Pour une futile histoire d’écharpe lors d’une fête improvisée et très alcoolisée sur le bord de mer à Cannes, Mehrez Rezgui avait été frappé en juin 2009 à coups de pied, de poing et même de tuiles. Ce Tunisien de 28 ans était décédé une semaine plus tard à l’hôpital de Grasse d’un grave traumatisme crânien. Mais devant la cour d’assises des A.-M., les cinq présumés agresseurs, de même origine que la victime, relativisent la violence du passage à tabac. Mohamed Dridi avoue « deux à trois claques » puis jure s’être employé à calmer les copains. Il aurait même appelé les secours si « la batterie de son téléphone ne l’avait pas lâché ».
Un meneur inspirant la crainte ?
Salem Milad confesse « quelques coups de poing, pas méchants ou alors vite fait ». Il évoque un « accident », ce qui fait bondir la présidente Anne Segond. « Vous avez poursuivi à cinq et frappé un homme à trois endroits différents, vous vous êtes acharnés sur lui et vous parlez d’accident... C’est très inquiétant ».
Zied Fredj reconnaît « des coups légers » et affirme ne plus se souvenir des quatre tuiles brisées près d’une propriété d’Auribeau-sur-Siagne sur la tête de Mehrez Rezgui. Tous trois tentent de dédouaner Foued Ben Ayech, s’exprimant avec autorité et souvent présenté comme un meneur. Ces rétractations concordantes sont-elles dictées par des menaces ou des pressions, s’interroge alors l’avocate générale Gwenaelle Ledoigt ? «En aucun cas », se rengorgent les intéressés.
Fondé ou non, le climat de peur est palpable lorsque déposent à la barre deux amies des accusés, âgées à l’époque de 17 ans et qui ont assisté aux violences. Particulièrement fuyante dans ses déclarations, Marine explique avoir « perdu la mémoire ». Au bord des larmes, elle jure que ce n’est pas par crainte de représailles qu’elle n’a jamais alerté la police ou ses parents. Cette abstention lui vaudra, en compagnie de Marie, de répondre devant le tribunal pour enfants de « non- dénonciation de crime ».
Verdict ce soir tard
Marie se montre un peu plus prolixe, même si elle évite de tourner les yeux vers le box des détenus. « Effectivement, concède-t-elle, Zied Fredj qu’elle fréquenta brièvement, s’énerve vite sous l’effet de l’alcool ». Et elle ne serait pas venue à la fête si elle « avait su que Foued Ben Ayech s’y trouvait ».
Le verdict est attendu ce soir tard, après une journée marathon englobant le réquisitoire de l’avocat général et les plaidoiries de la défense. Aucune partie civile n’est représentée au procés. La victime étant clandestine en France, ses proches, résidant en Tunisie, n’avaient pas droit à l’aide juridictionnelle (accordée aux justiciables les plus démunis). Quant à l’avocat secondant la famille Rezgui, il travaillait sans être payé depuis l’instruction et il a fini par jeter le gant.
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
jeudi 30 juin 2011
Deux pompiers volontaires meurent électrocutés
Le drame a eu lieu tard mercredi. Près d'Annot, dans les Alpes-de-Haute-Provence, deux sapeurs-pompiers volontaires sont morts électrocutés lors d'une opération de déblaiement après un incendie d'habitation.
D'après les premiers éléments de l'enquête, les deux hommes de 30 et 55 ans ont été électrocutés dans un hameau de la commune de Méailles vers 23H30. Une tôle serait tombée sur le câble d'alimentation électrique externe de la maison.
Les deux sapeurs-pompiers appartenaient au Centre d'incendie et de secours d'Annot. L'un de leur collègues, âgé de 20 ans, a été légèrement blessé. La préfète des Alpes-de-Haute-Provence et le président du SDIS 04 se sont rendus sur les lieux de l'accident cette nuit.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/2011-06/deux-pompiers-volontaires-meurent-electrocutes-6559180.html
D'après les premiers éléments de l'enquête, les deux hommes de 30 et 55 ans ont été électrocutés dans un hameau de la commune de Méailles vers 23H30. Une tôle serait tombée sur le câble d'alimentation électrique externe de la maison.
Les deux sapeurs-pompiers appartenaient au Centre d'incendie et de secours d'Annot. L'un de leur collègues, âgé de 20 ans, a été légèrement blessé. La préfète des Alpes-de-Haute-Provence et le président du SDIS 04 se sont rendus sur les lieux de l'accident cette nuit.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/2011-06/deux-pompiers-volontaires-meurent-electrocutes-6559180.html
Magnien : accident mortel, l’audience des larmes
Le 28 mai 2010 restera à jamais un jour maudit pour la famille de ce jeune homme, pour ses parents, pour ses sœurs et son frère et pour sa petite amie qui était au volant de la voiture percutée à Magnien, dans le canton d’Arnay-le-Duc. La jeune femme avait elle aussi été grièvement blessée.
A la barre, la prévenue peut à peine s’exprimer tant elle est submergée par l’émotion. Pour que le tribunal comprenne les circonstances de l’accident, le président Alain Chalopin lit la déposition de sa fille qui était passagère. Elle avait expliqué aux gendarmes que sa mère était habituellement prudente, qu’elle roulait ce jour-là à une vitesse normale, jusqu’à ce qu’un moment d’inattention, – où s’était-elle assoupie quelques secondes ? – lui fasse perde le contrôle de son véhicule qui s’était alors totalement déporté sur la voie de droite et avait percuté la voiture des victimes qui arrivait en face.
« Je ne me souviens de rien », a ajouté la prévenue. « J’ai dit que je m’étais assoupie, j’ai vraiment un trou noir. »
Le procureur Michel Régnier, en ouverture de son réquisitoire, s’excuse d’avance, lui aussi : « Face à une telle douleur, mes mots seront bien pauvres », mais il ne veut pas pour autant accabler la femme à la barre. « Les conséquences de l’accident sont révoltantes, mais le comportement de la prévenue ne l’est pas. »
Des propos qui seront repris par M e Dominique Hamann, à la défense, qui a ajouté que sa cliente, en profonde dépression, c’était elle-même construit sa prison et qu’elle redoutait, mais attendait, ce procès, pour que justice soit faite.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/29/magnien-accident-mortel-l-audience-des-larmes
A la barre, la prévenue peut à peine s’exprimer tant elle est submergée par l’émotion. Pour que le tribunal comprenne les circonstances de l’accident, le président Alain Chalopin lit la déposition de sa fille qui était passagère. Elle avait expliqué aux gendarmes que sa mère était habituellement prudente, qu’elle roulait ce jour-là à une vitesse normale, jusqu’à ce qu’un moment d’inattention, – où s’était-elle assoupie quelques secondes ? – lui fasse perde le contrôle de son véhicule qui s’était alors totalement déporté sur la voie de droite et avait percuté la voiture des victimes qui arrivait en face.
« Je ne me souviens de rien », a ajouté la prévenue. « J’ai dit que je m’étais assoupie, j’ai vraiment un trou noir. »
Un drame aveuglant
« Ce n’est pas la faute à pas de chance ! Cela, la famille ne veut pas l’entendre ! », s’est exclamé M e Bertrand Didier, le conseil des parties civiles. Pour l’avocat, c’est un rôle difficile, car si le désir de comprendre les circonstances exactes du drame est légitime, il s’agit aussi d’expliquer que la peine qui sera prononcée au pénal n’a rien à voir avec la douleur ressentie par la famille.Le procureur Michel Régnier, en ouverture de son réquisitoire, s’excuse d’avance, lui aussi : « Face à une telle douleur, mes mots seront bien pauvres », mais il ne veut pas pour autant accabler la femme à la barre. « Les conséquences de l’accident sont révoltantes, mais le comportement de la prévenue ne l’est pas. »
Des propos qui seront repris par M e Dominique Hamann, à la défense, qui a ajouté que sa cliente, en profonde dépression, c’était elle-même construit sa prison et qu’elle redoutait, mais attendait, ce procès, pour que justice soit faite.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/29/magnien-accident-mortel-l-audience-des-larmes
mercredi 29 juin 2011
Il enlève son ex et la séquestre 24 heures
La folle cavale aura duré 24h et s'achève heureusement, sans bain de sang. Hier soir, la jeune femme de 28 ans, séquestrée par son ancien compagnon et père de ses deux enfants, a été retrouvée saine et sauve. Son ravisseur, Pierre A., 32 ans, a été interpellé sans difficultés à Urt, vers 18 h 45.
Tout commence lundi, vers 18 h 30, à Ogenne-Camptort, sur le lieu de travail de la victime, ouvrière chez un éleveur de canards. « Elle était dans la salle de gavage avec un autre salarié en train de préparer du matériel, lorsqu'il est apparu. Il avait une arme et l'a forcée à le suivre », raconte Patrice Pourailly, l'employeur de la mère de famille. Le trentenaire est en possession d'un fusil de chasse. Il s'engouffre dans sa Renault Mégane avec sa victime et démarre en trombe. Le collègue de la jeune ouvrière donne aussitôt l'alerte.
Un plan Épervier est déclenché dans la foulée. « Tous les moyens humains et techniques possibles ont été utilisés, que ce soit la géolocalisation du téléphone portable, l'hélicoptère de la gendarmerie de Cazaux (33) ou encore des patrouilles qui ont ratissé le secteur pendant toute la nuit », explique Céline Raignault, vice-procureur à Pau.
Mais ces premiers efforts ne donnent pas de résultat. Localisé à plusieurs reprises, notamment à cause de son portable, le fuyard est vu à Saint-Martin-de-Seignanx, dans les Landes, hier matin, en train de faire un plein d'essence. Aussi sec, le groupement de gendarmerie des Landes est sollicité et vient renforcer la centaine de militaires des Pyrénées-Atlantiques déjà mobilisés sur cette affaire. Le plan Épervier est déclenché de l'autre côté de l'Adour, mais la Mégane reste introuvable.
En fin d'après-midi, hier, elle est reconnue par une patrouille postée sur le pont d'Urt. L'ouvrage qui marque la frontière entre les deux départements s'avère être un cul-de-sac pour le kidnappeur qui, pris en tenaille, se laisse interpeller sans résistance. Assise dans le véhicule, sa victime est finalement libérée.
La jeune femme devait être examinée par un médecin dans la soirée avant d'être entendue par les enquêteurs et de retrouver ses deux jeunes enfants, à Lucq-de-Béarn, la commune où vit le couple, séparé depuis quelque temps. Une rupture que le trentenaire, intérimaire et déjà connu de la justice pour des faits de violences conjugales sur son ex-concubine, n'aurait pas acceptée et qui pourrait être à l'origine de son geste.
Hier soir, l'homme devait être transféré dans les locaux de la section de recherches de Pau pour être placé en garde à vue. La brigade de recherches d'Oloron-Sainte-Marie est également saisie de l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2011/06/29/il-enleve-son-ex-et-la-sequestre-24-heures-438665-4319.php
Tout commence lundi, vers 18 h 30, à Ogenne-Camptort, sur le lieu de travail de la victime, ouvrière chez un éleveur de canards. « Elle était dans la salle de gavage avec un autre salarié en train de préparer du matériel, lorsqu'il est apparu. Il avait une arme et l'a forcée à le suivre », raconte Patrice Pourailly, l'employeur de la mère de famille. Le trentenaire est en possession d'un fusil de chasse. Il s'engouffre dans sa Renault Mégane avec sa victime et démarre en trombe. Le collègue de la jeune ouvrière donne aussitôt l'alerte.
Un plan Épervier est déclenché dans la foulée. « Tous les moyens humains et techniques possibles ont été utilisés, que ce soit la géolocalisation du téléphone portable, l'hélicoptère de la gendarmerie de Cazaux (33) ou encore des patrouilles qui ont ratissé le secteur pendant toute la nuit », explique Céline Raignault, vice-procureur à Pau.
Mais ces premiers efforts ne donnent pas de résultat. Localisé à plusieurs reprises, notamment à cause de son portable, le fuyard est vu à Saint-Martin-de-Seignanx, dans les Landes, hier matin, en train de faire un plein d'essence. Aussi sec, le groupement de gendarmerie des Landes est sollicité et vient renforcer la centaine de militaires des Pyrénées-Atlantiques déjà mobilisés sur cette affaire. Le plan Épervier est déclenché de l'autre côté de l'Adour, mais la Mégane reste introuvable.
En fin d'après-midi, hier, elle est reconnue par une patrouille postée sur le pont d'Urt. L'ouvrage qui marque la frontière entre les deux départements s'avère être un cul-de-sac pour le kidnappeur qui, pris en tenaille, se laisse interpeller sans résistance. Assise dans le véhicule, sa victime est finalement libérée.
La jeune femme devait être examinée par un médecin dans la soirée avant d'être entendue par les enquêteurs et de retrouver ses deux jeunes enfants, à Lucq-de-Béarn, la commune où vit le couple, séparé depuis quelque temps. Une rupture que le trentenaire, intérimaire et déjà connu de la justice pour des faits de violences conjugales sur son ex-concubine, n'aurait pas acceptée et qui pourrait être à l'origine de son geste.
Hier soir, l'homme devait être transféré dans les locaux de la section de recherches de Pau pour être placé en garde à vue. La brigade de recherches d'Oloron-Sainte-Marie est également saisie de l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2011/06/29/il-enleve-son-ex-et-la-sequestre-24-heures-438665-4319.php
Vol de bijoux : deux gamins viennent en aide à la victime
Mardi en début d’après midi dans le quartier des jardins de la Fontaine, à Nîmes, un voleur s’est attaqué à une passante âgée de 80 ans environ et lui a arraché sa chaîne.
Deux jeunes garçons âgés d’environ 14 ans ont alors pourchassé et maîtrisé le voleur, puis récupéré le bijoux pour le remettre à la victime. Alertés, les policiers ont mis la main sur le voleur, un mineur.
II a été déféré au parquet de Nîmes, placé sous contrôle judiciaire et comparaitra dans les prochaines semaines devant le juge des enfants.
http://www.midilibre.fr/2011/06/29/dma-vol-de-bijoux-deux-gamins-viennent-en-aide-a-la-victime,345711.php
Deux jeunes garçons âgés d’environ 14 ans ont alors pourchassé et maîtrisé le voleur, puis récupéré le bijoux pour le remettre à la victime. Alertés, les policiers ont mis la main sur le voleur, un mineur.
