mercredi 30 septembre 2015

Effondrée après leur rupture, la compagne de Jim Carrey se suicide

L’histoire d’amour tumultueuse s’est terminée en tragédie. Le comédien Jim Carrey a appris mardi la mort de Cathriona White, sa compagne depuis 2012. Leur relation était compliquée et l’acteur venait de quitter la jeune femme de 28 ans pour la deuxième fois depuis leur rencontre. Malheureusement, Cathriona White n’a pas supporté cette rupture et a mis fin à ses jours.

« Elle était une fleur irlandaise »

La maquilleuse habituée des plateaux hollywoodiens avait posté un message inquiétant jeudi dernier sur Twitter : « J’espère avoir été une lumière pour mes proches ». Elle a été retrouvée morte à son domicile de Los Angeles après avoir fait une overdose médicamenteuse. La jeune femme a laissé une lettre où elle attribue la cause de son suicide à sa rupture avec Jim Carrey. Dans un communiqué, l’acteur de 53 ans s’est dit dévasté : « Je suis sous le choc et profondément attristé par le décès de ma douce Cathriona. Elle était une fleur irlandaise vraiment gentille et délicate, trop sensible pour cette terre, pour qui aimer et être aimée était tout ce qui comptait. Je suis de tout cœur avec sa famille et ses amis et tous ceux qui l'aimaient et tenaient à elle. Nous avons tous été frappés par la foudre ».
 

mardi 29 septembre 2015

Lille : une jeune femme de 20 ans retrouvée morte à son domicile

Une jeune femme de 20 ans a été découverte morte dans la soirée de lundi dans un appartement de la rue Colbrant à Lille. Elle gisait dans un bain de sang, une enquête a été ouverte.
C'est peu après 21 heures que les pompiers ont été appelés à intervenir lundi soir dans un appartement de la rue Colbrant en centre-ville de Lille.

Une jeune femme âgée de 20 ans y était retrouvée morte, gisant dans une flaque de sang. A proximité du corps se trouvait un long couteau. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes exactes de la mort.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/lille/lille-une-jeune-femme-de-20-ans-retrouvee-morte-son-domicile-818003.html

Orne : onze blessés dont 9 enfants dans l'accident d'un bus scolaire

Le voyage scolaire a tourné au drame. Un accident s’est produit lundi après-midi sur la RN12, à la sortie de Saint-Denis-sur-Sarthon (Orne). D’après Ouest-France, un bus qui transportait une cinquantaine d’enfants de 10 à 12 ans originaires d’Écosse est entré violemment en collision avec une voiture. La conductrice du véhicule ainsi qu’un accompagnateur scolaire ont été gravement blessés dans l’accident et ont dû être hospitalisés en urgence. Neuf enfants ont également été transportés au Centre hospitalier d’Alençon. Les autres passagers du bus ont été accueillis temporairement dans une salle polyvalente alors que la RN12 était coupée dans les deux sens.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/29/2187215-orne-onze-blesses-dont-9-enfants-accident-bus-scolaire.html

lundi 28 septembre 2015

Bagarre entre deux femmes : une blessée conduite à l'hôpital

Samedi, aux alentours de 19 h 30, des riverains de la place de Libération à Cahors ont assisté à un bien vilain spectacle : une dispute entre deux femmes. Le ton est rapidement monté, puis les deux femmes ont échangé des coups. L'une d'elles a été légèrement blessée au cours de cette rixe nocturne qui a nécessité l'intervention d'une équipe de la police nationale et des pompiers de Cahors. La victime a été transportée au centre hospitalier de Cahors pour des soins et des radios de contrôle. L'autre femme devait être entendue par la police afin de démêler l'origine du différent qui a déclenché la bagarre.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/28/2186246-bagarre-entre-deux-femmes-une-blessee-conduite-a-l-hopital.html

dimanche 27 septembre 2015

Victime supposée d'un meurtre, elle réapparaît 31 ans après sa disparition

P etra Pazsitka portée disparue à Brunswick (Allemagne), le 26 Juillet 1984 à l'âge de 24 ans, est réapparue, 31 ans après sa disparition, à Dusseldorf.
Selon une information diffusée par nos confrères du Bild, Petra Pazsitka portée disparue à Brunswick (Allemagne), le 26 Juillet 1984 à l'âge de 24 ans, est réapparue, 31 ans après sa disparition, à Dusseldorf.  Le jour de sa disparition, après être passée chez le dentiste, elle n'était pas venue fêter l'anniversaire de son frère. Toujours selon le Bild,  "comme une jeune fille de 14 ans avait été violée et tuée un an plus tôt dans le quartier, la police allemande avait très vite estimé que le tueur avait récidivé". L'affaire avait été classée en 1989, ses proches la pensaient jusqu'alors morte
"Elle ne souhaite pas retrouver son frère et sa mère"
Les choses auraient pu rester en l'état si, le 11 septembre dernier, une femme se faisant appeler madame Schneider, n'était venu porter plainte à la police pour un cambriolage. Quand les policiers de Dusseldorf lui demandent de présenter ses papiers, elle indique être Petra Pazsitka. Toujours selon Bild, la quinquagénaire affirme  que sa famille "n'est pour rien dans sa disparition" et  qu'elle "ne souhaite pas retrouver son frère et sa mère
http://www.midilibre.fr/2015/09/26/vicitime-supposee-d-un-meurtre-elle-reapparait-31-ans-apres-sa-disparition,1218510.php

samedi 26 septembre 2015

Gaillan-Médoc (33) : un homme meurt dans un accident de voiture

Le choc frontal entre deux voitures s'est produit vendredi soir vers 22 heures sur la départementale 1250 au lieu dit "Le Bois du fil" sur la commune de Gaillan-Médoc.
Le conducteur de la première voiture, un homme de 21 ans est décédé.
Dans le second véhicule, le conducteur, un homme de 44 ans a été grièvement blessé. Le passager, un homme de 22 ans, a été légèrement touché. Les deux hommes ont été conduit à l'hôpital de Lesparre. Leurs jours ne sont pas en danger.
http://www.sudouest.fr/2015/09/26/gaillan-medoc-33-un-homme-meurt-dans-un-accident-de-voiture-2136335-2884.php

Impôts: la télédéclaration obligatoire dès 2016 ?

Le ministère des Finances envisage la généralisation de la télédéclaration à partir de 2016 en France. A partir de cette date, il ne sera progressivement plus possible de remplir une déclaration d'impôts sur papier sous peine d'amende. Selon le quotidien Les Échos, la mesure concernerait dans un premier temps les ménages les plus aisés.

Le ministère des Finances envisage une "généralisation de la télédéclaration" des revenus à partir de 2016, de manière "souple et progressive", et sans pénaliser les foyers n'ayant pas accès à internet, a-t-on appris vendredi auprès de Bercy.
Selon le quotidien Les Échos, qui a dévoilé l'information sur son site web, la mesure concernerait dans un premier temps les ménages les plus aisés, à partir de 50.000 euros de revenus annuels, qui se verraient infliger une amende de 15 euros s'ils persistent à déclarer sur papier.
Le ministère des Finances précise toutefois qu'un dispositif sera prévu  pour les contribuables, essentiellement les personnes âgées, n'étant pas en  mesure de remplir le formulaire en ligne, sous forme de "case à cocher"  indiquant que le foyer n'a pas accès à internet.
La télédéclaration, "un droit commun"
"L'idée est que la télédéclaration devienne le droit commun, tout en permettant à ceux qui n'ont pas la possibilité de télédéclarer de ne pas le faire", selon Bercy.
Le mécanisme sera précisé dans le projet de loi de finances pour 2016, lequel doit être dévoilé mercredi en conseil des ministres.
Bercy réfléchit depuis plusieurs mois au moyen de développer encore la déclaration en ligne, dans la perspective du passage au prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu.
"Le problème c'est l'obligation"
Pour Vincent Drezet, secrétaire général Solidaires Finances publiques, interrogé sur LCI (voir la vidéo ci-dessus) "cette mesure pose la question de l'exercice du service public". "Le problème c'est l'obligation de déclarer en ligne. Cette obligation va poser problème à ceux qui ne maîtrisent pas Internet, préfèrent le papier ou n'ont pas accès à Internet" estime-t-il.
Quelque 14,6 millions d'usagers, soit 40,2% des foyers fiscaux, ont choisi  cette année de déclarer leurs revenus en ligne, soit une progression de près de  12% par rapport à l'année 2014, a indiqué le ministère des Finances.
 

vendredi 25 septembre 2015

Cosmétiques: Plus de la moitié des produits contiennent des composants dangereux

En suivant la journée d’une femme et d’un homme ordinaire utilisant plusieurs produits cosmétiques, 60 Milions de consommateurs en a étudié les composés. Dentifrices, gels douches, crèmes à raser, lait pour le corps, savons solides et liquides et crèmes de jour : tout y est passé.

Plus de 100 ingrédients en contact avec la peau en une journée

Verdict : Dans 48 des 93 produits testés, on trouve tout un tas de substances allergisantes, d’agents tensio-actifs aux capacités irritantes et des conservateurs aux qualités douteuses. Parmi les composants incriminés, on retrouve le phétoxyethanol, methylisothiazolinone (MIT) ou encore methylchloroisothiazolinone (MCI). « Quand on sait qu’un cosmétique peut incorporer dix à vingt molécules différentes, parfois même davantage, on peut estimer que sur 24 heures, cent à deux cents ingrédients cosmétiques ont été en contact avec (la) peau » commente le magazine.
A titre d’exemple, parmi les 93 produits du quotidien testés figure du dentifrice de la marque Colgate. Un produit dans lequel l’institut National de la consommation (INC) a trouvé des traces de triclosan (un anti-bactérien accusé de dérégler le bon fonctionnement hormonal), interdit par la Commission européenne dans les produits de rasage souligne France Inter. Mais le phénoxyéthanol, autre anti-bactérien, retrouvé dans 26 produits de la crème de visage au lait démaquillant continue d’être utilisé, un choix que regrette Que Choisir.

