lundi 31 mars 2014

Accident à Caen. La voiture se retourne, la conductrice décède

Un accident est survenu, dimanche 30 mars 2014 à Caen, vers 22 h, rue de la Pigacière, en haut du Vaugueux.

Une voiture roulant à faible allure vers le quartier Clemenceau a heurté une voiture stationnée à sa droite, avant de se retourner. La conductrice, une Caennaise de 76 ans, était décédée à l'arrivée des pompiers. À ses côtés, son fils de 39 ans est indemne. La circulation a été déviée jusqu'à environ 23 h 30.

http://www.ouest-france.fr/normandie/calvados/caen-14000#from-breadcrumb

Ils sautent d'un hélicoptère avec leur combinaison ailée et se tuent dans un pâturage

Un Français et un Néo-zélandais se sont tués et un troisième a été grièvement blessé dans les Alpes suisses en pratiquant le wingsuit.
Les trois hommes ont sauté d'un hélicoptère dans la vallée du Luetschental, dans la partie centrale du canton de Berne, samedi après-midi, avec l'intention d'atterrir dans la vallée.
Toutefois, pour une raison non précisée, les trois hommes sont tombés dans un pâturage. Lorsque les secouristes sont arrivés sur les lieux le Néozélandais, 33 ans, et le Français, 34 ans, étaient déjà morts. Le troisième homme, dont on n'a pas précisé la nationalité ou l'âge, a été transporté par hélicoptère dans un hôpital.
Une vingtaine de personnes se tuent chaque année en pratiquant le wingsuit (combinaison ailée), un sport extrême consistant à s'élancer à haute altitude équipé d'une combinaison en forme de chauve-souris.
En août dernier, l'adepte de wingsuit Mark Sutton, qui s'était lancé d'un hélicoptère lors des Jeux Olympiques de Londres de 2012 vêtu en James Bond, s'est tué sur une arête de montagne des Alpes suisses.
Toujours en suisse, ce week-end, une adepte du base jump, un saut extrême qui consiste à se jeter dans le vide depuis un point fixe et d'ouvrir ensuite son parachute, a perdu la vie dimanche après-midi dans l'Oberland Bernois.
La jeune femme, une Suissesse de 35 ans, s'était élancée du Mürrenfluh, situé dans la commune de Lauterbrunnen, en Suisse. Pour une raison inconnue, elle s'est retrouvée en situation de vol instable et a heurté la paroi rocheuse alors que son parachute était ouvert. La base jumpeuse s'est finalement écrasée au sol au pied de la falaise.
http://www.sudouest.fr/2014/03/31/ils-sautent-d-un-helicoptere-avec-leur-combinaison-ailee-et-se-tuent-dans-un-paturage-1510636-7.php

Pour rompre avec le père, elle tue leur bébé

Aline Moléro, 32 ans, comparaît à partir d'aujourd'hui devant la cour d'assises de la Loire pour avoir tué son bébé d'une douzaine de coups de couteau, pour ne plus avoir de lien avec le père dont elle était séparée.
Le 14 février 2012, cette jeune mère au foyer de la région stéphanoise a elle-même prévenu de ce qu'elle venait de commettre. Elle s'est rendue chez des voisins, les vêtements ensanglantés, en disant avoir «fait une grosse bêtise».
L'un d'eux l'a accompagnée dans son pavillon de Roche-la-Molière (Loire), une ancienne ville minière de la région stéphanoise. Il a prodigué un massage cardiaque, en attendant l'arrivée des secours, mais il n'a pu ranimer Amélio qui a succombé en l'espace de quelques minutes à une hémorragie.
Les médecins ont relevé treize plaies provoquées par des coups portés «avec violence» au thorax et à l'abdomen du nourrisson, à l'aide d'un couteau de cuisine retrouvé sur le lit où gisait le corps.

«Je l'ai tué le jour de la Saint-Valentin»

À leur arrivée, les policiers ont constaté le calme, la froideur et l'absence de regret d'Aline Moléro qui leur a déclaré : «Je vous attendais, j'ai préparé mes affaires».
«Je l'ai tué le jour de la Saint-Valentin», a ajouté la jeune femme, comme pour mieux souligner qu'à travers la jeune victime, c'était son père, avec qui elle était séparée depuis plusieurs mois, qui était visé.
Avant de commettre ce geste irréparable, Aline Moléro, parfois décrite comme s'occupant «bien» de ses enfants par son entourage familial, avait confié son fils aîné, polyhandicapé, alors âgé de dix ans, né d'une précédente union, à l'institut médico-éducatif qui l'accueillait durant la semaine.
«Au moins, maintenant je n'aurai plus de lien avec le père (…) je ne le verrai plus en lui», a expliqué peu après le drame l'accusée, qui élevait le nourrisson, confié à son père un week-end sur deux.

Discernement altéré

Après la séparation des parents, survenue en septembre 2011, peu après la naissance d'Amélio, des tentatives de retour à la vie commune n'avaient pas abouti.
Tandis qu'Aline Moléro évoquait des souffrances physiques et morales que lui aurait fait endurer son concubin, qu'elle soupçonnait d'infidélité avec une collègue de travail, ce dernier indiquait que les troubles du comportement de la jeune femme, suivie par un psychiatre, s'étaient amplifiés durant sa grossesse.
Les expertises judiciaires effectuées sur l'accusée ont souligné un «trouble psychiatrique ayant nettement altéré son discernement».
Aline Moléro a indiqué pour sa part qu'elle n'était «pas dans (son) état normal» le jour du drame, après avoir consulté sur Facebook des photos du nouveau-né avec son père.
Le procès est prévu jusqu'à jeudi.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/31/1852186-loire-pour-rompre-avec-le-pere-elle-tue-leur-bebe.html

dimanche 30 mars 2014

Charente : la bande escroquait les grandes surfaces

Quatre individus ont été interpellés. Ils ouvraient des comptes dans les grandes surfaces sous de fausses identités et s'équipaient en électroménager. Le préjudice pourrait s'élever à plusieurs dizaines de milliers d'euros
L
es policiers angoumoisins ont démonté un réseau qui a escroqué plusieurs grandes surfaces de l'agglomération d'Angoulême et de Bordeaux. Tout a commencé vendredi quand une grande surface angoumoisine a émis des doutes sur un jeune client. Agé d'une vingtaine d'années, il tentait d'ouvrir un compte avec de faux papiers d'identité, de faux bulletins de salaire et un faux contrat de travail.
Alertés, les policiers angoumoisins ont interpellé le jeune homme et l'ont placé en garde à vue, avant d'aller perquisitionner à son domicile situé sur la commune de Chadurie. Là, les policiers sont tombés sur un véritable butin (électroménager, informatique, etc.) mais aussi sur un homme âgé de 37 ans, sous tutelle, qui prétendait avoir été séquestré par le jeune escroc.
En parallèle, les policiers ont identifié un complice du jeune escroc. Le complice, domicilié à Angoulême et âgé de 48 ans, vivait également avec un homme placé sous curatelle. Au fil des auditions, les policiers se sont rendus compte que les deux prétendues victimes sous curatelle étaient beaucoup plus impliquées dans l'escroquerie qu'elles ne le disaient.
Les quatre hommes ont donc été placés en garde à vue et déferrés devant le Parquet d'Angoulême ce samedi. Une information judiciaire devrait être ouverte. Les policiers semblent convaincus qu'une grande partie du butin des escrocs a déjà été écoulée. Le préjudice pourrait se monter à plusieurs dizaines de milliers d'euros. 

http://www.sudouest.fr/2014/03/29/charente-la-bande-escroquait-les-grandes-surfaces-1508423-813.php

Orpaillage : et si c'était le début de la fièvre de l'or ?

L'époque n'est certes pas propice à l'exercice. Il convient d'attendre que les cours d'eau baissent pour tenter sa chance. Les chercheurs d'or ressortent ainsi du coin du bois chaque été, grosso modo jusqu'à la fin du mois de septembre. L'orpaillage en Haute-Garonne est certes moins connu que celui qui se pratique en Ariège, mais il commence à intéresser quelques amateurs qui s'aventurent çà-et-là dans certains coins favorables .

