L’autoroute A26 a été fermée ce mercredi matin après une collision entre plusieurs véhicules à hauteur de Grugies. Vers 10 heures la circulation a été rétablie
Après l’évacuation des blessés et des carcasses de voitures, la circulation a repris sur l’A26. On en sait un peu plus sur l’origine de l’accident… Vers 8 heures, un automobiliste s’est engagé à contresens sur l’autoroute lorsqu’il a percuté les autres véhicules. La circulation a été totalement interrompue pendant environ une heure, avant d’être régulée.
Les deux victimes ont été transportées au centre hospitalier de Saint-Quentin.
Mieux vaut éviter l’A26 entre Saint-Quentin et Laon ce mercredi matin. Avant 9 heures, cinq voitures sont entrées en collision sur l’A26 à hauteur de Grugies dans l’Aisne. Le premier bilan communiqué par les pompiers fait état de 7 personnes impliquées. Une personne – grièvement blessée – est en cours de désincarcération. Une autre plus légèrement blessée a été prise en charge par les sapeurs-pompiers sur place.
La circulation a été interrompue sur cette portion, dans le sens Saint-Quentin – Laon, pour permettre l’intervention des secours. Prudence si vous circulez dans ce secteur.
http://www.lunion.fr/node/793266
mercredi 31 août 2016
mardi 30 août 2016
La détresse de Julien bouleverse les internautes, sa prétendante vivement critiquée
C’est l’un des candidats préférés des téléspectateurs cette année, dans L’Amour est dans le pré. Mais lundi soir, le bonheur a tourné court pour Julien, l’éleveur de vaches de 32 ans. Alors que la connexion semblait évidente entre le jeune homme et l’une de ses prétendantes, Louise, cette dernière a finalement décidé de stopper l’aventure, ne parvenant pas à s’acclimater dans son nouvel environnement.
Cette mère au foyer de 28 ans, originaire des Cévennes, avait pourtant eu un véritable coup de cœur pour l’agriculteur victime d’un terrible accident qui lui a laissé de graves séquelles. Mais le ciel gris de Meurthe-et-Moselle a eu raison de son enthousiasme.
Les téléspectateurs attendent avec impatience des nouvelles de Julien : son idylle avec Louise connaîtra-t-elle un renouveau, loin des caméras ? Ou le jeune éleveur rencontrera-t-il l’âme sœur en marge du tournage, comme d’autres participants avant lui ? Réponse dans les prochaines semaines.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/08/30/2408892-detresse-julien-bouleverse-internautes-pretendante-vivement-critiquee.html
Cette mère au foyer de 28 ans, originaire des Cévennes, avait pourtant eu un véritable coup de cœur pour l’agriculteur victime d’un terrible accident qui lui a laissé de graves séquelles. Mais le ciel gris de Meurthe-et-Moselle a eu raison de son enthousiasme.
Les téléspectateurs attendent avec impatience des nouvelles de Julien : son idylle avec Louise connaîtra-t-elle un renouveau, loin des caméras ? Ou le jeune éleveur rencontrera-t-il l’âme sœur en marge du tournage, comme d’autres participants avant lui ? Réponse dans les prochaines semaines.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/08/30/2408892-detresse-julien-bouleverse-internautes-pretendante-vivement-critiquee.html
Le désespoir des salariés de huit magasins vendus par Carrefour plus payés depuis juillet
Les 47 salariés de huit magasins Dia rachetés par Gastt au groupe Carrefour sont sans ressources depuis près de deux mois…
Elle n’a pas été payée depuis le 7 juillet. « Au début, j’ai pioché dans mes économies mais maintenant, je n’ai plus rien », lâche Sila*, 33 ans, hôtesse de caisse. « Je n’ai pas pu payer mon dernier loyer, j’ai dépassé mon découvert autorisé, je reçois des relances pour factures impayées et je ne peux même plus m’acheter à manger… C’est carrément l’horreur », se désole-t-elle.
Salariée depuis 2007 de l’enseigne ED devenue Dia (groupe Carrefour), Sila n’imaginait pas se retrouver du jour au lendemain sans aucune ressource – ni salaire, ni indemnité chômage. Et sans aucune structure pour l’aider.
Celle-ci se tient fin mai. Et tout se déroule à merveille. Deux hommes, dont l’un se présente comme étant Pierre-Edouard Traska et se disant « mandaté » par Gastt, exposent aux salariés le projet du groupe. « Ils nous parlaient de vente de produits d’épicerie fine en provenance de Pologne [le patron de Gastt est polonais], ils nous disaient que nous allions être formés, que nous serions un temps en chômage partiel mais que les magasins rouvriraient vite, dès début septembre… Bref, ils nous promettaient de belles choses », se souvient Sila.
>> A lire aussi : Marchés vs grande distribution: Qui offre les meilleurs produits et les meilleurs prix?
Le premier couac survient début juillet, lorsque le salaire de juin est versé avec sept jours de retard. L’histoire se répète début août. Gastt promet aux 47 salariés qu’ils recevront bientôt leur chèque, avant d’évoquer « un virement », puis un « mandat cash ». Adam Kuzmicz, le patron de Gastt, fixe même aux salariés parisiens un rendez-vous le 19 août.
« Il est venu. Il n’arrêtait pas de regarder sa montre en disant que des convoyeurs de fonds étaient en route et qu’ils allaient nous donner notre argent. Il nous a dit qu’en les attendant, il allait à nouveau nous présenter son projet. Ça a duré 1h30… Et puis, tout d’un coup, il a dit que non, finalement, les convoyeurs de fonds n’arriveraient pas », raconte l’un d’entre eux. Les salariés excédés retiennent Adam Kuzmicz et appellent les policiers. Qui laissent finalement le patron repartir.
Nathalie Lerouge, déléguée syndicale Force ouvrière dans le Pas-de-Calais, département où deux magasins Dia ont été rachetés par Gastt, est consternée : « J’avais vu beaucoup de choses dans la grande distribution, mais des employés de magasins à peine vendus qui ne reçoivent pas leurs salaires, c’est une première ! Ils sont dans des situations dramatiques, je pense en particulier à cette maman célibataire qui ne peut même plus acheter une baguette de pain pour sa fille ».
>> A lire aussi : Grande distribution: «Sous prétexte qu'elle crée de l’emploi, les élus ferment les yeux sur des choses inacceptables»
La FGTA-FO, qui suit de près le dossier, « a beaucoup de mal à comprendre ce qu’il s’est passé du côté de Carrefour. On parle quand même du premier employeur de France ! Ses responsables sortent des plus grandes écoles, ils négocient au centime près le prix d’un paquet de nouilles mais ils revendent huit magasins à un groupe qui ne paye déjà plus ses salariés alors que la loi l’oblige à les reprendre aux mêmes conditions pendant 18 mois… Ils ont fait preuve d’une négligence coupable dans ce dossier ».
Qu’en dit Carrefour ? A-t-il perçu la somme correspondant à la vente des huit magasins ? Quelles suites compte-t-il donner à cette affaire ? Nous avons contacté le groupe à plusieurs reprises mais il n’a toujours pas répondu à nos questions. Rappelons que si Carrefour s’est séparé de ces magasins, c’était à la demande de l’Autorité de la concurrence. Et que cette dernière avait validé la candidature de Gastt.
Si ce groupe est quasiment inconnu en France – il possède trois petites boutiques « Syrenka » à Paris – son patron, Adam Kuzmicz, aurait créé 3 000 magasins en Pologne. Contactée par 20 Minutes, l’Autorité de la concurrence estime n’avoir commis aucune faute : « Gastt remplissait toutes les conditions requises pour reprendre les huit points de vente. Il n’avait aucun problème de viabilité financière », nous assure une source proche du dossier.
Il ajoute que « cette histoire est médiatisée pour rien », affirme être un « bouc-émissaire » dans cette affaire – il ferait, selon lui, les frais « d’un conflit entre FO et Carrefour » – et se dit accablé « puisque [s] es nouveaux salariés vont être une famille pour [lui] ».
Nous évoquons la rencontre du 19 août et l’interrogeons sur ces fameux convoyeurs de fonds : « J’ai fait tout mon possible pour ces pauvres malheureux [les salariés] ! Je voulais les payer en liquide, mais mes avocats m’ont déconseillé de le faire. J’ai parlé des convoyeurs sans réfléchir, c’était pour aider ces gens, ce n’était pas pour une quelconque malversation ».
Contacté par 20 Minutes, Pierre-Edouard Traska se présente comme un « conseil » qui n’a pas son mot à dire dans l’affaire. Adam Kuzmicz partage le même point de vue : « Traska est seulement l’un de mes conseillers, il m’a aidé uniquement pour parler aux salariés mais il n’a aucun statut officiel dans l’entreprise ».
La FGTA-FO a saisi le tribunal de commerce de Paris et déposé un référé devant le tribunal des prud’hommes. L’organisation syndicale va également verser, mardi ou mercredi, un bon d’achat de 500 euros à chacun des 47 salariés pour les aider à couvrir les frais immédiats. Elle demande en parallèle à Carrefour de réintégrer ces employés. Le groupe devait donner sa réponse le 25 août. Pour l’instant, Sila comme ses collègues sont sans nouvelle.
*Prénom d’emprunt – la jeune femme a voulu conserver l’anonymat, ne sachant pas à qui elle « a affaire » dans ce dossier.
** Ils sont principalement situés dans les Hauts-de-France, en Ile-de-France, en Rhône-Alpes et en PACA.
http://www.20minutes.fr/dossier/grande_distribution
Elle n’a pas été payée depuis le 7 juillet. « Au début, j’ai pioché dans mes économies mais maintenant, je n’ai plus rien », lâche Sila*, 33 ans, hôtesse de caisse. « Je n’ai pas pu payer mon dernier loyer, j’ai dépassé mon découvert autorisé, je reçois des relances pour factures impayées et je ne peux même plus m’acheter à manger… C’est carrément l’horreur », se désole-t-elle.
Salariée depuis 2007 de l’enseigne ED devenue Dia (groupe Carrefour), Sila n’imaginait pas se retrouver du jour au lendemain sans aucune ressource – ni salaire, ni indemnité chômage. Et sans aucune structure pour l’aider.
« Ils nous promettaient de belles choses »
Pour Sila comme pour 46 autres salariés en France, tout a basculé le 26 mai dernier. « Mon chef m’a appelée pour me dire que huit magasins Dia**, dont le nôtre, venaient d’être vendus au groupe Gastt. C’était une enseigne que je ne connaissais pas, mon chef non plus. Nous avons trouvé cela étrange, on s’attendait plutôt à être repris par Auchan ou Leader Price. Mais nous ne nous sommes pas inquiétés plus que ça, d’autant plus que le repreneur nous avait fixé une rencontre. »Celle-ci se tient fin mai. Et tout se déroule à merveille. Deux hommes, dont l’un se présente comme étant Pierre-Edouard Traska et se disant « mandaté » par Gastt, exposent aux salariés le projet du groupe. « Ils nous parlaient de vente de produits d’épicerie fine en provenance de Pologne [le patron de Gastt est polonais], ils nous disaient que nous allions être formés, que nous serions un temps en chômage partiel mais que les magasins rouvriraient vite, dès début septembre… Bref, ils nous promettaient de belles choses », se souvient Sila.
>> A lire aussi : Marchés vs grande distribution: Qui offre les meilleurs produits et les meilleurs prix?
Le premier couac survient début juillet, lorsque le salaire de juin est versé avec sept jours de retard. L’histoire se répète début août. Gastt promet aux 47 salariés qu’ils recevront bientôt leur chèque, avant d’évoquer « un virement », puis un « mandat cash ». Adam Kuzmicz, le patron de Gastt, fixe même aux salariés parisiens un rendez-vous le 19 août.
« Il est venu. Il n’arrêtait pas de regarder sa montre en disant que des convoyeurs de fonds étaient en route et qu’ils allaient nous donner notre argent. Il nous a dit qu’en les attendant, il allait à nouveau nous présenter son projet. Ça a duré 1h30… Et puis, tout d’un coup, il a dit que non, finalement, les convoyeurs de fonds n’arriveraient pas », raconte l’un d’entre eux. Les salariés excédés retiennent Adam Kuzmicz et appellent les policiers. Qui laissent finalement le patron repartir.
« Elle ne peut même plus acheter une baguette de pain pour sa fille »
Depuis, les salariés de Gastt n’ont plus eu aucun contact avec lui, ni avec Pierre-Edouard Traska. « Nous avons été revendus sans être consultés et maintenant, nous ne sommes même pas payés ! On ne peut pas s’inscrire à Pôle emploi parce que nous n’avons aucun papier… Mais qu’est-ce qu’on va devenir ? », sanglote Sila.Nathalie Lerouge, déléguée syndicale Force ouvrière dans le Pas-de-Calais, département où deux magasins Dia ont été rachetés par Gastt, est consternée : « J’avais vu beaucoup de choses dans la grande distribution, mais des employés de magasins à peine vendus qui ne reçoivent pas leurs salaires, c’est une première ! Ils sont dans des situations dramatiques, je pense en particulier à cette maman célibataire qui ne peut même plus acheter une baguette de pain pour sa fille ».
>> A lire aussi : Grande distribution: «Sous prétexte qu'elle crée de l’emploi, les élus ferment les yeux sur des choses inacceptables»
La FGTA-FO, qui suit de près le dossier, « a beaucoup de mal à comprendre ce qu’il s’est passé du côté de Carrefour. On parle quand même du premier employeur de France ! Ses responsables sortent des plus grandes écoles, ils négocient au centime près le prix d’un paquet de nouilles mais ils revendent huit magasins à un groupe qui ne paye déjà plus ses salariés alors que la loi l’oblige à les reprendre aux mêmes conditions pendant 18 mois… Ils ont fait preuve d’une négligence coupable dans ce dossier ».
Qu’en dit Carrefour ? A-t-il perçu la somme correspondant à la vente des huit magasins ? Quelles suites compte-t-il donner à cette affaire ? Nous avons contacté le groupe à plusieurs reprises mais il n’a toujours pas répondu à nos questions. Rappelons que si Carrefour s’est séparé de ces magasins, c’était à la demande de l’Autorité de la concurrence. Et que cette dernière avait validé la candidature de Gastt.
Si ce groupe est quasiment inconnu en France – il possède trois petites boutiques « Syrenka » à Paris – son patron, Adam Kuzmicz, aurait créé 3 000 magasins en Pologne. Contactée par 20 Minutes, l’Autorité de la concurrence estime n’avoir commis aucune faute : « Gastt remplissait toutes les conditions requises pour reprendre les huit points de vente. Il n’avait aucun problème de viabilité financière », nous assure une source proche du dossier.
