La piste criminelle est confirmée. Et l’identité de la victime aussi. L’homme retrouvé baignant dans son sang, à l’intérieur de sa voiture, mercredi matin, dans le quartier de Châteaucreux à Saint-Etienne, est bien un ressortissant géorgien de 58 ans, qui a déjà eu maille à partir avec la justice française pour port d’armes.
Il avait été interpellé au mois de septembre. Il avait purgé une courte peine de prison, Il est sorti de la maison d’arrêt samedi, pour être assassiné trois jours plus tard.
L’enquête est confiée à la police judiciaire, et la tâche s’annonce ardue. L’homme n’a pas un passé judiciaire très lourd, il n’est pas répertorié parmi la criminalité organisée.
La communauté géorgienne n’est pas facile à cerner. Il y a déjà le barrage de la langue, l’obligation de recourir à des interprètes. Et il n’est pas dit que la vérité soit ailleurs. Lors de son interpellation, en septembre, il avait sur lui un liquide qui permettait de révéler si un objet était véritablement en or ou pas. Les pistes sont multiples, mais aucune n’est précise.
L’autopsie a confirmé qu’on lui avait tranché la gorge. La plaie a occasionné une importante hémorragie. On a retrouvé le malheureux à neuf heures du matin, et l’on peut imaginer qu’il avait été assassiné au petit matin. Il dormait régulièrement dans sa voiture, c’est là que le ou les assassins l’ont surpris.
http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/30/l-homme-egorge-dans-sa-voiture-sortait-tout-juste-de-prison-macn
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
vendredi 30 novembre 2012
Saint-Sulpice. Trois bus neufs du Conseil général incendiés
Un autocar complètement détruit, deux autres en sale état : sur le parking de la société Arterris, hier matin, aux premières lueurs de l'aube, dans la zone industrielle de Terres Noires, à Saint Sulpice, les trois véhicules de transport en commun offrent un spectacle de désolation. Au centre, un bus entièrement calciné, tout a brûlé : les sièges, les pneux, le plancher, il ne reste qu'un amas de ferraille.
De chaque côté deux autres bus : vitres brisées très certainement par la chaleur dégagée par l'incendie, et les côtés entièrement noircies par la fumée. Ces trois bus appartiennent au Conseil Général du Tarn, ils sont quasi neufs puisque mis en service au mois de septembre dernier. Ils assurent les liaisons Saint Sulpice/Castres et Saint- Sulpice/Albi.
Pour éteindre le feu, les sapeurs pompiers ont été dans l'obligation de cisailler à deux endroits le grillage de 2 mètres de haut qui ceinturent le site pour accéder avec leurs lances jusqu'aux véhicules en feu. Les gendarmes de la communauté de brigades de Lavaur, sous l'autorité du capitaine Philippe Hernandez étaient hier matin à pied d'œuvre à la recherche de tout indice en mesure de faire progresser l'enquête. Deux techniciens de la cellule d'identification criminelle d'Albi étaient également présents : ils ont procédé à de nombreux relevés dans le périmètre proche de l'incendie ainsi qu'à l'intérieur des autocars. Selon toute vraisemblance, les incendiaires ont escaladé le portail, haut d'1m80, pour pénétrer dans l'enceinte. Dans un des deux bus endommagés, une portière a été forcée et une sacoche contenant les papiers du véhicule et des documents administratifs a disparu.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/30/1502314-saint-sulpice-trois-bus-du-conseil-general-incendies.html
De chaque côté deux autres bus : vitres brisées très certainement par la chaleur dégagée par l'incendie, et les côtés entièrement noircies par la fumée. Ces trois bus appartiennent au Conseil Général du Tarn, ils sont quasi neufs puisque mis en service au mois de septembre dernier. Ils assurent les liaisons Saint Sulpice/Castres et Saint- Sulpice/Albi.
Un acte volontaire
Pour les enquêteurs présents sur les lieux peu après le début de l'incendie, l'acte volontaire ne fait aucun doute. C'est aux alentours de 23 h 30, dans la nuit de mercredi à jeudi, que les flammes ont commencé à détruire un des autobus. Selon toute vraisemblance, l'incendie s'est propagé ensuite aux deux autres bus garés tout à côté. L'action rapide des sapeurs pompiers a permis d'éviter le pire : la propagation du sinistre aux sept cars garés sur le parking.Pour éteindre le feu, les sapeurs pompiers ont été dans l'obligation de cisailler à deux endroits le grillage de 2 mètres de haut qui ceinturent le site pour accéder avec leurs lances jusqu'aux véhicules en feu. Les gendarmes de la communauté de brigades de Lavaur, sous l'autorité du capitaine Philippe Hernandez étaient hier matin à pied d'œuvre à la recherche de tout indice en mesure de faire progresser l'enquête. Deux techniciens de la cellule d'identification criminelle d'Albi étaient également présents : ils ont procédé à de nombreux relevés dans le périmètre proche de l'incendie ainsi qu'à l'intérieur des autocars. Selon toute vraisemblance, les incendiaires ont escaladé le portail, haut d'1m80, pour pénétrer dans l'enceinte. Dans un des deux bus endommagés, une portière a été forcée et une sacoche contenant les papiers du véhicule et des documents administratifs a disparu.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/30/1502314-saint-sulpice-trois-bus-du-conseil-general-incendies.html
Affaire du Sofitel : accord à l'amiable pour DSK et Nafissatou Diallo
DSK et Nafissatou Diallo seraient parvenus à un accord à l'amiable ce jeudi, selon le New York Times.
Dominique Strauss-Kahn et Nafissatou Diallo, la femme de chambre qui l'accusait d'agression sexuelle à New York, sont parvenus à un accord financier, rapporte jeudi soir le New York Times. Le quotidien, qui cite des personnes ayant connaissance du dossier, précise que les deux parties devraient se rendre la semaine prochaine devant le juge en charge de la procédure civile toujours en cours devant un tribunal du Bronx. Un accord financier mettrait fin à cette procédure.
Aucun des avocats de Mme Diallo et de M. Strauss-Kahn n'étaient immédiatement joignables jeudi soir. Aucun détail sur le montant de cet accord n'est précisé. Une des personnes ayant parlé au New York Times lui a précisé que l'accord n'avait pas encore été signé.
Doutes et mensonges répétés
Mme Diallo avait porté plainte au civil contre DSK le 8 août 2011, en parallèle d'une procédure pénale, l'accusant de l'avoir sexuellement agressée dans sa suite du Sofitel le 14 mai précédent. La procédure pénale engagée après l'agression supposée, avait été abandonnée le 23 août 2011, le procureur ayant des doutes sur la crédibilité de Mme Diallo, en raison de mensonges répétés sur certains aspects de sa vie.
Le juge Douglas McKeon, en charge de la procédure civile, avait refusé le 1er mai dernier de classer la plainte de Mme Diallo, comme l'avaient demandé les avocats de DSK. Mais depuis, la procédure était au point mort. Le juge McKeon est un fervent partisan des accords négociés, et il avait déclaré à l'AFP qu'il ne traiterait pas ce dossier différemment des autres. DSK a affirmé que sa relation avec Mme Diallo au Sofitel était "mutuellement consentie".
http://www.midilibre.fr/2012/11/30/affaire-du-sofitel-accord-a-l-amiable-pour-dsk-et-nafissatou-diallo,603006.php
Dominique Strauss-Kahn et Nafissatou Diallo, la femme de chambre qui l'accusait d'agression sexuelle à New York, sont parvenus à un accord financier, rapporte jeudi soir le New York Times. Le quotidien, qui cite des personnes ayant connaissance du dossier, précise que les deux parties devraient se rendre la semaine prochaine devant le juge en charge de la procédure civile toujours en cours devant un tribunal du Bronx. Un accord financier mettrait fin à cette procédure.
Aucun des avocats de Mme Diallo et de M. Strauss-Kahn n'étaient immédiatement joignables jeudi soir. Aucun détail sur le montant de cet accord n'est précisé. Une des personnes ayant parlé au New York Times lui a précisé que l'accord n'avait pas encore été signé.
Doutes et mensonges répétés
Mme Diallo avait porté plainte au civil contre DSK le 8 août 2011, en parallèle d'une procédure pénale, l'accusant de l'avoir sexuellement agressée dans sa suite du Sofitel le 14 mai précédent. La procédure pénale engagée après l'agression supposée, avait été abandonnée le 23 août 2011, le procureur ayant des doutes sur la crédibilité de Mme Diallo, en raison de mensonges répétés sur certains aspects de sa vie.
Le juge Douglas McKeon, en charge de la procédure civile, avait refusé le 1er mai dernier de classer la plainte de Mme Diallo, comme l'avaient demandé les avocats de DSK. Mais depuis, la procédure était au point mort. Le juge McKeon est un fervent partisan des accords négociés, et il avait déclaré à l'AFP qu'il ne traiterait pas ce dossier différemment des autres. DSK a affirmé que sa relation avec Mme Diallo au Sofitel était "mutuellement consentie".
http://www.midilibre.fr/2012/11/30/affaire-du-sofitel-accord-a-l-amiable-pour-dsk-et-nafissatou-diallo,603006.php
Dordogne : ivre, il appelle 106 fois la gendarmerie
Sa femme étant partie de chez eux, cet homme de 28 ans a voulu prévenir la gendarmerie. Ivre, il appelle le centre opérationnel qui le met en attente. N'appréciant pas cela, il renouvelle l'appel 106 fois dans la nuit, leur faisant écouter de la musique et les menaçant.
Comparaissant mercredi devant le tribunal correctionnel de Périgueux, cet habitant du Lardin-Saint-Lazarre était également jugé pour des faits de violences sur sa concubine. De plus, il avait conduit sa fille de 5 ans, sans casque, en pleine nuit, dans une remorque accrochée à son cyclomoteur, alors qu'il était ivre.
Déjà détenu, il a été condamné à 4 mois de prison dont 3 assortis d'un sursis et d'une mise à l'épreuve. Il devra soigner ses problèmes d'alcool.
http://www.sudouest.fr/2012/11/29/les-106-appels-de-trop-893416-1980.php
Comparaissant mercredi devant le tribunal correctionnel de Périgueux, cet habitant du Lardin-Saint-Lazarre était également jugé pour des faits de violences sur sa concubine. De plus, il avait conduit sa fille de 5 ans, sans casque, en pleine nuit, dans une remorque accrochée à son cyclomoteur, alors qu'il était ivre.
Déjà détenu, il a été condamné à 4 mois de prison dont 3 assortis d'un sursis et d'une mise à l'épreuve. Il devra soigner ses problèmes d'alcool.
http://www.sudouest.fr/2012/11/29/les-106-appels-de-trop-893416-1980.php
jeudi 29 novembre 2012
Prison ferme pour le forain qui écoulait du champagne
Grégory Massin, 40 ans, fait ses courses dans un centre Leclerc quand un inconnu lui propose du champagne pas cher. À 28 euros le lot de six bouteilles, il ne trouvera pas meilleure promo. Le forain dit banco. « Saviez-vous qu'il était volé ? » questionne le président Vincent Dufourd. « Je me doutais bien. Et, aujourd'hui, je regrette d'avoir acheté ça », explique-t-il de son air penaud.
Rendez-vous est pris pour le soir même à sa caravane, plantée à l'aire des gens du voyage de Bétheny. « Ils sont arrivés chez moi avec un camion de champagne », assure le prévenu. Il en a pris 100 cartons réglés rubis sur l'ongle. 2 800 euros en liquide. « D'où vient ce petit pactole ? » interroge le substitut Doriane Trombi. « Je fais les fêtes foraines et j'ai placé l'argent liquide chez moi dans mon coffre-fort », explique le maladroit.
Des livreurs « encagoulés »
« Qui sont les voleurs ? » poursuit le président du tribunal. Grégory Massin est bien en peine de livrer des noms. « Ils sont venus encagoulés », justifie-t-il. Ce n'est pas de chance pour les gendarmes de la brigade de recherches de Reims lancés aux trousses des voleurs depuis la mi-novembre. Grégory Massin a bien un indice à leur fournir, mais il est mince. À l'entendre, le chef des voleurs campe dans l'Aisne et se fait appeler « le petiot ».
L'équipe a déjà fait fort à l'approche des fêtes de fin d'année. Ils ont fait main basse sur 187 flacons dont 32 magnums à Champillon, dans la nuit du 19 au 20 novembre. Poursuivant leur périple, ils ont raflé pas moins de 106 bouteilles, parfois des premiers crus, à Hautvillers. Une troisième expédition les a menés à Écueil, où ils ont dérobé 610 bouteilles, dans la nuit du 15 au 16 novembre. Grégory Massin, pour sa part, était en position de receler quelque 600 bouteilles à lui tout seul.
Un business qui s'accélère à Noël
Le substitut Trombi note que le champagne a été volé de façon concomitante au recel. Elle dénonce un vrai business « qui s'accélère à l'approche de Noël ». « C'est un fléau car les consommateurs n'hésitent pas à acheter des bouteilles tombées du camion », déplore-t-elle. Elle requiert six mois de prison dont trois avec sursis avec obligation de travailler et d'indemniser les victimes à l'encontre d'un prévenu qui totalise déjà trois condamnations pour des affaires de stupéfiants.
« Il savait que ce champagne n'était pas clair, mais il est tombé dans le piège de la facilité », plaide Me Nicolas. Et de poursuivre : « Il a voulu se faire un peu de fric dans un contexte de misère économique ». Finalement, son client écope de quatre mois de prison dont deux avec sursis et mise à l'épreuve. Mais il n'en a peut-être pas fini avec la justice. Car d'autres produits, eux aussi « tombés du camion », ont été saisis chez le forain.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/prison-ferme-pour-le-forain-qui-ecoulait-du-champagne
Rendez-vous est pris pour le soir même à sa caravane, plantée à l'aire des gens du voyage de Bétheny. « Ils sont arrivés chez moi avec un camion de champagne », assure le prévenu. Il en a pris 100 cartons réglés rubis sur l'ongle. 2 800 euros en liquide. « D'où vient ce petit pactole ? » interroge le substitut Doriane Trombi. « Je fais les fêtes foraines et j'ai placé l'argent liquide chez moi dans mon coffre-fort », explique le maladroit.
Des livreurs « encagoulés »
« Qui sont les voleurs ? » poursuit le président du tribunal. Grégory Massin est bien en peine de livrer des noms. « Ils sont venus encagoulés », justifie-t-il. Ce n'est pas de chance pour les gendarmes de la brigade de recherches de Reims lancés aux trousses des voleurs depuis la mi-novembre. Grégory Massin a bien un indice à leur fournir, mais il est mince. À l'entendre, le chef des voleurs campe dans l'Aisne et se fait appeler « le petiot ».
L'équipe a déjà fait fort à l'approche des fêtes de fin d'année. Ils ont fait main basse sur 187 flacons dont 32 magnums à Champillon, dans la nuit du 19 au 20 novembre. Poursuivant leur périple, ils ont raflé pas moins de 106 bouteilles, parfois des premiers crus, à Hautvillers. Une troisième expédition les a menés à Écueil, où ils ont dérobé 610 bouteilles, dans la nuit du 15 au 16 novembre. Grégory Massin, pour sa part, était en position de receler quelque 600 bouteilles à lui tout seul.
Un business qui s'accélère à Noël
Le substitut Trombi note que le champagne a été volé de façon concomitante au recel. Elle dénonce un vrai business « qui s'accélère à l'approche de Noël ». « C'est un fléau car les consommateurs n'hésitent pas à acheter des bouteilles tombées du camion », déplore-t-elle. Elle requiert six mois de prison dont trois avec sursis avec obligation de travailler et d'indemniser les victimes à l'encontre d'un prévenu qui totalise déjà trois condamnations pour des affaires de stupéfiants.
« Il savait que ce champagne n'était pas clair, mais il est tombé dans le piège de la facilité », plaide Me Nicolas. Et de poursuivre : « Il a voulu se faire un peu de fric dans un contexte de misère économique ». Finalement, son client écope de quatre mois de prison dont deux avec sursis et mise à l'épreuve. Mais il n'en a peut-être pas fini avec la justice. Car d'autres produits, eux aussi « tombés du camion », ont été saisis chez le forain.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/prison-ferme-pour-le-forain-qui-ecoulait-du-champagne
Ille-et-Vilaine. Deux corps découverts en état de décomposition
Mercredi, vers 12 h 30, deux corps ont été retrouvés en état de décomposition très avancée, à Saint-Georges-de-Reintembault, près de Fougères (Ille-et-Vilaine). « La mort remonte à plus de 7 jours », indique la gendarmerie. Il s’agit de deux sœurs, âgées de 87 et 89 ans.
Morts naturelles
« Les causes de ces deux décès sont naturelles, ajoute le capitaine Gilles Oakes, adjoint au commandant de la compagnie de Vitré-Fougères. Aucun signe de violence n’a été constaté. Aucune trace de monoxyde de carbone relevée. Ce qui exclue donc toute mort violente et tout empoisonnement pour un éventuel problème de chauffage. »
Crise cardiaque ?