Des allergènes encore trop utilisés

Dans son enquête, l’INC pointe également du doigt la présence de filtres ultraviolets dans des gels douche Fa ou L’Occitane. Une composition jugée surprenante puisqu’il ne s’agit pas de solutions anti coups de soleil.
Autre point important, les allergènes. Seuls 21 produits n’en contenaient aucun et les fonds de teint en seraient très friands précise Pourquoi Docteur. Et qu’on ne compte pas sur les marques de luxe pour séparer le bon produit du mauvais, toutes les gammes de prix sont touchées : Dior, Clarins ou Biotherm sont de mauvais élèves selon Que Choisir.

http://www.20minutes.fr/sante/1695607-20150925-cosmetiques-plus-moitie-produits-contiennent-composants-dangereux

Marans (17) : un motard grièvement blessé après avoir perdu le contrôle de son engin

Ce vendredi, vers 14 heures, l'hélicoptère Dragon 17 de la sécurité civile (basé à La Rochelle) a pris en charge un motard, grièvement blessé à la suite d'un accident de la circulation survenu peu avant, sur la route départementale 938, à Marans.

Agé d'une vingtaine d'années, ce motard circulait dans le sens Saint-Jean-du-Liversay/Marans lorsqu'il a, semble-t-il, lors d'un dépassement, perdu le contrôle de son engin.
La victime, polytraumatisée, a été secourue par les pompiers et une équipe du Smur. La gendarmerie est en charge de l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2015/09/25/marans-17-un-motard-grievement-blesse-apres-avoir-perdu-le-controle-de-son-engin-2135355-1435.php

Une Sedanaise de 25 ans dénonce son tortionnaire

Mercredi après-midi, les policiers sedanais ont reçu la visite d’une femme de 25 ans qui osait, enfin, les alerter de violences conjugales.
Le visage tuméfié, la jeune femme a expliqué que son compagnon l’avait violemment battue. Ce passage a tabac a occasionné quatorze jours d’ITT. Les fonctionnaires ont interpellé le conjoint violent et l’ont placé en garde à vue. Dans un premier temps, l’homme de 29 ans, a nié les faits en bloc. Les policiers se sont rendus au domicile du couple. Ils y ont découvert un nombre impressionnant de certificats médicaux concernant des coups reçus par la jeune femme. Celle-ci leur a, alors, expliqué qu’elle était battue régulièrement depuis plusieurs années. À plusieurs reprises, elle avait consulté un médecin mais elle n’avait pas, jusqu’à mercredi, osé alerter la police.
Au regard de ces éléments, le conjoint violent a admis, partiellement, les faits. Leur gravité ne lui semblerait pas évidente. Il est présenté aujourd’hui devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières pour violences aggravées sur conjoint.
http://www.lunion.com/node/557107

Un diamant rose rarissime en vente

Un diamant rose taillé en forme de coussin de 16,09 carats, le plus gros de ce type jamais mis aux enchères, sera mis en vente le 10 novembre à Genève, à un prix estimé entre 23 et 28 millions de dollars (entre 20,5 et 25 millions d'euros), a annoncé jeudi la maison de vente Christie's.

Le diamant "In the Pink" est certifié "Fancy vivid Pink" (rose vif) par le Gemological Institute of America (GIA), précise la maison de vente dans un communiqué.

Les diamants roses sont classés en 5 teintes, selon leur intensité, et "Fancy vivid" est la couleur la plus élevée de l'échelle.
Le diamant rose "In the Pink" est une pierre rarissime car en 250 ans seuls trois diamants roses de plus de 10 carats de type "Fancy vivid" ont été mis en vente, selon Christie's.

Ce diamant doit également sa valeur au fait qu'il est de type IIa, une catégorie extrêmement rare et recherchée représentant moins de 2% des diamants répertoriés dans le monde.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/24/97001-20150924FILWWW00412-un-diamant-rose-rarissime-en-vente.php

jeudi 24 septembre 2015

Erstein : un blessé grave dans une explosion au centre hospitalier

Une explosion a eu lieu vers 12 h 35 au centre hospitalier d'Erstein. A l'origine, l'utilisation d'air comprimé lors d'une opération de maintenance du circuit de gaz de la chaufferie. Bilan : trois blessés, dont un homme de 48 ans plus gravement atteint et transporté au CHU de Hautepierre.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/erstein-un-blesse-grave-dans-une-explosion-au-centre-hospitalier-814781.html

Saint-Malo: Du personnel médical jugé après la mort d'un petit garçon à l'hôpital

L’affaire qui va être examinée cet après-midi devant le tribunal de Saint-Malo est terrible. Deux personnels de santé de l’hôpital de la ville y seront jugés pour homicide involontaire, après la mort de Mathis, enfant alors âgé de deux ans et demi, en août 2012.

« Diplômée depuis trois semaines »

Le jeune garçon, pris en charge pour du diabète, avait reçu une dose létale de chlorure de potassium administré par une jeune infirmière. « On attendait les résultats de la prise de sang. Il semblerait que l’ordonnance ait été mal interprétée. La jeune infirmière, diplômée depuis trois semaines, a injecté par voie intraveineuse une dose létale de chlorure de potassium. Mathis a été victime d’un arrêt cardiaque », rapporte Céline, sa maman, sur le site du Télégramme. Aide-soignante dans ce même hôpital, elle est en arrêt maladie, rapporte le quotidien.
L’établissement malouin n’est pas poursuivi. Seules une pédiatre à la retraite et la jeune infirmière seront jugées cet après-midi.
http://www.20minutes.fr/rennes/1694291-20150924-saint-malo-personnel-medical-juge-apres-mort-petit-garcon-hopital

Incendie meurtrier : la vague d'arrestations

«Un dossier prioritaire, en raison de l'extrême gravité des faits» : c'est en ces termes que Michel Valet, alors procureur général à Toulouse, qualifiait le drame survenu le 4 septembre 2014, à Lavelanet. Du côté des enquêteurs, et du juge d'instruction toulousain en charge du dossier, la pression ne s'est jamais relâchée. Et l'enquête menée depuis douze mois a progressé de manière spectaculaire hier puisqu'une vague d'interpellations a eu lieu à Lavelanet. Une opération importante, qui a entraîné le déploiement d'importants moyens de la section de recherches de la gendarmerie, venue de Toulouse, en charge du dossier et du groupement de l'Ariège.

Le mutisme des enquêteurs

Ni le nombre de personnes interpellées, ni le lieu de ces interpellations, n'ont été dévoilés par le parquet général, à Toulouse, les enquêteurs travaillant sur commission rogatoire, dans le cadre d'une information judiciaire.
Reste que cette vague d'interpellations constitue une «avancée» dans l'enquête, confiait hier une source de «La Dépêche du Midi». Elles seraient au nombre de cinq, selon une autre source.
Les faits sont vieux d'un an, presque jour pour jour. Nous sommes le 4 septembre 2014. Au milieu de la nuit, vers trois heures, un incendie embrase cette pension de famille gérée par la Croix-Rouge et qui accueille une vingtaine de résidents en situation difficile. Certains, réveillés par le bruit d'une explosion, parviennent à s'enfuir par les coursives du bâtiment très récent - il avait été inauguré moins d'un an avant - construit en bois, et perché sur des pilotis. Trois personnes périssent dans l'incendie : Gilbert Ferrier, Frédéric Amiot et Dominique Monery. Un hommage vient de leur être rendu, à Lavelanet, à l'occasion du premier anniversaire de cette tragédie.

Allumé dans les garages

Très rapidement, les enquêteurs avaient acquis la certitude d'avoir affaire à un incendie d'origine criminelle. Le feu avait été allumé dans les garages de la résidence, sous les appartements. Un véhicule de la Croix-Rouge avait d'abord été embrasé. «Un véhicule récent, qui n'avait aucune raison de prendre feu», confiait alors Olivier Caracotch, procureur de la République à Foix, Puis le feu s'était communiqué à la voiture stationnée à côté - un GPL - qui avait explosé. Le feu avait alors dévasté tout une aile du bâtiment, piégeant les trois locataires dans leurs appartements. Deux résidents avaient été intoxiqués par les fumées en tentant de porter secours à des personnes piégées par les flammes.
Ce drame terrible avait endeuillé la petite ville de Lavelanet, d'autant qu'il touchait des personnes dont la vie n'avait pas été des plus faciles. La pension de famille, en effet, accueillait des résidents en situation parfois précaire, en voie de réinsertion.
En février dernier, enfin, environ cent cinquante personnes ont participé à une marche blanche en hommage aux trois victimes du drame. Leurs familles se trouvaient en tête du cortège. Les trois victimes avaient toutes leurs racines dans notre département.
Une série d'interpellations a eu lieu hier matin dans le cadre de l'enquête menée sur l'incendie criminel qui a causé la mort de trois personnes, en septembre 2014, dans une pension de famille de Lavelanet.
 