II a été déféré au parquet de Nîmes, placé sous contrôle judiciaire et comparaitra dans les prochaines semaines devant le juge des enfants.
http://www.midilibre.fr/2011/06/29/dma-vol-de-bijoux-deux-gamins-viennent-en-aide-a-la-victime,345711.php
Un homme se tue en tombant du cinquième étage
Un homme de 30 ans s'est tué en tombant du cinquième étage d'un immeuble de la cité du Grand Verger à Toulouse, hier matin. Il voulait rentrer chez lui mais avait oublié les clefs. Il a tenté de descendre en rappel du toit de l'immeuble jusqu'à son balcon.
Un terrible drame s'est produit, hier matin, au 16 rue de la Tour, dans la cité du Grand Verger dans le quartier des Minimes à Toulouse. Il était aux alentours de 7 h 30 du matin lorsqu'un homme s'est écrasé au pied d'un immeuble de cinq étages.
Selon nos informations, Bafodé Sakho, 30 ans, de retour chez lui, avec son épouse, après un séjour à Paris, a voulu regagner son appartement du quatrième étage. C'est à ce moment qu'il se serait aperçu qu'il n'avait pas les clés du logement.
Plutôt que d'appeler un serrurier, l'homme qui voulait rentrer chez lui a décidé de gagner son logement en passant par son balcon. Pour ce faire, il est monté jusqu'à une terrasse du cinquième étage surplombant son balcon pour tenter de trouver une solution.
À cet endroit se trouvent des fils de fer qui peuvent servir à étendre du linge. Il s'est saisi d'un de ces fils attaché à un crochet et a entrepris de descendre en rappel l'étage qui le séparait de chez lui.
Sous son poids, le crochet a cédé et le fil s'est décroché l'entraînant dans sa chute. Le père de famille n'est pas parvenu à se retenir à l'immeuble et est allé s'écraser, face contre terre, plusieurs mètres plus bas.
Hier, dans la cité, les voisins de la victime étaient consternés. « On est très choqués, soulignait Samia. C'était mon voisin. » Heykel, 18 ans, habite l'immeuble depuis qu'il est né. « Il était là depuis très longtemps. C'était un homme gentil et calme. » La victime habitait cet appartement avec son épouse et ses quatre enfants. « Ils jouent souvent dans la cour. Ce sont des gens bien. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/29/1118155-un-homme-se-tue-en-tombant-du-cinquieme-etage.html
Un terrible drame s'est produit, hier matin, au 16 rue de la Tour, dans la cité du Grand Verger dans le quartier des Minimes à Toulouse. Il était aux alentours de 7 h 30 du matin lorsqu'un homme s'est écrasé au pied d'un immeuble de cinq étages.
Selon nos informations, Bafodé Sakho, 30 ans, de retour chez lui, avec son épouse, après un séjour à Paris, a voulu regagner son appartement du quatrième étage. C'est à ce moment qu'il se serait aperçu qu'il n'avait pas les clés du logement.
Plutôt que d'appeler un serrurier, l'homme qui voulait rentrer chez lui a décidé de gagner son logement en passant par son balcon. Pour ce faire, il est monté jusqu'à une terrasse du cinquième étage surplombant son balcon pour tenter de trouver une solution.
À cet endroit se trouvent des fils de fer qui peuvent servir à étendre du linge. Il s'est saisi d'un de ces fils attaché à un crochet et a entrepris de descendre en rappel l'étage qui le séparait de chez lui.
Sous son poids, le crochet a cédé et le fil s'est décroché l'entraînant dans sa chute. Le père de famille n'est pas parvenu à se retenir à l'immeuble et est allé s'écraser, face contre terre, plusieurs mètres plus bas.
Les voisins sont très choqués
Un voisin, témoin de la scène, s'est immédiatement porté à son secours et a tenté de lui prodiguer les premiers soins. Malgré ses nombreux efforts et ceux des sapeurs-pompiers arrivés rapidement sur les lieux, Bafodé Sakho est décédé sur place. Il était père de quatre enfants.Hier, dans la cité, les voisins de la victime étaient consternés. « On est très choqués, soulignait Samia. C'était mon voisin. » Heykel, 18 ans, habite l'immeuble depuis qu'il est né. « Il était là depuis très longtemps. C'était un homme gentil et calme. » La victime habitait cet appartement avec son épouse et ses quatre enfants. « Ils jouent souvent dans la cour. Ce sont des gens bien. »
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/29/1118155-un-homme-se-tue-en-tombant-du-cinquieme-etage.html
Un chauffard des mers mis en examen
Un plaisancier soupçonné d'avoir causé la mort d'un baigneur de 27 ans dimanche soir, au large de la plage de Corbières à Marseille, a été mis en examen hier soir pour "homicide involontaire par manquement délibéré à une obligation de prudence", selon une source judiciaire.
L'homme, âgé de 41 ans, a été laissé en liberté, mais placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de piloter un navire.
Au moment des faits, il était aux commandes d'une vedette de 5,20 mètres équipée d'un moteur de 130 chevaux.
L'enquête menée par la gendarmerie maritime a établi que le bateau se trouvait dans la bande des 300 mètres et se déplaçait à une vitesse non appropriée. Des analyses toxicologiques ont en outre montré que le chauffard des mers avait consommé du cannabis.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/29/97001-20110629FILWWW00357-un-chauffard-des-mers-mis-en-examen.php
L'homme, âgé de 41 ans, a été laissé en liberté, mais placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de piloter un navire.
Au moment des faits, il était aux commandes d'une vedette de 5,20 mètres équipée d'un moteur de 130 chevaux.
L'enquête menée par la gendarmerie maritime a établi que le bateau se trouvait dans la bande des 300 mètres et se déplaçait à une vitesse non appropriée. Des analyses toxicologiques ont en outre montré que le chauffard des mers avait consommé du cannabis.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/29/97001-20110629FILWWW00357-un-chauffard-des-mers-mis-en-examen.php
Lyon : roué de coups au pied d’un immeuble un homme de 35 ans dans le coma
Mardi vers deux heures et demie du matin, un habitant de la barre située 460 avenue de la Sauvegarde à Lyon (9 e) a été alerté par un bruit inhabituel. Des gémissements de douleurs provenaient de l’espace vert situé en face de l’immeuble et, comprenant que quelqu’un était en danger, il a aussitôt alerté les pompiers. Un homme torse nu gisait à terre, le visage complètement tuméfié et présentant de nombreuses traces de coups. Il était inconscient. Admis à l’hôpital Édouard-Herriot dans un état très inquiétant, il était hier dans le coma. Souffrant d’un œdème cérébral, il risque de lourdes séquelles neurologiques. Il présente également de multiples traumatismes au thorax, probablement provoqués par de violents coups de pied alors qu’il était déjà au sol. Quand il a été pris en charge, il n’avait aucun papier sur lui. Il n’a pu être identifié qu’hier matin par les enquêteurs de la brigade criminelle, grâce à ses empreintes digitales. Âgé de 35 ans, il vit dans le quartier, rue Marius-Donjon. Il est père d’un enfant, mais il est séparé de la mère qui habite dans le nord de l’agglomération lyonnaise. Selon des proches, il aurait été incarcéré jusqu’à une date récente au Maroc, pour une affaire de stupéfiants. Mais en France, il n’est connu que pour des infractions mineures, notamment un défaut de permis de conduire. Que s’est-il passé dans la nuit de lundi à mardi ? Aucune hypothèse n’est exclue : mauvaise rencontre, conflit de voisinage qui tourne mal ou règlement de compte. La nature des blessures indique qu’il aurait été frappé à coups de poing et de pied, sans usage d’objet contondant. Il reste à espérer qu’il sorte du coma et puisse être entendu par les enquêteurs.
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/06/29/roue-de-coups-au-pied-d-un-immeuble-un-homme-de-35-ans-dans-le-coma
http://www.leprogres.fr/rhone/2011/06/29/roue-de-coups-au-pied-d-un-immeuble-un-homme-de-35-ans-dans-le-coma
Florensac Les parents de Carla déposent plainte
"Nous avons déposé plainte ce matin contre le collège de Florensac, la CPE et le gendarme qui nous ont reçus dans les jours avant le drame. On veut comprendre ce qui s’est passé dans ce système où on a averti tout le monde des risques de représailles, où on nous a dit d’être tranquilles, et où notre fille est morte."
Comme ils l’avaient annoncé jeudi dernier dans Midi Libre, les parents de Carla, l’adolescente de 13 ans tuée la semaine dernière devant son collège à Florensac, ont saisi hier matin la justice pour que soient examinés de près les événements ayant précédé le drame.
"J’ai aussi fait deux demandes d’enquêtes administratives, auprès de la gendarmerie et de l’Education nationale, avec un courrier au ministre Chatel", insiste leur avocat, Me Abratkiewicz. Au-delà de cette soif de justice, Anne et Sébastien Figuera "tiennent à remercier très chaleureusement toutes les personnes qui se sont associées à leur peine et qui ont accompagné Carla dans son dernier voyage".
http://www.midilibre.fr/2011/06/28/les-parents-de-carla-deposent-plainte,345266.php
Comme ils l’avaient annoncé jeudi dernier dans Midi Libre, les parents de Carla, l’adolescente de 13 ans tuée la semaine dernière devant son collège à Florensac, ont saisi hier matin la justice pour que soient examinés de près les événements ayant précédé le drame.
"J’ai aussi fait deux demandes d’enquêtes administratives, auprès de la gendarmerie et de l’Education nationale, avec un courrier au ministre Chatel", insiste leur avocat, Me Abratkiewicz. Au-delà de cette soif de justice, Anne et Sébastien Figuera "tiennent à remercier très chaleureusement toutes les personnes qui se sont associées à leur peine et qui ont accompagné Carla dans son dernier voyage".
http://www.midilibre.fr/2011/06/28/les-parents-de-carla-deposent-plainte,345266.php
Policière tuée en 2010: l'un des braqueurs interpellé
Redoine Faïd, un braqueur qui avait échappé en janvier à des interpellations dans l'enquête sur une policière municipale tuée lors d'une fusillade en mai 2010 dans le Val-de-Marne, a été interpellé ce mardi à Lille.
Il était vraisemblablement sur le point de participer à un projet de braquage de transport de fonds dans la région lilloise.
Vingt-sept personnes avaient été interpellées en janvier 2011 lors d'une vaste opération policière, placées en garde à vue et certaines avaient été mises en examen dans l'enquête sur la mort de la policière municipale Aurélie Fouquet, 26 ans, tuée le 20 mai 2010 à Villiers-sur-Marne lors d'une fusillade entre braqueurs et policiers.
M. Faïd avait échappé de peu aux enquêteurs qui s'en étaient émus, laissant entendre qu'il avait été prévenu du coup de filet.
Il venait de publier un livre, où il racontait son itinéraire de délinquant des cités, se disant spécialiste, repenti, des attaques de fourgons blindés
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2011/06/28/policiere-tuee-en-2010
Il était vraisemblablement sur le point de participer à un projet de braquage de transport de fonds dans la région lilloise.
Vingt-sept personnes avaient été interpellées en janvier 2011 lors d'une vaste opération policière, placées en garde à vue et certaines avaient été mises en examen dans l'enquête sur la mort de la policière municipale Aurélie Fouquet, 26 ans, tuée le 20 mai 2010 à Villiers-sur-Marne lors d'une fusillade entre braqueurs et policiers.
M. Faïd avait échappé de peu aux enquêteurs qui s'en étaient émus, laissant entendre qu'il avait été prévenu du coup de filet.
Il venait de publier un livre, où il racontait son itinéraire de délinquant des cités, se disant spécialiste, repenti, des attaques de fourgons blindés
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2011/06/28/policiere-tuee-en-2010
mardi 28 juin 2011
RER : nouvelle panne électrique sur la ligne C
Nouvelle galère en vue ? Après le triple incident électrique qui a paralysé la ligne C du RER lundi, en Essonne et dans le Val-de-Marne, un nouvel incident s'est produit ce mardi. Depuis 15h40, un problème électrique, dont l’origine est encore à déterminer, perturbe le trafic.
Les gares d’Athis-Mons (Essonne), Villeneuve-le-Roi et Ablon (Val-de-Marne) ne sont plus desservies dans le sens Paris-Province et les voyageurs sont invités, peut-on lire sur le site internet du Transilien, à se rediriger vers la gare de Juvisy. Hier, lundi, les perturbations avaient perduré jusque tard dans la soirée, causant également des retards pour les TGV, TER et Corail
http://www.leparisien.fr/transports/rer-nouvelle-panne-electrique-sur-la-ligne-c-28-06-2011-1512225.php
http://www.leparisien.fr/transports/rer-nouvelle-panne-electrique-sur-la-ligne-c-28-06-2011-1512225.php
Le corps d'un randonneur retrouvé dans le Cantal
Parti pour une randonnée à la journée dans les monts du Cantal, dimanche, un homme de 49 ans a trouvé la mort, probablement suite à une chute de plusieurs centaines de mètres.
Une vingtaine de militaires du groupement montagne de la gendarmerie et du PGM (peloton de gendarmerie de montagne) de Murat, selon le quotidien La Montagne, avaient été déployés dès dimanche 18h30 dans le secteur de Saint-Bonnet de Salers. Les hélicoptères de la gendarmerie et de la Sécurité civile se sont également relayés sur cette intervention, interrompue par la nuit, entre le puy Violent et le puy Mary où le marcheur pouvait avoir disparu.
C’est finalement dans une zone escarpée que son corps a été retrouvé, lundi vers 7h30, bien en dessous du GR 400, en bordure du parc régional des volcans d'Auvergne.
Parti en randonnée pour la journée avec sa famille, ce sportif aguerri, dirigeant une petite société à Aurillac, avait décidé de suivre seul un itinéraire particulier et de retrouver ses proches plus tard. Ne le voyant pas revenir, sa femme et son fils avaient donné l’alerte.
Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer les causes du décès, bien que la thèse de la chute semble actuellement la plus probable. http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-corps-d-un-randonneur-retrouve-dans-le-cantal-28-06-2011-1511951.php
Une vingtaine de militaires du groupement montagne de la gendarmerie et du PGM (peloton de gendarmerie de montagne) de Murat, selon le quotidien La Montagne, avaient été déployés dès dimanche 18h30 dans le secteur de Saint-Bonnet de Salers. Les hélicoptères de la gendarmerie et de la Sécurité civile se sont également relayés sur cette intervention, interrompue par la nuit, entre le puy Violent et le puy Mary où le marcheur pouvait avoir disparu.
C’est finalement dans une zone escarpée que son corps a été retrouvé, lundi vers 7h30, bien en dessous du GR 400, en bordure du parc régional des volcans d'Auvergne.
Parti en randonnée pour la journée avec sa famille, ce sportif aguerri, dirigeant une petite société à Aurillac, avait décidé de suivre seul un itinéraire particulier et de retrouver ses proches plus tard. Ne le voyant pas revenir, sa femme et son fils avaient donné l’alerte.
Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer les causes du décès, bien que la thèse de la chute semble actuellement la plus probable. http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-corps-d-un-randonneur-retrouve-dans-le-cantal-28-06-2011-1511951.php
Désespéré, il se jette dans le brasier de la Sant-Joan
C'est un véritable drame auquel ont assisté samedi soir les participants de la traditionnelle fête de la Sant-Joan à Joch. Ils étaient rassemblés autour du feu quand un homme, après avoir confié brièvement son profond ras-le-bol à quelques amis, a soudain traversé la foule en courant et s'est jeté dans le brasier sous les yeux des gens.
"Il a pris de l'élan et a sauté dans les flammes comme l'on plongerait dans une piscine" racontent tous les témoins, éberlués. Immédiatement, les gens se sont précipités afin d'extraire le malheureux des flammes et l'alerte a été immédiatement donnée auprès des secours.
Les sapeurs-pompiers, dépêchés sur les lieux, l'ont aussitôt pris en charge. Souffrant de brûlure au 3e degré, il a été transporté vers le centre hospitalier de Perpignan dans un état sérieux puis transféré vers un service spécialisé à Montpellier où, hier, il était toujours plongé dans le coma.
La victime, un employé municipal de la commune, âgé de 60 ans, aurait tenté de mettre fin à ses jours en s'immolant. Conscient après avoir commis ce geste désespéré, il aurait d'ailleurs clairement réaffirmé ses intentions, expliquées par des difficultés personnelles.
http://www.midilibre.fr/2011/06/28/desespere-il-se-jette-dans-le-brasier-de-la-sant-joan,344951.php
"Il a pris de l'élan et a sauté dans les flammes comme l'on plongerait dans une piscine" racontent tous les témoins, éberlués. Immédiatement, les gens se sont précipités afin d'extraire le malheureux des flammes et l'alerte a été immédiatement donnée auprès des secours.
Les sapeurs-pompiers, dépêchés sur les lieux, l'ont aussitôt pris en charge. Souffrant de brûlure au 3e degré, il a été transporté vers le centre hospitalier de Perpignan dans un état sérieux puis transféré vers un service spécialisé à Montpellier où, hier, il était toujours plongé dans le coma.
La victime, un employé municipal de la commune, âgé de 60 ans, aurait tenté de mettre fin à ses jours en s'immolant. Conscient après avoir commis ce geste désespéré, il aurait d'ailleurs clairement réaffirmé ses intentions, expliquées par des difficultés personnelles.
http://www.midilibre.fr/2011/06/28/desespere-il-se-jette-dans-le-brasier-de-la-sant-joan,344951.php
Un mort et trois blessés dans un incendie près de Lyon
Drame dans le Rhône. Une personne est morte, un pompier et deux gendarmes blessés lundi en fin d'après-midi dans l'incendie d'un immeuble de trois étages à Tarare, dans le Rhône, a-t-on appris auprès des pompiers.
"Une explosion a été entendue" et l'incendie s'est déclaré peu avant 17 heures au troisième étage du bâtiment pour une raison inconnue, nécessitant 80 sapeurs-pompiers et une vingtaine de véhicules, selon la même source. Sur place, les secouristes ont découvert "un corps carbonisé" dans un appartement, qui n'a pas pu être identifié. Ils ont évacué les cinq autres habitants présents dans l'immeuble.
Un sapeur-pompier a été légèrement blessé et deux gendarmes ont été intoxiqués par les fumées.
Un père de famille se tue en moto
Epinal. « En général, des accidents, il y en a un peu plus haut dans le virage suivant », indique un des gendarmes présents sur les lieux du drame. Hier vers 16 h 45, au lieu-dit les « Terres Vidées » à Xertigny sur la RD3, un motard de 53 ans qui se dirigeait vers Plombières a percuté une voiture qui arrivait en face.
Malgré l’arrivée quasi instantanée des pompiers locaux, ce père de famille domicilié à Saint-Nabord et originaire de Xertigny n’a pu être sauvé. Et ce malgré les multiples tentatives de réanimation prodiguées par les soldats du feu et les équipes du SMUR pendant plus d’une heure trente. Les quatre occupants de la voiture, quant à eux, s’en sortent bien. L’avant du véhicule a été pourtant complètement détruit par la force de l’impact.
« Ils ont été plus choqués que blessés », assure le lieutenant Arnould, le commandant de la gendarmerie de Xertigny qui a sécurisé la zone avec ses hommes. Cette portion de route a été coupée une bonne heure.
Les causes de l’accident restent à être définies clairement.
http://www.estrepublicain.fr/fr/lorraine/info/5326261-Vosges-un-pere-de-famille-se-tue-en-moto
Malgré l’arrivée quasi instantanée des pompiers locaux, ce père de famille domicilié à Saint-Nabord et originaire de Xertigny n’a pu être sauvé. Et ce malgré les multiples tentatives de réanimation prodiguées par les soldats du feu et les équipes du SMUR pendant plus d’une heure trente. Les quatre occupants de la voiture, quant à eux, s’en sortent bien. L’avant du véhicule a été pourtant complètement détruit par la force de l’impact.
« Ils ont été plus choqués que blessés », assure le lieutenant Arnould, le commandant de la gendarmerie de Xertigny qui a sécurisé la zone avec ses hommes. Cette portion de route a été coupée une bonne heure.
Les causes de l’accident restent à être définies clairement.
http://www.estrepublicain.fr/fr/lorraine/info/5326261-Vosges-un-pere-de-famille-se-tue-en-moto
lundi 27 juin 2011
Picasso : après l'électricien, soupçons sur le chauffeur
Après l'électricien, le chauffeur. Depuis le 3 mai dernier Pierre Le Guennec, 71 ans, ancien électricien, et son épouse Danielle, sont mis en examen pour "recel" d'œuvres de Picasso. A l'automne, l'électricien s'était rendu auprès des héritiers du peintre pour faire authentifier quelques 271 oeuvres qui se trouvaient en sa possession. Les héritiers avaient alors porté plainte pour recel. "Nous pensons que ces gens nous racontent des histoires sur la façon dont ils sont entrés en possession des oeuvres de Picasso. Il y a des incohérences dans leurs déclarations et certains éléments nous paraissent invraisemblables", indiquait-on lundi au parquet de Grasse. Le très bon état de conservation des oeuvres, que le couple dit avoir conservées pendant près de 40 ans dans leur garage de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes), intrigue le tribunal. Les tableaux ne présentent "aucune trace de moisissure ou d'humidité", a noté lundi le procureur, Jean-Michel Cailleau.
Mais on apprenait également, ce lundi, qu'"un réquisitoire supplétif" avait été signé le 9 mai pour étendre l'enquête à l'ancien chauffeur du peintre, Maurice Bresnu, surnommé "Nounours" par Picasso et décédé voici vingt ans, a ajouté le procureur de Grasse, confirmant une information du Parisien. Ce complément d'enquête "fait suite à une audition d'un témoin qui a un lien avec l'administration du patrimoine Picasso", a ajouté le magistrat. Mais ces recherches sur le patrimoine de Maurice Bresnu, mort en 1991, vont être compliquées, a admis le procureur.
Pierre Le Guennec est le cousin germain de l'épouse de Bresnu, également décédée. A ce titre, il est l'un des six héritiers de "Nounours", relève le Parisien. Pierre Le Guennec a affirmé que les 271 oeuvres lui avaient été données par Picasso et son épouse, Jacqueline, alors qu'il effectuait des travaux dans une villa du peintre, le Mas Notre-Dame-de-Vie, à Mougins. Selon une source judiciaire, les oeuvres en question auraient en fait disparu durant la "période assez floue" qui a suivi la mort de Picasso, en 1973, entre les inventaires officieux et officiels des oeuvres de l'artiste. http://lci.tf1.fr/france/justice/2011-06/picasso-apres-l-electricien-soupcons-sur-le-chauffeur-6552286.html
Pierre Le Guennec est le cousin germain de l'épouse de Bresnu, également décédée. A ce titre, il est l'un des six héritiers de "Nounours", relève le Parisien. Pierre Le Guennec a affirmé que les 271 oeuvres lui avaient été données par Picasso et son épouse, Jacqueline, alors qu'il effectuait des travaux dans une villa du peintre, le Mas Notre-Dame-de-Vie, à Mougins. Selon une source judiciaire, les oeuvres en question auraient en fait disparu durant la "période assez floue" qui a suivi la mort de Picasso, en 1973, entre les inventaires officieux et officiels des oeuvres de l'artiste. http://lci.tf1.fr/france/justice/2011-06/picasso-apres-l-electricien-soupcons-sur-le-chauffeur-6552286.html
Meurtre du Cannet: un suspect "complexe"
Qui est donc K. M., le meurtrier présumé de Pascal Cartolano, abattu de plusieurs coups de couteau au Cannet dans la nuit de jeudi à vendredi ?
Trois jours après sa propre reddition au commissariat de Cannes, la personnalité de ce jeune homme (placé en détention provisoire depuis samedi) continue de poser questions. Et ce n’est pas « sa confession » devant le juge grassois Jean-Pierre Murciano qui a contribué à lever le voile.
« C’est un jeune homme qui semble bien sous tout rapport, et qui n’a pas du tout le profil d’un violent délinquant », avait d’abord estimé une source proche de l’enquête, alors que K.M. venait d’avouer qu’il avait « fait une connerie », tout en aiguillant les enquêteurs sur la scène de crime, au n° 479 de la rue Buffon au Cannet.
Fasciné par les armes
Un jeune homme « lisse », dont le profil semblait finalement contraster avec celui de la victime, très défavorablement connue des services de police et du voisinage.
Mais les choses ne sont pas si simples. Car selon nos informations, K.M. aurait néanmoins été cité dans des affaires de violences par le passé, alors qu’il était encore mineur.
« En tant qu’employé, il ne posait aucun problème, et on ne pouvait pas du tout s’attendre à ce qui est arrivé », affirme-t-on au supermarché où le jeune homme travaillait.
Sauf que ce boucher professionnel a fait preuve de sauvagerie avec un couteau papillon (un coup dans l’aine, cinq dans le dos de Pascal Cartolano), et semblait fasciné par les armes. Lors d’une perquisition à son domicile, une collection mêlant hachoir, nunchaku, étoile de ninja et autres armes blanches aurait d’ailleurs été découverte.
Décrit comme « intelligent » par l’expert-psychiatre, le jeune homme est aussi considéré comme « un être de sang-froid » par ailleurs.
La victime, chef de gang ? « Rocambolesque » !
Cela n’en fait pas forcément un meurtrier. Encore moins un assassin. Lors de son audition dans le bureau du juge, K.M. aurait d’ailleurs évoqué la « légitime défense », lors d’un « guet-apens ».
Une thèse qui n’a pas convaincu le parquet, qui a ouvert une information judiciaire pour homicide volontaire. Ni le juge Murciano, qui qualifie de « rocambolesque » cette version des faits, où la victime serait considérée comme un « chef de gang ».
Mais alors, qu’est-ce que K.M. venait faire chez un marginal désocialisé tel que Pascal Cartolano, au beau milieu de la nuit ? Une transaction qui aurait mal tourné ? Un règlement de comptes ? L’enquête ne fait que commencer.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/meurtre-du-cannet-un-suspect-complexe
Trois jours après sa propre reddition au commissariat de Cannes, la personnalité de ce jeune homme (placé en détention provisoire depuis samedi) continue de poser questions. Et ce n’est pas « sa confession » devant le juge grassois Jean-Pierre Murciano qui a contribué à lever le voile.
« C’est un jeune homme qui semble bien sous tout rapport, et qui n’a pas du tout le profil d’un violent délinquant », avait d’abord estimé une source proche de l’enquête, alors que K.M. venait d’avouer qu’il avait « fait une connerie », tout en aiguillant les enquêteurs sur la scène de crime, au n° 479 de la rue Buffon au Cannet.
Fasciné par les armes
Un jeune homme « lisse », dont le profil semblait finalement contraster avec celui de la victime, très défavorablement connue des services de police et du voisinage.
Mais les choses ne sont pas si simples. Car selon nos informations, K.M. aurait néanmoins été cité dans des affaires de violences par le passé, alors qu’il était encore mineur.
« En tant qu’employé, il ne posait aucun problème, et on ne pouvait pas du tout s’attendre à ce qui est arrivé », affirme-t-on au supermarché où le jeune homme travaillait.
Sauf que ce boucher professionnel a fait preuve de sauvagerie avec un couteau papillon (un coup dans l’aine, cinq dans le dos de Pascal Cartolano), et semblait fasciné par les armes. Lors d’une perquisition à son domicile, une collection mêlant hachoir, nunchaku, étoile de ninja et autres armes blanches aurait d’ailleurs été découverte.
Décrit comme « intelligent » par l’expert-psychiatre, le jeune homme est aussi considéré comme « un être de sang-froid » par ailleurs.
La victime, chef de gang ? « Rocambolesque » !
Cela n’en fait pas forcément un meurtrier. Encore moins un assassin. Lors de son audition dans le bureau du juge, K.M. aurait d’ailleurs évoqué la « légitime défense », lors d’un « guet-apens ».
Une thèse qui n’a pas convaincu le parquet, qui a ouvert une information judiciaire pour homicide volontaire. Ni le juge Murciano, qui qualifie de « rocambolesque » cette version des faits, où la victime serait considérée comme un « chef de gang ».
