lundi 29 avril 2013

Je reviens

Je reviens dès que j'ai ma nouvelle connexion après mon déménagement ...
Attendez moi et revenez nombreux nous lire
A bientôt j'espère !!!

Gironde : une voiture percute un enfant de 3 ans

Samedi en début d’après-midi, un enfant de trois ans qui se promenait avec ses parents dans les rues de Sainte-Foy, s’est échappé de la main de sa mère pour traverser la rue Victor Hugo.
Une voiture qui circulait à faible allure n’a malheureusement pas pu l’éviter : l’enfant s’est retrouvé coincé contre la roue avant du véhicule. Les parents n’ont pas attendu les secours et l’ont transporté à pied à l’hôpital.

Souffrant de multiples fractures, le petit garçon a été évacué par hélicoptère vers leTripode à Bordeaux. Ses jours ne sont pas en danger. Quant à la conductrice, une foyenne de 30 ans, elle a aussi été envoyée aux urgences, très choquée par l’accident.

http://www.sudouest.fr/2013/04/27/gironde-une-voiture-percute-un-enfant-de-3-ans-1038217-3097.php

dimanche 28 avril 2013

Un automobiliste dans le coma après avoir percuté un lampadaire

Hier soir, vers 21 h 30, un très grave accident de la circulation s'est produit rue Pasteur à Saint-Brice-Courcelles, au niveau des transports Durand.
Seul à bord d'une Renault Mégane, un jeune nomade sédentarisé qui circulait en direction de Reims s'est déporté et a percuté un lampadaire.
Les pneus ont éclaté sous la violence du choc. A l'arrivée des pompiers, l'automobiliste gisait à terre, éjecté, un pied coincé sous la voiture, tandis que plusieurs de ses proches affluaient des environs, pour former bientôt un cercle d'au moins trente personnes autour du véhicule.
Réanimation houleuse
Le jeune homme était en arrêt cardiaque. Après avoir dégagé sa jambe, les pompiers et l'antenne mobile du Samu ont commencé les soins de réanimation, non sans difficulté car dans le même temps, il fallait calmer les esprits surchauffés autour d'eux.
Les protocoles de réanimation imposent de cesser les massages un court instant pour permettre aux appareils d'enregistrer des paramètres. Fureur de l'assistance qui a interprété cette pause comme un arrêt des soins.
Finalement, malgré ce contexte anxiogène, les sauveteurs ont réussi à faire repartir le cœur de l'automobiliste qu'ils ont ensuite évacué vers le CHU, escortés de trois véhicules de police pour sécuriser l'arrivée aux urgences.
Son état reste cependant préoccupant (il est dans le coma). Les causes de l'accident restent à déterminer. Une enquête a été ouverte par le commissariat de Reims.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-automobiliste-dans-le-coma-apres-avoir-percute-un-lampadaire

Ardèche : un gendarme grièvement blessé par un sabre japonais

Un gendarme a été gravement blessé dimanche matin à La Voulte-sur Rhône (Ardèche) par un sabre japonais alors qu'il tentait de maîtriser un individu.
Un gendarme a été gravement blessé dimanche matin à La Voulte-sur Rhône (Ardèche) par un sabre japonais alors qu'il tentait de maîtriser un individu. L'information est révélée par France Bleu Drôme Archèche.

Selon la radio, ce gendarme intervenait avec un collègue dans la nuit à la suite d'un tapage nocturne dans un appartement où se trouvaient deux hommes. A l'arrivée des gendarmes, il s'est révélé que l'un des deux était agressif et ivre.

Intervenant dans l'obscurité, les gendarmes ont tenté de l'interpeller. Menaçant, l'homme sort un katana -sabre japonais symbole de la caste des samouraïs- de son fourreau. Selon la préfecture il sectionne alors une artère de la main de l'un des deux gendarmes. Ce dernier a été hospitalisé à Privas, mais le pronostic vital n'est pas engagé.

Le parquet a ouvert deux procédures contre l'agresseur qui a été interpellé : la première concernant le différent entre les deux individus, la deuxième pour tentative d'homicide contre un agent de la force publique.
 

Hérault : un commerçant affiche l’identité de son escroc

Parce qu’il se retrouve avec quatre chèques sans provisions, signés par un même client pour un montant total de 3 102,66 €, un commerçant du centre commercial Trifontaine, à Saint-Clément-de-Rivière, a décidé de passer à l'action.
C’est une réaction de colère. L’expression d’un ras-le-bol auquel sont confrontés de nombreux commerçants. Parce qu’il se retrouve avec quatre chèques sans provisions, signés par un même client pour un montant total de 3 102,66 €, un commerçant du centre commercial Trifontaine, à Saint-Clément-de-Rivière, près de Montpellier, a décidé de donner l’identité de son auteur.
"Le voleur du mois"

Juste devant la caisse, Gilbert Posadas, gérant de l’enseigne Creas, spécialisée dans les produits électroménagers discount, a affiché la photocopie de la carte d’identité et du permis de conduire du jeune homme de 21 ans à l’origine de son ire. Juste à côté, une autre photocopie, celle des quatre chèques, édités par deux banques différentes et rejetés par celles-ci pour défaut de provision des comptes du jeune homme. Le tout sous une têtière écrite en grosses lettres rouges : "Le voleur du mois".
"Interdit. Je m'en fous"
"Je sais qu’il est interdit de procéder de la sorte. Je m’en fous, puisque ça fait quinze ans que je fais comme ça. Au moins, ça décourage ceux qui sont tentés de faire comme ce jeune homme", explique le commerçant. La mésaventure a tout d’un plan bien préparé. "Le client est venu une première fois faire les repérages. Puis, il est revenu une deuxième fois acheter les articles, en les payant mais en ne les emportant pas. Ça nous a mis en confiance. Il est revenu trois jours plus tard les récupérer. Il devait savoir qu’un chèque déposé n’est traité que dans un délai de deux à trois semaines. C’est en tout cas au bout de ce temps-là que les banques nous ont renvoyé les chèques."
Secret bancaire
S’il a choisi d’agir de la sorte, c’est aussi parce qu’il entend dénoncer ce qu’il considère comme des "aberrations" les procédures administratives à engager pour récupérer son dû. "Nous avons saisi les banques du client qui ont refusé de nous dire si les comptes étaient ou pas approvisionnés. Elles se sont réfugiées derrière le secret bancaire. Nous sommes allés déposer une plainte auprès de la gendarmerie de Saint-Gély-du-Fesc. Ça a pris plus de deux heures. On a vraiment l’impression que les emmerdeurs, c’est nous."
Il reste maintenant à la justice, saisie, à répondre à la sollicitation de l’enseigne commerciale.

http://www.midilibre.fr/2013/04/27/un-commercant-affiche-l-identite-de-son-escroc,687135.php

samedi 27 avril 2013

Assassinat du président du parc naturel de Corse : trois impacts dans la tête

L'autopsie pratiquée samedi a permis de déterminer que le président du parc naturel régional de Corse, Jean-Luc Chiappini, exécuté jeudi à Ajaccio, a été atteint de plusieurs balles sur le côté gauche de la tête.
L'autopsie pratiquée samedi a permis de déterminer que le président du parc naturel régional de Corse, Jean-Luc Chiappini, exécuté jeudi à Ajaccio, a été atteint de plusieurs balles, a indiqué le parquet. Trois impacts ont été relevés à la tête côté gauche faits avec une arme de type revolver 357 magnum ou 38 spécial, a-t-il précisé.
L'affaire a été confiée à la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille où une information sera ouverte prochainement. La Jirs, chargée des dossiers de criminalité organisée, est déjà saisie de nombreux dossiers d'homicides en Corse. Maire depuis 1977 du petit village de Letia, en Corse-du-Sud, président de l'intercommunalité des Deux Sorru, et président du Parc naturel régional de la Corse (PRNC), Jean-Luc Chiappini est la dixième personne assassinée en Corse depuis le début de l'année 2013.
 

Lons (64) : le patron d'un hôtel et son épouse mis en examen pour proxénétisme hôtelier

Le patron de l'hôtel Première Classe de Lons, une commune de l'agglomération de Pau, et son épouse ont été mis en examen, ce samedi, pour « proxénétisme hôtelier » et placés sous contrôle judiciaire.
Une troisième personne, un jeune homme de nationalité roumaine âgé de 23 ans, a été mis en examen pour proxénétisme et placé en détention provisoire.

Ces mises en examen font suite à une série d'interpellations par les policiers de la Sûreté départementale de Pau, jeudi et vendredi. Neuf ont été arrêtées dans l'hôtel lonsois : l'homme de 23 ans et huit jeunes femmes, de nationalités roumaine et brésilienne.
Les gérants de l'établissement ont été interpellés chez eux, vendredi matin. « Ils sont suspectés d'avoir toléré que de la prostitution se déroule dans leur établissement », indique le parquet.
Des accusations que les hôteliers « contestent fermement », indique leur avocate Me Mazza. Les investigations se poursuivent

http://www.sudouest.fr/2013/04/27/lons-64-le-patron-d-un-hotel-et-son-epouse-mis-en-examen-pour-proxenetisme-hotelier-1038184-4252.php

Doubs : le mystère des pièces d’or

« Statistiquement, c’est très problématique », lance le président Martin-Saint-Léon avant d’égrainer les improbabilités de cette affaire. À savoir ? Un Kosovar de 24 ans, hébergé chez son frère à Dijon, contacté dans un café par un inconnu qui l’emmène à Besançon commettre un cambriolage et qui, bingo ! tombe sur une maison dans laquelle se trouve une collection de pièces d’une valeur de plus de 170.000 €.
Qui plus est, comble du hasard, ce soir-là, les propriétaires, en retard pour se rendre au théâtre avaient omis d’enclencher le système d’alarme et laissé la clé dans la serrure de la porte blindée du bureau où se trouvait le coffre-fort recelant la collection de pièces d’or.
Lors des faits, commis dans la nuit du 23 au 24 mars2012, les lieux avaient été minutieusement nettoyés avec un produit effaçant les empreintes. Mais les enquêteurs avaient dégoté derrière un meuble le marteau ayant servi à fracturer le coffre-fort. Un an après, l’ADN avait parlé et permis de confondre le jeune Kosovar mis en cause, Valon Xhemajli (notre édition du 27/03/2013).

