wittelshiem-560712.html
Il a fallu une quarantaine de pompiers pour venir à bout de l'incendie. il y a eu également des explosions de bouteilles de gaz.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/09/29/spetaculaire-incendie-de-pneus-ce-dimanche-soir-wittelshiem-560712.html
Lot-et-Garonne : un motard blessé dans un accident
Il était 7 h 33 ce lundi, quand un deux-roues et une voiture se sont percutés sur la D933, route de Marmande à hauteur de Seyches.
Le véhicule n'ayant pas vu arriver la moto l'a percutée de plein fouet; blessant grièvement le motard aux membres inférieurs.
Brigadier chef au commissariat de Bergerac (24), âgé de 50 ans, il a été évacué vers le centre hospitalier de Bordeaux par les pompiers de Marmande et le Samu, escorté par la Brigade motorisée de Marmande
http://www.sudouest.fr/2014/09/29/seyches-47-un-motard-blesse-route-de-marmande-1686838-3603.php
Brigadier chef au commissariat de Bergerac (24), âgé de 50 ans, il a été évacué vers le centre hospitalier de Bordeaux par les pompiers de Marmande et le Samu, escorté par la Brigade motorisée de Marmande
http://www.sudouest.fr/2014/09/29/seyches-47-un-motard-blesse-route-de-marmande-1686838-3603.php
Bébé secoué décédé : ouverture du procès aux assises du Bas-Rhin
Le procès d’un homme âgé de 26 ans s’est ouvert ce matin devant la cour d’assises du Bas-Rhin. L’homme doit répondre de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur un bébé de huit mois. Il encourt trente ans de réclusion criminelle.
La petite Emma était la fille de sa compagne. Elle est décédée à l’hôpital le 19 juillet 2012, après avoir été découverte somnolente dans un appartement de Gambsheim cinq jours plus tôt.
L’enquête des gendarmes a établi que l’accusé s’était retrouvé seul avec la fillette pendant une demi-heure le 14 juillet 2012, la mère s’étant momentanément absentée. C’est d’ailleurs elle qui a alerté les pompiers.
En garde à vue, l’accusé a indiqué avoir involontairement cogné la tête du bébé contre la sienne en faisant « le jeu de l’avion ». Une explication battue en brèche par le légiste, selon lequel seules de violentes secousses en maintenant l’enfant par les cuisses sont de nature à expliquer ses graves lésions cérébrales.
La personnalité de l’accusé d’origine italienne va être examinée ce matin, avant l’interrogatoire sur les faits. Le procès est prévu sur trois jours. Les bancs des parties civiles sont complètement vides.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2014/09/29/bebe-secoue-ouverture-du-proces
La petite Emma était la fille de sa compagne. Elle est décédée à l’hôpital le 19 juillet 2012, après avoir été découverte somnolente dans un appartement de Gambsheim cinq jours plus tôt.
L’enquête des gendarmes a établi que l’accusé s’était retrouvé seul avec la fillette pendant une demi-heure le 14 juillet 2012, la mère s’étant momentanément absentée. C’est d’ailleurs elle qui a alerté les pompiers.
En garde à vue, l’accusé a indiqué avoir involontairement cogné la tête du bébé contre la sienne en faisant « le jeu de l’avion ». Une explication battue en brèche par le légiste, selon lequel seules de violentes secousses en maintenant l’enfant par les cuisses sont de nature à expliquer ses graves lésions cérébrales.
La personnalité de l’accusé d’origine italienne va être examinée ce matin, avant l’interrogatoire sur les faits. Le procès est prévu sur trois jours. Les bancs des parties civiles sont complètement vides.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2014/09/29/bebe-secoue-ouverture-du-proces
Haute-Loire: une ado percutée par un bus
Selon France 3 Auvergne, une adolescente de 15 ans a été mortellement percutée ce matin par un bus dans le secteur de la gare routière d'Yssingeaux en Haute-Loire.
Les circonstances exactes de ce drame n'ont pas été pour l'heure précisées.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/29/97001-20140929FILWWW00119-haute-loire-une-ado-percutee-par-un-bus.php
Les circonstances exactes de ce drame n'ont pas été pour l'heure précisées.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/29/97001-20140929FILWWW00119-haute-loire-une-ado-percutee-par-un-bus.php
Son corps est infesté par les vers après avoir mangé des sushis
Si vous adorez les sushis, attention, cet article pourrait vous en dégoûter ! Le Daily Mail rapporte qu’un Chinois a découvert avec horreur que son corps était infesté de vers. Fan de sushis et de sashimis, l’homme a attrapé une infection de ténias après avoir mangé trop de poisson cru.
Ce Chinois habitant dans la province de Guangdong se plaignait de douleurs et de démangeaisons sous la peau et dans l’estomac. Il s’est donc rendu chez son médecin qui lui a fait passer des radiographies. Les images, assez effrayantes, ont révélé la présence de larves de ténia partout dans son organisme.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/29/1961534-corps-est-infeste-vers-apres-avoir-mange-sushis.html
Ce Chinois habitant dans la province de Guangdong se plaignait de douleurs et de démangeaisons sous la peau et dans l’estomac. Il s’est donc rendu chez son médecin qui lui a fait passer des radiographies. Les images, assez effrayantes, ont révélé la présence de larves de ténia partout dans son organisme.
Une maladie mortelle si le cerveau est atteint par les vers
Si le corps de cet homme a été envahi par les vers, c’est à cause de sa trop grande consommation de poisson cru. Selon le site Doctissimo.fr, cette parasitose digestive est appelée « maladie du ver du hareng ». Elle est assez fréquente en Europe du Nord et au Japon. Cette maladie se manifeste quelques heures seulement après avoir ingurgité le poisson parasité. Les larves peuvent provoquer des troubles digestifs importants : nausées, vomissements, douleurs gastriques, diarrhées… Cette contamination se traite facilement, mais elle peut être mortelle dans le cas où les vers atteignent la circulation sanguine ou le cerveau.http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/29/1961534-corps-est-infeste-vers-apres-avoir-mange-sushis.html
Trois blessés sur la RD 89
Vilcey-sur-Trey. La petite RD 89, étroite et sinueuse, a été le théâtre hier soir, peu avant 20 heures, d’un spectaculaire accident qui a fait trois victimes. Par chance, aucune d’entre elles n’a été blessée trop gravement.
Pour une raison indéterminée, la conductrice d’une Ford Focus, qui venait de Villers-sous-Prény pour regagner son domicile de Vilcey-sur-Trey, à quelques hectomètres de là, a perdu le contrôle de son véhicule. Déportée sur la partie gauche, la voiture est allée percuter un monospace Mitsubishi, conduit par un couple de seniors venant en sens inverse. Sous le choc, la Ford est repartie taper le fossé à droite puis, le moteur arraché, est allée finir sa course contre un troisième véhicule, piloté par un jeune couple venant de Thiaucourt, qui avait heureusement eu le temps de s’arrêter. Le couple de seniors a été dirigé vers l’hôpital de Pont-à-Mousson alors que la conductrice à l’origine de l’accident a été emmenée à Nancy-Brabois.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/09/28/trois-blesses-sur-la-rd-89
Pour une raison indéterminée, la conductrice d’une Ford Focus, qui venait de Villers-sous-Prény pour regagner son domicile de Vilcey-sur-Trey, à quelques hectomètres de là, a perdu le contrôle de son véhicule. Déportée sur la partie gauche, la voiture est allée percuter un monospace Mitsubishi, conduit par un couple de seniors venant en sens inverse. Sous le choc, la Ford est repartie taper le fossé à droite puis, le moteur arraché, est allée finir sa course contre un troisième véhicule, piloté par un jeune couple venant de Thiaucourt, qui avait heureusement eu le temps de s’arrêter. Le couple de seniors a été dirigé vers l’hôpital de Pont-à-Mousson alors que la conductrice à l’origine de l’accident a été emmenée à Nancy-Brabois.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/09/28/trois-blesses-sur-la-rd-89
dimanche 28 septembre 2014
Bordeaux : coups de feu à la sortie d'une boîte de nuit
Un ou des coups de feu ont été tirés en direction de la porte d'entrée de la boîte de nuit le Lusi-Klub, 22 rue du Commerce, dans le quartier de Paludate, samedi matin vers 3 heures. Peu de temps avant, les agents de sécurité de l'établissement avaient sorti un groupe de jeunes gens. Il semble que deux membres de ce groupe soient revenus un peu plus tard. Selon des témoignages, l'un était porteur d'une arme de poing, l'autre d'un fusil à canon scié. Les agents de sécurité de l'établissement ont fermé la porte de la boîte. Des coups de feu ont alors été tirés, sans blesser personne. Les deux individus ont ensuite pris la fuite. L'enquête a été confiée à la brigade de répression des atteintes aux personnes.
http://www.sudouest.fr/2014/09/28/bordeaux-coups-de-feu-a-la-sortie-d-une-boite-de-nuit-1685854-2780.php
http://www.sudouest.fr/2014/09/28/bordeaux-coups-de-feu-a-la-sortie-d-une-boite-de-nuit-1685854-2780.php
Saint-Estèphe: Un homme de 76 ans grièvement blessé après un crash d'ULM
Un ULM s'est érasé samedi en fin de matinée alors qu'il était en phase de décollage, depuis l'aérodrome de Saint-Estèphe (Gironde), dans le Médoc. Le pilote, âgé de 76 ans, a été grièvement blessé et transporté vers l'hôpital Pellegrin, à Bordeaux. Son passager, 53 ans, plus légèrement touché, a été acheminé vers l'hôpital de Lesparre.
L'engin aurait connu des problèmes de moteur au moment du décollage, rapporte le quotidien Sud-Ouest. Le pilote aurait alors tenté de ramener l'ULM sur la route, mais a terminé sa manoeuvre contre un arbre. Il a été touché aux deux jambes. L'intervention des sapeurs-pompiers a été délicate, car il a d'abord fallu extraire l'homme de son siège avant de lui porter secours.
https://www.google.com/url?q=http://www.20minutes.fr/bordeaux/1450723-20140928-saint-estephe-homme-76-ans-grievement-blesse-apres-crash-ulm&sa=U&ei=j98nVIr7KsKOyASui4KACQ&ved=0CAYQFjAA&client=internal-uds-cse&usg=AFQjCNEclAYwU9RhyF3SvDXyJK25rQ1Ahw
L'engin aurait connu des problèmes de moteur au moment du décollage, rapporte le quotidien Sud-Ouest. Le pilote aurait alors tenté de ramener l'ULM sur la route, mais a terminé sa manoeuvre contre un arbre. Il a été touché aux deux jambes. L'intervention des sapeurs-pompiers a été délicate, car il a d'abord fallu extraire l'homme de son siège avant de lui porter secours.
https://www.google.com/url?q=http://www.20minutes.fr/bordeaux/1450723-20140928-saint-estephe-homme-76-ans-grievement-blesse-apres-crash-ulm&sa=U&ei=j98nVIr7KsKOyASui4KACQ&ved=0CAYQFjAA&client=internal-uds-cse&usg=AFQjCNEclAYwU9RhyF3SvDXyJK25rQ1Ahw
L'ado violent volait les plus vulnérables
Un adolescent de 16 ans vient d'être interpellé. Durant l'été, il aurait extorqué de l'argent à au moins six personnes à Toulouse. Il les obligeait, sous la menace, à retirer de l'argent ou à effectuer des achats.
Tout l'été, il avait terrorisé plusieurs victimes à Toulouse. Un adolescent de 16 ans vient d'être interpellé par les policiers de la sûreté départementale. Il est soupçonné d'avoir extorqué de l'argent, parfois violemment, à des inconnus.
Cette semaine, des policiers ont procédé à son contrôle dans le secteur de Rangueil. Comme il était en possession de résine de cannabis, il a été conduit au commissariat central afin d'être entendu. Rapidement, les enquêteurs ont recoupé son profil avec celui d'un jeune homme recherché pour plusieurs agressions.
Sous la menace, il les obligeait à débourser de l'argent pour lui. Il leur demandait d'effectuer des retraits à des distributeurs automatiques de billets. Parfois, il les contraignait à se rendre dans des bureaux de tabac. Là, ses victimes devaient acheter des cigarettes ou des tickets de la Française des jeux.
À l'issue de sa garde à vue au commissariat, il a été déféré devant un juge et mis en examen pour les faits qui lui sont reprochés. Ce mineur devra répondre de ses actes dans les prochains mois devant un juge.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/28/1960677-l-ado-violent-volait-les-plus-vulnerables.html
Tout l'été, il avait terrorisé plusieurs victimes à Toulouse. Un adolescent de 16 ans vient d'être interpellé par les policiers de la sûreté départementale. Il est soupçonné d'avoir extorqué de l'argent, parfois violemment, à des inconnus.
Cette semaine, des policiers ont procédé à son contrôle dans le secteur de Rangueil. Comme il était en possession de résine de cannabis, il a été conduit au commissariat central afin d'être entendu. Rapidement, les enquêteurs ont recoupé son profil avec celui d'un jeune homme recherché pour plusieurs agressions.
Menaces
En effet, au cours de l'été, à Toulouse, il aurait commis six vols ou extorsions de fonds. Sa technique était simple. Il accostait dans la rue des personnes au profil plutôt vulnérable, des jeunes gens de son âge ou des adultes fragiles.Sous la menace, il les obligeait à débourser de l'argent pour lui. Il leur demandait d'effectuer des retraits à des distributeurs automatiques de billets. Parfois, il les contraignait à se rendre dans des bureaux de tabac. Là, ses victimes devaient acheter des cigarettes ou des tickets de la Française des jeux.
Reconnu par les victimes
Une fois son forfait accompli, le jeune homme repartait avec son butin. Plusieurs plaintes, six au moins, ont été déposées. Son arrestation, sur un banal contrôle, cette semaine, a permis aux enquêteurs de mettre un nom sur le coupable présumé. Plusieurs de ses victimes l'auraient d'ailleurs formellement reconnu.À l'issue de sa garde à vue au commissariat, il a été déféré devant un juge et mis en examen pour les faits qui lui sont reprochés. Ce mineur devra répondre de ses actes dans les prochains mois devant un juge.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/28/1960677-l-ado-violent-volait-les-plus-vulnerables.html
samedi 27 septembre 2014
Craonne (02) : Deux personnes interpellées pour le vol de la statue de bronze sur le chemin des dames
Ce vendredi 26 septembre, deux hommes interpellés avant hier ont été présentés devant le juge d'instruction de Laon. Ils sont suspectés d'avoir participer au vol de la statue du Chemin des Dames de Craonne en août dernier. D'autres interpellations sont envisagées dans cette affaire.