« Je fais le virement demain ! »
Mais alors, que s’est-il passé ? Gastt joue-t-il de « malchance » ? C’est ce qu’Adam Kuzmicz plaide auprès de 20 Minutes : « Les fonds sont bloqués chez le notaire. J’ai tout fait pour les débloquer mais le notaire était en vacances… Vous savez, la France l’été, c’est compliqué ». Il affirme également avoir réglé la « totalité » de ses dettes auprès de Carrefour. Comment a-t-il obtenu le déblocage de ces fonds ? « C’est différent, ce n’est pas comme pour les salaires… Mais je vais payer les salariés : les fonds doivent être débloqués ce jour, je fais le virement demain ! », nous assure-t-il.Il ajoute que « cette histoire est médiatisée pour rien », affirme être un « bouc-émissaire » dans cette affaire – il ferait, selon lui, les frais « d’un conflit entre FO et Carrefour » – et se dit accablé « puisque [s] es nouveaux salariés vont être une famille pour [lui] ».
Nous évoquons la rencontre du 19 août et l’interrogeons sur ces fameux convoyeurs de fonds : « J’ai fait tout mon possible pour ces pauvres malheureux [les salariés] ! Je voulais les payer en liquide, mais mes avocats m’ont déconseillé de le faire. J’ai parlé des convoyeurs sans réfléchir, c’était pour aider ces gens, ce n’était pas pour une quelconque malversation ».
« Nous avons peur »
L’avenir le dira. En tout cas, la présence de Pierre-Edouard Traska dans ce dossier ne rassure pas les salariés : « Son nom est connu sur Internet : il est associé à des fermetures douteuses d’entreprises… Ce monsieur a l’air spécialisé dans la faillite. Nous ne savons pas à qui nous avons affaire, mais nous avons peur », avance Sila.Contacté par 20 Minutes, Pierre-Edouard Traska se présente comme un « conseil » qui n’a pas son mot à dire dans l’affaire. Adam Kuzmicz partage le même point de vue : « Traska est seulement l’un de mes conseillers, il m’a aidé uniquement pour parler aux salariés mais il n’a aucun statut officiel dans l’entreprise ».
La FGTA-FO a saisi le tribunal de commerce de Paris et déposé un référé devant le tribunal des prud’hommes. L’organisation syndicale va également verser, mardi ou mercredi, un bon d’achat de 500 euros à chacun des 47 salariés pour les aider à couvrir les frais immédiats. Elle demande en parallèle à Carrefour de réintégrer ces employés. Le groupe devait donner sa réponse le 25 août. Pour l’instant, Sila comme ses collègues sont sans nouvelle.
*Prénom d’emprunt – la jeune femme a voulu conserver l’anonymat, ne sachant pas à qui elle « a affaire » dans ce dossier.
** Ils sont principalement situés dans les Hauts-de-France, en Ile-de-France, en Rhône-Alpes et en PACA.
http://www.20minutes.fr/dossier/grande_distribution
lundi 29 août 2016
Montpellier : il décroche un pendu et le ramène à la vie
C’est un miraculé. Un homme âgé de 33 ans qui avait tenté de se suicider a été sauvé in extremis par un courageux passant, rapportent 20 minutes et France Bleu. Le malheureux s’était pendu samedi après-midi sur la place du 8 mai 1945, en plein centre-ville de Montpellier (Hérault).
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
Son cœur s'est arrêté
Un homme a aperçu le pendu et s’est aussitôt précipité pour le décrocher. Même s’il paraissait inconscient, il a immédiatement appelé les pompiers et lui a prodigué un massage cardiaque en attendant que les secours arrivent. Le cœur de la victime s’était arrêté mais les premiers soins donnés par le passant ont permis de faire repartir l’organe. Le trentenaire a ensuite été transporté au CHRU de Montpellier.http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
Le corps d'un Sparnacien repêché dans la Marne à Epernay
Dimanche, en fin d’après-midi, le corps d’un homme d’une quarantaine d’années a été retrouvé dans la rivière Marne
Un corps a été découvert dans la Marne, dimanche peu avant 19 heures, à hauteur de l’hypermarché Carrefour. Repêché par les pompiers d’Épernay, il a été identifié. Il s’agit d’un Sparnacien de 40 ans. On ne connaît pas encore les circonstances exactes de ce qui ressemble à une noyade. Selon la police nationale, qui mène l’enquête, le corps n’aurait pas séjourné plus de quelques heures dans l’eau, et la piste criminelle semble écartée. Une autopsie est en cours pour déterminer les causes du décès.
http://www.lunion.fr/node/792053
Un corps a été découvert dans la Marne, dimanche peu avant 19 heures, à hauteur de l’hypermarché Carrefour. Repêché par les pompiers d’Épernay, il a été identifié. Il s’agit d’un Sparnacien de 40 ans. On ne connaît pas encore les circonstances exactes de ce qui ressemble à une noyade. Selon la police nationale, qui mène l’enquête, le corps n’aurait pas séjourné plus de quelques heures dans l’eau, et la piste criminelle semble écartée. Une autopsie est en cours pour déterminer les causes du décès.
http://www.lunion.fr/node/792053
dimanche 28 août 2016
Mort en traversant la Manche à la nage
Un Britannique est mort dans la nuit de samedi à dimanche à l'hôpital de Calais où il avait été transporté après avoir fait un malaise durant sa traversée à la nage entre Douvres et Calais, selon la préfecture du Pas-de-Calais.
Âgé d'une quarantaine d'années, il est arrivé peu avant minuit à Calais à bord du bateau de l'équipe chargée de sécuriser et d'homologuer sa traversée, qui l'avait repêché après son malaise en pleine mer, a relaté un porte-parole de la préfecture, confirmant une information de La Voix du Nord. Les secours l'ont immédiatement transporté, en arrêt cardio-respiratoire, au centre hospitalier de Calais, où un massage cardiaque lui a été prodigué, a poursuivi cette source. Peu avant 3 heures, le Britannique est mort.
La traversée de la Manche à la nage est périlleuse: en juillet 2013, une Britannique d'une trentaine d'années était morte à l'hôpital de Boulogne-sur-Mer après une tentative de traversée pour le compte d'associations caritatives.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Âgé d'une quarantaine d'années, il est arrivé peu avant minuit à Calais à bord du bateau de l'équipe chargée de sécuriser et d'homologuer sa traversée, qui l'avait repêché après son malaise en pleine mer, a relaté un porte-parole de la préfecture, confirmant une information de La Voix du Nord. Les secours l'ont immédiatement transporté, en arrêt cardio-respiratoire, au centre hospitalier de Calais, où un massage cardiaque lui a été prodigué, a poursuivi cette source. Peu avant 3 heures, le Britannique est mort.
La traversée de la Manche à la nage est périlleuse: en juillet 2013, une Britannique d'une trentaine d'années était morte à l'hôpital de Boulogne-sur-Mer après une tentative de traversée pour le compte d'associations caritatives.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Deux pilotes ivres arrêtés avant le départ de leur vol
Deux pilotes de la compagnie américaine United Airlines, soupçonnés d'être en état d'ivresse, ont été interpellés samedi à l'aéroport de Glasgow (Ecosse) avant le départ de leur vol pour New York, a annoncé la police écossaise dimanche.
Les deux hommes, âgés de 35 et 45 ans, devaient transporter 141 passagers jusqu'à l'aéroport de Newark, dans l'agglomération new-yorkaise. Ils doivent comparaître lundi devant le tribunal de Paisley, situé à proximité de l'aéroport de Glasgow, a précisé la police.
Le vol, prévu à 9H00 a finalement été assuré samedi soir par de nouveaux pilotes. "Les deux pilotes ont été suspendus de leurs fonctions", a indiqué un porte-parole d'United Airlines.
En juillet, deux pilotes de la compagnie canadienne Air Transat, apparemment ivres, avaient également été arrêtés à l'aéroport de Glasgow peu avant le départ de leur vol pour Toronto (Canada).
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php
Les deux hommes, âgés de 35 et 45 ans, devaient transporter 141 passagers jusqu'à l'aéroport de Newark, dans l'agglomération new-yorkaise. Ils doivent comparaître lundi devant le tribunal de Paisley, situé à proximité de l'aéroport de Glasgow, a précisé la police.
En juillet, deux pilotes de la compagnie canadienne Air Transat, apparemment ivres, avaient également été arrêtés à l'aéroport de Glasgow peu avant le départ de leur vol pour Toronto (Canada).
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php
samedi 27 août 2016
Nîmes : un avocat général radié pour avoir tenté de voler un billet de 20 euros
Cette affaire est révélée par nos confrères du Point. En juillet 2015, un avocat général près la cour d'appel de Nîmes, dans le Gard, avait tenté de voler un billet de 20 euros à un collègue. Un an plus tard, il est radié des cadres de la magistrature.
Radié pour avoir voulu voler 20 euros ! L'affaire pourrait presque prêter à sourire et pourtant... un avocat général près la cour d'appel de Nîmes a bien été viré pour ce motif, comme le révèlent nos confrères du Point.
En juillet 2015, le magistrat tente de voler un billet de 20 euros dans le bureau d'un substitut du procureur. Mais il finit par quitter le bureau sans l'argent par mauvaise conscience, notent nos confrères d'Europe 1. Rapidement, il est soupçonné. Il lui avait déjà été demandé en 2012 d'arrêter de s'enfermer dans les bureaux de ses collèges en leur absence.
Le magistrat nie d'abord mais finit par reconnaître être l'auteur de la tentative de vol. Il a assuré vouloir se payer à déjeuner avec cette somme car il rencontrait alors des problèmes d'argent.
Le Conseil supérieur de la magistrature n'est pas convaincu par les explications de l'avocat général et voit un "manquement au devoir de probité". Le magistrat est finalement radié, à 64 ans, des cadres de la magistrature le 29 juillet dernier selon le décret dont Le Point s'est procuré une copie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/nimes
Radié pour avoir voulu voler 20 euros ! L'affaire pourrait presque prêter à sourire et pourtant... un avocat général près la cour d'appel de Nîmes a bien été viré pour ce motif, comme le révèlent nos confrères du Point.
Il tente de voler 20 euros à un collègue
En juillet 2015, le magistrat tente de voler un billet de 20 euros dans le bureau d'un substitut du procureur. Mais il finit par quitter le bureau sans l'argent par mauvaise conscience, notent nos confrères d'Europe 1. Rapidement, il est soupçonné. Il lui avait déjà été demandé en 2012 d'arrêter de s'enfermer dans les bureaux de ses collèges en leur absence.
Problèmes d'argent
Le magistrat nie d'abord mais finit par reconnaître être l'auteur de la tentative de vol. Il a assuré vouloir se payer à déjeuner avec cette somme car il rencontrait alors des problèmes d'argent.
"Manquement au devoir de probité"
Le Conseil supérieur de la magistrature n'est pas convaincu par les explications de l'avocat général et voit un "manquement au devoir de probité". Le magistrat est finalement radié, à 64 ans, des cadres de la magistrature le 29 juillet dernier selon le décret dont Le Point s'est procuré une copie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/nimes
Un garçon de 3 ans et demi a été grièvement blessé près de Castelnaudary, dans l'Aude, après avoir été happé par une tondeuse à gazon autoportée.
Vendredi soir, un enfant de 3 ans et demi a été grièvement blessé par une tondeuse à gazon autoportée, à Salles-sur-L'Hers, près de Castelnaudary dans l'Aude. Le garçonnet se cachait dans les herbes hautes pendant que le neveu de son père passait la tondeuse. Ce dernier "n'a pas vu l'enfant qui était couché" a indiqué la gendarmerie.
Le garçonnet a un pied sectionné et une rotule broyée. Il a été héliporté, conscient, vers l'hôpital des enfants de Purpan, à Toulouse, ont indiqué les pompiers
vendredi 26 août 2016
Le certificat médical pour le sport change en cette rentrée
Pour obtenir une licence ou avoir le droit de s'aligner sur une course à pied ou à vélo, il faut nécessairement présenter un certificat de non contre-indication à la pratique sportive, délivré par un médecin. Et il y a du changement en cette rentrée scolaire...
[Mis à jour le vendredi 26 août 2016, à 15h38] Il y a du changement pour le certificat médical en cette rentrée scolaire ! Le 26 août 2016, le ministre des Sports Patrick Kanner a annoncé une simplification du "certificat médical de non contre-indication sportive". Un choix motivé par le souhait "d'encourager le plus grand nombre à pratiquer une activité physique et sportive" et par la volonté de réduire une "charge de gestion non négligeable pour les clubs". Alors que, jusqu'à présent, il devait être réalisé tous les ans pour renouveler une licence sportive, le certificat délivré par un médecin sera désormais valable pour une durée de 3 ans. La première année, le sportif fournira son certificat médical à son association. Puis les deux années suivantes, il remplira "un questionnaire de santé lui permettant de déceler d'éventuels facteurs de risques". Si le questionnaire détecte effectivement des risques, le sportif devra faire une visite médicale ; sinon, il déclarera à sa fédération que tout va bien... Par ailleurs, le certificat médical est désormais valable "pour la pratique du sport en général". Auparavant, les médecins délivraient un certificat médical de non contre-indication pour "tel sport" et un autre certificat pour "tel autre". Plus besoin désormais de faire établir un certificat médical pour la course à pied d'un côté pour sa licence d'athlétisme et pour le football d'un autre pour sa lience de foot par exemple... Vous êtes présumé apte à tous les sports par défaut. En revanche, le médecin peut très bien exclure un sport dans le document qu'il délivre s'il considère qu'une discipline n'est pas adaptée à votre état de santé.
Les seuls sports qui dérogent à cette nouvelle règle sont ceux de type plongée, parachutisme ou boxe ("qui présentent des risques particuliers pour la santé ou supposent une condition physique parfaite" dixit le ministère). Pour eux, le certificat médical reste annuel et requerra un "examen médical renforcé".
http://www.linternaute.com/sport/pratique/
Les seuls sports qui dérogent à cette nouvelle règle sont ceux de type plongée, parachutisme ou boxe ("qui présentent des risques particuliers pour la santé ou supposent une condition physique parfaite" dixit le ministère). Pour eux, le certificat médical reste annuel et requerra un "examen médical renforcé".
http://www.linternaute.com/sport/pratique/
Une fillette de 9 ans braquée en Bretagne
La fillette s'est retrouvée face à deux hommes cagoulés et armés alors qu'elle gardait le tabac-supérette de sa grand-mère
Elle ne devait surveiller le commerce que quelques minutes, elle en ressort traumatisée. Ouest-France raconte la mésaventure d'une fillette de 9 ans, surprise par deux individus cagoulés et armés venus pour braquer la caisse du tabac-supérette de sa grand-mère, à Pontivy, en Bretagne.
