La condamnation, hier, d'un Sparnacien de 19 ans à six mois de prison ferme a mis un point final à une enquête débutée le 11 septembre dernier après un vol de voiture à Magenta.
Le samedi 17 septembre vers 1 h 45, les gendarmes, alertés par son comportement, souhaitent contrôler un automobiliste. L'homme circule dans un quartier de Dizy, à quelques kilomètres d'Epernay, à bord d'une Renault clio. Apercevant les militaires, le chauffeur décide de prendre la fuite. Les gendarmes de Dizy perdront sa trace dans un cul-de-sac de l'Ile Belon à Epernay, l'automobiliste ayant pris la décision d'abandonner le véhicule sur place.
Sur place, les techniciens de la gendarmerie relèvent une empreinte laissée sur la voiture. Rapidement, ils identifient son propriétaire déjà fiché pour vols de voitures. Parallèlement, les enquêteurs découvrent que la clio a été volée à Magenta au cours de la nuit du 10 au 11 septembre dernier. Recherché par les gendarmes, l'homme, âgé de 19 ans, qui vient d'ailleurs de purger une peine de prison, ne réside plus dans la région d'Epernay mais a trouvé refuge à Reims.
C'est mardi dernier, vers 9 h 40, que le jeune voleur est interpellé à son domicile. Il est placé en garde à vue dans les locaux de la brigade de Dizy. Lors de son audition, il ne fait aucune difficulté pour reconnaître le vol de la clio. Finalement, le procureur décide de le déférer devant le tribunal de Reims.
Il a fait l'objet d'une procédure de comparution immédiate au cours de laquelle il était reproché au Sparnacien le vol de voiture en récidive, un refus d'obtempérer et la conduite sans permis. On retiendra également à son encontre le recel d'un GPS volé. Jeudi, il a été condamné à douze mois de prison dont six ferme. Le juge a prononcé son mandat de dépôt à l'issue de l'audience.
Il a passé sa première nuit à la maison d'arrêt de Reims.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-voleur-trahi-par-son-empreinte
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
vendredi 30 septembre 2011
Meurtre de Saint-Victor-Malescours : trois gardes à vue et des indices "sérieux"
Trois Stéphanois sont en garde à vue depuis mercredi matin à Yssingeaux. L'un des individus est soupçonné d'être l'auteur du meurtre d'un Stéphanois d'une trentaine d'années retrouvé sur la banquette arrière d'une voiture carbonisée, à Saint-Victor-Malescours, il y a deux semaines.
Les trois individus, deux hommes et une femme âgés de 27 et 28 ans, devraient être présentés au pôle de l'instruction de Clermont-Ferrand ce jeudi soir ou, au plus tard, vendredi matin. Parmi eux, les gendarmes de la section de recherche de Clermont-Ferrand pensent tenir l'auteur présumé de l'homicide. Des traces de sang auraient effectivement été retrouvées à son domicile. Avant d'être placé dans le véhicule incendié, la victime avait été égorgée.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2011/09/29/meurtre-de-saint-victor-malescours-trois-gardes-a-vue-et-des-indices-serieux
Les trois individus, deux hommes et une femme âgés de 27 et 28 ans, devraient être présentés au pôle de l'instruction de Clermont-Ferrand ce jeudi soir ou, au plus tard, vendredi matin. Parmi eux, les gendarmes de la section de recherche de Clermont-Ferrand pensent tenir l'auteur présumé de l'homicide. Des traces de sang auraient effectivement été retrouvées à son domicile. Avant d'être placé dans le véhicule incendié, la victime avait été égorgée.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2011/09/29/meurtre-de-saint-victor-malescours-trois-gardes-a-vue-et-des-indices-serieux
Justice : y a-t-il eu harcèlement à l’hôtel Causse Comtal, à Lioujas ?
Y a-il eu harcèlement moral de la part de la directrice de l’hôtel Causse Comtal envers quelques salariés entre janvier 2008 et novembre 2010 ? C’est la question sur laquelle le tribunal va devoir trancher, à la lumière des faits qui lui ont été exposés, mercredi, lors de l’audience correctionnelle.
La prévenue, qui avait pris la direction de l’hôtel en 2007 à la demande d’un des propriétaires (qui venait justement de se séparer d’un associé alors responsable de l’établissement qui emploie une quarantaine de personnes), nie fermement ce qui lui est reproché. "On m’a demandé de remettre de l’ordre dans la société. Et j’ai recadré certaines choses auprès des salariés", explique-t-elle à la barre, reconnaissant une faible expérience en matière d’hôtellerie. "J’ai voulu contrôler les postes et ça a déplu parce que chacun faisait ce qu’il voulait dans son coin." C’est trente mois après cette prise de fonction que le tribunal recevra une lettre anonyme exposant des problèmes ayant entraîné dépressions, démissions, mais aussi plaintes de clients. Une lettre émanant de deux salariées aujourd’hui parties civiles. "Un appel au secours", dira l’une d’elles.
Cinq salariés (dont deux ont quitté l’hôtel) et deux témoins relateront divers épisodes qui ont mené cette affaire devant la justice. "Ce sont des salariés qui portent aujourd’hui encore les stigmates de personnes victimes de harcèlement moral", plaidera Me Berger après avoir observé les victimes (dont quelques-unes suivies depuis les faits par des experts) répondre au juge. L’une d’elles le fera même en se cachant du regard de la prévenue, expliquant avoir encore en tête les images d’une séquestration. Pour l’avocat de l’ex-directrice (elle est partie en janvier 2011), tout ceci n’est qu’un "complot".
"Il n’y a rien dans ce dossier si ce n’est des gens qui se sont ligués contre ma cliente et les déclarations de huit personnes dont cinq parties civiles et deux témoins qui ne caractérisent en rien les faits qui lui sont reprochés", tonne Me Aimonetti, dans sa longue plaidoirie, où il démonte point par point les déclarations des victimes. Il préfère s’en remettre au rapport de gendarmerie qui soulignait, entre autres, à propos de la prévenue : "Elle est autoritaire et ne manque pas d’aplomb quand elle parle à ses salariés."
Le substitut du procureur, en revanche, se demande "comment on avait pu laisser une telle personne gérer aussi longtemps cet établissement". Il requerra 8 000 € d’amendes dont la moitié avec sursis, les parties civiles réclamant, elles, entre 5 000 et 12 000 €. Le tribunal rendra sa décision le 26 octobre.
http://www.midilibre.fr/2011/09/29/y-a-t-il-eu-harcelement-a-l-hotel-causse-comtal-a-lioujas,395452.php
La prévenue, qui avait pris la direction de l’hôtel en 2007 à la demande d’un des propriétaires (qui venait justement de se séparer d’un associé alors responsable de l’établissement qui emploie une quarantaine de personnes), nie fermement ce qui lui est reproché. "On m’a demandé de remettre de l’ordre dans la société. Et j’ai recadré certaines choses auprès des salariés", explique-t-elle à la barre, reconnaissant une faible expérience en matière d’hôtellerie. "J’ai voulu contrôler les postes et ça a déplu parce que chacun faisait ce qu’il voulait dans son coin." C’est trente mois après cette prise de fonction que le tribunal recevra une lettre anonyme exposant des problèmes ayant entraîné dépressions, démissions, mais aussi plaintes de clients. Une lettre émanant de deux salariées aujourd’hui parties civiles. "Un appel au secours", dira l’une d’elles.
Cinq salariés (dont deux ont quitté l’hôtel) et deux témoins relateront divers épisodes qui ont mené cette affaire devant la justice. "Ce sont des salariés qui portent aujourd’hui encore les stigmates de personnes victimes de harcèlement moral", plaidera Me Berger après avoir observé les victimes (dont quelques-unes suivies depuis les faits par des experts) répondre au juge. L’une d’elles le fera même en se cachant du regard de la prévenue, expliquant avoir encore en tête les images d’une séquestration. Pour l’avocat de l’ex-directrice (elle est partie en janvier 2011), tout ceci n’est qu’un "complot".
"Il n’y a rien dans ce dossier si ce n’est des gens qui se sont ligués contre ma cliente et les déclarations de huit personnes dont cinq parties civiles et deux témoins qui ne caractérisent en rien les faits qui lui sont reprochés", tonne Me Aimonetti, dans sa longue plaidoirie, où il démonte point par point les déclarations des victimes. Il préfère s’en remettre au rapport de gendarmerie qui soulignait, entre autres, à propos de la prévenue : "Elle est autoritaire et ne manque pas d’aplomb quand elle parle à ses salariés."
Le substitut du procureur, en revanche, se demande "comment on avait pu laisser une telle personne gérer aussi longtemps cet établissement". Il requerra 8 000 € d’amendes dont la moitié avec sursis, les parties civiles réclamant, elles, entre 5 000 et 12 000 €. Le tribunal rendra sa décision le 26 octobre.
http://www.midilibre.fr/2011/09/29/y-a-t-il-eu-harcelement-a-l-hotel-causse-comtal-a-lioujas,395452.php
Le gang des plieurs de portières se met à table
Il y a quelques semaines, six jeunes Laonnois avaient été mis en cause pour de multiples vols dans des voitures, avec toujours le même mode opératoire : plier la portière pour ensuite pénétrer dans le véhicule et faire ainsi main basse sur ce qui se trouvait à l'intérieur. Le plus souvent, ils agissaient sur un parking situé non loin d'une discothèque de la ville haute. Il leur suffisait d'attendre que les propriétaires entrent dans la boîte de nuit pour s'occuper de leurs véhicules… Pas moins d'une quarantaine de victimes avait alors été recensée (l'union du 10 septembre).
Chèques volés
L'un des auteurs de ces vols, estimant visiblement que l'un de ses comparses avait eu la langue un peu trop pendue lors de son audition par les policiers de Laon, a décidé de lui rendre la monnaie de la pièce : il a donc mis en cause un mineur qui aurait, selon lui, utilisé des chèques volés dans les voitures. Effectivement, les enquêteurs ont recensé trois chèques, l'un émis auprès d'un garagiste et les deux autres dans des magasins d'alimentation. Le préjudice avoisine la centaine d'euros. Une petite vengeance qui ne s'arrête pas là puisque le jeune homme ainsi qu'un complice ont été identifiés comme étant les auteurs d'une bonne vingtaine d'autres vols, qui n'avaient pas été reliés au premier dossier. Ils auraient été commis principalement sur le parking d'Axoplage, entre le mois de juin et le mois d'août. Voilà qui mène le nombre de portières pliées à près de 70 !
Le mineur sera prochainement convoqué devant le juge des enfants en vue d'une mise en examen tandis que son complice, majeur quant à lui, écope d'une convocation en justice le 17 novembre prochain pour vols avec dégradations volontaires et recels.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-gang-des-plieurs-de-portieres-se-met-a-table
Chèques volés
L'un des auteurs de ces vols, estimant visiblement que l'un de ses comparses avait eu la langue un peu trop pendue lors de son audition par les policiers de Laon, a décidé de lui rendre la monnaie de la pièce : il a donc mis en cause un mineur qui aurait, selon lui, utilisé des chèques volés dans les voitures. Effectivement, les enquêteurs ont recensé trois chèques, l'un émis auprès d'un garagiste et les deux autres dans des magasins d'alimentation. Le préjudice avoisine la centaine d'euros. Une petite vengeance qui ne s'arrête pas là puisque le jeune homme ainsi qu'un complice ont été identifiés comme étant les auteurs d'une bonne vingtaine d'autres vols, qui n'avaient pas été reliés au premier dossier. Ils auraient été commis principalement sur le parking d'Axoplage, entre le mois de juin et le mois d'août. Voilà qui mène le nombre de portières pliées à près de 70 !
Le mineur sera prochainement convoqué devant le juge des enfants en vue d'une mise en examen tandis que son complice, majeur quant à lui, écope d'une convocation en justice le 17 novembre prochain pour vols avec dégradations volontaires et recels.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-gang-des-plieurs-de-portieres-se-met-a-table
jeudi 29 septembre 2011
La comptable détourne près de 35000 euros
Une femme de 31 ans habitant Clastres, comptable dans une société de fabrication de portes et de fenêtres, Actyplast, implantée à Saint-Quentin, a profité de sa profession pour détourner de l'argent de son entreprise.
Selon l'enquête menée par la brigade financière du commissariat de Saint-Quentin, entre octobre 2009 et juin 2010, elle a détourné des chèques destinés à payer les fournisseurs, profitant de son statut pour planquer les relances et les rappels de factures. Elle expliquait aux fournisseurs mécontents que l'entreprise avait des problèmes financiers, puis qu'il y avait des problèmes informatiques…
Dix-neuf chèques détournés
Mais lorsqu'elle est partie en vacances en juillet 2010, une lettre de relance est arrivée à l'entreprise. C'est le patron qui a ouvert la missive. Surpris, il a effectué une rapide vérification et s'est ainsi aperçu que la facture avait pourtant bien été payée, il y a déjà plusieurs mois. Il a alors prévenu la police.
La brigade financière a épluché l'ensemble de la situation financière de l'entreprise et, grâce aussi à plusieurs réquisitions bancaires, a pu démontrer que la comptable avait encaissé sur son compte bancaire dix-neuf chèques détournés pour un montant total de 34 430 euros.
La comptable, licenciée depuis, a été convoquée au commissariat, lundi. Elle a été placée en garde à vue et a reconnu les faits. À l'issue, elle est sortie libre du commissariat. Avec en poche une convocation devant le tribunal correctionnel de Saint-Quentin, en date du 7 février prochain, où elle devra répondre du chef d'escroquerie.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/la-comptable-detourne-pres-de-35000-euros
Selon l'enquête menée par la brigade financière du commissariat de Saint-Quentin, entre octobre 2009 et juin 2010, elle a détourné des chèques destinés à payer les fournisseurs, profitant de son statut pour planquer les relances et les rappels de factures. Elle expliquait aux fournisseurs mécontents que l'entreprise avait des problèmes financiers, puis qu'il y avait des problèmes informatiques…
Dix-neuf chèques détournés
Mais lorsqu'elle est partie en vacances en juillet 2010, une lettre de relance est arrivée à l'entreprise. C'est le patron qui a ouvert la missive. Surpris, il a effectué une rapide vérification et s'est ainsi aperçu que la facture avait pourtant bien été payée, il y a déjà plusieurs mois. Il a alors prévenu la police.
La brigade financière a épluché l'ensemble de la situation financière de l'entreprise et, grâce aussi à plusieurs réquisitions bancaires, a pu démontrer que la comptable avait encaissé sur son compte bancaire dix-neuf chèques détournés pour un montant total de 34 430 euros.
La comptable, licenciée depuis, a été convoquée au commissariat, lundi. Elle a été placée en garde à vue et a reconnu les faits. À l'issue, elle est sortie libre du commissariat. Avec en poche une convocation devant le tribunal correctionnel de Saint-Quentin, en date du 7 février prochain, où elle devra répondre du chef d'escroquerie.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/la-comptable-detourne-pres-de-35000-euros
Le N.2 de la PJ lyonnaise en garde à vue
Michel Neyret, le directeur adjoint de la police judiciaire de Lyon, a été arrêté ce jeudi matin à son domicile et placé en garde à vue, annoncent Europe 1 et RTL. Son épouse aurait également été interpellée. En tout, ce sont cinq personnes qui ont été placées en garde à vue dans le cadre d'une affaire de corruption et de trafic de stupéfiants, précise RTL.
L'enquête est menée par la «police des polices», l'inspection générale de la police nationale (IGPN)
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-n-2-de-la-pj-lyonnaise-en-garde-a-vue-29-09-2011-1631562.php
L'enquête est menée par la «police des polices», l'inspection générale de la police nationale (IGPN)
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-n-2-de-la-pj-lyonnaise-en-garde-a-vue-29-09-2011-1631562.php
Villardonnel : prison ferme en appel pour deux anciens élus
Les magistrats de la cour d’appel de Montpellier ont condamné, hier, Marie-Thérèse Zenoni, ancienne conseillère municipale, et Jean Miramond, ancien maire de Villardonnel, à un mois de prison, ainsi qu’à 5 000 € d’amende et à 5 000 € de dommages et intérêts à verser à la commune, partie civile, dans la procédure intentée contre eux pour prise illégale d’intérêts et complicité, autour du projet de golf à La Royale.
En revanche, la cour a relaxé Jean-Pierre Zenoni, mari de l’ancienne élue villardonneloise, qui était poursuivi, lui, pour recel de prise illégale d’intérêt. En première instance, le 31 mars 2010, le tribunal correctionnel de Carcassonne avait condamné Marie-Thérèse et Jean-Pierre Zenoni à 15 000 € d’amende chacun et à deux mois de prison avec sursis, tandis que Jean Miramond écopait d’une amende de 1 000 €.
Tous trois, contestant les faits, avaient fait appel de ce jugement. A l’audience du 22 juin dernier, l’avocat général de la juridiction montpelliéraine avait, dans son réquisitoire, exclu toute peine de prison contre le trio, même assortie du sursis, mais avait demandé 10 000 € d’amende contre Jean Miramond, partiellement assortie du sursis ; 15 000 € d’amende contre Marie-Thérèse Zenoni, ainsi qu’une amende contre son mari, sans en préciser le montant.
Au terme de son délibéré, la cour d’appel a établi une autre échelle de responsabilité, réduisant les peines de prison - mais sans sursis - et d’amende infligées à Mme Zenoni, et aggravant celles visant Jean Miramond, "premier magistrat à l’époque des faits", comme l’avait relevé l’avocat général. En revanche, elle a relaxé Jean-Pierre Zenoni.
A l’audience, en juin dernier, la cour avait minutieusement étudié les faits reprochés aux trois prévenus, mis en difficulté chacun à tour de rôle.
En cause, le rôle joué, d’abord, par le couple Zenoni : lui, père du projet de golf dans les années 80 et acquérant, avec son épouse, la maîtrise foncière des terrains d’assise du projet, terrains finalement revendus avec une coquette plus-value à LBC en 2005 et 2006 ; elle, élue au conseil municipal, participant aux délibérations qui, notamment entre 2002 et 2007, ont permis de donner vie au projet sur le plan administratif.
En cause, également, la responsabilité du maire de l’époque, Jean Miramond, dont la "passivité" avait été particulièrement relevée par les magistrats montpelliérains, face à une conseillère municipal omniprésente et élevée au rang de "référente" dans ce projet alors ardemment soutenu par la municipalité.
