Triste fin pour Francis Heuchamps, tué chez lui près de vingt ans après avoir déjà été victime d’une tentative d’homicide, laquelle avait en partie détruit sa vie. Cet homme de 57 ans a été battu à mort dans la nuit de jeudi à vendredi dans son appartement de Chatou. Les forces de l’ordre ont interpellé un suspect âgé de 36 ans qui, blessé, a été conduit à l’hôpital de Poissy.
Il a été placé depuis d’office à l’hôpital psychiatrique, souffrant de troubles mentaux
Vers 2 heures vendredi, les policiers interviennent dans ce logement de la rue Esther-Lacroix à Chatou, à la suite d’un appel des voisins qui viennent d’entendre des appels au secours. A leur arrivée, les policiers, alertés par un râle, défoncent la porte. Ils découvrent un homme agonisant, allongé par terre, le pantalon sur les chevilles. Il porte une méchante plaie au cuir chevelu qui semble indiquer qu’il a été frappé avec un objet. Pendant qu’un policier effectue en urgence un massage cardiaque sur la victime, sans résultat, les autres s’avancent vers la fenêtre ouverte. Ils voient des traces de sang et aperçoivent un homme en train de fuir après avoir sauté du premier étage. « Il était en caleçon et en chaussettes », précise une source proche de l’affaire. Cet homme, Arnaud, est finalement interpellé par la brigade anticriminalité, non sans difficulté. « Il se débattait, se recroquevillait et disait : Je suis bipolaire », ajoute la même source.
Un homme en mauvaise santéLa brigade criminelle de police judiciaire de Versailles a été chargée de l’affaire. Cependant, les enquêteurs n’ont pas pu l’entendre, car son état de santé mentale ne le permettait pas. Il a été interné hier dans le cadre d’une hospitalisation d’office. Les enquêteurs excluent un cambriolage et pensent que les deux hommes se connaissaient. Sur les lieux du meurtre, une résidence cossue, les voisins du mort évoquent un homme seul et en mauvaise santé, déjà victime il y a dix-neuf ans d’une tentative de meurtre. « Il avait été alors égorgé par une femme à la gare de Chatou, raconte un riverain, et il était resté handicapé. Il avait ensuite perdu son boulot d’ingénieur, puis sa femme l’avait quitté. » Les riverains le voyaient, solitaire, faisant ses courses et s’exprimant difficilement. « On ne lui connaissait pas de relation avec des hommes ou des femmes, ajoute un autre habitant. Mais il paraît que ce type dormait chez lui sur le canapé. » Ils s’étaient en effet rencontrés à l’institut psychiatrique Théophile-Roussel de Montesson où la victime avait effectué un séjour.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/chatou-battu-a-mort-il-avait-deja-echappe-a-un-meurtre-30-04-2011-1428797.php
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
samedi 30 avril 2011
Sexagénaire mutilé: un homme écroué
Un homme de 32 ans, soupçonné d'avoir tranché jeudi à Champagne-sur-Seine, en Seine-et-Marne, le nez et les oreilles d'un sexagénaire, qui se trouve entre la vie et la mort, a été mis en examen et écroué aujourd'hui.
L'agresseur présumé a été mis en examen pour "tentative d'assassinat" et immédiatement placé en détention à Fresnes, a dit le procureur de Melun, Bruno Dalles. Une information judiciaire a été également ouverte.
Le mobile de son crime n'était "pas très clair" samedi à la mi-journée, mais "serait lié à un litige sur des terrains", a-t-il expliqué, précisant que "c'est un litige entre quelqu'un de sa famille et la victime concernant des terrains". "Leur différend serait basé sur un problème immobilier", a ajouté une source proche de l'enquête, sans plus de précisions.
L'agresseur présumé s'est jeté dans la Seine
Jeudi matin, l'agresseur, qui a reconnu les faits, "s'est dissimulé dans une forêt à proximité des jardins de la propriété de la victime, l'a guettée depuis très tôt". Puis "il s'est servi d'une arbalète avec laquelle il a lancé une flèche pour [la] déséquilibrer" et s'est ensuite acharné sur elle avec son couteau, a poursuivi Bruno Dalles.
La victime, âgée de 67 ans, a été évacuée "entre la vie et la mort" à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre. Elle avait été retrouvée sur la voie publique par la police, blessée de coups de couteau et de coups donnés avec des objets contondants.
L'agresseur présumé avait alors tenté de s'enfuir, d'abord en voiture puis en se jetant dans la Seine avant d'être repêché par deux des trois fonctionnaires de police sur lesquels il avait volontairement foncé avec son véhicule. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/30/97001-20110430FILWWW00469-sexagenaire-mutile-un-homme-ecroue.php
L'agresseur présumé a été mis en examen pour "tentative d'assassinat" et immédiatement placé en détention à Fresnes, a dit le procureur de Melun, Bruno Dalles. Une information judiciaire a été également ouverte.
Le mobile de son crime n'était "pas très clair" samedi à la mi-journée, mais "serait lié à un litige sur des terrains", a-t-il expliqué, précisant que "c'est un litige entre quelqu'un de sa famille et la victime concernant des terrains". "Leur différend serait basé sur un problème immobilier", a ajouté une source proche de l'enquête, sans plus de précisions.
L'agresseur présumé s'est jeté dans la Seine
Jeudi matin, l'agresseur, qui a reconnu les faits, "s'est dissimulé dans une forêt à proximité des jardins de la propriété de la victime, l'a guettée depuis très tôt". Puis "il s'est servi d'une arbalète avec laquelle il a lancé une flèche pour [la] déséquilibrer" et s'est ensuite acharné sur elle avec son couteau, a poursuivi Bruno Dalles.
La victime, âgée de 67 ans, a été évacuée "entre la vie et la mort" à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre. Elle avait été retrouvée sur la voie publique par la police, blessée de coups de couteau et de coups donnés avec des objets contondants.
L'agresseur présumé avait alors tenté de s'enfuir, d'abord en voiture puis en se jetant dans la Seine avant d'être repêché par deux des trois fonctionnaires de police sur lesquels il avait volontairement foncé avec son véhicule. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/30/97001-20110430FILWWW00469-sexagenaire-mutile-un-homme-ecroue.php
Attaque à l'explosif d'une agence bancaire en Seine-et-Marne
Des malfaiteurs ont attaqué à l'explosif samedi à l'aube une agence de la Banque populaire BRED à Cesson-la-Forêt (Seine-et-Marne), sans faire de blessés mais causant des dégâts importants à l'établissement.
Trois malfaiteurs non identifiés ont attaqué l'agence vers 5h avec l'intention de s'emparer des distributeurs de billets à l'aide de moyens explosifs, a précisé une source policière, confirmant une information du parisien.fr. Ils "ont forcé la porte extérieure, ils ont essayé de faire sauter la porte d'accès aux distributeurs de billets à l'intérieur", a dit le maire (SE) de Cesson, Olivier Chaplet.
Trois malfaiteurs non identifiés ont attaqué l'agence vers 5h avec l'intention de s'emparer des distributeurs de billets à l'aide de moyens explosifs, a précisé une source policière, confirmant une information du parisien.fr. Ils "ont forcé la porte extérieure, ils ont essayé de faire sauter la porte d'accès aux distributeurs de billets à l'intérieur", a dit le maire (SE) de Cesson, Olivier Chaplet.
Dernier hommage à Agnès Dupont de Ligonnès et ses enfants dans l'Yonne
Le dernier hommage à Agnès Dupont de Ligonnès et ses quatre enfants, retrouvés assassinés il y a une semaine à Nantes, a débuté samedi matin à Noyers-sur-Serein, dans l'Yonne, avec une messe qui sera suivie du dépôt de leurs cendres au cimetière.
La cérémonie a débuté à 10H30 en l'église Notre-Dame de ce village de 700 habitants situé au sud-est d'Auxerre, berceau familial de la mère, en présence d'environ 200 amis de la famille, camarades de classe des enfants et habitants de la région, a constaté une journaliste de l'AFP.
A son issue, les urnes contenant leurs cendres seront amenées à pied jusqu'au cimetière, aux abords de la cité médiévale, et déposées dans le caveau familial. Une collation sera ensuite offerte "aux gens qui nous soutiennent", selon une cousine d'Agnès Dupont de Ligonnès.
"La famille va très mal, elle est dans une tristesse qui est à la hauteur de l'horreur qu'on vit. On ne comprend pas, on est tous complètement abrutis", a confié à la presse Etienne Hodanger, l'un des trois frères de la mère de famille, en début de matinée.
Il a souhaité que "cette journée finale" se passe "le mieux possible", à l'image des obsèques qui ont eu lieu jeudi à Nantes.
Vingt-huit gendarmes ont été déployés dans le village et un périmètre de sécurité a été mis en place autour de l'église, ceinturée de barrières, et du cimetière pour faire respecter l'intimité de la famille.
Deux frères et une tante de la défunte demeurent à Noyers, où les Dupont de Ligonnès passaient des vacances.
Les corps d'Agnès Dupont de Ligonnès, 48 ans, et de ses enfants, Arthur, Thomas, Anne et Benoît, âgés de 13 à 20 ans, ont été découverts le 22 avril, entourés de toile de jute et de chaux, sous la terrasse de leur domicile à Nantes.
Le père de famille, Xavier, 50 ans, n'a donné aucun signe de vie et fait l'objet d'un mandat de recherche international. Il a été vu pour la dernière fois à Roquebrune-sur-Argens (Var) le 15 avril, dans un hôtel où il a passé la nuit. Depuis, les enquêteurs ne sont pas parvenus à le localiser.
"Je le connais très bien, depuis des années", a expliqué Etienne Hodanger, pour qui personne ne "pouvait se douter de quoi que ce soit".
De nouvelles investigations menées vendredi à Roquebrune-sur-Argens par 130 hommes, appuyés par un hélicoptère et des chiens, se sont avérées infructueuses.
http://www.lepoint.fr/societe/dernier-hommage-a-agnes-dupont-de-ligonnes-et-ses-enfants-dans-l-yonne-30-04-2011-1325026_23.php
La cérémonie a débuté à 10H30 en l'église Notre-Dame de ce village de 700 habitants situé au sud-est d'Auxerre, berceau familial de la mère, en présence d'environ 200 amis de la famille, camarades de classe des enfants et habitants de la région, a constaté une journaliste de l'AFP.
A son issue, les urnes contenant leurs cendres seront amenées à pied jusqu'au cimetière, aux abords de la cité médiévale, et déposées dans le caveau familial. Une collation sera ensuite offerte "aux gens qui nous soutiennent", selon une cousine d'Agnès Dupont de Ligonnès.
"La famille va très mal, elle est dans une tristesse qui est à la hauteur de l'horreur qu'on vit. On ne comprend pas, on est tous complètement abrutis", a confié à la presse Etienne Hodanger, l'un des trois frères de la mère de famille, en début de matinée.
Il a souhaité que "cette journée finale" se passe "le mieux possible", à l'image des obsèques qui ont eu lieu jeudi à Nantes.
Vingt-huit gendarmes ont été déployés dans le village et un périmètre de sécurité a été mis en place autour de l'église, ceinturée de barrières, et du cimetière pour faire respecter l'intimité de la famille.
Deux frères et une tante de la défunte demeurent à Noyers, où les Dupont de Ligonnès passaient des vacances.
Les corps d'Agnès Dupont de Ligonnès, 48 ans, et de ses enfants, Arthur, Thomas, Anne et Benoît, âgés de 13 à 20 ans, ont été découverts le 22 avril, entourés de toile de jute et de chaux, sous la terrasse de leur domicile à Nantes.
Le père de famille, Xavier, 50 ans, n'a donné aucun signe de vie et fait l'objet d'un mandat de recherche international. Il a été vu pour la dernière fois à Roquebrune-sur-Argens (Var) le 15 avril, dans un hôtel où il a passé la nuit. Depuis, les enquêteurs ne sont pas parvenus à le localiser.
"Je le connais très bien, depuis des années", a expliqué Etienne Hodanger, pour qui personne ne "pouvait se douter de quoi que ce soit".
De nouvelles investigations menées vendredi à Roquebrune-sur-Argens par 130 hommes, appuyés par un hélicoptère et des chiens, se sont avérées infructueuses.
http://www.lepoint.fr/societe/dernier-hommage-a-agnes-dupont-de-ligonnes-et-ses-enfants-dans-l-yonne-30-04-2011-1325026_23.php
Morte, elle continue à aider les jeunes
Pour Jessica Pestelle, les 1 000€ qui viennent de lui être alloués sont les bienvenus. «Je vais en profiter », annonce la jeune fille, qui travaille dans un fast-food. Même chose pour Maéva Desbled, Aurélie Lemaire et Zoé Matthias. Même si les quatre jeunes filles choisies par les conseillers municipaux de Tergnier (Aisne) n'auront pas toute la même utilisation du legs Richer.
Ce legs a été instauré à la mort d'une ancienne habitante de Vouël, Madame Dubilly, veuve Richer. En 1927, n'ayant aucun descendant, elle décide de léguer tous ses biens immobiliers à la ville de Tergnier. «À charge pour elle de doter avec les revenus de ces immeubles, deux jeunes filles méritantes de chaque commune et sans situation et ce annuellement », est-il inscrit.
La tradition a perduré jusqu'à aujourd'hui. Chaque année, quatre jeunes filles dans leur vingtième année, deux de Vouël et deux autres de Tergnier, reçoivent une dot. Aujourd'hui, cette somme se monte à 1 000 € pour chacune d'entre elles. «Tous les ans, nous réévaluons la dot. C'est pour leur donner un petit coup de pouce », explique Christian Crohem, maire de Tergnier.
Zoé Matthias est partie pour faire de longues études en statistique et informatique décisionnelle. Cette somme va à la fois lui permettre de faire des réparations pour sa voiture. Mais elle garde les pieds sur terre. «Je vais en placer une partie avant de m'installer dans un appartement. »
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Morte-elle-continue-a-aider-les-jeunes
Ce legs a été instauré à la mort d'une ancienne habitante de Vouël, Madame Dubilly, veuve Richer. En 1927, n'ayant aucun descendant, elle décide de léguer tous ses biens immobiliers à la ville de Tergnier. «À charge pour elle de doter avec les revenus de ces immeubles, deux jeunes filles méritantes de chaque commune et sans situation et ce annuellement », est-il inscrit.
La tradition a perduré jusqu'à aujourd'hui. Chaque année, quatre jeunes filles dans leur vingtième année, deux de Vouël et deux autres de Tergnier, reçoivent une dot. Aujourd'hui, cette somme se monte à 1 000 € pour chacune d'entre elles. «Tous les ans, nous réévaluons la dot. C'est pour leur donner un petit coup de pouce », explique Christian Crohem, maire de Tergnier.
Zoé Matthias est partie pour faire de longues études en statistique et informatique décisionnelle. Cette somme va à la fois lui permettre de faire des réparations pour sa voiture. Mais elle garde les pieds sur terre. «Je vais en placer une partie avant de m'installer dans un appartement. »
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Morte-elle-continue-a-aider-les-jeunes
Les braqueurs condamnés
Il aura fallu plus de deux heures et quart au jury de la cour d'assises de la Dordogne pour répondre aux quatorze questions qui lui étaient posées sur la culpabilité de Marcel Lallevé et Belkacem Zallit, les deux auteurs du vol à main armée commis en avril 2009, au supermarché Mutant, de Terrasson.
Belkacem Zallit, 31 ans, a été condamné à huit ans d'emprisonnement pour le braquage de la grande surface et le cambriolage commis dans ce même lieu en janvier 2009.
Accusés égo-centrés
Marcel Lallevé, 26 ans, a été reconnu coupable pour l'attaque du Mutant, mais pas du cambriolage de janvier, bien que Belkacem Zallit ait dit le contraire lors de son audition en matinée. Il a été condamné à une peine mixte de cinq ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve de trois ans assortis d'une obligation de soins, de travail et d'indemniser les victimes.
