Après l’accident mortel de la route du 18 décembre dernier, la préfecture des Bouches-du-Rhône a pris un arrêté de fermeture administrative de deux mois de la discothèque le Krystal à Moulès à côté d'Arles.
La discothèque est donc fermée ce samedi 31 décembre. Le responsable de l’établissement créé il y a trente ans conteste cette décision et doit déposer un référé devant le tribunal administratif de Marseille.
Le dimanche 18 décembre, vers 6 h 40, une voiture qui quittait le parking de la discothèque avait fauché un groupe de piétons. Un jeune Arlésien était décédé. Le conducteur de la voiture en cause - un Saint-Gillois - n’avait pas de permis de conduire, consommé du cannabis et un léger taux d’alcoolémie.
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
samedi 31 décembre 2011
Un trentenaire serait tombé du ferry : les recherches en mer sont restées vaines
Aujourd'hui en milieu de journée, deux canots de la Société nationale de sauvetage en mer, un avion Falcon de la Marine nationale et un hélicoptère de la base aéronavale de Hyères se sont retrouvés à 19 milles au large de Sète.
Les secours ont quadrillé une zone où un homme d’une trentaine d’années, qui faisait la traversée depuis le Maroc, sur le ferry avec sa famille, est susceptible d’être tombé à la mer. Des recherches restées vaines.
http://www.midilibre.fr/2011/12/31/dma-sa-famille-le-perd-de-vue-sur-le-ferry-recherches-sans-succes-en-mer,437784.php
Les secours ont quadrillé une zone où un homme d’une trentaine d’années, qui faisait la traversée depuis le Maroc, sur le ferry avec sa famille, est susceptible d’être tombé à la mer. Des recherches restées vaines.
http://www.midilibre.fr/2011/12/31/dma-sa-famille-le-perd-de-vue-sur-le-ferry-recherches-sans-succes-en-mer,437784.php
Une Auscitaine de 67 ans, gravement blessée, héliportée sur Purpan
Une Auscitaine âgée de 67 ans a perdu le contrôle de son véhicule dans une ligne droite, hier à 14 h 45, sur la RD 12, route de Simorre. Qu'a-t-il bien pu se passer ? Malaise ? Fausse manœuvre ? Coup de volant pour éviter un animal ? L'enquête le dira. Toujours est-il que la conductrice a violemment percuté un arbre et a rebondi sur la voie opposée où elle a été trouvée consciente par les secours qui ont dû la désincarcérer. Vers 16 h 40, les pompiers ont transporté la victime polytraumatisée jusqu'au stade de Saramon où un hélicoptère est venu la chercher pour repartir à 17 h 10 en direction de Purpan où elle a été hospitalisée dans un état grave.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/31/1250991-une-auscitaine-heliportee-sur-purpan.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/31/1250991-une-auscitaine-heliportee-sur-purpan.html
Ce petit carnet qui révèle tous les comptes d’un trafic de drogue dans une cité marseillaise
Saisir du haschisch, de la coke ou de l’héroïne, c’est le travail “banal” des policiers chargés de lutter contre le trafic de drogue. Mais qui suppose bien entendu des informateurs et de nombreuses planques avant de pouvoir intervenir efficacement.
Mais cette fois-ci, à Marseille, ce n’est pas un sachet de coke ou un pain de cannabis qu’ont découvert les policiers. Selon Le Figaro, qui révèle l’affaire, il s’agit d’un simple carnet, un “bloc-notes” retrouvé dans un immeuble.
Plus de 100 000 € de bénéfice mensuel
Pas de quoi pavoiser, a priori. Sauf qu’un chef de réseau de la cité de la Visitation, au nord de Marseille, y consignait scrupuleusement... tous les comptes de son trafic. Et il était juteux, si l’on en croit le bénéfice inscrit : plus de 100 000 euros mensuels ! En feuilletant le carnet, les enquêteurs ont découvert que ces trafiquants se comportaient en véritables patrons d’une PME très florissante. En fait, les cinq ou six membres du gang de la Visitation faisaient vivre des familles entières de la cité grâce à leur trafic.
Un vrai carnet de comptes
Tout est noté. Ce que coûtent les “employés” : le patron (9 000 €), le vendeur (idem), les jeunes chargés du guet pour éviter les descentes de police... Par exemple, le guetteur posté dans une maternelle (4 800 €). Selon Le Figaro, c’est un coût total de 31 200 € par mois. Auxquels il faut ajouter 19 100 € pour payer les quatre “nourrices”. Autrement dit, les mères qui gardent quelques jours chez elles des sacs de billets et parfois de drogue confiés par d’anciens copains de classe de leurs enfants...
On apprend aussi que le haschich “brut” est acheté 2 250 € le kilo. Vendu au détail, le prix atteint 101 250 €. Quarante fois la “culbute” ! De quoi faire bien des envieux. D’où la guerre des gangs, les règlements de comptes à la kalachnikov.
Le trafic a encore de beaux jours devant lui. Et les policiers, du pain sur la planche...
Mais cette fois-ci, à Marseille, ce n’est pas un sachet de coke ou un pain de cannabis qu’ont découvert les policiers. Selon Le Figaro, qui révèle l’affaire, il s’agit d’un simple carnet, un “bloc-notes” retrouvé dans un immeuble.
Plus de 100 000 € de bénéfice mensuel
Pas de quoi pavoiser, a priori. Sauf qu’un chef de réseau de la cité de la Visitation, au nord de Marseille, y consignait scrupuleusement... tous les comptes de son trafic. Et il était juteux, si l’on en croit le bénéfice inscrit : plus de 100 000 euros mensuels ! En feuilletant le carnet, les enquêteurs ont découvert que ces trafiquants se comportaient en véritables patrons d’une PME très florissante. En fait, les cinq ou six membres du gang de la Visitation faisaient vivre des familles entières de la cité grâce à leur trafic.
Un vrai carnet de comptes
Tout est noté. Ce que coûtent les “employés” : le patron (9 000 €), le vendeur (idem), les jeunes chargés du guet pour éviter les descentes de police... Par exemple, le guetteur posté dans une maternelle (4 800 €). Selon Le Figaro, c’est un coût total de 31 200 € par mois. Auxquels il faut ajouter 19 100 € pour payer les quatre “nourrices”. Autrement dit, les mères qui gardent quelques jours chez elles des sacs de billets et parfois de drogue confiés par d’anciens copains de classe de leurs enfants...
On apprend aussi que le haschich “brut” est acheté 2 250 € le kilo. Vendu au détail, le prix atteint 101 250 €. Quarante fois la “culbute” ! De quoi faire bien des envieux. D’où la guerre des gangs, les règlements de comptes à la kalachnikov.
Le trafic a encore de beaux jours devant lui. Et les policiers, du pain sur la planche...
Un appart à 500 000 euros truffé de malfaçons
Sol en pente, infiltrations d'eau, parquet mouvant… L'appartement Bouygues des Bogacki boulevard Henry-Vasnier est un cauchemar.
DES appartements de grand standing, disaient-ils. Séduits par la publicité effervescente de Bouygues immobilier au 51 boulevard Henry-Vasnier, Valérie et Patrick Bogacki ont cassé la tirelire. En avril 2007, ils ont réservé sur plan deux lots pour un appartement dans les résidences prévues à la place de la maison de champagne Piper Heidsieck. Superficie : 145 m2. Prix de vente : 514 000 euros.
La mise à disposition de leur appartement était prévue à l'automne 2009. Il n'a finalement été livré qu'en juillet 2010.
Quand on achète un appartement neuf à plus de 500 000 euros, on s'attend à avoir quelque chose de bien fini. C'est tout le contraire qui est arrivé. À peine dans les lieux, le couple a constaté de multiples malfaçons. « On a commencé par découvrir une barre de seuil en plein milieu de l'entrée et des poteaux de soutènement non prévus dans la pièce principale qui nous empêchaient de poser nos meubles », raconte Patrick. Ce n'était que le début de l'aventure.
Un peu plus tard, ils ont remarqué que la faïence du mur s'effritait et tombait au sol, la fenêtre de l'une des chambres ne s'ouvrait pas, le parquet flottant s'est mis à se soulever à de nombreux endroits : « On avait posé des bibelots sur une petite table. À chaque fois qu'on marchait à proximité, ils tombaient à cause du sol mouvant ».
Les Bogacki ont aussi remarqué que leur porte d'entrée ne paraissait pas bien posée. Le 15 août 2010, elle s'est bloquée. Ils se sont retrouvés enfermés dehors.
Deux pièces inutilisables
C'est à peu près l'époque où les infiltrations d'eau ont commencé. « On avait remarqué un froid anormal qui sortait des plinthes dans la salle à manger. Finalement, on s'est retrouvé après une forte pluie avec des flaques d'eau dans l'appartement ». Valérie se souvient bien du jour où il s'est mis à pleuvoir dans la salle de bain : « L'eau passait par la gaine électrique ».
Le couple a fini par apprendre pourquoi le parquet s'enfonçait de plus en plus sous ses pieds et pourquoi il était impossible de fermer correctement les portes des placards : « Notre sol présente des différences de niveau. Il n'est pas plat ».
On pourrait encore évoquer les plinthes qui se décollent, la chaudière défectueuse, le carrelage découpé trop grand et le parquet bicolore… les problèmes ne manquent pas. Aujourd'hui, les travaux sont en stand-by. Deux pièces de l'appartement sont inutilisables. Une expertise judiciaire a été demandée. Un procès contre Bouygues pourrait suivre. Voici plus d'un an que M. et Mme Bogacki enchaînent les mauvaises surprises dans leur logement neuf à plus de 500 000 euros. Plus d'un an qu'ils se battent contre Bouygues. Ils sont usés.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/un-appart-a-500-000-euros-truffe-de-malfacons
DES appartements de grand standing, disaient-ils. Séduits par la publicité effervescente de Bouygues immobilier au 51 boulevard Henry-Vasnier, Valérie et Patrick Bogacki ont cassé la tirelire. En avril 2007, ils ont réservé sur plan deux lots pour un appartement dans les résidences prévues à la place de la maison de champagne Piper Heidsieck. Superficie : 145 m2. Prix de vente : 514 000 euros.
La mise à disposition de leur appartement était prévue à l'automne 2009. Il n'a finalement été livré qu'en juillet 2010.
Quand on achète un appartement neuf à plus de 500 000 euros, on s'attend à avoir quelque chose de bien fini. C'est tout le contraire qui est arrivé. À peine dans les lieux, le couple a constaté de multiples malfaçons. « On a commencé par découvrir une barre de seuil en plein milieu de l'entrée et des poteaux de soutènement non prévus dans la pièce principale qui nous empêchaient de poser nos meubles », raconte Patrick. Ce n'était que le début de l'aventure.
Un peu plus tard, ils ont remarqué que la faïence du mur s'effritait et tombait au sol, la fenêtre de l'une des chambres ne s'ouvrait pas, le parquet flottant s'est mis à se soulever à de nombreux endroits : « On avait posé des bibelots sur une petite table. À chaque fois qu'on marchait à proximité, ils tombaient à cause du sol mouvant ».
Les Bogacki ont aussi remarqué que leur porte d'entrée ne paraissait pas bien posée. Le 15 août 2010, elle s'est bloquée. Ils se sont retrouvés enfermés dehors.
Deux pièces inutilisables
C'est à peu près l'époque où les infiltrations d'eau ont commencé. « On avait remarqué un froid anormal qui sortait des plinthes dans la salle à manger. Finalement, on s'est retrouvé après une forte pluie avec des flaques d'eau dans l'appartement ». Valérie se souvient bien du jour où il s'est mis à pleuvoir dans la salle de bain : « L'eau passait par la gaine électrique ».
Le couple a fini par apprendre pourquoi le parquet s'enfonçait de plus en plus sous ses pieds et pourquoi il était impossible de fermer correctement les portes des placards : « Notre sol présente des différences de niveau. Il n'est pas plat ».
On pourrait encore évoquer les plinthes qui se décollent, la chaudière défectueuse, le carrelage découpé trop grand et le parquet bicolore… les problèmes ne manquent pas. Aujourd'hui, les travaux sont en stand-by. Deux pièces de l'appartement sont inutilisables. Une expertise judiciaire a été demandée. Un procès contre Bouygues pourrait suivre. Voici plus d'un an que M. et Mme Bogacki enchaînent les mauvaises surprises dans leur logement neuf à plus de 500 000 euros. Plus d'un an qu'ils se battent contre Bouygues. Ils sont usés.
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/un-appart-a-500-000-euros-truffe-de-malfacons
vendredi 30 décembre 2011
Asnières : trois jeunes écroués pour le braquage d'une bijouterie
Trois jeunes hommes ont été écroués jeudi en fin de journée pour avoir participé mardi au braquage d'une bijouterie à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Les trois malfaiteurs, dont un mineur, ont été mis en examen pour «vol en bande organisée avec arme et recel», selon une source judiciare. Selon une source policière, les suspects ont «reconnu intégralement leur participation» au braquage.
Le bijoutier a blessé un malafaiteur à feu
Mardi, vers 12h30, deux hommes casqués et munis d'armes de poing pénètraient dans la bijouterie à la suite d'un complice, âgé de 16 ans, qui s'était fait passer pour un client. Pour tenter d'impressionner le gérant, l'un des jeunes majeurs aurait asséné un coup de crosse au mineur, lui causant huit jours d'ITT (incapacité totale de travail).
Le bijoutier, qui dispose d'une licence de tir sportif, avait fait usage d'un pistolet semi-automatique, faisant fuir les malfaiteurs et blessant l'un d'eux à une main. Repartis à pied, les deux braqueurs avaient été rapidement interpellés par des policiers de la BAC Courbevoie, non loin de là, dans le parc Robinson qui borde la Seine. Les fonctionnaires ont retrouvé sur eux un sac contenant leur butin ainsi que deux armes de poing. Agés de 16 à 18 ans, les trois garàons sont originaires de Seine-Saint-Denis et connus des services de police.
Une enquête distincte a été ouverte pour déterminer dans quel contexte le commerçant a fait feu, a ajouté la source judiciaire.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/asnieres-trois-jeunes-ecroues-pour-le-braquage-d-une-bijouterie-30-12-2011-1789653.php
Le bijoutier a blessé un malafaiteur à feu
Mardi, vers 12h30, deux hommes casqués et munis d'armes de poing pénètraient dans la bijouterie à la suite d'un complice, âgé de 16 ans, qui s'était fait passer pour un client. Pour tenter d'impressionner le gérant, l'un des jeunes majeurs aurait asséné un coup de crosse au mineur, lui causant huit jours d'ITT (incapacité totale de travail).
Le bijoutier, qui dispose d'une licence de tir sportif, avait fait usage d'un pistolet semi-automatique, faisant fuir les malfaiteurs et blessant l'un d'eux à une main. Repartis à pied, les deux braqueurs avaient été rapidement interpellés par des policiers de la BAC Courbevoie, non loin de là, dans le parc Robinson qui borde la Seine. Les fonctionnaires ont retrouvé sur eux un sac contenant leur butin ainsi que deux armes de poing. Agés de 16 à 18 ans, les trois garàons sont originaires de Seine-Saint-Denis et connus des services de police.
Une enquête distincte a été ouverte pour déterminer dans quel contexte le commerçant a fait feu, a ajouté la source judiciaire.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/asnieres-trois-jeunes-ecroues-pour-le-braquage-d-une-bijouterie-30-12-2011-1789653.php
L'hôpital de Pau coupable de "faute
L'hôpital de Pau a été reconnu coupable de "faute" pour n'avoir pas réalisé à temps un examen ophtalmologique sur un bébé né prématurément en 2003 qui aurait permis de diagnostiquer sa cécité et de l'opérer en conséquence.
Dans son jugement rendu hier, le tribunal administratif de Pau a reconnu "la responsabilité pour faute" du centre hospitalier qui aurait dû, selon l'avocat de la famille, réaliser un examen du fond de l'oeil sur l'enfant dans un délai de quatre semaines, ce qui aurait permis de déceler "la rétinopathie du prématuré" dont il souffrait et de pratiquer une intervention chirurgicale.
"Si un fond d'oeil avait été pratiqué à 4 semaines de vie sur l'enfant né grand prématuré, on aurait pu entreprendre des traitements qui auraient pu empêcher la cécité totale", a expliqué Me Thierry Sagardoytho.
Une indemnité de 15.000 euros a été allouée aux parents de l'enfant, aujourd'hui âgé de 8 ans, mais le montant total des dommages et intérêts que l'hôpital devra verser sera calculé après une nouvelle expertise médicale dans deux ans lorsque l'enfant aura atteint l'âge de 10 ans, a précisé l'avocat.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/30/97001-20111230FILWWW00237-l-hopital-de-pau-coupable-de-faute.php
Dans son jugement rendu hier, le tribunal administratif de Pau a reconnu "la responsabilité pour faute" du centre hospitalier qui aurait dû, selon l'avocat de la famille, réaliser un examen du fond de l'oeil sur l'enfant dans un délai de quatre semaines, ce qui aurait permis de déceler "la rétinopathie du prématuré" dont il souffrait et de pratiquer une intervention chirurgicale.
