mercredi 31 août 2011

Cannes: il escroquait des nonagénaires dans l'ascenseur

Il suivait ses victimes dans l'ascenseur et dérobait leur portefeuille. Cinq victimes choisies pour leur âge avancé. Cent ans pour la plus ancienne et 90 ans pour la plus jeune. Les vols ont débuté en mai, dans une résidence de Cannes et se sont achevés le 18 juillet, grâce au dépôt de plainte de l'une d'entre elles.
Et c'est en se servant d'une des cartes bancaires dérobées pour retirer 1 700 euros, que A.B. s'est fait démasquer. L'un des Cannois, pris au piège, a voulu malgré son infirmité témoigner à la barre du tribunal correctionnel de Grasse, lors du jugement.« Je suis un idiot de lui avoir fait confiance. Il m'a d'abord volé mon portefeuille dans l'ascenseur puis il s'est arrêté au même étage que moi. Il a attendu quelques instants et il a frappé à ma porte en me demandant de lui remplir une bouteille d'eau. Et là, il m'a volé 600 euros », a expliqué, sanglotant, le nonagénaire.
« Combien de personnes avez-vous escroqué avant que nous vous arrêtions ? Nous le saurons jamais, certains ne déposeront jamais plainte », a commenté Josy Olini, procureur de la République.
Des vols pour financer son addiction au PMU
« Je cherchais l'argent facile. Je suis pris dans l'engrenage du jeu », tente d'expliquer ce quadragénaire, sans emploi. Aucune victime ne parle d'actes violents. « Je ne leur ai fait aucun mal et je n'en ferai jamais », a-t-il indiqué, avant de présenter ses excuses.
Le procédé singulier a étonné le président du tribunal, Franck Robail. « Vous maîtrisez le repérage de vos victimes. La plus âgée entre dans sa centième année, c'est étonnant. » Une observation minutieuse avant le passage à l'action de ce récidiviste.
De fait, le représentant du ministère public a requis une peine plancher de trois ans de prison. « Votre lâcheté est écœurante. S'attaquer à de vieilles personnes, c'est comme toucher aux enfants, intolérable. » Une peine prononcée par le tribunal correctionnel. Il devra s'acquitter de 8 000 euros pour rembourser la totalité du préjudice.
http://www.nicematin.com/article/cannes/cannes-il-escroquait-des-nonagenaires-dans-lascenseur

3 ans de prison pour le proxénète, du sursis pour sa « gagneuse »

Lons-Dole. Un sexagénaire forçait sa concubine de 47 ans, atteinte de troubles psychiques, à se prostituer. En 2009 et 2010, elle racolait entre autres dans les bars et sur la voie publique
J’admets avoir racolé à Dole comme à Lons, à Lons dans les bars aussi ». Corinne (1), 47 ans, est-elle la victime de son concubin, Alain Tabary, 62 ans, où était-elle, au moins en partie, volontaire pour se prostituer ? C’est la question qui s’est posée hier au tribunal correctionnel de Lons. Les faits démarrent en 2009. Tabary et Corinne vivent en concubinage à Dole depuis trois ans.
La quadragénaire est affectée d’une pathologie mentale, elle est bipolaire, ce qui la conduit à faire des séjours réguliers à l’hôpital. Au cours de l’un d’eux, elle a une aventure. Tabary l’apprend.
Pour l’humilier, par vengeance selon ses dires, il l’oblige à coucher avec des personnes de son entourage devant lui. En parallèle, Corinne dépose plusieurs plaintes pour les violences que son compagnon lui fait subir régulièrement. Progressivement, elle se met à faire payer ses services sexuels. D’après des témoignages, c’est Tabary qui fixe les tarifs. Du moins, il est toujours présent. Les choses se passent sur le canapé du salon. Des annonces sont rédigées dans les toilettes publiques pour recruter des « clients ». En septembre 2009, Corinne prend un appartement à Lons, rue Sébile. Elle voit toujours Tabary qui a emménagé rue Georges-Trouillot. Au printemps 2010, après une nouvelle hospitalisation, elle le rejoint dans son appartement. Les violences reprennent -la quadragénaire les dénonce à nouveau à plusieurs reprises- mais elle reste avec Tabary. Les faits de prostitution recommencent également. À une plus grande échelle. Nouveaux messages dans les toilettes publiques, annonces dans le Paru Vendu, racolage au parc des Bains, dans les bars…
À qui profite le crime ? L’instruction à la barre menée par le président Liégeon, et rendue très pénible par la surdité de Tabary, ne permet pas véritablement d’éclaircir ce point. Le couple a des ressources très faibles. Tabary est à la retraite, Corinne est sous curatelle renforcée de l’UDAF en raison de sa pathologie. Il semble qu’ils se soient surtout payés leur (grosse) consommation de cigarettes et de la « nourriture de luxe », selon le propre aveu de la prostituée.
Mais pour le procureur Aline Saenz-Cobo, peu importe. Tabary n’est pas poursuivi pour s’être enrichi, mais pour « l’aide, l’assistance ou la protection de la prostitution d’autrui » d’après l’article du code pénal visé. Et pour des violences volontaires sur une personne vulnérable qui sont reconnues. Certes, a minima. Le procureur voit l’affaire comme quelque chose qui a « d’abord été une belle histoire entre deux personnes au parcours chaotique mais qui a fini dans la terreur ». Car, des témoins le disent, Corinne est sous l’emprise de Tabary, elle a peur de lui. Dominique Lancery, pour la défense de la quadragénaire à la fois prévenue de racolage et victime de violences, s’engouffre dans la brèche. Pour l’avocate, Corinne a agi sous la contrainte. D’abord celle exercée avec violence par Tabary, ensuite à cause d’un « trouble instinctuel » associé à sa pathologie mentale qui l’aurait conduite à « tolérer sa prostitution ». C’est à Marjorie Veiermann de rebondir.
L’avocate de Tabary s’empare de cette pathologie afin de tenter de prouver que Corinne a fait plus qu’accepter passivement, qu’elle était volontaire pour se prostituer. Me Veiermann ne discute pas de la prévention de proxénétisme, ne conteste pas les violences, mais rejette catégoriquement la notion de contrainte. À son tour de brandir des témoignages qui vont dans ce sens. « Leur relation, ce n’était pas le paradis, mais ce n’était pas l’enfer non plus », termine-t-elle.
En détention provisoire, Tabary restera néanmoins derrière les barreaux jusqu’à concurrence des trois ans auxquels il a été condamné. Quant à son ex-concubine, elle a écopé d’un mois de prison avec sursis.
(1) Prénom d’emprunt

Les cinq patients étaient porteurs de la bactérie mais pas infectés

Cinq personnes sont décédées en juillet à l'hôpital privé Jacques-Cartier de Massy (Essonne), après que le germe de la bactérie Klebsiella pneumoniae eut été identifié dans cet établissement. Mais, d’après l'InVS, ces décès ne sont pas liés à cette bactérie.
Bruno Coignard, responsable d'une unité de l'Institut national de veille sanitaire, a souligné que les cinq personnes décédées étaient "porteuses de la bactérie, mais non infectées". Elles sont mortes de la pathologie dont elles souffraient, et non "à cause de la bactérie".

"Il s'agit d'un épisode bien réel de cas groupés d'infection à Klebsiella pneumoniae résistante aux antibiotiques, mais l'ensemble des cas recensés dans l'établissement sont des patients porteurs, colonisés, mais non infectés, décelés à l'occasion de dépistages".
Le germe de cette bactérie fait partie de la flore digestive normale. Sa souche multirésistante, qui est donc résistante à la plupart des antibiotiques, est apparue dans l'établissement après le rapatriement sanitaire d'une patiente depuis la Grèce, début juin. Selon le Dr Antoniotti, treize patients sont porteurs du germe, mais n'ont pas été infectés.

http://www.midilibre.fr/2011/08/30/les-cinq-patients-etaient-porteurs-de-la-bacterie-mais-pas-infectes,379454.php

Bougival : une enfant intoxiquée par des fumées de cannabis

Une enfant de 9 ans a été légèrement intoxiquée, lundi soir à Bougival (Yvelines), par les fumées de résine de cannabis que consommaient sa mère et le petit ami de celle-ci, à qui elle rendait visite. Vers 17h20, Chemin de la cour du Moulin, la mère a appelé les pompiers qui ont constaté qu'il régnait une forte odeur de tabac et de stupéfiant dans l'appartement. Sur les lieux, l'homme a remis aux fonctionnaires 120 grs de résine de cannabis. Les policiers ont alors constaté que les deux adultes étaient sous l'emprise de stupéfiants.

La mère a été autorisée à accompagner sa fille au centre hospitalier André Mignot du Chesnay. L'homme a été placé en garde à vue au commissariat de La Celle-Saint-Cloud. L'enfant est sortie de l'hôpital une heure après son admission. C'est une petite asthmatique de santé fragile. Le couple âgé d'une trentaine d'année est issu de la classe moyenne. La maman a été convoquée mardi matin au commissariat, qui mène une enquête pour administration de substance nuisible et détention de produit stupéfiant.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/bougival-une-enfant-intoxiquee-par-des-fumees-de-cannabis-30-08-2011-1584936.php

mardi 30 août 2011

Massy. Les morts ne seraient pas dus à la bactérie

Alors que la bactérie Klebsiella pneumoniae était montrée du doigt à la suite du décès de cinq personnes à l'hôpital privé Jacques-Cartier de Massy, il semblerait que ces morts ne soient le fait de la bactérie. Selon l'Institut national de veille sanitaire (InVS), il y aurait eu cinq décès à l'hôpital et non 3, comme l'indiquait Le Parisien. Ces cinq patients étaient porteurs de la bactérie mais n'étaient pas infectés. Ces personnes seraient donc mortes de la pathologie dont elles souffraient et non "à cause de la bactérie.
"Il s'agit d'un épisode bien réel de cas groupés d'infection à Klebsiella pneumoniae résistante aux antibiotiques, mais l'ensemble des cas recensés dans l'établissement, ce sont des patients porteurs, colonisés, mais non infectés", décelés à l'occasion de dépistages, a précisé le responsable de l'unité infections liées aux soins et résistance aux antibiotiques de l'InVS.
Parmi ces patients porteurs de la bactérie, "cinq personnes -selon nos données- sont décédées de leur pathologie cardiaque, elles n'avaient pas d'infection à cette bactérie, elles ne sont pas décédées à cause de cette bactérie", a-t-il encore souligné.
"La bactérie n'a fait aucun mort", a précisé le docteur Gille Antoniotti, coordonnateur des risques infectieux pour le groupe Générale de Santé, auquel appartient l'hôpital de Massy. Il a également ajouté que les "pronostics vitaux (des patients décédés) étaient déjà engagés".
Le germe de la bactérie fait partie de la flore digestive normale. Sa souche multirésistante, qui n'est donc pas sensible aux antibiotiques, est apparue dans l'établissement après le rapatriement en urgence d'une patiente depuis la Grèce, début juin. Selon le Dr Antoniotti, treize personnes seraient porteuses du germe, mais elles ne seraient pas infectées.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/30/1156036-massy-les-morts-ne-seraient-pas-dus-a-la-bacterie.html