Uniquement des professionnels

Aujourd'hui encore, la recherche de l'or est régie par le Code Minier, lequel précise que cette recherche ne peut s'exercer qu'à titre professionnel, ce qui réduit considérablement le nombre de candidats officiels. Ceux-ci ne seraient pas plus de 4 ou 5 en France… métropolitaine, car pour la Guyane c'est évidemment une autre histoire. «Pour les amateurs, il faut une autorisation préfectorale, qui permet de s'affranchir du Code Minier», précise Stéphane Magrin, orpailleur professionnel, qui vit en Lot-et-Garonne mais qui, régulièrement, la saison venue, descend en Ariège pour traquer la pépite.
En Haute-Garonne, trouver des paillettes ne serait plus aussi marginal que cela dans les secteurs référencés. En réalité, il resterait dans le département de nombreux places vierges, peut-être avec paillettes et grains moins volumineux qu'en Ariège, mais sur un cours plus étendu. Surtout, la prospection resterait à faire, d'où l'excitation de certains amateurs, ragaillardis par le phénomène de revente d'or en vogue ces dernières années.

Les sablières interdites

Des amateurs contraints aussi d'abandonner toute idée de placer leurs rouleaux de moquette dans les sablières. «Pour des raisons de sécurité, ce n'est plus possible. La récupération d'or dans les sablières, c'est aujourd'hui chasse-gardée, même si ça a rapporté beaucoup d'argent», confie Stéphane Magrin. Il fait référence au maître en la matière de l'époque, Jean-Claude Le Faucheur. En ce temps-là, en extrayant 400 grammes dans un mois on parvenait à dégager une somme de 16 000 francs ! «Vous savez, ça existe encore, mais disons que les gens restent très discrets !»

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=22654&WS=291720_2501986&WA=4282

Verbalisé en gare pour avoir écouté de la musique avec des écouteurs

Un jeune de 16 ans est rentré à la maison avec une amende de 75 euros pour avoir traversé la gare de Reims (Marne) avec ses écouteurs de musique. La SNCF applique un décret de... 1942.
L'histoire d'Anthony, 16 ans, relatée par le quotidien L'Union, paraît invraisemblable. Le jeune homme a reçu une amende
 de 75 euros, sur la base d'un décret de 1942, selon le journal, qui rapportait ce 28 mars des faits remontant à mai dernier.
Verbalisé pour utilisation d'instrument sonore

Selon Lionel Gazeau, président de l'UFC-Que Choisir de la Marne, cité par L'Union, "Anthony ne prenait même pas le train, il ne faisait que traverser la gare (...) comme tous les jours en rentrant du collège". Selon le responsable de l'association de consommateurs, "l'agent l'a verbalisé pour utilisation d'instrument sonore." Un PV de 45 euros, majoré pour ne pas avoir été réglé sur le champ. Au fil du temps, l'amende a gonflé pour atteindre aujourd'hui 300 euros. En effet, la mère de l'adolescent refuse de la payer, ce qui a entraîné une majoration.
"En ce qui nous concerne, la réglementation a été suivie"
La SNCF justifie l'amende, dans une lettre datée du 24 mars, par un décret de 1942 qui interdit "à toute personne de faire usage sur les quais des gares d'appareils ou instruments sonores", rapporte L'Union. Ce décret s'applique donc, selon la SNCF, aux écouteurs branchés sur un téléphone portable. Au journal, la SNCF a réitéré ses explications, affirmant : "En ce qui nous concerne, la réglementation a été suivie."

http://www.midilibre.fr/2014/03/29/verbalise-en-gare-pour-avoir-ecoute-de-la-musique-avec-des-ecouteurs,841226.php

samedi 29 mars 2014

Soues. Il pointe un fusil de chasse sur trois policiers

Alors qu'il devait comparaître libre, le jeune Lorenzo R. était, pour cette audience correctionnelle, détenu depuis la veille pour des faits de violence sous alcool. Pour l'affaire qui l'occupe, c'est de violence sur personne dépositaire de l'autorité publique commise à Soues en décembre 2013.
Ce premier jour du mois, il rentrait chez ses parents au milieu de la nuit et son état alcoolisé provoque de la part de son père, chez qui il réside, un excès de colère et une dispute. Un coup de fusil part. Les policiers de la BAC sont immédiatement intervenus mais ont eu, en guise de comité d'accueil, un fusil de chasse pointé vers eux. À cet instant, ils ne savaient pas que l'arme ne contenait pas de cartouche et le jeune homme à peine âgé de 20 ans refusait de la poser.
Pour sa défense, le jeune homme a indiqué à la cour n'avoir pas reconnu les policiers, s'emberlificotant dans des explications dont le dossier ne comportait pas de vérification.
Le juge Rivierra a suivi les réquisitoires du procureur Jardin en prononçant comme peine 8 mois ferme, se décomposant en 4 mois ferme aménagés, 4 mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant 18 mois, l'obligation de soigner cette addiction à l'alcool, interdiction de porter une arme et confiscation du fusil de chasse.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/29/1850753-il-pointe-un-fusil-de-chasse-sur-trois-policiers.html

Coups de feu à Nîmes : deux frères en garde à vue

Mercredi soir, un homme a été blessé à Nîmes (Gard)  par arme à feu dans le secteur du quartier de Camplanier.
Deux frères soupçonnés d’être impliqués dans des coups de feu, mercredi soir à Nîmes dans le quartier de Camplanier, étaient, jeudi, toujours en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police.
La victime a été blessée aux jambes suite à ces tirs et hospitalisée à Montpellier. Ses jours ne sont pas en danger. Apparemment, une dispute liée à un différend d’ordre commercial pourrait avoir éclaté entre les deux suspects et la victime et une arme a été utilisée.

http://www.midilibre.fr/2014/03/28/camplanier-coups-de-feu-et-garde-a-vue,840932.php

vendredi 28 mars 2014

Jeune Béarnaise tuée à Bordeaux : entre 25 et 30 ans requis contre David Thibert

La cour d'assises de la Gironde rendra son verdict ce vendredi soir à l'encontre de David Thibert, jugé depuis lundi pour l'assassinat de Bérangère Lassalle, le 13 juin 2012 à Bordeaux.
Jurés et magistrats professionnels doivent encore écouter la plaidoirie de la défense mais ils sont déjà fixés sur la lecture du dossier par l'avocate générale. Relevant "une rage homicide peu commune", elle vient de requérir "entre 25 et 30 ans" de réclusion criminelle et une période de sûreté des deux tiers. "Vous êtes monstrueux", a-t-elle lancé à l'accusé.

http://www.sudouest.fr/2014/03/28/jeune-bearnaise-tuee-a-bordeaux-entre-25-et-30-ans-requis-1507333-2780.php

Meurtre d'Aurélie: trente ans de réclusion requis contre Eric Corniglion

Devant la cour d'assises des Alpes-Maritimes, trente ans de réclusion, assortis d'une période de sûreté des deux tiers, ont été requis vendredi matin à l'encontre d'Eric Corniglion.
Pour justifier une telle peine, l'avocat général Guillaume Bricier a pointé "l'horreur de l'assassinat" reproché au maraîcher de Villeneuve-Loubet "ainsi que les actes insoutenables qui ont suivi", l'enfouissement du corps aspergé de chaux vive dans une fosse à déchets.
>> Assises: Aurélie fut égorgée puis enterrée avec de la chaux
"Corniglion", a souligné le magistrat, "n'a pas eu un mot durant l'audience pour son ex-compagne et mère de son enfant dont il a tranché la gorge avec un couteau, qu'il a saignée comme un cochon. Il a passé les deux tiers des débats, la tête dans les mains, à regarder ses chaussures, pour éviter d'affronter la réalité en face"
Puis s'adressant aux jurés: "Qui a envie de le retrouver d'ici peu dans la rue, qui a envie que sa fille croise le chemin de cet homme qualifié de psychopathe par l'expert psychiatre? A l'heure du délibéré, votre main ne devra pas trembler".
Eric Corniglion nie avoir assassiné en juin 2011 Aurélie, serveuse de 21 ans unanimement appréciée.
>> Meurtre d'Aurélie: Eric Corniglion accusé d'assassinat par sa propre soeur
Il jure avoir découvert fortuitement le corps avant de l'enterrer sur la propriété agricole de ses parents.
Sa défense va plaider le doute, solliciter une condamnation pour un "simple" recel de cadavre.
Le verdict est attendu dans l'après-midi ou en soirée.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/meurtre-daurelie-trente-ans-de-reclusion-requis-contre-eric-corniglion.1673445.html