Les peines prononcées à l'encontre des accusés sont inférieures aux réquisitions de l'avocate générale, Odile De Fritsch, qui avait demandé pas moins de 9 ans pour Zallit et pas moins de 7 ans pour Lallevé.
« On ne peut pas justifier deux crimes par la commission d'autres délits. La détention de stupéfiants, c'est interdit », avait-elle mentionné, balayant d'une phrase l'explication d'une « dette à un créancier » avancée par Belkacem Zallit.
Des excuses, ou plutôt des justifications à ce passage à l'acte, un soir d'avril 2009, la cour en a entendu un certain nombre pendant ces trois jours d'audience : « une dette », « un besoin d'argent », l'aide « généreuse » à un ami ou encore des enfances brisées qui auraient rendu ces deux hommes « faibles et influençables ».
« On ne soigne pas sa souffrance par une autre souffrance », a asséné Me Patrick Pagès, avocat de deux parties civiles absentes au procès, cherchant à replacer du bon côté de la barre le mot « victime » dans ce dossier. Des victimes qui ne se « complaisent pas », qui ne « sont pas dans le ressentiment ni la vengeance », mais qui ont vécu une « agression criminelle » commise par « deux accusés qui sont encore égo-centrés » pour Me Béatrice Ceccaldi, avocate du gérant du Mutant et de la caissière menacée avec un couteau (lire « Sud Ouest » d'hier).
Des Pieds Nickelés
Dénonçant une banalisation des vols à main armée et une nécessité d'en finir par le respect de la loi, Me Alain Pagnoux, l'avocat de la SAS Mutant a fait valoir que « les victimes ne doivent pas être concernées par le lourd vécu des deux accusés ». Une vie et des personnalités que les deux avocats de la défense, Me Éric Barateau pour Belkacem Zallit et Me Amandine Cartayrade pour Marcel Lallevé, ont cependant brandies pour contrer des « réquisitions énormes » et « choquantes ».
« C'est un braquage fait par des amateurs, des gens immatures qui n'ont pas réfléchi aux tenants et aux aboutissants », a souligné Me Cartayrade. Me Éric Barateau de poursuivre en qualifiant le duo de « bras cassés » et de Pieds Nickelés, énumérant les mégots de cigarettes oubliés ou encore la longue journée d'attente derrière le Mutant avant de se décider à passer à l'action à l'heure de la fermeture.
« Marcel Lallevé est une personne qui s'est égarée à un moment dans sa vie. Cette affaire de 2009 était la dernière. Il a changé », insiste Me Cartayrade. « Belkacem Zallit n'est pas un truand. Il ne s'est pas dérobé face à ses responsabilités. La carapace que l'on vous a présentée n'est qu'un sous-poil de chat des rues. Il a les possibilités de se reconstruire », a souligné Me Éric Barateau.
Malgré ces « frémissements d'espoir » pour leur avenir, avancés par leurs avocats, c'est la mâchoire serrée pour Belkacem Zallit et le visage en larmes pour Marcel Lallevé, qu'ils ont accueilli le verdict hier soir, avant d'être tous deux conduits en maison d'arrêt, l'un pour y prolonger sa détention, l'autre pour commencer à y purger sa peine.
Les deux hommes ont dix jours pour faire appel de leurs condamnations
http://www.sudouest.fr/2011/04/30/les-braqueurs-condamnes-385358-4625.php
Belkacem Zallit, 31 ans, a été condamné à huit ans d'emprisonnement pour le braquage de la grande surface et le cambriolage commis dans ce même lieu en janvier 2009.
Accusés égo-centrés
Marcel Lallevé, 26 ans, a été reconnu coupable pour l'attaque du Mutant, mais pas du cambriolage de janvier, bien que Belkacem Zallit ait dit le contraire lors de son audition en matinée. Il a été condamné à une peine mixte de cinq ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve de trois ans assortis d'une obligation de soins, de travail et d'indemniser les victimes.
Les peines prononcées à l'encontre des accusés sont inférieures aux réquisitions de l'avocate générale, Odile De Fritsch, qui avait demandé pas moins de 9 ans pour Zallit et pas moins de 7 ans pour Lallevé.
« On ne peut pas justifier deux crimes par la commission d'autres délits. La détention de stupéfiants, c'est interdit », avait-elle mentionné, balayant d'une phrase l'explication d'une « dette à un créancier » avancée par Belkacem Zallit.
Des excuses, ou plutôt des justifications à ce passage à l'acte, un soir d'avril 2009, la cour en a entendu un certain nombre pendant ces trois jours d'audience : « une dette », « un besoin d'argent », l'aide « généreuse » à un ami ou encore des enfances brisées qui auraient rendu ces deux hommes « faibles et influençables ».
« On ne soigne pas sa souffrance par une autre souffrance », a asséné Me Patrick Pagès, avocat de deux parties civiles absentes au procès, cherchant à replacer du bon côté de la barre le mot « victime » dans ce dossier. Des victimes qui ne se « complaisent pas », qui ne « sont pas dans le ressentiment ni la vengeance », mais qui ont vécu une « agression criminelle » commise par « deux accusés qui sont encore égo-centrés » pour Me Béatrice Ceccaldi, avocate du gérant du Mutant et de la caissière menacée avec un couteau (lire « Sud Ouest » d'hier).
Des Pieds Nickelés
Dénonçant une banalisation des vols à main armée et une nécessité d'en finir par le respect de la loi, Me Alain Pagnoux, l'avocat de la SAS Mutant a fait valoir que « les victimes ne doivent pas être concernées par le lourd vécu des deux accusés ». Une vie et des personnalités que les deux avocats de la défense, Me Éric Barateau pour Belkacem Zallit et Me Amandine Cartayrade pour Marcel Lallevé, ont cependant brandies pour contrer des « réquisitions énormes » et « choquantes ».
« C'est un braquage fait par des amateurs, des gens immatures qui n'ont pas réfléchi aux tenants et aux aboutissants », a souligné Me Cartayrade. Me Éric Barateau de poursuivre en qualifiant le duo de « bras cassés » et de Pieds Nickelés, énumérant les mégots de cigarettes oubliés ou encore la longue journée d'attente derrière le Mutant avant de se décider à passer à l'action à l'heure de la fermeture.
« Marcel Lallevé est une personne qui s'est égarée à un moment dans sa vie. Cette affaire de 2009 était la dernière. Il a changé », insiste Me Cartayrade. « Belkacem Zallit n'est pas un truand. Il ne s'est pas dérobé face à ses responsabilités. La carapace que l'on vous a présentée n'est qu'un sous-poil de chat des rues. Il a les possibilités de se reconstruire », a souligné Me Éric Barateau.
Malgré ces « frémissements d'espoir » pour leur avenir, avancés par leurs avocats, c'est la mâchoire serrée pour Belkacem Zallit et le visage en larmes pour Marcel Lallevé, qu'ils ont accueilli le verdict hier soir, avant d'être tous deux conduits en maison d'arrêt, l'un pour y prolonger sa détention, l'autre pour commencer à y purger sa peine.
Les deux hommes ont dix jours pour faire appel de leurs condamnations
http://www.sudouest.fr/2011/04/30/les-braqueurs-condamnes-385358-4625.php
Une octogénaire se jette du dixième étage d’un immeuble
Une dame âgée de 85 ans a trouvé la mort hier matin, vers 6 heures, après avoir chuté du dixième étage d’un immeuble situé au 79 rue Ampère à Grenoble, près du carrefour de Catane.
Alertés, les sapeurs-pompiers n’ont malheureusement pu que constater le décès de l’octogénaire, laquelle s’est vraisemblablement jetée dans le vide de façon volontaire pour mettre fin à ses jours.
Les policiers de Grenoble ont ouvert une enquête afin de le confirmer
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/04/29/une-octogenaire-se-jette-du-dixieme-etage-d-un-immeuble
Alertés, les sapeurs-pompiers n’ont malheureusement pu que constater le décès de l’octogénaire, laquelle s’est vraisemblablement jetée dans le vide de façon volontaire pour mettre fin à ses jours.
Les policiers de Grenoble ont ouvert une enquête afin de le confirmer
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/04/29/une-octogenaire-se-jette-du-dixieme-etage-d-un-immeuble
Près d’un millier de personnes ont rendu un vibrant hommage à Grégory
Il faut croire que quasiment tous les habitants de Quarante, petit village héraultais de 1 600 âmes, étaient présents, hier après-midi, à la marche blanche organisée en mémoire de Grégory Cros.
Cet enfant du pays, fauché par un chauffard qui lui a enlevé la vie à tout juste 20 ans, a regagné sa dernière demeure, dans le caveau familial de Puisserguier, après un émouvant recueillement dans la petite chapelle Saint-Jean.
Le cortège, emmené par les amis de la victime, munis d’une rose blanche, a traversé le village dans un silence pesant. Mais l’émotion était trop forte. Et c’est fort logiquement que personne n’a pu retenir ses larmes en passant devant la maison familiale où trônait un portrait de Grégory tout souriant.
http://www.midilibre.fr/2011/04/29/herault-pres-d-un-millier-de-personnes-ont-rendu-un-vibrant-hommage-a-gregory,311596.php
Cet enfant du pays, fauché par un chauffard qui lui a enlevé la vie à tout juste 20 ans, a regagné sa dernière demeure, dans le caveau familial de Puisserguier, après un émouvant recueillement dans la petite chapelle Saint-Jean.
Le cortège, emmené par les amis de la victime, munis d’une rose blanche, a traversé le village dans un silence pesant. Mais l’émotion était trop forte. Et c’est fort logiquement que personne n’a pu retenir ses larmes en passant devant la maison familiale où trônait un portrait de Grégory tout souriant.
http://www.midilibre.fr/2011/04/29/herault-pres-d-un-millier-de-personnes-ont-rendu-un-vibrant-hommage-a-gregory,311596.php
vendredi 29 avril 2011
Renault Flins : les policiers bloqués 40 mn à l'entrée de l'usine
Les policiers obligés d'attendre 40 minutes avant de pouvoir intervenir sur un accident du travail qui a eu lieu jeudi soir à l'usine Renault Flins (Yvelines).
Vers 21 h 40, les forces de l'ordre ont été forcées d'attendre que les gardiens leur ouvrent la porte pour effectuer les première constatation. «Le gardien a dit qu'il ne pouvait pas les laisser entrer parce que la blessure était benigne», précise une source proche de l'affaire.
Aux alentours de 22 h 25, Christian, 53 ans, un ouvrier a bel et bien été grièvement brûlé par un jet de vapeur à 120 degrés alors qu'il actionnait le levier de purge d'une presse à injonction. La jambière de son pantalon s'est prise dans la machine et la vapeur brûlante est montée de sa chaussure au genou. Sa peau s'est décollée et s'est retournée. Le pompier et le Samu sont rapidement arrivés sur place. Mais la police a été bloquée à l'entrée.
L'usine Renault souligne que ce délai n'est pas une volonté de dissimuler des éléments aux enquêteurs. Il s'agirait d'une procédure appliquée à la lettre par le gardien. Ce dernier doit attendre l'accord de son supérieur pour ouvrir la porte. De plus, pour atteindre les lieux de l'accident difficilement trouvables, les policiers avaient besoin d'un guide.
http://www.leparisien.fr/flins-sur-seine-78410/renault-flins-les-policiers-bloques-40-mn-a-l-entree-de-l-usine-29-04-2011-1428518.php
Vers 21 h 40, les forces de l'ordre ont été forcées d'attendre que les gardiens leur ouvrent la porte pour effectuer les première constatation. «Le gardien a dit qu'il ne pouvait pas les laisser entrer parce que la blessure était benigne», précise une source proche de l'affaire.
Aux alentours de 22 h 25, Christian, 53 ans, un ouvrier a bel et bien été grièvement brûlé par un jet de vapeur à 120 degrés alors qu'il actionnait le levier de purge d'une presse à injonction. La jambière de son pantalon s'est prise dans la machine et la vapeur brûlante est montée de sa chaussure au genou. Sa peau s'est décollée et s'est retournée. Le pompier et le Samu sont rapidement arrivés sur place. Mais la police a été bloquée à l'entrée.
L'usine Renault souligne que ce délai n'est pas une volonté de dissimuler des éléments aux enquêteurs. Il s'agirait d'une procédure appliquée à la lettre par le gardien. Ce dernier doit attendre l'accord de son supérieur pour ouvrir la porte. De plus, pour atteindre les lieux de l'accident difficilement trouvables, les policiers avaient besoin d'un guide.
http://www.leparisien.fr/flins-sur-seine-78410/renault-flins-les-policiers-bloques-40-mn-a-l-entree-de-l-usine-29-04-2011-1428518.php
Course-poursuite: un fuyard décédé
Un homme à bord d'une voiture volée, pris en chasse jeudi soir par les gendarmes, est décédé dans un accident survenu lors de cette course-poursuite, a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes et du procureur de la République. Jeudi vers 22h, alors qu'ils procédaient à la reconstitution d'une affaire criminelle sur la route nationale entre Dax et Mont-de-marsan, les gendarmes ont vu une berline sortir de la route en arrivant à leur hauteur sur un rond-point.
Le chauffeur du véhicule s'est alors empressé de manoeuvrer pour prendre le rond-point en sens inverse et s'échapper, déclenchant une course-poursuite avec les gendarmes. Plusieurs kilomètres plus loin, à un autre rond-point, la voiture du fuyard était immobilisé au centre de la chaussée après une embardée et un tonneau. Sur cette portion de route non éclairée, les gendarmes ont d'un coup de volant évité de justesse la voiture couchée sur le flanc mais ont roulé sur le corps du chauffeur qui avait été éjecté de la voiture, le traînant sur plusieurs mètres, selon ces mêmes sources.
"Lorsque les gendarmes sont arrivés derrière, ils n'ont pas pu éviter cet obstacle que constituait cette masse allongée sur la route", a expliqué la procureur de la République de Dax, Frédérique Loubet-Porterie. "On ne peut pas déterminer avec certitude que la personne était décédée (au moment du choc) mais les constatations faites par les techniciens de la police judiciaire et par le médecin légiste donnent à penser que l'individu, qui a été éjecté plusieurs mètres en avant du véhicule sous le choc et la violence de l'accident, était manifestement décédé d'une fracture du crâne", a-t-elle ajouté.
Une autopsie du corps a été ordonnée et les gendarmes ont été entendus. L'homme décédé, d'origine sud-américaine et entré illégalement en France, était connu des services de police pour des petits larcins.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/29/97001-20110429FILWWW00529-course-poursuite-un-fuyard-decede.php
Le chauffeur du véhicule s'est alors empressé de manoeuvrer pour prendre le rond-point en sens inverse et s'échapper, déclenchant une course-poursuite avec les gendarmes. Plusieurs kilomètres plus loin, à un autre rond-point, la voiture du fuyard était immobilisé au centre de la chaussée après une embardée et un tonneau. Sur cette portion de route non éclairée, les gendarmes ont d'un coup de volant évité de justesse la voiture couchée sur le flanc mais ont roulé sur le corps du chauffeur qui avait été éjecté de la voiture, le traînant sur plusieurs mètres, selon ces mêmes sources.
"Lorsque les gendarmes sont arrivés derrière, ils n'ont pas pu éviter cet obstacle que constituait cette masse allongée sur la route", a expliqué la procureur de la République de Dax, Frédérique Loubet-Porterie. "On ne peut pas déterminer avec certitude que la personne était décédée (au moment du choc) mais les constatations faites par les techniciens de la police judiciaire et par le médecin légiste donnent à penser que l'individu, qui a été éjecté plusieurs mètres en avant du véhicule sous le choc et la violence de l'accident, était manifestement décédé d'une fracture du crâne", a-t-elle ajouté.
