C'est une drôle de mésaventure qui est arrivée à ce Saint-Pierrois, vendredi soir, vers 20h45, sur l'avenue du président Kennedy. « À un feu, à proximité de la jardinerie de Maïsadour, alors que je redémarrais, j'ai klaxonné car la camionnette un peu plus loin devant moi était sur la chaussée, tous feux éteints. Ses feux stop n'étaient même pas allumés. Impossible de savoir si elle roulait, si elle était stationnée ou si elle était en panne", explique l'automobiliste, qui a cru bien faire.
Le coup de klaxon a fait son petit effet. La camionnette démarre et allume ses feux. Elle tourne à gauche et fait un demi-tour complet. "Le véhicule s'est ainsi retrouvé derrière moi. Pleins phares, il est venu se coller à moi. Je me suis alors dit que mon coup de klaxon n'avait pas plu et que j'étais pris en chasse", précise le Saint-Pierrois. Il a beau accélérer, le fourgon fait de même.
"La camionnette finit par me barrer la route. Un homme de 50 ans environ, grand et baraqué, en descend et se précipite sur ma portière. Il me sort de la voiture et commence à me frapper au visage à coups de poing en répétant : “Ici, on est dans les Landes, on n'est pas pressé”. », explique le Saint-Pierrois, encore abasourdi par cette rencontre, et dont les yeux gardent, quelques jours après, les traces bleues des coups.
C'est un coup de fil reçu par la victime qui permet de calmer les ardeurs de l'homme violent. Le Saint-Pierrois parvient à décrocher. A l'autre bout du il, son fils l'enjoint de bien noter la plaque d'immatriculation. Dès que l'agresseur repart, l'agressé appelle la police qui lui conseille d'aller aux urgences pour faire constater les blessures et de venir, dès le lendemain, samedi, porter plainte.
Résultat : deux jours d'interruption temporaire de travail (ITT) et une plainte déposée pour coups et blessures volontaires. "Le fait de me courser à vive allure, il y a aussi mise en danger de la vie d'autrui, souligne la victime. J'ai passé de longues années à Paris, mais je n'avais jamais vu et subi ça. Dans les Landes ou ailleurs, il faut être vigilant"
http://www.sudouest.fr/2014/12/31/saint-pierre-du-mont-des-coups-de-poing-apres-les-coups-de-klaxon-1783408-3452.php
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
mercredi 31 décembre 2014
Un jeune gravement blessé dans une collision
Il était près de 7h40 ce mercredi matin quand deux véhicules se sont violemment percutés sur la RD 4100 à la sortie de Céreste (Alpes-de-Haute-Provence), en direction de Forcalquier.
Les sapeurs-pompiers ont dû désincarcérer un jeune homme de 20 ans, tandis que le conducteur de l’autre véhicule, âgé de 32 ans, était blessé plus légèrement.
Les deux hommes ont été évacués vers le centre hospitalier de Manosque
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3199080/un-jeune-gravement-blesse-dans-une-collision.html
Les sapeurs-pompiers ont dû désincarcérer un jeune homme de 20 ans, tandis que le conducteur de l’autre véhicule, âgé de 32 ans, était blessé plus légèrement.
Les deux hommes ont été évacués vers le centre hospitalier de Manosque
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3199080/un-jeune-gravement-blesse-dans-une-collision.html
mardi 30 décembre 2014
Bordeaux : l’incendie dans le parking de la résidence Pasteur-Murat serait criminel
Il est des interventions plus aisées. Lundi à 3 heures du matin, les pompiers ont dû sortir les grands moyens pour venir à bout d'un incendie qui s'est déclaré dans le parking souterrain de la résidence Pasteur-Murat à Bordeaux Caudéran. Le parking dessert en fait cinq bâtiments, pour certains vidés de leurs occupants en cette période de fêtes. Mais une centaine de personnes s'est retrouvée au pied de la résidence.
« À trois heures et demie du matin, j'étais en plein sommeil, j'ai entendu frapper aux portes, raconte Laurent Bardet, un habitant de la résidence. J'ai d'abord cru à un cambriolage, mais c'était les pompiers. À peine le temps de s'habiller et nous sommes retrouvés dans la rue. On n'a pas compris ce qui nous arrivait, c'est allé très vite. » Ce qui a été moins vite, c'est le temps nécessaire pour juguler le sinistre et pour que les riverains puissent regagner leur logement. « Au lever du jour, raconte le résident. J'ai une voisine qui travaillait à 6 h 30, elle a fait une nuit blanche. »
52 pompiers et 18 véhicules ont été engagés au cœur de la nuit. Quelques personnes ont été relogées par des proches, d'autres ont été dirigées dans une salle ouverte en urgence par la mairie. Les plus courageux et les moins nombreux se sont armés de patience et ont attendu dans le froid. Tout le monde a pu réintégrer son logement à l'aube.
http://www.sudouest.fr/2014/12/30/l-incendie-serait-criminel-1782122-2780.php
« À trois heures et demie du matin, j'étais en plein sommeil, j'ai entendu frapper aux portes, raconte Laurent Bardet, un habitant de la résidence. J'ai d'abord cru à un cambriolage, mais c'était les pompiers. À peine le temps de s'habiller et nous sommes retrouvés dans la rue. On n'a pas compris ce qui nous arrivait, c'est allé très vite. » Ce qui a été moins vite, c'est le temps nécessaire pour juguler le sinistre et pour que les riverains puissent regagner leur logement. « Au lever du jour, raconte le résident. J'ai une voisine qui travaillait à 6 h 30, elle a fait une nuit blanche. »
52 pompiers et 18 véhicules ont été engagés au cœur de la nuit. Quelques personnes ont été relogées par des proches, d'autres ont été dirigées dans une salle ouverte en urgence par la mairie. Les plus courageux et les moins nombreux se sont armés de patience et ont attendu dans le froid. Tout le monde a pu réintégrer son logement à l'aube.
Enquête en cours
Bilan de cette nuit blanche : deux voitures ont été totalement détruites par les flammes dans un parking noir de suie et aux éclairages fondus et trois autres ont été endommagées. Une enquête a été confiée aux policiers de la brigade de répression des atteintes aux biens (BRAB) de la sûreté départementale pour déterminer l'origine du sinistre. D'ores et déjà, les enquêteurs, comme l'expert passé dans la journée d'hier, privilégient la piste criminelle. Des traces de produit incendiaire ayant vraisemblablement servi d'accélérateur ont été retrouvées. Et les deux véhicules brûlés ont pris feu simultanément et à plusieurs mètres de distance… Reste à trouver le mobile - escroquerie à l'assurance ? règlement de compte ? - et les auteurs. L'enquête se poursuit.http://www.sudouest.fr/2014/12/30/l-incendie-serait-criminel-1782122-2780.php
Elle accouche, aidée par le médecin heurté la voiture de son mari
Alors qu'elle était en chemin pour la maternité de Poitiers, une jeune femme a accouché dans sa voiture, aidée par une femme-médecin, passagère d'un autre véhicule que venait de percuter le père du bébé... visiblement trop pressé.
Une jeune femme, en route pour la maternité de Poitiers dimanche soir, a accouché dans sa voiture, assistée par une femme-médecin, passagère d'un autre véhicule que venait de percuter le père... un peu nerveux.
Le couple se trouvait vers minuit sur la RN10, à une dizaine de kilomètres de Poitiers, lorsque le père, logiquement pressé, a provoqué un accident en percutant la voiture qui les précédait. Un choc qui a accéléré l'arrivée de l'enfant. Mais par chance, la passagère de la voiture heurtée était médecin.
Elle a fait accoucher la jeune femme dans la voiture
Alors qu'elle bondissait de sa voiture pour "aller les fâcher", elle s'est vite rendu compte de la situation, a-t-elle expliqué à un correspondant de l'AFP. La généraliste, qui souhaite rester anonyme, s'est alors retroussé les manches et a fait accoucher la jeune femme dans la voiture : "La dame me dit 'Je suis en train d'accoucher', donc on a commencé l'accouchement", a-t-elle raconté.
"On a appelé les pompiers qui sont arrivés très rapidement (...) Aussi bien la dame que le propriétaire de la voiture se sont comportés très sereinement, malgré le stress de l'accident", a-t-elle ajouté. Emmenés au CHU de Poitiers par les pompiers, la mère et le bébé, une petite fille, se portent bien.
lundi 29 décembre 2014
Deux-Sèvres : il se fait trancher la main à coups de machette lors d'une bagarre
La veille de Noël, un incident sanglant a eu lieu à Bressuire (Deux-Sèvres). Un homme a dû être hospitalisé à la suite d’une bagarre car il a eu la main coupée, rapportent Le Courrier de l’Ouest et Sud-Ouest.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=39907&WS=291720_2501986&WA=8247
Il se protège le visage
Une dispute a éclaté entre plusieurs individus à cause d’une histoire de dette non réglée. Pris d’un accès de violence, un des protagonistes a attaqué à coups de machette son rival. Celui-ci a mis son bras devant son visage pour se protéger et a eu le membre tranché au niveau du poignet. Il a été hospitalisé à Tours. L’auteur de l’agression, qui avait pris la fuite, a été retrouvé par les policiers. Il a été placé en garde à vue.http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=39907&WS=291720_2501986&WA=8247
Poitiers : après un accident, une femme accouche sur la RN 10
Dimanche à minuit, à Croutelle près de Poitiers, une femme a accouché sur la RN10, dévoile France Bleu Poitou-Charentes via Twitter. Cet accouchement est survenu après un accident impliquant la voiture où se trouvait la future maman. Son compagnon l'amenait à l'hôpital de Poitiers.
Ironie du sort : dans l'autre voiture mise en cause, se trouvait un médecin, qui a fait accoucher la jeune femme dans la voiture. Le nouveau-né et sa mère ont été conduits à l'hôpital de Poitiers en bonne santé.
http://www.sudouest.fr/2014/12/29/poitiers-apres-d-un-accident-une-femme-accouche-sur-la-rn-10-1781780-757.php
Ironie du sort : dans l'autre voiture mise en cause, se trouvait un médecin, qui a fait accoucher la jeune femme dans la voiture. Le nouveau-né et sa mère ont été conduits à l'hôpital de Poitiers en bonne santé.
http://www.sudouest.fr/2014/12/29/poitiers-apres-d-un-accident-une-femme-accouche-sur-la-rn-10-1781780-757.php
Bisphénol A, redevance télé, gazole: Tout ce qui change le 1er janvier
Chaque nouvelle année apporte son lot de hausse de tarifs divers et variés et de modification législatives. Fin du bisphenol A dans les produits alimentaires, hausse de la redevance etc., 20 Minutes fait la liste de ce qui change ce 1er janvier.
DANS LE PORTE-MONNAIE
Le SMIC horaire passe à 9,61 euros bruts (+0,8%), soit 1.457,52 euros bruts mensuels.
Le plafond d'attribution des prestations familiales (allocation rentrée, accueil du jeune enfant...) seront revalorisés de 0,7%.
Le RSA «socle» augmente de 0,9%: 513,88 euros par mois pour une personne seule, 770,82 euros pour une personne seule avec un enfant et 1.079,14 euros pour un couple avec deux enfants.
La redevance audiovisuelle augmente de 3 euros, à 136 euros en métropole. En Outre-mer, elle passe à 86 euros, en hausse d'un euro.
L'impôt sur le revenu voit sa première tranche supprimée, ce qui devrait bénéficier à 6,1 millions de foyers.
Le gazole va augmenter de 4 centimes.
Hausse historique des timbres, à +7% en moyenne
Transport en Ile-de-France: +2,9% en moyenne. 1,80 euros le ticket à l'unité, 70 euros le forfait de la zone 1-2 -- tarif applicable à toute la région au 1er septembre 2015, avec l'arrivée du pass Navigo à tarif unique.
La SNCF augmente ses tarifs dès le 31 décembre, jusqu'à 2,6%, selon le type de train et de billet.
La CSG des 460.000 retraités assujettis passeront du taux réduit (3,8%) au taux normal (6,6%). Il y aura aussi des gagnants: 700.000 personnes doivent bénéficier d'une baisse de leur taux de CSG.
Dans l'immobilier, la TVA est abaissée à 5,5% pour les ménages modestes primo-accédants, achetant un appartement neuf dans les nouveaux quartiers.
Les donations de logements neufs aux enfants et petits-enfants, avant fin 2016, bénéficient d'un abattement de 100.000 euros, comme les donations de terrains jusqu'à fin 2015, à condition qu'ils soient ultérieurement construits.
Les fonctionnaires les plus mal payés (catégorie C, 46% d'entre eux) gagnent cinq points d'indice. Cette mesure, annoncée dès 2013 en même temps que le gel du point d'indice, suit un premier coup de pouce en 2014, pour maintenir ces agents au-dessus du Smic. Cela représente 277,81 euros bruts annuels pour 2015.
Pour les banques, les services de base (CB, virements, prélèvements...) connaîssent des hausses légères, souvent proches de l'inflation. Mais les frais annexes (locations de coffre, frais de dossier de prêt, opérations à l'étranger...) grimpent davantage.
AU TRAVAIL
Le compte pénibilité entre partiellement en vigueur. Ce compte permet aux salariés ayant exercé des métiers pénibles de pouvoir se former, travailler à temps partiel ou partir plus tôt à la retraite.
Le compte personnel de formation qui accompagnera chaque salarié durant toute sa vie professionnelle, y compris pendant d'éventuelles périodes de chômage, entre en vigueur..
A LA MAISON
Le bisphénol A est interdit dans tous les contenants alimentaires.
MODIFICATIONS LEGISLATIVES
La réforme des peines plancher entre en vigueur: les réductions de peine automatiques sont les mêmes que le condamné soit ou non récidiviste.
A la SNCF, l'entrée en vigueur de la réforme ferroviaire, qui crée, entre autres, deux établissements: l'opérateur ferroviaire SNCF Mobilités et SNCF Réseau, en charge de l'infrastructure regroupant notamment Réseau ferré de France (RFF).
La première étape du Pacte de responsabilité est mise en oeuvre, dont le «zéro charge» au niveau du Smic (l'employeur d'un smicard ne paiera plus aucune cotisation de sécurité sociale), une baisse des cotisations pour les travailleurs indépendants et la suppression pour 200.000 entreprises de la C3S, une taxe calculée sur le chiffre d'affaires qui doit disparaître d'ici à 2017.
La deuxième étape du CICE, portant la baisse du coût du travail de 4% à 6% sur les salaires allant jusqu'à 2.800 euros nets/mois (9% dans les DOM).
La loi Thévenoud, qui définit les conditions d'exercice des professions de taxis, voitures de transport avec chauffeur (VTC) et moto-taxis, entre en vigueur.
La loi sur les Métropoles est mise en oeuvre: huit grandes villes acquièrent ce nouveau statut créé par la loi de janvier 2014: Bordeaux, Nantes, Lille, Rennes, Toulouse, Grenoble, Strasbourg, Rouen
http://www.20minutes.fr/economie/1507183-20141228-bisphenol-redevance-tele-gazole-tout-change-1er-janvier
DANS LE PORTE-MONNAIE
Le SMIC horaire passe à 9,61 euros bruts (+0,8%), soit 1.457,52 euros bruts mensuels.
Le plafond d'attribution des prestations familiales (allocation rentrée, accueil du jeune enfant...) seront revalorisés de 0,7%.
