dimanche 31 août 2014

Effondrement d'un immeuble à Rosny-sous-Bois: Trois morts et cinq personnes sous les décombres

Un enfant et deux femmes sont décédés. Il y aurait toujours cinq personnes sous les décombres...
Un immeuble d’habitation de quatre étages s’est effondré, ce dimanche matin à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), faisant au moins trois morts, un enfant de 11 ans et deux femmes, a-t-on appris de source préfectorale et auprès des pompiers.

>>Pour voir notre diaporama, c'est par ici

«D’autres victimes éventuelles sont recherchées» dans les décombres, et le plan rouge qui prévoit la mobilisation d’importants moyens médicaux a été déclenché, a précisé un porte-parole des pompiers de Paris. Onze victimes ont déjà été évacuées vers des hôpitaux de la région parisienne.

Une fuite de gaz?

Selon un bilan encore provisoire, communiqué par les pompiers de Paris à notre journaliste présent sur place, quatre de ces dix blessés seraient dans un état grave et sept ne seraient que légèrement touchés. Dans le même temps, cinq personnes se trouveraient toujours sous les décombres, selon Philippe Galli, le préfet de Seine-Saint-Denis. A 18h, les secours recherchaient encore quatre adultes et un enfant, a précisé le préfet de Seine-Saint-Denis.
Sur place, un voisin a également indiqué à notre journaliste qu’il avait ressenti une forte odeur de gaz. Arrivé sur place dans la matinée, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a d’ailleurs indiqué: «C’est une explosion vraisemblablement occasionnée par une fuite de gaz. Des investigations sont en cours. Mais nous n’avons aucune certitude. Il y a un nombre de victimes potentielles importantes, autour du nombre de quinze. Les opérations se poursuivent», a-t-il réagi.

«J’ai peur»

Sur place, des pompiers faisaient la chaîne pour déblayer les décombres, aidés dans leur recherche d’éventuelles victimes par des chiens.
Quelques dizaines de badauds se sont regroupés sur le trottoir en face de l’immeuble effondré. «Notre pavillon a bougé, on a tremblé de peur», raconte Pauline qui habite à une centaine de mètres. L’explosion a été tellement forte que «nos oreilles sifflaient», explique cette mère de famille.
«J’ai peur, je ne sais pas trop quoi dire» ajoute Sara, une fillette de 10 ans qui doit faire sa rentrée en CM2 avec Awa et Nella, deux enfants qui vivent dans l’immeuble touché.

http://www.20minutes.fr/societe/1434739-20140831-rosny-sous-bois-enfant-meurt-effondrement-immeuble

Pouydesseaux (40) : Un conducteur de 24 ans grièvement blessé sur la D932

Il était environ 6 h 30, ce dimanche matin, lorsqu'un automobiliste de 24 ans qui circulait sur la D 932 a perdu le contrôle de sa voiture au lieu dit Paris, sur la commune de Pouydesseaux. Les circonstances de cette sortie de route conclue contre un arbre ne sont pas encore connues.
 
On sait en revanche que l'homme qui a dû être désincarcéré par les pompiers de Saint-Justin, aidé de ceux de Roquefort, a été grièvement blessé.
Il a finalement été pris en charge par les médecins urgentistes du Samu 33 et immédiatement héliporté vers le Tripode de Bordeaux. 

http://www.sudouest.fr/2014/08/31/pouydesseaux-un-conducteur-de-24-ans-grievement-blesse-sur-la-d932-1656187-3452.php

Violences conjugales en récidive : 6 mois ferme requis

«Elle marque très vite». Cette réflexion, les enquêteurs qui appréhendent les responsables de violences conjugales l'entendent beaucoup trop souvent. Et les condamnations qui sanctionnent de tels comportements ne découragent pas les récidives car le prévenu jugé hier avait déjà été condamné pour des faits identiques le 6 février dernier à 5 mois de prison avec sursis. Six semaines plus tard, alors que le couple était séparé, il revenait et, après une altercation, se saisissait d'un balai dont il frappait violemment la jeune femme, lui infligeant de multiples hématomes et blessures. Puis il la mettait sous la douche et faisait couler l'eau froide. La mère, prévenue par les voisins, venait sonner à la porte et appelait la gendarmerie. Elle se faisait également copieusement insulter et menacer. Lui, déclarait aux policiers que la présence intempestive de sa belle-mère expliquait les disputes et que c'est elle qui l'aurait insulté. Ce qui n'a pas convaincu le ministère public qui requérait six mois de prison ferme. Le tribunal a mis l'affaire en délibéré.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/31/1942562-violences-conjugales-en-recidive-6-mois-ferme-requis.html

L'enfant malade enlevé par ses parents retrouvé vivant en Espagne

L'enfant de 5 ans, souffrant d'une tumeur au cerveau et retiré de l'hôpital par ses parents, a été retrouvé vivant en Espagne, samedi soir. Ashya King avait quitté l'Angleterre jeudi, prenant le bateau pour la France avant de rallier l'Espagne. Selon la police espagnole, il était "séquestré" par ses parents.

C'est la fin d'un terrible suspense. Ashya King, victime d'une tumeur au cerveau et retiré de l'hôpital par ses parents jeudi, a été retrouvé samedi soir dans le sud de l'Espagne, a indiqué la police britannique. "Ashya King a été localisé dans un hôtel à 3 km de Velez Malaga et a été admis dans un hôpital. Ses parents ont été arrêtés", a écrit sur son compte Twitter la Police nationale à 23h09. Interpol avait lancé un avis de recherche international pour retrouver l'enfant considéré "en danger de mort".
L'enfant de 5 ans était soigné dans un hôpital de Southampton, en Angleterre, lorsque ses parents, Témoins de Jéhovah, ont soudainement décidé de le soustraire à son traitement. La famille aurait alors pris le bateau en direction de Cherbourg avant de rallier l'Espagne. L'inquiétude se faisait grandissante, l'enfant équipé d'une sonde ayant besoin d'une surveillance médicale permanente.
La vie d'Ashya, opéré pour la dernière fois il y a sept jours, dépend d'une sonde naso-gastrique qui lui permet de s'alimenter mais dont on craignait samedi que la batterie ne soit épuisée. "Nous ne savons toujours pas si la famille King est en possession de batteries supplémentaires pour alimenter la machine (...) et si elle sait s'en servir", avait indiqué le commissaire adjoint Chris Shead.
 

samedi 30 août 2014

Un enfant de 7 ans tombe par la fenêtre d'un immeuble du centre-ville de Vence

Un enfant de 7 ans est tombé ce samedi matin, vers 10h15, par la fenêtre d'un immeuble du cente ville de Vence. Secourue par les pompiers, la petite victime a été dirigée vers les urgences de Lenval, à Nice.
L'enfant a fait une chute d'au moins cinq mètres dans des circonstances encore inconnues alors qu'il descendait l'escalier de l'immeuble pour aller chercher du pain.
Des passants alertés par des hurlements de douleur ont apporté les premiers réconforts à l'enfant qui semblait souffrir de fractures. La gendarmerie de Vence est chargée de l'enquête.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/un-enfant-de-7-ans-tombe-par-la-fenetre-dun-immeuble-du-centre-ville-de-vence.1883849.html

Bébé disparu en Creuse : l'étrange récit des parents du petit Loan

Plus de 36 heures après la disparition signalée par ses parents mercredi soir, le petit Loan, 4 mois reste introuvable. Les parents ont déclaré avoir vu un individu s'enfuyant avec le bébé dans son couffin.
Les recherches restaient infructueuses, hier, autour de la base de loisirs de Chénérailles, dans la Creuse, pour tenter de retrouver un bébé de quatre mois dont les parents affirment qu'il a été enlevé par un inconnu, sans dissiper les interrogations autour de cette affaire.
Plus de 36 heures après la disparition signalée par ses parents mercredi soir, les recherches pour retrouver Loan se sont concentrées sur deux plans d'eau situés sur l'aire de loisirs où les parents, domiciliés à Lavaveix-les-Mines, à une dizaine de kilomètres de là, ont affirmé que leur bébé avait été enlevé.
Trois plongeurs ont, en vain, passé au peigne fin et pendant plusieurs heures les deux étangs de faible profondeur.
Au moment de la disparition de l'enfant, le véhicule du couple était stationné entre ces deux étangs, sur l'aire de détente qui compte également un kiosque et un terrain de tennis.
Parallèlement, un hélicoptère, déjà engagé jeudi, pourrait procéder en fin d'après-midi à un nouveau survol de la zone, particulièrement boisée.
Au total, une trentaine de militaires et gendarmes, sont déployés sur la zone. Un périmètre de sécurité a été mis en place, entraînant plusieurs déviations de circulation.