Condamnés en première instance puis en appel, Marie-Thérèse Zenoni et Jean Miramond ont cinq jours pour former, le cas échéant, un pourvoi devant la Cour de Cassation. On ignorait, hier soir, leur décision.
http://www.midilibre.fr/2011/09/28/villardonnel-prison-ferme-en-appel-pour-deux-anciens-elus,394868.php
En revanche, la cour a relaxé Jean-Pierre Zenoni, mari de l’ancienne élue villardonneloise, qui était poursuivi, lui, pour recel de prise illégale d’intérêt. En première instance, le 31 mars 2010, le tribunal correctionnel de Carcassonne avait condamné Marie-Thérèse et Jean-Pierre Zenoni à 15 000 € d’amende chacun et à deux mois de prison avec sursis, tandis que Jean Miramond écopait d’une amende de 1 000 €.
Tous trois, contestant les faits, avaient fait appel de ce jugement. A l’audience du 22 juin dernier, l’avocat général de la juridiction montpelliéraine avait, dans son réquisitoire, exclu toute peine de prison contre le trio, même assortie du sursis, mais avait demandé 10 000 € d’amende contre Jean Miramond, partiellement assortie du sursis ; 15 000 € d’amende contre Marie-Thérèse Zenoni, ainsi qu’une amende contre son mari, sans en préciser le montant.
Au terme de son délibéré, la cour d’appel a établi une autre échelle de responsabilité, réduisant les peines de prison - mais sans sursis - et d’amende infligées à Mme Zenoni, et aggravant celles visant Jean Miramond, "premier magistrat à l’époque des faits", comme l’avait relevé l’avocat général. En revanche, elle a relaxé Jean-Pierre Zenoni.
A l’audience, en juin dernier, la cour avait minutieusement étudié les faits reprochés aux trois prévenus, mis en difficulté chacun à tour de rôle.
En cause, le rôle joué, d’abord, par le couple Zenoni : lui, père du projet de golf dans les années 80 et acquérant, avec son épouse, la maîtrise foncière des terrains d’assise du projet, terrains finalement revendus avec une coquette plus-value à LBC en 2005 et 2006 ; elle, élue au conseil municipal, participant aux délibérations qui, notamment entre 2002 et 2007, ont permis de donner vie au projet sur le plan administratif.
En cause, également, la responsabilité du maire de l’époque, Jean Miramond, dont la "passivité" avait été particulièrement relevée par les magistrats montpelliérains, face à une conseillère municipal omniprésente et élevée au rang de "référente" dans ce projet alors ardemment soutenu par la municipalité.
Condamnés en première instance puis en appel, Marie-Thérèse Zenoni et Jean Miramond ont cinq jours pour former, le cas échéant, un pourvoi devant la Cour de Cassation. On ignorait, hier soir, leur décision.
http://www.midilibre.fr/2011/09/28/villardonnel-prison-ferme-en-appel-pour-deux-anciens-elus,394868.php
À couteaux tirés Avec son tracteur, le fermier chasse... cinq chasseurs
Une société de chasse et un agriculteur s'opposent depuis des années autour de terrains. Lundi, la situation a dégénéré.
ILS étaient partis chasser et ils se sont retrouvés finalement chassés. La partie de chasse a tourné court pour cinq membres de l'association communale de chasse agréée de Faucoucourt, lundi.
Vers 11 heures, alors qu'ils se trouvaient sur des terres sur lesquelles ils assurent avoir un droit de chasse (l'autorisation par le propriétaire de chasser), un fermier, qui travaillait dans un champ voisin, est venu perturber la partie de chasse. Il leur aurait ni plus ni moins foncé dessus au volant de son tracteur.
« S'ils n'avaient pas pris la fuite, il les écrasait. » Le président de la société chasse locale, Pascal Franzoni, est réellement inquiet de la tournure que prend le différend latent avec le cultivateur. « Les chasseurs ont trouvé refuge dans un champ de maïs à proximité. Nous avons le droit de chasser sur ces terres. On loue l'autorisation au propriétaire mais le locataire, le fermier qui exploite les terres, n'ait pas du même avis. »
La situation s'envenime
Cet exploitant agricole en question a de toute façon ce qu'on appelle le droit de chasser gratuitement sur les terres qu'il exploite. Chasseur à ses heures, il ne souhaite pas partager son terrain. On parle de 150 ha sur les 500 ha dont l'association communale de chasse agréée bénéficie.
« Je vous assure qu'on ne peut pas discuter avec lui. Il n'y a pas moyens de trouver un terrain d'entente », poursuit Pascal Franzoni. Quand aux cinq chasseurs agressés, ils ont déposé une plainte le jour même. L'un d'eux témoigne : « Quand il s'est mis à nous foncer dessus, j'ai dit à tout le monde de désarmer et on a couru. Il a chargé six fois un copain c'est pour vous dire comment il était agressif. Même si personne n'a été blessé, je peux vous dire que ça donne un sacré coup de stress. Une fois qu'on s'est retrouvé dans le champ de maïs, en dehors de ses terres, il a fait demi-tour et il est retourné à ses occupations. »
Pascal Franzoni craint que la situation ne s'envenime davantage et qu'un drame se produise. Son souhait est assez simple : « Que l'on puisse chasser tranquillement. » Il va prendre rendez-vous avec la fédération de chasse « pour voir ce que l'on peut faire. On ne peut pas continuer comme ça. Il faut que les gendarmes ou un médiateur fassent quelque chose. Ce n'est plus possible. »
Un point de non-retour
De l'autre côté, la femme de l'agriculteur parle de représailles diverses : « La porte des vaches ouvertes, des pneus crevés. Ils nous en ont tellement fait voir que je suis tombée dans la dépression. » Des années que le climat est délétère. « Il y a dix ans, ils ont mis en joue mon fils de 8 ans et promis de mettre une balle à ma fille. Ils nous en ont tellement fait voir… Si vous saviez. »
Son mari, calmement, explique qu'ils sont arrivés à un point de non-retour, qu'il ne leur adresse plus la parole. « Ils n'ont plus le droit de chasser sur mes terres. J'ai récupéré le droit de chasse cette année. Ils n'ont plus d'autorisation et n'ont donc rien à faire chez moi. Alors, lundi, en tracteur, je les ai accompagnés jusqu'aux limites de mes terres. C'est tout. Si j'avais foncé sur eux, il y aurait des blessés. C'est ce que j'ai expliqué aux gendarmes et j'ai d'ailleurs indiqué qu'ils m'avaient menacé avec leurs fusils. »
Au fil des ans, on ne compte plus les mains courantes et les dépôts de plainte des deux côtés. Les deux parties sont à bout et la rupture semble consommée.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/faucoucourt-a-couteaux-tires-avec-son-tracteur-le-fermier-chasse-cinq-chasseurs
ILS étaient partis chasser et ils se sont retrouvés finalement chassés. La partie de chasse a tourné court pour cinq membres de l'association communale de chasse agréée de Faucoucourt, lundi.
Vers 11 heures, alors qu'ils se trouvaient sur des terres sur lesquelles ils assurent avoir un droit de chasse (l'autorisation par le propriétaire de chasser), un fermier, qui travaillait dans un champ voisin, est venu perturber la partie de chasse. Il leur aurait ni plus ni moins foncé dessus au volant de son tracteur.
« S'ils n'avaient pas pris la fuite, il les écrasait. » Le président de la société chasse locale, Pascal Franzoni, est réellement inquiet de la tournure que prend le différend latent avec le cultivateur. « Les chasseurs ont trouvé refuge dans un champ de maïs à proximité. Nous avons le droit de chasser sur ces terres. On loue l'autorisation au propriétaire mais le locataire, le fermier qui exploite les terres, n'ait pas du même avis. »
La situation s'envenime
Cet exploitant agricole en question a de toute façon ce qu'on appelle le droit de chasser gratuitement sur les terres qu'il exploite. Chasseur à ses heures, il ne souhaite pas partager son terrain. On parle de 150 ha sur les 500 ha dont l'association communale de chasse agréée bénéficie.
« Je vous assure qu'on ne peut pas discuter avec lui. Il n'y a pas moyens de trouver un terrain d'entente », poursuit Pascal Franzoni. Quand aux cinq chasseurs agressés, ils ont déposé une plainte le jour même. L'un d'eux témoigne : « Quand il s'est mis à nous foncer dessus, j'ai dit à tout le monde de désarmer et on a couru. Il a chargé six fois un copain c'est pour vous dire comment il était agressif. Même si personne n'a été blessé, je peux vous dire que ça donne un sacré coup de stress. Une fois qu'on s'est retrouvé dans le champ de maïs, en dehors de ses terres, il a fait demi-tour et il est retourné à ses occupations. »
Pascal Franzoni craint que la situation ne s'envenime davantage et qu'un drame se produise. Son souhait est assez simple : « Que l'on puisse chasser tranquillement. » Il va prendre rendez-vous avec la fédération de chasse « pour voir ce que l'on peut faire. On ne peut pas continuer comme ça. Il faut que les gendarmes ou un médiateur fassent quelque chose. Ce n'est plus possible. »
Un point de non-retour
De l'autre côté, la femme de l'agriculteur parle de représailles diverses : « La porte des vaches ouvertes, des pneus crevés. Ils nous en ont tellement fait voir que je suis tombée dans la dépression. » Des années que le climat est délétère. « Il y a dix ans, ils ont mis en joue mon fils de 8 ans et promis de mettre une balle à ma fille. Ils nous en ont tellement fait voir… Si vous saviez. »
Son mari, calmement, explique qu'ils sont arrivés à un point de non-retour, qu'il ne leur adresse plus la parole. « Ils n'ont plus le droit de chasser sur mes terres. J'ai récupéré le droit de chasse cette année. Ils n'ont plus d'autorisation et n'ont donc rien à faire chez moi. Alors, lundi, en tracteur, je les ai accompagnés jusqu'aux limites de mes terres. C'est tout. Si j'avais foncé sur eux, il y aurait des blessés. C'est ce que j'ai expliqué aux gendarmes et j'ai d'ailleurs indiqué qu'ils m'avaient menacé avec leurs fusils. »
Au fil des ans, on ne compte plus les mains courantes et les dépôts de plainte des deux côtés. Les deux parties sont à bout et la rupture semble consommée.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/faucoucourt-a-couteaux-tires-avec-son-tracteur-le-fermier-chasse-cinq-chasseurs
mercredi 28 septembre 2011
Une femme de 92 ans survit à l'explosion de sa maison
Une femme de 92 ans, dont la maison a été entièrement détruite par une explosion, n'a dû sa survie qu'à la protection d'une cloison qui a empêché les gravats de s'abattre sur elle.
Cet accident, vraisemblablement dû au gaz, s'est produit hier, vers 22 h 30. L'explosion a complètement soufflé la maison, dont seules la porte et certaines parties de murs tenaient encore debout.
A leur arrivée, les pompiers ont été informés par les voisins qu'une personne appelait au secours. Ils ont aussitôt dégagé un passage pour permettre à un médecin du Samu de se rendre à proximité de cette femme qui n'était que légèrement blessée.
Son état n'inspire pas d'inquiétude
Les pompiers ont mis une heure pour sécuriser les lieux en dégageant avec précaution les parties instables, afin de sortir sans risque la victime. Peu avant minuit, la vieille dame a été transportée à l'hôpital du Havre, où son état n'inspirait pas d'inquiétude.
Selon les premières constatations, la nonagénaire n'a dû son salut qu'à sa présence près d'une cloison de la maison. "Ce mur de refend a formé une zone de protection", a assuré un pompier.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/le-havre-une-femme-de-92-ans-survit-a-l-explosion-de-sa-maison-28-09-2011-1446364.php
Cet accident, vraisemblablement dû au gaz, s'est produit hier, vers 22 h 30. L'explosion a complètement soufflé la maison, dont seules la porte et certaines parties de murs tenaient encore debout.
A leur arrivée, les pompiers ont été informés par les voisins qu'une personne appelait au secours. Ils ont aussitôt dégagé un passage pour permettre à un médecin du Samu de se rendre à proximité de cette femme qui n'était que légèrement blessée.
Son état n'inspire pas d'inquiétude
Les pompiers ont mis une heure pour sécuriser les lieux en dégageant avec précaution les parties instables, afin de sortir sans risque la victime. Peu avant minuit, la vieille dame a été transportée à l'hôpital du Havre, où son état n'inspirait pas d'inquiétude.
Selon les premières constatations, la nonagénaire n'a dû son salut qu'à sa présence près d'une cloison de la maison. "Ce mur de refend a formé une zone de protection", a assuré un pompier.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/le-havre-une-femme-de-92-ans-survit-a-l-explosion-de-sa-maison-28-09-2011-1446364.php
En quad, il percute un train au passage à niveau de Saint-Romain-le-Puy
Hier matin, un homme de 81 ans, a été gravement blessé après avoir percuté un train au passage à niveau de Saint-Romain-le-Puy.
Peu après 10 heures, l’octogénaire, habitant d’Écotay-l’Olme, circulait au volant de son quad entre Saint-Thomas-la-Garde et la zone industrielle de Chézieux à Saint-Romain-le-Puy.
À hauteur du passage à niveau N° 93, les barrières sont abaissées pour prévenir d’un danger imminent.
En effet, un train de travaux ferroviaires circulant entre Montbrison et Saint-Etienne, arrive à hauteur du passage à niveau.
Pour une raison indéterminée, le pilote franchit le passage et vient percuter le convoi.
Les deux engins ne roulent ni l’un ni l’autre à une vitesse excessive, ce qui explique sans doute que le pilote du quad a eu la vie sauve.
Il est néanmoins gravement blessé, et souffre de plusieurs fractures, mais ses jours ne sont pas en danger.
La victime a été prise en charge par les pompiers de Montbrison pour acheminement vers le centre hospitalier
http://www.leprogres.fr/loire/2011/09/28/en-quad-il-percute-un-train-au-passage-a-niveau-de-saint-romain-le-puy
Peu après 10 heures, l’octogénaire, habitant d’Écotay-l’Olme, circulait au volant de son quad entre Saint-Thomas-la-Garde et la zone industrielle de Chézieux à Saint-Romain-le-Puy.
À hauteur du passage à niveau N° 93, les barrières sont abaissées pour prévenir d’un danger imminent.
En effet, un train de travaux ferroviaires circulant entre Montbrison et Saint-Etienne, arrive à hauteur du passage à niveau.
Pour une raison indéterminée, le pilote franchit le passage et vient percuter le convoi.
Les deux engins ne roulent ni l’un ni l’autre à une vitesse excessive, ce qui explique sans doute que le pilote du quad a eu la vie sauve.
Il est néanmoins gravement blessé, et souffre de plusieurs fractures, mais ses jours ne sont pas en danger.
La victime a été prise en charge par les pompiers de Montbrison pour acheminement vers le centre hospitalier
http://www.leprogres.fr/loire/2011/09/28/en-quad-il-percute-un-train-au-passage-a-niveau-de-saint-romain-le-puy
Pantin : au moins six morts dans l'incendie d'un squat de migrants
Six personnes ont péri, tôt mercredi matin, dans l'incendie d'un squat, à Pantin (Seine-Saint-Denis). Quatre ont été victimes de brûlures, deux d'asphyxie. Trois autres personnes ont été hospitalisées pour des blessures, leurs jours ne semblant pas en danger.
Le feu s'est déclaré vers 6 heures du matin dans cet immeuble situé passage Roche, près de la porte de Pantin, et a été maîtrisé vers 8 heures. Une trentaine de personnes y vivaient selon la Préfecture. Les pompiers cherchaient dans les décombres d'autres victimes possibles. L'immeuble mitoyen a été touché par l'incendie. Les deux bâtiments étant murés, l'accès se révélait difficile pour les secours.
Le préfet de Seine-Saint-Denis Christian Lambert s'est rendu sur place. Le premier adjoint au maire, Gérard Savat, est également sur les lieux.
«Un squat datant de quelques jours», selon le maire
Le maire Bertrand Kern (PS) devait, lui, revenir de Bordeaux, où il assistait au congrès des offices publics d'habitat. Joint au téléphone par leparisien.fr, il exprime sa consternation : «C'est tragique ! C'est un drame de la misère humaine. Il s'agit de migrants arrivés de fraîche date. Des migrants tunisiens, libyens, pour la plupart. Certains étaient chassés d'un square parisien, près de La Villette, récemment. Ils se sont introduits dans ce petit immeuble pour y dormir».
«Il ne s'agit pas d'un habitat indigne, poursuit Bertrand Kern. C'est un immeuble d'activité qui devait être démoli dans le cadre d'une ZAC où on allait reconstruire des logements sociaux. Ce petit bâtiment a été muré par la ville. Mais des gens, jetés à la rue, sans ressorces ni logements, se sont introduits. C'est un squat qui date de quelques jours, pas plus de deux semaines. On allait saisir la préfecture pour demander son évacuation, mais le drame est arrivé plus vite. C'est dramatique »
Selon le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, interrogé dans la matinée sur i-Télé et citant les premiers éléments de l'enquête, le sinistre serait d'origine accidentelle et aurait été provoqué par une bougie mal éteinte.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/pantin-au-moins-six-morts-dans-l-incendie-d-un-squat-de-migrants-28-09-2011-1629432.php
Le feu s'est déclaré vers 6 heures du matin dans cet immeuble situé passage Roche, près de la porte de Pantin, et a été maîtrisé vers 8 heures. Une trentaine de personnes y vivaient selon la Préfecture. Les pompiers cherchaient dans les décombres d'autres victimes possibles. L'immeuble mitoyen a été touché par l'incendie. Les deux bâtiments étant murés, l'accès se révélait difficile pour les secours.
Le préfet de Seine-Saint-Denis Christian Lambert s'est rendu sur place. Le premier adjoint au maire, Gérard Savat, est également sur les lieux.
«Un squat datant de quelques jours», selon le maire
Le maire Bertrand Kern (PS) devait, lui, revenir de Bordeaux, où il assistait au congrès des offices publics d'habitat. Joint au téléphone par leparisien.fr, il exprime sa consternation : «C'est tragique ! C'est un drame de la misère humaine. Il s'agit de migrants arrivés de fraîche date. Des migrants tunisiens, libyens, pour la plupart. Certains étaient chassés d'un square parisien, près de La Villette, récemment. Ils se sont introduits dans ce petit immeuble pour y dormir».