Face à la fillette, l'un des deux individus la menace de son arme avant de lui ordonner de déguerpir. Alors que celle-ci court prévenir sa grand-mère, les malfrats en profitent pour arracher la caisse contenant 500 euros et prendre la fuite en voiture.
Si l'enfant s'en sort physiquement indemne, elle reste encore traumatisée par ce qui lui est arrivé. Sa grand-mère quant à elle, interrogée par le quotidien, fait par de son écoeurement : "C'est la 18e fois qu'on se fait cambrioler. Je suis effondrée."
http://www.sudouest.fr/2016/08/26/pau-un-homme-tue-d-un-coup-de-couteau-apres-un-differend-entre-automobilistes-2479517-4344.php
Armés et en fuite
La grand-mère de l'enfant et gérante du commerce ne devait s'absenter qu'un instant pour aller étendre son linge à quelques mètres. Elle charge alors sa petite-fille de 9 ans de monter brièvement la garde près de la caisse. C'est le moment qu'ont choisi deux hommes pour s'introduire, masqués, dans la boutique, pistolet à la main.Face à la fillette, l'un des deux individus la menace de son arme avant de lui ordonner de déguerpir. Alors que celle-ci court prévenir sa grand-mère, les malfrats en profitent pour arracher la caisse contenant 500 euros et prendre la fuite en voiture.
Si l'enfant s'en sort physiquement indemne, elle reste encore traumatisée par ce qui lui est arrivé. Sa grand-mère quant à elle, interrogée par le quotidien, fait par de son écoeurement : "C'est la 18e fois qu'on se fait cambrioler. Je suis effondrée."
http://www.sudouest.fr/2016/08/26/pau-un-homme-tue-d-un-coup-de-couteau-apres-un-differend-entre-automobilistes-2479517-4344.php
Agressée et dépouillée à son domicile par quatre malfrats
Jeudi matin, des voleurs ont fait irruption au domaine de Canardis et agressé la propriétaire. Ils sont repartis avec l'argent et les bijoux.
Jeudi, aux alentours de 11 heures, la propriétaire du domaine de Canardis, situé le long de la routede la Cavayère à Montlegun, a sauvagement été agressée par quatre hommes qui ont agi à visage découvert. Selon nos informations, cette dame âgée de 65 ans se trouvait seule dans le jardin et sur le domaine lors des faits.
http://www.lindependant.fr/aude/carcassonne/
Jeudi, aux alentours de 11 heures, la propriétaire du domaine de Canardis, situé le long de la routede la Cavayère à Montlegun, a sauvagement été agressée par quatre hommes qui ont agi à visage découvert. Selon nos informations, cette dame âgée de 65 ans se trouvait seule dans le jardin et sur le domaine lors des faits.
- Frappée et enfermée dans un garage
- Des suspects en cours d'identification
http://www.lindependant.fr/aude/carcassonne/
jeudi 25 août 2016
Décès d'un joueur du club de rugby de l'Olympique Besançon en plein entraînement
Henri Machurey, 24 ans, est décédé hier lors d’un entraînement de reprise du club de rugby de l’Olympique Besançon.
L’Olympique Besançon pleure la mort de l’un de ses joueurs, Henri Machurey. Le jeune homme de 24 ans s’est effondré lors d’un entraînement de reprise. « L’échauffement avait débuté depuis dix minutes. Les joueurs étaient assis en cercle autour de l’entraîneur lorsqu’Henri s’est effondré, inanimé » explique Thierry Pétament, le président de l’OB, à nos confrères de l’Est Républicain. Le décès aurait été provoqué par une rupture de l’aorte.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/besancon
L’Olympique Besançon pleure la mort de l’un de ses joueurs, Henri Machurey. Le jeune homme de 24 ans s’est effondré lors d’un entraînement de reprise. « L’échauffement avait débuté depuis dix minutes. Les joueurs étaient assis en cercle autour de l’entraîneur lorsqu’Henri s’est effondré, inanimé » explique Thierry Pétament, le président de l’OB, à nos confrères de l’Est Républicain. Le décès aurait été provoqué par une rupture de l’aorte.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/besancon
Couple cherche personne sans emploi et motivée... pour lui donner son restaurant
Un couple de restaurateurs sur le point de partir à la retraite a décidé de céder gratuitement son commerce. Seules conditions : que le repreneur soit au chômage et motivé. Ils ont déjà reçu une quarantaine de candidats. Rencontre.
Ces futurs retraités ont décidé de faire un geste généreux afin d'aider une personne sans emploi à sortir d’une période difficile. En Saône-et-Loire, à Tournus, petite ville touristique de 6 000 habitants, Naziha et Robert, son mari, peinent à vendre leur établissement auquel ils sont très attachés.
Alors, plutôt que de le brader, ils ont décidé d’en faire don, expliquent-ils devant les caméras de TF1. Seule condition pour eux : le repreneur doit être sans emploi et très motivé. "C’est un restaurant qui fait manger 24 personnes, détaille Naziha Kunz. J’aimerais faire don du fonds de commerce à quelqu’un qui est au chômage depuis plusieurs mois et qui a besoin de travailler".
Déjà une quarantaine de candidatures
Depuis qu’elle a annoncé vouloir céder gratuitement son restaurant, la gérante de 63 ans a reçu de nombreux candidats. C’est le cas de Karim Chetouane, un jeune homme venu se présenter spontanément. Ce cuisinier et intérimaire raconte ne pas avoir suffisamment d’argent de côté pour lancer son propre commerce. Alors, l’opportunité offerte par les propriétaires est une occasion rêvée pour lui.
Un autre postulant est âgé de 48 ans et sans emploi depuis 4 ans. "Je suis inscrit au Pôle Emploi, je recherche un travail mais je n’en trouve pas". Devenir gérant de cet établissement lui permettrait de commencer une nouvelle vie.
Le restaurant a déjà reçu une quarantaine de candidatures et fera son choix dans les semaines à venir.
mercredi 24 août 2016
Ousse (64) : un motard grièvement blessé dans un choc avec une voiture
Mardi soir, à 20 heures, un Béarnais de 58 ans a été grièvement blessé à la jambe. Il a été évacué sur le CHU de Pau
Le mardi 23 août, vers 20 heures, au croisement de la D817 et de la D38 dans la commune de Ousse, un homme en voiture qui voulait tourner à gauche a percuté le quinquagénaire à moto. Sous l'impact, celui-ci a été envoyé contre une deuxième voiture, qui arrivait par la droite du carrefour.
L'homme a été grièvement blessé au niveau de la jambe. Il a été transporté vers le centre hospitalier de Pau. Les deux autres conducteurs sont indemnes, mais leurs véhicules sont accidentés.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de cet accident
http://www.sudouest.fr/2016/08/24/ousse-64-un-motard-grievement-blesse-dans-un-choc-avec-une-voiture-2477255-4338.php
L'homme a été grièvement blessé au niveau de la jambe. Il a été transporté vers le centre hospitalier de Pau. Les deux autres conducteurs sont indemnes, mais leurs véhicules sont accidentés.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de cet accident
http://www.sudouest.fr/2016/08/24/ousse-64-un-motard-grievement-blesse-dans-un-choc-avec-une-voiture-2477255-4338.php
Retraités séquestrés : gros coup de filet des gendarmes
Cinq jours après l'agression et la séquestration d'un couple de retraités à son domicile de Cintegabelle, les gendarmes ont interpellé plusieurs suspects hier.
Frappé, bâillonné et séquestré durant de longues heures à son domicile de Cintegabelle, près de Toulouse, un couple de retraités de 72 ans se remet difficilement de sa soirée cauchemardesque du jeudi 18 août. Mais depuis hier matin et seulement cinq jours après les faits, l'enquête sur cette sauvage agression connaît une spectaculaire avancée. Les gendarmes de la brigade de recherches de Villefranche-de-Lauragais et de la section de recherche de Toulouse Midi-Pyrénées appuyés par l'antenne du GIGN basée à Toulouse ont mené un important coup de filet dans l'Ouest de la France. Plusieurs individus ont été interpellés en lien avec cette affaire et ont été placés en garde à vue à la gendarmerie depuis hier matin.
Une opération menée dans la plus grande discrétion et qui est ressentie par les victimes comme le début d'un «grand soulagement». Ces retraités ont vu jaillir la foudre dans leur maison, dans la soirée du 18 août où un commando armé et déterminé a quitté les lieux en emportant les cartes bancaires des victimes et un butin dont le montant n'est pas communiqué.
Ce soir-là, plusieurs individus vêtus de couleur sombre et armés sont surpris par la propriétaire des lieux. Cette femme est agressée et ligotée. Lorsque son mari arrive au domicile il est frappé à coups de crosse avant d'être lui aussi entravé et bâillonné. Les malfaiteurs opèrent alors une fouille méthodique de l'habitation à la recherche d'objets de valeur. Ils mettent la main sur des espèces et dérobent des cartes bancaires. Au cours de ces longues heures de calvaire, les téléphones portables des septuagénaires sont mis hors d'état de fonctionnement. Les victimes sont maintenues ligotées au premier étage de la maison et très affaiblies «probablement par la prise contrainte de somnifères», indique un membre de la famille. Ce n'est que le lendemain matin, que les époux parviennent à se libérer de leurs liens en rampant dans leur maison. Ils empoignent le seul téléphone fixe encore en fonctionnement et donnent l'alerte. Pris en charge par les secours et hospitalisés pour effectuer des examens, «ils se remettent lentement», assure un proche du couple.
Dès vendredi, les gendarmes investissent les lieux et les techniciens en investigation criminelle effectuent le travail habituel de relevé d'indices. Dès le week-end, des éléments déterminants sont parvenus aux enquêteurs qui ont alors orienté leurs investigations vers une piste précise. Une piste qui les a conduits vers l'Ouest de la France dès hier matin à l'aube.
http://www.ladepeche.fr/communes/cintegabelle,31145.html
Frappé, bâillonné et séquestré durant de longues heures à son domicile de Cintegabelle, près de Toulouse, un couple de retraités de 72 ans se remet difficilement de sa soirée cauchemardesque du jeudi 18 août. Mais depuis hier matin et seulement cinq jours après les faits, l'enquête sur cette sauvage agression connaît une spectaculaire avancée. Les gendarmes de la brigade de recherches de Villefranche-de-Lauragais et de la section de recherche de Toulouse Midi-Pyrénées appuyés par l'antenne du GIGN basée à Toulouse ont mené un important coup de filet dans l'Ouest de la France. Plusieurs individus ont été interpellés en lien avec cette affaire et ont été placés en garde à vue à la gendarmerie depuis hier matin.
Une opération menée dans la plus grande discrétion et qui est ressentie par les victimes comme le début d'un «grand soulagement». Ces retraités ont vu jaillir la foudre dans leur maison, dans la soirée du 18 août où un commando armé et déterminé a quitté les lieux en emportant les cartes bancaires des victimes et un butin dont le montant n'est pas communiqué.
Ce soir-là, plusieurs individus vêtus de couleur sombre et armés sont surpris par la propriétaire des lieux. Cette femme est agressée et ligotée. Lorsque son mari arrive au domicile il est frappé à coups de crosse avant d'être lui aussi entravé et bâillonné. Les malfaiteurs opèrent alors une fouille méthodique de l'habitation à la recherche d'objets de valeur. Ils mettent la main sur des espèces et dérobent des cartes bancaires. Au cours de ces longues heures de calvaire, les téléphones portables des septuagénaires sont mis hors d'état de fonctionnement. Les victimes sont maintenues ligotées au premier étage de la maison et très affaiblies «probablement par la prise contrainte de somnifères», indique un membre de la famille. Ce n'est que le lendemain matin, que les époux parviennent à se libérer de leurs liens en rampant dans leur maison. Ils empoignent le seul téléphone fixe encore en fonctionnement et donnent l'alerte. Pris en charge par les secours et hospitalisés pour effectuer des examens, «ils se remettent lentement», assure un proche du couple.
Dès vendredi, les gendarmes investissent les lieux et les techniciens en investigation criminelle effectuent le travail habituel de relevé d'indices. Dès le week-end, des éléments déterminants sont parvenus aux enquêteurs qui ont alors orienté leurs investigations vers une piste précise. Une piste qui les a conduits vers l'Ouest de la France dès hier matin à l'aube.
http://www.ladepeche.fr/communes/cintegabelle,31145.html
mardi 23 août 2016
Lille : une fillette enlevée par une amie de sa mère retrouvée dans l'Aisne
INFO LCI. Dans la nuit de lundi à mardi, une fillette de trois ans a été enlevée par une amie de sa mère à Lille. Localisée dans l'Aisne, à des centaines de kilomètres de la cité nordiste, l'enfant a finalement été retrouvée saine et sauve.
Les enquêteurs de Lille contactent alors rapidement la femme qui finit par leur dire où elle se trouve. Ils préviennent immédiatement les autorités de l'Aisne qui lancent un signalement. La kidnappeuse sera finalement géolocalisée un peu plus tard dans la soirée dans une rue de la ville. Après avoir sécurisé le secteur de la gare, où la ravisseuses a accepté de se rendre, les policiers récupèrent la fillette saine et sauve.
C'est une histoire qui se finit bien. Lundi soir, aux alentours de 22h, une jeune femme se rend au commissariat de Lille pour signaler la disparition de sa petite fille âgée de trois ans. La fillette a été enlevée par une amie de sa mère, que celle-ci hébergeait depuis plusieurs mois dans la cité nordiste, selon une source policière
Les faits se sont déroulés aux alentours de 16h. La fillette est alors sous la surveillance de l'amie en question, qu'elle a l'habitude de garder. Mais lorsque la mère contacte son amie afin de récupérer son enfant, cette dernière ne répond pas, ou reste évasive quant à sa localisation. La ravisseuse s'est en fait rendue dans la ville de Laon, dans l'Aisne, où se trouve deux de ses amis. Et ne semble pas disposer à restituer la fillette.
Déjà connue pour des faits similaires
Les enquêteurs de Lille contactent alors rapidement la femme qui finit par leur dire où elle se trouve. Ils préviennent immédiatement les autorités de l'Aisne qui lancent un signalement. La kidnappeuse sera finalement géolocalisée un peu plus tard dans la soirée dans une rue de la ville. Après avoir sécurisé le secteur de la gare, où la ravisseuses a accepté de se rendre, les policiers récupèrent la fillette saine et sauve.
La mère de la fillette a fait part de son intention de porter plainte. Selon une source policière, la ravisseuse avait déjà fait l'objet de poursuites pour avoir enlevé ses propres enfants, aujourd'hui placés en foyer. Trois personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de cette enquête. La jeune femme risque jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende.