Un scénario étonnant mais pas impossible

Longuement interrogés chez eux jeudi, les parents ont indiqué aux gendarmes de la section de recherches de Limoges que l'enfant présentait des «problèmes de santé». Il se trouvait, selon leurs déclarations, dans un couffin de type «cosy», près de leur véhicule, garé non loin d'eux sur l'aire de loisirs. C'est «après un moment d'inattention», alors que la maman rangeait des affaires et que le papa était allé uriner, qu'ils auraient aperçu «un individu s'enfuyant avec le couffin et le bébé».
Le Procureur de la République a indiqué «qu'aucune garde à vue» n'avait été prononcée dans cette affaire. Jeudi, lors d'une conférence de presse, il avait appelé à la prudence, se refusant à qualifier les faits, enlèvement ou disparition tout en reconnaissant que l'histoire telle que racontée par ces jeunes gens est «matériellement difficile, même si elle n'est pas impossible».
Le magistrat avait également dit qu'il n'existait pas de «suspicion» à l'encontre des parents et s'était refusé à tout commentaire sur un quelconque passé judiciaire du père ou de la mère, disant considérer les parents avant tout comme des «victimes». «Les parents n'ont pas pu identifier la personne, qu'ils n'ont vue que de dos», avait-il ajouté, en précisant qu'ils souffraient, tous les deux, de «problèmes physiques», qu'il n'a pas décrits, les empêchant de se lancer à sa poursuite.
Pour l'heure, certaines incohérences dans leur récit auraient été relevées par les enquêteurs.
le dispositif alerte-enlèvement, qui permet de diffuser rapidement auprès de la population sur l'ensemble du territoire des informations relatives à un enlèvement afin de provoquer des témoignages susceptibles de favoriser la libération de la victime, n'a pas été déclenché lorsque les faits ont été connus.

Suivis par les services sociaux

Peu de choses a filtré sur le couple, domicilié à Lavaveix-les-Mines, à environ 25 km au sud-est de Guéret. Âgé de 31 ans, l'homme travaille comme maçon et le couple est suivi par les services sociaux. «Ils se sont installés récemment sur la commune. Ils venaient d'Aubusson. On les croisait très peu, personne ne les connaît à Lavaveix», explique un voisin.
Leur petite maison blanche, défraîchie, située en face d'une voie ferrée à l'écart du village, était fermée hier, avec les volets clos.
U n de leurs proches, a fait savoir que le père de famille a été récemment touché par un drame familial concernant un de ses frères.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/30/1942181-bebe-disparu-creuse-etrange-recit-parents-petit-loan.html

vendredi 29 août 2014

Bébé mort-né : les parents accusent l’hôpital de Romorantin

Près de 9.000 familles sont touchées chaque année par ce drame qui reste très tabou : le deuil périnatal. C’est le cas de Julie Moquet et Nicolas Duburcq. Le 12 août dernier, ils ont perdu leur fille, Kitana. Elle est décédée in utero alors qu'elle pesait un peu plus de 3 kg pour 51 cm. Un terrible drame pour ces parents de quatre enfants.

Depuis ce jour, ils se posent des questions. Pourquoi cette tragédie? Que s’est-il passé? Comment cela aurait-il pu être évité?  Interviewée par nos confrères de La Nouvelle République, la mère leur a déclaré : « La fin de ma grossesse était très difficile. J'étais suivie à la maternité de Romorantin. J'y suis allée à plusieurs reprises. Comme j'approchais du terme, j'ai même demandé à avoir un déclenchement, ils n'ont jamais voulu. La veille du drame, je me suis rendu à deux reprises à l'hôpital. On m'a dit que c'était des contractions, qu'il n'y avait rien de grave. Rien ne semblait les inquiéter. On m'a laissé repartir… ». Pour ce couple, aucun doute, l'hôpital est responsable de ce drame.

Dans un communiqué de presse, la direction de l’hôpital a déclaré : « La direction de l'établissement a informé l'Agence régionale de santé de cet événement. Le centre hospitalier a diligenté une enquête administrative pour confirmer les causes du décès et s'assurer que toutes les procédures et bonnes pratiques professionnelles en vigueur ont été respectées ».

Les parents ont déposé plainte auprès de la gendarmerie de Selles-sur-Cher. Le parquet de Blois a ouvert une enquête préliminaire pour déterminer les causes du décès du bébé


http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/08/29/bebe-mort-ne-les-parents-accusent-l-hopital-de-romorantin-539916.html

Biarritz : incendie pendant le spectacle, les spectateurs n'y ont vu que du feu

Les spectateurs n'y ont vu que du feu ! Signé de l'artificier Lacroix Ruggieri, qui orchestre notamment la nuit féerique du 15 août à Biarritz, un spectacle pyrotechnique son et lumière s'est déroulé sans interruption, ce jeudi soir à la Cité de l'océan, alors qu'un début d'incendie brûlait la prairie située derrière le bâtiment.
Après un problème de son, vite réglé, les tableaux se sont succédé sur le thème du « Grand Bleu », célèbre film de Luc Besson, avec effets de vagues, d'oiseaux marins, de bancs de dauphins... Du grand art. Les yeux fixés vers le ciel, personne ou presque n'a réalisé que les hautes flammes qui s'élevaient et dansaient derrière la Cité de l'océan ne faisaient pas partie de la chorégraphie. « The show must go on! », comme on dit.

http://www.sudouest.fr/2014/08/29/biarritz-les-spectateurs-de-la-cite-de-l-ocean-n-y-ont-vu-que-du-feu-1654818-4018.php

Appel à témoins: un livreur de pizzas gravement blessé mercredi soir à Cannes

Le pronostic vital du conducteur du deux-roues impliqué dans un accident, mercredi soir, peu avant 21 heures, au 315 avenue de Grasse à Cannes, reste incertain.
Selon les premières constatations, la victime, un Cannois livreur de pizzas de 42 ans, aurait démarré rapidement son scooter et coupé la route d'un fourgon Viano.
Le conduteur du véhicule, surpris par l'embardée, n'a visiblement pas été en mesure d'éviter le choc.
Le pilote du scooter a été transporté à l'hôpital Saint-Roch de Nice, sérieusement touché à l'aorte.
Une enquête a été ouverte par la brigade accident du commissariat de Cannes.
Les personnes témoinsde la collision sont invitées à contacter le 04.93.06.21.57

http://www.nicematin.com/cannes/appel-a-temoins-un-livreur-de-pizzas-gravement-blesse-mercredi-soir-a-cannes.1881632.html

HAUTE-LOIRE. Deux blessés dans un choc frontal au Monastier-sur-Gazeille

Une collision frontale entre deux véhicules est survenue jeudi en fin de matinée au Monastier-sur-Gazeille. Les faits se sont produits sur la RD535, qui mène à Freycenet-Lacuche, peu après le passage sous le viaduc de Recoumène. Les deux conducteurs, seuls à bord, ont été blessés. Une homme de 73 ans a été légèrement touché tandis qu’une femme de 34 ans était plus sérieusement atteinte.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/08/28/deux-blesses-dans-un-choc-frontal-au-monastier-sur-gazeille

jeudi 28 août 2014

Affaire Pinel : Le centre de crise du quai d'Orsay mobilisé

Alertés suite à la disparition de leur proche, la famille et les amis d'Anne-Cécile Pinel, jeune étudiante lyonnaise disparue en Croatie le 21 juillet dernier, se sont rendus sur place. Le quai d'Orsay, joint par Lyon capitale, assure avoir mobilisé ses agents.
Cela fait maintenant près de trois semaines qu'Anne-Cécile Pinel a disparu. La jeune étudiante âgée de 23 ans était partie début juillet pour un tour d'Europe en camion avec une amie. Le 21 juillet, elle disparaît lors d'un festival de musique électronique à Slunj, dans l'Est du pays. Depuis "notre ambassade est en relation étroite avec les autorités croates pour faire toute la lumière sur cette disparition" affirme un diplomate joint ce mardi au ministère des Affaires étrangères par Lyon capitale.
Le centre de crise du quai d'Orsay suit l'affaire de près et sur place les agents de l'ambassade, dont un attaché de sécurité et un agent consulaire, sont mobilisés.

Les enquêteurs croates dirigent l'enquête

De la famille, des amis se sont rendus sur place récemment pour aider les autorités locales à retrouver la jeune femme. En placardant des avis de recherche sur les murs des communes environnantes à Slunch, le lieu du festival où elle a disparu, ils espèrent faire avancer l'enquête. Et selon France Bleu Pays de Savoie, ils ont réussi à obtenir des témoignages à Zagreb, la capitale. Les enquêteurs ont retrouvé il y a quelques jours le sac et le portable de la jeune fille d'origine savoyarde (lire ici). Sur place, les forces de l'ordre croates mènent l'enquête. "S'il des actions développées localement, c'est en lien avec les autorités du pays", précise le diplomate français contacté par Lyon capitale.

http://www.lyoncapitale.fr/content/keyword/anne%20cécile%20pinel

Rochefort : un détenu retrouvé mort dans sa cellule

Un détenu de 40 ans est mort dans sa cellule, dans la nuit de mardi à mercredi à la maison d'arrêt de Rochefort. Les circonstances de ce décès restent encore indéterminées, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Accident ou suicide, c'est ce que l'enquête de police devra déterminer.
 
L'homme, qui était en détention provisoire depuis un an, venait d'être informé de son renvoi devant une Cour d'assises pour une affaire de viol sur mineur dans un contexte intra-familial. Les faits s'étaient déroulés sur le territoire de la juridiction du tribunal de grande instance rochelais.
Le détenu suivait un traitement médical. Il aurait été victime d'un malaise peu avant 3 heures du matin. Les secours n'ont pu le ranimer, précise-t-on auprès du parquet de La Rochelle.

L'autopsie a conclu à une régurgitation à l'origine du décès mais l'enquête de police et des analyses toxicologiques devront déterminer si la mort était de nature accidentelle, ou consécutive à un geste suicidaire par absorption de médicaments.

