dimanche 30 novembre 2014

Vienne : un mort et un blessé grave dans un accident de voiture

Une voiture a fait plusieurs tonneaux dans la nuit de samedi à dimanche à Migné-Auxances (86). Bilan: un mort, un blessé grave
Les faits se sont produits vers une heure du matin dans la nuit de samedi à dimanche.
A Migné-Auxances dans la Vienne sur la D 30, une voiture est sortie de la route et a fait plusieurs tonneaux.
Le bilan est lourd: un homme de 43 ans est décédé et un autre de 53 ans a été transporté dans un état grave au CHU de Poitiers.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/11/30/vienne-un-mort-et-un-blesse-grave-dans-un-accident-de-voiture-603342.html

Nicole, Nathalie et Valérie se battent pour Roger

Une famille serait-elle victime de la marchandisation sans états d'âme ni humanité de la santé ? Elle en est convaincue en affirmant que leur époux et père en est la victime. Et elle le dénonce.
Depuis plusieurs mois, une famille castraise est en butte avec la logique «gestionnaire» d'une société en charge de soins à domicile. Elle a l'impression qu'elle «subit la pression», pour qu'elle accepte que «l'on se débarrasse d'un malade parce qu'il coûte trop cher». «Malentendus», plaide l'entreprise en question qui a décidé de rencontrer la famille dès lundi.

Une tumeur cérébrale

Dans la lueur d'une télévision, son regard vif atteste toujours de son caractère bien trempé : aphasique et paralysé, allongé dans son lit de souffrances, Roger lutte. Atteint d'une tumeur cérébrale depuis janvier 2012, Roger Juan, que peu de Castrais méconnaissent, a pu rester à son domicile auprès des siens, en particulier son épouse Nicole (74 ans), grâce à une hospitalisation à domicile. Les soins sont prodigués par une société spécialisée et quasiment éponyme HaD France : Hospitalisation à domicile France.
On s'en doute, et ce ne sera point lui faire outrage, celui qui fut l'un des acteurs omniprésents de l'athlétisme castrais depuis 1956, l'ancien champion du Maroc de 10 000 m, n'est certes plus que l'ombre de lui-même… au plan physique. Mais, l'homme, reste, et s'accroche. Les présences de sa femme, de ses filles Nathalie et Valérie, comme des autres membres de la famille, celle aussi de ses nombreux amis, n'y sont pas étrangères. Pas plus que celle, indispensable, des personnels de santé qui l'accompagnent quotidiennement sur ce chemin de la résistance et de la dignité. Pourtant, sur ce dernier chapitre, selon la famille, depuis quelque temps déjà rien ne va plus !

Une lettre recommandée

À tel point que Nicole vient d'adresser un courrier en recommandé au siège national HaD, avec copies au ministère de la Santé, à l'Agence régionale de la santé, à la direction CPAM, à l'Union des consommateurs (UFC), et à la députée Linda Gourjade.
«On ne traite pas ma mère ni mon père avec humanité, s'insurge Nathalie. Les méthodes qu'ils utilisent s'apparentent à un véritable harcèlement moral. L'agence castraise fait pression sur ma mère pour ne plus prendre en charge mon père, et le «refiler», - passez-moi l'expression - à l'UMT. Par ailleurs, pour ma mère, cela signifierait des charges financières qu'elle ne pourrait pas assumer.»
Et l'épouse de Roger de décrire : «En plus de cette pression, dans mon courrier je dénonce des dysfonctionnements anormaux, qui valent pour nous comme pour d'autres patients sans doute : sans aucun égard pour moi, les horaires d'interventions peuvent varier d'un jour à l'autre, m'empêchant parfois de prendre mes propres rendez-vous chez des médecins ; depuis 2013, j'ai vu passer 14 aides-soignantes différentes, 3 infirmiers, 5 infirmières, dont certains épuisés, dégoûtés… qui ont fini par démissionner. On dirait que le seul souci, c'est le rendement, sans se soucier du malade, de la famille, et des personnels.»
«Vous vous rendez compte que pour économiser des aiguilles de seringues, on ne nous a laissé que des cathéters ?! Cela a fait hurler notre médecin traitant, affirme la fille. De même, un appareil aérosol lui a été ôté sans autorisation médicale, mais toujours par économie. En tout cas, ce fut dit tel quel à ma mère, sans aucune retenue !»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/30/2001903-nicole-nathalie-et-valerie-se-battent-pour-roger.html

Mort écrasé à la sortie du village : les circonstances de l’accident restent à déterminer

Que s’est-il passé dans la nuit de vendredi à samedi, sur la D951 à la sortie de La Francheville ? C’est ce que la police de Charleville-Mézières va tenter de découvrir dans les jours à venir après que le corps d’un homme a été retrouvé sans vie sur le bord de la route.
Il était environ 5 h 15, samedi matin, lorsque les pompiers ont été prévenus par deux automobilistes pour un accident de la circulation. Mais en arrivant sur place, les secours n’ont pu que constater le décès du piéton qui aurait été écrasé par les conducteurs lors de leur passage. En revanche, on ignore si l’homme était déjà mort avant le passage des deux automobilistes.
Une déviation a été mise en place par la gendarmerie de Charleville-Mézières afin de permettre aux policiers de procéder aux constatations d’usage. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes du décès ainsi que les circonstances de l’accident. « C’est une affaire prioritaire. Nous allons mettre tous nos moyens sur cette affaire, nous le devons à la famille de la victime », indique le commissaire Philippe Moronval.

« Aucune hypothèse n’est privilégiée »

Selon toute vraisemblance, il s’agirait d’un Carolomacérien âgé de 30 ans. « C’est une personne qui semblait revenir de Boulzicourt mais c’est une supposition. Il n’avait pas de papiers sur lui mais il a pu être identifié par la police. Ce n’est pas quelqu’un du village, il serait originaire de Charleville-Mézières », indique le maire de La Francheville, Daniel Roumy. Des éléments ont pu être récupérés sur place par les policiers et vont pouvoir être exploités en laboratoire. Une autopsie devrait également être pratiquée dans les prochains jours et des auditions sont en cours. « Pour l’heure, aucune hypothèse n’est exclue ou privilégiée », assurait, samedi soir, le commissaire.
Depuis le début de l’année, c’est le 10e accident mortel dans les Ardennes, le second impliquant un piéton.

http://www.lunion.com/region/mort-ecrase-a-la-sortie-du-village-les-circonstances-ia3b25n448195

Bar le Duc : deux couples roumains en détention

Mercredi dernier, plusieurs personnes au comportement suspect et originaires des pays de l’Est ont été signalées par deux commerçants de Bar-le-Duc : un bijoutier du centre-ville et un pharmacien du quartier de la Côte Sainte-Catherine. Leurs descriptions à la police a aussitôt permis de procéder à l’interpellation de deux couples roumains circulant boulevard de la Rochelle à bord d’une Audi A6.
Placés en garde à vue, ces jeunes gens, âgés de moins de 30 ans et parents d’enfants en bas âge, ont été jugés vendredi selon la procédure de la comparution immédiate. À l’aide d’un interprète, ils ont expliqué qu’ils se trouvaient « en transit » à Bar-le-Duc. « J’ai suivi le GPS, je suis arrivé là par erreur », souligne le conducteur de la berline, visiblement achetée deux jours plus tôt, pour 2.800 €, sur une foire aux véhicules d’occasion en Allemagne.
Leur présence devant le tribunal correctionnel, ils la doivent à leur attitude à l’intérieur de la pharmacie, où les deux femmes ont dérobé des produits de puériculture pendant que l’un des deux hommes faisait diversion auprès d’une dame qui réglait ses achats à la caisse. Des faits incontestables, enregistrés par des caméras de vidéosurveillance....
http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/11/29/deux-couples-roumains-en-detention

samedi 29 novembre 2014

Rouen : il se retranche chez lui avec une arme, le RAID intervient

Vers 10h30, la police est appelée par un individu qui vient de se faire tirer dessus à Maromme, près de Rouen. L’homme armé n’est autre que son frère qui vient de se retrancher à son domicile route de Duclair. A l’intérieur de la maison, son oncle est présent et aurait été pris en otage. Le forcené ne répondant plus aux policiers, le RAID est appelé en renfort en début d’après-midi. Peu avant 15h00, l’homme se rend après presque une heure de négociation avec les hommes du RAID.

Selon les premiers éléments de l’enquête il s’agirait d’un différend familial. Vendredi soir (28 novembre), l’homme âgé de 30 ans se serait disputé avec sa compagne qui aurait quitté le domicile avec leur enfant. Ce samedi (29 novembre) son frère serait venu prendre des nouvelles et a été reçu par des coups de feu. L’homme a été placé en garde à vue et son frère est hospitalisé pour des blessures légères. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale.

La circulation sur la D86 (route de Duclair) a dû être bloquée de 10h30 à 15h00.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/11/29/rouen-il-se-retranche-chez-lui-avec-une-arme-le-raid-intervient-603050.html

Saint-Estèphe (33) : une femme écrasée par un train

Une femme a été renversée par le TER Bordeaux-Lesparre environ 500 mètre après Saint-Estèphe ce vendredi matin peu avant 10 heures. L'arrivée rapide des sapeurs-pompiers sur les lieux n'a pas permis de porter secours à la victime qui était déjà décédée.
La circulation a été interrompue jusqu'à 14 heures. Les cinq passagers et les trois membres de la SNCF qui se trouvaient à bord du train ont été amenés en taxi à la gare de Lesparre où ils ont été pris en charge par une cellule psychologique.
Les gendarmes ont ouvert une enquête visant à identifier la victime et à comprendre dans quelles circonstances elle s'est retrouvée sur la voie de chemin de fer.
http://www.sudouest.fr/2014/11/28/saint-estephe-une-femme-ecrasee-par-un-train-1751652-3258.php

Une fillette de 6 ans renversée

Un dramatique accident s'est produit, à 16h40, peu après la sortie des classes. Pour une raison que l'enquête devra préciser, une fillette de 6 ans a été renversée par une voiture sur la RD 4096 - un axe à forte circulation -  à Villeneuve, à hauteur du chemin du Moulin. Les sapeurs-pompiers des centres Volx-Villeneuve et Manosque, ainsi que le Service médical d'urgence sont intervenus. La fillette dont les jours sont en danger, a été transportée par l'hélicoptère Dragon 131 à la Timone, à Marseille.