 

mercredi 23 septembre 2015

Un enfant mordu au visage par son chien

Le drame s'est produit lundi vers 21 heures, tandis que la famille était réunie dans la même pièce et partageait le repas du soir.
L'animal a fait l'objet d'un placement dans un chenil.
Un terrible accident qualifié de «domestique» s'est produit lundi soir à Lézignan où un jeune garçon a été mordu au visage par le chien de la famille.
Il était environ 21 heures quand l'imposant American Staffordshire Terrier, un chien de combat, a grièvement blessé à la figure un garçonnet âgé, selon nos sources, d'environ 4 ans.
Le malheureux enfant, pour lequel le pronostic vital n'est nullement engagé, a été pris en charge par le Smur et a été transporté à l'hôpital Lapeyronie de Montpellier où il a été admis dans un service de chirurgie réparatrice. Il a subi une opération d'urgence dès hier et ce, afin d'éviter toute séquelle durable.
La gendarmerie nationale a procédé aux contrôles d'usage concernant le chien et le maître a été en mesure de leur présenter tous les documents nécessaires et en règle. En outre, celui-ci a déclaré vouloir euthanasier l'animal dans les plus brefs délais.
Le maire de Lézignan-Corbières a immédiatement pris un arrêté municipal pour «placer» l'American Staff dans un chenil. C'est dans une pension canine située à Cruscades que le molosse a été conduit vers 23 h 30 lundi.
Aujourd'hui, il recevra la visite d'un vétérinaire. L'animal paraît être en bonne santé et, selon Gabriel Sanchez, le gérant de la pension, il est âgé d'environ trois ans. S'il ne semble pas forcément «méchant ni agressif», il est plutôt décrit comme «craintif et méfiant». «Il a tendance à se blottir au fond de son box, ce qui correspond peu au comportement habituel de ce genre de chien», commente le patron du refuge de la Pinède de Jovin. S'il ne connaît rien de la vie de cet animal, il note un «défaut flagrant de socialisation» et des «manques visibles d'éducation». Le fait est que son comportement est inexplicable. «Un chien ne mord jamais gratuitement, ce n'est pas spontané. Mais j'ignore ce qui s'est passé», dit ce spécialiste des chiens qui attribue en pareil cas autant de responsabilité aux maîtres qu'au chien mordeur…
 

mardi 22 septembre 2015

Aude : les gendarmes lancent un appel à témoin après un accident mortel sur l'A61

Suite à l'accident mortel survenu sur l'autoroute A61 à Narbonne, dans l'Aude, le vendredi 18 septembre 2015 vers 13h45, les enquêteurs demandent à toute personne ayant été témoin de cet accident ou susceptible de fournir des renseignements de prendre contact avec la gendarmerie autoroute de Narbonne au 04 68 40 47 65.
L'accident s'était produit dans le sens Toulouse - Narbonne, à hauteur de l'aire de repos "Jonquières". Un jeune audois de 18 ans avait été tué. L'accident avait fait également un blessé, toujours dans un état grave
 

lundi 21 septembre 2015

AZF: 14 ans après, l'absence de vérité judiciaire entretient les tensions

Quatorze ans après la terrible explosion qui a secoué Toulouse, les cérémonies du souvenir se suivent et se ressemblent sur le site d’AZF. Toujours ce ciel bleu, comme le 21 septembre 2001, toujours cette ribambelle d’élus qui jouent les équilibristes entre deux peines, deux rancœurs, et deux cérémonies.
Celle des ex-salariés de l’association AZF-Mémoire et Solidarité, toujours convaincus que l’industriel n’est pour rien dans la catastrophe, et celle, plus neutre, organisée par la mairie. L’ambiance et polie et recueillie mais il y a toujours cette hostilité silencieuse, cette impression de bras de fer, qui flotte dans l’air. Elle était d’autant plus perceptible cette année après que la Cour de cassation a remis les compteurs à zéro et renvoyé les deux camps dos à dos en ordonnant un nouveau procès en appel.
Du coup, chacun laboure son terrain. « Nous continuons à solliciter de nouveaux témoignages », a lancé au micro Jacques Mignard, le président d’AZF-Mémoire et Solidarité. L’ex-syndicaliste pense en effet « qu’il y a des gens qui ont des choses à dire et qui, 14 ans après, auront retrouvé une certaine liberté de parole ». Une théorie qui a le don de hérisser les autres parties civiles. « Tous les témoins ont été entendus, pas une fois mais dix fois, s’agace Stella Bisseuil, l’avocate de l’Association de familles endeuillées. Ce déni des ex-salariés, compréhensible sous le coup de traumatisme, est aujourd’hui encouragé par Total ».
« Je n’arrive pas à m’y faire. Cette gerbe de Total me donne la gerbe »
Les représentants de l’industriel ont eux aussi déposé leur gerbe. Sans essuyer de quolibet. Mais ils n’ont pas échappé aux commentaires acerbes. « Je n’arrive pas à m’y faire. Cette gerbe de Total me donne la gerbe », a notamment lâché Gérard Onesta (EELV), tête de liste écologiste pour les élections régionales.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1691491-20150921-azf-14-ans-apres-absence-verite-judiciaire-entretient-tensions

Les gendarmes chassent les délinquants

227 gendarmes ont été mobilisés dans la nuit de samedi à dimanche notamment autour de Toulouse. Une opération anti-délinquance pour marquer le terrain. Reportage.
La nuit est sombre, pas encore trop fraîche. Le parking de l'hypermarché à l'entrée de Plaisance-du-Touch a été transformé en zone de contrôle par les gendarmes. Le passage est obligé pour les conducteurs qui entrent ou sortent dans cette partie de l'ouest toulousain. «Dans la première voiture arrêtée, nous avons trouvé une arme de poing», annonce un officier de la compagnie du Mirail. Le général Bernard Clouzot apprécie et surveille Achille, un Malinois. Sept ans que ce chien cherche, et trouve, de la drogue. Le propriétaire d'une Peugeot 206 beaucoup moins. Le chien marque la boîte à gant. Sous divers papiers, un pot de confiture, fermé. À l'intérieur une tête de cannabis.
«Vous consommation personnelle ?», questionne un gendarme.
Le conducteur acquiesce. Devant le magasin, deux gendarmes, des réservistes, font souffler des conducteurs. Négatif. «Cette opération n'est pas un contrôle d'alcoolémie de plus, prévient le général Bernard Clouzot, patron de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées, et du groupement de la Haute-Garonne, depuis le 1er août. Elle s'inscrit dans la lutte contre la délinquance. Sous réquisitions du procureur, nous recherchons arme, stupéfiant et d'éventuels cambrioleurs.»

3 000 voitures contrôlées

Le fumeur d'herbe part entre deux gendarmes jusqu'à la brigade pour la procédure. Un autre conducteur s'amuse de voir le chien farfouiller dans son coffre qui déborde. Rien. Pas d'avis de recherche. L'homme reprend sa route. «On vérifie à l'instinct», glisse un gendarme.
La radio crépite. À Beauzelle, une Toyota vient de forcer le barrage. «Le conducteur a pris le rond-point à contresens», dit la radio. La tension gagne les visages. Il est 2 h 45. D'autres voitures passent, les vérifications ne donnent rien. La radio de nouveau : «C'est bon, le conducteur est arrêté !», annonce un officier. Le conducteur a trop bu. «Et il n'a pas de permis». Garde à vue immédiate.
Au péage de L'Union, sur l'autoroute vers le Tarn, un conducteur affiche 2 g d'alcool. Fin de soirée pour lui ; fin de permis aussi. Pinsaguel, à la croisée des chemins, les gendarmes de la compagnie de Muret tiennent le rond-point. Ambiance plus tendue. Un gendarme serre un fusil à pompe, un autre essaye de calmer un jeune conducteur qui raisonne. Iron le Malinois passe sa truffe dans la voiture. Rien de suspect. Les deux jeunes repartent vers Toulouse. Il est plus de 3 heures. L'humidité refroidit l'atmosphère. Sur les points de contrôles, les conducteurs soufflent avec le sourire. En trois coups de lampe torche, les militaires observent l'intérieur des voitures. Iron flaire une nouvelle voiture. Rien.
Entre 2 heures et 7 heures, 3 000 personnes et véhicules ont été contrôlés, 1 000 coffres ouverts autour de Toulouse mais également à Saint-Gaudens et Revel. Une arme a été découverte, quelques détentions de stupéfiants constatées. Deux individus faisant l'objet de fiche de recherche ont été arrêtés plus des alcoolémies. «Nous nous montrons. Le résultat sec importe peu, assure le général Clouzot. Les délinquants doivent nous craindre. Les cambriolages progressent d'environ 10 % après la baisse de l'an dernier. Nous retrouvons les niveaux de 2013. Nous allons multiplier les actions, occuper le terrain de jour comme de nuit pour sécuriser les habitants de la Haute-Garonne.»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/21/2181397-les-gendarmes-chassent-les-delinquants.html