Le décès de cet homme entraîne l'extinction des poursuites à son encontre

http://www.sudouest.fr/2014/08/28/rochefort-un-detenu-retrouve-mort-dans-sa-cellule-1653854-1391.php

Pour protester, les agriculteurs noient la préfecture sous le lisier et les déchets

Environ deux cents agriculteurs ont déversé de la paille, des pommes, des pneus et toutes sortes de déchets devant la préfecture, hier soir, vers 22 heures, pour dénoncer les nouvelles contraintes liées à l'application d'un règlement européen contre les nitrates. Arrivés avec une dizaine de tracteurs, à l'appel de la fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles, les manifestants, équipés aussi d'une citerne à lisier et d'un épandeur à fumier, ont copieusement aspergé la grille de la préfecture. Pour échapper à de lourdes sanctions financières de Bruxelles, la France a durci, cet été encore, les mesures prises restreignant diverses pratiques agricoles (période d'épandage, rotation des cultures…) pour protéger les points de captage de l'eau et les nappes phréatiques. Désormais, toutes les communes de Tarn-et-Garonne, sauf six, sont classées en «zones vulnérables».
En clair, tous les secteurs qui enregistrent des teneurs en nitrates d'au moins 18 milligrammes par litre. «Ces nouvelles dispositions auront des conséquences dramatiques pour toute l'agriculture de Tarn-et-Garonne, notamment pour l'élevage. Le seuil des 18 mgl est aberrant. Personne ne pourra le tenir. Le plus déroutant, c'est que l'an dernier, on sort 29 communes tarn-et-garonnaises des zones vulnérables pour les remettre maintenant», lance Alain Iches, président de la FDSEA.

Les touristes regardent

Après l'effondrement des cours des céréales et une rentrée qui s'annonce difficile aussi pour les fruits, les agriculteurs sont aujourd'hui confrontés à une grave crise. «Le cumul des taxes et des réglementations est décourageant. Je suis conscient qu'on ne peut pas laisser faire n'importe quoi pour les générations futures, mais chez nous aussi, des entreprises son en danger. Et donc des emplois pour demain» avance encore ce vieux syndicaliste qui applaudi lorsque l'épandeur à fumier se met en marche et tapisse la grille de la préfecture. Certains touristes ont regardé au spectacle. «A Paris, on ne voit pas ça», lance ce jeune homme qui mitraille les événements avec son smartphone.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/28/1940787-agriculteurs-noient-prefecture-sous-lisier-tonnes-dechets.html

Expulsé d'un avion à cause de son odeur

Un homme de 27 ans, expulsé dimanche à Roissy d'un avion Paris-Dallas au motif qu'il sentait mauvais, a porté plainte pour «discrimination» contre la compagnie American Airlines.
La compagnie invoque «un problème de visa», se refusant à tout autre «commentaire».
Une enquête a été ouverte pour vérifier «si elle s'est rendue coupable de discrimination».
Dimanche, au moment ou ce vacancier parisien d'origine algérienne a voulu aller aux toilettes avant le décollage, un membre de l'équipage lui a demandé de sortir de l'appareil, affirmant qu'il sentait mauvais.
«L'équipage et les passagers se sont plaints de ton odeur… Va prendre une douche. Tu ne partiras pas aujourd'hui. Tu es sur une compagnie américaine, c'est un territoire américain», lui explique-t-on. Une vidéo qu'il aurait enregistrée sur son téléphone portable confirmerait ces propos.
Le jeune homme juge que ces allégations n'étaient qu'un prétexte puisque, assure-t-il, «je m'étais aspergé de Dior au duty free avant d'embarquer».

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/27/1940428-expulse-d-un-avion-a-cause-de-son-odeur.html

mercredi 27 août 2014

Un mort dans un incendie à Brunoy dans l’Essonne

Un homme de 90 ans est mort mardi soir dans l’incendie de son pavillon du centre-ville de Brunoy dans l’Essonne, apprend-t-on dans le Parisien.

L’incendie se serait déclaré vers 23h30 dans la maison située rue du Rôle. Interpellé à la vue des flammes qui sortait par la fenêtre de la chambre, un voisin a appelé les pompiers. L’intervention rapide des secours n’aura pas suffit à épargner le nonagénaire qui vivait seul sur les lieux.

Un examen du corps sera effectué dans la journée. Il permettra d’établir si l’homme est décédé par intoxication. La police a déclaré au Parisien qu’elle ne privilégiait « aucune piste


http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/08/27/un-mort-dans-un-incendie-brunoy-dans-l-essonne-538796.html

Trois malfaiteurs séquestrent un notaire et sa famille pour dérober des bijoux dans la Drôme

Un notaire de Montélimar dans la Drôme a été séquestré chez lui avec sept membres de son entourage, dans la nuit de mardi à mercredi, par trois malfaiteurs armés qui ont dérobé le contenu du coffre et trois voitures avant de prendre la fuite.
Armés d’armes de poing et de matraque, les trois malfaiteurs ont fait irruption dans la résidence du notaire vers 1 heure du matin, menaçant ses deux enfants, âgés entre 17 et 20 ans, et leurs quatre amis restés sur la terrasse, a indiqué le parquet de Valence, confirmant une information de France Bleu Drôme Ardèche.
Ils les ont ensuite ligotés avant de se faire ouvrir le coffre par le notaire et son épouse, dérobant plusieurs bijoux de valeur, a-t-on ajouté. Le montant du butin n’a pas été divulgué.
Les trois malfaiteurs ont ensuit pris la fuite à bord de trois véhicules de leurs victimes, qui n’ont pas été molestées.
L’enquête a été confiée à la police judiciaire. 


http://www.leprogres.fr/france-monde/2014/08/27/trois-malfaiteurs-sequestrent-un-notaire-et-sa-famille-pour-derober-des-bijoux-dans-la-drome

Alerte aux poux avant la rentrée scolaire

Boostés par les vacances scolaires, les poux sont de retour, prêts à se propager dans les crèches et les écoles, mais heureusement des remèdes existent pour en venir à bout.
Contrairement à une idée reçue, ce n'est pas en période scolaire que les poux prolifèrent le plus sur la tête des enfants, mais pendant les vacances, avec un pic épidémique attendu cette semaine, selon une étude réalisée par Celtipharm, une entreprise spécialisée dans la collecte et l'analyse des données de santé en temps réel
"Cette année, comme les années précédentes, l'épidémie a débuté à la fin du mois de juin, elle s'est d'abord répandue dans l'ouest et le sud de la France, et est désormais en passe de s'étendre à tout le pays", explique Vincent Auvigne, un épidémiologiste qui travaille comme consultant pour Celtipharm. Il réalise depuis 2009 un cartogramme - visible sur le site www.openhealth.fr - montrant la progression quotidienne de l'épidémie en s'appuyant sur les achats de produits anti-poux dans 4.600 des 22.000 pharmacies présentes sur le territoire français

http://www.midilibre.fr//2014/08/27/alerte-aux-poux-avant-la-rentree-scolaire,1042445.php

Une cache d'armes découverte à Bellefontaine

Une cache d'armes a été découverte hier matin dans le quartier Bellefontaine par les policiers toulousains. Lors d'une inspection de routine dans les parties communes d'un immeuble, une dizaine d'armes à feu, dont un pistolet 9 mm et des fusils avec leurs munitions, ainsi qu'une importante quantité de résine de cannabis ont été mis au jour dans une cave. Le service régional de police judiciaire (SRPJ) a été saisi pour la suite des investigations. Aucune interpellation n'a été effectuée.
Cette découverte intervient au lendemain des meurtres commis ces derniers jours dans l'agglomération toulousaine sur fond de règlements de comptes entre bandes rivales des Izards pour le contrôle du trafic de drogue. Des investigations vont être menées pour déterminer si les armes saisies ont un lien avec les assassinats de Wallid Larbi-Bey, le 14 août dernier à Beauzelle, et de Mehdi El Aouamad, le lendemain au Mirail, mais aussi ceux commis il y a neuf mois dans le quartier des Izards, le 8 décembre 2013 et le 21 janvier 2014.
La semaine dernière, sept personnes soupçonnées d'être impliquées dans les quatre affaires avaient été interpellées dans le quartier des Izards par les policiers du SRPJ avant d'être relâchées faute de preuves. Dans le courrier qu'il a adressé le 24 août au maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc (lire «La Dépêche» d'hier), le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, affirme que «ces investigations permettront de recueillir des témoignages et d'accumuler des éléments matériels susceptibles de faire progresser les enquêtes». Le ministre de l'Intérieur rappelle dans la même lettre que la police judiciaire a réalisé depuis le début de l'année aux Izards «huit affaires significatives» : une affaire d'homicide, quatre affaires de stupéfiants, deux affaires de banditisme et une affaire de détention d'arme ayant conduit à la mise en cause de 22 individus dont 15 ont été écroués.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/27/1940412-une-cache-d-armes-decouverte-a-bellefontaine.html

mardi 26 août 2014

Accident à la fête foraine d'Orléans : le manège toujours sous scellés

Trois mois après l'accident, le manège "Horrow Show" n'a toujours pas quitté son emplacement. Immobilisé, il est encore placé sous scellé judiciaire. Son retrait initialement prévu fin juillet devrait finalement avoir lieu mi-septembre.

Le soir du samedi 31 mai, lors de la fête foraine d'Orléans, un des wagons du train avait déraillé et chuté du premier étage, à une hauteur d'environ quatre mètres entraînant dans sa chute deux adolescentes de 15 et 19 ans. Souffrant de graves traumatismes crâniens, elles sont sorties du coma dans le courant de la semaine suivante.

La première expertise avait révélé des défauts de montage qui seraient à l’origine de l’accident. C’est le propriétaire de l’attraction mis en examen pour coups et blessures involontaires, qui a lui-même demandé une contre-expertise.