Route de Launaguet. Un enfant de 7 ans fauché devant une école

Un accident spectaculaire s'est produit hier matin, peu avant 8 h 30, à proximité de l'école Olympe de Gouges, route de Launaguet, dans les quartiers Nord de Toulouse. Un enfant de 7 ans a été percuté par une voiture alors qu'il traversait la chaussée.
Selon les premières constatations, il traversait sur un passage protégé alors que le feu était au rouge pour les piétons. Il s'était engagé en raison d'un bouchon sur l'une des voies. Il n'avait pas observé que la circulation était fluide dans l'autre sens. Il a donc débouché et a été percuté par la voiture d'un automobiliste pour lequel le feu tricolore était au vert.
Rapidement, les sapeurs-pompiers et la police se sont rendus sur place où l'écolier a été médicalisé. Il a ensuite été conduit à l'hôpital des enfants de Purpan où il a été opéré hier après-midi. Il souffrait de fractures au niveau de ses deux jambes. Malgré l'inquiétude, ses jours n'étaient pas engagés.
Le conducteur a été, pour sa part, conduit au commissariat central où il a été entendu hier, en fin de matinée par les policiers spécialisés dans la lutte contre l'insécurité routière. Il a pu ressortir libre à l'issue de son audition.
Les témoignages des personnes présentes au moment de l'accident ont également été recueillis. Une enquête est ouverte afin de déterminer avec précision les circonstances de cet événement

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/28/1850347-route-launaguet-enfant-7-ans-fauche-devant-ecole.html

jeudi 27 mars 2014

Salignac-sur-Charente (17) : accident entre deux véhicules, la circulation ferroviaire perturbée

Un accident s'est produit ce jeudi matin entre 7h30 et 7h45 entre deux véhicules à côté un passage à niveau à hauteur de Salignac-sur-Charente. La circulation ferroviaire entre Saintes et Angoulême n'est pas interrompue mais elle est perturbée. Les trains circulent à allure réduite. Il ne devrait y avoir qu'un retard de quelques minutes. Une des deux personnes, légèrement blessée, a été transportée à l'hôpital de Cognac.
Les secours sont toujours actuellement sur les lieux de l'accident. 

http://www.sudouest.fr/2014/03/27/salignac-sur-charente-17-accident-entre-deux-vehicules-la-circulation-ferroviaire-perturbee-1506059-1391.php

Lourdes. Les deux amoureux volent l'hôtel

Ils sont deux à comparaître pour des faits de vol commis à Lourdes le 22 septembre dernier. Nicolas a 31 ans ; sa compagne, Amélie, 23. Le premier est détenu pour une autre affaire et dispose d'un casier judiciaire bien fourni avec 9 condamnations. Amélie a été condamnée en Espagne, le 27 septembre, pour un autre vol, tout comme son compagnon.
Nicolas a été mis à la porte de chez lui à l'âge de 15 ans. Dans un foyer de Nantes, il fait la connaissance de sa compagne. «On va se marier quand il sortira», avoue, à la barre, Amélie. Les deux amoureux vivent leur idylle sans logement et sont contraints de vadrouiller. «Quand on n'a rien et pas de famille, on doit bien manger», déclare Amélie pour expliquer les vols de son compagnon. De passage pour un pèlerinage à Lourdes, ils louent une chambre dans un hôtel de la ville. Dans la soirée, un violent accident dans la rue de l'établissement réveille le couple. Ils descendent et découvrent un hôtel vide de ses responsables, tous pris de curiosité par l'accident. «On est allés faire un petit tour. Il y avait un sac posé sur un bureau avec 450 € dedans. Un tiroir avec une montre et un collier, et on a pris les 150 € qu'il y avait dans la caisse», avoue Nicolas. Le jour même, le couple quitte Lourdes pour l'Espagne. «Pourquoi avez-vous été arrêtés en Espagne ?», demande le président. «On passait une soirée en amoureux», lui répond Amélie. «Ce n'est pas pour ça qu'on vous a arrêtés !», s'exclame la présidente. Car les deux comparses de cœur n'ont pas tardé à rééditer leurs actes de l'autre côté de la frontière. «On a tapé la caisse de l'hôtel», avoue Amélie. «C'est habituel de voler pour vous ?», demande la présidente. «On était dans une situation précaire, sans logement et sans argent», ajoute l'homme qui ne semble pas inquiet.
Trois mois plus tard, le couple retourne à Lourdes. La gérante de l'hôtel reconnaît les suspects près de la gare. Leur pèlerinage tourne court, ils sont arrêtés par la gendarmerie, et passent aux aveux. Quant au sort des bijoux que l'avocat des parties civiles demande : «Je n'ai pas un planning dans la tête», s'agace Amélie. Estimés par un expert à 3.450 € pour la montre et 1.400 € pour le collier, «on les a vendus autour de 200 € chacun», se souvient Nicolas. Quand la présidente aborde leur avenir, les deux présumés innocents se cherchent du regard. «C'est dur pour elle. Elle est en foyer à Mont-de-Marsan, elle essaye de s'en sortir seule. On va se marier quand je sortirai», déclare Nicolas, «on va se marier bien avant», s'avance Amélie en le regardant. «Je ne suis pas sûre que le mariage soit une priorité», note la présidente.
«Si tous les pèlerins commençaient à voler, on ne s'en sortirait pas», constate Mme le procureure, qui requiert 10 mois de prison pour l'homme et 6 mois avec sursis pour la jeune femme.
Nicolas est condamné à 8 mois de prison, sa compagne à 6 mois avec sursis. Au moment de quitter l'audience, Amélie cherche le regard de Nicolas, elle veut lui parler. C'est trop tard. Pour leur mariage, espérons que les deux amoureux ne voleront pas l'autel.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/27/1849214-les-deux-amoureux-volent-l-hotel.html

Coups de feu à Nîmes : un blessé et des arrestations

Ce mercredi soir, un homme a été blessé à Nîmes (Gard) par arme à feu dans le secteur du quartier de Camplanier.
 
[TIT_G]Nimes [/TIT_G][TIT_M]Coups de feu: un blessé
[/TIT_M][TXT]Les policiers de Nîmes sont intervenus hier soir dans le secteur du chemin de Camplanier sur une affaire de coups de feu dans laquelle un homme a été blessé pour des motifs encore imprécis. Une victime a dû être transportée au CHU de Nîmes. Ses jours ne sont pas en danger. Des suspects ont été placés en garde à vue.
Les policiers de Nîmes (Gard) sont intervenus, mercredi soir, vers 18 h, dans le secteur du chemin de Camplanier sur une affaire de coups de feu dans laquelle un homme a été blessé à la jambe. La victime a dû être transportée au CHU de Nîmes. Ses jours ne sont pas en danger. Des suspects ont été placés en garde à vue. Les investigations sont en cours.
 

mercredi 26 mars 2014

Bayonne : prison pour l’apprenti braqueur

Yoann Letuppe a passé un an derrière les barreaux pour le vol à main armée commis le 20 juillet 2012 dans un bureau de tabac du quartier Saint-Esprit à Bayonne. Il a échappé de peu à la cour d'assises même si tous les ingrédients étaient là : cagoule, gants, Smith et Weston factice. Il a crié « je vais te buter » au policier fraîchement retraité qui se trouvait là par hasard et a tenté de le raisonner.
Manque de chance pour l'apprenti braqueur, il n'avait pas affaire à un apprenti policier : celui-ci a usé de toutes les ficelles du métier : le raisonner n'a pas marché, il s'est esquivé hors du magasin puis l'a suivi à distance pour repérer comment il fuirait tout en alertant les riverains. La course-poursuite s'est achevée 500 mètres plus loin dans un terrain vague où le braqueur s'était caché dans un buisson. Les buralistes écoutent abattus les explications vagues du prévenu. Même son avocat Me Diallo intervient pour lui arracher quelques mots sur sa situation de dépendance et la pression mise par son dealer qui l'aurait poussé à commettre le braquage.
Sept joints quotidiens
Ce jeune toxicomane bayonnais âgé d'à peine 18 ans à l'époque des faits était déjà très dépendant du cannabis : sept joints par jour et 2000 euros de dettes chez son fournisseur. Aujourd'hui, il n'est plus qu'à quatre joints par jour et trouve qu'il a progressé. C'est ce que souligne son avocat pour qui la détention provisoire d'un an a permis d'entamer un processus positif. Le procureur remarque que le contrôle judiciaire, qui lui interdit de toucher aux drogues, n'est pas respecté: la magistrate a requis trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis.
Le tribunal a préféré ne pas le renvoyer en prison et faire peser sur lui deux ans de sursis.