Une autopsie du corps a été ordonnée et les gendarmes ont été entendus. L'homme décédé, d'origine sud-américaine et entré illégalement en France, était connu des services de police pour des petits larcins.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/29/97001-20110429FILWWW00529-course-poursuite-un-fuyard-decede.php
Mordue par un serpent sauvée par le Dragon
Hier, vers 12h, un important dispositif de secours a été engagé au lieu-dit de La Croix de Fer à Ménerbes. Une femme de 55 ans est restée bloquée dans un endroit difficile d’accès. La quinquagénaire a été mordue par un serpent.
L’hélicoptère de la sécurité civile, le “Dragon 131”, a été envoyé en urgence. L’appareil s’est chargé du transport jusqu’à l’hôpital d’Aix-en-Provence. Le GRIMP (groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu) Sud Lubéron a été engagé pour pouvoir redescendre la victime. Ils ont été rejoints par des secours de Bonnieux et Cavaillon. Cinq engins d’intervention ont été mobilisés.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/28/mordue-par-un-serpent-sauvee-par-le-dragon
L’hélicoptère de la sécurité civile, le “Dragon 131”, a été envoyé en urgence. L’appareil s’est chargé du transport jusqu’à l’hôpital d’Aix-en-Provence. Le GRIMP (groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu) Sud Lubéron a été engagé pour pouvoir redescendre la victime. Ils ont été rejoints par des secours de Bonnieux et Cavaillon. Cinq engins d’intervention ont été mobilisés.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/28/mordue-par-un-serpent-sauvee-par-le-dragon
Yvelines : battu à mort à Chatou
Francis Hechan, un homme âgé de 57 ans a été battu à mort dans la nuit de jeudi vendredi dans son appartement de Chatou. Les forces de l'ordre ont interpellé un suspect âgé de 36 ans et il a été placé en garde vue l'hôpital de Poissy.
Ce matin vendredi à 2 heures du matin, les forces de l'ordre sont intervenues dans ce logement rue Esther-Lacroix à Chatou à la suite d'un appel à police-secours lancé par les voisins qui entendaient des cris de détresse. A leur arrivée, les policiers ont enfoncé la porte. Ils ont trouvé la victime agonisante allongée par terre et ont vu un autre homme s'enfuir en sautant par la fenêtre du premier étage. La brigade anti-criminalité a suivi des traces de sang et il a finalement été interpellé, non sans se débattre et après avoir blessé un policier. L'auteur présumé a été conduit l'hôpital pour être soigné car sa chute lui a causé de multiples blessures. La brigade criminelle de la police judiciaire de Versailles est chargée de l'affaire.http://www.leparisien.fr/chatou-78400/yvelines-battu-a-mort-a-chatou-29-04-2011-1428234.php
Ce matin vendredi à 2 heures du matin, les forces de l'ordre sont intervenues dans ce logement rue Esther-Lacroix à Chatou à la suite d'un appel à police-secours lancé par les voisins qui entendaient des cris de détresse. A leur arrivée, les policiers ont enfoncé la porte. Ils ont trouvé la victime agonisante allongée par terre et ont vu un autre homme s'enfuir en sautant par la fenêtre du premier étage. La brigade anti-criminalité a suivi des traces de sang et il a finalement été interpellé, non sans se débattre et après avoir blessé un policier. L'auteur présumé a été conduit l'hôpital pour être soigné car sa chute lui a causé de multiples blessures. La brigade criminelle de la police judiciaire de Versailles est chargée de l'affaire.http://www.leparisien.fr/chatou-78400/yvelines-battu-a-mort-a-chatou-29-04-2011-1428234.php
« Pas d’issue » pour Dupont de Ligonnès
Xavier de Ligonnès, dont la famille a été assassinée à Nantes le 22 avril, ne pourra échapper au filet policier, estime Claude Cancès, ex-patron de la PJ.
Comment et combien de temps ce père de famille recherché par les polices du monde entier peut-il tenir ?
Claude Cancès : « Il y a trois hypothèses. Soit il a mis fin à ses jours. Soit, depuis que les cadavres (de sa famille) ont été découverts, il est aux abois. C’est donc un homme seul, pas un voyou d’habitude qui aurait des relations dans le milieu et aurait été "planqué". Même son environnement proche, son ex-maîtresse, a paniqué. Il peut se rendre.
La troisième hypothèse : il ne va pas tenir longtemps et devrait être arrêté rapidement. Sa photo est diffusée partout. Sauf à se grimer et encore je ne vois pas comment. Sauf à se terrer dans une grotte et ne plus bouger. De ce que j’en sais – je ne connais pas le dossier – il va se faire "choper" tôt ou tard surtout s’il n’est pas à l’étranger. »
Quels sont les moyens déployés pour retrouver un tel homme en cavale ?
« Il y a des diffusions partout dont sa photo. Elle est dans tous les commissariats du monde. Il y a également des moyens techniques et scientifiques. J’imagine que tous ses proches, amis, famille ont été interrogés et sont sous écoutes pour le cas où il appellerait. C’est un travail colossal. Toutes les personnes qui apparaissent dans son environnement sont branchées, voire des surveillances montées autour de familiers ou de cibles plus sensibles. A leur insu. Au cas où. Ou il est complètement fou et peut faire n’importe quoi, mais je ne le vois pas ainsi : c’est un type aux abois maintenant et encore une fois il va être arrêté. »
Est-ce un homme dangereux, car aux abois précisément ?
« Il a manifesté son degré de dangerosité. On peut tout imaginer. En 35 ans de Quai des Orfèvres, je n’ai jamais vu cela, à part un Japonais qui avait tué sa mère au Japon, enterrée dans la cave, puis tué à Paris les parents de sa petite amie et cette dernière à son tour. Le même modus operandi, à la différence que le Japonais s’était aussitôt suicidé. L’affaire de Nantes est hors normes, tuer toute sa famille comme cela, avec détermination, des projets.
Ce qui peut le perdre aussi, c’est que c’est un type qui se manifeste sur internet, qui écrit et laisse pas mal de traces. Je suis assez confiant. Dans les jours qui viennent, les collègues devraient le "serrer" (l’arrêter, ndlr), je pense. S’il n’est pas mort. »
http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2011/04/29/pas-d-issue-pour-dupont-de-ligonnes
Comment et combien de temps ce père de famille recherché par les polices du monde entier peut-il tenir ?
Claude Cancès : « Il y a trois hypothèses. Soit il a mis fin à ses jours. Soit, depuis que les cadavres (de sa famille) ont été découverts, il est aux abois. C’est donc un homme seul, pas un voyou d’habitude qui aurait des relations dans le milieu et aurait été "planqué". Même son environnement proche, son ex-maîtresse, a paniqué. Il peut se rendre.
La troisième hypothèse : il ne va pas tenir longtemps et devrait être arrêté rapidement. Sa photo est diffusée partout. Sauf à se grimer et encore je ne vois pas comment. Sauf à se terrer dans une grotte et ne plus bouger. De ce que j’en sais – je ne connais pas le dossier – il va se faire "choper" tôt ou tard surtout s’il n’est pas à l’étranger. »
Quels sont les moyens déployés pour retrouver un tel homme en cavale ?
« Il y a des diffusions partout dont sa photo. Elle est dans tous les commissariats du monde. Il y a également des moyens techniques et scientifiques. J’imagine que tous ses proches, amis, famille ont été interrogés et sont sous écoutes pour le cas où il appellerait. C’est un travail colossal. Toutes les personnes qui apparaissent dans son environnement sont branchées, voire des surveillances montées autour de familiers ou de cibles plus sensibles. A leur insu. Au cas où. Ou il est complètement fou et peut faire n’importe quoi, mais je ne le vois pas ainsi : c’est un type aux abois maintenant et encore une fois il va être arrêté. »
Est-ce un homme dangereux, car aux abois précisément ?
« Il a manifesté son degré de dangerosité. On peut tout imaginer. En 35 ans de Quai des Orfèvres, je n’ai jamais vu cela, à part un Japonais qui avait tué sa mère au Japon, enterrée dans la cave, puis tué à Paris les parents de sa petite amie et cette dernière à son tour. Le même modus operandi, à la différence que le Japonais s’était aussitôt suicidé. L’affaire de Nantes est hors normes, tuer toute sa famille comme cela, avec détermination, des projets.
Ce qui peut le perdre aussi, c’est que c’est un type qui se manifeste sur internet, qui écrit et laisse pas mal de traces. Je suis assez confiant. Dans les jours qui viennent, les collègues devraient le "serrer" (l’arrêter, ndlr), je pense. S’il n’est pas mort. »
http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2011/04/29/pas-d-issue-pour-dupont-de-ligonnes
Soupçonné de plus de 40 feux de voitures
Un homme déjà connu pour son goût des incendies a été interpellé par la police. Il est soupçonné de très nombreux feux de véhicules dans les quartiers du Mirail. Mis en examen, il a été incarcéré.
Passe-temps quotidien des cités « sensibles » de Toulouse au début et au milieu des années 2000, les feux de véhicules ont peu à peu quitté la Une de l'actualité. En 2010 ces feux criminels ont baissé d'environ 30 % sur Toulouse pour se stabiliser en dessous de 2000 véhicules brûlés (pas de chiffre officiel disponible). Derrière cette masse de milliers de véhicules qui brûlent sont mélangés violences urbaines, volonté de brûler traces et indices après des mauvais coups, vengeances désagréables entre voisins ou arnaques à l'assurance… Et à cette liste déjà longue, il faut désormais ajouter l'action d'un pyromane.
C'est ce qui ressort d'une enquête de plusieurs mois menée par un groupe de la sûreté urbaine, la voie publique, qui travaille beaucoup dans les quartiers. Mi-avril, ils ont interpellé un suspect qui aurait mis le feu à une bonne quarantaine de véhicules. Il serait notamment responsable d'un feu important début janvier à Bagatelle ou 18 véhicules avaient cramé. Le chiffre exact reste à préciser par l'instruction pour déterminer ce qu'il faut comptabiliser dans ce dossier : les mises à feu, seize selon l'avocat du mis en cause ou l'ensemble des véhicules détruits, dont le nombre aurait été arrêté à 46 !
Ces feux successifs, identifiés depuis l'automne, présentaient des particularités qui n'ont pas échappé aux enquêteurs. Les mêmes jours (lundi, mardi, vendredi, samedi) et dans des tranches horaires semblables, autour de 5 heures du matin. Des surveillances ont donc été mises en place et un suspect a été pris en flagrant délit mi-avril alors qu'il venait de mettre le feu à quatre voitures. Ce n'est pas un jeune désœuvré mais un homme âgé de 30 ans et qui jouait avec briquet et allumettes sur le chemin de son job dans les marchés…
Ce n'est pas la première fois que sa passion du feu entraîne de sérieux ennuis à cet homme. En effet, il avait déjà été inquiété pour avoir mis le feu à des herbes hautes en bordure de voie rapide voilà deux ans. Il réfléchit désormais à la maison d'arrêt de Seysses le temps que la justice éclaire la réalité de ses actions fumeuses et interdites.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/29/1070764-Soupconne-de-plus-de-40-feux-de-voitures.html
Passe-temps quotidien des cités « sensibles » de Toulouse au début et au milieu des années 2000, les feux de véhicules ont peu à peu quitté la Une de l'actualité. En 2010 ces feux criminels ont baissé d'environ 30 % sur Toulouse pour se stabiliser en dessous de 2000 véhicules brûlés (pas de chiffre officiel disponible). Derrière cette masse de milliers de véhicules qui brûlent sont mélangés violences urbaines, volonté de brûler traces et indices après des mauvais coups, vengeances désagréables entre voisins ou arnaques à l'assurance… Et à cette liste déjà longue, il faut désormais ajouter l'action d'un pyromane.
C'est ce qui ressort d'une enquête de plusieurs mois menée par un groupe de la sûreté urbaine, la voie publique, qui travaille beaucoup dans les quartiers. Mi-avril, ils ont interpellé un suspect qui aurait mis le feu à une bonne quarantaine de véhicules. Il serait notamment responsable d'un feu important début janvier à Bagatelle ou 18 véhicules avaient cramé. Le chiffre exact reste à préciser par l'instruction pour déterminer ce qu'il faut comptabiliser dans ce dossier : les mises à feu, seize selon l'avocat du mis en cause ou l'ensemble des véhicules détruits, dont le nombre aurait été arrêté à 46 !
Ces feux successifs, identifiés depuis l'automne, présentaient des particularités qui n'ont pas échappé aux enquêteurs. Les mêmes jours (lundi, mardi, vendredi, samedi) et dans des tranches horaires semblables, autour de 5 heures du matin. Des surveillances ont donc été mises en place et un suspect a été pris en flagrant délit mi-avril alors qu'il venait de mettre le feu à quatre voitures. Ce n'est pas un jeune désœuvré mais un homme âgé de 30 ans et qui jouait avec briquet et allumettes sur le chemin de son job dans les marchés…
Ce n'est pas la première fois que sa passion du feu entraîne de sérieux ennuis à cet homme. En effet, il avait déjà été inquiété pour avoir mis le feu à des herbes hautes en bordure de voie rapide voilà deux ans. Il réfléchit désormais à la maison d'arrêt de Seysses le temps que la justice éclaire la réalité de ses actions fumeuses et interdites.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/29/1070764-Soupconne-de-plus-de-40-feux-de-voitures.html
Quatre mois de prison ferme pour de fausses alertes à la bombe
L'auteur de fausses alertes à la bombe aux tours Eiffel et Montparnasse a été jugé jeudi...
Une peine sérieuse pour une mauvaise blague. L'homme à l'origine de fausses alertes à la bombe à la tour Eiffel (7e), à la tour Montparnasse (15e) et au théâtre du Châtelet (1er), en février dernier, a été condamné hier à un an de prison dont quatre mois ferme par le tribunal correctionnel de Paris.
Un accusé pas fier
A la barre, crâne rasé, boucles d'oreille et pantalon baggy, le jeune homme de 23 ans originaire de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) n'en mène pas large. La tête basse, il écoute le résumé des faits. Le 25 février, il a téléphoné au ministère des Affaires étrangères pour signaler l'emplacement des bombes imaginaires. «1.700 personnes ont été évacuées de la tour Eiffel, vous imaginez leur effroi?», lance le président. «J'ai réfléchi depuis, je pense à ces gens, se repent le prévenu. Mais je n'étais pas dans mon état normal, j'avais bu du whisky et fumé du cannabis, ce qui m'arrive souvent depuis la mort de mon père. J'ai pété les plombs.» «Pourtant, vous avez déclaré avoir agi après avoir vu à la télévision que la France allait bombarder la Libye, le coupe le président. Qu'en dites-vous?» «J'ai honte, parce qu'en fait je ne suis pas Libyen.»
Le procureur ne croit pas au coup de tête; il ne lui épargnera rien. «Ce genre de fausse alerte a tendance à se multiplier ces derniers temps, pour jouer sur la peur du terrorisme. Il n'a pas agi impulsivement, il a pris le temps de prévenir des chaînes de télé et de radio.» L'avocat de la défense tente le tout pour le tout. «Mon client a vécu sa première histoire d'amour de façon fusionnelle, tente-il. Il n'a pas digéré sa rupture.» En 2009, il est condamné une première fois pour vol. La prison ne lui réussira pas. «On a essayé de le tuer deux fois là-bas. Il a été attaqué à coups de poêle.» Mais l'argument ne suffira pas, la condamnation tombe. Reste à déterminer le montant des indemnités à verser aux parties civiles, notamment le restaurant de la Tour Montparnasse. Elles ont déclaré plus de 100.000 euros de préjudice.
http://www.20minutes.fr/article/714993/paris-quatre-mois-ferme-faux-attentat
Une peine sérieuse pour une mauvaise blague. L'homme à l'origine de fausses alertes à la bombe à la tour Eiffel (7e), à la tour Montparnasse (15e) et au théâtre du Châtelet (1er), en février dernier, a été condamné hier à un an de prison dont quatre mois ferme par le tribunal correctionnel de Paris.