Le RSA «socle» augmente de 0,9%: 513,88 euros par mois pour une personne seule, 770,82 euros pour une personne seule avec un enfant et 1.079,14 euros pour un couple avec deux enfants.
La redevance audiovisuelle augmente de 3 euros, à 136 euros en métropole. En Outre-mer, elle passe à 86 euros, en hausse d'un euro.
L'impôt sur le revenu voit sa première tranche supprimée, ce qui devrait bénéficier à 6,1 millions de foyers.
Le gazole va augmenter de 4 centimes.
Hausse historique des timbres, à +7% en moyenne
Transport en Ile-de-France: +2,9% en moyenne. 1,80 euros le ticket à l'unité, 70 euros le forfait de la zone 1-2 -- tarif applicable à toute la région au 1er septembre 2015, avec l'arrivée du pass Navigo à tarif unique.
La SNCF augmente ses tarifs dès le 31 décembre, jusqu'à 2,6%, selon le type de train et de billet.
La CSG des 460.000 retraités assujettis passeront du taux réduit (3,8%) au taux normal (6,6%). Il y aura aussi des gagnants: 700.000 personnes doivent bénéficier d'une baisse de leur taux de CSG.
Dans l'immobilier, la TVA est abaissée à 5,5% pour les ménages modestes primo-accédants, achetant un appartement neuf dans les nouveaux quartiers.
Les donations de logements neufs aux enfants et petits-enfants, avant fin 2016, bénéficient d'un abattement de 100.000 euros, comme les donations de terrains jusqu'à fin 2015, à condition qu'ils soient ultérieurement construits.
Les fonctionnaires les plus mal payés (catégorie C, 46% d'entre eux) gagnent cinq points d'indice. Cette mesure, annoncée dès 2013 en même temps que le gel du point d'indice, suit un premier coup de pouce en 2014, pour maintenir ces agents au-dessus du Smic. Cela représente 277,81 euros bruts annuels pour 2015.
Pour les banques, les services de base (CB, virements, prélèvements...) connaîssent des hausses légères, souvent proches de l'inflation. Mais les frais annexes (locations de coffre, frais de dossier de prêt, opérations à l'étranger...) grimpent davantage.
AU TRAVAIL
Le compte pénibilité entre partiellement en vigueur. Ce compte permet aux salariés ayant exercé des métiers pénibles de pouvoir se former, travailler à temps partiel ou partir plus tôt à la retraite.
Le compte personnel de formation qui accompagnera chaque salarié durant toute sa vie professionnelle, y compris pendant d'éventuelles périodes de chômage, entre en vigueur..
A LA MAISON
Le bisphénol A est interdit dans tous les contenants alimentaires.
MODIFICATIONS LEGISLATIVES
La réforme des peines plancher entre en vigueur: les réductions de peine automatiques sont les mêmes que le condamné soit ou non récidiviste.
A la SNCF, l'entrée en vigueur de la réforme ferroviaire, qui crée, entre autres, deux établissements: l'opérateur ferroviaire SNCF Mobilités et SNCF Réseau, en charge de l'infrastructure regroupant notamment Réseau ferré de France (RFF).
La première étape du Pacte de responsabilité est mise en oeuvre, dont le «zéro charge» au niveau du Smic (l'employeur d'un smicard ne paiera plus aucune cotisation de sécurité sociale), une baisse des cotisations pour les travailleurs indépendants et la suppression pour 200.000 entreprises de la C3S, une taxe calculée sur le chiffre d'affaires qui doit disparaître d'ici à 2017.
La deuxième étape du CICE, portant la baisse du coût du travail de 4% à 6% sur les salaires allant jusqu'à 2.800 euros nets/mois (9% dans les DOM).
La loi Thévenoud, qui définit les conditions d'exercice des professions de taxis, voitures de transport avec chauffeur (VTC) et moto-taxis, entre en vigueur.
La loi sur les Métropoles est mise en oeuvre: huit grandes villes acquièrent ce nouveau statut créé par la loi de janvier 2014: Bordeaux, Nantes, Lille, Rennes, Toulouse, Grenoble, Strasbourg, Rouen
http://www.20minutes.fr/economie/1507183-20141228-bisphenol-redevance-tele-gazole-tout-change-1er-janvier
Un homme grièvement blessé à Ris-Orangis à l’arme blanche
Il a été transporté à l’hôpital parisien de Lariboisière dans un état grave. Un homme de 27 ans a été retrouvé en sang, ce dimanche, vers 19 heures, au pied de l’immeuble dans lequel il réside, rue Auguste-Plat, à Ris-Orangis. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme aurait reçu quatre coups de couteau.
Son colocataire a été interpellé et placé en garde à vue à Evry. La thèse, la plus probable, d’un différend entre les deux hommes n’était pas confirmée, ce dimanche soir.http://www.leparisien.fr/ris-orangis-91130/un-homme-grievement-blesse-a-ris-orangis-a-l-arme-blanche-28-12-2014-4405179.php
dimanche 28 décembre 2014
Près du Havre : témoins d’un vol à l’arraché, ils parviennent à rattraper le voleur
Une femme de 61 ans a été victime d’un vol à l’arraché ce dimanche (28 décembre) à Montivilliers, près du Havre. Elle était en train de faire ses courses au moment où le voleur lui arrache son sac à mains. Deux témoins de la scène le poursuivent et parviennent à le maîtriser. L’un d’entre eux prévient la police. L’homme a été placé en garde à vue au Havre.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/12/28/pres-du-havre-temoins-d-un-vol-l-arrache-ils-parviennent-rattraper-le-voleur-620758.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/12/28/pres-du-havre-temoins-d-un-vol-l-arrache-ils-parviennent-rattraper-le-voleur-620758.html
LOIRE. La disparue du Roannais retrouvée sans vie
Le corps d’une femme de 53 ans a été découvert ce samedi matin à Ambierle, près de la RD52, dans des bois situés au lieu-dit « La Croix Noailly », à la limite du village de Saint-Bonnet-des-Quarts, à 25 kilomètres au nord-ouest de Roanne. Cette macabre découverte intervient quatre jours après la disparition de cette quinquagénaire, qui habitait Le Coteau, commune voisine de Roanne.
Originaire de Saône-et-Loire, cette Costelloise avait quitté son domicile mardi après-midi au volant de sa voiture, une Twingo de couleur orange. Le lendemain, le commissariat de police de Roanne lançait un appel à témoins. Jeudi, un chasseur avait remarqué cette voiture sans y prêter attention, avant de la retrouver au même endroit ce samedi matin. Il a alors alerté les gendarmes de la communauté de brigades de Renaison/La Pacaudière, qui ont retrouvé le corps de la malheureuse dans son véhicule.
Si la thèse du suicide est fortement privilégiée, une autopsie aura lieu mardi pour déterminer les causes exactes et le jour du décès, vraisemblablement dû à une absorption médicamenteuse. La communauté de brigades de Renaison/La Pacaudière est chargée de l’enquête.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/12/27/macabre-decouverte-dans-les-bois-pres-de-roanne
Originaire de Saône-et-Loire, cette Costelloise avait quitté son domicile mardi après-midi au volant de sa voiture, une Twingo de couleur orange. Le lendemain, le commissariat de police de Roanne lançait un appel à témoins. Jeudi, un chasseur avait remarqué cette voiture sans y prêter attention, avant de la retrouver au même endroit ce samedi matin. Il a alors alerté les gendarmes de la communauté de brigades de Renaison/La Pacaudière, qui ont retrouvé le corps de la malheureuse dans son véhicule.
Si la thèse du suicide est fortement privilégiée, une autopsie aura lieu mardi pour déterminer les causes exactes et le jour du décès, vraisemblablement dû à une absorption médicamenteuse. La communauté de brigades de Renaison/La Pacaudière est chargée de l’enquête.
http://www.leprogres.fr/loire/2014/12/27/macabre-decouverte-dans-les-bois-pres-de-roanne
samedi 27 décembre 2014
Seine-et-Marne : un bûcheron tué par l’arbre qu’il coupait
Ce type de drame n’est « pas rare » selon les bûcherons. Tôt ce samedi matin, dans un bois privé proche de Bois-le-Roi, les policiers ont retrouvé un homme vraisemblablement décédé après que l’arbre qu’il était en train de couper lui est tombé sur la tête.
Cet habitant de la commune voisine de Chartrettes, âgé de 66 ans, était parti le vendredi après-midi pour couper du bois muni d’une autorisation en bonne et due forme.
Dans la soirée, sa famille s’est inquiétée et a prévenu la policehttp://www.leparisien.fr/bois-le-roi-77590/bois-le-roi-le-bucheron-tue-par-l-arbre-qu-il-coupe-27-12-2014-4403673.php
Halluin : un jeune homme de 20 ans décède en pleine rue
C'est un passant qui promenait son chien qui a prévenu les secours entre minuit et 1h du matin.
A leur arrivée, les médecins du SMUR ont tenté de réanimer la victime, en vain. Les causes du décès sont inconnues, mais le jeune homme "sentait très fort l'alcool", indique la police de Tourcoing confirmant une information de La Voix du Nord.
Un examen médico-légal du corps (voire une autopsie) doit être réalisé pour déterminer les causes de la mort. Le Groupe d'Appui Judiciaire de Tourcoing est chargé de l'enquête, le parquet de Lille a été avisé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/12/26/halluin-un-jeune-homme-de-20-ans-decede-en-pleine-rue-619972.html
A leur arrivée, les médecins du SMUR ont tenté de réanimer la victime, en vain. Les causes du décès sont inconnues, mais le jeune homme "sentait très fort l'alcool", indique la police de Tourcoing confirmant une information de La Voix du Nord.
Etat d'ébriété
Sans-domicile-fixe, il logeait dans le secteur "à droite à gauche" depuis un certain temps. Il avait été vu plus tôt dans la soirée "en état d'ébriété". Si la mort est "mystérieuse", la piste criminelle est pour l'instant écartée. "Il y avait un peu de sang, mais sans doute dû à la chute de la victime", précise-t-on au commissariat de Tourcoing.Un examen médico-légal du corps (voire une autopsie) doit être réalisé pour déterminer les causes de la mort. Le Groupe d'Appui Judiciaire de Tourcoing est chargé de l'enquête, le parquet de Lille a été avisé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/12/26/halluin-un-jeune-homme-de-20-ans-decede-en-pleine-rue-619972.html
Ils découvrent huit chiots enfermés dans une poubelle
C’est sans doute un gémissement ou un bruit du même genre qui a attiré l’attention d’une habitante de Vailly-sur-Aisne, lundi soir, vers 22 heures. Cette femme, acquise à la cause de la gent animale, a en tout cas découvert avec effroi huit bébés chiens dans une poubelle. Elle leur a aussitôt porté secours, les confiant, pour la première nuit, à un éleveur. Celui-ci s’est efforcé, raconte-t-il, de réchauffer les petits animaux car « nous avons des tapis chauffants ». Le lendemain, la sauveuse revenait chercher les animaux et il semblerait qu’elle les ait cette fois confiés à un refuge situé à Villeneuve-Saint-Germain.
Depuis, il est compliqué d’avoir des nouvelles de ces chiots. Il semble qu’ils font tous partie de la même portée et il pourrait s’agir de chiens de race bull-terrier. Il est possible que ces animaux n’aient pas survécu. Apparemment, leur état de santé n’était déjà pas satisfaisant lorsqu’ils ont été trouvés. Mais rien n’est certain puisqu’il n’a pas été possible de joindre les responsables du refuge.
En attendant, il semblerait qu’une polémique a enflé sur les réseaux sociaux, certains défenseurs des animaux soupçonnant que les chiens aient pu être euthanasiés. Du côté de l’entourage du maire, on ne peut laisser passer de telles accusations. Ses proches rappellent qu’il n’hésite pas à parcourir des kilomètres en pleine nuit pour récupérer des chiens errants et les ramener à leur maître.
Avant cela, une belle mobilisation s’était engagée à Vailly-sur-Aisne puisqu’une urne avait été mise à la disposition des donateurs pour récolter une somme d’argent afin de financer l’achat de lait et de matériel nécessaire aux chiens. Un local avait même été prévu à la mairie, précisent les services municipaux, pour entreposer les éventuels dons. Il semblerait néanmoins qu’assez peu de denrées aient été rassemblées.
http://www.lunion.com/region/ils-decouvrent-huit-chiots-enfermes-dans-une-poubelle-ia3b26n462657
Depuis, il est compliqué d’avoir des nouvelles de ces chiots. Il semble qu’ils font tous partie de la même portée et il pourrait s’agir de chiens de race bull-terrier. Il est possible que ces animaux n’aient pas survécu. Apparemment, leur état de santé n’était déjà pas satisfaisant lorsqu’ils ont été trouvés. Mais rien n’est certain puisqu’il n’a pas été possible de joindre les responsables du refuge.
En attendant, il semblerait qu’une polémique a enflé sur les réseaux sociaux, certains défenseurs des animaux soupçonnant que les chiens aient pu être euthanasiés. Du côté de l’entourage du maire, on ne peut laisser passer de telles accusations. Ses proches rappellent qu’il n’hésite pas à parcourir des kilomètres en pleine nuit pour récupérer des chiens errants et les ramener à leur maître.
Avant cela, une belle mobilisation s’était engagée à Vailly-sur-Aisne puisqu’une urne avait été mise à la disposition des donateurs pour récolter une somme d’argent afin de financer l’achat de lait et de matériel nécessaire aux chiens. Un local avait même été prévu à la mairie, précisent les services municipaux, pour entreposer les éventuels dons. Il semblerait néanmoins qu’assez peu de denrées aient été rassemblées.
http://www.lunion.com/region/ils-decouvrent-huit-chiots-enfermes-dans-une-poubelle-ia3b26n462657
Une femme s'immole par le feu dans le Pas-de-Calais
Une femme âgée d'une trentaine d'années s'est immolée par le feu ce vendredi à Ambleteuse (Pas-de-Calais), a-t-on appris auprès des gendarmes.
La victime, mère de deux enfants âgés de 18 mois et onze ans, s'est donné la mort à la mi-journée dans la cour de son habitation, selon la même source.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie
http://www.20minutes.fr/societe/1506987-20141226-femme-immole-feu-calais
La victime, mère de deux enfants âgés de 18 mois et onze ans, s'est donné la mort à la mi-journée dans la cour de son habitation, selon la même source.
