mercredi 30 avril 2014

Gare au frein à main !

La voiture d'un blésois a fini dans la Loire mercredi matin. En panne, l'automobiliste était en train de regarder sous le capot quand son véhicule a commencé à rouler vers le fleuve. Il avait oublié de mettre le frein à main !
La journée a mal commencé pour cet automobiliste blésois. Impossible ce matin de démarrer sa voiture qu'il a garée sur le quai à hauteur du mail Pierre Sudreau. Il ouvre le capot pour accéder au moteur quand le véhicule se met en branle. Direction la Loire. Le malheureux avait oublié de serrer le frein à main.

Les pompiers sont arrivés sur place accompagnés de trois plongeurs pour vérifier que personne ne se trouvait à l'intérieur. Le véhicule a ensuite pu être remorqué jusqu'à la berge. 


http://centre.france3.fr/2014/04/30/gare-au-frein-main-468529.html

Un corps retrouvé mardi dans le port de Bayonne

Mardi matin, un pêcheur a repéré un corps flottant dans le port de Bayonne, à hauteur des installations d'Anglet Blancpignon.
Le corps a été repêché par la gendarmerie maritime, puis transporté au funérarium. En fin d'après-midi, et sur ordre du parquet de Bayonne, une virtopsie de l'homme a été réalisée au sein du Centre hospitalier de la Côte basque à Bayonne. Ce procédé, permet, par radiographie (scanner), de recueillir toute information médicale nécessaire à l'identification d'une personne décédée par accident notamment.
Le rapport de virtopsie et les informations recueillies par les enquêteurs de la police permettront de déterminer l'identité de l'homme qui a séjourné pendant plusieurs jours dans l'Adour. L'une des hypothèses avancées est qu'il s'agisse du pêcheur landais de quarante ans, disparu vendredi 18 avril sur l'Adour, entre Guiche et Urt. Sa barque avait été aperçue par un témoin, dérivant, mais vide.

http://www.sudouest.fr/2014/04/30/un-corps-retrouve-hier-1539818-3944.php

Rhône. Rillieux : trouvé mort dans son appartement

Ce mardi, il était environ 17 heures lorsque deux véhicules de pompiers sont arrivés au 20 rue Jacques-Prévert, alertés par des résidents de l’immeuble.
Au septième étage, un locataire s’est inquiété de ne plus voir son voisin de palier depuis plusieurs jours. Une inquiétude accentuée par une odeur suspecte.

L’octogénaire était allongé sur son lit

Deux fenêtres ont été cassées pour permettre aux secouristes d’atteindre l’intérieur de l’appartement. Les sapeurs-pompiers ont eu la désagréable surprise de trouver un homme allongé sur son lit, décédé depuis environ une quinzaine de jours, selon les premiers constats sur place.
« C’était un homme très discret et solitaire, on le voyait très rarement », relate Abddelaziz Attalah, le voisin qui a donné l’alerte. Selon les premiers éléments de l’enquête de police, la mort serait d’origine naturelle. Le locataire était âgé de 80 ans. « Un drame de la solitude » confie un riverain. Le maire, Alexandre Vincendet, s’est rendu sur place. Un médecin est venu constater le décès.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/04/30/rillieux-trouve-mort-dans-son-appartement

Pourquoi Julie Gayet a quitté François Hollande

Alors que le doute subsistait sur la relation entre François Hollande et Julie Gayet depuis les révélations fracassantes de Closer en janvier dernier, Gala révèle cette semaine que l’actrice a finalement quitté le Président de la République.
L’actrice de 41 ans n’aurait pas supporté « l’intrusion dans sa vie privée ». « De femme libre, patronne respectée de trois sociétés de production, elle passe au statut moqué de Montespan dont les gens googlise les images nues avec avidité », explique l’hebdomadaire.

"Les feux dangereux d'une romance publique"

Le couple, qui vivait dans l’ombre depuis deux ans, n’aurait donc pas supporté la lumière. Julie Gayet, qui n’a « jamais rêvé d’être Première dame » selon un proche, regrettait trop les instants volés et les escapades discrètes avec François Hollande.
La comédienne souhaiterait désormais se consacrer pleinement à ses deux enfants, de 15 et 13 ans, et à sa carrière au cinéma. « Elle refuse de se battre sur le ring malsain où les événements pourraient l'entraîner. Elle n'entrera pas sous les feux dangereux d'une romance publique » conclut Gala. De son côté, le chef de l’Etat tenterait actuellement de reconquérir le cœur de Valérie Trierweiler, selon une journaliste de l’Express.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/30/1873255-pourquoi-julie-gayet-a-quitte-francois-hollande.html

Saint-Lys. Un ado gravement blessé dans un accident : appel à témoins

Un accident grave de la circulation s'est produit, lundi soir, à Saint-Lys, route de Lamasquère, dans l'Ouest toulousain. Il était aux environs de 17 h 45 lorsqu'une violente collision s'est produite entre un automobiliste et un cycliste âgé d'une quinzaine d'années.
Prévenus immédiatement par des témoins, les services de secours se sont rapidement rendus sur place. Les sapeurs-pompiers ainsi que l'hélicoptère du Samu, mais aussi les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Lys, sont venus en aide à la jeune victime.
Celui-ci, sérieusement touché, présentait un état de santé très préoccupant de sorte qu'après avoir été soigné sur place, il a dû être transporté au centre hospitalier de Toulouse-Purpan par l'hélicoptère du Samu.

Appel à témoins

L'accident s'est produit au niveau du n° 1948 route de Lamasquère à Saint-Lys. Les gendarmes de la brigade de la commune, en charge de l'enquête, sont à la recherche de tout témoignage pouvant les éclairer sur les circonstances de cet accident violent.
Ils demandent donc à toute personne susceptible d'apporter des éléments utiles à l'enquête de se mettre très rapidement en rapport avec les enquêteurs de la gendarmerie en contactant la brigade au 05 34 47 01 80 ou en composant le 17.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/30/1873149-saint-lys-ado-gravement-blesse-accident-appel-temoins.html

mardi 29 avril 2014

Un muguet de qualité pour le 1er mai

La récolte de muguet est prête, en quantité et en qualité cette saison grâce aux températures douces des dernière semaine, a indiqué aujourd'hui FranceAgriMer. La cueillette de muguet s'est terminée avec plusieurs jours d'avance, indique l'organisme public qui précise que "les brins sont sains et de très belle qualité, avec une forte proportion de muguet extra et catégorie I".

"La quantité est également au rendez-vous et permettra de couvrir l'ensemble de la demande du 1er mai" assure-t-il. Avec près de 32 millions d'euros l'an passé, le muguet du 1e Mai est un vrai petit business et l'un des rares de ce jour férié entre tous. Mais la tradition du cadeau se perd un peu puisque sur ces 31,8 millions d'euros, 23,7 millions étaient "pour offrir" soit une baisse de 7% que ce soit en pot (15,2 millions contre 16 millions d'euros en 2012) ou en brins (8,5 millions d'euros contre 9,5 en 2012) selon les chiffres des professionnels publiés par France AgriMer.

Les fleuristes restent les premiers chez lesquels ont se rend pour acheter le muguet (54% en valeur en pots et 41% en brins), suivis par les grandes surfaces (19% en valeur mais 39% en volume pour le muguet en pots). Le reste est vendu par des amateurs, exemptés de patente à titre exceptionnel le 1er mai. En 2014, la première région productrice reste la région nantaise en Loire-Atlantique, qui assure pas loin de 83% de la production nationale, devant les environs de Bordeaux (environ 17%).


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/04/29/97002-20140429FILWWW00388-un-muguet-de-qualite-pour-le-1er-mai.php

Pleslin-Trigavou (22) : Incendie dans un laboratoire de viandes. Un pompier hospitalisé

Le feu a pris peu avant 8h ce matin dans un compteur électrique dans le laboratoire de viandes de la ferme des Aubriais à Pleslin-Trigavou (22), près de Dinan. Selon les pompiers, il y a de gros dégâts. 25 pompiers sont sur place, deux d'entre eux ont été blessés.
Les dégâts sont importants à la ferme des Aubriais à Pleslin Trigavou. C'est la fumée qui s'est dégagée qui a endommagé 200 m2 dans le laboratoire de viandes de la ferme des Aubriais. L'incendie a pris dans le compteur électrique. Les dégâts sont importants selon les pompiers, qui sont toujours sur place. Deux d'entre eux ont été blessés et conduits à l'hôpital..

Cette ferme a un magasin sur place et fait beaucoup de vente directe.
Le directeur de l'entreprise est sur place.