"Si un fond d'oeil avait été pratiqué à 4 semaines de vie sur l'enfant né grand prématuré, on aurait pu entreprendre des traitements qui auraient pu empêcher la cécité totale", a expliqué Me Thierry Sagardoytho.
Une indemnité de 15.000 euros a été allouée aux parents de l'enfant, aujourd'hui âgé de 8 ans, mais le montant total des dommages et intérêts que l'hôpital devra verser sera calculé après une nouvelle expertise médicale dans deux ans lorsque l'enfant aura atteint l'âge de 10 ans, a précisé l'avocat.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/30/97001-20111230FILWWW00237-l-hopital-de-pau-coupable-de-faute.php
Une motarde de 25 ans décède de ses blessures
Marine Faure a été inhumée dans la plus stricte intimité, hier après-midi, au cimetière de Cézan, la commune où elle vivait. Marine est la 22e personne qui a perdu la vie sur les routes du Gers cette année. Elle est décédée le jour de Noël, des suites de ses blessures. Son mari avait perdu le contrôle de sa moto le dimanche précédant, à 500 mètres de la maison familiale qui n'était autre que celle des parents de Marine, au lieu-dit Latapie. La jeune femme, âgée de 25 ans, avait mis le casque en montant derrière son mari. Mais elle avait été éjectée sous la violence du choc, et le casque avec elle. Sa tête était venue frapper un arbre qui se situait à quelques mètres. C'est donc dans un état grave qu'elle avait été héliportée sur Toulouse. Malheureusement, elle n'est jamais sortie du coma. Ce nouveau drame rappelle à tous qu'il faut rester vigilant sur la route. A méditer à la veille du réveillon.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/30/1250295-une-motarde-decede-de-ses-blessures.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/30/1250295-une-motarde-decede-de-ses-blessures.html
Braquage éclair à la Poste du Viguier
Braquage éclair, hier matin vers 9 h 15 au bureau de poste du Viguier. Deux hommes encagoulés et armés ont profité de la sortie d’un client pour faire brusquement irruption dans l’agence, située sur une placette qui jouxte le petit centre commercial du quartier.
Après avoir violemment poussé la porte d’entrée, dont la vitre s’est brisée en cognant contre le mur du bureau, ceux-ci, brandissant, l’un une arme de poing, l’autre un couteau, ont intimé aux deux employés de leur remettre le contenu de la caisse.
Leur forfait prestement commis - la scène, qui s’est déroulée en présence d’un seul client, âgé d’une trentaine d’années, n’aurait même pas duré une minute... - les deux hommes, jeunes et déterminés, tout de noir vêtus, ont pris la fuite, via un passage sous l’immeuble qui abrite La Poste et qui donne sur une ruelle discrète. Hier soir, on ignorait si le duo s’est enfui à pied ou en voiture.
Déjà braquée il y a un an
Les employés de l’agence postale, une femme et un homme âgés d’une quarantaine d’années, n’ont opposé aucune résistance, comme toutes les banques en donnent consigne en pareilles circonstances.
Selon nos informations, les deux braqueurs seraient repartis avec un butin en liquide qui pourrait s’élever à près de 5 000 €.
Très rapidement alertés, les policiers du commissariat se sont rendus sur les lieux du hold-up pour entendre les agents de La Poste, le client présent ainsi que les rares témoins de la scène. Des techniciens de la police scientifique du commissariat sont également intervenus, pour relever, sur place, tous les indices et éléments exploitables. Dans la foulée, le parquet de Carcassonne a confié les investigations à l’antenne perpignanaise du SRPJ de Montpellier.
Sur place, ce braquage, commis presque un an jour pour jour après un précédent, a suscité la consternation : "C’est pas des jeunes du quartier qui ont fait ça, c’est pas possible", estimait un résident. "C’est mal, ça... S’ils ferment la Poste, comment on va faire, nous ?", s’interrogeait un autre habitant, plus âgé. De fait, hier, le bureau du Viguier est resté fermé toute la journée. Sa réouverture n’est pas fixée.
Après avoir violemment poussé la porte d’entrée, dont la vitre s’est brisée en cognant contre le mur du bureau, ceux-ci, brandissant, l’un une arme de poing, l’autre un couteau, ont intimé aux deux employés de leur remettre le contenu de la caisse.
Leur forfait prestement commis - la scène, qui s’est déroulée en présence d’un seul client, âgé d’une trentaine d’années, n’aurait même pas duré une minute... - les deux hommes, jeunes et déterminés, tout de noir vêtus, ont pris la fuite, via un passage sous l’immeuble qui abrite La Poste et qui donne sur une ruelle discrète. Hier soir, on ignorait si le duo s’est enfui à pied ou en voiture.
Déjà braquée il y a un an
Les employés de l’agence postale, une femme et un homme âgés d’une quarantaine d’années, n’ont opposé aucune résistance, comme toutes les banques en donnent consigne en pareilles circonstances.
Selon nos informations, les deux braqueurs seraient repartis avec un butin en liquide qui pourrait s’élever à près de 5 000 €.
Très rapidement alertés, les policiers du commissariat se sont rendus sur les lieux du hold-up pour entendre les agents de La Poste, le client présent ainsi que les rares témoins de la scène. Des techniciens de la police scientifique du commissariat sont également intervenus, pour relever, sur place, tous les indices et éléments exploitables. Dans la foulée, le parquet de Carcassonne a confié les investigations à l’antenne perpignanaise du SRPJ de Montpellier.
Sur place, ce braquage, commis presque un an jour pour jour après un précédent, a suscité la consternation : "C’est pas des jeunes du quartier qui ont fait ça, c’est pas possible", estimait un résident. "C’est mal, ça... S’ils ferment la Poste, comment on va faire, nous ?", s’interrogeait un autre habitant, plus âgé. De fait, hier, le bureau du Viguier est resté fermé toute la journée. Sa réouverture n’est pas fixée.
Le 11 décembre 2010, déjà…
Ce braquage survient presque un an, jour pour jour, après un premier hold-up dans le même établissement : le 11 décembre 2010, vers 9 h 30, un trio armé et encagoulé s’était déjà fait remettre le contenu de la caisse. Vêtus de noir et encagoulés, les trois malfaiteurs, porteurs d’armes de poing, et plus fébriles que le duo qui a sévi hier matin, avaient emporté le contenu des caisses des deux guichets, soit une somme estimée, à l’époque, à environ 5 000 €. Malgré l’important dispositif policier déployé, les trois hommes n’avaient pu être interceptés.Dégradations à la gare
Un cheminot, bientôt retraité, passe un coup de gueule. Le patrimoine de son entreprise est laissé à l'abandon. Les pilleurs en profitent.
IL N'Y VA PAS par quatre chemins, Jean-Claude Discazeaux. Cet agent de la SNCF est « écœuré », « scandalisé », « agacé ». Et il en veut particulièrement à sa hiérarchie. Mais qu'est-ce qui met donc dans cet état ce cheminot bientôt retraité ? « Je ne travaillais pas, en fin de semaine dernière et je suis passé à côté de la gare quand j'ai vu que la maison était ouverte », explique celui qui est connu aussi sous le surnom de « Dax ».
La maison, c'est une grande bâtisse de pierre à 100 mètres de la gare, derrière les parkings, dans le prolongement de celle où un SDF avait péri dans un incendie. Une habitation coupée en deux qui servait, il y a encore un an, de logement de fonction aux agents SNCF. Quand le dernier occupant des lieux a pris sa retraite, il a été prié de quitter les lieux rapidement. Depuis, ce patrimoine immobilier est à l'abandon.
Des radiateurs prêts pour être revendus
« Je suis allé voir par moi-même pourquoi c'était ouvert. Et là, j'ai vu qu'à l'intérieur, tout était démonté, tous les fils électriques arrachés. Tous les radiateurs en fonte proprement démontés, stockés dans l'entrée, prêts à partir et à être revendus. Quant au cuivre, il est déjà parti ! », gronde le cheminot.
L'ancien délégué du personnel FO, qui a laissé sa place de syndicaliste avant de partir, bout : « Tout le monde s'en fout ! Mes patrons gardent leurs chaussons au pied et passent les fêtes ! C'est un scandale de laisser ces maisons, en partant du buffet de la gare jusqu'à celles-ci, à l'abandon, de laisser partir le patrimoine comme ça. Et nous, quand on a besoin d'une paire de gants, on doit pleurer ! »
« C'est trop loin »
Pour cet agent qui travaille sur les voies, le volet sur la sécurité dans ce dossier est négligé par sa hiérarchie. « Les rails passent juste derrière en aplomb. » Quand il a constaté les dégâts, en fin de semaine, Jean-Claude Discazeaux a appelé la police « et la police SNCF ». La première s'est déplacée sur les lieux. La venue des fonctionnaires et de Dax a fait fuir deux squatters dans un appartement. « Vous imaginez si quelqu'un jette quelque chose sur la voie ? »
La seconde ne s'est pas déplacée : « " On n'a personne à vous envoyer, c'est trop loin ", qu'on m'a répondu. Il n'y a rien qui va… Dans la gare, il n'y a plus de chauffage, mais dans les anciens bureaux, qui sont vides maintenant, il y en a ! »
Ces anciens bureaux, ce sont des bâtiments situés à côté de l'ancien buffet : « Regardez à quoi ça ressemble. Quelle image on a de la ville quand on arrive de Paris ? D'abord ces logements vides, en friche, ensuite ces bureaux fermés et enfin le buffet de la gare avec ses fenêtres fermées par du contre-plaqué. Que font nos élus de Belleu et de Soissons ? »
Le directeur de cabinet du mairedéclarait récemment, à la faveur d'un vœu au conseil municipal, ceci : « L'objectif pour nous est de trouver et de rencontrer les bons interlocuteurs dans la " nébuleuse " de filiales de RFF pour travailler sur la requalification de ce lieu de passage intense, son intégration dans l'environnement et connaître les projets éventuels de la SNCF et de RFF. » Pendant ce temps, certains se servent.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/degradations-a-la-gare
IL N'Y VA PAS par quatre chemins, Jean-Claude Discazeaux. Cet agent de la SNCF est « écœuré », « scandalisé », « agacé ». Et il en veut particulièrement à sa hiérarchie. Mais qu'est-ce qui met donc dans cet état ce cheminot bientôt retraité ? « Je ne travaillais pas, en fin de semaine dernière et je suis passé à côté de la gare quand j'ai vu que la maison était ouverte », explique celui qui est connu aussi sous le surnom de « Dax ».
La maison, c'est une grande bâtisse de pierre à 100 mètres de la gare, derrière les parkings, dans le prolongement de celle où un SDF avait péri dans un incendie. Une habitation coupée en deux qui servait, il y a encore un an, de logement de fonction aux agents SNCF. Quand le dernier occupant des lieux a pris sa retraite, il a été prié de quitter les lieux rapidement. Depuis, ce patrimoine immobilier est à l'abandon.
Des radiateurs prêts pour être revendus
« Je suis allé voir par moi-même pourquoi c'était ouvert. Et là, j'ai vu qu'à l'intérieur, tout était démonté, tous les fils électriques arrachés. Tous les radiateurs en fonte proprement démontés, stockés dans l'entrée, prêts à partir et à être revendus. Quant au cuivre, il est déjà parti ! », gronde le cheminot.
L'ancien délégué du personnel FO, qui a laissé sa place de syndicaliste avant de partir, bout : « Tout le monde s'en fout ! Mes patrons gardent leurs chaussons au pied et passent les fêtes ! C'est un scandale de laisser ces maisons, en partant du buffet de la gare jusqu'à celles-ci, à l'abandon, de laisser partir le patrimoine comme ça. Et nous, quand on a besoin d'une paire de gants, on doit pleurer ! »
« C'est trop loin »
Pour cet agent qui travaille sur les voies, le volet sur la sécurité dans ce dossier est négligé par sa hiérarchie. « Les rails passent juste derrière en aplomb. » Quand il a constaté les dégâts, en fin de semaine, Jean-Claude Discazeaux a appelé la police « et la police SNCF ». La première s'est déplacée sur les lieux. La venue des fonctionnaires et de Dax a fait fuir deux squatters dans un appartement. « Vous imaginez si quelqu'un jette quelque chose sur la voie ? »
La seconde ne s'est pas déplacée : « " On n'a personne à vous envoyer, c'est trop loin ", qu'on m'a répondu. Il n'y a rien qui va… Dans la gare, il n'y a plus de chauffage, mais dans les anciens bureaux, qui sont vides maintenant, il y en a ! »
Ces anciens bureaux, ce sont des bâtiments situés à côté de l'ancien buffet : « Regardez à quoi ça ressemble. Quelle image on a de la ville quand on arrive de Paris ? D'abord ces logements vides, en friche, ensuite ces bureaux fermés et enfin le buffet de la gare avec ses fenêtres fermées par du contre-plaqué. Que font nos élus de Belleu et de Soissons ? »
Le directeur de cabinet du mairedéclarait récemment, à la faveur d'un vœu au conseil municipal, ceci : « L'objectif pour nous est de trouver et de rencontrer les bons interlocuteurs dans la " nébuleuse " de filiales de RFF pour travailler sur la requalification de ce lieu de passage intense, son intégration dans l'environnement et connaître les projets éventuels de la SNCF et de RFF. » Pendant ce temps, certains se servent.
http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/degradations-a-la-gare
jeudi 29 décembre 2011
Un trio masqué braque un supermarché
Le supermarché de La Charité-sur-Loire, dans la Nièvre mercredi soir. Le magasin vient de fermer et sept employés s'affairent encore à l'intérieur. Soudain, trois hommes font irruption. Ils sont armés de matraques et de bombes lacrymogènes. Leurs visages sont cachés par des masques, dont l'un est tiré du film Scream.
La suite de l'histoire, révélée dans le Journal du Centre, c'est la gendarmerie qui la raconte. "Ils se sont fait remettre le fonds de caisse, l'argent qui se trouvait dans le coffre et dans un distributeur automatique de billet", raconte-elle. La scène dure quelques minutes seulement. Les braqueurs ont agi avec "détermination" et "sans-froid", précise la gendarme qui précise qu'aucun employé n'a été blessé. Montant estimé du butin : 18.000 euros.
Dans la saga de films d'horreur "Scream" de Wes Craven, un tueur en série arbore un masque blanc et au menton allongé faisant référence au célèbre tableau du peintre norvégien Edvard Munch, "Le Cri".
La suite de l'histoire, révélée dans le Journal du Centre, c'est la gendarmerie qui la raconte. "Ils se sont fait remettre le fonds de caisse, l'argent qui se trouvait dans le coffre et dans un distributeur automatique de billet", raconte-elle. La scène dure quelques minutes seulement. Les braqueurs ont agi avec "détermination" et "sans-froid", précise la gendarme qui précise qu'aucun employé n'a été blessé. Montant estimé du butin : 18.000 euros.
Dans la saga de films d'horreur "Scream" de Wes Craven, un tueur en série arbore un masque blanc et au menton allongé faisant référence au célèbre tableau du peintre norvégien Edvard Munch, "Le Cri".
Essonne/accident de la route : un mort
Un jeune est mort dans un accident de la route hier soir à Baulne (Essonne), et le conducteur et les trois autres passagers ont été grièvement blessés,selon des sources concordantes.
Vers 23h30, route de Corbeil, "le véhicule est sorti du virage, a percuté un arbre et fait plusieurs tonneaux", a indiqué la gendarmerie.
Sur les cinq jeunes âgés de 18 et 19 ans, quatre ont été éjectés et transportés dans un état grave vers les hôpitaux de la Salpêtrière à Paris, d'Evry (Essonne) et de Percy à Clamart (Hauts-de-Seine), ont précisé les pompiers.
Le cinquième est décédé sur place. Des analyses sont en cours pour déterminer leur taux d'alcoolémie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/29/97001-20111229FILWWW00237-essonneaccident-de-la-route-un-mort.php
Vers 23h30, route de Corbeil, "le véhicule est sorti du virage, a percuté un arbre et fait plusieurs tonneaux", a indiqué la gendarmerie.
Sur les cinq jeunes âgés de 18 et 19 ans, quatre ont été éjectés et transportés dans un état grave vers les hôpitaux de la Salpêtrière à Paris, d'Evry (Essonne) et de Percy à Clamart (Hauts-de-Seine), ont précisé les pompiers.
Le cinquième est décédé sur place. Des analyses sont en cours pour déterminer leur taux d'alcoolémie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/29/97001-20111229FILWWW00237-essonneaccident-de-la-route-un-mort.php
L’indécent marché noir autour des sept concerts des Enfoirés
Chaque année, près de 80 000 personnes assistent aux concerts des Enfoirés. En 2012, c’est la halle Tony-Garnier de Lyon qui accueillera les sept représentations.