Découverte par son compagnon
Sa fille aînée était absente du domicile familial et la cadette dormait au moment des faits. Le corps de la jeune femme a été découvert peu après par son compagnon qui a alerté les secours.Une enquête a été ouverte par la gendarmerie
http://www.20minutes.fr/societe/1506987-20141226-femme-immole-feu-calais
vendredi 26 décembre 2014
Il y a 10 ans, le tsunami en Asie
Il y a tout juste dix ans, un séisme dans l'Océan indien provoquait la catastrophe la plus meurtrière de tous les temps : 220 000 victimes de ce tsunami qui a semé le malheur d'Indonésie au Sri Lanka, en passant par l'Inde et la Thaïlande. Des voyageurs de notre région étaient sur place…
Il y a Charlotte, de Beaumont-de-Lomagne, qui a entendu les vitres de l'hôtel thaïlandais exploser et qui s'est réfugiée sur un palmier. Il y a Marc et sa petite famille de Tarbes qui n'ont dû leur salut à une course vers une colline voisine de la plage de Phuket. Il y a Christophe et Caroline, de Gaillac, qui se sont retrouvés piégés dans leur bungalow sur pilotis des Maldives. Il y a Damien et Hélène, dans le même archipel, qui veulent oublier ce cauchemar. Il y a Géraldine et Florent, de Carcassonne, qui étaient dans ce fameux hôtel Khao Lak de Phuket où tant de touristes ont disparu. Il y a enfin Pierre, l'Aveyronnais, à qui la mer a arraché deux enfants à Koh Phi Phi, dans l'ouest de la Thaïlande. Cette île paradisiaque s'est transformée ce jour-là en un impitoyable piège…
Quelques centaines de Français, une trentaine d'habitants du Grand Sud ont vécu en direct cette catastrophe, il y a dix ans. Un drame qui a surpris le monde entier, par son ampleur, et cette manière sournoise qu'il a eue d'emporter les vies. Car ce n'était pas un mur d'eau qui est arrivé sur les côtes, mais une vague plate, que rien ne pouvait arrêter, qui envahissait tout, lentement, inexorablement.
Le monde jusqu'alors n'avait pas connu un tsunami d'une telle puissance, ou du moins, n‘en avait pas la mémoire.
Là où je me trouvais (au Sri Lanka), il y avait des touristes japonais, qui ont vu la mer se retirer, nous raconte un rescapé, Gérald Doye. Eux, qui ont une culture du séisme et du tsunami, ont tout de suite compris ce qui se passait. Ils ont fui en essayant de prévenir les gens. Mais personne ne les a compris…»
C'est un des premiers enseignements de ce raz-de-marée. Partout désormais, sur les plages (innombrables !) qui ont été sinistrées, on trouve des panneaux rappelant ce risque. Panneaux modestes et cabossés dans les pays pauvres, souvent, mais parfois aussi des refuges. Un peu partout, les populations ont été éduquées à ce risque qu'on ignorait ou qu'on négligeait.
Ce risque, on en a d'ailleurs pris aussi la mesure en France, qui peut très bien être à son tour concernée : la Méditerranée est une zone de forte activité sismique qui peut nous réserver des mauvaises surprises.
Ce que l'on doit aussi retenir de cette catastrophe, c'est qu'elle fut la première à être vécue en direct par ce qui était à l'époque l'ébauche des réseaux sociaux. Les premiers smartphones ont envoyé des images. Les portables ont vibré sur tout le pourtour sinistré, et le monde entier a vécu la catastrophe en direct.
C'est sans doute cela qui a entraîné une troisième conséquence : une solidarité mondiale sans commune mesure. Alors bien sûr il y a eu les grandes ONG qui se sont rendu au chevet des victimes. Mais on a aussi assisté à des centaines de micro-initiatives. Car pour les touristes qui ont vécu sur place cette inimaginable tragédie, il y avait deux manières de réagir : soit tenter d'oublier, soit vouloir reconstruire. Beaucoup ont choisi cette deuxième voie, et nous présentons l'histoire de deux d'entre eux en page suivante. Dix ans après le tsunami, ce sont des dizaines d'orphelinats, de dispensaires, d'écoles, qui ont été bâties grâce à ces solidarités individuelles, grâce à ce qui ressemblait parfois à des «bricolages» humanitaires, mais qui ont été souvent plus efficaces que les grosses mécaniques des ONG classiques. Le tsunami a aussi a rapproché les continents en suscitant, au-delà de la solidarité, de vraies belles amitiés entre les peuples.
La vidéo ET L'ARTICLE sur ce lien ......... http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/26/2018871-il-y-a-10-ans-le-tsunami-en-asie.html
Il y a Charlotte, de Beaumont-de-Lomagne, qui a entendu les vitres de l'hôtel thaïlandais exploser et qui s'est réfugiée sur un palmier. Il y a Marc et sa petite famille de Tarbes qui n'ont dû leur salut à une course vers une colline voisine de la plage de Phuket. Il y a Christophe et Caroline, de Gaillac, qui se sont retrouvés piégés dans leur bungalow sur pilotis des Maldives. Il y a Damien et Hélène, dans le même archipel, qui veulent oublier ce cauchemar. Il y a Géraldine et Florent, de Carcassonne, qui étaient dans ce fameux hôtel Khao Lak de Phuket où tant de touristes ont disparu. Il y a enfin Pierre, l'Aveyronnais, à qui la mer a arraché deux enfants à Koh Phi Phi, dans l'ouest de la Thaïlande. Cette île paradisiaque s'est transformée ce jour-là en un impitoyable piège…
Quelques centaines de Français, une trentaine d'habitants du Grand Sud ont vécu en direct cette catastrophe, il y a dix ans. Un drame qui a surpris le monde entier, par son ampleur, et cette manière sournoise qu'il a eue d'emporter les vies. Car ce n'était pas un mur d'eau qui est arrivé sur les côtes, mais une vague plate, que rien ne pouvait arrêter, qui envahissait tout, lentement, inexorablement.
Le monde jusqu'alors n'avait pas connu un tsunami d'une telle puissance, ou du moins, n‘en avait pas la mémoire.
Là où je me trouvais (au Sri Lanka), il y avait des touristes japonais, qui ont vu la mer se retirer, nous raconte un rescapé, Gérald Doye. Eux, qui ont une culture du séisme et du tsunami, ont tout de suite compris ce qui se passait. Ils ont fui en essayant de prévenir les gens. Mais personne ne les a compris…»
C'est un des premiers enseignements de ce raz-de-marée. Partout désormais, sur les plages (innombrables !) qui ont été sinistrées, on trouve des panneaux rappelant ce risque. Panneaux modestes et cabossés dans les pays pauvres, souvent, mais parfois aussi des refuges. Un peu partout, les populations ont été éduquées à ce risque qu'on ignorait ou qu'on négligeait.
Ce risque, on en a d'ailleurs pris aussi la mesure en France, qui peut très bien être à son tour concernée : la Méditerranée est une zone de forte activité sismique qui peut nous réserver des mauvaises surprises.
Ce que l'on doit aussi retenir de cette catastrophe, c'est qu'elle fut la première à être vécue en direct par ce qui était à l'époque l'ébauche des réseaux sociaux. Les premiers smartphones ont envoyé des images. Les portables ont vibré sur tout le pourtour sinistré, et le monde entier a vécu la catastrophe en direct.
C'est sans doute cela qui a entraîné une troisième conséquence : une solidarité mondiale sans commune mesure. Alors bien sûr il y a eu les grandes ONG qui se sont rendu au chevet des victimes. Mais on a aussi assisté à des centaines de micro-initiatives. Car pour les touristes qui ont vécu sur place cette inimaginable tragédie, il y avait deux manières de réagir : soit tenter d'oublier, soit vouloir reconstruire. Beaucoup ont choisi cette deuxième voie, et nous présentons l'histoire de deux d'entre eux en page suivante. Dix ans après le tsunami, ce sont des dizaines d'orphelinats, de dispensaires, d'écoles, qui ont été bâties grâce à ces solidarités individuelles, grâce à ce qui ressemblait parfois à des «bricolages» humanitaires, mais qui ont été souvent plus efficaces que les grosses mécaniques des ONG classiques. Le tsunami a aussi a rapproché les continents en suscitant, au-delà de la solidarité, de vraies belles amitiés entre les peuples.
La vidéo ET L'ARTICLE sur ce lien ......... http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/26/2018871-il-y-a-10-ans-le-tsunami-en-asie.html
mardi 23 décembre 2014
Un individu lourdement armé interpellé grâce à la vidéosurveillance à Cannes
Deux policiers municipaux ont interpellé un individu d'une quarantaine d'années, armé jusqu'aux dents ce mardi, vers 5 heures du matin, sur le carreau du marché Forville.
L'homme, qui était suivi grâce au système de videosurveillance de la ville, a été arrêté alors qu'il portait deux fusils à pompe armés et chargés à la ceinture, ainsi qu'un couteau comportant une lame de 25 centimètres.
Il est actuellement entendu par les policiers du commissariat central.
On ignore pour l'instant à quelles fins il transportait ces armes et quelles étaient ses intentions.
http://www.nicematin.com/cannes/un-individu-lourdement-arme-interpelle-grace-a-la-videosurveillance-a-cannes.2036286.html
L'homme, qui était suivi grâce au système de videosurveillance de la ville, a été arrêté alors qu'il portait deux fusils à pompe armés et chargés à la ceinture, ainsi qu'un couteau comportant une lame de 25 centimètres.
Il est actuellement entendu par les policiers du commissariat central.
On ignore pour l'instant à quelles fins il transportait ces armes et quelles étaient ses intentions.
http://www.nicematin.com/cannes/un-individu-lourdement-arme-interpelle-grace-a-la-videosurveillance-a-cannes.2036286.html
lundi 22 décembre 2014
Monoxyde de carbone : 9 victimes au gîte de La Pomarède
Deux familles qui séjournaient dans un gîte de La Pomarède, dans l'ouest audois, ont été victimes d'une intoxication au monoxyde de carbone. Neuf personnes ont été hospitalisées dont deux à Purpan.
Il n'était pas tout à fait quatre heures, hier matin , quand les sapeurs -pompiers de Castelnaudary ont été alertés pour porter secours à d trois personnes souffrant de malaise au lieu-dit «La garrigue», sur la commune de La Pomarède. A leur arrivée sur les lieux , ce ne sont pas trois mais neuf victimes qu'ils découvrent, cinq adultes - un couple d'une quarantaine d'années et trois sexagénaires, et quatre enfants -une fillette et trois garçons âgés de 6, 8, 11 et 13 ans. Tous viennent d'être victimes d'une intoxication au monoxyde de carbone et la coupable pourrait être une chaudière défectueuse. Avec les précautions d'usage dès qu'il y a suspicion de la présence de CO, les sapeurs-pompiers ont eu à évacuer sept personnes vers le centre hospitalier de Castelnaudary, distant d'une quinzaine de kilomètres. L'état de deux autres, jugé sérieux, a nécessité leur évacuation vers le CHU toulousain de Purpan. Il s'agit d'une femme âgée de 44 ans et d'un jeune garçon de 13 ans. Une intervention d'ampleur pour laquelle les sapeurs-pompiers chauriens ont reçu le renfort t de leurs collègues de Bram et de Salles-sur-l'Hers avec au total, quatre ambulances, un fourgon pompe tonne et le véhicule du Smur .
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016317-monoxyde-de-carbone-9-victimes.html
Il n'était pas tout à fait quatre heures, hier matin , quand les sapeurs -pompiers de Castelnaudary ont été alertés pour porter secours à d trois personnes souffrant de malaise au lieu-dit «La garrigue», sur la commune de La Pomarède. A leur arrivée sur les lieux , ce ne sont pas trois mais neuf victimes qu'ils découvrent, cinq adultes - un couple d'une quarantaine d'années et trois sexagénaires, et quatre enfants -une fillette et trois garçons âgés de 6, 8, 11 et 13 ans. Tous viennent d'être victimes d'une intoxication au monoxyde de carbone et la coupable pourrait être une chaudière défectueuse. Avec les précautions d'usage dès qu'il y a suspicion de la présence de CO, les sapeurs-pompiers ont eu à évacuer sept personnes vers le centre hospitalier de Castelnaudary, distant d'une quinzaine de kilomètres. L'état de deux autres, jugé sérieux, a nécessité leur évacuation vers le CHU toulousain de Purpan. Il s'agit d'une femme âgée de 44 ans et d'un jeune garçon de 13 ans. Une intervention d'ampleur pour laquelle les sapeurs-pompiers chauriens ont reçu le renfort t de leurs collègues de Bram et de Salles-sur-l'Hers avec au total, quatre ambulances, un fourgon pompe tonne et le véhicule du Smur .
Le monoxyde de carbone cause une centaine de décès par an
Les deux familles dont l'une est originaire de la région de Bayonne (Pyrénées-atlantiques) et l'autre de Marseille (Bouches du Rhône) séjournaient dans ce gîte de l'ouest audois . C'est un membre de l'une d'entre elles qui a donné l'alerte alors que tout le monde dormait ce qui a permis d'éviter le pire. Rappelons , en effet,que le monoxyde de carbone est un gaz toxique qui touche chaque année plus d'un millier de foyers et cause même une centaine de décès par an. «Il est provoqué par une combustion incomplète et peut être émis par tous les appareils à combustion (chaudière, chauffage d'appoint, poêle à bois, cheminée , groupe électrogène…» nous rappelle le lieutenant Olivier Vergé, chef du centre de secours chaurien qui recommande de s'équiper de détecteurs, rappelle que le détecteur de fumée sera même obligatoire à partir du 15 mars prochain. L'officier souligne qu'il en existe également à monoxyde de carbone. Et de rappeler les permiers signes qui caractérisent ce type d'intoxication à un gaz inodore et incolore : maux de tête, nausées et vomissements. Des signes qui doivent alerter!http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016317-monoxyde-de-carbone-9-victimes.html
Les policiers défoncent la porte pour déloger le conjoint violent
Lorsqu'ils se rendent rue Barbacane d'où une jeune femme de 27 ans les a appelés au secours, hier à 10 h 55, les policiers trouvent porte close. À l'intérieur, le barouf qui règne indique qu'un homme et une femme sont aux prises et les policiers se décident rapidement à défoncer la porte. À l'intérieur, la jeune femme qui s'est équipée d'un couteau pour se défendre face aux coups de son conjoint, un homme de 29 ans, présente un visage ensanglanté. Elle sera rapidement transportée au centre hospitalier de Carcassonne. Dans l'appartement, les policiers trouvent une installation horticole de huit pieds de cannabis et un peu de la récolte précédente sur le conjoint violent. Placé en garde à vue, celui-ci en sortira peut-être ce matin pour être présenté directement au parquet, à moins qu'elle ne soit prolongée.
Il mord le vigile et tente de s'enfuir. Samedi en fin d'après-midi, un habitant de Moussoulens de 34 ans se fait attraper par un vigile de Géant Salvaza en possession d'un téléphone portable et d'un nécessaire de maquillage volés d'un montant global de 109 €. Pour se défaire de son étreinte, le Moussoulenois ne trouve rien de mieux que de mordre le vigile avant de prendre la fuite. Rattrapé, il est confié aux policiers qui l'entendent et l'équipent d'une convocation devant un officier de police judiciaire pour le 3 avril prochain. Le vigile, lui, a hérité d'un jour d'incapacité totale de travail.
Montgaillard >Coincé sur la falaise avec son chien. Samedi au crépuscule, un chasseur ne sachant pas chasser sans son chien cherchant celui-ci l'a déniché perché sur la falaise, là-haut, au lieu dit «L'Épinal», sur la commune de Montgaillard. Quand le jour se fit nuit et qu'il n'y vit plus goutte, il fut bien en peine de retrouver son chemin. Même avec son chien. Les gendarmes de Tuchan s'y dépêchèrent, bientôt secondés par les pompiers du groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (Grimp). Et le chasseur et son chien furent mis au chaud, aux frais du contribuable.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016492-les-policiers-defoncent-la-porte-pour-deloger-le-conjoint-violent.html
Et aussi...