30 salariés travaillent à la ferme des Aubrais.S


http://bretagne.france3.fr/2014/04/29/pleslin-trigavou-22-incendie-dans-un-laboratoire-de-viandes-un-pompier-hospitalise-467855.html

Trois "papas perchés" sur un rond-point près de Périgueux

Ils dénoncent les conditions de garde de leurs enfants. L'un des hommes a déjà grimpé sur la cathédrale d'Orléans et un pylône de la gare de Périgueux.
Ils se sont installés la nuit dernière, à 2 heures du matin. Stéphane Joly, de Vergt, Benjamin Ribot, de Périgueux, et Benjamin Guillon, de Sorges, ont grimpé dans les arbres du rond-point du Pont du Cerf, à Notre-Dame-de-Sanilhac près de Périgueux, pour attirer l'attention sur les conditions de garde et de visite de leurs enfants.
Ces "papas perchés" ont attaché des banderoles sur ce rond-point très passant, à la sortie de l'autoroute. "Nous dénonçons la justice française, qui privilégie les mères. On n'est pas entendus, malgré des enquêtes sociales qui nous sont favorables", assure Benjamin Guillon, jeune père de 25 ans de deux fillettes de 1 et 2 ans. "Je crie au ras-le-bol."
Stéphane Joly est un habitué de ce genre d'actions. Il s'est déjà perché sur la cathédrale d'Orléans en mai 2013, puis en juin en haut d'un pylône de la gare SNCF de Périgueux.  En octobre, il s'était installé avec une banderole devant le palais de justice de Périgueux.
Les trois hommes, déguisés l'un en Spiderman, le deuxième en juge et le troisième en policier, envisagent de rester sur le rond-point toute la journée de ce mardi.

http://www.sudouest.fr/2014/04/29/trois-papas-perches-sur-un-rond-point-pres-de-perigueux-1539474-1980.php

Epinal : des policiers frappés par un groupe de jeunes

Epinal. Dimanche, la police a reçu un appel : une personne venait d’être passée à tabac dans le quartier de la gare à Epinal par un groupe de punk.
A leur arrivée sur place, les forces de l’ordre ont été prises à partie par le groupe de jeunes (sous l’emprise d’une forte alcoolisation) qui ont lâché leurs chiens et frappé les fonctionnaires. De plus, les personnes ont dégradé la voiture des policiers en s’acharnant dessus à coups de pied.
Les hommes du commissariat ont eu le renfort d’un homologue de Belfort en civil, ainsi que d’un policier retraité du commissariat d’Epinal. Tous deux passaient là par hasard. Ainsi, trois des protagonistes ont pu être interpellés. Ils sont âgés de 23, 27 et 29 ans. Placés en garde à vue, ils ont reconnu les faits. Ils seront déférés au Parquet ce matin et poursuivis pour outrage, violence et violence contre les agents de la force publique.
Au final, deux policiers ont été blessés. Ils se sont vus remettre une ITT (incapacité totale de travail) d’une durée de cinq jours.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/29/epinal-des-policiers-frappes-par-un-groupe-de-jeunes

Deux tremblements de terre à Lourdes ce matin : une secousse ressentie jusqu’à Toulouse

Deux tremblements de terre se sont produits ce mardi matin à Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées. Une première secousse a été ressentie à 9h03, d’une magnitude de 4,7 sur l’échelle de Richter. Elle a été suivie par une réplique à 9h07, plus faible, d’une magnitude de 4,4.
Argelès-Gazost et le secteur allant vers le Val d’Azun ont été privés d’électricité. La secousse a été ressentie jusqu’à Toulouse ce matin.
Si vous souhaitez témoigner sur ce séisme, vous pouvez vous rendre sur le site du bureau central sismologique français : www.franceseisme.fr.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/29/1872570-deux-tremblements-terre-lourdes-matin-secousse-ressentie-jusqu-toulouse.html

Gard : 900 foyers privés de téléphone et d'internet après le vol de câble

Environ 900 mètres de cuivre ont été dérobés dans la nuit de dimanche à lundi à Bouillargues (Gard). Près de 900 foyers seraient impactés par cette panne induite, selon France Télécom.
La commune de Bouillargues, et une partie des communes de Manduel et de Garons, dans le Gard, sont privées de téléphone et d'internet après le vol d'environ 900 paires de cuivre dans la nuit de dimanche à lundi.
Un rétablissement des communications d'ici vendredi
Près de 900 foyers seraient impactés par cette panne induite selon France Télécom qui mise sur un rétablissement des communications d'ici vendredi. Les réparations ont nécessité le réapprovisionnement en fil. Ce lundi, la mairie et les services publics de Bouillargues étaient injoignables.

http://www.midilibre.fr/2014/04/28/gard-900-foyers-prives-de-telephone-et-d-internet-apres-le-vol-de-cable,854438.php

lundi 28 avril 2014

Un plongeur apnéiste disparu en mer

Des recherches étaient en cours cet après-midi en mer à la hauteur de Piriac-sur-mer (Loire-Atlantique) au nord de Saint-Nazaire pour retrouver un plongeur apnéiste disparu dans la matinée, a indiqué la Préfecture maritime de l'Atlantique dans un communiqué.

Porté disparu à la mi-journée par son épouse qui ne l'avait pas vu revenir, le plongeur d'une quarantaine d'années n'avait toujours pas été retrouvé en fin d'après-midi tandis que les recherches se poursuivaient à l'aide d'importants moyens nautiques, terrestres et aériens, selon la préfecture.

Trois vedettes de la SNSM (société nationale de sauvetage en mer), des bateaux légers de sauvetage des pompiers, un hélicoptère de la gendarmerie ainsi qu'un hélicoptère de la marine sont notamment engagés dans les recherches. Sur place, la mer est agitée et le vent est de 25 noeuds.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/28/97001-20140428FILWWW00321-un-plongeur-apneiste-disparu-en-mer.php

Après l'incendie dans une cellule à Neuvic (24) : les agents de la prison tirent la sonnette d'alarm

«L'incident n'aurait pas dû avoir lieu. » Dans le centre de détention de Neuvic-sur-l'Isle, le syndicat Ufap-Unsa tire la sonnette d'alarme. Samedi, le personnel de la prison et les détenus ont connu une belle frayeur, en voyant arriver de nombreux pompiers dans le bâtiment. Un incendie, qui a rapidement été maîtrisé, s'est en effet déclaré dans une cellule, en fin de matinée, dans ce centre de détention d'une capacité de 400 places, brûlant grièvement son occupant.
Avec des allumettes
Il semble que c'est le détenu lui-même, âgé de 22 ans, qui aurait mis le feu à son matelas et à ses couvertures. « Ce jeune homme avait été placé dans le quartier disciplinaire suite à des dégradations dans sa cellule », précise Stéphane Renard, le vice-procureur de la République de Périgueux. L'homme avait en effet des allumettes sur lui et a pu, malgré le matériel ignifugé, qui est notamment installé dans les cellules du quartier disciplinaire, mettre le feu au matelas.
Ce détenu a été brûlé au niveau du visage, du thorax et des bras, et a dû être transporté en hélicoptère à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. « Nous avons préféré l'envoyer au centre des grands brûlés afin qu'il bénéficie de soins adaptés », explique Jean-Michel Camu, le directeur interrégional adjoint des services pénitentiaires de Bordeaux. « Pour le moment, on ne connaît toujours pas les motivations de cette personne quant au fait qu'elle ait mis le feu à sa cellule », poursuit-il.
Toutefois, plusieurs agents de la prison avancent l'hypothèse d'une tentative de suicide, ou « en tout cas, d'un appel à l'aide ». Car ce détenu « avait déjà tenté d'attirer l'attention quelques jours auparavant ». Le problème, selon les syndicats, c'est qu'il n'y a plus de psychiatre dans l'enceinte de l'établissement. « Avant, nous en avions un à temps plein et depuis trois mois, son absence fait cruellement défaut. » Des agents considèrent ainsi que « si une écoute avait été possible, cela aurait peut-être pu aider le détenu ». D'autant que de nombreux prisonniers présentent un profil qui nécessite un suivi psychiatrique.
Pour le personnel, il est clair que l'incident s'inscrit dans « une ambiance particulière où les conditions de détention ne cessent de se dégrader ». Samedi, également, alors qu'un détenu très vindicatif venait d'être enfermé dans sa cellule pour éviter qu'il ne frappe des surveillants, cinq autres prisonniers d'une autre aile sont venus pour en découdre avec le personnel. « C'est extrêmement rare et ça montre vraiment l'ambiance particulière qui règne en ce moment », poursuit l'Unsa.
Manque de personnel
Le syndicat prévient ainsi la direction de Neuvic qu'il va « falloir repérer les détenus qui ne présentent pas un profil adapté à ce centre de détention ». Car en plus de ce problème déjà pointé du doigt à Neuvic, le centre de détention souffre d'un manque de personnel. « Nous travaillons avec huit agents de moins que ce qu'il devrait y avoir normalement. C'est énorme. »
Samedi, dix autres personnes - six détenus, eux aussi placés dans le quartier disciplinaire, et quatre membres du personnel du centre de détention - ont été incommodées par les fumées, sans pour autant subir de blessures particulières ni être intoxiquées.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte et une autre sera menée également en interne, afin de déterminer les circonstances de l'incendie. Le parquet de Périgueux espère pouvoir entendre la victime dans le courant de la semaine, si son état s'améliore.

http://www.sudouest.fr/2014/04/28/prison-les-agents-inquiets-1537751-1969.php

Nouvelle nuit agitée à Mazamet

Déjà victime d'incidents similaires il y a deux semaines, la ville de Mazamet a encore connu une nuit agitée ce week-end. Dans la nuit de samedi à dimanche, entre minuit et 4h du matin, les sapeurs-pompiers sont intervenus à plusieurs reprises pour éteindre des feux sur des containers poubelles et des véhicules. Cela a commencé vers minuit sur le boulevard Jean-Jaurès par un feu de poubelles. Dix minutes plus tard, les soldats du feu étaient appelés pour un second container en flammes à quelques mètres du premier, allée des Camélias. Les pompiers ont à peine eu le temps de souffler qu'à 2h du matin ils repartaient pour circonscrire l'incendie d'une voiture rue du Midi. Rebelote à 4h du matin dans le même secteur près de la résidence Foch : une voiture en flamme a nécessité l'intervention des pompiers.
«On condamne fermement ces actes, a réagi Olivier Fabre, le maire de Mazamet qui, hier, est allé rencontrer les propriétaires des voitures incendiées alors que son adjoint à la sécurité était déjà allé sur le terrain durant la nuit. Dès lundi matin, je vais me rapprocher du sous-préfet afin d'étudier un renforcement du dispositif de police la nuit avec une deuxième patrouille sur Mazamet et Aussillon notamment le week-end où ont lieu ces incidents.» Car selon ses informations, la présence de davantage de policiers aurait sans doute permis d'interpeller les incendiaires qui auraient échappé de justesse aux forces de l'ordre dans la nuit. Olivier Fabre qui rappelle aussi qu'il va rapidement augmenter le nombre de caméras de vidéosurveillance sur la ville et développer la police municipale.
À noter qu'à Castres, une voiture et un container poubelles ont également brûlé durant la même nuit, là aussi aux alentours du centre-ville.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=24520&WS=291720_2501986&WA=4729