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/3152473/iso-8859-1qalpes3aunefillettede6ansrenverse9e.html

Un ex-para tarbais en guerre en Ukraine

Un ancien artilleur parachutiste de Tarbes, Renaud Regeard, apparaît dans une vidéo aux côtés des milices pro-russes du Donbass. Un projet pour lequel il se préparait depuis des mois.
Sur la vidéo, on le voit entouré d'une quinzaine de soldats pro-russes. D'une voix posée, sans accent, il s'exprime en français, arme au poing : «Renaud, 24 ans, j'habite Tarbes. Ancien artilleur parachutiste aujourd'hui venu en nouvelle Russie afin de défendre la population locale, victime des agissements de la junte de Kiev». Selon le message qui accompagne la vidéo, la scène se passe dans le Donbass, la région de Donetsk.
Sa démarche n'est pas isolée. Des dizaines de Français ont déjà rallié les rangs pro-russes, souvent d'anciens militaires. Renaud Regeard, qui a pris soin de nous faire parvenir cet enregistrement, est originaire de Loire-Atlantique. En 2008, il intègre le 35e Régiment d'artilleurs parachutistes de Tarbes. Renaud n'a pas encore 18 ans mais déjà un sacré tempérament. «Il était toujours extrême et nous racontait qu'à Nantes, il faisait partie des hooligans, détaille un militaire tarbais. Il revenait souvent au régiment, le lundi, avec des traces sur le visage de ses bagarres du week-end.» À cette volonté d'en découdre, s'ajoute progressivement un militantisme politique, clairement affiché sur sa page Facebook. L'individu revendique appartenir à «la troisième voie», un organisme aujourd'hui dissolue mais qui s'était affiché avant les élections municipales sur les murs de Bigorre. À la fin du mois de mars, l'ancien brigadier, qui a quitté les rangs, est à la base de l'émergence de la «Section Pyrénées», un groupuscule d'extrême droite, pour lequel il rédige une «charte du militant révolutionnaire». On peut notamment y lire : «Au fond de lui-même, le révolutionnaire a rompu tout lien avec toute loi, toute convention et condition acceptée. En ce qui concerne ce monde civilisé, il en est un ennemi implacable, et s'il continue à y vivre, ce n'est qu'afin de le détruire plus complètement.»

«Vous salissez notre arme»

Ses anciens frères d'armes ne sont guère surpris de le retrouver sur ce théâtre de guerre, à des milliers de kilomètres de la France. «Il en parlait depuis longtemps et était même parti s'entraîner en Serbie. Il apprenait même la langue.»
Sans enfant, Renaud, suivi par la sécurité intérieure, serait parti vers l'Est de l'Ukraine avant l'été pour rejoindre les pro-Russes. Toujours sur Facebook, il s'en prend aux artilleurs de l'armée ukrainienne : «L'artillerie est selon moi la plus belle des armes à laquelle j'étais fier d'appartenir. L'artillerie ukrainienne en a fait une arme de terreur contre les populations civiles et ça, c'est inacceptable pour tout artilleur qui se respecte. En vous rendant complice de ces crimes, ce sont tous les artilleurs du monde que vous insultez et notre arme que vous salissez !» Il évoque le «choc reçu en voyant ces images de civils, femmes, enfants et vieillards tués dans leur maison». Mais aucune justification n'accompagnait la vidéo reçue hier.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/28/2000462-l-ex-para-tarbais-en-guerre-en-ukraine.html

vendredi 28 novembre 2014

Le Chesnay : l'autobus renverse une ado handicapée

Une adolescente handicapée, âgée de 15 ans, a été renversée par un autobus, ce vendredi matin au Chesnay (Yvelines).
Selon les premiers éléments de l’enquête, peu après 8h30, rue Jean Duplessis, la jeune fille courait sur le trottoir. Soudain, elle a traversé la chaussée sans regarder.
Un bus de la société Phébus qui passait à ce moment-là l’a percutée.

La victime souffre d’un traumatisme crânien. Elle a été transportée à l'hôpital de la commune. Son pronostic vital n’est pas engagé.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/le-chesnay-l-autobus-renverse-l-ado-handicapee-28-11-2014-4330463.php

Les corps des deux kayakistes seino-marins retrouvés en Bretagne

Les deux corps, retrouvés en baie de Saint-Malo sont bien ceux des kayakistes seino-marins disparus le 10 novembre. Le procureur de Saint-Malo a confirmé cette information via un communiqué.
Vendredi dernier (21 novembre), un corps  à la dérive a été repêché en Baie de Saint-Malo. Trois jours plus tard, lundi (24 novembre), un second corps était également retrouvé au sud de Guernesey. Les autopsies ainsi que les analyses ADN, demandées en urgence par les enquêteurs, confirment qu'il s'agit bien des deux kayakistes disparus en mer le 10 novembre.

Le procureur de la République de Saint-Malo, Alexandre de Bosschère, a fait parvenir à la presse ce communiqué:

"Le corps retrouvé le 21 novembre 2014 en mer près de Saint-Malo a été identifié, à l'issue d'une analyse ADN réalisée en urgence,
comme l'un des deux hommes disparus en mer le 10 novembre à bord d'un kayak. L'homme décédé avait 31 ans. La décision de restituer le corps à la famille a été prise ce jour. »

Le second corps, repêché au sud de Guernesey le 24 novembre par un navire de pêche a fait l'objet d'une autopsie mercredi à Guernesey. Si nous demeurons dans l'attente des résultats de ces investigations médico-légales, les éléments d'identification retrouvés sur le défunt, notamment sa gourmette, permettent d'indiquer qu'il s'agisse très probablement du deuxième homme disparu, qui était âgé de 33 ans.

La gendarmerie maritime de Saint-Malo poursuit son enquête dans le cadre d'une procédure pour recherche des causes de la mort afin de préciser les circonstances des faits. Elle communique régulièrement avec les proches et familles des victimes.

A ce stade de l'enquête, aucun élément ne remet en cause l'hypothèse accidentelle de ces deux décès."


 http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/11/28/les-corps-des-deux-kayakistes-seino-marins-retrouves-en-bretagne-602068.html

Lyon : un corps repêché sous le pont Raymond-Barre

Des passants ont aperçu ce matin vers 9 heures un corps flottant dans le Rhône sous le pont Raymond-Barre. La personne a été repêchée un peu plus en aval au niveau de la confluence du Rhône et de la Saône
Des passants ont aperçu ce matin vers 9 heures un corps flottant dans le Rhône sous le pont Raymond-Barre. La personne a été repêchée un peu plus en aval au niveau de la confluence du Rhône et de la Saône.
Il s’agit d’un homme qui était recherché depuis le 13 novembre et qui aurait mis fin à ses jours



http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/28/lyon-un-corps-repeche-a-la-confluence

jeudi 27 novembre 2014

Pelé placé en soins intensifs

L'état de santé de Pelé empire. Hospitalisé depuis lundi pour une infection urinaire, l'ancien joueur brésilien, âgé de 74 ans, a été transféré en soins intensifs jeudi, a annoncé l'hôpital Albert-Einstein de Sao Paulo. Opéré de calculs rénaux le 13 novembre Edson Arantes do Nascimento avait quitté l'établissement hospitalier deux jours plus tard.
Il y a deux ans, le 15 novembre 2012, dans le même hôpital de Sao Paulo, le triple champion du monde avait déjà subi une intervention chirurgicale pour la pose d'une prothèse de hanche. Pelé est considéré comme l'un des meilleurs footballeurs de l'histoire. Il a marqué 1281 buts en 1363 matches lors d'une carrière qui s'est étendue des années 1950 aux années 1970.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1489947-20141127-pele-place-soins-intensifs

Mont-de-Marsan : un handicapé frappé par un jeune adulte

Un jeune SDF qui fait régulièrement parler de lui à Mont-de-Marsan depuis plusieurs semaines pour diverses incivilités, a franchi un palier supplémentaire en début de semaine en s'en prenant à un adulte handicapé sous curatelle qui l'avait généreusement hébergé et nourri.
L'affaire s'est conclue à coups de tête et d'étranglements.
Déféré au parquet au terme de sa garde à vue, celui qui affichait plus d'1,5 g/l d'alcool dans le sang au moment des faits a été placé sous contrôle judiciaire en l'attente de son jugement, le 20 janvier.

http://www.sudouest.fr/2014/11/27/faits-divers-1749687-4584.php

Un semi-remorque piégé par le GPS

Il était environ 8 h 45, hier matin, quand le chauffeur d'un semi-remorque de 44 tonnes a été piégé dans Lacaune par son GPS. Le lourd convoi chargé d'eau de Montroucous devait prendre la direction de Millau puis de l'autoroute pour rallier Paris. Le chauffeur de l'entreprise GEFCO de Vitrolles, près de Marseille, a suivi à la lettre les indications de son GPS qui l'a conduit d'abord rue Victor Hugo puis dans une ruelle tournant à angle droit et qui s'est avérée trop étroite.
Le chauffeur a dû attendre l'arrivée vers 11 h 30 d'un gros engin de dépannage. Ce dernier a pu tracter le semi par derrière et le dégager sans trop de dommages puisque le lourd véhicule a pu reprendre son périple sur des voies départementales plus adéquates. Plus de peur que de mal

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/27/2000037-un-semi-remorque-piege-par-le-gps.html

mercredi 26 novembre 2014

Elodie a tout plaqué pour tenter de retrouver en Egypte son fils enlevé par son père

Le petit Asim a été enlevé par son père voilà deux ans et emmené en Egypte. Malgré les décisions de justice françaises et égyptiennes, Elodie, sa maman, peine à récupérer son fils. Elle a quitté la région d'Orbec et s'est installée au Caire pour tenter de le retrouver
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi arrive ce mercredi en France pour une visite deux jours. Le chef de l'Etat français et son homologue doivent s'entretenir de différents sujets comme la sécurité régionale avec la situation en Lybie mais aussi les questions économiques. Le constructeur naval français DCNS a signé au début de l'été un contrat estimé à 1 milliard d'euros pour fournir quatre corvettes Gowind à la Marine égyptienne. Des discussions sont également en cours concernant un achat éventuel de Mirages 2000.