Saint-Laurent-du-Var: un baigneur niçois de 26 ans disparaît en mer

Dimanche matin, la mer n'avait pas rendu le corps de ce jeune Niçois de 26 ans domicilié aux Moulins, disparu depuis samedi soir au large de la plage de l'esplanade des Goélands à Saint-Laurent-du-Var, un peu avant 20 h. La victime se baignait en compagnie de deux membres de sa famille en dehors des heures de surveillance de la plage quand le drame est survenu.
Durant une bonne partie de la nuit, les secours coordonnés par le CROSS Méd ont travaillé sans relâche pour retrouver la victime avec des conditions météorologiques qui s'aggravaient, notamment à cause des rafales de vent. Des patrouilles de pompiers terrestres et en bateaux pneumatiques ont sillonné la zone en vain.
Les recherches stoppées
Un hélicoptère Dragon de la sécurité civile des Alpes-Maritimes et de la SNSM du Cros-de-Cagnes a aussi été appelé en renfort. Vers 21 h, le Dragon était relevé par l'hélicoptère Dauphin de la Marine nationale basé à Hyères. Mais les recherches sont demeurées infructueuses et peu avant minuit, elles ont été suspendues. Elles ont repris hier au petit matin avec un dispositif terrestre, maritime et aérien, avec le concours de l'hélicoptère de la gendarmerie. Malgré ces moyens importants déployés entre Antibes et Nice, le nageur n'a pu être retrouvé et les recherches ont été stoppées à 11 heures. Sans espoir de retrouver le baigneur en vie après quelque 15 heures en mer.
Une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte par le parquet de Grasse et confiée au commissariat de Cagnes qui devra déterminer les circonstances de la noyade. Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime, d'origine cap-verdienne, qui se trouvait en compagnie de deux jeunes mineurs de sa famille, ne savait pas très bien nager. Le groupe s'était fixé comme objectif la digue de rochers, à environ une centaine de mètres au large, pour une série de plongeons. C'est là, que le jeune homme s'est tout à coup trouvé en difficulté. Un des mineurs qui l'accompagnait a remarqué qu'il avait du mal à rester à la surface et qu'il avait les yeux fermés. Il a alors tenté de lui porter secours, sans succès.
Puis d'un coup, le corps à disparu, en silence. Que s'est-il passé ? S'agit-il d'un malaise ? D'une crampe ? Autant de questions qui doivent, à l'heure actuelle, hanter l'esprit de la famille de ce jeune Niçois. Et qui resteront sans réponse si le corps n'est pas retrouvé.
http://www.nicematin.com/article/cagnes-sur-mer/saint-laurent-du-var-un-baigneur-nicois-de-26-ans-disparait-en-mer

Une festivalière retrouvée morte

Une festivalière du Cabaret Vert a été retrouvée morte dans sa tente ce lundi matin vers 6 heures. Une enquête est ouverte. D'ores et déjà la piste d'une overdose est évoquée. Tout le secteur du camping du festival est bouclé par les forces de l'ordre.

La victime est une jeune femme âgée de 26 ans, originaire de Dijon. Le parquet a ordonné une autopsie pour éclairer les circonstances exactes de son décès. La piste criminelle n'est pas privilégiée.

Pour la première fois cette année, le festival a passé le cap de 50 000 entrées. Un vrai succès pour ce rendez-vous musical ardennais qui édition après édition est entré dans la cour des grands avec à l'affiche cette année : Iggy Pop, Pete Doherty, Tinken Jah Fakoly, pour ne citer qu'eux. Après trois jours de musique, les derniers festivaliers étaient en train de plier leur tente quand ils ont fait la macabre découverte.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/une-festivaliere-retrouvee-morte

AFFAIRE RANUCCI AUTOPSIE D'UNE IMPOSTURE LE LIVRE VERITE

lundi 29 août 2011

Chute mortelle d'une palombière

Hier après-midi, vers 17 heures, un dramatique accident s'est produit dans un bois de la commune de Jacque, près de Pouyastruc. Un homme de 29 ans, Nicolas Salvi, a fait une chute mortelle d'une palombière, à Jacque. Il se trouvait en compagnie d'un ami, Alain Macau, âgé de 63 ans, sur un Manuscopic (une nacelle télescopique qui se dirige avec une télécommande), afin de réparer une palombière, située chemin de la Traquère, dans un bois de la commune de Jacque.
Pour une raison inconnue (fausse manœuvre, affaissement du terrain, chute d'une branche ?), la nacelle a soudainement glissé et s'est effondrée en contrebas. Nicolas Salvi a été tué sur le coup lors de sa chute, alors qu'Alain Macau a, pour sa part, été grièvement blessé et évacué par les pompiers vers l'hôpital de Tarbes.
Nicolas Salvi habitait Lacassagne, tandis qu'Alain Macau réside dans la commune de Jacque. La gendarmerie, présente sur place, a ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de ce dramatique accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/29/1155245-chute-mortelle-d-une-palombiere.html

Un touriste trouve une grenade dans l’eau !

Un touriste a fait forte impression, hier matin sur une plagette du Cap d’Agde, entre le Môle et la Conque, en sortant de l’eau avec une grenade datant de la Seconde Guerre mondiale. L’homme a alors rapidement alerté les secours, puis les pompiers et la police nationale sont intervenus pour évacuer le site et établir un périmètre de sécurité.
Les démineurs ont ensuite fait leur entrée, récupérant l’engin aux alentours de 13 h. Leur intervention ne fut pas pas inutile, puisque les démineurs ont annoncé que la grenade était toujours active : elle contenait encore de la matière explosive, malgré son grand âge ! Selon les experts, la grenade est probablement sortie du sable, refaisant surface, à la suite du gros coup de mer de vendredi matin qui a sans doute eu pour effet de creuser un peu le fond de mer. La plagette a été rouverte vers 14 h.

http://www.midilibre.fr/2011/08/28/a-agde-il-trouve-une-grenade-dans-l-eau,378436.php

La voiture se fracasse au péage de Courcy

Ce couple d'Allemands s'en tire plutôt bien après le terrible choc de leur véhicule contre une barrière de péage…

LE choc a été violent et spectaculaire : pilier percuté, échelle de coursive arrachée, trottoir et bac à fleurs heurtés, décollage en vrille et atterrissage final contre le bâtiment de la Sanef, voilà le résumé de l'accident survenu hier en début d'après-midi sur l'autoroute A26, au péage de Courcy, à une poignée de kilomètres de l'agglomération de Reims.
Et finalement, au vu de l'état final du véhicule, un Volkswagen Transporter, on se dit que ses occupants, un couple de ressortissants allemands, ont eu bien de la chance de s'en tirer à si bon compte : quelques blessures relativement légères (peut-être une ou deux côtes cassées quand même) aux dernières nouvelles.
En tout cas, leurs jours ne sont pas en danger. Ceintures et airbags ont manifestement bien rempli leur office… Et heureusement aussi que personne ne se trouvait sur la trajectoire du bolide devenu fou…

Endormissement ?

Les faits se sont déroulés vers 13 heures. Le Transporter roulait en direction de Reims. Sans doute pas loin du maximum autorisé au vu de la violence du choc qui allait survenir. Il ne tombait pas encore des cordes à ce moment-là, on ne peut donc pas invoquer l'état glissant de la chaussée. Plutôt un malaise du conducteur, relativement âgé (entre 60 et 70 ans selon la gendarmerie) ? Ou bien un simple endormissement ? Ou un autre « grain de sable » ? Les gendarmes, au moment où nous écrivions ces lignes, n'avaient pas encore pu interroger les intéressés et se voyaient donc réduits aux hypothèses. Toujours est-il que ce quart de seconde de défaillance s'est soldé par le grand fracassement que l'on sait.
Les deux occupants du véhicule se retrouvant coincés dans leur habitacle une fois leur véhicule immobilisé, les pompiers de Reims ont dû intervenir pour les dégager : « Nous avons coupé le toit de la voiture, cela nous a bien demandé une demi-heure », indiquait le chef de l'intervention. Après quoi les victimes, quelque peu sonnées, ont été prises en charge par des ambulances médicalisées avant d'être transférées à l'hôpital. Cinq heures après l'accident, elles se trouvaient toujours entre les mains des urgentistes. Elles devraient se souvenir longtemps de cette arrivée plus que mouvementée à proximité de la cité des sacres…
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/operation-douaniere-a-laide-dun-camion-scanner

dimanche 28 août 2011

Près de Brest, quatre jeunes fauchés en scooter par un fourgon : un mort

Samedi, peu avant 22 h, quatre jeunes ont été fauchés par un fourgon alors qu’ils circulaient sur deux scooters. L’un d’eux, 17 ans, est mort. Un est gravement blessé. Et les deux autres plus légèrement touchés.
L’accident s’est produit un peu au sud du lieu-dit Tariec, au niveau de la commune de Plouvien, sur la route qui mène de Bourg-Blanc à Lannilis (CD 13), à une vingtaine de kilomètres de Brest.
Un homme interpellé
Le choc n'a pas eu lieu à une intersection, mais dans un secteur où cette route départementale passe à deux fois deux voies, séparées par un petit terre-plein.
En fin de matinée, ce dimanche, un homme de 28 ans a été interpellé par les gendarmes dans le secteur de Lannilis (Finistère). Il s’agirait du conducteur du fourgon.