« En assurant ses biens, on les déclare, mais en les déclarant, on s’expose aussi ! »

Le voici devant les juges. Qui réitère sa version du type « à l’accent albanais » qui l’a accosté dans un bar dijonnais, lui a proposé d’« aller voir des filles à Besançon » et qui chemin faisant lui a fait les gros yeux et a pris sa grosse voix pour le « contraindre » à commettre le fameux cambriolage.
Une version qu’il a déjà servie aux enquêteurs devant lesquels il a commencé par nier avant d’être confronté à son empreinte ADN.
Il a alors livré le nom de son prétendu commanditaire « belge qui a revendu les pièces en Belgique » mais les investigations n’ont rien donné.
Sauf que le nom qu’il a donné coïncidait avec celui d’une amie de son frère, elle-même agent d’assurance à Dijon. D’où ce commentaire du président : « Il est vrai que lorsque l’on assure ses biens contre le vol, on les déclare et qu’en les déclarant, on s’expose aussi ! » Reste que, faute d’instruction, les investigations n’ont pas exploré cette piste plus avant. D’où la demande d’un supplément d’information que formule pour la défense le bâtonnier Uzan en s’interrogeant « sur l’étrangeté de tomber “par hasard’’ sur cette maison » avant de relever que « ce dossier aurait mérité un juge d’instruction ».
Côté victimes, non seulement les pièces d’or n’ont jamais été retrouvées mais leurs propriétaires (absents à l’audience et qui ne se sont pas constitués parties civiles) n’ont touché que 50.000 € de leur assurance en lieu et place des quelque 200.000 € des pièces et bijoux volés.
La procureur Skrobala ayant souligné le « contexte très particulier » et « les heureux hasards de cette affaire », Valon Xhemajli a été condamné à 8 mois ferme. Mais le mystère de ce qui l’a conduit ce jour-là depuis Dijon dans cette maison-ci de Besançon reste entier.

http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/04/27/le-mystere-des-pieces-d-or

Un homme blessé par balles dans un snack à Marseille

Un homme de 30 ans a été la cible de plusieurs balles de gros calibre hier soir, peu avant 22 h 30, avenue de la Capelette (10e). Selon le scénario reconstitué par les policiers, la victime aurait été touchée au niveau des membres inférieurs, alors qu'elle se trouvait dans un snack à l'enseigne "Rapido Burger", spécialisé dans la vente de hamburgers. Consciente à l'arrivée des marins pompiers, elle a été médicalisée sur place, puis transportée à l'hôpital. Son pronostic vital ne serait pas engagé.
Deux hommes seraient arrivés en scooter devant l'établissement situé au niveau du 167 de l'avenue de la Capelette. L'un d'eux serait rentré, aurait fait feu, tandis que son complice serait resté à l'extérieur sur le scooter. Le tireur aurait ensuite rejoint son comparse et pris la fuite dans une direction ignorée.
La victime est connue des services de police pour des délits mineurs. Les enquêteurs s'interrogeaient hier soir sur la nature du différend qui a pu opposer la victime à ses agresseurs. Plusieurs témoins de la scène devaient être entendus dans la nuit par les policiers.
Le commissaire de permanence Sébastien Filippi et la responsable de la Division Sud Béatrice Fontaine se sont rendus sur les lieux. Un périmètre de sécurité a été dressé sur environ 300 mètres et l'avenue de la Capelette a été bloquée une partie de la nuit. Un expert en balistique, ainsi que les spécialistes de la police technique et scientifique ont procédé aux traditionnelles constatations. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire.
Le 11 mars dernier, un homme âgé d'une cinquantaine d'années avait déjà été tué rue Garnier, une artère tranquille du même quartier de la Capelette, alors qu'il promenait son chien.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2327883/un-homme-blesse-par-balles-dans-un-snack.html

Une femme retrouve son bébé de trois semaines à la fourrière

Vendredi matin, une voiture mal garée dans le XVIe arrondissement de Paris a été embarquée à la fourrière. Le hic, un nourrisson se trouvait à l'intérieur...
Un nourrisson s'est réveillé vendredi matin dans une fourrière parisienne. L'histoire surréaliste est racontée ce samedi dans les pages du Parisien.

Elle commence vers 8 heures devant une école maternelle du XVIe arrondissement de
Paris, non loin du Trocadéro. La fourrière embarque plusieurs voitures mal garées, dont celle de parents qui s'étaient arrêtés quelques minutes pour déposer leurs enfants. Quand la maman sort de l'école, plus de trace de sa voiture. Or, à l'intérieur se trouvait son bébé âgé de trois semaines en train de dormir. Une autre mère la voyant paniquée, l'emmène récupérer son bébé à la fourrière...

Etonnant, dans le même quartier, dans la même journée, un enfant, âgé lui de 9 ans, a bien failli également se retrouver à la fourrière. Les employés n'avaient pas vu le garçon dans le véhicule aux vitres fumées. L'enfant s'est réveillé quand la voiture était soulevée. Toujours selon Le Parisien, si la préfecture de police insiste sur le caractère exceptionnel des deux événements, elle indique avoir ouvert une enquête pour comprendre ce qu'il s'est passé.
 

Flicage au magasin Ikea d'Avignon : deux cadres mis en examen

Deux cadres du magasin Ikea Avignon-Vedène (Vaucluse) ont été mis en examen vendredi dans l’enquête sur la surveillance illégale de salariés et de clients du groupe. Ils ont été mis en examen à Versailles pour "infractions à la législation informatique et libertés".
L’ancien directeur et l’actuel responsable de la sécurité du magasin Ikea Avignon-Vedène (Vaucluse) qui, jusqu’à l’année dernière était également en charge de l’établissement de Montpellier, ont été mis en examen vendredi dans l’enquête sur la surveillance illégale de salariés et de clients du groupe. Placés sous contrôle judiciaire, ils ont été mis en examen à Versailles pour "infractions à la législation informatique et libertés". A l’issue de leur audition, ils n’ont pas souhaité réagir, tout comme le parquet de Versailles.
Laissés libres à l’issue de leurs auditions

Sollicitée également, la direction d’Ikea France a dit "prendre acte" des deux nouvelles interpellations, sans pour autant se prononcer davantage sur l’instruction, n’ayant "pas accès au dossier". Les deux hommes avaient été placés en garde à vue mardi par la police judiciaire de Versailles en charge de l’enquête, puis détenus à la maison d’arrêt du Pontet (Vaucluse) dans l’attente de leur transfèrement dans les Yvelines. Les opérations avaient également conduit à la garde à vue de l’actuel directeur et d’un cadre du magasin, par ailleurs délégué central CFTC. Ils ont été laissés libres à l’issue de leurs auditions à Avignon. Le syndicaliste a toutefois indiqué envisager de se constituer partie civile, estimant avoir été mêlé à tort à cette affaire.
L’affaire d’espionnage qui ébranle la filiale française d’Ikea
L’orientation de l’enquête en dehors de la seule Ile-de-France augure d’une "vague d’opérations similaires" dans d’autres magasins, estime Me Yassine Yakouti, l’un des avocats des syndicats du géant de l’ameublement, parties civiles dans ce dossier. L’affaire d’espionnage qui ébranle la filiale française d’Ikea avait déjà conduit à deux mises en examen, fin janvier : celles de Jean-François Paris, responsable du département gestion du risque de 1998 à 2012, et de son ancienne adjointe.
"Des pratiques regrettables"
La direction d’Ikea France

En février 2011, des révélations du Canard Enchaîné avaient ébranlé Ikea : la filiale française est soupçonnée d’avoir "fliqué" des salariés et des clients, en se procurant des renseignements sur leurs antécédents judiciaires, policiers ou leurs comptes en banque. Les syndicats FO et CGT avaient déposé plusieurs plaintes, amenant la justice à ouvrir une information judiciaire en avril 2012. Condamnant des "pratiques regrettables, contraires aux valeurs et standards éthiques" de l’entreprise, la direction d’Ikea France s’était séparée, un mois plus tard, de quatre dirigeants, dont son ancien directeur général (de 1996 à 2009), Jean-Louis Baillot, et Jean-François Paris.
Le directeur général d’Ikea France, Stefan Vanoverbeke, avait annoncé en juillet une série de mesures éthiques visant à redorer le blason de l’entreprise. Elles s’appuient notamment sur un "code de conduite", "la révision des processus de recrutement" et "une adaptation de son cadre de gouvernance".

http://www.midilibre.fr/2013/04/26/flicage-a-ikea-deux-cadres-mis-en-examen,686672.php

Mont-de-Marsan : "Vous l'avez fracassé à coups de boîtes de sardines"

Jacques Isnard, un détenu qui enchaîne les condamnations depuis plus de trente ans, a écopé ce vendredi midi de trois années supplémentaires de prison ferme.
Le multirécidiviste était jugé en comparution immédiate pour avoir "roué de coups" un prisonnier handicapé qui rentrait de permission, en novembre dernier, au centre pénitentiaire Pémégnan. Selon toute vraisemblance, la victime n'avait pas rapporté de cannabis et de Subutex à l'intéressé. Quelle que soit la motivation réelle, la sanction avait été lourde puisque le codétenu s'en était tiré avec des fractures du fémur et de l'omoplate.