Un autre sujet, ne figurant pas au programme officiel des discussions, devrait être abordé. Pas de milliards d'euros en jeu ici, mais la vie d'une jeune femme et de son petit garçon. Voilà deux ans, jour pour jour, Asim a été enlevé par son père Egyptien. Depuis, sa maman Elodie Bellemaison
se bat pour retrouver son fils. Les justices françaises et égyptiennes lui ont chacune donné raison en lui attribuant la garde de l'enfant. Mais ce dernier n'a jamais été rendu à sa maman.

Le 16 août dernier, Elodie Bellemaison a quitté la Normandie pour s'installer au Caire et tenter de retrouver Asim. Pour elle, la rencontre entre François Hollande et son homologue égyptien est capitale. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/2014/11/26/elodie-tout-plaque-pour-tenter-de-retrouver-en-egypte-son-fils-enleve-par-son-pere-600468.html

Cognac : un corps retrouvé dans la Charente

Ce mercredi matin, vers 8h30, des bateliers ont donné l'alerte. Ils ont découvert au niveau du quai Hennessy à Cognac un corps sans vie flottant dans la Charente.
Les autorités viennent tout juste de sortir le corps de l'eau et attendent les agents de l'identification criminelle. Il pourrait s'agir d'une octogénaire recherchée depuis une semaine.

http://www.sudouest.fr/2014/11/26/cognac-un-corps-retrouve-dans-la-charente-1748815-882.php

mardi 25 novembre 2014

Hauts-de-Seine : une sexagénaire enlevée par trois inconnus

Une femme d’une soixantaine d’années a été enlevée ce matin à Clamart, aux abords du cimetière, près du bois de Meudon. Cette habitante de la ville promenait son chien lorsque trois hommes ont fondu sur elle, la forçant à monter dans une fourgonnette. Agressifs et menaçants, ils avaient manifestement l’intention d’emmener leur victime jusqu’à son domicile pour la dépouiller.
 
Mais au fil de leurs échanges avec la malheureuse, les ravisseurs se sont aperçus que leurs informations ne collaient pas et qu’ils s’étaient de toute évidence trompés de proie…

Le calvaire de la sexagénaire a duré une bonne heure, avant que ses agresseurs finissent par la relâcher à Wissous (Essonne). Choquée, la victime était entendue ce mardi soir par la police judiciaire des Hauts-de-Seine, chargée de l’enquête.

Périgueux : 11 gardes à vue après un coup de filet antidrogue

C'est au petit matin, lundi, que les policiers ont frappé. Une cinquantaine d'agents aidés de deux chiens renifleurs se sont déployés sur différents endroits de Périgueux dans le cadre d'un coup de filet antidrogue.
11 personnes, toutes majeures, ont été interpellées et placées en garde à vue dans les locaux du commissariat. Certaines seraient déjà défavorablement connues des services de police et de la justice.
  • La place Francheville
L'enquête a démarré en juin, s'appuyant sur la collecte de renseignements recueillis lors d'anciennes procédures. Pour les étoffer, les agents ont multiplié les surveillances, les écoutes téléphoniques, les auditions d'usagers…
Le centre névralgique du trafic était la place Francheville à Périgueux. « C'était connu depuis des années, note le maire de la ville, Antoine Audi. J'avais alerté la police municipale dès mon arrivée. »
C'est là que, le 16 juillet, un important dispositif avait déjà été déployé. En plein après-midi, policiers municipaux et nationaux avaient procédé à une série de contrôles d'identité. À l'époque, aucune drogue n'avait été saisie, mais cette opération était déjà l'illustration de la volonté du maire « de coordonner les actions des polices nationale et municipale ».
  • La reconquête du territoire
Hier, il en a été autrement, puisque des stupéfiants auraient été saisis dans les habitations des prévenus. Les quantités ne sont pas encore connues, mais il s'agirait principalement de cannabis, même si d'autres produits ont été analysés par les enquêteurs. Près de 10 000 euros ont aussi été trouvés, ainsi que deux pistolets tirant des balles à blanc.
« Satisfait » par cette opération, Antoine Audi estime qu'elle « va dans le bon sens. Elle s'inscrit dans le cadre de la reconquête de ce territoire de la place Francheville ».
Hier, dès l'interpellation des prévenus, les auditions ont pu débuter. Elles pourraient s'étaler sur plusieurs jours. En effet, les gardes à vue peuvent durer 96 heures dans le cadre de trafic de stupéfiants.

http://www.sudouest.fr/2014/11/25/coup-de-filet-antidrogue-onze-gardes-a-vue-1746998-3.php

Un homme blessé par la chute d’un arbre à Sirod

Hier en début d'après midi alors qu'il avait entrepris de couper deux vieux frênes près de la ferme de La Chancelle, Marcel Burri, originaire de Treffay et bien connu du monde sportif, a été blessé par la chute d’un arbre. Il l’avait pourtant entaillé et coupé dans les règles de l'art, mais il refusait de tomber. Le sexagénaire a dû entreprendre d'aller chercher ses coins rangés dans sa brouette à proximité.
C'est là que l'arbre s'est dédoublé et soudainement décroché, tombant sur le bûcheron. Malgré le choc, il a réussi à donner l'alerte avec son portable. Il a été héliporté à Besançon. Souffrant apparemment de plusieurs traumatismes et de lésions aux côtes, à l'épaule et au dos, son pronostic vital n’était pas engagé hier soir.
http://www.leprogres.fr/jura/2014/11/25/un-homme-blesse-par-la-chute-d-un-arbre

Les Corbières sous le déluge

Un orage de forte intensité est tombé, hier, sur l'Est du département et principalement sur Saint-André de Roquelongue. Cette commune de 1 300 habitants a subi une montée des eaux de 170 mm en peu de temps.
La commune de Saint-André de Roquelongue a été isolée sous un déluge pendant trois bonnes heures, hier après-midi, en raison d'un orage qui a déversé dans ce laps de temps pas moins de 170 mm d'eau. En quelques minutes les deux principaux cours d'eau qui arrosent ce village, l'Aussou et la Caminade, ainsi que plusieurs ruisseaux à flanc d'un massif tout proche et d'ordinaire à sec, ont tout inondé sur leur passage. «Les trois routes principales d'accès à Saint-André sont devenues impraticables, témoignait le maire Jean-Michel Folch. Les enfants de l'école ont été confinés dans leurs classes jusqu'à ce que leurs parents puissent venir les chercher en fin d'après-midi. Nous avons également ouvert une salle communale afin d'accueillir une vingtaine de gens de passage surpris par la montée des eaux». Malgré la violence de cet épisode orageux, les secours ont pu s'organiser très rapidement. Météo France ayant diffusé un bulletin d'alerte orange dès le début d'après-midi pour le littoral audois et les Corbières, le centre opérationnel départemental avait prévenu les secours. Une équipe de 12 sapeurs-pompiers a été diligentée sur Saint-André de Roquelongue, elle devait être renforcée en début de soirée pendant que des pompiers sauveteurs aquatiques étaient prépositionnés à Narbonne et à Lézignan-Corbières.
Cet orage a eu aussi des conséquences sur la circulation ferroviaire bloquée en gare de Narbonne, à la suite en particulier d'un défaut d'alimentation sur un poste à Lézignan-Corbières. Cet incident a, donc, entraîné l'arrêt total du trafic entre Toulouse et Narbonne entre 17 h et 17 h 15. Sept trains TER ont été supprimés dans le sens Narbonne-Toulouse. Les voyageurs ont été pris en charge par deux convois intercités. Les conditions météorologiques, qui persistaient hier soir, laissaient présager une situation dégradée pendant quelques heures de plus. En début de soirée, le maire de Saint-André de Roquelongue n'avait plus d'inquiétude. «Nous n'avons à déplorer aucune victime. Quant aux dégâts matériels, des maisons inondées et des routes abîmées, nous verrons demain», rassurait Jean-Michel Folch
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/25/1998201-les-corbieres-sous-le-deluge.html

lundi 24 novembre 2014

Arles-sur-Tech : un blessé grave dans une voiture qui percute un bus scolaire (un enfant blessé)

Ce lundi matin, vers 8 h, un bus scolaire et une voiture particulière se sont percutés sur la route départementale 115 allant vers Prats-de-Mollo.
Le conducteur de la voiture a été grièvement blessé et a, dans un premier temps, été médicalisé sur place par les pompiers avant son évacuation.

Dans le bus transportant 35 jeunes passagers, un enfant victime d'un traumatisme facial a été conduit à la clinique du Vallespir pour y recevoir des soins. 
Deux enfants choqués par l'accident ont été pris en charge à l'école.
http://www.lindependant.fr/2014/11/24/arles-sur-tech-un-blesse-grave-dans-une-voiture-qui-percute-un-bus-scolaire,1959528.php

Un feu de friteuse détruit une maison

C'est vraisemblablement, selon la gendarmerie, un feu de friteuse qui est à l'origine d'un incendie qui a totalement détruit une maison d'habitation, située au cœur du village de Salles-sur-l'Hers dans la Piège.
C'est dans la rue Saint-Mathieu que s'est déclaré le sinistre, sur le coup de midi, et c'est une dame âgée qui a donné l'alerte après que le feu a pris au niveau de sa friteuse puis envahi le rez-de-chaussée de la maison. La dame a quitté les lieux mais le feu s'est déclaré à l'étage du logement. Et a vite pris de l'ampleur a tel point que dix riverains de la rue ont du être évacués. Une famille complète s'est retrouvée totalement dépourvue de logement après que le sien, situé à l'étage de l'immeuble en feu a été totalement détruit. Les pompiers de Salles, Belpech et Castelnaudary ont été mobilisés. Fort heureusement, aucune victime n'est à déplorer. La dame âgée a été hospitalisée car très choquée. Quant au couple et ses enfants, dépourvus de logement, ils ont été relogés par la municipalité tandis que d'autres victimes provisoires ont trouvé refuge chez des amis, des proches et des parents.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/24/1997573-salles-hers-feu-friteuse-detruit-maison.html

dimanche 23 novembre 2014

Moyencourt (Somme). Un cavalier chute de son cheval pendant une chasse à courre

Chasser le lièvre depuis son cheval, ce n'est pas sans danger. Un chasseur n'a pu que le constater ce samedi 22 novembre à Moyencourt, puisqu'il s'est blessé au dos durant en pratiquant cette activité.