Un accusé pas fier
A la barre, crâne rasé, boucles d'oreille et pantalon baggy, le jeune homme de 23 ans originaire de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) n'en mène pas large. La tête basse, il écoute le résumé des faits. Le 25 février, il a téléphoné au ministère des Affaires étrangères pour signaler l'emplacement des bombes imaginaires. «1.700 personnes ont été évacuées de la tour Eiffel, vous imaginez leur effroi?», lance le président. «J'ai réfléchi depuis, je pense à ces gens, se repent le prévenu. Mais je n'étais pas dans mon état normal, j'avais bu du whisky et fumé du cannabis, ce qui m'arrive souvent depuis la mort de mon père. J'ai pété les plombs.» «Pourtant, vous avez déclaré avoir agi après avoir vu à la télévision que la France allait bombarder la Libye, le coupe le président. Qu'en dites-vous?» «J'ai honte, parce qu'en fait je ne suis pas Libyen.»
Le procureur ne croit pas au coup de tête; il ne lui épargnera rien. «Ce genre de fausse alerte a tendance à se multiplier ces derniers temps, pour jouer sur la peur du terrorisme. Il n'a pas agi impulsivement, il a pris le temps de prévenir des chaînes de télé et de radio.» L'avocat de la défense tente le tout pour le tout. «Mon client a vécu sa première histoire d'amour de façon fusionnelle, tente-il. Il n'a pas digéré sa rupture.» En 2009, il est condamné une première fois pour vol. La prison ne lui réussira pas. «On a essayé de le tuer deux fois là-bas. Il a été attaqué à coups de poêle.» Mais l'argument ne suffira pas, la condamnation tombe. Reste à déterminer le montant des indemnités à verser aux parties civiles, notamment le restaurant de la Tour Montparnasse. Elles ont déclaré plus de 100.000 euros de préjudice.
http://www.20minutes.fr/article/714993/paris-quatre-mois-ferme-faux-attentat
Choc frontal entre deux voitures : deux blessés graves héliportés
Un grave accident s’est produit hier vers 16 heures sur la route de Bagnols (D6), à hauteur de Vallérargues. Un choc frontal entre deux voitures, impliquant 11 personnes, 7 dans un véhicule immatriculé en Suisse et 4 dans le second. L’accident a nécessité le déploiement d’importants moyens de secours, avec une trentaine de pompiers, six ambulances et deux hélicoptères (sécurité civile et Samu).
La route a été longuement bloquée afin de permettre à l’un des hélicoptères de se poser sur la chaussée tandis que le second atterrissait dans un champ. Le choc serait dû à la perte de contrôle d’un des conducteurs dont la voiture s’est déportée sur l’autre voie. Une enquête est en cours. Dans le véhicule immatriculé en Suisse, deux femmes et cinq enfants, dont deux en bas âge, se trouvaient à bord. Leurs blessures ne sont que légères pour deux d’entre eux. Mais tous ont été conduits à l’hôpital de Bagnols. De l’autre véhicule, les pompiers (des casernes d’Uzès, Méjannes-le-Clap, Bagnols et Alès) ont désincarcéré deux blessés graves qui ont été héliportés sur l’hôpital de Nîmes.
http://www.midilibre.fr/2011/04/28/deux-blesses-graves-heliportes,310982.php
La route a été longuement bloquée afin de permettre à l’un des hélicoptères de se poser sur la chaussée tandis que le second atterrissait dans un champ. Le choc serait dû à la perte de contrôle d’un des conducteurs dont la voiture s’est déportée sur l’autre voie. Une enquête est en cours. Dans le véhicule immatriculé en Suisse, deux femmes et cinq enfants, dont deux en bas âge, se trouvaient à bord. Leurs blessures ne sont que légères pour deux d’entre eux. Mais tous ont été conduits à l’hôpital de Bagnols. De l’autre véhicule, les pompiers (des casernes d’Uzès, Méjannes-le-Clap, Bagnols et Alès) ont désincarcéré deux blessés graves qui ont été héliportés sur l’hôpital de Nîmes.
http://www.midilibre.fr/2011/04/28/deux-blesses-graves-heliportes,310982.php
jeudi 28 avril 2011
1000 euros requis contre le rappeur "Cortex"
Le tribunal correctionnel de Paris jugeait ce jeudi Sébastien Gozlin, alias "Cortex", un rappeur d'Evry de 29 ans qui se produit sur internet, pour des propos jugés injurieux envers la police et l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux. Sébastien Gozlin a été cité directement par le parquet de Paris pour "injure publique envers un corps constitué", ainsi qu'envers un ministre. Les propos poursuivis sont ceux d'une chanson diffusée en août 2010 sur YouTube. Si Brice Hortefeux est visé par certaines paroles, il ne s'est pas constitué partie civile dans ce dossier.
L'artiste venait alors de signer son 3e album, intitulé "Instinct meurtrier". "Je voulais me faire un peu de buzz", avait-il déclaré aux enquêteurs, en s'excusant auprès des homosexuels blessés par ses propos. "Pédé, c'est comme si je disais connard", ajoutait-il. Silhouette massive dans un tee-shirt aux inscriptions rouges et blanches sur fond noir - "Ghetto 91" dans le dos - le jeune homme a déclaré à l'audience qu'il ne "comprenait pas qu'on l'ait attrapé pour une vidéo".
"C'est pas une grosse affaire mondiale", a-t-il estimé, en considérant par ailleurs que Brice Hortefeux n'avait pas de leçon à lui donner, ayant été lui-même condamné par le même tribunal pour des propos outrageants envers la communauté arabe, condamnation pour laquelle l'ex-ministre a fait appel. "Quand Gozlin injurie la police, Hortefeux l'attaque, mais quand Hortefeux injurie les Noirs et les Arabes, Gozlin, lui, n'a pas de moyen d'action", a déclaré l'avocat de "Cortex", Me Jérôme Hassid. Certes, "les propos sont grossiers", mais "il faut tenir compte du particularisme linguistique", du fait que des "jeunes dans certaines cités s'expriment en mode grossier", a estimé l'avocat. La procureur n'a, elle, rien trouvé d'artistique à l'affaire, mais seulement "de l'injure et de l'invective". Elle a requis 1.000 euros d'amende. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 9 juin.
Entre-temps, Cortex devra comparaître le 31 mai pour une autre affaire d'injures, additionnées de "menaces de mort", à la suite d'une plainte déposée contre lui par la présidente du Front national Marine Le Pen.
http://lci.tf1.fr/france/justice/2011-04/injures-a-la-police-et-a-hortefeux-le-rappeur-cortex-a-la-barre-6425806.html
L'artiste venait alors de signer son 3e album, intitulé "Instinct meurtrier". "Je voulais me faire un peu de buzz", avait-il déclaré aux enquêteurs, en s'excusant auprès des homosexuels blessés par ses propos. "Pédé, c'est comme si je disais connard", ajoutait-il. Silhouette massive dans un tee-shirt aux inscriptions rouges et blanches sur fond noir - "Ghetto 91" dans le dos - le jeune homme a déclaré à l'audience qu'il ne "comprenait pas qu'on l'ait attrapé pour une vidéo".
"C'est pas une grosse affaire mondiale", a-t-il estimé, en considérant par ailleurs que Brice Hortefeux n'avait pas de leçon à lui donner, ayant été lui-même condamné par le même tribunal pour des propos outrageants envers la communauté arabe, condamnation pour laquelle l'ex-ministre a fait appel. "Quand Gozlin injurie la police, Hortefeux l'attaque, mais quand Hortefeux injurie les Noirs et les Arabes, Gozlin, lui, n'a pas de moyen d'action", a déclaré l'avocat de "Cortex", Me Jérôme Hassid. Certes, "les propos sont grossiers", mais "il faut tenir compte du particularisme linguistique", du fait que des "jeunes dans certaines cités s'expriment en mode grossier", a estimé l'avocat. La procureur n'a, elle, rien trouvé d'artistique à l'affaire, mais seulement "de l'injure et de l'invective". Elle a requis 1.000 euros d'amende. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 9 juin.
Entre-temps, Cortex devra comparaître le 31 mai pour une autre affaire d'injures, additionnées de "menaces de mort", à la suite d'une plainte déposée contre lui par la présidente du Front national Marine Le Pen.
http://lci.tf1.fr/france/justice/2011-04/injures-a-la-police-et-a-hortefeux-le-rappeur-cortex-a-la-barre-6425806.html
Deux enfants de 12 ans entendus par les gendarmes
Deux enfants de 12 ans ont été entendus par les gendarmes dans le cadre d’une enquête portant sur un incendie de conteneur à poubelle, lundi vers 16 heures à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs. Le feu avait failli se propager à un gymnase voisin, situé espace Veyron-Lacroix, mais avait été stoppé par les sapeurs-pompiers.
L’enquête menée par la gendarmerie a permis de suspecter les deux garçons, qui ont été entendus dans les locaux de la brigade locale avant d’être laissés libres. Ils seront poursuivis ultérieurement. Un incendie semblable s’était déroulé au même endroit il y a quelque temps.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/04/27/deux-enfants-entendus-par-les-gendarmes
L’enquête menée par la gendarmerie a permis de suspecter les deux garçons, qui ont été entendus dans les locaux de la brigade locale avant d’être laissés libres. Ils seront poursuivis ultérieurement. Un incendie semblable s’était déroulé au même endroit il y a quelque temps.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/04/27/deux-enfants-entendus-par-les-gendarmes
Marie-France Pisier : « Morte avant de tomber dans la piscine »
La mort de Marie-France Pisier, décédée dans sa piscine dimanche dernier, ne serait pas dû à une noyade comme cela été envisagé par les enquêteurs dans un premier temps. France-Soir annonce ce matin que les examens pratiqués n'ont révélé aucune trace d'eau dans les poumons de l'actrice. Marie-France Pisier n'est donc pas morte noyée comme le précise l'un des responsables de l'enquête, au quotidien : « Nous devons aller encore plus loin mais selon nos experts la thèse de la mort par noyade ne tient plus. Marie-France Pisier est morte avant de tomber dans la piscine. »
Toujours selon France-Soir, la thèse du suicide serait elle aussi écartée... Les proches de l'actrice auditionnés mardi et mercredi ont, selon l'AFP fait état d'une personne pleine de vie qui « avait des projets professionnels et confirmé sa présence à l'hommage rendu à Jean-Paul Belmondo au Festival de Cannes. »
Alors que s'est-il passé dans la nuit de samedi à dimanche, nuit du décès de l'actrice si rien n'atteste de la noyade accidentelle ni du suicide ? France-Soir évoque la piste de l'accident. Marie-France Pisier serait décédée d'un arrêt cardiaque brutal ou d'une hydrocution. Pour autant rien n'explique comment Marie-France Pisier, morte avant de tomber dans la piscine s'est retrouvée « enchevêtrée dans une lourde chaise en fer forgé » au fond du bassin de sa résidence de Saint-Cyr...
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/28/1070000-Marie-France-Pisier-Morte-avant-de-tomber-dans-la-piscine.html
Toujours selon France-Soir, la thèse du suicide serait elle aussi écartée... Les proches de l'actrice auditionnés mardi et mercredi ont, selon l'AFP fait état d'une personne pleine de vie qui « avait des projets professionnels et confirmé sa présence à l'hommage rendu à Jean-Paul Belmondo au Festival de Cannes. »
Alors que s'est-il passé dans la nuit de samedi à dimanche, nuit du décès de l'actrice si rien n'atteste de la noyade accidentelle ni du suicide ? France-Soir évoque la piste de l'accident. Marie-France Pisier serait décédée d'un arrêt cardiaque brutal ou d'une hydrocution. Pour autant rien n'explique comment Marie-France Pisier, morte avant de tomber dans la piscine s'est retrouvée « enchevêtrée dans une lourde chaise en fer forgé » au fond du bassin de sa résidence de Saint-Cyr...
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/28/1070000-Marie-France-Pisier-Morte-avant-de-tomber-dans-la-piscine.html
Nantes: le 4 avril, Xavier et son fils Thomas dînaient à Angers...
Un nouvel élément vient s'ajouter à la nébuleuse affaire de la tuerie de Nantes. Le Courrier de l'Ouest et Presse Océan rapportent jeudi que Xavier Dupont de Ligonnès a dîné en tête à tête le lundi soir 4 avril avec son fils Thomas dans un restaurant gastronomique de la périphérie d'Angers, ville où le jeune homme était étudiant. Le père et le fils se sont présentés vers 21h à l'hôtel-restaurant La Croix Cadeau, situé dans un ancien moulin à l'écart des grands axes, à une dizaine de minutes du centre d'Angers, sur la commune d'Avrillé, assure le directeur de l'établissement, Jean-Luc Huez. Le restaurateur a été contacté vendredi par les enquêteurs qui voulaient vérifier une transaction financière de 72,55 euros, correspondant à la facture de ce repas entre père et fils.
"On a juste remarqué qu'ils étaient l'un et l'autre très silencieux. Ils ne se sont pratiquement rien dit pendant le repas", ont déclaré les serveurs qui travaillaient ce soir-là, Sophie et Cédric. "Ils étaient très courtois et gentils", ont-ils relevé. Dans cet établissement qui dispose de deux restaurants, l'un brasserie, l'autre, le Cavier, gastronomique, le père et le fils se sont attablés dans ce dernier. Xavier de Ligonès a choisi un menu à 35 euros, accompagné d'une demi-bouteille d'Anjou village brissac, un vin apprécié de la région. Thomas a pris un plat unique, un bar, accompagné d'un jus de tomates. Le jeune homme n'a pas pris de dessert et a dit en sortant ne pas se sentir très bien, ont précisé les serveurs.
Le père recherché dans le monde entier
Selon le procureur de Nantes, Xavier Ronsin, "les dates probables" des décès se situent "dans la nuit du 3 au 4 et/ou du 4 au 5". Thomas ayant apparemment passé la journée du 5 à Angers, et le fait que sa tombe ait été "distincte de celle des autres membres de la famille peut laisser présumer qu'il aurait été tué postérieurement, mais il ne s'agit là encore que d'une simple hypothèse", a souligné mardi le procureur.
Le père recherché dans le monde entier
Selon le procureur de Nantes, Xavier Ronsin, "les dates probables" des décès se situent "dans la nuit du 3 au 4 et/ou du 4 au 5". Thomas ayant apparemment passé la journée du 5 à Angers, et le fait que sa tombe ait été "distincte de celle des autres membres de la famille peut laisser présumer qu'il aurait été tué postérieurement, mais il ne s'agit là encore que d'une simple hypothèse", a souligné mardi le procureur.
Un ami de Thomas a déclaré au Parisien avoir passé la journée du mardi avec le jeune homme sans rien remarquer d'anormal dans son comportement, jusqu'à ce que ce dernier ne reçoive un appel de son père, lui annonçant que sa mère avait eu un léger accident de la circulation et lui enjoignant de rentrer sur Nantes. Les obsèques d'Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants, retrouvés morts assassinés le 22 avril, auront lieu jeudi en l'église Saint-Félix de Nantes. Depuis la découverte du drame, le père, contre lequel a été lancé un mandat d'arrêt international, reste introuvable
La postière avait piégé les malfaiteurs
C’est le bon réflexe d’une employée qui les a perdus. Hier, les deux auteurs du braquage de l’annexe de la Poste de Roissy-en-Brie, survenu le 28 août 2009, étaient jugés au tribunal correctionnel de Melun. Gil, 36 ans, et Wenceslas, 39 ans, avaient été arrêtés moins d’une heure après le hold-up, lors d’un contrôle de police.
Dans le coffre de leur véhicule se trouvait notamment une chaussette, brûlée par la liasse piégée glissée par la guichetière.
