Vers 8 heures samedi, les policiers d'Auch sont appelés pour une ivresse manifeste sur voie publique à l'hôpital d'Auch. Jusque-là, «classique» diront certains. Sauf qu'à leur arrivée sur place, les forces de l'ordre sont informées par le personnel soignant qu'un ordinateur portable de l'établissement a disparu. La police qui sait que la structure est entièrement sous surveillance vidéo invite l'administrateur de garde à visionner les bandes. Lesquelles trahissent le «comportement suspect» d'un médecin intérimaire des urgences. Et en effet, les policiers découvriront ledit ordinateur dans son véhicule, sous le siège passager. Côté procédure, cet homme de 53 ans fera l'objet d'un simple rappel à la loi. Il ne sera plus amené à pratiquer à l'hôpital d'Auch.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/27/2037162-un-medecin-vole-un-ordinateur-a-l-hopital.html
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
mardi 27 janvier 2015
lundi 26 janvier 2015
Probable tentative de suicide
Ce lundi vers minuit trente, une femme a été découverte inconsciente, gisant au sol sur la voie publique, au niveau du 21 boulevard de Lyon à Strasbourg.
D’après les premiers éléments de l’enquête, il pourrait s’agir d’une tentative de suicide depuis le quatrième étage de l’immeuble.
Très grièvement blessée, elle a été transportée en urgence au CHU de Hautepierre
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/01/26/probable-tentative-de-suicide
D’après les premiers éléments de l’enquête, il pourrait s’agir d’une tentative de suicide depuis le quatrième étage de l’immeuble.
Très grièvement blessée, elle a été transportée en urgence au CHU de Hautepierre
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/01/26/probable-tentative-de-suicide
dimanche 25 janvier 2015
Rezé: Attaqué, le boulanger trouve refuge dans la chambre froide
Deux hommes cagoulés et armés d'un couteau ont attaqué la boulangerie d'Honoré, quartier Ragon à Rezé, près de Nantes, vendredi soir vers 23h30. Après avoir forcé la porte d'entrée avec une barre télescopique, les cambrioleurs sont tombés nez à nez sur un boulanger qui prenait son service, racontent Ouest-France et Presse Océan.
La police a ouvert une enquête
http://www.20minutes.fr/nantes/1524971-20150125-reze-attaque-boulanger-trouve-refuge-chambre-froide
Le coffre-fort fait de la résistance
Giflé par les deux hommes, l'employé est finalement parvenu à s'échapper et à se réfugier dans une chambre froide du magasin. Les malfaiteurs en ont alors profité pour tenter d'ouvrir le coffre-fort à l'aide d'une masse. En vain. Le coffre n'a pas cédé et les voleurs sont repartis bredouilles.La police a ouvert une enquête
http://www.20minutes.fr/nantes/1524971-20150125-reze-attaque-boulanger-trouve-refuge-chambre-froide
Licourt (80) : un accident violent sur la D35
Aux alentours de 5 heures du matin, un conducteur a perdu le contrôle de son véhicule sur la D35. Deux blessés graves
Dans la commune de Licourt près de Péronne, il est cinq heures du matin lorsque le conducteur perd le contrôle de son véhicule. La voiture fait plusieurs tonneaux. Trois personnes sont éjectées.
Les pompiers sont intervenus pour leur porter secours. Deux blessés graves ont été transportés au CHU d’Amiens. Une troisième personne est légèrement blessée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/01/25/licourt-80-un-accident-violent-sur-la-d35-639679.html
Dans la commune de Licourt près de Péronne, il est cinq heures du matin lorsque le conducteur perd le contrôle de son véhicule. La voiture fait plusieurs tonneaux. Trois personnes sont éjectées.
Les pompiers sont intervenus pour leur porter secours. Deux blessés graves ont été transportés au CHU d’Amiens. Une troisième personne est légèrement blessée.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/01/25/licourt-80-un-accident-violent-sur-la-d35-639679.html
samedi 24 janvier 2015
Il cause un accident et extorque 15€ à la victime
Jeudi à minuit, un automobiliste arrêté à un feu place du Pin à Agen, est percuté par une voiture. Le conducteur accidenté descend et l'homme qui a provoqué l'accrochage lui suggère alors de se garer plus loin pour discuter dans un coin plus discret et surtout à l'abri des caméras. L'auteur présumé explique qu'il conduit sans permis et histoire de l'attendrir, qu'il part emmener sa compagne aux urgences de l'hôpital. Mais par effet de surprise, il sort une arme de poing de sa poche et lui réclame 15 €. La victime s'exécute et remet l'argent. Le suspect remonte dans son véhicule et prend la fuite. Alertés, les policiers retrouvent effectivement l'auteur à l'hôpital Saint-Esprit. L'homme âgé de 22 ans est en possession du pistolet à billes, ainsi que d'un couteau à cran d'arrêt. Les deux armes ont été saisies. Interpellé et placé en garde à vue, l'intéressé sera jugé le 7 février devant le tribunal correctionnel pour conduite sans permis en état de récidive et extorsion de fonds. Sa voiture a été immobilisée sur décision du parquet.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/24/2035664-agen-cause-accident-extorque-15e-victime.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/24/2035664-agen-cause-accident-extorque-15e-victime.html
vendredi 23 janvier 2015
Agenais : des jeunes interpellés pour cambriolages
Face à un phénomène sensiblement orienté à la hausse, les services de police et de gendarmerie ont fait de la lutte contre les cambriolages, mais aussi ceux qui les commettent, une priorité. Mercredi matin, cinq personnes ont été interpellées lors d'une opération organisée par la compagnie de gendarmerie d'Agen à laquelle des personnels de Toulouse et du groupement de Lot-et-Garonne, avec la police agenaise, ont contribué. Il s'agit de jeunes gens, mineur pour l'un d'entre eux.
Des bijoux, des vêtements, des appareils multimédia ainsi que de l'argent en liquide avaient été volés par l'équipe identifiée par les enquêteurs de la gendarmerie agenaise. Une partie du butin a été retrouvée mercredi. Lors de cette opération, appuyée par deux équipes cynophiles, 200 grammes de résine de cannabis ont également été saisis au domicile agenais d'un des prévenus attendus, ce vendredi matin, par les magistrats. Cette découverte fera l'objet d'un autre procès.
http://www.sudouest.fr/2015/01/23/des-jeunes-interpelles-pour-cambriolages-1806583-3603.php
Du cannabis saisi
Trois étaient toujours en garde à vue, jeudi soir. Deux Agenais de 20 et 22 ans, en état de récidive légale, et une jeune femme domiciliée à Castelculier, née en 1993. Ces personnes seront jugées, ce vendredi matin, par le tribunal correctionnel d'Agen pour vols aggravés. Le plus jeune sera ultérieurement convoqué par le juge pour enfants. La justice leur demandera de s'expliquer sur un fait de cambriolage commis début octobre dans le secteur de Port-Sainte-Marie.Des bijoux, des vêtements, des appareils multimédia ainsi que de l'argent en liquide avaient été volés par l'équipe identifiée par les enquêteurs de la gendarmerie agenaise. Une partie du butin a été retrouvée mercredi. Lors de cette opération, appuyée par deux équipes cynophiles, 200 grammes de résine de cannabis ont également été saisis au domicile agenais d'un des prévenus attendus, ce vendredi matin, par les magistrats. Cette découverte fera l'objet d'un autre procès.
Vol au collège élucidé
D'autres arrestations ont aussi eu lieu cette semaine. Par les policiers agenais, notamment, qui ont appréhendé un mineur de 14 ans. Accueilli en foyer, cet adolescent a été confondu pour deux cambriolages commis au préjudice de la Chambre de métiers et du collège Dangla, à Agen. Là, ce sont des vélos et du matériel informatique qui ont été emportés par l'auteur présumé, qui a reconnu son implication dans ces faits. Parce qu'il aurait été revendu, les enquêteurs n'ont, en revanche, pas retrouvé le matériel disparu à cette occasion. Une occasion qui traduit une fâcheuse tendance : ce sont souvent de (très) jeunes gens qui se trouvent associés à ce genre de procédure.http://www.sudouest.fr/2015/01/23/des-jeunes-interpelles-pour-cambriolages-1806583-3603.php
Ain: un détenu se suicide avant son verdict
Un détenu, rejugé en appel devant la cour d'assises de l'Ain pour homicide, et qui attendait son verdict ce jour, s'est suicidé dans sa cellule durant la nuit, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information du Progrès.
Lakhdar Hammani avait été condamné à 15 ans de réclusion criminelle en janvier 2014, pour le meurtre d'un de ses collègues en 2011, sur un parking de Saint-Priest dans le Rhône, comme l'a rappelé le site internet du Progrès.
Rejugé en appel devant la cour d'assises de l'Ain cette semaine, le verdict devait être rendu aujourd'hui. Mais l'accusé a mis fin à ses jours par pendaison dans sa cellule, au centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse. C'est son codétenu qui l'a découvert pendu à 06H50 ce matin, selon plusieurs sources syndicales et judiciaire.
Il n'était pas connu pour des tendances suicidaires, selon une source syndicale.
La cour d'assises a été dans l'obligation vendredi de "constater l'extinction de l'action publique", à la suite de ce décès, et une enquête est en cours, a-t-on ajouté de source judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/23/97001-20150123FILWWW00267-ain-un-detenu-se-suicide-avant-son-verdict.php
Lakhdar Hammani avait été condamné à 15 ans de réclusion criminelle en janvier 2014, pour le meurtre d'un de ses collègues en 2011, sur un parking de Saint-Priest dans le Rhône, comme l'a rappelé le site internet du Progrès.
Rejugé en appel devant la cour d'assises de l'Ain cette semaine, le verdict devait être rendu aujourd'hui. Mais l'accusé a mis fin à ses jours par pendaison dans sa cellule, au centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse. C'est son codétenu qui l'a découvert pendu à 06H50 ce matin, selon plusieurs sources syndicales et judiciaire.
Il n'était pas connu pour des tendances suicidaires, selon une source syndicale.
La cour d'assises a été dans l'obligation vendredi de "constater l'extinction de l'action publique", à la suite de ce décès, et une enquête est en cours, a-t-on ajouté de source judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/23/97001-20150123FILWWW00267-ain-un-detenu-se-suicide-avant-son-verdict.php
jeudi 22 janvier 2015
Le personnage de Bécassine fête ses 110 ans
Née trois ans avant les Pieds nickelés et 24 ans avant Tintin, Bécassine, coiffe, sabots et parapluie rouge sous le bras, est la doyenne des héros de bande dessinée.
C'est en 1905 que le dessinateur Emile Joseph Porphyre Pinchon, l'un des pionniers de la "ligne claire", crée la petite héroïne.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/22/97001-20150122FILWWW00356-le-personnage-de-becassine-fete-ses-110-ans.php
Un ouvrier fait une chute de 6 m
Un ouvrier a fait une chute mercredi en début d’après-midi, sur un chantier à Bourgheim, près de Barr. Il est tombé d’une hauteur de 6 m. Atteint de multiple traumatismes, il a été transporté au CHU de Hautepierre
http://www.dna.fr/actualite/2015/01/21/un-ouvrier-fait-une-chute-de-6-m
http://www.dna.fr/actualite/2015/01/21/un-ouvrier-fait-une-chute-de-6-m
mercredi 21 janvier 2015
Prison avec sursis après la violente bagarre dans un bar
Trois hommes ont été condamnés à une peine de prison avec sursis, hier, au tribunal correctionnel. Ils ont été reconnus coupables de violences aggravées commises dans un bar aux Cabannes, en décembre dernier.
«Là, c'est du niveau école maternelle.» Ce mardi après-midi, la présidente du tribunal correctionnel ne cache pas son désarroi face aux raisons qui, le 2 décembre dernier, dans un bar des Cabannes, ont abouti à ce que le vice-procureur François Hébert qualifie de «véritable règlement de comptes». Une violente bagarre a, en effet, éclaté dans ce débit de boissons de la haute Ariège pour un motif plus que futile : un client, tout juste arrivé avec quatre autres personnes, a pris la chaise d'un autre qui, lui, était déjà attablé depuis un moment !
Sauf que cela n'a pas convenu au frère du «grugé». Il est donc allé chercher quelques collègues de travail, logés au terrain de camping voisin, et tout ce beau monde est revenu avec, selon la procédure, un taser et deux couteaux. Personne n'a été touché par les lames mais trois personnes, parmi les accompagnants du «piqueur» de chaise, ont reçu des coups de taser et d'une queue de billard.
Leur «vengeance» accomplie, les huit hommes sont repartis et les cinq victimes ont appelé les gendarmes… qui ont eu du mal à exercer leur mission. Voulant vérifier les alcoolémies des uns et des autres, ils se sont proprement fait «jeter» et ont donc abandonné.
Il n'empêche que Jérémy, Pierre, Joël, Valérie et leur fils Quentin ont porté plainte. Seuls trois des huit agresseurs ont été interpellés : Samuel, qui a «tasé» Quentin et Jérémy, Alvaro, qui a participé à la bagarre après avoir reçu un coup de poing, et Joao, absent au procès, qui a menacé Valérie, Quentin, Jérémy et Pierre avec son couteau.
«Les prévenus disent avoir été provoqués et s'être défendus. Mais n'oubliez pas ce témoin qui affirme qu'il n'y a eu aucune provocation lors de l'histoire de la chaise et que tout est rentré dans l'ordre après. En revanche, ils sont revenus dans le bar après pour en découdre», lance Me Alzieu, avocate des parties civiles en réclamant 1 000 € de dommages et intérêts pour Pierre et Joël, blessés, et pour Jérémy, pour les coups reçus. Le ministère public, lui, requiert 8 mois avec sursis contre Samuel, «le meneur», 6 mois avec sursis contre Joao, «qui n'a pas l'air de s'intéresser à tout ça», et 4 mois avec sursis contre Alvaro, «le manipulé».
L'avocat de la défense, Me Casellas-Ferry n'est évidemment pas d'accord. «Mes clients sont responsables pénalement, certes. Mais qui a commencé ?», lance-t-il. Il demande donc «l'exclusion» des demandes de la partie civile «pour les responsabiliser» car, plaide-t-il, «on ne peut pas faire n'importe quoi et venir se plaindre après de ce que ça finit mal. Mais c'est sûr que les prévenus, en revenant à plusieurs, n'ont pas eu une bonne idée».