«Il ne s'agit pas d'un habitat indigne, poursuit Bertrand Kern. C'est un immeuble d'activité qui devait être démoli dans le cadre d'une ZAC où on allait reconstruire des logements sociaux. Ce petit bâtiment a été muré par la ville. Mais des gens, jetés à la rue, sans ressorces ni logements, se sont introduits. C'est un squat qui date de quelques jours, pas plus de deux semaines. On allait saisir la préfecture pour demander son évacuation, mais le drame est arrivé plus vite. C'est dramatique »
Selon le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, interrogé dans la matinée sur i-Télé et citant les premiers éléments de l'enquête, le sinistre serait d'origine accidentelle et aurait été provoqué par une bougie mal éteinte.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/pantin-au-moins-six-morts-dans-l-incendie-d-un-squat-de-migrants-28-09-2011-1629432.php
Élève défenestré : la tentative de suicide est privilégiée
Les policiers de la sûreté départementale ont continué leurs investigations, hier, à la suite de la blessure d’un élève du lycée technique Pierre-Mendès-France, consécutive à une chute du deuxième étage
Et si la victime, âgée de 17 ans, souffrant de nombreuses fractures mais dont le pronostic vital n’est pas engagé, a affirmé à sa mère que quelqu’un l’avait poussée, les premières conclusions des enquêteurs ne vont pas dans ce sens. "D’après les témoignages d’élèves, on ne pense pas que quelqu’un l’a poussé parce qu’il n’y avait personne derrière lui. Il aurait plutôt enjambé la balustrade avant de se jeter volontairement", explique-t-on au commissariat central. Pour autant, les policiers attendent de pouvoir auditionner la victime, toujours hospitalisée.
Scolarisé depuis la rentrée dans cet établissement, l’élève, suivi psychologiquement à l’extérieur du lycée mais pas à l’intérieur, ne s’était pas forcément bien intégré parmi les 1 100 élèves. Il était décrit par certains comme mal dans sa peau et parfois comme une tête de turc.
http://www.midilibre.fr/2011/09/27/la-tentative-de-suicide-privilegiee,394375.php
Et si la victime, âgée de 17 ans, souffrant de nombreuses fractures mais dont le pronostic vital n’est pas engagé, a affirmé à sa mère que quelqu’un l’avait poussée, les premières conclusions des enquêteurs ne vont pas dans ce sens. "D’après les témoignages d’élèves, on ne pense pas que quelqu’un l’a poussé parce qu’il n’y avait personne derrière lui. Il aurait plutôt enjambé la balustrade avant de se jeter volontairement", explique-t-on au commissariat central. Pour autant, les policiers attendent de pouvoir auditionner la victime, toujours hospitalisée.
Scolarisé depuis la rentrée dans cet établissement, l’élève, suivi psychologiquement à l’extérieur du lycée mais pas à l’intérieur, ne s’était pas forcément bien intégré parmi les 1 100 élèves. Il était décrit par certains comme mal dans sa peau et parfois comme une tête de turc.
http://www.midilibre.fr/2011/09/27/la-tentative-de-suicide-privilegiee,394375.php
RMS : un cas de méningite et 400 personnes traitées
L'infection s'est déclarée après un voyage d'intégration auquel participaient 700 élèves de l'école.
RIEN ne permet de savoir où, et quand le jeune homme a contracté l'infection. Mais lorsqu'il est hospitalisé au CHU de Reims, dans la nuit de samedi à dimanche, le diagnostic ne fait aucun doute : cet élève de Reims Management School a contracté une infection invasive à méningocoque. Hier en fin de journée, il se trouvait toujours en réanimation, « dans un état stable », explique-t-on à l'Agence régionale de santé.
Le garçon, âgé de 22 ans, rentrait d'un séjour d'intégration organisé dans la ville de Dax, séjour auquel participaient environ 700 jeunes de RMS. Mais impossible d'établir un lien entre le voyage dans les Landes et ce cas de méningite, d'autant que la période d'incubation peut varier entre deux et dix jours.
« Il y a eu un cas supposé à Dax, mais cela s'est avéré faux », poursuit-on du côté de l'ARS.
Du côté des élèves rémois en revanche, l'information est vite passée.
400 personnes traitées
À tel point que le centre hospitalier a dû s'organiser pour recevoir, et traiter, les quelque 400 personnes qui se sont présentées tout au long de la journée de dimanche pour recevoir un traitement préventif par antibiotiques. Un espace en particulier était d'ailleurs consacré à cet accueil pour que les médecins puissent prendre en charge tout le monde.
« Il s'agit du seul traitement possible dans le cas d'un méningocoque de catégorie B, pour lequel il n'existe en revanche pas de vaccin. » Hier encore, une dizaine de personnes sont venues recevoir le traitement dans la matinée.
Un principe de précaution que les autorités sanitaires ont souhaité appliquer largement, même si seul un contact prolongé (environ une heure) en face à face peut exposer une personne à cette infection qui se transmet uniquement par contact direct avec le malade.
Côté symptômes, on constate le plus souvent de la fièvre et de la fatigue, des raideurs dans la nuque, ainsi que l'apparition de tâches cutanées rouges au développement rapide. L'Agence régionale de santé recommande d'ailleurs à toute personne qui se serait trouvée en contact avec cet étudiant de se rendre aux urgences, ou bien chez son médecin traitant pour recevoir la prescription
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/rms-un-cas-de-meningite-et-400-personnes-traitees
RIEN ne permet de savoir où, et quand le jeune homme a contracté l'infection. Mais lorsqu'il est hospitalisé au CHU de Reims, dans la nuit de samedi à dimanche, le diagnostic ne fait aucun doute : cet élève de Reims Management School a contracté une infection invasive à méningocoque. Hier en fin de journée, il se trouvait toujours en réanimation, « dans un état stable », explique-t-on à l'Agence régionale de santé.
Le garçon, âgé de 22 ans, rentrait d'un séjour d'intégration organisé dans la ville de Dax, séjour auquel participaient environ 700 jeunes de RMS. Mais impossible d'établir un lien entre le voyage dans les Landes et ce cas de méningite, d'autant que la période d'incubation peut varier entre deux et dix jours.
« Il y a eu un cas supposé à Dax, mais cela s'est avéré faux », poursuit-on du côté de l'ARS.
Du côté des élèves rémois en revanche, l'information est vite passée.
400 personnes traitées
À tel point que le centre hospitalier a dû s'organiser pour recevoir, et traiter, les quelque 400 personnes qui se sont présentées tout au long de la journée de dimanche pour recevoir un traitement préventif par antibiotiques. Un espace en particulier était d'ailleurs consacré à cet accueil pour que les médecins puissent prendre en charge tout le monde.
« Il s'agit du seul traitement possible dans le cas d'un méningocoque de catégorie B, pour lequel il n'existe en revanche pas de vaccin. » Hier encore, une dizaine de personnes sont venues recevoir le traitement dans la matinée.
Un principe de précaution que les autorités sanitaires ont souhaité appliquer largement, même si seul un contact prolongé (environ une heure) en face à face peut exposer une personne à cette infection qui se transmet uniquement par contact direct avec le malade.
Côté symptômes, on constate le plus souvent de la fièvre et de la fatigue, des raideurs dans la nuque, ainsi que l'apparition de tâches cutanées rouges au développement rapide. L'Agence régionale de santé recommande d'ailleurs à toute personne qui se serait trouvée en contact avec cet étudiant de se rendre aux urgences, ou bien chez son médecin traitant pour recevoir la prescription
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/rms-un-cas-de-meningite-et-400-personnes-traitees
mardi 27 septembre 2011
Poussé depuis le haut d'une falaise par un ermite
En fin de semaine dernière, un technicien forestier, qui inspectait des parcelles de la forêt d'Ablon, sur la commune de Dingy, a été victime d'une tentative d'homicide.
Au cours de son service, l'agent avait entendu des bruits qui l'avaient amené jusqu'à deux cabanons de fortune, nichés dans un secteur très accidenté, à 1500m d'altitude.
L'homme prend alors contact avec l'occupant des lieux et lui signale que les constructions sont illicites. Alors qu'il se baisse pour reprendre son sac-à-dos et repartir, l'individu s'approche de l'agent et le pousse violemment en direction d'une barre rocheuse de 17m de haut.
La victime ne devra sa survie qu'à la présence d'arbres dans se secteur, qui ralentiront sa chute. Souffrant de multiples contusions, le technicien réussit à prendre la fuite et à donner l'alerte.
L'auteur de cette tentative d'homicide a été interpellé ce week-end, à Thônes. Âgé d'une soixantaine d'années, il est connu pour vivre en ermite plusieurs mois par an et n'aurait pas apprécié d'être dérangé dans "sa montagne"...
Il a été placé en détention provisoire à la maison d'arrêt d'Aiton en Savoie.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/09/27/pousse-depuis-le-haut-d-une-falaise-par-un-ermite
Au cours de son service, l'agent avait entendu des bruits qui l'avaient amené jusqu'à deux cabanons de fortune, nichés dans un secteur très accidenté, à 1500m d'altitude.
L'homme prend alors contact avec l'occupant des lieux et lui signale que les constructions sont illicites. Alors qu'il se baisse pour reprendre son sac-à-dos et repartir, l'individu s'approche de l'agent et le pousse violemment en direction d'une barre rocheuse de 17m de haut.
La victime ne devra sa survie qu'à la présence d'arbres dans se secteur, qui ralentiront sa chute. Souffrant de multiples contusions, le technicien réussit à prendre la fuite et à donner l'alerte.
L'auteur de cette tentative d'homicide a été interpellé ce week-end, à Thônes. Âgé d'une soixantaine d'années, il est connu pour vivre en ermite plusieurs mois par an et n'aurait pas apprécié d'être dérangé dans "sa montagne"...
Il a été placé en détention provisoire à la maison d'arrêt d'Aiton en Savoie.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/09/27/pousse-depuis-le-haut-d-une-falaise-par-un-ermite
Cambriolages à Flavin : sept mineurs interpellés
Depuis 2009, et jusqu'à ces derniers jours, la commune de Flavin a servi de théâtre à des monte-en-l'air. À cinq reprises - le dernier « coup » des malfaiteurs remonte au mois d'août - une résidence et des locaux associatifs ont été « visités ». Butin, estimé à 4 600 €, emporté par les cambrioleurs : des bouteilles de vin et d'alcools divers, des parfums, des DVD et de l'argent liquide.
De quoi mettre sur les dents les gendarmes de la communauté de brigades de Rodez qui, ces dernières semaines, ont vu leurs investigations progresser de façon magistrale. Jusqu'à ce week-end, les militaires ont, en effet, procédé à une série d'interpellations.
Désormais, le dossier est entre les mains du parquet de Rodez. Si les services du procureur de la République décident de poursuivre les cambrioleurs présumés, ces derniers seront jugés devant le tribunal pour enfants à une date qui reste à déterminer.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/27/1177244-cambriolages-a-flavin-sept-mineurs-interpelles.html
De quoi mettre sur les dents les gendarmes de la communauté de brigades de Rodez qui, ces dernières semaines, ont vu leurs investigations progresser de façon magistrale. Jusqu'à ce week-end, les militaires ont, en effet, procédé à une série d'interpellations.
Les mineurs habitent les environs de Flavin
Au total, sept jeunes gens, âgés de 14 à 17 ans - ils sont donc mineurs - ont été arrêtés. Tous habitent les environs de la commune de Flavin. Placés en garde à vue, ils ont tous été entendus avant d'être remis en liberté.Désormais, le dossier est entre les mains du parquet de Rodez. Si les services du procureur de la République décident de poursuivre les cambrioleurs présumés, ces derniers seront jugés devant le tribunal pour enfants à une date qui reste à déterminer.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/27/1177244-cambriolages-a-flavin-sept-mineurs-interpelles.html
DSK demande le rejet de la plainte de Diallo au civil
Dominique Strauss-Kahn a demandé lundi à la justice américaine de classer la plainte au civil déposée le 8 août dernier par Nafissatou Diallo. À quelques heures de l'échéance, sa requête est parvenue au juge du tribunal du Bronx,Douglas McKeon, qui suit la procédure, auquel il appartient désormais de se prononcer.
Les avocats américains de DSK expliquent que DSK bénéficiait d'une immunité judiciaire en matière civile en tant que directeur général du FMI. Malgré sa démission, le 18 mai 2011, de l'institution, cette immunité a perduré jusqu'à ce qu'il puisse quitter les États-Unis, après l'abandon des poursuites pénales et la restitution de son passeport le 25 août. Selon ses conseils, Mes Bill Taylor et Shawn Naunton, il s'agit d'une «immunité absolue» qui couvre leur client. Dans une requête de 25 pages, très argumentée en droit et en jurisprudence, ils visent les conventions internationales accordant cette protection aux fonctionnaires internationaux. «À la date où Dominique Strauss-Kahn a été visé par cette plainte, il bénéficiait d'une immunité en matière civile aux États-Unis en vertu des règles établies par le droit coutumier international. En conséquence, la cour n'est pas compétente pour cette procédure et doit la rejeter», écrivent les avocats de DSK. La demande de classement sera plaidée le 12 octobre devant le tribunal du Bronx, où la femme de chambre a choisi de déposer sa plainte civile, avant que le juge McKeon ne rende sa décision.
Les conseils de l'ancien ministre envisagent cependant que leur demande ne soit pas satisfaite. Si le classement total était refusé, expliquent-ils, ils exigeront un classement partiel de la plainte. Ils veulent ainsi que le tribunal déclare irrecevables les éventuels témoignages d'agressions sexuelles que pourraient mentionner les avocats de Nafissatou Diallo. En clair, ils s'opposent à ce que de telles agressions supposées, comme celle alléguée par Tristane Banon en France, puissent être l'objet de discussions au cours de la procédure civile.
Les avocats de la femme de chambre du Sofitel ont aussitôt réagi lundi à New York: «Comme son coup publicitaire la semaine dernière, lorsqu'il a été interviewé par une amie de sa femme, cette demande sans fondement est une tentative désespérée pour éviter d'avoir à répondre des actes déplorables qu'il a commis contre Mme Diallo.» Pour Me Kenneth Thompson et Douglas Wigdor, l'argument selon lequel DSK «bénéficiait d'une immunité diplomatique» en matière civile «va clairement échouer, car il n'est pas diplomate. Il était à New York pour des raisons personnelles, comme il l'a dit lui même. Il a lui même payé sa chambre au Sofitel, et il agissait évidemment pour lui même quand il a attaqué sauvagement Mme Diallo.» Peu après l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn, le FMI avait expliqué dans un communiqué: «L'immunité du directeur général est limitée et n'est pas applicable dans cette affaire.» Une réponse qui intervenait alors davantage pour les poursuites pénales engagées par le procureur Cyrus Vance. Une autre étape attend DSK cette semaine: sa confrontation jeudi avec Tristane Banon.
http://www.lefigaro.fr/international/2011/09/26/01003-20110926ARTFIG00776-dsk-demande-le-rejet-de-la-plainte-de-diallo-au-civil.php
Les avocats américains de DSK expliquent que DSK bénéficiait d'une immunité judiciaire en matière civile en tant que directeur général du FMI. Malgré sa démission, le 18 mai 2011, de l'institution, cette immunité a perduré jusqu'à ce qu'il puisse quitter les États-Unis, après l'abandon des poursuites pénales et la restitution de son passeport le 25 août. Selon ses conseils, Mes Bill Taylor et Shawn Naunton, il s'agit d'une «immunité absolue» qui couvre leur client. Dans une requête de 25 pages, très argumentée en droit et en jurisprudence, ils visent les conventions internationales accordant cette protection aux fonctionnaires internationaux. «À la date où Dominique Strauss-Kahn a été visé par cette plainte, il bénéficiait d'une immunité en matière civile aux États-Unis en vertu des règles établies par le droit coutumier international. En conséquence, la cour n'est pas compétente pour cette procédure et doit la rejeter», écrivent les avocats de DSK. La demande de classement sera plaidée le 12 octobre devant le tribunal du Bronx, où la femme de chambre a choisi de déposer sa plainte civile, avant que le juge McKeon ne rende sa décision.
Les conseils de l'ancien ministre envisagent cependant que leur demande ne soit pas satisfaite. Si le classement total était refusé, expliquent-ils, ils exigeront un classement partiel de la plainte. Ils veulent ainsi que le tribunal déclare irrecevables les éventuels témoignages d'agressions sexuelles que pourraient mentionner les avocats de Nafissatou Diallo. En clair, ils s'opposent à ce que de telles agressions supposées, comme celle alléguée par Tristane Banon en France, puissent être l'objet de discussions au cours de la procédure civile.
Les avocats de la femme de chambre du Sofitel ont aussitôt réagi lundi à New York: «Comme son coup publicitaire la semaine dernière, lorsqu'il a été interviewé par une amie de sa femme, cette demande sans fondement est une tentative désespérée pour éviter d'avoir à répondre des actes déplorables qu'il a commis contre Mme Diallo.» Pour Me Kenneth Thompson et Douglas Wigdor, l'argument selon lequel DSK «bénéficiait d'une immunité diplomatique» en matière civile «va clairement échouer, car il n'est pas diplomate. Il était à New York pour des raisons personnelles, comme il l'a dit lui même. Il a lui même payé sa chambre au Sofitel, et il agissait évidemment pour lui même quand il a attaqué sauvagement Mme Diallo.» Peu après l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn, le FMI avait expliqué dans un communiqué: «L'immunité du directeur général est limitée et n'est pas applicable dans cette affaire.» Une réponse qui intervenait alors davantage pour les poursuites pénales engagées par le procureur Cyrus Vance. Une autre étape attend DSK cette semaine: sa confrontation jeudi avec Tristane Banon.
http://www.lefigaro.fr/international/2011/09/26/01003-20110926ARTFIG00776-dsk-demande-le-rejet-de-la-plainte-de-diallo-au-civil.php
Escroqueries et arnaques : la tendance lourde
Filouteries et malversations sont reparties à la hausse, notamment sur internet. Rappel des entourloupes les plus communes.
UN ordinateur acheté sur « le bon coin » qui n'arrive pas. Une avance versée pour une voiture, dont on n'a jamais vu les clés mais aussi, des achats débités sur notre compte, alors que l'on n'a rien fait…
Pour les forces de l'ordre, la tendance est connue depuis longtemps : les escrocs, virtuels ou réels, détrousse de plus en plus d'âme charitable. La tendance des « escroqueries et infractions économiques et financières » est à la hausse.