Ils seront jugés pour vol en réunion et recel de vol. Le vol avait été commis dans la nuit du 11 au 12 août dernier. Seulement six morceaux de la statue en bronze de 4 mètres de haut ont pu être retrouvés. 280 kilos au total sur les 1600 kilos de la sculpture géante. La revente du métal serait la seule motivation des voleurs.
Ils seront jugés pour vol en réunion et recel de vol. Le vol avait été commis dans la nuit du 11 au 12 août dernier. Seulement six morceaux de la statue en bronze de 4 mètres de haut ont pu être retrouvés. 280 kilos au total sur les 1600 kilos de la sculpture géante. La revente du métal serait la seule motivation des voleurs.
Arrestation mouvementée pour les gendarmes à Lescure
Hier vers 12 h 30, deux gendarmes de la compagnie d'Albi, dont un capitaine, circulaient sur la RN 88 dans le sens Albi-Carmaux, commune de Lescure-d'Albigeois, à bord de leur véhicule de service. Arrivés à hauteur du radar fixe, un véhicule les dépasse à vive allure par la droite. Quelques centaines de mètres plus loin, ils intiment l'ordre de s'arrêter au chauffeur du véhicule, un homme âgé d'une trentaine d'années. Celui-ci présente alors sa carte d'identité aux gendarmes qui constatent, après vérification, que le chauffeur est dépourvu de permis de conduire. Les deux gendarmes qui au départ n'avaient bien sûr pas prévu la situation qu'ils devaient gérer, contactent leurs collègues de Cagnac-les-Mines pour qu'ils viennent en renfort.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=34251&WS=291720_2501986&WA=6748
95 grammes d'héroïne dans la voiture
Pendant ce temps, le chauffeur retourne vers son véhicule et tente de s'enfuir en effectuant une marche arrière, puis une marche avant. L'un des deux gendarmes s'agrippe au véhicule alors que le capitaine parvient à pénétrer à l'intérieur et tente d'actionner le frein à main mais la manette se brise. Le chauffeur ne peut alors maîtriser son véhicule, lequel finit contre un mur à faible allure. L'individu est alors arrêté. Peu de temps après les faits, un véhicule des douanes passe. Les douaniers intrigués viennent aux nouvelles et décident d'inspecter le véhicule. Ils trouvent à l'intérieur 95 grammes d'héroïne. Le chauffeur définitivement maîtrisé est ensuite placé en garde à vue dans les locaux du commissariat d'Albi (l'interpellation s'est produite en zone de compétence de la police). Les faits de violences aggravées, conduite sans permis et détention de stupéfiants lui sont reprochés. Il devrait être présenté au procureur de la République aujourd'hui.http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=34251&WS=291720_2501986&WA=6748
Hérault : deux individus en fuite interpellés à Marsillargues
S ignalés par des policiers municipaux d'Aimargues, deux hommes ont été arrêtés à Marsillargues vendredi vers 17 h.
C'est visiblement un simple contrôle routier, à Aimargues, qui a dégénéré, vendredi. Des policiers municipaux d'Aimargues ont en effet signalé deux individus en fuite, à la suite d'un contrôle routier lors duquel une arme aurait été exhibée. Immédiatement, un dispositif commun à la gendarmerie de Vauvert et à celle de Lunel a été mis en place pour rechercher les automobilistes qui semblaient avoir pris la direction de Marsillargues.
C'est dans ce village, vers 17 h, que leur véhicule a été retrouvé et que les deux hommes ont été interpellés par la brigade de Lunel. Ils ont été remis à la compagnie de Vauvert.
http://www.midilibre.fr//2014/09/26/marsillargues-deux-individus-en-fuite-interpelles-au-coeur-du-village,1056989.php
http://www.midilibre.fr//2014/09/26/marsillargues-deux-individus-en-fuite-interpelles-au-coeur-du-village,1056989.php
vendredi 26 septembre 2014
Le conducteur roulait sous alcool, cannabis et cocaïne
LA NEUVILLE-AU-PONT (51). L’automobiliste qui a fini dans l’Aisne, vendredi dernier, causant la noyade du passager, avait consommé alcool et stupéfiants. Il sera jugé en décembre.
Ce n’était pas un banal accident. Regrettable, certes, car un homme y a perdu la vie, mais tous les ingrédients étaient réunis pour que la petite virée entre amis finisse en tragédie. Véritable miraculé, le conducteur de la voiture qui a fini sa course dans la rivière Aisne, vendredi dernier au soir, à La Neuville-au-Pont était en effet chargé en cocaïne, en cannabis et en alcool. Âgé de 40 ans, Jean-Claude Amiche, un Châlonnais domicilié à Sainte-Ménehould, déjà condamné à 23 reprises, présentait un taux d’alcoolémie de 3,50 g d’alcool par litre de sang et circulait sans permis ni assurance. Au volant d’une voiture qui ne lui appartenait pas.
Assigné à résidence
Placé en détention provisoire à l’issue de sa garde à vue, mercredi, celui-ci a été déféré, jeudi, au tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne, pour y être jugé, dans le cadre d’une comparution immédiate, pour homicide involontaire aggravé par deux circonstances et abus de confiance. Se disant dépendant au cannabis et à l’alcool depuis de très nombreuses années, il a cependant semblé se repentir. « Avec ce qui est arrivé, je ne suis pas prêt à reprendre un verre, a-t-il déclaré à la barre. J’ai perdu un ami et j’ai enterré ma bouteille avec. »
Seul mis en cause dans l’accident, Jean-Claude Amiche a toutefois sollicité un délai pour préparer sa défense. En attendant la nouvelle audience, fixée au 4 décembre, le tribunal l’a assigné à résidence sous surveillance électronique, au domicile de ses parents, à Élise-Daucourt, près de Sainte-Ménehould. Le parquet avait requis son maintien en détention, mais la défense est parvenue à convaincre la juridiction d’aller dans le sens de sa plaidoirie.
Vendredi, l’accident s’était produit sur la RD 982 alors que le véhicule fonçait en direction de La Neuville-au-Pont. Une malheureuse perte de contrôle dans un virage à gauche. Après avoir roulé sur le bas-côté puis traversé un bosquet, la voiture avait alors fini sa course sur le toit, dans les eaux froides de l’Aisne.
Sans trop savoir comment, Jean-Claude Amiche était parvenu à s’extraire de l’habitacle, mais son passager, Laurent Vignol, bloqué à l’intérieur, avait fini par s’y noyer. Selon nos informations, le miraculé aurait d’abord prétendu aux gendarmes ne pas être le conducteur. Mais leurs constatations auraient fini par le confondre. Quant au véhicule, il lui avait été confié par une tierce personne dans le but d’y faire des réparations, établir un contrôle technique et l’assurer. Non pour rouler avec. Le prévenu encourt désormais dix ans de prison
http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-conducteur-roulait-sous-alcool-cannabis-et-cocaine-ia0b0n413917
Ce n’était pas un banal accident. Regrettable, certes, car un homme y a perdu la vie, mais tous les ingrédients étaient réunis pour que la petite virée entre amis finisse en tragédie. Véritable miraculé, le conducteur de la voiture qui a fini sa course dans la rivière Aisne, vendredi dernier au soir, à La Neuville-au-Pont était en effet chargé en cocaïne, en cannabis et en alcool. Âgé de 40 ans, Jean-Claude Amiche, un Châlonnais domicilié à Sainte-Ménehould, déjà condamné à 23 reprises, présentait un taux d’alcoolémie de 3,50 g d’alcool par litre de sang et circulait sans permis ni assurance. Au volant d’une voiture qui ne lui appartenait pas.
Assigné à résidence
sous surveillance électronique
Placé en détention provisoire à l’issue de sa garde à vue, mercredi, celui-ci a été déféré, jeudi, au tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne, pour y être jugé, dans le cadre d’une comparution immédiate, pour homicide involontaire aggravé par deux circonstances et abus de confiance. Se disant dépendant au cannabis et à l’alcool depuis de très nombreuses années, il a cependant semblé se repentir. « Avec ce qui est arrivé, je ne suis pas prêt à reprendre un verre, a-t-il déclaré à la barre. J’ai perdu un ami et j’ai enterré ma bouteille avec. » Seul mis en cause dans l’accident, Jean-Claude Amiche a toutefois sollicité un délai pour préparer sa défense. En attendant la nouvelle audience, fixée au 4 décembre, le tribunal l’a assigné à résidence sous surveillance électronique, au domicile de ses parents, à Élise-Daucourt, près de Sainte-Ménehould. Le parquet avait requis son maintien en détention, mais la défense est parvenue à convaincre la juridiction d’aller dans le sens de sa plaidoirie.
Vendredi, l’accident s’était produit sur la RD 982 alors que le véhicule fonçait en direction de La Neuville-au-Pont. Une malheureuse perte de contrôle dans un virage à gauche. Après avoir roulé sur le bas-côté puis traversé un bosquet, la voiture avait alors fini sa course sur le toit, dans les eaux froides de l’Aisne.
Sans trop savoir comment, Jean-Claude Amiche était parvenu à s’extraire de l’habitacle, mais son passager, Laurent Vignol, bloqué à l’intérieur, avait fini par s’y noyer. Selon nos informations, le miraculé aurait d’abord prétendu aux gendarmes ne pas être le conducteur. Mais leurs constatations auraient fini par le confondre. Quant au véhicule, il lui avait été confié par une tierce personne dans le but d’y faire des réparations, établir un contrôle technique et l’assurer. Non pour rouler avec. Le prévenu encourt désormais dix ans de prison
http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-conducteur-roulait-sous-alcool-cannabis-et-cocaine-ia0b0n413917
11.5 kg de résine de cannabis saisis à Saint-Etienne-du-Rouvray
Les policiers ont trouvé, à l’aide d’un chien, un sac de sport contenant 11.5 kilos de cannabis dans une armoire au domicile d’un père de famille de 45 ans. La résine était conditionnée sous forme de plaquettes de 100 grammes entourées de cellophane et également en vrac.
L’homme et sa famille demeurent à côté de Rouen, à Saint-Etienne-du-Rouvray. Les policiers surveillaient depuis lundi (22 septembre) le domicile et les déplacements de cet homme. Son identification a été possible par le regroupement de plusieurs témoignages de consommateurs auditionnés.
Il a été interpellé avenue Olivier Goubert à Saint-Etienne-du-Rouvray pour un contrôle d’identité. Une fois arrivé à son domicile avec les forces de l'ordre, la perquisition a eu lieu.
L'homme travaille en tant qu'intérimaire et n'est pas connu des services de police si ce n’est pour une bagarre.
L’homme a été placé en garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/09/26/115-kg-de-resine-de-cannabis-saisis-saint-etienne-du-rouvray-558976.html
L’homme et sa famille demeurent à côté de Rouen, à Saint-Etienne-du-Rouvray. Les policiers surveillaient depuis lundi (22 septembre) le domicile et les déplacements de cet homme. Son identification a été possible par le regroupement de plusieurs témoignages de consommateurs auditionnés.
Il a été interpellé avenue Olivier Goubert à Saint-Etienne-du-Rouvray pour un contrôle d’identité. Une fois arrivé à son domicile avec les forces de l'ordre, la perquisition a eu lieu.
L'homme travaille en tant qu'intérimaire et n'est pas connu des services de police si ce n’est pour une bagarre.
L’homme a été placé en garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/09/26/115-kg-de-resine-de-cannabis-saisis-saint-etienne-du-rouvray-558976.html
Cenon (33) : le voisin des CRS cultivait du cannabis
Installé depuis le mois de juillet dans une maison avec jardin et garage située rue de la Paix, à l'angle du Petit chemin de Camparian, qui mène à la caserne de la direction zonale des CRS du Sud Ouest, un homme de 45 ans développait à une échelle non négligeable sa propre culture de plants de cannabis.
Jeudi après-midi 25 septembre, des policiers de la division des hauts de Garonne qui patrouillaient dans le secteur ont détecté l'odeur, alors que comme pour la vigne, on s'approche de la période de récolte. Ils ont découvert plusieurs pieds de cannabis en plein développement planté dans le jardin. Ils ont également mis au jour deux chambres de culture installées dans un garage. Au total, une quarantaine de pieds ont été saisis ainsi que beaucoup de matériels de culture, deux armes de poing et une carabine.
Il y avait aussi sur place un chien Beauceron et... des oies. L'occupant des lieux, un homme de 45 ans, employé dans une société de sécurité, a indiqué cultiver ce cannabis pour sa propre consommation.
De nombreuses boîtes en plastique remplies d'herbe ont été découvertes. Les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine de Cenon, auprès de qui il a été placé en garde à vue, n'ont pas trouvé d'éléments démontrant qu'il faisait trafic de sa production.
A l'issue de sa garde à vue, l'homme s'est vu remettre une convocation au tribunal sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) assortie d'une convocation devant le tribunal correctionnel par officier de police judiciaire (COPJ), si la CRPC n'aboutissait pas.
http://www.sudouest.fr/2014/09/26/cenon-le-voisin-des-crs-cultivait-du-cannabis-1684381-2780.php
Jeudi après-midi 25 septembre, des policiers de la division des hauts de Garonne qui patrouillaient dans le secteur ont détecté l'odeur, alors que comme pour la vigne, on s'approche de la période de récolte. Ils ont découvert plusieurs pieds de cannabis en plein développement planté dans le jardin. Ils ont également mis au jour deux chambres de culture installées dans un garage. Au total, une quarantaine de pieds ont été saisis ainsi que beaucoup de matériels de culture, deux armes de poing et une carabine.
Il y avait aussi sur place un chien Beauceron et... des oies. L'occupant des lieux, un homme de 45 ans, employé dans une société de sécurité, a indiqué cultiver ce cannabis pour sa propre consommation.