Haute-Saône : sa femme le quitte, il met le feu à la maison

Tout de noir vêtu, le prévenu, 39 ans, semble porter le deuil de leur maison. Cette ancienne ferme située en plein centre de Montcey, qu’il a volontairement incendiée le 26 février dernier.
À la barre du tribunal de Vesoul, l’homme décrit cette journée qui a bouleversé sa vie et celle de sa famille. « Je suis rentré du boulot. Ma paye ayant été virée, nous sommes « descendus » à Vesoul pour y faire des courses », explique cet ouvrier chez Peugeot. Mais à sa grande surprise, un autre rendez-vous l’attendait. « Nous nous sommes retrouvés devant un éducateur qui m’a annoncé : « Je vais placer votre femme et vos enfants ! » Jamais elle ne m’avait dit qu’elle souhaitait me quitter, divorcer, ni même faire un break. Il y avait des hauts, des bas, mais je n’ai pas vu que madame en avait ras la casquette. J’ai été aveugle, trop amoureux ».
Sous le choc, l’homme rentre chez lui à pied. Plus de onze kilomètres, jusqu’à ce fameux coup de téléphone passé vers 18 h à son épouse, qui a tout déclenché : « Je lui ai demandé pourquoi elle avait fait ça ? »
Il menace alors de se « foutre en l’air », de mettre le feu à la maison et à la grange annexée. « Sous la colère, j’ai fait la bêtise ». Il jette de l’essence dans le hall d’entrée, provoque l’étincelle et quitte les lieux. « Quand je suis arrivé en haut de la colline, j’ai su qu’il était trop tard ». Alors que l’incendie emporte tout, l’intéressé se livre spontanément aux gendarmes.
« Les enfants n’ont plus de souvenirs matériels, plus de photos de famille, plus de jouets. Il n’y a plus de doudou, plus de cahiers de CM1...», énonce Me Julien Glaive. Pour l’avocat de la partie civile, « cette dame, qui ne demandait qu’une liberté conjugale, est pulvérisée psychologiquement ». Elle ne dort plus, s’affaiblit, maigrit à l’extrême. « Je suis passée de 57 à 37 kilos », lâche-t-elle. « Ce qu’il me reste ? Des dettes et plus rien à vendre ». Appelée par la présidente, Karine Guilloux, à témoigner à la barre, la jeune femme, âgée de 33 ans, évoque des violences répétées, des insultes quotidiennes : « De novembre à février, nous avons vécu sans chauffage, dans des pièces à 10°. J’avais 400 euros de budget par mois pour nourrir six personnes. Au bout de deux semaines, nous n’avions plus rien à manger. C’était pâtes et patates tous les jours. J’ai supporté, pas les enfants… »
Représentant le ministère public, Martine Malitchenko, dans ses réquisitions, a qualifié l’incendie « d’acte d’une extrême violence qui comporte un aspect d’autodestruction, d’autopunition ». Le prévenu au casier jusqu’alors vierge a été condamné à six mois de prison avec sursis, à deux ans de mise à l’épreuve avec obligation de se soigner et de réparer les préjudices causés. L’audience sur intérêts civils est programmée le 26 novembre, à 10 h 30.
Les dommages intentionnels n’étant pas garantis, la maison en commun, estimée quelques semaines plus tôt à environ 130.000 euros, ne vaut désormais plus rien, ou presque. Les crédits, eux, courent toujours pour l’achat de l’habitation, pour la réfection du toit et pour divers travaux. « Douze années de rénovation parties en fumée », commente la jeune femme.
Sans emploi, elle a déposé un dossier de surendettement, vit désormais dans un appartement HLM à Aillevillers-et-Lyaumont, non loin de ses parents, où elle tente de se « reconstruire ». En attendant, les enfants du couple ont été placés pour six mois, les deux grandes dans un foyer à Vesoul, les deux autres dans une famille d’accueil à Luxeuil-les-Bains. Leur mère dispose d’un droit de visite restreint et sous surveillance. « Je ne les vois qu’une heure toutes les deux semaines », glisse-t-elle dans un sanglot. Mercredi, le petit dernier a soufflé ses cinq bougies. Sans sa maman… Sylvain MICHEL
L’incendie à peine consumé, le maire de Montcey, André Ancel, avait cherché une solution pour accueillir la jeune maman et ses quatre enfants. Le village ne disposant pas de lieu d’hébergement disponible, la famille avait finalement trouvé refuge, durant trois semaines, entre les murs de l’AHSSEA (Association haut-saônoise pour la sauvegarde de l’enfant à l’adulte) à Frotey-lès-Vesoul.
Un appel aux dons en espèces avait parallèlement été lancé. « Nous avons préféré leur offrir de quoi s’acheter des vêtements et des jouets neufs. C’était important pour que les enfants, profondément affectés, se sentent un peu mieux », précise André Ancel. Amis proches ou simples connaissances, associations ou généreux inconnus se sont manifestés. Au total, 2490 euros -dont 200 de la municipalité- ont été déposés sur un compte spécial. Des meubles (armoires, lits…), certains ayant été livrés depuis le haut Doubs, ont aussi été spontanément proposés.
Le 7 avril, le maire de Montcey a mis en application un arrêté de péril prescrivant la sécurisation du bâtiment détruit par le feu. Située au cœur du village, au carrefour des rues Victor-Cauteret et de la Fontaine, la ruine représentait un gros danger. Des travaux ont été rapidement entrepris. « Les poutres calcinées ont été retirées, des pignons qui menaçaient de s’effondrer ont été coupés, les murs ont été emballés pour les protéger de l’eau et du gel », résume le maire de Montcey, André Ancel. Au final, frais d’expertise compris, la facture s’élève à 7903 euros. Elle sera prochainement adressée au propriétaire incendiaire.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/09/21/haute-saone-sa-femme-le-quitte-il-met-le-feu-a-la-maison

dimanche 20 septembre 2015

La saga Goulet-Turpin à Witry-lès-Reims

hebergement d'image
Créée par Laurent Leroy, grand collectionneur rémois, l’exposition intitulée « La saga Goulet-Turpin » raconte en images l’histoire de cette entreprise succursaliste fondée à Reims et pionnière du libre-service et du supermarché en France. À son apogée, dans les années 1970, la société rémoise la société rémoise a dénombré plus de 1 000 magasins.
Elle sera visible en deux lieux du 6 au 29 octobre : à l’Escal (31, boulevard du Chemin de Fer) et à l’espace sportif Jean-Boucton (rue de Bétheny) à Witry-lès-Reims. A noter qu’une conférence-débat sera organisée le vendredi 9 octobre à l’Escal à 18 h 30, animée par Laurent Leroy. Entrée libre.
En complément, un documentaire « Goulet-Turpin, la saga d’un épicier » sera diffusé sur France 3 le 17 octobre prochain.
Renseignement au 03 26 07 86 48 ou sur www.escal-witry.fr

http://www.lunion.com/node/553162

Hossegor : un touriste slovaque retrouvé noyé

Ce samedi en début d'après-midi, le cadavre d'un jeune homme a été retrouvé sur la plage centrale d'Hossegor. Les enquêteurs ont immédiatement fait le rapprochement avec le cas d'un jeune touriste Slovaque de 21 ans, emporté jeudi soir par les vagues, alors qu'il s'était aventuré au large des Bourdaines, à Seignosse.

La mer était forte, les vagues faisaient entre 1,5 et 2 mètres de haut. Parti nager seul, le touriste imprudent, avait été vu pour la dernière fois par sa compagne en train de passer sous une série de déferlantes. Une fois l'alerte donnée, d'importantes recherches avaient été lancées, avec un premier hélicoptère Puma SAR (search and rescue) de la base aérienne de Cazaux, le bateau de la SNSM, des patrouilles littorales. Mais il était déjà trop tard.
Les premières constatations montrent que l'homme retrouvé à Hossegor était décédé d'un arrêt cardio-respiratoire. Des analyses complémentaires et la reconnaissance du cadavre par les proches a confirmé un peu plus tard qu'il s'agissait bien du touriste Slovaque. Aucun autre cas de personne disparue n'avait été signalé ces derniers jours sur le littoral.

http://www.sudouest.fr/2015/09/19/hossegor-un-touriste-slovaque-retrouve-noye-2129437-3551.php

Besançon : 17 blessés, intoxiqués par des fumées dans un violent incendie à Planoise

Le pire a été évité de très peu samedi soir à Planoise dans cet immeuble collectif de la rue des Causses. Même si, le dernier bilan livré à 21 h 30 par le Commandant Regazoni faisait tout de même état de 17 personnes blessées et prises en charge sur place dont quatre évacuées sur le CHRU (trois habitants et un pompier), incommodés à différents degrés par les fumées.
L’alerte a été donnée à 19 h 15 ce samedi soir. Un appartement dans un immeuble collectif au 3, rue des Causses, à Planoise, sis au premier étage, était en feu. À l’arrivée des sapeurs-pompiers, « des flammes s’échappaient des cinq fenêtres sur les deux façades ». Mais heureusement, les cinq personnes qui l’occupaient, incommodées par la fumée, étaient déjà sorties. Très vite les soldats du feu ont réussi à maîtriser les flammes qui avaient déjà envahi la cage d’escaliers, au moyen d’une lance extérieure et de deux lances par l’intérieur. Un feu, qui selon les pompiers, présentait un fort potentiel calorifique à leur arrivée et se propageait déjà par les conduites.
Aussi, d’importants moyens matériels et humains étaient dépêchés sur place : trois Véhicules de secours et d’assistance aux victimes, trois SMUR, quatre fourgons pompe, un véhicule d’assistance respiratoire… Et un large périmètre était aussi sécurisé par la police municipale et la police nationale. Soit une quarantaine de pompiers, ainsi que des techniciens d’EDF et de GDF.
Alors que l’incendie était attaqué de front, douze mises en sécurité de voisins étaient effectuées, par échelle accrochée en façade, par échelle déployée et par évacuation sous assistance d’un appareil respiratoire.

« Tous ont parfaitement respecté les consignes »

Sur place dès 20 h 30, le maire Jean-Louis Fousseret saluait, tout comme le SDIS, l’attitude des résidents : « tous ont parfaitement respecté les consignes du 18 et se sont confinés dans leurs appartements avec des serviettes et des linges mouillés placés sous les fenêtres et les portes… »
Vingt-deux personnes ont été prises en charge par les secours puis installés au chaud dans le bus à soufflet Transdev demandé par la ville. Dix-sept personnes dont des enfants ont bénéficié d’un bilan médical complet et approfondi prodigué par les médecins du SMUR.
S’il était encore trop tôt pour connaître l’origine de l’incendie, au pied de l’immeuble, la version d’une cigarette jetée de l’extérieur dans une chambre par une fenêtre ouverte, circulait sans être corroborée ni par les pompiers, ni par le maire..
Quant aux familles de l’immeuble, toutes étaient prises en charge : « les unes seront relogées chez des proches, les autres, à l’hôtel » assurait jean-Louis Fousseret, « le temps que les fumées se soient totalement dissipées.»