L’Horror show devrait être démonté à l’issue de ce nouvel examen. Le délai a été prolongé au 15 septembre. La direction du Parc des Expositions espère que cette date sera tenue. En effet, les programmations reprennent dès le 26 septembre et les emplacements pris par le manège pourraient engendrer des problèmes de stationnement


http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/08/26/accident-la-fete-foraine-d-orleans-le-manege-toujours-sous-scelles-537838.html

Millas : une femme de 30 ans décède dans une sortie de route

L'alerte a été transmise aux services de secours, ce lundi matin à 5 h 40.
Sur la RD 916 entre Millas et Néfiach, une automobiliste venait de perdre le contrôle de son véhicule. A l'arrivée des sapeurs-pompiers, et d'une équipe du Samu, le véhicule était immobilisé sur le toit et la conductrice, éjectée sous le choc, gisait inconsciente. 

Durant près d'une heure, les secours ont tenté de ranimer la victime, en arrêt cardio-respiratoire. Malheureusement, cette dernière a succombé à ses blessures. Elle était âgée de 30 ans.
Les gendarmes ont ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de ce terrible accident.

http://www.lindependant.fr/2014/08/25/millas-une-femme-de-30-ans-decede-dans-une-sortie-de-route,1921815.php

Une école pour une deuxième chance

Créée à l'initiative de Martin Malvy, président de la région Midi-Pyrénées, l'école régionale de la deuxième chance de Toulouse a, depuis sa création en janvier 2004, accueilli plus de 1 000 élèves. L'objectif de cette structure est clair, accompagner des jeunes adultes âgés de 18 à 30 ans qui ont quitté le système scolaire sans diplôme ni qualification et qui désirent se donner les moyens de leur réussite professionnelle. Un personnel formé les accompagne dans la construction de leur parcours, le choix d'un métier et l'accès à l'emploi, pour une insertion durable dans le monde du travail et dans la société.
La région a décidé d'installer une antenne de l'école de la deuxième chance dans chaque chef-lieu de Midi-Pyrénées. Le président de l'agglomération du Grand Rodez, Christian Teyssèdre a accueilli avec enthousiasme cette initiative, il est d'ailleurs l'un des administrateurs de l'école toulousaine.
En Aveyron, le maire d'Onet-Le-Château, Jean-Philippe Keroslian s'est de suite porter candidat, deux mois après avoir été élu. L'école de la deuxième chance devrait donc voir le jour dans le quartier des Costes rouges. «L'ensemble des élus de l'Agglomération est favorable à ce projet qui sera financé par les collectivités, la région et l'État. Ce dernier n'a pas encore donné son accord. Nous avons rendez-vous à la fin du mois avec le recteur», précise Christian Teyssèdre avant d'ajouter, «Je suis très content que la commune d'Onet-Le-Château ait envie de construire cette école. C'est un bel exemple qui va favoriser l'insertion des jeunes en situation d'échec. À Toulouse, les résultats sont encourageants, la quasi-totalité du personnel vient du monde enseignant et de nombreuses entreprises s'impliquent également. Ce projet me tient particulièrement à cœur, il est inscrit dans la convention territoriale de la région».
Cette école permet en moyenne à 7 élèves sur 10 d'accéder à un emploi ou à une formation qualifiante. «Notre commune est candidate car elle compte un gisement de personnes qui correspond à ces critères : des jeunes plein de volonté qui n'ont pas réussi dans leur parcours scolaire et qui ont été mis de côté. Je pense qu'il sera important de se calquer sur les besoins aveyronnais et sur ceux des départements limitrophes en s'appuyant prioritairement sur trois filières, l'industrie, l'agroalimentaire et le service. Dans ces secteurs des possibilités d'emplois ne sont pas encore satisfaites, il faudra donc orienter les jeunes vers ces domaines», souligne Jean-Philippe Keroslian.
Par ailleurs, cette école de la deuxième chance, destinée à une trentaine d'élèves, serait l'occasion de redynamiser le quartier des Costes rouges. «Elle créerait une vraie vie économique et générerait des emplois. Ce serait un signe fort de revitalisation et c'est l'une des priorités de notre municipalité», explique ensuite le maire d'Onet-le-Château qui a l'intention d'associer également le conseil général à ce projet. «Je pense que si l'on fait tous des efforts, on pourra obtenir l'implantation de cette formation alternative. C'est un bien pour les jeunes mais aussi pour l'économie locale».
Aujourd'hui, une seule interrogation persiste, la position de l'État qui ne s'est toujours pas engagé et sans lui le projet risquerait de ne pas aboutir.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/26/1939822-une-ecole-pour-une-deuxieme-chance.html

Braqueur dans la dèche

Il y avait des factures à payer et je n’avais plus un rond », murmure Rudy M. C’est n’est pas plus compliqué que cela. C’est un problème d’argent qui a conduit cet ex-chauffagiste, âgé de 40 ans et originaire du secteur de Bayon, à se lancer dans une très brève carrière de braqueur.
Petit, cheveux poivre et sel et mine sérieuse voire sinistre, il n’a pourtant rien d’un délinquant. Son casier est vierge. Il a bien touché à l’héroïne. Mais il a arrêté il y a 2 ans. Il serait même arrivé à se passer de traitement de substitution. Il serait totalement clean depuis 3 mois. Même si ses explications ne sont pas forcément très claires sur ce point. Ce qui est certain, c’est qu’il ne prend plus d’héro. Ce n’est donc pas pour se payer sa dose qu’il est devenu braqueur.
C’est pour régler la nounou de ses enfants. « Car il a été licencié économique en avril et les dettes se sont accumulées », précise son avocate, Me Julie Sammari. Et le 28 juillet dernier, lorsque son ex-femme et mère de ses trois enfants qui continue à l’héberger à Heillecourt, lui a demandé de l’argent pour payer la nourrice, il a touché le fond. Il a quitté l’appartement « pour se vider la tête et réfléchir à une solution ».
En partant, il a pris un pistolet. Pas un vrai. Un jouet appartenant à son fils. « Cela montre quand même que vous aviez déjà l’idée de commettre un méfait ! », constate la présidente du tribunal correctionnel de Nancy, Valérie Rossburger, devant laquelle il a comparu ce lundi. Le petit quadra à l’allure de monsieur-tout-le-monde ne cherche pas à le contester.

Trahi par des tongues

Ce 28 juillet, il était bien parti pour braquer un commerce. Il ne savait pas lequel. Mais il allait en braquer un. Après avoir hésité, il a choisi la Halle aux Chaussures d’Heillecourt. Il est entré dans le magasin le visage en partie dissimulé par une casquette et des lunettes.
Il a pris une boîte contenant une paire de tongues. Il s’est dirigé vers la caisse. Il a posé la boîte sur le comptoir. Comme s’il allait l’acheter. Sauf qu’il a sorti son pistolet. La caissière qui était toute seule à ce moment-là, a été paniquée. Elle n’a pas pensé une seconde qu’il pouvait s’agir d’une arme factice. Elle a été tellement terrorisée qu’elle a été incapable de donner l’argent de sa caisse. Elle a sorti un ou deux billets en tremblant. Pas plus.
Le braqueur a été obligé d’aller se servir. Il a pris 270 €. Puis il est parti. Laissant derrière lui la boîte de tongues qu’il avait pris dans les rayons. Un petit détail qui l’a perdu. Car il a manipulé cette boîte. Sans guants. Résultat : neuf empreintes dessus. C’est comme cela que les policiers sont remontés jusqu’à lui.
Car même s’il n’a pas de casier, ses empreintes figuraient dans le FNAEG (Fichier national des empreintes digitales). Une bizarrerie que son avocate, Me Julie Sammari, tente de transformer en vice de procédure. Mais cela ne prend pas. Le tribunal rejette ses demandes de nullités.

Pas de mandat de dépôt

Le braqueur fait, lui, dans le mea culpa intensif. A côté du hold-up de la Halle, il a reconnu deux cambriolages. Toujours à Heillecourt. Mais un peu avant le vol à main armée. En mai, il avait essayé d’entrer par effraction dans le bar-restaurant La Fontaine. Il avait bien réussi à forcer la porte mais dés qu’il a mis un pied à l’intérieur, l’alarme a sonné et il s’est enfui. Quelques jours plus tard, lors du week-end de l’Ascension, il a, cette fois, réussi à pénétrer dans le local de l’association Loisirs et Rencontres pour dérober 300 € qui se trouvaient dans une petite caisse.
« Des cambriolages puis un braquage : si on ne vous avait pas interpellé, jusqu’où vous seriez allé ? », interroge la présidente Rossburger. « J’allais m’arrêter… Car je n’en dormais plus de la nuit », assure le prévenu. « Ce n’est pas un pro de la délinquance, c’est un amateur. Et il est dans un état dépressif », complète son avocate, Me Sammari.
Le vice-procureur Michel Journo en tient compte et requiert une peine très modérée pour un braquage : 10 mois de prison dont la moitié ferme. Le tribunal le suit. Sauf sur un point : il ne prononce pas de mandat de dépôt contre le voleur dans la dèche. Après un week-end en détention, il a donc pu ressortir libre du tribunal et sa peine pourra être aménagée.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/08/26/braqueur-dans-la-deche

lundi 25 août 2014

Melun : la fillette de six mois est décédée accidentellement

Après le décès d’une fillette âgée de six mois mercredi soir, l’autopsie réalisée vendredi a confirmé la thèse de la accidentelle. « Il n’y a aucune trace suspecte sur le corps », déclare le procureur de la République à Melun. « Le décès du bébé est donc bien lié à une asphyxie après régurgitation. L’enquête sera bientôt close », poursuit le magistrat précisant que « les rumeurs d’une hospitalisation du bébé la veille sont infondées.
 