Il s’emporte pour une futilité et frappe sa mère au visage

Je me suis emportée. Je lui ai dit des gros mots et comme il n’est pas trop dans son assiette en ce moment, il a répondu par la violence. Mais ce n’est pas un garçon méchant..." Présente à la barre du tribunal, cette petite dame âgée de 72 ans, au visage tuméfié, aura eu beau tenter d’atténuer la volée de coups qu’elle a reçue de son fils, elle n’est pas parvenue à convaincre les magistrats du siège. Au vu de la gravité des faits et du risque de représailles, ceux-ci ont finalement condamné le prévenu à trois ans de prison ferme dont un avec sursis et mandat de dépôt avec mise à l’épreuve.
Les faits remontent au 17 août à 22 h. Le prévenu, dont le casier judiciaire fait état de quatorze condamnations (vols, proxénétisme aggravé, expériences sur des animaux, trafic de stupéfiants et surtout 12 ans de réclusion criminelle pour violences entraînant une mutilation permanente), rentre énervé au domicile de sa mère qui l’héberge depuis sa sortie de prison, il y a trois mois. "Il faut que je vous explique, je veux récupérer ma fille qui a été placée dans une famille d’accueil. Mais cette famille ne veut rien entendre. Ce soir-là, j’étais allé boire une bière dans un bar et quand je suis sorti, je suis tombé sur le fils de la femme qui a en charge ma fille. Il m’a nargué et m’a provoqué. C’est pour ça que j’étais énervé."

S’il parvient à prendre sur lui, il voit rouge en arrivant chez sa mère, en découvrant... que le ventilateur est éteint ! Le ton monte avec celle qui lui a donné la vie il y a 40 ans et les coups pleuvent. "Je regrette des millions de fois ce que j’ai fait. Je l’ai juste giflé à plusieurs reprises", lâchera-t-il à la barre.
Giflée ? Pourtant le rapport médical indique de multiples ecchymoses, un hématome à l’œil, une tuméfaction de la face, une plaie au niveau de la pommette, une hémorragie sous le derme du front ainsi qu’une fracture du nez ! "Mon client n’est pas un monstre, c’est juste une goutte d’eau qui a fait déborder un énorme vase de frustration", aura beau clamer son avocat. Le tribunal, lui, ne l’a pas entendu de la même oreille.
http://www.midilibre.fr/2011/08/27/il-s-emporte-pour-une-futilite-et-frappe-sa-maman-au-visage,378012.php

Amour vache Des conjoints qui adorent se frapper

Un coup toi, un coup moi. C'est un peu la devise de ce couple habitant rue Kennedy à Saint-Quentin.
Jeudi après-midi vers 15 heures, le mari frappe son épouse. Celle-ci prévient la police. Appréhendé, il est emmené au commissariat et reconnaît les faits sans difficulté. Sa compagne se rend chez le médecin et présentera un certificat médical avec une ITT d'une journée.
Ce couple saint-quentinois est bien connu des services de l'ordre, pour des faits similaires dans les deux sens. Une fois c'est l'homme qui frappe la femme, tandis que la fois suivante, les rôles sont inversés. Ce coup-ci l'homme fera l'objet d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/saint-quentin-amour-vache-des-conjoints-qui-adorent-se-frapper

samedi 27 août 2011

Il vivait avec 671 mygales et 19 scorpions

Les gendarmes ont fait une découverte surprenante, fin juillet, dans une maison de la petite commune de Brouckerque (Nord). En se rendant sur les lieux suite au déclenchement d'une alarme, ils sont tombés nez à nez avec 671 mygales et 19 scorpions !
"Les araignées vivaient dans des boîtes en plastique ou des terrariums, dans une seule pièce", explique à La Voix du Nord Jean-Pierre Pasternak, agent départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. "On a recensé 157 espèces de mygales différentes, pour certaines protégées, pour toutes dangereuses", poursuit-il.

Aux côtés de ces colocataires peu communs résidaient également des criquets et des blattes, destinés à nourrir les centaines d'araignées. Le propriétaire de l'élevage exotique ne possédait aucune autorisation, et les animaux lui ont donc été confisqués. Il risque jusqu'à un an d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende pour détention illégale d'espèces protégées. Les premiers éléments de l'enquête semblent écarter la thèse d'un trafic.
http://www.midilibre.fr/2011/08/27/il-vivait-avec-671-mygales-et-19-scorpions,377970.php

Une course-poursuite entre un automobiliste et les forces de l'ordre fait deux blessés

Une course-poursuite entre un automobiliste et plusieurs voitures des forces de l'ordre s'est soldée par deux blessés, dont le mis en cause.
Jeudi soir vers 23 h 30, avenue de Castres, à Toulouse, un automobiliste refuse de s'arrêter à un contrôle effectué par un douanier. Le conducteur prend la fuite. Très vite, le signalement est diffusé sur les ondes pour tenter de le retrouver. Il est aussitôt poursuivi par le motard des douanes, une voiture de la BAC et une patrouille de gendarmerie. La course-poursuite s'engage. Le douanier à moto, chute au sol avant de se blesser légèrement. Au cours de l'interpellation, une voiture des gendarmes comme celle de la BAC sont percutées par le véhicule du fuyard qui fini par être interpellé.
Légèrement blessé, cet homme a été placé en garde à vue.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/27/1154355-course-poursuite-deux-blesses.html

Le braqueur avait été trahi par son urine

Un péché d’orgueil. Qui vient de lui “coûter” trois ans de prison ferme devant le tribunal correctionnel. Jean Martial, 34 ans, petit, musclé, cheveux noirs gominés, ne s’est pas contenté de braquer le supermarché Netto de Frontignan, le 1er avril 2008. Mais il s’est aussi payé le luxe de prendre le temps d’uriner sur le mur du magasin. Et c’est notamment cet indice - et donc le relevé d’ADN - qui a permis aux policiers de remonter jusqu’à lui.
"C’est exactement ce qui s’est passé", reconnaît volontiers le prévenu lorsque la présidente raconte comment s’est déroulé le vol à main armée. Ce jour-là, il arrive en Peugeot 306 avec deux complices - qui n’ont pas été identifiés. Il escalade l’enceinte avec un comparse, et, encagoulé et armé, il menace la caissière avec son pistolet et lui lance : "Ouvre la caisse." Il finit par le faire lui-même (ses empreintes seront également retrouvées dessus), prend 1 000 € et part avec son acolyte.

Quatre mois plus tard, en août 2008, il est interpellé dans une autre affaire de braquage et l’ADN finit par confondre Jean Martial, qui cumule douze condamnations entre 1995 et 2010, notamment pour trafic de stupéfiants.
"Pourquoi avez-vous fait ça ?", interroge la présidente.
"Sur un coup de tête."
"Non, tout était préparé, c’était votre véhicule et vous étiez armé. Pourquoi venir de Marseille pour faire ça ?", insiste la magistrate.
"Ce braquage, c’était pas prévu, on m’a manipulé..."
Jean Martial, le prévenu "Mon projet n’était pas de braquer... Vu mon passé, même si je suis sincèrement honnête, vous ne me croirez pas.... Ce braquage, c’était pas prévu, on m’a manipulé...", se justifie-t-il.
Mais pour le bâtonnier Pierre Châtel, partie civile, ce hold-up a laissé des traces chez les victimes. "La vérité tient à une goutte et elle va suffire ! Vous étiez serein, tranquille avec une arme et une cagoule mais, derrière la caisse, il y avait une personne qui, maintenant, chaque 1er avril à 17 h 20, est inquiète et elle a peur ."
Même tonalité du côté du procureur, qui réclame quatre ans d’emprisonnement : "Il vient loin de sa base, avec deux complices, il faut souligner la lâcheté de ces actes qu’il ne faut pas banaliser ! Parce qu’il y a des victimes, en état de dépression, incapables de reprendre leur travail." Ce sera finalement trois ans ferme et 3 000 € de dommages et intérêts à verser à la caissière.
http://www.midilibre.fr/2011/08/26/le-braqueur-avait-ete-trahi-par-son-urine,377616.php

Des armes saisies sur fond de trafic de stupéfiants à Beaune

Mercredi, à 7 h 20, la Brigade des stupéfiants et du proxénétisme (BSP) de la Direction interrégionale de la police judiciaire de Dijon (DIPJ) a effectué une perquisition au domicile d’un homme de 27 ans, demeurant dans un logement HLM du quartier Roupnel, à Beaune.
Les policiers dijonnais intervenaient dans le cadre d’une commission rogatoire délivrée le 4 juillet par un juge d’instruction de Chalon-sur-Saône, visant à enquêter sur un trafic de stupéfiants (résine de cannabis, cocaïne, héroïne) dans le secteur de Chalon-sur-Saône, avec une extension sur Beaune.
Dans le cadre de cette affaire, une première vague d’interpellations s’était déroulée en mai, à Chalon-sur-Saône, Autun et Le Creusot ; elle avait conduit à l’interpellation d’une douzaine de personnes, dont six ont été écrouées.
Le 24 août, à Beaune, la fouille du logement a été effectuée avec le concours d’un chien malinois spécialisé dans la recherche de stupéfiants du Peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de la gendarmerie de Chalon-sur-Saône. Une plaquette de 91 grammes de résine de cannabis a été découverte, ainsi qu’un revolver à grenaille, et des munitions.
Dans un box aménagé en véritable petit salon, à l’arrière du bâtiment, les enquêteurs ont découvert un sac contenant quatre pistolets automatiques (deux à grenaille et deux à plomb), emballés dans du papier cellophane.