Le tribunal suit le réquisitoire contre les prévenus, en y ajoutant l'interdiction de port d'arme pendant 2 ans, et les condamne, solidairement, à verser 1 500 € à chacune des parties civiles.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/21/2033119-prison-avec-sursis-apres-la-violente-bagarre.html
«Là, c'est du niveau école maternelle.» Ce mardi après-midi, la présidente du tribunal correctionnel ne cache pas son désarroi face aux raisons qui, le 2 décembre dernier, dans un bar des Cabannes, ont abouti à ce que le vice-procureur François Hébert qualifie de «véritable règlement de comptes». Une violente bagarre a, en effet, éclaté dans ce débit de boissons de la haute Ariège pour un motif plus que futile : un client, tout juste arrivé avec quatre autres personnes, a pris la chaise d'un autre qui, lui, était déjà attablé depuis un moment !
Sauf que cela n'a pas convenu au frère du «grugé». Il est donc allé chercher quelques collègues de travail, logés au terrain de camping voisin, et tout ce beau monde est revenu avec, selon la procédure, un taser et deux couteaux. Personne n'a été touché par les lames mais trois personnes, parmi les accompagnants du «piqueur» de chaise, ont reçu des coups de taser et d'une queue de billard.
Leur «vengeance» accomplie, les huit hommes sont repartis et les cinq victimes ont appelé les gendarmes… qui ont eu du mal à exercer leur mission. Voulant vérifier les alcoolémies des uns et des autres, ils se sont proprement fait «jeter» et ont donc abandonné.
Il n'empêche que Jérémy, Pierre, Joël, Valérie et leur fils Quentin ont porté plainte. Seuls trois des huit agresseurs ont été interpellés : Samuel, qui a «tasé» Quentin et Jérémy, Alvaro, qui a participé à la bagarre après avoir reçu un coup de poing, et Joao, absent au procès, qui a menacé Valérie, Quentin, Jérémy et Pierre avec son couteau.
«Les prévenus disent avoir été provoqués et s'être défendus. Mais n'oubliez pas ce témoin qui affirme qu'il n'y a eu aucune provocation lors de l'histoire de la chaise et que tout est rentré dans l'ordre après. En revanche, ils sont revenus dans le bar après pour en découdre», lance Me Alzieu, avocate des parties civiles en réclamant 1 000 € de dommages et intérêts pour Pierre et Joël, blessés, et pour Jérémy, pour les coups reçus. Le ministère public, lui, requiert 8 mois avec sursis contre Samuel, «le meneur», 6 mois avec sursis contre Joao, «qui n'a pas l'air de s'intéresser à tout ça», et 4 mois avec sursis contre Alvaro, «le manipulé».
L'avocat de la défense, Me Casellas-Ferry n'est évidemment pas d'accord. «Mes clients sont responsables pénalement, certes. Mais qui a commencé ?», lance-t-il. Il demande donc «l'exclusion» des demandes de la partie civile «pour les responsabiliser» car, plaide-t-il, «on ne peut pas faire n'importe quoi et venir se plaindre après de ce que ça finit mal. Mais c'est sûr que les prévenus, en revenant à plusieurs, n'ont pas eu une bonne idée».
Le tribunal suit le réquisitoire contre les prévenus, en y ajoutant l'interdiction de port d'arme pendant 2 ans, et les condamne, solidairement, à verser 1 500 € à chacune des parties civiles.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/21/2033119-prison-avec-sursis-apres-la-violente-bagarre.html
mardi 20 janvier 2015
L'absence de regrets du rugbyman fidjien pour ses victimes
Le rugbyman de Périgueux qui avait gravement blessé deux passants en octobre à Auch, au volant d'une voiture alors qu'il était ivre et n'avait pas son permis, était présent à la barre du tribunal d'Auch hier matin. Presque inaudible, il n'a guère exprimé de regrets pour ses victimes.
Cette nuit du 17 octobre 2014, à Auch, Laijiasa Bolenaivalu sort d'un bar où il a bu trois verres de rhum et un verre de vin, en compagnie d'amis, rugbymen comme lui. Laijiasa Bolenaivalu, jeune espoir de 21 ans, tout juste recruté par le club de rugby de Périgueux, capable d'évoluer en deuxième ou en troisième-ligne, n'a pas son permis, et n'a jamais pris le volant. Il réclame pourtant les clefs au propriétaire de l'Opel Astra, qui monte côté passager. Objectif : une boîte de nuit en basse ville. À quelques centaines de mètres du bar, à 4 heures du matin, il fauche trois piétons. L'une des victimes, toujours hospitalisée, a perdu une jambe. Devant le tribunal d'Auch, hier matin, Laijiasa Bolenaivalu est mutique. Du haut de ses 1,96 m, les yeux baissés, ou rivés sur le traducteur debout près de lui, lorsqu'on l'interroge, il se borne à répéter «Je suis désolé», «Ça a changé ma vie».
L'enquête et les divers témoignages recueillis, dont ceux des passagers de la voiture, attestent du défaut de maîtrise du rugbyman. Le véhicule avançait par à-coups, et il a brutalement accéléré à l'entrée de la rue de l'accident, une rue pentue, où l'on accède par un virage très abrupt.
«Cet accident était évitable», assène Charlotte François, l'une des trois victimes. Pascal Ricci, présent lui aussi, souffre de graves lésions à la jambe. Cet infirmier ne pourra pas retravailler avant mars. Henri Bessou, lui, n'a pas pu se déplacer. Amputé d'une jambe, il est encore hospitalisé. Septicémie, coma, embolie pulmonaire… Le jeune homme allait signer son CDD trois jours après. Ses parents, venus représenter Henri, oscillent entre chagrin et colère.
«Il dit que tout cela a changé sa vie ! Mais celle de notre fils, ne sera plus jamais la même !» L'apparente indifférence du jeune Fidjien aux conséquences de ses actes, hormis celles qui concernent son avenir sportif — il a été licencié par son club — agace également le procureur : «Vous n'avez pas un mot pour les victimes !» Il réclame deux ans de prison dont un ferme, 600 euros d'amende et cinq ans d'interdiction de permis de conduire. L'avocat du prévenu plaide «un rapport fluctuant à la règle» propre aux Fidjiens, la «vie saine» que menait Laijiasa Bolenaivalu à Périgueux. Et quand la présidente lui donne la parole, avant la mise en délibéré du jugement au mardi 27 janvier, Laijiasa Bolenaivalu lâche un timide «Je suis désolé pour les victimes». Enfin.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/20/2032149-l-absence-de-regrets-du-rugbyman-fidjien.html
Cette nuit du 17 octobre 2014, à Auch, Laijiasa Bolenaivalu sort d'un bar où il a bu trois verres de rhum et un verre de vin, en compagnie d'amis, rugbymen comme lui. Laijiasa Bolenaivalu, jeune espoir de 21 ans, tout juste recruté par le club de rugby de Périgueux, capable d'évoluer en deuxième ou en troisième-ligne, n'a pas son permis, et n'a jamais pris le volant. Il réclame pourtant les clefs au propriétaire de l'Opel Astra, qui monte côté passager. Objectif : une boîte de nuit en basse ville. À quelques centaines de mètres du bar, à 4 heures du matin, il fauche trois piétons. L'une des victimes, toujours hospitalisée, a perdu une jambe. Devant le tribunal d'Auch, hier matin, Laijiasa Bolenaivalu est mutique. Du haut de ses 1,96 m, les yeux baissés, ou rivés sur le traducteur debout près de lui, lorsqu'on l'interroge, il se borne à répéter «Je suis désolé», «Ça a changé ma vie».
L'enquête et les divers témoignages recueillis, dont ceux des passagers de la voiture, attestent du défaut de maîtrise du rugbyman. Le véhicule avançait par à-coups, et il a brutalement accéléré à l'entrée de la rue de l'accident, une rue pentue, où l'on accède par un virage très abrupt.
«Cet accident était évitable», assène Charlotte François, l'une des trois victimes. Pascal Ricci, présent lui aussi, souffre de graves lésions à la jambe. Cet infirmier ne pourra pas retravailler avant mars. Henri Bessou, lui, n'a pas pu se déplacer. Amputé d'une jambe, il est encore hospitalisé. Septicémie, coma, embolie pulmonaire… Le jeune homme allait signer son CDD trois jours après. Ses parents, venus représenter Henri, oscillent entre chagrin et colère.
«Il dit que tout cela a changé sa vie ! Mais celle de notre fils, ne sera plus jamais la même !» L'apparente indifférence du jeune Fidjien aux conséquences de ses actes, hormis celles qui concernent son avenir sportif — il a été licencié par son club — agace également le procureur : «Vous n'avez pas un mot pour les victimes !» Il réclame deux ans de prison dont un ferme, 600 euros d'amende et cinq ans d'interdiction de permis de conduire. L'avocat du prévenu plaide «un rapport fluctuant à la règle» propre aux Fidjiens, la «vie saine» que menait Laijiasa Bolenaivalu à Périgueux. Et quand la présidente lui donne la parole, avant la mise en délibéré du jugement au mardi 27 janvier, Laijiasa Bolenaivalu lâche un timide «Je suis désolé pour les victimes». Enfin.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/20/2032149-l-absence-de-regrets-du-rugbyman-fidjien.html
lundi 19 janvier 2015
Une Française travaillant pour une ONG enlevée en République centrafricaine, selon RTL
Selon RTL, Cécilia, Française de 67 ans membre d'une ONG, a été enlevée ce lundi à Bangui. "Les anti-balakas sont soupçonnés : ils réclament la libération d'Andjilo, un de leur chef arrêté dimanche", affirme la radio.
Une Française aurait été enlévée selon RTL ce lundi à Bangui, en République centrafricaine. Agée de 67 ans, cette ressortissante française est membre de l'ONG International Rescue Committee.
Fausse alerte à la bombe : la gare de Limoges évacuée, attention aux sanctions
La gare de Limoges a été évacuée ce lundi 19 janvier 2015. Il était 7h30 lorsque le site a été évacué après un coup de fil anonyme signalant la présence d'un engin explosif. Les voyageurs et le personnel ont été priés de sortir pendant une vingtaine de minutes, le temps que les autorités mènent une fouille minutieuse. Rien de suspect n'a été trouvé et les lieux ont pu rouvrir au public. Une enquête est en cours.
Les trains au départ et à l'arrivée de Limoges ont accusé un retard de 5 à 10 minutes.
C'est la deuxième fausse alerte de ce type qui survient dans la ville en quelques jours. Vendredi 16 janvier, un plaisantin avait contacté le SAMU et indiqué avoir déposé une bombe la place d'Aine à Limoges. Le site avait été évacué, un périmètre de sécurité avait été mis en place. La fouille de la place n'avait révélé la présence d'aucun objets ou colis suspects.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2015/01/19/fausse-alerte-la-bombe-la-gare-de-limoges-evacuee-attention-aux-sanctions-635540.html
Les trains au départ et à l'arrivée de Limoges ont accusé un retard de 5 à 10 minutes.
C'est la deuxième fausse alerte de ce type qui survient dans la ville en quelques jours. Vendredi 16 janvier, un plaisantin avait contacté le SAMU et indiqué avoir déposé une bombe la place d'Aine à Limoges. Le site avait été évacué, un périmètre de sécurité avait été mis en place. La fouille de la place n'avait révélé la présence d'aucun objets ou colis suspects.
Attention aux mauvaises plaisanteries
Depuis les attentats parisiens, les fausses alertes se multiplient un peu partout en France et notamment dans les gares, mobilisant à chaque fois des dispositifs de secours et de sécurité conséquents dans le cadre du plan Vigipirate. Mais ces plaisanteries peuvent avoir des conséquences pour les blagueurs qui risquent jusqu'à 2 ans de prison et 30 mille euros d'amendehttp://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2015/01/19/fausse-alerte-la-bombe-la-gare-de-limoges-evacuee-attention-aux-sanctions-635540.html
Trafic perturbé à la Gare du Nord sur le RER D et le Transilien à cause d'un incendie à Saint-Denis
Le trafic est sensiblement perturbé Gare du Nord sur le RER B, RER D et sur le Transilien, à cause d'un incendie qui s'est déclaré ce matin dans la concession automobile Damremont Palace Automobiles de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), située au 42 rue Paul-Eluard.
Les pompiers sont encore mobilisés sur les lieux du sinistre. Aucune victime n'est à déplorer.
Le trafic reprend progressivement, la SNCF annonce cependant aux usagers de "prévoir un allongement important du temps de trajet". Un retour à la normale est attendu à 15 heures.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/19/97001-20150119FILWWW00204-trafic-perturbe-a-la-gare-du-nord-sur-le-rer-d-et-le-transilien.php
Les pompiers sont encore mobilisés sur les lieux du sinistre. Aucune victime n'est à déplorer.
Le trafic reprend progressivement, la SNCF annonce cependant aux usagers de "prévoir un allongement important du temps de trajet". Un retour à la normale est attendu à 15 heures.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/19/97001-20150119FILWWW00204-trafic-perturbe-a-la-gare-du-nord-sur-le-rer-d-et-le-transilien.php
dimanche 18 janvier 2015
Qui êtes-vous Michel Sardou ? lundi sur France 3 20h50
Il a accepté de revenir avec franchise sur les moments forts de sa vie privée et de sa carrière, en n'éludant aucun sujet. C'est un Michel Sardou inattendu que l'on découvre, tour à tour émouvant, emporté, drôle, décapant, direct et toujours politiquement incorrect.
"Depuis 40 ans, on m'aime ou on me déteste" affirme l'artiste, et c'est vrai qu'il ne laisse personne indifférent. Ce film, riche en souvenirs et en archives, nous fait découvrir ou redécouvrir ses chansons et ses textes polémiques qui ont défrayé la chronique. L'occasion aussi de revivre en images les grands moments de ces cinquante dernières années. Témoin de son époque, toujours à la pointe de l'actualité, le chanteur réunit ainsi toutes les générations.
On comprend mieux pourquoi elle n'a pas fini de courir la maladie d'amour entre Michel Sardou et son public.