L’événement étant l’un des plus courus de l’année, il est très difficile de se procurer des places. En à peine trois heures, les billets - vendus 43, 53 ou 65 euros - mis en vente le 29 novembre dernier dans seize magasins de la région, se sont arrachés.
Du coup, les candidats se tournent vers internet pour décrocher un sésame. Les Restos du Cœur ont d’ailleurs passé un partenariat avec le site zepass.com pour des ventes de particuliers, uniquement au prix d’achat du billet. Sauf qu’hier, il n’y en avait aucun de disponible.
Alors qu’on en trouve sur d’autres sites. Comme eBay, là aussi au prix d’achat. « eBay est extrêmement attentif et retire les ventes que nous dénonçons », expliquent les Restos du Cœur.
Mais plusieurs offres demandent de faire une proposition par mail. Ce que nous avons fait. La réponse du vendeur a été claire. « J’ai d’ores et déjà reçu plusieurs propositions d’achat à des tarifs supérieurs, je vous demanderais donc de me faire une meilleure offre ».
Le site starlight propose, lui, des places à 199 ou 249 euros. Avec des frais de port de 7,30 euros en sus. Soit des prix quasi multipliés par quatre.
Quant au site viagogo, la couleur est affichée d’entrée. Les places sont proposées par les vendeurs à des prix hallucinants. On en trouve ainsi de 129 à… 1 490 euros ! Sans compter les frais du site.
En clair, des particuliers tentent de se faire du beurre - et pas qu’un peu - sur le dos des Restos du Cœur. Qui ne veulent néanmoins pas commenter actuellement cette situation scandaleuse. Car ils ont entamé des procédures judiciaires contre plusieurs sites.
À une période où les Restos du Cœur manquent de 5 millions d’euros pour pouvoir nourrir tous les bénéficiaires, ce marché noir est indécent.
La solution pourrait bien venir des acheteurs. Sur eBay justement, il est conseillé de proposer deux chèques au vendeur en cas de prix plus élevé que celui de l’achat. Un chèque du prix de départ, et un autre chèque pour la différence. Mais à l’ordre des Restos du Cœur.
De nouvelles places vont être mises en vente courant janvier pour les sept concerts, qui se dérouleront du 1 er au 6 février. « Il s’agira de places debout » confient les Restos du Cœur, sans préciser combien de billets seront disponibles à la vente. « Il dépend de la finalisation de la mise en scène, de la taille de la scène et de l’emplacement des caméras ».
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/12/29/l-indecent-marche-noir-autour-des-sept-concerts-des-enfoires
L’événement étant l’un des plus courus de l’année, il est très difficile de se procurer des places. En à peine trois heures, les billets - vendus 43, 53 ou 65 euros - mis en vente le 29 novembre dernier dans seize magasins de la région, se sont arrachés.
Du coup, les candidats se tournent vers internet pour décrocher un sésame. Les Restos du Cœur ont d’ailleurs passé un partenariat avec le site zepass.com pour des ventes de particuliers, uniquement au prix d’achat du billet. Sauf qu’hier, il n’y en avait aucun de disponible.
Alors qu’on en trouve sur d’autres sites. Comme eBay, là aussi au prix d’achat. « eBay est extrêmement attentif et retire les ventes que nous dénonçons », expliquent les Restos du Cœur.
Mais plusieurs offres demandent de faire une proposition par mail. Ce que nous avons fait. La réponse du vendeur a été claire. « J’ai d’ores et déjà reçu plusieurs propositions d’achat à des tarifs supérieurs, je vous demanderais donc de me faire une meilleure offre ».
Le site starlight propose, lui, des places à 199 ou 249 euros. Avec des frais de port de 7,30 euros en sus. Soit des prix quasi multipliés par quatre.
Quant au site viagogo, la couleur est affichée d’entrée. Les places sont proposées par les vendeurs à des prix hallucinants. On en trouve ainsi de 129 à… 1 490 euros ! Sans compter les frais du site.
En clair, des particuliers tentent de se faire du beurre - et pas qu’un peu - sur le dos des Restos du Cœur. Qui ne veulent néanmoins pas commenter actuellement cette situation scandaleuse. Car ils ont entamé des procédures judiciaires contre plusieurs sites.
À une période où les Restos du Cœur manquent de 5 millions d’euros pour pouvoir nourrir tous les bénéficiaires, ce marché noir est indécent.
La solution pourrait bien venir des acheteurs. Sur eBay justement, il est conseillé de proposer deux chèques au vendeur en cas de prix plus élevé que celui de l’achat. Un chèque du prix de départ, et un autre chèque pour la différence. Mais à l’ordre des Restos du Cœur.
De nouvelles places vont être mises en vente courant janvier pour les sept concerts, qui se dérouleront du 1 er au 6 février. « Il s’agira de places debout » confient les Restos du Cœur, sans préciser combien de billets seront disponibles à la vente. « Il dépend de la finalisation de la mise en scène, de la taille de la scène et de l’emplacement des caméras ».
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/12/29/l-indecent-marche-noir-autour-des-sept-concerts-des-enfoires
Les voleurs repartent avec une voiture
Les gendarmes ne cessent de le répéter : Chez vous, ne laissez pas vos jeux de clés de voiture en évidence, même si vous vous trouvez présents afin, en quelque sorte de ne pas faciliter la tache aux voleurs.
Lundi, durant l'absence des propriétaires des lieux, un corps de ferme situé rue du Général-Leclerc à Travecy a été cambriolé. Un ou des individus se sont introduits à l'intérieur, en fracturant une porte donnant sur la cour, entre lundi 14 heures et mardi 1 heure du matin.
Une fois à l'intérieur, le ou les cambrioleurs n'ont eu qu'à fouiller les poches d'un blouson laissé sur une chaise dans le salon pour trouver les clés de la Peugeot 206 garée juste devant. Avant de repartir à bord de la voiture, le ou les voleurs ont également emporté une montre festina et 20 euros en argent liquide.
Une plainte a été déposée. Les gendarmes de Chauny sont venus procéder aux constatations dans le cadre de l'enquête ouverte.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-voleurs-repartent-avec-une-voiture
Lundi, durant l'absence des propriétaires des lieux, un corps de ferme situé rue du Général-Leclerc à Travecy a été cambriolé. Un ou des individus se sont introduits à l'intérieur, en fracturant une porte donnant sur la cour, entre lundi 14 heures et mardi 1 heure du matin.
Une fois à l'intérieur, le ou les cambrioleurs n'ont eu qu'à fouiller les poches d'un blouson laissé sur une chaise dans le salon pour trouver les clés de la Peugeot 206 garée juste devant. Avant de repartir à bord de la voiture, le ou les voleurs ont également emporté une montre festina et 20 euros en argent liquide.
Une plainte a été déposée. Les gendarmes de Chauny sont venus procéder aux constatations dans le cadre de l'enquête ouverte.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-voleurs-repartent-avec-une-voiture
mercredi 28 décembre 2011
Une enseignante de Pau suspendue pour avoir évoqué par mail des éléments du bac 2012
Une enseignante d'un lycée de Pau a été suspendue pour avoir évoqué auprès de ses collègues des éléments du contenu des futures épreuves du baccalauréat 2012, pour lesquelles elle avait été appelée à tester les sujets, a-t-on appris auprès du rectorat des Pyrénées-Atlantiques.
Après les tests, l'enseignante a envoyé des courriers électroniques à certains de ses collègues dans lesquels elle a évoqué le contenu des épreuves, sans en livrer toutefois les intitulés, a indiqué le rectorat, confirmant une information de France bleu Béarn.
Selon la radio, l'enseignante aurait tenté d'effacer ses messages, mais a été dénoncée par un de ses collègues.
Elle a été suspendue dans l'attente d'un passage devant le conseil de discipline, a précisé le rectorat à un correspondant de l'AFP.
"Les sujets sont testés par des enseignants pour vérifier qu'ils ne comportent pas d'erreur", a indiqué le secrétaire général du rectorat, André Eyssautier, mais "on ne peut pas se permettre qu'un sujet soit connu ou que des éléments relatifs aux sujets soient connus. C'est une faute professionnelle", a-t-il estimé.
http://www.liberation.fr/depeches/01012380196-une-enseignante-de-pau-suspendue-pour-avoir-evoque-par-mail-des-elements-du-bac-2012
Après les tests, l'enseignante a envoyé des courriers électroniques à certains de ses collègues dans lesquels elle a évoqué le contenu des épreuves, sans en livrer toutefois les intitulés, a indiqué le rectorat, confirmant une information de France bleu Béarn.
Selon la radio, l'enseignante aurait tenté d'effacer ses messages, mais a été dénoncée par un de ses collègues.
Elle a été suspendue dans l'attente d'un passage devant le conseil de discipline, a précisé le rectorat à un correspondant de l'AFP.
"Les sujets sont testés par des enseignants pour vérifier qu'ils ne comportent pas d'erreur", a indiqué le secrétaire général du rectorat, André Eyssautier, mais "on ne peut pas se permettre qu'un sujet soit connu ou que des éléments relatifs aux sujets soient connus. C'est une faute professionnelle", a-t-il estimé.
http://www.liberation.fr/depeches/01012380196-une-enseignante-de-pau-suspendue-pour-avoir-evoque-par-mail-des-elements-du-bac-2012
Faux remboursements et système pyramidal, les arnaques de fin d'année
Au cours de ces dernières heures, plusieurs de nos lecteurs ont été surpris et étonnés de recevoir sur leurs mails une proposition de remboursement d'une partie de leurs impôts. Une manœuvre frauduleuse lancée à grande échelle parmi tant d'autres.
Les escrocs ne connaissent pas la trêve de fin d'année. Bien au contraire ! Au cours de ces dernières heures, bon nombre de Tarn-et-Garonnais ont reçu dans leur boîte mails une missive qui semblait provenir des services de l'état les informant de la possibilité de remboursement d'une partie de leurs impôts. Le Père Noël est vraiment généreux cette année ! Mais voilà, il faut savoir se méfier des imitations. En effet, des individus fort mal intentionnés ont, de fait, ressorti une arnaque qui peut aboutir assez aisément en cette période de difficultés économiques.
Comme nous l'indiquions en préambule, beaucoup d'internautes, ont reçu au cours de ces derniers temps, un mail qui leur annonçait qu'après de nouveaux calculs, « nous avons déterminé que vous êtes admissible au remboursement d'impôts de 223,37 € » (notre édition d'hier). Une somme qui est toujours la même quel que soit à l'internaute à qui le message est envoyé.
Un message électronique qui est signé de très officielle la Direction générale des finances publiques. L'auteur (vous) invite à remplir un formulaire dans lequel des informations personnelles, bien entendu, sont demandées parmi lesquelles le numéro de carte de crédit, sa date d'expiration et le code de sécurité. Avec ces éléments en main, les escrocs n'ont alors aucune peine à effectuer des achats sur internet et ainsi piller sciemment le compte en banque des personnes qui ont mordu à l'hameçon. La direction des finances, pour sa part, a confié qu'il n'existe que deux moyens pour effectuer ce type de remboursements, par virement ou bien lettre-chèque. Un site permet de signaler toute escroquerie de ce genre : internet-signalement.gouv.fr.
Souvent l'insistance des démarcheurs suffit pour convaincre les futures victimes à faire virer une grande partie des économies d'une vie sur un compte bancaire. Compte bien souvent situé dans un pays étranger.
Il arrive même que les escrocs accompagnent leurs victimes jusqu'à la banque pour parachever leurs desseins. Ces arnaques pyramidales, appelées aussi chaîne de Ponzi, reposent principalement sur des promesses de profits inédits, entraînant un afflux de capitaux, qui entretiennent le « contrat » initial, jusqu'à l'explosion de la bulle spéculative ainsi créée, au bénéfice de l'initiateur de la chaîne. Le système est viable tant que la clientèle afflue, attirée en masse par les promesses financières (et d'autant plus tentantes que les premiers investisseurs sont satisfaits et font une formidable publicité au placement). Les premiers clients, trop heureux de ce formidable placement, reviennent dans la chaîne eux aussi, s'ajoutant à tous ceux qu'ils ont convaincus. Le phénomène fait alors boule de neige, entretenu tant que l'argent rentre et permet de payer à 100 % les nouveaux investisseurs. Lorsque la chaîne se coupe, la bulle éclate : tous les derniers investisseurs sont spoliés. Dans ce chapitre consacré aux arnaques ne pas négliger également les trop bonnes affaires (voitures, bijoux, matériel informatique, etc.) que l'on peut se procurer à bon prix dans un pays africain en le réglant très souvent avec un mandat et ce par le biais de la Western Union. L'argent est très rapidement encaissé et l'achat n'est jamais livré à son expéditeur.Il n'y a plus qu'à prendre la direction de la gendarmerie ou du commissariat afin d'y déposer plainte mais sans grand espoir de récupérer l'argent escroqué.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/28/1248976-entre-faux-remboursements-d-impots-et-systeme-pyramide.html
Les escrocs ne connaissent pas la trêve de fin d'année. Bien au contraire ! Au cours de ces dernières heures, bon nombre de Tarn-et-Garonnais ont reçu dans leur boîte mails une missive qui semblait provenir des services de l'état les informant de la possibilité de remboursement d'une partie de leurs impôts. Le Père Noël est vraiment généreux cette année ! Mais voilà, il faut savoir se méfier des imitations. En effet, des individus fort mal intentionnés ont, de fait, ressorti une arnaque qui peut aboutir assez aisément en cette période de difficultés économiques.
Comme nous l'indiquions en préambule, beaucoup d'internautes, ont reçu au cours de ces derniers temps, un mail qui leur annonçait qu'après de nouveaux calculs, « nous avons déterminé que vous êtes admissible au remboursement d'impôts de 223,37 € » (notre édition d'hier). Une somme qui est toujours la même quel que soit à l'internaute à qui le message est envoyé.
Un message électronique qui est signé de très officielle la Direction générale des finances publiques. L'auteur (vous) invite à remplir un formulaire dans lequel des informations personnelles, bien entendu, sont demandées parmi lesquelles le numéro de carte de crédit, sa date d'expiration et le code de sécurité. Avec ces éléments en main, les escrocs n'ont alors aucune peine à effectuer des achats sur internet et ainsi piller sciemment le compte en banque des personnes qui ont mordu à l'hameçon. La direction des finances, pour sa part, a confié qu'il n'existe que deux moyens pour effectuer ce type de remboursements, par virement ou bien lettre-chèque. Un site permet de signaler toute escroquerie de ce genre : internet-signalement.gouv.fr.
Une drôle de pyramide
Par ailleurs, un de nos lecteurs Joël C. qui réside dans la région de Nègrepelisse nous a alertés sur une autre forme d'arnaque qui va bon train également en cette fin d'année. Il apparaît que des personnes assez peu scrupuleuses proposent des placements de l'ordre de 10 % par mois. Des taux proposés qui dépassent l'entendement en cette période de crise financière. Pour cela, les escrocs démarchent des personnes en état de faiblesse, en leur faisant miroiter des taux mirobolants pour des placements où il n'existe aucun contrat.Souvent l'insistance des démarcheurs suffit pour convaincre les futures victimes à faire virer une grande partie des économies d'une vie sur un compte bancaire. Compte bien souvent situé dans un pays étranger.
Il arrive même que les escrocs accompagnent leurs victimes jusqu'à la banque pour parachever leurs desseins. Ces arnaques pyramidales, appelées aussi chaîne de Ponzi, reposent principalement sur des promesses de profits inédits, entraînant un afflux de capitaux, qui entretiennent le « contrat » initial, jusqu'à l'explosion de la bulle spéculative ainsi créée, au bénéfice de l'initiateur de la chaîne. Le système est viable tant que la clientèle afflue, attirée en masse par les promesses financières (et d'autant plus tentantes que les premiers investisseurs sont satisfaits et font une formidable publicité au placement). Les premiers clients, trop heureux de ce formidable placement, reviennent dans la chaîne eux aussi, s'ajoutant à tous ceux qu'ils ont convaincus. Le phénomène fait alors boule de neige, entretenu tant que l'argent rentre et permet de payer à 100 % les nouveaux investisseurs. Lorsque la chaîne se coupe, la bulle éclate : tous les derniers investisseurs sont spoliés. Dans ce chapitre consacré aux arnaques ne pas négliger également les trop bonnes affaires (voitures, bijoux, matériel informatique, etc.) que l'on peut se procurer à bon prix dans un pays africain en le réglant très souvent avec un mandat et ce par le biais de la Western Union. L'argent est très rapidement encaissé et l'achat n'est jamais livré à son expéditeur.Il n'y a plus qu'à prendre la direction de la gendarmerie ou du commissariat afin d'y déposer plainte mais sans grand espoir de récupérer l'argent escroqué.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/28/1248976-entre-faux-remboursements-d-impots-et-systeme-pyramide.html
Le Briançon-Grenoble en panne... de gasoil
J’ai cru que c’était une blague ». Hier matin, Murielle Brierre, habitante de Briançon travaillant à Gap dans la grande distribution, s’est vue contrainte de prendre le car de la Scal pour se rendre sur son lieu de travail. Elle est une habituée du train Briançon-Grenoble de 6 h 09 qui lui permet d’arriver à Gap aux alentours de 7 h 30. « Plus rapide que le car », explique-t-elle. Pas cette fois.