http://www.sudouest.fr/2014/03/26/prison-pour-l-apprenti-braqueur-1504400-4018.php

Cahors. L'alcool leur fait perdre la raison

Des affaires de violences liées à l'alcool étaient jugées hier après-midi devant le tribunal de police à Cahors. Deux prévenus avaient déjà un casier judiciaire chargé.
Dominique G, 52 ans, sous tutelle comparaît accompagné de sa curatrice, en ce mardi après-midi, au tribunal de police de Cahors. Il lui est reproché d'avoir commis des dégradations sur un véhicule en donnant des coups de pied, le 21 janvier 2014 aux Quatre-Routes-du-Lot. La victime le reconnaît, alerte la gendarmerie. Ils constatent l'infraction. A la barre, Dominique G. nie les faits. Avec véhémence parfois. Il provoque parfois le courroux du président. «À vous entendre, vous dites que vous n'y étiez pas, vous. Pourquoi la victime vous a formellement reconnu ?» interroge-t-il. Le prévenu n'en démord pas, il ne connaissait pas la victime, n'a jamais donné des coups de pied. Au moment des faits, il était en état d'ivresse. Son addiction à l'alcool remonte à une vingtaine d'années. Son enfance est marquée par un père alcoolique qui le tapait, lui et sa mère. L'expertise psychiatrique relève de l'immaturité, une angoisse abandonnique, l'alcool venant chez lui combler la dépression, pas de démence. «On n'a aucune raison de mettre en cause la parole de la victime. Je tiens en compte la personnalité du prévenu. Je vous demande néanmoins de retenir sa responsabilité. Je requiers une peine d'amende de 200 €» observe le ministère public. «Il y a chez mon client une extrême souffrance. Il a sombré dans l'alcool. Ce n'est pas une raison de le rendre coupable de tous les préjudices subis par des personnes. On n'a aucun témoin des faits. Le bénéfice du doute doit bénéficier au prévenu» remarque Me Lynda Tabart, son avocate. L'affaire est mise en délibéré au 20 mai.
Puis Jean-Michel W, 28 ans, comparaît, note le ministère public, pour un sixième fait de violence. Ils sont pour la plupart commis alors qu'il est ivre. Le 4 octobre 2012 à Prayssac, il attend la commande d'une pizza. Il est en état d'ivresse, insulte des personnes qui se trouvent dans l'établissement. Un monsieur tente de le raisonner. Il se prend un coup de poing. La victime se constitue partie civile, demande 400 € de dommages et intérêts pour préjudice moral. «Se comporte-t-on ainsi devant des personnes qui sont venues passer un moment ensemble, qui veulent être tranquilles ? Vous êtes intolérant» lance le président. «À 28 ans, il est temps de passer à autre chose, Je demande une peine d'amende qui ne soit pas inférieure à 500 €» formule le ministère public. L'affaire est là aussi mise en délibéré au 20 mai.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/26/1848130-l-alcool-leur-fait-perdre-la-raison.html

Boulogne : la fillette avait inventé sa tentative d’enlèvement

Ce n'était qu'un mensonge de petite fille. Les enquêteurs du service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine avaient été saisis d’une mystérieuse affaire de tentative d’enlèvement en pleine rue à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Vendredi 21 mars, vers 12h40, rue de la Saussière, dans le centre-ville, l'enfant enfant de 10 ans, au téléphone avec sa mère, avait expliqué être importunée par un homme, qui avait, selon elle, tenté de la faire monter de force dans sa voiture.

 La mère de l’enfant qui entendait ce qui se passait avait hurlé à sa fille de se débattre et de prendre la fuite. L’enfant avait par la suite expliqué avoir réussi à échapper à l’étreinte de son mystérieux agresseur avant de se réfugier dans un centre tout proche. Elle avait décrit l'homme, habillé en costume et âgé d’une quarantaine d’années, qui, selon elle, était remonté dans son véhicule avant de prendre la fuite. Le parquet de Nanterre avait ouvert une .

Il semble en fait que l'enfant ait inventé toute cette histoire terrifiante pour justifier son retard
 
http://www.leparisien.fr/faits-divers/boulogne-mysterieuse-tentative-d-enlevement-d-une-enfant-en-pleine-rue-25-03-2014-3708483.php

mardi 25 mars 2014

Enquête sur des soupçons de maltraitance dans un hôpital gériatrique du Val-d'Oise

"Une enquête concernant les dispositifs de prévention de la maltraitance au sein de l'hôpital Charles Richet a été diligentée le 18 mars", a déclaré un membre de la direction générale de l'AP-HP, confirmant une information du journal Le Parisien.

Ces investigations font suite à plusieurs plaintes déposées auprès de l'Agence régionale de santé (ARS) par des familles de patients, qui dénoncent un comportement maltraitant du personnel de santé. Selon l'AP-HP, elles ne visent pas un membre du personnel en particulier mais "un état général". "L'enquête, première du genre concernant cet établissement,
devra déterminer les personnes visées, la gravité des faits dénoncés et les circonstances" dans lesquelles une possible maltraitance a eu lieu, a précisé cette source.

Prévue pour durer "quelques semaines", cette enquête devra donner "des réponses rapides aux familles", a-t-elle encore dit. "Nous sommes très sensibles à la maltraitance", a réagi mardi une porte-parole de l'établissement, qui revendique la "transparence". "En parallèle à cette enquête, nous avons d'ores et déjà mis en place un plan d'action, avec notamment des formations de bientraitance et des remises à niveau du personnel sur les bonnes pratiques", a-t-elle précisé.

Ouvert en 1965, l'hôpital Charles Richet est situé à une quinzaine de kilomètres de Paris sur un terrain de 8,3 hectares dont 4,5 d'espaces verts. Il accueille près de 480 personnes pour des soins de longue durée, des courts séjours, des soins palliatifs, de médecine gériatrique, de réadaptation, et possède une unité d'hébergement pour les personnes dépendantes. L'hôpital compte 23 médecins et 672 professionnels de santé.


http://paris-ile-de-france.france3.fr/2014/03/25/enquete-sur-des-soupcons-de-maltraitance-dans-un-hopital-geriatrique-du-val-d-oise-442257.html

Boeing de la Malaysia Airlines : "un mystère semblable à aucun autre

ême si les recherches parviennent à localiser par miracle les boites noires du vol MH370, abîmé au fond de l'océan Indien, les experts estiment peu probable que le mystère de la disparition du Boeing de Malaysia Airlines soit un jour dissipé.
Des avions, des navires et tout un arsenal technique sont à l'affût de la moindre trace du Boeing 777 de Malaysia Airlines dont la Malaisie indique qu'il est tombé en mer le 8 mars, avec 239 personnes, à bord, très loin de sa trajectoire prévue.
Localiser les boites noires dans l'immense zone de recherche, à quelque 2.500 km au sud-ouest de Perth, sur la côte occidentale australienne, relève presque de la mission impossible. Mais même si les enquêteurs les récupèrent, les experts estiment que ces enregistreurs pourraient ne pas fournir les clés du mystère.
Pourquoi le Boeing a-t-il subitement changé de cap, une heure après le décollage de Kuala Lumpur, pour repartir vers l'ouest, à l'opposé de sa destination prévue (Pékin) ? Pour quelles raisons les systèmes de communication ont-ils été désactivés ? Comment se fait-il que l'avion ait ensuite volé pendant plus de sept heures, jusqu'à épuisement de son carburant ? Et pourquoi aller se perdre aux confins du sud de l'océan Indien, loin de toute terre ?
Le DFDR (Digital flight data recorder), qui enregistre tous les paramètres de vol (vitesse, altitude...), "devrait fournir quantité d'informations", indique le cabinet d'analyses Leeham Co.  Mais l'enregistreur de vol phonique, deuxième boite noire à bord d'un avion commercial, qui révèlerait les paroles échangées dans le cockpit, et donc les décisions, ne garde que les deux dernières heures des conversations en vol.
"Peu probable qu'on obtienne un jour une explication"  
Les mots échangés lors du brusque changement de cap, à mi-chemin entre les côtes malaisiennes et vietnamiennes, sont donc perdus. L'enregistreur "ne dira rien de ce qui s'est passé au-dessus du golfe de Thaïlande. Ça aura été effacé", ajoute Leeham Co. dans une note.