Hérault : un jeune homme de 24 ans se tue à Riols

Les faits se sont déroulés dans la nuit de samedi à dimanche.  
Seul au volant de sa voiture, un jeune homme de 24 ans a trouvé la mort, ce dimanche matin à 1 h30, dans l'agglomération de Riols, près de Saint-Pons-de-Thomières. Pour une raison encore indéterminée, sa Peugeot 307 s'est retrouvée en travers de la chaussée et a heurté un platane situé sur un terre-plein central.
Il s'agit ici du deuxième mort sur les routes de l'Ouest-Hérault depuis le début de l'année. L'enquête a été confiée à la brigade de Saint-Pons-de-Thomières.

http://www.midilibre.fr/2014/04/27/herault-un-jeune-homme-de-24-ans-se-tue-a-riols,853801.php

dimanche 27 avril 2014

GAUJAC. Une jeune femme de 27 ans tuée dans un accident de la route

Cette nuit à 2h30 du matin, une jeune femme de 27 ans a perdu le contrôle de son véhicule à la sortie de Gaujac, sur la route de Bagnols-sur-Cèze. La voiture est sortie de la route dans un virage avant de percuter de plein fouet un rocher et de faire un tonneau. Elle est restée immobilisée sur le toit.
La conductrice, née en 1987, habitait Meynes. Elle a été tuée sur le coup. Le passager avant, âgé de 21 ans, n’est que légèrement blessé mais en état de choc. Il a été transporté à l’hôpital de Bagnols. Des tests d’alcoolémie et de stupéfiants ont été effectués. Le jeune homme était négatif. On attend les résultats pour la conductrice.

https://www.objectifgard.com/category/0101_actu_gard/0600_faits-divers/

Nantes: elle accouche sur le périphérique

Siloé a vu le jour vendredi soir, dans un lieu peu commun. En route pour l'hôpital mais bloquée dans les bouchons, sa mère a accouché sur le périphérique nantais.

« J'ai vu sortir la petite bouille de ma fille. J'ai bougé un peu sa tête pour dégager les épaules »,
a raconté le papa à Ouest France.

À l'arrivée des secours, Siloé et sa maman se portaient bien. Elles ont été conduites à l'hôpital.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/27/97001-20140427FILWWW00093-nantes-elle-accouche-sur-le-peripherique.php

Course-poursuite lors d'un go-fast sur l'A7 : le conducteur tué par balles

C'est au niveau du péage de Lançon-de-Provence que le conducteur d'un go-fast a été tué par balles, dimanche vers 13h. Il était poursuivi par les douaniers sur l'A7

Le conducteur d'un go-fast a été tué par balle dimanche lors d'une course-poursuite avec des douaniers au niveau du péage de Lançon-de-Provence (Bouches-du-Rhône), a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
Les faits se sont produits en tout début d'après-midi, aux environs de 13h00, dans le sens Avignon-Marseille. 
Le go fast (« aller vite ») est une technique utilisée par les trafiquants pour importer des produits stupéfiants ou de contrebande, à l'aide de véhicules rapides et puissants. Le terme désigne aussi, par extension, le véhicule utilisé.

http://www.sudouest.fr/2014/04/27/course-poursuite-lors-d-un-go-fast-sur-l-a7-le-conducteur-tue-par-balles-1537535-7.php

Angoulême : une pierre jetée contre un TER

Vendredi soir, vers 21 h 15, à hauteur du passage à niveau des Alliers, situé route de Bordeaux, une pierre a été jetée contre TER assurant la liaison Royan-Angoulême. Le conducteur a vu l'auteur du méfait, un gamin d'une dizaine d'années qui s'est enfui en courant. Le train a ensuite été immobilisé, le temps que les policiers établissent leurs constations – la pierre a juste provoqué un éclat de peinture sur la carrosserie. Conséquence, les correspondances ont été retardées d'une demi-heure.

http://www.sudouest.fr/2014/04/26/angouleme-une-pierre-jetee-contre-un-ter-1537087-813.php

Deux surveillants agressés à la prison d'Agen

Vendredi, deux surveillants de la maison d'arrêt d'Agen ont été attaqués par des détenus, sans toutefois que cette agression occasionne de blessures graves. Les deux faits se sont déroulés à deux moments distincts de la journée. Le premier surveillant a été bousculé par un détenu d'une vingtaine d'années, mécontent de se voir confisquer le téléphone portable qu'il venait de recevoir au parloir. Ce premier incident a entraîné un retard de la promenade qui n'a pas plus à un second détenu. Lui aussi âgé de la vingtaine, il a légèrement blessé un autre surveillant en lui donnant des coups à l'oreille et aux jambes. Les deux détenus ont contesté les faits et sont convoqués en comparution immédiate lundi matin, à 10 heures.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/27/1871303-deux-surveillants-agresses-a-la-prison-d-agen.html

Nancy: tuée par un train, la victime s'était allongée sur les rails

Le drame s’est joué un peu avant 10 h 30, à quelques centaines de mètres de la gare de Varangéville. Le train express régional (TER) en provenance de Lunéville et se dirigeant vers Nancy, a percuté une femme qui se trouvait sur la voie de chemin de fer.
La victime avait été vue quelques instants plus tôt par deux agents de manœuvre de la SNCF qui étaient en train de faire une pause et de discuter devant leur local. La femme se trouvait déjà sur les voies. Tout près de la gare.
« C’était une petite dame toute mince d’une quarantaine d’années. Je lui ai dit de sortir, que c’était dangereux et qu’il ne fallait pas qu’elle traîne là. Elle m’a répondu qu’elle cherchait son chien », raconte Michel, l’un des deux agents qui a vu la quadragénaire. Celle-ci a quitté les rails et regagné la route qui longe les voies. Elle est alors sortie du champ de vision des deux employés de la SNCF.
« Mais quelques minutes plus tard, nous avons entendu un gros bruit un peu plus loin », témoigne Michel. À environ 500 mètres de là, la quadragénaire a été percutée par le TER qui arrivait sur la gare de Varangéville. La victime est morte sur le coup.
Cela s’est produit à proximité d’un passage avec une signalisation lumineuse qui autorise les piétons à traverser les voies. Mais la victime n’était pas sur ce passage. Et son décès n’a rien d’accidentel. Il s’agit d’un acte désespéré.

Trafic ferroviaire perturbé

Le témoignage du conducteur du train laisse en effet peu de place au doute. Il a vu la quadragénaire sur la voie de chemin de fer. Il a klaxonné pour l’éloigner. Mais il l’a vu s’étendre sur les rails.
La police de Dombasle a néanmoins ouvert une enquête et procédé à des constatations minutieuses le long des voies ferrées. Une tâche macabre qui a permis de retrouver des papiers d’identité et de mettre un nom sur le corps de la victime. Il s’agit d’une femme de 44 ans originaire de Varangéville mais qui a quitté la commune il y a quelques années et qui vivait à Ludres.
Le drame a eu des répercussions sur le trafic ferroviaire. La circulation a en effet été neutralisée durant tout le reste de la matinée et le début d’après-midi, le temps pour les enquêteurs de procéder aux investigations. Conséquence : des retards plus ou moins importants pour les trains de fret et de voyageurs circulant entre l’Alsace et le sud de la Lorraine.
Le TER impliqué dans le décès de la désespérée a, lui, été immobilisé. Encadrés par des pompiers de Saint-Nicolas-de-Port, les passagers, une trentaine, ont dû l’évacuer. Ils ont été pris en charge dans un bus et transporté à Nancy.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/26/une-quadragenaire-tuee-par-un-train

samedi 26 avril 2014

LOIRE. Parigny : une automobiliste blessée dans un accident avec un poids lourd

Samedi matin, une automobiliste qui circulait sur la route de Saint-Vincent-de-Boisset à la limite des communes de Parigny et du Coteau, a percuté un poids lourd qui s’était engagé sur sa voie, à sa gauche. Les sapeurs-pompiers l’ont désincarcérée avant de la conduire au centre hospitalier de Roanne dans un état jugé rassurant. 

http://www.leprogres.fr/loire/2014/04/26/parigny-une-automobiliste-blessee-dans-un-accident-avec-un-poids-lourd

Angoulême : un motard miraculé à Gond-Pontouvre

Une moto échouée route de Paris, à Gond-Pontouvre, à hauteur de la boulangerie rouge. À plusieurs mètres, une Peugeot 206 CC accidentée en travers de la chaussée. Toutes les apparences d'une terrible collision, hier, à 19 h 20, à la sortie d'Angoulême, non loin de la concession Opel. Dans la soirée, les nouvelles du conducteur et surtout du motard étaient pourtant rassurantes : l'un et l'autre ne seraient que légèrement blessés.
Âgé de 75 ans, le conducteur du cabriolet Peugeot roulait en direction de la zone des Montagnes lorsqu'il a subitement entrepris de faire demi-tour. Le motard arrivait en sens inverse. « La 206 a coupé à ras la moto qui a fait un double salto dans l'air avant de retomber », témoigne le conducteur qui suivait la 206. Le motard, lui, est allé s'encastrer dans la voiture, enfonçant la vitre côté passager. Une situation rarissime, y compris pour les pompiers d'Angoulême et La Couronne affairés à sa délicate désincarcération : « Il était allongé dans l'habitable, les pieds et la tête d'une vitre à l'autre, allongé sur les genoux du conducteur », témoigne le chef de groupe.
Sonné selon le premier automobiliste accouru à son secours, le motard, un homme âgé d'une quarantaine d'années, n'a pas perdu connaissance. Pris en charge par les pompiers et une équipe médicale du Smur, il ne se plaignait hier soir que des épaules. Quant au conducteur, choqué, il souffre d'une « légère coupure au front. »

http://www.sudouest.fr/2014/04/26/un-motard-miracule-1536258-813.php

Tarbes. 24 chiens meurent durant un transport en camion

Suite à l'appel lancé par le refuge de Tarbes en proie à une surpopulation, une quarantaine de chiens devaient être accueillis dans divers sites de la SPA à travers la France. Mais 24 sont morts durant leur transfert. Une plainte a été déposée.
Ils étaient partis de Tarbes mercredi matin, pour permettre au chenil de repasser sous la barre des 50 pensionnaires, fixée par la loi. Cette quarantaine de chiens prenait, en camion, la direction de l'Île-de-France et devait être dispersée dans d'autres centres gérés par la Société protectrice des animaux, en capacité de les accueillir. Mais hier matin, on a appris que 24 de ces animaux étaient décédés dans les premières heures de leur transfert. «Le conducteur est tenu de faire des arrêts réguliers, explique Marie Basset-Chercot, à la communication de la SPA. Lors du premier, il n'a rien remarqué de suspect. Mais au second, les chiens étaient décédés. Cela fait plus de dix ans que nous travaillons avec ce transporteur (la Sacpa en l'occurrence). Nous n'avons jamais eu à nous plaindre de ses prestations. C'est un problème très inhabituel.»
Une salariée de la SPA était sur place mercredi pour contrôler le transfert des chiens dans le camion et n'a relevé aucun détail troublant. Hier, on ignorait encore les circonstances dans lesquelles plus de la moitié des chiens véhiculés avaient trouvé la mort. Des autopsies sont en cours afin de déterminer les causes de ces décès.