Complètement bourré, il percute quatre véhicules. À 15 h 15, hier, les policiers carcassonnais ont mis fin aux accidents en série que provoquait un automobiliste fin bourré. Après avoir percuté trois voitures en stationnement à hauteur du Dôme, l'homme poursuit vaillamment sa route et percute un quatrième véhicule, avenue Jean-Jaurès où la police l'intercepte finalement. Placé en garde à vue différée avec un taux d'alcoolémie de plus de 2 g d'alcool par litre de sang, il y est toujours ce matin. Son passager, au moins aussi saoul que lui, a goûté lui aussi à la garde à vue pour ivresse publique manifeste et laissé libre la nuit dernière.Il mord le vigile et tente de s'enfuir. Samedi en fin d'après-midi, un habitant de Moussoulens de 34 ans se fait attraper par un vigile de Géant Salvaza en possession d'un téléphone portable et d'un nécessaire de maquillage volés d'un montant global de 109 €. Pour se défaire de son étreinte, le Moussoulenois ne trouve rien de mieux que de mordre le vigile avant de prendre la fuite. Rattrapé, il est confié aux policiers qui l'entendent et l'équipent d'une convocation devant un officier de police judiciaire pour le 3 avril prochain. Le vigile, lui, a hérité d'un jour d'incapacité totale de travail.
Montgaillard >Coincé sur la falaise avec son chien. Samedi au crépuscule, un chasseur ne sachant pas chasser sans son chien cherchant celui-ci l'a déniché perché sur la falaise, là-haut, au lieu dit «L'Épinal», sur la commune de Montgaillard. Quand le jour se fit nuit et qu'il n'y vit plus goutte, il fut bien en peine de retrouver son chemin. Même avec son chien. Les gendarmes de Tuchan s'y dépêchèrent, bientôt secondés par les pompiers du groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (Grimp). Et le chasseur et son chien furent mis au chaud, aux frais du contribuable.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016492-les-policiers-defoncent-la-porte-pour-deloger-le-conjoint-violent.html
dimanche 21 décembre 2014
L'ex-directeur des achats de Byrrh assassiné en Corse
Y ves Louys était porté disparu depuis mi-novembre. Sa compagne et un ami ont été mis en examen et écroués.
Un drame survenu en Corse résonne d'un triste écho en pays catalan. Mardi, un cadavre a en effet été découvert à proximité de la maison ou résidait Yves Louys depuis plus d'un an à Cambia près de Bastia. L'homme, âgé de 61 ans, ancien directeur des achats de Byrrh à Thuir et négociant en vins réputé des P.-O. où il vivait depuis des dizaines d'années, (comme son père avant lui qui comptait parmi les responsables historiques de la société Bartissol de Rivesaltes selon un témoin) était parti s'installer sur l'île de beauté à la retraite, avec sa compagne. Or, il était porté disparu depuis le 13 novembre.
Ce jour-là, Yves Louys n'avait plus donné de nouvelles alors qu'il devait se rendre à une soirée avec un ami et qu'il ne s'y était jamais rendu. Un vaste dispositif de recherche avait alors été mis en place depuis un mois et s'intensifiait de jour en jour jusqu'à ce qu'un corps soit retrouvé en début de semaine par les chiens du groupe d'investigation cynophile de la gendarmerie, sous des branchages, à une centaine de mètres de la villa du disparu.
Sachant que la semaine dernière déjà, la compagne d'Yves Louys et l'un de ses amis ont été mis en examen pour "enlèvement et séquestration suivis de la mort de la victime". Ils sont actuellement incarcérés. Une troisième personne a également été mise en examen et placée sous contrôle judiciaire.
Ce jour-là, Yves Louys n'avait plus donné de nouvelles alors qu'il devait se rendre à une soirée avec un ami et qu'il ne s'y était jamais rendu. Un vaste dispositif de recherche avait alors été mis en place depuis un mois et s'intensifiait de jour en jour jusqu'à ce qu'un corps soit retrouvé en début de semaine par les chiens du groupe d'investigation cynophile de la gendarmerie, sous des branchages, à une centaine de mètres de la villa du disparu.
Kidnappé ?
Son état de décomposition n'a pas permis de l'identifier formellement, mais il s'agirait malheureusement d'Yves Louys. Ses papiers ont été retrouvés sur le corps et les constatations effectuées correspondent avec le moment de sa disparition. De plus, l'autopsie aurait révélé que le corps était criblé de chevrotines, confirmant la piste criminelle.Sachant que la semaine dernière déjà, la compagne d'Yves Louys et l'un de ses amis ont été mis en examen pour "enlèvement et séquestration suivis de la mort de la victime". Ils sont actuellement incarcérés. Une troisième personne a également été mise en examen et placée sous contrôle judiciaire.
SOURCE L'INDEPENDANT
samedi 20 décembre 2014
La Rochelle : un adolescent blesse grièvement sa mère avec une lampe de chevet
Un Rochelais de 17 ans a fait l'objet d'un placement d'office au sein de l'hôpital psychiatrique Marius-Lacroix à la suite de l'agression qu'il a commise à l'encontre de sa mère, dans la nuit de mercredi à jeudi. La scène s'est passée dans un appartement situé dans le quartier Saint-Nicolas de La Rochelle.
Pour une raison non déterminée, l'adolescent s'est levé en pleine nuit et s'est rendu dans la chambre de sa mère, qui fait face à la sienne. Là, il s'est saisi d'une lampe de chevet et a donné des coups à la femme. Celle-ci a pris la fuite mais son fils l'a poursuie, continuant de la frapper, y compris à la tête.
Alerté par les cris de la victime, un voisin est intervenu et a prévenu la police, qui a trouvé la mère ensanglantée, inconsciente mais vivante, dans une partie commune de l'immeuble. Le fils était assis, prostré, incapable d'expliquer ce qu'il venait de se passer. Il a été conduit au commissariat. Son état psychologique a motivé le placement en structure psychiatrique
http://www.sudouest.fr/2014/12/20/un-adolescent-blesse-grievement-sa-mere-1774306-1391.php
Pour une raison non déterminée, l'adolescent s'est levé en pleine nuit et s'est rendu dans la chambre de sa mère, qui fait face à la sienne. Là, il s'est saisi d'une lampe de chevet et a donné des coups à la femme. Celle-ci a pris la fuite mais son fils l'a poursuie, continuant de la frapper, y compris à la tête.
Alerté par les cris de la victime, un voisin est intervenu et a prévenu la police, qui a trouvé la mère ensanglantée, inconsciente mais vivante, dans une partie commune de l'immeuble. Le fils était assis, prostré, incapable d'expliquer ce qu'il venait de se passer. Il a été conduit au commissariat. Son état psychologique a motivé le placement en structure psychiatrique
http://www.sudouest.fr/2014/12/20/un-adolescent-blesse-grievement-sa-mere-1774306-1391.php
Deux blessés dans un feu d'appartement
Deux personnes ont été blessées ce matin, peu avant 10h, dans un incendie d'appartement survenu au premier étage d'un immeuble du boulevard de Strasbourg (3ème) à Marseille. Une personne a été brûlée, sans précision sur la gravité, et une autre intoxiquée par les fumées.
Dix-huit personnes au total ont été évacuées, dont 12 adultes et 6 enfants. Le feu serait parti de la chambre. Il a été éteint vers 10h45. Les marins pompiers ont dépêché sur les lieux d'importants moyens. Les victimes ont été examinées par les médecins.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3186989/deux-blesses-dans-un-feu-dappartement.html
Dix-huit personnes au total ont été évacuées, dont 12 adultes et 6 enfants. Le feu serait parti de la chambre. Il a été éteint vers 10h45. Les marins pompiers ont dépêché sur les lieux d'importants moyens. Les victimes ont été examinées par les médecins.
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3186989/deux-blesses-dans-un-feu-dappartement.html
Le jeune médiateur a coursé les braqueurs
Hassan Bajja est tombé nez à nez avec les braqueurs de l'épicerie de nuit. Bien que menacé par une épée japonaise, il a couru derrière eux. En vain. Voilà un mois, Hassan avait été choisi par la ville comme «médiateur social».
Hassan Bajja, né à Castres voilà 24 ans dans le quartier de Laden-Petit-Train, vient tout juste d'être investi d'une mission de «médiateur social» par la Ville. Mais, ce n'est pas pour cette fonction professionnelle qui lui semble désormais chère qu'il se retrouve sous les feux de la rampe. Mercredi soir, ce grand gaillard de plus d'1,90 m (dont un frère au même format, formé au CO, joue d'ailleurs au rugby à Rodez), a coursé les deux braqueurs de l'épicerie de nuit !
Il raconte : «En fait, je sortais du boulot, quartier Laden. Un ami m'a conduit en voiture à l'épicerie, avenue Albert 1er. J'ouvre la portière et j'aperçois deux types avec des écharpes sur le nez. Ils tenaient des longues épées à la main (NDLR : des épées type Katana, arme japonaise). Je leur ai crié : Bougez pas de là !»
Hassan a ensuite rejoint l'épicerie : «La dame qui tient l'épicerie,et que je connais depuis longtemps, était encore sous le choc.». Rappelons que, dans un premier temps, c'est son mari qui avait réussi à bouter hors du commerce les deux malfrats. «Ils n'ont rien pris. Pas même un chocolat, lance Hassan. Une nouvelle fois, ce genre de chose porte tort au quartier.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/20/2015372-le-jeune-mediateur-a-course-les-braqueurs.html
Hassan Bajja, né à Castres voilà 24 ans dans le quartier de Laden-Petit-Train, vient tout juste d'être investi d'une mission de «médiateur social» par la Ville. Mais, ce n'est pas pour cette fonction professionnelle qui lui semble désormais chère qu'il se retrouve sous les feux de la rampe. Mercredi soir, ce grand gaillard de plus d'1,90 m (dont un frère au même format, formé au CO, joue d'ailleurs au rugby à Rodez), a coursé les deux braqueurs de l'épicerie de nuit !
Il raconte : «En fait, je sortais du boulot, quartier Laden. Un ami m'a conduit en voiture à l'épicerie, avenue Albert 1er. J'ouvre la portière et j'aperçois deux types avec des écharpes sur le nez. Ils tenaient des longues épées à la main (NDLR : des épées type Katana, arme japonaise). Je leur ai crié : Bougez pas de là !»
Il le menace
Hassan poursuit : «L'un d'eux s'est retourné vers moi en brandissant son arbre d'un bras, façon asiatique. J'ai couru vers lui… Les deux gars sont partis en courant en direction du magasin Domino's-pizza. Là, ils ont sans doute réussi à se cacher quelque part… Je ne les ai plus vus.»Hassan a ensuite rejoint l'épicerie : «La dame qui tient l'épicerie,et que je connais depuis longtemps, était encore sous le choc.». Rappelons que, dans un premier temps, c'est son mari qui avait réussi à bouter hors du commerce les deux malfrats. «Ils n'ont rien pris. Pas même un chocolat, lance Hassan. Une nouvelle fois, ce genre de chose porte tort au quartier.»
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/20/2015372-le-jeune-mediateur-a-course-les-braqueurs.html
vendredi 19 décembre 2014
Alerte à la bombe au tribunal de Mont-de-Marsan
Ce vendredi, quatrième et dernier jour du procès d'appel de Jean-Claude Brunet, le tribunal a été évacué à 9 heures après qu'un appel téléphonique anonyme a signalé la présence d'un engin explosif. Le bâtiment a pu être réintégré vers 10h30, après inspection des démineurs
Il y a une bombe dans le tribunal." Il était 9 heures, ce vendredi, lorsqu'un appel téléphonique anonyme a signalé la présence d'un engin explosif dans le tribunal de grande instance de Mont-de-Marsan. Par mesure de sécurité, l'ensemble du bâtiment a donc été évacué, y compris la salle d'assises dans laquelle se tient depuis mardi le procès en appel de Jean-Claude Brunet.
9h15, les abords du tribunal étaient bloqués par la police. Il était impossible d'accéder à la rue du 8-Mai-1945.
Selon Marie-Noëlle Abba, la présidente du TGI, l'évacuation du bâtiment a été réalisée selon la procédure prévue à cet effet. Les intervenants se sont assurés que le bâtiment était vide de toute personne. Un peu avant 10h30, l'équipe de déminage, venue de Saint-Martin-de-Seignanx, est arrivée sur place. Après inspection, elle a donné son feu vert pour la réintégration du tribunal.
http://www.sudouest.fr/2014/12/19/alerte-a-la-bombe-au-tribunal-de-mont-de-marsan-1773812-3452.php
Il y a une bombe dans le tribunal." Il était 9 heures, ce vendredi, lorsqu'un appel téléphonique anonyme a signalé la présence d'un engin explosif dans le tribunal de grande instance de Mont-de-Marsan. Par mesure de sécurité, l'ensemble du bâtiment a donc été évacué, y compris la salle d'assises dans laquelle se tient depuis mardi le procès en appel de Jean-Claude Brunet.
9h15, les abords du tribunal étaient bloqués par la police. Il était impossible d'accéder à la rue du 8-Mai-1945.
Selon Marie-Noëlle Abba, la présidente du TGI, l'évacuation du bâtiment a été réalisée selon la procédure prévue à cet effet. Les intervenants se sont assurés que le bâtiment était vide de toute personne. Un peu avant 10h30, l'équipe de déminage, venue de Saint-Martin-de-Seignanx, est arrivée sur place. Après inspection, elle a donné son feu vert pour la réintégration du tribunal.
http://www.sudouest.fr/2014/12/19/alerte-a-la-bombe-au-tribunal-de-mont-de-marsan-1773812-3452.php
74 ans, elle parcourt 41 km à contresens sur l'A61
Elle explique s'être trouvée «complètement perdue». Dans la nuit de mercredi à jeudi hier, une conductrice âgée de 74 ans a parcouru 41 km à contresens sur l'autoroute A61 avant d'être interceptée par les gendarmes du peloton motorisé de Villefranche-de-Lauragais.
Dans la soirée, la septuagénaire avait quitté son fils, qui habite Toulouse, pour rentrer chez elle à Ramonville-Saint-Agne, une commune limitrophe. Mais en pleine nuit et sous une pluie battante, elle s'est trompée de route et a emprunté l'autoroute A61, filant en direction de Villefranche-de-Lauragais et s'éloignant ainsi de son point de destination. Réalisant son erreur, elle a pris la sortie de Nailloux, une commune située à une quarantaine de kilomètres au sud de Toulouse. Là, elle a tenté de faire demi-tour pour s'engager de nouveau sur l'A61 afin de regagner Toulouse. Mais elle a pris une bretelle de sortie en sens interdit et s'est retrouvée de nouveau sur l'autoroute en direction de Villefranche-de-Lauragais… cette fois en contresens.