Impossible de déterminer laquelle des deux sœurs est morte la première, compte tenu de la grande décomposition des corps. Un état qui empêche aussi de déterminer les causes du second décès. « Peut-être a-t-elle fait une crise cardiaque ? Peut-être s’est-elle laissée mourir ? », avance le capitaine Gilles Oakes.
La troisième sœur sans nouvelle à Paris
L’alerte aurait été donnée par un proche, s’étonnant de ne plus avoir de nouvelles. La mairie a été prévenue et a alors demandé aux pompiers de se rendre sur place.
Gagnac. Ruiné, le braqueur voulait honorer les dettes de son foyer
Salarié, socialement inséré, inconnu de la justice, l'homme qui a braqué, mardi, un supermarché de Gagnac avant d'être interpellé par les gendarmes, a agi par désespoir, acculé par ses dettes.
«C'est l'acte d'un homme qui a la tête au fond du seau et qui a franchi le cap.» Le profil de l'homme qui a braqué, mardi matin, un supermarché de Gagnac-sur-Garonne avant d'être interpellé, cinq heures plus tard, à son domicile de Beauzelle, est atypique. Loin du bandit de grand chemin ou du délinquant d'habitude, l'homme de 43 ans est un père de famille jusque-là sans histoire. «Il est inconnu de la justice», confie ainsi une source proche de l'enquête.
Installé depuis deux ans dans sa maison de la route de Grenade à Beauzelle avec sa compagne et plusieurs enfants, l'apprenti-braqueur a une situation professionnelle stable. Commercial dans une société de sous-traitance dans le domaine de la géolocalisation dans le Tarn-et-Garonne, il gagne bien sa vie. Un salaire supérieur au revenu moyen des Français qui n'a cependant pas permis à cet homme d'assumer toutes les dépenses de son foyer.
De crédits en crédits, il est tombé dans l'impossibilité d'honorer ses dettes. Acculé par ces problèmes financiers mais aussi dans une situation personnelle compliquée, il est passé à l'acte hier, en braquant le supermarché. Un geste désespéré, l'acte d'un homme acculé qui a cédé à la facilité et risque aujourd'hui d'en payer de lourdes conséquences. Sur le trajet du travail, il apercevait chaque jour l'Aldi Marché ouvert depuis quelques mois à Gagnac.
Mardi, à 11 heures, tout juste couvert d'un bonnet, il a pénétré dans l'établissement. Il était armé d'un pistolet à gaz que les victimes pouvaient facilement confondre avec une arme plus dangereuse. Cet homme banal a fait basculer sa vie comme celle de sa victime, une caissière qu'il n'a pas violentée mais qu'il a choquée en lui pointant l'arme sous le nez.
Délinquant amateur, il a pris la fuite en voiture… dans son propre véhicule. Il a regagné son domicile de Beauzelle à quelques kilomètres de là. En rentrant il n'a rien dit. Il a passé du temps avec sa famille, comme si de rien n'était. Puis les gendarmes sont arrivés. Le domicile a été perquisitionné.
Placé en garde à vue à la gendarmerie de Saint-Jory, cet homme devrait être présenté à un juge ce matin.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/29/1500931-ruine-le-braqueur-voulait-honorer-les-dettes-de-son-foyer.html
«C'est l'acte d'un homme qui a la tête au fond du seau et qui a franchi le cap.» Le profil de l'homme qui a braqué, mardi matin, un supermarché de Gagnac-sur-Garonne avant d'être interpellé, cinq heures plus tard, à son domicile de Beauzelle, est atypique. Loin du bandit de grand chemin ou du délinquant d'habitude, l'homme de 43 ans est un père de famille jusque-là sans histoire. «Il est inconnu de la justice», confie ainsi une source proche de l'enquête.
Installé depuis deux ans dans sa maison de la route de Grenade à Beauzelle avec sa compagne et plusieurs enfants, l'apprenti-braqueur a une situation professionnelle stable. Commercial dans une société de sous-traitance dans le domaine de la géolocalisation dans le Tarn-et-Garonne, il gagne bien sa vie. Un salaire supérieur au revenu moyen des Français qui n'a cependant pas permis à cet homme d'assumer toutes les dépenses de son foyer.
De crédits en crédits, il est tombé dans l'impossibilité d'honorer ses dettes. Acculé par ces problèmes financiers mais aussi dans une situation personnelle compliquée, il est passé à l'acte hier, en braquant le supermarché. Un geste désespéré, l'acte d'un homme acculé qui a cédé à la facilité et risque aujourd'hui d'en payer de lourdes conséquences. Sur le trajet du travail, il apercevait chaque jour l'Aldi Marché ouvert depuis quelques mois à Gagnac.
Mardi, à 11 heures, tout juste couvert d'un bonnet, il a pénétré dans l'établissement. Il était armé d'un pistolet à gaz que les victimes pouvaient facilement confondre avec une arme plus dangereuse. Cet homme banal a fait basculer sa vie comme celle de sa victime, une caissière qu'il n'a pas violentée mais qu'il a choquée en lui pointant l'arme sous le nez.
Délinquant amateur, il a pris la fuite en voiture… dans son propre véhicule. Il a regagné son domicile de Beauzelle à quelques kilomètres de là. En rentrant il n'a rien dit. Il a passé du temps avec sa famille, comme si de rien n'était. Puis les gendarmes sont arrivés. Le domicile a été perquisitionné.
Placé en garde à vue à la gendarmerie de Saint-Jory, cet homme devrait être présenté à un juge ce matin.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/29/1500931-ruine-le-braqueur-voulait-honorer-les-dettes-de-son-foyer.html
Nîmes : le colis radioactif perdu le 19 novembre toujours pas retrouvé
Un colis radioactif, perdu à Nîmes le 19 novembre, n'a toujours pas été retrouvé à ce jour.
Un colis contenant du fluor radioactif perdu le 19 novembre sur le périphérique de Nîmes n'avait toujours pas été retrouvé ce mercredi, indique l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Celle-ci demande à toute personne l'ayant vu ou ayant été en contact avec lui de contacter les pompiers
La fiole de fluor 18 "a perdu l'essentiel de sa radioactivité"
Ce colis contenait une source radioactive liquide de fluor 18, d'une activité d'environ 20 milliards de becquerels, destiné au CHR de Nîmes pour effectuer des examens par scintigraphies, explique l'ASN dans un communiqué. La caisse était tombée du camion de livraison au niveau d'un rond-point, selon la préfecture du Gard. Contactée par une personne ayant aperçu un colis sur le bord de la route, la police s'était rendue immédiatement sur place mais n'avait rien trouvé.
A ce jour, la fiole de fluor 18 "a perdu l'essentiel de sa radioactivité et ne présente plus de risques pour la santé", précise l'Autorité. "En revanche, le jour de la perte du colis, la fiole présentait des risques radiologiques importants pour toute personne se trouvant à proximité, en particulier si la source était sortie de son colis et manipulée", insiste l'ASN.
Non respect des règles d'arrimage du colis
Le colis concerné est constitué d'une caisse de 20 cm de côté et de 28 cm de haut, muni d'un ouvrant supérieur possédant des étiquettes de type "trèfle radioactif". Toute personne ayant été à son contact ou l'ayant vu doit contacter les sapeurs-pompiers (18 ou 112) puis l'ASN (numéro vert des urgences radiologiques 0800 804 135). En cas d'exposition significative aux rayonnements, une prise en charge médicale spécifique pourra être organisée, souligne le communiqué.
Selon l'enquête menée par la division de l'ASN à Marseille, "la société de transport n'a pas respecté les règles d'arrimage du colis et n'a pas utilisé les sangles nécessaires." En raison de la perte d'une source radioactive ayant pu présenter des risques importants et du non-respect de règles élémentaires de transport, l'ASN classe cet événement au niveau 2 de l'échelle INES (échelle internationale de gravité des évènements nucléaires et radiologiques), graduée de 0 à 7 par ordre croissant de gravité.
http://www.midilibre.fr/2012/11/28/nimes-le-colis-radioactif-perdu-le-19-novembre-toujours-pas-retrouve,602342.php
Un colis contenant du fluor radioactif perdu le 19 novembre sur le périphérique de Nîmes n'avait toujours pas été retrouvé ce mercredi, indique l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Celle-ci demande à toute personne l'ayant vu ou ayant été en contact avec lui de contacter les pompiers
La fiole de fluor 18 "a perdu l'essentiel de sa radioactivité"
Ce colis contenait une source radioactive liquide de fluor 18, d'une activité d'environ 20 milliards de becquerels, destiné au CHR de Nîmes pour effectuer des examens par scintigraphies, explique l'ASN dans un communiqué. La caisse était tombée du camion de livraison au niveau d'un rond-point, selon la préfecture du Gard. Contactée par une personne ayant aperçu un colis sur le bord de la route, la police s'était rendue immédiatement sur place mais n'avait rien trouvé.
A ce jour, la fiole de fluor 18 "a perdu l'essentiel de sa radioactivité et ne présente plus de risques pour la santé", précise l'Autorité. "En revanche, le jour de la perte du colis, la fiole présentait des risques radiologiques importants pour toute personne se trouvant à proximité, en particulier si la source était sortie de son colis et manipulée", insiste l'ASN.
Non respect des règles d'arrimage du colis
Le colis concerné est constitué d'une caisse de 20 cm de côté et de 28 cm de haut, muni d'un ouvrant supérieur possédant des étiquettes de type "trèfle radioactif". Toute personne ayant été à son contact ou l'ayant vu doit contacter les sapeurs-pompiers (18 ou 112) puis l'ASN (numéro vert des urgences radiologiques 0800 804 135). En cas d'exposition significative aux rayonnements, une prise en charge médicale spécifique pourra être organisée, souligne le communiqué.
Selon l'enquête menée par la division de l'ASN à Marseille, "la société de transport n'a pas respecté les règles d'arrimage du colis et n'a pas utilisé les sangles nécessaires." En raison de la perte d'une source radioactive ayant pu présenter des risques importants et du non-respect de règles élémentaires de transport, l'ASN classe cet événement au niveau 2 de l'échelle INES (échelle internationale de gravité des évènements nucléaires et radiologiques), graduée de 0 à 7 par ordre croissant de gravité.
http://www.midilibre.fr/2012/11/28/nimes-le-colis-radioactif-perdu-le-19-novembre-toujours-pas-retrouve,602342.php
Charente : un jeune automobiliste décède, sa famille découvre le corps
Mardi soir, un jeune homme de 19 ans est mort dans un accident de la route à hauteur de Bazac, sur la départementale 674. Domicilié à La Roche-Chalais, il rentrait du travail. Seul à bord de son véhicule, il a perdu le contrôle dans une ligne droite, à la sortie d'une courbe, au lieu-dit Les Carrières. Il faisait nuit noire, il y avait du brouillard, et la chaussée était humide.
La Peugeot 309 a plongé en contrebas de la route, achevant sa course contre un arbre. Il y avait 3 à 4 mètres de dénivelé: selon les gendarmes, la voiture était invisible depuis la chaussée. L'heure de l'accident est estimée à 18h45.
Inquiets de ne pas le voir revenir, ses proches ont entrepris eux-mêmes les recherches et ont découvert la carcasse du véhicule peu avant 20h30. L'équipe du Samu aussitôt appelée sur les lieux n'a pu que constater le décès du jeune automobiliste
http://www.sudouest.fr/2012/11/28/charente-un-jeune-automobiliste-decede-sa-famille-decouvre-le-corps-892813-5410.php
La Peugeot 309 a plongé en contrebas de la route, achevant sa course contre un arbre. Il y avait 3 à 4 mètres de dénivelé: selon les gendarmes, la voiture était invisible depuis la chaussée. L'heure de l'accident est estimée à 18h45.
Inquiets de ne pas le voir revenir, ses proches ont entrepris eux-mêmes les recherches et ont découvert la carcasse du véhicule peu avant 20h30. L'équipe du Samu aussitôt appelée sur les lieux n'a pu que constater le décès du jeune automobiliste
http://www.sudouest.fr/2012/11/28/charente-un-jeune-automobiliste-decede-sa-famille-decouvre-le-corps-892813-5410.php
mercredi 28 novembre 2012
Chauffage: 27 personnes intoxiquées dans un hôtel de Foix
11 personnes ont été
hospitalisées sur ces 27 personnes intoxiquées mercredi matin dans un hôtel de
Foix, apparemment à cause d'une chaudière mal réglée.
Vingt-sept personnes, dont plusieurs ont dû être hospitalisées,
ont été intoxiquées très tôt mercredi matin dans un hôtel de Foix, apparemment à cause
d'une chaudière mal réglée, a indiqué la préfecture de l'Ariège. L'alerte a été
donnée vers 3h30 par une cliente de l'établissement qui accueillait 18 autres
personnes et qui a dû être évacué. Parmi les secours, cinq policiers et trois
pompiers ont également été incommodés.
Sept personnes ont été hospitalisées à Foix et quatre autres
ont été transportées à l'hôpital Purpan de Toulouse, a-t-on précisé de même
source. Selon les secours, une chaudière à gaz défectueuse pourrait être à
l'origine des émanations
Enlevée, l'employée de bijouterie est libérée contre un sac de bijoux
Trois malfaiteurs ont
séquestré quelques heures mercredi matin une employée d'une bijouterie à
Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), avant de la libérer contre la remise d'un
sac de bijoux par le gérant.
Elle est saine et sauve, mais reste choquée par son enlèvement.
Mercredi matin, une employée d'une bijouterie de
Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine,
a été enlevée par trois malfaiteurs. Ils l'ont séquestrée quelques heures "dans
un appartement d'une résidence du quartier de la Défense" avant de finalement la
libérer contre la remise d'un sac de bijoux par le gérant.
"Le gérant s'est exécuté et s'est rendu au rendez-vous fixé par les malfaiteurs pour leur remettre le sac. L'employée a été libérée à ce moment-là", a expliqué une source proche de l'enquête. L'enquête a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne.
"Le gérant s'est exécuté et s'est rendu au rendez-vous fixé par les malfaiteurs pour leur remettre le sac. L'employée a été libérée à ce moment-là", a expliqué une source proche de l'enquête. L'enquête a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne.
Une employée de bijouterie enlevée
Trois malfaiteurs ont enlevé et séquestré quelques heures ce matin une employée d'une bijouterie à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), avant de la libérer contre la remise d'un sac de bijoux par le gérant. Cette employée, âgée d'une vingtaine d'années, "est saine et sauve, mais reste choquée par son enlèvement", a précisé l'une des sources.
Les malfaiteurs l'ont enlevée ce matin avant de la séquestrer "dans un appartement d'une résidence du quartier de la Défense", selon cette source.
Ils ont ensuite contacté, avec le téléphone portable de l'employée, le gérant de la bijouterie où elle travaille à Clichy-la-Garenne lui expliquant qu'ils exigeaient un sac de bijoux contre sa libération. "Le gérant s'est exécuté et s'est rendu au rendez-vous fixé par les malfaiteurs pour leur remettre le sac. L'employée a été libérée à ce moment-là", a expliqué cette source. L'enquête a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne.
Les malfaiteurs l'ont enlevée ce matin avant de la séquestrer "dans un appartement d'une résidence du quartier de la Défense", selon cette source.
Ils ont ensuite contacté, avec le téléphone portable de l'employée, le gérant de la bijouterie où elle travaille à Clichy-la-Garenne lui expliquant qu'ils exigeaient un sac de bijoux contre sa libération. "Le gérant s'est exécuté et s'est rendu au rendez-vous fixé par les malfaiteurs pour leur remettre le sac. L'employée a été libérée à ce moment-là", a expliqué cette source. L'enquête a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne.
Le mystère du vol des clés du commerçant reste entier
L'affaire paraissait bien claire lorsque les policiers de la Bac d'Albi ont interpellé, jeudi dernier, trois individus poursuivis pour vol avec violence sur un jeune boucher qui s'était lancé à leur poursuite. Il les soupçonnait de lui avoir dérobé les clés de la grille de son magasin. Son zèle lui a valu quelques coups. Un des individus, surexcité, avait d'ailleurs mis à mal sa cellule de garde à vue. Le commissariat a chiffré les dégâts : 2 600 €. Hier, les trois prévenus ont fait l'objet d'une procédure de comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Au fil des débats, plusieurs zones d'ombre de l'enquête n'ont pas été éclairées. La fameuse clé, ou trousseau de clés, n'a jamais été retrouvée. Ont-elles été seulement volées ? Les trois prévenus, Alexandre, 19 ans, 3 condamnations au casier, Carl, 23 ans, une condamnation et Daniel, 37 ans, huit condamnations, ont toujours clamé, haut et fort, n'avoir rien dérobé au commerçant de l'avenue Général-de-Gaulle. Les policiers ont aussi parlé d'individus fortement alcoolisés lors des faits. Les taux relevés font état d'une alcoolémie inexistante pour Alexandre, de 1,20 g pour Carl et de 0,46 g d'alcool pour Daniel, le plus énervé, bien que très calme à l'audience. Tous trois réfutent le vol du téléphone portable qui a été retrouvé dans la poche de Daniel.