Mais alors, qu’est-ce que K.M. venait faire chez un marginal désocialisé tel que Pascal Cartolano, au beau milieu de la nuit ? Une transaction qui aurait mal tourné ? Un règlement de comptes ? L’enquête ne fait que commencer.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/meurtre-du-cannet-un-suspect-complexe
Frayssinet-le-Gélat. Drame : deux morts après une sortie de route
Un nouveau drame de la route a coûté la vie hier, aux alentours de 17 h 15, à deux jeunes hommes d'à peine 19 ans, domiciliés à Bergerac en Dordogne.
Un troisième homme, âgé de 18 ans, qui était à bord du véhicule avec ses malheureux compagnons, a été transporté dans un état jugé très grave au centre hospitalier de Cahors.
Ce terrible accident impliquant un seul véhicule s'est produit à Frayssinet-le-Gélat, au lieu-dit Placels, quelques centaines de mètres après le croisement de Saint-Caprais dans la direction de Villefranche-du-Périgord (Dordogne).
Pour une raison que l'enquête de gendarmerie en cours tentera de déterminer, le conducteur a brusquement perdu le contrôle de son véhicule.
La voiture a percuté un arbre de plein fouet.
Ce choc, extrêmement violent, n'a hélas laissé aucune chance de survie aux deux malheureuses victimes très vite entourées par deux équipes de médecins du Samu.
Les tentatives de ces derniers, qui ont entrepris tous les actes en leur pouvoir pour ramener les deux corps à la vie, se sont avérées vaines.
Au préalable, les pompiers des centres de secours de Cazals et Puy-L'évêque ont procédé à la délicate opération de désincarcération des victimes coincées dans l'amas de tôle qui subsistait du véhicule accidenté.
Devant la gravité de l'événement, les pompiers lotois ont reçu le renfort de leurs homologues de Villefranche-du-Périgord, tandis que les gendarmes de la communauté de brigades de Puy-L'évêque dirigeaient les opérations de mise en sécurité des lieux avant l'évacuation du véhicule réduit à l'état d'épave.
Christian Laville, maire de Frayssinet-le-Gélat, s'est également rendu sur les lieux de cet épouvantable accident.
Mardi dernier, une octogénaire avait perdu la vie sur la route, entre Cavagnac et les Quatre Routes, à bord d'un véhicule sans permis.
Le bilan s'alourdit considérablement et double même pratiquement son chiffre bien noir par rapport à l'année 2010 où, à la même période, on déplorait huit victimes décédées des suites d'un accident de la route dans le département.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/27/1116118-cahors-drame-deux-morts-apres-une-sortie-de-route.html
Un troisième homme, âgé de 18 ans, qui était à bord du véhicule avec ses malheureux compagnons, a été transporté dans un état jugé très grave au centre hospitalier de Cahors.
Ce terrible accident impliquant un seul véhicule s'est produit à Frayssinet-le-Gélat, au lieu-dit Placels, quelques centaines de mètres après le croisement de Saint-Caprais dans la direction de Villefranche-du-Périgord (Dordogne).
Pour une raison que l'enquête de gendarmerie en cours tentera de déterminer, le conducteur a brusquement perdu le contrôle de son véhicule.
La voiture a percuté un arbre de plein fouet.
Ce choc, extrêmement violent, n'a hélas laissé aucune chance de survie aux deux malheureuses victimes très vite entourées par deux équipes de médecins du Samu.
Les tentatives de ces derniers, qui ont entrepris tous les actes en leur pouvoir pour ramener les deux corps à la vie, se sont avérées vaines.
Au préalable, les pompiers des centres de secours de Cazals et Puy-L'évêque ont procédé à la délicate opération de désincarcération des victimes coincées dans l'amas de tôle qui subsistait du véhicule accidenté.
Devant la gravité de l'événement, les pompiers lotois ont reçu le renfort de leurs homologues de Villefranche-du-Périgord, tandis que les gendarmes de la communauté de brigades de Puy-L'évêque dirigeaient les opérations de mise en sécurité des lieux avant l'évacuation du véhicule réduit à l'état d'épave.
Christian Laville, maire de Frayssinet-le-Gélat, s'est également rendu sur les lieux de cet épouvantable accident.
Mardi dernier, une octogénaire avait perdu la vie sur la route, entre Cavagnac et les Quatre Routes, à bord d'un véhicule sans permis.
15 personnes décédées sur la route depuis janvier
La nouvelle sortie de route mortelle survenue hier porte à 15 le nombre de morts sur les axes routiers lotois depuis le début de l'année 2011.Le bilan s'alourdit considérablement et double même pratiquement son chiffre bien noir par rapport à l'année 2010 où, à la même période, on déplorait huit victimes décédées des suites d'un accident de la route dans le département.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/27/1116118-cahors-drame-deux-morts-apres-une-sortie-de-route.html
Il avait poussé sa femme sur la voie ferrée
On aurait bien aimé voir cette fameuse bande-vidéo de la SNCF pour se faire une idée. Le tribunal l’a visionnée en catimini et s’est fait son opinion sur le rôle de Roudeoine Aiachi, 29 ans, en détention provisoire depuis septembre 2010. Initialement mis en examen pour tentative de meurtre, il n’a finalement été jugé “que” pour des violences sur sa femme, à la gare, et sur deux policiers, en garde à vue.
"Si ce qu’on a vu ne s’appelle pas balancer sa femme sur les rails... Soyons sérieux ! Il a de la chance de ne pas être devant une cour d’assises", s’exclame le représentant du parquet à propos des images. Pour l’accusation, c’est clair : Aiachi s’est disputé avec sa compagne avant de la pousser sur les rails alors qu’un train était annoncé en gare... La victime a tout juste eu le temps de remonter sur le quai.
"Elle a voulu traverser la voie, je l’ai retenue, je ne l’ai pas poussée et j’ai jamais levé la main sur ma femme", promet celui qui affiche quinze condamnations à son casier, notamment pour des violences conjugales. Et qui, deux semaines plus tôt, aurait déjà poussé sa femme dans les escaliers. Son avocat, Me Benabiba, ironise, toujours à propos de la bande-vidéo : "Je dois avoir un problème oculaire : le procureur voit une tentative de meurtre. Moi, je vois une femme qui traverse la voie ." Il renchérit ensuite, dénonçant des violences policières qui auraient conduit à ces accusations de tentative d’homicide... Les agents blessés expliquent qu’ils ont dû le neutraliser lorsqu’il a piqué une crise de nerfs en garde à vue, se jetant sur eux en affirmant qu’on lui avait volé son portable et 50 €. "Je fais 60 kg, ils font 90 kg, je suis pas suicidaire, ils m’ont fait une balayette et mis des coups", dénonce le mis en cause. De quoi faire bondir l’avocat des policiers, furieux : "Il faut cesser de raconter n’importe quoi ! On ne va pas vous offrir des fleurs en disant : “Enlevez votre main du col de ma chemise !” Et 180 kg de fonctionnaires, ça fait mal effectivement !" Au final, Aiachi n’a pas convaincu : le tribunal l’a envoyé en prison pour trois ans.
http://www.midilibre.fr/2011/06/26/il-avait-pousse-sa-femme-sur-la-voie-ferree,343796.php
"Si ce qu’on a vu ne s’appelle pas balancer sa femme sur les rails... Soyons sérieux ! Il a de la chance de ne pas être devant une cour d’assises", s’exclame le représentant du parquet à propos des images. Pour l’accusation, c’est clair : Aiachi s’est disputé avec sa compagne avant de la pousser sur les rails alors qu’un train était annoncé en gare... La victime a tout juste eu le temps de remonter sur le quai.
"Elle a voulu traverser la voie, je l’ai retenue, je ne l’ai pas poussée et j’ai jamais levé la main sur ma femme", promet celui qui affiche quinze condamnations à son casier, notamment pour des violences conjugales. Et qui, deux semaines plus tôt, aurait déjà poussé sa femme dans les escaliers. Son avocat, Me Benabiba, ironise, toujours à propos de la bande-vidéo : "Je dois avoir un problème oculaire : le procureur voit une tentative de meurtre. Moi, je vois une femme qui traverse la voie ." Il renchérit ensuite, dénonçant des violences policières qui auraient conduit à ces accusations de tentative d’homicide... Les agents blessés expliquent qu’ils ont dû le neutraliser lorsqu’il a piqué une crise de nerfs en garde à vue, se jetant sur eux en affirmant qu’on lui avait volé son portable et 50 €. "Je fais 60 kg, ils font 90 kg, je suis pas suicidaire, ils m’ont fait une balayette et mis des coups", dénonce le mis en cause. De quoi faire bondir l’avocat des policiers, furieux : "Il faut cesser de raconter n’importe quoi ! On ne va pas vous offrir des fleurs en disant : “Enlevez votre main du col de ma chemise !” Et 180 kg de fonctionnaires, ça fait mal effectivement !" Au final, Aiachi n’a pas convaincu : le tribunal l’a envoyé en prison pour trois ans.
http://www.midilibre.fr/2011/06/26/il-avait-pousse-sa-femme-sur-la-voie-ferree,343796.php
Un grave accident de la circulation fait un mort et un blessé grave
Les morceaux de verre, de métal et de plastique, éparpillés sur la route, attestent de la violence du choc. À cinquante mètres du point d’impact présumé, une épave de Porsche Carrera 4 à demi-calcinée. Juste devant la voiture, la carcasse d’un scooter qui a pris feu lui aussi.
Dans la nuit de samedi à dimanche, peu avant minuit, un accident de la circulation a fait un mort et un blessé grave sur la D28, entre Ruffey-lès-Echirey et Saint-Julien. D’après les différents éléments recueillis sur place, une Porsche qui circulait en direction de Saint-Julien et un scooter sont entrés en collision pour des raisons qui restent à déterminer.
L’un des occupants du scooter n’a pas pu être ramené à la vie, malgré l’intervention rapide des pompiers. Le deuxième occupant, grièvement blessé, a été transporté au CHU de Dijon par le Samu. Il s’agit d’un jeune homme de 21 ans dont on ignorait hier soir si le pronostic vital était engagé.
Des témoignages recueillis sur place auprès d’automobilistes circulant dans le sens inverse de la Porsche évoquent « une gerbe d’étincelles », « des flammes » et un « scooter happé par le véhicule ».
D’après les éléments dont nous disposons, les deux occupants de la Porsche sont indemnes. Des dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants ont été pratiqués sur le conducteur de 48 ans.
La circulation entre Ruffey-lès-Echirey et Saint-Julien a été totalement coupée pendant plus de deux heures. La gendarmerie, qui a dépêché d’importants effectifs sur les lieux de l’accident, a mis en place des déviations. Le capitaine Cureaux, adjoint à la compagnie d’Is-sur-Tille, a recueilli les premiers éléments de l’enquête.
http://www.bienpublic.com/faits-divers/2011/06/26/les-morceaux-de-verre-de-metal-et-de-plastique-eparpilles-sur-la-route-attestent-de-la-violence
Dans la nuit de samedi à dimanche, peu avant minuit, un accident de la circulation a fait un mort et un blessé grave sur la D28, entre Ruffey-lès-Echirey et Saint-Julien. D’après les différents éléments recueillis sur place, une Porsche qui circulait en direction de Saint-Julien et un scooter sont entrés en collision pour des raisons qui restent à déterminer.
L’un des occupants du scooter n’a pas pu être ramené à la vie, malgré l’intervention rapide des pompiers. Le deuxième occupant, grièvement blessé, a été transporté au CHU de Dijon par le Samu. Il s’agit d’un jeune homme de 21 ans dont on ignorait hier soir si le pronostic vital était engagé.
Des témoignages recueillis sur place auprès d’automobilistes circulant dans le sens inverse de la Porsche évoquent « une gerbe d’étincelles », « des flammes » et un « scooter happé par le véhicule ».
D’après les éléments dont nous disposons, les deux occupants de la Porsche sont indemnes. Des dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants ont été pratiqués sur le conducteur de 48 ans.
La circulation entre Ruffey-lès-Echirey et Saint-Julien a été totalement coupée pendant plus de deux heures. La gendarmerie, qui a dépêché d’importants effectifs sur les lieux de l’accident, a mis en place des déviations. Le capitaine Cureaux, adjoint à la compagnie d’Is-sur-Tille, a recueilli les premiers éléments de l’enquête.
http://www.bienpublic.com/faits-divers/2011/06/26/les-morceaux-de-verre-de-metal-et-de-plastique-eparpilles-sur-la-route-attestent-de-la-violence
dimanche 26 juin 2011
Val-d'Oise: un enfant grièvement blessé après être tombé du 4e étage
Un petit garçon âgé de 18 mois s'est grièvement blessé dimanche matin après avoir fait une chute du 4e étage d'un immeuble à Survilliers (Val-d'Oise). L'enfant a été transporté à l'hôpital Necker à Paris, selon les pompiers, qui n'étaient pas en mesure de dire si son pronostic vital était engagé ou non.
Selon une source proche du dossier, le garçonnet aurait échappé à la surveillance de sa grand-mère. Il serait monté sur une table située près d'une fenêtre ouverte. En voulant dessiner sur la vitre, il aurait fait tomber son stylo et serait lui-même tombé en tentant de rattraper l'objet.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/2011-06/val-d-oise-un-enfant-grievement-blesse-apres-etre-tombe-du-4e-etage-6551534.html
Selon une source proche du dossier, le garçonnet aurait échappé à la surveillance de sa grand-mère. Il serait monté sur une table située près d'une fenêtre ouverte. En voulant dessiner sur la vitre, il aurait fait tomber son stylo et serait lui-même tombé en tentant de rattraper l'objet.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/2011-06/val-d-oise-un-enfant-grievement-blesse-apres-etre-tombe-du-4e-etage-6551534.html
2 hommes blessés par balle à Calvi
Deux hommes ont été blessés aux jambes par des tirs d'arme à feu ce matin à la sortie d'une discothèque de Calvi (Haute-Corse), a-t-on appris auprès des secours. Les deux victimes âgées de 21 ans et 23 ans ont été évacuées par les secours vers l'Antenne médicale d'urgence de Calvi (nord-ouest de la Corse). L'un souffre de trois impacts, le second a été touché par un impact ou un ricochet.