Avec ce film, Mireille Dumas offre un moment de bonheur aux inconditionnels et une bien belle surprise aux autres !
Les intervenants :
Jean-Pierre Pasqualini, journaliste musical
Jacques Revaux, compositeur de plus de 200 chansons de Michel Sardou
Pierre Billon, auteur et compositeur
Patrice Laffont, présentateur et co-auteur des premières chansons de Michel Sardou.
Proposé par Mireille Dumas
http://www.france3.fr/emissions/documentaires/lundi-en-histoires
samedi 17 janvier 2015
Jeannette Bougrab tacle les proches de Charb et réaffirme son amour pour le dessinateur
Elle a préféré ne pas assister aux obsèques de Charb afin de ne pas froisser la famille du dessinateur et éviter toute polémique. Mais Jeannette Bougrab est une femme meurtrie depuis l’assassinat de celui qu’elle présente comme son compagnon. Alors que les proches du directeur de Charlie Hebdo ont démenti toute relation entre Charb et l’ex-secrétaire d’Etat la semaine dernière, celle-ci revient à la charge dans Le Figaro Magazine cette semaine. Et réaffirme son amour pour l’illustrateur.
« Personne ne pourra m’enlever ma relation avec Charb » avait déjà confié Jeannette Bougrab dans Paris Match alors que des doutes naissaient sur le couple qu’elle formait avec le dessinateur. Il faut dire que l’opinion publique ignorait tout de cette liaison, jusqu’à ce que la jeune femme apparaisse dans les médias après les attentats du 7 janvier pour pleurer son amour perdu.
Et d’évoquer « une histoire particulière » dont le directeur de l’hebdomadaire satirique « ne faisait pas état en public » en raison des menaces dont il était la cible. Mais selon Jeannette Bougrab, tous les « proches connaissaient cet amour profond et sincère qui nous unissait ».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/17/2030898-jeannette-bougrab-tacle-proches-charb-reaffirme-amour-dessinateur.html
« Personne ne pourra m’enlever ma relation avec Charb » avait déjà confié Jeannette Bougrab dans Paris Match alors que des doutes naissaient sur le couple qu’elle formait avec le dessinateur. Il faut dire que l’opinion publique ignorait tout de cette liaison, jusqu’à ce que la jeune femme apparaisse dans les médias après les attentats du 7 janvier pour pleurer son amour perdu.
Un homme de gauche avec une femme de droite
Aujourd’hui, cette fille de harki, encartée à l’UMP, s’en prend à la famille de Stéphane Charbonnier qui, selon elle, n’acceptait pas cette relation : « Ses proches sont moins tolérants et apprécient peu qu’un homme de gauche et une femme de droite puissent s’aimer. C’était pourtant la réalité. On s’était rencontrés à travers nos combats pour la laïcité », précise Jeannette Bougrab. Et de livrer une dernière anecdote pour prouver sa bonne foi : Charb était très proche de sa fille adoptive et s’était encore occupée d’elle deux jours avant le drame. « Il l’emmenait à l’école alors que j’étais à Gustave-Roussy avec ma mère, mourante », assure-t-elle.Et d’évoquer « une histoire particulière » dont le directeur de l’hebdomadaire satirique « ne faisait pas état en public » en raison des menaces dont il était la cible. Mais selon Jeannette Bougrab, tous les « proches connaissaient cet amour profond et sincère qui nous unissait ».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/17/2030898-jeannette-bougrab-tacle-proches-charb-reaffirme-amour-dessinateur.html
vendredi 16 janvier 2015
Les policiers de plus en plus en danger lors des contrôles routiers
Les policiers sont depuis plusieurs semaines soumis à des comportements dangereux de la part d'automobilistes souvent délinquants. Les refus d'obtempérer lors de contrôles se multiplient comme à Nîmes ou Montpellier, ces derniers jours. Des situations où tout peut dégénérer très vite
De plus en plus, des automobilistes en infractions forcent les barrages ou contrôles routiers. Ils n'hésitent plus à foncer sur les forces de l'ordre.
Il s'agit le plus souvent de conducteurs ivres, sous l'emprise de drogue ou roulant sans permis, sans assurances, voire dans une voiture volée.
Derniers incidents en date, en Languedoc-Roussillon :
Il est 22h20, mercredi soir à Montpellier, un véhicule aux vitres teintées est invité par les forces de l'ordre à se garer. Les policiers aperçoivent le conducteur et un chien molosse sur le siège de passager. Le véhicule stoppe mais redémarre brusquement et force le contrôle.
Les policiers jettent des clous spéciaux pour crever les pneus du fuyard et engagent une course-poursuite.
L'homme n'hésite pas à reculer plusieurs fois et à heurter des policiers, à percuter plusieurs véhicules. Les fonctionnaires font usage de leurs armes à 6 reprises pour le bloquer. Mais l'individu crie, se débat, s'agrippe à son volant. Il mord même les policiers qui se mettent à plusieurs pour le maintenir au sol, le menotter et l'emmener.
Le chauffard interpellé circulait à bord d'un véhicule volé et était un multirécidiviste poursuivi pour trafic de voitures de luxe.
Reste que ces tentatives d'agressions contre les policiers s'ajoutent à plusieurs autres faits similaires observés à Nîmes la semaine dernière faisant un blessé parmi les policiers, mais aussi à Marseille, Paris et d'autres grandes villes de France. Le phénomène a tendance à se multiplier actuellement.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2015/01/16/les-policiers-de-plus-en-plus-en-danger-lors-des-controles-routiers-634154.html
De plus en plus, des automobilistes en infractions forcent les barrages ou contrôles routiers. Ils n'hésitent plus à foncer sur les forces de l'ordre.
Il s'agit le plus souvent de conducteurs ivres, sous l'emprise de drogue ou roulant sans permis, sans assurances, voire dans une voiture volée.
Derniers incidents en date, en Languedoc-Roussillon :
- Le 9 janvier à Nîmes, vers 17h, une voiture a délibérément percuté un véhicule de la police municipale dans le secteur de la gare. Les policiers ont dû tirer sur l'automobiliste pour le stopper. L'homme et un policier ont été blessés.
- Mercredi soir à Montpellier, un policier a été heurté et les forces de l'ordre ont dû faire usage de leur arme à 6 reprises.
Il est 22h20, mercredi soir à Montpellier, un véhicule aux vitres teintées est invité par les forces de l'ordre à se garer. Les policiers aperçoivent le conducteur et un chien molosse sur le siège de passager. Le véhicule stoppe mais redémarre brusquement et force le contrôle.
Les policiers jettent des clous spéciaux pour crever les pneus du fuyard et engagent une course-poursuite.
L'homme n'hésite pas à reculer plusieurs fois et à heurter des policiers, à percuter plusieurs véhicules. Les fonctionnaires font usage de leurs armes à 6 reprises pour le bloquer. Mais l'individu crie, se débat, s'agrippe à son volant. Il mord même les policiers qui se mettent à plusieurs pour le maintenir au sol, le menotter et l'emmener.
Le chauffard interpellé circulait à bord d'un véhicule volé et était un multirécidiviste poursuivi pour trafic de voitures de luxe.
Reste que ces tentatives d'agressions contre les policiers s'ajoutent à plusieurs autres faits similaires observés à Nîmes la semaine dernière faisant un blessé parmi les policiers, mais aussi à Marseille, Paris et d'autres grandes villes de France. Le phénomène a tendance à se multiplier actuellement.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2015/01/16/les-policiers-de-plus-en-plus-en-danger-lors-des-controles-routiers-634154.html
Besançon : un adolescent blessé par balle
Besançon. Un adolescent de 16 ans a été blessé par balle, jeudi soir, vers 19 h 30, à hauteur du 2, rue de Franche-Comté, dans le quartier de Planoise. Le projectile lui a traversé la cuisse, heureusement sans provoquer de dommages graves. Entendu par les enquêteurs, le garçon dit ne pas savoir qui a pu lui tirer dessus et évoque une balle perdue. Toutefois, les policiers n’écartent pas l’hypothèse d’un règlement de compte en raison du passé de délinquant assez fourni de la victime, connue pour des cambriolages et des vols avec violence. Le calibre de l’arme utilisé n’a pas pu être déterminé mais semble relativement important.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/01/16/besancon-un-adolescent-blesse-par-balle
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/01/16/besancon-un-adolescent-blesse-par-balle
Les deux minibus de la ville incendiés en pleine nuit
Les deux minibus de la ville de Lavaur ont été détruits dans un incendie dans la nuit de mercredi à jeudi. Selon les premières constatations, il s'agirait d'un acte volontaire. Une patrouille de la police municipale a découvert les deux véhicules municipaux en feu, vers minuit, sur le parking du boulodrome, proche de la gare SNCF et face au local du service sport et jeunesse de la mairie qui gère leur utilisation. Les policiers ont immédiatement alerté la gendarmerie qui est chargée de l'enquête. Un container à ordures était placé entre les deux moyens de transport. C'est ce container qui, semble-t-il, a été enflammé dans un premier temps par un ou des individus malveillants. Le sinistre s'est ensuite propagé aux minibus. Les sapeurs-pompiers du centre de secours de Lavaur ont circoncris l'incendie. Hier matin, des techniciens d'investigation criminelle étaient sur les lieux pour retrouver trace de tout élément permettant de remonter jusqu'aux responsables de cet acte.
Depuis quelques mois, les deux véhicules sont souvent détériorés : graffitis sur les pare-chocs, pneus crevés, etc. Ces minibus, propriété de la société Visiocom, sont mis à disposition de la mairie de Lavaur sur une durée de 3 ans. Un est qualifié «PMR-Personnes à Mobilité Réduite-», donc spécialement adapté aux personnes handicapées. L'autre est un Trafic 9 places. Leur financement est garanti par les annonceurs locaux dont l'image est sérigraphiée sur les véhicules.
Leur valeur est estimée à 90 000 euros. Ils sont utilisés par les associations sportives, caritatives, culturelles de la ville, qui bénéficient de la mise à disposition de ces véhicules à titre gracieux. Ils servent aussi pour le ramassage des enfants pour se rendre au centre de loisirs et pour le transport des enfants handicapés.
Enfin, ces bus véhiculent les personnes âgées vers le centre-ville et les surfaces commerciales. «Nous mettons tout en œuvre pour que les utilisateurs ne soient pas longtemps pénalisés par ce geste absurde et irresponsable», a déclaré Jo Dalla Riva, adjoint au maire à la jeunesse et aux sports.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/16/2030039-les-deux-minibus-de-la-ville-incendies-en-pleine-nuit.html
Depuis quelques mois, les deux véhicules sont souvent détériorés : graffitis sur les pare-chocs, pneus crevés, etc. Ces minibus, propriété de la société Visiocom, sont mis à disposition de la mairie de Lavaur sur une durée de 3 ans. Un est qualifié «PMR-Personnes à Mobilité Réduite-», donc spécialement adapté aux personnes handicapées. L'autre est un Trafic 9 places. Leur financement est garanti par les annonceurs locaux dont l'image est sérigraphiée sur les véhicules.
Leur valeur est estimée à 90 000 euros. Ils sont utilisés par les associations sportives, caritatives, culturelles de la ville, qui bénéficient de la mise à disposition de ces véhicules à titre gracieux. Ils servent aussi pour le ramassage des enfants pour se rendre au centre de loisirs et pour le transport des enfants handicapés.
Enfin, ces bus véhiculent les personnes âgées vers le centre-ville et les surfaces commerciales. «Nous mettons tout en œuvre pour que les utilisateurs ne soient pas longtemps pénalisés par ce geste absurde et irresponsable», a déclaré Jo Dalla Riva, adjoint au maire à la jeunesse et aux sports.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/16/2030039-les-deux-minibus-de-la-ville-incendies-en-pleine-nuit.html
jeudi 15 janvier 2015
Lot-et-Garonne : sept agriculteurs jugés pour violence sur des gendarmes
Le contexte national a depuis évolué. Désormais, les Français dans leur ensemble sont fiers de leurs forces de l'ordre. L'affaire qui intéressera, ce jeudi après-midi le tribunal correctionnel nous déplace à l'ère du « pré-Charlie ». Quand les uns et les autres n'hésitaient guère à se crêper le képi ou à se voler dans les plumes. Comme cela fut le cas, le 10 octobre, à Sainte-Livrade-sur-Lot, où syndicalistes agricoles de la Coordination rurale 47 et gendarmes se sont opposés autour de l'abattage de deux cèdres au sort pourtant scellé par le projet de construction du nouveau Centre de formation des appentis (CFA) livradais.
Une opération qui avait réuni sur place quelques défenseurs de la nature. Échanges de coups, plusieurs victimes dans les deux camps, un coup de filet lancé dans les exploitations agricoles, une hésitation quant à l'orientation procédurale à suivre et voilà, finalement, sept agriculteurs devant les juges pour violences aggravées ou avec usage d'une arme.
« Nous partons dans ce dossier avec une volonté de recherche de la vérité. Savoir notamment pourquoi les gendarmes sont venus ? » Les stigmates encore visibles de la manifestation organisée à Agen, le lundi précédent, pourraient constituer un élément de réponse. La défense des prévenus, au sein desquels figure le président de la Coordination rurale, Patrick Franken, a convoqué à la barre Philippe Dus, entrepreneur du BTP chargé de la construction du CFA. « Tout retard dans les travaux aurait pu compromettre la rentrée 2015 », soutient Me Gonelle, qui a aussi demandé au président de la Chambre d'agriculture, Serge Bousquet-Cassagne, et à Sylvie Girard d'apporter leurs témoignages devant les juges.
« Mes clients sont venus défendre leur point de vue », poursuit l'avocat de la défense. Les victimes seront représentées par Me Gauthier. Des gendarmes, dont trois font état de blessures aux cervicales, au poignet, aux côtes. « J'ai eu des hommes touchés et ce n'est pas normal », avait réagi le colonel Facquet, commandant le groupement de gendarmerie de Lot-et-Garonne, après les interpellations des agriculteurs. Selon toute vraisemblance, le président Pilling pourrait mettre la décision du tribunal en délibéré.
http://www.sudouest.fr/2015/01/15/sept-agriculteurs-juges-cet-apres-midi-1797518-3603.php
Une opération qui avait réuni sur place quelques défenseurs de la nature. Échanges de coups, plusieurs victimes dans les deux camps, un coup de filet lancé dans les exploitations agricoles, une hésitation quant à l'orientation procédurale à suivre et voilà, finalement, sept agriculteurs devant les juges pour violences aggravées ou avec usage d'une arme.