Alexandre et Carl reconnaissent avoir bousculé le boucher qui s'était lancé à leurs trousses tout en téléphonant aux policiers. Pour la procureur, Charlotte Beluet, «ici, ce n'est pas la Bac de Marseille, on est à Albi», explique-t-elle en rappelant leur casier et en demandant la peine plancher de 3 ans pour Daniel, un an pour Alexandre et 2 ans pour Carl.
La défense ne manque pas d'arguments. «Nous sommes là pour une histoire de clés, c'est comme ça que tout a commencé, explique Me Fabienne Bex pour Alexandre. La victime qui dit avoir été tabassée par trois molosses ne présente qu'un bleu à la pommette. Vol avec violence. Vol de quoi ? Il ne l'a jamais eu son portable».
Me Eric Soulans pour Carl, reconnaît que son client a été agressif avec la victime mais qu'il n'y a eu aucun vol. Me Émilie Delheure, pour Daniel, croit en sa sincérité. Pas à celle des policiers.
Le tribunal a coupé la poire en deux et écarté la peine plancher. Il a condamné Daniel et Carl à 1 an de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l'épreuve (SME) et ordonné leur maintien en détention . Alexandre a été condamné à 1 an dont 8 mois SME. Lui est ressorti libre du palais de justice
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/28/1499907-albi-le-mystere-du-vol-des-cles-du-commercant-reste-entier.html
«Ce n'est pas la Bac de Marseille»
«Je n'ai jamais frappé la victime et je ne l'ai pas approchée. Comment pourrais-je lui voler son téléphone. J'ai pas besoin de ça, lance-t-il en précisant que lors de sa première fouille, les policiers n'ont rien trouvé. C'est eux qui me l'ont mis dans la poche. C'est la vérité vraie».Alexandre et Carl reconnaissent avoir bousculé le boucher qui s'était lancé à leurs trousses tout en téléphonant aux policiers. Pour la procureur, Charlotte Beluet, «ici, ce n'est pas la Bac de Marseille, on est à Albi», explique-t-elle en rappelant leur casier et en demandant la peine plancher de 3 ans pour Daniel, un an pour Alexandre et 2 ans pour Carl.
La défense ne manque pas d'arguments. «Nous sommes là pour une histoire de clés, c'est comme ça que tout a commencé, explique Me Fabienne Bex pour Alexandre. La victime qui dit avoir été tabassée par trois molosses ne présente qu'un bleu à la pommette. Vol avec violence. Vol de quoi ? Il ne l'a jamais eu son portable».
Me Eric Soulans pour Carl, reconnaît que son client a été agressif avec la victime mais qu'il n'y a eu aucun vol. Me Émilie Delheure, pour Daniel, croit en sa sincérité. Pas à celle des policiers.
Le tribunal a coupé la poire en deux et écarté la peine plancher. Il a condamné Daniel et Carl à 1 an de prison dont 6 mois avec sursis et mise à l'épreuve (SME) et ordonné leur maintien en détention . Alexandre a été condamné à 1 an dont 8 mois SME. Lui est ressorti libre du palais de justice
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/28/1499907-albi-le-mystere-du-vol-des-cles-du-commercant-reste-entier.html
Ivry-sur-Seine : 100.000 euros de vêtements Armani volés dans un entrepôt
Plus de 100.000 euros de
vêtements Giorgio Armani ont été dérobés dans la nuit de dimanche à lundi dans
un entrepôt d'Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne).
C'est une source proche de l'enquête qui a dévoilé
l'information. Le ou les malfaiteurs se sont introduits, vers 3 heures ou 4
heures lundi matin, dans un premier entrepôt en forçant le rideau métallique.
Ils ont ensuite cassé la cloison pour entrer dans l'entrepôt
voisin, dans lequel étaient stockés des vêtements de la marque Giorgio Armani. Ils en
ont dérobé pour plus de 100.000 euros, avant de prendre la fuite. Le service
départemental de police judiciaire du Val-de-Marne est
chargé de l'enquête.
Pays basque espagnol : un réseau de contrebande vers l'Iran démantelé en Biscaye
Une entreprise de Durango (Biscaye) aurait exporté du matériel pouvant être utilisé dans le cadre du programme nucléaire iranien, contournant l'embargo international imposé par le Conseil de sécurité de l'ONU.
La contrebande se serait opérée via une entreprise basée à Istanbul, en Turquie. L'Agence tributaire de Madrid - chargée de la gestion du système fiscal et douanier espagnol - aurait démantelé au Pays Basque un réseau de contrebande de matériel susceptible d'être utilisé pour le programme nucléaire iranien.
En 2009, l'entreprise basée à quelques kilomètres de Bilbao aurait souhaité exporter vers l'Iran 7 machines pour fabriquer des hélices utilisées dans les systèmes de génération d'énergie, mais s'était vue refuser le permis d'exportation. L'entreprise aurait alors contourné l'embargo via une société fantôme basée en Turquie.
Le groupe biscayen spécialisé dans la technologie de pointe n'a pour le moment pas souhaité répondre aux accusations de contrebande qui ont filtré dans la presse espagnole. Si ces accusations s'avéraient fondées, les responsables de ce réseau de contrebande risqueraient des peines de prison et jusqu'à 6 millions euros d'amendes
http://www.sudouest.fr/2012/11/27/pays-basque-espagnol-un-reseau-de-contrebande-vers-l-iran-demantele-en-biscaye-891706-7.php
La contrebande se serait opérée via une entreprise basée à Istanbul, en Turquie. L'Agence tributaire de Madrid - chargée de la gestion du système fiscal et douanier espagnol - aurait démantelé au Pays Basque un réseau de contrebande de matériel susceptible d'être utilisé pour le programme nucléaire iranien.
En 2009, l'entreprise basée à quelques kilomètres de Bilbao aurait souhaité exporter vers l'Iran 7 machines pour fabriquer des hélices utilisées dans les systèmes de génération d'énergie, mais s'était vue refuser le permis d'exportation. L'entreprise aurait alors contourné l'embargo via une société fantôme basée en Turquie.
Le groupe biscayen spécialisé dans la technologie de pointe n'a pour le moment pas souhaité répondre aux accusations de contrebande qui ont filtré dans la presse espagnole. Si ces accusations s'avéraient fondées, les responsables de ce réseau de contrebande risqueraient des peines de prison et jusqu'à 6 millions euros d'amendes
http://www.sudouest.fr/2012/11/27/pays-basque-espagnol-un-reseau-de-contrebande-vers-l-iran-demantele-en-biscaye-891706-7.php
mardi 27 novembre 2012
Un blessé dans une collision sur la RD3
Un accident de la circulation s'est produit hier midi sur la RD3 à hauteur de La Chaussée de Damery, faisant un blessé.
Au volant de son Scénic, un automobiliste venant d'Epernay souhaitait tourner vers Vauciennes, sur la RD22, tandis qu'en face arrivait une Golf. Pour une raison encore indéterminée, la collision n'a pu être évitée. Un Kangoo, avec à son bord deux personnes, a été heurté à hauteur de la roue avant gauche dans l'accident.
Dans le choc, la conductrice de la Golf a été blessée et transportée par les sapeurs-pompiers d'Epernay au centre hospitalier. Le conducteur du Scénic et les deux occupants du troisième véhicule n'ont, pour leur part, pas été touchés. Les gendarmes de la brigade de Dizy étaient sur place pour réaliser les constatations d'usage, sécuriser les lieux et mettre en place une circulation alternée à hauteur des lieux de l'accident, en attendant le départ des véhicules de secours et l'arrivée des services de l'équipement qui ont procédé au nettoyage de la chaussée. Le peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (Psig) d'Epernay était également sur place en renfort.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-blesse-dans-une-collision-sur-la-rd3
Au volant de son Scénic, un automobiliste venant d'Epernay souhaitait tourner vers Vauciennes, sur la RD22, tandis qu'en face arrivait une Golf. Pour une raison encore indéterminée, la collision n'a pu être évitée. Un Kangoo, avec à son bord deux personnes, a été heurté à hauteur de la roue avant gauche dans l'accident.
Dans le choc, la conductrice de la Golf a été blessée et transportée par les sapeurs-pompiers d'Epernay au centre hospitalier. Le conducteur du Scénic et les deux occupants du troisième véhicule n'ont, pour leur part, pas été touchés. Les gendarmes de la brigade de Dizy étaient sur place pour réaliser les constatations d'usage, sécuriser les lieux et mettre en place une circulation alternée à hauteur des lieux de l'accident, en attendant le départ des véhicules de secours et l'arrivée des services de l'équipement qui ont procédé au nettoyage de la chaussée. Le peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (Psig) d'Epernay était également sur place en renfort.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-blesse-dans-une-collision-sur-la-rd3
Incendie aux Restos du Coeur à Caen
Un incendie a ravagé dans la nuit un centre d'accueil et de distribution des Restos du Coeur de l'agglomération de Caen, selon les pompiers, et plus de 10.000 repas sont partis en fumée, selon l'association. "Le centre de distribution et d'accueil qui est le plus gros du département est inutilisable. Au moins la moitié des denrées n'est pas réutilisable. Plus de 10.000 repas sont partis en fumée", a indiqué la directrice départementale des Restos du Coeur, Martine Prévost.
"Tout un Resto bébé avec couches et lait, nouvellement installé vendredi dernier, est également parti en fumée. Moralement, c'est très difficile", a ajouté Mme Prévost.
Le centre de 375 m2 se trouve à Mondeville, une commune de l'agglomération de Caen. Les Restos du Coeur espèrent trouver un autre local d'ici jeudi et reprendre la distribution à ce moment-là.
Ouvert depuis hier, il était approvisionné pour trois semaines de distribution pour 450 à 500 personnes, selon Mme Prévost. Environ 70 bénévoles y travaillent. Mme Prévost n'a pu donner aucune indication sur l'origine, accidentelle ou criminelle, du sinistre. Police et préfecture ont renvoyé au parquet de Caen qui n'était pas joignable dans l'immédiat.
De 25 à 30 pompiers de quatre centres de secours ont été mobilisés entre 21H17 lundi et 5H00 mardi sur cet incendie avec sept véhicules, selon le centre opérationnel de secours du Calvados.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/27/97001-20121127FILWWW00506-incendie-aux-restos-du-coeur-a-caen.php
"Tout un Resto bébé avec couches et lait, nouvellement installé vendredi dernier, est également parti en fumée. Moralement, c'est très difficile", a ajouté Mme Prévost.
Le centre de 375 m2 se trouve à Mondeville, une commune de l'agglomération de Caen. Les Restos du Coeur espèrent trouver un autre local d'ici jeudi et reprendre la distribution à ce moment-là.
Ouvert depuis hier, il était approvisionné pour trois semaines de distribution pour 450 à 500 personnes, selon Mme Prévost. Environ 70 bénévoles y travaillent. Mme Prévost n'a pu donner aucune indication sur l'origine, accidentelle ou criminelle, du sinistre. Police et préfecture ont renvoyé au parquet de Caen qui n'était pas joignable dans l'immédiat.
De 25 à 30 pompiers de quatre centres de secours ont été mobilisés entre 21H17 lundi et 5H00 mardi sur cet incendie avec sept véhicules, selon le centre opérationnel de secours du Calvados.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/27/97001-20121127FILWWW00506-incendie-aux-restos-du-coeur-a-caen.php
Accident sur l'A9 : l'intervention des gendarmes tourne au carambolage
L'accident s'est produit lundi soir, vers 20h15, sur
l'autoroute A9 à hauteur de Perpignan. Le
GIGN, le service d'élite de la gendarmerie, avait alors lancé une intervention
contre un "go-fast", un véhicule de grosse cylindrée transportant de la drogue
et provenant d'Espagne.
Plusieurs voitures et un véhicule de la gendarmerie sont entrés
en collision dans des circonstances encore indéterminées. Un automobiliste a été
légèrement blessé.
L'A9 a été coupée dans le sens Espagne-France à la hauteur du
péage de Perpignan Sud en direction de Narbonne, ce qui a occasionné un
embouteillage, avant d'être rouverte quelque temps plus tard. Les occupants du
go-fast ont été interpellés, a-t-on ajouté de sources proches de l'enquête, sans
autre précision. Aucun coup de feu n'a été tiré lors de l'intervention.
Accidentée, la conductrice abandonne sa voiture et prend un taxi
Dimanche vers 20 heures, sur la route départementale 7 à Brassac, une conductrice qui circulait dans la direction Moissac-Bourg de Visa a perdu le contrôle de son véhicule sur une chaussée rendue glissante par la pluie. Son auto, immatriculée en Lot-et-Garonne, a fini sa route dans le fossé contre des arbres. à leur arrivée, les gendarmes n'ont pas retrouvé la conductrice. Et pour cause, cette dernière avait déjà pris un taxi pour rejoindre son domicile, laissant sur place son automobile qui, fort heureusement, ne gênait pas la circulation. Elle a, toutefois, été enlevée par le garage Quéval de Moissac.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/27/1499506-brassac-accidentee-la-conductrice-abandonne-sa-voiture-et-prend-un-taxi.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/27/1499506-brassac-accidentee-la-conductrice-abandonne-sa-voiture-et-prend-un-taxi.html
Mais qui a mis du détergent dans la purée des enfants de la crèche de Lambersart...
L'Accueil mère-enfant, une crèche de Lambersart, a fermé sa cantine depuis jeudi dernier. Depuis qu'on a découvert du détergent (apparemment) dans la purée des enfants. Les enquêteurs ne privilégient aucune piste ; accident ou acte criminel.
L'Accueil mère-enfant est un établissement qui aide les femmes enceintes et les mamans isolées avec des enfants de moins de trois ans. Cette structure hautement sociale de Lambersart a malheureusement fermé sa cantine depuis jeudi et la découverte inquiétante de produits dangereux, a priori un puissant détergent (type Desktop), dans la purée des enfants.
Comment le drame a-t-il été évité ?
Jeudi, vers 11 heures, deux adultes sentent une odeur étrange... de pamplemousse et goûtent la purée. Rapidement, elles ressentent de fortes brûlures. Les bambins ne toucheront jamais à cette purée. Les jeunes femmes s'en tirent heureusement sans trop de séquelles. Mais qu'en aurait-il été pour un enfant de moins de trois ans...
http://www.lavoixdunord.fr/region/mais-qui-a-mis-du-detergent-dans-la-puree-des-enfants-de-ia0b0n855556
L'Accueil mère-enfant est un établissement qui aide les femmes enceintes et les mamans isolées avec des enfants de moins de trois ans. Cette structure hautement sociale de Lambersart a malheureusement fermé sa cantine depuis jeudi et la découverte inquiétante de produits dangereux, a priori un puissant détergent (type Desktop), dans la purée des enfants.
Comment le drame a-t-il été évité ?
Jeudi, vers 11 heures, deux adultes sentent une odeur étrange... de pamplemousse et goûtent la purée. Rapidement, elles ressentent de fortes brûlures. Les bambins ne toucheront jamais à cette purée. Les jeunes femmes s'en tirent heureusement sans trop de séquelles. Mais qu'en aurait-il été pour un enfant de moins de trois ans...
http://www.lavoixdunord.fr/region/mais-qui-a-mis-du-detergent-dans-la-puree-des-enfants-de-ia0b0n855556
Mort de Dorian à Bordeaux : le temps du procès
Dorian Bambara est mort à Bordeaux le dimanche 16 août 2009, un peu avant 6 heures, près de l'arrêt de tramway Sainte-Croix, de plusieurs coups de couteau dont un à la carotide. Il avait 23 ans.
Un procès douloureux s'ouvre aujourd'hui à 14 heures devant la cour d'assises à Bordeaux. Celui d'Abdelhalim Ziane et de Sofiane Medioni. Le premier, en détention provisoire depuis le 20 août 2009, est poursuivi pour meurtre et tentative de meurtre sur la personne de Dorian. Le second est placé sous contrôle judiciaire depuis décembre 2010, pour récidive de vol et violences aggravées par deux circonstances. Tous les deux bénéficient jusqu'à l'issue du procès de la présomption d'innocence.
Sur le banc de la partie civile se trouvera la famille de Dorian, qui vit à Montussan. Sa mort avait provoqué un très vif émoi. L'ami de Dorian, blessé lors de cette rixe, sera aussi partie civile.
Après une soirée à la boîte de nuit La Plage, Dorian se trouvait avec des amis, rue des Terres-de-Bordes, lorsqu'un SMS l'a alerté que cet ami était agressé à l'arrêt de tramway Sainte-Croix. Avec les autres, Dorian est parti en courant vers le lieu de l'agression, situé à environ cinq cents mètres. Il y est arrivé le premier. Puis il s'est effondré sur un banc devant le Conservatoire de musique Jacques-Thibaud. Son frère a aussitôt tenté de lui porter secours mais en vain. Dans l'agitation, personne n'a vu les coups qu'il a reçus. Deux jours plus tard, les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale interpellent Abdelhalim Ziane et Sofiane Medioni.
Manque d'indices matériels
Très vite Abdelhalim Ziane est considéré comme l'auteur probable du coup mortel. Mais il nie depuis le début et n'a jamais changé de position.