Trois scénarios ont été évoqués : le détournement, un sabotage de la part d'un ou des deux pilotes, une crise soudaine qui rend incapables d'agir les pilotes et l'équipage et laisse l'appareil en pilotage automatique jusqu'à la fin.  Mais rien pour le moment n'étaye aucune de ces hypothèses.

Pour Chris Yates, expert dans l'industrie aéronautique, "il semble peu probable qu'on obtienne un jour une explication" à l'équipée folle du Boeing. "Nous n'avons toujours aucune idée de l'état mental du pilote et du co-pilote, nous ne savons pas si quelqu'un a pu s'introduire dans le cockpit pour s'emparer des commandes, et nous n'avons reçu aucune revendication", a-t-il noté sur la BBC.  "C'est un mystère semblable à nul autre".
Des avions australiens et chinois ont repéré lundi des débris, qui pourraient être ceux de l'avion, dans la zone de recherches. Un navire dépêché sur place pour récupérer ces objets et les identifier a dû faire demi-tour en raison de très mauvaises conditions météo mardi.
"En tant qu'enquêteurs, nous avons besoin de preuves physiques. Et pour le moment nous n'avons aucune preuve physique sur laquelle travailler", souligne Anthony Brickhouse, membre de la société internationale des enquêteurs sur la sécurité aérienne.
La balise des boites noires va continuer d'émettre une quinzaine de jours environ. Si les boites noires ne sont pas retrouvées, "il est probable que nous ne saurons jamais ce qui s'est passé", estime Paul Yap, professeur à l'université polytechnique Temasek de Singapour.

http://www.sudouest.fr/2014/03/25/avion-disparu-de-la-malaysia-airlines-un-mystere-jamais-eclairci-1503871-7.php

Meurtre d'Aurélie: Eric Corniglion accusé d'assassinat par sa propre soeur

"Lors d'un parloir en janvier 2012, j'ai demandé à Eric si c'était lui qui avait tué Aurélie" raconte mardi la soeur de l'accusé, Marie-Christine Corniglion, devant la cour d'assises des A.M.
"Ne me pose pas la question, tu connais la réponse". "Non". "Après s'être assuré de l'absence de micros, Eric m'a alors tout dévoilé. Comment il avait frappé à coups de barre de fer Aurélie avant de l'égorger - la pauvre n'a pas eu le temps de crier - avec un couteau".
Marie-Christine, mère au foyer âgée de 35 ans, s'interrompt, submergée par l'émotion. "Il m'a expliqué avoir fait cela pour son fils, qui serait mieux sans sa mère. En ajoutant: je n'envisage pas de rester là (en prison) longtemps".
>> Lire aussi. Meurtre d'Aurélie aux assises: "Je ne vais pas payer pour un autre"
"Donc, il supprime la mère pour garder l'enfant" résume à la partie civile Me Gérard Baudoux. "Oui. J'aurais mieux fait de ne pas aller à ce parloir. J'aurais préféré ne pas savoir". Tout au long de la déposition de sa soeur, Eric Corniglion a baissé la tête.
C'est pourtant d'une voix assurée qu'il rétorque: "Elle raconte plein de conneries. Je lui ai simplement dit que j'avais trouvé le corps avant de l'enterrer. Le reste, elle l'a inventé, comme la brigade d'Auvare (les enquêteurs de la sûreté départementale). Vous ne trouvez pas bizarre qu'ils disent tous la même chose? (un oh de stupéfaction parcourt les parties civiles).
>> Lire aussi. Meurtre d'Aurélie à Cagnes: Eric Corniglion a-t-il tout avoué à des policiers?
"Votre frère" lance à Marie-Christine Me Laure Teresi "était le préféré de vos parents, vous étiez jalouse de lui". "Etre sa soeur, c'est vivre avec un tel poids sur les épaules? réplique Marie-Christine. "J'ai dit strictement la vérité, en mon âme et conscience".

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/meurtre-daurelie-eric-corniglion-accuse-dassassinat-par-sa-propre-soeur.1668592.html

Tout le monde ignore où se trouve le petit Habib

Toujours pas de nouvelle d'Habib, 15 mois, enlevé par son père qui en avait la garde, le 19 janvier dernier.
Suite à notre article du 19 mars dernier retraçant la détresse de Jennifer Dana, la mère du petit, la famille de Mehdi Nedder, son père, a tenu à faire part de son inquiétude quant à la disparition d'Habib. Les parents Nedder et leur fille Aïcha disent n'avoir aucune nouvelle du petit. Ils écartent cependant l'hypothèse d'une fuite en Algérie. D'après Aïcha Nedder, personne en Algérie n'a été en contact avec son frère ces deux derniers mois. L'hypothèse est d'autant moins probable que les papiers de Mehdi Nedder ne sont plus valables. Les grands-parents d'Habib ont perdu un fils qui portait le même prénom que le petit en 2004. Ce qui selon leur fille Aïcha les plonge dans une profonde souffrance.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/25/1847675-tout-le-monde-ignore-ou-se-trouve-le-petit-habib.html

Mende : des membres de RESF enchaînés pendant une heure aux grilles de la préfecture

A Mende, des membres du réseau éducation sans frontières, s'enchaînent aux grilles de la préfecture et  protestent ainsi contre les menaces d'expulsion de plusieurs familles.
Une centaine de personnes se sont réunies, ce lundi soir, devant la préfecture de Lozère pour soutenir plusieurs familles menacées d'expulsion. Une délégation de représentants du réseau éducation sans frontières (RESF) a été reçue par le préfet Guillaume Lambert.
Une entrevue qui a finalement tourné court lorsque le préfet a lui-même mis fin à l'entretien. Une douzaine de personnes du réseau a donc décidé de s'enchaîner au grilles de la préfecture en interprétant "le chant des partisans" et aux cris de "Valls démission".
Plusieurs familles menacées
Mardi dernier, un jeune Ghanéen en situation irrégulière avait été interpellé à Marvejols avant d'être envoyé vers le centre de rétention de Nîmes. Deux autres familles d'origine Tchétchène sont également menacées d'expulsion vers leur pays d'origine où elle se retrouveraient en situation dangereuse. 
Une action symbolique
Au bout d'une heure, les militants ont choisi de mettre fin à leur action symbolique. La manifestation s'est dispersée dans un froid glacial. 
RESF donne rendez-vous dès ce mercerdi à 17 h 30 devant la cathédrale à tous ceux qui souhaitent protester contre les menaces d'expulsions et 'l'enfer que l'on fait vivre à ces familles et à leurs enfants traumatisés". 
"On ne lâche rien", lançait un militant plus déterminé que jamais.

http://www.midilibre.fr/2014/03/24/resf-s-enchaine-aux-grilles-de-la-prefecture,838958.php

lundi 24 mars 2014

REIMS (51). Chute mortelle pour le cambrioleur

L’homme retrouvé mort vendredi matin au pied d’un immeuble du boulevard Lundy à Reims est bien un cambrioleur victime d’une chute alors qu’il venait de s’introduire par escalade des balcons dans un appartement du quatrième étage. Sans réveiller les trois occupants, il a volé un sac à main et un porte-cartes avant de tomber au moment de repartir par le même chemin. Il est mort sur le coup. Rémois de 30 ans, le jeune homme était déjà connu de la police pour des affaires de vols.
C’est le deuxième cambrioleur victime d’une chute mortelle à Reims en moins d’un an. Fin avril 2013, un Roumain était tombé de cinq mètres en passant à travers le toit d’une entreprise de la rue Emile-Druart. Abandonné par ses complices, il avait agonisé plusieurs heures avant de succomber à ses blessures.

http://www.lunion.presse.fr/region/reims-51-chute-mortelle-pour-le-cambrioleur-ia231b0n321137

Une femme grièvement blessée dans un accident

Hier matin, vers 10h30, une conductrice a perdu le contrôle de sa voiture sur la D900 à Apt, dans le secteur du viaduc. Agée de 45 ans et inconsciente, elle a été secourue par les sapeurs-pompiers qui, dans un premier temps, l'ont transportée au centre hospitalier local. Devant la gravité de ses blessures, les médecins ont fait appel à un hélicoptère pour la transférer vers l'hôpital Nord de Marseille.