Un fusil Mauser

Les policiers ont aussi saisi un autre pistolet à plomb à air comprimé, également enveloppé dans du papier cellophane, ainsi qu’un fusil Mauser, arme de guerre de 1 re catégorie, des munitions, et des cartouches de chasse.
Le suspect, un homme déjà condamné pour port d’arme de 4 e catégorie, a été placé en garde à vue dans l’affaire de stupéfiants, puis dans celle de détention d’armes.
Il a été libéré jeudi matin, mais son audition a repris dans la journée, avec celle d’un autre homme à qui appartiendrait une partie des armes saisies.
Celles-ci pourraient être utilisées pour assurer le recouvrement de dettes liées au trafic de stupéfiants, pour des menaces entre clans, voire des braquages ou des agressions à domicile…
Ces armes vont être répertoriées dans un fichier afin de vérifier si elles ont été identifiées comme ayant été utilisées dans d’autres affaires.
L’audition des deux suspects se poursuivait hier après-midi.
http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2011/08/26/des-armes-saisies-sur-fond-de-trafic-de-stupefiants-a-beaune

vendredi 26 août 2011

Une femme happée par le TER Béthune-Lille

Les barrières du passage à niveau numéro 9, rue Jules-Ferry à Loos, étaient abaissées pour laisser passer le TER Béthune-Lille quand vers 21 h 15 hier soir, une femme s'est malgré tout engagée sur les voies : le conducteur du TER, un train dans lequel se trouvait une petite dizaine de passagers, a bien tenté de prévenir de son arrivée en klaxonnant. En vain.
Selon un témoin du drame, choqué par la scène, la femme aurait malgré tout poursuivi son chemin en direction des voies ferrées où elle a été percutée par le TER.
Sur place, les sapeurs-pompiers de Loos, de Lomme et de Lille-Littré, sous le commandement du major Philippe Frère, n'ont rien pu faire pour la victime, malheureusement décédée sur le coup. Celle-ci, âgée d'une cinquantaine d'années, serait domiciliée à Marcq-en-Baroeul.
Trois trains de fret déviés


Ni le conducteur du TER ni la dizaine de passagers n'ont été blessés mais le train est resté bloqué sur les voies jusqu'à tard dans la nuit : la SNCF a dû dévier les trois trains de fret suivants via Ostricourt, puis vers 22 h 45, les passagers ont pu rejoindre Lille à bord d'un minibus.
L'enquête de police se poursuit pour déterminer les causes exactes du drame

http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/08/26/une-femme-happee-par-le-ter-bethune-lill.shtml

Cépet. Le chauffard, qui a percuté une femme, avait bu et consommé de la drogue

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/25/1153081-cepet-le-conducteur-s-enfuit-apres-un-accident-mortel.html
L'homme de 28 ans qui avait pris la fuite, mercredi après-midi, après un accident de la route mortel entre Gratentour et Cepet, a été mis en examen pour homicide involontaire et incarcéré, hier, conformément à la demande du parquet. Une information judiciaire a été ouverte.
On en sait désormais davantage sur la collision qui a coûté la vie à Martine Sanz, une mère de famille de 47 ans, domiciliée à Bruguières. Alors qu'elle circulait sur la départementale 14, la conductrice aurait voulu tourner à gauche. Elle a donc ralenti pour effectuer sa manœuvre et s'est engagée vers la gauche. Au même moment, une voiture est arrivée derrière elle et son conducteur a voulu la doubler. Il a percuté violemment l'avant gauche de la voiture de la mère de famille avant de prendre la fuite. Après une heure de fuite, le chauffard a finalement été interpellé à son domicile grâce aux importants moyens mis à disposition par le commandant du groupement de gendarmerie, coordonnés sur le terrain par le commandant de la compagnie Toulouse Saint-Michel.
À l'endroit où s'est produit l'accident, une ligne blanche continue interdit tout dépassement. Par ailleurs, selon nos informations, le chauffard était sous l'empire d'un état alcoolique. Il avait plus de 0,40 mg d'alcool par litres de sang. Il avait consommé des produits stupéfiants et avait pris le volant malgré un permis de conduire invalide. Il aurait par ailleurs été impliqué, dans le passé, dans des faits de délinquance routière. Tous ces éléments pourraient expliquer son délit de fuite.
Une information judiciaire a été ouverte de manière à permettre de plus amples expertises tant sur les véhicules impliqués dans l'accident que sur le chauffard. Elles devraient préciser notamment son taux d'alcoolémie ainsi que la nature des produits stupéfiants. En attendant, le jeune homme a été écroué
La disparition de Martine Sanz a semé la consternation à Bruguières où cette mère de deux enfants vivait depuis de nombreuses années et où elle était très appréciée.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/26/1153254-le-chauffard-avait-bu-et-consomme-de-la-drogue.html

Une jeune femme chute d'une cascade de 35 mètres

La victime était âgée de 19 ans. Elle est tombée du haut de la cascade de la Quinquenouille, dans le Jura. Les secours n'ont rien pu faire pour la ranimer
L'accident est survenu aujourd'hui jeudi, en début d'après-midi, sur le site de la cascade de la Quinquenouille, sur la commune de Chatonnay, dans le Jura.
D'importants moyens de secours ont été mobilisés pour venir en aide à une randonneuse de 19 ans qui est tombée du haut de la cascade. Son ami a donné l'alerte mais en dépit de plusieurs dizaines de minutes d'efforts les secours ne sont pas parvenus à réanimer cette jeune fille originaire de Côte d'Or.


Les premières informations recueillies par les gendarmes laissent penser que la victime s’est approchée du bord pour faire une photo, puis a glissé.

http://www.leprogres.fr/jura/2011/08/25/une-jeune-femme-chute-d-une-cascade-de-35-metres

Menacés avec un pistolet sur l’A4

C’est un étrange scénario qui s’est joué sur l’autoroute A4, mardi vers 18h45, à hauteur de Saint-Privat-la-Montagne. Alors qu’il circule tranquillement en direction de Jarny, à bord de sa Citroën C4, un couple de trentenaires résidant dans le canton d’Homécourt est pris en chasse par un autre véhicule, une Volkswagen Passat grise. Appels de phare insistants, manœuvres de dépassement dangereuses, coups de frein brusques : tout l’arsenal de l’intimidation automobile est passé en revue en l’espace de quelques centaines de mètres.
La peur monte d’un cran, un peu plus loin, quand la Passat se porte à hauteur de la C4, et que l’un de ses passagers braque un pistolet sur le couple après avoir baissé sa fenêtre. Réussissant finalement à se débarrasser de ses agresseurs, à hauteur de Sainte-Marie-aux-Chênes, le couple de Meurthe-et-Mosellans a aussitôt appelé la gendarmerie pour donner l’alerte. Quittant l’autoroute juste après le péage d’Hatrize, ils ont déposé plainte contre X auprès du commissariat de Conflans-en-Jarnisy.
D’après les premiers éléments de l’enquête, le véhicule des agresseurs, qui n’a fait l’objet d’aucune déclaration de vol, appartiendrait à un habitant de la région nancéienne. Ce dernier devrait donc être rapidement entendu par les policiers de la cité ducale.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

jeudi 25 août 2011

Une boîte pour chat explose: une blessée

Une jeune habitante de Forceville-en-Vimeu (Somme) a été blessée mercredi par l'explosion d'une boîte d'aliments pour chat qu'elle tentait d'ouvrir, a-t-on appris auprès des gendarmes, confirmant une information du Courrier Picard.

La jeune femme, qui a subi 11 points de suture pour soigner une plaie de plusieurs centimètres au niveau de la clavicule droite, a déposé plainte auprès de la gendarmerie de Oisemont.

"Elle a dit que quand elle avait ouvert la boîte, elle avait explosé", a expliqué un gendarme. Selon le Courrier Picard à paraître vendredi, Marina Séré, une lycéenne de 18 ans, a appelé sa soeur après la violente explosion qui lui a infligé une coupure profonde. "J'ai vu énormément de sang", a-t-elle raconté.
"Je l'ai trouvée en pleurs, le tee-shirt couvert de sang (...), je lui ai fait un point de compression", a expliqué sa soeur, Charlotte, au quotidien régional.
Marina a été conduite par les pompiers à l'hôpital d'Abbeville. "On m'a dit que j'avais eu beaucoup de chance", a-t-elle expliqué, car le couvercle n'est pas passé loin du visage ou des artères du cou.

Selon le médecin qui l'a soignée, la jeune fille risque une infection, car la nourriture apparemment pourrie, malgré la date limite de consommation en 2013, a été en contact avec la plaie. Des antibiotiques lui ont été prescrits. La boîte d'aliments, achetée la veille de l'accident dans un magasin de l'enseigne Netto, présentait un gonflement avant son ouverture selon le distributeur interrogé par le Courrier Picard.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/25/97001-20110825FILWWW00613-une-boite-pour-chat-explose-une-blessee.php

L'épouse du meurtrier d'A.Caudal libre

Sophie Piedoux, l'épouse de l'assassin présumé d'Anne Caudal qui s'est suicidé dans la nuit de mardi à mercredi, est sortie mercredi de prison sous contrôle judiciaire, a indiqué aujourd'hui son avocate Me Catherine Glon.

Sophie Piedoux était en détention provisoire à la prison pour femmes de Rennes, depuis sa mise en examen pour dissimulation et destruction de preuves le 28 juillet.

C'est elle qui avait permis de retrouver le corps d
'Anne Caudal le 27 juillet, 20 jours après sa disparition, et avait avoué avoir aidé son mari à le faire disparaître.

L'avocate a précisé à un correspondant de l'AFP que la femme, maman de deux enfants qu'elle a eus avec Christophe Piedoux, a retrouvé sa liberté mercredi soir et a rejoint ses enfants.

Anne Caudal a été portée disparue par son "compagnon", Christophe Piedoux, le 10 juillet.