Dans le département de la Haute-Garonne, il s'agit du troisième incident de cet ordre en deux mois. Le 15 octobre dernier, en plein jour cette fois, un octogénaire avait parcouru 25 km à contresens sur l'autoroute A68 entre Toulouse et Albi. Il avait finalement été rattrapé sans casse par la Mégane RS des gendarmes haut-garonnais. Le lendemain de cet incident, c'est sur l'A64, peu avant le péage de Muret, qu'un Renault Trafic qui circulait à contresens avait percuté de plein fouet un poids-lourd. Là encore, l'accident n'avait miraculeusement fait aucun blessé.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/19/2014369-74-ans-parcourt-41-km-contresens-a61.html
Dans la soirée, la septuagénaire avait quitté son fils, qui habite Toulouse, pour rentrer chez elle à Ramonville-Saint-Agne, une commune limitrophe. Mais en pleine nuit et sous une pluie battante, elle s'est trompée de route et a emprunté l'autoroute A61, filant en direction de Villefranche-de-Lauragais et s'éloignant ainsi de son point de destination. Réalisant son erreur, elle a pris la sortie de Nailloux, une commune située à une quarantaine de kilomètres au sud de Toulouse. Là, elle a tenté de faire demi-tour pour s'engager de nouveau sur l'A61 afin de regagner Toulouse. Mais elle a pris une bretelle de sortie en sens interdit et s'est retrouvée de nouveau sur l'autoroute en direction de Villefranche-de-Lauragais… cette fois en contresens.
Pas d'accident
Ce sont des témoins qui, voyant filer cette automobile dans le mauvais sens sur la voie rapide, ont prévenu les gendarmes. Les motards de Villefranche-de-Lauragais l'ont rattrapée peu avant les portes de Toulouse et l'ont interceptée au niveau de l'aire de repos de Toulouse Sud. Il n'était pas tout à fait 22 h 30. La septuagénaire venait de parcourir 41 km à contresens et par chance, elle n'avait eu ni provoqué aucun accident ! Les gendarmes l'ont trouvée dans un état de grande panique. C'est son fils, qu'elle avait quitté plus tôt dans la soirée, qui est venu la chercher. Elle devrait être convoquée prochainement chez les gendarmes pour tenter de s'expliquer à tête reposée.Dans le département de la Haute-Garonne, il s'agit du troisième incident de cet ordre en deux mois. Le 15 octobre dernier, en plein jour cette fois, un octogénaire avait parcouru 25 km à contresens sur l'autoroute A68 entre Toulouse et Albi. Il avait finalement été rattrapé sans casse par la Mégane RS des gendarmes haut-garonnais. Le lendemain de cet incident, c'est sur l'A64, peu avant le péage de Muret, qu'un Renault Trafic qui circulait à contresens avait percuté de plein fouet un poids-lourd. Là encore, l'accident n'avait miraculeusement fait aucun blessé.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/19/2014369-74-ans-parcourt-41-km-contresens-a61.html
jeudi 18 décembre 2014
Gironde : un squelette retrouvé au milieu des bois
Il était environ 10 h 30, mercredi, lorsque l'alerte a été donnée par le propriétaire d'une parcelle de pins, à Louchats, en Sud-Gironde : ce Landais qui ne s'était pas rendu sur son terrain depuis des années venait de découvrir un squelette humain au milieu des fougères.
D'importants moyens ont aussitôt été envoyés sur place. Des gendarmes de la compagnie de Langon ont procédé aux premières constatations avec le soutien de techniciens en identification criminelle, dépêchés de Bordeaux. Le maire du village, Philippe Carreyre, s'est également rendu sur les lieux
L'examen externe de la dépouille n'a révélé aucune trace suspecte laissant penser à une affaire criminelle. Le parquet a néanmoins ordonné une autopsie, qui sera réalisée dans les prochains jours à l'institut médico-légal de Bordeaux, pour déterminer les causes de la mort et l'identification formelle de la victime.
S'il est encore trop tôt pour l'affirmer, l'hypothèse qu'il s'agit d'un octogénaire porté disparu depuis plus d'un an est privilégiée. Le corps a été découvert à quelques centaines de mètres de sa maison et portait des vêtements correspondant à son signalement.
Âgé de 84 ans, Lucien Couchot, un Bordelais qui avait une maison secondaire à Louchats où il se rendait régulièrement, n'a plus donné signe de vie depuis le 16 octobre 2013. Ce jour-là, ce féru de champignons part à l'une de ses habituelles cueillettes de cèpes. Il ne reviendra jamais.
Un gros dispositif de recherches avait été déployé pour le retrouver : des battues mobilisant 70 personnes, villageois et gendarmes, avaient été organisées dans les bois ; la zone avait été survolée par un hélicoptère tandis qu'elle était ratissée, à terre, par des chiens spécialisés de la brigade cynophile de Gramat (Lot). Mais ces efforts étaient restés vains.
« La parcelle sur laquelle a été retrouvée la dépouille n'a pas été fouillée à l'époque, se souvient le maire de Louchats. C'est un petit bois très accidenté, où les fougères font plus de deux mètres de haut en octobre et où il y a encore des bois tombés des tempêtes de 1999 et 2009. Les coins à champignons avaient été privilégiés. Mais cette parcelle pouvait constituer un raccourci pour s'y rendre. » La victime a-t-elle succombé à un malaise ou fait une mauvaise chute ? La réponse sera rapidement connue.
http://www.sudouest.fr/2014/12/18/un-squelette-retrouve-au-milieu-des-bois-1771730-2932.php
D'importants moyens ont aussitôt été envoyés sur place. Des gendarmes de la compagnie de Langon ont procédé aux premières constatations avec le soutien de techniciens en identification criminelle, dépêchés de Bordeaux. Le maire du village, Philippe Carreyre, s'est également rendu sur les lieux
L'examen externe de la dépouille n'a révélé aucune trace suspecte laissant penser à une affaire criminelle. Le parquet a néanmoins ordonné une autopsie, qui sera réalisée dans les prochains jours à l'institut médico-légal de Bordeaux, pour déterminer les causes de la mort et l'identification formelle de la victime.
S'il est encore trop tôt pour l'affirmer, l'hypothèse qu'il s'agit d'un octogénaire porté disparu depuis plus d'un an est privilégiée. Le corps a été découvert à quelques centaines de mètres de sa maison et portait des vêtements correspondant à son signalement.
Âgé de 84 ans, Lucien Couchot, un Bordelais qui avait une maison secondaire à Louchats où il se rendait régulièrement, n'a plus donné signe de vie depuis le 16 octobre 2013. Ce jour-là, ce féru de champignons part à l'une de ses habituelles cueillettes de cèpes. Il ne reviendra jamais.
Un gros dispositif de recherches avait été déployé pour le retrouver : des battues mobilisant 70 personnes, villageois et gendarmes, avaient été organisées dans les bois ; la zone avait été survolée par un hélicoptère tandis qu'elle était ratissée, à terre, par des chiens spécialisés de la brigade cynophile de Gramat (Lot). Mais ces efforts étaient restés vains.
« La parcelle sur laquelle a été retrouvée la dépouille n'a pas été fouillée à l'époque, se souvient le maire de Louchats. C'est un petit bois très accidenté, où les fougères font plus de deux mètres de haut en octobre et où il y a encore des bois tombés des tempêtes de 1999 et 2009. Les coins à champignons avaient été privilégiés. Mais cette parcelle pouvait constituer un raccourci pour s'y rendre. » La victime a-t-elle succombé à un malaise ou fait une mauvaise chute ? La réponse sera rapidement connue.
http://www.sudouest.fr/2014/12/18/un-squelette-retrouve-au-milieu-des-bois-1771730-2932.php
«Ce monsieur, sans le savoir, est un client de Tupperware»
Comme pour beaucoup d'artisans, c'est souvent l'épouse qui gère. Elle s'en occupait si bien qu'elle est devenue coquine. Elle déchirait les chèques et les talons. Il ne s'est aperçu de rien. Il lui faisait une confiance aveugle». Pour la partie civile, l'histoire de Claude*, plombier, est celle d'un artisan travailleur, gentil et floué. Laurence, 45 ans, grande silhouette blonde au regard dans le vague, était sa compagne depuis 9 ans. Elle l'aidait un peu dans ses affaires. Pour qu'elle puisse travailler, Claude lui a acheté une Renaud Kangoo. Laurence vend des produits Tupperware, payée à la commission en fonction de ses ventes aux particuliers. Elle a de petit revenus, il travaillait, payait les factures, et lui confiait parfois sa carte bleue pour qu'elle fasse les courses. Un couple en confiance jusqu'à la retraite de Claude, en 2013.
Un jour de juin dernier, la banque l'appelle, pour un chèque de 370 euros, sans provision. Très surpris, le nouveau retraité épluche son chéquier et réalise que 13 chèques ont été arrachés. Il porte plainte en expliquant aux policiers qu'il n'a aucune idée de qui peut bien l'avoir volé.
Deux jours plus tard, Laurence lui avoue que c'est elle qui a émis le chèque sans provision. Deux semaines après, Claude réalise que ce sont en fait près de 60 chèques qui ont été contrefaits entre 2010 et 2014. Plus sa carte d'essence de société, volé et utilisé.
Dans la société Tupperware où elle travaille, il y a un challenge en cours. Le meilleur vendeur gagne le droit d'utiliser une voiture Renaud Capture pendant un an. Laurence utilise les chèques de son compagnon pour augmenter ses ventes. «Monsieur sans le savoir est client de Tupperware», résume le Procureur.
Laurence reconnaîtra avoir «pété les plombs». «Elle pensait que son compagnon allait concrétiser leur union. Cela ne s'est pas fait» analyse le Procureur avec une pointe de compassion. Ce qui ne l'empêche pas dénoncer «des faits graves», pour près de 20 000 € ainsi escroqués. à la barre, sans avocat, la prévenue qui n'a jamais été condamnée, pleure. «Je veux bien le rembourser mais… Je veux juste récupérer mes affaires, mon outil de travail. Je n'ai pas fait de chiffre depuis juillet…».
La partie civile, demande le remboursement intégral des sommes escroquées et 21 500 € de dommages et intérêts ; le Procureur, 6 mois de prison avec sursis et d'obligation d'indemniser la victime d'ici trois ans. Le tribunal l'a suivi, condamnant Laurence à 6 mois avec sursis, 3 ans de mise à l'épreuve et obligation de rembourser 21 500 € plus 800 € d'indemnités.
* Les prénoms ont été modifiés
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/18/2014133-ce-monsieur-sans-le-savoir-est-un-client-de-tupperware.html
Un jour de juin dernier, la banque l'appelle, pour un chèque de 370 euros, sans provision. Très surpris, le nouveau retraité épluche son chéquier et réalise que 13 chèques ont été arrachés. Il porte plainte en expliquant aux policiers qu'il n'a aucune idée de qui peut bien l'avoir volé.
Deux jours plus tard, Laurence lui avoue que c'est elle qui a émis le chèque sans provision. Deux semaines après, Claude réalise que ce sont en fait près de 60 chèques qui ont été contrefaits entre 2010 et 2014. Plus sa carte d'essence de société, volé et utilisé.
«Je n'ai pas fait de chiffre depuis juillet»
Laurence va finalement reconnaître l'ensemble des vols, évoquant deux hospitalisations et trois mois sans indemnités journalières. Alors il y a eu un chèque… puis plusieurs.Dans la société Tupperware où elle travaille, il y a un challenge en cours. Le meilleur vendeur gagne le droit d'utiliser une voiture Renaud Capture pendant un an. Laurence utilise les chèques de son compagnon pour augmenter ses ventes. «Monsieur sans le savoir est client de Tupperware», résume le Procureur.
Laurence reconnaîtra avoir «pété les plombs». «Elle pensait que son compagnon allait concrétiser leur union. Cela ne s'est pas fait» analyse le Procureur avec une pointe de compassion. Ce qui ne l'empêche pas dénoncer «des faits graves», pour près de 20 000 € ainsi escroqués. à la barre, sans avocat, la prévenue qui n'a jamais été condamnée, pleure. «Je veux bien le rembourser mais… Je veux juste récupérer mes affaires, mon outil de travail. Je n'ai pas fait de chiffre depuis juillet…».
La partie civile, demande le remboursement intégral des sommes escroquées et 21 500 € de dommages et intérêts ; le Procureur, 6 mois de prison avec sursis et d'obligation d'indemniser la victime d'ici trois ans. Le tribunal l'a suivi, condamnant Laurence à 6 mois avec sursis, 3 ans de mise à l'épreuve et obligation de rembourser 21 500 € plus 800 € d'indemnités.
* Les prénoms ont été modifiés
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/18/2014133-ce-monsieur-sans-le-savoir-est-un-client-de-tupperware.html
mercredi 17 décembre 2014
Langon : un médecin agressé dans sa voiture
Lundi, vers 19 h 25, une femme médecin a été agressée alors qu'elle venait de s'asseoir dans sa voiture stationnée rue Jules-Ferry, à Langon. La praticienne venait de fermer son cabinet et a semble-t-il été suivie par son agresseur, qui a ouvert la portière du véhicule et a aspergé la conductrice avec une bombe de gaz lacrymogène.
Il s'est emparé du sac à main du médecin et s'est enfui en courant. Les gendarmes ont été rapidement alertés mais n'ont pas, pour l'instant, retrouvé la trace du malfaiteur.
http://www.sudouest.fr/2014/12/17/langon-un-medecin-agresse-dans-sa-voiture-1771196-2780.php
Il s'est emparé du sac à main du médecin et s'est enfui en courant. Les gendarmes ont été rapidement alertés mais n'ont pas, pour l'instant, retrouvé la trace du malfaiteur.
http://www.sudouest.fr/2014/12/17/langon-un-medecin-agresse-dans-sa-voiture-1771196-2780.php
Rhône : un pompier meurt pendant une intervention
Un sapeur-pompier est mort mardi à Gleizé (Rhône) lors d'une opération de déblaiement après un incendie dans une maison. Cet adjudant-chef a été victime d'un malaise au cours de l'intervention et n'a pas pu être sauvé malgré l'intervention rapide des secours.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/17/2013508-rhone-un-pompier-meurt-pendant-une-intervention.html
Un homme investi dans son métier
La préfecture du Rhône a indiqué dans un communiqué que le cinquantenaire et père de deux enfants était décédé d’un arrêt cardio-respiratoire. « Il était très connu et très investi dans son métier », a témoigné avec émotion le commandant Serre au site d’actualité lyoncapitale.fr. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a lui aussi salué « le sang-froid, le dévouement et le courage » de cet homme et a présenté ses condoléances à sa famille et à ses proches.http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/17/2013508-rhone-un-pompier-meurt-pendant-une-intervention.html
mardi 16 décembre 2014
Le médecin rend leur fils handicapé à vie : 11 millions d'euros d'indemnisation pour les parents
Philippe, 14 ans, est handicapé à 100% à cause d’une erreur de l’obstétricien durant l’accouchement. Ses parents, originaires de Cagnes-sur-mer (Alpes-Maritimes), viennent d’obtenir 11 millions d’euros d’indemnisation à la suite d’une décision de la cour de justice d’Aix-en-Provence, rapportent Nice-Matin et RTL.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=39146&WS=291720_2501986&WA=8021
Une assistance 24/24
Le médecin avait privé d’oxygène le bébé pendant que sa mère accouchait, une faute professionnelle rendant le nourrisson tétraparésique à vie. Maintenant adolescent, Philippe dispose d’une assistance 24/24 pour subvenir à ses besoins, ce qui nécessite un coût conséquent. Avec les 11 millions d’euros obtenus, les parents du garçon espèrent lui assurer un meilleur avenir.http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=39146&WS=291720_2501986&WA=8021
Crouy (02): un homme fait une chute de 2 mètres dans un trou / pronostic vital est engagé.
Les faits se sont déroulés dimanche dans le parking d'un supermarché désaffecté de Crouy dans l'Aisne: un homme d'une cinquantaine d'années a fait une chute dans un trou d'une hauteur de 2 mètres.