Calais: Un mort et plusieurs blessés après une rixe entre migrants
La bagarre aurait démarré aux alentours des lieux de passage clandestin vers l’Angleterre. Une violente rixe a fait un mort à l’arme blanche, et plusieurs blessés à Marck et Calais dans la nuit de lundi à mardi. D’après la préfecture du Pas-de-Calais, l’échauffourée opposait des migrants soudanais et afghans.
>> A lire aussi : Calais: Pourquoi le nombre de migrants a bondi cet été
Selon la Voix du Nord, une quinzaine de blessés ont été secourus, au total, à partir du milieu de la nuit, entre le bidonville où sont massés 7.000 à 9.000 migrants, et l’autoroute A16 qui frôle la zone portuaire.
Il gisait sur un terrain le long du canal de Marck, à un peu moins de 2 kilomètres du campement de Calais. D’après une source proche de l’enquête, menée par la gendarmerie, l’homme souffrait de blessures à l’arme blanche. Il était accompagné d’un autre homme d’environ 35 ans, blessé à la tête et transporté au centre hospitalier de Calais où il serait hors de danger.
Il s’agit de la onzième personne migrante décédée dans la zone de Calais depuis le début de l’année 2016. La dernière rixe mortelle datait du 26 juillet, et mettait également aux prises des ressortissants afghans et des personnes originaires du continent africain (Érythrée, Soudan, Éthiopie).
La préfecture du Pas-de-Calais précise qu’elle a dû, par ailleurs, « évincer » à plusieurs reprises, dans la nuit, « des groupes de 20 à 30 migrants (…) qui tentaient d’accéder aux voies de circulation (de l’autoroute A16) en vue de s’introduire dans des camions en direction du Port de Calais/Royaume-Uni ».
http://www.20minutes.fr/dossier/migrants
>> A lire aussi : Calais: Pourquoi le nombre de migrants a bondi cet été
Selon la Voix du Nord, une quinzaine de blessés ont été secourus, au total, à partir du milieu de la nuit, entre le bidonville où sont massés 7.000 à 9.000 migrants, et l’autoroute A16 qui frôle la zone portuaire.
Onze décès parmi les migrants depuis le début de l’année
L’un des migrants blessés, un trentenaire de nationalité soudanaise, est décédé vers 7h du matin, malgré des tentatives de réanimation prodiguées pendant 45 minutes, précise la préfecture du Pas-de-Calais.Il gisait sur un terrain le long du canal de Marck, à un peu moins de 2 kilomètres du campement de Calais. D’après une source proche de l’enquête, menée par la gendarmerie, l’homme souffrait de blessures à l’arme blanche. Il était accompagné d’un autre homme d’environ 35 ans, blessé à la tête et transporté au centre hospitalier de Calais où il serait hors de danger.
Il s’agit de la onzième personne migrante décédée dans la zone de Calais depuis le début de l’année 2016. La dernière rixe mortelle datait du 26 juillet, et mettait également aux prises des ressortissants afghans et des personnes originaires du continent africain (Érythrée, Soudan, Éthiopie).
La préfecture du Pas-de-Calais précise qu’elle a dû, par ailleurs, « évincer » à plusieurs reprises, dans la nuit, « des groupes de 20 à 30 migrants (…) qui tentaient d’accéder aux voies de circulation (de l’autoroute A16) en vue de s’introduire dans des camions en direction du Port de Calais/Royaume-Uni ».
http://www.20minutes.fr/dossier/migrants
lundi 22 août 2016
Haute-Loire: un homme écrasé par son tracteur
Un homme est décédé aujourd'hui à Roche-en-Régnier (Haute-Loire), écrasé par son tracteur, rapporte France Bleu Saint-Etienne Loire.
L'individu, âgé de 53 ans, est mort coincé sous son véhicule agricole. Un passant a donné l'alerte vers 12h30. Les pompiers sont arrivés sur place mais n'ont pas pu ranimer l'agriculteur qui était, selon la radio locale, en arrêt cardio-respiratoire à ce moment-là. Aucun témoin du drame n'a pu donner de détail sur les circonstances de l'accident.
L'individu, âgé de 53 ans, est mort coincé sous son véhicule agricole. Un passant a donné l'alerte vers 12h30. Les pompiers sont arrivés sur place mais n'ont pas pu ranimer l'agriculteur qui était, selon la radio locale, en arrêt cardio-respiratoire à ce moment-là. Aucun témoin du drame n'a pu donner de détail sur les circonstances de l'accident.
Vendée : elle se noie en voulant sauver son chien tombé à l'eau
Une jeune femme de 29 ans est morte noyée samedi matin alors qu'elle essayait de secourir son chien tombé à l'eau, rapporte Ouest France.
Le tragique accident a eu lieu samedi 20 août au matin, aux environs de 7h15. Une jeune femme de 29 ans promenait son chien en compagnie d'un ami au Puit d'Enfer, une zone rocheuse située à Château-d'Olonne en Vendée. Lorsque son chien tombe malencontreusement à l'eau, la jeune femme descend sur les rochers pour le secourir. Une fois en bas, elle se retrouve en difficulté. Son ami prévient les pompiers, mais il est déjà trop tard pour elle, ils n'ont pas réussi à la réanimer. Son chien n'a pas été retrouvé.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
Le tragique accident a eu lieu samedi 20 août au matin, aux environs de 7h15. Une jeune femme de 29 ans promenait son chien en compagnie d'un ami au Puit d'Enfer, une zone rocheuse située à Château-d'Olonne en Vendée. Lorsque son chien tombe malencontreusement à l'eau, la jeune femme descend sur les rochers pour le secourir. Une fois en bas, elle se retrouve en difficulté. Son ami prévient les pompiers, mais il est déjà trop tard pour elle, ils n'ont pas réussi à la réanimer. Son chien n'a pas été retrouvé.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/
dimanche 21 août 2016
La consultation médicale chez le généraliste passera de 23 à 25 euros
La nouvelle convention tarifaire des médecins, qui prévoit notamment une revalorisation à 25 euros de la consultation chez un généraliste à partir du 1er mai 2017, a été validée, après que les adhérents du syndicat FMF ont donné leur feu vert à une signature.
En année pleine, cette nouvelle convention médicale déjà signée le 27 juillet dernier par deux autres syndicats - MG France (généralistes) et Le Bloc (chirurgiens - coûtera à l'Assurance Maladie 978 millions d'euros et 1,3 milliard d'euros avec la participation des mutuelles, soit près de deux fois plus que la précédente convention de 2011.http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php
En année pleine, cette nouvelle convention médicale déjà signée le 27 juillet dernier par deux autres syndicats - MG France (généralistes) et Le Bloc (chirurgiens - coûtera à l'Assurance Maladie 978 millions d'euros et 1,3 milliard d'euros avec la participation des mutuelles, soit près de deux fois plus que la précédente convention de 2011.http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php
Ils marchent sur le chemin de Compostelle... avec un âne
C'est un périple assez atypique dans lequel s'est lancée cette famille qui vit en Chine. Partie du Puy-en-Velay il y a quatre ans, la petite tribu marche chaque année une semaine, pendant les vacances d'été, sur le sentier de Saint-Jacques-de-Compostelle. Guillaume et Guillemette ont embarqué leurs trois enfants, Margaux 15 ans, Chloé 11 ans et William, 8 ans et Cloé, un âne qu'ils ont loué dans le Lot pour leur étape de cette année. «Sans lui on n'aurait pas pu faire le chemin avec les enfants, il porte leurs bagages». Mais l'âne transporte aussi les enfants quand ils sont fatigués de marcher. Et en plus «il les motive», sourit le papa. Jeudi, la famille a fait l'étape de Durfort Lacapelette à Moissac où ils sont arrivés en début d'après-midi et où ils n'ont pas manqué de se faire remarquer. «Le plus compliqué avec l'âne c'est de marcher sur les longues lignes droites où il y a beaucoup de circulation», explique Guillemette, la maman. «Mais l'arrivée à Moissac est bien aménagée pour les pèlerins», ajoute-t-elle. C'était la dernière étape pour cette année. Rendez-vous sur les routes l'année prochaine, avec un nouvel âne.
http://www.ladepeche.fr/communes/moissac,82112.html
http://www.ladepeche.fr/communes/moissac,82112.html
samedi 20 août 2016
Thézan-lès-Béziers : 1 mort et 3 blessés graves dans un choc frontal sur la D19
Une femme est morte et trois autres personnes, deux hommes et une femme, ont été gravement blessées dans un accident de la circulation qui s'est produit, ce vendredi, sur la D19 entre les communes de Thézan-lès-Béziers et Murviel-lès-Béziers, près de Béziers, dans l'Hérault
Choc frontal entre deux voitures
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/beziers
Choc frontal entre deux voitures
Deux véhicules sont entrés en collision vers 16h00. Le choc a été d'une extrême violence. Deux des trois personnes gravement blessées ont été héliportées de toute urgence vers le CHU de Montpellier. Le pronostic vital des trois blessés est engagé, selon les pompiers.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/beziers
Nouvelles têtes nouvelles émissions
Entre les départs et les arrivées, le monde des médias se renouvelle comme toujours en septembre. (Re) découverte de ces journalistes et animateurs qui feront leur rentrée.
Sur France 2, Léa Salamé présentera Stupéfiant, un nouveau magazine consacré à la culture. Le programme Visites privées, présenté par Stéphane Bern, sera lui, dédié au patrimoine français. Frédéric Taddéï présentera lui l'émission de débat Hier, aujourd'hui, demain. Laurent Ruquier abordera pour sa part le 7e art, dans le programme Mardi Cinéma. Laurent Delahousse, qui présente actuellement le JT de 20 heures du week-end prépare dix documentaires qui seront diffusés le dimanche soir. Il animera également un rendez-vous politique le dimanche, pour les élections présidentielles. Leila Kaddour présentera aussi le JT de 20 heures du week-end, devenant joker de Laurent Delahousse. Le JT de 13 heures, sera présenté par l'Aveyronnaise Marie-Sophie Lacarrau, qui sera ainsi la titulaire remplaçante d'Elise Lucet. Cette dernière, présentera Les Jeudis de l'info. La présentatrice préférée des Français réformera également les magazines Envoyé Spécial et Complément d'enquête… tout en continuant Cash investigation. Chloé Nabédian venue d'iTélé, sera la nouvelle Miss Météo de France 2.
La politique et la culture sont à l'honneur sur France 3 ! L'ancienne présentatrice de Zone interdite, Wendy Bouchard, animera tous les dimanches, l'émission du côté de chez Dave, aux côtés du chanteur Dave lui-même. Elle serait également pressentie pour présenter le Grand Soir 3. Nicolas Demorand, qui officie sur la grille de France Inter sur le 18 -20 heures, débarque sur le petit écran. Il animera chaque semaine Drôle d'endroit pour une rencontre. Dans cette émission culturelle, il va recevoir 3 invités dans un lieu insolite en rapport avec les personnalités. Le dispositif visuel serait imaginé par le célèbre décorateur Philippe Starck.
Bruce Toussaint a quitté iTélé pour France 5. Succédant à Yves Calvi, c'est désormais lui qui anime C dans l'air.
Quant à Yves Calvi, il débarque sur LCI. La chaîne d'informations du groupe TF1 lui aurait confié la tranche horaire de la fin de journée. Surprise à la rentrée.
Les téléspectateurs de Canal + ne verront pas Pierre Ménès à la rentrée. «Monsieur Foot» l'a annoncé lui-même sur son compte Twitter : évoquant des «raisons médicales», il n'est pas en mesure «d'assurer la présentation de (sa) nouvelle émission hebdomadaire». Victor Robert est le nouveau présentateur du Grand Journal sur Canal +. Et le Petit journal ne sera plus présenté par Yann Barthès. Il a en effet fait ses adieux en direct, le 23 juin 2016. L'animateur sera remplacé par Cyrille Eldin. Yann Barthès arrive néanmoins sur TF1 avec un hebdomadaire le samedi mais aussi sur TMC avec Le nouveau quotidien. Du côté du sport, Grégoire Margotton devient le nouveau commentateur sportif de TF1, remplaçant alors Christian Jean-Pierre
http://www.ladepeche.fr/tv-people/tele-medias/
Sur France 2, Léa Salamé présentera Stupéfiant, un nouveau magazine consacré à la culture. Le programme Visites privées, présenté par Stéphane Bern, sera lui, dédié au patrimoine français. Frédéric Taddéï présentera lui l'émission de débat Hier, aujourd'hui, demain. Laurent Ruquier abordera pour sa part le 7e art, dans le programme Mardi Cinéma. Laurent Delahousse, qui présente actuellement le JT de 20 heures du week-end prépare dix documentaires qui seront diffusés le dimanche soir. Il animera également un rendez-vous politique le dimanche, pour les élections présidentielles. Leila Kaddour présentera aussi le JT de 20 heures du week-end, devenant joker de Laurent Delahousse. Le JT de 13 heures, sera présenté par l'Aveyronnaise Marie-Sophie Lacarrau, qui sera ainsi la titulaire remplaçante d'Elise Lucet. Cette dernière, présentera Les Jeudis de l'info. La présentatrice préférée des Français réformera également les magazines Envoyé Spécial et Complément d'enquête… tout en continuant Cash investigation. Chloé Nabédian venue d'iTélé, sera la nouvelle Miss Météo de France 2.
La politique et la culture sont à l'honneur sur France 3 ! L'ancienne présentatrice de Zone interdite, Wendy Bouchard, animera tous les dimanches, l'émission du côté de chez Dave, aux côtés du chanteur Dave lui-même. Elle serait également pressentie pour présenter le Grand Soir 3. Nicolas Demorand, qui officie sur la grille de France Inter sur le 18 -20 heures, débarque sur le petit écran. Il animera chaque semaine Drôle d'endroit pour une rencontre. Dans cette émission culturelle, il va recevoir 3 invités dans un lieu insolite en rapport avec les personnalités. Le dispositif visuel serait imaginé par le célèbre décorateur Philippe Starck.
Bruce Toussaint a quitté iTélé pour France 5. Succédant à Yves Calvi, c'est désormais lui qui anime C dans l'air.
Quant à Yves Calvi, il débarque sur LCI. La chaîne d'informations du groupe TF1 lui aurait confié la tranche horaire de la fin de journée. Surprise à la rentrée.