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/09/19/besancon-violent-incendie-a-planoise

samedi 19 septembre 2015

Quatre blessés dans un accident de chasse à Cordéac en Isère

Quatre chasseurs ont été blessés après une sortie sur la commune de Cordéac dans le sud de l'Isère, ce samedi matin. Une carabine se serait déchargée accidentellement.
Quatre hommes âgés de 35 à 70 ans ont été blessés par les éclats d'une balle à Cordéac dans le sud de l'Isère, ce samedi 19 septembre vers 8h30.  Après une partie de chasse, un homme est entré dans une cabane de l'ONF. Il aurait fait une fausse manipulation avec sa carabine et un coup est parti. La balle a traversé la cloison. Les éclats ont blessé quatre personnes à l'extérieur.

Un homme de 58 ans a été plus gravement blessé par un impact à la cuisse. Il a été évacué par hélicoptère au CHU de Grenoble. Deux autres victimes ont été hospitalisés, l'une touchée au bras, l'autre au genou. Le quatrième, souffrant de plaies superficielles, est resté sur place.

Une enquête pour blessures involontaires a été ouverte.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/quatre-blesses-dans-un-accident-de-chasse-cordeac-en-isere-810857.html

Un agent du Trésor retraité détourne 300.000 euros

Evelyne Taylor, 65 ans, agent du Trésor à la retraite, a été condamnée vendredi soir à Nice à trois ans de prison, dont deux ans ferme.
Elle a été arrêtée à l'audience pour exécuter immédiatement sa peine. Cette fonctionnaire, au-dessus de tout soupçon, avait détourné près de 300.000 euros alors qu'elle occupait le poste d'adjoint aux finances publiques de la Trésorerie de L'Escarène.
Pendant des années, elle a pioché dans les fonds du Conseil général, destinés aux établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) de Peille et l'Escarène. L'argent transitait par une série de comptes d'attente.
C'est un audit qui avait révélé le stratagème en 2013. Devant les gendarmes de la brigade des recherches, elle a reconnu des malversations depuis 1992. La maison du couple a été confisquée. Le mari a été condamné à 18 mois de prison avec sursis
http://www.nicematin.com/nice/un-agent-du-tresor-retraite-detourne-300000-euros.2342547.html

Nancy : un pain de TNT dans la cave

Il est 9 h 30, hier matin, lorsque les ouvriers intervenant dans la cave de la pizzeria La Flambée, rue Christian-Moench, alertent les services de police. Il faut dire que leur découverte avait de quoi leur donner quelques sueurs froides. En l’occurrence un pain de TNT, de la taille d’une boîte d’allumettes, mais suffisamment important pour faire de sérieux dégâts, une fois relié à un système d’allumage.
Prévenus à leur tour, les services de la mairie avisaient la préfecture qui actionnait, à son tour, le service de déminage de Metz qui, une fois sur les lieux, prenait en charge le pain de TNT avec toutes les précautions d’usage.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/09/19/nancy-un-pain-de-tnt-dans-la-cave

vendredi 18 septembre 2015

Alerte Info Gendarmerie des Vosges : fortes perturbations de la circulation sur la RN 57 à prévoir samedi 19 septembre

Prévention : Fortes perturbations de la circulation sur la RN 57 à prévoir ce 19 septembre

N'hésitez pas à PARTAGER largement cette information.
La gendarmerie des Vosges vous informe de la tenue d'une manifestation ce samedi 19 septembre entraînant le blocage temporaire de la circulation sur la RN 57 de 10h à 12h.

Cette manifestation se déroule dans le cadre d'un mouvement national des élus et vise à détourner la circulation afin de faire connaître leurs revendications aux automobilistes par la voie de tracts et de banderoles à la hauteur de la ZAC Epinal Noméxy.

Les modalités d'organisation de ce mouvement sont définies, deux convois de 10 véhicules d'élus partiront simultanément de la zone Innova à Thaon les Vosges et de la discothèque le Sphinx à Charmes.

Ces convois circuleront de front sur l'intégralité des voies de circulation empêchant tous dépassements des autres usagers. Les véhicules des élus procéderont alors au ralentissement de la circulation jusqu'au blocage complet de celle-ci au niveau de l'échangeur Noméxy Innothéra grâce à l'immobilisation de leurs véhicules en pleine chaussée.


De nombreux élus, présents à pied de part et d'autre de l'échangeur se chargeront de distribuer des tracts aux usagers avant que ces derniers puissent rependre la RN 57.

Les services de l'État seront mobilisés pour sécuriser et faciliter votre circulation pendant cette manifestation.

Pour les automobilistes souhaitant éviter la manifestation, il est conseillé, à compter de 9h 30, de quitter la RN 57 à Charmes dans le sens Nord-Sud et d'emprunter la RD 32 en direction de Rambervillers puis la RD 46 vers Épinal ; dans l'autre sens la sortie est conseillée à Jeuxey pour rejoindre le Nord du département par le même itinéraire.

 

Mauléon (64) : le corps d'une sexagénaire repêché dans le gave

Ce jeudi, à 10h45, un riverain du gave de Mauléon (le Saison) a appelé les secours après avoir aperçu un corps flotter sur le cours d'eau. Il a décrit une personne aux cheveux longs, vêtue de pantalons noirs et d'un tee-shirt blanc, portée par le courant.
Les pompiers ont été dépêchés pour effectuer les recherches : pompiers de Mauléon avec une ambulance, sauveteurs en eaux intérieures de Mourenx et Orthez.
Des reconnaissances ont été menées par ces spécialistes des interventions en milieu aquatique, sur les berges du Saison, dans la zone où le corps a été aperçu. Celles-ci ont été appuyées par des survols par l'hélicoptère de la gendarmerie ECU 64.

Enquête en cours

Vers 15h15, le corps d'une dame de 61 ans a été repêché, entre le quartier Argouague, où elle résidait, et le pont de la rocade.
Chute accidentelle ou non... Une enquête est en cours, menée la compagnie de gendarmerie de Mauléon.
http://www.sudouest.fr/2015/09/17/mauleon-64-pompiers-et-gendarmes-recherchent-un-corps-dans-le-gave-2127008-4273.php

Un homme soupçonné d'avoir voulu commettre un attentat dans une salle de concert

Un homme arrêté au mois d'août dernier par la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) est soupçonné d'avoir voulu perpétrer des attentats dans des salles de concert en France, révèle ce matin BFMTV.

Arrêté et mis en examen le 15 août, ce français avait séjourné en Syrie au mois de mai dernier où il aurait reçu pour instruction de commettre un attentat dans une salle de concert.

C'est lors de son troisième jour de garde à vue que l'homme aurait reconnu ses intentions selon BFMTV. L'homme a ainsi admis s'être rendu en Syrie à Raqqa, le fief de l'Etat islamique, en mai 2015. Lieu où lui aurait été intimé l'ordre de commettre un attentat.

Inconnu des services de renseignements

Le suspect n'aurait passé que six jours en Syrie. Blessé à la jambe par une grenade, il est reparti en France via un itinéraire assez compliqué: Gaziantep - Istanbul - Varsovie - Prague - Amsterdam puis Paris. Inconnu des services de renseignements, personne ne s'aperçoit de son retour.

C'est un djihadiste espagnol, arrêté dans un autre pays européen, qui va donner son nom lors d'une audition et permettre à la DGSI de l'interpeller, le 11 août. Le suspect n'avait pas encore choisi de date ni de lieu de son attentat. Il n'avait pas encore acheté d'armes. Mais les enquêteurs considèrent que son projet était sérieux, suffisamment pour l'arrêter.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/18/97001-20150918FILWWW00020-un-homme-soupconne-d-avoir-voulu-commettre-un-attentat-dans-une-salle-de-concert.php

Indre-et-Loire : un bébé retrouvé mort dans un meuble

Le corps d'un nouveau-né a été retrouvé en Indre-et-Loire dans un meuble où l'avait semble-t-il abandonné une jeune fille mineure qui est "dans un déni de grossesse complet".
Une jeune fille mineure, visiblement "dans un déni de grossesse complet" selon le procureur de la République de Tours, a abandonné son bébé dans un meuble, où il a été retrouvé.
La jeune fille, "dont l'âge est compris entre 15 et 18 ans", avait été hospitalisée mardi dernier à Tours pour une hémorragie. Les médecins relevaient alors "tous les symptômes d'une mère qui vient d'accoucher, mais sans le bébé", a expliqué le procureur Jean-Luc Beck.
Les policiers se présentaient le lendemain au domicile du petit ami de la jeune fille à Savonnières (Indre-et-Loire) mais aussi bien son compagnon que les parents de celui-ci indiquaient ne rien avoir remarqué d'anormal.
"Tout juste si la jeune fille s'était vexée lorsque son petit ami lui avait fait remarquer qu'elle avait un peu grossi", a indiqué le magistrat. Les parents de la jeune fille, habitant en Mayenne, disaient également n'être au courant de rien.
Le cors du nourrisson était dans un tiroir
Dans l'après-midi de mercredi, la famille du compagnon de la jeune fille devait reprendre contact avec les policiers pour les informer avoir découvert le corps d'un nourrisson dans le tiroir d'un meuble de leur logement.
La jeune fille était toujours hospitalisée jeudi soir car les médecins, qui soupçonnent une infection, ont estimé que son état de santé n'était pas compatible avec une garde à vue, a indiqué M. Beck.
Le médecin légiste doit préciser vendredi si le bébé est né vivant ou viable, a encore précisé le magistrat.
 