Les deux hommes étaient sur le parking d'une discothèque vers 7h quand les faits se sont produits. On ignore encore s'il s'agit d'une rixe entre eux ou d'une agression par un tiers. Les gendarmes de la brigade de Calvi se sont rendus sur place.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/26/97001-20110626FILWWW00017-2-hommes-blesses-par-balle-a-calvi.php
Les deux hommes étaient sur le parking d'une discothèque vers 7h quand les faits se sont produits. On ignore encore s'il s'agit d'une rixe entre eux ou d'une agression par un tiers. Les gendarmes de la brigade de Calvi se sont rendus sur place.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/26/97001-20110626FILWWW00017-2-hommes-blesses-par-balle-a-calvi.php
Albi. Un forcené retranché chez lui avec un cocktail molotov
Cris et aboiements de chien ont retenti hier à 20 heures, rue Edmond-Marty à Albi. Des clameurs paradoxalement accueillies avec soulagement. Les policiers venaient non sans peine de se rendre maîtres d'un forcené, retranché depuis 17 heures chez lui, armé d'un coupe-coupe et d'un cocktail molotov.
C'est le père du jeune âgé de 21 ans qui a appelé les pompiers. Le papa voulait faire hospitaliser son fils, qui souffre de troubles psychiatriques. Le jeune refusait. Il s'est alors enfermé dans sa chambre et dans les combles au deuxième étage, menaçant de tout faire sauter. Pompiers, Samu et policiers armés de gilets pare-balles ont afflué sur place, dans le quartier de la Madeleine sur la rive droite d'Albi. « Il est armé, mais entre ce qu'il dit et ce qu'il a vraiment, on ne sait pas », indiquait un des policiers sur place. « On essaie de discuter avec lui, espérant que ça se décante et une bonne nouvelle pour tout le monde. »
C'est le père du jeune âgé de 21 ans qui a appelé les pompiers. Le papa voulait faire hospitaliser son fils, qui souffre de troubles psychiatriques. Le jeune refusait. Il s'est alors enfermé dans sa chambre et dans les combles au deuxième étage, menaçant de tout faire sauter. Pompiers, Samu et policiers armés de gilets pare-balles ont afflué sur place, dans le quartier de la Madeleine sur la rive droite d'Albi. « Il est armé, mais entre ce qu'il dit et ce qu'il a vraiment, on ne sait pas », indiquait un des policiers sur place. « On essaie de discuter avec lui, espérant que ça se décante et une bonne nouvelle pour tout le monde. »
« Ce jeune n'était pas bien »
Vers 19 h 30, la police a barré de chaque côté la rue Edmond-Marty, à bonne distance du numéro 26. « Un cocktail molotov dans une maison mitoyenne plus le gaz de ville peut avoir des conséquences fâcheuses », redoutait le commandant Jean-Pierre Benoît, qui assure la permanence en tant que directeur départemental de la sécurité publique. « Le jeune a finalement été appréhendé avec un peu de difficulté. Cela s'est bien terminé, mais c'était physique. » Après cette intervention, menée et réussie conjointement par la brigade de sûreté urbaine et le service commandement de nuit du commissariat d'Albi, le Samu a transporté le jeune à l'hôpital psy du Bon Sauveur d'Alby. Les voisins se désolent : « On voyait que ce jeune n'était pas bien. On le croise souvent dans la rue, où il habite depuis au moins deux ans. Dès fois ça va, et dès fois, ça ne va pas. Ses parents n'y arrivent plus. Il a de gros soucis, le pauvre. »Farah, 17 ans, retrouvée après trois semaines de disparition
F ugue, disparition ? On ne sait pas bien quels termes utiliser pour évoquer les trois semaines qui viennent de s’écouler dans la vie de Farah, 17 ans, Saint-Justoise qui n’avait plus donné signe de vie à son entourage depuis trois semaines.
Vendredi en fin d’après-midi, elle est réapparue. Elle a été retrouvée devant son école, à Montpellier, hagarde, en état de choc. Alerté, son père l’a aussitôt rejointe chez une amie avant de l’emmener aux urgences de Lapeyronie. Hier, elle devait être entendue dans le cadre d’une enquête ouverte afin de lever le voile sur les événements de ces trois dernières semaines ; événements dont on ne sait rien pour le moment si ce n’est que la jeune fille a été repérée dans un appartement du centre-ville de Beaucaire, sous l’influence d’un trentenaire connu des forces de l’ordre pour de petits larcins.
Etait-elle retenue contre son gré ? Que s’est-il passé là-bas ? Aucune affirmation n’est possible pour l’heure. Le 4 juin dernier, après une soirée dans une boîte nîmoise, et sans avoir au préalable emporté ni vêtement ni argent, l’apprentie coiffeuse, appréciée dans son salon lunellois, n’avait plus donné aucune nouvelle.
Dans un premier temps, son père avait signalé une fugue à la gendarmerie de Lunel avant d’alerter les médias et de porter plainte cette semaine.
Les portraits qu’il avait placardés un peu partout dans la cité pescalune peuvent désormais être enlevés.
http://www.midilibre.fr/2011/06/25/farah-17-ans-retrouvee-apres-trois-semaines-de-disparition,343323.php
Vendredi en fin d’après-midi, elle est réapparue. Elle a été retrouvée devant son école, à Montpellier, hagarde, en état de choc. Alerté, son père l’a aussitôt rejointe chez une amie avant de l’emmener aux urgences de Lapeyronie. Hier, elle devait être entendue dans le cadre d’une enquête ouverte afin de lever le voile sur les événements de ces trois dernières semaines ; événements dont on ne sait rien pour le moment si ce n’est que la jeune fille a été repérée dans un appartement du centre-ville de Beaucaire, sous l’influence d’un trentenaire connu des forces de l’ordre pour de petits larcins.
Etait-elle retenue contre son gré ? Que s’est-il passé là-bas ? Aucune affirmation n’est possible pour l’heure. Le 4 juin dernier, après une soirée dans une boîte nîmoise, et sans avoir au préalable emporté ni vêtement ni argent, l’apprentie coiffeuse, appréciée dans son salon lunellois, n’avait plus donné aucune nouvelle.
Dans un premier temps, son père avait signalé une fugue à la gendarmerie de Lunel avant d’alerter les médias et de porter plainte cette semaine.
Les portraits qu’il avait placardés un peu partout dans la cité pescalune peuvent désormais être enlevés.
http://www.midilibre.fr/2011/06/25/farah-17-ans-retrouvee-apres-trois-semaines-de-disparition,343323.php
Trafic chez Baxi : « Ça durait depuis quinze ans ! »
IL y en a qui, dans le trafic de matériel, n'ont pas froid aux yeux. Par exemple chez Baxi France, spécialiste de la chaudière. Une entreprise pas très en forme et siphonnée depuis quelques années par des chineurs du dimanche ou du lundi.
Ce que l'on va appeler l'affaire Baxi, affaire révélée par l'union dans ses dernières éditions, carbonise tranquillement depuis un mois la vie de famille d'une volée d'employés de la célèbre entreprise. Ceux sur lesquels se penchent les enquêteurs de police de Soissons et le vice-procureur de Valroger. Les premières auditions ont débuté en avril. En mai et juin, six salariés, un du site de stockage de Villers-Cotterêts et cinq de Soissons, ont été placés en garde à vue et mis à pied par leur chère direction. Depuis, le commandant Sailly, le patron des policiers vissés sur le dossier, est devenu un spécialiste des chaudières sol, de celles à condensation et surtout des accessoires qui vont avec.
Le dossier s'épaissit jour après jour. Le parquet de Soissons a ouvert une information judiciaire pour identifier les acteurs du vaste réseau qui manœuvrait, dans et en dehors de Baxi et de Focast, pour détourner, transporter et installer chez des particuliers des petits bijoux de technologie vendus sur catalogue entre 2 000 et 8 000 €. On a dit sur catalogue.
Ceux qui ont œuvré et dont la liste s'allonge, semaine après semaine, n'ont pas fait dans la demi-mesure. La semaine dernière, 170 < disparitions > de chaudières étaient recensées par les enquêteurs sur les trois dernières années. Certains de ces joyaux ont été retrouvés, photographiés et mis en vente sur les sites Internet, dont le plus connu, le Bon coin. Il a suffi aux policiers de singer un début de transaction pour coincer quelques intermédiaires.
Quant au reste… « Les chaudières qui tombent du camion chez Baxi, ça ne fait pas trois ans, confie un professionnel du chauffage. On en parle depuis toujours. J'ai un collègue qui est là depuis quinze ans et, depuis tout ce temps, il n'a pas arrêté d'entendre ces histoires ! »
C'est la direction qui va être contente… De ce côté-là, il ne faut pas compter sur Denis Lanier, le responsable du site de Soissons, pas plus que sur François Hiriart, le PDG de Baxi France au Blanc-Mesnil, pour se fendre d'un commencement d'explication. Il faut dire que ces derniers ont de quoi avoir mal au crâne.
Comment une soixantaine de chaudières en 2009 et plus de cent l'année suivante ont-elles pu être exfiltrées des stocks et de la comptabilité de l'entreprise ? Pourquoi la direction ne s'est-elle pas alertée et n'a-t-elle pas déposé plainte plus tôt que l'année dernière ? Il y a un homme qui peut mettre les enquêteurs sur une piste amusante. C'est un commercial, il n'est plus dans le secteur, mais il y a quatre ans, il a senti qu'une part du flux lui filait entre les doigts. « Il ne parvenait pas à faire son chiffre et il s'est rapidement rapproché de sa hiérarchie pour lui faire part de ses interrogations, résume un installateur, mais ça n'a pas déclenché tout de suite, en haut lieu. Bizarrement, ce type, qui bossait très bien, a été muté il y a deux ou trois ans. » Celui-là a reçu des consignes extrêmement claires de sa hiérarchie et ne s'est plus exprimé depuis qu'il a quitté la région.
« Si ce trafic a pu se dérouler, c'est parce que la direction, précisément, a laissé plusieurs ateliers sans agent de maîtrise. C'est de sa faute, tonne un syndicaliste CFTC. Au début, ce sont quelques pauvres bougres qui se sont payés comme ça en détournant du matériel, mais, aujourd'hui, ça prend une ampleur vraiment inquiétante. Il y a beaucoup de personnes touchées. Tout le monde craint pour son sort. »
La cupidité serait-elle un vice estampillé Baxi ? On va finir par se poser des questions, un an après le déclenchement d'une guerre au comité d'entreprise, guerre sur fond de détournement, là encore, mais d'argent cette fois, argent dont le CE avait normalement le contrôle. Nul n'a été inquiété, mais Alain Butez, alors secrétaire de l'union locale CGT et secrétaire et trésorier du CE de Baxi pendant la période 2005-2008, a été sévèrement mis en cause, notamment par ses vis-à-vis CFTC qui l'ont finalement remplacé en 2008…
Pas folichon, le contexte syndical, d'autant que chez les industriels du détournement pistés par les enquêteurs, des employés cartés CFTC et CGT n'occuperaient pas les meilleures places sur le banc des innocents… « Ça va conduire à des licenciements pour faute grave et c'est à se demander si certains n'ont pas eu intérêt à fermer les yeux pour plomber l'entreprise ou préparer une charrette autrement que par un plan social. » Là encore, c'est un syndicaliste qui s'exprime. C'est aussi une particularité chez Baxi. Même les élus protègent leurs arrières. C'est dire si ça chauffe…http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/trafic-chez-baxi-ca-durait-depuis-quinze-ans
Ce que l'on va appeler l'affaire Baxi, affaire révélée par l'union dans ses dernières éditions, carbonise tranquillement depuis un mois la vie de famille d'une volée d'employés de la célèbre entreprise. Ceux sur lesquels se penchent les enquêteurs de police de Soissons et le vice-procureur de Valroger. Les premières auditions ont débuté en avril. En mai et juin, six salariés, un du site de stockage de Villers-Cotterêts et cinq de Soissons, ont été placés en garde à vue et mis à pied par leur chère direction. Depuis, le commandant Sailly, le patron des policiers vissés sur le dossier, est devenu un spécialiste des chaudières sol, de celles à condensation et surtout des accessoires qui vont avec.
Le dossier s'épaissit jour après jour. Le parquet de Soissons a ouvert une information judiciaire pour identifier les acteurs du vaste réseau qui manœuvrait, dans et en dehors de Baxi et de Focast, pour détourner, transporter et installer chez des particuliers des petits bijoux de technologie vendus sur catalogue entre 2 000 et 8 000 €. On a dit sur catalogue.
Ceux qui ont œuvré et dont la liste s'allonge, semaine après semaine, n'ont pas fait dans la demi-mesure. La semaine dernière, 170 < disparitions > de chaudières étaient recensées par les enquêteurs sur les trois dernières années. Certains de ces joyaux ont été retrouvés, photographiés et mis en vente sur les sites Internet, dont le plus connu, le Bon coin. Il a suffi aux policiers de singer un début de transaction pour coincer quelques intermédiaires.
Quant au reste… « Les chaudières qui tombent du camion chez Baxi, ça ne fait pas trois ans, confie un professionnel du chauffage. On en parle depuis toujours. J'ai un collègue qui est là depuis quinze ans et, depuis tout ce temps, il n'a pas arrêté d'entendre ces histoires ! »
C'est la direction qui va être contente… De ce côté-là, il ne faut pas compter sur Denis Lanier, le responsable du site de Soissons, pas plus que sur François Hiriart, le PDG de Baxi France au Blanc-Mesnil, pour se fendre d'un commencement d'explication. Il faut dire que ces derniers ont de quoi avoir mal au crâne.
Comment une soixantaine de chaudières en 2009 et plus de cent l'année suivante ont-elles pu être exfiltrées des stocks et de la comptabilité de l'entreprise ? Pourquoi la direction ne s'est-elle pas alertée et n'a-t-elle pas déposé plainte plus tôt que l'année dernière ? Il y a un homme qui peut mettre les enquêteurs sur une piste amusante. C'est un commercial, il n'est plus dans le secteur, mais il y a quatre ans, il a senti qu'une part du flux lui filait entre les doigts. « Il ne parvenait pas à faire son chiffre et il s'est rapidement rapproché de sa hiérarchie pour lui faire part de ses interrogations, résume un installateur, mais ça n'a pas déclenché tout de suite, en haut lieu. Bizarrement, ce type, qui bossait très bien, a été muté il y a deux ou trois ans. » Celui-là a reçu des consignes extrêmement claires de sa hiérarchie et ne s'est plus exprimé depuis qu'il a quitté la région.