L'accident s'est produit peu avant 14h. Le chasseur évoluait sur la rue du parc, pour un moment de plaisir, la chasse à courre. Mais pour une raison inconnue, il a chuté au milieu de la route.

Tombé de son cheval, l'homme est victime d'un trauma au dos. Selon les premiers éléments, l'accident est sans gravité. Mais pour s'en assurer, le malheureux a été transporté à l'hôpital d'Amiens. En hélicoptère. Un moyen de locomotion d'un autre temps


http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/11/22/moyencourt-somme-un-cavalier-chute-de-son-cheval-pendant-une-chasse-courre-598072.html

La Rochelle (17) : début d’incendie près d’un dépôt pétrolier

Le feu a pris dans le hangar de la société Engine boat service qui répare des moteurs de bateaux
Les pompiers sont intervenus en nombre ce dimanche matin vers 10 heures pour un début incendie dans le quartier de Laleu, chemin des Remblais, à proximité des dépôts pétroliers Picoty/SDLP.
Le sinistre a été rapidement maîtrisé. Il a pris dans le hangar de la société Engine boat service qui répare des moteurs de bateaux. Les secours n'ont pas eu à évacuer les riverains.
http://www.sudouest.fr/2014/11/23/la-rochelle-17-debut-d-incendie-pres-d-un-depot-petrolier-1745162-1391.php

Rennes: 3000 évacuations à cause d'une bombe

Quelque 3000 personnes vivant dans le centre-ville de Rennes ont été priées de quitter leurs logements ce matin le temps que des démineurs procèdent au désamorçage d'une bombe anglaise de 250 kg datant de la seconde guerre mondiale. Cette bombe a été découverte sur le chantier d'une des stations de la future deuxième ligne de métro rennais, à proximité notamment de l'Hôtel de ville et de l'opéra.

"L'opération va être délicate car la bombe fait 250 kg dont 70 de TNT et parce que le dispositif de mise à feu de la bombe est sectionné. Les démineurs vont donc être obligés d'intervenir manuellement et non avec des engins radiocommandés", a expliqué la maire de Rennes Nathalie Appéré.

Un périmètre de sécurité d'un rayon de 270 mètres a été mis en place, à l'intérieur duquel, a précisé la maire, "résident environ 3000 personnes", qui devaient, tout comme une caserne de pompiers, avoir évacué les lieux dimanche avant 9H00.

Plusieurs centaines de personnes ont été accueillies par la Ville dans une grande salle de spectacles, où les attendaient café, chocolat, fruits... a constaté un journaliste de l'AFP. Un espace particulier a été réservé aux personnes les plus âgées, une résidence pour séniors d'environ 90 résidents se trouvant à l'intérieur du périmètre de sécurité.

"Au départ, il y avait des gens très âgés qui ne voulaient pas entendre parler d'évacuation, mais le directeur de la maison s'est montré très ferme et à 8H15 tout le monde était à l'accueil", a raconté une des résidentes, Marie-France, 71 ans, venue à pied avec sa petite fille de 8 ans à la salle de spectacles, avec un "chef de groupe de la Croix Rouge".

Une quarantaine de bénévoles de cette organisation était mobilisée, aidant notamment les personnes à mobilité réduite ou invalides à rejoindre la salle d'accueil. Le périmètre de sécurité devrait être levé aux environs de 14H00, selon la préfecture d'Ille-et-Vilaine.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/23/97001-20141123FILWWW00049-rennes-3000-evacuation-a-cause-d-une-bombe.php

Un avion se crashe dans l'Hérault avec deux Gersois à son bord

Un avion de tourisme qui avait décollé hier matin de Nogaro s'est crashé à Riols, au nord-ouest de Béziers. Deux personnes ont perdu la vie. Le Gersois de 54 ans est le seul rescapé. C'est lui qui a donné l'alerte.
Vers 11 h 30 hier, un avion de tourisme s'est crashé à Riols, au nord ouest de Béziers. Il avait décollé deux heures plus tôt de l'aérodrome de Bas-Armagnac, à Nogaro. A son bord, trois personnes, dont deux Gersois et un Audois. Le seul rescapé de l'accident est un homme de 54 ans originaire du département. Grièvement blessé, il a tout de même réussi à marcher avant de croiser des randonneurs pour finalement donner l'alerte.
Selon toute vraisemblance, c'est le pilote, âgé d'une soixantaine d'années, qui était de l'Aude. En provenance de l'aérodrome d'Aix-Les-Milles, situé à 6 kilomètres d'Aix-en-Provence, il s'est posé le vendredi en fin d'après-midi sur le tarmac nogarolien, semble-t-il pour voir «des amis ou de la famille.» «Je l'avais vu une fois ou deux et des gens l'attendaient à son arrivée. Je crois qu'il venait voir des amis du côté de Riscle», indiquait André Malibos, président de l'aéro-club depuis une trentaine d'années.
Hier matin, ils étaient donc trois à embarquer dans l'avion qui devaient les conduire à la case départ : Aix-Les-Milles. Mais à 11 h 30, plus de signal sur les radars et la brigade de recherche aéronautique lance une première alerte. Après que le seul survivant ait été pris en charge par héliportage, les secours ont localisé la carlingue vers 16 h 30. Il faut noter qu'un épais brouillard s'est immiscé dans cette zone difficile d'accès qui borde le parc du Haut-Languedoc. Ce qui explique les difficultés des sauveteurs.

Une zone à risques

Et peut-être aussi de la navigation du Gardan. «C'est un secteur où il y a beaucoup de flux de vents d'est et de sud-est : ça amène donc beaucoup de nuages bas nuisibles au pilotage», expliquait André Malibos. Qui n'a pas caché non plus son émotion : «On croit toujours que ça n'arrive qu'aux autres... Même si ce n'est pas courant, et heureusement, c'est toujours très choquant...» Pour l'heure, impossible de connaître l'identité des victimes. Le registre de l'aérodrome n'ayant pas été rempli à l'arrivée et au départ du fameux Gardan. Ce n'est pas une obligation.
La structure est en effet ouverte à tous et dispose même de sa pompe à gasoil. Les pilotes sont donc en totale autonomie. «Il y a beaucoup de passages et c'est vrai que si les gars ne viennent pas nous saluer, on peut ne pas les voir. Je me souviens de ce monsieur car je l'ai vu se poser le vendredi et son avion n'avait pas l'air de poser de soucis.» Le maire de Nogaro, Christian Peyret, déplorait hier soir d'apprendre une telle nouvelle. «On est catastrophé !», a-t-il dit.
Désormais, les brigades de gendarmerie des transports aériens et de Béziers sont en charge de l'enquête. Le seul survivant est hospitalisé à Lapeyronie, à Montpellier, pour de nombreuses brûlures sur le corps et des blessures à la tête.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/23/1997111-un-avion-se-crashe-dans-l-herault-avec-deux-gersois.html

samedi 22 novembre 2014

Violence policière : des incidents à Nantes et Toulouse

Des manifestations à Paris et les grandes villes se déroulaient samedi pour protester contre les "violences policières", un mois après la mort de l'écologiste Rémi Fraisse tué par une grenade sur le site du barrage contesté de Sivens.

Dans plusieurs villes, comme à Toulouse et Nantes, d'importants dispositifs policiers ont été déployés: de précédentes manifestations à la mémoire de Rémi Fraisse ont été suivies de heurts et dégradations, se soldant par plusieurs blessés et des dizaines d'interpellations.

A Nantes, 1200 personnes se sont rassemblées munies de pancartes proclamant "Désarmons la police" ou "Armée de son désir de justice". Quelques incidents, tels des tirs de projectile vers les forces de l'ordre répondant par des gaz lacrymogène, étaient en cours vers 17h.

A Toulouse, 300 personnes selon la police, 600 selon les organisateurs, ont répondu à l'appel de partis écologistes, de la gauche radicale et d'organisations syndicales, et défilé dans le calme derrière une banderole "Non au barrage de Sivens, non aux violences policières".  Puis une partie du cortège a traversé la Garonne et gagné le quartier Saint-Cyprien où le face-à-face s'est tendu. Les forces de l'ordre ont fait usage de grenades lacrymogènes quand certains manifestants tentaient de déborder le dispositif destiné à les contenir.

Pour cette manifestation, un appel avait été lancé aux Toulousains "à crier leur rage jusqu'à ce que la peur change de camp".

Cependant, une majorité des participants souhaitait apparemment que le défilé ait lieu sans incident et des petits groupes dansaient ou entonnaient des chants sous l'impulsion de clowns facétieux.