jeudi 17 septembre 2015

Accident poids lourds : l’A31 coupée à Thionville

L’autoroute A31 a été coupée à la circulation ce jeudi 17 septembre 2015 vers midi dans le sens Thionville-Luxembourg. En cause un accident entre deux poids lourds. Les deux chauffeurs ne seraient pas blessés.
Pour permettre l’évacuation des poids lourds et le nettoyage de la chaussée, d’importants moyens ont été dépêchés sur place obligeant les autorités à couper la circulation. En début d’après-midi un bouchon de prés de 8 km était signalé remontant jusqu'à Illange. La sortie 43 (Elange) est obligatoire.

 http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/moselle/accident-poids-lourds-l-a31-coupee-thionville-809399.html

Il percevait la retraite de sa mère décédée depuis six ans

Un Niçois de 61 ans a perçu pendant six ans la pension SNCF de sa mère décédée en 2009. Il a également omis de signaler la disparition de sa tante à qui le conseil départemental des Alpes-Maritimes versait une allocation personnalisée d'autonomie.
Au total, les sommes indûment perçues s'élèvent à plus de 85.000 euros.
Le prévenu vient d'être condamné à deux ans de prison dont un avec sursis par le tribunal correctionnel de Nice.
Chauffeur à temps partiel, le prévenu a proposé de rembourser 100 euros par mois.
A ce rythme, le Conseil départemental et la SNCF devront patienter 70 ans pour être indemnisés.
http://www.nicematin.com/nice/il-percevait-la-retraite-de-sa-mere-decedee-depuis-six-ans.2340965.html

Un prof d'EPS mis en examen après la mort d'un élève dans une avalanche

En janvier dernier un élève était mort après avoir été pris dans une avalanche dans le Vercors. Même si le professeur d'EPS responsable du groupe avait pris "les bonnes précautions" selon le procureur, il a été mis en examen en juillet dernier.
Un professeur d'EPS d'un lycée de Die  (Drôme) a été mis en examen en juillet pour "homicide involontaire" après la mort d'un de ses élèves dans une avalanche fin janvier lors d'une sortie scolaire, a-t-on appris jeudi de source judiciaire, confirmant une information de France Bleu Isère.
Le lycéen n'avait pas de détecteur d'avalanche
Le lycéen drômois de 17 ans avait péri le 28 janvier après avoir été emporté par une avalanche dans le Vercors. Il ne portait pas de détecteur de  victime d'avalanche (DVA). Pour responsabiliser ses élèves, l'enseignant, par ailleurs guide depuis 20 ans, avait désigné l'un d'entre eux pour vérifier le  bon fonctionnement des détecteurs de la classe. Mais l'élève n'avait pas  signalé qu'un de ses camarades n'avait pas de détecteur sur lui.
La victime ne portait en effet jamais de détecteur "parce qu'il n'en voyait  pas l'utilité et qu'il estimait que cela émettait des ondes qui pouvaient être  nuisibles", avait indiqué au lendemain des faits le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat.
Emporté sur 200 mètres, son corps avait été retrouvé deux heures après le déclenchement de l'avalanche, sous 1,50 mètre de neige, alors que l'espérance de vie sous une avalanche ne dépasse guère une demi-heure.
L'itinéraire emprunté par le groupe n'avait pas été jugé "incohérent" et  "les précautions prises" avaient été "les bonnes" avec des "distances de  sécurité respectées", avait également indiqué le procureur.  L'instruction est toujours en cours.
 

Mystère : l’inconnue blessée de la rue d’Arènes à Besançon

Mercredi matin, vers 6 h 30, les sapeurs-pompiers, ont été appelés pour prendre en charge une femme grièvement blessée, à hauteur du 59 rue d’Arènes.
Elle souffrait en apparence de multiples fractures et au moins de celle du bassin. Jusque-là, rien que de malheureusement très banal. Mais, le fait étrange qui a motivé un appel à la police, est que ladite victime, qui serait âgée d’une soixantaine d’années autant qu’ont pu en juger les secouristes, était dans la rue en pyjama.
Qui est-elle, d’où venait-elle ?
La femme qui n’a pu être entendue en raison de son état de santé, n’avait aucun papier sur elle. À partir de là, tout est envisageable ? Chute d’une fenêtre, accident avec une voiture dont le conducteur aurait pris la fuite, agression, l’inconnue demeure-t-elle dans le quartier ou a-t-elle été déposée là ?
Les enquêteurs de la sûreté qui ont pris le dossier à bras-le-corps ont commencé à faire du porte à porte, pour tenter d’identifier la victime.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/09/16/mystere-l-inconnue-blessee-de-la-rue-d-arenes-a-besancon

mercredi 16 septembre 2015

Accident sur l'axe Paris-Rennes, 7 blessés

Ce mercredi matin, un accident impliquant 4 voitures à l'entrée de la rocade rennaise a fait 7 blessés légers, provoquant d'importants bouchons sur l'axe Paris-Rennes. 
L'accident s'est produit vers 9h, à hauteur de la porte de la Rigourdière à Cesson-Sévigné, sur la bretelle d'accès à la rocade de Rennes. 4 voitures sont entrées en collision sur la RN157 dans le sens Paris-Rennes. 7 personnes ont été légèrement blessées.

La circulation ayant été neutralisée sur une voie, plusieurs kilomètres de bouchons se sont formés sur la 4 voies, allant jusqu'à Noyal-sur-Vilaine.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/accident-sur-l-axe-paris-rennes-7-blesses-808333.html

Enlevé puis séquestré en Espagne : 7 semaines en enfer pour un homme d'affaires toulousain

Cela devait être un simple rendez-vous d'affaire. Un de plus en cette fin de mois de mai. Une prise de contact avec un propriétaire qui se disait prêt à céder à bon prix des terrains quelque part dans l'agglomération toulousaine. La «cible» ne se doutait de rien. Surtout pas du piège qui lentement se refermait. Il n'y a jamais eu de discussion, encore moins d'affaire. À peine la main serrée, «Monsieur X» s'est retrouvé dans une voiture, menacé, rudoyé. Le début de l'enfer. Cela va durer sept semaines.
Fin juillet à Toulouse : la chaleur assomme la ville. Au parquet, un signalement arrive sur le bureau d'un procureur. Un banquier s'inquiète des mouvements «importants» qui concernent le compte d'un de ses clients. Plusieurs dizaines de milliers d'euros ont été transférées ces dernières semaines. Le banquier n'est pas vraiment inquiet, les comptes demeurent largement positifs. Mais quand même. Le parquet transmet aux enquêteurs de la section recherches de la gendarmerie de Toulouse «pour vérification». L'enquête démarre.
Les gendarmes prennent contact avec «Monsieur X», titulaire des comptes. L'homme, simple malgré une assise financière très large, ne se montre pas très causant, pas décidé à déposer plainte, encore moins à expliquer ce qui s'est passé. Étrange. Parce que son amie, qui le voit régulièrement mais ne vit pas avec lui, a deviné que quelque chose bloque. «Monsieur X» ne lui a rien dit mais elle sent bien que cet homme n'est plus vraiment le même depuis qu'il est rentré du sud de l'Espagne, mi-juillet après plusieurs semaines de vacances.

Un camping-car pour passer inaperçu

Les enquêteurs insistent, le poussent à se confier. Il refuse longtemps de déposer plainte mais fini par raconter son calvaire et son incroyable séquestration. Elle a commencé le vendredi 22 mai quand le rendez-vous d'affaire s'est transformé en traquenard. Enlevé par au moins deux hommes, peut-être trois. Ils parlent fort, mal, menacent. «Monsieur X» ne comprend rien. Devant lui, ces hommes la cinquantaine marquée semblent tout savoir, tout connaître de sa vie, de son argent.
Après un court trajet en voiture, la victime est jetée dans une cave, dans une maison de la banlieue toulousaine. Il ne comprend pas. Pendant que dans le noir son cœur bat la chamade, l'angoisse le gagne. Les ravisseurs passent à son domicile. Ils emportent tout ce qui peut servir : téléphone, ordinateur, cartes bancaires. Pas un cambriolage classique, de ceux qui laissent des traces. Non plutôt un nettoyage comme si le propriétaire avait décidé de s'éloigner, de prendre des vacances,
Dans la cave, les yeux bandés, l'otage aperçoit des hommes encagoulés et répond à moult questions. Ils veulent savoir. Tout. Notamment son code secret pour sa carte bancaire. Est-ce une simple extorsion ? «Monsieur X» patauge, s'angoisse. Il s'affole de ces gens qui lui hurlent dessus, le menacent, promettent de «lui faire la peau», claquent les portes… Les minutes durent des heures. Après la carte ils veulent les codes pour réaliser des transferts bancaires. Combien de temps s'écoule lors de cette première séquestration dans une cave ? Un jour, deux, peut-être trois. Et toujours ces voix qui menacent, ces cris qui font écho dans le noir et la mort qui rôde.
Les yeux toujours bandés, «Monsieur X» est extrait de sa prison. Sans ménagement, on le jette dans un camping-car. Un véhicule comme on en croise des centaines sur les routes des vacances. L'homme l'ignore mais il vient de réaliser un virement bancaire pour acheter le véhicule ! Du côté de Perpignan, la vendeuse ne voulait pas de chèque. Elle a reçu les 35 000 € réclamés sur son compte, et a donné les clefs, rassurée. Et maintenant, c'est comme un touriste, serré de très près par ses geôliers, que le kidnappé et ses ravisseurs passent les Pyrénées. Nouvelle maison du côté de Gérone, en bord de mer. Nouvelle cave, nouvelles angoisses. Les menaces toujours, la nourriture trop rare, la saleté…