« L'audience va être très importante », dit Me Pierre Hurmic, avocat de la famille de Dorian. « Les investigations menées sous la conduite de trois juges d'instruction différents n'ont pas permis d'éclaircir le déroulement des faits ce matin-là et on manque d'indices matériels. Aucune arme n'a été retrouvée. Il va falloir refaire l'instruction pendant l'audience. » Me Éric Grosselle, défenseur d'Abdelhalim Ziane, ne cache pas qu'il entend reprendre un à un les points du dossier. « Personne ne voit rien lorsque les coups sont portés. Ensuite, on pense qu'ils ont été donnés par Abdelhalim Ziane. Un témoignage dans le dossier affirme pourtant qu'il était à terre et se tenait la tête. Depuis le début, il affirme que ce n'est pas lui. »
Le procès s'ouvre aujourd'hui à 14 h 30. Il va se dérouler jusqu'à jeudi.
http://www.sudouest.fr/2012/11/26/dorian-le-temps-du-proces-889944-2780.php
Un procès douloureux s'ouvre aujourd'hui à 14 heures devant la cour d'assises à Bordeaux. Celui d'Abdelhalim Ziane et de Sofiane Medioni. Le premier, en détention provisoire depuis le 20 août 2009, est poursuivi pour meurtre et tentative de meurtre sur la personne de Dorian. Le second est placé sous contrôle judiciaire depuis décembre 2010, pour récidive de vol et violences aggravées par deux circonstances. Tous les deux bénéficient jusqu'à l'issue du procès de la présomption d'innocence.
Sur le banc de la partie civile se trouvera la famille de Dorian, qui vit à Montussan. Sa mort avait provoqué un très vif émoi. L'ami de Dorian, blessé lors de cette rixe, sera aussi partie civile.
Après une soirée à la boîte de nuit La Plage, Dorian se trouvait avec des amis, rue des Terres-de-Bordes, lorsqu'un SMS l'a alerté que cet ami était agressé à l'arrêt de tramway Sainte-Croix. Avec les autres, Dorian est parti en courant vers le lieu de l'agression, situé à environ cinq cents mètres. Il y est arrivé le premier. Puis il s'est effondré sur un banc devant le Conservatoire de musique Jacques-Thibaud. Son frère a aussitôt tenté de lui porter secours mais en vain. Dans l'agitation, personne n'a vu les coups qu'il a reçus. Deux jours plus tard, les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale interpellent Abdelhalim Ziane et Sofiane Medioni.
Manque d'indices matériels
Très vite Abdelhalim Ziane est considéré comme l'auteur probable du coup mortel. Mais il nie depuis le début et n'a jamais changé de position.
« L'audience va être très importante », dit Me Pierre Hurmic, avocat de la famille de Dorian. « Les investigations menées sous la conduite de trois juges d'instruction différents n'ont pas permis d'éclaircir le déroulement des faits ce matin-là et on manque d'indices matériels. Aucune arme n'a été retrouvée. Il va falloir refaire l'instruction pendant l'audience. » Me Éric Grosselle, défenseur d'Abdelhalim Ziane, ne cache pas qu'il entend reprendre un à un les points du dossier. « Personne ne voit rien lorsque les coups sont portés. Ensuite, on pense qu'ils ont été donnés par Abdelhalim Ziane. Un témoignage dans le dossier affirme pourtant qu'il était à terre et se tenait la tête. Depuis le début, il affirme que ce n'est pas lui. »
Le procès s'ouvre aujourd'hui à 14 h 30. Il va se dérouler jusqu'à jeudi.
http://www.sudouest.fr/2012/11/26/dorian-le-temps-du-proces-889944-2780.php
lundi 26 novembre 2012
Hautes-Alpes: 3 alpinistes bloqués
Trois alpinistes italiens étaient bloqués ce soir à 3.900 mètres d'altitude sous le Dôme de Neige des Écrins dans les Hautes-Alpes en raison d'une tempête de neige empêchant les secours de leur venir en aide, a-t-on appris auprès du peloton de gendarmerie de haute montagne de Briançon. Partis dimanche matin, les trois hommes, "d'un bon niveau", ont donné l'alerte lundi vers 10H00. Mais la tempête de neige a obligé les secouristes qui étaient partis à pied à leur recherche à faire demi-tour en milieu d'après-midi alors qu'ils se trouvaient vers 3.400 mètres d'altitude, a indiqué le capitaine Nicolas Colombani.
Les conditions "sont très avalancheuses à cause du vent et des importantes chutes de neige" et "les survols en hélicoptère inenvisageables" pour les mêmes raisons, a précisé le capitaine de gendarmerie, toutefois prêt à intervenir à tout moment dès que les conditions le permettront. Les trois hommes ont contacté vers 16H00 leur famille en Italie pour les informer qu'ils redescendaient mais ils "n'ont pas donné d'indications sur leur itinéraire", a ajouté le secouriste. "Nous nous tenons prêts à intervenir dès que les conditions nous le permettront et que nous aurons des indications plus précises sur l'endroit où elles se trouvent", a-t-il souligné.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/26/97001-20121126FILWWW00606-3-alpinistes-bloques-dans-les-hautes-alpes.php
Les conditions "sont très avalancheuses à cause du vent et des importantes chutes de neige" et "les survols en hélicoptère inenvisageables" pour les mêmes raisons, a précisé le capitaine de gendarmerie, toutefois prêt à intervenir à tout moment dès que les conditions le permettront. Les trois hommes ont contacté vers 16H00 leur famille en Italie pour les informer qu'ils redescendaient mais ils "n'ont pas donné d'indications sur leur itinéraire", a ajouté le secouriste. "Nous nous tenons prêts à intervenir dès que les conditions nous le permettront et que nous aurons des indications plus précises sur l'endroit où elles se trouvent", a-t-il souligné.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/26/97001-20121126FILWWW00606-3-alpinistes-bloques-dans-les-hautes-alpes.php
Une septuagénaire agressée et ligotée à son domicile
Deux personnes encagoulées et gantées ont fait irruption chez une vieille dame. La scène de cauchemar s'est terminée sans blessure physique, mais la victime a tout de même été placée en observation.
Les faits dénotent une violence hors du commun, même si aucun coup ne semble avoir été porté. Une dame âgée de 70 ans, vivant au premier niveau d'un grand immeuble situé rue du 106e Régiment d'Infanterie, a entendu sonner à son domicile, hier peu après 14 h 30.
Ayant - selon des voisins - l'habitude d'ouvrir parfois à des enfants du quartier, elle ne se serait pas méfiée du danger.
Pour 500 euros
Deux individus encagoulés et gantés ont immédiatement fait irruption chez elle. Ils ont attaché la vieille dame sur un fauteuil de sa chambre à l'aide d'une ceinture, avant de la bâillonner avec un foulard. Les mystérieux agresseurs se sont ensuite appliqués à vider les placards de l'appartement, jusqu'à ce qu'ils découvrent ce qu'ils étaient venus chercher : de l'argent. Les policiers auraient constaté le vol de 500 euros en numéraire.
Les malfaiteurs ont ensuite menacé leur victime afin de s'assurer qu'elle ne préviendrait pas les forces de l'ordre. Très perturbée, la dame a été conduite au centre hospitalier de Châlons, afin d'y être placée en observation.
Lorsque le visiteur se rend au pied de l'immeuble dans lequel l'agression a eu lieu, un détail retient forcément son attention : l'entrée est sécurisée.
Il faut un badge spécial pour ouvrir la porte, ou bien sonner à l'interphone flambant neuf. Un équipement qui n'est pas si courant dans les cités châlonnaises datant de plusieurs dizaines d'années. La victime aurait entendu sonner, avant d'ouvrir. Aurait-elle été mise en confiance par une voix familière ? L'enquête prendra certainement en compte, parmi toutes les pistes possibles, celle d'agresseurs domiciliés dans le même immeuble que la vieille dame. Le travail de la police va être délicat.
Techniquement, il s'agira de faire avec le peu d'indices laissés par un duo opérant de sang-froid et munis de gants. Les empreintes sont rares. Mais les moyens d'enquête actuels peuvent permettre de surmonter un tel obstacle.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/une-septuagenaire-agressee-et-ligotee-a-son-domicile
Les faits dénotent une violence hors du commun, même si aucun coup ne semble avoir été porté. Une dame âgée de 70 ans, vivant au premier niveau d'un grand immeuble situé rue du 106e Régiment d'Infanterie, a entendu sonner à son domicile, hier peu après 14 h 30.
Ayant - selon des voisins - l'habitude d'ouvrir parfois à des enfants du quartier, elle ne se serait pas méfiée du danger.
Pour 500 euros
Deux individus encagoulés et gantés ont immédiatement fait irruption chez elle. Ils ont attaché la vieille dame sur un fauteuil de sa chambre à l'aide d'une ceinture, avant de la bâillonner avec un foulard. Les mystérieux agresseurs se sont ensuite appliqués à vider les placards de l'appartement, jusqu'à ce qu'ils découvrent ce qu'ils étaient venus chercher : de l'argent. Les policiers auraient constaté le vol de 500 euros en numéraire.
Les malfaiteurs ont ensuite menacé leur victime afin de s'assurer qu'elle ne préviendrait pas les forces de l'ordre. Très perturbée, la dame a été conduite au centre hospitalier de Châlons, afin d'y être placée en observation.
Lorsque le visiteur se rend au pied de l'immeuble dans lequel l'agression a eu lieu, un détail retient forcément son attention : l'entrée est sécurisée.
Il faut un badge spécial pour ouvrir la porte, ou bien sonner à l'interphone flambant neuf. Un équipement qui n'est pas si courant dans les cités châlonnaises datant de plusieurs dizaines d'années. La victime aurait entendu sonner, avant d'ouvrir. Aurait-elle été mise en confiance par une voix familière ? L'enquête prendra certainement en compte, parmi toutes les pistes possibles, celle d'agresseurs domiciliés dans le même immeuble que la vieille dame. Le travail de la police va être délicat.
Techniquement, il s'agira de faire avec le peu d'indices laissés par un duo opérant de sang-froid et munis de gants. Les empreintes sont rares. Mais les moyens d'enquête actuels peuvent permettre de surmonter un tel obstacle.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/une-septuagenaire-agressee-et-ligotee-a-son-domicile
Le piéton renversé décède
Vandœuvre-lès-Nancy. Le piéton percuté à Vandœuvre-lès-Nancy vendredi après-midi est décédé des suites de ses blessures samedi.
Ce quadragénaire a été pris d’un malaise alors qu’il s’apprêtait à traverser le boulevard de l’Europe, à une cinquantaine de mètres du pont de Kehl, hors d’un passage protégé, au niveau d’une zone en travaux.
Le malheureux a chuté sur la chaussée avant d’être violemment percuté par un automobiliste que ne l’avait pas vu.
Philippe Brusseaux, père de deux enfants, était âgé de 46 ans.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2012/11/25/le-pieton-renverse-decede
Ce quadragénaire a été pris d’un malaise alors qu’il s’apprêtait à traverser le boulevard de l’Europe, à une cinquantaine de mètres du pont de Kehl, hors d’un passage protégé, au niveau d’une zone en travaux.
Le malheureux a chuté sur la chaussée avant d’être violemment percuté par un automobiliste que ne l’avait pas vu.
Philippe Brusseaux, père de deux enfants, était âgé de 46 ans.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2012/11/25/le-pieton-renverse-decede
L'agresseur d'une prostituée écroué
Neuf mois après l'agression au couteau d'une prostituée, à Toulouse, un suspect de 29 ans a été arrêté dernièrement par le groupe proxénétisme du SRPJ de Toulouse.
Décrit comme dangereux et armé d'un couteau, un homme de 29 ans a fini par tomber dans les mailles de la police judiciaire, dernièrement à Toulouse. Mis en examen pour violence avec arme et préméditation et menace de mort, cet homme domicilié dans la banlieue toulousaine avait poignardé une prostituée bulgare, en pleine nuit. Grièvement blessée dans le dos, la victime âgée d'une trentaine d'années, avait déposé plainte au commissariat central. L'agression avait jeté le trouble parmi les filles de la nuit, peu rassurée par les méthodes expéditives de ce «client» inquiétant. L'affaire remonte au soir du 17 février. Dans une résidence de la rue de Zurich, à Toulouse, non loin du boulevard de Suisse, le jeune homme accoste une prostituée pour une passe discrète derrière un buisson. Mais la rencontre tourne vite au désaccord. La jeune fille aurait refusé de se plier à certaines exigences. Le client sort son couteau et plante la lame dans le dos de la victime. Trois jours plus tard, la jeune femme dépose plainte au commissariat central. Le dossier est pris en main par le groupe proxénétisme de la police judiciaire qui met à profit sa connaissance du terrain pour tenter d'identifier l'agresseur au couteau. Mais après plusieurs semaines d'investigations, toujours pas de suspect à l'horizon. Et pour cause. L'homme fait des séjours réguliers en établissement psychiatrique. Une façon de se faire oublier. Pendant ce temps, les enquêteurs poursuivent leurs recherches. Courant novembre, un renseignement leur parvient. Le suspect est aperçu non loin de la rue de Zurich. Les enquêteurs quadrillent discrètement le secteur et l'interpellent. Placé en garde et vue, il donne une version très confuse des faits. Il aurait multiplié les courts séjours en milieu psychiatrique durant ces neuf derniers mois. Inconnu des services de police, cet homme a-t-il pu commettre d'autres agressions ? L'information judiciaire ouverte devrait permettre de percer le mystère.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/26/1498566-l-agresseur-d-une-prostituee-ecroue.html
Décrit comme dangereux et armé d'un couteau, un homme de 29 ans a fini par tomber dans les mailles de la police judiciaire, dernièrement à Toulouse. Mis en examen pour violence avec arme et préméditation et menace de mort, cet homme domicilié dans la banlieue toulousaine avait poignardé une prostituée bulgare, en pleine nuit. Grièvement blessée dans le dos, la victime âgée d'une trentaine d'années, avait déposé plainte au commissariat central. L'agression avait jeté le trouble parmi les filles de la nuit, peu rassurée par les méthodes expéditives de ce «client» inquiétant. L'affaire remonte au soir du 17 février. Dans une résidence de la rue de Zurich, à Toulouse, non loin du boulevard de Suisse, le jeune homme accoste une prostituée pour une passe discrète derrière un buisson. Mais la rencontre tourne vite au désaccord. La jeune fille aurait refusé de se plier à certaines exigences. Le client sort son couteau et plante la lame dans le dos de la victime. Trois jours plus tard, la jeune femme dépose plainte au commissariat central. Le dossier est pris en main par le groupe proxénétisme de la police judiciaire qui met à profit sa connaissance du terrain pour tenter d'identifier l'agresseur au couteau. Mais après plusieurs semaines d'investigations, toujours pas de suspect à l'horizon. Et pour cause. L'homme fait des séjours réguliers en établissement psychiatrique. Une façon de se faire oublier. Pendant ce temps, les enquêteurs poursuivent leurs recherches. Courant novembre, un renseignement leur parvient. Le suspect est aperçu non loin de la rue de Zurich. Les enquêteurs quadrillent discrètement le secteur et l'interpellent. Placé en garde et vue, il donne une version très confuse des faits. Il aurait multiplié les courts séjours en milieu psychiatrique durant ces neuf derniers mois. Inconnu des services de police, cet homme a-t-il pu commettre d'autres agressions ? L'information judiciaire ouverte devrait permettre de percer le mystère.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/26/1498566-l-agresseur-d-une-prostituee-ecroue.html
Ces gendarmes pas payés depuis juillet
Plusieurs réservistes sont concernés. La grogne monte. "Moi, je n’ai pas été payé depuis le mois de juillet. Un mail, récemment reçu nous dit que nous devrons attendre jusqu’en février 2013. Et ce, alors que nous allons être intégrés au planning opérationnel pour les fêtes de fin d’année", lâche, sous couvert d’anonymat, ce sous-officier. Un gendarme qui fait partie de la réserve opérationnelle du Groupement de gendarmerie de l’Hérault. Et qui, à l’instar de plusieurs de ses collègues, commence à trouver le temps long. Car pour certains, cela fait déjà quatre mois qu’ils attendent une feuille de paie.
"Personnellement, cela porte sur plus de 2 200 €. Mais encore, je n’ai pas que cela pour vivre", poursuit ce gendarme. En revanche, cette situation a de quoi poser de sérieux problèmes à ces réservistes. Qui, le reste du temps, sont (par exemple) étudiants
Alors problème informatique du logiciel chargé des paies, comme cela avait été le cas plusieurs mois durant au sein de l’armée de Terre ? Peu probable dans la mesure où le système mis en cause (baptisé Louvois) n’est pas encore utilisé par la Gendarmerie nationale. "Il s’agit d’une situation transitoire", a fait savoir, à la suite de nos sollicitations, la région de gendarmerie du Languedoc-Roussillon. Laquelle dispose "d’un vivier de 1 250 réservistes qu’elle emploie, en moyenne, vingt-huit jours par an en complément du personnel d’active".
Toujours selon le commandement, "entre le 1er janvier et le 31 octobre, 2,37 M€ d’indemnités ont été réglés, en moyenne au bout de deux mois. La priorité du traitement ayant été apporté aux situations individuelles les plus fragiles. Pour les autres, à la date du 20 novembre, le montant des paiements en suspens s’élève à 525 000 €. Deux cent onze réservistes sont concernés... Sauf situations exceptionnelles qui seront examinées au cas par cas, ces indemnités seront versées dès la mise en œuvre des premiers crédits de paiement 2013".