La voiture, une arme
Cette dernière qualification concerne ceux présents dans la voiture qui a forcé un barrage. « Sept prévenus pour 13 victimes », recense Me Gonelle qui assurera avec Me Vivier la défense des mis en cause.« Nous partons dans ce dossier avec une volonté de recherche de la vérité. Savoir notamment pourquoi les gendarmes sont venus ? » Les stigmates encore visibles de la manifestation organisée à Agen, le lundi précédent, pourraient constituer un élément de réponse. La défense des prévenus, au sein desquels figure le président de la Coordination rurale, Patrick Franken, a convoqué à la barre Philippe Dus, entrepreneur du BTP chargé de la construction du CFA. « Tout retard dans les travaux aurait pu compromettre la rentrée 2015 », soutient Me Gonelle, qui a aussi demandé au président de la Chambre d'agriculture, Serge Bousquet-Cassagne, et à Sylvie Girard d'apporter leurs témoignages devant les juges.
« Mes clients sont venus défendre leur point de vue », poursuit l'avocat de la défense. Les victimes seront représentées par Me Gauthier. Des gendarmes, dont trois font état de blessures aux cervicales, au poignet, aux côtes. « J'ai eu des hommes touchés et ce n'est pas normal », avait réagi le colonel Facquet, commandant le groupement de gendarmerie de Lot-et-Garonne, après les interpellations des agriculteurs. Selon toute vraisemblance, le président Pilling pourrait mettre la décision du tribunal en délibéré.
http://www.sudouest.fr/2015/01/15/sept-agriculteurs-juges-cet-apres-midi-1797518-3603.php
AIN. Monthieux : blessé gravement dans un accident
Dans la nuit de mercredi à jeudi, peu après minuit, une voiture qui circulait sur la départementale 82 a fait une sortie de route à hauteur de Monthieux.
Le conducteur, un homme d'une trentaine d'années, a été gravement blessé. Il a du être désincarcéré par les pompiers avant d'être médicalisé par une équipe du Samu et transporté à l'hôpital de Villefranche.
http://www.leprogres.fr/ain/2015/01/15/monthieux-blesse-gravement-dans-un-accident
Le conducteur, un homme d'une trentaine d'années, a été gravement blessé. Il a du être désincarcéré par les pompiers avant d'être médicalisé par une équipe du Samu et transporté à l'hôpital de Villefranche.
http://www.leprogres.fr/ain/2015/01/15/monthieux-blesse-gravement-dans-un-accident
18 mois de prison avec sursis pour Hoda, l'ex-chanteuse de la Star Ac
Poursuivie pour «vols facilités par la vulnérabilité de ses victimes» et «usage de chèques contrefaits», Hoda, demi-finaliste de la «Star Ac 4», a été condamnée, hier, par le tribunal correctionnel.
Hoda, la demi-finaliste toulousaine de la «Star Academy 4», comparaissait, hier, devant la troisième chambre correctionnelle du tribunal de Toulouse. Amaigrie, elle a perdu 7 kg lors d'une hospitalisation, elle devait répondre de «vols facilités par la circonstance d'extrême vulnérabilité de ses victimes» et «usage de chèques contrefaits ou falsifiés». Hoda était, en fait, soupçonnée d'avoir abusé de la faiblesse d'un couple de l'Union chez qui elle travaillait en tant qu'aide de vie.
«Je me dévouais corps et âme. J'étais chez eux tout le temps. Quand il y avait un problème, ils n'appelaient pas leur fille qui habite à deux kilomètres mais moi», insiste la prévenue. Ces arguments ne convainquent ni les magistrats, ni Me Caroline Marty-Daudibertières, conseil du couple de l'Union dont l'homme est décédé en octobre dernier.
Avocates d'Hoda, Mes Imane Krimi-Chabab et Charlotte Lévi, du barreau de Montauban, expliquent : «Elle a été embauchée par une société d'aide aux personnes en 2007 et s'est occupée de onze personnes. Aucune ne s'est plainte de ses agissements. Elle aurait pu voler des gens bien plus dépendants que ce couple, mais non».
«Ce dossier est vide. Habituellement, dans les affaires d'abus, on entend les médecins, les intervenants à domicile… Pas ici», s'étonne Me Lévi. Elle poursuit : «Durant sa garde à vue, elle donne tous les détails, elle ne cache rien. Elle dit que son employeuse lui avait confié les moyens de paiements. Dès l'instant où il y a remise de la chose, il n'y a plus vol».
Au terme du délibéré, le tribunal a suivi le réquisitoire et a condamné Hoda à 18 mois de prison avec sursis et obligation d'indemniser les victimes. Elle ne doit pas les approcher, ni exercer une activité d'aide à la personne. Elle a été relaxée pour les retraits bancaires.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/15/2029301-18-mois-prison-sursis-hoda-ex-chanteuse-star-ac.html
Hoda, la demi-finaliste toulousaine de la «Star Academy 4», comparaissait, hier, devant la troisième chambre correctionnelle du tribunal de Toulouse. Amaigrie, elle a perdu 7 kg lors d'une hospitalisation, elle devait répondre de «vols facilités par la circonstance d'extrême vulnérabilité de ses victimes» et «usage de chèques contrefaits ou falsifiés». Hoda était, en fait, soupçonnée d'avoir abusé de la faiblesse d'un couple de l'Union chez qui elle travaillait en tant qu'aide de vie.
«Je me dévouais»
De février 2011 à septembre 2013, la jeune femme, aujourd'hui âgée de 36 ans, leur aurait soustrait un peu moins de 30 000 €. À la barre, Hoda martèle : «Si j'ai utilisé ces chèques et la carte bancaire, c'est parce que mon employeuse me le demandait, elle était toujours là». Les chèques de 6 000 et 15 000 € qu'elle a déposés sur son compte posent plus de problème pour le président Georges Leroux. «Où est cette prétendue reconnaissance de dette que les gendarmes n'ont pas trouvée ?», interroge-t-il. Selon Hoda, son employeuse lui a «proposé spontanément de lui prêter de l'argent».«Je me dévouais corps et âme. J'étais chez eux tout le temps. Quand il y avait un problème, ils n'appelaient pas leur fille qui habite à deux kilomètres mais moi», insiste la prévenue. Ces arguments ne convainquent ni les magistrats, ni Me Caroline Marty-Daudibertières, conseil du couple de l'Union dont l'homme est décédé en octobre dernier.
«Un faisceau d'indices»
«Mes clients l'ont employée en direct. Au point de vue professionnel, ils n'avaient rien à dire. Ils lui ont fait confiance et l'ont intégrée à la famille. S'il y a eu des distensions entre les parents et leur fille, c'est que la prévenue a œuvré», considère l'avocate. «Je veux bien croire qu'elle se sentait investie. Mais, un faisceau d'indices montre que l'abus de faiblesse est caractérisé», note de son côté Patrice Michel, procureur adjoint. Au terme de son réquisitoire, il demande 18 mois de prison avec sursis assortis d'une obligation d'indemniser les victimes.Avocates d'Hoda, Mes Imane Krimi-Chabab et Charlotte Lévi, du barreau de Montauban, expliquent : «Elle a été embauchée par une société d'aide aux personnes en 2007 et s'est occupée de onze personnes. Aucune ne s'est plainte de ses agissements. Elle aurait pu voler des gens bien plus dépendants que ce couple, mais non».
«Ce dossier est vide. Habituellement, dans les affaires d'abus, on entend les médecins, les intervenants à domicile… Pas ici», s'étonne Me Lévi. Elle poursuit : «Durant sa garde à vue, elle donne tous les détails, elle ne cache rien. Elle dit que son employeuse lui avait confié les moyens de paiements. Dès l'instant où il y a remise de la chose, il n'y a plus vol».
Au terme du délibéré, le tribunal a suivi le réquisitoire et a condamné Hoda à 18 mois de prison avec sursis et obligation d'indemniser les victimes. Elle ne doit pas les approcher, ni exercer une activité d'aide à la personne. Elle a été relaxée pour les retraits bancaires.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/15/2029301-18-mois-prison-sursis-hoda-ex-chanteuse-star-ac.html
mercredi 14 janvier 2015
Saône-et-Loire : un camion transportant des batteries a pris feu
Un incendie s’est déclaré dans un poids lourd qui transportait une cargaison de batteries usagées. L’incident a eu lieu alors que le véhicule traversait la commune de Sagy, mardi 13 janvier 2015
L’incendie s’est déclaré vers 15h34, a indiqué le Codis 71 (Centre Opérationnel Départemental d'Incendie et de Secours).
Une vingtaine de pompiers et une dizaine de véhicules ont été dépêchés dans la Bresse sur la RD 21.
Tout a été mis en place pour prévenir une éventuelle pollution, ont indiqué les pompiers.
Le camion était chargé de plusieurs tonnes de batteries usagées.
Il se rendait à l'entreprise Epur Centre, qui est spécialisée dans la collecte et la valorisation de déchets (ferrailles, métaux, batteries, déchets industriels banals…).
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2015/01/13/saone-et-loire-un-camion-transportant-des-batteries-pris-feu-631968.html
L’incendie s’est déclaré vers 15h34, a indiqué le Codis 71 (Centre Opérationnel Départemental d'Incendie et de Secours).
Une vingtaine de pompiers et une dizaine de véhicules ont été dépêchés dans la Bresse sur la RD 21.
Tout a été mis en place pour prévenir une éventuelle pollution, ont indiqué les pompiers.
Le camion était chargé de plusieurs tonnes de batteries usagées.
Il se rendait à l'entreprise Epur Centre, qui est spécialisée dans la collecte et la valorisation de déchets (ferrailles, métaux, batteries, déchets industriels banals…).
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2015/01/13/saone-et-loire-un-camion-transportant-des-batteries-pris-feu-631968.html
Dieudonné placé en garde à vue pour apologie du terrorisme
Dieudonné est en garde à vue depuis ce mercredi matin pour apologie du terrorisme. Dimanche soir sur son compte Facebook, il avait écrit : "Je me sens Charlie Coulibaly" en référence au terroriste Amedy Coulibaly.
L'humoriste controversé Dieudonné a été placé ce mercredi matin en garde à vue à Paris dans le cadre d'une enquête pour apologie du terrorisme. Le parquet de Paris avait ouvert cette enquête lundi après que Dieudonné avait déclaré "je me sens Charlie Coulibaly", dans la foulée des attentats ayant visé Charlie Hebdo et un supermarché juif, où Amedy Coulibaly avait pris des clients en otages. Quatre d'entre eux ont été tués. Mardi, à l'Assemblée nationale, Manuel Valls a demandé à la justice d'être implacable avec Dieudonné qu'il a qualifié de prédicateur de la haine.
Dans sa déclaration sur Facebook, qui a ensuite été supprimée, Dieudonné avait assuré avoir participé à la manifestation historique dimanche en hommage aux victimes du terrorisme, tout en la tournant en dérision, la qualifiant d'"instant magique comparable au big-bang", "comparable au couronnement de Vercingétorix". "Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly", avait-il ajouté, détournant le slogan de soutien à Charlie Hebdo, "Je suis Charlie", en l'associant au nom du jihadiste Amedy Coulibaly.
mardi 13 janvier 2015
Ger et Lourdes : double braquage lundi soir, quatre suspects arrêtés
Le petit 8 à huit de Ger a été visité lundi soir vers 17h10 par trois hommes habillés de vêtements sombres. "Mon mari était dans la salle à l'arrière du magasin pour faire du pain, explique la femme du gérant. Il a vu trois hommes entrer et tourner dans la supérette, dont un portait visiblement un pistolet." Le gérant est resté caché.
"Je pense qu'ils cherchaient quelqu'un pour lui ouvrir la caisse mais comme ils n'ont trouvé personne, ils ont pris des bouteilles d'alcool et ils sont partis." Les trois hommes ont aussi tenté d'ouvrir la caisse sans résultat. Ils ont pris la fuite à bord d'une voiture citadine Peugeot grise.
Un peu plus tard dans la soirée, une Peugeot grise était repérée sur un parking de Tarbes. La police judiciaire locale est intervenue pour arrêter quatre personnes. Ces quatre hommes âgés de 18 à 28 ans sont en garde à vue à Tarbes. Il pourrait s'agir de la même équipe qu'à Ger.
http://www.sudouest.fr/2015/01/13/ger-et-lourdes-double-braquage-lundi-soir-quatre-suspects-arretes-1795404-4827.php
"Je pense qu'ils cherchaient quelqu'un pour lui ouvrir la caisse mais comme ils n'ont trouvé personne, ils ont pris des bouteilles d'alcool et ils sont partis." Les trois hommes ont aussi tenté d'ouvrir la caisse sans résultat. Ils ont pris la fuite à bord d'une voiture citadine Peugeot grise.
A Lourdes
Une heure plus tard, un autre magasin de taille modeste était visité à Lourdes, cette fois de manière plus insistante. Trois ou quatre hommes sont entrés et ont braqué le gérant avec un pistolet dont on ignore s'il était factice. Le gérant tante de se débattre a reçu un coup de crosse. Il a remis la caisse et les braqueurs se sont enfuis avec plusieurs bouteilles d'alcool, là aussi.Un peu plus tard dans la soirée, une Peugeot grise était repérée sur un parking de Tarbes. La police judiciaire locale est intervenue pour arrêter quatre personnes. Ces quatre hommes âgés de 18 à 28 ans sont en garde à vue à Tarbes. Il pourrait s'agir de la même équipe qu'à Ger.
http://www.sudouest.fr/2015/01/13/ger-et-lourdes-double-braquage-lundi-soir-quatre-suspects-arretes-1795404-4827.php
Le gendarme qui a croisé les Kouachi raconte
Deux gendarmes de la petite commune de Seine-et-Marne, Dammartin-en-Goële, se sont retrouvés nez-à-nez avec les frères Kouachi, vendredi dernier. Il est 8h30 ce matin-là, raconte Europe 1. Les deux gendarmes sont appelés dans la zone d'activité des "Prés-Boucher". Le gérant d'une imprimerie vient d'appeler les forces de l'ordre pour dire que les deux terroristes recherchés depuis la veille, depuis l'attentat contre Charlie Hebdo, se trouvent dans son entreprise.