L'homme est tombé dans une fosse d'accès au réseau d'eau.
Victime d'une fracture du crâne, il a été transféré dans un hôpital parisien. Son pronostic vital est engagé.
L'homme était en état d'ébriété au moment de sa chute
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/12/16/crouy-02-un-homme-fait-une-chute-de-2-metres-dans-un-trou-614014.html
L'homme est tombé dans une fosse d'accès au réseau d'eau.
Victime d'une fracture du crâne, il a été transféré dans un hôpital parisien. Son pronostic vital est engagé.
L'homme était en état d'ébriété au moment de sa chute
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/12/16/crouy-02-un-homme-fait-une-chute-de-2-metres-dans-un-trou-614014.html
Il avait menacé l'épicier avec une tronçonneuse
Un homme a été jugé hier pour avoir brandi une tronçonneuse volée afin de faire peur à un épicier, le 24 novembre à Cahors, insulté et violenté les policiers venus l'interpeller.
Aurélien C., 32 ans était jugé hier dans le cadre d'une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel pour divers chefs d'inculpation. Le 24 novembre, se sentant mal accueilli à l'épicerie de nuit de la place de la Libération, il avait brandi une tronçonneuse thermique allumée, volée dans un véhicule, pour intimider l'épicier. Les policiers sont alertés de l'agression. Une fois sur place, ils ont du mal à maîtriser son agressivité. Il se rebelle, donne des coups, les insulte, excite son chien contre eux. L'interpellation s'avère musclée.
À l'énoncé des faits, le prévenu marmonne que ce sont eux qui disent des bêtises. «Ce n'est pas parce qu'on est suivi par un psychiatre que l'on peut faire tout et n'importe quoi. Le tribunal voudrait que vous preniez conscience de ce que l'autre à vécu. Ce soir-là, il a eu très peur», lui rétorque la présidente. L'expertise psychiatrique relève une grande susceptibilité narcissique, une personnalité borderline, une grande souffrance psychique. «Comment gérez-vous ça en famille ?», questionne la présidente. «Quand ça ne va pas, on sort faire un tour. Ma femme que j'aime, souffre de troubles bipolaires. Pour ma fille, je reste calme, patient. Je ne veux pas lui infliger ce que j'ai vécu avec mes parents. Mon père tapait ma mère» explique-t-il. «Il a insulté, violenté des policiers. Pour l'interpeller, il a fallu appeler un second véhicule. Les policiers, qui tentaient de remettre de l'ordre, ont été blessés. Ce n'était pas des blessures anodines. Aux urgences, il voulait s'en prendre au matériel médical», indique Me Irini Alexopoulous, avocate des trois policiers agressés, parties civiles. Le tribunal a condamné Aurélien C. à 8 mois de prison dont 4 avec sursis, l'obligation de soins, d'indemniser les victimes, et décerné le mandat de dépôt.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/16/2012593-il-avait-menace-l-epicier-avec-une-tronconneuse.html
Aurélien C., 32 ans était jugé hier dans le cadre d'une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel pour divers chefs d'inculpation. Le 24 novembre, se sentant mal accueilli à l'épicerie de nuit de la place de la Libération, il avait brandi une tronçonneuse thermique allumée, volée dans un véhicule, pour intimider l'épicier. Les policiers sont alertés de l'agression. Une fois sur place, ils ont du mal à maîtriser son agressivité. Il se rebelle, donne des coups, les insulte, excite son chien contre eux. L'interpellation s'avère musclée.
À l'énoncé des faits, le prévenu marmonne que ce sont eux qui disent des bêtises. «Ce n'est pas parce qu'on est suivi par un psychiatre que l'on peut faire tout et n'importe quoi. Le tribunal voudrait que vous preniez conscience de ce que l'autre à vécu. Ce soir-là, il a eu très peur», lui rétorque la présidente. L'expertise psychiatrique relève une grande susceptibilité narcissique, une personnalité borderline, une grande souffrance psychique. «Comment gérez-vous ça en famille ?», questionne la présidente. «Quand ça ne va pas, on sort faire un tour. Ma femme que j'aime, souffre de troubles bipolaires. Pour ma fille, je reste calme, patient. Je ne veux pas lui infliger ce que j'ai vécu avec mes parents. Mon père tapait ma mère» explique-t-il. «Il a insulté, violenté des policiers. Pour l'interpeller, il a fallu appeler un second véhicule. Les policiers, qui tentaient de remettre de l'ordre, ont été blessés. Ce n'était pas des blessures anodines. Aux urgences, il voulait s'en prendre au matériel médical», indique Me Irini Alexopoulous, avocate des trois policiers agressés, parties civiles. Le tribunal a condamné Aurélien C. à 8 mois de prison dont 4 avec sursis, l'obligation de soins, d'indemniser les victimes, et décerné le mandat de dépôt.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/16/2012593-il-avait-menace-l-epicier-avec-une-tronconneuse.html
Un jeune homme tué par la police au Havre
Un homme d’une vingtaine d’années a été tué par la police dans la nuit de lundi à mardi dans un quartier sensible du Havre (Seine-Maritime) alors qu'il agressait une autre personne, a-t-on appris mardi auprès du SRPJ de Rouen.
"Cet homme était en train de donner des coups de couteau à une autre personne. Deux policiers ont fait usage de leur arme", a-t-on précisé
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/16/2012729-un-jeune-homme-tue-par-la-police-au-havre.html
"Cet homme était en train de donner des coups de couteau à une autre personne. Deux policiers ont fait usage de leur arme", a-t-on précisé
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/16/2012729-un-jeune-homme-tue-par-la-police-au-havre.html
lundi 15 décembre 2014
Encore un accident grave sur une route de Seine-Maritime
Au lendemain de l'accident d'hier (samedi 13 décembre) près de Fauville en Caux, un autre choc frontal entre deux voitures a eu lieu ce dimanche après midi à Flocques, une commune située près de Eu, au Nord-Est du département de la Seine-Maritime.
Prévenus vers 15h, les secours sont intervenus sur la route départementale D86 où deux véhicules légers étaient entrés en collision. Les deux conducteurs (seuls occupants des véhicules) ont été désincarcérés par les Sapeurs-Pompiers.
Un conducteur âgé de 96 ans n'a pas survécu et a été retrouvé mort.
Dans l'autre voiture, le conducteur, un homme âgé de 40 ans était gravement blessé et a été transporté par hélicoptère au CHU de Rouen.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/12/14/encore-un-accident-grave-sur-une-route-de-seine-maritime-612970.html
Prévenus vers 15h, les secours sont intervenus sur la route départementale D86 où deux véhicules légers étaient entrés en collision. Les deux conducteurs (seuls occupants des véhicules) ont été désincarcérés par les Sapeurs-Pompiers.
Un conducteur âgé de 96 ans n'a pas survécu et a été retrouvé mort.
Dans l'autre voiture, le conducteur, un homme âgé de 40 ans était gravement blessé et a été transporté par hélicoptère au CHU de Rouen.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/12/14/encore-un-accident-grave-sur-une-route-de-seine-maritime-612970.html
Belgique : prise d'otage à Gand par quatre hommes armés
Quatre hommes armés sont retranchés dans un appartement de la ville flamande, où ils retiennent un homme en otage . Il n'y aurait pas de motivation terroriste.
Les autorités belges ont confirmé que quatre hommes ont fait irruption puis se sont retranchés lundi en milieu de matinée dans un appartement d'un quartier populaire d Gand, dans les Flandres. Ils retiendraient en otage un homme.
La police a bouclé les lieux.
A priori, il n'y aurait pas de motivation terroriste à cet acte.
Leur voiture prend feu sur la rocade
«Je roulais, je n'avais rien vu. Ce sont des gens sur la route qui m'ont signalé que l'avant de ma voiture prenait feu.» Le conducteur d'une 307 et ses trois passagers, dont deux enfants, l'ont échappé belle hier après-midi. Alors qu'ils circulaient sur la rocade toulousaine en direction de Montpellier, ils ont tout juste eu le temps de se ranger sur la bande d'arrêt d'urgence, juste avant la sortie La Faourette, et de quitter leur véhicule avant que celui-ci ne s'embrase. Les pompiers, qui sont intervenus vers 14 h 30, ont rapidement maîtrisé le feu. Mais la Peugeot, que son propriétaire avait achetée «il y a un an», n'était plus que tôles calcinées. Un incident que celui-ci n'était pas en mesure d'expliquer : «Ça semblait venir du moteur. Mais comment savoir ce qui se passe sous le capot ?»
noir a été plaqué contre une ...
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/15/2011795-leur-voiture-prend-feu-sur-la-rocade.html
noir a été plaqué contre une ...
dimanche 14 décembre 2014
Cantigny (80) : l'automobiliste de 79 ans est décédé
L'accident s'était produit en milieu d'après-midi, ce samedi. Un automobiliste, âgé de 79 ans, a perdu le contrôle de son véhicule sur la D26, en direction de Fontaine-sous-Montdidier. Transporté dans un état grave à l'hôpital Sud d'Amiens, l'homme est décédé dans la nuit, selon une source policière.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/12/14/cantigny-80-l-automobiliste-de-79-ans-est-decede-612708.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/12/14/cantigny-80-l-automobiliste-de-79-ans-est-decede-612708.html
Un camion chute de 250m dans un ravin à Entrevaux: un blessé grave
Un spectaculaire accident est survenu ce samedi après-midi sur la commune d’Entrevaux (04). Un homme de 52 ans, au volant d’un énorme camion de chantier, est tombé dans un ravin.
Le conducteur a été éjecté alors que l’engin basculait et glissait avant de s’immobiliser 250 m plus bas. Par miracle, la victime a vu sa chute amortie par des arbres.
Les pompiers des Alpes-de-Haute-Provence, épaulés par des collègues de Puget-Théniers, ont secouru le blessé inconscient, victime d’un traumatisme crânien mais en vie. Un hélicoptère de la gendarmerie l’a évacué sur l’hôpital de Digne
http://www.nicematin.com/vallees/un-camion-chute-de-250m-dans-un-ravin-a-entrevaux-un-blesse-grave.2024045.html
Le conducteur a été éjecté alors que l’engin basculait et glissait avant de s’immobiliser 250 m plus bas. Par miracle, la victime a vu sa chute amortie par des arbres.
Les pompiers des Alpes-de-Haute-Provence, épaulés par des collègues de Puget-Théniers, ont secouru le blessé inconscient, victime d’un traumatisme crânien mais en vie. Un hélicoptère de la gendarmerie l’a évacué sur l’hôpital de Digne
http://www.nicematin.com/vallees/un-camion-chute-de-250m-dans-un-ravin-a-entrevaux-un-blesse-grave.2024045.html
Uber autorisé : les taxis appellent à bloquer Paris lundi matin
La circulation s'annonce extrêmement compliquée lundi matin dans la capitale. A l’appel de plusieurs associations, les taxis parisiens sont en effet invités à bloquer les entrées et sorties du boulevard périphérique. Des cortèges pourraient partir des aéroports Roissy Charles-de-Gaule et Orly.
«Un service illégal qui devrait être interdit»
«Il s'agit dire non à l'injustice, non au travail illégal», lance la fédération des taxis indépendants parisiens (FTI75) sur sa page Facebook. «On appelle à bloquer toutes les gares et tous les aéroports parisiens.Uberpop, c'est du taxi déguisé. On ne comprend pas pourquoi la justice ne l'interdit pas en France, alors que cela se fait dans tous les autres pays», s'insurge de son côté Sylla Ibrahima, le président des Taxis de France.
Cet appel au blocage n'est pas lancé par les principales fédérations syndicales de taxi mais par des association ou des artisans taxi indépendants. L'intersyndicale (FO,CGT,CFDT,SDCTP et CST) des taxis à l'origine de mouvements contre la concurrence de certains véhicules (VTC ou motos-taxis) a choisi de ne pas se joindre au mouvement. Même si elle juge aussi que «Uber est un service illégal qui devrait être interdit», elle estime que ce mouvement n'est pas le bienvenu au moment où les gens font leurs achats de Noël mais que surtout les décrets d'application de la loi encadrant les activités de VTC étaient toujours en négociation avec le gouvernement.
Dans ces circonstances, il est diffcile d'évaluer l'ampleur de la manifestation à venir. Ce qui est sûr, c'est que les taxis n'entendent pas en rester là. Dès lundi, l'intersyndicale doit se réunir pour décider d'un éventuel mouvement en janvier. Puis ce sera au tour, mercredi, des principales fédérations de taxi de se retrouver pour évoquer d'éventuelles mobilisations à venir
http://www.leparisien.fr/transports/paris-les-taxis-envisagent-de-bloquer-la-capitale-lundi-matin-13-12-2014-4371795.php
«Un service illégal qui devrait être interdit»
«Il s'agit dire non à l'injustice, non au travail illégal», lance la fédération des taxis indépendants parisiens (FTI75) sur sa page Facebook. «On appelle à bloquer toutes les gares et tous les aéroports parisiens.Uberpop, c'est du taxi déguisé. On ne comprend pas pourquoi la justice ne l'interdit pas en France, alors que cela se fait dans tous les autres pays», s'insurge de son côté Sylla Ibrahima, le président des Taxis de France.
Cet appel au blocage n'est pas lancé par les principales fédérations syndicales de taxi mais par des association ou des artisans taxi indépendants. L'intersyndicale (FO,CGT,CFDT,SDCTP et CST) des taxis à l'origine de mouvements contre la concurrence de certains véhicules (VTC ou motos-taxis) a choisi de ne pas se joindre au mouvement. Même si elle juge aussi que «Uber est un service illégal qui devrait être interdit», elle estime que ce mouvement n'est pas le bienvenu au moment où les gens font leurs achats de Noël mais que surtout les décrets d'application de la loi encadrant les activités de VTC étaient toujours en négociation avec le gouvernement.
Dans ces circonstances, il est diffcile d'évaluer l'ampleur de la manifestation à venir. Ce qui est sûr, c'est que les taxis n'entendent pas en rester là. Dès lundi, l'intersyndicale doit se réunir pour décider d'un éventuel mouvement en janvier. Puis ce sera au tour, mercredi, des principales fédérations de taxi de se retrouver pour évoquer d'éventuelles mobilisations à venir
http://www.leparisien.fr/transports/paris-les-taxis-envisagent-de-bloquer-la-capitale-lundi-matin-13-12-2014-4371795.php
samedi 13 décembre 2014
Une voiture fauche deux piétons à Besançon : un blessé grave
L’accident s’est produit peu après 11h au niveau de la Place Granvelle à l’angle de la rue de la Préfecture et de la Grande rue. D'après les premiers témoins, confirmait par une source policière, la voiture roulait trop vite.
D'après les témoins de l'accident, le véhicule, une Ford Fiesta de couleur grise, circulait Grand rue, puis a tourné à droite, rue de la Préfecture. Roulant à une vitesse excessive, il a percuté deux piétons qui marchait sur le trottoir de la Banque BNP. Les deux piétons, deux hommes âgés entre 25 et 30 ans, ont été blessés, dont un grièvement. Tous deux sont hospitalisés au CHU de Besançon.
A bord de la Ford Fiesta, 4 personnes, trois hommes et une femme. Le chauffard est âgé de 21 ans. Les autres occupants ont entre 20 et 22 ans.