Il rentre chez lui au volant de sa voiture

L'homme n'en peut plus de ces jours sans fin d'humiliation, de peur. On le force à envoyer des messages et même à téléphoner à sa compagne, restée à Toulouse. Il doit jouer les vacanciers, jouer le jeu. La destinataire croit que son ami respire loin de Toulouse, sans imaginer la détresse dans lequel se trouve cet homme de 56 ans. Ses ravisseurs l'obligent à multiplier les virements, à acheter de l'or. Il veut en finir, respirer. Les voyous, arme à la ceinture, ne lâchent rien, exigent toujours, changent encore de cachette. Combien de fois ? Au moins trois, peut-être plus. De maisons en appartements, direction le sud. Les contraintes ne changent pas malgré les virements qui s'accumulent vers les paradis fiscaux.
Quand enfin la porte s'ouvre, «Monsieur X» n'en croit pas ses yeux. Il se trouve à San Pedro d'Alcantara, au sud de l'Espagne, du côté de Marbella. Il a déjà versé plus d'un million d'euros. Nous sommes le 13 juillet. Il peut rentrer chez lui au volant de sa propre voiture mais les voyous le préviennent : un mot et c'est la mort ! Ils ont déjà obtenu 1,3 million d'euros. «Si tu veux rester en vie, c'est 100 000 € par semaine jusqu'à 2 millions». «Monsieur X» promet. Ce n'est pas lui qui arrêtera les virements.
Une fois convaincu de parler par les gendarmes de la SR de Toulouse, ce Toulousain terrorisé a été envoyé loin de chez lui et de l'Espagne, le temps de remonter les pistes des malfaiteurs. De vraies vacances cette fois mais pas simple à vivre pour la victime, traumatisée par ces sept semaines en enfer. Lundi 7 septembre, les arrestations à Toulouse et Marbella lui ont offert un formidable soulagement. Enfin.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/16/2178195-convoquee-devant-tribunal-hoda-star-ac-disparu.html

Convoquée devant le tribunal, Hoda de la «Star Ac» a disparu

Hoda, 36 ans, ex-candidate de l'émission de téléréalité Star Academy ne s'est pas présentée hier, devant la cour d'appel de Toulouse. Elle était jugée pour avoir abusé de la faiblesse d'un couple d'octogénaires qui l'employait.
Habituée à briller sur scène et sur les plateaux de télévision, l'ex star académicienne toulousaine, Hoda, a brillé par son absence, hier après-midi, dans la salle de la cour d'appel du tribunal correctionnel de Toulouse.
Convoquée, elle devait comparaître pour «vols facilités par la circonstance d'extrême vulnérabilité de ses victimes» et «usage de chèques contrefaits ou falsifiés».
Au mois de janvier, en première instance, l'artiste de 36 ans avait été condamnée à 18 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve. Les faits reprochés à Hoda s'étendent d'avril 2011 à septembre 2013. Alors aide à domicile, elle s'occupait d'un couple d'octogénaires à l'Union et notamment du mari, aujourd'hui décédé, à la santé très fragile.

Prison ferme possible

Chargée de la toilette du Monsieur et de la gestion du courrier, elle avait peu à peu gagné la confiance de la famille et s'était notamment fait établir deux chèques de 15 000 € et 6 000 €. Elle aurait également profité de la carte bancaire du couple pour régler divers achats. «Tout le monde va faire confiance à cette personne pleine de vitalité et qui démontre de l'affection envers eux. Elle faisait quasiment partie de la famille, décrit Me Caroline Marty-Daudibertières, pour la partie civile. Puis, petit à petit, elle a essayé de faire le vide au niveau de l'entourage. Elle a fait un chantage affectif ignoble.»
Alors que les victimes se sont présentées hier en appel, malgré la santé très faible de l'octogénaire, la starlette, pourtant régulièrement convoquée, n'a pas daigné se déplacer. Un représentant de ses avocats a ainsi indiqué en début d'audience, qu'ils étaient sans aucune nouvelle d'elle. «Il est regrettable que Madame ne nous ait pas fait l'honneur de sa présence alors qu'en première instance, elle n'hésitait pas à se répandre dans la presse people. Aujourd'hui, on n'a aucune nouvelle et encore moins pour rembourser», a souligné Me Marty-Daudibertières.
L'avocat général a requis la confirmation du jugement prononcé en première instance à savoir 18 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve et l'obligation d'indemniser ses victimes.
De son côté, la partie civile a demandé 27 693, 20 € de préjudice matériel et 5 000 € de préjudice moral. Le jugement a été mis en délibéré au 13 octobre. Si elle était condamnée et restait introuvable, la jeune femme encourrait de la prison ferme.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/16/2178195-convoquee-devant-tribunal-hoda-star-ac-disparu.html

mardi 15 septembre 2015

Avalanche dans les Hautes-Alpes : cinq morts et deux disparus

Une avalanche a emporté huit personnes vers midi dans le massif des Écrins. Cinq sont mortes, deux portées disparues et une seule s'en est sortie
Cinq alpinistes sont morts et deux sont disparus dans une avalanche qui s'est déclenchée mardi midi dans le massif des Écrins.

"On aurait cinq morts et deux disparus. Une personne serait indemne ou légèrement blessée", a déclaré le préfet des Hautes-Alpes Pierre Besnard.
L'avalanche s'est déclenchée au Dôme de neige des Écrins (4 015 mètres), un sommet très fréquenté par les alpinistes amateurs en raison de sa facilité d'accès.
Les recherches, menées par le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon, étaient toujours en cours mardi en début d'après-midi
http://www.sudouest.fr/2015/09/15/avalanche-dans-les-hautes-alpes-cinq-morts-et-deux-disparus-2124778-7.php

Coups de feu sur le Barnum : une vengeance et de la chance

Qui a ouvert le feu à l'arme de poing en direction du «Barnum», la discothèque visible depuis le périphérique, à Montaudran ? La question reste posée malgré l'arrestation de dix suspects samedi, à Toulouse. L'un d'entre eux, âgé de 24 ans, a été présenté au parquet dimanche soir et mis en examen. Est-il l'homme qui a tiré ? Rien n'est moins sûr.
L'affaire a commencé quand une dizaine d'individus se sont présentés à l'entrée du «Barnum» qui accueillait vendredi soir le show d'un rappeur marseillais. Les portiers ont refusé l'entrée. Cette décision a fortement déplu. Les personnes concernées ont menacé les portiers de mort avant d'effectuer quelques dérapages sur le parking et de disparaître. Le personnel de la discothèque avait relevé les plaques d'immatriculation de deux voitures. Plus tard, vers 1 heure samedi, des coups de feu ont retenti. Ils ont été tirés depuis une Citroën Saxo qui roulait sur le périphérique. Par miracle, ces tirs de 9 mm, au moins deux, sans doute trois, n'ont blessé personne malgré les soixante personnes présentes devant l'entrée. Un policier parle d'une «sacrée chance».
Une heure après les tirs, dix suspects qui se trouvaient autour des voitures remarquées sur le parking de la discothèque ont été arrêtés dans le quartier de la Gloire. Une arme de calibre 9 mm a été retrouvé — elle aurait été utilisée pour ouvrir le feu — cachée à proximité d'une Citroën Saxo qui pourrait avoir «transporté» le ou les tireurs. Le suspect mis en examen dimanche trouvait entre la Saxo et la cachette de l'arme… L'enquête se poursuit. Les analyses de police technique aideront, peut-être, à identifier le ou les tireurs.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/15/2177351-coups-feu-barnum-vengeance-chance.html

Sida : les autotests de dépistage en vente en pharmacie, huit choses à savoir

Les autotests VIH, qui permettent à chacun de savoir s'il est séropositif, sont en vente depuis ce mardi dans les pharmacies en France. L'objectif : toucher les personnes qui échappent aux dépistages. Voici ce qu'il faut savoir sur ce test.
Les autotests de dépistages du VIH sont en vente en France dans les pharmacies depuis ce mardi matin. Ce kit de dépistage permet de savoir s'il on est séropositif. "Il y a dans notre pays environ 30.000 personnes qui sont porteuses du VIH sans le savoir. Nous avons besoin de trouver de nouvelles manières de favoriser, de faciliter les dépistages", a expliqué la ministre de la Santé Marisol Touraine. 
1. Vendu sans ordonnance. Pas besoin de demander l'ordonnance d'un médecin pour obtenir un test. Le kit d'autodépistage du VIH est accessible à tous. Il contient un dosette de diluant, un autopiqueur pour extraire une goutte de sang d'un doigt. Cette goutte de sang réagit ensuite dans le testeur.  
2. De 25 à 28 euros. C'est le coût moyen de ce kit de dépistage. Il n'est pas remboursé par la sécurité sociale alors que les tests dans les centres de dépistage, sont, eux, gratuits. Des associations pourraient cependant proposer l'autotest gratuitement.  