«En bonne santé»

Hier matin, le chenil de Tarbes s'est réveillé dans la tristesse. «Je suis sous le coup, lâche Paulette Cassou du Cadet, la responsable du site, dévouée et très émue. Suite à la mise en demeure, nous n'avions pas d'alternatives que de nous en séparer ou de les euthanasier, alors que nous sommes pourtant en capacité d'accueillir plus de 50 chiens. Nous ne sommes pas responsables de ce qui s'est passé après, mais j'en ai gros sur le cœur d'avoir vécu pour voir encore de telles horreurs. Il y avait beaucoup de curieux lors du départ des chiens mercredi. Les gens ont vu que ces chiens étaient en bonne santé. La plupart étaient là depuis des mois. Ici, ils étaient cajolés, soignés, accompagnés. Il n'y avait aucune raison qu'il leur arrive un tel malheur dans un voyage normal.»
Hier, au chenil, on réfléchissait aux actions à intenter, regrettant d'abord l'abandon de ces animaux par leurs propriétaires. Une entrevue avec un avocat devait avoir lieu aujourd'hui. De son côté, la SPA n'a pas attendu pour porter plainte contre «X» afin que «les éventuels responsables de cette catastrophe soient poursuivis et répondent de leurs actes devant les juges».

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/26/1870369-24-chiens-partis-de-tarbes-decedent.html

vendredi 25 avril 2014

Gamaches (80): explosion dans l'usine Caoutchoucs Modernes

Peu après 8h ce vendredi matin, une machine de production de l'usine Caoutchoucs Modernes de Gamaches (80) a explosé. L'explosion a engendré des vapeurs toxiques. Les 76 salariés ont du être évacués.
2 personnes ont été légèrement incommodées par les vapeurs toxiques générées par l'explosion. Elles ont été transportées vers l'hôpital.

Des moyens incendies, risques chimiques et secours à personne ont été dépêchés sur place par les pompiers: 35 pompiers et une quinzaine de véhicules venus de Gamache, Friville-Escarbotin et Abbeville.

L'intervention s'est terminée peu avant 11h. Les salariés ont pu reprendre leur activité. il n'y aura pas de chômage technique.


http://picardie.france3.fr/2014/04/25/gamaches-80-explosion-dans-l-usine-caoutchoucs-modernes-465845.html

Béarn : le sexagénaire croit que sa femme le trompe, il passe à tabac une connaissance

Petit gabarit, pantalon à pinces sombre, chemise à rayures impeccable et souliers bien cirés, Joaquim F. s'avance vers la barre du tribunal correctionnel de Pau, seul. Ce retraité aux airs très proprets de 67 ans, originaire d'un village du canton de Lescar et inconnu de la justice jusqu'à présent, n'a pas voulu prendre d'avocat. On comprend vite qu'il n'a pas la dépense facile. Et encore plus rapidement qu'il ne regrette rien à son geste.
Le 6 mars, il a passé à tabac un habitant de son village désormais installé à Lons et qu'il connaît de longue date. La victime a été attaquée sur le parking de sa résidence, le matin, alors qu'elle partait au travail. Joaquim l'a frappée à coups de bâton. Bilan : une blessure au crâne et cinq jours d'interruption temporaire de travail.
Du sang sur les mains
Tout ça pourquoi ? Parce que le sexagénaire, décrit comme colérique par ses proches, s'est mis en tête que l'homme entretient une relation avec son épouse. Simplement parce que la victime a eu le malheur de véhiculer, une ou deux fois, la dame qui n'a pas le permis. Depuis des semaines, Joaquim harcèle la mère de ces enfants avec cette histoire, ne la croit pas quand elle lui démontre qu'il s'imagine des choses et n'en démord pas.
Le matin des faits, il la prévient : « Je vais le corriger ! ». À son retour de Lons, il a du sang sur les mains. Sa compagne appelle la gendarmerie pour confier ses craintes. Joaquim lui arrache le combiné et se livre, comme si l'agression qu'il venait de commettre était tout à fait normale : « Je l'ai tapé avec une branche. Quand je suis parti, il était encore debout. C'est bien simple, s'il n'avoue pas qu'il a couché avec ma femme, ça va aller mal. Il finira entre quatre planches ! », lance-t-il aux gendarmes sidérés devant ces confessions et menaces de mort. Les militaires n'auront pas besoin de l'interpeller ; le sexagénaire se rend de lui-même à la brigade de Lescar. Placé en garde à vue, il persiste et signe. Toujours obsédé par la même idée.

"S'il n'avoue pas qu'il a couché avec ma femme, ça va aller mal. Il finira entre quatre planches"  


« La victime n'a pas porté plainte contre vous et nous a adressé une lettre pour expliquer son choix de ne pas se constituer partie civile. Un courrier dans lequel elle se fait, en quelque sorte, votre avocat : « Cet homme ne ressemble en rien à celui que je connais. Je pense que son comportement relève plus d'une souffrance et de soins », lit le président Magnon. « Ma femme est une comédienne et cet imbécile, dont je ne veux plus m'occuper, un grand malin ! », réplique le prévenu, arc-bouté sur ses convictions « fantasmatiques ».
« Paranoïaque »
Les conclusions de l'expertise psychiatrique, qui relève « une personnalité psychorigide de type paranoïaque ayant développé un délire de jalousie avec un vécu persécutif », glissent sur lui. « Je ne suis pas malade, c'est lui le malade ! », tonne le sexagénaire. À bout face à ce climat d'éternelle suspicion, sa femme a voulu divorcer. « Mais elle est revenue. J'ai construit cinq maisons de mes mains, je n'allais pas les lui laisser », souffle le père de famille.
Il a été condamné à un an de prison avec sursis et une mise à l'épreuve de deux ans comprenant une obligation de soins et l'interdiction d'entrer en contact avec la victime. Une peine qui correspond aux réquisitions du ministère public.

http://www.sudouest.fr/2014/04/25/sa-jalousie-maladive-le-mene-au-tribunal-1535171-4238.php

Un ouvrier grièvement blessé à la tête

Un homme d’une trentaine d’années, intérimaire, domicilié à Avignon a été victime d’un accident du travail hier matin vers 7h sur le site de l’entreprise KP1 située à Pujaut (quartier La Grave) dans le Gard et spécialisée dans les poutrelles en béton.
Selon les premiers éléments, un câble aurait lâché puis percuté la victime qui serait alors tombée à terre se cognant la tête au sol. Bien que l’employé portait manifestement sa tenue de sécurité il semble qu’il souffre d’un traumatisme crânien.
Il a été héliporté vers l’hôpital Nord de Marseille. Comme l’impose la loi, l’inspection du travail s’est rendue sur les lieux.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2853175/un-ouvrier-grievement-blesse-a-la-tete.html

Tarbes. Attention aux arnaques sur internet

Un dépliant destiné aux usagers d'internet leur apprend à se protéger des escroqueries. Il suffit de connaître quelques principes de base pour ne pas devenir victime.
«La délinquance sur internet prend des formes variées, trop de personnes en sont victimes. Mais on peut s'en prémunir en étant informés et prudents», considère Henri d'Abzac, préfet des Hautes-Pyrénées, lors de la présentation d'un guide anti-cybercriminalité.
On trouve ce dépliant dans les commissariats et les gendarmeries, il sera également adressé aux maires. L'objectif est de mettre en garde contre les pratiques délictueuses sur internet, phénomène qui a porté sur 200 faits en 2013 dans les Hautes-Pyrénées. Un chiffre que les conseils prodigués dans ce fascicule pourraient contribuer à faire baisser.