« Ce matin [hier matin], j’attendais comme d’habitude mon train sur le quai. Quinze minutes plus tard, le train n’était toujours pas là. Personne n’est venu nous dire quoi que ce soit. Ce sont nous, les passagers, qui sommes allés chercher le cheminot pour nous renseigner. Il nous a dit qu’il n’y avait plus de gasoil et qu’il fallait que nous attendions au minimum une heure », campe-t-elle.
« Lundi dernier, je devais rentrer de Gap sur Briançon par le train de 17 h 30, renchérit-elle. Ce dernier n’est même pas passé. »
Pour finir d’achever le moral de cette cliente fidèle, cela fait six mois qu’elle attend un remboursement, pour un précédent retard. Si bien que, « malgré le petit bulletin qu’on m’a remis en gare, je ne vais pas me faire rembourser », indique Murielle Brierre, désabusée. C’est trop compliqué. »
La SNCF indique qu’il s’agissait d’une « mesure de précaution prise par le conducteur qui ne voulait pas prendre le risque de ne pas pouvoir rejoindre Grenoble. Le train est parti avec 43 minutes de retard, qu’il a en partie rattrapé en route, arrivant à Grenoble avec seulement 20 minutes de retard. »
Murielle Brierre est arrivée à Gap, à 8 h 30, par le car. Soit avec un retard d’une heure sur ses habitudes
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2011/12/27/le-briancon-grenoble-en-rade-de-gasoil
« Ce matin [hier matin], j’attendais comme d’habitude mon train sur le quai. Quinze minutes plus tard, le train n’était toujours pas là. Personne n’est venu nous dire quoi que ce soit. Ce sont nous, les passagers, qui sommes allés chercher le cheminot pour nous renseigner. Il nous a dit qu’il n’y avait plus de gasoil et qu’il fallait que nous attendions au minimum une heure », campe-t-elle.
« Lundi dernier, je devais rentrer de Gap sur Briançon par le train de 17 h 30, renchérit-elle. Ce dernier n’est même pas passé. »
Pour finir d’achever le moral de cette cliente fidèle, cela fait six mois qu’elle attend un remboursement, pour un précédent retard. Si bien que, « malgré le petit bulletin qu’on m’a remis en gare, je ne vais pas me faire rembourser », indique Murielle Brierre, désabusée. C’est trop compliqué. »
La SNCF indique qu’il s’agissait d’une « mesure de précaution prise par le conducteur qui ne voulait pas prendre le risque de ne pas pouvoir rejoindre Grenoble. Le train est parti avec 43 minutes de retard, qu’il a en partie rattrapé en route, arrivant à Grenoble avec seulement 20 minutes de retard. »
Murielle Brierre est arrivée à Gap, à 8 h 30, par le car. Soit avec un retard d’une heure sur ses habitudes
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2011/12/27/le-briancon-grenoble-en-rade-de-gasoil
Père, fils et neveu pris pour vol de gasoil
Vers 3 heures dans la nuit de dimanche à lundi, une équipe du peloton de surveillance et d'intervention des gendarmes de Laon a contrôlé à Mons-en-Laonnois un véhicule occupé par trois personnes, un homme habitant Etaves et Bocquiaux, son fils et son neveu, tous deux âgés de 16 ans.
En effectuant ce contrôle, les gendarmes ont trouvé des cagoules, des gants et des lampes, objets qu'on avait voulu dissimuler à leur approche. Les gendarmes ont en conséquence l'ouverture du coffre et ils ont alors découvert six bidons de 20 litres de gasoil, résultat d'un vol qui avait été commis dans un poids lourd stationné en bordure de la RN 44.
Le papa, son fils et son neveu ont été placés en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie d'Anizy-le-Château. Ils ont reconnu les faits qui leur étaient reprochés.
Le père comparaîtra prochainement devant le tribunal de Laon, tandis que le parquet de Saint-Quentin décidera du sort des deux mineurs impliqués.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/pere-fils-et-neveu-pris-pour-vol-de-gasoil?mobile=mobile
En effectuant ce contrôle, les gendarmes ont trouvé des cagoules, des gants et des lampes, objets qu'on avait voulu dissimuler à leur approche. Les gendarmes ont en conséquence l'ouverture du coffre et ils ont alors découvert six bidons de 20 litres de gasoil, résultat d'un vol qui avait été commis dans un poids lourd stationné en bordure de la RN 44.
Le papa, son fils et son neveu ont été placés en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie d'Anizy-le-Château. Ils ont reconnu les faits qui leur étaient reprochés.
Le père comparaîtra prochainement devant le tribunal de Laon, tandis que le parquet de Saint-Quentin décidera du sort des deux mineurs impliqués.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/pere-fils-et-neveu-pris-pour-vol-de-gasoil?mobile=mobile
mardi 27 décembre 2011
Une piétonne de 67 ans grièvement blessée à Jarny
Vive émotion, hier, dans le centre-ville de Jarny. Peu avant 15h30, l’alerte est donnée pour un accident de la circulation impliquant une piétonne et un automobiliste. À l’arrivée des secours, la victime âgée de 67 ans est étendue sur la chaussée. Son état de santé préoccupe rapidement les sapeurs-pompiers de la commune. Les médecins du Smur de Briey ne tardent pas à être demandés sur les lieux.
Touchée notamment à la tête, la sexagénaire est soignée sur place durant plus d’une heure. Face à la gravité de ses blessures, les médecins envisagent alors de l’évacuer par la voie des airs.
Les conditions météorologiques sont finalement jugées peu propices à un héliportage. De fait, aux alentours de 17h, la victime est conduite à l’hôpital Central de Nancy en ambulance. Selon les représentants du corps médical, son pronostic vital est engagé. D’après les premiers éléments recueillis par les policiers locaux, la sexagénaire serait domiciliée à Marly, à côté de Metz. Dans des circonstances restant à définir, elle a été renversée au milieu d’un trafic routier très dense. Cet accident a d’ailleurs occasionné d’importants ralentissements dans la traversée de la ville
http://www.republicain-lorrain.fr/meurthe-et-moselle/2011/12/27/une-pietonne-de-67-ans-grievement-blessee-a-jarny
Touchée notamment à la tête, la sexagénaire est soignée sur place durant plus d’une heure. Face à la gravité de ses blessures, les médecins envisagent alors de l’évacuer par la voie des airs.
Les conditions météorologiques sont finalement jugées peu propices à un héliportage. De fait, aux alentours de 17h, la victime est conduite à l’hôpital Central de Nancy en ambulance. Selon les représentants du corps médical, son pronostic vital est engagé. D’après les premiers éléments recueillis par les policiers locaux, la sexagénaire serait domiciliée à Marly, à côté de Metz. Dans des circonstances restant à définir, elle a été renversée au milieu d’un trafic routier très dense. Cet accident a d’ailleurs occasionné d’importants ralentissements dans la traversée de la ville
http://www.republicain-lorrain.fr/meurthe-et-moselle/2011/12/27/une-pietonne-de-67-ans-grievement-blessee-a-jarny
Un gâteau aux stupéfiants à l'origine de la mort d'un couple
Le mercredi 24 août, un couple de sans-abris était retrouvé mort dans un appartement du centre-ville de Fontenay-le-Comte en Vendée. Un ami leur avait confectionné un «space cake», gâteau fortement chargé en pavot, qui a entraîné une overdose.
Les victimes, âgés de 28 et 30 ans, sont décédées par obstruction des voies respiratoires. C'est leur ami qui avait prévenu les secours, après être lui-même sorti dans un état second. Cet homme de 26 ans est poursuivi pour homicides involontaires et infraction aux stupéfiants. Il comparaîtra libre, le 27 février, au tribunal correctionnel de La Roche-sur-Yon.
Ivre, il bouscule le retraité et lui casse une dent
Les romans de chevalerie ne sont plus ce qu'ils étaient, ma bonne dame. Roger, un habitant de Vic-en-Bigorre, en a fait l'amère expérience, en juillet dernier. Ce retraité de 73 ans circulait tranquillement en voiture, au centre-ville, lorsque surgissent devant lui deux jeunes filles, au beau milieu de la rue. Il pile, mais l'une des deux adolescentes se fige et tape sur son capot à coups de sacs à main en l'abreuvant d'insultes. Le retraité sort de son véhicule et les insultes redoublent, ainsi que les coups de sac. Passablement choqué par ce comportement, Roger gifle la jeune fille. Tout d'un coup, dans son dos, Mourad, le petit ami de la furie, bondit, assène un coup violent au papi qui est projeté au sol où il se casse une dent. Là, il va recevoir des coups de pied des deux énergumènes déchaînés. Dans la salle, la gamine s'agite sur son banc, rigole franchement et lance : « C'est pas vrai, j'ai pas de sac ! » « Taisez-vous !, tonne la présidente Gadoullet, vous n'avez pas la parole, vous vous expliquerez devant le juge pour enfants. La fessée est interdite mais si on vous en avait donné quelques-unes, nous n'en serions peut-être pas là. » Dans sa déposition, l'ado reconnaît qu'elle était « complètement bourrée ». D'où sa traversée de la rue comme une folle, sans rien regarder. Quant à son preux chevalier pas très blanc, il déclare le plus tranquillement du monde, à la barre : « On ne doit pas frapper une fille. Il aurait pu la raisonner. Il fallait la respecter ». La présidente ouvre des yeux comme des soucoupes : « ça alors, c'est fort ! C'est vous le moraliste ? On croit rêver, j'adore… ». Le retraité, attaqué dans le dos et insulté par une gamine soûle comme une grive, va rester très digne : « Je ne demande rien, seulement qu'ils ne fassent plus la loi en ville et ne se comportent plus comme des petits coqs arrogants. Il n'a qu'à travailler un peu, ce drôle, ça ne lui ferait pas de mal… ». Le pire, pour Mourad, c'est qu'il est en récidive pour des faits strictement identiques. Le tribunal va lui donner une dernière chance : 2 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve pendant 18 mois, avec obligation de travailler et d'indemniser la victime.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/27/1248555-le-chevalier-douteux-defend-sa-belle-completement-ivre.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/27/1248555-le-chevalier-douteux-defend-sa-belle-completement-ivre.html
Le repas de Noël tourne au drame
Le dimanche de Noël a tourné au drame pour une famille de Rivesaltais. Dans la soirée, deux frères prolongeaient les fêtes et partageaient le repas chez leur mère, dans une maison située rue Emile-Zola, dans le centre historique de Rivesaltes. Selon les premiers éléments, le ton serait monté entre les deux hommes pour un motif encore indéterminé.
Il tire sur son frère
Puis la situation aurait dégénéré. Tandis que les autres membres de la famille présents, dont les enfants, se seraient trouvés dans une autre pièce, et en présence de la mère, le cadet, âgé de 49 ans, se serait saisi d’une arme et aurait ouvert le feu sur son aîné, un ouvrier âgé de 53 ans, le blessant grièvement.
L’alerte a été immédiatement donnée auprès des pompiers qui ont été dépêchés sur les lieux avec le Samu. À leur arrivée, les secours ont trouvé la victime atteinte par une décharge au niveau de la tête et l’ont évacuée en urgence vers le centre hospitalier de Perpignan, dans un état jugé très sérieux. Hier, son état de santé s’était dégradé. L’homme serait plongé dans un coma cérébral et son pronostic vital serait largement engagé.
Son frère, l’auteur présumé des coups de feu, a été interpellé par la gendarmerie quelques minutes après les faits, alors qu’il sortait de la maison. Il a été placé en garde à vue. Hier soir, il était toujours interrogé et le parquet devait prolonger la garde à vue de 24 heures. L’enquête, confiée aux gendarmes de la brigade territoriale et la brigade des recherches de Rivesaltes, aidés des militaires de Bompas, est en cours
http://www.midilibre.fr/2011/12/26/a-rivesaltes-le-repas-de-noel-tourne-au-drame,436024.php
Il tire sur son frère
Puis la situation aurait dégénéré. Tandis que les autres membres de la famille présents, dont les enfants, se seraient trouvés dans une autre pièce, et en présence de la mère, le cadet, âgé de 49 ans, se serait saisi d’une arme et aurait ouvert le feu sur son aîné, un ouvrier âgé de 53 ans, le blessant grièvement.
L’alerte a été immédiatement donnée auprès des pompiers qui ont été dépêchés sur les lieux avec le Samu. À leur arrivée, les secours ont trouvé la victime atteinte par une décharge au niveau de la tête et l’ont évacuée en urgence vers le centre hospitalier de Perpignan, dans un état jugé très sérieux. Hier, son état de santé s’était dégradé. L’homme serait plongé dans un coma cérébral et son pronostic vital serait largement engagé.
Son frère, l’auteur présumé des coups de feu, a été interpellé par la gendarmerie quelques minutes après les faits, alors qu’il sortait de la maison. Il a été placé en garde à vue. Hier soir, il était toujours interrogé et le parquet devait prolonger la garde à vue de 24 heures. L’enquête, confiée aux gendarmes de la brigade territoriale et la brigade des recherches de Rivesaltes, aidés des militaires de Bompas, est en cours
http://www.midilibre.fr/2011/12/26/a-rivesaltes-le-repas-de-noel-tourne-au-drame,436024.php
Dix-huit pompiers mobilisés sur une fuite de gaz
Dimanche soir, vers 18 heures, un fort sifflement s'est fait entendre rue des Augustins à Reims tandis qu'une odeur de gaz apparaissait dans le même temps.
Soupçonnant une fuite, les sapeurs-pompiers en ont rapidement découvert une face à l'internat du lycée Libergier, près de l'intersection formée avec la rue Ponsardin.
Elle provenait d'une conduite de quatre bars actuellement à l'air libre, dans une tranchée, pour cause de travaux.
Périmètre de sécurité
Un périmètre de sécurité de 100 mètres a été mis en place et les plus proches habitations évacuées.
La mesure a cependant concerné peu de monde car il n'y avait que trois personnes présentes au moment des faits. Pour cause de vacances scolaires, l'internat du lycée était vide.
L'intervention a mobilisé dix-huit pompiers. Ils ont dressé un mur d'eau pour diluer le gaz et le ramener au sol pendant que les techniciens de GrDF s'affairaient à stopper la fuite.
Celle-ci a été colmatée vers 19 h 15. Les secours ont ensuite effectué des mesures dans les immeubles pour vérifier l'absence de gaz. Les relevés s'avérant négatifs, le périmètre de sécurité a pu être levé à 19 h 30.
L'origine de la fuite reste à déterminer. Elle s'est déclarée alors qu'aucun ouvrier n'a travaillé hier sur le chantier. Une rupture liée à la défaillance d'une jointure est une explication possible.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/dix-huit-pompiers-mobilises-sur-une-fuite-de-gaz
Soupçonnant une fuite, les sapeurs-pompiers en ont rapidement découvert une face à l'internat du lycée Libergier, près de l'intersection formée avec la rue Ponsardin.
Elle provenait d'une conduite de quatre bars actuellement à l'air libre, dans une tranchée, pour cause de travaux.
Périmètre de sécurité
Un périmètre de sécurité de 100 mètres a été mis en place et les plus proches habitations évacuées.
La mesure a cependant concerné peu de monde car il n'y avait que trois personnes présentes au moment des faits. Pour cause de vacances scolaires, l'internat du lycée était vide.
L'intervention a mobilisé dix-huit pompiers. Ils ont dressé un mur d'eau pour diluer le gaz et le ramener au sol pendant que les techniciens de GrDF s'affairaient à stopper la fuite.
Celle-ci a été colmatée vers 19 h 15. Les secours ont ensuite effectué des mesures dans les immeubles pour vérifier l'absence de gaz. Les relevés s'avérant négatifs, le périmètre de sécurité a pu être levé à 19 h 30.
L'origine de la fuite reste à déterminer. Elle s'est déclarée alors qu'aucun ouvrier n'a travaillé hier sur le chantier. Une rupture liée à la défaillance d'une jointure est une explication possible.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/dix-huit-pompiers-mobilises-sur-une-fuite-de-gaz
lundi 26 décembre 2011
Les faits-divers frappent aussi le jour de Noël
Quand Noël rime avec criminel...
Les fêtes de fin d’année ne sont malheureusement pas toujours signe de joie et de bonheur. On l'a encore constaté ce week-end, Noël rime parfois avec criminel et les faits-divers les plus sordides peuvent surgir. 20 Minutes passe en revue quelques récents événements venus ternir l’ambiance festive.