Il était environ 9h45, ce jour d’été, lorsque le duo est passé à l’action. Selon le témoignage de l’employée, Wenceslas, visage découvert, aurait sonné à la porte de l’agence, mais c’est Gil, encagoulé, qui a fait irruption et exigé l’argent avec son arme. L’employée a la bonne idée de lier les 3420 € du butin avec une liasse piégée. Pressé de s’enfuir, le braqueur a caché les billets dans sa chaussette. Sauf qu’à peine sorti de la Poste la liasse s’est enflammée. Il s’est alors débarrassé alors des coupures tachées d’encre.
« J’ai gardé seulement 700 € et je suis reparti en voiture », reconnaît-il, à l’audience. Seulement, pas de chance là encore. Vers 10h30, alors qu’ils arrivent à la porte de Pantin à Paris, une patrouille décide de contrôler la voiture. Elle est conduite par Wenceslas, qui n’a pas de permis.
Un pistolet, un couteau de chasse et... la chaussette brûlée
Aux policiers qui lui demandent son identité lors du contrôle, il donne le nom d’un tiers. C’est dans le coffre que les forces de l’ordre découvrent le jackpot : un sac de sport, trois paires de menottes, un pistolet, un couteau de chasse dont la lame fait 22 cm… et la chaussette brûlée.
« C’est le parfait attirail du braqueur », lui fait remarquer le président du tribunal, François-Marie Giacomoni. Wenceslas, qui compte comme Gil plusieurs condamnations, campe sur ses positions : « Je n’ai rien à voir avec ce vol à main armée. J’ignorais ce qu’il y avait dans la voiture. Elle appartient à mon cousin. Le sac de sport aussi. Il était en détention à ce moment. Je plaide non coupable pour la totalité des faits. »
Lorsque le magistrat demande alors à Gil de dire avec qui il a commis le délit, ce dernier reste prudent : « J’ai reçu des menaces de mort. Je crains pour ma copine. Wenceslas n’est pas l’ouvreur de la porte. A cette époque, j’avais une dette de 4000 € de cocaïne. J’ai été plus ou moins forcé de commettre ce braquage. »
La substitute du procureur a requis six ans de prison avec maintien en détention pour Gil et quatre ans pour Wenceslas avec, pour les deux, interdiction de paraître en Seine-et-Marne pendant cinq ans.
Après réflexion, le tribunal a condamné Gil à quarante-huit mois de détention dont douze mois avec sursis et trois ans dont dix-huit mois avec sursis pour Wenceslas. L’un et l’autre sont interdits de territoire seine-et-marnais pendant deux ans.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/la-postiere-avait-piege-les-malfaiteurs-28-04-2011-1425683.php
Dans le coffre de leur véhicule se trouvait notamment une chaussette, brûlée par la liasse piégée glissée par la guichetière.
Il était environ 9h45, ce jour d’été, lorsque le duo est passé à l’action. Selon le témoignage de l’employée, Wenceslas, visage découvert, aurait sonné à la porte de l’agence, mais c’est Gil, encagoulé, qui a fait irruption et exigé l’argent avec son arme. L’employée a la bonne idée de lier les 3420 € du butin avec une liasse piégée. Pressé de s’enfuir, le braqueur a caché les billets dans sa chaussette. Sauf qu’à peine sorti de la Poste la liasse s’est enflammée. Il s’est alors débarrassé alors des coupures tachées d’encre.
« J’ai gardé seulement 700 € et je suis reparti en voiture », reconnaît-il, à l’audience. Seulement, pas de chance là encore. Vers 10h30, alors qu’ils arrivent à la porte de Pantin à Paris, une patrouille décide de contrôler la voiture. Elle est conduite par Wenceslas, qui n’a pas de permis.
Un pistolet, un couteau de chasse et... la chaussette brûlée
Aux policiers qui lui demandent son identité lors du contrôle, il donne le nom d’un tiers. C’est dans le coffre que les forces de l’ordre découvrent le jackpot : un sac de sport, trois paires de menottes, un pistolet, un couteau de chasse dont la lame fait 22 cm… et la chaussette brûlée.
« C’est le parfait attirail du braqueur », lui fait remarquer le président du tribunal, François-Marie Giacomoni. Wenceslas, qui compte comme Gil plusieurs condamnations, campe sur ses positions : « Je n’ai rien à voir avec ce vol à main armée. J’ignorais ce qu’il y avait dans la voiture. Elle appartient à mon cousin. Le sac de sport aussi. Il était en détention à ce moment. Je plaide non coupable pour la totalité des faits. »
Lorsque le magistrat demande alors à Gil de dire avec qui il a commis le délit, ce dernier reste prudent : « J’ai reçu des menaces de mort. Je crains pour ma copine. Wenceslas n’est pas l’ouvreur de la porte. A cette époque, j’avais une dette de 4000 € de cocaïne. J’ai été plus ou moins forcé de commettre ce braquage. »
La substitute du procureur a requis six ans de prison avec maintien en détention pour Gil et quatre ans pour Wenceslas avec, pour les deux, interdiction de paraître en Seine-et-Marne pendant cinq ans.
Après réflexion, le tribunal a condamné Gil à quarante-huit mois de détention dont douze mois avec sursis et trois ans dont dix-huit mois avec sursis pour Wenceslas. L’un et l’autre sont interdits de territoire seine-et-marnais pendant deux ans.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/la-postiere-avait-piege-les-malfaiteurs-28-04-2011-1425683.php
mercredi 27 avril 2011
Un cadavre à Paris-Dauphine
Le cadavre d'un jeune homme d'une vingtaine d'années ayant vraisemblablement chuté, dans des circonstances ignorées, a été découvert au pied d'un escalier de secours de l'Université Dauphine, à Paris (XVIème), a-t-on appris de source policière. Le cadavre non identifié était en aplomb d'un escalier extérieur de secours et était "là depuis plusieurs jours", a dit la source.
Une enquête a été ouverte afin de faire la lumière sur les circonstances exactes du décès, accidentel selon les tout premiers éléments de l'enquête, a-t-elle encore précisé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/27/97001-20110427FILWWW00589-un-cadavre-a-paris-dauphine.php
Une enquête a été ouverte afin de faire la lumière sur les circonstances exactes du décès, accidentel selon les tout premiers éléments de l'enquête, a-t-elle encore précisé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/27/97001-20110427FILWWW00589-un-cadavre-a-paris-dauphine.php
Un enfant de 12 ans se tue en jouant dans une cave
Alors qu'il jouait hier après-midi avec trois camarades, un garçon de 12 ans, originaire d'Yssac-la-Tourette, est mort accidentellement dans une cave désaffectée.
Selon les premiers éléments de l’enquête, Lucien Marchetti se suspendait à une pierre de voûte qui s’est détachée, l’entraînant dans sa chute. Sa tête aurait violemment tapé le sol. Il est décédé sur le coup.
Ses trois camarades, particulièrement choqués, ont été pris en charge par les sauveteurs.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/27/1069253-Yssac-La-Tourette-Puy-de-Dome-Un-enfant-de-12-ans-se-tue-en-jouant-dans-une-cave.html
Selon les premiers éléments de l’enquête, Lucien Marchetti se suspendait à une pierre de voûte qui s’est détachée, l’entraînant dans sa chute. Sa tête aurait violemment tapé le sol. Il est décédé sur le coup.
Ses trois camarades, particulièrement choqués, ont été pris en charge par les sauveteurs.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/27/1069253-Yssac-La-Tourette-Puy-de-Dome-Un-enfant-de-12-ans-se-tue-en-jouant-dans-une-cave.html
Équipé d’un gyrophare, l’homme se faisait passer pour un gendarme ou un policier
L’histoire est plutôt insolite. Vendredi vers 22 heures, un équipage de la brigade anticriminalité (Bac) interpelle un homme alors qu’il roule à vive allure en centre-ville. Dangereux certainement mais pas exceptionnel, sauf qu’il circule avec un gyrophare et une sirène deux tons de police. Mais l’homme n’est ni policier, ni gendarme.
Il explique alors qu’il est capitaine de gendarmerie en mission. Il présente une fausse carte de visite, un faux sigle accroché à son porte-clés et un faux permis de conduire. Il affiche en outre un taux d’alcoolémie de 0,55 mg/l d’air expiré.
Le faux gendarme est placé en garde à vue. Lors de la perquisition à son domicile, les policiers trouvent quatre sacs contenant divers faux matériels de gendarmerie ou de police : radios, vêtements, cartes, médailles, gyrophares, fausses armes de poing… Mais aussi des liasses de contraventions.
L’enquête de police, la vraie, se poursuit.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/04/26/equipe-d-un-gyrophare-l-homme-se-faisait-passer-pour-un-gendarme-ou-un-policier
Il explique alors qu’il est capitaine de gendarmerie en mission. Il présente une fausse carte de visite, un faux sigle accroché à son porte-clés et un faux permis de conduire. Il affiche en outre un taux d’alcoolémie de 0,55 mg/l d’air expiré.
Le faux gendarme est placé en garde à vue. Lors de la perquisition à son domicile, les policiers trouvent quatre sacs contenant divers faux matériels de gendarmerie ou de police : radios, vêtements, cartes, médailles, gyrophares, fausses armes de poing… Mais aussi des liasses de contraventions.
L’enquête de police, la vraie, se poursuit.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/04/26/equipe-d-un-gyrophare-l-homme-se-faisait-passer-pour-un-gendarme-ou-un-policier
Un contrôleur aérien assassiné à l'aéroport de Bâle-Mulhouse
Un contrôleur aérien a été tué de plusieurs coups de couteau mercredi matin dans un bâtiment administratif de l'aéroport de Bâle-Mulhouse (Haut-Rhin), a-t-on appris de source policière. La victime, un employé de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) âgé de 35 ans qui allait prendre son service, a été retrouvée peu après 8h, gisant dans son sang par un autre employé, a ajouté cette source.
Le bâtiment, qui permet d'accéder à la tour de contrôle de l'aéroport, est situé dans une zone sécurisée, a-t-elle précisé. Aucun suspect n'a été interpellé pour l'instant. Le parquet de Mulhouse a ouvert une enquête pour "homicide volontaire" confiée à l'antenne de Mulhouse de la Direction interrégionale de la police judiciaire de Strasbourg (DIPJ).
Car-jacking or not car-jacking ?
Qui dit vrai ? Difficile à dire à l'issue de l'audience qui examinait le cas des deux Hémois face à un Roubaisien. Ce dernier a expliqué, lors de l'enquête, que le jeune S.D. est monté dans sa 206 alors qu'il venait de se garer devant chez lui et lui aurait demandé de le ramener à Hem. Non, a répondu le Roubaisien. Sur ce, le Hémois aurait sifflé l'oncle qui attendait en embuscade et aurait expulsé de l'auto son propriétaire. Et zou, direction Hem.
« Pas du tout, c'est faux », indique l'oncle qui plaide avoir passé une journée peinard dans son bloc avec sa compagne. Tout juste est-il sorti voir ce qui se passait dans sa rue quand son neveu est effectivement arrivé au volant d'une voiture. C'est lui-même qui aurait tenté de parlementer avec le propriétaire de la 206, arrivé selon lui avec le neveu... avant que ledit proprio ne se carapate, effrayé par une quinzaine de jeunes qui s'approchaient. A-t-il perdu possession de son bien chez lui ou à Hem, après avoir été un peu « léger »... ? Le procureur Travassac penche pour la seconde option. Le tribunal ne suit pas et condamne S.D. à neuf mois sous bracelet électronique et Oued Ouarab à neuf mois ferme.
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2011/04/27/car-jacking-or-not-car-jacking.shtml
« Pas du tout, c'est faux », indique l'oncle qui plaide avoir passé une journée peinard dans son bloc avec sa compagne. Tout juste est-il sorti voir ce qui se passait dans sa rue quand son neveu est effectivement arrivé au volant d'une voiture. C'est lui-même qui aurait tenté de parlementer avec le propriétaire de la 206, arrivé selon lui avec le neveu... avant que ledit proprio ne se carapate, effrayé par une quinzaine de jeunes qui s'approchaient. A-t-il perdu possession de son bien chez lui ou à Hem, après avoir été un peu « léger »... ? Le procureur Travassac penche pour la seconde option. Le tribunal ne suit pas et condamne S.D. à neuf mois sous bracelet électronique et Oued Ouarab à neuf mois ferme.
http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2011/04/27/car-jacking-or-not-car-jacking.shtml
Mort de Marie-France Pisier : toujours des questions après l'autopsie
L'autopsie du corps de Marie-France Pisier, pratiquée mardi à Marseille, n'a pas permis d'éclaircir les circonstances de sa mort. L'actrice avait été retrouvée par son mari dans la piscine de leur résidence à Saint-Cyr-sur-Mer (Var), dimanche à l'aube.
«Il faudra attendre les résultats des analyses médico-légales, notamment analyses toxicologiques, recherche de diatomées (petites algues, ndlr) dans l'eau prélevée dans les poumons», a précisé le procureur adjoint de Toulon, Pierre Cortès.
Les premiers de ces résultats devraient être connus «au mieux vendredi et au plus tard lundi prochain». «Les résultats des analyses anatomo-pathologiques réalisées dans un institut médico-légal ne seront pas connus avant un mois un mois et demi», a précisé le procureur adjoint.
Chaussée de bottes, coincée dans une lourde chaise
Selon le rapport des médecins-légistes, a-t-il ajouté, «la noyade n'est pas possible à infirmer ou à confirmer en raison des manoeuvres de réanimation» opérées sur la victime. D'après les experts, «il n'y avait pas beaucoup d'eau dans les poumons».
Marie-France Pisier, 66 ans, séjournait dans sa résidence secondaire de Saint-Cyr-sur-Mer lorsque, dans la nuit de samedi à dimanche, son mari s'est aperçu de son absence dans la villa. Thierry Funck-Brentano, haut responsable du groupe Lagardère, a alors entrepris de chercher son épouse et c'est en sortant dans le jardin qu'il a découvert le corps, selon ses déclarations aux enquêteurs. Il a expliqué être allé se coucher, en cette soirée pluvieuse, en laissant son épouse munie de ses lunettes devant la télévision.
Quand elle a été retrouvée dans la piscine, elle était chaussée de bottes. Selon une source proche du dossier, le corps se trouvait coincé «dans une lourde chaise en fer forgé». Celle-ci avait été rapprochée de la plage de la piscine en raison de travaux réalisés sur la terrasse.
Pas d'état dépressif, des projets professionnels
Après le décès constaté à l'hôpital Font-Pré de Toulon, où l'actrice a été transportée, des prélèvements ont été effectués pour établir si elle avait absorbé des médicaments, des substances toxicologiques ou de l'alcool. Le parquet de Toulon a ouvert une enquête pour «recherche des causes de la mort», mais précisé qu'«il ne s'agit pas d'une enquête criminelle». L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Toulon.
Les premiers éléments n'ont pas laissé apparaître d'état dépressif chez l'actrice, qui «avait des projets professionnels et avait confirmé sa présence à l'hommage qui sera rendu à Jean-Paul Belmondo, en mai au Festival de Cannes». Sa mort a «surpris tout le monde», a déclaré dimanche le journaliste Vincent Perrot, qui l'avait interviewée il y a quelque semaines chez elle.http://www.leparisien.fr/faits-divers/mort-de-marie-france-pisier-toujours-des-questions-apres-l-autopsie-26-04-2011-1423950.php
«Il faudra attendre les résultats des analyses médico-légales, notamment analyses toxicologiques, recherche de diatomées (petites algues, ndlr) dans l'eau prélevée dans les poumons», a précisé le procureur adjoint de Toulon, Pierre Cortès.
Les premiers de ces résultats devraient être connus «au mieux vendredi et au plus tard lundi prochain». «Les résultats des analyses anatomo-pathologiques réalisées dans un institut médico-légal ne seront pas connus avant un mois un mois et demi», a précisé le procureur adjoint.