«Internet est un lieu de vie avec ses dangers»

«La délinquance sur internet ne connaît pas de frontières», souligne, de son côté, le colonel Thomas Depreck, commandant du groupement de gendarmerie des Hautes-Pyrénées. «Elle touche autant la campagne que les centres urbains et concerne toutes les catégories de population, adultes et enfants. Internet est un lieu de vie avec ses dangers. Il faut adopter le même comportement que celui qu'on a dans la rue.» C'est pourquoi, il préconise de protéger son identité, son adresse et, bien sûr, ses photos. La première règle étant de ne jamais divulguer d'informations personnelles.
Quant au commandant François Frémaux, directeur départemental adjoint de la sécurité publique, il revient sur quelques précautions élémentaires. Notamment la nécessité «d être vigilant avec des vendeurs étrangers et de s'assurer de la solidité des informations reçues». En cas de paiement en ligne, il conseille de favoriser le règlement par carte bleue virtuelle «afin d'éviter sa diffusion dans des systèmes maffieux».
Autre recommandation : ne pas donner rendez-vous à son domicile, mais plutôt sur un parking.
Le représentant de la police nationale précise, d'autre part, qu'il existe des forums permettant de vérifier la fiabilité du correspondant. La délinquance commerciale est désormais une réalité sur internet.
Depuis le début de l'année, dans le département, 26 plaintes ont été enregistrées en zone police et autant en zone gendarmerie. Ce qui prouve que nul n'est à l'abri. Quant aux pics d'escroquerie, ils se situent toujours avant les fêtes ou les vacances.
Grâce au guide, vous apprendrez à vous protéger de l'hameçonnage (attaque destinée à dérober les informations confidentielles) et des courriels indésirables. Autant de mesures simples pour ne pas devenir victime.
Si vous êtes victime d'une escroquerie, déposez plainte au commissariat ou à la gendarmerie la plus proche. Info escroqueries : 0811 02 0217.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/25/1869688-attention-aux-arnaques-sur-internet.html

Voiture contre minibus

Une voiture et un minibus sont entrés en collision, hier, vers 17 h 30, avenue Sainte-Marguerite à Tomblaine. Les deux véhicules circulaient dans le même sens. Suite à un ralentissement, la voiture a percuté l’arrière du minibus qui roulait devant elle et qui ramenait chez eux cinq jeunes handicapés mentaux de l’Institut médico-éducatif Raymond-Carel de Saint-Nicolas-de-Port.
L’accident n’a pas été d’une violence extrême. Se plaignant de douleurs cervicales, la conductrice du minibus, membre d’ASL (association services loisirs vacances), a été conduite par les pompiers vers l’un des hôpitaux de Nancy. Commotionné, un des cinq handicapés, âgé de 17 ans, a été évacué sur l’hôpital des enfants de Brabois afin d’y subir des examens médicaux de contrôle.
Indemnes, les quatre autres jeunes passagers du minibus ont été pris en charge par un autre véhicule de l’ASL et ramenés à leur domicile. Enfin, le conducteur de la voiture, un homme d’une quarantaine d’années, a été légèrement blessé et conduit à l’hôpital Central de Nancy.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/04/25/voiture-contre-minibus

jeudi 24 avril 2014

Camp militaire du Poteau en Gironde : une bombe met le feu à 350 hectares

L’incendie s’est déclenché mercredi dans la zone de tir du camp du Poteau, à Captieux (33). 60 pompiers, dont des unités landaises, étaient sur place
Un violent feu de forêt s'est déclenché mercredi après-midi dans le camp militaire du Poteau, à Captieux, en Sud Gironde. L'incendie se serait déclenché dans la zone réceptacle de tir. Une bombe aérienne qui n'a pas explosé à l'impact a nécessité l'intervention du Nedex (Neutralisation, enlèvement, destruction d'explosifs) et un feu de broussaille s'en est suivi. Attisé par le vent fort, il s'est rapidement propagé.
L'alerte a été enregistrée vers 16 heures et des unités de 11 centres de secours landais (Luxey, Roquefort, Mont-de-Marsan, Pissos et Labrit) et girondins ont été dépêchées sur les lieux afin de soutenir le matériel d'intervention civil stationné sur place à l'année. Suivant les méthodes d'intervention habituelles sur ce lieu inaccessible au public car dédié aux essais de tirs air-sol, les secours, n'ont pas hésité à laisser brûler une large surface pour mieux appréhender les flammes dans un second temps.
Reste que le périmètre évalué vers 18 heures à 100 hectares n'a cessé de s'étendre pour atteindre une zone de 350 hectares vers 21 heures. À 21 h 45, le feu était maîtrisé et une équipe réduite est restée sur place pour surveiller d'éventuels regains. Aucune habitation n'a été menacée.

http://www.sudouest.fr/2014/04/24/camp-du-poteau-une-bombe-met-le-feu-a-350-hectares-1534647-3452.php

Violente collision à Tomblaine

Un spectaculaire accident s’est produit, un peu après 10 h, sur l’avenue Eugène-Pottier à Tomblaine. Une Peugeot 207 qui venait de la rue Voltaire a voulu s’engager sur l’avenue. Pile au moment où arrivait une Peugeot 5008. D’où une collision entre les deux véhicules.
« Cela a été violent. Heureusement que les airbags se sont déclenchés », confie une des occupantes de la 207. Elles étaient quatre à bord : la conductrice, âgée de 39 ans et demeurant Jézainville, près de Pont-à-Mousson, sa fille d’une vingtaine d’années, sa belle-sœur et la fille de celle-ci. Toutes les quatre sont choquées mais indemnes.
Leurs véhicules a l’avant enfoncé. Rien de plus. En revanche, l’autre voiture, la 5008, s’est retournée sous la violence du choc. Elle s’est immobilisée les quatre pneus en l’air. La conductrice, une habitante d’Essey-lès-Nancy de 32 ans, s’est, elle, retrouvée la tête en bas.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/04/24/sur-le-toit

Un policier envoie balader le ministre de l'Intérieur

Un motard de la police du Mans, dans la Sarthe, a cru à une blague. Alors qu'il vient de procéder à une interpellation après une course-poursuite, le 16 avril dernier, il reçoit un coup de fil de Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur, qui souhaite le féliciter.
Sauf que le policier croit à une farce d'un de ses collègues. "Allez, arrête tes conneries Alain, je suis crevé", lance le policier à son interlocuteur, comme l'a révélé mercredi le Canard Enchaîné. Et le ministre d'insister. "Excusez-moi, je suis bien Bernard Cazeneuve".
Face à l'incrédulité de son interlocuteur, le ministre de l'Intérieur lui a finalement conseillé d'appeler la place Beauvau et de demander à lui parler. Le policier a alors compris sa méprise avant de se confondre en excuses. Et le Canard Enchaîné d'en déduire cette moralité : "Comme quoi il est plus facile d'arrêter un malfaiteur que d'identifier un nouveau ministre."
 

Paris : un homme blessé par balle à Belleville

Un jeune homme de 18 ans a été blessé par balle à la jambe ce mercredi vers 18 heures dans le XX e arrondissement de . Les causes de l’agression restent encore floues. La victime, qui a été retrouvée boulevard de Belleville, a expliqué aux policiers qu’elle avait eu une altercation avec deux hommes, dans une rue adjacente, et que l’un d’eux avait ouvert le feu quatre fois dans sa direction.
 
La PJ est saisie de l’enquête.

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-homme-blesse-par-balle-a-belleville-23-04-2014-3789723.php

mercredi 23 avril 2014

Larnod : le conducteur d'un deux-roues grièvement blessé

La nuit dernière à 1H35 à hauteur de la commune de Larnod près de Besançon, un jeune Bisontin de 29 ans a perdu le contrôle de sa motocyclette sur la RN 83. Pour une raison indéterminée, il est tombé sur la chaussée.

Il a été transporté au CHU jean Minjoz dans un état grave, victime d'une fracture d'une vertèbre cervicale.

http://franche-comte.france3.fr/2014/04/23/larnod-le-conducteur-d-un-deux-roues-grievement-blesse-464399.html

Buros (64) : un homme transporté à l'hôpital après avoir fait une chute de 6 mètres depuis un toit

Un homme de 40 ans qui réalisait des travaux sur un toit, chemin du Moulin, à Buros, a fait une chute de 6 mètres de haut, ce mercredi matin. 
Les pompiers de Pau et gendarmes de la communauté de brigades de Morlaàs ont été alertés vers 9h30. La victime s'en sort, heureusement, avec de légères blessures. Elle était consciente à l'arrivée des secours et a été transportée à l'hôpital de Pau. 

http://www.sudouest.fr/2014/04/23/buros-il-chute-de-6-metres-de-haut-depuis-un-toit-1533764-4065.php

Cahors. Une étudiante se trompe de billet de train et paye une amende salée

Corinne Ribeiro, n'a pas l'intention de céder. Sa fille, étudiante à Toulouse prend en février le train Toulouse-Cahors. Sa mère lui a acheté une carte pastel. «Cette carte lui octroie une réduction de -50 % sur tout le territoire, quel que soit le train» indique-t-elle. Au guichet personne ne mentionne si elle s'applique aux bornes bleues ou jaunes. Les bornes jaunes donnent droit à -25 % de réduction au lieu de -50 %, mais l'étudiante se trompe, prend un billet à la borne jaune et paie la différence. Un contrôleur lui indique que cette carte ne vaut rien. Elle doit s'acquitter d'une amende de 61, 50 € car le tarif réduit n'est pas justifié. Ce que conteste sa mère. Elle s'est rendue en gare de Cahors, n'a pas eu de réponse. «J'ai expliqué qu'elle avait pris un billet à -25 %, alors que la carte donne droit à -50 %. On paie une amende pour avoir payé plus cher» s'émeut-elle. Elle a adressé des courriers. Elle a reçu une réponse du centre de recouvrement des procès-verbaux à Bordeaux qui ne lui donne pas raison. Nous les avons joints par téléphone (NDLR : l'appel est payant). «Toute contestation se fait par courrier. Nous sommes plate forme» nous a-t-on répondu.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/23/1868593-sncf-amende-salee-pour-une-etudiante.html

Ain. Un éboueur trouve une grenade non dégoupillée dans une poubelle

Il était un peu moins de 7h30, ce mardi matin, à Viriat, lorsqu’un éboueur a mis la main sur une grenade défensive quadrillée non dégoupillée, abandonnée dans une poubelle.
Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du gymnase des Carronniers et l’allée du gymnase. L’engin explosif a été récupéré à la mi-journée par les démineurs de la sécurité civile de Lyon.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/04/22/un-eboueur-trouve-une-grenade-non-degoupillee-dans-une-poubelle

mardi 22 avril 2014

Deux blessés graves dans un accident à Cluses en Haute-Savoie

Deux personnes ont été grièvement blessées, ce lundi 21 avril dans l'après-midi, à Cluses, en Haute-Savoie. Leur véhicule a manqué un virage et a terminé sa course dans un mur
Grave accident de la circulation, ce lundi après-midi à Cluses. Sans raison apparente, un véhicule a manqué son virage, à la sortie de la ville, sur la départementale 902, en direction de Châtillon-sur-Cluses. Il a terminé sa course dans un mur.