Une sanglante ouverture de cadeaux
Le pire massacre de la ville de Grapevine (Texas) s’est déroulé dimanche. Les corps de sept personnes tuées par balles, entourés de cadeaux de Noël déballés, ont été découverts par la police. Les forces de l'ordre ont indiqué que les corps étaient ceux de quatre femmes et de trois hommes, âgés de 18 à une soixantaine d’années. La personne à l'origine des coups de feu fait partie des tués, mais le mobile n’a pas encore été déterminé.
Un sapin incendiaire
L’embrasement d’un sapin de Noël a provoqué la mort d’un homme de 50 ans dimanche à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône). L’épouse de la victime a, elle, été grièvement intoxiquée dans l’accident qui aurait été provoqué par une guirlande lumineuse défectueuse.
Trafic de drogue et double meurtre
C’est le soir de Noël 2009 qu’un assassin a choisi de tuer deux hommes à l’arme blanche et par balles à Tours-sur-Marne (Marne). Les deux victimes, âgées de 28 et 29 ans, auraient fait les frais d'un règlement de comptes sur fond de trafic de drogue.
Débauché à l’âge de 4 ans
Toujours en 2009, mais beaucoup moins sanglant, un petit garçon de 4 ans a été retrouvé par sa mère dans les rues de Chattanooga (Tennessee) alors qu’il buvait une canette de bière vêtu d’une robe de petite fille volée sous le sapin des voisins. Le jeune débauché a expliqué qu’il voulait simplement rejoindre son père en prison.
L’attentat presque parfait
Noël 2009 a été décidément marqué par le sceau du drame ou presque, puisque c’est ce jour-là que le jeune Umar Faruk Abdulmutullab a voulu faire sauter le vol 253 entre Amsterdam et Détroit à l’aide d’explosifs cachés dans son slip. Mais grâce à l’intervention de passagers, l’incident n’entraînera, finalement, qu’une petite explosion et un début d’incendie.
http://www.20minutes.fr/societe/848539-faits-divers-frappent-aussi-jour-noel
Les fêtes de fin d’année ne sont malheureusement pas toujours signe de joie et de bonheur. On l'a encore constaté ce week-end, Noël rime parfois avec criminel et les faits-divers les plus sordides peuvent surgir. 20 Minutes passe en revue quelques récents événements venus ternir l’ambiance festive.
Une sanglante ouverture de cadeaux
Le pire massacre de la ville de Grapevine (Texas) s’est déroulé dimanche. Les corps de sept personnes tuées par balles, entourés de cadeaux de Noël déballés, ont été découverts par la police. Les forces de l'ordre ont indiqué que les corps étaient ceux de quatre femmes et de trois hommes, âgés de 18 à une soixantaine d’années. La personne à l'origine des coups de feu fait partie des tués, mais le mobile n’a pas encore été déterminé.
Un sapin incendiaire
L’embrasement d’un sapin de Noël a provoqué la mort d’un homme de 50 ans dimanche à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône). L’épouse de la victime a, elle, été grièvement intoxiquée dans l’accident qui aurait été provoqué par une guirlande lumineuse défectueuse.
Trafic de drogue et double meurtre
C’est le soir de Noël 2009 qu’un assassin a choisi de tuer deux hommes à l’arme blanche et par balles à Tours-sur-Marne (Marne). Les deux victimes, âgées de 28 et 29 ans, auraient fait les frais d'un règlement de comptes sur fond de trafic de drogue.
Débauché à l’âge de 4 ans
Toujours en 2009, mais beaucoup moins sanglant, un petit garçon de 4 ans a été retrouvé par sa mère dans les rues de Chattanooga (Tennessee) alors qu’il buvait une canette de bière vêtu d’une robe de petite fille volée sous le sapin des voisins. Le jeune débauché a expliqué qu’il voulait simplement rejoindre son père en prison.
L’attentat presque parfait
Noël 2009 a été décidément marqué par le sceau du drame ou presque, puisque c’est ce jour-là que le jeune Umar Faruk Abdulmutullab a voulu faire sauter le vol 253 entre Amsterdam et Détroit à l’aide d’explosifs cachés dans son slip. Mais grâce à l’intervention de passagers, l’incident n’entraînera, finalement, qu’une petite explosion et un début d’incendie.
http://www.20minutes.fr/societe/848539-faits-divers-frappent-aussi-jour-noel
Proxénétisme: les chefs du réseau incarcérés
Mis en examen pour « proxénétisme aggravé », trois hommes et une femme de nationalité hongroise ont été placés en détention provisoire, conformément aux réquisitions du parquet de Nice, qui a ouvert une information judiciaire à la suite d'une longue et minutieuse enquête de police
Les trois individus - le chef présumé, âgé 43 ans, et deux acolytes de 29 et 22 ans - et les cinq filles appartiennent tous à la communauté gitane hongroise. Ils ont été arrêtés lundi, à l'aube, dans quatre hôtels de Cagnes-sur-Mer et Villeneuve-Loubet par la Sûreté départementale, lors d'une vaste opération impliquant la brigade de protection sociale (la Mondaine ou mœurs), celle des stupéfiants et la BRAV (brigade de répression des actions violentes).
Depuis le mois d'octobre, la Mondaine s'était penchée sur ce petit manège nocturne qui sévissait à l'ouest de Nice. Une dizaine de filles cassaient les prix pour « faire du chiffre ». C'est finalement un modèle de voiture rarissime en France, mais commun dans les pays de l'Est, qui avait conduit les enquêteurs sur la piste des souteneurs.
Outre les trois hommes - chefs présumés du réseau, bien qu'ils nient les faits qui leur sont reprochés -, la « première fille », âgée de 25 ans, a également été placée en détention. Il semblerait que, parmi les autres filles, âgées de 19 à 20 ans, entendues comme témoin et laissées libres, l'une d'elles ait pu être victime, quelques jours plus tôt, d'un viol commis par un ou plusieurs « clients ». Ultime élément navrant du dossier, c'est l'un des proxénètes arrêtés qui l'aurait sommée de retourner sur le trottoir tout de suite après l'agression qu'elle venait de subir…
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/proxenetisme-les-chefs-du-reseau-incarceres.723656.html
Les trois individus - le chef présumé, âgé 43 ans, et deux acolytes de 29 et 22 ans - et les cinq filles appartiennent tous à la communauté gitane hongroise. Ils ont été arrêtés lundi, à l'aube, dans quatre hôtels de Cagnes-sur-Mer et Villeneuve-Loubet par la Sûreté départementale, lors d'une vaste opération impliquant la brigade de protection sociale (la Mondaine ou mœurs), celle des stupéfiants et la BRAV (brigade de répression des actions violentes).
Depuis le mois d'octobre, la Mondaine s'était penchée sur ce petit manège nocturne qui sévissait à l'ouest de Nice. Une dizaine de filles cassaient les prix pour « faire du chiffre ». C'est finalement un modèle de voiture rarissime en France, mais commun dans les pays de l'Est, qui avait conduit les enquêteurs sur la piste des souteneurs.
Outre les trois hommes - chefs présumés du réseau, bien qu'ils nient les faits qui leur sont reprochés -, la « première fille », âgée de 25 ans, a également été placée en détention. Il semblerait que, parmi les autres filles, âgées de 19 à 20 ans, entendues comme témoin et laissées libres, l'une d'elles ait pu être victime, quelques jours plus tôt, d'un viol commis par un ou plusieurs « clients ». Ultime élément navrant du dossier, c'est l'un des proxénètes arrêtés qui l'aurait sommée de retourner sur le trottoir tout de suite après l'agression qu'elle venait de subir…
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/proxenetisme-les-chefs-du-reseau-incarceres.723656.html
Le violeur s'enfuit en sautant du 1er étage du commissariat
Arrêté vendredi matin à Albi, une heure après avoir commis quatre agressions sexuelles sur des femmes, un jeune Albigeois de 21 ans a réussi à fausser compagnie aux policiers le soir même après son audition au commissariat. Depuis, il court toujours.
Le jeune Albigeois âgé de 21 ans qui vendredi matin à Albi a agressé sexuellement quatre femmes, court toujours. Il avait pourtant été arrêté environ une heure après avoir commis les agressions. Dans la foulée, il était conduit au commissariat puis placé en cellule de dégrisement et en garde à vue. En fin d'après-midi, il était auditionné par les policiers au premier étage de l'hôtel de police. Alors que son interrogatoire était terminé, les policiers lui ont ôté les menottes, comme le leur impose la procédure. C'est à cet instant qu'il a réussi à leur fausser compagnie, bousculant l'un des deux policiers, traversant un bureau, s'enfuyant dans le couloir avant d'arriver à une fenêtre, l'ouvrir et sauter dans le vide. Juste au-dessous se trouvait un fourgon de police, ce dernier a amorti la chute du fuyard, lequel a pris les jambes à son cou pour déguerpir sans difficulté, le portail de la cour de l'hôtel de police étant ouvert. Depuis le jeune homme est activement recherché par les forces de l'ordre (lire encadré).
Parmi ses victimes une secrétaire, une employée du centre hospitalier et une commerçante, à qui il a imposé des attouchements, dont deux fellations.
Le jeune homme déjà condamné pour viol en 2009 par la cour d'assises des mineurs du Tarn, était sorti de prison à la mi-décembre après avoir purgé une partie des cinq ans d'emprisonnement pour lesquels il était condamné.
Il vivait depuis dans les Hautes-Pyrénées où il bénéficiait d'une libération conditionnelle assortie d'un suivi socio-judiciaire strict. Il était notamment interdit de séjour dans le Tarn, ou vit sa famille. A-t-il voulu revenir à Albi passer les fêtes de fin d'années au milieu de ses proches ? Combien de temps pourra-t-il ainsi rester caché ? Bénéficie-t-il de complicités ? L'enquête devrait le préciser. En attendant, les enquêteurs n'avaient hier soir aucune trace du jeune fuyard depuis son évasion du commissariat d'Albi.
Sans argent, sans papier et sans possibilité d'utiliser le véhicule qu'il a emprunté à un ami pour venir dans le Tarn, l'étau se resserrer inexorablement sur lui.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/25/1247566-albi-le-violeur-s-enfuit-en-sautant-du-1er-etage-du-commissariat.html
Le jeune Albigeois âgé de 21 ans qui vendredi matin à Albi a agressé sexuellement quatre femmes, court toujours. Il avait pourtant été arrêté environ une heure après avoir commis les agressions. Dans la foulée, il était conduit au commissariat puis placé en cellule de dégrisement et en garde à vue. En fin d'après-midi, il était auditionné par les policiers au premier étage de l'hôtel de police. Alors que son interrogatoire était terminé, les policiers lui ont ôté les menottes, comme le leur impose la procédure. C'est à cet instant qu'il a réussi à leur fausser compagnie, bousculant l'un des deux policiers, traversant un bureau, s'enfuyant dans le couloir avant d'arriver à une fenêtre, l'ouvrir et sauter dans le vide. Juste au-dessous se trouvait un fourgon de police, ce dernier a amorti la chute du fuyard, lequel a pris les jambes à son cou pour déguerpir sans difficulté, le portail de la cour de l'hôtel de police étant ouvert. Depuis le jeune homme est activement recherché par les forces de l'ordre (lire encadré).
Condamné en 2009
Vendredi matin, malgré son état fortement alcoolisé, le jeune Albigeois était entendu pour quatre agressions sexuelles commises en moins d'une heure dans la rue des Catherinettes, près du skate-park, au parking du Bondidou et à proximité du centre hospitalier.Parmi ses victimes une secrétaire, une employée du centre hospitalier et une commerçante, à qui il a imposé des attouchements, dont deux fellations.
Le jeune homme déjà condamné pour viol en 2009 par la cour d'assises des mineurs du Tarn, était sorti de prison à la mi-décembre après avoir purgé une partie des cinq ans d'emprisonnement pour lesquels il était condamné.
Il vivait depuis dans les Hautes-Pyrénées où il bénéficiait d'une libération conditionnelle assortie d'un suivi socio-judiciaire strict. Il était notamment interdit de séjour dans le Tarn, ou vit sa famille. A-t-il voulu revenir à Albi passer les fêtes de fin d'années au milieu de ses proches ? Combien de temps pourra-t-il ainsi rester caché ? Bénéficie-t-il de complicités ? L'enquête devrait le préciser. En attendant, les enquêteurs n'avaient hier soir aucune trace du jeune fuyard depuis son évasion du commissariat d'Albi.
Sans argent, sans papier et sans possibilité d'utiliser le véhicule qu'il a emprunté à un ami pour venir dans le Tarn, l'étau se resserrer inexorablement sur lui.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/25/1247566-albi-le-violeur-s-enfuit-en-sautant-du-1er-etage-du-commissariat.html
dimanche 25 décembre 2011
Une grave affaire à 38 euros
Curieux. Jusqu'ici, on croyait que les histoires de simples injures n'étaient que, pénalement parlant, des contraventions. Si, bien entendu, un commissariat acceptait de rédiger une telle procédure et si le procureur ne classait pas sans suite.
Le 21 décembre, Ebrahim S., 29 ans et titulaire de deux condamnations avec sursis, se retrouve, sur le parking d'un hypermarché à Roncq, face à la voiture d'une adjointe au maire d'Halluin. Altercation. « C'est elle qui est descendue de voiture et c'est moi qui lui ai laissé la place », assure Ebrahim S. « Elle m'a dit, entre autres, que j'allais voir qui elle était », ajoute-t-il. Il admet : « C'est vrai, j'ai crié et je lui ai fait un doigt d'honneur avant de partir ! Mais il faisait noir et il y avait de la buée sur les vitres. »
« Je ne peux pas voter »
L'injure est donc constituée puisque Ebrahim S. l'avoue. Mais il l'affirme : « Je ne savais pas qu'elle était adjointe, je la connais vaguement, c'est tout. » Il complète : « Elle m'a même parlé en arabe. Moi, je suis né en Belgique et j'ai quasiment toujours vécu à Halluin, je ne parle même pas arabe. » « Bien sûr qu'il sait que je suis adjointe au maire, rétorque la victime, présente à l'audience. J'ai même recruté ses deux soeurs et sa mère m'a fait une demande de logement. » Ebrahim S.: « Je ne savais pas qu'elle était adjointe, je ne peux pas voter, je ne m'intéresse pas à la vie politique, je suis étranger ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire de folie où on me fait passer 48 heures en garde à vue ? » Pour la procureure Catherine Thomas, c'est une affaire très sérieuse méritant la comparution immédiate : « Le prévenu sue la violence par tous les pores, il a déjà été condamné ! Pour s'intégrer à la vie française, il faut en respecter les règles. » Elle conclut : « J'ai consulté la loi et la jurisprudence, les élus du peuple doivent être protégés dans tous les actes de leur vie. » Cinq mois de prison sont requis.
Me Jessy Lelong en a le souffle coupé : « Laissez-moi le temps de comprendre ! Ce n'est même pas un délit, c'est une contravention ! Mon client ignorait que la victime était adjointe au maire, sa célébrité n'est pas arrivée jusqu'à lui. Et même s'il le savait, sur le parking, quand il lui fait un doigt d'honneur, il ne parle jamais de sa fonction, ça n'a strictement rien à voir, la victime fait ses courses comme tout le monde ! C'est à se demander s'il n'y a pas eu une intervention politique pour que cette histoire arrive jusqu'ici ! » Le jugement du tribunal est sensiblement différent des réquisitions : 38 E d'amende pour injure non publique
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2011/12/24/une-grave-affaire-a-38-euros.shtml
Le 21 décembre, Ebrahim S., 29 ans et titulaire de deux condamnations avec sursis, se retrouve, sur le parking d'un hypermarché à Roncq, face à la voiture d'une adjointe au maire d'Halluin. Altercation. « C'est elle qui est descendue de voiture et c'est moi qui lui ai laissé la place », assure Ebrahim S. « Elle m'a dit, entre autres, que j'allais voir qui elle était », ajoute-t-il. Il admet : « C'est vrai, j'ai crié et je lui ai fait un doigt d'honneur avant de partir ! Mais il faisait noir et il y avait de la buée sur les vitres. »
« Je ne peux pas voter »
L'injure est donc constituée puisque Ebrahim S. l'avoue. Mais il l'affirme : « Je ne savais pas qu'elle était adjointe, je la connais vaguement, c'est tout. » Il complète : « Elle m'a même parlé en arabe. Moi, je suis né en Belgique et j'ai quasiment toujours vécu à Halluin, je ne parle même pas arabe. » « Bien sûr qu'il sait que je suis adjointe au maire, rétorque la victime, présente à l'audience. J'ai même recruté ses deux soeurs et sa mère m'a fait une demande de logement. » Ebrahim S.: « Je ne savais pas qu'elle était adjointe, je ne peux pas voter, je ne m'intéresse pas à la vie politique, je suis étranger ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire de folie où on me fait passer 48 heures en garde à vue ? » Pour la procureure Catherine Thomas, c'est une affaire très sérieuse méritant la comparution immédiate : « Le prévenu sue la violence par tous les pores, il a déjà été condamné ! Pour s'intégrer à la vie française, il faut en respecter les règles. » Elle conclut : « J'ai consulté la loi et la jurisprudence, les élus du peuple doivent être protégés dans tous les actes de leur vie. » Cinq mois de prison sont requis.