« Si ce trafic a pu se dérouler, c'est parce que la direction, précisément, a laissé plusieurs ateliers sans agent de maîtrise. C'est de sa faute, tonne un syndicaliste CFTC. Au début, ce sont quelques pauvres bougres qui se sont payés comme ça en détournant du matériel, mais, aujourd'hui, ça prend une ampleur vraiment inquiétante. Il y a beaucoup de personnes touchées. Tout le monde craint pour son sort. »
La cupidité serait-elle un vice estampillé Baxi ? On va finir par se poser des questions, un an après le déclenchement d'une guerre au comité d'entreprise, guerre sur fond de détournement, là encore, mais d'argent cette fois, argent dont le CE avait normalement le contrôle. Nul n'a été inquiété, mais Alain Butez, alors secrétaire de l'union locale CGT et secrétaire et trésorier du CE de Baxi pendant la période 2005-2008, a été sévèrement mis en cause, notamment par ses vis-à-vis CFTC qui l'ont finalement remplacé en 2008…
Pas folichon, le contexte syndical, d'autant que chez les industriels du détournement pistés par les enquêteurs, des employés cartés CFTC et CGT n'occuperaient pas les meilleures places sur le banc des innocents… « Ça va conduire à des licenciements pour faute grave et c'est à se demander si certains n'ont pas eu intérêt à fermer les yeux pour plomber l'entreprise ou préparer une charrette autrement que par un plan social. » Là encore, c'est un syndicaliste qui s'exprime. C'est aussi une particularité chez Baxi. Même les élus protègent leurs arrières. C'est dire si ça chauffe…http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/trafic-chez-baxi-ca-durait-depuis-quinze-ans
samedi 25 juin 2011
Seine-et-Marne: un tué par balles
Un homme d'une trentaine d'années a succombé aujourd'hui à ses blessures après avoir été grièvement touché par balles hier soir lors d'une altercation au sein de la communauté des gens du voyage à Samois-sur-Seine (Seine-et-Marne), a-t-on appris de source judiciaire.
Une violente altercation s'est produite entre deux hommes de la communauté des gens du voyage vendredi "vers 19H00", alors qu'ils venaient d'assister à un festival consacré au guitariste manouche Django Reinhardt. Sur une aire d'accueil provisoire des gens du voyage, le plus jeune, âgé de 25 ans, a alors tiré sur l'autre avec un fusil, le blessant de plusieurs balles, a expliqué cette source.
La victime a été aussitôt évacuée dans un état grave à l'hôpital Georges Pompidou, où il a succombé à ses blessures ce matin, a-t-on poursuivi, ajoutant que l'auteur présumé des faits était toujours dans la nature.
"L'enquête est difficile parce qu'il n'y a personne qui peut communiquer, en plus ils (les gens du voyage) ont fait le ménage sur la scène du crime", ce qui compromet la possibilité de faire des constatations sur place, a-t-on ajouté. L'enquête a été confiée à la direction régionale de la police judiciaire de Versailles (DRPJ).http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/25/97001-20110625FILWWW00511-seine-et-marne-un-tue-par-balles.php
Une violente altercation s'est produite entre deux hommes de la communauté des gens du voyage vendredi "vers 19H00", alors qu'ils venaient d'assister à un festival consacré au guitariste manouche Django Reinhardt. Sur une aire d'accueil provisoire des gens du voyage, le plus jeune, âgé de 25 ans, a alors tiré sur l'autre avec un fusil, le blessant de plusieurs balles, a expliqué cette source.
La victime a été aussitôt évacuée dans un état grave à l'hôpital Georges Pompidou, où il a succombé à ses blessures ce matin, a-t-on poursuivi, ajoutant que l'auteur présumé des faits était toujours dans la nature.
"L'enquête est difficile parce qu'il n'y a personne qui peut communiquer, en plus ils (les gens du voyage) ont fait le ménage sur la scène du crime", ce qui compromet la possibilité de faire des constatations sur place, a-t-on ajouté. L'enquête a été confiée à la direction régionale de la police judiciaire de Versailles (DRPJ).http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/25/97001-20110625FILWWW00511-seine-et-marne-un-tue-par-balles.php
Ce n'était pas un accident, c'était un crime
Trois heures de réflexion. Les cinq femmes et quatre hommes qui constituaient le jury de la cour d'assises de la Haute-Garonne ont longuement réfléchi hier après-midi pour finalement rendre une décision qui ne satisfait ni les familles des victimes, ni les proches d'Anthony Zigler. Ce peintre en bâtiment a été reconnu coupable hier de « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Un crime puni par dix années de réclusion criminelle pour avoir provoqué l'accident de la route qui a coûté la vie à l'aube du 31 janvier 2009 boulevard Silvio-Trentin à Toulouse à Jérôme Soutiras, Jonathan Delpérier et grièvement blessé le conducteur Antonico Ferrandiz.
« Cinq ans pour une vie, c'est rien », s'indigne un proche des victimes à l'issue du délibéré, en rappelant que deux personnes ont péri. Mais dix ans de vie quand on a 23 ans, l'âge d'Anthony Zigler, cela peut être beaucoup. En réalité dans ce dossier, on le pressentait lors des débats, personne ne pouvait se satisfaire de la décision de la cour. Même si les proches des victimes ont affiché pendant trois jours une retenue remarquable, il y avait trop de souffrance, trop de silence, trop de questions.
L'avocat général François Muguet l'a affirmé hier matin en réclamant de 13 à 15 ans de réclusion criminelle : « La vérité vraie, personne ne la connaît. Sauf celui qui ne veut rien ne vous en dire ». Un silence qui joue incontestablement contre Anthony Zigler. Son avocat Me Simon Cohen a pourtant tout essayé pour convaincre les jurés. Des témoignages aux calculs mathématiques, il a bataillé 2 heures pour obtenir la requalification du drame en accident. « Il n'a pas pu faire exprès. Il a été surpris par le décalage de la Clio ! » A plus de 100 km/h, au millième de seconde, où est l'acte volontaire ? Dans la poursuite, peut-être. Cinq minutes de folie. Pour un regard, une claque. Pour rien finalement. C'est ce qui rend ce dossier insupportable.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/25/1115211-ce-n-etait-pas-un-accident-c-etait-un-crime.html
« Cinq ans pour une vie, c'est rien », s'indigne un proche des victimes à l'issue du délibéré, en rappelant que deux personnes ont péri. Mais dix ans de vie quand on a 23 ans, l'âge d'Anthony Zigler, cela peut être beaucoup. En réalité dans ce dossier, on le pressentait lors des débats, personne ne pouvait se satisfaire de la décision de la cour. Même si les proches des victimes ont affiché pendant trois jours une retenue remarquable, il y avait trop de souffrance, trop de silence, trop de questions.
L'avocat général François Muguet l'a affirmé hier matin en réclamant de 13 à 15 ans de réclusion criminelle : « La vérité vraie, personne ne la connaît. Sauf celui qui ne veut rien ne vous en dire ». Un silence qui joue incontestablement contre Anthony Zigler. Son avocat Me Simon Cohen a pourtant tout essayé pour convaincre les jurés. Des témoignages aux calculs mathématiques, il a bataillé 2 heures pour obtenir la requalification du drame en accident. « Il n'a pas pu faire exprès. Il a été surpris par le décalage de la Clio ! » A plus de 100 km/h, au millième de seconde, où est l'acte volontaire ? Dans la poursuite, peut-être. Cinq minutes de folie. Pour un regard, une claque. Pour rien finalement. C'est ce qui rend ce dossier insupportable.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/25/1115211-ce-n-etait-pas-un-accident-c-etait-un-crime.html
Marck : un terrible accident fait deux morts, un motard et un enfant de six ans
La collision est terrible. La moto tape la voiture au niveau de la portière arrière droite. Le bilan est lourd. Deux morts : le conducteur du deux-roues et un des trois enfants qui se rendaient à l'école des Hemmes.
Sur place, trois ambulances, un hélicoptère, des sapeurs-pompiers et des gendarmes partout, des gyrophares... L'accident est arrivé à un carrefour, qui n'est pas réputé comme étant dangereux, entre deux protagonistes qui connaissent le secteur pour y habiter. La collision se produit pourtant, violente, dramatique. La moto conduite par Franck Moreel, 24 ans, termine sa course dans la portière derrière laquelle est installé Christophe Bétourné, six ans, assis à côté de son frère et de sa soeur. « Le motard a été projeté à plusieurs mètres », témoigne un jeune homme ayant alerté le SAMU et assuré la circulation en attendant les secours.
Le petit devait participer à une journée pédagogique à Ardres, dans la commune voisine. Ses copains de classe ont appris la terrible nouvelle le soir, en rentrant, accueillis par leurs parents déjà informés par l'Éducation nationale et un médecin. L'école des Hemmes est sous le choc en cette veille de vacances. Le club de football aussi.
« Ce samedi, une journée festive devait être organisée à l'occasion du 40e anniversaire du club de foot du Fort-Vert », explique le président du club qui vient de perdre un de ses petits joueurs. « On a tout annulé. On n'a plus le coeur à rien... » Chez son employeur, le motard défunt était décrit comme un salarié modèle, serviable.
L'enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de Marck, qui devront déterminer qui de la voiture ou du motard est en cause.
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/25/article_la-commune-de-marck-endeuillee-apres-un.shtml
Fête annulée
Le motard est tué sur le coup. L'enfant, malgré l'intervention rapide des pompiers et urgentistes, ne survit pas à ses blessures.Le petit devait participer à une journée pédagogique à Ardres, dans la commune voisine. Ses copains de classe ont appris la terrible nouvelle le soir, en rentrant, accueillis par leurs parents déjà informés par l'Éducation nationale et un médecin. L'école des Hemmes est sous le choc en cette veille de vacances. Le club de football aussi.
« Ce samedi, une journée festive devait être organisée à l'occasion du 40e anniversaire du club de foot du Fort-Vert », explique le président du club qui vient de perdre un de ses petits joueurs. « On a tout annulé. On n'a plus le coeur à rien... » Chez son employeur, le motard défunt était décrit comme un salarié modèle, serviable.
L'enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de Marck, qui devront déterminer qui de la voiture ou du motard est en cause.
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/25/article_la-commune-de-marck-endeuillee-apres-un.shtml
La Rochelle : le braqueur ultra-violent écroué
Armé d'un fusil à pompe et d'un couteau, il s'en était très violemment pris à deux employées d'agences de La Poste à la Rochelle (Charente-Maritime) au cours de vols à main armée. L'homme a été interpellé, le 9 juin, par les enquêteurs de l'antenne de police judiciaire de Poitiers-La Rochelle. Placé en garde à vue, Youssef M, 26 ans a reconnu les faits mais il ne s'est pas expliqué sur ses motivations. Mis en examen, le jeune homme, décrit par sa famille comme étant toxicomane et souffrant de troubles psychiatriques, a été placé en détention provisoire.
Tout commence, le 29 avril dans un bureau de Poste du quartier de Villeneuve-Les Salines à La Rochelle. Peu après l'ouverture, un homme, le visage dissimulé sous une capuche, se présente au guichet avant d'exhiber un fusil à canon scié. Aussitôt, le braqueur menace les employés et les clients avant de leur intimer l'ordre de se coucher au sol. Le malfrat saute ensuite au-dessus d'un guichet pour accéder au coffre-fort de l'établissement bancaire. Là, il tend un sac à une employée qu'il frappe à plusieurs reprises aux jambes et au visage, estimant qu'elle ne va pas assez vite pour lui remettre son butin. Avant de quitter les lieux après avoir fait main basse sur 2 500 €, le braqueur s'en prend encore à une autre victime en la giflant puis en l'aspergeant de gaz lacrymogène. Mais quelques minutes après les faits, le malfaiteur voit ses liasses de billets qui disposent d'un système de sécurité se noircir d'encre indélébile.
Saisis des investigations, les policiers de la PJ apprennent rapidement qu'un suspect écoule de l'argent maculé dans une grande surface de la ville. Après vérifications, les enquêteurs découvrent que ce dernier circule au volant d'une Peugeot 307 rouge.
Le 8 juin, une seconde agence de La Poste de La Rochelle est la cible d'un vol à main armée. Le braqueur, qui agi seul, est armé d'un fusil à pompe à canon scié et d'un couteau. Sa description physique correspond à l'auteur du premier braquage. Après avoir menacé une employée, il lui lacère le visage de l'oreille à la bouche, ulcéré de ne pouvoir accéder aux liquidités avant de prendre la fuite au volant d'une Peugeot 307 rouge. La jeune femme de 33 ans est rapidement secourue avant d'être évacuée vers l'hôpital de la ville. Opérée, elle s'est vue prescrire 14 jours d'interruption totale de travail (ITT).
Après avoir identifié le propriétaire du véhicule, les policiers investissent, le lendemain des faits, deux appartements de la ville avant d'interpeller le suspect. Au cours de leur perquisition, les enquêteurs ont découvert les vêtements portés par le braqueur lors des vols ainsi qu'un fusil à canon scié et un pantalon tâché par de l'encre indélébile. Son empreinte génétique a également été retrouvée sur un mégot de cigarette et sur une sucette abandonnés derrière un bosquet, situé à proximité de la première agence attaquée.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-rochelle-le-braqueur-ultra-violent-ecroue-25-06-2011-1508287.php
Tout commence, le 29 avril dans un bureau de Poste du quartier de Villeneuve-Les Salines à La Rochelle. Peu après l'ouverture, un homme, le visage dissimulé sous une capuche, se présente au guichet avant d'exhiber un fusil à canon scié. Aussitôt, le braqueur menace les employés et les clients avant de leur intimer l'ordre de se coucher au sol. Le malfrat saute ensuite au-dessus d'un guichet pour accéder au coffre-fort de l'établissement bancaire. Là, il tend un sac à une employée qu'il frappe à plusieurs reprises aux jambes et au visage, estimant qu'elle ne va pas assez vite pour lui remettre son butin. Avant de quitter les lieux après avoir fait main basse sur 2 500 €, le braqueur s'en prend encore à une autre victime en la giflant puis en l'aspergeant de gaz lacrymogène. Mais quelques minutes après les faits, le malfaiteur voit ses liasses de billets qui disposent d'un système de sécurité se noircir d'encre indélébile.