Il y avait deux personnes à bord, qui sont grièvement blessées. L'une a été éjectée de l'habitacle, l'autre est restée coincée dans la carcasse de la voiture.

Elles ont été évacuées vers l'hôpital de Sallanches. 



http://alpes.france3.fr/faits-divers

Saint-Laurent-d'Arce : une grue s’effondre sur le chantier de l’école

La grue du chantier de l'école de Saint-Laurent-d'Arce est tombée au sol jeudi matin. Aucune victime n'est à déplorer. La grue, sans cabine de conducteur, s'est effondrée sur la zone du chantier. Elle n'a touché aucune des quelques habitations alentours.
L'entreprise Rijol JP, de Jonzac (17), en charge du chantier, ne donne pas d'explication. «C'est une chance qu'il n'y ait pas eu de blessé. C'est une grue personnelle, un chantier privé, c'est tout, je n'ai rien à dire de plus », a indiqué une responsable de cette entreprise de bâtiment et génie civil.
Pas sûr que ces explications suffisent au maire de Saint-Laurent-d'Arce Jacques Bastide, « très mécontent » de ne pas avoir été prévenu de l'accident. D'autant plus qu'au moment où la grue est tombée environ 75 enfants en stage de football s'entraînaient sur le stade qui jouxte l'école.

« Je dois avoir des éclaircissements et des explications de la part de l'architecte et de l'entreprise demain (mercredi matin NDLR) lors d'une réunion de chantier. Et j'ai bien l'intention bien d'en obtenir ! » L'entreprise Rijol JP indique que la grue sera enlevée vendredi du chantier.
Les bâtiments de la nouvelle école, qui sont pratiquement hors d'eau, compteront deux classes maternelles et cinq classes élémentaires avec un dortoir. Le chantier d'un montant de 1,6 million d'euros doit être terminé pour la rentrée de septembre.

http://www.sudouest.fr/2014/04/22/saint-laurent-d-arce-une-grue-s-effondre-sur-le-chantier-de-l-ecole-1532771-3122.php

Un couple braqué pour sa voiture à Pech-David

Un couple qui circulait en voiture a été victime d'un car-jacking, dimanche soir, rue Pech-David à Toulouse. Alors qu'ils étaient arrêtés à un feu, aux environs de 22 h 50, ils ont vu surgir un homme muni d'une arme de poing. Menaçant, l'agresseur, les a fait sortir manu militari du véhicule, une Mercedes classe SL.
Les victimes ont immédiatement prévenu les services de police qui se sont mis en quête de la voiture volée. Moins d'une demi-heure plus tard, vers 23 h 15, le véhicule a finalement été retrouvé. Il se trouvait dans le secteur de Montaudran, au Sud de Toulouse, où il avait été incendié.
Le voleur avait pris la poudre d'escampette. Une enquête a été ouverte par les policiers de la sûreté départementale afin de mettre la main sur l'auteur de ce car-jacking.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=24167&WS=291720_2501986&WA=4643

Hérault : un promeneur découvre une mine sur la plage de Villeneuve-lès-Maguelone

Un promeneur a découvert ce dimanche, sur la plage entre Villeneuve-lès-Maguelone et Palavas-les-Flots, une mine datant probablement de la Seconde Guerre mondiale. 
Les gendarmes ont été aussitôt prévenus et un périmètre de sécurité a été établi par les hommes du peloton d’intervention de Castelnau-le-Lez. Avant que n’interviennent les démineurs.

http://www.midilibre.fr/2014/04/21/herault-un-promeneur-decouvre-une-mine-sur-la-plage,851274.php

lundi 21 avril 2014

Landes : vol avec effraction à la station-service de Peyrehorade

Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 heures du matin, un vol a été commis à la boutique de la station-service Total de Peyrehorade.
L'alarme s'est déclenchée, mais les cambrioleurs cagoulés ont toutefois eu le temps de s'emparer de cartouches de cigarettes. Le montant du butin reste à évaluer.
Une enquête de gendarmerie est en cours

http://www.sudouest.fr/2014/04/21/landes-vol-avec-effraction-a-la-station-service-de-peyrehorade-1531834-3452.php

Toulouse. Agresseurs en série condamnés

Dans la soirée du 14 mars dernier, les policiers interviennent avenue Aristide-Briand où un homme vient d'être victime d'une grave agression. Interpellé par deux individus prétextant vouloir une cigarette, il a été jeté au sol, aspergé à la bombe lacrymogène et a reçu plusieurs coups de pied dans le ventre. Ses agresseurs lui dérobent ensuite son téléphone, ses clés, sa carte de transport et, surtout, sa carte bancaire. L'homme sera ensuite contraint de communiquer son code secret sous la menace d'un couteau. Il réussit à prendre la fuite lorsqu'un passant, arrivant sur les lieux, appelle les services de police alors que l'un des agresseurs était allé retirer 150 euros.
Le second malfaiteur, rapidement interpellé dans le quartier, a été confondu par les témoignages de la victime et du passant qui l'ont formellement identifié. Rapidement, les policiers font le rapprochement avec trois autres agressions commises selon le même mode opératoire à Toulouse en septembre, octobre et novembre dernier et lors desquelles un prélèvement ADN avait été effectué. Il correspond justement à celui de l'agresseur interpellé, qui dénoncera rapidement son complice. Jugés en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Toulouse, la semaine dernière, les deux hommes de 22 et 24 ans, ont présenté des excuses aux victimes dont aucune ne s'était déplacée. Poursuivis pour violences physiques et vol aggravé, les deux multirécidivistes ont été condamnés à 18 mois de prison ferme puis écroués.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/21/1867348-toulouse-agresseurs-en-serie-condamnes.html

Collision en plein centre ville de Belfort : un blessé grave transféré à Besançon

Une collision violente a fait un blessé grave dans la nuit de samedi à dimanche à 4 h 30 du matin en plein centre de Belfort, à deux pas de la place Yitzhak-Rabin. Après plusieurs tonneaux, une des voitures s’est retrouvée sur le toit et un des occupants a été éjecté. Gravement touché aux jambes, il a d’abord été transporté par le Samu au Centre hospitalier de Belfort-Montbéliard tout proche avant d’être transporté en hélicoptère vers le CHU de Besançon. L’accident serait dû à un passage « à vive allure » selon les témoins au feu orange. La voiture a fini sa course contre un réverbère. Les deux autres occupants du véhicule ont été légèrement blessés. Le chauffeur de l’autre voiture est indemne.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/04/20/blesse-grave-transfere-a-besancon

samedi 19 avril 2014

Bordeaux : le tireur de la caserne caserne détenait son arme en toute légalité

Les enquêteurs de la division des affaires criminelles de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Bordeaux en savent désormais un peu plus sur le jeune homme de 25 ans qui a fait irruption, mercredi après-midi, dans l'enceinte militaire de la caserne Xaintrailles, à Bordeaux (lire nos précédentes éditions).
Ce visiteur, armé d'un pistolet automatique de calibre 9 mm, de marque turque, qui a fait feu en direction d'un agent de sécurité chargé de surveiller l'accès au site, ne semble appartenir à aucun groupuscule. Il détenait son arme tout à fait légalement. Il l'avait achetée chez un armurier en présentant sa licence de tir.Le jeune homme était licencié dans un club bordelais. L'arme avait été déclarée auprès des services de la préfecture.
Le jour des faits, le pistolet avait son chargeur approvisionné. Un second, avec une centaine de cartouches avait été dissimulé dans un sac. Le forcené s'est trouvé face aux policiers et a essuyé un tir de Flash-Ball. Il a ensuite retourné son arme contre lui et s'est donné la mort. À son domicile, les enquêteurs de la DIPJ ont découvert une lettre justifiant son intention de mettre fin à ses jours.
Fragile psychologiquement, en totale rupture avec la société, il avait fait plusieurs séjours dans un hôpital spécialisé.
Les policiers cherchent maintenant à déterminer quelles étaient ses relations

http://www.sudouest.fr/2014/04/19/le-tireur-detenait-son-arme-en-toute-legalite-1530051-2780.php

Laguépie. Agressions au guichet de la Poste

Les usagers clients de la Poste de Laguépie s'étonnent de l'absence prolongée de la guichetière habituelle, responsable du bureau depuis des années, qui est remplacée par une personne débutante en toute urgence. Elle est en arrêt de travail suite à des agressions subies ces dernières semaines. D'abord par une tentative de fraude, un client inconnu s'est montré menaçant devant le refus de la guichetière, l'arrivée d'un pompier de Laguépie a mis fin à ces menaces.
Quelques jours plus tard, une personne du village est venue l'agresser verbalement, mécontent des services de la Poste. La préposée est fortement choquée par ces actes.
On pensait que ces agressions étaient le fait des banlieues ou de certaines villes mais comme les cambriolages, elles sont de plus en plus fréquentes dans les campagnes. Apparemment çà ne serait pas la première fois que de tels faits se produisent.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/19/1865998-laguepie-agressions-au-guichet-de-la-poste.html

Le compagnon de fugue de Laureelen mis en examen et écroué

Le compagnon de fugue de Laureelen, l'adolescente de 15 ans retrouvée vendredi à Lens (Pas-de-Calais) huit jours après sa disparition, a été mis en examen pour "soustraction de mineur" dans la soirée et écroué, a annoncé le parquet de Béthune.