En clair, pour certains réservistes, la ligne de crédit dédiée pour 2012 est épuisée.
http://www.midilibre.fr/2012/11/25/ces-gendarmes-pas-payes-depuis-juillet,600421.php
"Personnellement, cela porte sur plus de 2 200 €. Mais encore, je n’ai pas que cela pour vivre", poursuit ce gendarme. En revanche, cette situation a de quoi poser de sérieux problèmes à ces réservistes. Qui, le reste du temps, sont (par exemple) étudiants
Alors problème informatique du logiciel chargé des paies, comme cela avait été le cas plusieurs mois durant au sein de l’armée de Terre ? Peu probable dans la mesure où le système mis en cause (baptisé Louvois) n’est pas encore utilisé par la Gendarmerie nationale. "Il s’agit d’une situation transitoire", a fait savoir, à la suite de nos sollicitations, la région de gendarmerie du Languedoc-Roussillon. Laquelle dispose "d’un vivier de 1 250 réservistes qu’elle emploie, en moyenne, vingt-huit jours par an en complément du personnel d’active".
Toujours selon le commandement, "entre le 1er janvier et le 31 octobre, 2,37 M€ d’indemnités ont été réglés, en moyenne au bout de deux mois. La priorité du traitement ayant été apporté aux situations individuelles les plus fragiles. Pour les autres, à la date du 20 novembre, le montant des paiements en suspens s’élève à 525 000 €. Deux cent onze réservistes sont concernés... Sauf situations exceptionnelles qui seront examinées au cas par cas, ces indemnités seront versées dès la mise en œuvre des premiers crédits de paiement 2013".
En clair, pour certains réservistes, la ligne de crédit dédiée pour 2012 est épuisée.
http://www.midilibre.fr/2012/11/25/ces-gendarmes-pas-payes-depuis-juillet,600421.php
Lacadée : Un Landais de 43 ans se tue à moto
Un chauffeur routier de 43 ans, Philippe Taris, originaire d'Hagetmau, s'est tué samedi, vers 15 heures, sur la départementale 945 (Sault-de-Navailles-Pau) dans la traversée de Lacadée. Il est entré en collision frontale avec une fourgonnette. Les secours n'ont pu que constater son décès à leur arrivée sur les lieux.
Sous le choc, la moto, une 125 cm³, a été éjectée sur le bas-côté et le corps du motard s'est retrouvé sous les roues du véhicule. Ce chauffeur routier se rendait chez sa belle-mère. Son fils le précédait à moto.
C'est le 17e accident mortel de deux-roues dans les Pyrénées-Atlantiques, depuis le début de l'année.
http://www.sudouest.fr/2012/11/25/faits-divers-889337-4584.php
Sous le choc, la moto, une 125 cm³, a été éjectée sur le bas-côté et le corps du motard s'est retrouvé sous les roues du véhicule. Ce chauffeur routier se rendait chez sa belle-mère. Son fils le précédait à moto.
C'est le 17e accident mortel de deux-roues dans les Pyrénées-Atlantiques, depuis le début de l'année.
http://www.sudouest.fr/2012/11/25/faits-divers-889337-4584.php
dimanche 25 novembre 2012
L'automobiliste meurt dans un accident sur la RD 62
Un homme d'une quarantaine d'années est décédé dans un accident de la route, dans la nuit de samedi à dimanche à 2 heures du matin, sur la RD 62 entre La Grande-Motte et Carnon.
L'automobiliste, qui roulait en direction de Carnon, a effectué un dépassement sur la 2 X 2 voies avant de perdre le contrôle de son véhicule. La voiture a traversé la chaussée puis est sortie de la route selon un témoin.
Seul à bord de sa Clio 2, le conducteur est décédé de ses blessures. Les pompiers de La Grande-Motte, dépêchés sur place, n'ont pas pu le réanimer. Originaire de Metz, le quadragénaire vivait dans la région.
Les gendarmes de La Grande-Motte sont chargés de l'enquête. Des analyses de sang ont été effectuées. Les raisons de cette sortie de route ne sont pour le moment pas établies.
http://www.midilibre.fr/2012/11/25/un-automobiliste-meurt-apres-une-sortie-de-route-sur-la-rd-62,600238.php
L'automobiliste, qui roulait en direction de Carnon, a effectué un dépassement sur la 2 X 2 voies avant de perdre le contrôle de son véhicule. La voiture a traversé la chaussée puis est sortie de la route selon un témoin.
Seul à bord de sa Clio 2, le conducteur est décédé de ses blessures. Les pompiers de La Grande-Motte, dépêchés sur place, n'ont pas pu le réanimer. Originaire de Metz, le quadragénaire vivait dans la région.
Les gendarmes de La Grande-Motte sont chargés de l'enquête. Des analyses de sang ont été effectuées. Les raisons de cette sortie de route ne sont pour le moment pas établies.
Rodez. Interpellations et nuit agitée à la mairie
De mémoire Saint-Affricaine, il y a longtemps que la bourgade n'avait connu un tel raffut. Dans la nuit de vendredi à samedi, en marge de manifestations qui se sont déroulées dans la région nantaise, une trentaine d'opposants au futur aéroport de Notre-Dame des Landes s'est barricadée dans la salle du conseil de la mairie,après avoir rencontré le premier magistrat et sénateur de la ville Alain Fauconnier. L'élu a confirmé son soutien au projet gouvernemental, et par la suite les manifestants ont décidé d'occuper la mairie. Dès 17 h 30, plus personne ne pouvait alors pénétrer dans les lieux, la trentaine de gendarmes présents sur place ayant bouclé le site. Les manifestants cloîtrés ont été ravitaillés tout au long de la soirée via une échelle disposée depuis le balcon de la pièce. Des vidéos ont aussi été projetées sur un drap.
Le combat continue puisque le comité de soutien à Notre-Dame-des Landes/Nord Aveyron appelle à un rassemblementdevant la préfecture de Rodez à 16 h 30, lundi alors qu'une mobilisation est attendue mardi à Millau.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/25/1497719-rodez-interpellations-et-nuit-agitee-a-la-mairie.html
Évacuation par les CRS
Selon les informations de la sous-préfète de Millau Anne Ballereau, vers deux heures du matin, sur réquisition du sénateur maire Alain Fauconnier, 70 CRS venus de Toulouse ont procédé à l'évacuation de la salle en poussant la porte avec des barres de fer. De l'autre côté les opposants, des jeunes en majorité, se sont en effet barricadés à l'aide de tables et chaises. Sur le parvis, les manifestants ont ensuite été pris en photo. Par ailleurs, de nombreux dégâts ont été constatés sur place. «Le but était de montrer que toute la France se mobilise», témoigne Raymond Fabrègue, membre de la confédération paysanne, présent sur les lieux. Le retour au calme s'est produit vers 2h20 du matin place de la mairie.Le combat continue puisque le comité de soutien à Notre-Dame-des Landes/Nord Aveyron appelle à un rassemblementdevant la préfecture de Rodez à 16 h 30, lundi alors qu'une mobilisation est attendue mardi à Millau.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/25/1497719-rodez-interpellations-et-nuit-agitee-a-la-mairie.html
Verbalisé treize fois à la place d’un homonyme, c’est possible !
Il a fallu la clairvoyance d’un gendarme pour que les époux Richard comprennent : c’est un homonyme de leur fils qui cumulait les « prunes » au stationnement.
Les commandements de payer sont arrivés par vagues chez les Richard, à Veauche. D’abord une rafale de cinq, en septembre 2008. Puis un nouveau contingent de sept, deux mois plus tard. Chaque fois, des séries de contraventions au stationnement à 33 euros. Commises l’année précédente, à Avignon.
Problème : leur fils Julien, destinataire de ces courriers, vit à Grenoble. Marc et Françoise Richard se fendent d’une lettre recommandée au Parquet du tribunal de police d’Avignon.
« Notre fils n’était pas dans cette ville aux dates des contraventions. Et surtout, rien ne correspond : ni la marque du véhicule, ni la plaque d’immatriculation. Julien a bien été verbalisé, une fois, à Avignon en septembre 2007. Peut-être une erreur s’est-elle produite dans les fichiers informatiques ? ».
Début décembre 2008, le Parquet d’Avignon répond. « Il ne m’a pas été possible de réserver une suite favorable à votre demande, les raisons invoquées ne peuvent justifier l’arrêt des poursuites ».
Stupeur. Puis colère, quand tombe dans la boîte aux lettres un nouveau commandement de payer. C’est une treizième contravention. Toujours pour un stationnement interdit. Et toujours à Avignon. « On a craqué, on a filé chez les gendarmes de Saint-Galmier afin de déposer une plainte pour usurpation d’identité ».
Les Richard ont bien fait : en moins de cinq minutes, un militaire compétent découvre le pot aux roses. « Il a pianoté sur son ordinateur, puis nous a annoncé que notre fils avait un « frère jumeau » : un homonyme parfait ». Même nom, même prénom, même date de naissance !
C’est donc un autre Julien Richard, domicilié à Arles, qui cumulerait les « prunes » au stationnement en Avignon. Laissant au Julien Richard de Grenoble le soin de passer à la caisse.
Pour les Richard, l’horizon s’éclaircit. « On était contents, on avait l’explication. On refait donc, fin décembre, un courrier au Parquet d’Avignon en expliquant l’homonymie ». Peine perdue. Un mois plus tard, tombe un avis d’huissier. Plus de 450 euros à débourser. Le 2 avril 2009, c’est le coup de massue. Sous la forme d’une réponse abasourdissante du Parquet d’Avignon. « C’est un refus. Et c’est exactement le même courrier type que le précédent. Ce qui signifie que notre interlocuteur n’a même pas pris la peine de nous lire… ».
La coupe est pleine. « On leur donne la solution, ils ne veulent pas nous entendre. Qu’est-ce qu’on pouvait faire ? ». Les Richard sollicitent le médiateur de la République. Qui, fin avril, « plie » leur dossier en un tour de main.
Fin du calvaire ? Pas sûr. Les commandements de payer (lire par ailleurs) sont de retour cette année. « Maintenant, on attend. On verra ». Les parents peuvent d’ailleurs être plutôt sereins : Julien n’a plus de voiture depuis le 6 août 2010 !
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2012/11/25/verbalise-treize-fois-a-la-place-d-un-homonyme-c-est-possible-edzf
Les commandements de payer sont arrivés par vagues chez les Richard, à Veauche. D’abord une rafale de cinq, en septembre 2008. Puis un nouveau contingent de sept, deux mois plus tard. Chaque fois, des séries de contraventions au stationnement à 33 euros. Commises l’année précédente, à Avignon.
Problème : leur fils Julien, destinataire de ces courriers, vit à Grenoble. Marc et Françoise Richard se fendent d’une lettre recommandée au Parquet du tribunal de police d’Avignon.
« Notre fils n’était pas dans cette ville aux dates des contraventions. Et surtout, rien ne correspond : ni la marque du véhicule, ni la plaque d’immatriculation. Julien a bien été verbalisé, une fois, à Avignon en septembre 2007. Peut-être une erreur s’est-elle produite dans les fichiers informatiques ? ».
Début décembre 2008, le Parquet d’Avignon répond. « Il ne m’a pas été possible de réserver une suite favorable à votre demande, les raisons invoquées ne peuvent justifier l’arrêt des poursuites ».
Stupeur. Puis colère, quand tombe dans la boîte aux lettres un nouveau commandement de payer. C’est une treizième contravention. Toujours pour un stationnement interdit. Et toujours à Avignon. « On a craqué, on a filé chez les gendarmes de Saint-Galmier afin de déposer une plainte pour usurpation d’identité ».
Les Richard ont bien fait : en moins de cinq minutes, un militaire compétent découvre le pot aux roses. « Il a pianoté sur son ordinateur, puis nous a annoncé que notre fils avait un « frère jumeau » : un homonyme parfait ». Même nom, même prénom, même date de naissance !
C’est donc un autre Julien Richard, domicilié à Arles, qui cumulerait les « prunes » au stationnement en Avignon. Laissant au Julien Richard de Grenoble le soin de passer à la caisse.
Pour les Richard, l’horizon s’éclaircit. « On était contents, on avait l’explication. On refait donc, fin décembre, un courrier au Parquet d’Avignon en expliquant l’homonymie ». Peine perdue. Un mois plus tard, tombe un avis d’huissier. Plus de 450 euros à débourser. Le 2 avril 2009, c’est le coup de massue. Sous la forme d’une réponse abasourdissante du Parquet d’Avignon. « C’est un refus. Et c’est exactement le même courrier type que le précédent. Ce qui signifie que notre interlocuteur n’a même pas pris la peine de nous lire… ».
La coupe est pleine. « On leur donne la solution, ils ne veulent pas nous entendre. Qu’est-ce qu’on pouvait faire ? ». Les Richard sollicitent le médiateur de la République. Qui, fin avril, « plie » leur dossier en un tour de main.
Fin du calvaire ? Pas sûr. Les commandements de payer (lire par ailleurs) sont de retour cette année. « Maintenant, on attend. On verra ». Les parents peuvent d’ailleurs être plutôt sereins : Julien n’a plus de voiture depuis le 6 août 2010 !
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2012/11/25/verbalise-treize-fois-a-la-place-d-un-homonyme-c-est-possible-edzf
Sud Rail dénonce une pollution à l'amiante à Saintes
C'est par un communiqué que le syndicat Sud Rail a alerté, hier, les médias. L'accident s'est produit au technicentre SNCF de Saintes, jeudi, vers 14 h 30. « Lors d'une opération de maintenance sur un aspirateur THEP (très haute efficacité particulaire) servant à aspirer la poussière d'amiante, l'opérateur d'une entreprise sous-traitante s'est trompé et a mis en marche la soufflerie de l'appareil, projetant sous forme de nuage tout son contenu de poussière d'amiante dans les bâtiments 22 et 110 de l'atelier chaudronnerie et exposant ainsi les cheminots présents », explique Philippe Chardan, délégué syndical Sud.
Pour l'intéressé, la direction est coupable, après avoir pris connaissance de cet accident, « de ne pas avoir fait évacuer et décontaminer le personnel tout en confinant l'atelier. » « L'activité a continué jusqu'en fin d'après midi et les allées et venues des salariés et des engins de manutention ont propagé la pollution au bâtiment voisin. Entre 12 et 20 cheminots sont concernés. On sait très bien que la fibre d'amiante reste longtemps en stagnation dans l'air. Normalement, la manutention de cet aspirateur aurait dû avoir lieu dans un atelier spécialisé. Il y a eu une succession de négligences », indique- t-il.
L'amiante recherché
Un CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) exceptionnel s'est réuni hier matin pour faire le point sur la situation. « Ce n'est qu'à ce moment-là, sous la pression des cheminots, qu'un droit d'alerte a été déposé par un membre du CHSCT du technicentre pour obliger la direction à prendre des mesures de protection du personnel et de l'environnement », insiste un représentant du syndicat Sud Rail qui demande à ce que les cheminots concernés soient suivis médicalement.
Du côté de la direction, on tente de minimiser cet accident. « On ne sait pas encore ce qu'il y avait dans cet aspirateur. À ce stade, nous n'avons aucune certitude qu'il contenait de l'amiante, fait remarquer Ludovic Filio à la direction de la communication à Bordeaux. Un laboratoire indépendant doit venir à Saintes effectuer des relevés dans l'air et au sol pour détecter ou non la présence d'amiante. Toujours est-il que les responsables du technicentre ont tout de suite balisé la zone touchée et en ont interdit l'accès. » On en saura donc plus lundi.
http://www.sudouest.fr/2012/11/24/sud-rail-denonce-une-pollution-a-l-amiante-888145-706.php
Pour l'intéressé, la direction est coupable, après avoir pris connaissance de cet accident, « de ne pas avoir fait évacuer et décontaminer le personnel tout en confinant l'atelier. » « L'activité a continué jusqu'en fin d'après midi et les allées et venues des salariés et des engins de manutention ont propagé la pollution au bâtiment voisin. Entre 12 et 20 cheminots sont concernés. On sait très bien que la fibre d'amiante reste longtemps en stagnation dans l'air. Normalement, la manutention de cet aspirateur aurait dû avoir lieu dans un atelier spécialisé. Il y a eu une succession de négligences », indique- t-il.
L'amiante recherché
Un CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) exceptionnel s'est réuni hier matin pour faire le point sur la situation. « Ce n'est qu'à ce moment-là, sous la pression des cheminots, qu'un droit d'alerte a été déposé par un membre du CHSCT du technicentre pour obliger la direction à prendre des mesures de protection du personnel et de l'environnement », insiste un représentant du syndicat Sud Rail qui demande à ce que les cheminots concernés soient suivis médicalement.