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2803344/apt-une-conductrice-grievement-blessee-dans-un-accident.html

Corse : deux disparus, un couple soupçonné

Un couple a été placé en garde à vue dimanche à la gendarmerie de Corte, en Haute-Corse, dans l'enquête sur la disparition de deux habitants d'un village du centre de l'île, une femme de 83 ans et son fils âgé de 50 ans, a-t-on appris de source proche de l'enquête. D'importantes recherches ont été menées depuis samedi pour retrouver les deux habitants de Poggio-di-Venaco portés disparus depuis vendredi soir.
L'alerte avait été donnée par le second fils de l'octogénaire, inquiet de ne pas avoir vu sa mère et son frère rentrer chez eux. Le motif de leur disparition pourrait être une querelle de voisinage. Cette famille d'origine portugaise, apparemment sans histoire, est installée depuis une quarantaine d'années dans ce village de moyenne montagne.
Les recherches se sont concentrées aux alentours du village. Des chiens et un hélicoptère du peloton de haute-montagne de la gendarmerie ont été mis mobilisés. Des techniciens des services d'identification criminelle ont procédé à des prélèvements d'indices dans la maison où des traces de sang ont été découvertes, de source proche de l'enquête. La voiture de la famille se trouvait à son emplacement de stationnement habituel.
 

dimanche 23 mars 2014

Incendie mortel de Salies-de-Béarn : la piste criminelle confirmée

Les experts ont constaté plusieurs départs de feu dans l'immeuble où une jeune femme de 19 ans et son bébé de quelques mois ont péri dans la nuit de jeudi à vendredi
Le procureur de la République de Pau Jean-Christophe Muller a confirmé ce samedi après-midi que l'incendie mortel de Salies-de-Béarn était d'origine criminelle. "Plusieurs départs de feu ont été constatés par l'expert en incendie qui est venu sur les lieux ce matin", explique le magistrat.
Lequel expert a relevé des départs de feu au deuxième étage, où vivait une famille dont la jeune maman de 19 ans, Aurélie, et son bébé de 8 mois, Kaylana, ont péri dans l'incendie, vraisemblablement asphyxiées par les fumées avant l'intervention des pompiers. Le jeune père de famille de son côté a pu échapper à la mort après s'être réfugié dans la salle de bain, et appeler à l'aide, alors que sa femme et sa fille étaient coincées dans le salon par les flammes. Il était une heure du matin dans la nuit de jeudi à vendredi.
Les gendarmes de la section de recherche de Pau, saisis de l'enquête, envisageaient dès vendredi la piste criminelle, relevant que deux incendies, eux aussi vraisemblablement d'origine criminelle, avaient été constatés ces derniers temps contre l'immeuble. Le premier la semaine dernière au niveau des boîtes aux lettres, et un deuxième, pas plus tard que mercredi dernier, au niveau de la cave du bâtiment.
Reste à savoir s'il faut lier ces trois incendies, et surtout à connaître les motifs du ou des incendiaires. Visaient-ils particulièrement un des dix résidents de l'immeuble situé dans le centre-ville de Salies ? C'est ce à quoi tentent de répondre les gendarmes, alors que le drame a profondément ému la commune

http://www.sudouest.fr/2014/03/22/incendie-mortel-de-salies-de-bearn-la-piste-criminelle-confirmee-1500518-4398.php

Autocar de 44 passagers accidenté près de Toul cette nuit

Un accident corporel impliquant un bus d'origine néerlandaise s'est produit dans la nuit de samedi à dimanche vers 2 h du matin sur l'A31, dans le sens Luxembourg-Lyon (nord-sud), en Meurthe-et-Moselle à hauteur de Toul. Les voies ont été partiellement neutralisées pour le dépannage de l'autocar. Les passagers, en majorité jeunes et enfants, en attente d'un autocar de remplacement ont été évacués durant la nuit par une société de transport locale et transportés dans un gymnase de la ville de Toul.

Ce bus hollandais, transportant 44 jeunes néerlandais devant passer des vacances au ski, était parti des Pays-Bas et se rendait dans les Alpes. Le chauffeur a perdu le contrôle du bus vers 2h, au niveau de la jonction entre la RN4 allant vers Bar-le-Duc, et la portion autoroutière menant au péage de Gye. C’est à ce niveau que le chauffeur a percuté le musoir central, faisant ensuite un tout-droit pour terminer sa course dans un champ, une centaine de mètres plus loin, mais sans se renverser.
Les 44 jeunes passagers, tous indemnes, ont été pris en charge peu de temps après par un autre autocar affrété spécialement, et ont pu poursuivre leur route. Le chauffeur, faisant état de légères douleurs aux jambes, a quant à lui été transporté vers l’hôpital de Toul pour une visite de contrôle, avant son audition.
A ses côtés au moments de l’accident, le second chauffeur était endormi
 

Stade de France : Les Rolling Stones en concert le 13 juin

Les Rolling Stones donneront un concert au Stade de France, le 13 juin, pour la première fois depuis 2007, dans le cadre de leur tournée "14 on fire". 
Les billets seront mis en vente le vendredi 28 mars pour ce concert annoncé comme une date "unique". Toutefois, selon le Parisien/Aujourd'hui en France, une deuxième date pourrait être prochainement annoncée. Les Rolling Stones donneront d'autres concerts en Europe en "mai, juin, et juillet", ajoute le communiqué sans plus de précision. Plusieurs dates ont déjà été annoncées pour le mois de juin en Allemagne, aux Pays-bas, en Belgique et en Italie. Après plusieurs années d'absence, le groupe est remonté sur scène fin 2012 pour fêter son 50e anniversaire avec une série de concerts en Angleterre et aux Etats-Unis, précédés par deux tours de chauffe dans de petites salles parisiennes. Il a depuis effectué une tournée aux Etat-Unis en 2013 et entamé 2014 par une tournée en Asie et en Australie.
Les Rolling Stones aiment la France
Le groupe y a mis un terme prématurément la semaine dernière, en raison du suicide de la styliste américaine L'Wren Scott, compagne de longue date de Mick Jagger, retrouvée morte dans son appartement à New York. Les Rolling Stones ont promis de revenir en Australie et Nouvelle-Zélande "aussi vite que cela serait possible". Mick Jagger et Keith Richards n'ont plus joué au Stade de France depuis 2007. En février, le groupe est venu répéter sa tournée en région parisienne, faisant naître des rumeurs de concert surprise, à l'image de ceux donnés au Théâtre Mogador et au Trabendo en 2012. Mais seuls quelques fans ont été invités pour un concert improvisé dans le studio au dernier jours des répétitions.

http://www.midilibre.fr/2014/03/23/stade-de-france-les-rolling-stones-en-concert-le-13-juin,838076.php

Aude : un Perpignanais flashé à 214 km/h sur l'A9

Ce samedi, en fin de journée, un automobiliste a été contrôlé à 214 km/h. Son permis lui a été retiré immédiatement. 
La brigade rapide d'intervention de la gendarmerie, en patrouille samedi après-midi sur l'A9, a intercepté un automobiliste qui roulait à 214 km/h, rapportent nos confrères de L'Indépendant. Ce Perpignanais était au volant d'une voiture puissante à hauteur de Vinassan, dans le sens nord-sud, lorsqu'il a été arrêté. 
Son permis lui a été retiré et devra comparaître devant le tribunal de police de Narbonne le 27 mai prochain.  

http://www.midilibre.fr/2014/03/22/aude-un-perpignanais-flashe-a-214-km-h-sur-l-a9,837934.php

samedi 22 mars 2014

Trois jeunes se tuent dans un accident de la route en Saône-et-Loire

Trois jeunes âgés de 14 à 22 ans ont péri samedi matin dans une collision avec un autre véhicule, à Palinges, en Saône-et-Loire, a-t-on appris auprès des pompiers.
L'accident s'est produit vers 10H40 sur une route départementale à une vingtaine de kilomètres au sud de Montceau-les-Mines.