Face à ces "faits prémédités inadmissibles et d'ailleurs condamnés par d'autres détenus indignés", selon les mots de la substitut du procureur de la République de Mont-de-Marsan, Véronique Fontan, une peine plancher de quatre ans avait été requise. Le tribunal l'a ramenée à trois ans.
Il a également condamné son complice à une peine d'un an d'enfermement. Cet ancien toxicomane avait joué le rôle de guetteur alors que l'autre frappait lourdement, y compris avec une chaussette garnie de boîtes de sardines. "Une arme artisanale qui avait été conçue pour faire mal", insistait bien le ministère public.
http://www.sudouest.fr/2013/04/26/mont-de-marsan-vous-l-avez-fracasse-a-coups-de-boites-de-sardines-1037171-3452.php

vendredi 26 avril 2013

Villeurbanne : un adjoint de sécurité sauve un bébé de 14 jours

Une mère en panique s’est précipitée, ce jeudi après-midi, à l’accueil du commissariat de Villeurbanne : son bébé de 14 jours venait de cesser de respirer. Un jeune adjoint de sécurité, pompier volontaire originaire de Vaux-en-Beaujolais, a eu les bons gestes pour sauver le nourrisson.
Léo, un adjoint de sécurité de 21 ans, rédigeait un rapport quand il entend les cris de la mère. Il se précipite : «Donnez-moi votre enfant, je suis pompier volontaire».
La mère lui tend la fillette, âgée d’à peine 14 jours. Le jeune homme lui pratique les premiers secours et va finalement réussir à sauver le bébé avant l’arrivée des pompiers.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/04/26/villeurbanne-un-adjoint-de-securite-sauve-un-bebe-de-14-jours

Meurtre d'Alexandre : le principal suspect se rétracte

Le principal suspect dans la mort du jeune Alexandre Junca, Mickaël Baehrel, qui avait reconnu lors de sa garde-à-vue début avril "avoir frappé Alexandre à la tête, de façon violente" est depuis revenu sur ses aveux.
Le principal suspect dans la mort du jeune Alexandre Junca est revenu sur ses aveux, a indiqué vendredi le parquet de Pau. Mickaël Baehrel avait reconnu lors de sa garde-à-vue début avril "avoir frappé Alexandre à la tête, de façon violente". Par ailleurs, la Cour d'appel de Pau a refusé de remettre en liberté Claude Ducos, 74 ans et ex-amant de M. Baehrel, selon la même source.
"Il a écrit une lettre dans ce sens, il y a une dizaine de jours au juge d'instruction", a précisé le procureur de la République Jean-Christophe Muller à une correspondante de l'AFP, confirmant une information de Sud-Ouest. "Ce n'est pas la première fois qu'il se rétracte, (...) il sera interrogé de nouveau par le juge la semaine prochaine", a ajouté le procureur. L'avocate de M. Baehrel, Me Carine Magne, n'a pas souhaité faire de commentaires.
 

Montauban. Rébellion et menaces de mort réitérées contre une policière

Mercredi vers 21 heures, une patrouille du commissariat est requise vers la rue d'Auriol dans l'hypercentre sem-piétonnier où deux jeunes Montalbanais âgés de 24 et 23 ans, défavorablement connus de leurs services,sont entrain de fracasser une porte d'entrée d'immeuble.
Ils s'enfuient à la vue des gyrophares mais sont rattrapés place Nationale. Très alcoolisé et dans un état d'excitation important le premier outrage et menace les policiers.
Le second individu plus calme est interpellé et mis dans une autre voiture de patrouille.
À l'intérieur, il se met à menacer de mort de façon réitérée la policière qui le garde, lui prédisant un égorgement par lui qui n'a rien oublié des gestes de boucher. Des collègues viennent au secours de la policière, maîtrisent l'individu et trouvent sur lui un couteau papillon et de la résine de cannabis. Ramenés au service et après la garde à vue ,ils viendront s'expliquer devant le tribunal le 11 juin prochain. Le premier aura à répondre de dégradations en réunion, de rébellion et outrages ,le tout en récidive légale. Son compère lui répondra de menaces de morts réitérées, de dégradations en réunion, de port d'arme de sixième catégorie, et de détention de stupéfiants

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/26/1614646-montauban-rebellion-et-menaces-de-mort-reiterees-contre-une-policiere.html

Deux-Alpes : le corps du militaire anglais disparu en février aurait été retrouvé

INFO MYTF1News - Un corps, qui pourrait être celui de Simon Daw, un militaire britannique de 27 ans disparu en février alors qu'il était en vacances aux Deux-Alpes, a été retrouvé par des promeneurs jeudi soir aux Deux-Alpes.
Ce sont des cueilleurs de champignons qui ont fait la macabre découverte jeudi, peu après 18 heures, à la Combe-de-Venosc. Selon nos informations, le corps de l'homme retrouvé pourrait être celui de Simon Daw, un militaire britannique de 27 ans disparu le 13 février dernier alors qu'il était en vacances dans la station des Deux-Alpes. "Le corps retrouvé porte des vêtements qui semblent correspondent à ceux que portait le militaire lors de sa disparition", explique un gendarme. Une autopsie doit être pratiquée afin de confirmer son identité et déterminer les causes du décès.

Le jeune homme appartenait au 1er bataillon royal de Welsh. Avant sa disparition, il avait passé la soirée dans une boîte de nuit de la station avec deux amis qu'il a quittés vers minuit et n'avait plus donné signe de vie depuis. La piste accidentelle était privilégiée. Des recherches en hélicoptère menées par les CRS de l'Alpe d'Huez avaient été entreprises et un appel à témoins lancé, sans succès.

La fonte des neiges a permis de retrouver plusieurs personnes portées disparues pendant l'hiver, comme jeudi,
où deux corps ont été retrouvés dans le massif des Ecrins.
 

Rochefort : un dealer arrêté avec deux fusils chargés et un couteau

Volonté de se protéger dans un milieu réputé violent ou détermination de s’attaquer à d’autres trafiquants de drogue ?
II appartient à un juge d’instruction de La Rochelle de faire la lumière sur la motivation qui a conduit un dealer saintais de 29 ans à circuler avec un arsenal dans son Alfa Roméo, mercredi 17 avril. Il était alors 17 heures ce jour-là, quand trois fonctionnaires de la police nationale patrouillant rue du Breuil remarquent cette voiture qui roule anormalement vite et multiplie les infractions.

Après avoir dans un premier temps refusé de s’arrêter aux injonctions de la police, le véhicule stoppe dans la rue Colbert-de-Terron, à deux pas de la gare. À l’intérieur ont pris place trois personnes. La fouille du véhicule va s’avérer très fructueuse.
Sur les sièges arrière, un fusil de chasse chargé de deux cartouches est découvert. Dans la portière avant gauche, c’est un couteau de cuisine dont la lame mesure 30 cm qui est trouvé tandis que le coffre recèle un fusil à pompe chargé avec trois cartouches.
Et ce n’est pas tout. Sous le siège du passager avant, un pochon contenant environ 75 grammes de résine de cannabis, mais aussi 1 gramme de MDMA et 10 grammes d’héroïne sont repérés. Les policiers découvriront aussi des « carottes », c’est-à-dire des poches renfermant de l’héroïne coupée à du café. Ainsi conditionnées, elles peuvent tromper certains clients.
Est-ce la raison pour laquelle le conducteur qui avait embarqué deux consommateurs amis à l’arrière roulait ainsi armé ? Selon nos informations, il aurait expliqué qu’il avait cet attirail pour se protéger, mais il n’est pas exclu qu’il ait voulu braquer d’autres dealers. Car il y avait aussi dans la voiture une cagoule pour le moins intrigante.
Quoi qu’il en soit, le parquet de La Rochelle « n’établit pas de lien » évident et naturel entre les stupéfiants et les armes. Déjà connu de la justice, le chauffeur, un Saintais de 29 ans, a été mis en examen pour trafic de stupéfiants et détention d’armes. Puis placé en détention provisoire samedi. D’autres personnes, des consommateurs de drogue rochefortais, ont été placées en garde à vue avant d’être relâchés. Le parquet reste discret sur la suite des investigations confiées à un juge d’instruction.

http://www.sudouest.fr/2013/04/25/un-dealer-arrete-avec-un-arsenal-1035117-1504.php