3. Une société française et un groupe pharmaceutique américain.
Cet "autotest VIH" a été conçu par la société française AAZ avec des experts de la lutte contre le virus. Il est commercialisé par le groupe pharmaceutique américain spécialiste des médicaments génériques Mylan.
4. Même pour un mineur sans autorisation parentale. Le test peut être réalisé par tout individu, y compris mineur, à la maison par exemple, à partir d'une goutte de sang. Une personne mineure peut faire ce test sans accord parental.
5. Une réponse en 15 à 30 minutes.... mais pas dans tous les cas. 15 minutes, c'est le délai d'attente pour connaitre le résultat de l'autotest.  Mais attention, pour être efficace, le temps de "séroconversion" est de trois mois c'est à dire qu'il faut avoir été "contaminée" depuis trois mois. Toute personne infectée récemment n'aura donc pas forcément un test positif.
6. Uniquement pour le VIH. Le kit est seulement valable pour le sida et ne permet pas de dépister les autres infections sexuellement transmissibles comme l'herpès, la syphilis, les infections à chlamydia, les gonocoques ou encore les hépatites virales. 
7. Un numéro d'accompagnement indispensable. Un service téléphonique d'aide et de conseils pour l'utilisation et les résultats de ce test sera accessible sur la plateforme Sida Info Service, 7 jours/7 et 24 heures/24, au 0 800 840 800 (appel confidentiel, anonyme et gratuit), précise le ministère.
8. Un autre test pour être vraiment sûr. Une fois l'autotest réalisé, il est nécessaire - en cas de séropositivité - d'effectuer un test sanguin complet pour confirmer le diagnostic.
 

lundi 14 septembre 2015

Crâne retrouvé : des plongeurs de la gendarmerie sondent l'étang de Saint-Martin-de-Sanzay (79)

De nouvelles investigations ont lieu aujourd'hui à Saint-Martin-de-Sanzay, dans les Deux-Sèvres, où un crâne humain avait été découvert par un pêcheur au mois d'août 2015. 5 plongeurs de la brigade de gendarmerie de La Rochelle sondent l'étang de la Ballastière. 
Une nouvelle fois, des plongeurs de la gendarmerie ont été envoyés dans les Deux-Sèvres pour sonder l'étang de la Ballastière où un crâne et des restes humains ont été découverts à quelques jours d'intervalle au mois d'août dernier. 5 plongeurs sont à l'oeuvre alors qu'un arrêté du maire de la commune prévoit deux jours de fouilles. Les 5 plongeurs travaillent en ligne en ratissant le fond et en opérant des allers-retours pour être sûrs de ne rien laisser au hasard.

C'est en retirant son épuisette de l'eau qu'un pêcheur avait fait cette macabre découverte. Le crâne a ensuite été transmis à l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN) de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), aux fins d'expertise. Des plongeurs avaient investi le plan d'eau pour repêcher deux sacs plastiques qui avaient été ensuite placés sous scellés.

Le parquet de Niort avait indiqué qu'on se trouvait potentiellement en présence d'une affaire criminelle, sans communiquer davantage en l'absence d'analyses réalisées par les techniciens de l'identité judiciaire.

L'étang de la Ballastière est un plan d'eau d'environ 10 hectares où la baignade est interdite. Un village de gîtes, des aires de jeux et de pique nique, un mini-golf et un parcours sportif son installés sur le pourtour du plan d'eau.

Une de nos équipes de reportage est sur place. Leur reportage sera bientôt mis en ligne sur notre site.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/crane-retrouve-des-plongeurs-de-la-gendarmerie-sondent-l-etang-de-saint-martin-de-sanzay-79-806491.html

Brest: Il tente d’étrangler sa mère à cause du bruit de l’aspirateur

Réveillé par le bruit de l’aspirateur, un jeune homme de 27 ans a tenté d’étrangler sa mère samedi en début d'après-midi dans le quartier des Quatre Moulins à Brest, rapporte Le Télégramme. Agée de 53 ans, la victime s’est vue prescrire trois jours d’incapacité temporaire de travail (ITT).
C’est le beau-père du jeune homme qui a appelé les policiers. Interpellé dans la foulée, le fils, dont la garde à vue a été prolongée, devrait être présenté devant le procureur ce lundi. Le couple a expliqué à la police qu’il n’arrivait pas à se débarrasser du jeune homme qui vit avec eux. 
http://www.20minutes.fr/rennes/1686167-20150914-brest-tente-etrangler-mere-cause-bruit-aspirateur

Le feu prend à la mairie, probablement un acte malveillant

Un incendie, certainement criminel a causé d'importants dégâts dans la mairie de Saint-Gaudensdans la nuit de samedi à dimanche.
Les flonflons de la fête foraine s'étaient tus et Saint-Gaudens dormait. Tout à coup l'odeur de brûlé s'est échappée de la mairie. Les policiers, premiers sur place, se rendent compte qu'un incendie s'est déclaré dans le bâtiment municipal et préviennent les secours. Il est trois heures du matin, hier, et le deuxième étage de la mairie, ainsi que les combles sont la proie des flammes. Les pompiers avec la grande échelle, resteront jusque vers 10 heures pour maîtriser le sinistre qui n'a pas fait de blessé. Le sous-préfet, Jean-Louis Brouillou s'est rendu immédiatement sur place. En revanche les dégâts sont lourds : escaliers jonchés de gravats, plafond effondré, ascenseur détruit, toiture endommagée…
Grâce à un système particulièrement judicieux, les pompiers sont arrivés à stopper le feu sans inonder le bâtiment, et, hier matin, si c'est un spectacle de désolation qui s'offre à la vue à partir du deuxième étage, chacun se rend compte que le pire, en termes de propagation des flammes a été évité.

Un acte criminel ?

Suivant les premières constatations, et alors que les policiers qui ont ouvert une enquête restaient particulièrement discrets hier sur cet événement, il semblerait qu'un individu ait réussi à pénétrer dans le bâtiment, tout en dissimulant son visage par rapport aux caméras de sécurité. Dans l'entrée et au premier étage, il n'a touché à rien. En revanche, au deuxième étage il s'est rendu au bureau de la direction des ressources humaines et c'est de là qu'il aurait mis le feu.
Rien n'a disparu des bureaux visités. Ce qui a surpris le maire adjoint chargé de permanence cette nuit-là, Joël Guillermin : «Les ordinateurs n'ont pas été volés. Il y avait même un téléphone portable sur un bureau auquel il n'a pas touché. Tout ce qui a disparu est la cafetière dont se sert le personnel».
Un pyromane étrange, donc, qui met le feu et n'emporte qu'une cafetière de peu de valeur. Jean-Yves Duclos, maire, présent sur les lieux hier matin, s'interrogeait également sur les mobiles de ce drôle de visiteur. L'enquête de police devrait permettre d'en savoir davantage dans les prochaines heures.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/14/2176424-le-feu-prend-a-la-mairie-probablement-un-acte-malveillant.html

dimanche 13 septembre 2015

Saint-Lazare: Un agent de la SNCF en civil se fait agresser par une dizaine de personnes

Un agent de la SUGE (sûreté dans les trains, SNCF) en civil a été agressé à coups de cutter samedi soir à Paris par une dizaine de personnes et a été hospitalisé sans que son pronostic vital ne soit engagé, a-t-on appris ce dimanche de sources concordantes.
L'homme a été agressé samedi vers 22h sur un parking de la gare Saint-Lazare alors qu'il avait terminé son service, selon une source policière. Ses agresseurs ont pris la fuite. Quatre personnes soupçonnées d'avoir participé à cette agression ont été interpellées quelque temps après par des agents de la brigade des réseaux ferrés et placés en garde à vue à Paris, selon la même source.
Contactée par l'AFP, la SNCF a confirmé qu'un de ses agents avait été agressé samedi soir à Paris sans donner plus de détails. L'enquête a été confiée à la police des transports parisiens.
http://www.20minutes.fr/paris/1685715-20150913-saint-lazare-agent-sncf-civil-fait-agresser-dizaine-personnes

Saint-Omer : un accident de parapente fait trois victimes

Ce samedi soir, deux personnes, qui participaient à un baptême de parapente, ont fait une chute de 5 mètres. Une troisième personne s’est blessée en allant leur porter secours.
Il était près de 18 heures à Saint-Omer près de Clécy dans le Calvados quand l’accident s’est produit lors de l’atterrissage d’un parapente.

Une jeune femme âgée de 20 ans et un homme de 41 ans ont fait une chute de 5 mètres. L’homme est grièvement blessé et a été transporté au CHU de Caen par hélicoptère. La jeune femme a été hospitalisée à Falaise.

Une autre femme, témoin de la scène, a tenté de porter secours aux victimes, mais dans la précipitation elle s’est blessée à la cheville. Elle a été transportée au centre hospitalier de Flers.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/calvados/saint-omer-un-accident-de-parapente-fait-trois-victimes-806065.html

Coups de feu et interpellations à proximité d'une discothèque

Soirée mouvementée, dans la nuit de vendredi à hier, sur la rocade toulousaine à proximité du «Barnum». Tandis que la fête battait son plein dans ce night-club toulousain, qui accueillait le rappeur marseillais Alonzo, des détonations ont éclaté à l'extérieur, depuis le périphérique
Les forces de l'ordre n'ont pas tardé à intervenir et ont interpellé à proximité de la discothèque une dizaine d'individus, qui ont tous terminé la nuit en garde à vue. Ceux-ci sont soupçonnés d'avoir tiré des coups de feu en direction de cet établissement qui donne sur la rocade à hauteur de la sortie Montaudran. Une arme de poing a été retrouvée et saisie, mais les policiers de la Sûreté départementale, chargés de l'enquête, doivent déterminer si c'est elle qui a servi cette nuit-là.
Du côté de la discothèque, on confirme les tirs, tout en précisant tout de suite que «les personnes interpellées n'ont rien à voir avec le Barnum» : «Les tirs ont été tirés par une voiture qui circulait depuis sur la rocade, ce qui a alerté un maître-chien de la société de gardiennage que nous employons», précise un responsable. Les coups de feu visaient-ils spécifiquement l'établissement ? Auraient-ils à voir avec un groupe d'individus qui se sont révélés virulents après avoir été refoulés à l'entrée un peu plus tôt dans la soirée ? Les enquêteurs de la sûreté exploraient notamment cette piste mais du côté de l'établissement, on décrit ce type d'incident à l'entrée comme banal : «ça se produit régulièrement…»
Les tirs n'ont pas fait de blessé et la discothèque signale qu'elle n'a pas subi de dégradations. Le Barnum a néanmoins déposé plainte et la société de gardiennage employée par la discothèque pourrait faire de même.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/13/2176159-coups-de-feu-et-interpellations-a-proximite-d-une-discotheque.html