Me Jessy Lelong en a le souffle coupé : « Laissez-moi le temps de comprendre ! Ce n'est même pas un délit, c'est une contravention ! Mon client ignorait que la victime était adjointe au maire, sa célébrité n'est pas arrivée jusqu'à lui. Et même s'il le savait, sur le parking, quand il lui fait un doigt d'honneur, il ne parle jamais de sa fonction, ça n'a strictement rien à voir, la victime fait ses courses comme tout le monde ! C'est à se demander s'il n'y a pas eu une intervention politique pour que cette histoire arrive jusqu'ici ! » Le jugement du tribunal est sensiblement différent des réquisitions : 38 E d'amende pour injure non publique
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2011/12/24/une-grave-affaire-a-38-euros.shtml
Incendie mortel d'un sapin de Noël
Un homme de 50 ans est mort hier soir dans l'incendie de sa maison, à Saint-Martin-de-Crau dans les Bouches-du-Rhône, qui semble avoir été causé par l'embrasement d'un sapin de Noël, a-t-on appris auprès des pompiers des Bouches-du-Rhône.
Selon la même source, les secours sont intervenus vers 20h20 et l'épouse de la victime, a dû être hospitalisée samedi soir au Centre hospitalier de Martigues.
La gendarmerie, en charge de l'enquête, a indiqué qu'elle avait été gravement intoxiquée, précisant qu'une guirlande lumineuse pourrait être à l'origine du sinistre.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/25/97001-20111225FILWWW00031-incendie-mortel-d-un-sapin-de-noel.php
Selon la même source, les secours sont intervenus vers 20h20 et l'épouse de la victime, a dû être hospitalisée samedi soir au Centre hospitalier de Martigues.
La gendarmerie, en charge de l'enquête, a indiqué qu'elle avait été gravement intoxiquée, précisant qu'une guirlande lumineuse pourrait être à l'origine du sinistre.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/25/97001-20111225FILWWW00031-incendie-mortel-d-un-sapin-de-noel.php
Braqué et ligoté pour des téléphones
C'est un véritable piège, tendu par un duo visiblement bien renseigné, qui s'est refermé sur un jeune livreur de 21 ans.
Jeudi soir, à Gramont, près de Balma, cet employé d'une société de livraison a été braqué puis ligoté par deux malfaiteurs qui lui ont dérobé des dizaines de téléphones portables destinés à un grossiste. Très choquée mais pas blessée, la victime, domiciliée à Beauzelle, a été conduite à l'hôpital Purpan pour des examens de contrôle.
Tout commence, jeudi, peu avent 18 heures. Un livreur au volant de son camion chargé de téléphones portables, nouvelle génération, se dirige vers la zone de Gramont où il doit livrer un client. Au niveau de la sortie 14, sur le périphérique, son véhicule est percuté par l'arrière par une Opel Astra. L'un des occupants, encagoulé, sort de la voiture avec un pistolet à la main et braque le livreur. Ce dernier est sommé de prendre la place du passager avant, pendant que son agresseur s'installe au volant du camion. Son acolyte, dans l'Opel Astra, ouvre la route et les deux conducteurs communiquent par talkie-walkie. Quelques kilomètres plus loin, le convoi arrive zone industrielle de Gramont et déboule impasse de Montredon. À cet endroit, alors que la nuit est tombée, le livreur est attaché, ligoté avec des colliers de serrage et abandonné sur la chaussée. Les deux malfaiteurs chargent des cartons, contenant plusieurs dizaines de téléphones, dans leur voiture et prennent la fuite. La victime parvient à extraire son téléphone portable de sa poche et appelle les secours.
Malgré les recherches entreprises par les policiers, les voleurs sont restés introuvables. L'enquête a été confiée aux policiers de la sûreté départementale.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/24/1247188-braque-et-ligote-pour-des-telephones.html
Jeudi soir, à Gramont, près de Balma, cet employé d'une société de livraison a été braqué puis ligoté par deux malfaiteurs qui lui ont dérobé des dizaines de téléphones portables destinés à un grossiste. Très choquée mais pas blessée, la victime, domiciliée à Beauzelle, a été conduite à l'hôpital Purpan pour des examens de contrôle.
Tout commence, jeudi, peu avent 18 heures. Un livreur au volant de son camion chargé de téléphones portables, nouvelle génération, se dirige vers la zone de Gramont où il doit livrer un client. Au niveau de la sortie 14, sur le périphérique, son véhicule est percuté par l'arrière par une Opel Astra. L'un des occupants, encagoulé, sort de la voiture avec un pistolet à la main et braque le livreur. Ce dernier est sommé de prendre la place du passager avant, pendant que son agresseur s'installe au volant du camion. Son acolyte, dans l'Opel Astra, ouvre la route et les deux conducteurs communiquent par talkie-walkie. Quelques kilomètres plus loin, le convoi arrive zone industrielle de Gramont et déboule impasse de Montredon. À cet endroit, alors que la nuit est tombée, le livreur est attaché, ligoté avec des colliers de serrage et abandonné sur la chaussée. Les deux malfaiteurs chargent des cartons, contenant plusieurs dizaines de téléphones, dans leur voiture et prennent la fuite. La victime parvient à extraire son téléphone portable de sa poche et appelle les secours.
Malgré les recherches entreprises par les policiers, les voleurs sont restés introuvables. L'enquête a été confiée aux policiers de la sûreté départementale.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/24/1247188-braque-et-ligote-pour-des-telephones.html
Deux frères qui semaient la terreur dans le village de Chemaudin incarcérés
Dans le box, les deux frères se la jouent « décontract ». Incroyable lorsque l’on sait que le frère aîné encourt 14 ans de prison pour être en récidive et pour le moins une « peine plancher » de 3 ans. On reproche à Sébastien et Anthony B., 27 et 23 ans, des extorsions et des violences avec arme commises ces dernières semaines sur le boulanger de Chemaudin et son employée. Deux victimes qui ne se sont pas déclaré partie civile et qui n’ont même pas voulu déposer plainte. Dans sa déposition, le maire explique que la famille B., sème la terreur dans cette bourgade de 1 500 habitants près de Besançon. Gymkhana en scooter ou en quad dans les rues du village, personnes molestées ou menacées… Dernièrement, c’est le boulanger qui est devenu leur souffre-douleur. L’enquête a établi que les frères B. se servent en viennoiseries, boissons sans jamais payer. Sébastien, sorti de prison en octobre, aurait menacé le commerçant qui protestait et aurait brandi un Opinel sous le cou de sa victime à plusieurs reprises. Les deux frères contestent malgré des témoignages accablants. L’aîné a écopé de la peine plancher, 3 ans de prison, son frère a été condamné à deux ans dont un avec sursis.
http://www.leprogres.fr/jura/2011/12/25/deux-freres-qui-semaient-la-terreur-dans-le-village-de-chemaudin-incarceres
http://www.leprogres.fr/jura/2011/12/25/deux-freres-qui-semaient-la-terreur-dans-le-village-de-chemaudin-incarceres
samedi 24 décembre 2011
8 mois dont 4 avec sursis pour s'être trop énervé
Le jeune Vrignois qui, de colère, avait arraché le radiateur auquel il était menotté, a été condamné à 8 mois de prison dont quatre avec sursis. Son avocat, Me Delgenes, lui a évité le mandat de dépôt.
C'EST une histoire à rebondissements. Mais alors, quels rebondissements ! Tout a commencé le 4 décembre dernier par une violente dispute au sein d'un couple en ménage depuis à peine un an dans un appartement de Vrigne-aux-Bois.
À l'origine de cette altercation, un courrier de la banque qui signalait que Jessica, la compagne de Teddy Mendes, était à découvert. Teddy a voulu des explications, Jessica en voulait tout autant puisque comme elle l'a dit à la barre, elle soupçonnait son compagnon de se servir sur son compte pour jouer au poker sur Internet.
D'un mot, ils en sont venus à un autre, puis un cendrier a volé dans les dents du garçon. Ce dernier a senti la colère redoubler en lui et il s'est chargé de calmer sa moitié de manière assez virile : « Mais jamais je ne l'ai frappée monsieur le président. Je l'ai saisie par les bras, je l'ai sans doute bousculée, on a gesticulé, mais jamais je ne l'aurais tapée, d'autant qu'elle était enceinte de deux mois et qu'elle portait mon enfant ».
Jessica donne à son tour sa version des faits : « Je me souviens surtout qu'il m'a saisie à la gorge et m'a plaquée contre le frigo ensuite, je me suis défendue ».
Se doutant que les gendarmes avaient été alertés, Teddy va prendre la fuite en emportant les clés de l'appartement et en « empruntant » la voiture de sa compagne, bien que non titulaire du permis de conduire. C'est à partir de ce moment que tout va sérieusement se compliquer.
« Quand l'adjudant m'a téléphoné pour me raisonner et me demander de me présenter à la gendarmerie, je lui ai dit d'accord, mais demain matin » explique-t-il. Les gendarmes ne seront pas aussi patients. Ils décident donc d'aller chercher le jeune homme à son appartement. « Je n'ai pas voulu leur ouvrir parce que j'avais vu par l'œilleton de la porte que l'un des gendarmes avait sorti un taser. Je lui ai demandé de le ranger sinon j'ouvrais pas ».
Après avoir reçu l'aval du procureur par téléphone, les militaires ont finalement défoncé la porte. Teddy a été balayé, menotté, puis traîné dans les escaliers car manifestement, il n'y mettait pas vraiment du sien. Restait à le faire monter dans le fourgon, ce n'était pas gagné d'avance. L'adjudant en sait quelque chose, il en a le genou encore contusionné suite à un coup de pied que le prévenu affirme avoir donné involontairement.
La porte du véhicule a également eu à subir les foudres de ce garçon. Explication du prévenu : « Je voulais tout simplement parler à ma copine avant qu'ils ne m'embarquent. Ils m'auraient accordé ça, ça se serait sans doute mieux passé ».
Arrivé à la brigade, Teddy, manifestement toujours pas calmé, pose de plus en plus de problèmes. Il est fait appel à un médecin pour lui injecter une dose de tranquillisant.
Cela ne suffira pas. Menotté à un radiateur, Teddy va tout bonnement l'arracher provoquant une mini-inondation dans la gendarmerie de Vrigne-aux-Bois. Beaucoup de ramdam pour, au départ, une histoire de deux chèques refusés.
La procureure s'est quelque peu agacée du comportement du prévenu : « Certes, il reconnaît les faits, mais il les minimise. Il parle de bousculade avec sa compagne alors que moi j'ai sous les yeux une expertise médicale qui en dit long sur les violences qu'il a exercées sur elle. De plus, M. Mendes voudrait décider de tout, de quand il va en garde à vue, dans quelles conditions, il veut aussi que sa compagne retire sa plainte… Je reste persuadée que la force utilisée par les gendarmes est proportionnelle à l'état de surexcitation de celui-ci. Je demanderai donc au tribunal de prononcer une peine de 8 mois ferme ainsi qu'un mandat de dépôt ».
Il a fallu tout le talent de Me Delgenes pour éviter à son client de retourner en prison : « Vous vous rendez compte, il est 17 h 30, ça fait une demi-heure que je plaide en comparution immédiate pour une ITT de deux jours. Les violences sur Jessica ? Oui, effectivement, on nous parle d'érythèmes, ça fait pompeux comme mot, mais regardez dans le dictionnaire. Ce n'est ni plus ni moins qu'une rougeur… Certes ce que mon client a fait n'est pas bien, mais on ne va tout de même pas en faire le dernier des gougnafiers, il ne faut tout de même pas exagérer. Il a décidé de faire une croix sur tout ça, sur sa compagne également. Il doit commencer un travail le 3 janvier dans l'Hérault dans la construction et son expertise psychiatrique lui est particulièrement favorable. Je pense qu'on peut lui faire confiance. Le mandat de dépôt n'est en tout cas pas la solution ».
Message reçu apparemment puisque le tribunal a ordonné la remise en liberté de Teddy Mendes revoyant par ailleurs les réquisitions du parquet à la baisse : 8 mois de prison, dont quatre assortis du sursis. Le prévenu devra par ailleurs indemniser l'adjudant de gendarmerie (1 000 €) et son ex-amie (1 300 €).http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/8-mois-dont-4-avec-sursis-pour-setre-trop-enerve
C'EST une histoire à rebondissements. Mais alors, quels rebondissements ! Tout a commencé le 4 décembre dernier par une violente dispute au sein d'un couple en ménage depuis à peine un an dans un appartement de Vrigne-aux-Bois.
À l'origine de cette altercation, un courrier de la banque qui signalait que Jessica, la compagne de Teddy Mendes, était à découvert. Teddy a voulu des explications, Jessica en voulait tout autant puisque comme elle l'a dit à la barre, elle soupçonnait son compagnon de se servir sur son compte pour jouer au poker sur Internet.
D'un mot, ils en sont venus à un autre, puis un cendrier a volé dans les dents du garçon. Ce dernier a senti la colère redoubler en lui et il s'est chargé de calmer sa moitié de manière assez virile : « Mais jamais je ne l'ai frappée monsieur le président. Je l'ai saisie par les bras, je l'ai sans doute bousculée, on a gesticulé, mais jamais je ne l'aurais tapée, d'autant qu'elle était enceinte de deux mois et qu'elle portait mon enfant ».
Jessica donne à son tour sa version des faits : « Je me souviens surtout qu'il m'a saisie à la gorge et m'a plaquée contre le frigo ensuite, je me suis défendue ».
Se doutant que les gendarmes avaient été alertés, Teddy va prendre la fuite en emportant les clés de l'appartement et en « empruntant » la voiture de sa compagne, bien que non titulaire du permis de conduire. C'est à partir de ce moment que tout va sérieusement se compliquer.
« Quand l'adjudant m'a téléphoné pour me raisonner et me demander de me présenter à la gendarmerie, je lui ai dit d'accord, mais demain matin » explique-t-il. Les gendarmes ne seront pas aussi patients. Ils décident donc d'aller chercher le jeune homme à son appartement. « Je n'ai pas voulu leur ouvrir parce que j'avais vu par l'œilleton de la porte que l'un des gendarmes avait sorti un taser. Je lui ai demandé de le ranger sinon j'ouvrais pas ».
Après avoir reçu l'aval du procureur par téléphone, les militaires ont finalement défoncé la porte. Teddy a été balayé, menotté, puis traîné dans les escaliers car manifestement, il n'y mettait pas vraiment du sien. Restait à le faire monter dans le fourgon, ce n'était pas gagné d'avance. L'adjudant en sait quelque chose, il en a le genou encore contusionné suite à un coup de pied que le prévenu affirme avoir donné involontairement.
La porte du véhicule a également eu à subir les foudres de ce garçon. Explication du prévenu : « Je voulais tout simplement parler à ma copine avant qu'ils ne m'embarquent. Ils m'auraient accordé ça, ça se serait sans doute mieux passé ».
Arrivé à la brigade, Teddy, manifestement toujours pas calmé, pose de plus en plus de problèmes. Il est fait appel à un médecin pour lui injecter une dose de tranquillisant.
Cela ne suffira pas. Menotté à un radiateur, Teddy va tout bonnement l'arracher provoquant une mini-inondation dans la gendarmerie de Vrigne-aux-Bois. Beaucoup de ramdam pour, au départ, une histoire de deux chèques refusés.
La procureure s'est quelque peu agacée du comportement du prévenu : « Certes, il reconnaît les faits, mais il les minimise. Il parle de bousculade avec sa compagne alors que moi j'ai sous les yeux une expertise médicale qui en dit long sur les violences qu'il a exercées sur elle. De plus, M. Mendes voudrait décider de tout, de quand il va en garde à vue, dans quelles conditions, il veut aussi que sa compagne retire sa plainte… Je reste persuadée que la force utilisée par les gendarmes est proportionnelle à l'état de surexcitation de celui-ci. Je demanderai donc au tribunal de prononcer une peine de 8 mois ferme ainsi qu'un mandat de dépôt ».
Il a fallu tout le talent de Me Delgenes pour éviter à son client de retourner en prison : « Vous vous rendez compte, il est 17 h 30, ça fait une demi-heure que je plaide en comparution immédiate pour une ITT de deux jours. Les violences sur Jessica ? Oui, effectivement, on nous parle d'érythèmes, ça fait pompeux comme mot, mais regardez dans le dictionnaire. Ce n'est ni plus ni moins qu'une rougeur… Certes ce que mon client a fait n'est pas bien, mais on ne va tout de même pas en faire le dernier des gougnafiers, il ne faut tout de même pas exagérer. Il a décidé de faire une croix sur tout ça, sur sa compagne également. Il doit commencer un travail le 3 janvier dans l'Hérault dans la construction et son expertise psychiatrique lui est particulièrement favorable. Je pense qu'on peut lui faire confiance. Le mandat de dépôt n'est en tout cas pas la solution ».