De nombreuses boîtes en plastique remplies d'herbe ont été découvertes. Les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine de Cenon, auprès de qui il a été placé en garde à vue, n'ont pas trouvé d'éléments démontrant qu'il faisait trafic de sa production.
A l'issue de sa garde à vue, l'homme s'est vu remettre une convocation au tribunal sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) assortie d'une convocation devant le tribunal correctionnel par officier de police judiciaire (COPJ), si la CRPC n'aboutissait pas.
http://www.sudouest.fr/2014/09/26/cenon-le-voisin-des-crs-cultivait-du-cannabis-1684381-2780.php
Zurich: une escort-girl tuée dans un palace
Une escort-girl polonaise de 25 ans a été tuée dans un hôtel zurichois, et son meurtrier présumé, un Suisse, a pu transporter son corps sans être inquiété à son domicile, a appris l'AFP aujour'hui auprès de la police cantonale.
Selon la presse suisse, cet hôtel est un palace zurichois, le Dolder Grand, situé sur les hauteurs de la ville. Interrogée, une porte-parole du palace a indiqué que l'hôtel allait "communiquer dès que possible" sur cette affaire. La police de son côté ne donne aucune information sur le nom de l'hôtel.
Le corps de la jeune femme, qui faisait l'objet de recherches lancées par sa famille inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles, a été retrouvé mercredi dernier au domicile du Suisse de 47 ans, un de ses clients réguliers, à Kuesnacht, la banlieue chic de Zurich, où il l'avait caché pendant 9 jours.
L'homme a avoué le meurtre de la jeune femme, selon la police.
Danseuse dans une boîte de nuit zurichoise, la jeune femme aurait dû rentrer en Pologne la semaine dernière, a indiqué la police cantonale de Zurich. N'étant pas revenue dans son pays, elle a été portée disparue, après des démarches de sa famille à qui elle téléphonait tous les jours. Suite à une demande d'entraide transmise par les autorités polonaises, la police zurichoise a lancé une opération de recherche.
L'enquête a abouti au domicile d'une connaissance de la jeune femme - le meurtrier - grâce au formulaire d'enregistrement de l'hôtel zurichois. L'homme avait séjourné dans cet hôtel avec la jeune femme dans la nuit du 15 au 16 septembre, peu avant qu'elle soit portée disparue. Le domicile de cet homme a alors été perquisitioné et la police y a découvert le cadavre de la jeune femme.
Les raisons et les circonstances du meurtre ne sont pas encore connues. Selon une porte-parole du ministère public de Zurich, en charge de l'enquête, l'homme n'a aucun antécédent judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/26/97001-20140926FILWWW00102-zurich-une-escort-girl-tuee-dans-un-palace.php
Selon la presse suisse, cet hôtel est un palace zurichois, le Dolder Grand, situé sur les hauteurs de la ville. Interrogée, une porte-parole du palace a indiqué que l'hôtel allait "communiquer dès que possible" sur cette affaire. La police de son côté ne donne aucune information sur le nom de l'hôtel.
Le corps de la jeune femme, qui faisait l'objet de recherches lancées par sa famille inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles, a été retrouvé mercredi dernier au domicile du Suisse de 47 ans, un de ses clients réguliers, à Kuesnacht, la banlieue chic de Zurich, où il l'avait caché pendant 9 jours.
L'homme a avoué le meurtre de la jeune femme, selon la police.
Danseuse dans une boîte de nuit zurichoise, la jeune femme aurait dû rentrer en Pologne la semaine dernière, a indiqué la police cantonale de Zurich. N'étant pas revenue dans son pays, elle a été portée disparue, après des démarches de sa famille à qui elle téléphonait tous les jours. Suite à une demande d'entraide transmise par les autorités polonaises, la police zurichoise a lancé une opération de recherche.
L'enquête a abouti au domicile d'une connaissance de la jeune femme - le meurtrier - grâce au formulaire d'enregistrement de l'hôtel zurichois. L'homme avait séjourné dans cet hôtel avec la jeune femme dans la nuit du 15 au 16 septembre, peu avant qu'elle soit portée disparue. Le domicile de cet homme a alors été perquisitioné et la police y a découvert le cadavre de la jeune femme.
Les raisons et les circonstances du meurtre ne sont pas encore connues. Selon une porte-parole du ministère public de Zurich, en charge de l'enquête, l'homme n'a aucun antécédent judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/26/97001-20140926FILWWW00102-zurich-une-escort-girl-tuee-dans-un-palace.php
Ils étaient trois sur le scooter, le pilote était ivre
Mercredi soir, vers 23 h 05, une patrouille de la brigade anticriminalité du commissariat a interpellé le pilote d'un scooter qui circulait sur le boulevard Jean-Jaurès avec deux passagers… Le pilote, un garçon âgé de 18 ans, a été dépisté et présentait une alcoolémie d'1, 44 g/l d'alcool dans le sang.
Spontanément, le jeune homme a remis aux policiers une boulette de résine de cannabis et il leur a expliqué qu'il la détenait pour sa «consommation personnelle».
Le suspect a fait l'objet d'un test de dépistage de la consommation de stupéfiants qui s'est révélé… négatif !
Il a été entendu par les policiers sur l'ensemble des faits qui lui sont reprochés et une procédure à été établie à son encontre. Il devra s'expliquer devant le tribunal le 19 octobre prochain.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/26/1959696-ils-etaient-trois-sur-le-scooter-le-pilote-etait-ivre.html
Spontanément, le jeune homme a remis aux policiers une boulette de résine de cannabis et il leur a expliqué qu'il la détenait pour sa «consommation personnelle».
Le suspect a fait l'objet d'un test de dépistage de la consommation de stupéfiants qui s'est révélé… négatif !
Il a été entendu par les policiers sur l'ensemble des faits qui lui sont reprochés et une procédure à été établie à son encontre. Il devra s'expliquer devant le tribunal le 19 octobre prochain.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/26/1959696-ils-etaient-trois-sur-le-scooter-le-pilote-etait-ivre.html
Yvelines : intoxication dans le car au péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines
Neuf enfants, souffrant d'intoxication alimentaire, ont été conduits, jeudi soir à l'hôpital de Rambouillet (Yvelines) par les pompiers. C'est vers 14 h 40 que leur bus s'est arrêté à la barrière de péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines, car une partie des enfants étaient pris de vomissement. Ils venaient de Lorient (Morbihan) et il semble que certains étaient déjà souffrants au départ
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-intoxication-dans-le-car-au-peage-de-saint-arnoult-en-yvelines-25-09-2014-4164361.php
jeudi 25 septembre 2014
Villepinte: une femme retrouvée morte dans un parc
Le corps sans vie d’une femme a été retrouvé ce jeudi après-midi dans un sous-bois du parc de la Poudrerie, à Villepinte (Seine-Saint-Denis). Aucun signe apparent ne permet pour le moment d’établir la cause de sa mort. La défunte était vêtue d’une tenue de sport, comme les nombreux sportifs qui fréquentent ce parc, à cheval sur quatre communes (Villepinte, Sevran, Livry-Gargan, et Vaujours
C’est déjà dans ce parc, le 8 septembre dernier, qu’une jeune femme a été tuée. Son agresseur présumé a été interpellé dans la foulée et écroué pour assassinat.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/villepinte-une-femme-retrouvee-morte-dans-un-parc-25-09-2014-4164041.php
C’est déjà dans ce parc, le 8 septembre dernier, qu’une jeune femme a été tuée. Son agresseur présumé a été interpellé dans la foulée et écroué pour assassinat.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/villepinte-une-femme-retrouvee-morte-dans-un-parc-25-09-2014-4164041.php
Expulsés au mois de juin, ils vivent dans les bois
Deux tentes, quelques couvertures, deux casseroles, le fond d’une brique de lait et de la chicorée. C’est tout ce qu’il reste aujourd’hui à Émilie Jodart et son compagnon, expulsés il y a un peu plus de trois mois et demi de leur domicile situé rue Mozart, près du quartier de La Pertinguette, à Rethel. Jusqu’au 10 juin, les deux Rethélois vivaient avec les trois enfants d’Émilie, Julien, Patrick et Hervé, âgés respectivement de 19, 17 et 16 ans.
« J’avais trop de dettes, je ne recevais plus aucune aide. Mon compagnon ne touche que 400 euros par mois. Alors après avoir quitté notre logement, mon ex-mari m’a prêté une tente pour mon conjoint et moi. Mes enfants sont restés une semaine avec nous puis ils sont allés chez mon ex-mari à Château-Porcien », raconte la trentenaire. Le couple s’est d’abord installé le long du canal, puis au bout de la promenade des Isles avant d’arriver près des étangs Godart. C’est Ginette Desimeur, la responsable du refuge de l’Asapa d’Acy-Romance qui a eu le premier contact avec eux, venue les voir à propos de l’un de leurs chats qui était malade. « Ils adorent leurs animaux, ce sont des gens qui ont du cœur. Ils nourrissent mieux leurs chats qu’eux-mêmes ! » remarque la protectrice des animaux du Rethélois. « J’en ai six ! Un de 9 ans, deux de trois ans, un de 10 mois de deux de quatre mois. Ils nous réchauffent le cœur, ce sont eux qui nous permettent de tenir le coup », précise Émilie, tenant l’un d’eux dans ses bras. Les six protégés ont d’ailleurs une tente pour eux tous seuls, tandis qu’Émilie et son compagnon dorment dans l’autre. Leur tente n’est plus imperméabilisée et un petit trou laisse rentrer l’eau à l’intérieur quand il pleut. Dans de telles conditions, il est évidemment difficile de dormir, d’autant plus que les températures ont fortement chuté depuis quelques jours. Pour ce qui est de la nourriture, elle s’est résumée à des pommes par moment, jusqu’à quasiment plus rien aujourd’hui.
http://www.lunion.presse.fr/accueil/expulses-au-mois-de-juin-ils-vivent-dans-les-bois-ia0b0n413149
« J’avais trop de dettes, je ne recevais plus aucune aide. Mon compagnon ne touche que 400 euros par mois. Alors après avoir quitté notre logement, mon ex-mari m’a prêté une tente pour mon conjoint et moi. Mes enfants sont restés une semaine avec nous puis ils sont allés chez mon ex-mari à Château-Porcien », raconte la trentenaire. Le couple s’est d’abord installé le long du canal, puis au bout de la promenade des Isles avant d’arriver près des étangs Godart. C’est Ginette Desimeur, la responsable du refuge de l’Asapa d’Acy-Romance qui a eu le premier contact avec eux, venue les voir à propos de l’un de leurs chats qui était malade. « Ils adorent leurs animaux, ce sont des gens qui ont du cœur. Ils nourrissent mieux leurs chats qu’eux-mêmes ! » remarque la protectrice des animaux du Rethélois. « J’en ai six ! Un de 9 ans, deux de trois ans, un de 10 mois de deux de quatre mois. Ils nous réchauffent le cœur, ce sont eux qui nous permettent de tenir le coup », précise Émilie, tenant l’un d’eux dans ses bras. Les six protégés ont d’ailleurs une tente pour eux tous seuls, tandis qu’Émilie et son compagnon dorment dans l’autre. Leur tente n’est plus imperméabilisée et un petit trou laisse rentrer l’eau à l’intérieur quand il pleut. Dans de telles conditions, il est évidemment difficile de dormir, d’autant plus que les températures ont fortement chuté depuis quelques jours. Pour ce qui est de la nourriture, elle s’est résumée à des pommes par moment, jusqu’à quasiment plus rien aujourd’hui.
Pour se laver, ils chauffent l’eau dans une casserole
« Heureusement, certaines personnes viennent nous apporter de la nourriture. Un Rethélois nous aide aussi pour nos chats. » Pour se laver, les deux sans domicile fixe vont chercher l’eau vers la gare, la font chauffer dans la casserole et se lavent dans la tente. Émilie, déjà inquiète, craint encore plus pour les mois à venir. « Nous ne pourrons pas passer l’hiver dans ces conditions », annonce-t-elle.http://www.lunion.presse.fr/accueil/expulses-au-mois-de-juin-ils-vivent-dans-les-bois-ia0b0n413149
Les gendarmes mettent en garde contre les démarchages frauduleux dans le nord de la Haute-Vienne
Depuis mardi, plusieurs démarchages frauduleux ont été signalés. Ils présentent des points communs.
La personne, homme ou femme, agit seule.
Elle prétexte travailler pour la mairie et vend des roses en bois ou des calendriers.
Un scooter bleu et noir a été repéré à plusieurs reprises.
Une femme de 82 ans a noté la disparition de 30 euros de son portefeuille alors qu'elle venait de régler 5 euros pour une rose en bois.
Les gendarmes appellent à la vigilance.
D'autres démarchages visant les séniors ont eu lieu récemment un peu partout dans le département : St Junien, Ambazac, Le Dorat etc...
Les gendarmes conseillent de ne jamais laisser pénétrer le démarcheur dans le domicile, et d'appelez le 17 en cas de suspicion.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2014/09/25/les-gendarmes-mettent-en-garde-contre-les-demarchages-frauduleux-dans-le-nord-de-la-haute-vienne-558092.html
La personne, homme ou femme, agit seule.
Elle prétexte travailler pour la mairie et vend des roses en bois ou des calendriers.
Un scooter bleu et noir a été repéré à plusieurs reprises.
Une femme de 82 ans a noté la disparition de 30 euros de son portefeuille alors qu'elle venait de régler 5 euros pour une rose en bois.
Les gendarmes appellent à la vigilance.
D'autres démarchages visant les séniors ont eu lieu récemment un peu partout dans le département : St Junien, Ambazac, Le Dorat etc...
Les gendarmes conseillent de ne jamais laisser pénétrer le démarcheur dans le domicile, et d'appelez le 17 en cas de suspicion.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2014/09/25/les-gendarmes-mettent-en-garde-contre-les-demarchages-frauduleux-dans-le-nord-de-la-haute-vienne-558092.html
Mort du petit Enzo en Dordogne : "C'est un accident", témoignent ses parents
La douleur et le besoin de se justifier. Mardi, trois jours après le décès de son fils Enzo, 7 ans, victime d'un problème mécanique sur sa moto 80 cc lors d'un entraînement à Saint-Cybranet, en Dordogne, Jérôme Corbé a voulu réagir à plusieurs commentaires lus sur SudOuest.fr et la page Facebook SudOuest.fr Dordogne.