Près de 400 faits supplémentaires ont été enregistrés dans le département durant les douze derniers mois. « L'analyse en « année glissante » démontre une tendance au développement de cette forme de délinquance », note les services de la préfecture.
Ainsi, entre le 1er septembre 2009 au 31 août 2010, 3 102 escroqueries et infractions économiques et financières avaient été constatées. Du 1er septembre 2010 au 31 août 2011, le nombre est passé à 3 152. La hausse est donc de 13,2 % entre ces deux périodes. Elle s'explique en grande partie par l'explosion des arnaques par Internet, même si les « classiques » restent toujours d'actualité. Un exemple : une femme de ménage du Laonnois a été jugée au printemps dernier pour avoir siphonné les comptes de l'octogénaire dont elle s'occupait. Elle lui avait soutiré près de 17 000 euros en trois ans.
L'ordinateur qui n'arrive jamais. L'arnaque dans toute sa splendeur : on achète un bien d'occasion sur Internet et rien n'arrive dans sa boîte aux lettres. Mi-septembre, un escroc a été jugé devant le tribunal correctionnel Laon pour ce genre de méfait. L'homme était accusé d'avoir vendu un ordinateur portable, à plusieurs personnes à la fois et d'avoir encaissé un chèque de 110 euros alors qu'un client, un habitant de Saint-Erme (canton de Sissonne), n'a jamais reçu l'appareil.
Le courriel qui vous harponne (« phishing »). Cette technique veut que l'émetteur d'un courriel (e-mail) se fasse passer pour votre banque, une entreprise (EDF, fournisseurs d'accès Internet…) ou un organisme public (CAF, impôts), afin de connaître vos coordonnées bancaires. Deux victimes axonaises ont récemment « mordu à l'hameçon » (l'union du 6 août). Dans les deux cas précis, les personnes ont reçu un mail avec, en en-tête, le nom de leur opérateur téléphonique, Orange dans un cas, SFR dans l'autre, et quelques lignes demandant de fournir son numéro carte bancaire afin de régulariser un problème de facturation en leur faveur.
Dans l'une des affaires, la personne s'est exécutée et a constaté le lendemain en consultant ses relevés de comptes que deux prélèvements frauduleux avaient été effectués, l'un de 19, 80 euros et un autre de 374, 99 euros. Dans l'autre cas, la victime s'exécute mais elle a un doute. Les fautes d'orthographe dans le mail attirent son attention. La victime décide alors de se rendre à la banque pour faire opposition. Pour cette personne de Marcy, elle a sans doute évité que quelques centaines d'euros ne disparaissent de son compte. Aujourd'hui, son préjudice se limite à des frais d'opposition.
L'utilisation de la carte bleue dans le dos de son propriétaire. Noël se rapproche et les achats sur la toile vont être de plus en plus nombreux dans les semaines à venir. L'occasion pour les fraudeurs de sortir de leur bois. Pour cela, il suffit à ces personnages malveillants de se procurer les numéros figurant au recto et au verso d'une carte bancaire pour effectuer toutes sortes de paiement sur Internet ou par téléphone. Une mésaventure est arrivée à une Chaunoise cette année. Elle a reçu un coup de fil de sa banque demandant si elle a effectué un paiement important. L'établissement venait d'enregistrer un règlement de 540 € pour un billet d'avion à destination de l'Allemagne ! L'Axonaise tombe des nues, puisqu'elle n'a jamais passé commande… Elle constate ensuite d'autres débits frauduleux : chambre d'hôtel, pizzas, etc. Au total, cinq transactions pour plus de 300 €.
Comment cela est-il possible ? Le numéro de carte peut être sur une liste. Les malfaiteurs peuvent, notamment, récupérer les coordonnées bancaires lors de paiement sur Internet sur des sites non-sécurisés mais aussi en dupliquant l'empreinte de la carte lors d'un voyage…
L'escroquerie « à la nigériane » ou « 419 ». « Je suis en phase terminale de cancer, j'ai décidé de vous faire don d'une partie de ma fortune, ayez l'obligeance de me contacter » ou encore « Je suis héritière d'une mine de diamants en Sierra Leone, je veux vous confier une partie de ma fortune s'élevant à 28 millions de dollars US, 15 % vous reviendront si vous m'aidez dans les démarches ». Le message vous parvient par courriel d'une personne que vous ne connaissez pas. Celle-ci vous demande de l'aider. L'objectif de l'auteur du message est en réalité de vous amener à accepter de verser une participation financière pour régler des soi-disant frais de dossiers, payer des intermédiaires, etc.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/escroqueries-et-arnaques-la-tendance-lourde
UN ordinateur acheté sur « le bon coin » qui n'arrive pas. Une avance versée pour une voiture, dont on n'a jamais vu les clés mais aussi, des achats débités sur notre compte, alors que l'on n'a rien fait…
Pour les forces de l'ordre, la tendance est connue depuis longtemps : les escrocs, virtuels ou réels, détrousse de plus en plus d'âme charitable. La tendance des « escroqueries et infractions économiques et financières » est à la hausse.
Près de 400 faits supplémentaires ont été enregistrés dans le département durant les douze derniers mois. « L'analyse en « année glissante » démontre une tendance au développement de cette forme de délinquance », note les services de la préfecture.
Ainsi, entre le 1er septembre 2009 au 31 août 2010, 3 102 escroqueries et infractions économiques et financières avaient été constatées. Du 1er septembre 2010 au 31 août 2011, le nombre est passé à 3 152. La hausse est donc de 13,2 % entre ces deux périodes. Elle s'explique en grande partie par l'explosion des arnaques par Internet, même si les « classiques » restent toujours d'actualité. Un exemple : une femme de ménage du Laonnois a été jugée au printemps dernier pour avoir siphonné les comptes de l'octogénaire dont elle s'occupait. Elle lui avait soutiré près de 17 000 euros en trois ans.
L'ordinateur qui n'arrive jamais. L'arnaque dans toute sa splendeur : on achète un bien d'occasion sur Internet et rien n'arrive dans sa boîte aux lettres. Mi-septembre, un escroc a été jugé devant le tribunal correctionnel Laon pour ce genre de méfait. L'homme était accusé d'avoir vendu un ordinateur portable, à plusieurs personnes à la fois et d'avoir encaissé un chèque de 110 euros alors qu'un client, un habitant de Saint-Erme (canton de Sissonne), n'a jamais reçu l'appareil.
Le courriel qui vous harponne (« phishing »). Cette technique veut que l'émetteur d'un courriel (e-mail) se fasse passer pour votre banque, une entreprise (EDF, fournisseurs d'accès Internet…) ou un organisme public (CAF, impôts), afin de connaître vos coordonnées bancaires. Deux victimes axonaises ont récemment « mordu à l'hameçon » (l'union du 6 août). Dans les deux cas précis, les personnes ont reçu un mail avec, en en-tête, le nom de leur opérateur téléphonique, Orange dans un cas, SFR dans l'autre, et quelques lignes demandant de fournir son numéro carte bancaire afin de régulariser un problème de facturation en leur faveur.
Dans l'une des affaires, la personne s'est exécutée et a constaté le lendemain en consultant ses relevés de comptes que deux prélèvements frauduleux avaient été effectués, l'un de 19, 80 euros et un autre de 374, 99 euros. Dans l'autre cas, la victime s'exécute mais elle a un doute. Les fautes d'orthographe dans le mail attirent son attention. La victime décide alors de se rendre à la banque pour faire opposition. Pour cette personne de Marcy, elle a sans doute évité que quelques centaines d'euros ne disparaissent de son compte. Aujourd'hui, son préjudice se limite à des frais d'opposition.
L'utilisation de la carte bleue dans le dos de son propriétaire. Noël se rapproche et les achats sur la toile vont être de plus en plus nombreux dans les semaines à venir. L'occasion pour les fraudeurs de sortir de leur bois. Pour cela, il suffit à ces personnages malveillants de se procurer les numéros figurant au recto et au verso d'une carte bancaire pour effectuer toutes sortes de paiement sur Internet ou par téléphone. Une mésaventure est arrivée à une Chaunoise cette année. Elle a reçu un coup de fil de sa banque demandant si elle a effectué un paiement important. L'établissement venait d'enregistrer un règlement de 540 € pour un billet d'avion à destination de l'Allemagne ! L'Axonaise tombe des nues, puisqu'elle n'a jamais passé commande… Elle constate ensuite d'autres débits frauduleux : chambre d'hôtel, pizzas, etc. Au total, cinq transactions pour plus de 300 €.
Comment cela est-il possible ? Le numéro de carte peut être sur une liste. Les malfaiteurs peuvent, notamment, récupérer les coordonnées bancaires lors de paiement sur Internet sur des sites non-sécurisés mais aussi en dupliquant l'empreinte de la carte lors d'un voyage…
L'escroquerie « à la nigériane » ou « 419 ». « Je suis en phase terminale de cancer, j'ai décidé de vous faire don d'une partie de ma fortune, ayez l'obligeance de me contacter » ou encore « Je suis héritière d'une mine de diamants en Sierra Leone, je veux vous confier une partie de ma fortune s'élevant à 28 millions de dollars US, 15 % vous reviendront si vous m'aidez dans les démarches ». Le message vous parvient par courriel d'une personne que vous ne connaissez pas. Celle-ci vous demande de l'aider. L'objectif de l'auteur du message est en réalité de vous amener à accepter de verser une participation financière pour régler des soi-disant frais de dossiers, payer des intermédiaires, etc.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/escroqueries-et-arnaques-la-tendance-lourde
lundi 26 septembre 2011
Les braqueurs d’Orly ont emporté 14 M€
C’est un record en la matière. Cinq jours après le sanglant braquage d’un centre-fort à Orly (Val-de-Marne) qui a coûté la vie à un convoyeur de fonds, policiers et responsables de la société attaquée en ont terminé avec le décompte du butin emporté par le commando d’une dizaine de braqueurs. Selon nos informations, ces derniers sont parvenus à mettre la main sur la somme de 14 M€.
« L’estimation du préjudice a été fastidieuse, relate une source proche de l’affaire. Il y a eu quand même pas mal de dégâts à l’intérieur du dépôt de la Temis et de nombreux billets ont aussi été détruits lors de cette attaque. C’est un préjudice très important. » Cette somme dépasse les 10 M€ dérobés au mois de septembre 2007 dans un centre-fort à Gémenos (Bouches-du-Rhône) et les 6 M€ volés lors du retentissant braquage d’un fourgon blindé en décembre 2000 à Gentilly (Val-de-Marne).
Retour sur les faits. Mercredi, vers 5h30, une dizaine d’hommes encagoulés, vêtus de combinaisons noires et armés de kalachnikovs, prennent d’assaut le centre-fort de la société Temis, implantée à Orly. Les malfaiteurs font rapidement exploser la porte d’entrée du bâtiment sécurisé avant d’accéder de la même manière à la salle des coffres.
Dix-sept minutes sur les lieux
Ultradéterminés, les braqueurs n’hésitent pas à déplacer, sans ménagement, Giuseppe Di Carlo — le convoyeur très grièvement blessé —, 53 ans, qui gêne leur progression. Après avoir passé près de dix-sept minutes dans les lieux, les malfrats repartent au volant de deux puissantes Audi RS4. Ces derniers couvrent leur fuite en prenant avec eux en otage une personne qui passe à proximité. Elle sera libérée quelques instants plus tard. Au cours de cette opération meurtrière, deux autres convoyeurs ont également été touchés. Le premier a été atteint aux jambes, tandis que le second souffre de problèmes auditifs, occasionnés par le souffle de l’explosion. Les policiers de la brigade de répression du banditisme (BRB) sont chargés des investigations
http://www.leparisien.fr/faits-divers/les-braqueurs-d-orly-ont-emporte-14-meur-26-09-2011-1625634.php
« L’estimation du préjudice a été fastidieuse, relate une source proche de l’affaire. Il y a eu quand même pas mal de dégâts à l’intérieur du dépôt de la Temis et de nombreux billets ont aussi été détruits lors de cette attaque. C’est un préjudice très important. » Cette somme dépasse les 10 M€ dérobés au mois de septembre 2007 dans un centre-fort à Gémenos (Bouches-du-Rhône) et les 6 M€ volés lors du retentissant braquage d’un fourgon blindé en décembre 2000 à Gentilly (Val-de-Marne).
Retour sur les faits. Mercredi, vers 5h30, une dizaine d’hommes encagoulés, vêtus de combinaisons noires et armés de kalachnikovs, prennent d’assaut le centre-fort de la société Temis, implantée à Orly. Les malfaiteurs font rapidement exploser la porte d’entrée du bâtiment sécurisé avant d’accéder de la même manière à la salle des coffres.
Dix-sept minutes sur les lieux
Ultradéterminés, les braqueurs n’hésitent pas à déplacer, sans ménagement, Giuseppe Di Carlo — le convoyeur très grièvement blessé —, 53 ans, qui gêne leur progression. Après avoir passé près de dix-sept minutes dans les lieux, les malfrats repartent au volant de deux puissantes Audi RS4. Ces derniers couvrent leur fuite en prenant avec eux en otage une personne qui passe à proximité. Elle sera libérée quelques instants plus tard. Au cours de cette opération meurtrière, deux autres convoyeurs ont également été touchés. Le premier a été atteint aux jambes, tandis que le second souffre de problèmes auditifs, occasionnés par le souffle de l’explosion. Les policiers de la brigade de répression du banditisme (BRB) sont chargés des investigations
http://www.leparisien.fr/faits-divers/les-braqueurs-d-orly-ont-emporte-14-meur-26-09-2011-1625634.php
Un randonneur fait une chute mortelle
Il était environ 13 h 45, hier, lorsqu'un drame est survenu au sommet du pic du Midi d'Ossau. Culminant à 2 884 mètres, celui-ci venait d'être atteint par un groupe de 20 personnes emmené par un homme de 60 ans, originaire de San Sebastian, en Espagne.
Le randonneur avait une certaine expérience de la montagne, mais il n'était pas encordé. Après avoir trébuché, il est tombé dans le vide et a fait une chute d'environ 200 mètres dans la face sud du pic.
Son cadavre a été retrouvé par le groupe de secours en montagne des sapeurs-pompiers, et ramené par l'hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 64. Les membres du peloton de gendarmerie de haute montagne se sont également rendus sur place pour chercher à déterminer les circonstances exactes de cet accident.
Détail terrible, lorsque le corps du randonneur s'est écrasé à terre, une vingtaine de vautours se sont précipités sur sa dépouille. Une vision qui a choqué plus d'un témoin.
En fin d'après-midi, deux autres personnes, exténuées et ayant du mal à poursuivre leur ascension, du pic ont par ailleurs été secourues par hélicoptère, et emmenées au refuge de Pombie.
http://www.sudouest.fr/2011/09/26/un-randonneur-fait-une-chute-mortelle-509401-4621.php
Le randonneur avait une certaine expérience de la montagne, mais il n'était pas encordé. Après avoir trébuché, il est tombé dans le vide et a fait une chute d'environ 200 mètres dans la face sud du pic.
Son cadavre a été retrouvé par le groupe de secours en montagne des sapeurs-pompiers, et ramené par l'hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 64. Les membres du peloton de gendarmerie de haute montagne se sont également rendus sur place pour chercher à déterminer les circonstances exactes de cet accident.
Détail terrible, lorsque le corps du randonneur s'est écrasé à terre, une vingtaine de vautours se sont précipités sur sa dépouille. Une vision qui a choqué plus d'un témoin.
En fin d'après-midi, deux autres personnes, exténuées et ayant du mal à poursuivre leur ascension, du pic ont par ailleurs été secourues par hélicoptère, et emmenées au refuge de Pombie.
http://www.sudouest.fr/2011/09/26/un-randonneur-fait-une-chute-mortelle-509401-4621.php
Quinze ans de prison pour le commerçant qui avait brûlé le corps de sa femme
Gennadi Popov a participé à la dernière semaine russe organisée à Béziers cet hiver. Il a même vendu sous les halles.
Il a été condamné vendredi, par la cour d’assise d’Aix-en-Provence à quinze ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme dont le corps avait été retrouvé carbonisé, dans sa voiture, en octobre 2004. Le condamné a toujours nié les faits.
Il a été incarcéré à la maison d’arrêt d’Aix-Luynes alors qu’il comparaissait libre et avait effectué quatre ans de détention provisoire.
Gennadi Popov s’était installé sur le parvis du Théâtre, mais aussi sous les halles où il offrait des produits russes et des plats à emporter avant de quitter le Biterrois.
Se pose désormais la question de comprendre comment cet individu, qui n’aurait aucun papier l’autorisant à rester en France, a pu installer son commerce à Béziers sans être contrarié.
Pour l’heure, le condamné a fait appel de la décision de la cour d’assises. Son avocat a évoqué : "un verdict scandaleux. Il n’y a aucun élément de preuve, aucune expertise psychologique, rien dans la vie de M. Popov qui permette de penser qu’il avait un quelconque motif de tuer sa femme."
http://www.midilibre.fr/2011/09/25/quinze-ans-de-prison-pour-le-commercant,393226.php
Il a été condamné vendredi, par la cour d’assise d’Aix-en-Provence à quinze ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme dont le corps avait été retrouvé carbonisé, dans sa voiture, en octobre 2004. Le condamné a toujours nié les faits.
Il a été incarcéré à la maison d’arrêt d’Aix-Luynes alors qu’il comparaissait libre et avait effectué quatre ans de détention provisoire.
Gennadi Popov s’était installé sur le parvis du Théâtre, mais aussi sous les halles où il offrait des produits russes et des plats à emporter avant de quitter le Biterrois.
Se pose désormais la question de comprendre comment cet individu, qui n’aurait aucun papier l’autorisant à rester en France, a pu installer son commerce à Béziers sans être contrarié.
Pour l’heure, le condamné a fait appel de la décision de la cour d’assises. Son avocat a évoqué : "un verdict scandaleux. Il n’y a aucun élément de preuve, aucune expertise psychologique, rien dans la vie de M. Popov qui permette de penser qu’il avait un quelconque motif de tuer sa femme."
http://www.midilibre.fr/2011/09/25/quinze-ans-de-prison-pour-le-commercant,393226.php
Le pyromane finira bien par se faire attraper
Eviter la psychose. Les policiers en ont la conviction : le ou les auteurs des incendies de voitures commis depuis fin août dans le centre-ville de Reims, vont finir par tomber dans leurs filets. En attendant, deux autres voitures ont brûlé vendredi soir.