Les téléspectateurs de Canal + ne verront pas Pierre Ménès à la rentrée. «Monsieur Foot» l'a annoncé lui-même sur son compte Twitter : évoquant des «raisons médicales», il n'est pas en mesure «d'assurer la présentation de (sa) nouvelle émission hebdomadaire». Victor Robert est le nouveau présentateur du Grand Journal sur Canal +. Et le Petit journal ne sera plus présenté par Yann Barthès. Il a en effet fait ses adieux en direct, le 23 juin 2016. L'animateur sera remplacé par Cyrille Eldin. Yann Barthès arrive néanmoins sur TF1 avec un hebdomadaire le samedi mais aussi sur TMC avec Le nouveau quotidien. Du côté du sport, Grégoire Margotton devient le nouveau commentateur sportif de TF1, remplaçant alors Christian Jean-Pierre
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vendredi 19 août 2016
Incendie : 1500 personnes évacuées d'un camping en Charente-Maritime
Un feu a contraint 1500 personnes à être évacuées d'un camping à Saint-Georges d'Oléron, en Charente-Maritime, dans la nuit de jeudi à vendredi. Un pompier, un couple et leur fillette ont été pris en charge par l'hôpital de Rochefort.
Environ 1500 personnes ont été évacuées dans la nuit de jeudi à vendredi d'un camping à Saint-Georges d'Oléron, en Charente-Maritime, à la suite d'un incendie qui s'est propagé à grande vitesse. Le feu serait parti d'un mobil-home et se serait dirigé vers huit chalets de 30 mètres carrés, détruisant totalement cinq d'entre eux, trois voitures et la végétation autour.
Trois lances, quatre camions et 60 pompiers ont été nécessaires afin de venir à bout des flammes qui se sont déclarées après 2h30 du matin dans la camping Le Signol pour une raison encore inconnue.
Si l'incident n'a pas fait de blessé grave, un couple et sa fillette de 5 ans ont néanmoins dû être conduits à l'hôpital de Rochefort après avoir inhalé de la fumée. Un pompier qui s'est légèrement blessé dans une chute a également été pris en charge par les secours, a indiqué le SDIS (Service départemental d'incendie et de secours) de Charente-Maritime.
Les habitants du camping ont pu regagner leur emplacement à partir de 6h30, après avoir passé entre trois et quatre heures rassemblés sur une place de la commune de l'île d'Oléron et dans une salle de la capitainerie du port
jeudi 18 août 2016
Simone Veil hospitalisée en état de détresse respiratoire
Simone Veil, 89 ans, passait des vacances dans la région d'Avignon lorsqu'elle a été hospitalisée, début août.
Simone Veil serait dans un état préoccupant, selon La Provence. Début août, alors qu'elle passait des vacances dans le sud de la France, elle a été hospitalisée à Avignon avant d'être transférée en début de semaine à Paris.
L’ancienne ministre de la Santé de Valéry Giscard d'Estaing serait très affaiblie et aurait des difficultés à communiquer.
Simone Veil, troisième personnalité préférée des Français, et première femme de ce classement, s'est retirée de la vie politique en 2013. rescapée de la Shoah, elle est à l'origine de la dépénalisation de l'avortement en France.
http://www.dna.fr/actualite/2016/08/18/simone-veil-hospitalisee-en-etat-de-detresse-respiratoire
Simone Veil serait dans un état préoccupant, selon La Provence. Début août, alors qu'elle passait des vacances dans le sud de la France, elle a été hospitalisée à Avignon avant d'être transférée en début de semaine à Paris.
L’ancienne ministre de la Santé de Valéry Giscard d'Estaing serait très affaiblie et aurait des difficultés à communiquer.
Simone Veil, troisième personnalité préférée des Français, et première femme de ce classement, s'est retirée de la vie politique en 2013. rescapée de la Shoah, elle est à l'origine de la dépénalisation de l'avortement en France.
http://www.dna.fr/actualite/2016/08/18/simone-veil-hospitalisee-en-etat-de-detresse-respiratoire
Camion percuté par un TER : le chauffeur dans un état critique
On est passé tout près d'une énorme catastrophe hier à Montrabé, dans la banlieue est de Toulouse. Peu après 14 heures, pour une raison encore indéterminée, le chauffeur d'un camion plateau s'est retrouvé bloqué sur un passage à niveau. Le jeune homme s'est extrait de son véhicule au moment où arrivait un TER qui reliait Toulouse à Albi. Sous la violence du choc, le camion a été projeté à plusieurs mètres de la voie ferrée et est venu s'encastrer dans une voiture qui circulait dans une rue parallèle à la voie ferrée. Le moteur du camion a été expulsé du capot et a atterri dans le jardin d'une riveraine. Le chauffeur du camion, grièvement blessé, a été transporté en urgence à Purpan : hier soir, son pronostic vital était encore engagé.
Par miracle, aucun des quarante passagers du train n'a été blessé. Les occupants de la voiture qui a été percutée par le camion sont eux aussi indemnes, tout comme l'octogénaire qui se trouvait à son domicile lorsque le moteur du camion a atterri dans son jardin. La SNCF a immédiatement mis en place un dispositif pour transporter les passagers par bus et taxi. La ligne Toulouse-Albi, qui était coupée hier soir, devrait rouvrir ce matin. Le trafic routier a également été coupé à Montrabé aux abords de la zone de l'accident. L'enquête a été confiée à la communauté de brigade de gendarmerie de Balma qui a déjà auditionné plusieurs témoins.
http://www.ladepeche.fr/communes/montrabe,31389.html
http://www.ladepeche.fr/communes/montrabe,31389.html
mercredi 17 août 2016
Bébé mort à Niort: appel à témoin pour retrouver la mère
La gendarmerie de Niort a lancé aujourd'hui un appel à témoins, pour retrouver les parents d'un bébé dont le corps avait été découvert début août dans un camion-benne à ordures, estimant que la mère court un "risque important" pour sa santé.
Le foetus "d'environ 7 mois" avait été découvert le 8 août par des éboueurs lors d'une tournée de collecte d'ordures ménagères à Saint-Maixent-l'École (Deux-Sèvres), près de Niort. Il était impossible pour les éboueurs de savoir à quel point de leur itinéraire le corps aurait été déversé dans le camion-benne, d'une poubelle ou d'un autre contenant. Ni le sexe, ni le groupe ethnique du foetus, qui était endommagé, n'ont pu être déterminés à ce jour, et les analyses médicales visant à établir si l'enfant a respiré, devraient encore prendre des mois, selon des sources proches de l'enquête. Mais étant donné les possibles circonstances de l'accouchement, "la mère court un risque important pour sa santé", a indiqué la gendarmerie de Niort, dont la brigade de recherches gère l'enquête. Le parquet niortais et la gendarmerie ont donc lancé un appel à témoins pour retrouver les parents du bébé
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Le foetus "d'environ 7 mois" avait été découvert le 8 août par des éboueurs lors d'une tournée de collecte d'ordures ménagères à Saint-Maixent-l'École (Deux-Sèvres), près de Niort. Il était impossible pour les éboueurs de savoir à quel point de leur itinéraire le corps aurait été déversé dans le camion-benne, d'une poubelle ou d'un autre contenant. Ni le sexe, ni le groupe ethnique du foetus, qui était endommagé, n'ont pu être déterminés à ce jour, et les analyses médicales visant à établir si l'enfant a respiré, devraient encore prendre des mois, selon des sources proches de l'enquête. Mais étant donné les possibles circonstances de l'accouchement, "la mère court un risque important pour sa santé", a indiqué la gendarmerie de Niort, dont la brigade de recherches gère l'enquête. Le parquet niortais et la gendarmerie ont donc lancé un appel à témoins pour retrouver les parents du bébé
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Arcachon : le public touché par des débris incandescents lors du feu d'artifice du 15 août
Des débris incandescents sont retombés dans la foule lundi soir lors du traditionnel feu d'artifice du 15 août à Arcachon. "L'artificier Lacroix-Ruggieri" endosse la responsabilité de ces incidents"
Comme tous les ans, la plage centrale d'Arcachon était noire de monde lundi soir pour le traditionnel feu d'artifice du 15 août. Mais cette année, des incidents ont gâché la fête d'une partie du public. En effet, les débris incandescents d'une ou plusieurs bombes sont retombés sur la foule massée à proximité de la jetée Thiers.
«Il était peut-être 22 heures 45, raconte Alain. Et nous avons vu des pièces pyrotechniques finir d'éclater au milieu des gens. Ma fille a été légèrement brûlée au bras et moi, j'ai vu mon tee-shirt troué par les braises. Et j'ai vu d'autres personnes dans la même situation que nous.»
"L'artificier Lacroix-Ruggieri, qui est mondialement connu, endosse la responsabilité de ces incidents, nous a expliqué Alain Vivien, le directeur d'Arcachon Expansion, qui organise le feu d'artifice pour le compte de la ville. Ils attendent le retour de leurs équipes pour analyser ce qui s'est passé."
Plusieurs témoins parlent aussi d'un mouvement de foule provoqué par ces retombées. "En fonction du cahier des charges du feu est calculé un périmètre de sécurité, poursuit Alain Vivien. Lundi soir, il était de 160 mètres autour de la jetée Thiers. je précise d'ailleurs que depuis deux ou trois ans, nous avons diminué la puissance du feu d'artifice, justement pour des questions de sécurité. Après ces incidents, les agents de sécurité ont fait reculer la foule pour élargir ce périmètre. ce n'était pas un mouvement de foule provoqué par la peur."
http://www.sudouest.fr/2016/08/16/arcachon-le-public-touche-par-des-debris-incandescents-lors-du-feu-d-artifice-du-15-aout-2469447-2733.php
«Il était peut-être 22 heures 45, raconte Alain. Et nous avons vu des pièces pyrotechniques finir d'éclater au milieu des gens. Ma fille a été légèrement brûlée au bras et moi, j'ai vu mon tee-shirt troué par les braises. Et j'ai vu d'autres personnes dans la même situation que nous.»
"L'artificier Lacroix-Ruggieri, qui est mondialement connu, endosse la responsabilité de ces incidents, nous a expliqué Alain Vivien, le directeur d'Arcachon Expansion, qui organise le feu d'artifice pour le compte de la ville. Ils attendent le retour de leurs équipes pour analyser ce qui s'est passé."
Plusieurs témoins parlent aussi d'un mouvement de foule provoqué par ces retombées. "En fonction du cahier des charges du feu est calculé un périmètre de sécurité, poursuit Alain Vivien. Lundi soir, il était de 160 mètres autour de la jetée Thiers. je précise d'ailleurs que depuis deux ou trois ans, nous avons diminué la puissance du feu d'artifice, justement pour des questions de sécurité. Après ces incidents, les agents de sécurité ont fait reculer la foule pour élargir ce périmètre. ce n'était pas un mouvement de foule provoqué par la peur."
http://www.sudouest.fr/2016/08/16/arcachon-le-public-touche-par-des-debris-incandescents-lors-du-feu-d-artifice-du-15-aout-2469447-2733.php
Un nouveau radar de poche va bientôt flasher sur nos routes
Les forces de l'ordre testent actuellement un radar de poche redoutable. Très maniable, il est opérationnel à 640 mètres de distance et voit dans l'habitacle des voitures.
C'est la mauvaise nouvelle de la rentrée : un nouveau radar encore plus redoutables que ceux actuellement en service, débarque sur les routes de France. Baptisé radar de poche en raison de sa petite taille, il viendra compléter la déjà longue panoplie d'appareils de contrôle de vitesse des forces de l'ordre.
Dévoilé par le magazine Auto Plus, le nouveau radar développé et produit par la société américaine Laser Technology est moitié moins lourd que les radars existants. Baptisé «TruSpeed», il se glisse facilement dans la poche d'un gendarme ou d'un policier puisqu'il ne pèse que 410 grammes contre plus d'un kilo pour l'Ultralyte Compact et 2,5 kg pour les jumelles Eurolaser, actuellement en service. Cette compacité devrait être grandement appréciée des escadrons motocyclistes qui pourront le transporter très facilement.
Et la société n'a pas perdu de temps puisque l'appareil est déjà officiellement homologué et est entré en phase de tests opérationnels dans plusieurs brigades du Loir-et-Cher.
Le radar de poche est aussi doté d'un zoom grossissant sept fois la visée. Une véritable longue-vue qui permettra aux agents de police et aux gendarmes de vérifier le comportement du conducteur au volant. Avec une telle loupe, ces derniers seront capables d'observer l'intérieur de l'habitacle des véhicules et notamment vérifier si l'automobiliste téléphone en conduisant.
à l'ère des objets connectés, le TruSpeed n'échappe pas à cette nouvelle règle. Le radar peut être directement connecté à un smartphone pour conserver une preuve de l'infraction.
Ce dernier-né de la gamme TruSpeed S est déjà en service dans de nombreux états américains et sa maniabilité lui permet de réaliser des contrôles et des constatations en très grand nombre dans le flot de véhicules. Ce concentré de technologie coûte 3 800 € l'unité. Il sera rapidement amorti par les brigades !
http://www.ladepeche.fr/actu/france/societe-1/securite-routiere/
C'est la mauvaise nouvelle de la rentrée : un nouveau radar encore plus redoutables que ceux actuellement en service, débarque sur les routes de France. Baptisé radar de poche en raison de sa petite taille, il viendra compléter la déjà longue panoplie d'appareils de contrôle de vitesse des forces de l'ordre.
Dévoilé par le magazine Auto Plus, le nouveau radar développé et produit par la société américaine Laser Technology est moitié moins lourd que les radars existants. Baptisé «TruSpeed», il se glisse facilement dans la poche d'un gendarme ou d'un policier puisqu'il ne pèse que 410 grammes contre plus d'un kilo pour l'Ultralyte Compact et 2,5 kg pour les jumelles Eurolaser, actuellement en service. Cette compacité devrait être grandement appréciée des escadrons motocyclistes qui pourront le transporter très facilement.
Et la société n'a pas perdu de temps puisque l'appareil est déjà officiellement homologué et est entré en phase de tests opérationnels dans plusieurs brigades du Loir-et-Cher.
Il voit dans l'habitacle des voitures
À l'usage, sa légèreté provoque un inconvénient : l'appareil se révèle être très sensible au «bougé» de l'agent de police si celui-ci n'est pas totalement stable. Pour pallier ce défaut, un trépied peut être installé mais c'est alors sa manipulation qui devient moins aisée. Sur le bord des routes, ce petit bijou de technologie présenté par son concepteur comme «l'état de l'art des radars», risque bien de faire des ravages. En effet, le TruSpeed est utilisable sur un véhicule en approche ou en éloignement. Il est en outre capable de mesurer la vitesse d'un véhicule roulant jusqu'à 300 km/h et jusqu'à 640 mètres de distance. Des caractéristiques qui le rendent quasiment indétectable par l'œil des automobilistes.Le radar de poche est aussi doté d'un zoom grossissant sept fois la visée. Une véritable longue-vue qui permettra aux agents de police et aux gendarmes de vérifier le comportement du conducteur au volant. Avec une telle loupe, ces derniers seront capables d'observer l'intérieur de l'habitacle des véhicules et notamment vérifier si l'automobiliste téléphone en conduisant.