Christophe Piedoux, 42 ans, a mis fin à ses jours dans sa cellule de la prison de Vezin-le-Coquet (Ille-et-Vilaine) mercredi à 05h50. Il était en détention provisoire après sa mise en examen pour assassinat le 28 juillet.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/25/97001-20110825FILWWW00500-l-epouse-du-meurtrier-d-anne-caudal-libre.php

Violée par un interne au centre hospitalier

Troyes- Un interne en gynécologie de l'hôpital de Troyes a été mis en examen et écroué. Il aurait violé l'une de ses patientes enceinte

Il est 21 h, samedi, lorsqu'une jeune femme se présente aux urgences de l'hôpital de Troyes. Enceinte de quinze semaines, elle décrit un état de faiblesse qui l'inquiète. Des vomissements entre autres symptômes.
L'équipe fait alors appel à l'interne en gynécologie. Un homme âgé de 26 ans qui exerce depuis deux ans à l'hôpital. Un garçon réservé, timide, compétent, à l'écoute de ses patientes, diront ses collègues.
Après une première auscultation, Dyn décide de l'hospitalisation de la jeune femme. Quelques heures plus tard, il passe les portes de sa chambre. Elle doit subir un examen complémentaire.
Sans crainte, avec confiance, la jeune femme, âgée de 22 ans, suit l'interne jusqu'à une salle isolée. Ils vont parler près d'une heure, puis il lui donne un médicament. Un traitement qu'elle croit être homéopathique. Il s'agit en fait d'un anxiolytique.
L'interne procède alors à la seconde auscultation. Allongée sur une table d'examen, la jeune femme est couverte de plusieurs draps. Le médecin lui conseille alors de fermer les yeux pour qu'elle puisse se détendre. Et il la viole.
Terrorisée par ce qu'elle vient de subir, et par ce qu'il pourrait encore lui faire, la victime jure qu'elle se taira.
Dyn s'excuse, tente de lui expliquer son mal-être. Et la laisse enfin regagner sa chambre.
C'est là qu'elle se confie à l'équipe médicale qui donne l'alerte.

Information judiciaire

Dans la nuit, Dyn est interpellé et placé en garde à vue dans les locaux du commissariat.
Face aux enquêteurs, il aurait reconnu les faits. Il aurait expliqué avoir cédé à une pulsion. Rien de ce qu'il aurait fait subir à sa patiente n'aurait été prémédité.
En début de semaine, une information judiciaire a été ouverte par le parquet et confiée à un juge d'instruction.
Dyn a été mis en examen et placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Chaumont. Dans les semaines à venir, les enquêteurs attachés à la sûreté départementale poursuivront leurs investigations sur commission rogatoire.


http://www.lest-eclair.fr/article/a-la-une/violee-par-un-interne-au-centre-hospitalier

Un propriétaire piège les cambrioleurs

Deux mineurs âgés de 17 ans ont été interpellés par les gendarmes de la communauté de brigades de Lavaur après avoir tenté de cambrioler une résidence sur la commune de Belcastel.
Lundi, vers 9 heures du matin, les deux jeunes cambrioleurs s'étaient introduits dans l'habitation en passant par une fenêtre et en découpant la moustiquaire. Mais le propriétaire des lieux s'est rendu compte de la présence de ces deux individus. Ne demandant pas leur reste, les deux mineurs ont pris la fuite. Il en fallait plus pour décourager le propriétaire. Il s'est lancé à leurs trousses, tout en téléphonant à la brigade de gendarmerie pour signaler la tentative de cambriolage. Il a continué à faire semblant de téléphoner, criant aux jeunes qu'ils étaient cernés. Ces derniers se sont découragés et ont mis un terme à leur cavale. A leur arrivée très rapide sur les lieux de la tentative de cambriolage, les forces de l'ordre ont procédé à l'arrestation des deux cambrioleurs.
Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Lavaur. Hier après-midi, ils ont été transférés au Parquet de Toulouse. Ils ont ensuite été placés en détention. Ces deux mineurs habitent la région toulousaine. Les enquêteurs ont pu établir que ces deux invidus sévissaient dans l'ouest du Tarn depuis quelques mois. Ils seraient notamment soupçonnés de cambriolages de maisons dans les secteurs de Peyrolles et de Parisot. L'enquête de gendarmerie va se poursuivre pour identifier toutes les victimes des agissements de ces deux individus.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/25/1152859-lavaur-le-proprietaire-piege-les-cambrioleurs.html

Ampuis : un blessé grave dans un face à face entre un fourgon et un camion

Un camion-citerne transportant de l'acide sulfurique et une camionnette sont entrés en collision sur la RD 386 à hauteur d'Ampuis vers 15h50. Le conducteur du fourgon est grièvement blessé.
Selon les premières constatations, la collision frontales qui s'est produit vers 15h50 sur la RD 386 au niveau d'Ampuis sera du à l'endormissement du conducteur d'une camionnette. Le véhicule est alors venu percuter de plein fouet un camion-citerne qui arrivait en sens inverse.
Le poids-lourd transportait des milliers de litres d'acide sulfurique. Fort heureusement, il ne s'est pas renversé et il n'y a pas eu de fuite.
Le conducteur du fourgon est lui grivièment blessé et il a fallu plus d'une heure aux secours pour le désincarcérer. Héliporté à Lyon Sud, son pronostic vital n’était en revanche pas engagé.
Le conducteur du camion n'a été que légèrement blessé. Pour les deux hommes impliqués dans l’accident, les tests d’alcoolémie et de stupéfiants se sont révélés négatifs.
La route départementale a été fermé à la circulation dans les deux sens pendant plus de trois heures.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/08/24/la-rd-386-fermee-dans-les-deux-sens-a-hauteur-d-ampuis

Deux enfants brûlés dans une poussette

dans une poussette. Cette femme l’utilisait pour la première fois depuis quinze jours.
Deux enfants ont eu la peau brûlée, hier à Nancy, quand une assistante maternelle les a installés dans une poussette. Cette femme l’utilisait pour la première fois depuis quinze jours. L’objet était resté sur le palier de l’immeuble. Il comprend deux places. Elle a installé son petit-fils d’un an et une petite fille dont elle avait la garde, âgée de deux ans. À peine installés, les deux enfants se sont mis à hurler de douleur. Ils ont été brûlés au troisième degré dans le bas du dos et aux fesses. Une matière, encore non identifiée, se trouvait sur la poussette. Le produit a même traversé les couches-culottes.
Le SAMU, alerté, a prévenu aussitôt la police. Les premières investigations ont été menées par la brigade des mineurs de la sûreté départementale et des constatations techniques effectuées sur place. Les policiers ont opéré une enquête de voisinage. Des mauvaises relations pourraient être en cause. Le produit doit être analysé afin de comprendre comment il a pu brûler les enfants, sans abîmer la poussette

http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

mercredi 24 août 2011

Saint-Ouen: un enfant grièvement blessé

Un enfant de deux ans et demi était entre la vie et la mort aujourd'hui à la suite d'une chute de six étages dans la matinée à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de sources concordantes.

"Nous avons été appelé à 10 heures pour un enfant de deux ans et demi tombé du 6ème étage et en état d'urgence absolue, présentant de multiples fractures", a-t-on appris auprès des pompiers de Paris.

Selon un témoin, l'enfant était sous la garde d'une voisine de ses parents, qui habitent au rez-de-chaussée du même immeuble, lorsque le drame s'est produit.

L'enfant a été conduit à l'hôpital Necker de Paris, son pronostic vital engagé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/24/97001-20110824FILWWW00443-saint-ouen-un-enfant-grievement-blesse.php

A cause d'un frelon, il percute un poteau

Deux accidents insolites et spectaculaires lundi. Un cyclo qui plonge dans un ravin de 15 mètres de profondeur. Et en Lomagne, un automobiliste qui perd le contrôle de son fourgon à cause d'un maudit frelon entré dans son habitacle.
Si depuis trois, quatre ans le frelon asiatique est devenu la hantise des apiculteurs et plus encore de tous ceux chez qui on découvre des nids à des hauteurs peu communes, un seul membre de la colonie peut aussi être nuisible. C'est d'ailleurs la mésaventure qui est survenue à un jeune beaumontois de 30 ans. Lundi soir vers 19 h 45 sur la RD 93 entre Asques et Esparsac Mathieu au volant de son fourgon Ford rentre tranquillement vers la cité lomagnole. La canicule de cette fin de journée a incité le conducteur à ouvrir la vitre de son véhicule. C'est par là qu'insidieusement pénètre l'hyménoptère venu d'Asie. Et le frelon tourne autour du conducteur au point de se poser sur son tee-shirt. pour se débarrasser de l'importun il lui donne un coup de main.

Une fâcheuse incidence

Mais son geste en direction de son vêtement a surtout une fâcheuse incidence. il fait perdre le contrôle du véhicule qui quitte la route et percute un poteau d'ErDF.Celui-ci par effet domino va briser sur l'impact deux poteaux téléphoniques de France-Télécom ; Heureusement sans décrocher les fils. Qui restent bons pour le service en attendant de retrouver des supports.
Sur les lieux de l'accident où le conducteur sort indemne convergent les gendarmes de la COB de Beaumont-de-Lomagne-Lavit, une équipe de techniciens d'ErDF et une autre de France-télécomms qui procèdent aux premières réparations sur le réseau. C'est le garage Dirat de Gimat qui lui se charge d'enlever de sa facheuse posture le véhicule accidenté.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/24/1152369-esparsac-a-cause-d-un-frelon-il-percute-un-poteau.html

Paris : menacés, pillés et séquestrés dans le coffre de leur voiture

A chaque fois, c'est le même scénario. Les automobilistes sont menacés d'une arme de poing dans des parkings parisiens. Les agresseurs, cagoulés, les forcent à donner leurs clés de voiture, leurs cartes de crédit et les codes qui vont avec. Puis, ils sont enfermés dans le coffre de leur voiture, le temps que les voleurs aillent retirer de l'argent dans des distributeurs avoisinants.

Au moins trois agressions de ce type ont été commises entre le 11 juillet et le 20 août dont deux dans le 16è arrondissement et une dans le 12è, selon des sources proches de l'enquête, confirmant une information du Parisien.

Le préjudice a approché 5.000 euros lors de la dernière agression de ce type avant que la victime soit relâchée. Les malfaiteurs "ciblent les conducteurs de véhicules de luxe ou de grosse cylindrée laissant supposer un important butin sur des comptes bancaires suffisamment garnis", selon une source policière. La 1ère DPJ a été chargée de l'enquête qui "suit son cours", a-t-on assuré de même source.