Réclusion criminelle à perpétuité pour le tireur présumé de l'ETA à Capbreton

Le tireur présumé dans l'assassinat de deux jeunes gardes civils espagnols dans les Landes en 2007 a été condamné jeudi à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d'assises spéciale de Paris.
Perpétuité. Le tireur dans l'assassinat de deux jeunes gardes civils espagnols à Capbreton en 2007 a été condamné jeudi à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d'assises spéciale de Paris. Une femme membre du commando, Saioa Sanchez Iturregui, a été condamnée à 28 ans de réclusion criminelle et un troisième etarra, Asier Bengoa Lopez de Armentia, présenté par l'accusation comme faisant partie de l'équipe, a été acquitté de ces charges mais néanmoins condamné pour d'autres faits à 15 ans de réclusion.
Présenté par l'accusation comme le seul auteur des trois tirs qui ont abattu Raul Centeno Bayon et Fernando Trapero Blazquez, même s'il n'en existe aucune preuve formelle, Mikel Kabikoitz Carrera Sarobe a vu sa peine assortie d'une période de sûreté de 22 ans. Pour Mme Sanchez Iturregui, la période de sûreté a été fixée aux deux tiers, soit 19 ans environ.
Analyses d'orologie écartées
Si le jury a suivi les réquisitions du ministère public dans le cas de M. Carrera Sarobe, ancien chef de l'appareil militaire de l'ETA, et quasiment dans celui de Mme Sanchez Iturregui (30 ans requis), il s'en est écarté pour M. Bengoa Lopez de Armentia. Mercredi, la défense avait souligné l'absence de preuve permettant d'établir sa présence à Capbreton ainsi qu'à Haut-Mauco (Landes), où trois etarras avaient enlevé une femme dans son véhicule moins de deux heures après le double assassinat. La cour a acquitté M. Bengoa Lopez de Armentia des chefs d'assassinat et d'enlèvement, même si elle a retenu ceux de participation à une entreprise terroriste et de recel. Sa peine n'a pas été assortie d'une période de sûreté.
Le jury a notamment écarté les analyses d'orologie qui pointaient la présence de M. Bengoa dans la cafétéria attenante au parking où a eu lieu le double assassinat. Cette technique de création récente (identification d'odeurs par des chiens dressés) est totalement empirique et n'a pas encore été validée par la communauté scientifique.
Une accusée en fuite
Quant aux trois autres accusés qui comparaissaient également lors du procès, Garikoitz Aspiazu Rubina (alias "Txeroki), Ibon Goieaskoextea Arronategi et Eider Uruburu Zabaleta, ils ont été condamnés respectivement à 9 ans, 7 ans et 5 ans d'emprisonnement.

Ancien chef de l'appareil militaire de l'ETA, "Txeroki" avait déjà été condamné à un total de 34 années de réclusion au terme de trois procès antérieurs. Une septième accusée, Iratxe Sorzabal Diaz qui est actuellement en fuite, a été condamnée à 5 ans

jeudi 25 avril 2013

Isère : deux corps d'alpinistes retrouvés dans le massif des Ecrins

Ils ont été découverts congelés, suspendus à une paroi, a annoncé jeudi la CRS Alpes, unité de police spécialisée dans les secours en montagne. S'ils "n'ont pas encore été identifiés", il pourrait s'agir de deux des trois Italiens disparus cet hiver. Ils ont été retrouvés suspendus à une paroi. Deux corps d'alpinistes congelés ont été découverts dans le massif des Ecrins, en Isère, a annoncé jeudi la CRS Alpes, unité de police spécialisée dans les secours en montagne. S'ils "n'ont pas encore été identifiés", il pourrait s'agir de deux des trois Italiens disparus cet hiver. La CRS précise qu'aucune autre disparition n'a été signalée dans le secteur.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/isere-deux-corps-d-alpinistes-retrouves-dans-le-massif-des-ecrins-7937434.html

Corse : assassinat de Jean-Luc Chiappini

Jean-Luc Chiappini, président du Parc naturel régional de la Corse, a été assassiné aujourd'hui à Ajaccio, selon une source policière.

Abattu par un ou plusieurs tireurs sur la route de l'aéroport d'Ajaccio, Jean-Luc Chiappini a été atteint d'au moins une balle dans la tête.

C'est la dixième victime d'un homicide depuis le début de l'année dans l'île.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/25/97001-20130425FILWWW00563-assassinat-de-jean-luc-chiappini.php

Jaloux, un Cagnois pose un mouchard sur l'ordinateur de sa femme

Jusqu'où ira Marc ? Dévoré par la jalousie, ce Cagnois, mécanicien à La Gaude, avait commencé par espionner l'ordinateur de son épouse en installant une puce espion. Après avoir découvert que celle-ci avait un amant, il est allé s'acheter un fusil à pompe.

« Il s'est également renseigné sur l'achat d'accessoires permettant de rendre l'arme transportable » rappelle la vice-procureure Gwenaëlle Ledoigt.

« Si tu me quittes et emmènes les enfants, je te tue» a-t-il fini par prévenir. Le message était clair : Marc a exhibé sa nouvelle acquisition. Le 20 avril dernier, bouillonnant de rage, il s'est rendu à La Colle, au domicile de l'amant, armée d'une hache avec laquelle il a menacé le couple adultère.

Fusil à pompe et hache

Dans ses effets personnels, bombe lacrymogène, couteaux, matraque métallique et le fameux fusil à canon scié avec ses cartouches de 12 ont été retrouvés.

«Il a été arrêté au moment où il fallait. Quand il est monté en pression, oui, il est dangereux» concède son avocat Me Bernard Sivan.

Marc était présenté en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Grasse lundi et a souhaité un délai pour préparer sa défense. Il sera jugé le 21 mai prochain, délai mis à profit pour soumettre l'intéressé à une expertise médico psychiatrique.

En attendant d'être jugé pour menaces de mort, violences avec arme et sur concubin sans ITT, Marc a été écroué à la maison d'arrêt de Grasse.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/jaloux-un-cagnois-pose-un-mouchard-sur-lordinateur-de-sa-femme.1233254.html

Essonne : un policier sérieusement blessé par un jet de pavé

Mercredi soir, un policier de 30 ans a été sérieusement blessé à Vigneux-sur-Seine (Essonne), après avoir reçu un pavé en pleine tête. Ses jours ne sont pas en danger.
Un policier a été sérieusement blessé mercredi soir à Vigneux-sur-Seine (Essonne), après avoir reçu un pavé en pleine tête, mais ses jours ne sont pas en danger. C'est ce qu'on a appris jeudi par des sources policières.

Cela s'est passé vers 22h30. De jeunes habitants du quartier sensible de la Croix-Blanche à Vigneux-sur-Seine ont perturbé la voie publique et les parties communes des immeubles, avant de menacer d'incendier des poubelles. Une vingtaine de ces jeunes gens a alors tenté de frapper des riverains qui étaient sortis, alors que la police arrivait sur les lieux, et les a repoussés avec des gaz avec des gaz lacrymogènes. Ils ont ensuite jeté des pavés sur l'équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) départementale.

Le policier de cet équipage ayant reçu le pavé en pleine tête est âgé de 30 ans. Il n'y a pas eu d'interpellation. La sûreté départementale de l'Essonne est chargée de l'enquête.
 

Béziers : depuis sa sortie de détention, il terrorise sa famille

sa sortie de prison, en juillet 2012, un prévenu terrorise ses parents. Il a menacé sa mère avec un couteau et l'a volée.
Depuis sa sortie de prison, en juillet 2012, le prévenu vit chez ses parents. Et le moins que l’on puisse dire est que la cohabitation ne se passe pas bien du tout. Au début de l’année 2013, sa mère déplore le vol de 3 300 € et celui de sa carte bancaire. Elle subit, en plus, la violence de son fils chaque fois qu’il se trouve sous l’emprise de la colère et de la drogue.
Violence sur sa mère et usage de chèques volés et falsifiés
"Il nous terrorise. Le 21 mars, il a menacé ma mère avec un couteau, lui a dit qu’il allait l’étrangler et mettre le feu à la maison", témoigne la propre sœur du prévenu. Il a déjà accumulé une quinzaine de condamnations, essentiellement pour vols. Et c’est encore ce type d’infraction qui le conduit à la barre du tribunal correctionnel.
Entre le 14 mars et le 22 mars dernier, il a commis dix infractions : violence sur sa maman, à Sauvian, filouterie à l’essence à l’hyper U, trois vols de sacs à main à l’arraché à Sérignan, Béziers et Pézenas, deux vols à la roulotte avec dégradations des véhicules à Cazouls-les-Béziers, conduite sans permis, usage de chèques volés et falsifiés à Vendres.
"Il est entré dans une spirale d’autodestruction"
Et pourtant, sa famille plaide en sa faveur. "Il était bien quand il est sorti de prison. Mais son grand frère est décédé et il est entré dans une spirale d’autodestruction, explique un ami de la famille, ses parents réclament de l’aide avec un suivi médical." Puisque le prévenu a aussi sombré dans la drogue. Le vice-procureur de la république réclame sept ans de prison.
"Il est malade, explique l’avocat de la défense, et les traitements de substitution en prison le rendent encore plus minable, le réduisent à l’état de loque." Et de discuter le quantum de la peine requise : "Sept ans de prison pour trois jours de “pétage de plombs”, c’est disproportionné". Le prévenu été condamné à trois ans d’emprisonnement avec maintien en détention.

http://www.midilibre.fr/2013/04/24/le-prevenu-terrorise-sa-famille-depuis-sa-sortie-de-detention,685263.php

Il accuse la Française des jeux de manipuler le hasard

David contre Goliath. L’image a beaucoup servi. Mais elle colle comme une sangsue à la peau de Robert Riblet. Cet ingénieur à la retraite originaire de l’est de la France se dresse depuis douze ans contre la Française des jeux, qu’il accuse de manipuler le hasard. La parole de l’institution qui réalise aujourd’hui 12 milliards d’euros de chiffre d’affaires et verse près de 3 milliards de taxes dans les caisses d’un État nécessiteux pèse lourd. Mais pas au point de faire courber l’échine au trublion. Le 22 mars dernier, il a obtenu de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles la relance de l’information judiciaire ouverte en 2007 contre l’entreprise publique pour escroquerie, tromperie et publicité mensongère.
L’histoire commence en 2001, dans un café rural de l’Aisne. Alors qu’il boit l’apéritif avec des gendarmes, ce Géo Trouvetou, lauréat par le passé du concours Lépine, comprend qu’il y a piballe sous caillou ! Sous ses yeux, un consommateur gratte consciencieusement une liasse de billets. Après avoir découvert le gros lot, il restitue au cafetier les tickets non déflorés. Ceux-ci sont immédiatement remis en vente. « Tous les perdants ont eu leur chance », ironise Robert Riblet.