Chaussée de bottes, coincée dans une lourde chaise
Selon le rapport des médecins-légistes, a-t-il ajouté, «la noyade n'est pas possible à infirmer ou à confirmer en raison des manoeuvres de réanimation» opérées sur la victime. D'après les experts, «il n'y avait pas beaucoup d'eau dans les poumons».
Marie-France Pisier, 66 ans, séjournait dans sa résidence secondaire de Saint-Cyr-sur-Mer lorsque, dans la nuit de samedi à dimanche, son mari s'est aperçu de son absence dans la villa. Thierry Funck-Brentano, haut responsable du groupe Lagardère, a alors entrepris de chercher son épouse et c'est en sortant dans le jardin qu'il a découvert le corps, selon ses déclarations aux enquêteurs. Il a expliqué être allé se coucher, en cette soirée pluvieuse, en laissant son épouse munie de ses lunettes devant la télévision.
Quand elle a été retrouvée dans la piscine, elle était chaussée de bottes. Selon une source proche du dossier, le corps se trouvait coincé «dans une lourde chaise en fer forgé». Celle-ci avait été rapprochée de la plage de la piscine en raison de travaux réalisés sur la terrasse.
Pas d'état dépressif, des projets professionnels
Après le décès constaté à l'hôpital Font-Pré de Toulon, où l'actrice a été transportée, des prélèvements ont été effectués pour établir si elle avait absorbé des médicaments, des substances toxicologiques ou de l'alcool. Le parquet de Toulon a ouvert une enquête pour «recherche des causes de la mort», mais précisé qu'«il ne s'agit pas d'une enquête criminelle». L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Toulon.
Les premiers éléments n'ont pas laissé apparaître d'état dépressif chez l'actrice, qui «avait des projets professionnels et avait confirmé sa présence à l'hommage qui sera rendu à Jean-Paul Belmondo, en mai au Festival de Cannes». Sa mort a «surpris tout le monde», a déclaré dimanche le journaliste Vincent Perrot, qui l'avait interviewée il y a quelque semaines chez elle.http://www.leparisien.fr/faits-divers/mort-de-marie-france-pisier-toujours-des-questions-apres-l-autopsie-26-04-2011-1423950.php
Elle s’immole dans son garage
Lundi, vers 19 h 30, d’importants moyens de secours ont dû être engagés dans une résidence route de Robion. Gendarmes et pompiers pensent avoir à faire à un banal incendie de résidence. Avec une femme légèrement brûlée.
Excepté qu’ils ont face à eux un cas peu commun. L’isloise de 44 ans, dépressive, a tenté de se suicider. La mère de famille a recouvert un matelas avec du pétrole. Puis elle s’est aspergée partiellement du liquide inflammable. Et s’est immolée dans le garage de sa maison. Son mari et leurs quatre enfants ont pu sortir de la maison à temps
Prise de panique, elle a propagé le feu à travers la pièce. Mais elle s’en sort que légèrement brûlée. Choquée, la quadragénaire a été transportée à l’hôpital de Cavaillon. Présents également ce soir-là, son mari et leurs quatre enfants. Tous ont pu sortir avant que l’incendie prenne de l’ampleur.
Les pompiers de l’Isle, Cavaillon et Avignon ont conjugué leurs efforts pour venir à bout des flammes. Deux lances ont été déployées, dont une sur une grande échelle. Malgré tout, un garage de 50 mètres carrés est détruit.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/26/elle-s-immole-dans-son-garage
Excepté qu’ils ont face à eux un cas peu commun. L’isloise de 44 ans, dépressive, a tenté de se suicider. La mère de famille a recouvert un matelas avec du pétrole. Puis elle s’est aspergée partiellement du liquide inflammable. Et s’est immolée dans le garage de sa maison. Son mari et leurs quatre enfants ont pu sortir de la maison à temps
Prise de panique, elle a propagé le feu à travers la pièce. Mais elle s’en sort que légèrement brûlée. Choquée, la quadragénaire a été transportée à l’hôpital de Cavaillon. Présents également ce soir-là, son mari et leurs quatre enfants. Tous ont pu sortir avant que l’incendie prenne de l’ampleur.
Les pompiers de l’Isle, Cavaillon et Avignon ont conjugué leurs efforts pour venir à bout des flammes. Deux lances ont été déployées, dont une sur une grande échelle. Malgré tout, un garage de 50 mètres carrés est détruit.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/26/elle-s-immole-dans-son-garage
Les agresseurs des sapeurs-pompiers interpellés
Les gendarmes de la compagnie de Vauvert ont rapidement trouvé la trace des deux agresseurs des sapeurs-pompiers de Vergèze lors du cambriolage commis au sein de la caserne dans la nuit de dimanche à lundi à 3 heures du matin.
Ces deux jeunes Vergézois de 19 et 20 ans ont été interpellés aujourd’hui. Ils sont poursuivis pour vol aggravé en réunion, effraction et violence. Ils devront comparaître en juin prochain au tribunal correctionnel de Nîmes pour répondre de ces faits.
Pour mémoire, deux pompiers volontaires de garde ont été blessés en voulant ceinturer les cambrioleurs de la caserne qui avaient réussi à prendre la fuite avant d’être retrouvés par les gendarmes.
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/vergeze-les-agresseurs-des,309846.php
Ces deux jeunes Vergézois de 19 et 20 ans ont été interpellés aujourd’hui. Ils sont poursuivis pour vol aggravé en réunion, effraction et violence. Ils devront comparaître en juin prochain au tribunal correctionnel de Nîmes pour répondre de ces faits.
Pour mémoire, deux pompiers volontaires de garde ont été blessés en voulant ceinturer les cambrioleurs de la caserne qui avaient réussi à prendre la fuite avant d’être retrouvés par les gendarmes.
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/vergeze-les-agresseurs-des,309846.php
mardi 26 avril 2011
Comment Xavier Dupont de Ligonnès parvient-il à échapper à la police?
L'homme est toujours en cavale et reste introuvable, comment fait-il?...
Xavier Dupont de Ligonnès est l’homme le plus recherché de France. Pour l’heure, les enquêteurs veulent l’entendre comme témoin dans le cadre de l’information judiciaire contre X ouverte par le Parquet de Nantes après l’assassinat de sa femme et de leurs quatre enfants. Mais l’homme, considéré comme suspect, reste introuvable.
Les policiers perdent la trace de Xavier Dupont de Ligonnès à Roquebrune-sur-Argens, le 15 avril au matin, après la nuit qu’il a passée à l’hôtel Formule 1, sur le parking duquel sa voiture a été retrouvée. Dès lors, les questions qui se posent sont: comment se déplace-t-il, comment finance-t-il sa fuite et a-t-il quitté la France?
Reste le problème de l’argent. «Pour disparaître sans laisser de traces, ça coûte 25.000 euros», indique Gilles Boillot, président de Détectives de France. De quoi changer d’identité et survivre dans un pays étranger en attendant d’y reconstruire quelque chose de stable. Mais si la somme est suffisante pour échapper à la vigilance de ses proches, il faut revoir le budget à la hausse si la police est à vos trousses.
La femme qui se présente comme sa maîtresse indique d’ailleurs avoir reçu un courrier inquiétant, voire menaçant, qui la prévient: «On a eu du bon temps ensemble, mais maintenant tu vas connaître le malheur.» Résidant dans les Hauts-de-Seine, elle craint que sa procédure en recouvrement n’ait provoqué le drame et a désormais peur pour sa vie. Si Xavier Dupont de Ligonnès compte vraiment lui nuire, il ne peut avoir quitté la France.
Une cavale, quelle que soit son issue, ne peut durer que si elle a été pensée à l’avance, planifiée. L’exécution de la famille Dupont de Ligonnès semble avoir été minutieusement préparée, la fuite pourrait l’avoir été aussi. Sans oublier cependant que jusqu’à ce que cela soit prouvé, Xavier Dupont de Ligonnès n’est pas encore coupable.
http://www.20minutes.fr/article/713505/societe-comment-xavier-dupont-ligonnes-parvient-il-echapper-police
Xavier Dupont de Ligonnès est l’homme le plus recherché de France. Pour l’heure, les enquêteurs veulent l’entendre comme témoin dans le cadre de l’information judiciaire contre X ouverte par le Parquet de Nantes après l’assassinat de sa femme et de leurs quatre enfants. Mais l’homme, considéré comme suspect, reste introuvable.
Les policiers perdent la trace de Xavier Dupont de Ligonnès à Roquebrune-sur-Argens, le 15 avril au matin, après la nuit qu’il a passée à l’hôtel Formule 1, sur le parking duquel sa voiture a été retrouvée. Dès lors, les questions qui se posent sont: comment se déplace-t-il, comment finance-t-il sa fuite et a-t-il quitté la France?
Un vrai budget
La C5 du fugitif a été saisie par la police et la Golf de sa femme est toujours à Nantes. La police n’a toujours pas réussi à retrouver le 4x4 Pontiac du couple. Un véhicule pas très discret pour qui veut passer inaperçu, mais qui a pu être maquillé. Par ailleurs, des plaques d’immatriculation auraient été volées sur le parking du Formule 1 après l’arrivée de Xavier Dupont de Ligonnès.Reste le problème de l’argent. «Pour disparaître sans laisser de traces, ça coûte 25.000 euros», indique Gilles Boillot, président de Détectives de France. De quoi changer d’identité et survivre dans un pays étranger en attendant d’y reconstruire quelque chose de stable. Mais si la somme est suffisante pour échapper à la vigilance de ses proches, il faut revoir le budget à la hausse si la police est à vos trousses.
«Soit très loin, soit tout près»
Or, Xavier Dupont de Ligonnès est censé être ruiné et criblé de dettes. Entre la somme qu’il doit à celle qui s’est présentée comme sa maîtresse et les petits 4.000 euros annuels de revenus déclarés, l’homme a-t-il de quoi financer une fuite à l’étranger? «Les gens très recherchés sont soit très loin, soit tout près», précisé d’ailleurs Gilles Boillot, citant l’exemple d’Yvan Colonna, arrêté dans une bergerie, chez lui en Corse, alors que toutes les polices de France étaient sur ses trousses.La femme qui se présente comme sa maîtresse indique d’ailleurs avoir reçu un courrier inquiétant, voire menaçant, qui la prévient: «On a eu du bon temps ensemble, mais maintenant tu vas connaître le malheur.» Résidant dans les Hauts-de-Seine, elle craint que sa procédure en recouvrement n’ait provoqué le drame et a désormais peur pour sa vie. Si Xavier Dupont de Ligonnès compte vraiment lui nuire, il ne peut avoir quitté la France.
«Une logique suicidaire»
«Il finira tôt ou tard par se faire prendre, estime dans Nouvel Obs Frédéric Ploquin, auteur d'un ouvrage sur les cavales. A condition qu'il soit encore vivant.» Car il est possible que l’homme ait mis fin à ses jours. Sa cavale se déroule «avec une sorte de montée en puissance, de fuite en avant qui peut laisser présager une fin tragique», a indiqué dans L’Express le psychiatre Daniel Zagury, spécialiste des drames drames familiaux, évoquant «une logique suicidaire».Une cavale, quelle que soit son issue, ne peut durer que si elle a été pensée à l’avance, planifiée. L’exécution de la famille Dupont de Ligonnès semble avoir été minutieusement préparée, la fuite pourrait l’avoir été aussi. Sans oublier cependant que jusqu’à ce que cela soit prouvé, Xavier Dupont de Ligonnès n’est pas encore coupable.
http://www.20minutes.fr/article/713505/societe-comment-xavier-dupont-ligonnes-parvient-il-echapper-police
Victime d'une sortie de route, un motard décède
Un motard, grièvement blessé lors d'un accident de la route dans la nuit de samedi à dimanche, a succombé à ses blessures ce mardi peu après midi.
Yannick Busque, âgé de 41 ans, a été victime d’une sortie de route sur la RD 6113, entre Carcassonne et Trèbes. Après avoir perdu le contrôle de son deux-roues, le pilote avait chuté lourdement et percuté une glissière de sécurité à hauteur du pont de Montlegun.
Natif de Narbonne, le quadragénaire était domicilié à Cabrespine. L’enquête est toujours en cours pour déterminer les circonstances exactes et les causes de cet accident mortel
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/le-motard-accidente-est-decede,309830.php
Yannick Busque, âgé de 41 ans, a été victime d’une sortie de route sur la RD 6113, entre Carcassonne et Trèbes. Après avoir perdu le contrôle de son deux-roues, le pilote avait chuté lourdement et percuté une glissière de sécurité à hauteur du pont de Montlegun.
Natif de Narbonne, le quadragénaire était domicilié à Cabrespine. L’enquête est toujours en cours pour déterminer les circonstances exactes et les causes de cet accident mortel
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/le-motard-accidente-est-decede,309830.php
Les pompiers font fuir deux cambrioleurs
Dans la nuit de dimanche à lundi, deux sapeurs-pompiers volontaires qui étaient de garde à la caserne de Vergèze ont mis en fuite deux cambrioleurs après une vive altercation.
Réveillés par le bruit produit par les cambrioleurs en voulant desceller une télévision de l’Amicale des pompiers, les soldats du feu sont intervenus. Une bagarre s’en est suivie. Un pompier a été blessé à la main et un autre a été jeté à terre. Ils ont eu respectivement quinze et trois jours d’Interruption temporaire de travail.
Les voleurs, qui sont partis avec une grosse lampe, sont activement recherchés par les gendarmes de la compagnie de Vauvert. Le SDIS et l’amicale des pompiers de Vergèze ont porté plainte.
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/vergeze-les-pompiers-font-fuir-les,309763.php
Réveillés par le bruit produit par les cambrioleurs en voulant desceller une télévision de l’Amicale des pompiers, les soldats du feu sont intervenus. Une bagarre s’en est suivie. Un pompier a été blessé à la main et un autre a été jeté à terre. Ils ont eu respectivement quinze et trois jours d’Interruption temporaire de travail.
Les voleurs, qui sont partis avec une grosse lampe, sont activement recherchés par les gendarmes de la compagnie de Vauvert. Le SDIS et l’amicale des pompiers de Vergèze ont porté plainte.
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/vergeze-les-pompiers-font-fuir-les,309763.php
Lyon : l’arracheur de colliers d’or interpellé
Un Roumain de 26 ans sévissait dans le 3 et 6 ème arrondissement de Lyon. Il s’en prenait aux femmes âgées arborant des colliers en or.
Il repérait, suivait et s’approchait par derrière pour arracher les bijoux. Ses proies, des dames âgées pour s’échapper sans risque. Samedi, le père de famille résidant dans le 2ème arrondissement s’est pourtant fait coincer. Sa victime, âgée d’une soixantaine d’années, ne s’est pas laissée faire et a même tenté de le poursuivre. Témoins de la scène, des passants ont rattrapé le voleur. Dans la foulée, il a avoué quatre vols. Ses victimes, en majorité des octogénaires, l’ont formellement reconnu. Les faits avaient débuté le 17 mars et s’étaient répétés à sept reprises. Déféré au parquet ce matin, il sera jugé demain en comparution immédiate
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2011/04/25/lyon-l-arracheur-de-colliers-d-or-interpelle
Il repérait, suivait et s’approchait par derrière pour arracher les bijoux. Ses proies, des dames âgées pour s’échapper sans risque. Samedi, le père de famille résidant dans le 2ème arrondissement s’est pourtant fait coincer. Sa victime, âgée d’une soixantaine d’années, ne s’est pas laissée faire et a même tenté de le poursuivre. Témoins de la scène, des passants ont rattrapé le voleur. Dans la foulée, il a avoué quatre vols. Ses victimes, en majorité des octogénaires, l’ont formellement reconnu. Les faits avaient débuté le 17 mars et s’étaient répétés à sept reprises. Déféré au parquet ce matin, il sera jugé demain en comparution immédiate
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2011/04/25/lyon-l-arracheur-de-colliers-d-or-interpelle
Val-de-Marne : disparition inquiétante d’une joggeuse de 21 ans
Une femme de 21 ans originaire de Créteil (Val-de-Marne) n’a pas donné signe de vie depuis lundi midi. Son petit ami a signalé sa disparition à la police aux alentours de14 heures. La trace de la jeune femme - d’origine asiatique - se perd aux alentours du lac de la base de loisirs de Créteil, où se concentre le secteur de recherches.