Les cambrioleurs foncent sur les policiers

Les cambrioleurs ont opéré à l’aube sur la zone industrielle de Croix Sud. Il est 6 h du matin, rue Panhard, quand les détecteurs de présence du magasin “Planète Cash” une enseigne spécialisée dans la vente de matériel informatique d’occasion, se déclenchent. Deux voitures de police se rendent alors sur place.
Une première patrouille de trois policiers arrivée sur les lieux constate la présence d’un guetteur devant le magasin. Rapidement, trois autres individus en sortent et se précipitent dans une Citroën C4, stationnée devant l’entrée. Deux fonctionnaires mettent pied à terre. Le véhicule des malfaiteurs fonce tout droit dans leur direction. Ils font alors usage de leurs armes à deux reprises. Grâce à un bond de côté, ils parviennent à éviter le choc. La légitime défense devrait être retenue concernant les tirs.

A ce moment-là, les malfaiteurs tentent de s’enfuir par la route de Perpignan, prenant même à contresens le rond-point de Renault. Mais arrivés au rond-point de Bages, leur véhicule fait une sortie de route et finit sa course en contrebas de la chaussée. Quelques jours plus tôt, la voiture avait été volée à Béziers. Un vol en réunion accompagné de violences sur son propriétaire. Les plaques d’immatriculation avaient été retirées.
A cause de la violence de l’accident, deux des malfaiteurs restent prisonniers du véhicule. Ils doivent attendre les pompiers pour être désincarcérés. A l’intérieur, les policiers retrouvent des gants et des outils utilisés pour le cambriolage. Les quatre Biterrois, légèrement blessés, sont transportés vers l’hôpital de Narbonne. L’un d’entre eux est mineur, les trois autres âgés d’une vingtaine d’années.
Contacté au téléphone, David Leyraud, secrétaire du syndicat Alliance de l’Aude, a dénoncé "des violences gratuites et une escalade de la violence. Il ne s’agit pas d’un braquage mais d’un simple cambriolage avec une réaction disproportionnée. Les policiers à pied sont pris pour cible. Un jour il y aura un drame".
David Leyraud a salué le professionnalisme des fonctionnaires et espère une réponse pénale à la hauteur de la gravité des faits.
Trois des malfaiteurs ont été entendus dans les locaux de la police de Narbonne. L’un d’eux étant resté en soins pour un traumatisme crânien, sans détresse vitale. L’enquête devra déterminer si, en plus d’un vol avec effraction, ils devront répondre de tentative d’homicide.
http://www.midilibre.fr/2011/08/23/les-cambrioleurs-foncent-sur-les-policiers,376128.php

Six mois de prison ferme pour l'incorrigible récidiviste

« J'ai pété un plomb à cause des difficultés que traverse mon couple ». Ce sont les explications fournies au tribunal par Didier L., 33 ans qui était jugé, hier après-midi en procédure de comparution immédiate pour une conduite sans permis en récidive.
Le moins que l'on puisse dire, en dehors de toutes les explications qu'il a donné lors de l'audience, c'est que le Rethélois, père de trois enfants, a quelque peu cherché ce qui lui arrive aujourd'hui.
En effet, l'homme n'a jamais passé le permis de conduire d'où les dix mentions, pour des faits similaires, inscrites dans son casier judiciaire.
Et malgré une convocation programmée hier devant le tribunal correctionnel pour deux interpellations pour conduites sans permis commises le 2 février et le 13 mars, le Rethélois a quand même pris le volant samedi dernier. Ce soir-là, il a été une énième fois arrêté lors d'un contrôle routier sur le territoire de la commune du Chesne par les gendarmes de la communauté de brigades de Vouziers.

Mandat de dépôt

Une nouvelle infraction qui a eu pour effet d'énerver le substitut du procureur de permanence qui a aussitôt envoyé le jeune homme devant le tribunal avant un passage, dimanche, devant le juge des libertés et de la détention qui a ordonné son maintien en détention provisoire en attendant son procès. Un jugement qui aura finalement lieu le 22 septembre prochain puisque le prévenu a demandé hier un délai pour préparer sa défense. Malgré les doutes émis par son avocat sur la nécessité d'un maintien en détention provisoire de son client, le tribunal a, pour sa part, suivi les réquisitions du parquet qui avait réclamé un mandat de dépôt, expliquant que le prévenu devrait assumer les conséquences de ses actes.
Sur les deux affaires pour lesquelles il était convoqué, hier, il a été reconnu coupable de conduite d'un véhicule sans permis en récidive et condamné à 6 mois de prison ferme.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/six-mois-de-prison-ferme-pour-lincorrigible-recidiviste

mardi 23 août 2011

Seine-et-Marne. Une femme enceinte violée dans un train

Soupçonné d'avoir violé une femme enceinte, un jeune homme de 18 ans a été interpellé la nuit dernière à Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne) et placé en garde à vue.
Les faits se sont déroulés le dimanche 21 août, dans un train près de Coulommiers, à destination de Paris. La victime, enceinte de quatre mois, aurait été agressée et violée sous la menace d'un couteau. Âgée d'une trentaine d'années, elle se trouvait seule dans le wagon lorsque l'agresseur a pointé un couteau sur son ventre. L'homme s'est enfui au premier arrêt.
C'est grâce aux bandes de vidéosurveillance que l'agresseur a pu être arrêté deux jours après les faits par la Brigade des réseaux ferrés à Vaires-sur-Marne.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/23/1151752-seine-et-marne-une-femme-enceinte-violee-dans-un-train.html

Il tire sur les fenêtres de son ex

Un homme de 35 ans a été interpellé lundi soir à Poissy, dans les Yvelines, après des coups de feu tirés en direction de l'appartement de son ancienne compagne, a annoncé une source policière.

Vers 21H30, le trentenaire s'est rendu au domicile de son ex-concubine, qu'il avait menacé de mort. Il s'est d'abord bagarré sur le parking de l'immeuble avec un ami de la jeune femme. Puis, il s'est emparé d'une arme à feu dans sa voiture et a tiré sur trois véhicules, avant de viser les fenêtres de l'appartement de son ancienne compagne, sans faire de blessé.

Ayant pris la fuite, le tireur présumé a été repéré dans sa voiture, à l'arrêt, par des policiers à Carrières-sous-Poissy (Yvelines), qui ont tenté de l'interpeller. Il a alors subitement démarré.

Le véhicule a déséquilibré un fonctionnaire, qui a tiré accidentellement sur la portière de la voiture, sans toucher le suspect, a précisé la source policière. Quelque centaines de mètres plus loin, la voiture était retrouvée accidentée. L'homme a été interpellé. Une arme de type Winchester à canon scié était découverte dans un buisson, a indiqué la police.

http://www.leparisien.fr/yvelines-78/poissy-il-tire-sur-les-fenetres-de-son-ex-23-08-2011-1575980.php

Un jeune homme mort déshydraté dans sa voiture

C'est un terrible drame qui s'est produit dimanche à Moissac où un homme âgé de 22 ans a été retrouvé mort dans son véhicule stationné chemin des Trieuses. L'information a commencé à faire le tour de la ville hier matin et de nombreuses questions se posaient dans les discussions quant à la nature exacte de ce décès.
C'est le frère de la victime qui, s'inquiétant de ne pas le voir rentrer alors que la journée avançait, aurait donné l'alerte aux secouristes en fin de journée. Il était aux environs de 19 h 45 lorsque les pompiers et le Samu ont découvert le corps sans vie du jeune garçon totalement déshydraté.

Un examen de corps sera pratiqué

Ce dernier serait resté toute la journée dans son automobile, une berline de marque allemande dont il ne serait pas parvenu à sortir et à l'intérieur de laquelle il se serait endormi bien involontairement. La canicule qui régnait dimanche lui a malheureusement été fatale.
La petite ruelle étant peu fréquentée, cela pourrait expliquer pourquoi personne n'a donné l'alerte plus tôt. Quant aux raisons exactes des circonstances du décès, elles restaient, pour le moment, impénétrables aux yeux des gendarmes qui ont décidé d'ouvrir une enquête, même s'il paraît indubitable que les fortes chaleurs qui régnaient dans la cité uvale ont joué un triste tour et qu'il n'y aurait pas eu d'intervention extérieure.
Reste à comprendre pourquoi le jeune homme n'est pas sorti de sa voiture ? Un examen de corps pourrait permettre d'en savoir plus dans les prochains jours.

Mort naturelle au camping de Valence-d'Agen

Quelques jours plus tôt, dans la nuit de jeudi à vendredi, c'est un homme âgé de 42 ans qui a été retrouvé mort au camping municipal de Valence-d'Agen. Là encore, c'est un proche du décédé qui aurait donné l'alerte au camping vers midi vendredi,
L'enquête des gendarmes de la communauté de brigades de Valence a rapidement conclu à une mort naturelle de cet habitué du camping valencien dont l'hygiène de vie n'était guère irréprochable.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/23/1151243-moissac-un-jeune-homme-de-22-ans-retrouve-mort-totalement-deshydrate-dans-son-automobile.html

Pour fuir la police, il jette son scooter à terre, le passager avec

Il y a des histoires qui ne s’inventent pas. Et même pour un policier habitué à tout voir, le quotidien apporte, de temps à autre, de singulières confrontations. Preuve encore avec cette affaire de recel de vol. Laquelle démarre, dimanche, vers 19 h 15. Lorsqu’en patrouille sur l’avenue Paul-Rimbaud, entre Alco et Cévennes, un équipage de la brigade anticriminalité remarque deux Montpelliérains sans casques, juchés sur un scooter démuni de plaque minéralogique.
Mais à la vue des agents, le pilote de l’engin prend peur, stoppe net sa course et jette, illico, le deux-roues à terre... oubliant qu’il transportait un passager.

Appréhendé, le duo a indiqué que ledit scooter - signalé volé depuis le 25 mai - circulait dans le quartier du Petit Bard et était utilisé par tout le monde. Bref, une variante locale du taxi communautaire. Au final, les deux garçons, âgés de 18 et 19 ans, devront s’expliquer à la barre du tribunal correctionnel.
http://www.midilibre.fr/2011/08/22/pour-fuir-la-police-il-jette-son-scooter-a-terre-le-passager-avec,375531.php

Le troisième tireur placé sous contrôle judiciaire

L'homme qui s'est rendu vendredi matin à l'hôtel de police après l'interpellation, mercredi, de deux tireurs présumés, a été déféré au parquet avant d'être entendu par le juge d'instruction chargé du dossier. Laissé libre en attendant la suite de l'enquête, il aurait lui aussi participé aux tirs dont semblent avoir été victimes deux policiers de la Bac.