Dans la capitale, une centaine de personnes se sont réunies à l'appel de plusieurs collectifs. Une sono diffusait des titres hostiles à la police et égrenait des noms de victimes de violences des forces de l'ordre

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/22/97001-20141122FILWWW00125-violence-policiere-des-incidents-a-nantes.php

Oise : un car scolaire percuté par une voiture

Spectaculaire accident, vendredi soir, près de Froissy (Oise). Peu avant 18h30, un car scolaire du conseil général de l’Oise a été percuté par une voiture à l’intersection du CD 151 et du CD3. Par chance, seuls le chauffeur et deux lycéens étaient à bord au moment de l’accident. Indemnes, ils ont toutefois été transportés au centre hospitalier de Beauvais pour des examens de contrôle.
Le conducteur du Scénic, légèrement blessé, a lui aussi été admis à l’hôpital de Beauvais. Selon les premières constatations et les témoignages recueillis par les gendarmes, ce dernier n’aurait pas vu le car scolaire qui arrivait sur sa droite alors qu’il était arrêté à un stop

http://www.leparisien.fr/oise-60/oise-un-car-scolaire-percute-par-une-voiture-22-11-2014-4313963.php

Rive-de-Gier : cas de tuberculose au lycée René-Cassin

Un camion médicalisé sera installé la semaine prochaine devant le lycée professionnel René-Cassin à Rive-de-Gier. Une vingtaine d’élèves et une dizaine de professeurs, en contact régulier avec une lycéenne ayant contracté la tuberculose, passeront tour à tour une radio des poumons.
La direction du lycée a convoqué les parents d’élèves, jeudi soir, pour les informer des dispositions prises par l’établissement. Outre les radios passées la semaine prochaine, un examen identique de vérification est d’ores et déjà programmé dans deux mois.
Des cas de tuberculose sont le plus souvent constatés aujourd’hui chez les SDF et les migrants venus d’Asie et d’Afrique

http://www.leprogres.fr/loire/2014/11/22/rive-de-gier-cas-de-tuberculose-au-lycee-rene-cassin

Attention aux faux éboueurs proposant des calendriers

                                     
Attention, des personnes se réclamant des services de collecte des déchets ménagers (SICTOM) proposent des calendriers à domicile sur Lavaur et les communes aux alentours. Jacques Esparbié, président du SICTOM, précise : «Je mets en garde tous les usagers contre ces faux éboueurs qui viennent importuner les habitants. En effet, ce sont des escrocs qui usurpent la tenue des éboueurs qui sévissent actuellement sur le Vaurais. «Seuls les agents en tenue et muni d'un courrier signé du SICTOM sont habilités à proposer des calendriers», ajoute le président du syndicat.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/22/1996753-attention-aux-faux-eboueurs-proposant-des-calendriers.html

Mort de Corentin : les médecins se sont battus pendant 9 heures

Sept praticiens ont tenté de sauver le petit Corentin pendant des heures lors de son opération de l'appendicite à Metz. Les détails du drame ont été dévoilés ce vendredi.

Le compte-rendu de l'opération qui a causé la mort du petit Corentin, à Metz début novembre, a été dévoilé, vendredi. Les médecins ont tenté de sauver le petit garçon de 11 ans pendant plusieurs heures.
Le Républicain lorrain révèle que l'opération de l'appendicite a été arrêtée le 1er novembre à 11h30 lorsqu'un choc a été constaté à la pose d'un tube utilisé pour des cœlioscopies. Selon une source proche du dossier, c'est à cette occasion que l'aorte de l'enfant aurait été touchée. Cependant, les médecins ont attendu deux heures avant d'ouvrir l'abdomen à la recherche d'une possible hémorragie, réalisant au préalable des examens cardiologiques et un bilan sanguin afin de tenter de comprendre pourquoi le cœur du patient s'était emballé. Sept praticiens dont trois chirurgiens se sont affairés au chevet de l'enfant, qui mourra le lendemain au CHU de Nancy, où il n'a été transféré en urgence qu'au bout de neuf heures d'opération à Metz.
L'avocat de la famille s'interroge sur le mode opératoire choisi
"La chronologie de l'intervention soulève des questions, notamment s'il n'aurait pas été plus judicieux de transférer Corentin beaucoup plus tôt à Nancy", pointe Me Marc Baerthelé, l'avocat de la famille. Il s'interroge en outre sur le mode opératoire choisi.  "Les recommandations de la Haute autorité sanitaire, dans le cadre de cœlioscopies infantiles, sont de pratiquer une incision préalable pour être sûr de ne pas toucher d'organe vital. Or dans ce cas, je ne dispose d'aucun élément qui montre qu'on a bien pratiqué une incision préalable", déplore-t-il.
L'enquête devra déterminer si des erreurs d'appréciation ou des fautes pénales ont pu être commises par les médecins. Le parquet de Metz a ouvert une information judiciaire contre X, tandis que des investigations sont menées par l'Agence régionale de santé (ARS), dont les résultats seront transmis à la justice. Les parents de Corentin ont porté plainte contre X dès le lendemain du décès.
 

vendredi 21 novembre 2014

Les habitants de Mimet veulent savoir qui a tué leur voisin

Leur voisin, un habitant de Mimet de 78 ans, a été violemment agressé le soir du 31 octobre dernier. Il vient de mourir de ses blessures. Et c'est tout ce village d'anciens mineurs qui se mobilise pour ne pas laisser cette mort impunie. Le maire a réuni tous les voisins ce jeudi soir.
Jean était connu et apprécié de tous. Cet ancien mineur de 78 ans a été agressé la nuit du 31 octobre au 1er novembre dernier alors qu'il sortait de chez lui alerté par du bruit. Il vient de mourir de ses blessures et c'est tout le village qui est sous le choc. Ses agresseurs courent toujours et les habitants de Mimet  (Bouches-du-Rhône) ont décidé de se mobiliser pour tenter de faire avancer l'enquête. Le maire a organisé ce jeudi soir une réunion publique avec les gendarmes et le préfet. Chacun doit apporter son témoignage sur ce qu'il a vu ou entendu cette nuit-là. Les obsèques auront lieu ce samedi à Mimet
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/11/21/video-les-habitants-de-mimet-veulent-savoir-qui-tue-leur-voisin-597210.html

Bordeaux : confondu pour 41 vols par effraction

Ce cambrioleur avait une technique bien à lui : une fois à l'intérieur d'une résidence, il démontait les œilletons des portes des appartements qu'il comptait fracturer et obstruait les judas des portes voisines avec de la peinture, de la gouache ou encore du papier mâché. Il cassait ensuite la serrure ou le barillet pour pénétrer dans le domicile et dérober exclusivement bijoux et numéraire.
Au total, la police lui attribue 37 cambriolages commis à Bordeaux, Le Bouscat et Talence, entre le 4 décembre 2013 et le 6 janvier 2014, pour un préjudice très important. Quatre autres ont été commis en région parisienne.
Ce sont les enquêteurs de la Brigade de répression des atteintes aux biens (BRAB) de la Sûreté départementale qui ont retrouvé la trace de ce monte-en-l'air qui ne laissait jamais de traces sur son passage.
Lors de leurs investigations, les policiers ont découvert qu'un cambrioleur opérant avec la même technique avait été interpellé et écroué au mois d'avril à Bayonne. Le rapprochement était fait et un examen plus approfondi de l'itinéraire du suspect permettait de déterminer qu'il avait séjourné à Bordeaux, en début d'année.
Extrait de la maison d'arrêt et placé en garde à vue, il y a 48 heures, dans les locaux de la Sûreté à Bordeaux, il a reconnu les faits. Son épouse, domiciliée à Dax, a admis avoir bénéficié du produit de la revente des vols depuis une vingtaine d'années. Le professionnel du cambriolage est retourné en prison.

http://www.sudouest.fr/2014/11/21/un-as-du-cambriolage-1742626-2780.php

Agressions, insultes, vols : les médecins s'épuisent

Cambriolages de cabinets médicaux, hausse des incivilités et agressions : le Conseil de l'ordre des médecins de Haute-Garonne lance une série de réunions pour mieux accompagner les professionnels de santé.
Quatre réunions et plus si nécessaire. Le Conseil de l'ordre des médecins de Haute-Garonne (CDOM 31) s'attaque aux agressions et incivilités dont sont victimes les professionnels de santé. Au menu, visionnage de fictions basées sur des faits réels (agression dans un cabinet médical, lors d'une visite à domicile ou dans un service d'urgences à l'hôpital), conseils de référents Police et Gendarmerie, gestion de l'après crise par d'autres professionnels de santé. Une centaine de médecins sont déjà inscrits pour les deux premiers rendez-vous, les 25 novembre et 9 décembre.
«Lorsque nous nous sommes réunis sur le sujet, il y a trois ans, une médecin généraliste nous a raconté comment, envoyée par le 15 dans une maison du quartier des Chalets à Toulouse, elle avait été séquestrée plusieurs heures par son patient. Elle en a gardé des séquelles psychologiques. Autour de la table, médecins, infirmières, kinés ont aussi raconté des faits d'agression suite à des retards de consultation, des refus de prescription d'arrêt de travail… Ce sont des situations préoccupantes car elles sont à l'origine du problème d'accès aux soins des patients », souligne le docteur Jean Thévenot, président du CDOM 31. Et le médecin de rappeler que les agressions sont plus nombreuses en zone urbaine et que Toulouse, aussi, a son désert médical dans les quartiers populaires et défavorisés : «Dans ces secteurs où l'insécurité domine, certains professionnels de santé ne se déplacent plus, les médecins ne s'y installent pas ou ferment leurs cabinets après de multiples cambriolages. Et il suffit d'un médecin agressé dans un secteur pour que ça déstabilise tous les autres autour. », poursuit Jean Thévenot en discussion avec la Mairie de Toulouse sur des solutions d'accompagnement des médecins lors de leurs visites. «Nous avons dit non à un accompagnement policier. C'est trop stigmatisant et ça énerve encore plus. Nous avions évoqué avec la précédente municipalité l'idée de référents, sortes de grands frères qui sécuriseraient l'arrivée et le départ du médecin mais ça n'a pas abouti ».
Depuis juin 2012, un protocole entre préfet, procureur de la République, Agence régionale de santé et les différents ordres médicaux a permis la mise en place de correspondants police et gendarmerie pour faciliter le dépôt des plaintes des médecins agressés et fournir des conseils sécurité dans l'aménagement des locaux. «Mais beaucoup de victimes ne déclarent pas les agressions subies. C'est pourtant essentiel », regrette le médecin.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/21/1995953-agressions-insultes-vols-les-medecins-s-epuisent.html

jeudi 20 novembre 2014

A10 bloquée en Charente-Maritime : le camion a été percuté en quittant une aire de repos

On en sait plus sur les circonstances de l'accident qui a bloqué l'A10 mercredi, à Fenioux, près de Saintes, durant une grande partie de la matinée. Pour rappel, deux poids-lourds étaient en cause. Alors que le premier était en train de quitter une aire de repos, il a été heurté par l'arrière par un autre semi-remorque. 
C'est ainsi qu'un des poids-lourds s'est renversé sur la bande d'arrêt d'urgence et que le second s'est mis en portefeuille sur la voie, coupant la circulation en direction de Paris.
 http://www.sudouest.fr/2014/11/20/a10-bloquee-en-charente-maritime-le-camion-a-ete-percute-en-quittant-une-aire-de-repos-1742111-1531.php