Message reçu apparemment puisque le tribunal a ordonné la remise en liberté de Teddy Mendes revoyant par ailleurs les réquisitions du parquet à la baisse : 8 mois de prison, dont quatre assortis du sursis. Le prévenu devra par ailleurs indemniser l'adjudant de gendarmerie (1 000 €) et son ex-amie (1 300 €).http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/8-mois-dont-4-avec-sursis-pour-setre-trop-enerve
vendredi 23 décembre 2011
Porcherie incendiée, 1000 animaux tués
Un incendie, qui s'est déclaré ce midi dans une porcherie à Ruffiac (Morbihan), a vraisemblablement causé la mort d'au moins un millier d'animaux. Les pompiers, alertés à 12h35, ont réussi en cours d'après-midi à éteindre le brasier qui a piégé les 2500 animaux - truies et porcelets - qui se trouvaient dans la porcherie.
Quelque 250 porcelets ont pu être sauvés des flammes par les pompiers qui, en raison de l'instabilité du bâtiment sinistré, ne pouvaient toujours pas y pénétrer en fin d'après-midi pour faire un décompte précis des animaux morts. Ils estiment cependant probable "qu'au moins la moitié du bétail soit morte". L'incendie a détruit 1000 m2 du bâtiment qui en fait 2.000 au total, selon la même source.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/23/97001-20111223FILWWW00401-porcherie-incendiee-1000-animaux-tues.php
Quelque 250 porcelets ont pu être sauvés des flammes par les pompiers qui, en raison de l'instabilité du bâtiment sinistré, ne pouvaient toujours pas y pénétrer en fin d'après-midi pour faire un décompte précis des animaux morts. Ils estiment cependant probable "qu'au moins la moitié du bétail soit morte". L'incendie a détruit 1000 m2 du bâtiment qui en fait 2.000 au total, selon la même source.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/23/97001-20111223FILWWW00401-porcherie-incendiee-1000-animaux-tues.php
À 83 ans, elle roule 10 km à contre-sens
Une femme de 83 ans, à qui le permis de conduire avait été retiré depuis trois mois, a été arrêtée par les policiers jeudi près de Lunas (Essonne) alors qu'elle roulait depuis 10 km à contresens sur une route nationale.
Hier vers 22h, les policiers sont alertés par des automobilistes qui ont croisé une voiture roulant à contresens sur la RN104, une route nationale très fréquentée. Elle a notamment provoqué plusieurs accidents avec d'autres automobilistes qui ont tenté de l'éviter.
Les policiers interviennent, se portent à la hauteur du véhicule et demandent à la conductrice de s'arrêter, raconte la PP. Mais l'octogénaire refuse d'obtempérer et les policiers vont la suivre pendant quelques kilomètres avant de l'intercepter.
Le permis de conduire de cette femme de 83 ans, qui se trouvait avec son mari de 90 ans dans la voiture, lui avait été retiré en septembre, a précisé la PP.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/23/97001-20111223FILWWW00396-arretee-sans-permis-et-a-contre-sens.php
Hier vers 22h, les policiers sont alertés par des automobilistes qui ont croisé une voiture roulant à contresens sur la RN104, une route nationale très fréquentée. Elle a notamment provoqué plusieurs accidents avec d'autres automobilistes qui ont tenté de l'éviter.
Les policiers interviennent, se portent à la hauteur du véhicule et demandent à la conductrice de s'arrêter, raconte la PP. Mais l'octogénaire refuse d'obtempérer et les policiers vont la suivre pendant quelques kilomètres avant de l'intercepter.
Le permis de conduire de cette femme de 83 ans, qui se trouvait avec son mari de 90 ans dans la voiture, lui avait été retiré en septembre, a précisé la PP.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/23/97001-20111223FILWWW00396-arretee-sans-permis-et-a-contre-sens.php
Il frappe sa mère de 76 ans
Le 20 décembre, la police roubaisienne est amenée à intervenir aux alentours de la rue de Lannoy où, dans la soirée, Georges Govart, 47 ans, frappe sa mère chez qui il réside. Cette dernière est âgée de 76 ans. Hier, à l'audience, la dame âgée, assistée par Me Dorothée Ngoungouré, présentait un oeil et un côté droit de la face encore très abîmés. « Pardonne-moi, maman ! » clame, dès son entrée dans le box, l'auteur des coups défendu par Me Anne-Claire Caron. La victime a expliqué aux policiers qu'elle « ne supportait plus son fils et ses frasques », comme le relate le président Hoc Pheng Chhay.
Georges Govart, alcoolique au long cours, entretient un rapport très distant avec le monde du travail. Il vit chez sa mère et il y a des heurts. « Vous avez le vin méchant ? » questionne le président Chhay. Le prévenu bredouille on ne sait trop quoi mais explique tout de même qu'il est régulièrement suivi par un médecin psychiatre. Mais, hier, d'entrée de jeu, on n'ira guère plus loin dans l'explication des faits : l'auteur des coups a demandé, comme c'est son droit, le report de son procès.
Côté personnalité, on sait que le prévenu a un lourd passé psychiatrique et qu'il prend de nombreux médicaments. Il reçoit aussi une pension en tant qu'adulte handicapé. Le casier judiciaire indique une condamnation pour une agression sexuelle et des violences sur un autre parent proche.
Il n'en faudrait pas plus, évidemment, au procureur Jean-Francis Créon pour demander la détention provisoire à l'encontre du prévenu susceptible de recommencer des violences familiales alors qu'il est déjà récidiviste.
Vêtements de rechange
Le prévenu ne peut guère, en outre, présenter une solution de travail ou d'hébergement crédible. Le procureur ajoute que, dans un premier temps, le médecin des urgences hospitalières avait estimé à deux jours l'immobilisation de la personne âgée. « Avec l'alcoolisme et les médicaments, on peut craindre le renouvellement des faits et il faut impérativement neutraliser ce genre de comportement », résume le procureur Créon.
Du côté de Me Anne-Claire Caron, on estime qu'un « contrôle judiciaire lui interdisant strictement de fréquenter le quartier où vit sa mère est encore possible pour le prévenu. D'ailleurs, ses premiers mots en arrivant dans le box ont été pour exprimer ses regrets ». Après la plaidoirie prônant la liberté, Georges Govart lance à l'adresse de ses proches : « Il faudra m'apporter des vêtements de rechange pour Sequedin ». Excellente prévision: le président Chhay a effectivement annoncé le mandat de dépôt.http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/12/23/il-frappe-sa-mere-de-76-ans.shtml
Arles : le conducteur sans permis reste le principal suspect
La jeune fille qui s'était dénoncée a été mise hors de cause. Le Gardois a été incarcéré
C'est lui. En tout cas, c'est le conducteur sans permis qui avait été identifié juste après les faits, qui est suspecté par la justice d'être le responsable du terrible accident qui s'est produit dimanche matin, vers 6 h 40, à la sortie de la discothèque Le Krystal à Moulès. Rappelons que ce matin-là, trois quarts d'heure après la fermeture de la discothèque, une voiture folle a fauché un groupe de gens qui marchaient sur la route en direction d'Arles. Un accident dont le bilan est lourd puisqu'un jeune homme de 20 ans ne s'est jamais relevé . Les quatre autres victimes sont légèrement atteintes et sont sorties de l'hôpital, si bien qu'elles ont pu donner leur version des faits. Enfin.
Selon nos informations, elles ont dénoncé quelqu'un. Et c'est lui, le jeune Gardois qui essayait de se décharger de sa lourde faute en profitant de la dénonciation spontanée de son amie, qui est le responsable. En effet, la jeune femme s'était dénoncée dimanche soir, plongeant les enquêteurs de la police d'Arles dans l'expectative. Car il était bien trop tard pour valider juridiquement son test d'alcoolémie qui affichait 1 gramme/litre de sang. Mais certains y ont cru et les rumeurs les plus folles ont couru : "Elle aurait tapé dans un poteau en sortant du parking", assuraient-ils. C'est faux et les témoignages des victimes tendent à le prouver. En fait, c'est bien ce jeune homme qui a été aperçu au volant de la voiture folle. Lui qui n'a pas été capable de maîtriser son véhicule. Lui encore qui a roulé sur une bande d'amis qui venait de passer une bonne soirée et ne demandait qu'à rentrer chez elle.
C'est pourquoi le procureur de la République de Tarascon, Christian Pasta, a requis son placement en détention après l'avoir mis en examen des chefs d'homicide involontaire aggravé par le fait qu'il a consommé des stupéfiants (il a lui-même reconnu avoir consommé du cannabis mais ne présentait un taux d'alcoolémie "que" de 0,30 g/l), blessures involontaires aggravées, défaut de permis de conduire (et donc, d'assurance). Il a été placé en détention provisoire, tandis qu'une information judiciaire était ouverte.
La jeune femme, elle, a été mise hors de cause. Elle est rentrée libre chez elle, ce qui ne l'empêchera pas d'être de nouveau entendue par la police au cours des prochaines investigations. Il semble également que l'autopsie du corps de la jeune victime ait été commandée. Ce qui devrait permettre d'apporter des éléments concrets à l'enquête, dans l'attente du procès du chauffard. Reste que l'affaire a plongé tout le Pays d'Arles dans la douleur.
Et plutôt que de condamner Le Krystal (qui ne devrait pas faire l'objet d'une fermeture administrative), le sous-préfet d'Arles, Pierre Castoldi, insiste sur les messages de prévention qu'il faut continuer à marteler.
http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/arles-le-conducteur-sans-permis-reste-le-principal-suspect
C'est lui. En tout cas, c'est le conducteur sans permis qui avait été identifié juste après les faits, qui est suspecté par la justice d'être le responsable du terrible accident qui s'est produit dimanche matin, vers 6 h 40, à la sortie de la discothèque Le Krystal à Moulès. Rappelons que ce matin-là, trois quarts d'heure après la fermeture de la discothèque, une voiture folle a fauché un groupe de gens qui marchaient sur la route en direction d'Arles. Un accident dont le bilan est lourd puisqu'un jeune homme de 20 ans ne s'est jamais relevé . Les quatre autres victimes sont légèrement atteintes et sont sorties de l'hôpital, si bien qu'elles ont pu donner leur version des faits. Enfin.
Selon nos informations, elles ont dénoncé quelqu'un. Et c'est lui, le jeune Gardois qui essayait de se décharger de sa lourde faute en profitant de la dénonciation spontanée de son amie, qui est le responsable. En effet, la jeune femme s'était dénoncée dimanche soir, plongeant les enquêteurs de la police d'Arles dans l'expectative. Car il était bien trop tard pour valider juridiquement son test d'alcoolémie qui affichait 1 gramme/litre de sang. Mais certains y ont cru et les rumeurs les plus folles ont couru : "Elle aurait tapé dans un poteau en sortant du parking", assuraient-ils. C'est faux et les témoignages des victimes tendent à le prouver. En fait, c'est bien ce jeune homme qui a été aperçu au volant de la voiture folle. Lui qui n'a pas été capable de maîtriser son véhicule. Lui encore qui a roulé sur une bande d'amis qui venait de passer une bonne soirée et ne demandait qu'à rentrer chez elle.
C'est pourquoi le procureur de la République de Tarascon, Christian Pasta, a requis son placement en détention après l'avoir mis en examen des chefs d'homicide involontaire aggravé par le fait qu'il a consommé des stupéfiants (il a lui-même reconnu avoir consommé du cannabis mais ne présentait un taux d'alcoolémie "que" de 0,30 g/l), blessures involontaires aggravées, défaut de permis de conduire (et donc, d'assurance). Il a été placé en détention provisoire, tandis qu'une information judiciaire était ouverte.
La jeune femme, elle, a été mise hors de cause. Elle est rentrée libre chez elle, ce qui ne l'empêchera pas d'être de nouveau entendue par la police au cours des prochaines investigations. Il semble également que l'autopsie du corps de la jeune victime ait été commandée. Ce qui devrait permettre d'apporter des éléments concrets à l'enquête, dans l'attente du procès du chauffard. Reste que l'affaire a plongé tout le Pays d'Arles dans la douleur.
Et plutôt que de condamner Le Krystal (qui ne devrait pas faire l'objet d'une fermeture administrative), le sous-préfet d'Arles, Pierre Castoldi, insiste sur les messages de prévention qu'il faut continuer à marteler.
http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/arles-le-conducteur-sans-permis-reste-le-principal-suspect
Créteil: un forcené maîtrisé par le Raid
Un forcené, armé d'une arme de poing, s'est retranché hier soir pendant plusieurs heures à son domicile à Créteil, menaçant de mettre fin à ses jours avant d'être neutralisé par les policiers du Raid.
Le forcené, âgé de 60 ans, s'est retranché chez lui à 20h25 "en possession d'une arme de type revolver puis a pris contact téléphoniquement avec la police pour demander où était son véhicule", a expliqué cette source. Apprenant que celui-ci avait été mis en fourrière, il a menacé de mettre fin à ses jours. "Il souffre de problèmes psychiatriques", a-t-on précisé.
Aussitôt, un périmètre de sécurité a été mis en place. Le Raid est intervenu à la demande du Directeur de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) à 23h25, a-t-on ajouté. Le retraité a été désarmé et interpellé à 1h10. Son arme n'était pas chargée. Il a été pris en charge par la mairie de Créteil avant d'être conduit à l'hôpital Henri Mondor.
Une enquête a été confiée au commissariat de Créteil.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/23/97001-20111223FILWWW00274-creteil-un-forcene-maitrise-par-le-raid.php
Le forcené, âgé de 60 ans, s'est retranché chez lui à 20h25 "en possession d'une arme de type revolver puis a pris contact téléphoniquement avec la police pour demander où était son véhicule", a expliqué cette source. Apprenant que celui-ci avait été mis en fourrière, il a menacé de mettre fin à ses jours. "Il souffre de problèmes psychiatriques", a-t-on précisé.
Aussitôt, un périmètre de sécurité a été mis en place. Le Raid est intervenu à la demande du Directeur de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) à 23h25, a-t-on ajouté. Le retraité a été désarmé et interpellé à 1h10. Son arme n'était pas chargée. Il a été pris en charge par la mairie de Créteil avant d'être conduit à l'hôpital Henri Mondor.
Une enquête a été confiée au commissariat de Créteil.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/23/97001-20111223FILWWW00274-creteil-un-forcene-maitrise-par-le-raid.php
Un homme blessé par balles à Nanterre
Un homme âgé d'environ 25 ans été blessé par balles jeudi soir dans la cité Pablo-Picasso à Nanterre (Hauts-de-Seine). Un témoin affirme avoir entenu deux détonations aux alentours de 21 heures, rue de la Paix. Lorsque les policiers sont arrivés sur place, la victime était au sol, touchée aux genoux. Le ou les tireurs ont manifestement voulu viser les jambes. Le jeune blessé a été transféré à l'hôpital tandis que la police recueillait les premiers témoignages
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/un-homme-blesse-par-balles-a-nanterre-22-12-2011-1780413.php
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/un-homme-blesse-par-balles-a-nanterre-22-12-2011-1780413.php
Un camion percute un pylône EDF
Pour une raison indéterminée, un semi-remorque transportant des boissons a percuté un pylône avant de se coucher dans le fossé.
HIER, peu avant 4 heures, le chauffeur d'un camion a perdu toute maîtrise de son poids lourd. Le camion circulait dans le sens de Vermand vers Saint-Quentin. Il est allé percuter violemment un pylône EDF avant de finir sa course, couché sur le bas-côté de la chaussée. L'accident s'est produit hors agglomération de la commune d'Holnon, à la sortie d'une courbe sur la départementale 1029 au niveau du restaurant « Le Pot d'Etain ».
Immédiatement prévenus, les sapeurs-pompiers de Saint-Quentin se sont rendus sur les lieux. Un important dispositif de secours a été mis en place. Blessé et coincé dans sa cabine, le chauffeur du poids lourd a été désincarcéré par les secouristes avant d'être conduit au centre hospitalier de Saint-Quentin, où son état n'a pas été jugé inquiétant.
Les sapeurs-pompiers ont prévenu les services d'ERDF car le poteau menaçait de tomber et il y avait un risque d'incendie, le camion, un semi-remorque était à proximité des lignes toujours sous tension et tombées au sol. Les secours craignaient la formation d'un arc électrique, facilité par la pluie, qui aurait alors mis le feu au camion couché dans le fossé contre le poteau électrique. Un périmètre de sécurité a été rapidement mis en place, le temps de l'intervention des secours et des agents EDF.
La circulation n'a pu être rétablie que vers 13 h 30 soit près de huit heures après l'accident. Il a fallu qu'ERDF emploie d'importants moyens pour réparer la casse occasionnée par cette perte de contrôle et seulement après, il a été possible de transférer le chargement, des palettes de boissons destinées à une grande surface commerciale, dans un autre camion. Au tour ensuite d'une entreprise spécialisée dans le levage des poids lourds, d'intervenir en toute sécurité pour dégager le semi-remorque de la chaussée. Les services de la Voirie départementale ont procédé au nettoyage de la route avant qu'elle ne soit remise sans restriction en service.