Les jours du pyromane des beaux quartiers sont comptés. Les policiers ont en tout cas de bonnes raisons de penser que la sinistre série d'incendies de voitures en cours depuis la fin du mois d'août dans le centre-ville de Reims, devrait finir par prendre fin à un moment ou à un autre. Et le plus tôt possible serait le mieux, évidemment. Mais il y a bon espoir.
Car à vouloir narguer les forces de l'ordre, il apparaît tout à fait prévisible du côté de l'hôtel de police, que l'auteur de la quinzaine d'incendies survenus ces dernières semaines du côté du boulevard Lundy, finira bien par se faire prendre.
Pour le moment, rien n'indique d'ailleurs que celui que l'on a nommé « le pyromane des beaux quartiers » ne soit qu'une seule et même personne. De la même manière, aucun élément probant ne permet d'affirmer à ce jour que les incendies commis jusque-là visaient en particulier des voitures de marque allemande, bien que neuf d'entre elles se trouvaient être effectivement d'origine outre-Rhin.
Une voiture en fuite
Une tendance qui, toutefois, s'est en partie confirmée, vendredi soir, aux alentours de 22 heures, sur le parking de l'église Saint-André, situé face au 28 de l'avenue Jean-Jaurès. Deux véhicules y ont été la proie des flammes, dont une Ford Focus et, en effet, une Volgswagen Golf qui semble cependant avoir été victime de dommages collatéraux provoqués par la propagation des flammes.
Un véhicule se trouvant à proximité a été vu prendre la fuite par plusieurs témoins. Pour autant, les policiers préfèrent ne pas tirer de conclusions hâtives. Peut-être la présence de cette voiture n'était-elle qu'un hasard. Mais tous les moyens sont mis en œuvre pour mettre fin le plus rapidement possible à cette série d'incendies qui empoisonne depuis la fin du mois d'août la vie d'un bon nombre de riverains. Le quartier est quadrillé par des effectifs en uniforme et en civil.
Et l'on attend surtout un faux pas du pyromane. Ou des pyromanes.
Analyses
Compte tenu de la typologie des lieux, de la fréquentation du secteur et des risques pris, parfois en plein jour, pour qu'un incendie ait lieu, les policiers ont aujourd'hui la conviction d'un dénouement proche.
« Il y a du monde dehors, il ou ils finiront par se faire attraper », assure-t-on du côté de l'hôtel de police. Sans compter les témoins et les analyses techniques et scientifiques qui finiront peut-être par livrer une ou plusieurs identités.
Toujours est-il que deux nouveaux incendies de voitures ont été perpétrés vendredi soir à une heure où l'avenue Jean-Jaurès est encore très fréquentée.
Le ou les pyromanes ont une fois de plus montré leur propension à prendre des risques et continuent de narguer les forces de l'ordre. Pour combien de temps encore ? Une chose est sûre : la psychose n'a pas lieu d'être, assure la police. « On met le paquet sur ce secteur ! »
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-pyromane-finira-bien-par-se-faire-attraper
Les jours du pyromane des beaux quartiers sont comptés. Les policiers ont en tout cas de bonnes raisons de penser que la sinistre série d'incendies de voitures en cours depuis la fin du mois d'août dans le centre-ville de Reims, devrait finir par prendre fin à un moment ou à un autre. Et le plus tôt possible serait le mieux, évidemment. Mais il y a bon espoir.
Car à vouloir narguer les forces de l'ordre, il apparaît tout à fait prévisible du côté de l'hôtel de police, que l'auteur de la quinzaine d'incendies survenus ces dernières semaines du côté du boulevard Lundy, finira bien par se faire prendre.
Pour le moment, rien n'indique d'ailleurs que celui que l'on a nommé « le pyromane des beaux quartiers » ne soit qu'une seule et même personne. De la même manière, aucun élément probant ne permet d'affirmer à ce jour que les incendies commis jusque-là visaient en particulier des voitures de marque allemande, bien que neuf d'entre elles se trouvaient être effectivement d'origine outre-Rhin.
Une voiture en fuite
Une tendance qui, toutefois, s'est en partie confirmée, vendredi soir, aux alentours de 22 heures, sur le parking de l'église Saint-André, situé face au 28 de l'avenue Jean-Jaurès. Deux véhicules y ont été la proie des flammes, dont une Ford Focus et, en effet, une Volgswagen Golf qui semble cependant avoir été victime de dommages collatéraux provoqués par la propagation des flammes.
Un véhicule se trouvant à proximité a été vu prendre la fuite par plusieurs témoins. Pour autant, les policiers préfèrent ne pas tirer de conclusions hâtives. Peut-être la présence de cette voiture n'était-elle qu'un hasard. Mais tous les moyens sont mis en œuvre pour mettre fin le plus rapidement possible à cette série d'incendies qui empoisonne depuis la fin du mois d'août la vie d'un bon nombre de riverains. Le quartier est quadrillé par des effectifs en uniforme et en civil.
Et l'on attend surtout un faux pas du pyromane. Ou des pyromanes.
Analyses
Compte tenu de la typologie des lieux, de la fréquentation du secteur et des risques pris, parfois en plein jour, pour qu'un incendie ait lieu, les policiers ont aujourd'hui la conviction d'un dénouement proche.
« Il y a du monde dehors, il ou ils finiront par se faire attraper », assure-t-on du côté de l'hôtel de police. Sans compter les témoins et les analyses techniques et scientifiques qui finiront peut-être par livrer une ou plusieurs identités.
Toujours est-il que deux nouveaux incendies de voitures ont été perpétrés vendredi soir à une heure où l'avenue Jean-Jaurès est encore très fréquentée.
Le ou les pyromanes ont une fois de plus montré leur propension à prendre des risques et continuent de narguer les forces de l'ordre. Pour combien de temps encore ? Une chose est sûre : la psychose n'a pas lieu d'être, assure la police. « On met le paquet sur ce secteur ! »
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-pyromane-finira-bien-par-se-faire-attraper
dimanche 25 septembre 2011
Un homme tué par balles à la sortie d'une boîte de nuit
Le jeune homme était un des videurs de l'établissement le Saint-James, situé en bordure de mer à Porticcio (commune de Grosseto-Prugna). Son corps a été retrouvé peu avant 5 heures du matin. La victime a été atteinte par plusieurs projectiles alors qu'elle était assise au volant de son véhicule. Le ou les tireurs auraient fait feu à huit reprises avant de prendre la fuite, selon les premières constatations. L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie d'Ajaccio.
Ce matin, les techniciens en identification criminelle (TIC) de la gendarmerie ont procédé aux investigations près de l'établissement. Les recherches d'indices et de l'arme du crime se sont poursuivies sur la plage, en contrebas. Les premières auditions de témoins étaient toujours en cours en fin de matinée. Pour l'heure, les mobiles de cet homicide restent inconnues et aucune piste n'est privilégiée, selon le Parquet.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/corse-un-homme-tue-par-balles-a-la-sortie-d-une-boite-de-nuit-25-09-2011-1442400.php
Ce matin, les techniciens en identification criminelle (TIC) de la gendarmerie ont procédé aux investigations près de l'établissement. Les recherches d'indices et de l'arme du crime se sont poursuivies sur la plage, en contrebas. Les premières auditions de témoins étaient toujours en cours en fin de matinée. Pour l'heure, les mobiles de cet homicide restent inconnues et aucune piste n'est privilégiée, selon le Parquet.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/corse-un-homme-tue-par-balles-a-la-sortie-d-une-boite-de-nuit-25-09-2011-1442400.php
Huit ans de prison pour le voisin excédé
A l’issue de son procès devant la cour d’assises à Créteil, Jérôme Choron, âgé de 39 ans, a écopé vendredi soir d’une peine d’emprisonnement de huit ans. L’homme comparaissait pour le meurtre de Christophe Guillaume, en février 2008, dans la cité des Acacias à Villiers. Ce sont des problèmes de voisinage, avec les trois frères Guillaume, qui sont à l’origine du coup de feu mortel.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/huit-ans-de-prison-pour-le-voisin-excede-25-09-2011-1624058.php
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/huit-ans-de-prison-pour-le-voisin-excede-25-09-2011-1624058.php
Opus Déi / Ecole hôtelière Dosnon : condamnation requise
Le parquet a requis, hier, la condamnation de l'Association de culture universitaire et technique (ACUT), une association proche de l'Opus Dei, pour « travail dissimulé » et « rétribution contraire à la dignité » dans des établissements hôteliers de l'œuvre. L'ACUT gère l'école hôtelière Dosnon, à Couvrelles, près de Soissons. Une ancienne élève devenue salariée, Catherine Tissier est à l'origine de la procédure judiciaire.
« Le droit du travail a été totalement ignoré », a déclaré la procureure Flavie Le Sueur avant de requérir 30 000 euros d'amende. « Le statut de numéraire auxiliaire est le fondement de ce dossier ». Flavie Le Sueur a dénoncé « un travail harassant, sept jours sur sept, dix heures par jour. »
Quant à la paie, elle était « versée sur son compte bancaire, mais ses chéquiers étaient à disposition de ses employeurs. »
Délibéré le 24 novembre
La défense s'est évertuée à convaincre le tribunal que « l'ACUT est complètement autonome de l'Opus Dei », reconnaissant seulement un lien spirituel, même si le trésorier de l'ACUT a confirmé qu'il a habité au siège parisien de l'Opus Dei.
L'avocat de Claire de Segonzac, directrice de l'école Dosnon et d'Agnès Duhail, a nié tout travail dissimulé. « On a eu la fille d'un commissaire de police, d'un sous-préfet et d'une journaliste du Nouvel Observateur », s'il y avait eu du travail dissimulé, « ça se serait su », s'est d'ailleurs exclamée Claire de Segonzac.
Des explications qui n'ont pas convaincu le ministère public qui considère que l'école hôtelière ne serait « pas un vivier de recrutement pour l'Opus Dei », mais « un vivier de travail pour le château de Couvrelles ». 6 000 € d'amende, dont la moitié avec sursis, ont été requis à l'encontre des deux prévenues. Le délibéré du procès est attendu le 24 novembre.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/opus-dei-ecole-hoteliere-dosnon-condamnation-requise
« Le droit du travail a été totalement ignoré », a déclaré la procureure Flavie Le Sueur avant de requérir 30 000 euros d'amende. « Le statut de numéraire auxiliaire est le fondement de ce dossier ». Flavie Le Sueur a dénoncé « un travail harassant, sept jours sur sept, dix heures par jour. »
Quant à la paie, elle était « versée sur son compte bancaire, mais ses chéquiers étaient à disposition de ses employeurs. »
Délibéré le 24 novembre
La défense s'est évertuée à convaincre le tribunal que « l'ACUT est complètement autonome de l'Opus Dei », reconnaissant seulement un lien spirituel, même si le trésorier de l'ACUT a confirmé qu'il a habité au siège parisien de l'Opus Dei.
L'avocat de Claire de Segonzac, directrice de l'école Dosnon et d'Agnès Duhail, a nié tout travail dissimulé. « On a eu la fille d'un commissaire de police, d'un sous-préfet et d'une journaliste du Nouvel Observateur », s'il y avait eu du travail dissimulé, « ça se serait su », s'est d'ailleurs exclamée Claire de Segonzac.
Des explications qui n'ont pas convaincu le ministère public qui considère que l'école hôtelière ne serait « pas un vivier de recrutement pour l'Opus Dei », mais « un vivier de travail pour le château de Couvrelles ». 6 000 € d'amende, dont la moitié avec sursis, ont été requis à l'encontre des deux prévenues. Le délibéré du procès est attendu le 24 novembre.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/opus-dei-ecole-hoteliere-dosnon-condamnation-requise
samedi 24 septembre 2011
A Saverdun, la "mémé" aime la castagne
Le 12 mars, à Saverdun, aux abords de la rue du Barry, les époux V., une fois de plus, pénètrent dans la propriété de Jean G. et Denise (60 et 81 ans), pour on ne sait quelle raison, si ce n'est, selon le témoignage de Denise, « pour y nourrir les chats du quartier ». Toujours est-il que ces voisins immédiats « ne s'entendent pas » (et c'est peu dire…), nourrissant depuis belle lurette une animosité réciproque certaine.
Ce jour-là donc, la discussion houleuse a eu tôt fait de tourner au vinaigre et des coups ont été échangés, au point que Denise, 81 ans mais toujours alerte visiblement, a joué de la canne à la façon de Ma Dalton ou de Calamity Jane. Bilan : fracture du scaphoïde pour M.V., des traces au visage, deux dents en moins et un hématome aux testicules (six semaines d'ITT)…
Ce qu'il faut cependant retenir dans cette affaire, c'est que tout le monde a été plus ou moins touché (de nombreux coups de poing échangés entre les deux hommes), mais seule la plainte des époux V. a été retenue.
Me Plais corroborera et s'engouffrera dans le créneau de la légitime défense, « tout le monde, dans cette affaire, ayant été blessé ».
Par-delà la photo produite par la partie civile, montrant Denise relevant ses jupes « pour mieux manier le bâton » (les victimes avaient poussé le zèle jusqu'à immortaliser l'événement sur polaroïd…), la relaxe sera prononcée par le tribunal « au bénéfice du doute » quant aux responsabilités réciproques.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1175365-a-saverdun-la-meme-aime-la-castagne.html
Ce jour-là donc, la discussion houleuse a eu tôt fait de tourner au vinaigre et des coups ont été échangés, au point que Denise, 81 ans mais toujours alerte visiblement, a joué de la canne à la façon de Ma Dalton ou de Calamity Jane. Bilan : fracture du scaphoïde pour M.V., des traces au visage, deux dents en moins et un hématome aux testicules (six semaines d'ITT)…
Ce qu'il faut cependant retenir dans cette affaire, c'est que tout le monde a été plus ou moins touché (de nombreux coups de poing échangés entre les deux hommes), mais seule la plainte des époux V. a été retenue.
Responsabilités partagées
Mme Blanc, procureur, le fera remarquer dans ses réquisitions, empreintes d'un bémol : « Dommage que les prévenus soient absents du prétoire, ils auraient pu justifier d'un partage des responsabilités. Un mois assorti du sursis pour les deux ».Me Plais corroborera et s'engouffrera dans le créneau de la légitime défense, « tout le monde, dans cette affaire, ayant été blessé ».
Par-delà la photo produite par la partie civile, montrant Denise relevant ses jupes « pour mieux manier le bâton » (les victimes avaient poussé le zèle jusqu'à immortaliser l'événement sur polaroïd…), la relaxe sera prononcée par le tribunal « au bénéfice du doute » quant aux responsabilités réciproques.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1175365-a-saverdun-la-meme-aime-la-castagne.html
Il cultivait une forêt de cannabis chez lui
L'homme interpellé par les policiers de Cahors était un jardinier appliqué. Méthodique qui choyait son carré d'herbe, prenant soin de l'irriguer et de le renforcer à coup d'engrais.
Chez ce Cadurcien de 36 ans habitant dans le quartier de Lacapelle, la police a découvert une forêt de cannabis, 239 pieds mesurant chacun environ 2 m de hauteur.
Le 20 septembre, un voisin intrigué par l'étrange végétation couvrant le terrain qu'il loue à un couple alerte la police. Une patrouille se rend sur les lieux et tombe sur cette plantation prospérant au milieu de friches. Quatre-vingts plans de cannabis sont, d'abord, découverts. Les policiers remontent la piste en suivant les tuyaux d'arrosage qui traversent la parcelle. Les tuyaux les mènent à travers un jardin à un premier pavillon inhabité, puis à une deuxième propriété. Son locataire pris en flagrant délit ne fera aucune difficulté pour reconnaître cultiver cette herbe pour sa « consommation personnelle »…
Les perquisitions menées à son domicile ont permis aux policiers de mettre la main sur du matériel, lampes, bocaux, engrais, tout le nécessaire du planteur. Les mémoires des deux micro-ordinateurs saisis sur place seront « épluchées ». Et puis il y avait cette masse de cannabis à récolter. Le commissariat a dû employer les gros moyens et mobiliser ses effectifs pour couper les pieds et remplir la benne d'un camion. « 220 kg ! C'est une prise record, du jamais vu à Cahors » déclarait, hier, le numéro 2 du commissariat, le commandant Luc Laberche, saluant au passage le travail de ses équipes.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1175156-il-cultivait-une-foret-de-cannabis-chez-lui.html
Chez ce Cadurcien de 36 ans habitant dans le quartier de Lacapelle, la police a découvert une forêt de cannabis, 239 pieds mesurant chacun environ 2 m de hauteur.
Le 20 septembre, un voisin intrigué par l'étrange végétation couvrant le terrain qu'il loue à un couple alerte la police. Une patrouille se rend sur les lieux et tombe sur cette plantation prospérant au milieu de friches. Quatre-vingts plans de cannabis sont, d'abord, découverts. Les policiers remontent la piste en suivant les tuyaux d'arrosage qui traversent la parcelle. Les tuyaux les mènent à travers un jardin à un premier pavillon inhabité, puis à une deuxième propriété. Son locataire pris en flagrant délit ne fera aucune difficulté pour reconnaître cultiver cette herbe pour sa « consommation personnelle »…
Un camion pour transporter la saisie
Conduit au commissariat, l'individu sera placé en garde à vue pendant 36 heures pour y être interrogé par les enquêteurs. Après avoir été présenté à un juge, l'homme a été remis en liberté placé sous contrôle judiciaire. L'absence de casier judiciaire, sa situation plutôt stable, un emploi, une vie de famille ont sans doute pesé dans cette décision.Les perquisitions menées à son domicile ont permis aux policiers de mettre la main sur du matériel, lampes, bocaux, engrais, tout le nécessaire du planteur. Les mémoires des deux micro-ordinateurs saisis sur place seront « épluchées ». Et puis il y avait cette masse de cannabis à récolter. Le commissariat a dû employer les gros moyens et mobiliser ses effectifs pour couper les pieds et remplir la benne d'un camion. « 220 kg ! C'est une prise record, du jamais vu à Cahors » déclarait, hier, le numéro 2 du commissariat, le commandant Luc Laberche, saluant au passage le travail de ses équipes.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/24/1175156-il-cultivait-une-foret-de-cannabis-chez-lui.html
Ils crèvent vos pneus pour mieux voler vos cartes bleues
Ces derniers jours, dans la plaine du Forez, au moins quatre femmes d'une cinquantaine d'années ont été la cible d'experts du changement de roue et spécialistes de l’escroquerie à la carte bleue.