« À en croire certains, j'avais attaché mon fils sur la moto. Comme si j'étais responsable parce que je suis passionné de moto. C'est inacceptable ».
Enzo venait d'entamer sa deuxième année de pratique au Moto-Club de Saint-Cybranet. Avec d'autres enfants, il bénéficiait de l'encadrement de Laurent Mabru, titulaire d'un brevet d'État, un ami de la famille. « Je vais moi-même donner un coup de main là-bas, encadrer les jeunes, et je continuerai à le faire. Car Enzo l'aurait souhaité, raconte le père. Il avait toutes les protections. Des sports dangereux, il y en a beaucoup. Enzo aimait tellement ça. C'est un accident. »
Les pompiers et le Smur arrivent et le transportent à l'hôpital de Sarlat. Élodie, la mère, sort juste de son travail. Jérôme part avec son fils pendant qu'une amie s'occupe de Mathéo, le petit frère d'Enzo, présent sur les lieux. « Sur la route, à un instant, il a repoussé la main du médecin et m'a réclamé un câlin. Il m'a dit : ‘‘Papa, je vais mourir''. Peut-être qu'il sentait quelque chose. Enzo est dur au mal, pas le genre à se plaindre, il était très fort. »
La décision de l'héliporter vers Périgueux est prise. « Puis, je ne sais pourquoi, on nous a dit qu'il irait à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux. » Élodie veut monter dans l'appareil avec son fils, on le lui interdit. « Elle n'était pas assurée. C'était dur à accepter. Dans ces cas-là, tout parent désire être auprès de son enfant », insiste Jérôme.
Il est environ 15 h 30. Les parents d'Enzo rentrent chez eux, route du Bugue, à Sarlat. Élodie fait le sac de son fils. « Il avait précisé ce qu'il voulait que je prenne », glisse-t-elle dignement, en retenant ses larmes. 16 heures : Enzo et les médecins passent dans le ciel, au-dessus de la maison. « On était surpris, on pensait qu'ils avaient déjà décollé, commente Jérôme. L'accident a eu lieu à 11 h 50. Ce n'est qu'à 16 heures qu'il partait pour Bordeaux. » La remarque est lancée sans révolte. Comme s'ils n'avaient plus d'énergie pour ça. « On prend des cachets pour dormir, obligés », lâche le papa.
Jérôme a voulu prévenir sa femme. Il n'a pas pu. « J'arrivais à Bordeaux et j'ai appelé l'hôpital, raconte la maman. C'est comme ça que je l'ai appris. On m'a précisé que le problème venait de l'aorte, qu'il s'agissait sans doute d'une hémorragie interne. Là-bas, une infirmière s'est occupée de moi. Puis j'ai repris la route pour le funérarium de Pineuilh, car je voulais l'embrasser. Il était beau, souriant. Au moins, il n'a pas souffert. » « Oui, il n'a pas souffert, répète Jérôme, qui réalise le vide. Je comprends que ça n'arrive pas qu'aux autres. Mais il faut continuer à vivre pour Enzo. »
Mathéo a voulu assister à l'enterrement, mardi après-midi à Sarlat, dans une cathédrale Saint-Sacerdos devenue trop petite pour un tel drame. « Voir tout ce monde, ça fait chaud au cœur. Enzo était aimé de tous. Quand il faisait quelque chose, il se donnait à fond, insiste son père, admiratif. Et il était bon élève. » Jérôme, reconnaissant, distribue les remerciements, et souligne le rôle de Mme Mabru, l'épouse du moniteur, « notre mère pendant deux jours », aux petits soins avec eux comme avec leurs proches.
Il donne rendez-vous pour un nouvel hommage, dimanche 5 octobre, à Campagnac-les-Quercy, à l'occasion d'un motocross. Ce jour-là, son moniteur Laurent Mabru portera le dossard fétiche d'Enzo, le n° 9, pendant que son fils Corentin distribuera des autocollants portant la photo du garçonnet et quelques mots de réconfort. Il y ajoutera un dessin : les ailes d'un ange.
http://www.sudouest.fr/2014/09/25/c-est-un-accident-1682811-1980.php
Enzo venait d'entamer sa deuxième année de pratique au Moto-Club de Saint-Cybranet. Avec d'autres enfants, il bénéficiait de l'encadrement de Laurent Mabru, titulaire d'un brevet d'État, un ami de la famille. « Je vais moi-même donner un coup de main là-bas, encadrer les jeunes, et je continuerai à le faire. Car Enzo l'aurait souhaité, raconte le père. Il avait toutes les protections. Des sports dangereux, il y en a beaucoup. Enzo aimait tellement ça. C'est un accident. »
« Papa, je vais mourir »
Samedi, 11 h 50. Jérôme voit son fils passer devant lui, rapidement, accompagné d'un « bruit de moteur qui s'emballait, comme si l'accélérateur était resté bloqué. » Après sa chute, le petit est conscient et veut se relever. « On lui explique de rester tranquille, il disait qu'il avait chaud. Sur place, parmi les parents, il y avait un pompier. On lui a enlevé son casque, il avait une bosse sur le front, rien de plus. Je n'imaginais pas que mon fils allait bientôt mourir. »Les pompiers et le Smur arrivent et le transportent à l'hôpital de Sarlat. Élodie, la mère, sort juste de son travail. Jérôme part avec son fils pendant qu'une amie s'occupe de Mathéo, le petit frère d'Enzo, présent sur les lieux. « Sur la route, à un instant, il a repoussé la main du médecin et m'a réclamé un câlin. Il m'a dit : ‘‘Papa, je vais mourir''. Peut-être qu'il sentait quelque chose. Enzo est dur au mal, pas le genre à se plaindre, il était très fort. »
Des parents sans révolte
À l'hôpital, avant un premier scanner, Jérôme croise un chirurgien : « Comme Enzo était conscient, il me racontait qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Il a fallu faire un deuxième scanner parce qu'Enzo bougeait trop. Mais alors que j'étais auprès de lui, il a vomi du sang. Beaucoup de sang. »La décision de l'héliporter vers Périgueux est prise. « Puis, je ne sais pourquoi, on nous a dit qu'il irait à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux. » Élodie veut monter dans l'appareil avec son fils, on le lui interdit. « Elle n'était pas assurée. C'était dur à accepter. Dans ces cas-là, tout parent désire être auprès de son enfant », insiste Jérôme.
Il est environ 15 h 30. Les parents d'Enzo rentrent chez eux, route du Bugue, à Sarlat. Élodie fait le sac de son fils. « Il avait précisé ce qu'il voulait que je prenne », glisse-t-elle dignement, en retenant ses larmes. 16 heures : Enzo et les médecins passent dans le ciel, au-dessus de la maison. « On était surpris, on pensait qu'ils avaient déjà décollé, commente Jérôme. L'accident a eu lieu à 11 h 50. Ce n'est qu'à 16 heures qu'il partait pour Bordeaux. » La remarque est lancée sans révolte. Comme s'ils n'avaient plus d'énergie pour ça. « On prend des cachets pour dormir, obligés », lâche le papa.
« Je voulais l'embrasser »
Peu après 17 h 30, alors que son épouse roule pour rejoindre son fils, Jérôme appelle l'hôpital Pellegrin. « Une femme me dit qu'elle n'a personne à ce nom, qu'elle n'a entendu aucun hélicoptère. Puis, elle me passe quelqu'un dont la voix se faisait de plus en plus douce : ‘‘Monsieur, l'hélicoptère s'est posé à Sainte-Foy-la-Grande, au bord de la route. Son petit cœur s'est arrêté de battre. Il n'a pu être réanimé.” »Jérôme a voulu prévenir sa femme. Il n'a pas pu. « J'arrivais à Bordeaux et j'ai appelé l'hôpital, raconte la maman. C'est comme ça que je l'ai appris. On m'a précisé que le problème venait de l'aorte, qu'il s'agissait sans doute d'une hémorragie interne. Là-bas, une infirmière s'est occupée de moi. Puis j'ai repris la route pour le funérarium de Pineuilh, car je voulais l'embrasser. Il était beau, souriant. Au moins, il n'a pas souffert. » « Oui, il n'a pas souffert, répète Jérôme, qui réalise le vide. Je comprends que ça n'arrive pas qu'aux autres. Mais il faut continuer à vivre pour Enzo. »
Ceux qui restent
En attendant, mercredi matin, le petit frère d'Enzo, Mathéo, 5 ans et désireux de faire aussi de la moto, n'est pas allé à son école de Saint-André-d'Allas. Il n'avait pas envie non plus d'aller au foot l'après-midi. Attablé dans le salon, il a quand même goûté devant la photo géante de ce frère qu'il aimait tant et sous les caresses protectrices de sa mère qui doit y puiser la force de rester debout. « Ils chahutaient parfois, bien sûr, mais ils étaient très proches, affirme-t-elle. Enzo s'occupait beaucoup de son petit frère. »Mathéo a voulu assister à l'enterrement, mardi après-midi à Sarlat, dans une cathédrale Saint-Sacerdos devenue trop petite pour un tel drame. « Voir tout ce monde, ça fait chaud au cœur. Enzo était aimé de tous. Quand il faisait quelque chose, il se donnait à fond, insiste son père, admiratif. Et il était bon élève. » Jérôme, reconnaissant, distribue les remerciements, et souligne le rôle de Mme Mabru, l'épouse du moniteur, « notre mère pendant deux jours », aux petits soins avec eux comme avec leurs proches.
Il donne rendez-vous pour un nouvel hommage, dimanche 5 octobre, à Campagnac-les-Quercy, à l'occasion d'un motocross. Ce jour-là, son moniteur Laurent Mabru portera le dossard fétiche d'Enzo, le n° 9, pendant que son fils Corentin distribuera des autocollants portant la photo du garçonnet et quelques mots de réconfort. Il y ajoutera un dessin : les ailes d'un ange.
http://www.sudouest.fr/2014/09/25/c-est-un-accident-1682811-1980.php
La cheminée explose : une femme blessée
Une violente déflagration a retenti au cœur du petit village de Mollau, mercredi soir. Dans cette maison, située rue Principale, le couple de locataire avait choisi de faire une première flambée dans sa cheminée, une cheminée ornementale située au rez-de-chausée de cet appartement. Et c'est en tout début de soirée que l'explosion a soufflé le salon où le couple se trouvait. La détonation a arraché une partie d'un mur, une cloison a été détruite ainsi qu'une porte et les fenêtres ont volé en éclat. Par chance, les deux enfants venaient d'être couchés à l'étage. Le père de famille et les deux enfants sont indemnes.
Seule la mère de famille, âgée de 38 ans, a été victime de brûlures au 2e degré. La jeune femme a été secourue par les sapeurs-pompiers du Chauvelin et ceux de Saint-Amarin avec le concours du médecin du Samu. Ensuite, la trentenaire a été évacuée par l'hélicoptère de Samu 68 à l'hôpital Emile Muller à Mulhouse. Les gendarmes de Fellering se sont rendus sur place
http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/25/la-cheminee-explose-une-femme-blessee
Seule la mère de famille, âgée de 38 ans, a été victime de brûlures au 2e degré. La jeune femme a été secourue par les sapeurs-pompiers du Chauvelin et ceux de Saint-Amarin avec le concours du médecin du Samu. Ensuite, la trentenaire a été évacuée par l'hélicoptère de Samu 68 à l'hôpital Emile Muller à Mulhouse. Les gendarmes de Fellering se sont rendus sur place
http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/25/la-cheminee-explose-une-femme-blessee
La violente dispute se termine par un coup de feu
Un jeune homme résidant dans le secteur des Deux-Rives était placé en garde à vue hier soir, alors qu'un second, habitant à Valence-d'Agen, était aux soins à l'hôpital Purpan à Toulouse, conduit par hélicoptère…
La violence est en effet montée d'un cran dans la nuit de mardi à hier, dans un quartier de Valence, rue Pérez, dans des circonstances très floues. Plus bavards que les enquêteurs, des proches du jeune hospitalisé évoquent une dispute. Le ton est monté entre deux jeunes hommes. Un affrontement verbal puis physique pendant lequel un des individus a sorti une arme à feu. Volontaire ou pas, un coup est parti, atteignant le Valencien dans la poitrine. Pendant que le porteur de l'arme s'enfuyait, l'alerte était donnée, tant au niveau des secours, de la gendarmerie, que du maire Jacques Bousquet. «Tout le monde a rapidement débarqué sur les lieux» indique l'élu. «On m'a demandé d'ouvrir et d'éclairer le stade afin qu'un hélicoptère du Samu puisse se poser. J'ai compris qu'il y avait un blessé grave…»
Immédiatement deux dispositifs étaient mis en place. Celui des secours, mais aussi celui de la gendarmerie afin de localiser et d'interpeller le fuyard. Le parquet confirmait l'arrestation et le placement en garde-à-vue. Quel était le motif de la discussion puis de la dispute ? L'utilisation de l'arme à feu était-elle préméditée ? Le coup de feu est-il parti accidentellement ? Autant de questions qui se posent à l'égard de profils qui, dans la commune, étaient connus pour des petits délits. «On assiste à une banalisation de la violence qui me choque» glissait Jacques Bousquet. «J'espère pour la famille que le gamin s'en sortira. Et que l'on ne vivra jamais plus ça…»
La violence est en effet montée d'un cran dans la nuit de mardi à hier, dans un quartier de Valence, rue Pérez, dans des circonstances très floues. Plus bavards que les enquêteurs, des proches du jeune hospitalisé évoquent une dispute. Le ton est monté entre deux jeunes hommes. Un affrontement verbal puis physique pendant lequel un des individus a sorti une arme à feu. Volontaire ou pas, un coup est parti, atteignant le Valencien dans la poitrine. Pendant que le porteur de l'arme s'enfuyait, l'alerte était donnée, tant au niveau des secours, de la gendarmerie, que du maire Jacques Bousquet. «Tout le monde a rapidement débarqué sur les lieux» indique l'élu. «On m'a demandé d'ouvrir et d'éclairer le stade afin qu'un hélicoptère du Samu puisse se poser. J'ai compris qu'il y avait un blessé grave…»
Immédiatement deux dispositifs étaient mis en place. Celui des secours, mais aussi celui de la gendarmerie afin de localiser et d'interpeller le fuyard. Le parquet confirmait l'arrestation et le placement en garde-à-vue. Quel était le motif de la discussion puis de la dispute ? L'utilisation de l'arme à feu était-elle préméditée ? Le coup de feu est-il parti accidentellement ? Autant de questions qui se posent à l'égard de profils qui, dans la commune, étaient connus pour des petits délits. «On assiste à une banalisation de la violence qui me choque» glissait Jacques Bousquet. «J'espère pour la famille que le gamin s'en sortira. Et que l'on ne vivra jamais plus ça…»
Une employée « modèle »
Embauchée par Renault Retrail Group Belfort dans les années 80, la dame, au vu de ses compétences, a gravi les échelons de la société jusqu’à passer secrétaire commerciale avec le pouvoir de transaction à la clé… et la confiance du gérant.