Les deux co-équipiers, un homme de 45 ans et une collègue de 28 ans, se rendent immédiatement sur place. Là, ils reconnaissent aussitôt la voiture des malfaiteurs, signalée comme volée. "On a coupé le "deux-tons" (la sirène) à environ 1 kilomètre pour arriver discrètement", explique le chef de patrouille, au micro d'Europe 1.
Il raconte qu'il aperçoit alors un homme, à travers la fenêtre du premier étage de l'imprimerie. Il descend du véhicule avec sa collègue et s'approche du bâtiment. En sort Saïd Kouachi, armé d'une kalachnikov. Le militaire se colle au bâtiment et surprend le malfaiteur. Il tire le premier et fait mouche. "Pour toucher, vous avez besoin de vous concentrer, alors j'ai essayé de garder mon sang-froid", confie le gendarme. Kouachi s'écroule, touché au cou, mais parvient à se retrancher dans le bâtiment. "J'avais l'occasion de le neutraliser mais je n'étais plus en situation de légitime défense et les règles sont strictes sur l'usage de notre arme", précise le militaire.
Les deux gendarmes vont ensuite sécuriser le périmètre. Rejoints quelques minutes plus tard par trois autres patrouilles, puis par le GIGN. En fin d'après-midi, l'assaut est donné par les gendarmes d'élite et les deux frères Kouachi tués
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/13/97001-20150113FILWWW00116-les-2-gendarmes-qui-ont-croise-les-kouachi-racontent.php
Les deux co-équipiers, un homme de 45 ans et une collègue de 28 ans, se rendent immédiatement sur place. Là, ils reconnaissent aussitôt la voiture des malfaiteurs, signalée comme volée. "On a coupé le "deux-tons" (la sirène) à environ 1 kilomètre pour arriver discrètement", explique le chef de patrouille, au micro d'Europe 1.
Il raconte qu'il aperçoit alors un homme, à travers la fenêtre du premier étage de l'imprimerie. Il descend du véhicule avec sa collègue et s'approche du bâtiment. En sort Saïd Kouachi, armé d'une kalachnikov. Le militaire se colle au bâtiment et surprend le malfaiteur. Il tire le premier et fait mouche. "Pour toucher, vous avez besoin de vous concentrer, alors j'ai essayé de garder mon sang-froid", confie le gendarme. Kouachi s'écroule, touché au cou, mais parvient à se retrancher dans le bâtiment. "J'avais l'occasion de le neutraliser mais je n'étais plus en situation de légitime défense et les règles sont strictes sur l'usage de notre arme", précise le militaire.
Les deux gendarmes vont ensuite sécuriser le périmètre. Rejoints quelques minutes plus tard par trois autres patrouilles, puis par le GIGN. En fin d'après-midi, l'assaut est donné par les gendarmes d'élite et les deux frères Kouachi tués
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/13/97001-20150113FILWWW00116-les-2-gendarmes-qui-ont-croise-les-kouachi-racontent.php
Les trois policiers victimes des attentats cités à l’ordre de la Nation
Les trois policiers qui sont morts sous les balles des frères Kouachi et d’Amédy Coulibaly ont été cités «à l’ordre de la Nation» par le Premier ministre, annonce le Journal Officiel.
Le président de la République va rendre hommage mardi aux trois policiers lors d’une cérémonie solennelle à la préfecture de police de Paris.
Franck Brinsolaro, 49 ans, «lieutenant de police, affecté au service de la protection» assurait la protection du dessinateur Charb, le directeur de la rédaction de Charlie Hebdo. Il est mort dans les locaux du journal lors de l’attaque du 7 janvier.
Ahmed Merabet, 40 ans, «lieutenant de police affecté au commissariat du 11e arrondissement», a été froidement exécuté alors qu’il se rendait sur les lieux de l’attaque de Charlie Hebdo.
Clarissa Jean-Philippe, 27 ans, brigadier de police au sein de la police municipale de Montrouge, a été abattue par Amédy Coulibaly le 8 janvier alors qu’elle se rendait sur un banal accident de la route sur cette commune au sud de Paris.
Les trois policiers ont été cités par «le Premier ministre, sur la proposition du ministre de l’Intérieur», indique le JO.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/01/13/les-trois-policiers-victimes-des-attentats-cites-a-l-ordre-de-la-nation
Le président de la République va rendre hommage mardi aux trois policiers lors d’une cérémonie solennelle à la préfecture de police de Paris.
Franck Brinsolaro, 49 ans, «lieutenant de police, affecté au service de la protection» assurait la protection du dessinateur Charb, le directeur de la rédaction de Charlie Hebdo. Il est mort dans les locaux du journal lors de l’attaque du 7 janvier.
Ahmed Merabet, 40 ans, «lieutenant de police affecté au commissariat du 11e arrondissement», a été froidement exécuté alors qu’il se rendait sur les lieux de l’attaque de Charlie Hebdo.
Clarissa Jean-Philippe, 27 ans, brigadier de police au sein de la police municipale de Montrouge, a été abattue par Amédy Coulibaly le 8 janvier alors qu’elle se rendait sur un banal accident de la route sur cette commune au sud de Paris.
Les trois policiers ont été cités par «le Premier ministre, sur la proposition du ministre de l’Intérieur», indique le JO.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/01/13/les-trois-policiers-victimes-des-attentats-cites-a-l-ordre-de-la-nation
lundi 12 janvier 2015
Lorraine : un homme armé recherché près de Metz après une fusillade
Un jeune homme de 19 ans est activement recherché en Lorraine depuis lundi midi. Les forces de l'ordre le soupçonnent d'avoir grièvement blessé un autre homme avec son arme à feu sur le parking du magasin Décathlon de Terville, au nord de Metz (Moselle). Le tireur présumé s'est enfui à bord d'une voiture mais l'a abandonnée dans le secteur de Moulins-lès-Metz, selon Le Républicain Lorrain.
Lourdement armé et très dangereux. Le tireur présumé est connu des services de police. Il pourrait également être lié à deux rapts qui se sont produits les 31 décembre et 1er janvier. Les mêmes douilles, de calibre 9 mm, avaient été retrouvées sur place. Un hélicoptère a notamment été déployé par la gendarmerie afin de traquer ce suspect.
Quant à la victime de lundi midi, elle a été atteinte de deux balles au niveau des jambes, selon Le Républicain Lorrain. Ses jours ne seraient pas en danger.
Lourdement armé et très dangereux. Le tireur présumé est connu des services de police. Il pourrait également être lié à deux rapts qui se sont produits les 31 décembre et 1er janvier. Les mêmes douilles, de calibre 9 mm, avaient été retrouvées sur place. Un hélicoptère a notamment été déployé par la gendarmerie afin de traquer ce suspect.
Quant à la victime de lundi midi, elle a été atteinte de deux balles au niveau des jambes, selon Le Républicain Lorrain. Ses jours ne seraient pas en danger.
Valentin Néraudeau : des fourneaux au ministère
Valentin Néraudeau, aujourd'hui 30 ans, a longtemps été l'enfant prodige de la cuisine toulousaine. Après bien des aventures, dont celle de Top Chef en 2012, il a lâché les fourneaux pour se consacrer à l'international en valorisant la cuisine française. S'il a su préserver sa gentillesse et son sens de la repartie, Valentin Néraudeau n'en reste pas moins un ambitieux brillant.
N'oubliez pas de mettre dans votre article, mon adresse Facebook. C'est important». Valentin Néraudeau. Si son nom est un peu oublié des Toulousains, il a pourtant durant des années, marqué la planète gastronomique de la Ville rose. Plus jeune chef de sa génération, ce «Toulousain de cœur» comme il aime à se nommer, après avoir été meilleur apprenti en 2001, ouvre en 2006 à l'âge de 20 ans, Le Valentin son premier restaurant, rue Perchepinte. Un établissement inscrit dans une cave en briques aux lumières tamisées et à la carte déjà «prometteuse». En 2007, suit le Carré Rouge, son second restaurant dans le quartier des Carmes. Un lieu cosy et raffiné où les assiettes particulièrement élaborées attirent alors tous les gourmets de la ville. Viendra ensuite la Villa Margaux à Fumel dans le Lot et Garonne où commencent à poindre des idées de grandeur version Rastignac de la Comédie Humaine. Pourtant à l'époque, cet enfant prodige de la cuisine tenait en toute simplicité des propos alors emprunts d'une grande sagesse «Je ne veux pas brûler les étapes mais faire les choses bien et à leur rythme». Une époque avant Top Chef et ses lumières. En 2012, Valentin Néraudeau, sans rien avoir demandé, participe à cette émission de téléréalité culinaire sur M6. Aujourd'hui, il l'admet sans détours : «Je suis resté neuf semaines en prime time. Un sacré challenge et une expérience unique». Le jeune chef fait alors plusieurs Unes de journaux, passe sur une kyrielle de plateaux TV et ne cesse de donner son avis sur tout. «Ce type d'émission vous propulse star avant même que vous l'ayez envisagé. Je n'ai pas échappé à la règle».
Lorsque les lumières se sont éteintes, Valentin Néraudeau part alors à Paris faire l'ouverture du Bermuda Onion, un restaurant du 15e arrondissement de Paris, plutôt chic et pompeux. «J'ai stoppé le partenariat en juillet dernier». Sans regret apparemment. Et puis il y a l'aventure du magazine Têtu où le jeune chef fait son coming out, posant en couverture, bombant son torse musclé et étalant son sourire carnassier de dandy 21è siècle.
Pour dresser le bilan de sa jeune vie, Valentin Néraudeau est ce jour-là à Paris entre deux avions. Pressé, il dresse la liste de ses nombreuses activités pour 2015 : «Tous les matins, du lundi au vendredi, je suis sur France 2 à 9h30 pour animer C'est au programme, l'émission présentée par Sophie Davant. Durant quarante-cinq minutes, je propose des recettes en live et dispense des conseils culinaires». Il dit aussi qu'à la demande du ministère de l'agriculture, il travaille pour le Centre National Interprofessionnel de l'Économie du Lait (Cniel) basé à Paris pour faire la promotion des produits laitiers dans le monde entier dont l'Asie et les pays du Golfe (Dubai). «Je suis un peu l'ambassadeur de ces produits dits «nobles» distribués par de grandes sociétés laitières et souvent inconnus dans ces pays. Un travail prenant et passionnant». Il admet : «Je suis heureux. Je n'ai aucun regret. Je voyage et je m'oxygène la tête». Reviendra-t-il à Toulouse ? «C'est mon souhait le plus cher, bien sûr. Mais pour le moment je grandis. Je fais autre chose». Gros bosseur et féru de sport, Valentin Néraudeau a toujours peur de tomber dans les affres de l'ennui. Alors il pratique le sport à haute dose, comparant cette discipline à celle de la cuisine : «Pour atteindre son but, les efforts sont les mêmes». Valentin Néraudeau semble apaisé.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/12/2027065-valentin-neraudeau-des-fourneaux-au-ministere.html
N'oubliez pas de mettre dans votre article, mon adresse Facebook. C'est important». Valentin Néraudeau. Si son nom est un peu oublié des Toulousains, il a pourtant durant des années, marqué la planète gastronomique de la Ville rose. Plus jeune chef de sa génération, ce «Toulousain de cœur» comme il aime à se nommer, après avoir été meilleur apprenti en 2001, ouvre en 2006 à l'âge de 20 ans, Le Valentin son premier restaurant, rue Perchepinte. Un établissement inscrit dans une cave en briques aux lumières tamisées et à la carte déjà «prometteuse». En 2007, suit le Carré Rouge, son second restaurant dans le quartier des Carmes. Un lieu cosy et raffiné où les assiettes particulièrement élaborées attirent alors tous les gourmets de la ville. Viendra ensuite la Villa Margaux à Fumel dans le Lot et Garonne où commencent à poindre des idées de grandeur version Rastignac de la Comédie Humaine. Pourtant à l'époque, cet enfant prodige de la cuisine tenait en toute simplicité des propos alors emprunts d'une grande sagesse «Je ne veux pas brûler les étapes mais faire les choses bien et à leur rythme». Une époque avant Top Chef et ses lumières. En 2012, Valentin Néraudeau, sans rien avoir demandé, participe à cette émission de téléréalité culinaire sur M6. Aujourd'hui, il l'admet sans détours : «Je suis resté neuf semaines en prime time. Un sacré challenge et une expérience unique». Le jeune chef fait alors plusieurs Unes de journaux, passe sur une kyrielle de plateaux TV et ne cesse de donner son avis sur tout. «Ce type d'émission vous propulse star avant même que vous l'ayez envisagé. Je n'ai pas échappé à la règle».
Lorsque les lumières se sont éteintes, Valentin Néraudeau part alors à Paris faire l'ouverture du Bermuda Onion, un restaurant du 15e arrondissement de Paris, plutôt chic et pompeux. «J'ai stoppé le partenariat en juillet dernier». Sans regret apparemment. Et puis il y a l'aventure du magazine Têtu où le jeune chef fait son coming out, posant en couverture, bombant son torse musclé et étalant son sourire carnassier de dandy 21è siècle.