Le conducteur est actuellement en garde à vue. Une enquête est ouverte pour déterminer la vitesse à laquelle il roulait. http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/12/13/une-voiture-fauche-deux-pietons-besancon-un-blesse-grave-612318.html
D'après les témoins de l'accident, le véhicule, une Ford Fiesta de couleur grise, circulait Grand rue, puis a tourné à droite, rue de la Préfecture. Roulant à une vitesse excessive, il a percuté deux piétons qui marchait sur le trottoir de la Banque BNP. Les deux piétons, deux hommes âgés entre 25 et 30 ans, ont été blessés, dont un grièvement. Tous deux sont hospitalisés au CHU de Besançon.
A bord de la Ford Fiesta, 4 personnes, trois hommes et une femme. Le chauffard est âgé de 21 ans. Les autres occupants ont entre 20 et 22 ans.
Le conducteur est actuellement en garde à vue. Une enquête est ouverte pour déterminer la vitesse à laquelle il roulait. http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/12/13/une-voiture-fauche-deux-pietons-besancon-un-blesse-grave-612318.html
Epinay-sur-Seine : blessé par balle en pleine rue
Un homme de 23 ans été hospitalisé vendredi soir après avoir été visé par un tir en pleine rue à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). La victime, connue des services de police mais pour des faits mineurs, s'est présentée vers 21 heures 40 à l'hôpital d'Argenteuil (Val-d'Oise), avec un proche, pour une blessure à la cuisse, a indiqué une source policière.
Le jeune homme, qui présentait une «plaie saignante», a raconté qu'on lui avait jeté une bouteille en verre «alors qu'il se trouvait dans la rue», a précisé une source judiciaire. Les médecins qui l'ont examiné n'ont pas découvert d'éclat de verre. En revanche, «ils ont trouvé un projectile de 9 mm», a ajouté cette source.
Entendu par les enquêteurs, le jeune homme a assuré ne pas savoir qui l'avait agressé, ni pour quelle raison, selon la source policière.
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/epinay-sur-seine-blesse-par-balle-en-pleine-rue-13-12-2014-4371575.php
Le maire en a ras-le-bol de toutes les incivilités
Depuis plusieurs mois, la commune de Beaumont-de-Lomagne vit au rythme des actes de malveillances. Dernier en date, dans la nuit de mercredi à jeudi, où une plaque apposée devant la porte d'une maison de la rue Pierre Fermat, en souvenir d'une jeune fille décédée en 2001 dans un accident, a été vandalisée. Fleurs arrachées, crachats… Le père de famille a déposé plainte, jeudi, à la brigade de gendarmerie. La liste des dégradations et des incivilités s'allonge ainsi, semaine par semaine : à la salle des fêtes, au cimetières, sous la halle…
Une accumulation qui, hier, a rendu furieux pour de bon le maire de Beaumont-de-Lomagne, Jean-Luc Deprince : «Je suis d'un naturel calme, mais la répétition de ces faits délictueux sur la commune commmence à me chauffer les oreilles.»
L'élu estime qu'il est grand temps d'inverser la tendance et cible même une bande d'une dizaine de jeunes individus âgés de 15 à 25 ans qui, selon lui, sont à l'origine de tous ces troubles. «Entre les insultes, les états d'ivresse sur la voie publique, les dégradations et les incivilités répétées, la population est aujourd'hui excédée. C'est mon devoir de tirer la sonnette d'alarme, car c'est l'escalade et un jour ou l'autre, la situation risque de devenir incontrôlable.» Le maire de Beaumont-de-Lomagne n'apparente pas sa démarche à de la délation ou à une posture sécuritaire, mais à un appel ferme au civisme et à la responsabilité de chacun. Jean-Luc Deprince a pris sa plume pour alerte le ministre de l'Intérieur.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/13/2010342-beaumont-lomagne-maire-ras-bol-toutes-incivilites.html
Une accumulation qui, hier, a rendu furieux pour de bon le maire de Beaumont-de-Lomagne, Jean-Luc Deprince : «Je suis d'un naturel calme, mais la répétition de ces faits délictueux sur la commune commmence à me chauffer les oreilles.»
L'élu estime qu'il est grand temps d'inverser la tendance et cible même une bande d'une dizaine de jeunes individus âgés de 15 à 25 ans qui, selon lui, sont à l'origine de tous ces troubles. «Entre les insultes, les états d'ivresse sur la voie publique, les dégradations et les incivilités répétées, la population est aujourd'hui excédée. C'est mon devoir de tirer la sonnette d'alarme, car c'est l'escalade et un jour ou l'autre, la situation risque de devenir incontrôlable.» Le maire de Beaumont-de-Lomagne n'apparente pas sa démarche à de la délation ou à une posture sécuritaire, mais à un appel ferme au civisme et à la responsabilité de chacun. Jean-Luc Deprince a pris sa plume pour alerte le ministre de l'Intérieur.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/13/2010342-beaumont-lomagne-maire-ras-bol-toutes-incivilites.html
vendredi 12 décembre 2014
Var : son smartphone prend feu sur son lit
Au delà de la peur des méfaits des ondes électromagnétiques, l'histoire de Lisa, 15 ans, pourrait bien faire passer l'envie à de nombreuses personnes de dormir avec leur téléphone portable trop près de leur oreiller! Une mauvaise habitude qui a failli tuer cette jeune fille de Sanary-sur-mer (Var).
Dans la nuit de mardi à mercredi, son smartphone a pris feu alors qu'il était branché et posé sur son tour de lit, rapporte ce vendredi Var-Matin.
La mère de Lisa dormait au rez-de-chaussée lorsque l'incident s'est produit à l'étage, dans la chambre de l'adolescente. Son père, pompier volontaire, était de garde! Vers minuit, «j'ai entendu hurler et j'ai cru qu'il y avait quelqu'un dans la maison! Mais c'était Lisa qui criait», témoigne sa mère. Le Samsung Galaxy S4 avait pris feu et générait des «flammes d'un mètre de haut», assure-t-elle.
D'autres cas ?
Problème, il n'y a pas de salle de bain à l'étage et aucun point d'eau. La mère arrive à débrancher le téléphone pendant que Lisa courre chercher de l'eau au rez-de-chaussée. Tout se termine bien. «Je n'aurais pas fait mieux», confie le père, de retour de sa garde
Ce dernier se «réserve le droit d'aller en justice», prévient-il. «L'expert de notre assurance est passé dès mercredi après-midi et a constaté que l'incendie a été causé par le téléphone, récent et entièrement d'origine. Nous sommes allés voir sur Internet et nous avons trouvé un autre cas de Samsung Galaxy S4 ayant pris feu, cet été aux Etats-Unis. (...) Samsung doit en prendre conscience!»
Selon le Daily Mail, une ado de 13 ans a en effet échappé au pire fin juillet au Texas (Etats-Unis). Mais à l'époque, Samsung s'était dédouané en expliquant que la batterie utilisée n'était pas d'origine.
En octobre, une étudiante Canadienne a connu la même mésaventure avec un autre téléphone, rapporte cette semaine Ici Radio Canada. Un incendie s'est également déclenché dans son lit lorsque son Samsung Ace II x, posé sur la table de chevet toute proche, a pris feu. Selon elle, le téléphone n'était pas branché. Après une longue enquête, l'entreprise asiatique a opposé une fin de non recevoir à la famille de la jeune fille, estimant que le téléphone d'origine avait été modifié. Ce que nie la victime.http://www.leparisien.fr/faits-divers/var-son-smartphone-prend-feu-sur-son-lit-12-12-2014-4368931.php
Dans la nuit de mardi à mercredi, son smartphone a pris feu alors qu'il était branché et posé sur son tour de lit, rapporte ce vendredi Var-Matin.
La mère de Lisa dormait au rez-de-chaussée lorsque l'incident s'est produit à l'étage, dans la chambre de l'adolescente. Son père, pompier volontaire, était de garde! Vers minuit, «j'ai entendu hurler et j'ai cru qu'il y avait quelqu'un dans la maison! Mais c'était Lisa qui criait», témoigne sa mère. Le Samsung Galaxy S4 avait pris feu et générait des «flammes d'un mètre de haut», assure-t-elle.
D'autres cas ?
Problème, il n'y a pas de salle de bain à l'étage et aucun point d'eau. La mère arrive à débrancher le téléphone pendant que Lisa courre chercher de l'eau au rez-de-chaussée. Tout se termine bien. «Je n'aurais pas fait mieux», confie le père, de retour de sa garde
Ce dernier se «réserve le droit d'aller en justice», prévient-il. «L'expert de notre assurance est passé dès mercredi après-midi et a constaté que l'incendie a été causé par le téléphone, récent et entièrement d'origine. Nous sommes allés voir sur Internet et nous avons trouvé un autre cas de Samsung Galaxy S4 ayant pris feu, cet été aux Etats-Unis. (...) Samsung doit en prendre conscience!»
Selon le Daily Mail, une ado de 13 ans a en effet échappé au pire fin juillet au Texas (Etats-Unis). Mais à l'époque, Samsung s'était dédouané en expliquant que la batterie utilisée n'était pas d'origine.
En octobre, une étudiante Canadienne a connu la même mésaventure avec un autre téléphone, rapporte cette semaine Ici Radio Canada. Un incendie s'est également déclenché dans son lit lorsque son Samsung Ace II x, posé sur la table de chevet toute proche, a pris feu. Selon elle, le téléphone n'était pas branché. Après une longue enquête, l'entreprise asiatique a opposé une fin de non recevoir à la famille de la jeune fille, estimant que le téléphone d'origine avait été modifié. Ce que nie la victime.http://www.leparisien.fr/faits-divers/var-son-smartphone-prend-feu-sur-son-lit-12-12-2014-4368931.php
Un homme recherché grièvement blessé lors d’une fusillade avec des gendarmes
Un individu, qui a pris pour cible des gendarmes lors d’une opération de gendarmerie vendredi matin à Cannes, a été grièvement blessé par les tirs de riposte des militaires, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Les hommes du groupement des Alpes-Maritimes étaient venus l'interpeller ce vendredi vers 9h dans le centre-ville de Cannes.
«Alors que la colonne d’assaut rentrait dans le logement de l’homme recherché», un individu -- qui s’est avéré être cet homme - «a fait usage d’arme sur les gendarmes en contre bas de l’immeuble», a-t-on précisé de même source. «Les gendarmes ont riposté et blessé l’homme qui avait tiré», a-t-on poursuivi. L’homme, dont le pronostic vital est engagé, a été évacué vers l’hôpital après les premiers soins prodigués par les gendarmes. Connu pour braquages, il est considéré comme «dangereux» par les forces de l’ordre.
http://www.dna.fr/faits-divers/2014/12/12/un-homme-recherche-grievement-blesse-lors-d-une-fusillade-avec-des-gendarmes
«Alors que la colonne d’assaut rentrait dans le logement de l’homme recherché», un individu -- qui s’est avéré être cet homme - «a fait usage d’arme sur les gendarmes en contre bas de l’immeuble», a-t-on précisé de même source. «Les gendarmes ont riposté et blessé l’homme qui avait tiré», a-t-on poursuivi. L’homme, dont le pronostic vital est engagé, a été évacué vers l’hôpital après les premiers soins prodigués par les gendarmes. Connu pour braquages, il est considéré comme «dangereux» par les forces de l’ordre.
http://www.dna.fr/faits-divers/2014/12/12/un-homme-recherche-grievement-blesse-lors-d-une-fusillade-avec-des-gendarmes
En colère contre son employeur, il détourne son fourgon
«Il ne voulait pas me payer, donc j'ai décidé de ne pas ramener le fourgon.» Un jeune homme de 22 ans a comparu mardi à l'audience des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Toulouse pour avoir détourné le fourgon de son employeur, le 2 octobre dernier. Areski travaille dans l'entrepôt d'un sous-traitant d'une société de livraison de colis. «Son patron l'a recruté sans savoir s'il avait le permis. Il a ensuite refusé de le payer», a expliqué son avocat, Me Frédéric David. Le jeune homme, qui s'est retrouvé au volant du fourgon après un abandon de poste d'un employé malade, a donc décidé de ne pas le ramener au dépôt. «J'ai ouvert tous les colis pour voir ce qu'il y avait dedans, mais il n'y avait rien d'intéressant.» Les colis contenaient pour la plupart des produits pharmaceutiques. «J'ai tout jeté à la poubelle.» Il a ensuite abandonné le fourgon de son patron.
Ce n'est néanmoins pas la première fois qu'Areski détourne un véhicule. Mardi, il comparaissait également pour avoir loué une voiture avec un ami le 9 juillet dernier, qu'ils n'ont jamais rendu. «On s'ennuyait. On a fait des tours et on est allé à la mer», a expliqué le jeune homme à ses juges. Ils ont abandonné la voiture sur un parking après l'avoir dégradée. «Ce qu'on apprend dans ce dossier, c'est qu'il ne faut pas passer un véhicule à ce monsieur car il s'en va avec et l'abandonne !», a résumé le parquet. Areski, qui selon son avocat, «passe ses journées chez lui à jouer à la console», a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Toulouse à 105 heures de travail d'intérêt général.
Ce n'est néanmoins pas la première fois qu'Areski détourne un véhicule. Mardi, il comparaissait également pour avoir loué une voiture avec un ami le 9 juillet dernier, qu'ils n'ont jamais rendu. «On s'ennuyait. On a fait des tours et on est allé à la mer», a expliqué le jeune homme à ses juges. Ils ont abandonné la voiture sur un parking après l'avoir dégradée. «Ce qu'on apprend dans ce dossier, c'est qu'il ne faut pas passer un véhicule à ce monsieur car il s'en va avec et l'abandonne !», a résumé le parquet. Areski, qui selon son avocat, «passe ses journées chez lui à jouer à la console», a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Toulouse à 105 heures de travail d'intérêt général.
Gravement blessée dans un accident à Compans
Un violent accident de la circulation s'est produit, hier après-midi, dans le centre-ville de Toulouse. Il était un peu plus de 15 h 30 lorsqu'un véhicule Citroën DS 3 a percuté une jeune femme qui se trouvait sur un passage piéton à l'angle du boulevard Lascrosses et de la rue Lascrosses, dans le secteur de Compans-Cafarelli, au niveau d'un feu tricolore.
Les circonstances de cette collision restaient floues hier. Le feu piéton était-il rouge ou vert au moment de l'accident ? L'enquête devra le déterminer.
Pour cela, les policiers lancent un appel à témoins. Toute personne susceptible de leur apporter des renseignements est priée de se faire connaître en contactant le 05 61 12 78 93 (ou 80 96).
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/12/2010069-gravement-blessee-dans-un-accident-a-compans.html
Appel à témoins
La victime, âgée de 20 ans, a été très sérieusement blessée. Les sapeurs-pompiers et le Samu se sont rapidement transportés sur les lieux de l'accident où ils ont prodigué les premiers soins à la victime.Elle a ensuite été transportée à l'hôpital Purpan. Hier soir, son pronostic vital était engagé. Les forces de police sont également intervenues. Elles ont procédé à l'audition du conducteur de la voiture.Les circonstances de cette collision restaient floues hier. Le feu piéton était-il rouge ou vert au moment de l'accident ? L'enquête devra le déterminer.
Pour cela, les policiers lancent un appel à témoins. Toute personne susceptible de leur apporter des renseignements est priée de se faire connaître en contactant le 05 61 12 78 93 (ou 80 96).