C’est dire si la chute fut brutale. Lorsque le responsable financier et administratif, nommé le 1er juin 2011, flaire de nombreuses irrégularités dans les comptes clients, avant de révéler un détournement à grande échelle, le 18 octobre 2011.
Le président du tribunal s’interroge, à juste titre, que ni le comptable, ni le centre de gestion d’Orléans n’aient rien soupçonné durant toutes ces années. En tout, ce sont 376.427 euros de chèques que l’employée « modèle et au-dessus de tous soupçons » a subtilisés à la barbe de son employeur. Aidée en cela par le remplissage à la main des chèques… Sans oublier les 35.340 euros en espèces que Me Yves Bouveresse, avocat du groupe, lui réclame en plus.
Certes, la dame était grevée de dettes pour la somme de 300.000 euros après avoir contracté une trentaine de prêts à la consommation. Mais seulement de 2006 à 2007, bien après le début des détournements.
Alors, quel était le but de ces agissements délictueux, voire suicidaires ? « Je ne me l’explique pas » ou « je ne sais pas », répond la prévenue dans un murmure. « Je l’aurais préféré plus bavarde », a laissé échapper Eric Haeffele dans ses réquisitions. « Ce n’était donc pas pour rembourser ses dettes, nous ne sommes pas dans un engrenage d’endettement », a continué le procureur. « C’était pour rénover sa maison, acheter du mobilier, donner des voitures à sa famille. Elle détourne 100.000 euros en 2009, 90.000 euros en 2010 et 2011 pour financer son train de vie. En fait, elle a passé un quart de sa vie professionnelle à spolier son employeur. » Ceci dit avant de réclamer 18 mois de prison, dont 14 avec sursis, obligation d’indemniser la saisie de ses biens immobiliers.
Sachant que la maison du couple a été estimée à 220.000 euros et qu’une banque de financement a déposé son droit à l’hypothèque à hauteur de 36.000 euros, la question du remboursement se pose.
En attendant le résultat du délibéré de cette affaire attendu le 8 octobre prochain, « l’ambiance sociale s’est apaisée dans société », a reconnu le responsable financier. Car après le licenciement de la secrétaire pour faute grave, les comptes de la société en chute libre avaient fait craindre le pire aux salariés. Mais à cette évocation, la prévenue n’a répondu que par le silence…
http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/09/24/une-employee-modele
C’est dire si la chute fut brutale. Lorsque le responsable financier et administratif, nommé le 1er juin 2011, flaire de nombreuses irrégularités dans les comptes clients, avant de révéler un détournement à grande échelle, le 18 octobre 2011.
Personne n’avait rien vu
Un abus de confiance entamé en 2002, tout d’abord par petites sommes en liquide déposées sous forme d’acompte par les clients pour l’achat de leur voiture d’occasion. Puis, sous forme de chèques (106 au total), que la secrétaire plaçait sur son compte personnel ou pour combler un impayé de client dont elle avait gardé l’argent. En langage de filouterie : le système de la « cavalerie ». Combler un trou par l’argent d’un autre client quand la situation sent le roussi.Le président du tribunal s’interroge, à juste titre, que ni le comptable, ni le centre de gestion d’Orléans n’aient rien soupçonné durant toutes ces années. En tout, ce sont 376.427 euros de chèques que l’employée « modèle et au-dessus de tous soupçons » a subtilisés à la barbe de son employeur. Aidée en cela par le remplissage à la main des chèques… Sans oublier les 35.340 euros en espèces que Me Yves Bouveresse, avocat du groupe, lui réclame en plus.
Certes, la dame était grevée de dettes pour la somme de 300.000 euros après avoir contracté une trentaine de prêts à la consommation. Mais seulement de 2006 à 2007, bien après le début des détournements.
Alors, quel était le but de ces agissements délictueux, voire suicidaires ? « Je ne me l’explique pas » ou « je ne sais pas », répond la prévenue dans un murmure. « Je l’aurais préféré plus bavarde », a laissé échapper Eric Haeffele dans ses réquisitions. « Ce n’était donc pas pour rembourser ses dettes, nous ne sommes pas dans un engrenage d’endettement », a continué le procureur. « C’était pour rénover sa maison, acheter du mobilier, donner des voitures à sa famille. Elle détourne 100.000 euros en 2009, 90.000 euros en 2010 et 2011 pour financer son train de vie. En fait, elle a passé un quart de sa vie professionnelle à spolier son employeur. » Ceci dit avant de réclamer 18 mois de prison, dont 14 avec sursis, obligation d’indemniser la saisie de ses biens immobiliers.
Sachant que la maison du couple a été estimée à 220.000 euros et qu’une banque de financement a déposé son droit à l’hypothèque à hauteur de 36.000 euros, la question du remboursement se pose.
En attendant le résultat du délibéré de cette affaire attendu le 8 octobre prochain, « l’ambiance sociale s’est apaisée dans société », a reconnu le responsable financier. Car après le licenciement de la secrétaire pour faute grave, les comptes de la société en chute libre avaient fait craindre le pire aux salariés. Mais à cette évocation, la prévenue n’a répondu que par le silence…
http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/09/24/une-employee-modele
mercredi 24 septembre 2014
Une voiture tombe sur les rails à Saint-Brice-sous-Forêt
Mercredi, vers 14 heures, une voiture est tombée sur les voies de chemin de fer à Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d’Oise). Le véhicule était stationné sur le parking du magasin Conforama, situé avenue de la Division Leclerc. Pour une raison encore inconnue, il a basculé et terminé sa chute en contrebas, sur les rails. A son bord se trouvaient un homme et une femme qui ont dû être désincarcérés par les pompiers
Ils ont été légèrement blessés. L’accident a provoqué une interruption du trafic SNCF sur la ligne H, entre les gares d’Epinay-sur-Seine et Sarcelles-Saint-Brice. La circulation devait reprendre vers 16 heures.
http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/une-voiture-tombe-sur-les-rails-a-saint-brice-sous-foret-24-09-2014-4160597.php
Ils ont été légèrement blessés. L’accident a provoqué une interruption du trafic SNCF sur la ligne H, entre les gares d’Epinay-sur-Seine et Sarcelles-Saint-Brice. La circulation devait reprendre vers 16 heures.
http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/une-voiture-tombe-sur-les-rails-a-saint-brice-sous-foret-24-09-2014-4160597.php
Saint-Eutrope-de-Born (47) : un octogénaire grièvement blessé dans une collision
Mardi, peu après 13 heures, un choc frontal a eu lieu entre deux véhicules qui circulaient sur la D 676, entre Monflanquin et Villeréal. C'est à la hauteur de la commune de Saint-Eutrope-de-Born, à une intersection, qu'une voiture conduite par un Villeneuvois et un fourgon aménagé en camping-car et immatriculé en Hollande, se sont percutés, au lieu dit Latapie.
Le fourgon, au moment de tourner à gauche en direction du lieu dit Piis, n'a semble-t-il pas vu la voiture arrivant en sens inverse, pourtant en pleine ligne droite.
Au cours de ce choc frontal, qui a vu la voiture terminer sa course dans un champ en contrebas, un homme de 80 ans, le chauffeur du fourgon, a été grièvement blessé. Il a fallu de longues minutes aux secours pour réussir à désincarcérer le malheureux, dont les membres inférieurs étaient bloqués dans la carcasse. L'homme a ensuite été évacué vers l'hôpital de Villeneuve-sur-Lot avec sa passagère et l'occupant de la voiture, tous deux plus légèrement blessés.
Le maire de Saint-Eutrope-de-Born, René Ortyl, précisait, hier, que l'endroit n'était pas accidentogène, et qu'une erreur d'inattention, serait sans doute, à l'origine de la collision. « Ils étaient en vacances, je crois qu'ils venaient de Hollande et se rendaient en Espagne », ajoutait l'élu.
http://www.sudouest.fr/2014/09/24/un-octogenaire-grievement-blesse-1681254-1080.php
Au cours de ce choc frontal, qui a vu la voiture terminer sa course dans un champ en contrebas, un homme de 80 ans, le chauffeur du fourgon, a été grièvement blessé. Il a fallu de longues minutes aux secours pour réussir à désincarcérer le malheureux, dont les membres inférieurs étaient bloqués dans la carcasse. L'homme a ensuite été évacué vers l'hôpital de Villeneuve-sur-Lot avec sa passagère et l'occupant de la voiture, tous deux plus légèrement blessés.
Le maire de Saint-Eutrope-de-Born, René Ortyl, précisait, hier, que l'endroit n'était pas accidentogène, et qu'une erreur d'inattention, serait sans doute, à l'origine de la collision. « Ils étaient en vacances, je crois qu'ils venaient de Hollande et se rendaient en Espagne », ajoutait l'élu.
http://www.sudouest.fr/2014/09/24/un-octogenaire-grievement-blesse-1681254-1080.php
Paris : une proviseure-adjointe violemment frappée par un élève
La proviseure-adjointe du lycée Gustave Ferrié, dans le Xème arrondissement de Paris, a été blessée au visage mardi après-midi. Un élève qui avait été convoqué dans son bureau après la pause déjeuner lui aurait assené de violents coups de poings et de pieds.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/24/1958285-paris-une-proviseure-adjointe-violemment-frappee-par-un-eleve.html
Des circonstances inconnues
Le lycéen, après avoir frappé à de multiples reprises la proviseure-adjointe, a pris la fuite. La victime a été hospitalisée, souffrant d'hématomes étendus. On ne connaît pas encore les raisons de l'agression, ni l'âge et la classe du jeune homme. L'auteur des coups n'a pas toujours été retrouvé.http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/24/1958285-paris-une-proviseure-adjointe-violemment-frappee-par-un-eleve.html
La mésaventure de deux motards à Alès : «Le pire week-end de notre vie»
Deux passionnés de motos sont partis le week-end dernier à Alès pour assouvir leur passion sur le circuit gardois. Ils n'avaient prévu les pluies diluviennes qui ont entraîné des inondations.
Ismaël Belhaki et Pierre Périlhou sont beaux-frères et surtout passionnés de moto. Ils viennent de vivre une grosse galère ce week-end dans le Gard à cause des intempéries. Ces deux Saint-Juériens souhaitaient courir sur un «bon circuit». Ils se sont donc inscrits au pôle mécanique d'Alès dans les Cévennes qui possède des virages variés «un vrai plaisir unique pour les motards» disent-ils.
Les deux amateurs de sports mécaniques sont partis jeudi soir en camion avec les deux motos une RSV pour Pierre et une R1 pour Ismaël pour deux jours intenses de piste, malheureusement vendredi, le circuit était trempé et impraticable. Le pire restait à venir car dans la nuit de vendredi à samedi, les pluies diluviennes entraînaient de grosses inondations et la ville d'Alès (Gard) était submergée sous 1m30 d'eau. «Notre camion a été emporté sur plus de 15 mètres avec les motos à l'intérieur» racontent Ismaël et Pierre. L'eau est montée jusqu'à la moitié des vitres noyant le moteur du fourgon, les motos et l'intégralité de l'équipement pour le circuit.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/24/1958165-mesaventure-deux-motards-ales-pire-week-end-vie.html
Ismaël Belhaki et Pierre Périlhou sont beaux-frères et surtout passionnés de moto. Ils viennent de vivre une grosse galère ce week-end dans le Gard à cause des intempéries. Ces deux Saint-Juériens souhaitaient courir sur un «bon circuit». Ils se sont donc inscrits au pôle mécanique d'Alès dans les Cévennes qui possède des virages variés «un vrai plaisir unique pour les motards» disent-ils.
Les deux amateurs de sports mécaniques sont partis jeudi soir en camion avec les deux motos une RSV pour Pierre et une R1 pour Ismaël pour deux jours intenses de piste, malheureusement vendredi, le circuit était trempé et impraticable. Le pire restait à venir car dans la nuit de vendredi à samedi, les pluies diluviennes entraînaient de grosses inondations et la ville d'Alès (Gard) était submergée sous 1m30 d'eau. «Notre camion a été emporté sur plus de 15 mètres avec les motos à l'intérieur» racontent Ismaël et Pierre. L'eau est montée jusqu'à la moitié des vitres noyant le moteur du fourgon, les motos et l'intégralité de l'équipement pour le circuit.
«De la boue partout»
«C'était une vision d'horreur, la boue partout, les routes défoncées, les arbres arrachés. C'était le pire week-end de notre vie. Lorsque l'eau a baissé, nous avons essayé de sécher le moteur du fourgon au sèche-cheveux mais en vain, il n'a pas redémarré. Dans l'après-midi, les pompiers réussissaient à dégager une route, mais nous ne pouvions pas partir sans nos motos.» racontent encore sous le choc, Pierre et Ismaël. C'est Philippe Périlhou, le père de Pierre, qui a loué un fourgon et pris la route depuis Saint-Juéry dans le Tarn, avec son ami Alexis Halbi pour 4 h 30 de trajet afin de récupérer les jeunes et les motos. «Nous sommes rentrés à 1 h 30 du matin, merci à nos sauveurs qui ont fait 9 heures de route pour nous ramener chez nous avec nos motos que nous allons pouvoir nettoyer et réparer» confiait Ismaël. Un week-end de moto que les deux compères n'oublieront pas de sitôt.http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/24/1958165-mesaventure-deux-motards-ales-pire-week-end-vie.html
mardi 23 septembre 2014
Collision entre un train et un poids lourd : un mort et six blessés à Ihringen (Allemagne)
Un train régional allemand a percuté un poids lourd ce lundi vers 15h30 à Ihringen près de Breisach, ont indiqué nos confrères de la Badische Zeitung. L'accident a eu lieu à la hauteur d'un passage à niveau non protégé.