Pour dresser le bilan de sa jeune vie, Valentin Néraudeau est ce jour-là à Paris entre deux avions. Pressé, il dresse la liste de ses nombreuses activités pour 2015 : «Tous les matins, du lundi au vendredi, je suis sur France 2 à 9h30 pour animer C'est au programme, l'émission présentée par Sophie Davant. Durant quarante-cinq minutes, je propose des recettes en live et dispense des conseils culinaires». Il dit aussi qu'à la demande du ministère de l'agriculture, il travaille pour le Centre National Interprofessionnel de l'Économie du Lait (Cniel) basé à Paris pour faire la promotion des produits laitiers dans le monde entier dont l'Asie et les pays du Golfe (Dubai). «Je suis un peu l'ambassadeur de ces produits dits «nobles» distribués par de grandes sociétés laitières et souvent inconnus dans ces pays. Un travail prenant et passionnant». Il admet : «Je suis heureux. Je n'ai aucun regret. Je voyage et je m'oxygène la tête». Reviendra-t-il à Toulouse ? «C'est mon souhait le plus cher, bien sûr. Mais pour le moment je grandis. Je fais autre chose». Gros bosseur et féru de sport, Valentin Néraudeau a toujours peur de tomber dans les affres de l'ennui. Alors il pratique le sport à haute dose, comparant cette discipline à celle de la cuisine : «Pour atteindre son but, les efforts sont les mêmes». Valentin Néraudeau semble apaisé.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/12/2027065-valentin-neraudeau-des-fourneaux-au-ministere.html
dimanche 11 janvier 2015
Véhicule à contresens : un mort et cinq blessés sur l'autoroute à Saverne
Un accident s'est produit samedi soir vers 19h40 sur l'autoroute A4 à la hauteur de Saverne dans le sens Strasbourg-Paris. Le choc frontal a causé la mort d'un octogénaire qui conduisait l'un des deux véhicules impliqués. Les 5 occupants de l'autre voiture ont été blessés.
Les secours ont dû interrompre la circulation sur l'autoroute pendant leur intervention. Il a en effet fallu procéder à la desincarcération de la personne décédée.
Les 3 personnes les plus grièvement blessées de l'autre voiture (un jeune homme de 15 ans, une femme de 52 ans et un homme de 25 ans) ont été transportées vers l'hôpital de Strasbourg-Hautepierre. Les deux autres (un homme de 20 ans et une femme de 26 ans), plus légèrement blessés, ont été acheminés à l'hôpital de Saverne.
Selon nos confrères des Dernières Nouvelles d'Alsace, l'enquête mettrait en cause une voiture roulant à contresens
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2015/01/11/vehicule-contresens-un-mort-et-cinq-blesses-sur-l-autoroute-saverne-629830.html
Les secours ont dû interrompre la circulation sur l'autoroute pendant leur intervention. Il a en effet fallu procéder à la desincarcération de la personne décédée.
Les 3 personnes les plus grièvement blessées de l'autre voiture (un jeune homme de 15 ans, une femme de 52 ans et un homme de 25 ans) ont été transportées vers l'hôpital de Strasbourg-Hautepierre. Les deux autres (un homme de 20 ans et une femme de 26 ans), plus légèrement blessés, ont été acheminés à l'hôpital de Saverne.
Selon nos confrères des Dernières Nouvelles d'Alsace, l'enquête mettrait en cause une voiture roulant à contresens
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2015/01/11/vehicule-contresens-un-mort-et-cinq-blesses-sur-l-autoroute-saverne-629830.html
Allemagne : incendie dans un journal qui a publié des caricatures de Charlie Hebdo
Un incendie volontaire a été perpétré dans la nuit de samedi à dimanche, dans un journal à Hambourg, dans le nord de l'Allemagne. Il s'agirait du «Hamburger Morgenpost», le Courrier du Matin de Hambourg. Ce journal avait récemment publié des caricatures de Mahomet venant de Charlie Hebdo, l'hebdomadaire satirique français victime d'une attaque terroriste meurtrière mercredi.
Il n'y a pas eu de blessé selon la police. Deux personnes ont été arrêtées, et une enquête a été ouverte, selon la même source qui n'a pas souhaité donner davantage de détails.«Des pierres puis un engin incendiaire ont été lancés à travers une fenêtre» du Hamburger Morgenpost, déclenchant un début d'incendie, a indiqué un porte-parole de la police. «Deux pièces ont été endommagées mais le feu a été éteint rapidement», a-t-il précisé. Certains dossiers auraient brûlé mais le préjudice n'était pas encore établi ce dimanche matin. Selon les premiers éléments de l'enquête personne ne se trouvait dans le bâtiment de la rédaction lorsque le feu a éclaté.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/allemagne-un-journal-qui-a-publie-des-caricatures-de-charlie-hebdo-incendie-11-01-2015-4436917.php
En colère contre sa compagne, il sort une batte et un fusil...
Il ne supporte visiblement pas la séparation avec son ex-compagne. Alcoolisé - 0,80 gr d'alcool dans le sang — il se rend, ce vendredi matin, au domicile de celle-ci situé au centre-ville de Tarbes. Il est armé d'une batte de base-ball. Il trouve son ex en compagnie d'un ami. Il porte plusieurs coups de batte de base-ball sur celui-ci et repart. Il revient peu de temps après avec un fusil de chasse. Il tire une fois mais pas en direction de son ex ni de con ami. Interpellé dans la foulée par la police il est placé en garde à vue au commissariat de Tarbes. Les enquêteurs perquisitionnent à son domicile et dans sa voiture sans découvrir d'autres armes. Le fusil et la batte de base-ball sont placés sous scellés. Il fait l'objet d'une a été présenté hier, à 16 heures, au parquet de Tarbes. Placé sous contrôle judiciaire, il fait l'objet d'une convocation en justice pour «Violence avec arme».
samedi 10 janvier 2015
Fausses armes de guerre en ville
Deux faits divers auraient pu hier très mal tourner sans le sang-froid des policiers du commissariat d'Albi. Le premier s'est déroulé dans le quartier de Cantepau. Un hôtelier a prévenu les forces de l'ordre à la vue de deux jeunes encapuchés et en possession de ce qui s'est avéré être de parfaites imitations d'armes de guerre de type M16, kalachnikov ou HK-MP5.
Une fois sur place, les policiers ont heureusement gardé leur calme et ont interpellé momentanément deux jeunes mineurs qui se baladaient avec des armes destinées à l'airsoft (jeux avec billes de peinture) vendues par un commerçant albigeois. Après vérification, les deux jeunes ont été relâchés mais une enquête est ouverte sur le gérant du magasin d'Airsoft qui a vendu de façon illégale ces imitations à ces mineurs.
Lorsque les policiers interviennent vers 15 heures, ils découvrent un arsenal impressionnant à savoir là encore des imitations plus vraies que nature de fusils-mitrailleurs kalachnikov, des HK-MP5 et des armes de poing dont trois Luger, tous factices.
À leur arrivée sur les lieux, dans le feu de l'action, les policiers ont menotté l'individu avant de finalement le relâcher.
«J'aimerais alerter la population sur le fait que, par les temps qui courent, il est fortement déconseillé d'exhiber des armes de guerre factices», a souligné hier le commandant Jean-Pierre Benoît du commissariat d'Albi.
Un appel au bons sens civique repris par la Fédération française d'airsoft dès après la tuerie de Charlie Hebdo.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/10/2025832-fausses-armes-de-guerre-en-ville.html
Une fois sur place, les policiers ont heureusement gardé leur calme et ont interpellé momentanément deux jeunes mineurs qui se baladaient avec des armes destinées à l'airsoft (jeux avec billes de peinture) vendues par un commerçant albigeois. Après vérification, les deux jeunes ont été relâchés mais une enquête est ouverte sur le gérant du magasin d'Airsoft qui a vendu de façon illégale ces imitations à ces mineurs.
Des fusils-mitrailleurs factices
Un second fait divers aurait également pu tourner au drame hier après-midi dans le quartier de la Madeleine. C'est sur un signalement donné par une dame qui dit voir vu un homme,pénétrer dans sa voiture avec une arme longue et une arme de poing, cette dernière renfermant en outre une bonbonne de gaz.Lorsque les policiers interviennent vers 15 heures, ils découvrent un arsenal impressionnant à savoir là encore des imitations plus vraies que nature de fusils-mitrailleurs kalachnikov, des HK-MP5 et des armes de poing dont trois Luger, tous factices.
À leur arrivée sur les lieux, dans le feu de l'action, les policiers ont menotté l'individu avant de finalement le relâcher.
«J'aimerais alerter la population sur le fait que, par les temps qui courent, il est fortement déconseillé d'exhiber des armes de guerre factices», a souligné hier le commandant Jean-Pierre Benoît du commissariat d'Albi.
Un appel au bons sens civique repris par la Fédération française d'airsoft dès après la tuerie de Charlie Hebdo.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/10/2025832-fausses-armes-de-guerre-en-ville.html
vendredi 9 janvier 2015
Prise d'otages dans une épicerie casher
Le tireur de Montrouge est soupçonné d'être impliqué dans une fusillade qui a éclaté vendredi près de la porte de Vincennes à Paris vers 13 heures, où une prise d'otages dans une épicerie casher est en cours, ont indiqué à l'AFP des sources proches du dossier.
"C'est le tireur de Montrouge", a affirmé l'une des sources. On ignorait dans l'immédiat si des personnes avaient été blessées dans la fusillade ni combien de personnes étaient retenues.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3210501/prise-dotages-dans-une-epicerie-casher.html
"C'est le tireur de Montrouge", a affirmé l'une des sources. On ignorait dans l'immédiat si des personnes avaient été blessées dans la fusillade ni combien de personnes étaient retenues.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3210501/prise-dotages-dans-une-epicerie-casher.html
Prise d'otages à Dammartin-en-Goële : "On a éteint les lumières et fermé les portes"
Témoignages - Tandis que les forces de l'ordre sont déployées à Dammartin-en-Goêle en Seine-et-Marne, plusieurs habitants joints par MYTF1News expliquent ce qu'il est en train de se passer dans leur commune de 8400 habitants.
« C'est au niveau de la nationale que ça se passe. Il y a des hélicoptères, on les voit au-dessus ». Laurence, habitante de Dammartin-en-Goêle est arrivée ce matin à la bibliothèque municipale George Sand où elle travaille. « On a tout éteint, tout fermé. J'ai appelé mon mari et ma fille et je leur ai dit de ne pas bouger », indique-t-elle avant de préciser ne pas avoir entendu de coups de feu.
Même confirmation à la mairie où l'on indique que toutes les écoles, au nombre de 4 ont été prévenues. « Tout le monde est confiné, nous avons appelé les établissements publics pour qu'ils ferment leurs portes ».
jeudi 8 janvier 2015
Le jeune anglais de 18 ans porté disparu à Val d'Isère a été retrouvé mort
Un jeune anglais avait été signalé disparu par ses amis le mardi 6 janvier à Val d'Isère, en Savoie. Les recherches entreprises n'ont dans un premier temps rien donné, mais, finalement, son corps a été trouvé ce mercredi lors d'un survol en hélicoptère
Les recherches ont d'abord été effectuées par voie terrestre par les gendarmes et les policiers municipaux de la station mais le jeune homme demeurait introuvable. C'est lors d'une reconnaissance aérienne, que l'hélicoptère du PGHM de Bourg-Saint-Maurice a aperçu le corps du jeune homme dans la rivière, entre la Daille et le lac du Chevril.
L'accident à la sortie d'une boîte de nuit, semble l'hypothèse la plus probable pour justifier ce drame.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/01/07/le-jeune-anglais-de-18-ans-porte-disparu-val-d-isere-retrouve-decede-626428.html
Les recherches ont d'abord été effectuées par voie terrestre par les gendarmes et les policiers municipaux de la station mais le jeune homme demeurait introuvable. C'est lors d'une reconnaissance aérienne, que l'hélicoptère du PGHM de Bourg-Saint-Maurice a aperçu le corps du jeune homme dans la rivière, entre la Daille et le lac du Chevril.
L'accident à la sortie d'une boîte de nuit, semble l'hypothèse la plus probable pour justifier ce drame.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/01/07/le-jeune-anglais-de-18-ans-porte-disparu-val-d-isere-retrouve-decede-626428.html
Rhône. Explosion près de la mosquée à Villefranche ce matin : la piste de l'attentat évoquée
"Je crains que ce soit lié à l'événement dramatique qui est survenu ce mercredi", le maire de Villefranche Bernard Perrut était sur place après l'explosion survenue près de la mosquée de Villefranche jeudi matin
Les pompiers sont intervenus à 6 heures au 249 rue de la quarantaine où la vitrine du snack situé dans le prolongement de la mosquée a été soufflée.
Il n'y a pas de blessé et selon nos premières informations, il ne s'agirait pas d'une fuite de gaz.
Le quartier a été bouclé par la police.
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/01/08/explosion-pres-de-la-mosquee-a-villefrance?preview=true
Les pompiers sont intervenus à 6 heures au 249 rue de la quarantaine où la vitrine du snack situé dans le prolongement de la mosquée a été soufflée.
Il n'y a pas de blessé et selon nos premières informations, il ne s'agirait pas d'une fuite de gaz.
Le quartier a été bouclé par la police.
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/01/08/explosion-pres-de-la-mosquee-a-villefrance?preview=true
mercredi 7 janvier 2015
Prostituée brûlée en Gironde : son ex mis en examen pour tentative d'assassinat
À l'issue de 48 heures de garde à vue dans les locaux de la brigade criminelle de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Bordeaux, le Bulgare de 22 ans soupçonné d'avoir délibérément incendié son ex-compagne, a été déféré au parquet, hier, mardi. Présenté à un juge d'instruction, il a été mis en examen pour tentative d'assassinat et devait être placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Gradignan dans la soirée. Le comparse qui conduisait la voiture a également été déféré. Il a été remis en liberté à l'issue. Les faits se sont produits dimanche matin sur l'aire de repos de l'Estalot, sur la RN 10, à Cubzac-les-Ponts. Une femme Bulgare de 26 ans était retrouvée grièvement brûlée aux jambes et aux bras.
L'information judiciaire ouverte par le parquet pour tentative d'assassinat devrait permettre de connaître les motivations de ce geste car, pour l'instant, l'auteur présumé nie.
http://www.sudouest.fr/2015/01/07/tentative-d-assassinat-1787847-2780.php
Il nie toujours
Après avoir été confrontés à différentes versions, les enquêteurs de la police judiciaire ont découvert qu'il s'agissait d'une agression commise par l'homme de 22 ans qui avait longtemps fréquenté la jeune femme, prostituée à Bordeaux. Il aurait acheté une bouteille d'eau à la boutique de la station-service de l'aire de repos puis il l'a vidée pour la remplir d'essence et asperger la victime avant de mettre le feu.L'information judiciaire ouverte par le parquet pour tentative d'assassinat devrait permettre de connaître les motivations de ce geste car, pour l'instant, l'auteur présumé nie.
http://www.sudouest.fr/2015/01/07/tentative-d-assassinat-1787847-2780.php
mardi 6 janvier 2015
Lille : un bus et une voiture Transpole visés par des tirs de répliques de Kalachnikov
Place Antoine Tacq, à Lille, ce lundi. Un véhicule léger Transpole et un bus reçoivent des tirs en pleine rue. Pas de blessés mais un véhicule est identifié et rapidement recherché par les hommes de la BAC.