Du côté de la direction, on tente de minimiser cet accident. « On ne sait pas encore ce qu'il y avait dans cet aspirateur. À ce stade, nous n'avons aucune certitude qu'il contenait de l'amiante, fait remarquer Ludovic Filio à la direction de la communication à Bordeaux. Un laboratoire indépendant doit venir à Saintes effectuer des relevés dans l'air et au sol pour détecter ou non la présence d'amiante. Toujours est-il que les responsables du technicentre ont tout de suite balisé la zone touchée et en ont interdit l'accès. » On en saura donc plus lundi.
http://www.sudouest.fr/2012/11/24/sud-rail-denonce-une-pollution-a-l-amiante-888145-706.php
samedi 24 novembre 2012
Une conductrice rochelaise tuée dans un accident
Il était 7h15 ce samedi matin quand un véhicule a quitté la chaussée sur la commune de Fournet-Juisans, dans le Doubs (25), selon l'"Est Républicain". Les raisons de la sortie n'ont pu être établies. La conductrice, Julie Tilleau, 18 ans, domiciliée à La Rochelle, a été tuée sur le coup.
Quant à son passager, Gaétan Garraud, 20 ans, également Rochelais, il a été transporté à l'hôpital de Besançon dans un état grave.
http://www.sudouest.fr/2012/11/24/la-rochelle-une-conductrice-tuee-dans-un-accident-888929-3.php
http://www.sudouest.fr/2012/11/24/la-rochelle-une-conductrice-tuee-dans-un-accident-888929-3.php
Suspicions de violences policières et d'injures raciales
Que s'est-il passé dans les locaux du commissariat, mercredi ? Un homme de nationalité étrangère, âgé de 25 ans, a déposé plainte à la gendarmerie, certificat médical à l'appui. Ce 21 novembre, vers 15 h 30 alors qu'il conduit, il se fait contrôler par la police, rue des Minimes à Laon. Il a acheté sa voiture, il y a deux jours et comme justificatif d'assurance, il ne peut présenter qu'un fax. Le ton monte, premières insultes des policiers, selon le plaignant. « Je parle mal le français et j'ai un fort accent. De suite, ils m'ont demandé ce que je faisais dans leur pays et de rentrer chez moi. » Il est ramené au commissariat pour vérification.
Toujours selon ce Laonnois, les insultes raciales fusent encore. À plusieurs reprises, il est tenu à la gorge et projeté contre un mur. Il aurait reçu aussi un coup de poing derrière la tempe. Il n'est pas placé en garde à vue, n'aurait pas été entendu sous audition libre. Il reste deux heures à essuyer, toujours d'après lui, brimades et insultes avant d'avoir l'autorisation de partir. « Ils m'ont cassé mon portable, ont gardé mon permis, confisqué ma voiture. »
Il sort tremblant, en larmes, sa compagne le conduit à l'hôpital. « Petite ecchymose latérocervicale gauche et contusion en occipital droit, légère céphalée compatible avec l'agression décrite », énumère le médecin dans son certificat. Le lendemain, la gendarmerie prend sa plainte. Une longue audition de plusieurs pages très détaillée. Après en avoir pris connaissance, hier, Olivier Hussenet, le procureur de la République a décidé « de procéder à une enquête. » C'est ce qu'attendait l'avocat du Laonnois, Me Bouchaillou. L'avocat espérait que l'enquête soit confiée aux gendarmes. Il n'en est rien. « Ce n'est évidemment pas le commissariat de Laon qui va s'en charger mais une unité hiérarchiquement supérieure », a indiqué Olivier Hussenet.
Ce n'est pas rare d'écrire au procureur pour se plaindre de violences policières, mais dans ce dossier, « la plainte paraît motivée. Il y a des vérifications et des investigations à mener au vu des déclarations de ce monsieur. Il ne dénonce pas que des violences mais également des insultes et des humiliations, et ça ne me plaît pas. Je me demande toujours quel intérêt motive la personne. En général, on lui reproche des infractions, des délits. Mais là, je ne vois pas. Il n'a pas été arrêté ivre, pas de refus d'obtempérer, le contrôle s'est passé sans problème. Je n'ai toujours pas été appelé par les policiers pour des poursuites sur ce monsieur. Tout est possible. Je n'ai pas d'opinion. »
Hier soir, le commissaire divisionnaire Benoît Desferet, directeur départemental de la sécurité publique de l'Aisne, se refusait à tout commentaire sur les faits. Il indiquait que, conformément à la demande du parquet, il allait saisir la sûreté départementale, basée à Saint-Quentin, pour mener l'enquête.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/suspicions-de-violences-policieres-et-dinjures-raciales
Toujours selon ce Laonnois, les insultes raciales fusent encore. À plusieurs reprises, il est tenu à la gorge et projeté contre un mur. Il aurait reçu aussi un coup de poing derrière la tempe. Il n'est pas placé en garde à vue, n'aurait pas été entendu sous audition libre. Il reste deux heures à essuyer, toujours d'après lui, brimades et insultes avant d'avoir l'autorisation de partir. « Ils m'ont cassé mon portable, ont gardé mon permis, confisqué ma voiture. »
Il sort tremblant, en larmes, sa compagne le conduit à l'hôpital. « Petite ecchymose latérocervicale gauche et contusion en occipital droit, légère céphalée compatible avec l'agression décrite », énumère le médecin dans son certificat. Le lendemain, la gendarmerie prend sa plainte. Une longue audition de plusieurs pages très détaillée. Après en avoir pris connaissance, hier, Olivier Hussenet, le procureur de la République a décidé « de procéder à une enquête. » C'est ce qu'attendait l'avocat du Laonnois, Me Bouchaillou. L'avocat espérait que l'enquête soit confiée aux gendarmes. Il n'en est rien. « Ce n'est évidemment pas le commissariat de Laon qui va s'en charger mais une unité hiérarchiquement supérieure », a indiqué Olivier Hussenet.
Ce n'est pas rare d'écrire au procureur pour se plaindre de violences policières, mais dans ce dossier, « la plainte paraît motivée. Il y a des vérifications et des investigations à mener au vu des déclarations de ce monsieur. Il ne dénonce pas que des violences mais également des insultes et des humiliations, et ça ne me plaît pas. Je me demande toujours quel intérêt motive la personne. En général, on lui reproche des infractions, des délits. Mais là, je ne vois pas. Il n'a pas été arrêté ivre, pas de refus d'obtempérer, le contrôle s'est passé sans problème. Je n'ai toujours pas été appelé par les policiers pour des poursuites sur ce monsieur. Tout est possible. Je n'ai pas d'opinion. »
Hier soir, le commissaire divisionnaire Benoît Desferet, directeur départemental de la sécurité publique de l'Aisne, se refusait à tout commentaire sur les faits. Il indiquait que, conformément à la demande du parquet, il allait saisir la sûreté départementale, basée à Saint-Quentin, pour mener l'enquête.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/suspicions-de-violences-policieres-et-dinjures-raciales
Un artisan frappé par les voleurs qu'il poursuivait
Trois hommes ont été déférés au parquet d'Albi hier, au lendemain d'un vol avec violence commis devant un commerce. L'un d'eux serait aussi impliqué dans un vol à l'arraché commis il y a 10 jours à Gaillac.
L'occasion fait le larron. L'adage s'est une nouvelle fois vérifié jeudi en fin d'après-midi, à Albi. Un artisan de l'avenue Général-de-Gaulle fait réparer le moteur qui commande la grille du magasin. Soudain, un des installateurs s'aperçoit que quelqu'un vient de s'emparer des clés du contacteur, dans l'idée sans doute de revenir cambrioler le commerce. Alerté, le patron se lance à la poursuite du suspect. Il le rattrape mais va se retrouver face à deux voire trois individus. Un combat inégal. Frappé au visage et menacé, l'artisan est obligé de remettre son téléphone portable à un de ses agresseurs.
La police, très vite alertée, est déjà là. Elle va cueillir les trois suspects, âgés de 19, 23 et 37 ans. Le plus jeune habite à Réalmont, les deux autres, originaires de Martinique et de Guyane, sont sans domicile fixe. Le plus âgé, légèrement alcoolisé mais surtout très énervé, a donné du fil à retordre aux fonctionnaires. Dans la nuit, il a démoli les sanitaires de sa cellule de garde à vue. Le commissariat estime le coût des réparations à 2600 euros (1).
Hier matin, revenu à de meilleures intentions, il pu être auditionné avec ses deux comparses dans les locaux de la brigade de sûreté urbaine. Tous ont des antécédents judiciaires. En particulier l'aîné des trois qui a passé 24 heures en garde à vue la semaine dernière, à la gendarmerie de Gaillac. Il est le suspect n.1 dans une affaire de vol avec violence. C'est sur lui que les policiers albigeois ont retrouvé le portable du commerçant. Ce dernier préfère garder l'anonymat car, nous confiait-il hier, «j'aspire à une tranquillité légitime dans mon commerce».
Le jeune artisan a repris le travail hier matin. «J'ai la lèvre un peu tuméfiée et j'ai pris un coup à la tempe, mais ça va. Je sais que la police a arrêté trois personnes. Moi, je suis sûr que deux m'ont frappé. J'ai mis les mains sur mon visage pour me protéger.»
Les trois mis en cause, déférés hier après-midi au parquet d'Albi, ont été présentés dans la foulée devant le juge des libertés et de la détention qui a délivré un mandat de dépôt à leur encontre. Ils ont donc été incarcérés à la maison d'arrêt jusqurà leur jugement en comparution immédiate, mardi prochain, devant le tribunal correctionnel citoyen.
(1) Une procédure incidente pour destruction volontaire de bien public a été ouverte à son encontre.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/24/1497224-albi-un-artisan-frappe-par-les-voleurs-qu-il-poursuivait.html
L'occasion fait le larron. L'adage s'est une nouvelle fois vérifié jeudi en fin d'après-midi, à Albi. Un artisan de l'avenue Général-de-Gaulle fait réparer le moteur qui commande la grille du magasin. Soudain, un des installateurs s'aperçoit que quelqu'un vient de s'emparer des clés du contacteur, dans l'idée sans doute de revenir cambrioler le commerce. Alerté, le patron se lance à la poursuite du suspect. Il le rattrape mais va se retrouver face à deux voire trois individus. Un combat inégal. Frappé au visage et menacé, l'artisan est obligé de remettre son téléphone portable à un de ses agresseurs.
La police, très vite alertée, est déjà là. Elle va cueillir les trois suspects, âgés de 19, 23 et 37 ans. Le plus jeune habite à Réalmont, les deux autres, originaires de Martinique et de Guyane, sont sans domicile fixe. Le plus âgé, légèrement alcoolisé mais surtout très énervé, a donné du fil à retordre aux fonctionnaires. Dans la nuit, il a démoli les sanitaires de sa cellule de garde à vue. Le commissariat estime le coût des réparations à 2600 euros (1).
Hier matin, revenu à de meilleures intentions, il pu être auditionné avec ses deux comparses dans les locaux de la brigade de sûreté urbaine. Tous ont des antécédents judiciaires. En particulier l'aîné des trois qui a passé 24 heures en garde à vue la semaine dernière, à la gendarmerie de Gaillac. Il est le suspect n.1 dans une affaire de vol avec violence. C'est sur lui que les policiers albigeois ont retrouvé le portable du commerçant. Ce dernier préfère garder l'anonymat car, nous confiait-il hier, «j'aspire à une tranquillité légitime dans mon commerce».
Le jeune artisan a repris le travail hier matin. «J'ai la lèvre un peu tuméfiée et j'ai pris un coup à la tempe, mais ça va. Je sais que la police a arrêté trois personnes. Moi, je suis sûr que deux m'ont frappé. J'ai mis les mains sur mon visage pour me protéger.»
Les trois mis en cause, déférés hier après-midi au parquet d'Albi, ont été présentés dans la foulée devant le juge des libertés et de la détention qui a délivré un mandat de dépôt à leur encontre. Ils ont donc été incarcérés à la maison d'arrêt jusqurà leur jugement en comparution immédiate, mardi prochain, devant le tribunal correctionnel citoyen.
(1) Une procédure incidente pour destruction volontaire de bien public a été ouverte à son encontre.
Est-il le voleur à l'arraché de Gaillac ?
Un des membres du trio violent d'Albi serait impliqué dans un vol à l'arraché commis à Gaillac. Le mardi 13 novembre vers 17 h 45, rue du Château du Roy, une dame âgée s'était fait arracher son sac à main par un homme qui avait surgi par-derrière, sur un VTT sans phare. Une description précise de l'agresseur donnée par deux témoins (dont le petit-fils de la victime) avait permis aux gendarmes d'interpeller à 18 h 10 un homme âgé de 37 ans. Le sac volé avait été retrouvé devant la crèche «Lou Pitchoun», mais il manquait un chéquier. Le gardé à vue, tout en niant être l'auteur du vol à l'arraché, conduira les gendarmes à l'endroit où le chéquier avait été caché. Il donnera une version qui peut sembler fantaisiste, expliquant qu'un homme (dont il ignore tout évidemment) lui avait remis le sac contenant le chéquier. Les gendarmes de Gaillac (qui sont certains d'avoir arrêté la bonne personne) attendent désormais les résultats des prélèvements d'ADN pour définitivement le confondre.http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/24/1497224-albi-un-artisan-frappe-par-les-voleurs-qu-il-poursuivait.html
La salariée vole 900 000 € destinés aux handicapés
de l’association Alpaim (Association pour l'aide aux handicapés), la salariée en a profité pendant quinze ans, reversant une partie à sa complice et dépensant sans compter au casino.
À six mois près, l’affaire de détournement de fonds de l’Alpaim, l’Association languedocienne d’aide aux insuffisants mentaux, n’aurait sans doute pas éclaté. Car Martine Bernard, l’ex-comptable, jugée mercredi par le tribunal correctionnel pour avoir spolié son employeur d’au moins 900 000 €, voyait poindre la retraite lorsque le pot aux roses a été découvert, en octobre 2008.
C’est pourtant elle qui, via son avocat, s’est dénoncée
Par honte, affirme-t-elle, et parce qu’elle était victime de chantage de la part de Mireille Arnaud, employée au ménage à l’Alpaim. Mise dans la combine, celle-ci lui demandait toujours plus d’argent sous peine de tout balancer. Mais pour l’association, c’est plutôt parce qu’un audit interne venait d’être commandé et qu’elle était certaine d’être démasquée...
"Voler de l’argent destiné aux handicapés, c’est une affaire désagréable à une semaine du Téléthon. Vous reconnaissez tout. La question est de savoir si vous allez dormir en prison ce soir", lance, sévère, le président de Guardia aux deux femmes (*).
De l'argent détourné pendant 15 ans
Martine Bernard a détourné de l’argent pendant au moins quinze ans sans jamais attirer l’attention de l’expert-comptable. "J’ai joué sur les marges par rapport aux charges, 0,3 % de l’ensemble du budget de 4 M€, détaille la sexagénaire. Ensuite, il suffisait de faire un salaire fictif que je virais sur un compte avec mon nom de jeune fille."
Elle s’est aussi allègrement servi du chéquier de l’Alpaim en imitant la signature du trésorier, là encore sans que le président d’alors ne s’en aperçoive. Du coup, chaque mois, au lieu de se contenter de son salaire, honorable, de 2 200 €, elle le triplait...
"Elle a détourné l’argent et tout dilapidé dans le jeu" Me Abratkiewicz, en défense
"L’idée, c’était de vivre mieux ?", interroge le président. "Je suis une joueuse, j’allais au casino et j’ai beaucoup donné aussi." À son inséparable copine Mireille Arnaud, également accro aux machines à sous de Palavas ou de La Grande- Motte, elle a reversé des dizaines de milliers d’euros.
Elle a aussi considérablement augmenté son train de vie. Elle vivait dans une villa avec piscine à 900 € de loyer, prenait des employés de jardin, achetait des voitures pour elle et ses proches et ne lésinait pas sur le traiteur lors des fréquentes réceptions qu’elle organisait chez elle.
"Elle changeait de garde-robe régulièrement et faisait des soirées avec ses amies friquées de Montpellier", lance Mireille Arnaud, avec une pointe d’amitié jalouse qui semble encore vivace.
Cette dernière réfute tout chantage, bien qu’une conversation enregistrée prouve le contraire. "Si je la dénonçais, j’étais complice ! Oui, je lui ai dit une fois que je pouvais la balancer mais elle rigolait quand je lui disais ça", se défend-elle. Son avocat, Me Escalet, enchaîne : "La comptable savait qu’elle allait être contrôlée et elle se dédouane avec cette histoire de chantage !"
Surtout, le tribunal s’est demandé où étaient passés les 900 000 €, en réalité beaucoup plus, parce qu’une partie des faits est prescrite. "Où est passé l’argent, madame ?", interroge le président de Guardia. "J’ai joué au casino", maintient l’ex-comptable.
"Je ne crois pas qu’il y ai un trésor de guerre caché."
Le bâtonnier Chatel, aux intérêts de l’Alpaim, n’y croit pas un instant : "Ma conviction, c’est que tout cet argent qui plane, on allait le retrouver tranquillement à la retraite, placé, l’écureuil a fait sa cagnotte."
Le procureur n’a pas la même analyse : "Je ne crois pas qu’il y ai un trésor de guerre caché. Elle s’était habituée à vivre avec 6 000 € par mois. Ce genre d’affaire nuit à la crédibilité des associations qui font des appels aux dons. J’entends déjà dire : “On leur donne de l’argent, ils font n’importe quoi.”"