Saisis des investigations, les policiers de la PJ apprennent rapidement qu'un suspect écoule de l'argent maculé dans une grande surface de la ville. Après vérifications, les enquêteurs découvrent que ce dernier circule au volant d'une Peugeot 307 rouge.
Le 8 juin, une seconde agence de La Poste de La Rochelle est la cible d'un vol à main armée. Le braqueur, qui agi seul, est armé d'un fusil à pompe à canon scié et d'un couteau. Sa description physique correspond à l'auteur du premier braquage. Après avoir menacé une employée, il lui lacère le visage de l'oreille à la bouche, ulcéré de ne pouvoir accéder aux liquidités avant de prendre la fuite au volant d'une Peugeot 307 rouge. La jeune femme de 33 ans est rapidement secourue avant d'être évacuée vers l'hôpital de la ville. Opérée, elle s'est vue prescrire 14 jours d'interruption totale de travail (ITT).
Après avoir identifié le propriétaire du véhicule, les policiers investissent, le lendemain des faits, deux appartements de la ville avant d'interpeller le suspect. Au cours de leur perquisition, les enquêteurs ont découvert les vêtements portés par le braqueur lors des vols ainsi qu'un fusil à canon scié et un pantalon tâché par de l'encre indélébile. Son empreinte génétique a également été retrouvée sur un mégot de cigarette et sur une sucette abandonnés derrière un bosquet, situé à proximité de la première agence attaquée.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-rochelle-le-braqueur-ultra-violent-ecroue-25-06-2011-1508287.php
Florensac. La mère du jeune meurtrier met en cause le collège
Anne, la mère de G., le jeune garçon de 14 ans qui a tué à coups de poing la petite Carla 13 ans, prépare une plainte contre les responsables du collège Voltaire.
Elle estime que l'établissement a été négligent à plusieurs reprises, concernant notamment les absences de sa fille, la rivale de Carla.
« C'est seulement la semaine dernière que j'ai appris que ma fille n'allait plus en cours depuis le 9 mai. Je les ai rencontrés le jour où ma fille a été agressée dans la rue par deux filles, deux élèves de l'établissement dont la petite Carla. Ils n'ont pas été capables de trouver le bon numéro de portable ou de mon fixe puisque je n'ai pas changé d'adresse, même si ma fille, au premier trimestre était en internat à Vendres » explique Anne, déterminée à demander des comptes à l'Education nationale.
« Le collège a fait tout ce qu'il devait faire dans cette affaire. L'établissement avait reçu deux appels de la mère de cette jeune fille expliquant qu'elle serait absente parce qu'elle était malade, puis qu'elle devait se faire opérer. Nous avons contacté la mère sur un portable dont on ne pouvait pas savoir qu'il n'était plus opérationnel.
Pendant la semaine avant le drame, la CPE (conseillère principale d'éducation) avait reçu les deux familles séparément » répond Philippe Wuillamier, inspecteur d'académie, qui reste dans la sidération après ce qui s'est passé à la porte de l'établissement lundi dernier.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/25/1115513-florensac-la-mere-du-jeune-meurtrier-met-en-cause-le-college.html
Elle estime que l'établissement a été négligent à plusieurs reprises, concernant notamment les absences de sa fille, la rivale de Carla.
« C'est seulement la semaine dernière que j'ai appris que ma fille n'allait plus en cours depuis le 9 mai. Je les ai rencontrés le jour où ma fille a été agressée dans la rue par deux filles, deux élèves de l'établissement dont la petite Carla. Ils n'ont pas été capables de trouver le bon numéro de portable ou de mon fixe puisque je n'ai pas changé d'adresse, même si ma fille, au premier trimestre était en internat à Vendres » explique Anne, déterminée à demander des comptes à l'Education nationale.
« Le collège a fait tout ce qu'il devait faire dans cette affaire. L'établissement avait reçu deux appels de la mère de cette jeune fille expliquant qu'elle serait absente parce qu'elle était malade, puis qu'elle devait se faire opérer. Nous avons contacté la mère sur un portable dont on ne pouvait pas savoir qu'il n'était plus opérationnel.
Pendant la semaine avant le drame, la CPE (conseillère principale d'éducation) avait reçu les deux familles séparément » répond Philippe Wuillamier, inspecteur d'académie, qui reste dans la sidération après ce qui s'est passé à la porte de l'établissement lundi dernier.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/25/1115513-florensac-la-mere-du-jeune-meurtrier-met-en-cause-le-college.html
Béziers : à 17 ans, il se suicide à l’hôpital
Un adolescent de 17 ans, scolarisé au collège Paul-Émile-Victor d’Agde, s’est suicidé dans la nuit de mercredi à jeudi dans le service psychiatrique de l’hôpital de Béziers. Il y était rentré la veille. Selon l’autopsie, le décès serait survenu vers 3 h du matin.
L’hôpital de Béziers confirme cette information mais ne souhaite pas donner plus d’explication : "Oui, ce jeune s’est bien suicidé dans nos locaux. Pour ce qui est des causes profondes de ce geste, cela relève du secret médical."
À Agde, dans l’entourage de l’adolescent, on laisse entendre qu’il aurait pu être harcelé sur internet par d’autres collégiens. "Ce ne sont que des rumeurs infondées", assure la responsable de l’établissement scolaire.
"Oui, certains se sont moqués de lui car il était un peu en retard. Oui, il marchait de travers en raison d’une scoliose et certains en riaient, indiquait hier le père de l’adolescent. Mais non, il n’était pas victime de harcèlement. Je viens de passer une journée avec ses camarades de classe. Mon fils était particulièrement bien intégré. Mais vous savez, les gamins sont durs entre eux quelquefois. Le choix de mon fils de mettre fin à ses jours s’explique par bien d’autres raisons."
Le parquet de Béziers a ouvert une enquête sur cette disparition. Le jeune homme en était à sa troisième tentative de suicide.
http://www.midilibre.fr/2011/06/24/beziers-a-17-ans-il-se-suicide-a-l-hopital,342704.php
L’hôpital de Béziers confirme cette information mais ne souhaite pas donner plus d’explication : "Oui, ce jeune s’est bien suicidé dans nos locaux. Pour ce qui est des causes profondes de ce geste, cela relève du secret médical."
À Agde, dans l’entourage de l’adolescent, on laisse entendre qu’il aurait pu être harcelé sur internet par d’autres collégiens. "Ce ne sont que des rumeurs infondées", assure la responsable de l’établissement scolaire.
"Oui, certains se sont moqués de lui car il était un peu en retard. Oui, il marchait de travers en raison d’une scoliose et certains en riaient, indiquait hier le père de l’adolescent. Mais non, il n’était pas victime de harcèlement. Je viens de passer une journée avec ses camarades de classe. Mon fils était particulièrement bien intégré. Mais vous savez, les gamins sont durs entre eux quelquefois. Le choix de mon fils de mettre fin à ses jours s’explique par bien d’autres raisons."
Le parquet de Béziers a ouvert une enquête sur cette disparition. Le jeune homme en était à sa troisième tentative de suicide.
http://www.midilibre.fr/2011/06/24/beziers-a-17-ans-il-se-suicide-a-l-hopital,342704.php
Vol de vêtements : des femmes interpellées
Le mercredi 22 juin, vers 13 h 30, les policiers de la section de roulement sont intervenus au magasin Gemo, rue Jean-Moulin, à Chenôve, où un groupe de femmes était suspecté d’avoir commis un vol de vêtements.
Les quatre femmes ont été entendues dans les locaux du commissariat de police. Une Talantaise de 43 ans a été mise hors de cause. En revanche, les trois autres suspectes, deux Talantaises de 47 et 16 ans, ainsi qu’une personne de 19 ans se disant sans domicile, ont fait l’objet de poursuites judiciaires.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/24/vol-de-vetements-des-femmes-interpellees
Deux sacs dans la voiture
À leur arrivée, les gardiens de la paix ont constaté que ces personnes n’étaient plus dans le magasin. Par contre, leur véhicule se trouvait toujours sur le parking. À leur retour, les quatre occupantes ont fait l’objet d’un contrôle. La fouille du véhicule a permis de découvrir, dans le coffre, deux sacs de vêtements volés à Kiabi pour une valeur de 252 euros, et à Gemo pour un montant de 56 euros. Des vêtements portaient la marque de dégradations, à l’endroit où les antivols avaient été enlevés.Les quatre femmes ont été entendues dans les locaux du commissariat de police. Une Talantaise de 43 ans a été mise hors de cause. En revanche, les trois autres suspectes, deux Talantaises de 47 et 16 ans, ainsi qu’une personne de 19 ans se disant sans domicile, ont fait l’objet de poursuites judiciaires.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/24/vol-de-vetements-des-femmes-interpellees
vendredi 24 juin 2011
Peter Falk, indétrônable Columbo
Peter Falk, mondialement connu pour son rôle d'inspecteur faussement candide, est mort à 83 ans le 23 juin 2011. Il avait également tourné pour Cassavetes, Wenders, Capra ou encore Altman
La carrière cinématographique de Peter Falk a surtout été marquée par le personnage de Columbo, inspecteur rusé à l'allure négligée, vêtu d'un imperméable froissé, roulant en Peugeot 403 cabossée et auteur de la célèbre phrase "Juste une dernière chose...". Un rôle qu'il a incarné pendant 35 ans (pas moins de 70 épisodes de 1968 à 2003). Lors du tournage de cette série policière, il s'est essayé à la mise en scène et à l'écriture de scénario.
En marge de cet exercice de comédien, il a collaboré avec les réalisateurs les plus talentueux. Il a ainsi joué pour son ami John Cassavetes à 6 reprises (notamment Husbands, 1970 ; Une femme sous influence, 1975, en compagnie de Gena Rowlands, l'épouse du réalisateur), Wim Wenders (Les Ailes du Désir, 1987), Frank Capra (Milliardaire d'un jour, 1961), Robert Altman (The Player, 1991).
Nommé deux fois pour l'Oscar du meilleur second rôle, en 1961 pour le film "Crime, société anonyme" de Balaban et Rosenberg et en 1962 pour "Milliardaire d'un jour", il n'a pas obtenu la statuette mais a acquis la reconnaissance de son talent. A plusieurs reprises, il est primé aux Emmy Awards et aux Golden Globe pour son rôle dans la série télévisée Columbo. En 2001, comme un pied de nez à son image d'inspecteur Columbo, il accepte un rôle de gros bonnet de la Mafia dans le film "Corky Romano" produit par Disney.
Une vocation tardive
Peter Falk, né le 16 septembre 1927 à New-York, aux Etats-Unis, est victime d'un cancer à l'âge de 3 ans. Ce drame le laissera définitivement borgne. Un agent artistique l'ayant un jour vu sur scène déclara même qu'il ne ferait jamais carrière avec un œil droit en moins.
Une vocation tardive
Peter Falk, né le 16 septembre 1927 à New-York, aux Etats-Unis, est victime d'un cancer à l'âge de 3 ans. Ce drame le laissera définitivement borgne. Un agent artistique l'ayant un jour vu sur scène déclara même qu'il ne ferait jamais carrière avec un œil droit en moins.
Après des études en sciences politiques et en administration publique, il échoue à intégrer la CIA mais obtient un poste d'analyste au département du budget de l'Etat du Connecticut, dans la ville d'Hartford. Pendant son temps libre, il prend des cours de théâtre et joue dans une petite troupe de la ville, les "Mark Twain Maskers". En 1956, à l'âge de 29 ans, il démissionne de son poste et s'installe à Greenwich Village à New-York, pour se lancer dans la comédie.
Il fait ses débuts professionnels dans le théâtre d'avant-garde à Broadway. Sa première pièce "Don Juan", de Molière, est jouée le 3 janvier 1956 au Fourth Street Theatre. Pendant trois ans, les pièces s'enchaînent.
A la recherche d'un acteur inconnu pour Columbo
En 1960, Peter Falk déménage à Hollywood et commence les tournages de films. Cinq ans plus tard, il accepte son premier rôle dans une série à la télévision "The trials of O'Brien". Le producteur le qualifie alors de génie de la comédie. Le personnage de l'inspecteur Columbo suivra (1968) et lui apportera la gloire. Le rôle st tout d'abord proposé au célèbre chanteur, Bing Crosby, qui décline l'offre. Les auteurs de la série, William Link et Richard Levinson, se mettent à la recherche d'un acteur inconnu du grand public. Peter Falk s'impose difficilement à cause de son handicap. Mais, le succès est immédiat et sera une vitrine pour sa carrière.
En 2006, il publie un livre de souvenirs Juste une dernière chose, une compilation de réflexions personnelles, de bons mots et d'humour. En retraite du cinéma, il se consacre à ses passions : la peinture, des aquarelles et le dessin au charbon de bois. Ses tableaux évoquent très souvent la féminité. Ses œuvres, principalement des silhouettes de femmes sont exposées dans des galeries, comme à Rome en 2004. Vers la fin de sa vie, il souffre de démence et est placé sous la curatelle de sa femme Shera Falk, avec qui il était marié depuis 34 ans.
Un homme ayant déjà 11 condamnations inscrites à son casier comparaissait hier pour une affaire d’exhibition sexuelle. La jeune femme qui a porté plainte était présente à l’audience. Elle a expliqué que l’homme lui avait montré son sexe sur un parking du lac Kir, en août 2010, alors qu’elle attendait une amie dans sa voiture. Celui-ci les aurait ensuite suivies en voiture pendant 10 km. Les explications de la jeune femme n’ont cependant pas convaincu le président. D’autant que les présumés témoins, amies de la jeune femme, ne se sont pas manifestés. Le président Chalopin a relaxé le prévenu « au bénéfice du doute ». L’homme est néanmoins reparti entre deux gendarmes puisqu’il est incarcéré dans l’attente d’un jugement pour des faits de violences.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/24/dijon-presume-innocent
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/24/dijon-presume-innocent
Cambriolage 100 000 € de préjudice pour l'opticienne
Un nettoyage par le vide. Voici ce qu'a pu constater Clarisse Lemoine, opticienne à Vision plus à Laon hier matin, lorsqu'elle a été appelée de bonne heure hier matin (7 h 25) par la femme de ménage qui venait travailler dans le magasin place Victor-Hugo. Lorsqu'elle est arrivée dans sa boutique, cette jeune entrepreneuse, présidente de l'association commerciale de la ville basse, a pu constater que l'on avait tenté de forcer les portes blindées de son magasin, mais que les voleurs s'étaient finalement introduits par un vasistas.