à l'ère des objets connectés, le TruSpeed n'échappe pas à cette nouvelle règle. Le radar peut être directement connecté à un smartphone pour conserver une preuve de l'infraction.
Ce dernier-né de la gamme TruSpeed S est déjà en service dans de nombreux états américains et sa maniabilité lui permet de réaliser des contrôles et des constatations en très grand nombre dans le flot de véhicules. Ce concentré de technologie coûte 3 800 € l'unité. Il sera rapidement amorti par les brigades !
Les vitres teintées interdites en janvier
Toujours dans un souci d'accroître la sécurité routière, à partir du 1er janvier 2017, les vitres surteintées à l'avant des véhicules seront interdites. En effet, l'opacification des vitres avant ne permet pas aux forces de l'ordre de vérifier le comportement du conducteur (téléphone au volant, non port de la ceinture…), ni son identité (pour les personnes recherchées). Pour les contrevenants, le décret prévoit 135 € d'amende (que le juge pénal peut porter à 750 €) et le retrait de trois points sur le permis de conduire si les filtres ne permettent pas la transmission de lumière visible à 70 %. L'immobilisation du véhicule et sa mise en fourrière pourront aussi être ordonnées.http://www.ladepeche.fr/actu/france/societe-1/securite-routiere/
mardi 16 août 2016
Dordogne : le choc après la mort d'un boulanger dans un accident de la route
Le seul boulanger du village de Bussière-Badil a péri dans un accident de moto, dimanche soir
Dans un village comme Bussière-Badil, petit bourg du nord de la Dordogne, séparé de la Charente par les méandres de la Tardoire, une tragédie ne passe pas inaperçue. Encore moins quand il s'agit d'une figure publique comme pouvait l'être Alain Matu, l'unique artisan boulanger, âgé de 50 ans.
Dimanche soir, peu après 21 heures, la moto de ce passionné de deux-roues a percuté l'avant de la voiture d'un commerçant du secteur, au lieu-dit Les Tuilières, au carrefour entre la D 91, qui relie Piégut-Pluviers à Montbron en Charente, et la C 202, qui monte au bourg. L'automobiliste rentrait chez lui.
Si les circonstances exactes font encore l'objet d'une enquête, Alain Matu a été déclaré mort sur place par les secours. C'est la 29e victime de la route en Dordogne depuis le début de l'année (lire ci-contre).
Le militant politique s'en prend aux collectivités : « Le Nord-Dordogne, c'est la misère sur les routes. Elles sont abîmées, négligées. Moi-même qui fus motard, je ne m'y risquerais pas. »
Les conclusions de l'enquête devraient permettre d'y voir plus clair sur les causes de ce drame, notamment l'éventuelle dangerosité du lieu.
http://www.sudouest.fr/2016/08/16/choc-a-bussiere-badil-2468794-1760.php
Dimanche soir, peu après 21 heures, la moto de ce passionné de deux-roues a percuté l'avant de la voiture d'un commerçant du secteur, au lieu-dit Les Tuilières, au carrefour entre la D 91, qui relie Piégut-Pluviers à Montbron en Charente, et la C 202, qui monte au bourg. L'automobiliste rentrait chez lui.
Si les circonstances exactes font encore l'objet d'une enquête, Alain Matu a été déclaré mort sur place par les secours. C'est la 29e victime de la route en Dordogne depuis le début de l'année (lire ci-contre).
Impliqué dans la vie locale
C'est un choc brutal pour Jean-Jacques Lavallade, le maire de Bussière-Badil, qui connaissait bien la victime. Encore sous le coup lundi matin, il a assuré la compagne du boulanger de tout son soutien. Pascal Delavergnas, président du comité des fêtes, et présent en tant que volontaire sur les lieux du drame, explique qu'au-delà de son cercle d'amis, c'est « une perte importante pour la vie communautaire ». Alain Matu s'impliquait beaucoup dans la vie associative. Il devait notamment faire le pain pour le repas de la fête du 15 août, lundi.« On ne sait pas encore ce que va devenir la boulangerie. Ma femme travaillait avec Alain en tant qu'ouvrière. Mais plus qu'un patron, c'était un ami », conclut Pascal Delavergnas.
Un ancien du Pas-de-Calais
Patrick Volker, responsable Front national du Périgord vert nontronnais, a bien connu Alain Matu, engagé auprès de Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais lors des régionales de 2010. Une fois en Dordogne, il est resté sympathisant frontiste. Patrick Volker déplore aussi la perte d'un ami, d'une figure de Bussière, mais aussi d'une personne importante du Nontronnais, et au-delà. « Il faisait de bons produits ! Il effectuait une grosse tournée, qui le menait jusqu'en Haute-Vienne. Des restaurateurs, notamment à Saint-Estèphe, vont aussi déplorer sa mort. »Le militant politique s'en prend aux collectivités : « Le Nord-Dordogne, c'est la misère sur les routes. Elles sont abîmées, négligées. Moi-même qui fus motard, je ne m'y risquerais pas. »
Route dangereuse ?
Au-delà du discours, se pose la question de la D 91, dont le carrefour des Tuilières est en partie masqué par un bâtiment, mais qui possède un stop de part et d'autre, clairement visible. La départementale ne marque pas non plus de virage brutal à cet endroit.Les conclusions de l'enquête devraient permettre d'y voir plus clair sur les causes de ce drame, notamment l'éventuelle dangerosité du lieu.
http://www.sudouest.fr/2016/08/16/choc-a-bussiere-badil-2468794-1760.php
lundi 15 août 2016
Trois hommes blessés par balles en plein Paris
En vingt-quatre heures, trois hommes se sont faits tirer dessus dans la rue. Les motifs de ces tentatives d'homicides ne sont pas connus
D'après Le Parisien, un homme s'est fait tirer dessus par deux individus qui circulaient sur un scooter dans le XIe arrondissement de Paris, samedi. Il a été touché à la cuisse et pris en charge par les pompiers.
La veille, dans le XVIIIe, deux autres hommes ont été pris pour cibles par quatre personnes également à scooter. L'un a été touché à la cheville, l'autre à la cuisse et à la fesse. Aucun lien n'est pour l'heure établi entre ces deux faits divers.
http://www.sudouest.fr/2016/08/14/trois-hommes-blesses-par-balles-en-plein-paris-2467201-7.php
La veille, dans le XVIIIe, deux autres hommes ont été pris pour cibles par quatre personnes également à scooter. L'un a été touché à la cheville, l'autre à la cuisse et à la fesse. Aucun lien n'est pour l'heure établi entre ces deux faits divers.
http://www.sudouest.fr/2016/08/14/trois-hommes-blesses-par-balles-en-plein-paris-2467201-7.php
dimanche 14 août 2016
Appel à témoins après la mort d'une femme percutée par une voiture en fuite
Une Toulousaine de 39 ans a perdu la vie, dans la nuit de vendredi à samedi, après avoir été renversée par une voiture en fuite, à hauteur du 279 avenue des États-Unis, à Toulouse, face à une concession automobile, non loin du marché gare. Une zone où les voitures défilent fréquemment et souvent à vive allure.
Selon les premières constatations policières, il pourrait s'agir d'un suicide. Une piste qui est étudiée par les enquêteurs.
L'accident s'est produit, samedi à 1 h 35 du matin. Cette Toulousaine a été renversée par un véhicule probablement de couleur sombre selon certains témoins entendus sur les lieux du drame par les policiers. La voiture ne s'est pas arrêtée après le choc. La victime est décédée peu de temps après la collision, à la suite de ses graves blessures. Elle venait d'être prise en charge par les pompiers qui l'ont transportée pour des soins d'urgence vers le CHU Rangueil. Elle est décédée dans la nuit, deux heures plus tard.
La jeune femme se serait livrée à des tentatives similaires peu de temps avant le drame. Des voitures l'auraient alors évité en donnant des coups de volant, non loin de la fourrière municipale. Cette Toulousaine est décrite comme une personne isolée, en proie à des difficultés sociales.
Les enquêteurs de la brigade des accidents, au commissariat central, tentent d'en savoir plus sur le véhicule en fuite qui a percuté la jeune femme. Un appel à témoins est d'ailleurs lancé pour tenter de recueillir des témoignages sur la description de cette voiture (1). À ce stade des investigations, les témoignages sur ce véhicule sont peu concordants. Les enquêteurs souhaitent disposer de nouveaux éléments pour orienter leurs investigations qui se poursuivent.
(1) Pour tout témoignage et renseignement sur le véhicule, contacter le 05 61 12 78 93 ou 05 61 12 76 29 (8 heures-18 heures).
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Selon les premières constatations policières, il pourrait s'agir d'un suicide. Une piste qui est étudiée par les enquêteurs.
L'accident s'est produit, samedi à 1 h 35 du matin. Cette Toulousaine a été renversée par un véhicule probablement de couleur sombre selon certains témoins entendus sur les lieux du drame par les policiers. La voiture ne s'est pas arrêtée après le choc. La victime est décédée peu de temps après la collision, à la suite de ses graves blessures. Elle venait d'être prise en charge par les pompiers qui l'ont transportée pour des soins d'urgence vers le CHU Rangueil. Elle est décédée dans la nuit, deux heures plus tard.
Difficultés sociales
Selon plusieurs témoignages recueillis par les policiers, la victime se serait jetée volontairement sur le véhicule tentant ainsi de mettre fin à ses jours.La jeune femme se serait livrée à des tentatives similaires peu de temps avant le drame. Des voitures l'auraient alors évité en donnant des coups de volant, non loin de la fourrière municipale. Cette Toulousaine est décrite comme une personne isolée, en proie à des difficultés sociales.
Les enquêteurs de la brigade des accidents, au commissariat central, tentent d'en savoir plus sur le véhicule en fuite qui a percuté la jeune femme. Un appel à témoins est d'ailleurs lancé pour tenter de recueillir des témoignages sur la description de cette voiture (1). À ce stade des investigations, les témoignages sur ce véhicule sont peu concordants. Les enquêteurs souhaitent disposer de nouveaux éléments pour orienter leurs investigations qui se poursuivent.
(1) Pour tout témoignage et renseignement sur le véhicule, contacter le 05 61 12 78 93 ou 05 61 12 76 29 (8 heures-18 heures).
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
samedi 13 août 2016
Le spéléo aveyronnais retrouve enfin la surface !
Plus qu'une question d'heure. Les sauveteurs assuraient hier la lente remontée du spéléo millavois coincé à 250 mètres sous terre, dans un des gouffres de la Pierre Saint-Martin.
Pour François Bodot, l'attente durait depuis mardi soir, coincé à 250 mètres de profondeur dans le gouffre d'Anialarra, une des cavités du massif de la Pierre Saint-Martin. Blessé dans le dos par la chute d'une roche, souffrant de plusieurs côtes cassées, le Millavois de 37 ans membre du Spéléo Club Alpina savait qu'il devrait s'armer de patience avant de retrouver la surface.
Malgré l'impact du bloc rocheux sur son dos douloureux, il était parvenu péniblement à se débloquer et à ramper sur 50 mètres pour atteindre l'accès principal où il a pu retrouver ses compagnons et donner l'alerte. De l'avis des médecins qui se sont relayés auprès de lui, s'il ne se trouvait pas en «urgence vitale», il lui était impossible de remonter à la surface sans être brancardé.
Dans un premier temps, il a fallu élargir la cavité pendant la nuit de mercredi à jeudi à l'aide de micro-explosifs maniés par des artificiers français et espagnols, jusqu'à un périmètre suffisant pour faire passer la civière et ses porteurs, a expliqué Samuel Bouju, sous-préfet d'Oloron Sainte-Marie (64). Les opérations de sauvetage, à la fois «complexes et techniques» se sont révélées plus longues que prévu, mobilisant pas moins de 80 personnes, spéléos bénévoles, pompiers, gardes civils espagnols et gendarmes.
Une lente remontée
Depuis le déclenchement du plan ORSEC, les sauveteurs et les équipes médicales se sont sans cesse relayés. Hier, à 4 heures du matin, après que le médecin au chevet du spéléo eut donné le top aux secouristes, a démarré la lente remontée de l'Aveyronnais. Une ascension fortement ralentie par les escarpements rocheux. Trois paliers avaient été détectés le long de la paroi verticale pour stationner le Millavois en cas de nécessité.
À 22 heures heures, hier, le spéléologue se trouvait à moins 20 mètres du sol, sa sortie étant imminente, selon Ruben Gomez.
Cette opération de secours est la deuxième cette semaine dans le massif kartzique. Dans la nuit de lundi et mardi, deux spéléologues s'étaient retrouvés en difficulté dans un autre gouffre, avant d'être récupérés sains et saufs mardi matin après intervention du Secours Spéléo Français et des pompiers.
La Pierre Saint-Martin a toujours été un lieu mythique qui a vu se succéder des générations de spéléos. En 1951, Haroun Tazieff, Marcel Loubens et Georges Lépineux tentaient une extraordinaire aventure humaine. Lépineux, filmé alors par Tazieff, descendait en rappel le puits qui porte aujourd'hui son nom pour se retrouver à 356 mètres sous terre ! Le gouffre gagnait sa réputation de plus profond de la planète. Mais le 14 août 1952, un drame fera définitivement connaître la Pierre Saint-Martin au grand public : Marcel Loubens, le spéléo pyrénéen, qui marchait dans les pas de Norbert Casteret, y trouva la mort.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/08/13/2400489-le-speleo-aveyronnais-retrouve-enfin-la-surface.html#7pWWTSZCRIzY2JQh.99
vendredi 12 août 2016
100 millions de véhicules touchés par une faille de sécurité, des marques françaises concernées
Des chercheurs ont mis au jour une faille de sécurité dans le système d'ouverture et de fermeture à distance d'environ 100 millions de véhicules dans le monde. Des marques françaises sont notamment concernées.
Un nouveau scandale pour le milieu automobile ? Une équipe de chercheurs a découvert une faille de sécurité dans les systèmes d'ouverture et de fermeture à distance d'environ 100 millions de véhicules dans le monde, d'après une enquête conjointe du quotidien Süddeutsche Zeitung (SZ) et des chaînes publiques de radio-télévision NDR et WDR.
Le groupe Volkswagen, avec sa marque du même nom (la célèbre Golf par exemple) mais également ses marques Audi, Seat et Skoda, est "particulièrement touché", ajoute le SZ. Interrogé par les trois médias, le géant européen de l'automobile a admis que "les systèmes de sécurité des véhicules âgés de jusqu'à 15 ans ne présentent pas le même niveau de sécurité que ceux des véhicules actuels" du groupe Volkswagen.