Du fait de son travail, l’ingénieur traverse la France de long en large. Après plusieurs années d’enquête, de nombreuses conversations avec des buralistes et 33 000 € de billets achetés, ce joueur assidu n’a plus l’ombre d’un doute. Les Black Jack, Vegas, Solitaire et autre Millionnaire composent avec l’aléa. La Française des jeux domestique le hasard en faisant en sorte que chaque bande de 50 tickets comporte tout au plus un ticket gagnant. Les détaillants n’ignorent pas qu’ils vendent à leurs clients des billets perdants.
Il y a donc atteinte à un principe que l’on croyait gravé dans le marbre : la détermination et l’attribution des gains dans des conditions assurant l’égalité des chances entre les joueurs par des moyens faisant appel à l’intervention du hasard. L’enquête menée par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes donne entièrement raison à Robert Riblet.
Les agents se sont penchés sur le cas du Vegas. Le règlement de ce jeu stipule que « les lots attribués aux tickets gagnants sont répartis selon la voie du sort ». Mais dans les faits, les logiciels de la Française des jeux veillent au grain et ventilent les jackpots de manière homogène et mathématique. Interrogé en 2007 par le premier juge d’instruction en charge du dossier, Christophe Blanchard-Dignac, le PDG de la Française des jeux ne le nie pas.
Il admet que l’entreprise publique encadre l’impression des tickets et programme la répartition géographique des gagnants. Jusqu’alors, ces règles n’étaient connues que d’une poignée de cadres de la société. Mais selon le PDG, elles n’ont rien d’illégal. Un décret relatif à l’exploitation des jeux promulgué en 2002 précise que l’intervention du hasard peut être « totale ou prépondérante ».
Robert Riblet ne lâche rien. Et les avocats de la Française des jeux font feu de tout bois. Pour sortir de cette bataille de mots, la justice s’en remet alors à un homme de l’art, le linguiste Claude Hagège. Avec pour mission de définir l’expression figurant dans le règlement du Vegas : « Être répartis par la voie du sort. » En apparence, elle ne semble pas sujette à interprétation. Ce n’est pas l’avis de Claude Hagège. Le distingué professeur au Collège de France estime qu’elle suggère « une certaine forme d’intervention ».
À la lecture de cette expertise, le juge d’instruction rend une ordonnance de non-lieu. La Française des jeux pense alors en avoir fini avec son poil à gratter. Elle se trompe. Pressé de se débarrasser de l’affaire, le magistrat ne s’était intéressé qu’au Vegas, laissant de côté l’examen des autres jeux de grattage mentionnés par Robert Riblet dans sa plainte initiale. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles vient de lui ordonner de remettre son ouvrage sur le métier. En clair, de « gratter » un peu mieux son dossier !

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/le-joueur-poil-a-gratter-de-la-francaise-des-jeux-1034126-7.php

mercredi 24 avril 2013

Accident de car en République tchèque: Le chauffeur est décédé

Le chauffeur de l'autocar scolaire accidenté en République tchèque, dans lequel avait été tuée une collégienne de 15 ans, est décédé mercredi à l'hôpital de Pilsen près de Prague, a-t-on appris auprès de la RATP.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1144489/20130424-accident-car-republique-tcheque-chauffeur-decede

Var: deux morts dans un incendie

 adolescents de 17 ans sont morts asphyxiés dans l'incendie d'une maison ce matin à Fréjus (Var), annonce une source proche de l'enquête.

Un court circuit électrique dans une pièce du bas de l'habitation serait à l'origine du feu, et non un barbecue mal ou pas éteint, comme évoqué initialement.

L'un des jeunes était le fils des propriétaires de la maison tandis que le second est un ami. Les parents n'étaient pas présents au moment du drame, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Ce sont les voisins qui ont alerté les pompiers vers 06h45, après avoir vu une épaisse fumée sortir de la maison. A l'arrivée des secours, l'un était déjà décédé et le second n'a pu être réanimé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/24/97001-20130424FILWWW00622-var-deux-morts-dans-un-incendie.php

Tutelle : prison ferme pour le couple

Le tribunal correctionnel de Pontoise (Val-d'Oise) a condamné aujourd'hui à des peines de prison ferme un ex-gérant de tutelles et son épouse, jugés pour avoir détourné plusieurs centaines de milliers d'euros appartenant à des personnes placées sous leur protection.

Le tribunal a condamné l'ancien gérant, reconnu coupable d'"abus de confiance aggravé" et d'"abus de la faiblesse d'une personne vulnérable", à deux ans de prison dont un an ferme. Son épouse, reconnue coupable des mêmes faits, a écopé d'une peine de 18 mois de prison, dont neuf fermes.

Le couple a par ailleurs été condamné à payer solidairement 5.000 euros, au titre du préjudice moral et financier, à une quinzaine de victimes reconnues de ses agissements. Il a été en outre interdit d'exercer l'activité de gérance de tutelle pendant cinq ans.

L
'ex-gérant de curatelle et son épouse étaient accusés d'avoir escroqué une soixantaine de "majeurs protégés", essentiellement des personnes âgées, dont certaines sont aujourd'hui décédées, entre janvier 2000 et mars 2004.

Selon l'accusation, ils auraient détourné au moins 194.500 euros, prélevés sur des comptes des personnes vulnérables dont ils avaient la charge, en les faisant transiter sur un "compte-pivot". Selon les parties civiles, l'argent détourné s'élèverait à plusieurs centaines de milliers d'euros.

Le couple aurait ainsi "mené grand train", en utilisant l'argent de ses victimes pour louer des voitures de luxe, payer des notes d'hôtel, effectuer des virements à leurs fils ou bien acquérir un restaurant.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/24/97001-20130424FILWWW00506-tutelle-prison-ferme-pour-le-couple.php

Albi. L'immeuble «Le Colombier» évacué après un incendie dans la cuisine d'une retraitée

L'heure du déjeuner, ces retraités l'ont passée sur le parking de leur résidence «Le Colombier» à Albi. «On nous a dit de descendre. Alors, on est descendus», dit une dame bien mise. Devant elle, les sapeurs-pompiers s'affairent, avec leur lance et leur camion-échelle. Montant la garde à l'entrée du numéro 22C, rue Marcel-Ricard, les policiers en uniforme veillent à ce que les habitants ne rentrent pas chez eux avant la fin de l'invention. «C'est un feu de cuisine. Déclaré peu après midi, il a rapidement été éteint. Nous avons fait évacuer l'immeuble, car c'est la procédure normale, à cause de la fumée», indique le lieutenant Francis Stanisière, commandant des opérations de secours. Dans cet immeuble de quatre étages, logeant beaucoup de personnes âgées, beaucoup étaient sortis d'eux-mêmes, quand les pompiers sont arrivés.