Dans la soirée, à Loos, ils parviennent à interpeller une BMW bord à bord de laquelle se trouvent deux hommes de 25 et 30 ans. Ils sont contrôlés. Les policiers retrouvent dans leur véhicule une réplique de kalachnikov, de type airsoft (arme qui tire généralement des billes à air comprimé).
Rapidement, les deux hommes ont reconnu avoir utilisé cet arme en direction du bus et du véhicule Transpole. Ils ont été placés en garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/01/06/lille-un-bus-et-une-voiture-transpole-vises-par-des-tirs-de-repliques-de-kalachnikov-625200.html
Dans la soirée, à Loos, ils parviennent à interpeller une BMW bord à bord de laquelle se trouvent deux hommes de 25 et 30 ans. Ils sont contrôlés. Les policiers retrouvent dans leur véhicule une réplique de kalachnikov, de type airsoft (arme qui tire généralement des billes à air comprimé).
Rapidement, les deux hommes ont reconnu avoir utilisé cet arme en direction du bus et du véhicule Transpole. Ils ont été placés en garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/01/06/lille-un-bus-et-une-voiture-transpole-vises-par-des-tirs-de-repliques-de-kalachnikov-625200.html
«Merci pour ce moment» adapté au cinéma: Des proches de Hollande mécontents
«C'est un puits sans fond». Voilà comment un proche historique de Hollande qualifie ce mardi dans Le Parisien la démarche de Valérie Trierweiler, qui a donné hier l'autorisation à une société de production d'adapter son livre en film. Merci pour ce moment, tiré à plus de 730.000 exemplaires, continue de faire du bruit.
Le premier concerné, le président de la République, ne semble pas avoir accueilli d'un bon oeil cette annonce. Apprenant la nouvelle hier après-midi par voie de presse, François Hollande aurait été «blasé» par cette annonce, rapporte un de ses proches au Parisien, même si un autre reconnaît qu'«il a un moral d'acier, une résistance absolue».
Sur le film à proprement parler, plusieurs proches ne sont pas non plus tendres avec le film à venir. «J'attends de voir, il n'est pas encore sorti. Celui sur DSK n'a pas marché. Comme disait Chirac, ça va faire pschitt!», veut croire un vieux copain du président.
Réponse... après 2017. Le scénario du film, en cours d'écriture, devrait être ensuite proposé à des producteurs. «Pour éviter toute ambiguïté, le film sortira après l'élection présidentielle de 2017. (...) Le but n'est pas de nuire à qui que ce soit», promet la réalisatrice Saïda Jawad, à l'origine du projet de film.
Le président et ses proches ne remercieront certainement pas la réalisatrice et Valérie Trierweiler pour ce (futur) moment.
http://www.20minutes.fr/politique/1510651-20150106-merci-moment-adapte-cinema-proches-hollande-mecontents
Le premier concerné, le président de la République, ne semble pas avoir accueilli d'un bon oeil cette annonce. Apprenant la nouvelle hier après-midi par voie de presse, François Hollande aurait été «blasé» par cette annonce, rapporte un de ses proches au Parisien, même si un autre reconnaît qu'«il a un moral d'acier, une résistance absolue».
«Se faire du fric»
D'autres personnes de l'entourage du président sont beaucoup moins tendres avec l'ex-première dame. L'un voit dans cette production cinématographique un moyen pour Valérie Trierweiler «de se faire du fric». Un autre pronostique qu'elle finira certainement «riche» mais «toute seule».Sur le film à proprement parler, plusieurs proches ne sont pas non plus tendres avec le film à venir. «J'attends de voir, il n'est pas encore sorti. Celui sur DSK n'a pas marché. Comme disait Chirac, ça va faire pschitt!», veut croire un vieux copain du président.
«Le scoop, ç'aurait été qu'elle demande à Julie Gayet de jouer son propre rôle!»
Quant à l'actrice qui pourrait incarner Valérie Trierweiler au cinéma, le suspense reste total. Quand les lecteurs de 20 Minutes voient Isabelle Huppert ou Emmanuelle Devos dans ce rôle, un ami du président ironise: «Le scoop, ç'aurait été qu'elle demande à Julie Gayet de jouer son propre rôle!»Réponse... après 2017. Le scénario du film, en cours d'écriture, devrait être ensuite proposé à des producteurs. «Pour éviter toute ambiguïté, le film sortira après l'élection présidentielle de 2017. (...) Le but n'est pas de nuire à qui que ce soit», promet la réalisatrice Saïda Jawad, à l'origine du projet de film.
Le président et ses proches ne remercieront certainement pas la réalisatrice et Valérie Trierweiler pour ce (futur) moment.
http://www.20minutes.fr/politique/1510651-20150106-merci-moment-adapte-cinema-proches-hollande-mecontents
Deux étudiants alcoolisés interpellés pour vandalisme
Avaient-ils décidé de prolonger le Nouvel An ?
Toujours est-il que ces deux étudiants de l'IUT de Figeac, âgés de 18 et 20 ans, auront achevé leurs festivités dans la cellule de dégrisement de la brigade de gendarmerie de Figeac.
Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 heures du matin, ces deux jeunes fortement alcoolisés ont été signalés par des témoins alors qu'ils brisaient la vitrine de la pharmacie, rue Caviale, et cassaient des rétroviseurs de trois véhicules stationnés en centre-ville de Figeac.
Alertée, une patrouille de gendarmerie les a contrôlés à proximité des véhicules dégradés, avant de les interpeller.
Ils n'ont opposé aucune résistance et ne sont pas connus des services de la gendarmerie.
Ces jeunes auteurs présumés, qui ne sont pas originaires des environs, auront à répondre de leurs actes devant la justice.
Rappelons qu'exceptés ces dégradations et le feu de poubelles, les fêtes de fin d'année et du Nouvel An se sont bien passées dans le Figeacois.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/06/2023332-deux-etudiants-alcoolises-interpelles-pour-vandalisme.html
Toujours est-il que ces deux étudiants de l'IUT de Figeac, âgés de 18 et 20 ans, auront achevé leurs festivités dans la cellule de dégrisement de la brigade de gendarmerie de Figeac.
Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 heures du matin, ces deux jeunes fortement alcoolisés ont été signalés par des témoins alors qu'ils brisaient la vitrine de la pharmacie, rue Caviale, et cassaient des rétroviseurs de trois véhicules stationnés en centre-ville de Figeac.
Alertée, une patrouille de gendarmerie les a contrôlés à proximité des véhicules dégradés, avant de les interpeller.
Ils n'ont opposé aucune résistance et ne sont pas connus des services de la gendarmerie.
Ces jeunes auteurs présumés, qui ne sont pas originaires des environs, auront à répondre de leurs actes devant la justice.
Rappelons qu'exceptés ces dégradations et le feu de poubelles, les fêtes de fin d'année et du Nouvel An se sont bien passées dans le Figeacois.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/06/2023332-deux-etudiants-alcoolises-interpelles-pour-vandalisme.html
lundi 5 janvier 2015
Meurtre de la Penne: "André s'est trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment"
André Vidor, un père de famille de 50 ans, a été tué par balles alors qu'il roulait tranquillement sur une route de l'arrière-pays de Nice. Originaires du Nord, ses proches témoignent aujourd'hui dans Nice Matin, minés par le chagrin.
A la douleur de perdre un être cher s'ajoute l'absurdité de ce crime inexplicable. Son seul tort selon ses proches: "avoir croisé la route d'un désaxé"."André s'est trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. C'est à peine croyable ce qu'il lui est arrivé".
>> La Penne: le rescapé du double accident poursuivi pour meurtre
Selon les premiers éléments de l'enquête, le meurtrier présumé, un artisan, mécontent de ne pas être secouru après un accident, aurait fait feu à quatre reprises sur André Vidor qui roulait tranquillement au volant de sa Fiat.
http://www.nicematin.com/vallees/meurtre-de-la-penne-andre-sest-trouve-au-mauvais-endroit-au-mauvais-moment.2051655.html
A la douleur de perdre un être cher s'ajoute l'absurdité de ce crime inexplicable. Son seul tort selon ses proches: "avoir croisé la route d'un désaxé"."André s'est trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. C'est à peine croyable ce qu'il lui est arrivé".
>> La Penne: le rescapé du double accident poursuivi pour meurtre
Selon les premiers éléments de l'enquête, le meurtrier présumé, un artisan, mécontent de ne pas être secouru après un accident, aurait fait feu à quatre reprises sur André Vidor qui roulait tranquillement au volant de sa Fiat.
http://www.nicematin.com/vallees/meurtre-de-la-penne-andre-sest-trouve-au-mauvais-endroit-au-mauvais-moment.2051655.html
dimanche 4 janvier 2015
Un automobiliste meurt percuté par un TER
Un homme d'une cinquantaine d'années est décédé samedi lorsque son véhicule a été percuté par un TER à Portet-sur-Garonne, dans la périphérie de Toulouse. Les gendarmes privilégient la thèse d'un suicide.
L'accident s'est déroulé vers 13 heures: le véhicule de la victime se trouvait sur la voie ferrée au moment du passage d'un TER assurant la liaison Toulouse-Tarbes (Hautes-Pyrénées) et qui l'a percuté de plein fouet.
La SNCF avait dû mettre en place des cars de substitution pour permettre à une centaine d'usagers de finir leur trajet, avant que le trafic ne reprenne sur la ligne en milieu d'après-midi
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/03/97001-20150103FILWWW00133-un-automobiliste-meurt-percute-par-un-ter.php
L'accident s'est déroulé vers 13 heures: le véhicule de la victime se trouvait sur la voie ferrée au moment du passage d'un TER assurant la liaison Toulouse-Tarbes (Hautes-Pyrénées) et qui l'a percuté de plein fouet.
La SNCF avait dû mettre en place des cars de substitution pour permettre à une centaine d'usagers de finir leur trajet, avant que le trafic ne reprenne sur la ligne en milieu d'après-midi
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/03/97001-20150103FILWWW00133-un-automobiliste-meurt-percute-par-un-ter.php
samedi 3 janvier 2015
Essonne : l'enterrement d'un bébé Rom refusé à Champlan
Sur décision de la mairie, le nourrisson, décédé il y a huit jours et dont les parents vivent au bidonville, ne pourra reposer au cimetière communal. Il sera inhumé lundi à Wissous.
Elle s'appelait Maria Francesca. Maria comme sa grand-mère, et Francesca comme la France, où elle est née et reposera, même si ce n'est pas dans la ville où elle aura vécu sa courte vie. La petite fille, née à Longjumeau en octobre et dont les parents vivent depuis plus d'un an dans le bidonville de Champlan, a été victime dans la nuit du 25 au 26 décembre de la mort subite du nourrisson, constatée à l'hôpital de Corbeil où elle avait été transportée par les secours.
Les parents endeuillés souhaitaient faire enterrer leur bébé à Champlan, là où sont aussi scolarisés leurs deux fils. Une volonté qui leur a été refusée mercredi par la mairie.
« La famille voulait une inhumation à Champlan car elle y est installée. Elle est chrétienne, très pieuse et voulait pouvoir se recueillir tous les jours. Nous avons donc fait une demande classique auprès de la mairie de Champlan. Mais elle m'a rappelé pour me dire qu'elle était refusée », raconte Julien Guenzi, nouveau gérant des pompes funèbres l'Escarcelle à Corbeil, chargé de l'enterrement qui se déroulera lundi matin à Wissous, après une cérémonie religieuse à l'église Saint-Paul de Massy.
« Nous avons peu de places disponibles. Nous avons un projet d'agrandissement sur le champ de derrière, mais il coûte plusieurs milliers d'euros. Il nous faut gérer les places au cas par cas, selon les circonstances, et si la famille habite sur place, justifiait mercredi Christian Leclerc, le maire (DVD) de Champlan. Les concessions sont accordées à un prix symbolique et l'entretien coûte cher alors priorité est donnée à ceux qui paient leurs impôts locaux. »
Une réaction que les associatifs qui œuvrent auprès de cette communauté rom d'une trentaine de familles ne comprennent pas. « C'est ignoble. On ne peut refuser à des parents un carré de terre pour enterrer leur bébé, c'est du jamais-vu ! s'insurge Eve Desjardins, de l'association Citoyens solidaires écologistes de Wissous. Ils ont déjà vécu des drames et ils sont en voie d'expulsion. » Elle a contacté mercredi le maire de Wissous, qui a accepté l'inhumation, dont les frais seront pris en charge par la famille, épaulée par les associations.
« Je suis surpris qu'on ait refusé l'inhumation. J'ai accepté pour ce petit enfant rom comme je l'aurai fait pour n'importe qui, car toute personne a droit à une sépulture décente, confiait hier Richard Trinquier, maire (UMP) de Wissous et médecin. Je connais la mère endeuillée car je l'ai soignée. Il ne faut pas rajouter de la peine inutile à la détresse d'une maman qui perd son bébé, car c'est terrible. »
Une décision que Marie-Hélène Brelaud, de l'Association de solidarité en Essonne avec les familles roumaines et roms (Asefrr), a fini par avouer aux parents qu'elle voit presque tous les jours. « Ils sont déjà très tristes, abattus. Il n'y a pas de mot pour dire toute l'horreur de cette décision, qui montre qu'on ne supporte les Roms ni quand ils vivent ni même quand ils sont morts, s'indigne-t-elle. La veille du décès, ma fille, infirmière, avait vu le bébé, qui allait bien. C'était une très belle petite fille, de 3,7 kg à la naissance, vive, jolie. Sa mère remerciait Dieu d'avoir enfin eu une fille. »
http://www.leparisien.fr/essonne-91/essonne-l-enterrement-d-un-bebe-rom-refuse-a-champlan-03-01-2015-4416633.php
Elle s'appelait Maria Francesca. Maria comme sa grand-mère, et Francesca comme la France, où elle est née et reposera, même si ce n'est pas dans la ville où elle aura vécu sa courte vie. La petite fille, née à Longjumeau en octobre et dont les parents vivent depuis plus d'un an dans le bidonville de Champlan, a été victime dans la nuit du 25 au 26 décembre de la mort subite du nourrisson, constatée à l'hôpital de Corbeil où elle avait été transportée par les secours.