Peugeot, Citroën et Renault concernés
D'après les trois médias allemands, il serait possible pour des pirates informatiques de contourner le système de sécurité des clés à partir d'anciennes clés en raison du nombre insuffisant de mots de passe différents.
Des problèmes de sécurité du même type ont également été identifiés par les chercheurs chez d'autres constructeurs parmi lesquels les français Citroën (Nemo, Jumper), Peugeot (207 notamment) et Renault (Clio, Twingo, etc), l'italien Fiat (Punto, Panda...), l'allemand Opel (Astra, Corsa, etc), le japonais Nissan (Qashqai notamment) ou encore l'américain Ford (Ka), selon ces médias.
Les chercheurs ont dévoilé leurs conclusions lors d'une conférence à Austin, au Texas, indique le Süddeutsche Zeitung.
Le groupe Volkswagen, avec sa marque du même nom (la célèbre Golf par exemple) mais également ses marques Audi, Seat et Skoda, est "particulièrement touché", ajoute le SZ. Interrogé par les trois médias, le géant européen de l'automobile a admis que "les systèmes de sécurité des véhicules âgés de jusqu'à 15 ans ne présentent pas le même niveau de sécurité que ceux des véhicules actuels" du groupe Volkswagen.
Peugeot, Citroën et Renault concernés
D'après les trois médias allemands, il serait possible pour des pirates informatiques de contourner le système de sécurité des clés à partir d'anciennes clés en raison du nombre insuffisant de mots de passe différents.
Des problèmes de sécurité du même type ont également été identifiés par les chercheurs chez d'autres constructeurs parmi lesquels les français Citroën (Nemo, Jumper), Peugeot (207 notamment) et Renault (Clio, Twingo, etc), l'italien Fiat (Punto, Panda...), l'allemand Opel (Astra, Corsa, etc), le japonais Nissan (Qashqai notamment) ou encore l'américain Ford (Ka), selon ces médias.
Les chercheurs ont dévoilé leurs conclusions lors d'une conférence à Austin, au Texas, indique le Süddeutsche Zeitung.
mardi 9 août 2016
Une enfant du pays nous a quitté
La cité des Trois Quilles et la haute vallée de l'Aude sont en deuil suite au décès brutal d'une jeune enfant du pays ! En effet, dans la nuit du jeudi 28 au vendredi 29 juillet, Marie Brigoulet, tout juste âgée de 26 ans, s'est éteinte tout doucement à son domicile parisien. Marie avait un bel avenir devant elle mais le destin cruel en avait décidé autrement et a brisé sa vie et a plongé sa famille dans une énorme peine. Marie était née le 9 septembre 1989 à la clinique de Lavelanet, dans la proche Ariège, et était arrivée à Quillan à l'âge de 3 ans. Après une scolarité effectuée à l'école Paulin-Nicoleau et au collège Michel-Bousquié de la ville, Marie part ensuite sur Limoux avant d'aller faire des études d'économie à Montpellier… Avec une licence économique et un master 1 AES, elle obtient son master 2 dans la ville de Sète. Jeune fille très dynamique et aimée de tous, Marie effectuait des petits boulots d'été dans la ville de Quillan afin de pouvoir rester auprès de ses nombreux amis et de sa maman Marie-Line Deloustal dont elle était si proche. Partie s'installer dans la capitale pour travailler dans un magasin de prêt-à-porter, elle intègre rapidement la société Omenem Holding LTD où elle occupait le poste de business développement depuis un an. Enlevée à l'affection des siens, le souvenir de Marie restera à jamais gravé dans les cœurs des Quillanais ! Ses obsèques civiles se sont déroulées vendredi 5 août, à 11 heures, au cimetière de Quillan, devant une foule composée de parents et d'amis. En ces tristes circonstances, nous adressons à sa maman Marie-Line, à son frère Stéphane, à sa belle-sœur Jennifer, à sa filleule Louise, à son neveu Marius et à toute la grande famille Deloustal nos plus sincères condoléances… Adieu Marie !
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/08/09/2398144-une-enfant-du-pays-nous-a-quittes.html#JL83XlcdG1RWmVPu.99
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lundi 8 août 2016
Une randonneuse fait une chute mortelle dans la vallée d'Aspe
Les secouristes n'ont rien pu faire pour la sexagénaire paloise, décédée à son arrivée à l'hôpital
En fin de matinée, dimanche, une randonneuse âgée de 60 ans, a fait une chute mortelle près du lac de Montagnon, situé entre la vallée d'Ossau et d'Aspe. Elle aurait glissé sur une barre rocheuse avant de percuter des rochers avec la tête. Les secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne d'Oloron l'ont transportée à Bedous où un médecin a constaté le décès.
Il s'agit de Marie-Claire Dubourg, photographe paloise bien connue. Elle était partie en randonnée dimanche matin avec son mari, photographe lui aussi. pour faire des photos en montagne, ce qu'elle faisait régulièrement. Marie-Claire Dubourg était membre fondatrice du Groupement professionnel des photographes du sud-Aquitaine. Elle avait notamment été distinguée du titre de Meilleur artisan de France. Portraitiste talentueuse, elle était l'auteure d'un portrait fameux de l'ancien maire de Pau André Labarrère, exposé lors de ses obsèques, et qui a longtemps trôné à la mairie de Pau
http://www.sudouest.fr/2016/08/08/-2460063-4583.php
Il s'agit de Marie-Claire Dubourg, photographe paloise bien connue. Elle était partie en randonnée dimanche matin avec son mari, photographe lui aussi. pour faire des photos en montagne, ce qu'elle faisait régulièrement. Marie-Claire Dubourg était membre fondatrice du Groupement professionnel des photographes du sud-Aquitaine. Elle avait notamment été distinguée du titre de Meilleur artisan de France. Portraitiste talentueuse, elle était l'auteure d'un portrait fameux de l'ancien maire de Pau André Labarrère, exposé lors de ses obsèques, et qui a longtemps trôné à la mairie de Pau
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Claire, anorexique en rémission : «L'anorexie est une maladie vicieuse, elle devient une routine»
Claire a 21 ans, de grands yeux bleu-gris, de longs cheveux bruns, des mains fines. Il y a moins d'un an, la jeune étudiante est tombée dans l'anorexie. Sa maladie l'a amaigrie, elle se souvient «avoir eu la peau sur les os au niveau des bras, du dos et du bassin». De 54 kg, elle est descendue en six mois à 39 kg pour 169 cm. Avec un taux de potassium trop bas qui mettait son cœur en danger, Claire a accepté l'hospitalisation. Elle n'a pas aimé la suite mais elle a décidé d'en parler. «L'anorexie est une maladie très vicieuse, elle peut revenir à n'importe quel moment, je ne souhaite ça à personne».
Quand nous l'avons rencontrée, au début de l'été, Claire allait mieux, expliquant qu'elle avait «retrouvé son tempérament fort et une envie de témoigner pour les autres anorexiques qui n'y arrivent pas et pour dire à leur entourage que ce n'est pas une question de volonté. Pour moi, il n'était pas question de vouloir maigrir à tout prix, d'ailleurs je ne me pesais jamais. Sans me forcer, je vomissais tout ce que je mangeais. Comme les angoisses peuvent vous faire tomber dans la drogue ou l'alcool, moi je suis tombée dans l'anorexie», pose la jeune femme.
Claire avoue ne pas trop comprendre ce qui a déclenché la maladie. «J'étais au début de ma troisième année d'école d'ingénieur agronome, réputée plus cool que les autres. J'étais très détendue à cette période, je me suis posée trop de questions, comme si toute l'exigence accumulée les années précédentes avait explosé. Je suis devenue fasciste envers mon corps, j'ai créé un vide psychologique».
Claire ne peut pas dire aujourd'hui qu'elle est tirée d'affaire mais elle n'est plus dans le déni de la maladie et surtout elle veut donner des conseils. «Aux amis d'anorexiques, je dis qu'il faut se bouger pour que la personne sorte de sa bulle même si on a peur de la fatiguer, car l'anorexie est une routine dans laquelle on se sent sécurisé», lance l'étudiante qui ne veut plus jamais vivre les pesées hebdomadaires et les contrats de poids comme lors de son hospitalisation. Aujourd'hui, Claire vient de quitter la clinique où elle se rendait depuis plusieurs semaines en hospitalisation de jour. À la fin du mois, elle doit s'envoler vers les États-Unis pour quatre mois dans le cadre de ses études. Avec des questions et des angoisses bien sûr mais convaincue que cette aventure l'aidera à sortir un peu plus de la maladie en laissant les angoisses du quotidien.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555,sante.html
Quand nous l'avons rencontrée, au début de l'été, Claire allait mieux, expliquant qu'elle avait «retrouvé son tempérament fort et une envie de témoigner pour les autres anorexiques qui n'y arrivent pas et pour dire à leur entourage que ce n'est pas une question de volonté. Pour moi, il n'était pas question de vouloir maigrir à tout prix, d'ailleurs je ne me pesais jamais. Sans me forcer, je vomissais tout ce que je mangeais. Comme les angoisses peuvent vous faire tomber dans la drogue ou l'alcool, moi je suis tombée dans l'anorexie», pose la jeune femme.
Claire avoue ne pas trop comprendre ce qui a déclenché la maladie. «J'étais au début de ma troisième année d'école d'ingénieur agronome, réputée plus cool que les autres. J'étais très détendue à cette période, je me suis posée trop de questions, comme si toute l'exigence accumulée les années précédentes avait explosé. Je suis devenue fasciste envers mon corps, j'ai créé un vide psychologique».
Claire ne peut pas dire aujourd'hui qu'elle est tirée d'affaire mais elle n'est plus dans le déni de la maladie et surtout elle veut donner des conseils. «Aux amis d'anorexiques, je dis qu'il faut se bouger pour que la personne sorte de sa bulle même si on a peur de la fatiguer, car l'anorexie est une routine dans laquelle on se sent sécurisé», lance l'étudiante qui ne veut plus jamais vivre les pesées hebdomadaires et les contrats de poids comme lors de son hospitalisation. Aujourd'hui, Claire vient de quitter la clinique où elle se rendait depuis plusieurs semaines en hospitalisation de jour. À la fin du mois, elle doit s'envoler vers les États-Unis pour quatre mois dans le cadre de ses études. Avec des questions et des angoisses bien sûr mais convaincue que cette aventure l'aidera à sortir un peu plus de la maladie en laissant les angoisses du quotidien.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555,sante.html
dimanche 7 août 2016
Lacanau : un enfant de 4 ans renversé par une voiture
L'enfant a été transporté samedi soir au CHU par hélicoptère. Il est grièvement blessé
Le drame est survenu vers 20 heures samedi soir à Lacanau. Un enfant de quatre ans qui a vraisemblablement échappé quelques instants à la surveillance de ses parents a été heurté par une voiture.
L'enfant a été grièvement blessé et transporté par hélicoptère vers le CHU de Bordeaux.
La vitesse ne serait pas en cause et aucune trace d'alcool n'aurait été trouvée chez le conducteur. Une enquête de gendarmerie est en cours
http://www.sudouest.fr/2016/08/06/lacanau-un-enfant-de-4-ans-renverse-par-une-voiture-2459746-2921.php
L'enfant a été grièvement blessé et transporté par hélicoptère vers le CHU de Bordeaux.
La vitesse ne serait pas en cause et aucune trace d'alcool n'aurait été trouvée chez le conducteur. Une enquête de gendarmerie est en cours
http://www.sudouest.fr/2016/08/06/lacanau-un-enfant-de-4-ans-renverse-par-une-voiture-2459746-2921.php
Jamais les abeilles n'ont produit aussi peu de miel que cette année
Les apiculteurs ont le bourdon. Et les butineuses ont les ailes en berne. Elles ne feront pas notre miel cette année. Les ouvrières sont épuisées. Elles s'étiolent, se ratatinent et meurent avant d'avoir accompli leur mission. Et le phénomène s'accentue d'année en année.
«Dans les années 2 000, on produisait jusqu'à 35 000 tonnes de miel en France, explique Denis Sapène, membre du bureau de la fédération française d'apiculture, exploitant près de la forêt de Bouconne, en Haute-Garonne. Déjà, en 2014, les apiculteurs avaient été sinistrés, avec une production très faible, comme on n'en avait jamais vue. En 2015, ils ont repris espoir, car les conditions ont été plus favorables… Nous étions sur un petit nuage. Mais ce nuage a fondu !»
Car 2016 est une année encore plus inquiétante : on ne devrait pas dépasser les 8 000 tonnes de miel. Et cela dans un Hexagone qui adore les alvéoles, puisque nous consommons 40 000 tonnes de miel par an. Nous sommes les plus gros consommateurs européens. Il y a quinze ans, nous étions presque autosuffisants. Aujourd'hui, le miel à l'accent étranger.
Denis Sapène ne peut que constater les dégâts : «La récolte du miel de colza est mauvaise, tout comme celle du tournesol. Le châtaignier est catastrophique…» Du reste, il y a de moins en moins de cultures de colza et de tournesol en France : tant pis pour les abeilles.
Donc, il n'y aura pas de miel d'acacia en Ariège cette année. Et ailleurs, cela tient du miracle, si les butineuses ont pu faire quelques provisions.
La pluie, le froid, le mauvais temps sont une des raisons de ce naufrage.
«Les ruches se sont très mal développées, explique Xavier Lebeau, vétérinaire, et conseiller référent des apiculteurs du Lot. Avec le mauvais temps, des maladies sont apparues, comme la maladie noire ou paralysie chronique de l'abeille, qui est une maladie contagieuse. Les couvains ont aussi subi la loque européenne», explique ce passionné, apiculteur lui-même.
Et cela se rajoute aux autres fléaux que subissent ces malheureux hyménoptères. Ils ont aussi été décimés par la varroase, une maladie causée par un minuscule acarien qui leur pompe le sang. Sans compter que depuis une dizaine d'années, ils sont traqués par le frelon asiatique, qui a fait de l'abeille domestique son plat de résistance.
Mais l'ennemi majeur des abeilles, c'est bien sûr la marée de pesticides qui s'abat sur la campagne française. Depuis des décennies, les apiculteurs ne cessent de dénoncer la nocivité de ces produits chimiques qui déciment le cheptel.