Un mode opératoire simple et efficace. Les malfrats repèrent leur victime devant une grande surface, un supermarché, ou un magasin. Elle a une cinquantaine d’années, parait venir d'un milieu relativement aisé. Ils lui crèvent un pneu et la suivent dans les rayons. Arrivés à la caisse, au moment de payer, ils sont suffisamment près d’elle pour lire et mémoriser le code de leur carte bancaire. Ils sortent avec elle, échangent quelques mots. Ils ont l'attitude du gendre parfait. «Oh, madame, mais vous avez crevé?!» La victime amadouée ne va pas refuser leur aide. Pendant que l’un change la roue, l’autre vole discrètement la carte bleue.
http://www.leprogres.fr/loire/2011/09/23/ils-crevent-vos-pneus-pour-mieux-voler-vos-cartes-bleues
Un mode opératoire simple et efficace. Les malfrats repèrent leur victime devant une grande surface, un supermarché, ou un magasin. Elle a une cinquantaine d’années, parait venir d'un milieu relativement aisé. Ils lui crèvent un pneu et la suivent dans les rayons. Arrivés à la caisse, au moment de payer, ils sont suffisamment près d’elle pour lire et mémoriser le code de leur carte bancaire. Ils sortent avec elle, échangent quelques mots. Ils ont l'attitude du gendre parfait. «Oh, madame, mais vous avez crevé?!» La victime amadouée ne va pas refuser leur aide. Pendant que l’un change la roue, l’autre vole discrètement la carte bleue.
http://www.leprogres.fr/loire/2011/09/23/ils-crevent-vos-pneus-pour-mieux-voler-vos-cartes-bleues
Surpris dans un hypermarché de Tinqueux Encore un qui filmait sous les jupes des filles Il s'improvise expert-comptable 8 mois avec sursis pour l'imposteur
C'est décidément un procédé à la mode : filmer ou photographier sous les jupes des filles dans les hypermarchés. Certains s'en tirent avec une relaxe, d'autres avec un simple rappel à la loi. Pour Michel, 37 ans, marié et père de deux enfants, ce sera 4 mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans… avec obligation de soins.
Le 5 mai dernier, c'est un vigile d'un hypermarché de Tinqueux qui a surpris et fait stopper son petit manège.
L'homme avait fixé son téléphone portable, sur le mode vidéo, sous la jupe d'une toute jeune fille, 15 ans… qui n'a jamais eu connaissance des dessous de l'affaire.
« Pulsions voyeuristes »
Mardi, lors de l'audience correctionnelle qui se tenait à Reims, cet habitant de Warmeriville a reconnu les faits, tout en regrettant amèrement son geste. « Je ne me suis pas reconnu dans cette affaire. Je n'en suis pas fier. Je n'avais pas pris conscience de l'âge de la victime ».
Le substitut du procureur a évoqué « une personnalité inquiétante », évoquant des « pulsions voyeuristes ». Son avocat, Me Mfenjou, a plaidé la relaxe évoquant un « moment de faiblesse. Il ne pensait pas à nuire ». Il aura tout le temps de prendre conscience de ses actes à l'occasion de son suivi médical. Ce n'est malheureusement pas la première affaire du genre depuis quelques mois. En mai dernier, c'est un autre voyeur qui s'était fait épingler par les caméras de surveillance d'un hypermarché de Cormontreuil. Il avait été retrouvé plus de 200 photos sur son téléphone portable… mais il avait écopé d'une relaxe, son avocat ayant torpillé la procédure en évoquant un lieu « public » et non « privé ». En juillet dernier, à Château-Thierry, c'est un homme de 39 ans qui avait été stoppé par le tribunal correctionnel. Trois mois avec sursis pour avoir photographié sous les jupes de jeunes femmes.
C.G.
Un expert-comptable est un professionnel de la comptabilité. Il tient, contrôle, surveille, redresse la comptabilité des entreprises et entités juridiques. Il établit les bilans et comptes de résultats… L'expert-comptable doit être inscrit auprès de l'Ordre des experts-comptables. Il est, sauf quelques cas exceptionnels prévus par la réglementation, titulaire du diplôme d'Etat d'expertise comptable… Un détail que semble avoir oublié Arnaud Larouzee, ce Rémois de 56 ans, qui de juin 2007 à décembre 2010, s'est improvisé expert-comptable auprès d'une quarantaine d'entreprises commerciales rémoises. Des entreprises pour lesquelles il a prodigué des conseils, mais aussi établi de véritables bilans, de véritables comptabilités… sans être pour autant expert-comptable en titre.
40 000 euros par an
Le tout pour un bénéfice annuel de 40 000 euros.
Cheveux châtains mi-longs, petites lunettes rondes, costume gris rayé, cravate jaune, le comptable devenu expert a finalement été rattrapé par le conseil supérieur de l'Ordre des experts comptables. Plainte a été déposée. Mardi, à la barre du tribunal correctionnel de Reims, c'était l'heure des - bons - comptes.
Au chômage depuis le début de l'affaire, le prévenu a expliqué ne pas avoir « conscience » qu'il devait être « déclaré ».
Et d'insister : « Je n'ai jamais utilisé le titre d'expert-comptable. J'apportais du conseil, rien de plus ». Une défense qui ne satisfera en rien le substitut du procureur. « Il a été interrogé par le président du conseil régional de l'ordre des experts en 2007, justement parce que son activité était limite. Il savait très bien ce qu'il encourait. Il a pourtant continué jusqu'en 2010. Jusqu'à ce qu'on l'arrête. Sa clientèle était à 90 % turque. Ils lui faisaient entièrement confiance. Il faisait son travail à partir de sa ferme de Ludes et était connu pour ne pas être très regardant… Il pratiquait les mêmes honoraires que les experts comptables de Reims et avait une réelle activité économique. Il n'a ni les diplômes, ni la qualité. On parle d'une véritable imposture d'autant que les victimes étaient vulnérables ».
L'expert a été condamné à 8 mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Une peine qui s'ajoute aux 6 mois avec sursis dont il a écopé en 2010 pour des faits de recel et abus de biens sociaux dans le cadre de la même affaire.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/surpris-dans-un-hypermarche-de-tinqueux-encore-un-qui-filmait-sous-les-jupes-des-fille
Le 5 mai dernier, c'est un vigile d'un hypermarché de Tinqueux qui a surpris et fait stopper son petit manège.
L'homme avait fixé son téléphone portable, sur le mode vidéo, sous la jupe d'une toute jeune fille, 15 ans… qui n'a jamais eu connaissance des dessous de l'affaire.
« Pulsions voyeuristes »
Mardi, lors de l'audience correctionnelle qui se tenait à Reims, cet habitant de Warmeriville a reconnu les faits, tout en regrettant amèrement son geste. « Je ne me suis pas reconnu dans cette affaire. Je n'en suis pas fier. Je n'avais pas pris conscience de l'âge de la victime ».
Le substitut du procureur a évoqué « une personnalité inquiétante », évoquant des « pulsions voyeuristes ». Son avocat, Me Mfenjou, a plaidé la relaxe évoquant un « moment de faiblesse. Il ne pensait pas à nuire ». Il aura tout le temps de prendre conscience de ses actes à l'occasion de son suivi médical. Ce n'est malheureusement pas la première affaire du genre depuis quelques mois. En mai dernier, c'est un autre voyeur qui s'était fait épingler par les caméras de surveillance d'un hypermarché de Cormontreuil. Il avait été retrouvé plus de 200 photos sur son téléphone portable… mais il avait écopé d'une relaxe, son avocat ayant torpillé la procédure en évoquant un lieu « public » et non « privé ». En juillet dernier, à Château-Thierry, c'est un homme de 39 ans qui avait été stoppé par le tribunal correctionnel. Trois mois avec sursis pour avoir photographié sous les jupes de jeunes femmes.
C.G.
Un expert-comptable est un professionnel de la comptabilité. Il tient, contrôle, surveille, redresse la comptabilité des entreprises et entités juridiques. Il établit les bilans et comptes de résultats… L'expert-comptable doit être inscrit auprès de l'Ordre des experts-comptables. Il est, sauf quelques cas exceptionnels prévus par la réglementation, titulaire du diplôme d'Etat d'expertise comptable… Un détail que semble avoir oublié Arnaud Larouzee, ce Rémois de 56 ans, qui de juin 2007 à décembre 2010, s'est improvisé expert-comptable auprès d'une quarantaine d'entreprises commerciales rémoises. Des entreprises pour lesquelles il a prodigué des conseils, mais aussi établi de véritables bilans, de véritables comptabilités… sans être pour autant expert-comptable en titre.
40 000 euros par an
Le tout pour un bénéfice annuel de 40 000 euros.
Cheveux châtains mi-longs, petites lunettes rondes, costume gris rayé, cravate jaune, le comptable devenu expert a finalement été rattrapé par le conseil supérieur de l'Ordre des experts comptables. Plainte a été déposée. Mardi, à la barre du tribunal correctionnel de Reims, c'était l'heure des - bons - comptes.
Au chômage depuis le début de l'affaire, le prévenu a expliqué ne pas avoir « conscience » qu'il devait être « déclaré ».
Et d'insister : « Je n'ai jamais utilisé le titre d'expert-comptable. J'apportais du conseil, rien de plus ». Une défense qui ne satisfera en rien le substitut du procureur. « Il a été interrogé par le président du conseil régional de l'ordre des experts en 2007, justement parce que son activité était limite. Il savait très bien ce qu'il encourait. Il a pourtant continué jusqu'en 2010. Jusqu'à ce qu'on l'arrête. Sa clientèle était à 90 % turque. Ils lui faisaient entièrement confiance. Il faisait son travail à partir de sa ferme de Ludes et était connu pour ne pas être très regardant… Il pratiquait les mêmes honoraires que les experts comptables de Reims et avait une réelle activité économique. Il n'a ni les diplômes, ni la qualité. On parle d'une véritable imposture d'autant que les victimes étaient vulnérables ».
L'expert a été condamné à 8 mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Une peine qui s'ajoute aux 6 mois avec sursis dont il a écopé en 2010 pour des faits de recel et abus de biens sociaux dans le cadre de la même affaire.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/surpris-dans-un-hypermarche-de-tinqueux-encore-un-qui-filmait-sous-les-jupes-des-fille
vendredi 23 septembre 2011
Six présumés « gros trafiquants » de la région interpellés par la PJ
Les interpellations de vendredi dernier avaient provoqué un vif émoi chez les habitants de Faches-Thumesnil : elles se sont déroulées en pleine journée, sur le parking situé derrière le supermarché Spar. La police judiciaire de Lille n'a pas hésité à ouvrir le feu pour empêcher un des cinq individus de s'enfuir à bord de sa puissante BMW : « S'il avait démarré, ç'aurait pu être dangereux. Les policiers ont donc tiré vers le moteur et les pneus du véhicule à l'arrêt », avait alors expliqué le patron de la PJ de Lille, Guy Sapata.
Plusieurs fois repérés
avec leurs grosses berlines
L'enquête qui a mené à ces interpellations a en fait commencé début septembre. La PJ de Lille est informée qu'un jeune homme de 27 ans, déjà connu dans une affaire de stupéfiants, a reçu une livraison de plusieurs dizaines de kilos de résine de cannabis, en provenance du Maroc. Des surveillances sont alors mises en place.
Et vendredi dernier, les policiers décident de passer à l'action : « L'homme se trouvait avec d'autres sur le parking derrière Spar. Des riverains les ont plusieurs fois repérés là, avec leurs grosses berlines », raconte Magali Caillat, directrice adjointe de la PJ de Lille. Le coffre de la BMW M3 - « avec 420 chevaux et 4 pots d'échappement » - est ouvert, les cinq individus sont groupés autour. « On pense qu'ils sont en pleine transaction. On décide d'intervenir. Quatre d'entre eux sont interpellés. Le cinquième essaie de s'échapper : pour éviter qu'il ne parte comme un chien dans un jeu de quille, on tire », poursuit Magali Caillat.
Dans le coffre, les enquêteurs saisissent 10 000 euros en espèces. Suivent les perquisitions aux domiciles des interpellés - à Faches, Lille et Wattignies - : la PJ met la main sur 53 kilos de résine de cannabis. À raison de 2 250 euros le kilo de résine et de 5 euros le gramme au détail, la prise est conséquente. « Mais ce n'était pas forcément la quantité maximale », estiment les enquêteurs.
Sur le mode
« Fast and Furious »
Les interpellés sont « des trentenaires structurés dans leur tête, qui ont une certaine appétence pour les grosses voitures, à l'image du film "Fast and Furious" , et qui ont fait le choix délibéré de s'inscrire dans la délinquance, de vivre de leur trafic. » Un trafic qui consisterait à se fournir au Maroc en résine de cannabis et à revendre la drogue ensuite, en bon grossiste, par dizaines de kilos, aux dealers de la région.
Placés en garde à vue, les cinq hommes ont été déférés mercredi au parquet de Lille, puis écroués. Un sixième individu soupçonné d'être impliqué dans le même trafic a été interpellé ce mardi et sera déféré aujourd'hui
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/09/23/six-presumes-gros-trafiquants-de-la-regi.shtml
Plusieurs fois repérés
avec leurs grosses berlines
L'enquête qui a mené à ces interpellations a en fait commencé début septembre. La PJ de Lille est informée qu'un jeune homme de 27 ans, déjà connu dans une affaire de stupéfiants, a reçu une livraison de plusieurs dizaines de kilos de résine de cannabis, en provenance du Maroc. Des surveillances sont alors mises en place.
Et vendredi dernier, les policiers décident de passer à l'action : « L'homme se trouvait avec d'autres sur le parking derrière Spar. Des riverains les ont plusieurs fois repérés là, avec leurs grosses berlines », raconte Magali Caillat, directrice adjointe de la PJ de Lille. Le coffre de la BMW M3 - « avec 420 chevaux et 4 pots d'échappement » - est ouvert, les cinq individus sont groupés autour. « On pense qu'ils sont en pleine transaction. On décide d'intervenir. Quatre d'entre eux sont interpellés. Le cinquième essaie de s'échapper : pour éviter qu'il ne parte comme un chien dans un jeu de quille, on tire », poursuit Magali Caillat.
Dans le coffre, les enquêteurs saisissent 10 000 euros en espèces. Suivent les perquisitions aux domiciles des interpellés - à Faches, Lille et Wattignies - : la PJ met la main sur 53 kilos de résine de cannabis. À raison de 2 250 euros le kilo de résine et de 5 euros le gramme au détail, la prise est conséquente. « Mais ce n'était pas forcément la quantité maximale », estiment les enquêteurs.
Sur le mode
« Fast and Furious »
Les interpellés sont « des trentenaires structurés dans leur tête, qui ont une certaine appétence pour les grosses voitures, à l'image du film "Fast and Furious" , et qui ont fait le choix délibéré de s'inscrire dans la délinquance, de vivre de leur trafic. » Un trafic qui consisterait à se fournir au Maroc en résine de cannabis et à revendre la drogue ensuite, en bon grossiste, par dizaines de kilos, aux dealers de la région.
Placés en garde à vue, les cinq hommes ont été déférés mercredi au parquet de Lille, puis écroués. Un sixième individu soupçonné d'être impliqué dans le même trafic a été interpellé ce mardi et sera déféré aujourd'hui
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/09/23/six-presumes-gros-trafiquants-de-la-regi.shtml
Des touristes agressés par de faux policiers
Après avoir sévi sur les grands axes de la Drôme, il semble que ces faux policiers ont fait leur entrée sur les routes du Vaucluse. Un couple de touristes allemands serait le premier à en avoir fait les frais dans la nuit de mardi à mercredi sur l’autoroute A7. Ce soir-là, il est près de 2h sur l’aire de repos de Mornas. Le couple dort dans son camping-car.
Mais un bruit réveille la touriste. Curieuse, elle soulève le rideau et voit un individu qui fouille l’avant du véhicule. Une torche à la main. Surpris l’homme vise les yeux de l’Allemande avec la lampe. Elle est éblouie, mais entend crier à deux reprises : “Police… Police”. L’individu s’enfuit. Pris en chasse par l’époux de la touriste, le malfaiteur utilise sa torche comme une matraque. Et assomme son poursuivant. De quoi lui laisser le temps de prendre la fuite à bord d’un véhicule stationné plus loin. Un complice au volant.
Le couple, qui a déposé plainte à la gendarmerie de Montélimar (26), a déclaré le vol d’un iPod, d’un sac à main et d’un téléphone portable.
Une enquête est en cours.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/09/22/des-touristes-agresses-par-de-faux-policiers
Mais un bruit réveille la touriste. Curieuse, elle soulève le rideau et voit un individu qui fouille l’avant du véhicule. Une torche à la main. Surpris l’homme vise les yeux de l’Allemande avec la lampe. Elle est éblouie, mais entend crier à deux reprises : “Police… Police”. L’individu s’enfuit. Pris en chasse par l’époux de la touriste, le malfaiteur utilise sa torche comme une matraque. Et assomme son poursuivant. De quoi lui laisser le temps de prendre la fuite à bord d’un véhicule stationné plus loin. Un complice au volant.
Le couple, qui a déposé plainte à la gendarmerie de Montélimar (26), a déclaré le vol d’un iPod, d’un sac à main et d’un téléphone portable.
Une enquête est en cours.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/09/22/des-touristes-agresses-par-de-faux-policiers
Le meurtrier présumé s'est rendu
Le jeune homme , meurtrier présumé d'un quadragénaire de Léran, qui avait pris la fuite après les faits, s'est finalement rendu aux gendarmes. Il a été interpellé mercredi soir à son domicile de Léran, où il était revenu . Les enquêteurs attendent sa version des faits.