Le logis noir de charbon

Quand on pénètre dans l'appartement du 1er étage où s'est déclaré le sinistre, on comprend mieux toutes ces précautions. Murs et plafond, la cuisine est d'un noir de charbon. La suie s'est déposée aussi partout dans le salon et jusque dans les placards sur la garde-robe de la locataire, catastrophée. «Comment ça peut salir autant en si peu de temps !», s'exclame la dame, appuyée sur sa canne, contemplant ce spectacle de désolation. Odette, 95 ans et «toute sa tête», raconte sa mésaventure. «Je suis allée à la cuisine réchauffer mon bouillon. Mais au lieu que ce soit sous ma casserole, j'ai allumé sous ma friteuse. Je me suis trompée de bouton», confie la victime. Le feu s'est communiqué à la hotte. Quand elle s'en est rendue compte, l'alerte nonagénaire a eu la présence d'esprit d'éteindre le compteur. «Tout le monde m'a dit que j'avais eu le bon réflexe ! Après, j'ai quitté l'appartement et je suis allée voir ma voisine, Marie-Thérèse, qui s'est occupée de tout, prévenir les pompiers et les voisins !»
Ce début d'incendie a réveillé des souvenirs chez un riverain logé dans la résidence, qui n'est d'autre que Jacques Cébula, l'ex-chef des pompiers de Saint-Juéry !
Adorable mamie, très prévenante, Odette «pense surtout aux voisins, au propriétaire» et à son intérieur coquet aujourd'hui dévasté. «Tout était remis à neuf. Je venais juste de changer les rideaux !»
Venus la récupérer sa fille et son gendre l'avertissent qu'elle ne pourra pas retrouver son intérieur de suite, avant de sérieux travaux. Peu importe : avec cinq enfants, Odette ne manquera pas d'endroits où loger

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/24/1612720-albi-feu-de-cuisine-l-immeuble-le-colombier-evacue.html

Enquête pour espionnage chez Ikea : opérations dans un magasin d'Avignon

Des "opérations" ont eu lieu ce mardi toute la journée dans le magasin IKEA d'Avignon. Cette perquisition fait suite à l'affaire d'espionnage de salariés et de clients révélée il y a un an par le "Canard enchaîné".
Des "opérations" ont eu lieu mardi dans un magasin IKEA d'Avignon dans le cadre de l'enquête sur l'affaire d'espionnage de salariés et de clients, a-t-on appris de sources concordantes.
"Des opérations sont en cours"

Une source interne au géant suédois de l'ameublement avait évoqué dans la matinée une perquisition menée depuis 9 h, au cours de laquelle les autorités auraient vérifié de nombreux documents du magasin. "Des opérations sont en cours" au magasin IKEA d'Avignon, avait simplement confirmé à la mi-journée à Versailles une source proche du dossier. Sollicité, le parquet de Versailles n'a pas souhaité faire de commentaire.
Soupçons d'espionnage
En février 2011, des révélations du Canard Enchaîné avaient ébranlé IKEA : la filiale française du groupe est soupçonnée d'avoir "fliqué" des salariés et des clients, en se procurant des renseignements sur leurs antécédents judiciaires, policiers ou leurs comptes en banque.
"La direction freine des quatre fers"
Les syndicats FO et CGT avaient déposé plusieurs plaintes, amenant la justice à ouvrir une information judiciaire en avril 2012. Dans un communiqué, FO a déploré "le comportement de la direction qui s'est refermée comme une huître sur les dossiers en cours", ainsi que des "négociations au point mort".
"Face aux expertises demandées par des élus, la direction freine des quatre fers", a expliqué le syndicat.

http://www.midilibre.fr/2013/04/23/enquete-pour-espionnage-chez-ikea-operations-dans-un-magasin-d-avignon,684587.php

Mont-de-Marsan : des profs bousculés et menacés par des parents d'élèves

Deux professeurs du collège Cel-le-Gaucher et le principal ont déposé plainte au commissariat de police de Mont-de-Marsan, suite à une altercation déplorée vendredi après-midi, entre deux parents d’élèves et deux professeurs. Selon un enseignant, vendredi, vers 16h30, la mère d’une élève de sixième, « accompagnée d’un homme et d’une femme » serait arrivée au collège « très énervée », suite à des « remontrances » qui auraient été faites à sa fille par l’un de ses professeurs, le matin.
Avec sa belle-sœur, la mère de famille se serait rendue devant une salle de cours, où elle pensait retrouver le professeur en question, pour s’expliquer. « Une collègue s’est interposée. Elle a été bousculée et menacée, explique un enseignant qui a souhaité garder l’anonymat. Une autre a eu droit au même traitement. »

La mère de famille, elle, indique avoir été prise à partie par les professeurs, qui lui auraient dit, vertement selon elle, de ne pas pénétrer dans la salle de cours. « Ma fille a été agrippée par le col par un professeur, ajoute-t-elle. Ma belle-sœur est intervenue et un autre enseignant l’a attrapée. C’est vrai que je n’ai pas été très sympa, mais il n’y a pas eu de menaces. » Lundi, cette mère de famille indiquait vouloir déposer plainte pour « agression » sur sa fille.
Une réunion de concertation était organisée au collège, de 11h30 à 13 heures, entre professeurs, direction et parents d’élèves. « L’établissement n’est pas coutumier de ce genre de faits, réagit Philippe Mesnard, le principal. Nous avons pris des mesures pour assurer la sécurité de tous. Une cellule de soutien a été mise en place pour les personnels qui ont été agressés au moins verbalement. C’est un établissement plein de projets avec des équipes dynamiques : nous essayons de repartir sereinement. »

http://www.sudouest.fr/2013/04/23/fin-des-cours-agitee-1033097-3452.php

mardi 23 avril 2013

Yvelines: un suspect se livre à la police

Un jeune homme, soupçonné d'avoir participé au passage à tabac d'un routier vendredi dans les Yvelines, s'est livré à la police et a été présenté aujourd'hui à un juge, a indiqué une source proche de l'enquête, confirmant une information du Parisien.fr.

Vendredi après-midi, la victime, qui circulait sur la D30 entre Achères et Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), a été violemment frappé par les cinq occupants d'une voiture.

Les agresseurs auraient été vexés d'avoir été doublés par son camion, d'après les premiers éléments de l'enquête. La victime a notamment eu la cheville cassée, ses agresseurs lui ayant roulé dessus en prenant la fuite.

Le jeune majeur qui s'est livré au commissariat de Conflans-Sainte-Honorine, dont l'âge n'a pas été précisé, a reconnu être le conducteur du véhicule.

Lors de sa garde à vue, ce jeune homme, inconnu des services de police, a affirmé ne pas s'être rendu compte avoir roulé sur le pied du chauffeur, selon cette source.

Selon sa version des faits, le chauffeur routier aurait "mal conduit". Lui et les autres occupants de la voiture l'auraient alors suivi jusqu'au parking où il se rendait pour lui demander des explications. Le pugilat aurait débuté à ce moment-là.
Un premier suspect, qui avait été oublié sur la route par ses amis après les faits, avait été mis en examen dimanche à Versailles et libéré sous contrôle judiciaire.

Ce militaire de 22 ans, originaire de Poissy (Yvelines), avait dit aux enquêteurs avoir été pris en auto-stop par les automobilistes. Or il s'est révélé être le propriétaire du véhicule, dont la plaque d'immatriculation avait été relevée, avait expliqué une source judiciaire.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/23/97001-20130423FILWWW00669-yvelines-un-suspect-se-livre-a-la-police.php

Dieppe : la police retrouve le cadavre d'un bébé enterré il y a 20 ans

Une enquête lors de la garde à vue d'un homme pour des délits a mené sur la piste de la mort d'un bébé il y a 20 ans ainsi qu'à la mise en examen à Dieppe de trois personnes.
C'est un mystère qui aura duré 20 ans. Lors de la garde à vue d'un homme pour des délits routiers et des soupçons de violences conjugales, les gendarmes ont appris l'existence d'un secret de famille au cours de l'audition d'un de ses proches.
Ce proche a révélé aux enquêteurs une conversation qu'il a surprise entre l'homme placé en garde à vue et une autre personne faisant état d'un enfant, dont le gardé à vue serait le père présumé, et qui aurait été tué il y a 20 ans. Les enquêteurs ont interpellé la mère de l'enfant présumé, sa soeur ainsi que son beau-frère. Ces trois suspects, si leurs témoignages divergent, note Valérie Cadignan, procureur de la République de Dieppe, ont confirmé qu'un enfant est né il y a 20 ans.
La mère avait caché sa grossesse
La mère, alors mineure et ayant caché sa grossesse, l'aurait mis au monde seule dans un grenier, à Eu (Seine-Maritime). L'enfant est ensuite mort dans des circonstances non déterminées et a été enterré dans un jardin où les enquêteurs ont retrouvé les ossements, à l'endroit indiqué par les personnes mis en cause.
Selon les propos divergents des trois personnes, mises en examen pour assassinat et actes de torture et de barbarie, la mère avait entre 14 et 17 ans à l'époque. "C'était une toute jeune femme, et une grossesse non désirée qu'elle a gérée toute seule, la cachant à son entourage", a expliqué Valérie Cadignan.
Le dossier criminel a été transféré au parquet de Rouen, compétent pour les affaires criminelles. La difficulté désormais sera de définir dans quelles circonstances l'enfant est décédé, car si seul l'assassinat est retenu (et non d'éventuels actes de torture et de barbarie), le crime passera sous le coup de la prescription.
 

Chalon : renversé par une voiture, un adolescent est gravement blessé

Vers 14 h 30, un adolescent a été renversé par une voiture alors qu'il traversait l'avenue Niépce près de Leader Price à Chalon-sur-Saône.

Gravement blessé, le jeune garçon a été pris en charge par une équipe du SMur 71 et les pompiers de Chalon-sur-Saône. Les secours et le blessé ont quitté les lieux. La victime sera finalement héliportée depuis l'hôpital de Chalon sur le CHU de Dijon.
L'accident a par ailleurs nécessité la coupure de l'avenue Nièpce à tout trafic par la police en direction du pont Jean-Richard. Celle-ci est actuellement déviée.

http://www.bienpublic.com/actualite/2013/04/23/renverse-par-une-voiture-un-adolescent-est-gravement-blesse

Oudezeele : un agriculteur est décédé, la jambe happée par la herse de son tracteur

L’agriculteur de 65 ans, originaire de Winnezeele, était en train de labourer son champ, le long de la rue du Moulin à Oudezeele. Aux alentours de 19 heures, ce lundi (22 avril), sa jambe aurait été happée par la herse de son tracteur.
C’est un riverain qui l’a aperçu, et a appelé les secours. Les pompiers de Steenvoorde n’ont rien pu faire, l’homme est décédé d’une hémorragie sur les lieux de l’accident. La gendarmerie, encore présente sur les lieux, a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de ce drame.

http://www.lavoixdunord.fr/region/oudezeele-un-agriculteur-est-decede-la-jambe-happee-ia18b47664n1196467

Un chirurgien oublie plusieurs débris de sonde dans le corps de son patient

Un patient a dû se faire retirer trois morceaux de sondes restés dans ses artères. Il reste encore trois autres morceaux metalliques dans ses artères. Ces débris peuvent encore migrer jusqu'à son cerveau et provoquer un AVC.
Des morceaux métalliques de plusieurs centimètres. C'est ce qu'un médecin a retrouvé dans les artères d'un de ses patients qui se plaignait d'avoir des douleurs dans le bras droit et à la tête depuis son opération en juillet 2012.