Me Abratkiewicz, en défense, s’étonne que pendant quinze ans, personne ne se soit aperçu de rien à l’Alpaim et balaie l’idée d’un trésor de guerre : "Elle a détourné et tout dilapidé dans le jeu et l’alcool, tout simplement."
(*) Martine Bernard a écopé de deux ans de prison ferme, Mireille Arnaud un an, sans mandat de dépôt. Elles devront rembourser l’argent détourné.
http://www.midilibre.fr/2012/11/23/la-salariee-vole-900-000-eur-destines-aux-handicapes,599474.php
À six mois près, l’affaire de détournement de fonds de l’Alpaim, l’Association languedocienne d’aide aux insuffisants mentaux, n’aurait sans doute pas éclaté. Car Martine Bernard, l’ex-comptable, jugée mercredi par le tribunal correctionnel pour avoir spolié son employeur d’au moins 900 000 €, voyait poindre la retraite lorsque le pot aux roses a été découvert, en octobre 2008.
C’est pourtant elle qui, via son avocat, s’est dénoncée
Par honte, affirme-t-elle, et parce qu’elle était victime de chantage de la part de Mireille Arnaud, employée au ménage à l’Alpaim. Mise dans la combine, celle-ci lui demandait toujours plus d’argent sous peine de tout balancer. Mais pour l’association, c’est plutôt parce qu’un audit interne venait d’être commandé et qu’elle était certaine d’être démasquée...
"Voler de l’argent destiné aux handicapés, c’est une affaire désagréable à une semaine du Téléthon. Vous reconnaissez tout. La question est de savoir si vous allez dormir en prison ce soir", lance, sévère, le président de Guardia aux deux femmes (*).
De l'argent détourné pendant 15 ans
Martine Bernard a détourné de l’argent pendant au moins quinze ans sans jamais attirer l’attention de l’expert-comptable. "J’ai joué sur les marges par rapport aux charges, 0,3 % de l’ensemble du budget de 4 M€, détaille la sexagénaire. Ensuite, il suffisait de faire un salaire fictif que je virais sur un compte avec mon nom de jeune fille."
Elle s’est aussi allègrement servi du chéquier de l’Alpaim en imitant la signature du trésorier, là encore sans que le président d’alors ne s’en aperçoive. Du coup, chaque mois, au lieu de se contenter de son salaire, honorable, de 2 200 €, elle le triplait...
"Elle a détourné l’argent et tout dilapidé dans le jeu" Me Abratkiewicz, en défense
"L’idée, c’était de vivre mieux ?", interroge le président. "Je suis une joueuse, j’allais au casino et j’ai beaucoup donné aussi." À son inséparable copine Mireille Arnaud, également accro aux machines à sous de Palavas ou de La Grande- Motte, elle a reversé des dizaines de milliers d’euros.
Elle a aussi considérablement augmenté son train de vie. Elle vivait dans une villa avec piscine à 900 € de loyer, prenait des employés de jardin, achetait des voitures pour elle et ses proches et ne lésinait pas sur le traiteur lors des fréquentes réceptions qu’elle organisait chez elle.
"Elle changeait de garde-robe régulièrement et faisait des soirées avec ses amies friquées de Montpellier", lance Mireille Arnaud, avec une pointe d’amitié jalouse qui semble encore vivace.
Cette dernière réfute tout chantage, bien qu’une conversation enregistrée prouve le contraire. "Si je la dénonçais, j’étais complice ! Oui, je lui ai dit une fois que je pouvais la balancer mais elle rigolait quand je lui disais ça", se défend-elle. Son avocat, Me Escalet, enchaîne : "La comptable savait qu’elle allait être contrôlée et elle se dédouane avec cette histoire de chantage !"
Surtout, le tribunal s’est demandé où étaient passés les 900 000 €, en réalité beaucoup plus, parce qu’une partie des faits est prescrite. "Où est passé l’argent, madame ?", interroge le président de Guardia. "J’ai joué au casino", maintient l’ex-comptable.
"Je ne crois pas qu’il y ai un trésor de guerre caché."
Le bâtonnier Chatel, aux intérêts de l’Alpaim, n’y croit pas un instant : "Ma conviction, c’est que tout cet argent qui plane, on allait le retrouver tranquillement à la retraite, placé, l’écureuil a fait sa cagnotte."
Le procureur n’a pas la même analyse : "Je ne crois pas qu’il y ai un trésor de guerre caché. Elle s’était habituée à vivre avec 6 000 € par mois. Ce genre d’affaire nuit à la crédibilité des associations qui font des appels aux dons. J’entends déjà dire : “On leur donne de l’argent, ils font n’importe quoi.”"
Me Abratkiewicz, en défense, s’étonne que pendant quinze ans, personne ne se soit aperçu de rien à l’Alpaim et balaie l’idée d’un trésor de guerre : "Elle a détourné et tout dilapidé dans le jeu et l’alcool, tout simplement."
(*) Martine Bernard a écopé de deux ans de prison ferme, Mireille Arnaud un an, sans mandat de dépôt. Elles devront rembourser l’argent détourné.
http://www.midilibre.fr/2012/11/23/la-salariee-vole-900-000-eur-destines-aux-handicapes,599474.php
Cognac (16) : il ramène une mine antipersonnel, c'était une cartouche de masque à gaz
Ce vendredi, 13h30, le quartier autour du commissariat de police de Cognac est en cours d'évacuation après qu'un homme a ramené une mine antipersonnel à la police. Il a transporté l'engin dans sa voiture après l'avoir découvert.
L’homme était en possession de l’engin depuis trois semaines. Selon ses dires, il a trouvé l'objet dans un grenier d’une maison de Cognac qu’il débarrassait. Mais au moment de la découverte, il ignorait ce que c'était. Il enfermé dans une boîte.
C’est ce matin seulement, en montrant l’engin à un collègue, ancien militaire, qu’il a pris conscience de la dangerosité potentielle de sa trouvaille. Et c’est ensuite qu’il s’est rendu au commissariat.
Immédiatement, le quartier a été évacué. Les enfants de la halte-garderie voisines ont été envoyés à l’école Pauline-Kergomard. Les démineurs de la Rochelle sont intervenus. Et là surprise. L'objet n'était pas une mine, mais une cartouche filtrante de masque à gaz.
Un pétard mouillé en quelque
http://www.sudouest.fr/2012/11/23/cognac-16-il-ramene-une-mine-anti-personnel-au-commissariat-le-quartier-evacue-887874-3.php
L’homme était en possession de l’engin depuis trois semaines. Selon ses dires, il a trouvé l'objet dans un grenier d’une maison de Cognac qu’il débarrassait. Mais au moment de la découverte, il ignorait ce que c'était. Il enfermé dans une boîte.
C’est ce matin seulement, en montrant l’engin à un collègue, ancien militaire, qu’il a pris conscience de la dangerosité potentielle de sa trouvaille. Et c’est ensuite qu’il s’est rendu au commissariat.
Immédiatement, le quartier a été évacué. Les enfants de la halte-garderie voisines ont été envoyés à l’école Pauline-Kergomard. Les démineurs de la Rochelle sont intervenus. Et là surprise. L'objet n'était pas une mine, mais une cartouche filtrante de masque à gaz.
Un pétard mouillé en quelque
http://www.sudouest.fr/2012/11/23/cognac-16-il-ramene-une-mine-anti-personnel-au-commissariat-le-quartier-evacue-887874-3.php
vendredi 23 novembre 2012
Nancy : incendie place Stanislas à l'hôtel de la Reine
Un incendie s'est déclaré ce matin dans un petit salon du 1er étage de l'hôtel de la Reine place Stanislas, à Nancy . Les faits se sont produits vers 7 h 30. C'est un téléviseur qui est à l'origine du sinistre. Cinquante clients ont été évacués. Le feu a été en partie maitrisé par un employé de l'hôtel et une vingtaine de pompiers sont ensuite arrivés sur place pour circonscrire le sinistre. Cinq personnes ont été incommodées par les fumées mais leur état n'a pas nécessité de les transporter à l'hôpital.
Tout l'hôtel a ensuite été ventilé, et les clients ont pu regagner leur chambre vers 9 h. Le personnel a eu fort à faire pour assurer le service aux clients à l'heure des petits déjeuners et des départs.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/23/nancy-incendie-place-stanislas-a-l-hotel-de-la-reine
Tout l'hôtel a ensuite été ventilé, et les clients ont pu regagner leur chambre vers 9 h. Le personnel a eu fort à faire pour assurer le service aux clients à l'heure des petits déjeuners et des départs.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/23/nancy-incendie-place-stanislas-a-l-hotel-de-la-reine
Elven (56). Un père et sa fille meurent dans l’incendie de leur maison
Un père et sa fille sont morts ce vendredi matin, vers 6 h, dans l’incendie de leur longère, à Elven. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
Un octogénaire et sa fille âgée de 49 ans sont décédés ce vendredi dans l’incendie de leur maison située au lieu-dit Penhuët (sur la route de Questembert) à Elven. Trente-neuf sapeurs-pompiers équipés de quatorze véhicules sont intervenus vers 6 h.
C’est un voisin qui aurait donné l’alerte et serait intervenu le premier. Les corps ont été découverts après l’intervention des pompiers qui ont lutté longuement contre le feu.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour déterminer les causes de l’incendie. Aucune hypothèse n’est exclue.
Arrêté à 6h30, au tribunal à midi, et encore arrêté à 18h30
Curieux parcours pour un individu arrêté mercredi soir. Il avait été repéré vers 18 h 30 dans le quartier Bellefontaine, à Toulouse. Au volant d'une Polo, il avait pris la fuite, additionnant les infractions au code de la route et finissant sa course contre une voiture en stationnement. Il a ensuite tenté sa chance à pied. Finalement rattrapé dans un immeuble du Tintoret, à la Reynerie, il s'est rebellé et a copieusement insulté les policiers.
Enfin maîtrisé, il conduisait sans permis ni assurance. Les outrages et la rébellion en prime, cet homme de 28 ans a été placé en garde à vue au commissariat central. Presque une habitude pour ce Toulousain qui avait été interpellé le matin vers 6 h 30 par les enquêteurs de la sûreté départementale. Cette arrestation était liée à deux condamnations non exécutées : l'une à deux ans de prison pour vol, la deuxième pour infraction au code de la route, outrage et rébellion ! À midi, toujours mercredi, les policiers l'ont présenté à un procureur, qui a finalement décidé de ne pas exécuter le mandat d'arrêt qui avait été délivré. L'homme a donc été remis dehors et n'a visiblement guère été impressionné puisque 4 heures plus tard, il renouvelait un délit. Présenté hier au tribunal correctionnel dans le cadre des comparutions immédiates, il a demandé un délai pour préparer sa défense. Accordé mais cette fois, il attend le 13 décembre, en prison.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/23/1496253-arrete-a-6-h-30-au-tribunal-a-midi-et-encore-arrete-a-18-h-30.html
Enfin maîtrisé, il conduisait sans permis ni assurance. Les outrages et la rébellion en prime, cet homme de 28 ans a été placé en garde à vue au commissariat central. Presque une habitude pour ce Toulousain qui avait été interpellé le matin vers 6 h 30 par les enquêteurs de la sûreté départementale. Cette arrestation était liée à deux condamnations non exécutées : l'une à deux ans de prison pour vol, la deuxième pour infraction au code de la route, outrage et rébellion ! À midi, toujours mercredi, les policiers l'ont présenté à un procureur, qui a finalement décidé de ne pas exécuter le mandat d'arrêt qui avait été délivré. L'homme a donc été remis dehors et n'a visiblement guère été impressionné puisque 4 heures plus tard, il renouvelait un délit. Présenté hier au tribunal correctionnel dans le cadre des comparutions immédiates, il a demandé un délai pour préparer sa défense. Accordé mais cette fois, il attend le 13 décembre, en prison.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/23/1496253-arrete-a-6-h-30-au-tribunal-a-midi-et-encore-arrete-a-18-h-30.html
Tentative d’assassinat à la bombe en 2011 : un patron de discothèque arrêté
La police judiciaire de Montpellier vient d’identifier un suspect dans l’affaire de la tentative d’attentat à la bombe ayant visé le sauna échangiste le Kalyptus, au soir du réveillon 2011.
Ce jour-là, un engin explosif dissimulé dans un sac à dos posé contre l’un des murs du bâtiment avait été découvert par hasard dans l’après-midi.
L’explosion aurait pu faire de nombreuses victimes
Les services de déminage avaient pris de nombreuses précaution : selon eux, il s’agissait "d’une charge de forte puissance, capables de faire des dégats à plusieurs dizaines de mètres" précise le commissaire Gilles Soulié, directeur du SRPJ de Montpellier. Programmée pour la soirée, l’explosion aurait pu faire de nombreuses victimes, l’établissement étant traditionnellement très fréquenté en ce soir de fête.
Suspecté, un patron de discothèque arrêté
Après avoir envisagé plusieurs pistes, les enquêteurs du SRPJ de Montpellier viennent de démasquer un suspect, notamment grâce à un ADN mis en évidence sur des prélèvements faits sur ce sac. Ce patron de discothèque et d'un autre sauna échangiste, a été arrêté hier matin, a-t-on appris de source judiciaire.
Déjà connu de la justice, il nie son implication
Déjà connu pour braquage, association de malfaiteurs, proxénétisme et trafic de stupéfiants, le suspect a nié toute participation, sans donner d’explication à la présence de son ADN près de la bombe. Il est actuellement déféré devant le juge d’instruction chargé d’élucider cette enquête ouverte pour "tentatives d’assassinats et de destruction par explosif."
http://www.midilibre.fr/2012/11/22/dma-tentative-d-assassinat-a-la-bombe-un-patron-de-discotheque-arrete,598776.php
Ce jour-là, un engin explosif dissimulé dans un sac à dos posé contre l’un des murs du bâtiment avait été découvert par hasard dans l’après-midi.
L’explosion aurait pu faire de nombreuses victimes
Les services de déminage avaient pris de nombreuses précaution : selon eux, il s’agissait "d’une charge de forte puissance, capables de faire des dégats à plusieurs dizaines de mètres" précise le commissaire Gilles Soulié, directeur du SRPJ de Montpellier. Programmée pour la soirée, l’explosion aurait pu faire de nombreuses victimes, l’établissement étant traditionnellement très fréquenté en ce soir de fête.
Suspecté, un patron de discothèque arrêté
Après avoir envisagé plusieurs pistes, les enquêteurs du SRPJ de Montpellier viennent de démasquer un suspect, notamment grâce à un ADN mis en évidence sur des prélèvements faits sur ce sac. Ce patron de discothèque et d'un autre sauna échangiste, a été arrêté hier matin, a-t-on appris de source judiciaire.
Déjà connu de la justice, il nie son implication
Déjà connu pour braquage, association de malfaiteurs, proxénétisme et trafic de stupéfiants, le suspect a nié toute participation, sans donner d’explication à la présence de son ADN près de la bombe. Il est actuellement déféré devant le juge d’instruction chargé d’élucider cette enquête ouverte pour "tentatives d’assassinats et de destruction par explosif."
http://www.midilibre.fr/2012/11/22/dma-tentative-d-assassinat-a-la-bombe-un-patron-de-discotheque-arrete,598776.php
Angoulins (17) : Buffalo Grill braqué par deux hommes
La brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de La Rochelle est en charge de l'enquête visant à identifier les deux hommes cagoulés et armés qui, lundi soir, à la fin du service, ont braqué le restaurant Buffalo Grill d'Angoulins, au sud de la Rochelle. L'établissement est situé le long de la départementale 137, un emplacement stratégique et visible mais aussi un axe permettant une fuite rapide.
Les deux malfaiteurs sont entrés après minuit dans le restaurant où se trouvait encore un peu de personnel. Sous la menace de leurs armes, ils se sont fait remettre une somme dont le montant n'a pas été communiqué. D'après nos informations, les deux braqueurs ont agi avec rapidité et sang-froid. La scène a cependant été traumatisante pour les salariés mis en joue.
Enquête et discrétion
La gendarmerie et le parquet de La Rochelle se contentent de confirmer le vol à main armée, soucieux du bon déroulement de l'enquête.
Outre l'exploitation de la vidéo de surveillance et des témoignages recueillis, les enquêteurs espèrent que des éléments de police technique et scientifique recueillis sur le site seront exploitables. Toutes les hypothèses sont encore ouvertes quant à la personnalité des braqueurs : des locaux ou des malfaiteurs aguerris, voire spécialisés dans ce type d'établissement. Le parquet indique juste que ce crime n'a pas été mis en relation avec d'autres faits du même type commis récemment.
Braquage en février 2009
Quant au Buffalo Grill, ce n'est pas la première fois qu'il est victime d'un vol à main armé. Le dimanche 22 février 2009, au soir, vêtus de noir et armés d'un pistolet automatique, deux individus avaient braqué le responsable du restaurant. Ils remplissaient un sac-poubelle avec les 2 000 euros contenus dans la caisse et avaient pris la fuite aussi rapidement qu'ils avaient commis leur coup. L'hypothèse, qui s'imposait alors, était qu'ils avaient rejoint une voiture leur permettant de s'échapper promptement par la 2X2 voies. Ce scénario est le plus évident pour l'attaque d'hier.