La fillette a bien été présentée aux urgences quelques jours auparavant mais pour une simple fièvre qui n’a pas nécessité d’hospitalisation. Les deux événements sont suffisamment éloignés pour qu’il ’y ait aucun rapport entre eux », conclut le procureur de la République à Melun.
 

Incendie au consulat du Portugal de Bordeaux : l'origine serait criminelle

Le feu a pris dans les archives au cours de la nuit de dimanche à lundi. Malgré l'intervention rapide des pompiers, 30 mètres carrés ont été détruits. La préfecture condamne son origine criminelle
L
e sinistre s'est déclaré un peu avant 1 heure du matin au cours de la nuit de dimanche à lundi. Il était 0h53 lorsque les sapeurs-pompiers ont été alertés par une voisine du consulat du Portugal situé rue Henri-Rodel, près du Jardin public, à Bordeaux. Les soldats du feu sont très vite intervenus et ont rapidement maîtrisé les flammes à l'aide d'une lance à eau. qui ont ravagé 30 mètres carrés du local où se trouvent les archives

http://www.sudouest.fr/2014/08/25/bordeaux-incendie-au-consulat-du-portugal-1651010-2780.php

Les trois victimes habitaient le Gers

Les trois victimes de l'accident habitaient toutes dans le département du Gers. Bertrand Malinowski, photographe indépendant âgé de 40 ans, s'était installé depuis 2013 à Montégut, après avoir habité Auch. Passionné de moto, on le voyait souvent faire du jogging sur les routes de campagne. «Je ne le connaissais pas bien mais quand il est arrivé au village, il est venu se présenter très gentiment», rapporte le maire Jérôme Samalens.
Les deux commissaires décédés, Josette Baldran et André Kerdudo, étaient licenciés à l'ASA Armagnac-Bigorre, l'association du circuit de Nogaro. «C'est un jour terrible pour l'ASA. Les commissaires forment une famille. Perdre deux bénévoles aussi dévoués que Josette Baldran et André Kerdudo est une souffrance», confie le président René Pascouau.
Née dans l'Aveyron, Josette Baldran, 63 ans, a longtemps habité dans le Tarn. Membre de l'ASA Ingres, elle était une habituée du rallye des Côtes du Tarn. Pour des raisons familiales, elle s'était installée il y a 3 ans à Saint-Clar, en Lomagne, justement pour se rapprocher du circuit Paul-Armagnac «où elle avait trouvé comme une seconde famille», selon René Pascouau.
André Kerdudo était domicilié à Montestruc près de Fleurance. Ce Breton, ancien marin, avait eu le coup de cœur pour le Gers lors d'un voyage. À la retraite, il avait décidé de s'y installer avec son épouse Manuela.
«Après une vie professionnelle très active, M. Kerdudo a cherché une occupation pour occuper sa retraite. Il l'avait trouvée dans ces fonctions de commissaire de course où il avait retrouvé l'esprit d'équipe, la rigueur, l'amitié et le corporatisme, autant de valeurs auxquels il tenait», souligne le président de l'ASA. Une minute de silence a été observée hier après-midi, sur la place de la mairie de Tillac, à la mémoire des deux commissaires et du photographe.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/25/1939303-les-trois-victimes-habitaient-le-gers.html

Meuse : un enfant de 9 ans fait une chute de 20 mètres dans le fort de Douaumont

Un pompier passe la tête par une petite ouverture dans le mur de pierre. Il s’en extrait avec difficulté. Il donne des consignes à ses collègues restés à la surface.
Hier peu après 14 h, un enfant de 9 ans s’est faufilé par ce trou exigu. Ces touristes allemands effectuaient une balade à vélo autour du Fort de Douaumont. Surplombant les fossés, ils ont visiblement décidé d’aller voir une des quatre casemates (situées aux quatre angles) entourant l’ouvrage de fortification.
Pour des raisons qui resteront à déterminer par les gendarmes de Verdun, l’enfant est entré dans l’édifice. Selon les premiers éléments : après avoir franchi l’ouverture, il s’est retrouvé sur une sorte de dalle qui s’est visiblement effondrée sous ses pieds. L’enfant a alors glissé dans un conduit de cinq mètres de côté et s’est retrouvé vingt mètres plus bas… quasiment sain et sauf. Il portait sur la tête un casque de vélo qui a joué son rôle au moment de la chute. Une chute qui a dû être freinée par des obstacles se trouvant dans ce puits vertical.
Dès l’arrivée des sapeurs-pompiers de Verdun commandés par le lieutenant Gaussot, un secouriste parlant allemand est descendu jusqu’au garçonnet pour parler avec lui afin qu’il ne prenne pas davantage peur. En effet, l’enfant était fortement choqué par sa chute, mais ne souffrait pas de lésions graves, ne se plaignait que du coude. Des touristes néerlandais ont même fourni une lampe frontale au jeune garçon pour qu’il puisse se repérer dans le noir avant l’intervention des secours.
Transporté à l’hôpital de Verdun
C’est l’unité départementale du GRIMP, le Groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux, commandé par le sergent-chef Tonellato qui a mis en place un dispositif afin de remonter l’enfant. L’entrée a été étayée permettant le passage des pompiers et la remontée de la victime en toute sécurité. Victime qui, vu son état de santé, a pu regagner la surface grâce à un harnais vers 15 h 50. Puis elle a été couchée sur une civière pour passer l’ouverture dans le mur.
Conditionné dans l’ambulance, le jeune homme a subi un nouveau bilan de santé avant d’être transporté au centre hospitalier de Verdun.
Sur place étaient présents le capitaine Mathieu, commandant la compagnie de gendarmerie de Verdun et Christian Namy, le président du conseil général qui gère le site.
« Je suis désolée que ce gamin ait pu tomber. Il est difficile de sécuriser tous les ouvrages. Mais il ne faut jamais entrer dans un ouvrage situé sur le champ de bataille pour des raisons de sécurité. Tous ces ouvrages ont été fortement bombardés et on n’est pas à l’abri que des galeries s’effondrent », explique Isabelle Nourry de la Mission Histoire, arrivée tout de suite sur les lieux. « Seuls les sites visitables sont sécurisés ».

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/08/24/meuse-un-enfant-de-9-ans-fait-une-chute-de-20-metres-dans-le-fort-de-douaumont

dimanche 24 août 2014

Une randonneuse se tue près du Perthus

Agée de 45 ans, elle est morte dimanche matin après avoir fait une chute de dix mètres tout près du Perthus.
Une randonneuse de 45 ans est morte dimanche matin après avoir fait une chute de dix mètres au col de l'Ouillat tout près du Perthus (Pyrénées-Orientales), selon les pompiers et es gendarmes de haute montagne. Les secours ont été alertés par le mari de cette femme vers 10h30. Les pompiers, ainsi que le peloton de gendarmerie de secours en montagne d'Oseja se sont rendus sur place. La victime, en arrêt cardio-respiratoire, n'a pu être ranimée et est décédée sur place.
 

Une touriste française retrouvée morte en Grèce

Une Française, disparue depuis vendredi en Grèce alors qu'elle effectuait une randonnée avec son compagnon près de Sfakia, une région montagneuse de Crète, a été retrouvée morte dimanche, a annoncé la police.
 
Le corps de cette femme de 62 ans a été découvert sur un chemin escarpé, à 3 km du village de Loutro, où le couple était en vacances, a rapporté l'agence Athens News.
Des secouristes recherchaient également son compagnon de 64 ans qui est aussi porté disparu, selon le propriétaire de l'hôtel. Ce dernier a alerté la police après avoir constaté que le couple n'était pas rentré vendredi soir. Le couple était arrivé jeudi dans cet hôtel et avait prévu de le quitter samedi.
La journée de samedi a été l'une des plus chaudes de l'été en Grèce, atteignant 43° en Crète.

http://www.sudouest.fr/2014/08/24/une-touriste-francaise-retrouvee-morte-en-grece-1650229-7.php

Deux policiers blessés dans une collision à Nice

Un accident entre un véhicule de police et une voiture s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche, peu avant minuit, dans le centre de Nice, à l’angle des rues Pastorelli et Gubernatis.
Deux fonctionnaires de la Brigade spécialisée de terrain ont été légèrement blessés dans la collision et évacués vers l’hôpital Sant-Roch. Selon un premier bilan médical, ils souffriraient essentiellement d’un traumatisme cervical et de contusions.
La conductrice de l’autre véhicule, une jeune femme, semblait pour sa part surtout choquée, mais a également été conduite à l’hôpital pour des examens.
Un important dispositif de police a été déployé sur place, tandis que les sapeurs-pompiers évacuaient les blessés.
Selon les premières constatations de la police, le véhicule des fonctionnaires était en intervention pour acheminer un individu menaçant vers l’hôpital Saint-Roch, et aurait franchi un feu rouge avec son deux-tons actionné.
La conductrice, arrivant sur leur gauche, a percuté le flanc avant gauche de la voiture de police, faisant dévier celle-ci de sa trajectoire.
L’enquête devra préciser les circonstances exactes de cet accident

http://www.nicematin.com/nice/deux-policiers-blesses-dans-une-collision-a-nice.1875688.html

Cinquième braquage pour la buraliste du «Montmorency»

Le sort s'acharne cruellement contre la gérante du tabac-presse «Le Montmorency» situé à Saint-Barthélémy d'Agenais. Après avoir été sévèrement mise à l'épreuve par le passé, la buraliste vient de subir vendredi soir une cinquième attaque dans son magasin. Il est 20 h 10 quand la responsable qui se trouve dans le fond de son commerce, aperçoit deux hommes cagoulés et gantés qui font irruption. Elle est seule dans son magasin qui s'apprête à fermer et elle comprend que de trop pour y avoir déjà été confrontée, le scénario noir qui est en train de se dérouler. Courageuse, malgré les traumatismes nombreux déjà endurés, la buraliste tente de s'interposer, mais l'un des deux malfaiteurs la bouscule violemment et elle chute au sol. Molestée, la victime est aspergée de gaz lacrymogène, pendant que les malfrats se dirigent d'emblée vers le tiroir-caisse qu'ils arrachent avant de prendre la fuite et de disparaître dans la nature. L'alerte est donnée. Les gendarmes de la brigade de Miramont de Guyenne, renforcés par ceux de la brigade de recherches de Marmande et la cellule en investigations criminelles, se déplacent sur les lieux pour les constatations. L'histoire se répète pour cette sexagénaire qui tient vent debout, ce commerce multiservices depuis le décès de son époux.