Le meurtrier présumé du drame de Léran, au cours duquel un quadragénaire a été mortellement blessé d'une balle de 22 long rifle dimanche soir, a été finalement interpellé par les gendarmes du PSIG de l'Ariège , mercredi soir . La raison l'a sans doute emporté dans cette affaire. Le meurtrier présumé est revenu chez lui à Léran dans l'immeuble où s'est noué le drame. Et peut-être sous l'influence de son entourage, s'est décidé à se rendre aux forces de l'ordre. Il est sorti de son appartement vers 21 heures et les gendarmes du PSIG l'ont interpellé. Il y avait aussi sur place les gendarmes de labrigade de recherche de Pamiers et la section recherche de Toulouse. Le jeune homme a aussitôt été emmené dans les locaux de la brigade de recherche pour être placé en garde à vue. En principe les gendarmes devaient entendre, hier, sa version des faits. On devrait en savoir plus sur le degré d'implication du meurtrier présumé dans le courant de la journée d'aujourd'hui, le temps que le pôle d'instruction ait pu rassembler des éléments solides sur cette affaire. Selon les premiers éléments que nous avons pu rassembler, le jeune homme serait venu au secours d'une dame qui criait de détresse, tandis que la future victime défonçait la porte de son appartement à coups de barre de fer. Il semble d'ailleurs qu'il s'agissait d'une méprise ; un homme qui habitait là précédemment avait quitté l'appartement récemment et c'est, peut-être, celui-ci que recherchait la victime. Le reste est beaucoup plus flou dans le déroulement des événements. À l'extérieur on a retrouvé la voiture de la victime, une Audi, dont le pare-brise est troué par le passage d'une balle. La lunette arrière est brisée en partie ; l'impact ressemble furieusement à celui d'une barre de fer. L'audition du jeune homme devrait normalement éclaircir ces zones d'ombre.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/23/1174380-leran-le-meurtrier-presume-s-est-rendu.html
Le meurtrier présumé du drame de Léran, au cours duquel un quadragénaire a été mortellement blessé d'une balle de 22 long rifle dimanche soir, a été finalement interpellé par les gendarmes du PSIG de l'Ariège , mercredi soir . La raison l'a sans doute emporté dans cette affaire. Le meurtrier présumé est revenu chez lui à Léran dans l'immeuble où s'est noué le drame. Et peut-être sous l'influence de son entourage, s'est décidé à se rendre aux forces de l'ordre. Il est sorti de son appartement vers 21 heures et les gendarmes du PSIG l'ont interpellé. Il y avait aussi sur place les gendarmes de labrigade de recherche de Pamiers et la section recherche de Toulouse. Le jeune homme a aussitôt été emmené dans les locaux de la brigade de recherche pour être placé en garde à vue. En principe les gendarmes devaient entendre, hier, sa version des faits. On devrait en savoir plus sur le degré d'implication du meurtrier présumé dans le courant de la journée d'aujourd'hui, le temps que le pôle d'instruction ait pu rassembler des éléments solides sur cette affaire. Selon les premiers éléments que nous avons pu rassembler, le jeune homme serait venu au secours d'une dame qui criait de détresse, tandis que la future victime défonçait la porte de son appartement à coups de barre de fer. Il semble d'ailleurs qu'il s'agissait d'une méprise ; un homme qui habitait là précédemment avait quitté l'appartement récemment et c'est, peut-être, celui-ci que recherchait la victime. Le reste est beaucoup plus flou dans le déroulement des événements. À l'extérieur on a retrouvé la voiture de la victime, une Audi, dont le pare-brise est troué par le passage d'une balle. La lunette arrière est brisée en partie ; l'impact ressemble furieusement à celui d'une barre de fer. L'audition du jeune homme devrait normalement éclaircir ces zones d'ombre.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/23/1174380-leran-le-meurtrier-presume-s-est-rendu.html
Un trafic de buis demantelé
L’affaire est inhabituelle, mais n’en était pas moins fortement rémunératrice. Soit 100 000 € par an, selon les premières estimations des gendarmes aveyronnais qui ont révélé, hier, l’existence d’un trafic de buis.
L’affaire est née de plusieurs plaintes déposées au cours de ces derniers mois, par des propriétaires ou exploitants forestiers, lassés de constater la disparition de buis sur leurs parcelles (lire également en encadré). Au terme d’une patiente enquête, les gendarmes ont au total mis en cause 24 personnes, sous le coup de 80 délits différents.
Le buis ayant une pousse extrêmement lente, cette essence peut être commercialisée très cher. Selon un pépiniériste ruthénois, un jeune plan se vend 1 € pièce, un arbuste d’une trentaine de centimètres de diamètre atteindre 40 € pièce. Pour un gros buis adulte décoratif, il faut compter environ à 150 € pièce.
Cette essence est également prisée, par exemple, pour réaliser des manches de couteaux.
Quant au trafic mis au jour hier, il porte sur vol, recel de vol, violation de propriétés privées, exécution de travail dissimulé, fraude aux prestations sociales, non-déclaration de revenus, etc.
Très simplement, les personnes mises en cause allaient ramasser des plans ou couper des arbustes, afin de les revendre. Ces marchandises étaient ensuite expédiées par camions entiers en Hollande ou en Allemagne.
Les gendarmes de Sévérac-le-Château ont transmis, hier, ce dossier au procureur de la République de Rodez qui devrait diligenter de nouvelles investigations, afin de déterminer notamment les responsabilités de chacun dans ce dossier.
http://www.midilibre.fr/2011/09/22/un-trafic-de-buis-demantele,391754.php
L’affaire est née de plusieurs plaintes déposées au cours de ces derniers mois, par des propriétaires ou exploitants forestiers, lassés de constater la disparition de buis sur leurs parcelles (lire également en encadré). Au terme d’une patiente enquête, les gendarmes ont au total mis en cause 24 personnes, sous le coup de 80 délits différents.
Le buis ayant une pousse extrêmement lente, cette essence peut être commercialisée très cher. Selon un pépiniériste ruthénois, un jeune plan se vend 1 € pièce, un arbuste d’une trentaine de centimètres de diamètre atteindre 40 € pièce. Pour un gros buis adulte décoratif, il faut compter environ à 150 € pièce.
Cette essence est également prisée, par exemple, pour réaliser des manches de couteaux.
Quant au trafic mis au jour hier, il porte sur vol, recel de vol, violation de propriétés privées, exécution de travail dissimulé, fraude aux prestations sociales, non-déclaration de revenus, etc.
Très simplement, les personnes mises en cause allaient ramasser des plans ou couper des arbustes, afin de les revendre. Ces marchandises étaient ensuite expédiées par camions entiers en Hollande ou en Allemagne.
Les gendarmes de Sévérac-le-Château ont transmis, hier, ce dossier au procureur de la République de Rodez qui devrait diligenter de nouvelles investigations, afin de déterminer notamment les responsabilités de chacun dans ce dossier.
http://www.midilibre.fr/2011/09/22/un-trafic-de-buis-demantele,391754.php
Les vols par ruse se multiplient dans l'Aisne Les mille et une façons de vous détrousser
Pétitions, confiseries, appels d'urgences… Voleurs ou escrocs rivalisent de techniques pour s'emparer de l'argent des autres. Les cas se multiplient depuis peu.
LE plus court chemin pour obtenir de l'argent liquide, c'est de le prendre dans les mains de son propriétaire ! De nombreux voleurs l'ont bien compris et multiplient les combines afin de mieux embobiner leurs victimes.
Tous les moyens sont alors bons. Une pétition par exemple. « Régulièrement, plusieurs jeunes femmes se placent devant le distributeur situé près de mon bureau », explique un Soissonnais, qui travaille dans le centre-ville de la Cité du Vase.
« Elles emploient souvent la technique suivante : elles s'approchent pour faire signer un document pendant que la personne effectue son retrait au distributeur. Lorsque le moment de retirer la somme arrive, elles s'emparent des billets ». À plusieurs reprises, l'homme est sorti pour avertir les clients, alors que ces « rapaces » tournaient autour au moment de l'opération.
Ces faux bénévoles n'officient pas seulement à proximité des agences des banques. Il y a un mois, ils ont sévi à l'agence de Laon de l'union. Deux jeunes d'une vingtaine d'années se sont présentés dans nos locaux. Feignant de ne pas parler français ou d'être sourds et muets, ils ont présenté une feuille avec une inscription dessus.
L'approchant pour la faire lire, ils en ont profité pour dérober un objet, camouflant ce dernier derrière la feuille. C'est ainsi qu'ils ont subtilisé un téléphone mobile, avant de s'enfuir en courant.
La pétition est loin d'être l'unique prétexte pour aborder les proies. Les stratagèmes sont plus ou moins futés, et parfois violents. Exemples.
4 L'arrachage sauvage. Samedi dernier, dans l'après-midi, une dame âgée s'approche d'un distributeur de billet avenue de Soissons à Château-Thierry. Afin de retirer de l'argent. Au moment elle prend les billets, une main attrape vigoureusement son bras. Il s'agit de celle d'un jeune homme d'origine roumaine. La dame résiste. Par chance, une patrouille de police passe par là au moment des faits et interpelle l'homme. Il est actuellement en détention dans l'attente de son procès.
4 L'embobinage à la marseillaise. En venant retirer des espèces à un guichet automatique, vous ne pouvez terminer votre opération car la carte ne ressort pas. A ce moment, un « bon samaritain » s'approche et indique qu'il lui est arrivé la même chose récemment. Et qu'il suffit de composer son code ! En réalité, cette « bonne âme » a posé un « collet » dans le lecteur de carte de l'automate. Il s'agit d'un élément métallique ou en plastique, faisant office de pince, et destiné à bloquer les cartes bancaires. Cette ruse est appelée couramment « collet marseillais », car elle est née au bord de la Méditerranée. Trois personnes âgées ont été victimes de ce type d'arnaque mi-septembre, dans deux banques soissonnaises, située avenue Winston-Churchill et rue Saint-Martin (l'union du 15 septembre).
4 Les confiseries au tarif « salé ». Un morceau de nougat et un petit drapeau. Pour la modique somme de 8 euros. La facture est un peu « salée », mais les vendeurs affirment que c'est pour les bonnes œuvres de la commune. Le plus souvent, c'est pour leur poche… Des vendeurs de ce genre ont officié lundi à Crouy, dans l'agglomération de Soissons (l'union d'hier). Ils se sont même montrés menaçant auprès d'une jeune femme. La preuve qu'ils n'agissent pas par charité républicaine.
4 Le coup de fil bidon. Appeler le Samu ou une dépanneuse, parce qu'une personne est malade. Une demande de la sorte provoque généralement un élan de gentillesse. On se dirige vers une cabine téléphonique, compose son code… Et quelques minutes plus tard la carte bancaire a disparu ! Bien entendu les quatre chiffres qui vont avec ont été mémorisés par la personne soi-disant en détresse. Dernièrement (l'union du 5 septembre), deux octogénaires ont répondu à ces « SOS ». Résultat : leurs comptes en banque ont été siphonnés. L'une a rapidement découvert que deux retraits de 100 et 500 euros avaient été effectués dans un distributeur de billets. L'autre a, elle, eu la désagréable surprise de voir sa carte avalée alors qu'elle voulait retirer des espèces. Se rapprochant de sa banque, elle a appris qu'une copie de la piste magnétique avait été opérée et un retrait de 1 000 euros effectué.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-vols-par-ruse-se-multiplient-dans-laisne-les-mille-et-une-facons-de-vous-detrousse
LE plus court chemin pour obtenir de l'argent liquide, c'est de le prendre dans les mains de son propriétaire ! De nombreux voleurs l'ont bien compris et multiplient les combines afin de mieux embobiner leurs victimes.
Tous les moyens sont alors bons. Une pétition par exemple. « Régulièrement, plusieurs jeunes femmes se placent devant le distributeur situé près de mon bureau », explique un Soissonnais, qui travaille dans le centre-ville de la Cité du Vase.
« Elles emploient souvent la technique suivante : elles s'approchent pour faire signer un document pendant que la personne effectue son retrait au distributeur. Lorsque le moment de retirer la somme arrive, elles s'emparent des billets ». À plusieurs reprises, l'homme est sorti pour avertir les clients, alors que ces « rapaces » tournaient autour au moment de l'opération.
Ces faux bénévoles n'officient pas seulement à proximité des agences des banques. Il y a un mois, ils ont sévi à l'agence de Laon de l'union. Deux jeunes d'une vingtaine d'années se sont présentés dans nos locaux. Feignant de ne pas parler français ou d'être sourds et muets, ils ont présenté une feuille avec une inscription dessus.
L'approchant pour la faire lire, ils en ont profité pour dérober un objet, camouflant ce dernier derrière la feuille. C'est ainsi qu'ils ont subtilisé un téléphone mobile, avant de s'enfuir en courant.
La pétition est loin d'être l'unique prétexte pour aborder les proies. Les stratagèmes sont plus ou moins futés, et parfois violents. Exemples.
4 L'arrachage sauvage. Samedi dernier, dans l'après-midi, une dame âgée s'approche d'un distributeur de billet avenue de Soissons à Château-Thierry. Afin de retirer de l'argent. Au moment elle prend les billets, une main attrape vigoureusement son bras. Il s'agit de celle d'un jeune homme d'origine roumaine. La dame résiste. Par chance, une patrouille de police passe par là au moment des faits et interpelle l'homme. Il est actuellement en détention dans l'attente de son procès.
4 L'embobinage à la marseillaise. En venant retirer des espèces à un guichet automatique, vous ne pouvez terminer votre opération car la carte ne ressort pas. A ce moment, un « bon samaritain » s'approche et indique qu'il lui est arrivé la même chose récemment. Et qu'il suffit de composer son code ! En réalité, cette « bonne âme » a posé un « collet » dans le lecteur de carte de l'automate. Il s'agit d'un élément métallique ou en plastique, faisant office de pince, et destiné à bloquer les cartes bancaires. Cette ruse est appelée couramment « collet marseillais », car elle est née au bord de la Méditerranée. Trois personnes âgées ont été victimes de ce type d'arnaque mi-septembre, dans deux banques soissonnaises, située avenue Winston-Churchill et rue Saint-Martin (l'union du 15 septembre).
4 Les confiseries au tarif « salé ». Un morceau de nougat et un petit drapeau. Pour la modique somme de 8 euros. La facture est un peu « salée », mais les vendeurs affirment que c'est pour les bonnes œuvres de la commune. Le plus souvent, c'est pour leur poche… Des vendeurs de ce genre ont officié lundi à Crouy, dans l'agglomération de Soissons (l'union d'hier). Ils se sont même montrés menaçant auprès d'une jeune femme. La preuve qu'ils n'agissent pas par charité républicaine.
4 Le coup de fil bidon. Appeler le Samu ou une dépanneuse, parce qu'une personne est malade. Une demande de la sorte provoque généralement un élan de gentillesse. On se dirige vers une cabine téléphonique, compose son code… Et quelques minutes plus tard la carte bancaire a disparu ! Bien entendu les quatre chiffres qui vont avec ont été mémorisés par la personne soi-disant en détresse. Dernièrement (l'union du 5 septembre), deux octogénaires ont répondu à ces « SOS ». Résultat : leurs comptes en banque ont été siphonnés. L'une a rapidement découvert que deux retraits de 100 et 500 euros avaient été effectués dans un distributeur de billets. L'autre a, elle, eu la désagréable surprise de voir sa carte avalée alors qu'elle voulait retirer des espèces. Se rapprochant de sa banque, elle a appris qu'une copie de la piste magnétique avait été opérée et un retrait de 1 000 euros effectué.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-vols-par-ruse-se-multiplient-dans-laisne-les-mille-et-une-facons-de-vous-detrousse
jeudi 22 septembre 2011
A 2 ans et demi, il escalade le grillage de l'école et rentre chez lui
Aux dires du maire, Pablo, deux ans et demi, a réussi un "exploit physique". Une performance pas vraiment du goût de ses parents, qui auraient largement préféré que quelqu'un l'en empêche. Lors de son deuxième jour d'école à la maternelle de Bihorel, en Seine-Maritime, le petit garçon escalade le grillage qui sépare la cour de récréation de la rue, sans que la directrice et l'enseignante présente lors de cette pause du matin ne s'en aperçoive. L'enfant mesure 90 centimètres, le grillage 1,30 mètre. L'intrépide Pablo se rend alors à pied chez lui, à quelques centaines de mètres de là et traverse des rues. Il est accueilli par son père, heureusement à la maison.
"Je n'ai que deux yeux", a réagi pour RTL la directrice de l'établissement pour justifier l'incident. Pas suffisant pour la maman du petit garçon. "Notre enfant est en vie, on l'a retrouvé, il ne s'est pas fait écraser, il ne s'est pas fait kidnapper", a dit Justine au micro de RTL. "Mais il y a d'autres enfants dans cette école. Donc si quelque chose doit être fait, ça doit être fait vite. Ce n'est pas à nous de subir les conséquences" du manque de personnel. Sur proposition de la mairie, l'enfant a été transféré dans une autre école de la commune. Selon Paris-Normandie, cette maman a rencontré l'inspectrice de circonscription et la directrice de l'école. Et regrette de ne pas avoir reçu d'excuses.
Contacté par TF1 News, le maire de la commune, Pascal Houbron, "comprend que les parents aient eu très peur", mais assure que toutes les normes sont respectées pour garantir la sécurité des enfants. "En 30 ans, jamais un enfant n'a réussi à s'enfuir", se justifie le maire. La qualité du travail de l'équipe enseignante n'est donc pas en cause à ses yeux. Le maire précise qu'un réaménagement de la cour est toutefois à l'étude pour que le champ de vision des surveillants soit moins large.
Il a fait exploser une bombe artisanale
Dimanche soir, un Grenoblois de 34 ans s’est blessé en faisant accidentellement exploser une bombe de sa fabrication à Brié-et-Angonnes, devant son fils de trois ans et un autre enfant de sept ans.
Hier matin, il a été interpellé à son domicile et placé en garde à vue dans les locaux de l’antenne grenobloise de la DIPJ de Lyon.
Le parquet de Grenoble a été dessaisi du dossier au profit de la section anti-terroriste du parquet de Paris et l’enquête, initialement menée par les gendarmes de la compagnie de La Mure, a été confiée aux policiers de la PJ de Grenoble. Ces derniers ont reçu l’assistance, hier, de leurs collègues de la sous-direction anti-terroriste (SDAT), venus spécialement de Paris.
Ce qui semblait n’être, au départ, que la dangereuse conséquence d’une maladresse d’un chimiste amateur voulant impressionner des enfants en faisant exploser un “gros pétard”, pourrait donc revêtir un caractère beaucoup plus inquiétant. Que la SDAT soit associée à l’enquête prouve en tout cas que les autorités prennent cette affaire très au sérieux.