Au mois de juin, les députés français ont adopté une loi qui prévoit d'interdire l'utilisation des néonicotinoïdes à partir du 1er septembre 2018.
http://www.ladepeche.fr/actu/france/energie-environnement/
«Dans les années 2 000, on produisait jusqu'à 35 000 tonnes de miel en France, explique Denis Sapène, membre du bureau de la fédération française d'apiculture, exploitant près de la forêt de Bouconne, en Haute-Garonne. Déjà, en 2014, les apiculteurs avaient été sinistrés, avec une production très faible, comme on n'en avait jamais vue. En 2015, ils ont repris espoir, car les conditions ont été plus favorables… Nous étions sur un petit nuage. Mais ce nuage a fondu !»
Car 2016 est une année encore plus inquiétante : on ne devrait pas dépasser les 8 000 tonnes de miel. Et cela dans un Hexagone qui adore les alvéoles, puisque nous consommons 40 000 tonnes de miel par an. Nous sommes les plus gros consommateurs européens. Il y a quinze ans, nous étions presque autosuffisants. Aujourd'hui, le miel à l'accent étranger.
Denis Sapène ne peut que constater les dégâts : «La récolte du miel de colza est mauvaise, tout comme celle du tournesol. Le châtaignier est catastrophique…» Du reste, il y a de moins en moins de cultures de colza et de tournesol en France : tant pis pour les abeilles.
La faute à la pluie
Pour ce qui est du miel d'acacia, c'est la faute à la pluie : «L'acacia ne fleurit que pendant une dizaine de jours. En Ariège, précise Denis Sapène, pendant ces dix jours-là, il a plu. Donc, les abeilles ne sont pas sorties.»Donc, il n'y aura pas de miel d'acacia en Ariège cette année. Et ailleurs, cela tient du miracle, si les butineuses ont pu faire quelques provisions.
La pluie, le froid, le mauvais temps sont une des raisons de ce naufrage.
«Les ruches se sont très mal développées, explique Xavier Lebeau, vétérinaire, et conseiller référent des apiculteurs du Lot. Avec le mauvais temps, des maladies sont apparues, comme la maladie noire ou paralysie chronique de l'abeille, qui est une maladie contagieuse. Les couvains ont aussi subi la loque européenne», explique ce passionné, apiculteur lui-même.
Et cela se rajoute aux autres fléaux que subissent ces malheureux hyménoptères. Ils ont aussi été décimés par la varroase, une maladie causée par un minuscule acarien qui leur pompe le sang. Sans compter que depuis une dizaine d'années, ils sont traqués par le frelon asiatique, qui a fait de l'abeille domestique son plat de résistance.
Mais l'ennemi majeur des abeilles, c'est bien sûr la marée de pesticides qui s'abat sur la campagne française. Depuis des décennies, les apiculteurs ne cessent de dénoncer la nocivité de ces produits chimiques qui déciment le cheptel.
Au mois de juin, les députés français ont adopté une loi qui prévoit d'interdire l'utilisation des néonicotinoïdes à partir du 1er septembre 2018.
Interdiction et dérogation
«Mais il est prévu des dérogations pour jusqu'à 2020, déplore Denis Sapène. Et puis, s'il y a un changement de majorité en 2017, que va-t-il se passer ? Va-t-on revenir en arrière ? C'est un combat que nous menons depuis une vingtaine d'années…» Et il serait vain de penser que l'industrie chimique puisse renoncer à un tel marché sans tenter de nouvelles opérations de lobbying. Pourtant, l'apiculture est une passion de plus en plus partagée, à la ville comme à la campagne. Entreprises et collectivités se mettent à inviter des abeilles sur leur toit. Enfin, une aile protectrice pour nos butineuses ?http://www.ladepeche.fr/actu/france/energie-environnement/
samedi 6 août 2016
Sète : à 18 ans, elle est écrouée pour une tentative de meurtre
P our protéger son compagnon, le 4 juillet, Loryane a joué du couteau. "C'était la peur et le stress", explique-t-elle.
Chemisier rose, cheveux bien tirés en chignon, on lui donnerait le bon dieu sans confession. En visioconférence depuis la prison de Perpignan, c'est pourtant une jeune femme écrouée pour tentative de meurtre qui fait face mardi 2 août aux magistrats de la cour d'appel de Montpellier. Loryane, 18 ans, a été incarcérée le 6 juillet dernier, deux jours après avoir gravement blessé à Sète, d'un coup de couteau au thorax, Cédric, 22 ans, un habitant de Marseillan (Hérault).
"Il existe un litige dont on ne connaît pas la teneur entre ce jeune homme et Hamid, le compagnon de Loryane, dont l'origine remonte apparemment à une période où ces deux hommes étaient incarcérés, chacun depuis voulant continuer à jouer au caïd" résume le magistrat de la chambre de l'instruction. Le 4 juillet, vers 13 h, Cédric et plusieurs de ses amis pénètrent dans l'appartement de la rue de Montmorency, au centre de Sète, où se trouve le couple. Insultes, premiers coups.
Secouru, il est sauvé de justesse et plongé dans le coma. Opéré, son pronostic vital n'est aujourd'hui plus engagé. Juste après les faits, Loryane et son compagnon prennent la fuite vers la gare, où ils espèrent prendre le train. Ils se cachent, car les proches de Cédric se sont lancés à leur poursuite. Hamid est roué de coups sur le quai, avant que la police n'intervienne et ne place le couple en garde à vue.
http://www.midilibre.fr/2016/08/05/a-18-ans-elle-est-ecrouee-pour-une-tentative-de-meurtre,1376274.php
"Il existe un litige dont on ne connaît pas la teneur entre ce jeune homme et Hamid, le compagnon de Loryane, dont l'origine remonte apparemment à une période où ces deux hommes étaient incarcérés, chacun depuis voulant continuer à jouer au caïd" résume le magistrat de la chambre de l'instruction. Le 4 juillet, vers 13 h, Cédric et plusieurs de ses amis pénètrent dans l'appartement de la rue de Montmorency, au centre de Sète, où se trouve le couple. Insultes, premiers coups.
Sauvé de justesse
"Vas-y, ils vont me taper !" crie Hamid à Loryane, en espérant qu'elle arrive à s'enfuir. Au contraire, la jeune femme prend dans son sac à main son couteau Opinel, "celui qui lui sert à couper le shit", et poignarde profondément l'adversaire de son compagnon. Cédric titube, parvient à quitter l'appartement en se tenant l'abdomen, avant de s'effondrer un peu plus loin, dans la résidence.Secouru, il est sauvé de justesse et plongé dans le coma. Opéré, son pronostic vital n'est aujourd'hui plus engagé. Juste après les faits, Loryane et son compagnon prennent la fuite vers la gare, où ils espèrent prendre le train. Ils se cachent, car les proches de Cédric se sont lancés à leur poursuite. Hamid est roué de coups sur le quai, avant que la police n'intervienne et ne place le couple en garde à vue.
http://www.midilibre.fr/2016/08/05/a-18-ans-elle-est-ecrouee-pour-une-tentative-de-meurtre,1376274.php
vendredi 5 août 2016
Gouvernement: Qui est le ministre le plus riche ?
C’est le ministre le plus fortuné du gouvernement. Le patrimoine de Jean-Michel Baylet s’élève en effet à plus de 8 millions d’euros,
selon les chiffres de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
>> A lire aussi : Loi Sapin II: L'Assemblée s'attaque aux impôts des ministres et aux paradis fiscaux
Selon les informations publiées sur le site de la HATVP, le ministre de l’Aménagement du territoire, notamment copropriétaire du journal régional La Dépêche du Midi, possède aussi deux maisons dans le Sud-Ouest, des voitures de collection, des motos, ou encore des œuvres d’art.
Il est suivi par le secrétaire d’Etat au Parlement, Jean-Marie Le Guen, avec un patrimoine de plus de trois millions d’euros, dont plusieurs propriétés à Paris, un immeuble dans les Pyrénées-Atlantiques, plusieurs comptes en banque ou encore des tableaux, meubles et objets divers estimés à 70.000 euros. Après une rectification du ministre, il est impossible de déterminer avec exactitude le montant actuel de son patrimoine, les chiffres publiés étant partiels.
On retrouve aussi en haut du classement le secrétaire d’Etat au Développement André Vallini (2,8 millions d’euros de patrimoine estimé), le ministre des Finances Michel Sapin (1,7 million d’euros) ou encore la ministre de la Culture Audrey Azoulay (1,7 million d’euros).
>> A lire aussi : Qui est Audrey Azoulay la nouvelle ministre de la Culture?
Le patrimoine de Jean-Marc Ayrault (Affaires étrangères) se monte à environ 1,4 million d’euros. Quant à celui de Ségolène Royal, il avoisine 1,6 million d’euros. Elle possède un appartement de 120 m2 dans les Hauts-de-Seine, ainsi que plusieurs comptes bancaires.
La ministre la plus modeste du gouvernement est Emmanuelle Cosse ( Logement). Son patrimoine total s’élève à 26.800 euros. Elle ne possède ni bien immobilier, ni voiture. Harlem Désir, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, est lui détenteur d’un patrimoine évalué à 48.400 euros.
Début 2014, le patrimoine de Manuel Valls s’élevait à 96.000 euros, un montant qui devrait être revu à la baisse, le Premier ministre Valls ayant vendu l’un de ses deux appartements moins cher que sa valeur estimée (243.000 euros contre 284.000).
Le ministre de l’EconomieEmmanuel Macron, assujetti avec son épouse à l’ISF ( Impôt de solidarité sur la fortune), possédait début 2014, avant la vente de son appartement, un patrimoine estimé à 156.000 euros, ce qui le plaçait parmi les moins fortunés du gouvernement. Après une rectification du ministre, il est également impossible de déterminer avec exactitude le montant actuel de son patrimoine, les chiffres publiés étant partiels.
http://www.20minutes.fr/dossier/patrimoine
>> A lire aussi : Loi Sapin II: L'Assemblée s'attaque aux impôts des ministres et aux paradis fiscaux
Selon les informations publiées sur le site de la HATVP, le ministre de l’Aménagement du territoire, notamment copropriétaire du journal régional La Dépêche du Midi, possède aussi deux maisons dans le Sud-Ouest, des voitures de collection, des motos, ou encore des œuvres d’art.
Plus de trois millions d’euros
Il est suivi par le secrétaire d’Etat au Parlement, Jean-Marie Le Guen, avec un patrimoine de plus de trois millions d’euros, dont plusieurs propriétés à Paris, un immeuble dans les Pyrénées-Atlantiques, plusieurs comptes en banque ou encore des tableaux, meubles et objets divers estimés à 70.000 euros. Après une rectification du ministre, il est impossible de déterminer avec exactitude le montant actuel de son patrimoine, les chiffres publiés étant partiels.
Vallini, Sapin, Azoulay, Ayrault, Royal…
On retrouve aussi en haut du classement le secrétaire d’Etat au Développement André Vallini (2,8 millions d’euros de patrimoine estimé), le ministre des Finances Michel Sapin (1,7 million d’euros) ou encore la ministre de la Culture Audrey Azoulay (1,7 million d’euros).
>> A lire aussi : Qui est Audrey Azoulay la nouvelle ministre de la Culture?
Le patrimoine de Jean-Marc Ayrault (Affaires étrangères) se monte à environ 1,4 million d’euros. Quant à celui de Ségolène Royal, il avoisine 1,6 million d’euros. Elle possède un appartement de 120 m2 dans les Hauts-de-Seine, ainsi que plusieurs comptes bancaires.
Ni bien immobilier, ni voiture pour Emmanuelle Cosse
La ministre la plus modeste du gouvernement est Emmanuelle Cosse ( Logement). Son patrimoine total s’élève à 26.800 euros. Elle ne possède ni bien immobilier, ni voiture. Harlem Désir, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, est lui détenteur d’un patrimoine évalué à 48.400 euros.
Début 2014, le patrimoine de Manuel Valls s’élevait à 96.000 euros, un montant qui devrait être revu à la baisse, le Premier ministre Valls ayant vendu l’un de ses deux appartements moins cher que sa valeur estimée (243.000 euros contre 284.000).
Le couple Macron assujetti à l’ISF
Le ministre de l’EconomieEmmanuel Macron, assujetti avec son épouse à l’ISF ( Impôt de solidarité sur la fortune), possédait début 2014, avant la vente de son appartement, un patrimoine estimé à 156.000 euros, ce qui le plaçait parmi les moins fortunés du gouvernement. Après une rectification du ministre, il est également impossible de déterminer avec exactitude le montant actuel de son patrimoine, les chiffres publiés étant partiels.
http://www.20minutes.fr/dossier/patrimoine
La braderie de Lille annulée pour raison de sécurité
C'est un déchirement de prendre cette décision", a annoncé la maire PS de Lille Martine Aubry, vendredi, lors d'un point-presse à la préfecture du Nord.
Pas de tonnes de moules-frites ni d'objets insolites à dénicher. L'édition 2016 de la braderie de Lille, qui se tient traditionnellement en septembre, a été annulée pour raison de sécurité, a annoncé Martine Aubry vendredi. "Je pense que nous devons suspendre la braderie 2016", a déclaré la maire PS de Lille lors d'un point-presse avec le préfet du nord, ajoutant que c'était "un déchirement de prendre cette décision".
"Cette décision est moralement essentielle. Je me suis dit que s'il y avait un mort, je m'en voudrais toute ma vie", a-t-elle poursuivi, soulignant que "la sécurité maximale ne peut être garantie". Bien que les conditions de sécurité aient été "revues à la hausse" avant 'attentat de Nice du 15 juillet qui a fait 85 morts, la municipalité, en accord avec les services de l'Etat, a estimé que le risque était trop important dans ce contexte d'état d'urgence.
"A un moment, nonobstant nos passions, nos convictions, il faut dire stop à n modèle qui est dépassé par les exigences de sécurité", a pour sa part indiqué le préfet du Nord, Michel Lalande. Cette décision d'annuler l'édition 2016 s'appuie sur le caractère particulier de la braderie, "référence européenne", qui a accueilli l'an dernier dans toute la ville près de 2,5 millions de visiteurs sur 100 km d'étals avec 10.000 exposants. "La décision de suspendre est prise non pas parce que la braderie est victime de son histoire, mais en raison de son modèle hyperurbain avec ses rues pleines de monde", a-t-il ajouté.
"A un moment, nonobstant nos passions, nos convictions, il faut dire stop à n modèle qui est dépassé par les exigences de sécurité", a pour sa part indiqué le préfet du Nord, Michel Lalande. Cette décision d'annuler l'édition 2016 s'appuie sur le caractère particulier de la braderie, "référence européenne", qui a accueilli l'an dernier dans toute la ville près de 2,5 millions de visiteurs sur 100 km d'étals avec 10.000 exposants. "La décision de suspendre est prise non pas parce que la braderie est victime de son histoire, mais en raison de son modèle hyperurbain avec ses rues pleines de monde", a-t-il ajouté.
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