Le conducteur du poids lourd, un homme âgé de 45 ans, est décédé a indiqué la Badische Zeitung. Six personnes ont été blessées dont une gravement, un passager âgé de 18 ans. La ligne de train, très fréquentée par les Alsaciens, doit être rétablie dans la journée. Le passage sur la voie ferrée restera en revanche fermé aux automobilistes.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/09/22/collision-entre-un-train-et-un-poids-lourd-sept-blesses-dont-deux-graves-ihringen-allemagne-556406.html
Le conducteur du poids lourd, un homme âgé de 45 ans, est décédé a indiqué la Badische Zeitung. Six personnes ont été blessées dont une gravement, un passager âgé de 18 ans. La ligne de train, très fréquentée par les Alsaciens, doit être rétablie dans la journée. Le passage sur la voie ferrée restera en revanche fermé aux automobilistes.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/09/22/collision-entre-un-train-et-un-poids-lourd-sept-blesses-dont-deux-graves-ihringen-allemagne-556406.html
Port d'Argelès : un bateau prend feu et un homme tombe à la mer en pleine nuit /video
La nuit de lundi à mardi a été agitée pour certains riverains du port d'Argelès. L'embarcation d'un club de plongée a brûlé et un plaisancier, en voulant protéger son voilier, est tombé à la mer, repêché par un voisin venu éteindre l'incendie.
Dominique Peyronne et son épouse ont été réveillés vers 1 h 10 du matin par les flammes qui dévoraient le petit bateau d'un club de plongée, en proie au feu dans le port, sous leur fenêtre.
"Ma femme a vu l'incendie, elle m'a réveillé et je suis descendu aussitôt pour voir ce que je pouvais faire", raconte Dominique. "Je me suis emparé d'un tuyau d'eau et j'ai commencé à arroser pendant qu'on appelait les pompiers. Heureusement, l'incendie s'est éteint en à peine 2 mn. On avait surtout peur que le feu se propage à d'autres bateaux.".
C'est aussi la crainte d'un plaisancier qui dormait non loin de là sur son voilier et qui a voulu le protéger. "Il est tombé à l'eau en voulant pousser son voilier, victime d'un incendie l'an dernier, le plus loin possible du feu.", raconte M. Peyronne, qui s'est porté à son secours. Visiblement exténué par ses efforts, le sexagénaire ne parvenait plus à se hisser hors de l'eau.
Selon le témoignage de Dominique Peyronne, les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont fini de maîtriser l'incendie et procédé aux consatations d'usage. On ignore encore les causes du sinistre. L'enquête devrait le déterminer.
Voir la vidéo sur ce lien ... http://www.lindependant.fr/2014/09/23/port-d-argeles-un-bateau-prend-feu-et-un-homme-tombe-a-la-mer-en-pleine-nuit-video,1933209.php
Dominique Peyronne et son épouse ont été réveillés vers 1 h 10 du matin par les flammes qui dévoraient le petit bateau d'un club de plongée, en proie au feu dans le port, sous leur fenêtre.
"Ma femme a vu l'incendie, elle m'a réveillé et je suis descendu aussitôt pour voir ce que je pouvais faire", raconte Dominique. "Je me suis emparé d'un tuyau d'eau et j'ai commencé à arroser pendant qu'on appelait les pompiers. Heureusement, l'incendie s'est éteint en à peine 2 mn. On avait surtout peur que le feu se propage à d'autres bateaux.".
C'est aussi la crainte d'un plaisancier qui dormait non loin de là sur son voilier et qui a voulu le protéger. "Il est tombé à l'eau en voulant pousser son voilier, victime d'un incendie l'an dernier, le plus loin possible du feu.", raconte M. Peyronne, qui s'est porté à son secours. Visiblement exténué par ses efforts, le sexagénaire ne parvenait plus à se hisser hors de l'eau.
Selon le témoignage de Dominique Peyronne, les pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont fini de maîtriser l'incendie et procédé aux consatations d'usage. On ignore encore les causes du sinistre. L'enquête devrait le déterminer.
Voir la vidéo sur ce lien ... http://www.lindependant.fr/2014/09/23/port-d-argeles-un-bateau-prend-feu-et-un-homme-tombe-a-la-mer-en-pleine-nuit-video,1933209.php
Laissée pour morte sur le boulevard
Jimmy et Damien ont 20 ans tous les deux et l'insouciance de la jeunesse qui va avec. Seulement, au matin du 31 mai dernier, les deux jeunes poussent l'insouciance et le bouchon un peu loin. D'autant qu'ils s'apprêtent à commettre une infraction et qu'ils n'en sont pas à leur coup d'essai, pour être déjà passés par deux fois devant le tribunal. Cette nuit-là, les deux lascars ont fait la fête en boîte avec des copains et ont sifflé une bouteille entière de whisky, précédée de quelques bières… Jimmy a le permis de conduire et se sert de la vieille Golf familiale.
Damien, lui, n'a pas son permis. Jimmy se sent un peu trop bourré pour prendre le volant : sans état d'âme, il le refile à son copain, se disant que c'est moins grave de conduire sans permis plutôt qu'avec beaucoup d'alcool. Une demi-prudence, en quelque sorte. Mais il n'a pas prévu la suite. Damien se prend pour un «Schumi» en herbe et alors qu'une file de voitures est arrêtée au feu rouge du boulevard du Centenaire à Lourdes, il décide de doubler toute la file et pour faire bonne mesure, de griller le feu rouge. Tant qu'à faire des choses en grand… Grand, aussi, le choc avec le scooter de Nathalie, qui attend elle aussi au feu rouge.
La jeune femme est projetée au sol, où elle reste inerte. N'écoutant que leur lâcheté, les deux jeunes gens vont immédiatement prendre la fuite. Mais leur conduite dangereuse a attiré l'attention et plusieurs automobilistes ont largement eu le temps de relever le numéro de leur voiture. Pas très futés, les chauffards. «Non seulement vous conduisez n'importe comment, mais surtout vous laissez quelqu'un par terre et vous avez pris la fuite.» Affectant une mine penaude, Damien répond : «Je ne voulais pas inquiéter ma mère…». La présidente Gadoullet voit rouge : «Et si la jeune femme était morte, elle aurait eu des raisons de s'inquiéter ! Vous n'êtes même pas allés voir. Elle aurait tout aussi bien pu être morte, elle ne bougeait plus. Et tout ce que vous avez fait, c'est prendre la fuite en la laissant par terre, sans vous inquiéter de rien ! C'est inqualifiable». Sur le banc des victimes, Nathalie, une jeune femme handicapée, sanglote : «Elle n'allait déjà pas très bien, précise son avocate, maintenant, c'est encore pire».
Pour Damien, 3 mois de prison avec sursis et TIG de 210 heures, plus obligation de passer le permis, de travailler et 600 € d'amende. Pour Jimmy, complice de conduite sans permis : un TIG de 140 heures.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/23/1957037-laissee-pour-morte-sur-le-boulevard.html
Damien, lui, n'a pas son permis. Jimmy se sent un peu trop bourré pour prendre le volant : sans état d'âme, il le refile à son copain, se disant que c'est moins grave de conduire sans permis plutôt qu'avec beaucoup d'alcool. Une demi-prudence, en quelque sorte. Mais il n'a pas prévu la suite. Damien se prend pour un «Schumi» en herbe et alors qu'une file de voitures est arrêtée au feu rouge du boulevard du Centenaire à Lourdes, il décide de doubler toute la file et pour faire bonne mesure, de griller le feu rouge. Tant qu'à faire des choses en grand… Grand, aussi, le choc avec le scooter de Nathalie, qui attend elle aussi au feu rouge.
La jeune femme est projetée au sol, où elle reste inerte. N'écoutant que leur lâcheté, les deux jeunes gens vont immédiatement prendre la fuite. Mais leur conduite dangereuse a attiré l'attention et plusieurs automobilistes ont largement eu le temps de relever le numéro de leur voiture. Pas très futés, les chauffards. «Non seulement vous conduisez n'importe comment, mais surtout vous laissez quelqu'un par terre et vous avez pris la fuite.» Affectant une mine penaude, Damien répond : «Je ne voulais pas inquiéter ma mère…». La présidente Gadoullet voit rouge : «Et si la jeune femme était morte, elle aurait eu des raisons de s'inquiéter ! Vous n'êtes même pas allés voir. Elle aurait tout aussi bien pu être morte, elle ne bougeait plus. Et tout ce que vous avez fait, c'est prendre la fuite en la laissant par terre, sans vous inquiéter de rien ! C'est inqualifiable». Sur le banc des victimes, Nathalie, une jeune femme handicapée, sanglote : «Elle n'allait déjà pas très bien, précise son avocate, maintenant, c'est encore pire».
Pour Damien, 3 mois de prison avec sursis et TIG de 210 heures, plus obligation de passer le permis, de travailler et 600 € d'amende. Pour Jimmy, complice de conduite sans permis : un TIG de 140 heures.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/23/1957037-laissee-pour-morte-sur-le-boulevard.html
Français enlevé en Algérie : "Pas question de céder aux menaces d'un groupe terroriste", dit Fabius
Un randonneur français de 55 ans a été enlevé dimanche soir dans l'est de l'Algérie. Dans une vidéo authentifiée par la France, un groupe lié à l'Etat islamique revendique le rapt et menace de l'exécuter d'ici 24 heures si Paris ne stoppe pas les bombardements sur l'Irak.
L'information a été confirmée peu avant 20h par le Quai d'Orsay, puis dans la nuit par Laurent Fabius lui-même. Un ressortissant Français a été enlevé dimanche soir dans les environs de Tikjda, entre Tizi Ouzou et Bouira, à 110 km à l'est d'Alger, une région en proie au terrorisme. Hervé Gourdel, un touriste de 55 ans, a été kidnappé alors qu'il effectuait une randonnée, selon ces sources. La vidéo montre l'otage demandant au président français de le sortir de cette situation. Il est assis par terre entouré de deux hommes masqués et armés de kalachnikovs. Il décline son identité et dit avoir été enlevé par "un groupe armé commandé par Jund Al Khilifah", connu sous le nom des Soldats du califat. "Ce groupe armé me demande de vous faire la demande de ne pas intervenir en Irak. Il me retient en otage. Je vous conjure monsieur le président de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour me sortir de ce mauvais pas", dit-il encore.
"Je laisse à Hollande, le président de l'Etat français criminel, le soin d'arrêter les attaques contre l'Etat islamique dans les 24 heures qui suivent la publication de ce communiqué ou son ressortissant Hervé Gourdel sera égorgé", déclare ensuite un des deux hommes armés
lundi 22 septembre 2014
Accident de chasse à Gouts (40) : un an ferme pour le prévenu
Le tribunal correctionnel de Dax a rendu, ce lundi matin, son délibéré concernant l'accident de chasse survenu à Gouts le 2 février dernier. Lors de cette battue au sanglier, la balle d'un des chasseurs avait fauché Arnaud Clavé, 40 ans, un des participants postés sur la même ligne.
Ni l'enquête, ni l'instruction houleuse du dossier à l'audience du 8 septembre, n'avaient permis de déterminer s'il y avait 42 ou 47 tireurs ce matin là, les déclarations des uns et les omissions des autres ayant souvent changé depuis le drame.
Poursuivi pour homicide involontaire par violation d'une obligation de sécurité ou de prudence, (en l'occurrence, le non respect de la règle des 30 degrés), Jean-Marie Campet, un chasseur d'Audon âgé de 62 ans, a été reconnu coupable par le tribunal.
Les juges sont allés au-delà des réquisitions du parquet (2 ans de prison dont 6 mois ferme) en prononçant une peine de 2 ans de prison dont un avec sursis. Une sanction assortie de la confiscation des armes du chasseur et de l'interdiction d'en porter une pendant 5 ans. Le permis de chasser est également retiré à Jean-Marie Campet pendant 5 ans.
http://www.sudouest.fr/2014/09/22/accident-de-chasse-a-gouts-un-an-ferme-pour-le-prevenu-1679757-3377.php
Poursuivi pour homicide involontaire par violation d'une obligation de sécurité ou de prudence, (en l'occurrence, le non respect de la règle des 30 degrés), Jean-Marie Campet, un chasseur d'Audon âgé de 62 ans, a été reconnu coupable par le tribunal.
Les juges sont allés au-delà des réquisitions du parquet (2 ans de prison dont 6 mois ferme) en prononçant une peine de 2 ans de prison dont un avec sursis. Une sanction assortie de la confiscation des armes du chasseur et de l'interdiction d'en porter une pendant 5 ans. Le permis de chasser est également retiré à Jean-Marie Campet pendant 5 ans.
http://www.sudouest.fr/2014/09/22/accident-de-chasse-a-gouts-un-an-ferme-pour-le-prevenu-1679757-3377.php
Une voiture de police accidentée : deux blessés, dont un grave
Deux policiers ont été blessés la nui dernière vers 3 h 15 lorsque leur véhicule a heurté un lampadaire, quai Jacoutot à Strasbourg, alors qu'il pleuvait fortement et que la chaussée était couverte d'eau.
La conductrice, âgée de 34 ans, a été gravement blessée. Elle souffre notamment d’un traumatisme crânien et d’une blessure au genou. Elle doit passer un scanner dans la matinée. Le passager, âgé de 31 ans, est légèrement blessé. Tous deux ont été transportés au CHU Hautepierre. La brigade des accidents est en charge de l’enquête.
http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/22/une-voiture-de-police-accidentee-deux-blesses-dont-un-grave
La conductrice, âgée de 34 ans, a été gravement blessée. Elle souffre notamment d’un traumatisme crânien et d’une blessure au genou. Elle doit passer un scanner dans la matinée. Le passager, âgé de 31 ans, est légèrement blessé. Tous deux ont été transportés au CHU Hautepierre. La brigade des accidents est en charge de l’enquête.
http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/22/une-voiture-de-police-accidentee-deux-blesses-dont-un-grave
Médecin fraudeur : la colère de la clinique
«Comment peut-on dire que nous sommes complices ? Ces propos sont très choquants et complètement opposés à la réalité du dossier. Ils représentent un préjudice pour la clinique du Parc, son propriétaire le groupe Capio et pour ses praticiens. C'est inacceptable !»