Torcy : un chauffeur de Chronopost braqué à Noisy-le-Grand relâché sur l’A4

Le conducteur d’une camionnette Chronopost a été braqué à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), ce mercredi vers 10 heures du matin, par trois ou quatre malfaiteurs cagoulés. Ils sont montés dans son véhicule, avant de s’élancer sur l’autoroute A4. Ils ont abandonné au bord de la route leur victime, qui a reçu deux coups de pistolet à impulsion électrique et a été aspergée de gaz lacrymogène.
Les malfaiteurs sont repartis avec la camionnette. Le chauffeur a été récupéré par un automobiliste, qui l’a accompagné jusqu’au poste de police de Torcy. La Police judiciaire de Meaux a été saisie de l’enquête.
http://www.leparisien.fr/torcy-77200/torcy-un-chauffeur-de-chronopost-braque-a-noisy-le-grand-relache-sur-l-a4-19-11-2014-4305379.php

mercredi 19 novembre 2014

Mirepeix (64) : une conductrice blessée après avoir percuté un camion

L'accident s'est produit ce matin peu après 8 h 30 sur la D 938 entre Bordes et Mirepeix. La conductrice d'une voiture qui se dirigeait vers Pau s'est déportée pour une raison inconnue vers un camion qui circulait en sens inverse.
Le véhicule léger a percuté le poids lourd et s'est immobilisé sur la départementale. La conductrice a dû être désincarcérée par les secours. Elle était néanmoins consciente lors de son transport vers l'hôpital. Elle serait légèrement blessée.

http://www.sudouest.fr/2014/11/19/mirepeix-64-une-conductrice-blessee-apres-avoir-percute-un-camion-1741033-4344.php

Lyon : un homme et une femme récupérés dans la Saône par les plongeurs

Les plongeurs sont parvenus à récupérer assez rapidement les deux victimes, qui étaient accrochées à un pilier du pont.
En légère hypothermie, la femme a dû être hospitalisée mais son état n’inspirait pas d’inquiétude, selon les secours. L’homme était quant à lui sain et sauf.
Les circonstances de la chute étaient encore floues mardi soir, mais, selon les premiers éléments recueillis, l’homme aurait sauté dans l’eau glaciale pour sauver la femme. Il l’aurait ainsi maintenue hors de l’eau le temps que les pompiers interviennent.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/18/lyon-un-homme-et-une-femme-recuperes-dans-la-saone-par-des-plongeurs

Metz : il tue sa femme atteinte d'Alzheimer puis se suicide

Un drame a eu lieu à Metz (Moselle) où un couple de retraités a été retrouvé mort à leur domicile mardi soir. C'est un médecin chargé de leur rendre régulièrement visite qui a découvert les corps. Il a immédiatement prévenu les secours, mais il était trop tard pour les sauver. L'homme âgé de 80 ans aurait tué sa femme par balles avant de se donner la mort. L'épouse, âgée de 82 ans, était atteinte de la maladie d'Alzheimer depuis quelques années

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/19/1994548-metz-tue-femme-atteinte-alzheimer-puis-suicide.html

mardi 18 novembre 2014

Saône-et-Loire : un accident mortel a eu lieu sur l’autoroute A6

Autoroute A6
Il était environ 19h10, quand un accident impliquant un poids lourd seul a eu lieu en Saône-et-Loire, au Pk 399.3, après le diffuseur n°30 de Belleville. Le chauffeur du camion a percuté l'accotement. Il est mort lors du choc. Vers 21h 30, la voie de droite et celle du milieu étaient toujours neutralisées et on circulait uniquement sur la voie de gauche. Une grue était attendue pour enlever le camion.

Autoroute A39
Par ailleurs, un accident matériel s’est produit sur l’A39, de Bourg-en-Bresse vers Dijon (dans le sens sud-nord) au PR 38+4, à Foucherans, après le diffuseur 6 de Dole. La route a été coupée : le poids lourd a été relevé par une grue, mais à 21h la voie de droite était toujours neutralisée pour des travaux.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2014/11/17/saone-et-loire-un-accident-mortel-eu-lieu-sur-l-autoroute-a6-594244.html

Le compagnon de la Française tuée à Barcelone retrouvé

Il était introuvable depuis dimanche. Le compagnon de la jeune Girondine, retrouvée tuée dans un hôtel de Barcelone dimanche, a été interpellé dans la nuit de lundi à mardi dans les Pyrénées-Atlantiques. Il a été placé en garde à vue à Pau. Le jeune homme était activement recherché par la police des deux côtés de la frontière espagnole depuis la découverte du corps de son amie.
Originaire de Mérignac. Le compagnon de la victime est un jeune homme de 24 ans, domicilié à Mérignac en Gironde. Les circonstances de son interpellation par la gendarmerie n'ont pas été précisées dans un premier temps, et le jeune homme se trouvait mardi en garde à vue à Pau. Selon Sud-Ouest, il a été interpellé au domicile de sa mère, à Lescar, à côté de Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Plusieurs coups de couteaux. Sa compagne, âgée de 19 ans et originaire de Saint-André-de-Cubzac en Gironde, avait été retrouvée morte, tuée de plusieurs coups de couteaux, dans une chambre d'un hôtel haut-de-gamme, près de la place de Catalogne à Barcelone. La réservation de la chambre avait été faite au nom du jeune homme.
Une enquête française et une enquête espagnole. Le parquet de Bordeaux avait ouvert lundi après-midi une information judiciaire contre X pour homicide volontaire, tandis que l'enquête était confiée à la gendarmerie. Côté espagnol, une enquête pour homicide volontaire a également été ouverte dès dimanche.
Tendances suicidaires ? La nature précise de la relation du couple, l'objet et le déroulement de son séjour barcelonais étaient mardi au cœur des investigations. Des tendances et intentions suicidaires relevées chez les deux protagonistes, pourraient constituer une piste.
La famille du jeune homme et celle de la jeune femme avaient signalé samedi et dimanche aux forces de l'ordre leur disparition inquiétante.
 

Evincé de son stand, le chocolatier Michel Thomaso-Défos s'enchaîne

C'est au champagne que Michel Thomaso-Défos a fêté son 74e anniversaire, ce lundi soir, chez lui à Albi, entouré de quelques amis. Une issue heureuse après une journée fertile en émotions pour le célèbre chocolatier albigeois. Tout a commencé samedi matin, quand l'artisan a trouvé dans sa boîte aux lettres une mise en demeure de la ville d'Albi, lui enjoignant de quitter son stand au marché couvert, ce lundi à 14 heures. «La municipalité me reproche de n'avoir pas respecté la convention de 2011, imposant aux commerçants d'être présents sous la halle six jours sur sept, 37 heures par semaine. Un règlement que personne ne respecte. Je m'y suis malgré tout astreint, mais j'ai été absent deux fois deux jours en octobre, à cause de rendez-vous médicaux pour mon genou. Depuis quatre ans, je ne prends pas de vacances. On n'a pas le droit d'être malade.»
Doyen des commerçants du marché couvert où, d'abord avec son père, il tient un stand depuis 1956 et ancien président des commerçants du marché, ce virtuose du chocolat a introduit un recours en référé devant le tribunal administratif de Toulouse, via son avocate, Me Monique Wormstall. La ville ayant maintenu malgré tout son oukase, Michel Thomaso-Défos s'est rendu pour l'état des lieux hier à 14 heures au marché, mais pas tout seul. Devant plusieurs dizaines d'amis, de clients et de confrères, il a commencé par démolir symboliquement un coin de son stand à coup de masse.

«Mairie m'a tuer»

Puis il s'est enchaîné et muni d'un duvet, le protestataire a annoncé qu'il dormira sur place, jusqu'à ce que la mairie entende raison. Plus impressionnant, le chocolatier s'est mis un pistolet d'alarme sur la tempe et a tiré. La sinistre détonation a retenti sous la halle centenaire et Michel Thomaso-Défos s'est écrié «mairie m'a tuer». Alarmé, Yves Mathis, secrétaire général de la préfecture du Tarn, a aussitôt accouru de la préfecture voisine. «C'est une arme factice. C'est symbolique», l'a rassuré Michel Thomaso-Défos. Yves Mathis lui a enjoint «de ne pas recourir à des extrémités», lui conseillant d'attendre chez lui le résultat du référé. Une démarche du représentant de l'État appréciée par l'intéressé. «Je n'ai qu'une petite retraite de mille euros. Je suis obligé de continuer à travailler pour m'assurer un complément», plaide celui qui a aussi fondé le musée du chocolat de Lisle-sur-Tarn.
«Lui faire ça, à son âge, avec tout ce que ce vieil Albigeois a apporté à Albi. C'est une honte. Quel manque d'humanité !», s'indignaient unanimement ses partisans, qui ont aussitôt lancé une pétition improvisée.

«Le 1er adjoint au maire me dit que je pourrai rester»

Tout est bien qui a bien fini. «Michel Franques, premier adjoint de la maire d'Albi, a débarqué et m'a assuré que je pourrai garder mon stand», a rapporté hier soir Michel Thomaso-Défos, qui a levé le camp. Reste pour lui «qu'il faudra réviser cette convention» intenable à ses yeux.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/18/1993199-evince-de-son-stand-michel-thomaso-defos-s-enchaine.html

lundi 17 novembre 2014

Valentin est-il mort dans un torrent en Inde?

Selon les autorités indiennes et françaises, Valentin Mousset, un étudiant de sciences-po Toulouse, et son ami François-Xavier seraient morts d'une chute accidentelle en montagne en Inde. Leurs familles poursuivent cependant les recherches
Valentin Mousset, 20 ans, étudiant à l'institut d'études politiques (IEP) de Toulouse, et son ami François-Xavier, disparus depuis le 22 août 2013 dans l'Himalaya (nos éditions précédentes), seraient «morts accidentellement en montagne». Selon les rapports remis dernièrement aux parents des deux jeunes garçons, suite à une expédition visant à les retrouver, mi-septembre, et bien qu'aucun corps n'ait été retrouvé, les autorités indiennes comme françaises viennent de clore l'enquête.
La famille de Valentin vient de rendre publiques ces dernières informations sur la page Facebook* créée depuis leur disparition. Pour autant, en l'absence des corps des deux jeunes hommes, les parents restent déterminés à faire toute la lumière sur ces disparitions.
Les dernières recherches ont été effectuées dans la zone où les affaires de Valentin, à savoir ses vêtements, son sac à dos ou encore un appareil photo, ont été retrouvées au mois de juin. «Il est supposé que Valentin a chuté dans un glacier ou dans un torrent et que le débit d'eau l'a déshabillé, ce qui expliquerait que l'on ait retrouvé ses affaires sans son corps», écrivent ses parents. Mais de poursuivre : «Il nous est dit que tous les éléments observés sont compatibles avec la thèse de la chute en montagne qui est une hypothèse probable, mais dont nous n'avons pas de véritables preuves».