Une brigade cynophile des Yvelines a d’abord été mobilisée, sans succès. C’est la Brigade de recherche des personnes de Paris qui est chargée de l’enquête.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/val-de-marne-disparition-inquietante-d-une-joggeuse-de-21-ans-26-04-2011-1423473.php
Une brigade cynophile des Yvelines a d’abord été mobilisée, sans succès. C’est la Brigade de recherche des personnes de Paris qui est chargée de l’enquête.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/val-de-marne-disparition-inquietante-d-une-joggeuse-de-21-ans-26-04-2011-1423473.php
Il aurait tiré accidentellement sur la jeune femme
La jeune femme, qui avait été emmenée en urgence au centre hospitalier de Perpignan, après avoir été grièvement blessée par arme à feu dimanche au petit jour à Argelès, a subi une intervention chirurgicale. Si ses blessures demeurent importantes, son pronostic vital ne serait plus engagé tandis que les circonstances sur cette affaire semblent se dissiper...
Un jeune homme avait en effet été immédiatement placé en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie d'Argelès afin d'être interrogé sur les circonstances de ce coup de feu.
Selon les premiers éléments, il aurait expliqué que les faits se seraient déroulés vers 5 heures dimanche matin, à la sortie d'une discothèque.
La victime se trouvait au volant de son véhicule et devait ramener quelques copains chez eux après la soirée, parmi lesquels le suspect. Lui, aurait été assis à l'arrière de la voiture, derrière elle et se serait "amusé" avec un pistolet, qu'il aurait récupéré plus tôt dans la soirée chez un copain. En manipulant l'arme, le coup serait parti tout seul. L'enquête aurait établi qu'il aurait effectivement tiré de manière accidentelle. Et un témoin confirme d'ailleurs ses dires, attestant que l'auteur et la victime se connaissaient bien et s'entendaient bien, qu'il n'y avait eu ni contentieux, ni bagarre entre eux.
La balle aurait alors traversé le siège conducteur, aurait touché les armatures en métal du fauteuil, perdant heureusement de la puissance, avant d'atteindre la jeune femme au niveau du dos.
Une blessure qui aurait pu lui être fatale.
À l'issue de son audition, le jeune homme a été déféré au parquet hier puis laissé libre. Il pourrait être mis en examen ou faire l'objet de poursuites dans les jours ou les semaines à venir du chef de "blessures involontaires".
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/il-aurait-tire-accidentellement-sur-la-jeune-femme,309682.php
Un jeune homme avait en effet été immédiatement placé en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie d'Argelès afin d'être interrogé sur les circonstances de ce coup de feu.
Selon les premiers éléments, il aurait expliqué que les faits se seraient déroulés vers 5 heures dimanche matin, à la sortie d'une discothèque.
La victime se trouvait au volant de son véhicule et devait ramener quelques copains chez eux après la soirée, parmi lesquels le suspect. Lui, aurait été assis à l'arrière de la voiture, derrière elle et se serait "amusé" avec un pistolet, qu'il aurait récupéré plus tôt dans la soirée chez un copain. En manipulant l'arme, le coup serait parti tout seul. L'enquête aurait établi qu'il aurait effectivement tiré de manière accidentelle. Et un témoin confirme d'ailleurs ses dires, attestant que l'auteur et la victime se connaissaient bien et s'entendaient bien, qu'il n'y avait eu ni contentieux, ni bagarre entre eux.
La balle aurait alors traversé le siège conducteur, aurait touché les armatures en métal du fauteuil, perdant heureusement de la puissance, avant d'atteindre la jeune femme au niveau du dos.
Une blessure qui aurait pu lui être fatale.
À l'issue de son audition, le jeune homme a été déféré au parquet hier puis laissé libre. Il pourrait être mis en examen ou faire l'objet de poursuites dans les jours ou les semaines à venir du chef de "blessures involontaires".
http://www.midilibre.fr/2011/04/26/il-aurait-tire-accidentellement-sur-la-jeune-femme,309682.php
Une femme repêchée dans l’Isère
Hier, vers 11 heures, un témoin qui se promenait sur le bord de l’Isère, à Grenoble, a alerté les sapeurs-pompiers. Il venait d’apercevoir un corps inanimé flottant dans la rivière au niveau du quai Claude-Bernard. La victime est âgée de 76 ans. Les plongeurs ont sorti de l’eau une femme inconsciente. Elle a été admise dans le service de réanimation dans un état jugé critique
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/04/25/une-femme-repechee-dans-l-isere
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/04/25/une-femme-repechee-dans-l-isere
Nageur disparu en mer
Un homme de 67 ans, de la région parisienne, était porté disparu, hier soir au large de Sérignan (Hérault).
La victime, en vacances au camping Amat de Sérignan-plage qui pratiquait la natation, est partie se baigner en début d’après-midi comme elle l’avait fait la veille. Ne le voyant pas rentrer, sa famille est partie à sa rencontre. Seuls ses vêtements ont été retrouvés sur la plage, vers 15 h.
A 20 h, un hélicoptère de la sécurité civile survolait la zone, tandis que les recherches se poursuivaient à terre et en mer.
http://www.midilibre.fr/2011/04/25/herault,309454.php
La victime, en vacances au camping Amat de Sérignan-plage qui pratiquait la natation, est partie se baigner en début d’après-midi comme elle l’avait fait la veille. Ne le voyant pas rentrer, sa famille est partie à sa rencontre. Seuls ses vêtements ont été retrouvés sur la plage, vers 15 h.
A 20 h, un hélicoptère de la sécurité civile survolait la zone, tandis que les recherches se poursuivaient à terre et en mer.
http://www.midilibre.fr/2011/04/25/herault,309454.php
lundi 25 avril 2011
Une jeune fille de 15 ans décède dans un accident de la route
Vers 17 h 10, un très grave accident de la circulation s’est produit sur la départementale 22 à Lamalou, sur la route entre Saint-Gervais-sur-Mare et Hérépian. Un scooter est entré en collision avec une voiture.
La conductrice du deux-roues, une jeune fille de 15 ans, originaire de Bédarieux, est décédée des suites de ses blessures. Sa passagère de 12 ans est très gravement blessée.
La voiture a fini sa route dans un ravin. L’automobiliste et son passager sont eux aussi blessés et leur désincarcération est en cours.
http://www.midilibre.fr/2011/04/25/lamalou-une-fille-de-15-ans-decede-dans,309318.php
La conductrice du deux-roues, une jeune fille de 15 ans, originaire de Bédarieux, est décédée des suites de ses blessures. Sa passagère de 12 ans est très gravement blessée.
La voiture a fini sa route dans un ravin. L’automobiliste et son passager sont eux aussi blessés et leur désincarcération est en cours.
http://www.midilibre.fr/2011/04/25/lamalou-une-fille-de-15-ans-decede-dans,309318.php
Baie de Somme: un homme meurt
Un vacancier belge de 70 ans a été retrouvé mort, vraisemblablement noyé, en bord de mer dans la station balnéaire du Crotoy (Somme) ce matin, indique une source proche du dossier.
Les circonstances du décès restaient à déterminer mais aucun élément suspect n'avait été mis en évidence dans l'après-midi. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte.
Une touriste avait déjà été secourrue vendredi au large du cap Hornu, selon Le Courrier Picard. L'édition dominicale du journal relatait hier que les touristes sont nombreux en cette période à vouloir traverser la baie de Somme. Cette pratique demande des régles de sécurité rappelle le journal : lire les panneaux d'informations, les indications de marées, être sur les bords de plage 3h30 avant la pleine mer, se méfier des vents de terre, rester dans le chenal pour les plaisanciers.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/25/97001-20110425FILWWW00356-baie-de-somme-un-homme-meurt.php
Les circonstances du décès restaient à déterminer mais aucun élément suspect n'avait été mis en évidence dans l'après-midi. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte.
Une touriste avait déjà été secourrue vendredi au large du cap Hornu, selon Le Courrier Picard. L'édition dominicale du journal relatait hier que les touristes sont nombreux en cette période à vouloir traverser la baie de Somme. Cette pratique demande des régles de sécurité rappelle le journal : lire les panneaux d'informations, les indications de marées, être sur les bords de plage 3h30 avant la pleine mer, se méfier des vents de terre, rester dans le chenal pour les plaisanciers.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/25/97001-20110425FILWWW00356-baie-de-somme-un-homme-meurt.php
Un octogénaire retrouvé mort après une fugue
La macabre découverte a été faite hier vers 16h30. Un corps est vu, flottant dans un petit canal longeant le chemin d’Avignon.
Il s’agit d’un homme de 80 ans disparu la nuit précédente du centre gériatrique intercommunal de l’Ouvèze.
Le personnel de l’établissement signale sa disparition aux environs de 20h samedi. L’homme a été vu pour la dernière fois sortant du réfectoire.
Deux thèses à l’étude : une mauvaise chute ou un suicide
Toutes les brigades de gendarmeries environnantes se mettent en alerte. Des patrouilles de militaires quadrillent le secteur de la commune.
Les recherches ont duré plusieurs heures et se sont poursuivies hier. Une équipe cynophile est même engagée.
Jusqu’à la triste découverte.
L’octogénaire gît dans une eau à peine profonde de 50cm. Un dispositif s’est mis en place sur la zone. Treize sapeurs-pompiers, avec notamment l’équipe aquatique de surface d’Orange, sont intervenus. Ils ont sorti le corps de l’eau, laissant la place aux militaires. Ces derniers ont ouvert une enquête.
« Le légiste et le technicien en investigation criminelle de la gendarmerie ont fait un premier examen du corps. Rien ne laisse envisager une piste criminelle », confie le parquet d’Avignon.
Deux thèses sont à l’étude. Une mauvaise chute. Ou un suicide. D’autant que selon nos renseignements, l’homme aurait déjà fait une tentative.
Le personnel de la maison de retraite devrait être entendu par les enquêteurs.
Coïncidence. Dans la nuit de samedi à dimanche, aux environs de 4heures, une pensionnaire âgée de 90 ans a elle aussi essayé de “s’échapper” de la maison de retraite.
Elle a été retrouvée vivante, environ une heure plus tard, dans une villa de la commune.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/24/un-octogenaire-retrouve-mort-apres-une-fugue
Il s’agit d’un homme de 80 ans disparu la nuit précédente du centre gériatrique intercommunal de l’Ouvèze.
Le personnel de l’établissement signale sa disparition aux environs de 20h samedi. L’homme a été vu pour la dernière fois sortant du réfectoire.
Deux thèses à l’étude : une mauvaise chute ou un suicide
Toutes les brigades de gendarmeries environnantes se mettent en alerte. Des patrouilles de militaires quadrillent le secteur de la commune.
Les recherches ont duré plusieurs heures et se sont poursuivies hier. Une équipe cynophile est même engagée.
Jusqu’à la triste découverte.
L’octogénaire gît dans une eau à peine profonde de 50cm. Un dispositif s’est mis en place sur la zone. Treize sapeurs-pompiers, avec notamment l’équipe aquatique de surface d’Orange, sont intervenus. Ils ont sorti le corps de l’eau, laissant la place aux militaires. Ces derniers ont ouvert une enquête.
« Le légiste et le technicien en investigation criminelle de la gendarmerie ont fait un premier examen du corps. Rien ne laisse envisager une piste criminelle », confie le parquet d’Avignon.
Deux thèses sont à l’étude. Une mauvaise chute. Ou un suicide. D’autant que selon nos renseignements, l’homme aurait déjà fait une tentative.
Le personnel de la maison de retraite devrait être entendu par les enquêteurs.
Coïncidence. Dans la nuit de samedi à dimanche, aux environs de 4heures, une pensionnaire âgée de 90 ans a elle aussi essayé de “s’échapper” de la maison de retraite.
Elle a été retrouvée vivante, environ une heure plus tard, dans une villa de la commune.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/04/24/un-octogenaire-retrouve-mort-apres-une-fugue
Un forcené se retranche chez lui
A la veille de Pâques, un habitant de La Chapelle-sur-Chézy, d'une vingtaine d'années, a semble-t-il fait un « bad trip » après l'absorption de stupéfiants.
Samedi, vers 20 heures, les pompiers de Viels-Maisons sont appelés pour lui porter assistance : l'individu inconscient gît sur la voie publique, rue de la rangée. Le réveil sera difficile.
Somnolant quelques minutes auparavant, l'homme devient irascible et agresse physiquement les secours et ses voisins. Il rentre chez lui et ressort avec un sabre et deux cocktails molotov qu'il jette chez l'un de ses voisins sans créer de dégâts ni faire de blessés.
Les gendarmes de Charly sont avertis. A leur arrivée, l'homme qui a pris le temps de menacer tout le monde de mort, se retranche à son domicile. Le PSIG et la brigade de recherche de la Compagnie de Château-Theirry viendront en renfort.
Le jeune homme très instable sera interpellé vers 23 h 35 dans la rue par les forces de l'ordre qui ont feint leur départ. L'individu toujours pas dans son état normal, a été transporté à l'hôpital de Château-Thierry. Hier encore, il n'avait pu être placé en grade à vue.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-forcene-se-retranche-chez-lui
Samedi, vers 20 heures, les pompiers de Viels-Maisons sont appelés pour lui porter assistance : l'individu inconscient gît sur la voie publique, rue de la rangée. Le réveil sera difficile.
Somnolant quelques minutes auparavant, l'homme devient irascible et agresse physiquement les secours et ses voisins. Il rentre chez lui et ressort avec un sabre et deux cocktails molotov qu'il jette chez l'un de ses voisins sans créer de dégâts ni faire de blessés.
Les gendarmes de Charly sont avertis. A leur arrivée, l'homme qui a pris le temps de menacer tout le monde de mort, se retranche à son domicile. Le PSIG et la brigade de recherche de la Compagnie de Château-Theirry viendront en renfort.
Le jeune homme très instable sera interpellé vers 23 h 35 dans la rue par les forces de l'ordre qui ont feint leur départ. L'individu toujours pas dans son état normal, a été transporté à l'hôpital de Château-Thierry. Hier encore, il n'avait pu être placé en grade à vue.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-forcene-se-retranche-chez-lui
Juan-les-Pins: ils tentent de les écraser à la sortie d'une boîte
Qu'a-t-il bien pu se passer sur la piste de danse, avant-hier soir, pour en arriver à de telles extrémités ? Rivalité pour une conquête féminine, abus d'alcool, insultes ? Nul ne le sait précisément. L'enquête menée par la police d'Antibes devra le déterminer. Mais, ce qui est sûr, c'est que la tension était vive, ce samedi soir, dans une discothèque de Juan-les-Pins.
Au sortir de la boîte, vers 4 h 20, plusieurs jeunes hommes d'une vingtaine d'années ont, en effet, voulu en découdre avec deux Niçois de leur âge. Et pas seulement avec les poings... Au volant de leur voiture, ils leur ont délibérément foncé dessus. Puis ils ont aussitôt pris la fuite.
Heureusement, les deux Niçois, rapidement pris en charge par les pompiers, n'ont été que légèrement blessés. Transportés à l'hôpital d'Antibes, ils ont pu sortir dès 6 h, hier. Concernant leurs agresseurs, l'enquête suit son cours.
Ils partent boire un verre et laissent leur enfant de deux ans dans la voiture
À croire que les drames ne suffisent pas à alerter. Que les gros titres ne suffisent pas à sensibiliser... Une fois de plus, une fois de trop, un enfant de deux ans a été abandonné, seul, dans une voiture, avant-hier soir, vers minuit, à Juan-les-Pins. Les parents, originaires de Lettonie, l'ont laissé là durant plus d'une heure, pendant qu'ils buvaient un verre en terrasse.