Nathalie Puppo, directrice de la clinique du Parc à Toulouse, n'a pas apprécié le mot est faible les propos tenus mercredi devant la 3e chambre correctionnelle du tribunal correctionnel de Toulouse par le président Georges Leroux. Mercredi à l'issue des débats où le docteur Ziani a reconnu avait trompé la Sécurité sociale, le magistrat a expliqué que le tribunal «retenait l'escroquerie avec la complicité des anesthésistes et de la direction de la clinique».
«Ces propos me choquent et choquent la communauté médicale de la clinique puisque dès le printemps 2006, nous avons alerté les praticiens dont le docteur Ziani sur les problèmes que posaient des actes chirurgicaux concernant des phimosis, des circoncisions motivées par des raisons confessionnelles. Ces actes ne pouvaient être remboursés par la Sécurité sociale. Nous avons échangé des courriers sur le sujet. Et nous avons alerté la caisse primaire de la difficulté. Nous sommes donc à l'origine du contrôle», argumente Nathalie Puppo.
D'ailleurs dans le cadre de l'instruction sur ces fraudes, la direction de la clinique a été entendue par les enquêteurs. «Le juge d'instruction Philippe Guichard avait confirmé qu'il n'existait aucune charge contre la clinique», insiste Me Frédéric Douchez, avocat du groupe Capio. «Et le docteur Ziani a été poursuivi et condamné par la juridiction civile pour sa rupture de contrat», précise l'avocat.
«Nous aurions dû être partie civile devant le tribunal correctionnel puisque nous avons remboursé à la Caisse primaire 37 200 € perçus sur les actes remboursés à tort au docteur Ziani», précise encore Nathalie Puppo. «Et quant aux anesthésistes, parler de complicité à leur égard est tout autant choquant puisque dès 2006, ils ont refusé de travailler avec le docteur Ziani conscients des difficultés que posaient ses interventions.»
Mercredi le tribunal correctionnel de Toulouse a reconnu le docteur Mohammed Ziani coupable «d'escroquerie». La décision de la peine a été ajournée au mois de mars. Le médecin qui a reconnu ses erreurs a donc six mois pour rembourser les 76 000 € qu'il a escroqué à la caisse.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/22/1956451-medecin-fraudeur-la-colere-de-la-clinique.html
Nathalie Puppo, directrice de la clinique du Parc à Toulouse, n'a pas apprécié le mot est faible les propos tenus mercredi devant la 3e chambre correctionnelle du tribunal correctionnel de Toulouse par le président Georges Leroux. Mercredi à l'issue des débats où le docteur Ziani a reconnu avait trompé la Sécurité sociale, le magistrat a expliqué que le tribunal «retenait l'escroquerie avec la complicité des anesthésistes et de la direction de la clinique».
«Ces propos me choquent et choquent la communauté médicale de la clinique puisque dès le printemps 2006, nous avons alerté les praticiens dont le docteur Ziani sur les problèmes que posaient des actes chirurgicaux concernant des phimosis, des circoncisions motivées par des raisons confessionnelles. Ces actes ne pouvaient être remboursés par la Sécurité sociale. Nous avons échangé des courriers sur le sujet. Et nous avons alerté la caisse primaire de la difficulté. Nous sommes donc à l'origine du contrôle», argumente Nathalie Puppo.
D'ailleurs dans le cadre de l'instruction sur ces fraudes, la direction de la clinique a été entendue par les enquêteurs. «Le juge d'instruction Philippe Guichard avait confirmé qu'il n'existait aucune charge contre la clinique», insiste Me Frédéric Douchez, avocat du groupe Capio. «Et le docteur Ziani a été poursuivi et condamné par la juridiction civile pour sa rupture de contrat», précise l'avocat.
«Nous aurions dû être partie civile devant le tribunal correctionnel puisque nous avons remboursé à la Caisse primaire 37 200 € perçus sur les actes remboursés à tort au docteur Ziani», précise encore Nathalie Puppo. «Et quant aux anesthésistes, parler de complicité à leur égard est tout autant choquant puisque dès 2006, ils ont refusé de travailler avec le docteur Ziani conscients des difficultés que posaient ses interventions.»
Mercredi le tribunal correctionnel de Toulouse a reconnu le docteur Mohammed Ziani coupable «d'escroquerie». La décision de la peine a été ajournée au mois de mars. Le médecin qui a reconnu ses erreurs a donc six mois pour rembourser les 76 000 € qu'il a escroqué à la caisse.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/22/1956451-medecin-fraudeur-la-colere-de-la-clinique.html
dimanche 21 septembre 2014
A La Motte-Servolex (Savoie), deux jeunes se blessent gravement dans un accident en rentrant de soirée
Il était environ 4h30, dimanche 21 septembre. Trois jeunes rentrent de soirée, en voiture, quand ils subissent un grave accident.
Pour une raison encore inconnue, le conducteur a perdu le contrôle du véhicule, qui a fait plusieurs tonneaux. Aucune autre voiture n'est impliquée. Les faits se sont produits sur la Route du Tremblay (D14), à La Motte-Servolex.
Deux jeunes sont gravement blessés. Ils ont été médicalisés et évacués par un véhicule du smur de Chambéry. L'une des deux victimes a été déposée à l'hôpital savoyard, tandis que l'autre a été transportée jusqu'à Michallon, à La Tronche.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/09/21/la-motte-servolex-savoie-deux-jeunes-se-blessent-gravement-dans-un-accident-en-rentrant-de-soiree-555272.html
Pour une raison encore inconnue, le conducteur a perdu le contrôle du véhicule, qui a fait plusieurs tonneaux. Aucune autre voiture n'est impliquée. Les faits se sont produits sur la Route du Tremblay (D14), à La Motte-Servolex.
Deux jeunes sont gravement blessés. Ils ont été médicalisés et évacués par un véhicule du smur de Chambéry. L'une des deux victimes a été déposée à l'hôpital savoyard, tandis que l'autre a été transportée jusqu'à Michallon, à La Tronche.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/09/21/la-motte-servolex-savoie-deux-jeunes-se-blessent-gravement-dans-un-accident-en-rentrant-de-soiree-555272.html
Nancy : quatre jeunes filles en garde à vue après une agression filmée
C'est une histoire qui mélange violence, bêtise, cruauté et réseaux sociaux. Quatre personnes ont été placées en garde à vue vendredi, rapporte l'«Est républicain», après l'agression d'une adolescente qui avait été filmée et diffusée sur Facebook.
Il s'agit de trois jeunes filles de 15 à 17 ans et d'une autre de 18 ans, domiciliées à Nancy (Meurthe-et-Moselle) et ses environs.
Sur cette vidéo, on voit un groupe d'adolescentes s'en prendre verbalement puis physiquement à une jeune fille, légèrement handicapée mentale. On entend également une voie masculine. La scène se déroule dans un parc de Nancy, sous le regard de plusieurs passants qui n'interviennent pas ou ne prêtent pas attention à ce qui se passe.
L'agressée, prise gratuitement à partie, est d'abord moquée. Puis on lui intime l'ordre de se lever et de tendre la joue pour recevoir une gifle. Alors qu'on lui demande si elle a peur, elle répond : «Un peu». On lui dit alors «Mets-toi bien droite (...) tends ta joue», avant d'être frappée. On lui demande si «ça fait mal», puis on lui explique : «Pleure pas ! C'est rien.» La victime s'en va finalement, en pleurant, sous les rires de ses agresseurs.
L'auteure des coups est dorénavant la cible d'une campagne sur les réseaux sociaux. Une identité (nom, adresse, téléphone) qu'on lui prête a été diffusée, son nom prétendu est parmi les sujets les plus discutés sur Twitter, des pages Facebook de soutien à l'agressée ont été créées.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/nancy-quatre-jeunes-filles-en-garde-a-vue-apres-une-agression-filmee-21-09-2014-4152287.php
Sur cette vidéo, on voit un groupe d'adolescentes s'en prendre verbalement puis physiquement à une jeune fille, légèrement handicapée mentale. On entend également une voie masculine. La scène se déroule dans un parc de Nancy, sous le regard de plusieurs passants qui n'interviennent pas ou ne prêtent pas attention à ce qui se passe.
L'agressée, prise gratuitement à partie, est d'abord moquée. Puis on lui intime l'ordre de se lever et de tendre la joue pour recevoir une gifle. Alors qu'on lui demande si elle a peur, elle répond : «Un peu». On lui dit alors «Mets-toi bien droite (...) tends ta joue», avant d'être frappée. On lui demande si «ça fait mal», puis on lui explique : «Pleure pas ! C'est rien.» La victime s'en va finalement, en pleurant, sous les rires de ses agresseurs.
L'auteure des coups est dorénavant la cible d'une campagne sur les réseaux sociaux. Une identité (nom, adresse, téléphone) qu'on lui prête a été diffusée, son nom prétendu est parmi les sujets les plus discutés sur Twitter, des pages Facebook de soutien à l'agressée ont été créées.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/nancy-quatre-jeunes-filles-en-garde-a-vue-apres-une-agression-filmee-21-09-2014-4152287.php
HAUTE-LOIRE. Saint-Just-Malmont: deux motards accidentés
Un couple de motards quinquagénaires, qui faisait partie d’un groupe en balade, a été accidenté, samedi matin, sur la RD23, à Saint-Just-Malmont, alors qu’il venait de prendre la direction de Saint-Romain-Lachalm. Sur la chaussée glissante, le pilote a dérapé en voulant, semble-t-il, éviter une voiture. Il a terminé sa course dans un chemin qui dessert une maison. Secourues par les sapeurs-pompiers, les deux victimes, légèrement blessées, ont été évacuées à l’hôpital de Firminy.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/09/21/deux-motards-accidentes
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/09/21/deux-motards-accidentes
samedi 20 septembre 2014
Trois blessés dont deux graves dans une collision à Bessenay
Trois personnes ont été blessées dans une collision entre deux voitures vendredi soir à Bessenay. L’accident s’est produit vers 19 h , sur la route départementale 389. Les deux véhicules se sont heurtés frontalement pour une raison indéterminée. Deux victimes ont été plus gravement blessées. Elles ont été transportées par hélicoptère dans les hôpitaux Lyon Sud et Édouard Herriot. Le troisième blessé a été emmené en ambulance. La route a été coupée dans les deux sens durant environ deux heures.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/09/19/trois-blesses-dont-deux-graves-dans-une-collision-a-bessenay
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/09/19/trois-blesses-dont-deux-graves-dans-une-collision-a-bessenay
Deux mois seul perdu dans les bois
Paniqué à cause de ses dettes, un sexagénaire de Castres était parti se cacher et vivre en ermite dans les bois, du côté de Castelnau-de-Brassac. Exténué mais sauf, il a été retrouvé deux mois après sa fuite par les chasseurs de la Diane de Castelnau.
Seul dans son appartement à Castres, ce célibataire âgé de 61 ans, plutôt solitaire et fragile après de multiples problèmes de santé, a reçu un appel de sa banque comme un coup de massue au mois de juillet : «Votre compte est à découvert. On ne va pas pouvoir payer le loyer de votre logement…» aurait dit le banquier en substance. Désemparé alors que son découvert n'atteignait même pas 1 000 €, cet ancien boucher aujourd'hui en invalidité, a été pris de panique. Et il s'est enfui en autocar : direction les monts de Lacaune. Il est descendu avec son cabas, un parapluie et une tenue de pluie à un arrêt de bus au-dessus de Brassac.
C'est là, dissimulé au fond d'un bois, que les chasseurs de sangliers l'ont retrouvé samedi après-midi soit presque deux mois après son départ, allongé sur son lit de fougères, très affaibli et à moitié endormi mais conscient. Alain Sompayrac, le président de la société de chasse La Diane de Castelnau, n'était pas présent cet après-midi-là mais raconte l'incroyable découverte : «C'est notre collègue Daniel qui l'a trouvé. Il cherchait un chien qui s'était échappé et il a été étonné de voir un chemin bien tracé dans les fougères. Un sentier inhabituel. Et au bout, il a poussé un cri.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955685-deux-mois-seul-perdu-dans-les-bois.html
Seul dans son appartement à Castres, ce célibataire âgé de 61 ans, plutôt solitaire et fragile après de multiples problèmes de santé, a reçu un appel de sa banque comme un coup de massue au mois de juillet : «Votre compte est à découvert. On ne va pas pouvoir payer le loyer de votre logement…» aurait dit le banquier en substance. Désemparé alors que son découvert n'atteignait même pas 1 000 €, cet ancien boucher aujourd'hui en invalidité, a été pris de panique. Et il s'est enfui en autocar : direction les monts de Lacaune. Il est descendu avec son cabas, un parapluie et une tenue de pluie à un arrêt de bus au-dessus de Brassac.
Très affaibli
Traçant dans les bois qu'il connaissait bien pour y avoir souvent cherché les champignons, il est allé se cacher tout à côté de la sagne de Oulès, commune de Castelnau de Brassac sans téléphone ni vivres mais avec ses papiers d'identité.C'est là, dissimulé au fond d'un bois, que les chasseurs de sangliers l'ont retrouvé samedi après-midi soit presque deux mois après son départ, allongé sur son lit de fougères, très affaibli et à moitié endormi mais conscient. Alain Sompayrac, le président de la société de chasse La Diane de Castelnau, n'était pas présent cet après-midi-là mais raconte l'incroyable découverte : «C'est notre collègue Daniel qui l'a trouvé. Il cherchait un chien qui s'était échappé et il a été étonné de voir un chemin bien tracé dans les fougères. Un sentier inhabituel. Et au bout, il a poussé un cri.»