D'autres hypothèses

En effet, les proches continuent de s'interroger sur «l'absence totale d'information concernant François-Xavier», l'ami de Valentin, disparu avec lui. Mais ils se demandent aussi : «Il est supposé la chute de Valentin dans le torrent et son corps déshabillé par la force de l'eau, cela est-il réellement possible ? Et si tel était le cas comment expliquer que les vêtements soient retrouvés ensemble à un même niveau et 400 m plus bas le sac et la chaussure également groupés. Un tel débit d'eau ajouté à la forte pente laisserait penser que les vêtements devraient être retrouvés éparpillés dans différents lieux».
Au milieu d'un flot d'interrogations, les familles entendent «poursuivre les recherches». «Nous ne pouvons exclure d'autres hypothèses telles que l'enlèvement, la criminalité ou la retenue sous contrainte».
*Facebook : Valentin, François-Xavier, soutenons les, retrouvons les.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/17/1992771-valentin-est-il-mort-dans-un-torrent-en-inde.html

dimanche 16 novembre 2014

Une Française de 19 ans retrouvée morte dans un hôtel de Barcelone

Selon El Pais, qui révèle l'information, la police sur un «assassinat». Une jeune Française de 19 ans a été retrouvée morte ce dimanche matin dans un du centre de Barcelone (Espagne). C'est la direction de l'établissement, le Olivia Plaza, situé sur la très touristique Plaça de Catalunya, qui a appelé la police peu après midi après avoir été alertée par une femme de chambre.
 La police, qui a constaté plusieurs blessures à l'arme blanche, est à la recherche d'un suspect de sexe masculin qui, semble-t-il logeait à l'hôtel avec elle.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/une-francaise-de-19-ans-retrouvee-morte-dans-un-hotel-de-barcelone-16-11-2014-4296623.php

Anglet (64) : une maison familiale calcinée

En l'espace d'une demi-heure samedi, une maison de la rue Gabriel Peri, dans le quartier Blancpignon d'Anglet a été ravagé par les flammes. Un couple de quadragénaires, leurs trois enfants et la locataire qui occupait l'étage, sont indemnes. Ils devraient être relogés rapidement, selon le maire d'Anglet Claude Olive.
Il semblerait que le départ de feu ait pris entre le salon et la cuisine, d'une maison fraîchement rénovée. L'enquête de police confirmera l'origine du sinistre. Le père de famille était parti à la déchetterie tandis que la mère couchait leur petite fille de 3 ans. Le jeune garçon de 9 ans, handicapé, a pris la fuite aux premières flammes. Aussitôt, la mère est sortie avec son enfant. La maison a entièrement brûlé, laissant à peine quelques bouts du toits.
Les voisins se sont mobilisés pour aider ce jeune couple à continuer à vivre en attendant l'intervention de l'assureur. De porte à porte, ils ont donné environ 500 euros. De plus, un appel à la solidarité sur Facebook a permis de récolter des vêtements, des draps et des produits de beauté. 
http://www.sudouest.fr/2014/11/16/anglet-64-une-maison-familiale-calcinee-1737663-3944.php

Le retour espéré de sainte Bernadette

Bernadette Soubirous sera-t-elle un jour de retour à Lourdes ? C'est en tout cas ce à quoi travaille José Marthe, le conseiller général de Lourdes Ouest. Depuis le 3 août 1925, le corps intact de la sainte à qui la Vierge est apparue à la grotte de Massabielle repose dans une châsse de verre située dans la chapelle de l'ancien couvent Saint-Gildard, à Nevers. Le site est celui de la maison-mère des Sœurs de la Charité, congrégation à laquelle appartenait la jeune lourdaise.
«Réfléchir et sensibiliser les Lourdais à ce retour est légitime. Bernadette est d'ici et le développement de la ville s'est fait grâce à elle contrairement à Nevers dont l'histoire ne tourne pas autour d'elle», martèle José Marthe qui a créé en septembre Famille Soubirous, une association «pour fédérer toutes les personnes qui souhaitent œuvrer au retour de la petite bergère dans la cité mariale».
Sur les six membres que compte le bureau, trois sont de la famille de Bernadette. «En matière de défunt, il est normal que la famille ait son mot à dire et elle aussi souhaite le retour de Bernadette» souligne l'élu.
José Marthe a informé l'évêque de Tarbes et Lourdes, le recteur des sanctuaires Notre-Dame et le curé de l'église paroissiale. Plusieurs religieux accueillent cette démarche avec bienveillance.
«Je suis malgré tout conscient et lucide des difficultés que nous allons rencontrer» assure le conseiller général.
Pour l'heure, la communauté des Sœurs de Nevers de Saint-Gildard et celle de Lourdes ne se sont pas encore prononcées sur la question. «On pourrait imaginer qu'elles continue nt à s'occuper de la dépouille de la sainte à Lourdes», propose l'association.
Toujours est-il que cet ordre, comme l'ensemble des congrégations de notre pays, connaît une crise des vocations qui a sérieusement réduit les effectifs. «Il n'est pas dit que les Sœurs puissent donc continuer à assurer cette mission» s'interroge José Marthe.
C'est dans la crypte de l'église paroissiale, là où repose le père Peyramale (curé de Lourdes lors des apparitions) que Bernadette pourrait trouver sa dernière demeure.
«Les millions de personnes qui viennent en pèlerinage regrettent de ne pas la voir ici», déplore José Marthe, alors qu'à Nevers, chaque année, 170 000 fidèles viennent se prosterner devant sa dépouille.
Le 19 novembre prochain, cela fera 150 ans que Bernadette a quitté les Pyrénées pour les Sœurs de Nevers.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/16/1992331-le-retour-espere-de-sainte-bernadette.html

samedi 15 novembre 2014

Bouhet (17) : un homme de 25 ans meurt au volant

Ce vendredi matin, les secours de Surgères et La Rochelle sont intervenus sous la pluie pour un conducteur incarcéré dans son véhicule sur la Départementale 115, au niveau de la commune de Bouhet. C'est le site du SDIS qui indique les circonstances de l'accident. 

Pour des raisons indéterminées, la voiture a quitté la chaussée avant de s'encastrer dans un arbre au bord de la route.

Malgré les tentatives de réanimation des secours, la victime de 25 ans, seule dans sa voiture, a été déclarée décédée.


http://www.sudouest.fr/2014/11/14/bouhet-17-un-homme-de-25-ans-meurt-au-volant-1736290-1391.php

vendredi 14 novembre 2014

Différend en pleine rue à Toulouse : un homme blessé par balles, le tireur ouvre le feu sur la police

Un différend s'est réglé arme à la main grande-rue Saint-Michel à Toulouse, dans la nuit de jeudi à vendredi, faisant un blessé léger qui a été hospitalisé. Le tireur a fait usage de son arme en direction des policiers qui intervenaient. La police a procédé à deux interpellations, selon une source policière.

Selon nos informations, une patrouille de police est arrivée au moment d'un différend grande-rue Saint-Michel entre trois personnes. Deux hommes étaient armés, l'un d'un fusil de chasse l'autre d'un fusil à canon scié. L'un des hommes a alors ouvert le feu sur la victime, la blessant légèrement à l'épaule. La victime a ensuite été hospitalisée.

Les deux agresseurs ont pris la fuite à pied en direction de l'avenue de l'URSS, pris en chasse par les policiers. A deux reprises, l'un d'eux a mis les policiers en joue. A la seconde reprise, il a ouvert le feu, sans blesser personne. A court de munitions, il a ensuite été interpellé par les policiers qui ont trouvé sur lui une forte somme d'argent. Son complice, qui était parvenu à prendre la fuite, a été arrêté un peu plus tard dans la soirée

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/11/14/differend-en-pleine-rue-toulouse-un-homme-blesse-par-balles-591718.html

Paris : incendie dans un immeuble de la rue du 4-Septembre

Un s'est déclaré sur la terrasse d'un immeuble en construction dans la rue du 4-Septembre dans le quartier de la à . Si un important panache de fumée était visible vers 10h15 dans la capitale, le feu ne serait pas de grande ampleur. Les pompiers sur place ont déployé une seule lance à incendie et aucune victime ne serait à déplorer.

Corse : un nationaliste échappe à une tentative d'homicide

Olivier Sauli a échappé ce vendredi matin à une tentative d'homicide à Porto-Vecchio, en Corse-du-Sud.
Le militant nationaliste corse, âgé d'une cinquantaine d'années, a été pris pour cible par plusieurs tireurs ce vendredi matin vers 6 heures. Il n'a été atteint par aucun projectile et a pu se réfugier chez sa compagne. Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie.
Depuis le début de l'année, dix homicides ont été commis sur l'île de Beauté. Le dernier a eu lieu le 7 novembre près de Bastia.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/14/1990715-l-infirmiere-verbalisee-est-en-colere.html

jeudi 13 novembre 2014

Disparitions inquiétantes à Marcq-en-Baroeul : 2 élèves de 3ème recherchées

Astrid Coquel, et Darlène Kuyu, sont élèves au Collège de Marcq en classe de 3ème. Elles ont 14 ans. Ce jeudi, elles ont pris le bus à 8h50 pour se rendre dans leur établissement. Depuis, elles n'ont plus donné aucune nouvelle. Dès ce jeudi après-midi, la police a décidé de lancer un appel à témoins.