Heureusement, des passants ont aperçu le petit et ont alerté les autorités. Interpellé par l'attroupement, le père du bébé est alors arrivé. Il s'est confondu en excuse.
Le père de famille aimant cachait un don Juan machiavélique
La perfection de façade n’a pas résisté à l’enquête lancée jeudi dernier avec la découverte des corps d’Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants, dissimulés sous la terrasse du pavillon familial à Nantes. Xavier Dupont de Ligonnès, désormais principal suspect du quintuple homicide, n’était pas le père aimant et le fervent catholique qu’il prétendait. Le quinquagénaire aux activités professionnelles nébuleuses aurait également eu plusieurs relations extraconjugales. C’est justement une de ses anciennes maîtresses qui est sortie de l’ombre, révélant la duplicité du père de famille. Dans la nuit de jeudi à vendredi, cette femme, chef d’entreprise des Hauts-de-Seine, s’est rendue au commissariat d’Asnières pour révéler qu’elle avait accordé un prêt de 50.000 € à son ancien amant et qu’elle craignait désormais pour sa vie. Selon Le Figaro, elle aurait reçu plusieurs courriers menaçants de la part de cet homme qu’elle connaissait depuis l’adolescence, avec qui elle avait renoué grâce à Internet quelques années auparavant et avec lequel elle avait entretenu une liaison en 2009. « On a eu du bon temps ensemble, maintenant tu vas connaître le malheur », aurait-il menacé dans une de ses missives. Les lettres portaient sur la créance que Xavier de Ligonnès refusait de régler, essayant par l’affection et la provocation de convaincre son ancienne maîtresse de lui prêter à nouveau de l’argent. La dernière lettre aurait été postée concomitamment ou juste après le jour présumé des assassinats de la femme et des enfants de Ligonnès. Réfugiée chez une de ses amies en région parisienne, elle aurait reçu la consigne d’alerter les enquêteurs à la moindre suspicion. Ces échanges viennent s’ajouter aux nombreux témoignages qui mettent au jour la part d’ombre de Xavier de Ligonnès.
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/pere-famille-aimant-cachait-un-don-juan-machiavelique-94980.html
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/pere-famille-aimant-cachait-un-don-juan-machiavelique-94980.html
Un motard dans un état critique route de Trèbes
Il était un peu plus de minuit, hier matin, lorsqu'un terrible accident de la route s'est produit sur l'ex-nationale 113, à la sortie de Carcassonne, dans le sens de circulation Trèbes-Carcassonne. Dans des circonstances indéterminées, le pilote d'une moto, âgé de 42 ans et originaire de Cabrespine, a heurté de plein fouet les panneaux de signalisation d'une zone de travaux. Ce dispositif, installé récemment en raison d'un gros chantier sur un ouvrage d'art, a pour but de dévier la circulation sur une seule et même double voie et de renvoyer vers les bretelles de sortie.
Le fait est que le motocycliste a vu trop tard les panneaux et les balisages et les a heurtés à pleine vitesse. Il a été projeté à plusieurs mètres de l'impact.
Il a été secouru sur les lieux par les sapeurs pompiers assistés par une équipe médicale du SMUR.
Dans un état jugé critique, il a été admis aux urgences de l'hôpital puis au service de réanimation, où il se trouvait encore hier. Le pronostic vital le concernant restait très engagé. La brigade accident et délits routiers du commissariat de police a ouvert une enquête pour déterminer les causes du drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/25/1067342-Carcassonne-Un-motard-dans-un-etat-critique-route-de-Trebes.html
Le fait est que le motocycliste a vu trop tard les panneaux et les balisages et les a heurtés à pleine vitesse. Il a été projeté à plusieurs mètres de l'impact.
Il a été secouru sur les lieux par les sapeurs pompiers assistés par une équipe médicale du SMUR.
Dans un état jugé critique, il a été admis aux urgences de l'hôpital puis au service de réanimation, où il se trouvait encore hier. Le pronostic vital le concernant restait très engagé. La brigade accident et délits routiers du commissariat de police a ouvert une enquête pour déterminer les causes du drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/25/1067342-Carcassonne-Un-motard-dans-un-etat-critique-route-de-Trebes.html
Deux ados très grièvement blessés
Un grave accident s’est déroulé hier en milieu d’après-midi à Othis, route de Plailly, faisant trois blessés, dont deux adolescents, deux copains âgés de 13 ans et 14 ans, très gravement touchés. Tous trois habitent Othis. Ils étaient transportés par le beau-père de l’un d’eux.
Il était 16 heures quand une Renault Clio, de l’Oise, circulant à vive allure par la petite route reliant à travers champs Plailly et le hameau de Beaumarchais au nord-ouest d’Othis a passé le pont qui enjambe les voies du TGV Nord.
Le conducteur a vraisemblablement perdu le contrôle de sa voiture dans le virage à gauche. Le côté droit de la petite voiture a percuté un solide poteau EDF et s’est littéralement enroulé autour du pylône en béton.
C’est un témoin qui a donné l’alerte. Les premiers pompiers ainsi que les gendarmes sont arrivés sur place à 16h10. Dans la foulée, trois équipes médicales du Samu, celles de Meaux et de Lagny-sur-Marne renforcées par le Samu de l’Oise. Rapidement, ce sont dix-huit sapeurs-pompiers et une dizaine de militaires qui ont organisé les secours, interdit la circulation sur le CV 5 et sécurisé les abords de l’accident tant côté Seine-et-Marne que côté Oise. Dans un champ voisin, deux hélicoptères, l’un du Samu et l’autre des sapeurs-pompiers, se sont posés dans l’attente de la prise en charge des jeunes
Les gendarmes vérifient la validité du permis du conducteur
A bord de l’auto, les deux adolescents ont été les plus touchés. Les secouristes ont dû endormir les deux garçons avant de commencer une très longue manœuvre de désincarcération.
Le passager avant avait un pied coincé dans le bas de caisse de la voiture, qu’il a fallu déplacer pour le libérer. Près de trois heures ont été nécessaires pour libérer les passagers et les acheminer par hélicoptère aux urgences hospitalières. Le passager avant droit a été admis aux urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). Son pronostic vital n’est plus engagé. Le second passager a été héliporté à l’hôpital parisien Necker. Son pronostic vital n’est pas engagé.
Quant au conducteur, âgé d’une cinquantaine d’années, plus légèrement blessé, il a été transporté avant 18 heures aux urgences du centre hospitalier de Meaux. Les gendarmes vérifient s’il dispose encore de son permis de conduire.
Des analyses sont en cours pour dépister l’éventuelle présence d’alcool ou de stupéfiants dans le sang du conducteur.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/deux-ados-tres-grievement-blesses-25-04-2011-1421305.php
Il était 16 heures quand une Renault Clio, de l’Oise, circulant à vive allure par la petite route reliant à travers champs Plailly et le hameau de Beaumarchais au nord-ouest d’Othis a passé le pont qui enjambe les voies du TGV Nord.
Le conducteur a vraisemblablement perdu le contrôle de sa voiture dans le virage à gauche. Le côté droit de la petite voiture a percuté un solide poteau EDF et s’est littéralement enroulé autour du pylône en béton.
C’est un témoin qui a donné l’alerte. Les premiers pompiers ainsi que les gendarmes sont arrivés sur place à 16h10. Dans la foulée, trois équipes médicales du Samu, celles de Meaux et de Lagny-sur-Marne renforcées par le Samu de l’Oise. Rapidement, ce sont dix-huit sapeurs-pompiers et une dizaine de militaires qui ont organisé les secours, interdit la circulation sur le CV 5 et sécurisé les abords de l’accident tant côté Seine-et-Marne que côté Oise. Dans un champ voisin, deux hélicoptères, l’un du Samu et l’autre des sapeurs-pompiers, se sont posés dans l’attente de la prise en charge des jeunes
Les gendarmes vérifient la validité du permis du conducteur
A bord de l’auto, les deux adolescents ont été les plus touchés. Les secouristes ont dû endormir les deux garçons avant de commencer une très longue manœuvre de désincarcération.
Le passager avant avait un pied coincé dans le bas de caisse de la voiture, qu’il a fallu déplacer pour le libérer. Près de trois heures ont été nécessaires pour libérer les passagers et les acheminer par hélicoptère aux urgences hospitalières. Le passager avant droit a été admis aux urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). Son pronostic vital n’est plus engagé. Le second passager a été héliporté à l’hôpital parisien Necker. Son pronostic vital n’est pas engagé.
Quant au conducteur, âgé d’une cinquantaine d’années, plus légèrement blessé, il a été transporté avant 18 heures aux urgences du centre hospitalier de Meaux. Les gendarmes vérifient s’il dispose encore de son permis de conduire.
Des analyses sont en cours pour dépister l’éventuelle présence d’alcool ou de stupéfiants dans le sang du conducteur.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/deux-ados-tres-grievement-blesses-25-04-2011-1421305.php
dimanche 24 avril 2011
Tuerie de Nantes. Le point sur une affaire hors norme
Trois jours après la découverte des corps de la mère de famille et des quatre enfants Dupont de Ligonnès, dans le jardin, de la maison familiale, le mystère reste entier. Les nouveaux élements découverts par les enquêteurs épaississent un peu plus les zones d'ombre autour du père, Xavier Dupont de Ligonnès, activement recherché en tant que témoin, mais aussi principal suspect, dans cette affaire «extraordinaire» et macabre, qui montre peu à peu que l'exécution des cinq membre de la famille a été minutieusement préparée.
MERCREDI SOIR 20 avril 2011
ouest-france.fr révélait que toute une famille de six personnes, un couple et ses quatre enfants, était introuvable. Les enquêteurs parlent déjà de mystère insondable et de disparition inquiétante, ils ne sont pas au bout de leurs surprises.
Depuis qu'elle n'a plus donné signe de vie, la famille Dupont de Ligonnès n'a pas donné un coup de fil, n'a pas émis un mouvement bancaire, ne s'est pas connecté à Internet.
La mère de famille, très impliquée dans la vie du diocèse, occupait un poste de surveillante dans un établissement scolaire. Elle en a démissionné quelques jours avant sa disparition.
Avant leur disparition, les parents ont laissé d’étranges courriers pour expliquer leur départ. La mère évoquait une soudaine immigration en Australie. Le père se dit « agent secret pour le compte des Etats-Unis ». Contraint de témoigner dans un « important procès lié à la drogue », il aurait bénéficié d’un programme de protection des témoins.
JEUDI
Coup de tonnerre. En pleine conférence de presse, pour lancer «un appel à témoin», le procureur de la République, Xavier Ronsin, qui est aussi le magistrat de l'affaire Laëtitia, reçoit un coup de téléphone des enquêteurs qui fouillent la maison de la famille Dupont de Ligonnès. Les policiers viennent de découvrir un reste de corps humain (une jambe) sous la terrasse. L'enquête est immédiatement réorientée sur la piste de la «séquestration et asassinat».
Toute la journée, va être rythmée par l'exhumation macabre de chacun des cinq corps, de la mère et de ses quatre enfants. Les cadavres des deux labradors du couple sont eux aussi exhumés. Le père, lui, est introuvable.
On touche à l'horreur. Le procureur Xavier Ronsin dévoile les résultats de l'autopsie. «On était face à une exécution méthodique. Ils ont été tués pendant leur sommeil par une arme à feu, vraisemblablement une arme à feu 22 long-rifle». Et le magistrat d'énumérer comment chacune des cinq victimes a été tuée.
Une information judiciaire pour assassinat est alors ouverte contre X.
VENDREDI
La voiture du père est retrouvée dans la nuit de jeudi à vendredi sur le parking d'un hôtel Formule1 de Roquebrune-sur-Argens (Var). Le père de famille y a passé la nuit du 14 au 15 avril à l’hôtel.
L'enquête s'accélère et chaque nouvel élément témoigne de l'horreur mais épaissit le mystère. Les corps ont par exemple été enterrés dans des sacs de jute et avec de la chaux vive qui avaient été soigneusement acheté avant.
Les enquêteurs n’ont pu éviter de se poser la question d’un éventuel rapprochement avec une autre disparition dans le Var. A Lorgues, une femme de 50 ans, Colette Deromme, a disparu le 15 avril, très mystérieusement, sans laisser la moindre trace. Sa voiture était garée devant sa maison fermée, avec à l’intérieur son sac, ses clefs et son téléphone portable.
C'est à ce jour, une des pistes les plus sérieuses suivie par les enquêteurs.
On commence aussi à en savoir un peu plus sur Xavier Dupont de Ligonnès, qui est en fuite. Les enquêteurs découvrent un parcours professionnel des plus flous. il est «commercial», selon une source proche de l'enquête, tandis des voisins le voient «dans le tourisme», chargé de préparer un guide touristique, ou «dans l'hôtellerie». La Selref, la société fondée en 2003 avec une activité discrète et mal définie, n'a pas laissé beaucoup de traces sur les sites d'information consacrés aux sociétés. Les comptes de 2006 accessibles via un site d'information commercial montrent un bilan réduit à sa plus simple expression et le dernier dépôt d'information au greffe du tribunal de commerce remonte au 24 février 2004.
Le procureur annonce que également qu'il est endetté à hauteur de 50 000 euros, tandis qu'il n'a déclaré que 4000 euros de revenu l'an dernier. Comment faisait-il pour subvenir aux besoins de sa famille?
Xavier Dupont de Ligonnès aurait, notamment, été importateur de 4x4 américains.
SAMEDI
Après la découverte de son véhicule à Roquebrune sur Argens, les recherches se concentrent dans le Sud-Est, dans le Var plus précisément, où les Dupont de Ligonnès ont vécu dans les années 90.
C'est aussi dans le Var qu'a disparue Colette Derome.
Ce samedi matin, le procureur annonce aussi que l'avis de recherche a été diffusé internationalement. Xavier dupont de Ligonnès ne fait pas l'objet d'un mandat d'arrêt car l'information judiciaire pour assassinats ouverte vendredi est «contre X».
On va de surprises en surprises dans cette affaire. L'enquête révèle en effet, que le père a fait étape dans la très prestigieuse auberge de Cassagne au Ponte, un hôtel cinq étoiles, où il a dormi dans la suite et dîner le plus normalement du monde.
Les enquêteurs continuent de travailler sur la piste de la femme disparue à Lorgues; Les bois sont ratissés autour de sa maison. par ailleurs des clefs ont été retrouvées sur son véhicule, elle n'est donc pas parti avec sa voiture. Aucun mouvement n'a été détecté sur son compte.
Un nouvel élément dépasse va dépasser encore tout ce qu'on peut imaginer dans cette affaire: Xavier Dupont de Ligonnès fréquentait le stand de tir, il s'y était même entraîné avec un silencieux. Et comble de l'horreur il y a emmené ses deux fils la semaine qui a précédé le drame.
Xavier Dupont de Ligonnès a été vu pour la dernière fois à Roquebrune-sur-Argens (Var) le 15 avril. Une perquisition a ainsi eu lieu à Grimaud (Var) au domicile d’une tante de Xavier Dupont de Ligonnès, un lieu « qui aurait pu constituer un éventuel point de chute », a déclaré Xavier Ronsin dans un communiqué. « Mais cette opération n’a pas apporté d’élément utile à l’enquête. »
Enfin samedi soir, alors que toute la journée de samedi des Nantais ont témoigné de leur émotion dans la rue du drame, on apprend qu'une femme, se présentant comme une amie du père de la famille Dupont de Ligonnès, s'est présentée dans la nuit de jeudi à vendredi dans un commissariat d'Asnières, a-t-on appris samedi de source policière, confirmant une information du site du Point.
La femme, qui réside dans la région francilienne, s'est présentée d'elle-même en pleine nuit et a montré aux policiers un SMS envoyé, selon elle, par Xavier Dupont de Ligonnès, introuvable depuis la découverte de ce drame.
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