Dérapage

La voiture conduite par un jeune 20 ans, et dans laquelle avait pris place son jeune frère de 14 ans et un ami de 22 ans, a dérapé en sortie de virage sur une portion limitée à 70 km/h et s'est mise en travers de la route, selon les constatations des secours.
Les trois occupants du véhicule sont morts dans la collision. L'occupante de l'autre véhicule, une femme âgée d'une cinquantaine d'années, a été grièvement blessée.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1330642/20140322-trois-jeunes-tuent-accident-route-saone-et-loire

A29: un pneu éclate...un blessé grave

Les faits se sont produits ce vendredi vers 12h30 sur l'A29 à hauteur de Courcelles-sous-Moyencourt (80): 4 personnes circulaient à bord d'un véhicule léger lorsque l'un des pneus a éclaté.

La voiture a fait plusieurs tonneaux. Son conducteur a été héliporté vers le CHU d'Amiens dans un état grave. Les 3 passagers sont légèrement blessés.

La circulation se fait depuis sur une seule voie dans le sens Saint-Quentin/Neufchâtel.


http://picardie.france3.fr/2014/03/21/a29-un-pneu-eclateun-blesse-grave-437863.html

Saint-Jean-d'Angély : une maison ravagée par les flammes

Les pompiers sont intervenus vendredi matin sur un incendie qui s’est déclenché dans une maison, apparemment accidentellement
Un incendie a plongé une partie de la ville de Saint-Jean-d'Angély dans une épaisse fumée noire, vendredi matin. Le feu a démarré, apparemment accidentellement, vers 5 h 30, dans une habitation de deux étages située au 12, avenue de Rochefort.
Entre 25 et 30 pompiers sont intervenus, avec cinq lances à eau dont une sur échelle pour circonscrire le sinistre.
Quatre personnes, deux adultes et deux adolescents qui habitaient la maison, ont été légèrement intoxiquées par les fumées. Toutes ont été prises en charge par les secours et transportées vers le centre hospitalier de Saint-Jean-d'Angély dont elles sont sorties assez rapidement. La famille a été relogée chez une voisine.
  • La toiture s'est effondrée
L'électricité du secteur a été coupée momentanément, ainsi que la circulation. En début d'après-midi, il ne restait plus que quelques petits foyers d'incendie. La maison, elle, a été ravagée par les flammes. La toiture s'est écroulée sur le plancher. De nombreux gravats devront être évacués.
Le sinistre a également touché une dépendance attenante servant de stockage sur environ 100 mètres carrés. La circulation a été rétablie au cours de la journée.
http://www.sudouest.fr/2014/03/22/une-maison-en-feu-1499650-1552.php

Agen. Terreur dans l'ascenseur pour les habitants d'un immeuble

Les habitants de l'immeuble du 59, boulevard Scaliger, vivent dans la crainte d'un accident depuis que l'ascenseur a «dégringolé» du 7e étage. Une pétition a été adressée au bailleur, Agen Habitat.
«Il y a quelque temps déjà, l'ascenseur est descendu d'un seul coup du 7e étage. Heureusement il n'y avait personne à l'intérieur. Sinon…» La peur est bien réelle, palpable et désormais, elle s'exprime. «Parce que les réparations qui sont faites ne sont que des «rustines», expliquent les habitants du 59 boulevard Scaliger par la voix d'un porte-parole qui ajoute, «est-il normal que les résidants soient obligés de rentrer chez eux en utilisant les escaliers ?»

«N'attendons pas un accident»

La question prend un autre sens pour les locataires du 7e, «avec les courses, c'est juste inacceptable !» et que dire «des personnes âgées qui ne sortent plus de chez elles à cause de ces problèmes d'ascenseur ou de la crainte de rester bloqués dans la cabine ?» Les riverains ont plusieurs fois frappé à la porte de leur bailleur, Agen Habitat. «Les réparations ne sont pas suffisantes, l'ascenseur fait un drôle de bruit. Pour nous, c'est clair, il faut le remplacer…» Et pour Agen-Habitat, les locataires du 59, boulevard Scaliger ajoutent, «la CAF verse les indemnités au titre de l'allocation logement, en contrepartie nous souhaiterions recevoir les services demandés». Selon les locataires, la police et les sapeurs-pompiers se sont déplacés plusieurs fois à l'appel de quelques-uns d'entre eux excédés par cet ascenseur récalcitrant…». Prenant le problème à bras-le-corps, démontrant ainsi leur exaspération et dénonçant l'absence de «vraie réponse» de la part d'Agen-Habitant, les locataires du 59, boulevard Scaliger viennent de signer une pétition. «N'attendons pas qu'un grave accident ne survienne dans cet immeuble», explique le texte d'accompagnement qui sera adressé, avec les signatures, au directeur d'Agen Habitat.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=22100&WS=291720_2501986&WA=4170

Gard : qui est cette femme retrouvée morte dans un verger ?

Une macabre découverte a été faite ce jeudi matin à l'entrée de Saint-Julien de Peyrolas au nord de Bagnols-sur-Cèze dans le Gard. L’identité de la défunte n’est pas encore connue.
La quiétude de Saint-Julien-de-Peyrolas a été troublée jeudi matin à l’Est du village par une macabre découverte. Ce sont des employés municipaux qui travaillaient sur le secteur qui ont donné l’alerte vers 8 h 40.
Dans un verger de plusieurs hectares non exploité, au sein d’une zone habitée après le pont du ruisseau de la Moze à l’entrée de la commune, le cadavre d’une femme a été découvert gisant au milieu des herbes hautes et des arbres fruitiers.


Les gendarmes de la compagnie de Bagnols se sont rendus sur les lieux pour relever les premiers éléments de l’enquête, appuyés par le médecin légiste et les techniciens de la cellule d’identification criminelle de Nîmes. Jeudi soir, l’identité de la défunte restait à déterminer.
Pourrait-il s’agir de Francisca Cotillas ?
"Le décès semble assez ancien", confiait la procureure de la République de Nîmes, Laure Beccau. En revanche, aucun objet, ni arme n’ont été retrouvés à proximité du corps. "Pour l’instant, il n’y a rien qui permette de dire que le décès soit dû à autre chose qu’à une mort naturelle", poursuit la magistrate.
Identification ce vendredi
Un examen médico-légal est prévu ce vendredi dans les prochains jours à l’Institut médico-légal de Nîmes. Il devrait permettre d’éclaircir les circonstances qui ont conduit à la mort de cette femme.
Selon nos informations, les enquêteurs étudient toutes les pistes. Ils se penchent notamment sur différents dossiers de disparition signalés dans la région. Dont celle de Francisca Cotillas, 53 ans, habitante du village voisin de Saint-Paulet-de-Caisson, qui n’a plus donné signe de vie depuis le 8  février dernier. D’autres personnes ont également disparu depuis la Drôme et l’Ardèche ces derniers mois.

http://www.midilibre.fr/2014/03/20/saint-julien-de-peyrolas-un-corps-de-femme-decouvert-dans-un-verger,837108.php

vendredi 21 mars 2014

Il a étouffé sa fille tétraplégique : cinq ans de prison avec sursis ont été requis

Cinq ans de prison avec sursis ont été requis vendredi devant la cour d'assises de Melun contre le père de Johana, jugé pour avoir étouffé dans son sommeil sa fille de 6 ans dont le lourd handicap lui était devenu insupportable.
Invitant la cour à prendre en compte "les circonstances douloureuses" de ce drame mais aussi la "personnalité" d'Americo Carneiro, l'avocate générale a demandé aux jurés d'assortir cette peine d'une mise à l'épreuve de trois ans avec "obligation de soin".
"C'est un homme inséré dans la société, qui assume ce qu'il a fait et le regrette. L'intérêt de la société aujourd'hui n'est pas qu'il soit incarcéré", a souligné Morgane Baudin, rappelant que l'accusé était profondément "dépressif" au moment des faits.
 "Le handicap de Johana ne justifiait pas un tel geste. Ce n'est pas parce qu'on est handicapé qu'on n'a pas le droit de vivre".  
D'après un expert psychiatre, Americo Carneiro, décrit par tous les témoins comme un père aimant et attentionné, se trouvait dans un état de détresse psychologique lorsqu'il a tué sa fille, et son discernement était "en partie altéré".
"Cela n'enlève rien à la gravité de son geste", a toutefois souligné dans ses réquisitions l'avocate générale, appelant les jurés à prononcer une peine "équilibrée", prenant en compte le "droit à la vie" de Johana.
"M. Carneiro aimait sa fille, c'est certain. Mais son geste n'est pas un acte d'amour", a insisté Morgane Baudin. "Le handicap de Johana ne justifiait pas un tel geste. Ce n'est pas parce qu'on est handicapé qu'on n'a pas le droit de vivre".
Americo Carneiro, maçon de 44 ans, est jugé avoir étouffé sa fille unique en plaçant sa main sur sa bouche pendant son sommeil, le 3 janvier 2011, au domicile familial de Boulancourt (Seine-et-Marne). Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Née prématurée, Johana était tétraplégique, épileptique et souffrait d'un fort retard mental. Portant des couches, ne pouvant pas rester assise, elle dépendait totalement de ses parents et du centre spécialisé où elle passait ses journées.
Le verdict est attendu vendredi après-midi.