8 jours d'ITT

Et l'adversité semble ne lui accorder aucun répit puisqu'en juin dernier, elle témoignait à la barre de la cour d'assises de Lot-et-Garonne, relatant le calvaire effroyable qu'elle avait vécu dans la nuit du 1er au 2 juin 2012. Trois hommes condamnés au final à 12 ans de réclusion pour l'instigateur et à 10 ans pour les comparses, comparaissaient dans le box des accusés pour des faits de nature criminelle à son encontre, «extorsion avec arme, vol, effraction, enlèvement et séquestration». En cette terrible nuit de juin 2012, le trio était entré chez elle à son domicile alors qu'elle dormait, afin de lui dérober les clés de son commerce pour le dévaliser. Violentée toute la nuit, elle était encore séquestrée dans le coffre de sa voiture, puis abandonnée ligotée au petit matin aux abords du lac d'Agmé. Trois agressions, sans commune mesure, avaient précédé cette douloureuse affaire. Le dernier événement en date de vendredi soir ne fait que réactiver un cauchemar récurrent et une vulnérabilité qui touche durement par des vols à main armée certaines professions, et cette commerçante tout particulièrement. Même si dans le cas de figure de vendredi soir, la présence d'une arme n'a pas été rapportée par la victime.
Le tabac presse était rouvert dès hier matin. La commerçante qui a 8 jours d'ITT, fait manifestement face avec abnégation et mérite. Une attitude qui relève, pour le maire Gaëtan Malange, «d'une femme exceptionnelle, dotée d'un fort caractère. C'est une personne exemplaire qui ne cède pas».

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/24/1938716-cinquieme-braquage-pour-la-buraliste-du-montmorency.html

samedi 23 août 2014

Un accident de la circulation fait un mort et plusieurs blessés

Trois véhicules sont entrés en collision, ce matin, samedi 23 août, sur la commune de Charchilla (39). Une personne est décédée et trois autres sont blessées.
Ce matin, à 7h50, trois véhicules se sont percutés à hauteur de la commune de Charchilla (Jura), sur la départementale 470, en direction de Meussia.

Une femme, âgée de 78 ans et originaire de l'Aisne, est décédée. Trois autres personnes ont été blessées, dont une grièvement avec un pronostic vital engagé. Seule une cinquième personne est sortie indemne.

D'importants moyens ont été déployés : un hélicoptère de la sécurité civile Dragon25 et vingt-et-un pompiers étaient sur place.
On ignore pour l'instant la cause de l'accident. Une enquête de gendarmerie est ouverte


http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/08/23/un-accident-de-la-circulation-fait-un-mort-et-plusieurs-blesses-536496.html

Une mygale capturée par les pompiers à Sanary

L'araignée a été découverte par un riverain sur sa terrasse à Sanary. Elle a été capturée par les sapeurs-pompiers.
Ce vendredi matin un nouveau locataire qui emménageait dans un appartement Clos de l’Huide a eu la désagréable surprise de retrouver une mygale sur sa terrasse. Les sapeurs-pompiers de Sanary, munis de gants, d’un bâton et d’une boîte ont récupéré cette araignée avant de la transporter à la clinique vétérinaire des Palmiers.
Le lieutenant Antomarchi a expliqué le problème de ces nouveaux animaux domestiques : « on a une formation spécifique pour ce type d’intervention qui se multiplie. Là la mygale a pu s’échapper ou être abandonnée ».
Une capture pas anodine puisque le vétérinaire spécifiait qu’outre le venin, l’animal pouvait projeter ses poils urticants. Des identifications sont en cours pour déterminer de quelle espèce il s’agit.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/une-mygale-capturee-par-les-pompiers-a-sanary.1874094.html

Les braqueurs du couple d'antiquaires arrêtés

Le 29 mai, un couple d'antiquaires avait subi une tentative de vol à main armée sur le chemin du salon d'Eauze. Les auteurs présumés viennent d'être arrêtés en Tarn-et-Garonne.
Auteurs présumés de plus d'une centaine de cambriolages dans la région, dont sans doute plusieurs dizaines de faits commis dans le seul département du Gers, deux hommes âgés d'une quarantaine d'années viennent d'être interpellés à La Ville-Dieu-du-Temple (Tarn-et-Garonne). Ce duo au lourd passé judiciaire serait aussi impliqué dans la tentative de vol à main armée commise, le 29 mai dernier, à Eauze. Ce matin-là, un couple d'antiquaires spécialisés dans la vente de bijoux anciens, quitte le gîte où ils avaient passé la nuit à Condom, pour rejoindre le hall des expositions d'Eauze. Originaires de Béziers, ils participent chaque année au très réputé salon d'antiquaires d'Eauze.
Aux portes de la ville, un Renault Kangoo s'arrête brusquement devant eux pour bloquer leur 4x4. Le conducteur, une cagoule noire sur la tête, sort du véhicule et court vers le couple d'Héraultais, une arme à la main. Le mari, avec un sang-froid remarquable, réussira à se dégager du guet-apens en fonçant sur la voiture des agresseurs dont il arrachera la portière. De toute façon, les antiquaires ne transportaient aucun objet de valeur. Le plan Épervier déclenché par les gendarmes n'avait pas permis de retrouver les malfaiteurs ni même leur véhicule. Mais c'est sans doute le témoignage précis des victimes qui a permis aux enquêteurs de la brigade de recherches d'Auch d'établir un portrait-robot.

Instruction ouverte à Auch

Le coup de filet de la semaine dernière, près de Montauban, conclut plusieurs mois d'investigations et de filatures (avec mises sur écoute des suspects et même, quelques jours avant leur arrestation, le concours d'un hélicoptère) menées par les gendarmes gersois, cosaisis de l'affaire avec leurs collègues de la section de recherches de Toulouse. Après 48 heures d'audition en garde à vue, à la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin, ils ont été déférés au parquet d'Auch, le procureur Pierre Aurignac ayant ouvert une information judiciaire du chef de «vol avec violence et vols aggravés».
Dans la foulée, ils ont été présentés à la juge d'instruction d'Auch qui leur a signifié leur mise en examen. Les deux hommes ont été placés en détention provisoire à la maison d'arrêt d'Agen. L'enquête, sur commission rogatoire, est loin d'être terminée. Lors des perquisitions menées à leurs domiciles, les gendarmes ont retrouvé des dizaines de bijoux en or, de l'argent et toute la panoplie des parfaits cambrioleurs. Un CD-Rom des bijoux volés pourrait bientôt être mis en ligne sur le site de la gendarmerie afin de permettre à leurs propriétaires de se faire connaître

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=31876&WS=291720_2501986&WA=6160

vendredi 22 août 2014

Drame de Bihorel : le mari remis en liberté

L'homme dont la femme était décédée peu de temps après l'avoir mis à la porte à Bihorel a été remis en liberté le jeudi 21 août.


Mercredi 20 août à Bihorel, une femme de 74 ans a trouvé la mort peu de temps après avoir mis son mari à la porte suite à un différend lire notre précédent article .
Le mari, qui avait été placé en garde à vue a été remis en liberté le jeudi 21 août dans l'après-midi.
C'est désormais la piste accidentelle qui est privilégiée par les enquêteurs.

http://www.tendanceouest.com/rouen/depeche-77803-drame-de-bihorel-le-mari-remis-en-liberte.html

La Teste-de-Buch : un noyé échoué au port du Rocher


Un touriste en promenade a découvert un corps échoué au Port du Rocher jeudi 21 août vers 12 heures.
 
Il a alors immédiatement alerté les sapeurs-pompiers. Les secours l'ont retiré de l'eau, mais il n'a pas été possible de l'identifier. Il semble s'agir d'un homme âgé entre 30 et 40 ans Il avait pu séjourner dans l'eau depuis plusieurs jours.
La brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Arcachon a ouvert une enquête pour tenter de l'identifier et le parquet de Bordeaux a ordonné une autopsie pour connaître les circonstances du décès.

http://www.sudouest.fr/2014/08/22/faits-divers-1648567-4584.php

Un jeune homme de 18 ans grièvement blessé dans un accident de quad

Un conducteur de quad âgé de 18 ans a été grièvement blessé dans un accident ce jeudi, vers18h40, route du Printemps à Drulingen (Bas-Rhin). Le jeune homme a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore indéterminée. Le quad a heurté un poteau électrique situé de l'autre côté de la route. Il était équipé d'un casque. En arrêt cardio-respiratopire à l'arrivée des secours, il a pu être réanimé avant d'être héliporté au CHU de Hautepierre. Le jeune homme souffre d'un traumatisme facial.