Nourredine Lameche, 50 ans, n'a pas eu de chance. Déjà victime d'un
infarctus en 2010, il décide de consulter un cardiologue en juillet dernier, qui lui conseille d'effectuer une coronarographie. Mais le chirurgien qui exerce à l'hôpital d'Annecy retire brusquement la sonde qui se brise en six morceaux dans le corps de Nourredine Lameche.

"J'avais des fourmillements dans le bras droit, des picotements dans la tête. Je n'arrivais plus à dormir. J'avais mal à l'épaule, raconte le patient au Parisien. En février 2013, il consulte un angiologue - le spécialiste des vaisseaux sanguins - et lui fait part de ses douleurs. "Il m'a fait un Doppler, a regardé mes artères et n'en a pas cru ses yeux". Et pour cause, le médecin découvre plusieurs morceaux métalliques de plusieurs centimètres qu'il décide de retirer au plus vite. Ces morceaux sont en train de se déplacer vers son cerveau et risquent de provoquer un AVC.

Nourredine est opéré en avril, à Lyon. Trois morceaux métalliques de 7, 6 et 3 cm sont retirés mais trois autres sont encore dans le corps. Le patient demande réparation et exige d'être indemnisé. "J'aurais pu mourir. J'attends des excuses du chirurgien", explique-t-il au Parisien. Une procédure de négociation à l'amiable a été lancée avec l'hôpital d'Annecy. Le chirurgien s'est dit prêt à assumer ses responsabilités si les experts confirment qu'il y a bien eu faute de sa part.
 

En route pour Barcelone, il agresse une étudiante

«L'une travaille dans un fast-food pour payer ses études, l'autre préfère dépenser son argent pour acheter du cannabis !» La procureur Karline Bouisset ne mâche pas ses mots hier à l'heure de requérir une peine de prison contre un jeune garçon. Un homme tout fin, nerveux, que ne quitte pas des yeux une jeune femme, assise dans la salle d'audience mais qui ne veut pas parler.
Dimanche, vers 1 h 30, ces deux-là se sont croisés boulevard Lascrosses, à Toulouse. Après avoir travaillé dans un restaurant puis bu un verre avec des copines, la jeune femme rentrait chez elle. Un homme s'est approché par-derrière. La jeune femme s'est inquiétée, lui a fait face. Elle a résisté, s'est retrouvée au sol cheville en vrac et a perdu son sac et son portable.
«J'ai pris que le portable» se défend le prévenu, en France depuis deux ans et en situation irrégulière. Sa victime ne le quitte pas des yeux, choquée par son récit de l'agression. Dimanche, une patrouille de police a vite retrouvé le suspect grâce aux indications de la victime. Plus de sac, juste le portable. «Pour manger», essaye ce jeune marocain. «Ne vous inquiétez pas. Je pars à Barcelone», dit-il au tribunal via une interprète. La procureur, agacée par cet homme déjà condamné et aux identités fluctuantes, voulait qu'il reste en prison. Le tribunal a suivi : dix mois ferme. L'étudiante est repartie, à peine rassurée. Son agresseur semblait surpris de ne pas pouvoir reprendre son voyage vers la Catalogne.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/23/1611871-en-route-pour-barcelone-il-agresse-une-etudiante.html

Montpellier : incontrôlable et violent, le fils finit dans le prétoire

La semaine dernière, ce Montpelliérain âgé de 18 ans avait fait régner la terreur au domicile familial. Compte-rendu d'audience devant le tribunal correctionnel.
Que vous ayez été mis à la porte après des actes de dégradation, c’est un peu normal. En tout cas, cela se comprend !", lâche sèchement, à l’endroit du prévenu, la présidente Laporte. À la mère, qui a décidé de ne pas se porter partie civile : "Déjà, en déposant plainte, vous avez fait œuvre utile."
La mère : "Je voulais que l'on m'aide"

Celle-ci le concède à la barre, au sujet de son rejeton : "Je voulais trouver une solution, que l’on m’aide. Je ne voyais plus quoi faire." Car depuis quelques jours, ledit fiston faisait régner un climat de terreur au sein de la famille. Et a littéralement disjoncté entre dimanche et mercredi, en dégradant la porte d’entrée du logement familial, en défonçant celle d’une armoire, avant de s’en prendre à l’Opel Corsa de sa sœur, puis de mettre le feu à un conteneur à ordures ménagères.
"Depuis mon plus jeune âge, je suis comme ça. En cinq minutes, je peux être gentil, m’énerver et devenir hystérique", admet le garçon. Lequel a déjà eu maille à partir avec l’institution judiciaire en 2012, à deux reprises, notamment pour des menaces de mort.
Un conflit avec son père
Cette fois, c’est parce qu’il aurait estimé ne pas avoir été assez payé par son père, avec lequel il travaille de temps à autre sur les marchés, que le jeune homme aurait vu rouge. Un conflit avec son géniteur qui n’est pas le premier, "dont il ne supporte pas l’autorité", note l’expert psychiatre l’ayant examiné.
"On aurait presque envie de faire de la médiation familiale", analyse le représentant du parquet face "à une situation quasi insoluble, qui se finit en scène de violence". D’où ces six mois, tout ou partie assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve, requis sur l’audience.
"Le prison le ferait mûrir ?"
"Est-ce que la prison le ferait mûrir ? Peut-être. Mais pas dans le bon sens"
L’avocate de la défense "Il a entrepris beaucoup de démarches depuis sa dernière incarcération. Il a conscience des difficultés. Je vous demande d’en tenir compte", plaide son conseil. Et l’avocate de s’interroger : "Est-ce que la prison le ferait mûrir ? Peut-être. Mais pas dans le bon sens. L’éloignement temporaire ? Oui, pourquoi pas. Mais cela s’organise."
Sursis et mise à l'épreuve
Rappelant, pour clore : "Il n’y a pas eu de violence physique. Il a tourné cette violence sur des objets."
Magnanimes, les magistrats ont finalement condamné ce fils électrique à quatre mois, intégralement assortis d’un sursis et d’une mise à l’épreuve courant sur deux années. Et prononcé, en parallèle, une interdiction de regagner le domicile familial pendant un mois.

http://www.midilibre.fr/2013/04/22/incontrolable-et-violent-le-fils-finit-dans-le-pretoire,683943.php

Saint-Michel (16) : il maltraite un enfant de 2 ans sous le regard des clients du fast food

La scène se déroule vendredi, en début de soirée, dans le restaurant Quick du rond-point de Girac, à Saint-Michel, dans l'agglomération d'Angoulême, en Charente. Un homme de 32 ans dîne avec son amie, maman d'un petit garçon de 29 mois. La mère va aux toilettes. L'homme, qui n'est pas le père, reste seul avec l'enfant. Le garçon se montre turbulent et l'homme perd son sang-froid.
Sous le regard médusé des clients, le voilà qui sort l'enfant de la chaise haute, le dispute violemment, le secoue et le plaque contre le mur. Selon les témoins, aucun coup n'est cependant porté. Une dame intervient. L'homme, très énervé, ne revient pas à la raison et laisse tomber le garçon au sol.

L'incident s'arrête là. La mère revient. Elle n'a rien vu. Le couple et l'enfant quittent l'établissement, mais la police est aussitôt prévenue.
Ce lundi matin, cet homme de 32 ans, domicilié à La Couronne, a été convoqué au commissariat d'Angoulême, où il a été entendu sous le régime de l'audition libre. Il a reconnu les faits de maltraitance et aurait dit aux enquêteurs ne plus supporter cet "enfant terrible".
Il fera très prochainement l'objet d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), une procédure appelée aussi plaider-coupable.

http://www.sudouest.fr/2013/04/22/saint-michel-16-il-maltraite-un-enfant-de-2-ans-sous-le-regard-des-clients-du-fast-food-1032456-813.php

lundi 22 avril 2013

Yvelines : une jeune femme poignardée dans un train entre Rambouillet et Paris

Une jeune femme de 18 ans a été poignardée dans un train de banlieue, lundi matin, à hauteur de la gare de Coignières, alors qu'elle tentait apparemment de s'interposer dans une dispute.
Les faits se sont déroulés lundi matin peu avant 10 heures. Une jeune femme a été poignardée dans un train de banlieue entre Rambouillet et Paris, à hauteur de la gare de Coignières, dans les Yvelines.

Agée de 18 ans, elle a été "grièvement blessée à l'abdomen par un couteau à lame longue", selon une source policière. Ses jours ne seraient plus en danger.