http://www.sudouest.fr/2014/03/21/il-a-etouffe-sa-fille-tetraplegique-cinq-ans-de-prison-avec-sursis-ont-ete-requis-1499291-7.php

Marcheuses agressées sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle

Un signalement et une plainte ont été déposés par deux randonneuses, une Suissesse et une Française, pour des agressions sexuelles commises à Saint-Jean-Pied-de-Port (Pyrénées-Atlantiques) sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, a indiqué la gendarmerie, qui a précisé qu'un suspect avait été interpellé.
«Un signalement a été effectué le 31 janvier à la gendarmerie de Saint-Jean-Pied-de-Port par une Suissesse au sujet d'un homme qui lui aurait proposé ses services de massage alors qu'elle faisait halte dans un gîte près du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, «a précisé la gendarmerie. «Un massage qui aurait tourné en agression sexuelle», a-t-on ajouté de même source.
«Le 19 février, une Française a déposé plainte pour les mêmes agissements, qui ont eu lieu dans un autre gîte aux alentours de la même ville», a pousuivi la gendarmerie, précisant qu'un homme de la région avait été entendu lors d'une garde à vue.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/21/1844939-marcheuses-agressees-sexuellement-chemin-saint-jacques-compostelle.html

Saint-Julien de Peyrolas : le corps d'une femme découvert dans un verger

Une macabre découverte a été faite ce matin à l'entrée du village. 
Ce matin vers 8 h, une macabre découverte a été faite sur un terrain planté d'arbres d'une zone habitée à l'entrée de Saint-Julien-de-Peyrolas. Il s'agirait du corps d'une femme. Des investigations médico-légales sont en cours pour l'identifier. Une enquête de gendarmerie a été ouverte

http://www.midilibre.fr/2014/03/20/saint-julien-de-peyrolas-un-corps-de-femme-decouvert-dans-un-verger,837108.php

jeudi 20 mars 2014

Une rixe à la sortie de la boîte de nuit de Trélissac (24)

Le 23 février, au petit matin, une bagarre s'est déclenchée sur le parking de la discothèque L'Autre Monde, à Trélissac (Dordogne). Un jeune homme d'Atur a été pris pour cible.
À l'origine du différend, le fait qu'il aurait touché, durant la soirée, les fesses de la copine de son agresseur. Le petit copain en question a retrouvé le jeune homme à la sortie de la boîte de nuit et lui a asséné un coup de poing à la mâchoire. La victime est tombée tête à la renverse contre le sol et a été hospitalisée pour un traumatisme crânien.
L'agresseur, âgé de 28 ans et habitant Périgueux, devra répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel de Périgueux, le 14 mai.

http://www.sudouest.fr/2014/03/20/une-rixe-a-la-sortie-de-la-boite-de-nuit-de-trelissac-1497784-2179.php

Assises à Angers. Jugé pour avoir tué sa mère accidentellement

Un jeune de 23 ans comparaît devant la cour d'assises du Maine-et-Loire. En 2011, il a tiré par erreur sur sa mère au lors d'une altercation avec des amis, à La Jubaudière.

« Je sais que c’est difficile pour tout le monde. C’est un drame familial, il y a de la souffrance. » Dès l’ouverture du procès, qui se tient de mercredi 19 à vendredi 21 mars devant la cour d’assises du Maine-et-Loire, le président Denis Roucou plante le décor. Dans un silence de plomb, les débats se sont ouverts, ce mercredi matin, sur la personnalité de l’accusé. Âgé tout juste de 23 ans, il comparaît pour des coups mortels… sur sa mère. Le 20 juin 2011, cette secrétaire de notaire est tombée après avoir reçu une gerbe de plombs en pleine tête. Au cours d’une soirée arrosée au rhum et enfumée au cannabis, le fils, alors âgé de 20 ans, a été impliqué dans une altercation avec deux amis, à l’issue d’une soirée poker organisée dans le sous-sol du pavillon familial, à La Jubaudière. En tentant de s’interposer, le père de l’accusé a pris des coups des copains. Le fils est alors entré dans la maison et en est ressorti avec un fusil de chasse. Tir volontaire ou accident ? Le coup parti a atteint la femme, qui venait de rejoindre le groupe. La première matinée du procès est consacrée à la personnalité de l’accusé. Moment pendant lequel le président rappelle une scolarité difficile, marquée par un redoublement en CP. L’institutrice soupçonne une hyperactivité. En 4e technologique, il se fait renvoyer de la Maison familiale rurale après trois avertissements. Déjà, ses consommations d’alcool de cannabis inquiètent. Une spirale d’addictions qui a rendu ses parents et ses frère et sœur totalement impuissants. « Les deux premières années, on a fermé les yeux, retrace le père veuf. Après, il était trop tard. » Le couple a tout essayé pour sortir cet enfant de l’engrenage. Jusqu’à lui donner « 1 000 € en un mois », pour assouvir des besoins qui pouvaient se chiffrer, de l’aveu même de l’accusé, à « 25 g en une journée ». Une dérive marquée par des délits, dont un cambriolage. Les faits seront examinés dans l’après-midi.

http://www.ouest-france.fr/assises-angers-juge-pour-avoir-tue-sa-mere-accidentellement-2016938

Castres. 4 soldats du «8» secourent un couple de Parisiens accidentés

Quatre militaires du 8e RPIMa, partis chercher des camarades revenant de Centrafrique, ont porté secours à deux automobilistes victimes d’un accident de la route sur le périphérique parisien.
De retour de l’aéroport où ils sont allés chercher leurs camarades revenant de Centrafrique, en ce début mars, quatre militaires du 8e RPIMa, chacun conduisant un véhicule du régiment, ont assisté à un accident de la route alors qu’ils circulaient sur le périphérique parisien. Percutée par un poids lourd, une voiture avec deux passagers à bord s’est retrouvée sur le toit. Aussitôt, les militaires sont intervenus: «Quand nous nous sommes approchés du lieu de l’accident, de la fumée s’échappait du moteur, les roues de la voiture tournaient encore, racontent-ils. L’un de nous a tout de suite pensé à couper la clé de contact, puis nous nous sommes inquiétés de l’état des victimes.»
Un couple de quinquagénaires, le mari était en état de choc, prostré; son épouse, allongée à même le sol, a été réconfortée par un soldat, la couvrant de sa veste de treillis, tandis que les services de secours étaient dépêchés sur place et les lieux de l’accident sécurisés en maîtrisant la circulation.

Félicités par le régiment

«Nous sommes intervenus naturellement, avec l’impression de faire notre travail», confient les militaires, modestement.
Un acte réflexe pour ces hommes formés aux premiers secours et qui ont encore fait la preuve de leur engagement au service des autres. 4 «authentiques» de la 2e compagnie, un caporal-chef, un caporal et deux première classe, âgés d’une vingtaine d’années. Avec eux, 7 autres militaires revenant de République centrafricaine, appartenant à la CCL (compagnie de commandement et de logistique), 3e compagnie, GSBDD (groupement de soutien de la base de défense) de Toulouse.
Lundi dernier, au quartier Fayolle, dans le cadre de la levée des couleurs régimentaires sur la place d’armes, les 11 militaires ont été félicités par le colonel Vincent Tassel, chef de corps du «8», en présence de leurs collègues, près de 700 militaires. Le régiment a tenu à saluer l’intervention des quatre soldats en particulier, qui n’ont pas hésité à appliquer les premiers gestes de secours civique, procédure qui constitue une des bases de leur formation professionnelle.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/20/1843216-castres-4-soldats-du-8-secourent-un-couple-de-parisiens.html