Les observateurs de ce type de délinquance indiquent que les mois de novembre et décembre sont particulièrement affectés par des braquages.
http://www.sudouest.fr/2012/11/22/buffalo-grill-braque-par-deux-hommes-886094-1669.php
Les deux malfaiteurs sont entrés après minuit dans le restaurant où se trouvait encore un peu de personnel. Sous la menace de leurs armes, ils se sont fait remettre une somme dont le montant n'a pas été communiqué. D'après nos informations, les deux braqueurs ont agi avec rapidité et sang-froid. La scène a cependant été traumatisante pour les salariés mis en joue.
Enquête et discrétion
La gendarmerie et le parquet de La Rochelle se contentent de confirmer le vol à main armée, soucieux du bon déroulement de l'enquête.
Outre l'exploitation de la vidéo de surveillance et des témoignages recueillis, les enquêteurs espèrent que des éléments de police technique et scientifique recueillis sur le site seront exploitables. Toutes les hypothèses sont encore ouvertes quant à la personnalité des braqueurs : des locaux ou des malfaiteurs aguerris, voire spécialisés dans ce type d'établissement. Le parquet indique juste que ce crime n'a pas été mis en relation avec d'autres faits du même type commis récemment.
Braquage en février 2009
Quant au Buffalo Grill, ce n'est pas la première fois qu'il est victime d'un vol à main armé. Le dimanche 22 février 2009, au soir, vêtus de noir et armés d'un pistolet automatique, deux individus avaient braqué le responsable du restaurant. Ils remplissaient un sac-poubelle avec les 2 000 euros contenus dans la caisse et avaient pris la fuite aussi rapidement qu'ils avaient commis leur coup. L'hypothèse, qui s'imposait alors, était qu'ils avaient rejoint une voiture leur permettant de s'échapper promptement par la 2X2 voies. Ce scénario est le plus évident pour l'attaque d'hier.
Les observateurs de ce type de délinquance indiquent que les mois de novembre et décembre sont particulièrement affectés par des braquages.
http://www.sudouest.fr/2012/11/22/buffalo-grill-braque-par-deux-hommes-886094-1669.php
jeudi 22 novembre 2012
Il souscrivait des abonnements mobile sous de fausses identités
Les policiers de Reims ont arrêté un escroc qui multipliait les abonnements téléphoniques pour se procurer à bas prix des smartphones qu'il revendait sous le manteau. Au moins onze appareils ont été écoulés pour un préjudice de 7 000 euros.
IL a 27 ans, il habite Reims et ferait penser à un ministre ou capitaine d'industrie tant il jonglait d'un téléphone à l'autre, comme tout personnage très important qui se doit d'être appelé sur de multiples lignes.
Onze smartphones pour un seul homme, ça en impose, mais en lieu et place du VIP, un petit escroc qui a quand même réussi à arnaquer le géant SFR de 7000 €.
« Marché aux voleurs »
Pour parvenir à ses fins, le jeune homme a profité d'une offre commerciale proposant un smartphone à prix écrasé pour toute souscription d'un forfait téléphonique sur deux ans : 9,90 € l'appareil, contre 580 € hors abonnement.
Il a souscrit un premier engagement, puis deux, puis trois, etc., en usant chaque fois d'une identité différente pour tromper l'opérateur.
Tantôt il changeait la date de naissance, tantôt son nom, son prénom ou l'adresse. Il lui arrivait même de se faire passer pour des personnes de son entourage.
Entre le 1er octobre et le 15 novembre, l'aigrefin s'est ainsi fait remettre onze smartphones qu'il est allé revendre au métro Barbès, le fameux « marché aux voleurs » du XVIIIe arrondissement de Paris.
Il en aurait tiré un bénéfice de 1 300 €. Ce chiffre de onze téléphones est celui retenu par l'enquête de la brigade financière de la sûreté départementale de Reims, mais d'autres reventes ne sont pas à exclure car l'escroc a souscrit plus d'une trentaine de forfaits téléphoniques en les réglant par e-card. Il se faisait remettre les téléphones dans des relais-colis.
Le Rémois avait beau multiplier les alias, le service des fraudes de SFR a quand même fini par se rendre compte que quelque chose n'allait pas.
Attendu par la police
Rapprochements et recoupements ont permis de détecter une nouvelle commande de deux nouveaux appareils. L'escroc s'est présenté au relais-colis pour les récupérer, sauf que la police - cette fois-ci - l'attendait.
L'opérateur estime la totalité de son préjudice à 7000 €. Remis en liberté, l'escroc se fera présenter la facture le 12 février, date à laquelle il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Reims.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-souscrivait-des-abonnements-mobile-sous-de-fausses-identites
IL a 27 ans, il habite Reims et ferait penser à un ministre ou capitaine d'industrie tant il jonglait d'un téléphone à l'autre, comme tout personnage très important qui se doit d'être appelé sur de multiples lignes.
Onze smartphones pour un seul homme, ça en impose, mais en lieu et place du VIP, un petit escroc qui a quand même réussi à arnaquer le géant SFR de 7000 €.
« Marché aux voleurs »
Pour parvenir à ses fins, le jeune homme a profité d'une offre commerciale proposant un smartphone à prix écrasé pour toute souscription d'un forfait téléphonique sur deux ans : 9,90 € l'appareil, contre 580 € hors abonnement.
Il a souscrit un premier engagement, puis deux, puis trois, etc., en usant chaque fois d'une identité différente pour tromper l'opérateur.
Tantôt il changeait la date de naissance, tantôt son nom, son prénom ou l'adresse. Il lui arrivait même de se faire passer pour des personnes de son entourage.
Entre le 1er octobre et le 15 novembre, l'aigrefin s'est ainsi fait remettre onze smartphones qu'il est allé revendre au métro Barbès, le fameux « marché aux voleurs » du XVIIIe arrondissement de Paris.
Il en aurait tiré un bénéfice de 1 300 €. Ce chiffre de onze téléphones est celui retenu par l'enquête de la brigade financière de la sûreté départementale de Reims, mais d'autres reventes ne sont pas à exclure car l'escroc a souscrit plus d'une trentaine de forfaits téléphoniques en les réglant par e-card. Il se faisait remettre les téléphones dans des relais-colis.
Le Rémois avait beau multiplier les alias, le service des fraudes de SFR a quand même fini par se rendre compte que quelque chose n'allait pas.
Attendu par la police
Rapprochements et recoupements ont permis de détecter une nouvelle commande de deux nouveaux appareils. L'escroc s'est présenté au relais-colis pour les récupérer, sauf que la police - cette fois-ci - l'attendait.
L'opérateur estime la totalité de son préjudice à 7000 €. Remis en liberté, l'escroc se fera présenter la facture le 12 février, date à laquelle il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Reims.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-souscrivait-des-abonnements-mobile-sous-de-fausses-identites
Un contrôleur agressé dans un TER Lyon-Genève, perturbations à prévoir
Il a reçu un coup de poing. Un contrôleur a été frappé jeudi,
vers 10h30, dans un TER reliant Lyon à Genève par une voyageuse qui n'avait pas
de titre de transport.
Les contrôleurs ont aussitôt décidé de "poser le sac" à Lyon, ce qui signifie cesser le travail en guise de solidarité avec leur collègue. Ce mouvement risque d'engendrer des perturbations du trafic en Rhône-Alpes.
"Davantage de contrôleurs sur les trains"
La SNCF, qui a exprimé sa solidarité et sa compassion envers le contrôleur, invite les voyageurs à différer leur départ. L'entreprise ferroviaire n'était pas en mesure en fin de matinée de dire quel serait l'impact de l'arrêt de travail, l'agression ayant eu lieu très peu de temps avant.
Dans un communiqué, Sud-Rail Lyon a pour sa part annoncé que le trafic SNCF était "suspendu" et que cette agression venait "s'ajouter à la longue liste d'agressions touchant les contrôleurs SNCF". "L'ensemble des contrôleurs ont aussitôt fait usage de leur droit de retrait, entraînant une suspension du trafic ferroviaire sur la région", a affirmé Sud-Rail. Les contrôleurs réclament notamment "davantage de contrôleurs sur les trains", selon ce syndicat.
Les contrôleurs ont aussitôt décidé de "poser le sac" à Lyon, ce qui signifie cesser le travail en guise de solidarité avec leur collègue. Ce mouvement risque d'engendrer des perturbations du trafic en Rhône-Alpes.
"Davantage de contrôleurs sur les trains"
La SNCF, qui a exprimé sa solidarité et sa compassion envers le contrôleur, invite les voyageurs à différer leur départ. L'entreprise ferroviaire n'était pas en mesure en fin de matinée de dire quel serait l'impact de l'arrêt de travail, l'agression ayant eu lieu très peu de temps avant.
Dans un communiqué, Sud-Rail Lyon a pour sa part annoncé que le trafic SNCF était "suspendu" et que cette agression venait "s'ajouter à la longue liste d'agressions touchant les contrôleurs SNCF". "L'ensemble des contrôleurs ont aussitôt fait usage de leur droit de retrait, entraînant une suspension du trafic ferroviaire sur la région", a affirmé Sud-Rail. Les contrôleurs réclament notamment "davantage de contrôleurs sur les trains", selon ce syndicat.
Vingt-six kilos de cannabis saisis chez un restaurateur
Restaurateur apprécié du quartier Saint-Simon, à Toulouse où il a passé toute son enfance, Philippe P., 46 ans a été mis en examen dernièrement pour recel et trafic de stupéfiants.
Gérant du restaurant les Tonnelles, route de Saint-Simon, il a été écroué au même titre que son frère, Jean-Claude, mécanicien de 41 ans. Agissant sur commission rogatoire du juge d'instruction Myriam Viargues, les gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse Saint-Michel ont découvert une véritable caverne d'Ali-Baba au domicile de Philippe P.
Pêle-mêle : 26 kg de résine de cannabis, 1 kg de cocaïne, 5 000 paquets de cigarettes, 2 000 bocaux de foie gras, 250 paires de lunettes de soleil, 5 000 pièces d'articles de sport, des caisses d'outillage, un vieux juke-box et des bouteilles de vin. Une marchandise issue de nombreux vols, saisie dans le garage du suspect et estimée à environ 300 000€.
Sur son origine et sa provenance le restaurateur de Saint-Simon n'a pas donné d'explications. Des produits et de la marchandise frauduleuse que le commerçant aurait revendus à bas prix sous le manteau. Les cigarettes volées au préjudice des débitants de tabac et des caisses de l'État auraient été revendues à prix cassés. C'est au cours d'une surveillance discrète, la semaine dernière, devant son domicile, non loin du restaurant, que les enquêteurs de la brigade de recherches ont interpellé les deux frères et un client venu acheter de la drogue. Ce dernier a été remis en liberté.
L'enquête devrait s'attacher à identifier la provenance de ce luxueux butin «tombé» entre les mains du restaurateur. Dernièrement, le célèbre établissement les Ducs de Gascogne, à Gimont, avait subi un important préjudice avec des vols de bocaux de foie gras. Des enseignes de lunettes ont elles aussi connu le même sort. Les investigations sont en cours pour identifier avec précision l'origine des marchandises.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/21/1494688-vingt-six-kilos-de-cannabis-saisis-chez-un-restaurateur.html
Gérant du restaurant les Tonnelles, route de Saint-Simon, il a été écroué au même titre que son frère, Jean-Claude, mécanicien de 41 ans. Agissant sur commission rogatoire du juge d'instruction Myriam Viargues, les gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse Saint-Michel ont découvert une véritable caverne d'Ali-Baba au domicile de Philippe P.
Pêle-mêle : 26 kg de résine de cannabis, 1 kg de cocaïne, 5 000 paquets de cigarettes, 2 000 bocaux de foie gras, 250 paires de lunettes de soleil, 5 000 pièces d'articles de sport, des caisses d'outillage, un vieux juke-box et des bouteilles de vin. Une marchandise issue de nombreux vols, saisie dans le garage du suspect et estimée à environ 300 000€.
Sur son origine et sa provenance le restaurateur de Saint-Simon n'a pas donné d'explications. Des produits et de la marchandise frauduleuse que le commerçant aurait revendus à bas prix sous le manteau. Les cigarettes volées au préjudice des débitants de tabac et des caisses de l'État auraient été revendues à prix cassés. C'est au cours d'une surveillance discrète, la semaine dernière, devant son domicile, non loin du restaurant, que les enquêteurs de la brigade de recherches ont interpellé les deux frères et un client venu acheter de la drogue. Ce dernier a été remis en liberté.
L'enquête devrait s'attacher à identifier la provenance de ce luxueux butin «tombé» entre les mains du restaurateur. Dernièrement, le célèbre établissement les Ducs de Gascogne, à Gimont, avait subi un important préjudice avec des vols de bocaux de foie gras. Des enseignes de lunettes ont elles aussi connu le même sort. Les investigations sont en cours pour identifier avec précision l'origine des marchandises.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/21/1494688-vingt-six-kilos-de-cannabis-saisis-chez-un-restaurateur.html
Bébé décédé : le conducteur de 20 ans avait également pris de l’ecstasy
La semaine dernière le conducteur avait finalement été remis en liberté, sous contrôle judiciaire. Une décision dont avait fait appel le parquet de Montpellier. Et qui sera débattue devant la chambre de l’instruction le 4 décembre prochain.
Il était également sous l’empire d’amphétamines
Sachant que si le jeune homme avait spontanément admis avoir consommé un à deux joints la veille au soir et indiqué être un consommateur régulier de cannabis, les résultats des analyses toxicologiques menées le jour des faits ont révélé qu’il était également sous l’empire d’amphétamines, probablement de l’ecstasy.
Il affirme avoir eu "un moment d'absence"
Lors de ses différentes auditions, il avait expliqué s’être couché vers 3 heures et dit s’être endormi au volant. Laissant penser que la prise de stupéfiants (circonstances aggravantes) n’est certainement pas le seul facteur ayant conduit à l’accident.
"Je n’ai jamais prétendu que c’est son état de dépendance qui est à l’origine de l’accident. Mais les taux relevés, s’ils ne sont pas monstrueux, ne sont pas anodins. Après, il appartiendra aux experts de dire si cela a joué", estime Me Jean-Robert Phung, le conseil des parents de la victime.
L'avocat choqué qu'on se demande si le bébé était bien attaché
Un avocat quelque peu interdit lorsqu’il a appris qu’une autre expertise devait être mené sur le siège auto dans lequel se trouvait l’enfant au moment de la collision.
"Mes clients ont été constants à ce sujet. Le siège était, bien entendu, attaché comme il convenait. Et après le choc, quand ils ont vu leur enfant changer de visage, ils ont tout enlevé pour lui venir en aide. Je trouve hallucinant que l’on se pose des questions à ce sujet."
"Je trouve cela un peu dur pour le père et la mère. Ils allaient faire des courses, ne faisaient pas d’excès de vitesse, se sont fait percuter et ont perdu leur bébé et on leur demande, de façon insistante, s’il y a eu un problème avec ce siège".
http://www.midilibre.fr/2012/11/21/bebe-decede-le-conducteur-avait-egalement-pris-de-l-ecstasy,598230.php
Il était également sous l’empire d’amphétamines
Sachant que si le jeune homme avait spontanément admis avoir consommé un à deux joints la veille au soir et indiqué être un consommateur régulier de cannabis, les résultats des analyses toxicologiques menées le jour des faits ont révélé qu’il était également sous l’empire d’amphétamines, probablement de l’ecstasy.
Il affirme avoir eu "un moment d'absence"
Lors de ses différentes auditions, il avait expliqué s’être couché vers 3 heures et dit s’être endormi au volant. Laissant penser que la prise de stupéfiants (circonstances aggravantes) n’est certainement pas le seul facteur ayant conduit à l’accident.
"Je n’ai jamais prétendu que c’est son état de dépendance qui est à l’origine de l’accident. Mais les taux relevés, s’ils ne sont pas monstrueux, ne sont pas anodins. Après, il appartiendra aux experts de dire si cela a joué", estime Me Jean-Robert Phung, le conseil des parents de la victime.
L'avocat choqué qu'on se demande si le bébé était bien attaché
Un avocat quelque peu interdit lorsqu’il a appris qu’une autre expertise devait être mené sur le siège auto dans lequel se trouvait l’enfant au moment de la collision.
"Mes clients ont été constants à ce sujet. Le siège était, bien entendu, attaché comme il convenait. Et après le choc, quand ils ont vu leur enfant changer de visage, ils ont tout enlevé pour lui venir en aide. Je trouve hallucinant que l’on se pose des questions à ce sujet."
"Je trouve cela un peu dur pour le père et la mère. Ils allaient faire des courses, ne faisaient pas d’excès de vitesse, se sont fait percuter et ont perdu leur bébé et on leur demande, de façon insistante, s’il y a eu un problème avec ce siège".
http://www.midilibre.fr/2012/11/21/bebe-decede-le-conducteur-avait-egalement-pris-de-l-ecstasy,598230.php
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