Appel à témoins

Astrid Coquel, originaire de Mouvaux, mesure 1,60 m, a les cheveux mi-longs, raides et bruns, les yeux noisette et des lunettes rondes. Elle est vêtue d’un blouson de couleur bordeaux, d’un pantalon et de bottines noirs.

Darlène Kuyu, originaire de Marcq-en-Baroeul, mesure 1,63 m, est de corpulence mince, a les cheveux noirs tressés et courts. Elle porte des lunettes en métal, avec du rouge, et de petits anneaux ornent ses oreilles. Elle est vêtue d’un jean gris foncé, d’un blouson noir et d’un pull en laine beige, sur un chemisier blanc, ainsi que de bottes marron.

Si vous disposez d’informations utiles à communiquer aux enquêteurs, vous pouvez appeler le commissariat de Marcq-en-Barœul au 03 20 66 20 00.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/13/dispartions-inquietantes-marcq-en-baroeul-2-eleves-de-3eme-recherchees-591314.html

La boulangère sauve la vie du grand-père

MATOUGUES (51). Alors que Laura faisait sa tournée, elle s’est rendu compte qu’un de ses clients, un grand-père, était en grande détresse. Elle a immédiatement prévenu les secours.
Elle s’appelle Laura, elle ne fait pas partie de la sécurité publique mais y contribue. En dehors du fait qu’elle fait, avec un sourire constant, la tournée quotidienne de la boulangerie Maiset de Jâlons, elle assure aussi un lien social indispensable auprès des personnes âgées isolées. Celles-ci peuvent avoir une aide à domicile une ou deux fois par semaine.
Ce matin-là, un grand-père a pris un temps inhabituel à sortir. Laura est alors allée à sa rencontre. Elle a détecté des signes inhabituels : difficultés à finir de s’habiller puis par la suite à appeler un médecin, ce que Laura lui avait conseillé.

Elle revient et se rend compte de l’urgence

Après sa tournée, elle est revenue le voir par sécurité, par réflexe naturel qui consiste à venir en aide aux autres. Cette fois, elle s’est rendu compte de l’urgence, de la nécessité d’agir et a appelé le Samu. Dans la foulée, elle a prévenu les enfants du monsieur. L’homme a été pris en charge et hospitalisé. L’action de Laura s’arrête là.
Une action de bienveillance, comme Philippe, le facteur, a pu le faire quelques années en arrière en alertant les secours alors qu’une personne âgée avait fait une chute.
Le maillage assuré par la Poste, la tournée du boulanger, contribuent, de par ces gestes citoyens, à sécuriser les personnes dont les enfants ne sont pas à proximité et qui, de ce fait, ne sont pas à même de répondre à ces situations d’urgence.
Nul n’est besoin d’un titre honorifique pour être porteur de l’intérêt général. Bravo à Laura
http://www.lunion.presse.fr/region/la-boulangere-sauve-la-vie-du-grand-pere-ia3b24n438906

Condamné pour avoir tué un enfant : «Je suis prêt à parler»

Zaccharia Batti, le visage fermé, est sorti de son silence hier devant la cour d'assises d'appel de la Haute-Garonne. Cet homme de 30 ans avait été condamné par la cour d'assises de l'Ariège en février 2013 à 25 ans de réclusion criminelle pour avoir porté des coups mortels à un enfant de 3 ans, le 26 juillet 2009, à Pamiers. L'homme n'avait pas reconnu les faits. Une attitude déplorée par son ex-compagne, la mère de l'enfant, et toute sa famille. Il a décidé de s'expliquer durant son procès en appel. «S'il est mort, ça ne peut être qu'à cause de moi, par contre je suis incapable de comprendre pourquoi, ni comment». Des explications encore trop vagues selon le président Bardou. Son avocat, Me Martin, a demandé, hier, une expertise psychiatrique. Les débats continueront jusqu'à vendredi. Les parents de l'enfant espèrent obtenir enfin la vérité sur ce drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/13/1990277-condamne-avoir-tue-enfant-suis-pret-parler.html

mercredi 12 novembre 2014

Une Périgourdine vole le chéquier de sa mamie et dépense plus de 14 000 euros

Les mauvaises habitudes ont parfois la vie dure. Une Périgourdine de 40 ans a été condamnée à cinq mois de prison avec sursis pour avoir dérobé le chéquier de sa mamie et dépensé plus de 14 000 euros avec, entre le 27 avril et le 27 juin 2011 dans le secteur de Terrasson et Pazayac.
La quadragénaire, qui ne s'est pas présentée à l'audience, ce lundi après-midi à Périgueux, avait été condamnée pour des faits similaires en 2004.
Elle devra rembourser la banque à hauteur de ses pertes, soit 9.200 euros. Sa grand-mère, qui s'était constituée partie civile, a obtenu l'euro symbolique qu'elle réclamait en dédommagement.

http://www.sudouest.fr/2014/11/12/elle-vole-le-chequier-de-sa-mamie-1733284-1979.php

Un jeune pâtissier séquestré 24 heures avec une hache sous la gorge

Depuis 15 jours, à Rabastens, une étrange rumeur alimente les conversations : un jeune du village aurait été enlevé. Fantasme ou réalité ? Fugue ou rapt ? Nous sommes allés à la rencontre des témoins, des amis, pour tenter de démêler le vrai du faux.
Les langues se sont déliées, nous avons visionné des photos d'une scène où l'on voit le malheureux adolescent, une hache tenue par son agresseur sous sa gorge, le recoupement de nombreux témoignages ne laisse guère de place au doute : ce vendredi 26 octobre, en soirée, R., 16 ans, a bien été kidnappé par un déséquilibré âgé de 17 ans. Il a vécu l'enfer pendant plus de 24 heures. Nous avons reconstitué à partir d'éléments vérifiés ces moments où la vie ne tient plus qu'à un fil.
Ce vendredi 26 octobre, R., apprenti pâtissier, a fini sa journée de travail. Vers 20 heures, il quitte le domicile familial pour rejoindre une copine au stade. Il n'y arrivera jamais. En chemin, il a croisé un jeune Rabastinois de 17 ans. Ce dernier vient juste de s'échapper d'une ambulance garée devant la gendarmerie. Il devait être conduit dans un hôpital psychiatrique. En effet, dans la matinée, il avait tabassé son père. Les forces de l'ordre avaient procédé à son arrestation. Son état psychique nécessitait son hospitalisation.

Une hachette à la main

Après avoir pris la poudre d'escampette, pensant qu'on veut attenter à ses jours, il dérobe, dans sa fuite, une hachette. Visiblement dans un état second, il s'en prend à R., qui est au téléphone avec un copain. «Fais pas le con, ne fais pas ça», seront les derniers mots qu'entendra son interlocuteur qui préviendra aussitôt la famille.
Le portable lui a été arraché des mains et confisqué. Sous la menace, R. doit suivre son agresseur. Le cauchemar commence et débute alors un périple difficilement imaginable. Paniqué, R. avance dans la nuit avec à ses côtés, son «gardien» qui l'oblige à garder en permanence la tête baissée. «Je ne veux pas te faire de mal», répète-t-il, à chaque coup de pied ou de poing, quand R. tente de faire entendre raison au forcené. Malgré l'heure tardive, la famille et les voisins se mobilisent.

À travers champs

La ville est quadrillée, les habitants commencent les recherches. Pendant ce temps, dans cette nuit froide, les deux adolescents marchent jusqu'à Salvagnac. Puis retournent, à Rabastens. À 5 heures du matin, un automobiliste aperçoit ce couple improbable. Il tente de les intercepter, mais ils disparaissent dans les ruelles.
Samedi 27 octobre, les deux jeunes poursuivent leur périple par monts et par vaux. Direction Saint-Wast, un hameau à une dizaine de kilomètres de Rabastens. La faim les tenaille. Ils pénètrent dans une ferme isolée, le mari est aux champs, la femme dans son potager. Après quelques empreintes dans la cuisine, ils repartent casser la croûte au bord d'un ruisseau non loin de là. La fermière les aperçoit, mais ne se doute pas un seul instant que l'un des garçons est sous l'emprise de l'autre. Dans Rabastens, les recherches s'intensifient. C'est jour de marché et la nouvelle de la disparition se répand comme une traînée de poudre.

«Ce n'était pas du cinéma»

Des affichettes avec le visage du disparu sont distribuées aux commerçants. Plus de 50 personnes s'organisent : «13 voitures, avec 4 à 5 personnes à bord, se sont positionnées aux différentes entrées de la ville. D'autres parcourant les rues à pied ou à vélo», raconte une jeune fille. Les gendarmes avec un chien tentent également de dépister l'ado. Un week-end particulièrement chargé pour les forces de l'ordre. À 30 km de là, à Sivens, et en raison d'un rallye automobile.C'est aux alentours de 22 heures qu'il est aperçu, dans une rue proche de l'église. Attablés à la terrasse d'un restaurant, une dizaine de personnes découvrent R., tête baissée, suivie de près par un autre homme : «Nous l'avons appelé. Il ne répondait pas. Nous nous sommes approchés et le mec à ses côtés lui a mis aussitôt la hachette sous la gorge. Nous avons tenté de le raisonner. Ce n'était pas du cinéma», se souvient un des témoins. «C'est lui qui lui a sauvé la vie», se rappelle-t-il. Il désigne Marc (prénom modifié), un Rabastinois de 40 ans : «J'ai senti que cela allait très mal finir. Je me suis approché et j'ai pu écarter l'agresseur en le tirant par un bras». R. sain et sauf, son geôlier se rue chez son père, défonce la porte de l'appartement à coups de hache et se retranche à l'intérieur. Ce sont les gendarmes qui le cueilleront. L'intervention du maire Pierre Verdier sera nécessaire pour signer l'hospitalisation d'office. Il sera transféré à l'hôpital Bon Sauveur à Albi. R. sera conduit aux urgences du centre hospitalier de Lavaur où seront constatés les coups et blessures qu'il a subi pendant son kidnapping. Mardi dernier, il a repris son travail. C'est dans une grande indifférence, en dehors de l'affection de sa famille et de ses amis, que R. tente de reprendre une vie normale.
Une plainte a été déposée et le Parquet d'Albi est saisi de l'affaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/12/1989590-jeune-patissier-sequestre-24-heures-hache-sous-gorge.html