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/12/2010069-gravement-blessee-dans-un-accident-a-compans.html
jeudi 11 décembre 2014
Noé : les gendarmes découvrent le corps sans vie d'une femme, son conjoint activement recherché
En début d'après-midi, mercredi, les gendarmes de Noé ont découvert le cadavre d'une femme de 53 ans dans son jardin. Selon le parquet de Toulouse, la piste de l'homicide est privilégiée. Son mari, un homme de 56 ans, est activement recherché
Mercredi matin, une femme de 53 ans, ne s'était pas rendue à son travail d'institutrice dans une petite commune de l'Ariège. Pour différentes raisons, cette absence a paru suspecte. Les gendarmes, alertés par l'école où travaillait la victime, se sont rendus à son domicile et ont découvert le corps.
Il était dissimulé sous une bâche dans le jardin de la maison. Selon le procureur de Toulouse, le visage de la victime était cyanosé ce qui laisse pensé qu'elle est morte d'asphyxie. Une autopsie sera pratiquée à Toulouse en début d'après-midi jeudi.
Le parquet de Toulouse a confirmé qu'il y avait "de grandes chances qu'il s'agisse d'un meurtre". Peu de traces auraient été trouvées sur la victime. Les enquêteurs sont à la recherche de son époux qui a disparu. Il s'agit d'un chauffeur routier de 56 ans qui a pris sa retraite récemment.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/12/10/noe-les-gendarmes-decouvrent-le-corps-sans-vie-d-une-femme-610516.html
Mercredi matin, une femme de 53 ans, ne s'était pas rendue à son travail d'institutrice dans une petite commune de l'Ariège. Pour différentes raisons, cette absence a paru suspecte. Les gendarmes, alertés par l'école où travaillait la victime, se sont rendus à son domicile et ont découvert le corps.
Il était dissimulé sous une bâche dans le jardin de la maison. Selon le procureur de Toulouse, le visage de la victime était cyanosé ce qui laisse pensé qu'elle est morte d'asphyxie. Une autopsie sera pratiquée à Toulouse en début d'après-midi jeudi.
Le parquet de Toulouse a confirmé qu'il y avait "de grandes chances qu'il s'agisse d'un meurtre". Peu de traces auraient été trouvées sur la victime. Les enquêteurs sont à la recherche de son époux qui a disparu. Il s'agit d'un chauffeur routier de 56 ans qui a pris sa retraite récemment.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/12/10/noe-les-gendarmes-decouvrent-le-corps-sans-vie-d-une-femme-610516.html
Disparition d’Anaïs Guillaume : la piste belge d’un tueur en série
C’est peut-être un tournant dans l’enquête sur la disparition d’Anaïs Guillaume. Le chemin de cette jeune Ardennaise de 21 ans, disparue depuis le 16 avril 2013 aurait croisé celui de Jérémy Pierson, meurtrier présumé de la jeune Béatrice Berlaimont, violée et retrouvée morte le 1er décembre dernier à Arlon, en Belgique. Une piste que la police fédérale belge semble prendre très au sérieux. Avec ce nouvel élément qui pourrait s’avérer capital, elle entendra ce matin un témoin qui pourrait établir définitivement le lien entre cette disparition inquiétante et le tueur présumé interpellé mardi en Belgique.
Des vérifications pourraient en tout cas être faites dans le cadre du dossier de la disparition d’Anaïs Guillaume. L’Ardennaise, originaire de la région de Carignan s’était volatilisée en avril 2013. Sa voiture avait été retrouvée, calcinée, juste à côté de Florenville, une commune belge située à quatorze kilomètres de Blagny, où résidait la jeune femme. Arlon constitue un premier dénominateur commun. Anaïs Guillaume a, en effet, travaillé comme intérimaire durant deux mois au sein de l’usine Ferrero d’Arlon, à 60 kilomètres de Blagny. Tout comme la compagne de Pierson. Le milieu des stupéfiants, côtoyé par le couple, ne serait pas non plus étranger à la jeune disparue.
Hier, un homme a pris contact avec la cellule des personnes disparues pour évoquer ces rapprochements. « On m’a demandé d’aller faire une déposition en bonne et due forme au commissariat de police de mon village », confiait-il hier. « On m’a indiqué que des vérifications seraient ensuite effectuées. Cela ne débouchera peut-être sur rien… »
C’est en tout cas la première piste sérieuse, depuis des mois dans le dossier de la disparition d’Anaïs Guillaume.
http://www.lunion.com/accueil/disparition-d-anais-guillaume-la-piste-belge-d-un-ia0b0n454695
La piste d’Arlon
Jérémy Pierson est également soupçonné du viol d’une automobiliste de 23 ans. L’enquête n’en est qu’à ses débuts. Aujourd’hui, une des questions qui se pose est de savoir si ce Belge de 26 ans pourrait avoir commis d’autres crimes, en lien notamment avec des personnes disparues.Des vérifications pourraient en tout cas être faites dans le cadre du dossier de la disparition d’Anaïs Guillaume. L’Ardennaise, originaire de la région de Carignan s’était volatilisée en avril 2013. Sa voiture avait été retrouvée, calcinée, juste à côté de Florenville, une commune belge située à quatorze kilomètres de Blagny, où résidait la jeune femme. Arlon constitue un premier dénominateur commun. Anaïs Guillaume a, en effet, travaillé comme intérimaire durant deux mois au sein de l’usine Ferrero d’Arlon, à 60 kilomètres de Blagny. Tout comme la compagne de Pierson. Le milieu des stupéfiants, côtoyé par le couple, ne serait pas non plus étranger à la jeune disparue.
Hier, un homme a pris contact avec la cellule des personnes disparues pour évoquer ces rapprochements. « On m’a demandé d’aller faire une déposition en bonne et due forme au commissariat de police de mon village », confiait-il hier. « On m’a indiqué que des vérifications seraient ensuite effectuées. Cela ne débouchera peut-être sur rien… »
C’est en tout cas la première piste sérieuse, depuis des mois dans le dossier de la disparition d’Anaïs Guillaume.
http://www.lunion.com/accueil/disparition-d-anais-guillaume-la-piste-belge-d-un-ia0b0n454695
Collision TER-camion : le routier a tenté de soulever la barrière
Pendant que les équipes de la SNCF étaient à pied d'œuvre pour dégager les débris des voies et rétablir en partie le trafic dans la soirée, les enquêteurs ont auditionné le chauffeur du camion égaré sur la voie et percuté par le train.
Une quinzaine d'agents ont œuvré toute la nuit, une trentaine tout hier. La SNCF a déployé un gros bataillon d'agents de maintenance et de travaux pour débuter les réparations des dégâts importants provoqués par la collision entre un train express régional (TER) et un camion, survenue, mardi, à 18 h 15, au passage à niveau de Verlhaguet (lire notre édition d'hier). Le trafic a été totalement interrompu entre Toulouse et Montauban. Il s'agissait de déblayer tous les débris du camion et de toute sa cargaison de meubles et d'objets de décoration, un véritable champ de bataille. Il fallait aussi remettre sur les rails la rame endommagée qui avait déraillé (sans se coucher), entreprendre les travaux de changement de 450 traverses et du ballast, réparer 300 mètres de caténaires dégradés, changer des poteaux métalliques… Tout n'a pas été réalisé hier. Mais vers 17 heures, un premier objectif était atteint : la circulation ferroviaire pouvait reprendre partiellement entre Toulouse et Montauban. Une des deux voies venait d'être remise en service et permettait de retrouver un trafic normal des TGV et des Intercités, ainsi qu'à deux TER sur trois de circuler à nouveau. La remise en état de la seconde voie et le rétablissement complet du trafic sur la ligne Toulouse-Montauban prendront encore quelques jours.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/11/2009031-le-routier-a-tente-de-soulever-la-barriere.html
Une quinzaine d'agents ont œuvré toute la nuit, une trentaine tout hier. La SNCF a déployé un gros bataillon d'agents de maintenance et de travaux pour débuter les réparations des dégâts importants provoqués par la collision entre un train express régional (TER) et un camion, survenue, mardi, à 18 h 15, au passage à niveau de Verlhaguet (lire notre édition d'hier). Le trafic a été totalement interrompu entre Toulouse et Montauban. Il s'agissait de déblayer tous les débris du camion et de toute sa cargaison de meubles et d'objets de décoration, un véritable champ de bataille. Il fallait aussi remettre sur les rails la rame endommagée qui avait déraillé (sans se coucher), entreprendre les travaux de changement de 450 traverses et du ballast, réparer 300 mètres de caténaires dégradés, changer des poteaux métalliques… Tout n'a pas été réalisé hier. Mais vers 17 heures, un premier objectif était atteint : la circulation ferroviaire pouvait reprendre partiellement entre Toulouse et Montauban. Une des deux voies venait d'être remise en service et permettait de retrouver un trafic normal des TGV et des Intercités, ainsi qu'à deux TER sur trois de circuler à nouveau. La remise en état de la seconde voie et le rétablissement complet du trafic sur la ligne Toulouse-Montauban prendront encore quelques jours.
Le récit du routier
Au lendemain de l'accident, de nombreuses questions persistent sur les circonstances exactes de la collision. Les enquêteurs du commissariat de Montauban ont longuement auditionné, hier, le chauffeur du camion italien, afin de connaître tous les détails. Il est un plus de 18 heures, mardi, lorsque le routier se présente au passage à niveau de Verlhaguet. Il fait déjà bien nuit. Au moment de franchir ce passage, les barrières sont normalement levées. Il s'engage, mais, arrivé au milieu, il s'arrête. Entre-temps, en effet, un autre camion a également avancé dans le passage. Les deux conducteurs tergiversent. Finalement, le chauffeur du camion italien laissera passer l'autre, avant de devoir manœuvrer pour repartir à son tour. Au même moment, la sonnerie et les barrières s'abaissent. Le TER qui a quitté la gare de Montauban à 18 h 11 va arriver. Le poids lourd est bloqué. Pour dégager, «quand les barrières sont abaissées, il ne reste alors que 29 secondes», précise Réseau ferré de France. Le chauffeur s'extrait de la cabine et tente, désespérément, de relever la barrière à la main. Il n'a pas le temps. Il voit le train se rapprocher, à 120 km/h. Le routier court se mettre à l'abri. Le choc est terrible. Le camion explose. Le train, à bord duquel voyageaient 80 personnes, s'est immobilisé 300 mètres plus loin.http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/11/2009031-le-routier-a-tente-de-soulever-la-barriere.html
Rangueil : retrouvé défenestré après une soirée étudiante arrosée
Jeudi dernier, une soirée étudiante s'est mal terminée pour un jeune homme de 23 ans.
Au cours de la fête, qui battait son plein dans la cité universitaire Ponsan-Bellevue, sur le campus de Rangueil à Toulouse, le jeune homme a bu plus que de raison. Au point que son état de santé a fini par susciter l'inquiétude de ses amis. Ceux-ci ont décidé de le raccompagner jusqu'à sa chambre d'étudiant où ils l'ont enfermé à double-tour.
Que s'est-il exactement passé entre le moment où ses amis ont ramené chez lui l'étudiant et le moment où on l'a retrouvé le lendemain ? Les enquêteurs de la sûreté départementale, qui n'ont été saisis de l'enquête que mardi, tentent depuis de comprendre comment il s'est retrouvé là.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/11/2009309-rangueil-retrouve-defenestre-apres-une-soiree-etudiante-arrosee.html
Au cours de la fête, qui battait son plein dans la cité universitaire Ponsan-Bellevue, sur le campus de Rangueil à Toulouse, le jeune homme a bu plus que de raison. Au point que son état de santé a fini par susciter l'inquiétude de ses amis. Ceux-ci ont décidé de le raccompagner jusqu'à sa chambre d'étudiant où ils l'ont enfermé à double-tour.
Trouvé inconscient
Mais vendredi matin, le jour a dévoilé l'étudiant, gisant sur le sol à l'extérieur de la résidence… au pied de la fenêtre ouverte de son studio, situé au premier étage. Le jeune homme a aussitôt été transporté, inconscient, à l'hôpital Purpan. Il a été admis au service de réanimation du CHU toulousain dans le coma et avec un traumatisme crânien. Ses jours ne sont néanmoins plus en danger.Que s'est-il exactement passé entre le moment où ses amis ont ramené chez lui l'étudiant et le moment où on l'a retrouvé le lendemain ? Les enquêteurs de la sûreté départementale, qui n'ont été saisis de l'enquête que mardi, tentent depuis de comprendre comment il s'est retrouvé là.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/11/2009309-rangueil-retrouve-defenestre-apres-une-soiree-etudiante-arrosee.html
mercredi 10 décembre 2014
Bébé noyé dans la Garonne : le père conteste son incarcération
Soupçonné d'infanticide, il a précisé qu'il s'est agi d'une chute accidentelle et s'oppose fermement à la thèse de l'assassinat, voire même de la préméditation. Pour le ministère public comme pour les avocats de la mère de Yumi il s' agit d'homicide volontaire sur mineur de 15 ans, raison pour laquelle d'ailleurs le prévenu a été mis en examen et écroué.
Il a fait appel de ce placement en détention provisoire. Mais hier, le parquet général a demandé confirmation de cette mesure. Rappelons que que ce drame s'inscrit dans un contexte de séparation très difficile entre les parents de Yumi.
« Il avait juré à la mère qu'elle ne reverrait jamais son enfant, il a mis sa menace à exécution », observe l'avocate de la mère. La chambre de l'instruction de la cour d'appel donnera sa décision jeudi.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/12/10/bebe-noye-dans-la-garonne-le-pere-conteste-son-incarceration-609940.html
Il a fait appel de ce placement en détention provisoire. Mais hier, le parquet général a demandé confirmation de cette mesure. Rappelons que que ce drame s'inscrit dans un contexte de séparation très difficile entre les parents de Yumi.
« Il avait juré à la mère qu'elle ne reverrait jamais son enfant, il a mis sa menace à exécution », observe l'avocate de la mère. La chambre de l'instruction de la cour d'appel donnera sa décision jeudi.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/12/10/bebe-noye-dans-la-garonne-le-pere-conteste-son-incarceration-609940.html
Marmande : un motard blessé dans un accident de la route
Il était 8 heures ce mercredi matin, lorsqu'un accident impliquant une voiture et une moto est survenu sur la rocade de Marmande.
Le conducteur d'une Renault Express, âgé de 75 ans, non loin de son domicile, a percuté un motard, provoquant une collision.
Le motard a été éjecté de son engin et souffre d'une importante fracture à la jambe.
Il a été évacué par les sapeurs-pompiers de Marmande au centre hospitalier de la commune.
http://www.sudouest.fr/2014/12/10/marmande-un-motard-blesse-dans-un-accident-de-la-route-ce-mercredi-matin-1763716-3755.php
Le conducteur d'une Renault Express, âgé de 75 ans, non loin de son domicile, a percuté un motard, provoquant une collision.
Le motard a été éjecté de son engin et souffre d'une importante fracture à la jambe.
Il a été évacué par les sapeurs-pompiers de Marmande au centre hospitalier de la commune.
http://www.sudouest.fr/2014/12/10/marmande-un-motard-blesse-dans-un-accident-de-la-route-ce-mercredi-matin-1763716-3755.php
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