Il s'est nourri de mûres et de pommes sauvages
Il a d'abord vu la jambe de l'homme qui dépassait de sa couche végétale. Vêtu de sa combinaison de pluie, «l'ermite» était là, resté terré dans les bois. «Il nous a expliqué qu'il s'était nourri de mûres, de pommes sauvages et puisait son eau dans un ruisseau.» explique un autre chasseur encore étonné, et même ému. C'est lui qui est parti bien vite, à l'autre bout de la forêt, pour appeler les secours. Les pompiers l'ont transporté à l'hôpital de Castres d'où il est ressorti trois jours après. L'assistante sociale a pris en mains son cas et il a pu rentrer chez lui. Le dossier ouvert au commissariat de Castres pour «disparition inquiétante» après le signalement d'un membre de sa famille d'Albi a été clôturé. À Castelnau de Brassac, les chasseurs sont soulagés même si la partie de chasse a tourné court dans ce coin reculé des monts de Lacaune, à deux pas du fameux sentier de l'Enfant Sauvage. Un clin d'œil de l'histoire.http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955685-deux-mois-seul-perdu-dans-les-bois.html
vendredi 19 septembre 2014
Un couple en scooter renversé par un bus
Mercredi vers 17 h 25, un autocar qui circulait à vide sur la départementale 201 à Conques-sur-Orbiel a percuté un scooter lors d'un dépassement. Le pilote du deux-roues a effet tourné à gauche alors que le bus était à sa hauteur et le chauffeur n'a pas pu éviter la collision. Deux mineurs ont été blessés dans cet accident. Le garçon qui était au guidon du deux-roues n'a subi que des lésions diverses et légères tandis que sa passagère arrière a été grièvement atteinte au bras. Les deux victimes ont été transportées au centre hospitalier de Carcassonne.
Les dépistages d'alcoolémie se sont révélés négatifs pour tous. La gendarmerie de Conques est en charge de l'enquête sur cet accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/19/1954856-un-couple-en-scooter-renverse-par-un-bus.html
Les dépistages d'alcoolémie se sont révélés négatifs pour tous. La gendarmerie de Conques est en charge de l'enquête sur cet accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/19/1954856-un-couple-en-scooter-renverse-par-un-bus.html
jeudi 18 septembre 2014
Meurtre de la rue du Périgord à Toulouse : le GIPN interpelle plusieurs personnes aux Pradettes
Plusieurs personnes ont été interpellées ce jeudi matin vers 10 heures dans un appartement de la place des Pradettes, lors d'une opération de police menée dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'Ilyes, ce jeune homme de 21 ans, tué à coups de couteau le 7 septembre dernier rue du Périgord, en plein centre de Toulouse.
Selon des témoins, les policiers toulousains, accompagnés du Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) ont défoncé la porte d'un appartement au deuxième étage d'une résidence située place des Pradettes. Plusieurs personnes ont été interpellées, dont une femme.
Une source policière a confirmé les interpellations dans le cadre de cette enquête, sans préciser le nombre de personnes interpellées.
Le 14 septembre, un homme de 22 ans avait été mis en examen et écroué dans le cadre de cette enquête. Mais le procureur de la République, Michel Valet, avait indiqué à France 3 Midi-Pyrénées que l'enquête était loin d'être bouclée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/09/18/meurtre-de-la-rue-du-perigord-toulouse-le-gipn-interpelle-plusieurs-personnes-aux-pradettes-553352.html
Selon des témoins, les policiers toulousains, accompagnés du Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) ont défoncé la porte d'un appartement au deuxième étage d'une résidence située place des Pradettes. Plusieurs personnes ont été interpellées, dont une femme.
Une source policière a confirmé les interpellations dans le cadre de cette enquête, sans préciser le nombre de personnes interpellées.
Le 14 septembre, un homme de 22 ans avait été mis en examen et écroué dans le cadre de cette enquête. Mais le procureur de la République, Michel Valet, avait indiqué à France 3 Midi-Pyrénées que l'enquête était loin d'être bouclée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/09/18/meurtre-de-la-rue-du-perigord-toulouse-le-gipn-interpelle-plusieurs-personnes-aux-pradettes-553352.html
EPERNAY (51). Plusieurs blessés dont un grave dans un accident
On en sait plus sur l'accident qui s'est produit ce matin à la sortie d'Epernay, sur la D3 en direction de Châlons-en-Champagne. Un véhicule, avec 5 personnes à son bord, a voulu doubler la voiture qui le précédait. Le conducteur n'a pas réussi son dépassement et est venu percuter l'arrière de la voiture avant de glisser puis de terminer sa course contre un arbre.
La passagère avant, une femme de 31 ans, a été grièvement blessée et transportée au centre hospitalier d'Epernay. Les autres occupants de la voiture, ainsi que le conducteur de l'autre véhicule, ont été légèrement blessés et transportés au CH pour observation.
http://www.lunion.presse.fr/region/epernay-51-plusieurs-blesses-dont-un-grave-dans-un-accident-ia231b0n409557
La passagère avant, une femme de 31 ans, a été grièvement blessée et transportée au centre hospitalier d'Epernay. Les autres occupants de la voiture, ainsi que le conducteur de l'autre véhicule, ont été légèrement blessés et transportés au CH pour observation.
http://www.lunion.presse.fr/region/epernay-51-plusieurs-blesses-dont-un-grave-dans-un-accident-ia231b0n409557
Il fait demi-tour pour embrasser sa fille et sauve sa femme d'un AVC
Etre un papa-poule, ça a du bon. C'est ce qu'a expérimenté un Britannique qui a sauvé la vie de son épouse grâce à un incroyable hasard, comme le rapporte Metro UK, repris par 7sur7. Ce père de famille s'est rendu compte en partant au travail qu'il avait oublié de faire un bisou à sa fille de 5 ans, comme il le fait tous les matins. Pris de remords, il a alors fait demi-tour.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/18/1954273-fait-demi-tour-embrasser-fille-sauve-femme-avc.html
"Mon mari est un héros"
C'est en arrivant sur le pas de sa porte que l'homme a eu un choc : sa femme était étendue par terre, inconsciente. Le Britannique a aussitôt appelé les pompiers qui ont diagnostiqué un accident vasculaire cérébral (AVC) et emmené son épouse aux urgences. "Mon mari est mon héros parce qu'il m'a trouvée et m'a sauvé la vie. Le problème, c'est que beaucoup de gens ne connaissent pas les signes et les symptômes d'un accident vasculaire cérébral", a témoigné la victime de l'AVC avec émotion.http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/18/1954273-fait-demi-tour-embrasser-fille-sauve-femme-avc.html
mercredi 17 septembre 2014
Un chauffeur de taxi escroque près de 400 000 euros à la CPAM
Un chauffeur de taxi de 33 ans agréé auprès de la CPAM a été interpellé lundi et placé en garde à vue à Lyon pour avoir escroqué pendant près de 5 ans, à hauteur de 400 000 euros, plusieurs caisses d’assurance-maladie de la région, en surfacturant des déplacements.
Ce chauffeur de taxi artisan, père de famille, avait reçu l’agrément auprès de la sécurité sociale pour assurer le transport de malades ne nécessitant pas de transports ambulanciers, a expliqué mercredi une source policière.
Profitant de cet agrément, il a, entre avril 2009 et février 2014 surfacturé des transports de patients et établi des facturations fictives au préjudice des CPAM du Rhône, de la Loire et du Puy-de-Dôme, pour un préjudice d’environ 370 000 euros.
Par exemple, lorsqu’il allait chercher un patient, il arrivait bien en avance au rendez-vous et mettait le compteur à tourner aussitôt. En plus, il avait, entre juin 2010 et mai 2012, contacté deux autres chauffeurs de taxi pour utiliser leurs noms et établir d’autres factures.
"Il a fait croire aux deux autres chauffeurs à une panne de logiciel, en leur disant qu’il n’arrivait pas à facturer et leur demandait de le faire à sa place, puis il empochait la contrepartie versée par la CPAM. Il pouvait être à plusieurs endroits à la fois et plusieurs course pouvaient lui être payées en même temps !", a relaté une source policière. Les deux autres chauffeurs de taxis, ont écopé d’un simple "rappel à la loi".
Intriguée par ces factures, les CPAM ont fini par alerter les autorités, entraînant l’ouverture d’une enquête de la brigade financière de la Sûreté départementale de Lyon. Il devra comparaître devant un officier de police judiciaire en juin 2015.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/09/17/un-chauffeur-de-taxi-escroque-pres-de-400-000-euros-a-la-cpam
Ce chauffeur de taxi artisan, père de famille, avait reçu l’agrément auprès de la sécurité sociale pour assurer le transport de malades ne nécessitant pas de transports ambulanciers, a expliqué mercredi une source policière.
Profitant de cet agrément, il a, entre avril 2009 et février 2014 surfacturé des transports de patients et établi des facturations fictives au préjudice des CPAM du Rhône, de la Loire et du Puy-de-Dôme, pour un préjudice d’environ 370 000 euros.
Par exemple, lorsqu’il allait chercher un patient, il arrivait bien en avance au rendez-vous et mettait le compteur à tourner aussitôt. En plus, il avait, entre juin 2010 et mai 2012, contacté deux autres chauffeurs de taxi pour utiliser leurs noms et établir d’autres factures.
"Il a fait croire aux deux autres chauffeurs à une panne de logiciel, en leur disant qu’il n’arrivait pas à facturer et leur demandait de le faire à sa place, puis il empochait la contrepartie versée par la CPAM. Il pouvait être à plusieurs endroits à la fois et plusieurs course pouvaient lui être payées en même temps !", a relaté une source policière. Les deux autres chauffeurs de taxis, ont écopé d’un simple "rappel à la loi".
Intriguée par ces factures, les CPAM ont fini par alerter les autorités, entraînant l’ouverture d’une enquête de la brigade financière de la Sûreté départementale de Lyon. Il devra comparaître devant un officier de police judiciaire en juin 2015.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/09/17/un-chauffeur-de-taxi-escroque-pres-de-400-000-euros-a-la-cpam
A 36 : deux belfortains tués dans un accident
Hier après-midi, vers 17 heures, un accident a fait deux victimes et trois blessés sur l'autoroute A36, entre Montbéliard et Belfort, à hauteur de la commune de Botans.
Un poids-lourd, dont le pneu avant gauche a éclaté, a dévié de sa trajectoire alors qu'il roulait dans le sens Belfort-Montbéliard. Il a percuté un véhicule qui allait dans la même direction. Une autre voiture a quant à elle été projetée de l'autre côté du terre-plein central, entrant en collision avec un véhicule qui roulait en sens inverse (Montbéliard-Belfort).
Les victimes, deux hommes âgés de 22 ans et 45 ans et domiciliés dans le Territoire de Belfort, se trouvaient à bord du véhicule projeté. Les trois blessés ont été hospitalisés à Belfort.
La gendarmerie du Territoire a ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances de l'accident, tandis que les expertises techniques sont attendues dans les prochains jours.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/09/16/a36-voiture-broyee-par-un-camion-vers-belfort-552424.html
Un poids-lourd, dont le pneu avant gauche a éclaté, a dévié de sa trajectoire alors qu'il roulait dans le sens Belfort-Montbéliard. Il a percuté un véhicule qui allait dans la même direction. Une autre voiture a quant à elle été projetée de l'autre côté du terre-plein central, entrant en collision avec un véhicule qui roulait en sens inverse (Montbéliard-Belfort).
Les victimes, deux hommes âgés de 22 ans et 45 ans et domiciliés dans le Territoire de Belfort, se trouvaient à bord du véhicule projeté. Les trois blessés ont été hospitalisés à Belfort.
La gendarmerie du Territoire a ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances de l'accident, tandis que les expertises techniques sont attendues dans les prochains jours.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/09/16/a36-voiture-broyee-par-un-camion-vers-belfort-552424.html
Ain. Culoz : un blessé grave dans une collision
Il était 15h20, ce mardi 16 septembre, lorsque sur la RD 992, à Culoz, un poids lourd qui en doublait un autre est entré en collision avec un utilitaire arrivant en face.
Il était 15h20, mardi, lorsque sur la RD 992, à Culoz, un poids lourd qui en doublait un autre est entré en collision avec un utilitaire arrivant en face.
Le conducteur de ce dernier véhicule, gravement blessé, a été héliporté vers l’hôpital d’Annecy.
http://www.leprogres.fr/ain/2014/09/16/culoz-un-blesse-grave-dans-une-collision
Il était 15h20, mardi, lorsque sur la RD 992, à Culoz, un poids lourd qui en doublait un autre est entré en collision avec un utilitaire arrivant en face.
Le conducteur de ce dernier véhicule, gravement blessé, a été héliporté vers l’hôpital d’Annecy.
http://www.leprogres.fr/ain/2014/09/16/culoz-un-blesse-grave-dans-une-collision
mardi 16 septembre 2014
Dieppe : un abbé se suicide dans son presbytère
L'abbé Claude Fauvel a mis fin à ses jours lundi 15 septembre dans son presbytère. Il était âgé de 83 ans. Une messe a été célébrée en fin d’après-midi pour lui rendre hommage en l’église de Janval
Il avait 83 ans et était apparement très malade. L’Abbé Claude Fauvel, en retraite à Dieppe depuis 2000, a été retrouvé pendu vers 9h00 dans son presbytère le lundi 15 septembre.
L’homme de foi était né en 1931 à Saint-Maixent dans la Somme. Ancien prêtre « Fidei donum », précédemment au service de la paroisse du Sacré-Cœur de Dieppe, il avait été ordonné le 29 juin 1957 et avait fêté son jubilé d'or (50 ans) en 2007.
Le père Geoffroy de la Tousche a célébré une messe en hommage ce lundi 15 septembre à 18 h 30 à l’église de Janval.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/09/15/dieppe-un-abbe-se-suicide-dans-son-presbytere-551542.html
Il avait 83 ans et était apparement très malade. L’Abbé Claude Fauvel, en retraite à Dieppe depuis 2000, a été retrouvé pendu vers 9h00 dans son presbytère le lundi 15 septembre.
L’homme de foi était né en 1931 à Saint-Maixent dans la Somme. Ancien prêtre « Fidei donum », précédemment au service de la paroisse du Sacré-Cœur de Dieppe, il avait été ordonné le 29 juin 1957 et avait fêté son jubilé d'or (50 ans) en 2007.
Le père Geoffroy de la Tousche a célébré une messe en hommage ce lundi 15 septembre à 18 h 30 à l’église de Janval.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/09/15/dieppe-un-abbe-se-suicide-dans-son-presbytere-551542.html
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