Selon les premiers éléments recueillis, elle pourrait avoir tenté de s'interposer dans une dispute entre deux personnes. "L'enquête devra déterminer si le coup de couteau a été porté volontairement ou non", a indiqué une autre source.

Un jeune homme de 17 ans a été placé en garde à vue. Il s'est débarrassé de l'arme quelques centaines de mètres avant l'entrée du train en gare de Coignières.
 

L'affaire de harcèlement moral à l'hôpital examinée

En septembre, un pharmacien du centre hospitalier de Soissons a été condamné pour harcèlement moral. Il avait interjeté appel.
Septembre 2012, au tribunal correctionnel de Soissons. Un pharmacien du centre hospitalier est condamné à trois mois de prison avec sursis pour harcèlement moral. Les magistrats de Soissons avaient estimé que son comportement et les insultes qui pleuvaient sur des membres du personnel de ce service avaient nui à leur dignité et dégradé leurs conditions de travail. Une semaine après le rendu de cette décision, le prévenu interjetait appel.
L'affaire vient d'être examinée à la cour d'appel d'Amiens. Les magistrats ont décidé de s'accorder jusqu'au 17 juin prochain pour trancher dans cette affaire délicate. À la barre, le pharmacien qui exerce désormais au centre hospitalier de Chauny, a réfuté, comme en septembre, les accusations établies par des dépositions de salariés devant les gendarmes, l'inspection du travail et la CGT. Il évoque son « exigence » au travail, parle d'un jugement : « excessif, partisan ».
La seule victime à s'être portée partie civile a, elle aussi, réexpliqué aux juges ce qu'elle avait vécu.
Dégradation des conditions de travail
En arrêt de travail depuis six mois, elle a décrit les humiliations, les visites dans le sas alors qu'elle se changeait, un métier qu'elle aime et la direction qui n'a rien fait.
L'audience, qui devait se dérouler sur une journée, a été suspendue vers 19 heures car l'un des conseillers devait… prendre son train. Les parties ont été abasourdies par la décision d'Yves Foulquier, le président. « C'est un dysfonctionnement grave de la justice. On va faire une collecte pour vous offrir un taxi ! », a ironisé Claire Soulé, avocate de la partie civile. Les plaidoiries ont été reportées au lendemain.
« Tous ces agissements répétés ont dégradé les conditions de travail. Il n'est pas compétent car être compétent, c'est aussi encadrer des personnels dans le cadre du respect. Il était méprisant envers les plus faibles », a souligné Claire Soulé. « Vous n'avez pas de preuve, a martelé Caroline Kamkar, avocat de la défense. Il n'y a pas de harcèlement mais un conflit de personnes. Aujourd'hui, c'est lui qui est harcelé ».
Joseph Brunel, l'avocat général, n'a pas requis de peine. Il s'en est remis à la sagesse de la cour…

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/laffaire-de-harcelement-moral-a-lhopital-examinee

Roost-Warendin: un jeune homme perd la vie dans un accident de moto survenu juste devant chez lui

Dimanche, vers midi et demi, les pompiers de Douai ont été appelés pour un accident sur la voie publique, rue Athis, à Roost-Warendin.
Un jeune homme de 25 ans venait de percuter de plein fouet une palissade en béton, juste devant son domicile, alors qu’il circulait sur une moto, une Yamaha blanche, de grosse cylindrée. L’engin, dont la fourche avant s’est pliée lors de la collision, témoigne de la violence du choc.

Pas de casque

Première constatation : l’individu ne portait pas de casque quand l’accident est survenu et n’était pas titulaire du permis moto. Les pompiers d’Auby et le SMUR de Lens sont intervenus également dans les minutes qui suivent.
À leur arrivée, la victime était inanimée et ne réagissait pas aux massages cardiaques. De plus en plus de personnes, choquées en apprenant la nouvelle, se sont massées autour du lieu de l’accident. Pendant plus de cinquante minutes, les secours ont tenté de le ranimer, en vain.
Dans une ambiance pesante du fait de l’attente, l’homme a été malheureusement déclaré mort à 13 h 25. Sous le choc, la mère de la victime, qui était le benjamin d’une fratrie de huit enfants et qui projetait de se marier très prochainement, a fait un malaise et a été prise en charge sur place.
La police devrait ouvrir une enquête pour déterminer les causes de l’accident. La vitesse pourrait expliquer la perte de contrôle de la moto, que la victime essayait en vue d’une future acquisition.

http://www.lavoixdunord.fr/region/roost-warendin-un-jeune-homme-perd-la-vie-dans-un-accident-ia16b0n1193400

A 90 ans, il cherche l'âme soeur au fond du jardin

Parce qu'il se sent bien seul depuis la disparition de son épouse, Roger-Marc, un habitant de Libourne, en Gironde, a décidé de chercher une nouvelle amie via... une pancarte plantée dans son jardin.
Depuis que sa femme est décédée, Roger-Marc est rongé par l'ennui. Avec Simone, disparue il y a six mois à l'âge de 91 ans, il allait au restaurant, se baladait... Cet homme de 90 ans est désormais seul et cela lui fait peur. Le vieil homme le dit au journal Sud-Ouest qui raconte ce matin dans ses pages que Roger-Marc a décidé de trouver une nouvelle compagne par un moyen pour le moins original quoique simple : avec une pancarte plantée dans son jardin où il est écrit : "Cause décès, cherche dame pour vie commune 70-80 ans avec ou sans voiture." Son numéro de téléphone termine ce qui ressemble à un peu à un SOS.

C'est un ami qui lui a rédigé les quelques lignes. Sa main tremble trop. Si Roger-Marc a encore toute sa tête, son corps trahit son âge. Il vient de se faire opérer du genou et a parfois des petits soucis de vessie. Mais il marche et roule en voiture électrique. La dame intéressée n'aura rien à faire à la maison, promet Roger-Marc toujours au journal Sud-Ouest. Elle aura sa propre chambre comme sa feue Simone l'avait. Le nonagénaire ne met pas non plus cette annonce pour les plaisirs de la chair. "Ça fait longtemps que je ne tends plus le bras", explique-t-il avec franchise. Non, il veut juste pouvoir parler à quelqu'un, sortir au restaurant, se balader.

Bordeaux. Reclus de Monflanquin : le nouveau procès du gourou

Reconnu responsable de la ruine d'une famille de notables baptisés les «Reclus de Monflanquin», Thierry Tilly est rejugé aujourd'hui par la cour d'appel de Bordeaux. Le prévenu sera seul à comparaître, son complice présumé s'étant désisté de son appel.
Thierry Tilly, reconnu responsable de la ruine d'une famille de notables un temps surnommée «les reclus de Monflanquin», sera rejugé à partir de ce lundi par la cour d'appel de Bordeaux, cinq mois après sa condamnation en première instance à huit ans de prison.
Il s'agit d'une affaire rare, par son ampleur et la personnalité des victimes, d'abus de faiblesse par sujétion psychologique.
M. Tilly, après avoir fait connaissance à la fin des années 1990 des de Védrines, notables aisés, instruits et honorablement connus du Sud-Ouest, avait réussi à isoler psychologiquement de leurs proches onze personnes de la famille, issues de trois générations, à les convaincre qu'elles étaient victimes d'un complot dont lui seul pouvait les sauver, et à leur faire vendre tous leurs biens à son profit, le tout en une dizaine d'années.

«L'extrême gravité des faits»

A la suite de l'épisode marquant de la séquestration d'une des femmes de la famille pendant une semaine, accompagnée de violences, organisée par M. Tilly pour lui faire avouer un secret imaginaire, certaines victimes avaient alors repris contact avec la réalité. Les autres avaient été «libérées» de l'emprise quelques mois plus tard, avec l'arrestation de M. Tilly en octobre 2009.
Dans son jugement du 13 novembre, le tribunal de Bordeaux avait notamment remarqué que M. Tilly s'était appuyé sur «la situation, l'histoire et le fonctionnement» de cette famille, et avait su en «exploiter les failles
[…] mésententes[…] rivalités[…] et mesquineries» par toute une série de «pressions et de techniques psychologiques».Le jugement avait dénoncé «l'extrême gravité des faits».Thierry Tilly sera seul à comparaître lundi, son complice présumé Jacques Gonzalez, 66 ans, s'étant désisté de son appel le 9 avril, après avoir été condamné à 4 ans de prison. Les deux hommes avaient été aussi condamnés à indemniser les victimes de leur préjudice matériel (un peu plus de 4,6 millions d'euros au total) et de leur préjudice moral (505 000 euros).

Deux semaines de procès

Le parquet sera représenté en appel, comme en première instance, par Pierre Bellet, qui avait requis la peine maximum de dix ans lors du premier procès.
La durée du second devant la cour d'appel, présidée par Michel Barrailla, sera divisée par deux : une semaine au lieu de deux, offrant ainsi une moindre tribune à M. Tilly, un homme qui ne paye pas de mine, mais a fait montre devant le tribunal d'une logorrhée intarissable et d'une imagination sans limites, flirtant souvent avec le comique involontaire.
Mais dès le jugement rendu, le prévenu avait montré un tout autre visage, affirmant aux juges que l'affaire ne «faisait que commencer», laissant entendre qu'il entendait épuiser les moyens de droit.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/22/1611494-bordeaux-reclus-de-monflanquin-le-nouveau-proces-du-gourou.html