Selon le parquet, cet homme, Christophe, âgé de 48 ans et présenté comme suicidaire, a été incarcéré à la prison de Sequedin (Nord), près de Lille, quelques heures seulement après avoir été interpellé par la police en compagnie de la jeune fille, saine et sauve.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/19/97001-20140419FILWWW00001-le-compagnon-de-fugue-de-laureelen-mis-en-examen-et-ecroue.php

vendredi 18 avril 2014

Dieppe : un professeur de mathématiques suspendu après l'agression d'un proviseur

Fait rarissime, le rectorat a décidé de suspendre à titre conservatoire cet homme de 48 ans qui enseignait au lycée Pablo Neruda à Dieppe. Une enquête judiciaire est menée sur l'altercation de jeudi 17 avril
Le proviseur sortait de son bureau jeudi matin pour aller à une réunion lorque l'incident s'est produit. D'après nos sources, le professeur de mathématiques a soudainement donné des coups au proviseur, sans un mot.

Le proviseur a été frappé plusieurs fois, et sa tête a heurté un mur lors de l'agression. Des employés du lycée sont arrivés alerté par les bruits, le professeur de mathématiques a pris la fuite. Il aurait déclaré "j'ai perdu la tête, je vais chez le médecin"

Le proviseur choqué et souffrant de maux de tête a été examiné à l'hôpital. Il est allé déposer plainte. Le professeur a été interpellé et placé en garde à vue.

D'après nos sources, cet enseignant en poste au lycée Pablo Neruda de Dieppe depuis 1998 avait eu une vive altercation avec un élève il y a 3 ans. Il y avait eu dépôt de plainte. Le parquet avait conclu à des  "torts partagés"


http://haute-normandie.france3.fr/2014/04/18/dieppe-un-professeur-de-mathematiques-suspendu-apres-l-agression-d-un-proviseur-461971.html

Bordeaux : le tireur de la caserne avait laissé une lettre pour expliquer son geste

48 heures après les faits survenus mercredi après-midi à la caserne militaire Xaintrailles à Bordeaux , les enquêteurs de la brigade criminelle de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Bordeaux y voient désormais un peu plus clair même si des interrogations subsistent. L'homme de 25 ans, armé d'un pistolet automatique de calibre 9 mm, qui a pénétré dans la caserne et a tiré plusieurs coups de feu sans blesser personne avant de se donner la mort, était mentalement déséquilibré.
Originaire du Pérou, adopté par un couple de Girondins peu après sa naissance, il habitait un appartement à Pessac. Après avoir travaillé comme menuisier, il avait été licencié et n'avait plus d'emploi. Son père adoptif, enseignant à la retraite, et sa mère, ont été longuement auditionnés, jeudi, au commissariat central. Ils n'avaient semble-t-il pas revu leur fils depuis bientôt un an. En complète rupture, il menait une vie semble-t-il de solitaire et est décrit comme « timide et effacé » par ses voisins.
Pour l'instant, les policiers n'ont pas encore déterminé où il s'était procuré le pistolet automatique, de fabrication turque. Était-il sous influence, en voie de radicalisation ? Rien ne permet pour l'instant de le dire. Les enquêteurs explorent plusieurs hypothèses et cherchent à retracer son parcours.
Ils ont passé son appartement au crible et découvert une arme factice avec des cartouches ainsi qu'une lettre d'adieux d'une grande incohérence où il est notamment écrit : « Ça daille de mourir jeune. » Le tireur n'évoque nulle part des militaires et ne fait aucun lien avec Mohamed Merah, le tueur de Toulouse. Il parle uniquement de son geste et de son issue fatale.
Jeudi, la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire n'était pas

http://www.sudouest.fr/2014/04/18/le-tireur-parle-de-son-geste-et-de-son-issue-fatale-dans-une-lettre-1528872-2780.php

Malaise mortel en pleine rue

Un sexagénaire est décédé hier après-midi, en pleine rue du centre-ville mulhousienne, après avoir fait un malaise cardiaque. Il marchait sur le trottoir le long de l’avenue Kennedy, vers 13 h 45, quand il s’est affaissé à hauteur du feu tricolore à l’angle de la rue Pierre-et-Marie-Curie. Un médecin de SOS Médecins, qui passait par là, s’est immédiatement arrêté pour lui porter secours. Les pompiers et le Samu alertés sont arrivés très rapidement sur place. Malgré les massages cardiaques, l’homme âgé de 63 ans n’a pu être ranimé. La circulation sur cet axe (un axe pénétrant de la ville) a été coupée et déviée en attendant la levée du corps.

http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/2014/04/17/malaise-mortel-en-pleine-rue

Toulouse. «Moi, la petite mamie de 82 ans, j'ai été traitée comme une terroriste»

Marie-Sophie Thomas, 82 ans, d'Andernos (Gironde) comptait passer un agréable séjour en Turquie. Avec une amie, les vacances, à peine commencées, se sont terminées dans une cellule de l'aéroport d'Antalya.
Marie-Sophie Thomas, 82 ans, d'Andernos en Gironde, se remet tout juste de la mésaventure qu'elle vient de vivre.
Le 24 mars dernier, avec Jeanne, 69 ans, une amie de la Bourboule dans le Puy-de-Dôme, elle embarque pour Antalya à l'aéroport de Toulouse-Blagnac. «Le vol s'est très bien passé», se souvient la retraitée. Mais, en Turquie, les vacances vont immédiatement tourner au cauchemar. «À la douane, nous avons présenté nos papiers d'identité et un policier nous a tout de suite dit que nos cartes d'identité étaient périmées et que nous ne pouvions rentrer dans le pays, qu'il fallait que l'on regagne la France le plus vite possible. J'étais comme assommée».
Pourtant, avant son départ, Marie-Sophie Thomas et son amie s'étaient rendues à la mairie pour, justement, refaire leur carte d'identité pour ce voyage.
«À Moi, comme à Jeanne, rapporte Marie-Sophie Thomas, on nous a expliqué que malgré le dépassement de la date de validité, elle était encore utilisable pendant 5 ans en vertu d'un décret ministériel de décembre 2013, qui s'applique depuis janvier».

Une cellule de 9 m2

Mais, les douaniers ont argué que la Turquie n'avait pas signé cette convention européenne. «Des policiers nous ont alors demandé la raison de notre venue dans le pays. On avait beau avoir des documents de notre agence de voyages, ils se montraient suspicieux. L'un d'eux nous a même dit que des terroristes pourraient faire comme nous pour rentrer dans le pays. C'est là qu'ils nous ont conduites dans une petite cellule de 9 m2 qui n'avait même pas de fenêtre. Il y avait seulement, quatre lits superposés».
Malgré l'intervention du correspondant de leur agence de voyages, les douaniers n'ont toujours pas voulu les laisser passer. Même l'ambassade n'a pu leur venir en aide.
«Alors, on est resté là, dans cette cellule, pendant quatre nuits et cinq jours à attendre, sans lecture et sans télévision, qu'un avion pour la France puisse nous prendre, s'indigne Marie-Sophie. Comme la lumière devait être allumée jour et nuit, on avait du mal à dormir. J'en ai eu des migraines. Pour manger, on nous servait des plateaux-repas de compagnies aériennes. Heureusement, il y avait une douche même si nous n'avions pas de serviettes. Nous n'avions même pas le droit de sortir dans le couloir pour nous dégourdir les jambes ! La seule fois où j'ai pu quitter ce véritable placard, c'est pour aller, encadrée par des policiers, tirer de l'argent au distributeur afin de payer nos deux billets d'avion pour le retour. Même si, globalement, ils n'ont pas été méchants avec nous, c'est épuisées que nous sommes rentrées le 28 mars à Toulouse».
À Blagnac, là encore, les deux mamies avaient «rendez-vous» avec les douaniers. «Ils avaient été informés par les Turcs de notre arrivée. Nous leur avons raconté notre histoire et avons enfin pu rentrer chez nous

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=23982&WS=291720_2501986&WA=4618

Voyage tourmenté pour les passagers du TGV Perpignan-Paris

Le trajet en TGV entre Perpignan (P.-O.) et Paris-Gare-de-Lyon ne s'est pas passé sans difficulté ce jeudi matin. 
Suite à un accident avec un animal, il manquait des wagons au train pour Paris parti de Nîmes (Gard) à 9 h 52. Résultat les passagers ont fait le trajet debout, assis dans les toilettes ou dans les escaliers.

http://www.midilibre.fr/2014/04/17/voyage-tourmente-pour-les-passagers-du-tgv-perpignan-paris,849694.php

jeudi 17 avril 2014

Le jeune Hongrois a-t-il mis fin à ses jours dans l'Aude ?

Les proches d'un jeune ressortissant hongrois, de 26 ans, ont de légitimes raisons d'avoir des inquiétudes...
Cet étudiant en droit (à l'université de Toulouse), leur a effectivement envoyé un mail dans lequel le jeune homme, aux pulsions suicidaires selon nos informations, les informait de sa volonté de mettre fin à ses jours. Le mail, rédigé le 1er avril dernier, n'a été expédié que le 14 avril, grâce à une procédure d'envoi différé disponible sur la messagerie du jeune Hongrois.
Dans son message électronique, il indiquait clairement sa décision de se donner la mort et précisait que son corps ne serait jamais découvert. Il livrait, par ailleurs, le lieu où les membres de sa famille pourraient retrouver son scooter, garé là où il l'aurait laissé avant de disparaître ; en l'occurrence, sur le parking du Four-à-Chaux, à Gruissan, près de l'ancien Intermarché.
  • Son frère retrouve son scooter
A l'endroit précisément indiqué, le frère du jeune Hongrois, habitant lui aussi à Toulouse, a effectivement découvert le scooter, mardi vers 23 h, stationné là depuis trois jours, ainsi que les clés du deux-roues, le casque et le téléphone portable éteint du disparu.
Alertée, la police municipale de Gruissan a prévenu à son tour les gendarmes de la communauté de brigades de Coursan, à laquelle Gruissan est rattachée. Mercredi après-midi, les recherches du jeune Hongrois étaient restées vaines, suscitant les pires inquiétudes sur son sort.