Les parents endeuillés souhaitaient faire enterrer leur bébé à Champlan, là où sont aussi scolarisés leurs deux fils. Une volonté qui leur a été refusée mercredi par la mairie.
« La famille voulait une inhumation à Champlan car elle y est installée. Elle est chrétienne, très pieuse et voulait pouvoir se recueillir tous les jours. Nous avons donc fait une demande classique auprès de la mairie de Champlan. Mais elle m'a rappelé pour me dire qu'elle était refusée », raconte Julien Guenzi, nouveau gérant des pompes funèbres l'Escarcelle à Corbeil, chargé de l'enterrement qui se déroulera lundi matin à Wissous, après une cérémonie religieuse à l'église Saint-Paul de Massy.
« Nous avons peu de places disponibles. Nous avons un projet d'agrandissement sur le champ de derrière, mais il coûte plusieurs milliers d'euros. Il nous faut gérer les places au cas par cas, selon les circonstances, et si la famille habite sur place, justifiait mercredi Christian Leclerc, le maire (DVD) de Champlan. Les concessions sont accordées à un prix symbolique et l'entretien coûte cher alors priorité est donnée à ceux qui paient leurs impôts locaux. »
Une réaction que les associatifs qui œuvrent auprès de cette communauté rom d'une trentaine de familles ne comprennent pas. « C'est ignoble. On ne peut refuser à des parents un carré de terre pour enterrer leur bébé, c'est du jamais-vu ! s'insurge Eve Desjardins, de l'association Citoyens solidaires écologistes de Wissous. Ils ont déjà vécu des drames et ils sont en voie d'expulsion. » Elle a contacté mercredi le maire de Wissous, qui a accepté l'inhumation, dont les frais seront pris en charge par la famille, épaulée par les associations.
« Je suis surpris qu'on ait refusé l'inhumation. J'ai accepté pour ce petit enfant rom comme je l'aurai fait pour n'importe qui, car toute personne a droit à une sépulture décente, confiait hier Richard Trinquier, maire (UMP) de Wissous et médecin. Je connais la mère endeuillée car je l'ai soignée. Il ne faut pas rajouter de la peine inutile à la détresse d'une maman qui perd son bébé, car c'est terrible. »
Une décision que Marie-Hélène Brelaud, de l'Association de solidarité en Essonne avec les familles roumaines et roms (Asefrr), a fini par avouer aux parents qu'elle voit presque tous les jours. « Ils sont déjà très tristes, abattus. Il n'y a pas de mot pour dire toute l'horreur de cette décision, qui montre qu'on ne supporte les Roms ni quand ils vivent ni même quand ils sont morts, s'indigne-t-elle. La veille du décès, ma fille, infirmière, avait vu le bébé, qui allait bien. C'était une très belle petite fille, de 3,7 kg à la naissance, vive, jolie. Sa mère remerciait Dieu d'avoir enfin eu une fille. »
http://www.leparisien.fr/essonne-91/essonne-l-enterrement-d-un-bebe-rom-refuse-a-champlan-03-01-2015-4416633.php
vendredi 2 janvier 2015
L'alcool au volant à l'origine d'accidents près de Rouen
Malgré les consignes de prudence, la nuit du nouvel an a été bien remplie pour les équipes de police de l'agglomération rouennaise et s'est mal terminée pour certains automobilistes
La patrouille décide alors de procéder à un contrôle et démarre pour suivre le curieux petit véhicule.
Mais en arrivant rue Tilloy, les policiers voient la voiturette faire une embardée et emboutir une voiture en stationnement (une Renault Laguna garée le long du trottoir).
En s'approchant, les fonctionnaires vont découvrir qu'il n'y a pas que le pare brise de la voiturette qui est givré ! Le conducteur, une fois descendu de son engin a du mal à se tenir debout, il titube, sent l'alcool et tient des propos répétitifs. Une alcoolémie qui sera mesurée à 2,40 grammes d'alcool par litre de sang…
Interpellé, cet homme âgé de 43 ans et habitant Sotteville, a été ramené à l'hôtel de police pour dégrisement avant audition.
C'est alors que plusieurs personnes leur désignent un jeune homme comme étant le conducteur de la voiture accidentée. Un jeune qui s'enfuit rapidement en courant. Poursuivi et rattrapé au moment où il tentait d'escalader un portail il a été interpellé. Il s'agit d'un habitant de Saint-Etienne du Rouvray âgé de 19 ans, porteur d'outils (tournevis et clé à pipe) et contrôlé comme étant alcoolisé. Ramené à l'hôtel de police il a été placé en garde à vue pour vol de voiture, conduite sous l'emprise d'état alcoolique, défaut de permis et défaut de maîtrise.
Une Peugeot 4007 qui se rapproche et ralentit au dernier moment avant finalement de heurter l'arrière de la voiture de police ! S'il n'y a pas de dégâts ni de victime, en revanche le conducteur est en parfait état d'ivresse…
Contrôlé à 1,60 gramme, cet habitant de Rouen âgé de 34 ans devra répondre de défaut de maîtrise de son véhicule, de défaut de permis et de conduite sous l'emprise de l'alcool.
Un homme à casquette qui lance un projectile qui atterrit sur le capot de la voiture de police. Le groupe prend aussitôt la fuite, mais l'homme à la casquette s'arrête, se retrouve isolé et est finalement arrêté. Agé de 22 ans cet habitant de Petit-Quevilly est alcoolisé et sera ramené à l'hôtel de police pour dégrisement avant d'être placé en garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2015/01/02/l-alcool-au-volant-l-origine-d-accidents-pres-de-rouen-622992.html
Le pare brise complètement givré
A 23h, mercredi dernier, alors qu'il ne reste qu'une heure pour profiter de l'année 2014, une patrouille de Police Secours est arrêtée à un feu rouge de l'avenue du 14 juillet à Sotteville-lès-Rouen. Tout semble calme. Mais soudain les policiers voient arriver en face d'eux une voiturette qui roule tous feux éteints et dont le pare brise est complètement givré ! Devant les policiers médusés, la voiture sans-permis passe le feu et tourne dans une rue perpendiculaire.La patrouille décide alors de procéder à un contrôle et démarre pour suivre le curieux petit véhicule.
Mais en arrivant rue Tilloy, les policiers voient la voiturette faire une embardée et emboutir une voiture en stationnement (une Renault Laguna garée le long du trottoir).
En s'approchant, les fonctionnaires vont découvrir qu'il n'y a pas que le pare brise de la voiturette qui est givré ! Le conducteur, une fois descendu de son engin a du mal à se tenir debout, il titube, sent l'alcool et tient des propos répétitifs. Une alcoolémie qui sera mesurée à 2,40 grammes d'alcool par litre de sang…
Interpellé, cet homme âgé de 43 ans et habitant Sotteville, a été ramené à l'hôtel de police pour dégrisement avant audition.
Le voleur de voiture défonce une clôture
Un peu plus tard, vers 1h10 du matin (nous sommes donc le 1er janvier et déjà en 2015) c'est dans une autre rue de Sotteville-lès-Rouen que la police est appelée pour un vol de voiture en cours. Quand un équipage de la BAC arrive rue de Stalingrad, un attroupement s'est formé autour d'une Ford Festia encastrée dans la clôture d'une habitation. Les policiers s'arrêtent, descendent de voiture et s'approchent.C'est alors que plusieurs personnes leur désignent un jeune homme comme étant le conducteur de la voiture accidentée. Un jeune qui s'enfuit rapidement en courant. Poursuivi et rattrapé au moment où il tentait d'escalader un portail il a été interpellé. Il s'agit d'un habitant de Saint-Etienne du Rouvray âgé de 19 ans, porteur d'outils (tournevis et clé à pipe) et contrôlé comme étant alcoolisé. Ramené à l'hôtel de police il a été placé en garde à vue pour vol de voiture, conduite sous l'emprise d'état alcoolique, défaut de permis et défaut de maîtrise.
Il percute la voiture de police
Toujours le 1er janvier 2015, mais à 4h30 du matin, c'est à Rouen, qu'une patrouille de police circule avenue de Caen. Dans son rétroviseur le conducteur voit arriver derrière lui une voiture qui roule à vive allure.Une Peugeot 4007 qui se rapproche et ralentit au dernier moment avant finalement de heurter l'arrière de la voiture de police ! S'il n'y a pas de dégâts ni de victime, en revanche le conducteur est en parfait état d'ivresse…
Contrôlé à 1,60 gramme, cet habitant de Rouen âgé de 34 ans devra répondre de défaut de maîtrise de son véhicule, de défaut de permis et de conduite sous l'emprise de l'alcool.
Il vise des policiers
Plus tard dans la journée du 1er janvier, vers 18h30, c'est dans une rue de Petit Quevilly, le long de la voie de tramway, qu'en passant près de la station Saint-Julien, une patrouille de police repère un groupe de plusieurs individus. En progressant le long de la rue Martial Spinneweber, leur voiture est alors prise pour cible par un des individus.Un homme à casquette qui lance un projectile qui atterrit sur le capot de la voiture de police. Le groupe prend aussitôt la fuite, mais l'homme à la casquette s'arrête, se retrouve isolé et est finalement arrêté. Agé de 22 ans cet habitant de Petit-Quevilly est alcoolisé et sera ramené à l'hôtel de police pour dégrisement avant d'être placé en garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2015/01/02/l-alcool-au-volant-l-origine-d-accidents-pres-de-rouen-622992.html
A pleine vitesse, il passe le volant à sa femme pour échapper aux gendarmes !
Flashé à 184 km/h sur l'autoroute A7, un conducteur sans permis a voulu échapper à l'amende en passant le volant à sa femme alors qu'il conduisait à pleine vitesse.
Ce n'est pas moi, c'est elle ! Les gendarmes de la Drôme n'en n'ont pas cru leurs yeux lorsqu'ils ont arrêté un véhicule flashé à 184 km/h sur l'autoroute A7 mercredi dernier à hauteur de Pont de l'Isère. Quelques minutes auparavant, ils avaient rattrapé le véhicule contrevenant sur l'autoroute afin de lui demander de s'arrêter, révèle France Bleu. A ce moment, c'est l'homme qui est au volant. Mais subitement, la voiture ralentit et laisse les motards à distance
Intrigués, les gendarmes demandent au véhicule de stopper sa course sur la bande d'arrêt d'urgence. A bord, l'homme est alors en train de boucler sa ceinture... à la place du passager. Il venait d'intervertir sa position avec celle de sa femme qui se trouvait, du coup, au volant.
Selon France Bleu, il aurait reculé son fauteuil et activé son régulateur de vitesse afin d'accomplir cette manœuvre périlleuse. La conductrice a pu reprendre le volant (qu'elle avait déjà). Le mari, lui, sera convoqué ultérieurement devant un tribunal pour grand excès de vitesse et défaut de permis !
Gare de Lille : un bébé de trois mois meurt dans les bras de sa mère
Un nourrisson de trois mois est mort ce jeudi 1er janvier, vers 13 h 10, à la gare de Lille-Flandres.
Les causes du décès restent à éclaircir, mais on sait que la fillette était avec sa mère qui faisait la manche, lorsqu'elle a été victime d'un arrêt cardiaque.
D'après plusieurs témoins, les hommes de la police ferroviaire sont intervenus pour tenter sauver le bébé avant de passer le relais aux pompiers et au SAMU qui ont procédé en vain à un long massage cardiaque.
À la mi-journée, la température ressentie dans la gare, non chauffée, ne dépassait pas 5º C.
Une enquête de police devrait être menée pour déterminer les causes exactes de la mort du bébé.
Une autopsie pourrait également être demandée par le parquet. Si la piste de l'hypothermie est évoquée, rien ne permet pour l'heure d'affirmer que c'est le froid qui a tué le nourrisson.
«On ne peut pas écarter une autre cause comme une malformation cardiaque», a fait savoir l'un des secouristes qui a vainement tenté de réanimer la fillette.
La maman, très choquée, a été prise en charge par un médecin.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/02/2021998-lille-le-bebe-decede-dans-la-gare.html
Les causes du décès restent à éclaircir, mais on sait que la fillette était avec sa mère qui faisait la manche, lorsqu'elle a été victime d'un arrêt cardiaque.
D'après plusieurs témoins, les hommes de la police ferroviaire sont intervenus pour tenter sauver le bébé avant de passer le relais aux pompiers et au SAMU qui ont procédé en vain à un long massage cardiaque.
À la mi-journée, la température ressentie dans la gare, non chauffée, ne dépassait pas 5º C.
Une enquête de police devrait être menée pour déterminer les causes exactes de la mort du bébé.
Une autopsie pourrait également être demandée par le parquet. Si la piste de l'hypothermie est évoquée, rien ne permet pour l'heure d'affirmer que c'est le froid qui a tué le nourrisson.
«On ne peut pas écarter une autre cause comme une malformation cardiaque», a fait savoir l'un des secouristes qui a vainement tenté de réanimer la fillette.
La maman, très choquée, a été prise en charge par un médecin.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/02/2021998-lille-le-bebe-decede-dans-la-gare.html
jeudi 1 janvier 2015
RHÔNE. Mornant : deux hommes fauchés par une voiture folle
Mercredi 31 décembre aux alentours de 17 heures, le conducteur d’une voiture a perdu le contrôle de son véhicule. Il a fini sa route dans une porte de l’espace culturel Jean-Carmet après avoir percuté deux jeunes hommes. Selon les secours, leur pronostic vital n’était pas engagé au moment où ils ont été évacués à l’hôpital Lyon-Sud. Les raisons de cette perte de contrôle restaient indéterminées ce mercredi en fin d’après-midi alors que le chauffeur, âgé d’une vingtaine d’années, était en garde à vue
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/12/31/mornant-deux-hommes-fauches-par-une-voiture-folle
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