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/08/22/un-jeune-homme-de-18-ans-grievement-blesse-dans-un-accident-de-quad

Touristes coincés au Pic du Midi : pourquoi la panne ?

Avec une cinquantaine de personnes à bord, deux bennes du téléphérique sont restées suspendues au-dessus du vide pendant de longues heures. Pourquoi ?
Grand coup d'adrénaline pour la direction et les équipes techniques du pic du Midi, mercredi, peu avant 13 h 30, lorsqu'une panne électrique a surgi, paralysant la progression des deux téléphériques avec à bord une cinquantaine de personnes. Habituellement, ces pannes sont rapidement détectées, analysées et réparées. Mais celle-ci s'est montrée plus insidieuse et plus résistante. «Une diode électrique a cramé sous une hausse de tension plus puissante que d'ordinaire», explique Daniel Soucaze de Soucaze, directeur général de la régie du pic du Midi. Tous les jours, des pannes se produisent, «mais c'est la première fois que l'on n'a pas su réparer malgré les tentatives des équipes techniques». D'où l'application du protocole de secours et d'évacuation, spectaculaire, long, mais surtout encadré et efficace. En effet, il a fallu, dans un premier temps, s'occuper de porter secours aux personnes coincées dans les téléphériques : 24 dans la première benne stationnée à 200 m du départ du Taoulet, et une trentaine dans la seconde positionnée à moins de 200 m de la gare du sommet du pic, et gérer, dans un second temps, l'évacuation des touristes, alors que le site accueillait quelque 350 personnes invitées au match d'exhibition des tennismen Forget et Bahrami. Placé sous le contrôle de Jean-Luc Cazaux, responsable sécurité adjoint au pic, le plan de crise fonctionnait en haut et en bas. Par petits groupes, les touristes les plus motivés, les plus sportifs, équipés et volontaires, sont descendus à pied avant d'être récupérés par la noria de 4x4 et des navettes de bus assurant le transfert vers La Mongie. Les moins pressés ont vécu l'événement jusqu'au bout et sans stress. Enfin, ce sont les naufragés des téléphériques qui ont dû faire preuve de patience et attendre la mise en place de leur évacuation par la navette de secours. Ils ont sûrement vécu des moments un peu plus difficiles, en raison de l'inconfort de la situation.
Selon la préfecture, une personne, victime d'un malaise émotionnel, a été prise en charge, à distance, par le médecin urgentiste du Samu, soutenu par un psychologue et une infirmière présents sur le site qui se sont mis volontairement à disposition de l'équipe sécurité au sommet. Bien sûr, pour pimenter le tout, les conditions météo ont, par moments, compliqué l'événement puisque le brouillard allait et venait. Parmi le public, si tous n'étaient pas correctement chaussés pour la randonnée forcée, tous portaient des vêtements chauds ou des couvertures de survie distribuées par le service sécurité, car la règle numéro un, avant de monter jusqu'au pic du Midi, est de s'équiper.
Dès la panne réparée, les liaisons ont repris et les derniers touristes ont quitté les lieux à 21 h 30.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/22/1938025-pic-du-midi-pourquoi-la-panne.html

jeudi 21 août 2014

Un schizophrène agresse une fille de 12 ans sur la place Grenette à Grenoble

Ce devait être une "sortie définitive". Elle aura finalement été très temporaire. Un homme d'une cinquantaine d'années a été interné à le Centre hospitalier Alpes-Isère de Saint-Egrève, qu'il aurait quitté mardi 20 août 2014 au matin. Pour cause : en fin d'après-midi, donc le même jour que sa sortie selon la police, il a agressé une enfant à Grenoble.

La scène se passe sur la populaire Place Grenette. Il est 17h40. Alors qu'une petite fille âgée de 12 ans se promène avec ses parents, un homme sort d'un bar et se rue sur elle. Il est violent, lui agrippe les cheveux et en arrache !

Des passants s'interposent, la police arrive, l'individu se débat. Dans la bataille, l'homme donne un coup de tête à un policier. Mais on lui répond par deux coups de taser (pistolet à impulsion électrique), jugés nécessaires par les forces de l'ordre pour parvenir à le maîtriser.

Il s'avère que l'homme souffre d'aliénation : il est schizophrène. Après un passage en garde-à-vue, il a donc été renvoyé à l'hôpital, sur demande du Parquet, sans autre poursuite judiciaire. Les parents de l'enfant ont tout de même porté plainte.

Démenti de l'hôpital


Rebondissement. Le Centre Hospitalier Alpes-Isère dément l'information fournie par le commissariat de police de Grenoble. L'individu ne serait pas sorti de l'établissement le matin même.

"Cette personne n'était plus prise en charge par l'hôpital depuis plusieurs années", affirme le CH dans un communiqué, qui souligne que ses services "sont intervenus de façon immédiate dès la garde à vue de l'auteur des faits pour assurer sa prise en charge médicale puis son hospitalisation".


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/08/21/peine-sorti-d-hopital-un-schizophrene-agresse-une-fille-de-12-ans-sur-la-place-grenette-grenoble-535520.html

Le Havre: 4 personnes fauchées par une voiture

Selon paris-normandie.fr, deux adultes et deux enfants ont été renversés par un automobiliste manifestement alcoolisé hier soir au Havre, selon une source proche des secours.

A la suite d'un virage mal négocié, le véhicule aurait dévié de la chaussée et renversé quatre personnes, ainsi que trois petits poteaux. Deux des quatre victimes sont grièvement blessées : une femme enceinte de sept mois et un enfant de moins de dix ans.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/08/21/97001-20140821FILWWW00205-le-havre-4-personnes-fauchees-par-une-voiture.php

INFO E1 - Shy’m arrêtée ivre au volant et sans permis à Paris

Mauvaise fin de nuit pour l’artiste de 28 ans qui a été interpellée ce jeudi matin en plein cœur de la capitale. Selon les informations recueillies par Europe 1, Shy’m était au volant d’une petite voiture lorsqu’elle a été contrôlée par des policiers vers 5h30. Ils ont alors découvert que la jeune femme conduisait sans permis.
Soumise à l’éthylotest, Shy’m avait également une alcoolémie positive, mesurée ensuite à plus de 0,90 gramme d’alcool par litre de sang. La chanteuse a donc été emmenée au commissariat du Ier arrondissement de Paris, où elle a été placée en cellule de dégrisement. Elle devrait ensuite être entendue sous le régime de la garde à vue pour conduite en état d’ivresse et défaut de permis.
 

Isère : un détenu gravement brûlé après avoir mis le feu à son matelas

Un homme âgé de 33 ans a, pour une raison encore inconnue, mis le feu à sa cellule à la maison d'arrêt de Varces (Isère), a déclaré mercredi la gendarmerie à l'AFP. Le détenu est très gravement brûlé après avoir été atteint par les flammes qui dévoraient son matelas. Il a été emmené par les secours dans un caisson hyperbare à l'hôpital Edouart Herriot de Lyon en état d'arrêt cardio-respiratoire. Les autres prisonniers ont été évacués vers une salle sécurisée en attendant que les pompiers éteignent l'incendie.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/20/1937087-isere-detenu-gravement-brule-apres-avoir-mis-feu-matelas.html

Un policier au tribunal pour avoir frappé un gardé à vue

L'homme, agent au commissariat du Mans, a été surpris par les caméras de surveillance début août. Il comparaîtra le 1er octobre devant le tribunal correctionnel pour violence aggravée.

Il a reconnu les faits mais n'a pas été suspendu. Un policier du commissariat du Mans, soupçonné d'avoir frappé un homme en garde à vue, a été renvoyé devant le tribunal correctionnel pour violence aggravée, a indiqué mercredi une source judiciaire. Le policier, que la justice a décidé de poursuivre après avoir reçu mardi les conclusions d'une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), comparaîtra devant le tribunal correctionnel du Mans le 1er octobre, a indiqué le parquet, confirmant une information du quotidien Le Maine Libre.

Les faits, filmés par la vidéosurveillance, remontent à début août. Selon les images de vidéosurveillance, le policier donne "un coup de pied et trois claques" à un homme placé en cellule de garde à vue, a déclaré à l'AFP Jean-François Duchesne, secrétaire départemental de la Fédération professionnelle indépendante de la police (FPIP). Selon lui, cet homme, connu des services de police et interpellé "sous l'emprise de l'alcool au volant", avait refusé de se soumettre au contrôle policier et "outragé à plusieurs reprises" les policiers. Le médecin légiste qui l'a examiné lui a prescrit six jours d'interruption temporaire de travail (ITT).
Le policier est actuellement en arrêt maladie. Jean-François Duchesne, selon qui le policier n'avait jusque là connu "aucun problème" en quinze ans de service, déplore qu'on "veuille faire un exemple" par le biais de ce rare renvoi en correctionnelle. De son côté, la préfecture de la Sarthe "a demandé la suspension de l'intéressé à sa hiérarchie policière", a confirmé à l'AFP le cabinet du préfet.
 

mercredi 20 août 2014

Grave accident de la circulation à La Jard (17) : quatre blessés graves dont trois enfants

On ne connaît pas encore les circonstances de ce terrible accident.
Mardi après-midi, sur la D137 à la Jard (17), une collision entre trois voitures a fait onze blessés.