http://www.lindependant.fr/2014/04/17/un-jeune-hongrois-a-t-il-mis-fin-a-ses-jours-dans-l-aude,1872834.php

Béarn : quatre voitures incendiées à Billère

Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 2h45 du matin, quatre voitures ont été incendiées sur l'avenue Verdun à Billère. Le feu aurait pris sur un véhicule et se serait propagé aux autres. Les pompiers sont intervenus et une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'incident. Deux des voitures détruites étaient déclarées volées.

http://www.sudouest.fr/2014/04/17/billere-quatre-voitures-incendiees-1528552-4344.php

Haute-Saône : Mercedes folle sur la RN19

Une dizaine d’automobilistes a appelé les gendarmes pour signaler la conduite dangereuse de cet Haut-Saônois de 58 ans, sur la RN19 ce mercredi matin, à hauteur de Dampvalley-lès-Colombe. L’homme était en retard à un rendez-vous
Le premier appel au centre opérationnel de gendarmerie de Haute-Saône a été enregistré à 10 h 50 ce mercredi matin. En suivra une dizaine d’autres. Tous pour le même motif : signaler la conduite plus que dangereuse d’un chauffard sur la RN19 entre Lure et Vesoul. Parmi les appels, celui d’une adolescente de 16 ans, en voiture avec sa mère, pour faire des emplettes à Vesoul. Mère et fille circulaient sur la nationale, dans le sens Lure-Vesoul, dans une côte à hauteur de Dampvalley-lès-Colombe (canton de Noroy-le-Bourg), sur une portion de route à trois voies. Lorsqu’elles sont dépassées par un coupé cabriolet Mercedes CLK, roulant à toute vitesse.
Mais plus que le non respect du 90 km/h, ce qui pousse l’ado à appeler la gendarmerie, c’est que le conducteur de la Mercedes roule non pas sur la voie de dépassement, mais sur la voie la plus à gauche, pourtant réservée aux automobilistes d’en face. Obligeant au passage une voiture à se ranger in extremis sur le bas-côté, pour échapper au choc frontal.
La Mercedes a continué son dépassement, jusqu’au sommet de la côte et l’arrivée d’une autre voiture n’ayant cette fois pas la place de se ranger. Pour éviter l’accident, le coupé cabriolet s’est alors rabattu en urgence, n’hésitant pas à pousser une Renault Kangoo qui « encombrait » la route.
Vitesse excessive, non-respect des distances de sécurité… sont autant de faits décrits avec précision par l’adolescente et plusieurs autres témoignages.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/04/16/haute-saone-mercedes-folle-sur-la-rn19

Souad, la sœur aînée de Mohamed Merah, reste en garde à vue

La garde à vue de Souad Merah, la soeur de Mohamed Merah, a été prolongée une deuxième fois mercredi après-midi à Toulouse dans l'enquête sur les complicités dont aurait bénéficié le tueur au scooter en 2012, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Souad Merah a été interpellée lundi après-midi et sa garde à vue peut en principe être prolongée de 24 heures en 24 heures jusqu'à 96 heures, c'est-à-dire jusqu'à vendredi après-midi, dans cette enquête menée par la sous-direction antiterroriste avec la police judiciaire toulousaine.
Merah a assassiné trois parachutistes puis trois enfants et un enseignant juifs au nom du jihad entre le 11 et le 19 mars 2012 à Toulouse et Montauban.
On ignore si l'interrogatoire de Souad Merah porte sur son rôle éventuel dans la radicalisation idéologique de Mohamed Merah où sur une contribution plus directe à la réalisation de ses crimes.
La mère de Mohamed Merah a elle aussi été placée un moment en garde à vue, à Paris, la semaine passée, ce qui pourrait traduire une volonté des enquêteurs "d'ouvrir et fermer toutes les portes", selon d'autres sources proches des investigations.
Depuis mars 2012, les policiers placés sous l'autorité des juges antiterroristes ont entendu une trentaine de personnes en garde à vue pour tenter de savoir comment Merah s'était procuré ses armes et de quel soutien matériel ou financier il avait pu bénéficier.
La plupart ont été rapidement relâchées. Mais trois hommes ont été mis en examen: Abdelkader Merah (frère de Mohamed), Mohamed Mounir Meskine (un copain de quartier des Merah) et Fetha Malki. Ce dernier est soupçonné d'avoir fourni une partie de son armement à Merah. Ce dernier et Abdelkader Merah restent écroués.

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&frm=1&source=newssearch&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0CC0QqQIoADAA&url=http%3A%2F%2Fwww.ladepeche.fr%2Farticle%2F2014%2F04%2F17%2F1865025-souad-soeur-ainee-mohamed-merah-reste-garde-vue.html&ei=m51PU8_QPMmrO6a_gXg&usg=AFQjCNF1Boi7-VdLQs8mGFPnnykilA6yIw&sig2=QBm8ys-wv8KtLr38OzEObQ

Émagny (Doubs) : une voiture percute une maison deux blessés, dont un grave

Émagny. La 206 arrivait de Moncley et ne s’est pas arrêtée au Stop pour une raison indéterminée. Traversant la Grande rue en ligne droite puis la haie du jardin du 42 de la Grande rue, elle est venue s’encastrer violemment dans le soubassement de la maison, contre l’escalier. Il était près de midi.
Le choc a été extrêmement violent au point que l’on croit nécessaire, pendant un moment, de devoir étayer la façade de la bâtisse. Au volant du véhicule, un homme d’une cinquantaine d’années, domicilié à Moncley, a été gravement blessé. Il a dû été héliporté par Dragon 25, une fois désincarcéré. À ses côtés, un jeune homme de 18 ans, a été plus légèrement blessé.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/04/16/emagny-(doubs)-une-voiture-percute-une-maison-deux-blesses-dont-un-grave

mercredi 16 avril 2014

Saintes : un cambrioleur géolocalisé grâce à une tablette volée

L'homme âgé de 35 ans, auteur de plusieurs cambriolages dans la région de Saintes et de Royan, s'est fait pincer, vendredi, par les gendarmes alors qu'il se trouvait dans une chambre d'hôtel à Saintes, après avoir réalisé un dernier vol avec effraction à Pons. 
L'intéressé s'était introduit dans une maison, à 2 heures du matin, alors que les propriétaires dormaient au premier étage avec leurs enfants. Il était notamment reparti avec deux tablettes Ipad qu'il comptait revendre. 
Sauf que les enquêteurs ont pu remonter jusqu'à lui grâce à la géolocalisation de ces tablettes. Lundi, le prévenu a écopé de neuf mois de prison ferme

http://www.sudouest.fr/2014/04/15/saintes-un-cambrioleur-geolocalise-grace-a-un-ipad-vole-1526469-1531.php

AIN. Attignat : un camion prend feu sur la route

La D975, entre Viriat et Attignat, devrait restée fermée à la circulation jusqu'en début d'après-midi ce mercredi, en raison des opérations d'évacuation d'un poids lourd qui a pris feu avec sa cargaison durant la nuit.
Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 3h40, sur la D975 entre Viriat et Attignat, un camion transportant une cargaison de lessive liquide et en tablettes a pris feu à cause de l’échauffement du système de freinage.
Le camion a presque entièrement brûlé. La route a été bloquée à la circulation en raison des opérations d’évacuation de la cargaison dans des bennes par l’entreprise Fonlupt et de l’enlèvement du camion. La réouverture de la route devrait se faire en début d’après-midi

http://www.leprogres.fr/ain/2014/04/16/attignat-un-camion-prend-feu-sur-la-route

Collégienne d'Assier exclue du bus : «Cette situation n'aurait jamais dû arriver»

Suite à l'article paru dans la Depêche, hier évoquant le cas d'une collégienne de 11 ans, laissée au bord de la route par la conductrice du bus scolaire parce qu'elle n'avait pas sa carte de transport, le conseil général s'explique. «Cette situation n'aurait jamais dû arriver» assurent les services départementaux qui rappellent les règles : la carte et l'inscription préalable sont obligatoires. «Dans le cadre des transports scolaires, même s'ils sont gratuits, cette carte doit être obligatoirement présentée lors de chaque montée. Si la carte est perdue, les familles peuvent s'adresser au service des transports du Département qui délivre un duplicata ; une situation qui arrive fréquemment. Si un élève ne peut présenter sa carte, que se passe-t-il ? Dans le cadre des marchés passés avec les transporteurs, le Département demande aux conducteurs de vérifier les titres de transports afin de faire appliquer le règlement départemental des transports. Les transporteurs sont passibles de pénalités si la vérification n'est pas effectuée. Si un élève ne peut présenter son titre, le conducteur doit lui faire la remarque et le prévenir qu'au bout de plusieurs fois, il ne pourra plus emprunter les transports scolaires. Le service des transports du Département doit être alerté par écrit par le transporteur, le jour même où le titre de transport fait défaut ; un contrôleur est dépêché sur place pour rappeler l'obligation de présenter sa carte à l'élève et les parents sont prévenus par courrier ou téléphone. Dans le cas de cette collégienne, la procédure n'a pas été appliquée, le Département n'ayant pas été alerté de la situation. Le contrôleur ne s'est donc pas rendu sur place, et les parents n'ont pas été prévenus.» Mais révèle le département, la collégienne d'Assier s'est une nouvelle fois présentée sans carte hier matin. «Pour ne pas envenimer la situation, elle a été autorisée à monter dans le bus.»

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=23786&WS=291720_2501986&WA=4574

Paris : Une cycliste renversée, le chauffard en fuite

Une femme de 27 ans a été renversée hier soir vers 22h alors qu'elle circulait en vélo dans le XVe arrondissement de Paris, selon le Parisien. La cycliste qui empruntait de passage piéton face à l'Aquaboulevard, a été percutée par un automobiliste qui a pris la fuite. La victime souffre de multiples fractures, son pronostic vital pourrait être engagé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/16/97001-20140416FILWWW00030-une-cycliste-renversee-le-chauffard-en-fuite.php