TROIS. C'est a priori le nombre de tireurs qui auraient pris pour cible des policiers de la brigade anticriminalité (Bac), dans la nuit de dimanche à lundi dernier, depuis la fenêtre d'un appartement de la rue de la Maladrerie, à Reims. Mais force est de constater que tous n'ont pas eu le droit au même traitement. Interpellé tôt mercredi matin, le locataire des lieux, un peintre en bâtiment de 21 ans, chasseur de surcroît, a été placé en détention provisoire. Appréhendé un peu plus tard au cours de cette même journée, le deuxième, un mineur de 17 ans, a pour sa part été remis à ses parents à l'issue de son déferrement au parquet et de sa présentation devant un juge d'instruction. Le troisième, âgé de 21 ans, s'est quant à lui rendu de lui-même à l'hôtel de police, vendredi matin, avant d'être entendu à son tour par ce même juge d'instruction en fin de journée, vers 17 heures (nos éditions précédentes). Celui-ci a finalement été remis en liberté à l'issue de sa présentation au tribunal de grande instance, mais placé sous contrôle judiciaire, malgré la demande du parquet de le placer lui aussi en détention provisoire.
Les trois comparses devront néanmoins répondre des mêmes chefs d'inculpation : ils ont été conjointement mis en examen pour actes d'intimidation, de menace et de violence sur personnes dépositaires de l'autorité publique en vue de leur faire renoncer à leur mission. Un délit passible de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende.
L'instruction devra désormais déterminer quel rôle - et dans quelles circonstances - chacun des trois jeunes hommes a joué au cours de cette fameuse nuit de dimanche à lundi où deux fonctionnaires de la Bac en mission de surveillance affirment avoir été ostensiblement pris pour cible par sept ou huit tirs de carabine 22 long rifle alors que le faisceau lumineux d'un projecteur suivait leurs mouvements depuis la fenêtre de l'appartement qu'occupait jusque-là le jeune peintre en bâtiment.

Riposte évitée...
Au cours de leur garde à vue, les trois individus ont, pour leur part, affirmé avoir voulu s'adonner à une partie de chasse aux lapins improvisée, lesdits petits mammifères ayant l'habitude de sortir de leur terrier à la nuit tombée sur le terrain de football situé à proximité de l'immeuble de la rue de la Maladrerie. Selon leurs déclarations, tous auraient pris part à la scène, les uns et les autres tenant tour à tour le projecteur tandis qu'un autre tirait à la carabine. Mais nullement dans l'intention de porter atteinte aux policiers, selon eux. Une version jugée peu crédible par les magistrats au regard des témoignages des deux policiers de la Bac mais aussi des constatations effectuées dans des conditions similaires sur les lieux des faits. Il en est en effet ressorti qu'avec le projecteur dont disposaient les trois comparses, ces derniers n'avaient pu confondre un lapin à la taille restreinte avec des êtres à la forme bien humaine, dussent-ils s'être camouflés à l'abri d'un fourré, comme cela était le cas la nuit des faits.
Reste maintenant à savoir quelle intention a bien pu animer l'esprit de ces jeunes gens qui, soit dit en passant, aurait pu essuyer une éventuelle riposte des deux fonctionnaires de police qui se trouvaient en mission de surveillance à la suite de plusieurs incendies de voitures survenus au début du mois d'août dans ce quartier de la cité des sacres. Il n'en a rien été - probablement est-ce une chance pour eux - mais force est de constater que le risque existait. Pour autant, les trois tireurs ne sont pas sortis d'affaire. Qu'ils aient eu l'intention de tirer quelques lapins ou de viser des policiers - l'instruction le dira - leurs ennuis n'en sont pas moins finis. Et leur destin mis en suspens.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-troisieme-tireur-place-sous-controle-judiciaire

lundi 22 août 2011

Maltraitance : le cheval n’avait plus rien à manger

Samedi, un cheval a été retrouvé dans une pâture à Therdonne, dans un état de malnutrition avancée. Une association est venue en aide à l’animal.

Le cheval a été retrouvé dans une pâture de Therdonne, à 7 kilomètres à l’est de Beauvais (Oise). Nougat vivait dans un espace de 300 m² et ne devait sa survie qu’à la générosité de voisins venus l’abreuver. Samedi matin, l’association Koeur Équidés Oise, basée à Briot, a été sollicitée par la SPA de Beauvais après le signalement d’un cheval maltraité. Elle vient d’obtenir la tutelle de Nougat après avoir porté plainte contre le propriétaire.

« Quand je suis arrivée, la bête était allongée par terre, en plein soleil, dans un état rachitique. Elle avait du mal à se relever, se souvient Karine Ragouneau, la présidente de l’association. Ce cheval vivait depuis courant juin dans une minuscule pâture de 300 m² et sans nourriture ».

Pour redonner des forces à l’animal, Karine Ragouneau demande de l’eau et du sucre aux voisins ainsi que du foin. « Il faisait un début de colique, des douleurs qui peuvent s’avérer mortelles pour un cheval. »

La présidente de l’association contacte la gendarmerie et porte plainte pour privation de soin envers un équidé. Le propriétaire, jusqu’alors injoignable, a finalement été retrouvé : « Il touchait le RSA et n’avait plus les moyens financiers de subvenir aux besoins de l’animal. Les gendarmes ont fait en sorte qu’on obtienne la tutelle », poursuit Karine Ragouneau.
Un appel aux dons
« Ce sont des cas assez rares. Il peut arriver qu’un propriétaire ne soit plus en capacité d’assumer un cheval mais il peut, dans ces cas-là, se tourner vers des associations qui l’aident temporairement », rappelle Mélanie Leconte, la présidente de la SPA de Beauvais.
Aujourd’hui, Nougat vit dans les pâtures de l’association où il reprend du poil de la bête. Les frais de vétérinaire à venir restent à la charge du propriétaire. « Je doute fort qu’il puisse payer ces frais étant donné sa situation. C’est la raison pour laquelle nous faisons un appel aux dons », conclut la responsable de l’association.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Maltraitance-le-cheval-n-avait-plus-rien-a-manger

Encagoulés, ils foncent à tombeau ouvert en ville

Les témoins qui ont vu les scènes de rodéo en voiture samedi soir, vers 20h30, dans le centre-ville historique de Lavaur sont formels : c'était impressionnant et très inquiétant. Trois véhicules, des petites cylindrées, ont pendant près de 20 minutes, semé le désordre dans la cité vauréenne. « Ils ont emprunté la rue du Père-Colin en remontant le sens interdit. Heureusement, qu'en cette période de vacances et avec la canicule il n'y avait personne dehors », raconte un témoin, qui de son appartement au premier étage, a assisté, effaré, au passage de ce convoi particulier.

Des manches de pioche

« Je pense qu'ils cherchaient quelqu'un. Ils étaient au moins une dizaine : torse nu, certains encagoulés et avec des battes de base-ball à la main », explique un riverain. Après avoir quitté le centre-ville de Lavaur, ils se sont rendus dans le quartier du Pigné. « Ils se sont garés devant un immeuble et sont descendus de voiture, explique une dame âgée. J'ai vu qu'ils sortaient des manches de pioche ». La police municipale de Lavaur a reçu dans le même temps des appels d'habitants interloqués par tout ce remue-ménage inquiétant dans la torpeur de cette soirée d'été. Les gendarmes et les policiers municipaux se sont rendus immédiatement dans le quartier du Pigné mais les individus avaient déjà déguerpi.

L'enquête avance

Les hommes du PSIG de Gaillac sont venus en renfort, mais la nuit de samedi à dimanche, c'est passé dans le plus grand calme. « Je demande aux habitants d'informer la police municipale ou la gendarmerie quand ils sont les témoins de scènes qui mettent en danger la vie d'autrui. Je rappelle qu'il y a une obligation morale à le faire, mais aussi une obligation légale », a déclaré, hier en fin d'après-midi, Bernard Carayon, le député maire de Lavaur. Selon nos informations, l'enquête avance rapidement. Il est fort probable que dès aujourd'hui, des personnes soient entendues par les gendarmes

http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/22/1150736-lavaur-encagoules-ils-foncent-a-tombeau-ouvert-en-ville.html

Trois morts dans un accident au petit matin

C’est une effroyable tragédie qui s’est jouée hier matin, très tôt, sur la route du littoral. Il était à peine plus de 4 heures, et une Ford Focus circulait sur la RD 83 en direction du Barcarès. A son bord se trouvaient une jeune femme d’une trentaine d’années originaire des P.-O., en compagnie d’un homme, du même âge, domicilié en région parisienne. Au même moment, deux Perpignanais également âgés d’une trentaine d’années revenaient du Barcarès à bord d’une Renault Clio.
C’est à hauteur de la bretelle de sortie n°7 menant à Saint-Laurent-de-la-Salanque, alors que la route est rétrécie à une voie dans chaque sens, que le drame est survenu. Dans des circonstances qui n’ont pas encore été établies, les deux véhicules sont violemment entrés en collision. Un choc frontal qui n’aura laissé que peu de chance aux occupants des deux voitures…