Les perquisitions effectuées au domicile du suspect ont notamment permis de découvrir des matières potentiellement dangereuses puisque susceptibles d’entrer dans la composition du peroxyde d’acétone, le produit qui a précisément permis à ce Grenoblois de confectionner deux engins dont celui qui a explosé dimanche. Inconnu jusqu’alors des services de police
Du côté du parquet de Grenoble, on met cependant en garde contre les conclusions hâtives : « Il s’agit avant tout de vérifier le profil de cet homme qui pourrait être, et j’insiste sur le conditionnel, plus ou moins proche de certaines mouvances islamistes », précisait le procureur de la République.
Un “profil” dont on sait peu de chose si ce n’est qu’il s’agit d’un homme sans emploi, marié et père de famille, né sur le territoire français, qui possède la double nationalité franco-algérienne et qui, jusque-là, était parfaitement inconnu des services de police
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/09/22/il-a-fait-exploser-une-bombe-artisanale
Hier matin, il a été interpellé à son domicile et placé en garde à vue dans les locaux de l’antenne grenobloise de la DIPJ de Lyon.
Le parquet de Grenoble a été dessaisi du dossier au profit de la section anti-terroriste du parquet de Paris et l’enquête, initialement menée par les gendarmes de la compagnie de La Mure, a été confiée aux policiers de la PJ de Grenoble. Ces derniers ont reçu l’assistance, hier, de leurs collègues de la sous-direction anti-terroriste (SDAT), venus spécialement de Paris.
Ce qui semblait n’être, au départ, que la dangereuse conséquence d’une maladresse d’un chimiste amateur voulant impressionner des enfants en faisant exploser un “gros pétard”, pourrait donc revêtir un caractère beaucoup plus inquiétant. Que la SDAT soit associée à l’enquête prouve en tout cas que les autorités prennent cette affaire très au sérieux.
Les perquisitions effectuées au domicile du suspect ont notamment permis de découvrir des matières potentiellement dangereuses puisque susceptibles d’entrer dans la composition du peroxyde d’acétone, le produit qui a précisément permis à ce Grenoblois de confectionner deux engins dont celui qui a explosé dimanche. Inconnu jusqu’alors des services de police
Du côté du parquet de Grenoble, on met cependant en garde contre les conclusions hâtives : « Il s’agit avant tout de vérifier le profil de cet homme qui pourrait être, et j’insiste sur le conditionnel, plus ou moins proche de certaines mouvances islamistes », précisait le procureur de la République.
Un “profil” dont on sait peu de chose si ce n’est qu’il s’agit d’un homme sans emploi, marié et père de famille, né sur le territoire français, qui possède la double nationalité franco-algérienne et qui, jusque-là, était parfaitement inconnu des services de police
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/09/22/il-a-fait-exploser-une-bombe-artisanale
Il transmet la gale à onze infirmières
Un patient soigné à l'hôpital Louis-Mourier de Colombes (Hauts-de-Seine) cet été a transmis la gale, une maladie de la peau généralement bénigne mais très contagieuse, à onze infirmières et à un autre malade, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la direction de l'établissement.
Un patient, atteint d'une forme rare de gale atypique dite "gale norvégienne", non diagnostiquée à l'époque, est à l'origine de cette contagion. Il avait été hospitalisé à deux reprises cet été, dans le service d'hépato-gastro-entérologie de l'hôpital Louis-Mourier (AP-HP), selon une porte-parole.
Une fois l'épidémie de gale détectée le 8 septembre, 254 lettres ont été envoyées ces deux dernières semaines par la direction de cet établissement de l’AP-HP aux patients susceptibles d’avoir été en contact, direct ou indirect, avec les personnes atteintes par la gale.
La gale se transmet par contact avec la peau. Les symptômes les plus fréquents sont des démangeaisons, principalement nocturnes, au niveau des mains, des poignets et des avant-bras.
La maladie ne peut pas disparaître sans prendre un traitement simple.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/22/97001-20110922FILWWW00441-il-transmet-la-gale-a-onze-infirmieres.php
Un patient, atteint d'une forme rare de gale atypique dite "gale norvégienne", non diagnostiquée à l'époque, est à l'origine de cette contagion. Il avait été hospitalisé à deux reprises cet été, dans le service d'hépato-gastro-entérologie de l'hôpital Louis-Mourier (AP-HP), selon une porte-parole.
Une fois l'épidémie de gale détectée le 8 septembre, 254 lettres ont été envoyées ces deux dernières semaines par la direction de cet établissement de l’AP-HP aux patients susceptibles d’avoir été en contact, direct ou indirect, avec les personnes atteintes par la gale.
La gale se transmet par contact avec la peau. Les symptômes les plus fréquents sont des démangeaisons, principalement nocturnes, au niveau des mains, des poignets et des avant-bras.
La maladie ne peut pas disparaître sans prendre un traitement simple.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/22/97001-20110922FILWWW00441-il-transmet-la-gale-a-onze-infirmieres.php
Voiture du maire incendiée : le coup de folie du restaurateur
Appuyé sur ses cannes anglaises, se déplaçant difficilement, le patron du restaurant l’Ondine à Cachan s’avance dans le box des prévenus du tribunal de Créteil, hier en fin d’après-midi. Ses yeux se portent dans la salle et c’est avec un franc sourire qu’il salue le député-maire socialiste de Cachan, Jean-Yves Le Bouillonnec, l’élu dont il a projeté la voiture contre les marches de la mairie avant de l’incendier, dimanche matin.
L’homme a beau être gaillard, il a du mal à cacher son état psychologique, un état « à tendance paranoïaque qui a pu altérer son discernement » de l’avis de l’expert psychiatre qui l’a rencontré durant sa garde à vue. Et il a bien du mal à évoquer les faits : la présidente devra s’y reprendre à quatre ou cinq fois pour obtenir sa version des faits. « Je suis sorti samedi soir, voir des amis successifs à Paris et j’ai beaucoup bu, résume-t-il enfin, j’avais laissé les clés de mon restaurant vendredi soir à un ami qui faisait une soirée et il devait les laisser sur place. J’ai voulu aller les récupérer pour ne pas qu’on me les vole. Mais, en arrivant, je me suis cogné le pied et cela m’a remis en tête toutes les difficultés que j’ai avec la mairie. »
Car pour lui le nœud du problème est « dans l’ascenseur ». Juché au premier étage, au-dessus de la piscine, son restaurant lui est difficilement accessible, il éprouve d’énormes difficultés à monter les 25 marches. « Avant, il y avait un ascenseur, mais il n’a pas été remis aux normes. » Selon lui, la mairie étant propriétaire, elle aurait dû faire le nécessaire. Et ce matin-là, quand il se cogne le pied, il est pris d’un véritable « coup de folie », il évoque alors le sentiment d’un complot de certains employés de la mairie contre lui, « pour me faire partir ». S’il savait qu’il s’en prenait à la voiture du maire, il nie l’avoir visé personnellement.
Une absence de conflit personnel que le député-maire Jean-Yves Le Bouillonnec confirme à la barre. « Le seul conflit que nous ayons, c’est au niveau des impayés de loyers. Il doit à la mairie environ 30000 € de loyers. Nous avons été patients, nous avons étalé la dette, octroyé des délais mais le trésorier principal a demandé que le nécessaire soit fait. Nous devions avoir une audience en référé demain (NDLR : aujourd’hui) pour mettre un terme au bail. Quant à la thèse du complot, c’est une fadaise à laquelle je ne crois pas. Nous connaissions sa personnalité fougueuse, mais il n’avait jamais exprimé de violence à mon égard. »
« Je suis venu à l’audience, reprend le maire, car cette histoire inacceptable a eu un fort retentissement dans notre commune où les relations sont sereines. Et, par ailleurs, je me dois de protéger le patrimoine de mes administrés », reprend l’élu. Et de demander 1200 € pour sa voiture – « Elle datait de 1997 et n’était plus cotée, mais elle rendait service » – et 800 € pour mettre des scellés sur le portail de la mairie « qui est classée à l’Inventaire des monuments historiques ».
Des demandes auxquelles a accédé le ministère public en demandant également une peine de trois mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve. Le jugement était attendu tard hier dans la soirée.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/voiture-du-maire-incendiee-le-coup-de-folie-du-restaurateur-22-09-2011-1619413.php
L’homme a beau être gaillard, il a du mal à cacher son état psychologique, un état « à tendance paranoïaque qui a pu altérer son discernement » de l’avis de l’expert psychiatre qui l’a rencontré durant sa garde à vue. Et il a bien du mal à évoquer les faits : la présidente devra s’y reprendre à quatre ou cinq fois pour obtenir sa version des faits. « Je suis sorti samedi soir, voir des amis successifs à Paris et j’ai beaucoup bu, résume-t-il enfin, j’avais laissé les clés de mon restaurant vendredi soir à un ami qui faisait une soirée et il devait les laisser sur place. J’ai voulu aller les récupérer pour ne pas qu’on me les vole. Mais, en arrivant, je me suis cogné le pied et cela m’a remis en tête toutes les difficultés que j’ai avec la mairie. »
Car pour lui le nœud du problème est « dans l’ascenseur ». Juché au premier étage, au-dessus de la piscine, son restaurant lui est difficilement accessible, il éprouve d’énormes difficultés à monter les 25 marches. « Avant, il y avait un ascenseur, mais il n’a pas été remis aux normes. » Selon lui, la mairie étant propriétaire, elle aurait dû faire le nécessaire. Et ce matin-là, quand il se cogne le pied, il est pris d’un véritable « coup de folie », il évoque alors le sentiment d’un complot de certains employés de la mairie contre lui, « pour me faire partir ». S’il savait qu’il s’en prenait à la voiture du maire, il nie l’avoir visé personnellement.
Une absence de conflit personnel que le député-maire Jean-Yves Le Bouillonnec confirme à la barre. « Le seul conflit que nous ayons, c’est au niveau des impayés de loyers. Il doit à la mairie environ 30000 € de loyers. Nous avons été patients, nous avons étalé la dette, octroyé des délais mais le trésorier principal a demandé que le nécessaire soit fait. Nous devions avoir une audience en référé demain (NDLR : aujourd’hui) pour mettre un terme au bail. Quant à la thèse du complot, c’est une fadaise à laquelle je ne crois pas. Nous connaissions sa personnalité fougueuse, mais il n’avait jamais exprimé de violence à mon égard. »
« Je suis venu à l’audience, reprend le maire, car cette histoire inacceptable a eu un fort retentissement dans notre commune où les relations sont sereines. Et, par ailleurs, je me dois de protéger le patrimoine de mes administrés », reprend l’élu. Et de demander 1200 € pour sa voiture – « Elle datait de 1997 et n’était plus cotée, mais elle rendait service » – et 800 € pour mettre des scellés sur le portail de la mairie « qui est classée à l’Inventaire des monuments historiques ».
Des demandes auxquelles a accédé le ministère public en demandant également une peine de trois mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve. Le jugement était attendu tard hier dans la soirée.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/voiture-du-maire-incendiee-le-coup-de-folie-du-restaurateur-22-09-2011-1619413.php
Chères confiseries Vendeurs de nougats bien agressifs
Si vous ne prenez pas leur nougat, gare à vos oreilles ! De drôles de commerçants officient actuellement dans l'agglomération soissonnaise. Leurs confiseries sont chères et, en plus ils ne savent pas rendre la monnaie… Lundi, ils ont sévi à Crouy, où une jeune cliente a eu une très mauvaise expérience.
Ces vendeurs de nougat officiaient alors au niveau du carrefour entre l'avenue du Général Patton, l'allée Joliot-Curie et la rue du Stade. Un groupe de quatre jeunes hommes arrêtait les voitures arrivant au croisement.
« Ils font référence à la mairie. Ils disent que c'est pour financer des projets », prévient le maire de Crouy, Daniel Moitié. Bien entendu, la municipalité n'a rien à voir avec leur petit « business. »
Si les choses s'arrêtaient là… Le quatuor force aussi un peu la main. Avant-hier, vers 16 h 30, une jeune femme arrivait au niveau du carrefour. À leur première sollicitation, elle a décliné leur offre. Huit euros la barre de nougat, c'est un peu cher payé…
Insultes et menaces
Les « commerçants » se sont alors faits insistants. Pour avoir la paix, la conductrice a décidé de leur prendre un nougat et leur a tendu un billet de 20 euros. Calcul très simple : 20 € moins 8 € égale 12 €. Or, les garçons ne lui ont rendu qu'un billet de 10 €.
Elle a alors protesté. Les vendeurs se sont énervés et ont refusé de lui rendre les 2 euros dus. Elle s'est alors mise à noter, sous leur nez, le numéro de leur plaque d'immatriculation et le signalement de leur véhicule, une Peugeot 308 blanche.
« Ils ont lancé le restant de la monnaie dans l'habitacle, en l'insultant et la menaçant. La pauvre a été très choquée », note Daniel Moitié.
Les faits ont été signalés aux services de police. Le même jour, le groupe a été aperçu à deux autres reprises sur le territoire de la commune. Pour le moment, il semblerait que ces vendeurs à la sauvette n'aient pas « racketté » dans d'autres secteurs de l'agglomération.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/crouy-cheres-confiseries-vendeurs-de-nougats-bien-agressifs
Ces vendeurs de nougat officiaient alors au niveau du carrefour entre l'avenue du Général Patton, l'allée Joliot-Curie et la rue du Stade. Un groupe de quatre jeunes hommes arrêtait les voitures arrivant au croisement.
« Ils font référence à la mairie. Ils disent que c'est pour financer des projets », prévient le maire de Crouy, Daniel Moitié. Bien entendu, la municipalité n'a rien à voir avec leur petit « business. »
Si les choses s'arrêtaient là… Le quatuor force aussi un peu la main. Avant-hier, vers 16 h 30, une jeune femme arrivait au niveau du carrefour. À leur première sollicitation, elle a décliné leur offre. Huit euros la barre de nougat, c'est un peu cher payé…
Insultes et menaces
Les « commerçants » se sont alors faits insistants. Pour avoir la paix, la conductrice a décidé de leur prendre un nougat et leur a tendu un billet de 20 euros. Calcul très simple : 20 € moins 8 € égale 12 €. Or, les garçons ne lui ont rendu qu'un billet de 10 €.
Elle a alors protesté. Les vendeurs se sont énervés et ont refusé de lui rendre les 2 euros dus. Elle s'est alors mise à noter, sous leur nez, le numéro de leur plaque d'immatriculation et le signalement de leur véhicule, une Peugeot 308 blanche.
« Ils ont lancé le restant de la monnaie dans l'habitacle, en l'insultant et la menaçant. La pauvre a été très choquée », note Daniel Moitié.
Les faits ont été signalés aux services de police. Le même jour, le groupe a été aperçu à deux autres reprises sur le territoire de la commune. Pour le moment, il semblerait que ces vendeurs à la sauvette n'aient pas « racketté » dans d'autres secteurs de l'agglomération.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/crouy-cheres-confiseries-vendeurs-de-nougats-bien-agressifs
mercredi 21 septembre 2011
Le séquestré avait vu sa dernière heure arriver
Le 18 mai 2010, un habitant du quartier du Pigeonnier, à Amiens Nord, rentre d'un entraînement de foot. Sur son parking, il est coincé par trois individus encagoulés qui l'emmènent dans une Audi. On le roue de coups, il prend un coup de crosse au visage et on lui place deux sacs poubelle sur la tête. Pieds nus, il sent une demi-heure plus tard qu'on le traîne dans un chemin caillouteux. Dans une sorte de cabane, il est attaché à une chaise et de nouveau violenté. Ses trois agresseurs ne le laissent qu'en échange d'une promesse de rançon - 22 000 € - à livrer le lendemain soir devant une station service de Rainneville (canton de Villers-Bocage).
Là, les policiers, alertés par la mère de la victime, interpellent deux hommes venus à scooter : Adil El Hassnaoui, 23 ans, porteur d'après deux fonctionnaires d'une clef d'Audi et Francisco Correia, 25 ans, armé d'un pistolet. Les deux hommes soutiennent qu'ils ont accepté de venir chercher «un truc » en échange de 200 € promis par un caïd qu'ils ne connaissent que sous le nom de «Willy le chat ». «Et les clefs de voiture ont dû tomber du coffre du scooter », ajoute El Hassnaoui.
Le lendemain, l'Audi est retrouvée brûlée à Amiens. Sur ses plaques, on retrouve l'ADN d'El Hassnaoui. Sur dénonciation anonyme, on interpelle dans la foulée Abdelkader Sakho, 23 ans. Il affirme ne pas connaître les deux autres, mais les policiers découvrent que les trois s'échangent des coups de fil par dizaines, singulièrement avant et après l'enlèvement.
Le jugement était attendu tard hier soir. Vers 18 heures, le procureur avait requis six ans ferme contre Sakho et quatre ans ferme contre les deux autres.
Les longs débats n'auront en revanche pas permis de comprendre pourquoi ses ravisseurs, qui qu'ils soient, avaient décidé de réclamer une telle somme à cette victime en particulier...
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Le-sequestre-avait-vu-sa-derniere-heure-arriver
Là, les policiers, alertés par la mère de la victime, interpellent deux hommes venus à scooter : Adil El Hassnaoui, 23 ans, porteur d'après deux fonctionnaires d'une clef d'Audi et Francisco Correia, 25 ans, armé d'un pistolet. Les deux hommes soutiennent qu'ils ont accepté de venir chercher «un truc » en échange de 200 € promis par un caïd qu'ils ne connaissent que sous le nom de «Willy le chat ». «Et les clefs de voiture ont dû tomber du coffre du scooter », ajoute El Hassnaoui.
Le lendemain, l'Audi est retrouvée brûlée à Amiens. Sur ses plaques, on retrouve l'ADN d'El Hassnaoui. Sur dénonciation anonyme, on interpelle dans la foulée Abdelkader Sakho, 23 ans. Il affirme ne pas connaître les deux autres, mais les policiers découvrent que les trois s'échangent des coups de fil par dizaines, singulièrement avant et après l'enlèvement.
Le jugement était attendu tard hier soir. Vers 18 heures, le procureur avait requis six ans ferme contre Sakho et quatre ans ferme contre les deux autres.
Les longs débats n'auront en revanche pas permis de comprendre pourquoi ses ravisseurs, qui qu'ils soient, avaient décidé de réclamer une telle somme à cette victime en particulier...
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Le-sequestre-avait-vu-sa-derniere-heure-arriver
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