Selon les pompiers, un couple et trois enfants se trouvaient dans l'un des véhicules. Le père est sorti indemne mais sa femme et ses trois enfants sont blessés graves. Ils ont été transportés dans les hôpitaux de Tours et Bordeaux.

Dans un autre véhicule, un couple avec deux enfants ont été légèrement blessés. Ils ont été dirigés sur le centre hospitalier de Saintes.

Enfin, dans la troisième voiture, c'est un couple de personnes âgées qui a lui aussi été légèrement blessé et conduit à l'hôpital de Cognac.

Sur les lieux 2 équipes SAMU, 6 ambulances et un hélicoptère sont intervenus ainsi qu'une trentaine de pompiers.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/08/20/grave-accident-de-la-circulation-la-jard-17-quatre-blesses-graves-dont-trois-enfants-535004.html

Chute mortelle à Bordeaux : le compagnon remis en liberté

La garde à vue du compagnon de la jeune polonaise tombée du septième étage d'un immeuble lundi matin a été levée ce mardi peu avant 17 heures.
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"Nous ne disposions d'aucun élément grave et concordant qui justifie de lui imputer une responsabilité. " explique Olivier Étienne, procureur adjoint du parquet de Bordeaux. "Les investigations vont se poursuivre dans le cadre de l'enquête préliminaire menée par la brigade départementale de protection de la famille. Pour essayer de comprendre ce qui a conduit la jeune fille a faire cette chute. Toutes les hypothèses restent ouvertes."
Les circonstances de la chute avaient troublé, lundi. Un drap avait été retrouvé noué à la fenêtre d'où la jeune femme est tombée. Elle avait de plus avec elle son sac avec des effets personnels.

http://www.sudouest.fr/2014/08/19/chute-mortelle-a-bordeaux-le-compagnon-remis-en-liberte-1646257-2780.php

Un spectaculaire accident

Dimanche, à Nailloux vers 4heures, au carrefour de la route de Calmont et de Montgeard, un véhicule venant de Calmont a fait un tout droit pour s'écraser dans le champ en face au lieu dit Croix des Amonts.
Les gendarmes de Cintegabelle et les pompiers sont intervenus pour désincarcérer deux jeunes filles blessées. Pour l'heure, les gendarmes enquêtent pour élucider les circonstances de l'accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/20/1937039-un-spectaculaire-accident.html

«La maison a vibré et s'est lézardée»

Depuis le 22 juillet, un agriculteur, son épouse et leurs trois jeunes enfants vivent en caravane après avoir quitté en urgence la maison qu'ils occupaient à Montcuq. Ce jour-là, la bâtisse a brusquement vibré et s'est lézardée dangereusement.
Les volets bleus de la maison qu'occupaient Yannick Daumens et sa famille dans le quartier Saint-Jean à Montcuq sont clos depuis le 22 juillet. L'horloge aurait pu presque s'arrêter ce matin-là, tant le sol s'est mis à trembler. «Lorsque j'ai ouvert la fenêtre de la chambre des enfants, raconte le père, il y a eu un bruit sourd très fort, les placoplâtres sont tombés sur le lit et toute la maison a vibré.» Yannick fait alors sortir tous les siens dans la cour pour les mettre en sécurité. C'est toute la bâtisse qui vient de bouger, le mur en façade est lézardé depuis la charpente jusqu'au sol. Une cicatrice si profonde par endroits qu'elle fait la largeur du mur. À l'intérieur, des fissures parcourent les cloisons, les murs semblent s'écarter et le sol se creuser.
Yannick, sa jeune épouse et leurs trois enfants, dont un bambin de 2 mois, n'ont plus remis les pieds dans cet ancien séchoir à prunes sans fondations «habillé» en maison, préférant tout laisser sur place, pour camper dans une caravane installée sur leur terrain agricole à Saint-Pantaléon. Yannick Daumens est maraîcher. «Cela va faire un mois que ça dure mais au moins on est à l'abri.» L'agriculteur a bricolé un appentis en bois contre sa caravane qui leur sert provisoirement de terrasse. Les enfants s'amusent dans l'herbe avec leurs chats. «Pour le moment ça va, mais il ne faudrait pas que la situation se prolonge, les nuits commencent à être fraîches.»
Le père ne se déplace plus sans avoir avec lui une chemise cartonnée verte, dans laquelle il conserve scrupuleusement «son dossier». Il y a tout dedans, les lettres adressées aux administrations, la copie de la plainte déposée à la gendarmerie. Pas question pour lui de se mettre à la faute, depuis 3 ans, depuis l'installation de la famille dans cette bicoque qui montrait déjà des signes inquiétants de faiblesse, il paye son loyer (plus de 400 €) et continue de le régler aujourd'hui.
Trouver un toit, c'est maintenant l'urgence mais pas la seule : «Mon fils Nils rentre en 6e, la rentrée approche, j'espère qu'il n'y aura pas de souci au niveau du transport scolaire pour que le bus s'arrête à Saint-Pantaléon.»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/20/1936935-la-maison-a-vibre-et-s-est-lezardee.html

mardi 19 août 2014

Joué-les-Tours : le corps d'une femme retrouvé dans le lac des Bretonnières

Le corps sans vie d'une femme a été signalé mardi matin peu avant 8 heure aux pompiers d'Indre-et-Loire.
Le cadavre a été retrouvé dans le lac des Bretonnières, près d'un ponton, dans la zone de baignade autorisée.
Les enquêteurs n'ont pas encore livré le résultat de leurs premières constatations.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/08/19/joue-les-tours-le-corps-d-une-femme-retrouve-dans-le-lac-des-bretonnieres-534430.html

Villeneuve-sur-Lot : un père et ses fils agressés après le cinéma

Le jargon judiciaire parle de vingt-et-un jours d'interruption temporaire de travail. Dans la réalité, le jeune de 14 ans, victime d'une agression dimanche soir, ne travaille pas mais souffre bien d'une fracture à la jambe et de nombreuses ecchymoses.
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Le garçon sortait du cinéma Le Cyrano à Villeneuve-sur-Lot, vers 19 heures, avec son père de 53 ans et son frère de 18 ans, lorsqu'ils ont remarqué un individu à scooter à la conduite dangereuse.
Rejoint par six individus
Alors qu'ils remontaient l'avenue Jean-Claude-Cayrel, l'individu les a, semble-t-il, frôlés. Les trois membres de la famille ont invectivé le conducteur pour lui signifier leur désapprobation, provoquant l'ire de l'homme qui s'est arrêté et précipité sur le plus jeune des fils pour le frapper.
À cet instant, une voiture passant à leur hauteur s'est immobilisée, libérant cinq hommes. Trois d'entre eux ont rejoint le premier individu, donnant des coups de pied à l'adolescent. Son grand frère tentant de l'aider a reçu des coups de poings, pendant que le père était en train d'appeler les secours.
Le garçon a pu se réfugier dans un jardin dont les propriétaires ont réussi à faire fuir les six hommes. La police, qui est en charge de l'enquête, a entendu les victimes et recherche activement leurs agresseurs.

http://www.sudouest.fr/2014/08/19/un-pere-et-ses-fils-agresses-apres-le-cinema-1645349-3268.php

Thomas Voeckler renversé par une voiture

Le coureur français d’Europcar Thomas Voeckler a été renversé par une voiture ce mardi, peu avant le départ du Tour du Limousin à Limoges. Blessé à l’épaule, il pourrait manquer les Mondiaux sur route fin septembre en Espagne.
Le cycliste, qui partait à l’échauffement peu avant midi, a coupé dans un rond-point et heurté un véhicule qui arrivait en face. Voeckler, qui se tenait l’épaule gauche après la chute, a été évacué au CHU de Limoges pour des examens, alors que son entourage soupçonnait une luxation de l’épaule ou une fracture de la clavicule.


http://www.lalsace.fr/actualite/2014/08/19/thomas-voeckler-renverse-par-une-voiture

Un homme arrêté pour le vol d'un revolver

Un homme vivant dans le canton de Salvagnac a été interpellé en fin de semaine dernière pour le vol d'un revolver 376 magnum mercredi dernier dans une armurerie du coin. Lors de la perquisition à son domicile, les gendarmes ont trouvé d'autres munitions non autorisées. Le suspect âgé d'une trentaine d'années sera convoqué devant le tribunal au mois de janvier.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/08/19/1936388-un-homme-arrete-pour-le-vol-d-un-revolver.html

lundi 18 août 2014

Horsarrieu (40) : une femme disparue depuis une semaine retrouvée morte dans les bois

C'est un promeneur qui a fait la macabre découverte en milieu de journée, ce samedi. Nicole Marsan, la sexagénaire d'Horsarrieu qui était recherchée par les gendarmes depuis samedi dernier, a été retrouvée morte dans un bois d'Uchacq-et-Parentis où elle avait ses habitudes.
 
La personne qui a prévenu les gendarmes avait d'abord repéré sa voiture. Des boîtes de médicaments et des bouteilles vides mises à jour à proximité confirmeraient la thèse du suicide de cette landaise de 60 ans

http://www.sudouest.fr/2014/08/17/horsarrieu-40-macabre-decouverte-samedi-dans-un-bois-d-uchacq-et-parentis-1644351-3389.php