Aussitôt l’alerte donnée auprès des services de secours, une trentaine de sapeurs-pompiers et des équipes médicales du Samu se sont précipités sur place. Tandis que les secours s’affairaient auprès des victimes, procédant à de délicates opérations de désincarcération, une douzaine de gendarmes étaient mobilisés afin de détourner la circulation par une voie de délestage et effectuer les premières constatations. Malheureusement, les pompiers n’ont pas tardé à constater que la jeune femme qui se trouvait dans la Focus et le conducteur de la Clio n’avaient pas survécu au choc.
Les deux autres victimes, très grièvement blessées, ont été conduites de toute urgence au centre hospitalier de Perpignan. Malheureusement, en début d’après-midi, on apprenait que le passager de la Clio avait succombé à ses blessures. La quatrième victime de l’accident était toujours hospitalisée hier soir dans un état jugé sérieux, souffrant de multiples fractures, mais son pronostic vital ne semblait pas engagé.
L’enquête ouverte par les services de gendarmerie devra maintenant s’attacher à faire toute la lumière sur ce drame, aux circonstances pour l’heure inexpliquées. Dans un premier temps, la présence d’un chien sur le bas-côté a laissé penser que c’est en voulant éviter un obstacle que l’un des véhicules s’était déporté, mais les témoignages recueillis par les gendarmes ont permis d’attester de la présence du chien bien avant l’accident, écartant du même coup cette hypothèse.
Les différents prélèvements actuellement en cours d’analyse pourront, peut-être, apporter quelques éléments de réponse. Sans parvenir à soulager le deuil qui a frappé, en quelques secondes, trois familles du département.
http://www.midilibre.fr/2011/08/21/trois-morts-dans-un-accident,375010.php

Délits Il se dit persécuté mais cumule les interpellations

Violences avec arme, vols, recel, dégradations, menaces de mort… Il les accumule les délits ce jeune homme de 34 ans, domicilié à Mézy et actuellement hébergé chez sa petite amie à Jaulgonne.
Dans la nuit du 11 au 12 août, il s'en est pris à une jeune fille qui l'aurait « cherché ». Les insultes volent. Le ton monte et le jeune homme sort un pistolet d'alarme. Il la frappe avec, la violente et lui dérobe son téléphone portable. La victime, qui a bénéficié de huit jours d'interruption temporaire de travail, est allée porter plainte à la gendarmerie. Cette dernière perquisitionne chez le « couple » et découvre le fameux téléphone ainsi que l'étui à pistolet… sans pistolet.
Vengeance
Le 15 août, rebelote. Le même individu s'en prend cette fois-ci à deux jeunes dans Jaulgonne. Lesquels reviennent avec deux autres compères munis d'une fourche. Le « persécuté » ressort avec le pistolet d'alarme et tire plusieurs coups de feu. La rencontre aurait pu très mal tourner mais, heureusement, aucun blessé n'est à déplorer. Pour tous ces faits, l'homme au pistolet va devoir s'expliquer devant la justice à la mi-novembre. Les jeunes à la fourche aussi.
L'histoire ne s'arrête pas là car, le 31 mars dernier, le « tireur » s'était déjà illustré dans une autre affaire à Reuilly-Sauvigny. Ce jour-là, il s'était disputé avec un ex-ami qui voulait l'écraser ! Pour se venger, il avait alors crevé deux pneus de voiture et menacé de mort l'ex-copain à plusieurs reprises au téléphone… Tout cela sera évoqué en détail au tribunal correctionnel de Soissons à l'automne.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/jaulgonne-delits-il-se-dit-persecute-mais-cumule-les-interpellations

dimanche 21 août 2011

Elle vient en voiture, en état d'ébriété, rendre son permis à la gendarmerie

Une femme de 39 ans s'est rendue samedi en voiture, en état d'ébriété, à la brigade de gendarmerie d'Aiguillon (Lot-et-Garonne) afin de rendre son permis de conduire, qui lui avait été retiré à la suite d'un contrôle d'alcoolémie, a-t-on appris dimanche auprès des gendarmes.
"Devant son comportement bizarre, un dépistage d'alcoolémie a été effectué et il s'est révélé largement positif", a indiqué le commandant Christophe Popot, de la compagnie de gendarmerie d'Agen.
Le taux d'alcool relevé en fin de matinée était de 2,74 grammes par litre de sang et la femme a été immédiatement placée en cellule de dégrisement.
De plus la conductrice, arrivée seule à bord de son véhicule, "entendait visiblement repartir en voiture", a ajouté le gendarme, qui a qualifié de "totalement irresponsable" le comportement de la jeune femme.
Elle a été laissée libre dans la journée mais entre-temps son véhicule a été confisqué par les gendarmes.
En état de récidive au regard de la loi, elle a été de nouveau convoquée dimanche par les gendarmes d'Aiguillon. Ils l'ont placée en garde à vue en attendant la décision du parquet d'Agen, qui devrait décider d'une comparution devant les tribunaux.
http://www.lepoint.fr/insolite/elle-vient-en-voiture-en-etat-d-ebriete-rendre-son-permis-a-la-gendarmerie-21-08-2011-1364694_48.php

Il tire dans la rue et se retranche chez lui

Un homme de 38 ans a semé la panique, dans la nuit de vendredi à samedi, impasse Aubugeois, dans le quartier de Pech David à Toulouse. Retranché chez lui, le forcené, depuis son balcon du 4e étage, s'est mis à tirer des coups de feu, aux alentours de 23 heures. « Nous étions en train de faire un barbecue juste en dessous de son balcon quand on a entendu un bruit, relatent Matthieu et Younes, des voisins. Au début, on ne savait pas si c'était un pétard ou autre chose. »
Puis une deuxième salve de tir a résonné. « Cette fois on a entendu quatre détonations, décrit un riverain. Tous les gens de la résidence ont commencé à s'agiter et à sortir pour comprendre ce qui se passait. Un peu plus tard, il a encore tiré cinq ou six fois. Il ne visait personne ».

Intervention du GIPN

Matthieu et Younes ont rapidement prévenu la police. « Ils ont essayé de parler avec lui. Ils surveillaient depuis le parking ce qui se passait sur son balcon. » Retranché chez lui, le jeune homme a refusé toute communication avec l'extérieur de sorte que le GIPN (Groupe d'intervention de la police nationale) a dû intervenir. « On se serait cru dans un film, assure un témoin. Ils étaient habillés tout en noir avec des cagoules, comme des ninjas. Il y en avait partout, même sur le toit. »
Vers 4 heures, les policiers, après avoir enfoncé la porte de l'appartement, sont parvenus à maîtriser le forcené. Il a été vu par un médecin puis placé en garde à vue. Personne n'a été blessé. Dans l'appartement, un pistolet à bille a été retrouvé. Le jeune homme était connu de son voisinage. « Ce n'est pas la première fois. Il fait souvent exploser des pétards. L'année dernière, les pompiers avaient dû venir ouvrir son appartement car il ne répondait plus. Mais là, il a fait très fort ». Une enquête a été ouverte et une expertise psychiatrique sera réalisée.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/21/1150378-il-tire-dans-la-rue-et-se-retranche-chez-lui.html

Accident contre un platane : pronostic vital engagé pour la passagère de 24 ans

Les nouvelles sont très inquiétantes du côté du CHU Lapeyronie à Montpellier. Où la passagère de la BMW, qui a violemment percuté un platane vendredi soir à Bizanet, a été transférée dans la journée d’hier.
Dans un premier temps, la jeune femme de 24 ans, polytraumatisée, avait été admise au centre hospitalier de Narbonne. Avant que les médecins ne décident de l’envoyer par hélicoptère vers un service spécialisé. En effet, le pronostic vital est engagé pour la malheureuse qui est domiciliée à Fitou.

Rappelons que le conducteur de la voiture était décédé dans la sortie de route. Cyril Cassagnol, 31 ans et domicilié à Boutenac, était père de famille. C’était aussi un professionnel de la route puisque son métier était chauffeur.
Les causes de l’accident ne sont pas encore connues. Même si une vitesse excessive pourrait expliquer le drame. Mais seul le rapport de l’accidentologue Christian Rouquand pourrait confirmer cette hypothèse.
Les gendarmes de la brigade de Coursan ont, également, effectué des relevés d’alcoolémie et de stupéfiants. Les résultats ne seront connus que dans plusieurs jours.
http://www.midilibre.fr/2011/08/20/pronostic-engage-pour-la-jeune-passagere-de-24-ans,374560.php

Deux frères ardennais arrêtés pour détention de cannabis Près d'un kilo de shit dans la voiture

Deux frères demeurant un petit village des Ardennes pensaient bien repartir de la cité des sacres sans encombre avec leurs plaquettes de résine de cannabis. C'était sans compter un brin de malchance et la vigilance des policiers de la brigade anticriminalité.
Il était 19 h 45, le 14 août, lorsque ces derniers ont en effet procédé avec une certaine veine au contrôle de la Golf à bord de laquelle circulaient les deux frères, alors qu'ils se trouvaient dans le quartier Croix-Rouge, à Reims. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le sac posé aux pieds du passager avant, âgé de 22 ans, ne leur est pas passé inaperçu. Quelle n'a pas été alors leur surprise d'y découvrir à l'intérieur quelque 990 grammes de résine de cannabis.
6 clients interrogés par la police
Les deux Ardennais avaient ainsi fait le déplacement dans la Marne pour s'approvisionner, comme n'a pas manqué de le reconnaître au cours de sa garde à vue le conducteur âgé de 27 ans. En revanche, celui-ci a préféré garder le silence quant à l'identité de ses fournisseurs et, semble-t-il aussi, de ses clients.
L'enquête de police a cependant permis d'identifier six de ces derniers, lesquels ont très rapidement été entendus par les fonctionnaires de la sécurité publique. Trois d'entre eux ont été convoqués devant le délégué du procureur de la République à une date ultérieure. Les trois autres ont bénéficié d'une ordonnance pénale, tout comme le passager de la Golf.
Des antécédents
Le conducteur ne peut quant à lui se vanter de s'en être tiré à si bon compte. Jugé jeudi par le tribunal correctionnel de Reims dans le cadre d'une comparution immédiate, celui-ci a en effet écopé d'une peine de deux ans d'emprisonnement dont 15 mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant deux ans.
Mais pas seulement : pour avoir été condamné en juin 2009 par le tribunal de grande instance de Charleville-Mézières pour des faits similaires, celui-ci s'est vu révoquer les 5 mois de sursis qui pesaient sur sa tête comme une épée de Damoclès. Il devra en outre s'acquitter d'une amende de 1 000 euros.
En attendant, l'Ardennais est aussitôt parti purger sa peine ferme dans une cellule de la maison d'arrêt de Reims, un mandat de dépôt ayant été délivré à son encontre par le tribunal à l'issue de l'audience.
 
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-ardennes-deux-freres-ardennais-arretes-pour-detention-de-cannabis-pres-dun-kilo-