Les gendarmes de la brigade de Saint-Quentin ainsi que le capitaine Rozé, étaient également présents, renforcés par le peloton de la brigade motorisé. Ensemble, ils ont assuré la sécurité des usagers de cet axe toujours très fréquenté, avant de procéder aux constats d'usage.
Durant le temps des opérations de secours, la départementale a été dans un premier temps ouverte sur une seule voie avant qu'une déviation soit mise en place sur les communes de Fayet et Vermand.
Afin d'éviter un afflux supplémentaire de véhicules, la sortie numéro 10 de l'autoroute a été fermée durant tout le temps des opérations.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-camion-percute-un-pylone-edf
HIER, peu avant 4 heures, le chauffeur d'un camion a perdu toute maîtrise de son poids lourd. Le camion circulait dans le sens de Vermand vers Saint-Quentin. Il est allé percuter violemment un pylône EDF avant de finir sa course, couché sur le bas-côté de la chaussée. L'accident s'est produit hors agglomération de la commune d'Holnon, à la sortie d'une courbe sur la départementale 1029 au niveau du restaurant « Le Pot d'Etain ».
Immédiatement prévenus, les sapeurs-pompiers de Saint-Quentin se sont rendus sur les lieux. Un important dispositif de secours a été mis en place. Blessé et coincé dans sa cabine, le chauffeur du poids lourd a été désincarcéré par les secouristes avant d'être conduit au centre hospitalier de Saint-Quentin, où son état n'a pas été jugé inquiétant.
Les sapeurs-pompiers ont prévenu les services d'ERDF car le poteau menaçait de tomber et il y avait un risque d'incendie, le camion, un semi-remorque était à proximité des lignes toujours sous tension et tombées au sol. Les secours craignaient la formation d'un arc électrique, facilité par la pluie, qui aurait alors mis le feu au camion couché dans le fossé contre le poteau électrique. Un périmètre de sécurité a été rapidement mis en place, le temps de l'intervention des secours et des agents EDF.
La circulation n'a pu être rétablie que vers 13 h 30 soit près de huit heures après l'accident. Il a fallu qu'ERDF emploie d'importants moyens pour réparer la casse occasionnée par cette perte de contrôle et seulement après, il a été possible de transférer le chargement, des palettes de boissons destinées à une grande surface commerciale, dans un autre camion. Au tour ensuite d'une entreprise spécialisée dans le levage des poids lourds, d'intervenir en toute sécurité pour dégager le semi-remorque de la chaussée. Les services de la Voirie départementale ont procédé au nettoyage de la route avant qu'elle ne soit remise sans restriction en service.
Les gendarmes de la brigade de Saint-Quentin ainsi que le capitaine Rozé, étaient également présents, renforcés par le peloton de la brigade motorisé. Ensemble, ils ont assuré la sécurité des usagers de cet axe toujours très fréquenté, avant de procéder aux constats d'usage.
Durant le temps des opérations de secours, la départementale a été dans un premier temps ouverte sur une seule voie avant qu'une déviation soit mise en place sur les communes de Fayet et Vermand.
Afin d'éviter un afflux supplémentaire de véhicules, la sortie numéro 10 de l'autoroute a été fermée durant tout le temps des opérations.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-camion-percute-un-pylone-edf
jeudi 22 décembre 2011
Un salon de coiffure « shooté » au cannabis
Une coiffeuse de Reims n'en peut plus. Son salon est voisin d'un local à poubelles où l'on fait grande consommation de cannabis. Toute la journée, elle respire les odeurs, au point d'en devenir malade.
«JE tiens un salon de coiffure, pas une fumerie de haschich ! J'en respire pourtant tous les jours. C'est intenable ! J'ai beau me plaindre, personne ne fait rien. C'est inadmissible de me laisser travailler dans ces conditions ! »
Christiane n'en peut plus. Installée depuis 1989 au bas de la place Auguste-Rodin, la coiffeuse du centre commercial Croix-du-Sud, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, en a marre de se ruiner la santé. Pour elle, travailler est devenu synonyme d'intoxication chronique aux effluves de cannabis. Son salon est voisin d'un local à poubelles où des consommateurs se réunissent au chaud, à l'abri des regards, pour « tirer sur le bédo ».
« Ici, c'est une ancienne cave. Le mur qui sépare mon salon du local poubelles est poreux. Quand il y a le feu derrière, la fumée arrive chez moi. C'est pareil pour les odeurs de cannabis. »
Le problème est apparu il y a plusieurs années, « mais c'était ponctuel ». « Là, depuis une paire de semaines, c'est devenu permanent. Tous les matins quand j'arrive, je suis obligée d'aérer et de mettre la clim mais ça subsiste quand même car c'est une odeur qui imprègne les vêtements, le linge. Le pire, c'est dans ma réserve. C'est là que ça sent le plus, une odeur de navet fermenté, de combustion humide. »
Hier matin, malgré la climatisation en marche, une légère odeur difficilement descriptible flottait toujours dans le salon. Coïncidence ou non, au bout d'une vingtaine de minutes, les visiteurs de Christiane se sont surpris à avoir mal à la tête ou ressentir des grattouillis dans la gorge.
« Mardi après-midi, un client qui patientait m'a dit : « Ça me fait tout drôle dans la tête ». Il a préféré repartir », indique la coiffeuse. « Moi, je suis obligée de rester toute la journée. Ça me rend malade, pourtant je ne suis pas une petite nature. J'ai des migraines, ça me pique les yeux, ça me brûle dans la gorge, ça m'irrite la peau et j'ai même les oreilles qui gonflent car je fais de l'allergie. Mardi soir, je suis rentrée chez moi avec les yeux tout rouges, larmoyants. J'avais la tête lourde, à la poser sur les genoux. Je ne pouvais pas fixer la télé. Je suis allée me coucher à 20 h 30. Ce matin en me réveillant, j'étais toujours dans la ouate et j'avais comme une angine dans la gorge. »
Certains jours bien brumeux, quand elle n'attend plus de clients, Christiane en arrive à fermer son salon avant l'heure. « Je me souviens d'un mercredi où je suis partie à 15 h 30 au lieu de 18 heures. Quand je pense que je paye 750 € de taxe foncière sur le bâti pour travailler dans ces conditions ! Ce qui m'estomaque le plus, c'est que rien ne bouge alors que j'ai appelé plusieurs fois l'Effort rémois, le commissariat, la police municipale. Tout le monde me répond que c'est à l'autre de s'en occuper. »
De quoi mettre en pétard une honnête commerçante, travailleuse, restée fidèle à ce quartier Croix-Rouge où elle a donné ses premiers coups de ciseaux en 1974. « Que certains se déglinguent la santé en fumant du cannabis, c'est leur problème, mais ce n'est pas à moi de supporter ça. »http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-salon-de-coiffure-shoote-au-cannabis
«JE tiens un salon de coiffure, pas une fumerie de haschich ! J'en respire pourtant tous les jours. C'est intenable ! J'ai beau me plaindre, personne ne fait rien. C'est inadmissible de me laisser travailler dans ces conditions ! »
Christiane n'en peut plus. Installée depuis 1989 au bas de la place Auguste-Rodin, la coiffeuse du centre commercial Croix-du-Sud, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, en a marre de se ruiner la santé. Pour elle, travailler est devenu synonyme d'intoxication chronique aux effluves de cannabis. Son salon est voisin d'un local à poubelles où des consommateurs se réunissent au chaud, à l'abri des regards, pour « tirer sur le bédo ».
« Ici, c'est une ancienne cave. Le mur qui sépare mon salon du local poubelles est poreux. Quand il y a le feu derrière, la fumée arrive chez moi. C'est pareil pour les odeurs de cannabis. »
Le problème est apparu il y a plusieurs années, « mais c'était ponctuel ». « Là, depuis une paire de semaines, c'est devenu permanent. Tous les matins quand j'arrive, je suis obligée d'aérer et de mettre la clim mais ça subsiste quand même car c'est une odeur qui imprègne les vêtements, le linge. Le pire, c'est dans ma réserve. C'est là que ça sent le plus, une odeur de navet fermenté, de combustion humide. »
Hier matin, malgré la climatisation en marche, une légère odeur difficilement descriptible flottait toujours dans le salon. Coïncidence ou non, au bout d'une vingtaine de minutes, les visiteurs de Christiane se sont surpris à avoir mal à la tête ou ressentir des grattouillis dans la gorge.
« Mardi après-midi, un client qui patientait m'a dit : « Ça me fait tout drôle dans la tête ». Il a préféré repartir », indique la coiffeuse. « Moi, je suis obligée de rester toute la journée. Ça me rend malade, pourtant je ne suis pas une petite nature. J'ai des migraines, ça me pique les yeux, ça me brûle dans la gorge, ça m'irrite la peau et j'ai même les oreilles qui gonflent car je fais de l'allergie. Mardi soir, je suis rentrée chez moi avec les yeux tout rouges, larmoyants. J'avais la tête lourde, à la poser sur les genoux. Je ne pouvais pas fixer la télé. Je suis allée me coucher à 20 h 30. Ce matin en me réveillant, j'étais toujours dans la ouate et j'avais comme une angine dans la gorge. »
Certains jours bien brumeux, quand elle n'attend plus de clients, Christiane en arrive à fermer son salon avant l'heure. « Je me souviens d'un mercredi où je suis partie à 15 h 30 au lieu de 18 heures. Quand je pense que je paye 750 € de taxe foncière sur le bâti pour travailler dans ces conditions ! Ce qui m'estomaque le plus, c'est que rien ne bouge alors que j'ai appelé plusieurs fois l'Effort rémois, le commissariat, la police municipale. Tout le monde me répond que c'est à l'autre de s'en occuper. »
De quoi mettre en pétard une honnête commerçante, travailleuse, restée fidèle à ce quartier Croix-Rouge où elle a donné ses premiers coups de ciseaux en 1974. « Que certains se déglinguent la santé en fumant du cannabis, c'est leur problème, mais ce n'est pas à moi de supporter ça. »http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-salon-de-coiffure-shoote-au-cannabis
Les cambrioleurs dévalisent le sapin
Quand ce ne sont pas des bijoux ou des ordinateurs ou téléphones portables, les cambrioleurs s'attaquent carrément aux cadeaux de Noël ! Remisés dans un coin en attendant la venue du plus célèbre des barbus, ces petits paquets soigneusement emballés sont désormais dans le viseur des monte-en-l'air. Mardi soir, dans le quartier Côte-Pavée, à Toulouse, des malfaiteurs se sont introduits dans un pavillon, en passant par une baie vitrée. Ils ont fait une razzia sur les cadeaux de Noël dissimulés dans cette habitation familiale : porte-monnaie, chemise Lacoste et parfum de marque… Tout y est passé ! Mais certains cambrioleurs font preuve d'un peu plus de cœur. Dernièrement, une jeune fille a volontairement menti à sa petite troupe de chapardeurs lorsqu'elle s'est aperçue que la maison dans laquelle elle s'était introduite abritait des cadeaux pour les fêtes. Enfin, des cambrioleurs plus aguerris ont fait dans le grand luxe au sein d'une plateforme de livraison, à Lespinasse, dans la nuit de dimanche à lundi. Ces individus ont réussi en un tour de passe-passe à mettre la main sur 5 400 bouteilles de champagne ! En plus de ce prestigieux breuvage, les voleurs de Noël ont dérobé également des spiritueux, le tout pour un préjudice estimé à 58 000€!
Les cambrioleurs aussi fêtent Noël… tombé du camion.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245503-les-cambrioleurs-devalisent-le-sapin.html
Les cambrioleurs aussi fêtent Noël… tombé du camion.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245503-les-cambrioleurs-devalisent-le-sapin.html
Des collégiennes "pistées" par un mystérieux conducteur
Le jeudi 15 décembre, à 17 h 20, dans la rue principale de Saint-Hilaire, deux collégiennes, chacune âgée de 13 ans et demi, ont été "importunées" par le passager d'une voiture.
Les faits se sont déroulés selon un scénario quasiment identique à celui de Cépie, survenu une semaine plus tôt : en sortant de son travail, une apprentie coiffeuse âgée de 16 ans avait été interpellée oralement par le conducteur d'une voiture de couleur sombre. Paniquée, la jeune fille s'était enfuie et une plainte pour tentative d'enlèvement avait été déposée à la gendarmerie.
Cette fois-ci, à Saint-Hilaire, ce sont deux adolescentes qui ont été "dérangées". Elles venaient de descendre du bus scolaire et cheminaient ensemble le long de la rue principale. Puis, après quelques mètres, elles se sont séparées pour rejoindre leur domicile respectif : l'une est redescendue en sens inverse et l'autre a continué.
Celle qui descendait a soudain remarqué "une voiture de couleur sombre, plutôt longue et apparemment ancienne, avec des phares jaunes", confie la mère de l'autre adolescente, "et à l'intérieur, elle a vu le passager lui faire des petits gestes".
Affaire prise au sérieux
Mais la voiture a continué sa route. Arrivée à hauteur de l'autre jeune fille, celle-ci s'est alors retournée "et elle a vu le passager, apparemment âgé d'une quarantaine d'années, lui faire des signes", précise sa mère. "Prise de panique, elle a crié. Puis elle est partie en courant retrouver son amie. Aussitôt, elle a prévenu son père en le contactant avec son téléphone portable".
Un peu plus tard, lui et sa fille se sont rendus à la compagnie de gendarmerie. "Nous avons informé le Parquet de cette affaire et nous avons ouvert une enquête", confie-t-on à la compagnie.
"On ne peut pas parler de rapt, puisqu'il n'y a pas eu d'acte en ce sens. Et contrairement à Cépie, il n'y a pas eu de paroles, mais simplement des gestes. Au vu des éléments que nous possédons, le seul point commun est la présence d'un véhicule". Et ce sont des mineures qui sont chaque fois concernées.
Olivier Tainturier, le sous-préfet, ajoute : "Nous prenons ces affaires au sérieux même si, dans les deux cas, il n'y a ni portières ouvertes, ni menaces". En effet, si le ou les inconnu(s) avaient voulu passer à l'acte, il(s) serait(aient) sortis de leur véhicule, vu que les jeunes filles étaient dans une situation vulnérable, du moins si l'on s'en réfère à leurs témoignages. "Ou alors, ils veulent créer un climat de peur", suppose la mère d'une des collégiennes.
Les faits se sont déroulés selon un scénario quasiment identique à celui de Cépie, survenu une semaine plus tôt : en sortant de son travail, une apprentie coiffeuse âgée de 16 ans avait été interpellée oralement par le conducteur d'une voiture de couleur sombre. Paniquée, la jeune fille s'était enfuie et une plainte pour tentative d'enlèvement avait été déposée à la gendarmerie.
Cette fois-ci, à Saint-Hilaire, ce sont deux adolescentes qui ont été "dérangées". Elles venaient de descendre du bus scolaire et cheminaient ensemble le long de la rue principale. Puis, après quelques mètres, elles se sont séparées pour rejoindre leur domicile respectif : l'une est redescendue en sens inverse et l'autre a continué.
Celle qui descendait a soudain remarqué "une voiture de couleur sombre, plutôt longue et apparemment ancienne, avec des phares jaunes", confie la mère de l'autre adolescente, "et à l'intérieur, elle a vu le passager lui faire des petits gestes".
Affaire prise au sérieux
Mais la voiture a continué sa route. Arrivée à hauteur de l'autre jeune fille, celle-ci s'est alors retournée "et elle a vu le passager, apparemment âgé d'une quarantaine d'années, lui faire des signes", précise sa mère. "Prise de panique, elle a crié. Puis elle est partie en courant retrouver son amie. Aussitôt, elle a prévenu son père en le contactant avec son téléphone portable".
Un peu plus tard, lui et sa fille se sont rendus à la compagnie de gendarmerie. "Nous avons informé le Parquet de cette affaire et nous avons ouvert une enquête", confie-t-on à la compagnie.
"On ne peut pas parler de rapt, puisqu'il n'y a pas eu d'acte en ce sens. Et contrairement à Cépie, il n'y a pas eu de paroles, mais simplement des gestes. Au vu des éléments que nous possédons, le seul point commun est la présence d'un véhicule". Et ce sont des mineures qui sont chaque fois concernées.
Olivier Tainturier, le sous-préfet, ajoute : "Nous prenons ces affaires au sérieux même si, dans les deux cas, il n'y a ni portières ouvertes, ni menaces". En effet, si le ou les inconnu(s) avaient voulu passer à l'acte, il(s) serait(aient) sortis de leur véhicule, vu que les jeunes filles étaient dans une situation vulnérable, du moins si l'on s'en réfère à leurs témoignages. "Ou alors, ils veulent créer un climat de peur", suppose la mère d'une des collégiennes.
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