À l'intérieur, il n'y avait plus une monture de lunettes pour adultes, que ce soit de vision ou de soleil, soit près de 1 500 paires en moins après un premier inventaire. Il n'y a aussi plus une machine servant à mesurer la puissance des verres. Soit un préjudice rapidement estimé aux environs de 100 000 euros.
Un vol très bien ciblé, sans doute pour approvisionner un nouveau magasin dans un « jeune » pays de l'union européenne puisqu'aucun autre vol ou dégradation n'a été commis dans le magasin. Et ceci dans un créneau compris entre minuit et 5 heures, l'heure d'arrivée des premiers commerçants pour le marché qui se tient sur la place où se trouve le magasin.
Depuis le début de l'année, une dizaine d'opticiens sur le Nord, et le Nord-Est de la France ont été victimes de cambriolages de ce type.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/laon-cambriolage-100-000-%E2%82%AC-de-prejudice-pour-lopticienne
À l'intérieur, il n'y avait plus une monture de lunettes pour adultes, que ce soit de vision ou de soleil, soit près de 1 500 paires en moins après un premier inventaire. Il n'y a aussi plus une machine servant à mesurer la puissance des verres. Soit un préjudice rapidement estimé aux environs de 100 000 euros.
Un vol très bien ciblé, sans doute pour approvisionner un nouveau magasin dans un « jeune » pays de l'union européenne puisqu'aucun autre vol ou dégradation n'a été commis dans le magasin. Et ceci dans un créneau compris entre minuit et 5 heures, l'heure d'arrivée des premiers commerçants pour le marché qui se tient sur la place où se trouve le magasin.
Depuis le début de l'année, une dizaine d'opticiens sur le Nord, et le Nord-Est de la France ont été victimes de cambriolages de ce type.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/laon-cambriolage-100-000-%E2%82%AC-de-prejudice-pour-lopticienne
Carcassonne. Ils dorment sous un pont avec un enfant de 2 ans
Débarqués depuis lundi, ce couple de réfugiés du Daguestan est condamné à dormir sous une tente, faute de pouvoir être accueilli dans des conditions plus décentes.
Depuis lundi, Igor, Straïa et leur bambin de 2 ans, Shamil (il s'agit de prénoms modifiés), dorment sous un pont de Carcassonne, dans une petite tente que leur a gracieusement fourni la Croix-Rouge.
Ils sont réfugiés, demandeurs d'asile en situation régulière, mais l'accueil d'urgence à Carcassonne est saturé depuis plusieurs mois.
Avec un simple baluchon et de très maigres économies, le couple et l'enfant ont pris un aller simple en train pour Moscou. De là, un passeur les a cachés dans un camion jusqu'à Montpellier.
Récupérés errants par la Cimade, ils sont orientés vers la préfecture de région, seule habilitée à fournir un permis provisoire de séjour.
Parrainés par Réseau éducation sans frontières, un groupe actif dans l'Aude, les réfugiés parviendront à trouver un peu de nourriture, un interprète; la Croix- Rouge et les Restos du Cœur feront le reste en attendant. Igor et sa famille ont déjà fait un aller-retour en train à Montpellier pour obtenir un permis de travail, mais faute de billets, ils ont été verbalisés. Optimistes malgré tout, Igor et Straïa sourient à la main tendue par les bénévoles de RESF, mais sont inquiets de la présence d'un journaliste.
De l'autre côté du pont, un couple kosovar campe depuis deux mois avec une gamine de 11 ans.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/24/1114330-ils-dorment-sous-un-pont-avec-un-enfant-de-2-ans.html
Depuis lundi, Igor, Straïa et leur bambin de 2 ans, Shamil (il s'agit de prénoms modifiés), dorment sous un pont de Carcassonne, dans une petite tente que leur a gracieusement fourni la Croix-Rouge.
Ils sont réfugiés, demandeurs d'asile en situation régulière, mais l'accueil d'urgence à Carcassonne est saturé depuis plusieurs mois.
10 euros en poche
Leur histoire est d'une tragique banalité. Igor est maçon dans un petit village du Daguestan, la république la plus au Sud de la fédération russe. Le pays est en proie à une lutte féroce entre les wahhabites, intégristes musulmans, et les autorités. « On était pris entre deux feux, raconte Igor, mon employeur wahhabite qui me croit favorable aux autorités et l'État qui pense que j'ai la même idéologie que mon employeur. »Avec un simple baluchon et de très maigres économies, le couple et l'enfant ont pris un aller simple en train pour Moscou. De là, un passeur les a cachés dans un camion jusqu'à Montpellier.
Récupérés errants par la Cimade, ils sont orientés vers la préfecture de région, seule habilitée à fournir un permis provisoire de séjour.
Pas le droit de travailler
Mais le précieux permis ne leur donne pas pour autant le droit de travailler, alors, ils finissent par atterrir à Carcassonne et solliciter du CADA, le service que la loi française prévoit pour tous les réfugiés munis d'un titre de séjour, une place en accueil d'urgence. Hélas, l'accueil est saturé depuis plusieurs mois et malgré la bonne volonté des services de la préfecture de Carcassonne, le couple et l'enfant sont placés sur liste d'attente.Parrainés par Réseau éducation sans frontières, un groupe actif dans l'Aude, les réfugiés parviendront à trouver un peu de nourriture, un interprète; la Croix- Rouge et les Restos du Cœur feront le reste en attendant. Igor et sa famille ont déjà fait un aller-retour en train à Montpellier pour obtenir un permis de travail, mais faute de billets, ils ont été verbalisés. Optimistes malgré tout, Igor et Straïa sourient à la main tendue par les bénévoles de RESF, mais sont inquiets de la présence d'un journaliste.
De l'autre côté du pont, un couple kosovar campe depuis deux mois avec une gamine de 11 ans.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/24/1114330-ils-dorment-sous-un-pont-avec-un-enfant-de-2-ans.html
Montauban. Un cadavre découvert dans un hangar quai Poult
C'est une bien malheureuse découverte qui a été faite hier matin peu après 9h45. Le lieu du drame se situe au 111 du Quai Adolphe Poult. Si la numérotation en elle-même n'a pas grande signification, le bâtiment lui est connu de tous les Montalbanais. C'est le siège de « Montauban Festivités » qui est en rénovation importante par tranches. C'est dans la partie droite de ce vaste hangar que le corps sans vie a été découvert par des ouvriers travaillant dans un autre secteur du local. Le septuagénaire était allongé avec un peu de sang autour de la tête, dans le secteur où l'on stocke les chars qui participent à la « Cavalcade des 400 coups » de début.
Il était semble-t-il mort depuis un peu plus d'une journée.
Rapidement sur place les pompiers et les policiers ne pouvaient que constater le décès.
Le permis d'inhumer étant d'ailleurs délivré dans l'heure car la mort naturelle ne fait aucun doute. Le défunt Jean-Paul A. 71 ans semblait dormir souvent dans ce lieu dont il assurait une sorte de gardiennage. Il semble qu'on ne l'avait plus aperçu depuis mardi soir un peu plus loin que le lieu où il a été découvert.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/24/1114636-un-cadavre-decouvert-dans-un-hangar-quai-poult.html
Il était semble-t-il mort depuis un peu plus d'une journée.
Rapidement sur place les pompiers et les policiers ne pouvaient que constater le décès.
Le permis d'inhumer étant d'ailleurs délivré dans l'heure car la mort naturelle ne fait aucun doute. Le défunt Jean-Paul A. 71 ans semblait dormir souvent dans ce lieu dont il assurait une sorte de gardiennage. Il semble qu'on ne l'avait plus aperçu depuis mardi soir un peu plus loin que le lieu où il a été découvert.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/24/1114636-un-cadavre-decouvert-dans-un-hangar-quai-poult.html
Incident au tribunal autour du port du voile islamique
Le 30 mai dernier, lors de l’audience correctionnelle du tribunal de Béziers, une justiciable a été contrainte d’ôter son voile islamique pour rentrer dans la salle d’audience.
Elle explique : "Quand je suis entré dans la salle du tribunal, un policier m’a demandé d’ôter mon voile par respect pour la juge". Elle continue : "J’ai accepté de me présenter à la barre avec un bandeau sur la tête. Rien dans la loi française ne m’interdit de me présenter avec un hijab. Seul Allah peut me demander de dévoiler ainsi ma pudeur."
Celle qui se dit victime d’islamophobie s’est convertie à l’Islam il y a plusieurs années. Elle est décidée à porter très loin cette affaire. Elle compte signaler de tels comportements auprès de la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) comme auprès de la cour Européenne des droits de l’Homme.
Au tribunal, on confirme qu’il a bien été demandé à cette personne d’enlever son voile pour se présenter devant la juge. "Comme cela est fait pour toutes les personnes qui rentrent avec un couvre-chef."
Par ailleurs, cette même personne s’en ait pris vertement à la présidente du tribunal qui aurait dit : "La circoncision était un acte de barbarie." Le fils de la plaignante s’étant converti à 10 ans à la religion islamique et ayant été circoncis, il y a peu.
Mais dans la salle d’audience, personne ne se souvient de tels propos, ni les policiers, ni les avocats, pas même notre collègue présente lors du jugement de cette mère de famille.
"On m’accuse de manipuler mon enfant car il s’est converti. Pour moi, ce n’est rien d’autre que du racisme. On en fait une affaire de religion."
Mardi, la justice va donner une réponse au motif qui lui a valu d’être présentée à la barre du tribunal. "Je serai présente, mais voilée", dit-elle.
http://www.midilibre.fr/2011/06/23/incident-au-tribunal-autour-du-port-du-voile-islamique,341822.php
Elle explique : "Quand je suis entré dans la salle du tribunal, un policier m’a demandé d’ôter mon voile par respect pour la juge". Elle continue : "J’ai accepté de me présenter à la barre avec un bandeau sur la tête. Rien dans la loi française ne m’interdit de me présenter avec un hijab. Seul Allah peut me demander de dévoiler ainsi ma pudeur."
Celle qui se dit victime d’islamophobie s’est convertie à l’Islam il y a plusieurs années. Elle est décidée à porter très loin cette affaire. Elle compte signaler de tels comportements auprès de la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) comme auprès de la cour Européenne des droits de l’Homme.
Au tribunal, on confirme qu’il a bien été demandé à cette personne d’enlever son voile pour se présenter devant la juge. "Comme cela est fait pour toutes les personnes qui rentrent avec un couvre-chef."
Par ailleurs, cette même personne s’en ait pris vertement à la présidente du tribunal qui aurait dit : "La circoncision était un acte de barbarie." Le fils de la plaignante s’étant converti à 10 ans à la religion islamique et ayant été circoncis, il y a peu.
Mais dans la salle d’audience, personne ne se souvient de tels propos, ni les policiers, ni les avocats, pas même notre collègue présente lors du jugement de cette mère de famille.
"On m’accuse de manipuler mon enfant car il s’est converti. Pour moi, ce n’est rien d’autre que du racisme. On en fait une affaire de religion."
Mardi, la justice va donner une réponse au motif qui lui a valu d’être présentée à la barre du tribunal. "Je serai présente, mais voilée", dit-elle.
http://www.midilibre.fr/2011/06/23/incident-au-tribunal-autour-du-port-du-voile-islamique,341822.php
La chasse aux cambrioleurs
Un raid de malfaiteurs en provenance de Haute-Saône s’est produit dans la nuit de mardi à mercredi. Vers 1 heure du matin, des hommes, le visage masqué par des cagoules, ont cambriolé un tabac-presse, situé à Châtillon-sur-Seine. Une alarme s’est déclenchée. Un témoin a appelé la gendarmerie.
A 3 h 50, les gendarmes du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), unité de la compagnie d’Is-sur-Tille, repéraient, sur la route départementale 959, au nord d’Is-sur-Tille en direction de cette localité, les deux véhicules recherchés. Une course-poursuite s’est engagée.
Pour l’un des véhicules pris en chasse, le périple a pris fin, après une sortie de route sur la D 959, entre Marcilly-sur-Tille et Til-Châtel. Après avoir abandonné la voiture accidentée dans un fossé (notre photo), deux hommes ont pris la fuite à pied en direction des bois. Cette 308 RCZ neuve avait été volée la nuit précédente en Haute-Saône, chez un concessionnaire Peugeot, dont la vitrine avait été défoncée lors d’une attaque à la voiture bélier. Un important dispositif de recherches, impliquant l’hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie, a été mis en place. Les parages ont été quadrillés pendant plusieurs heures.
L’enquête se poursuit pour retrouver le deuxième homme ayant pris la fuite à pied, ainsi que les occupants du second véhicule.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/23/la-chasse-aux-cambrioleurs
Le plan Hibou
Dans le même créneau horaire, une tentative de cambriolage d’un commerce avait été signalée dans le secteur de Recey-sur-Ource. Immédiatement, le plan Hibou a été déclenché. Plusieurs patrouilles de militaires ont été déployées sur différents axes routiers de la Côte-d’Or.A 3 h 50, les gendarmes du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), unité de la compagnie d’Is-sur-Tille, repéraient, sur la route départementale 959, au nord d’Is-sur-Tille en direction de cette localité, les deux véhicules recherchés. Une course-poursuite s’est engagée.
Pour l’un des véhicules pris en chasse, le périple a pris fin, après une sortie de route sur la D 959, entre Marcilly-sur-Tille et Til-Châtel. Après avoir abandonné la voiture accidentée dans un fossé (notre photo), deux hommes ont pris la fuite à pied en direction des bois. Cette 308 RCZ neuve avait été volée la nuit précédente en Haute-Saône, chez un concessionnaire Peugeot, dont la vitrine avait été défoncée lors d’une attaque à la voiture bélier. Un important dispositif de recherches, impliquant l’hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie, a été mis en place. Les parages ont été quadrillés pendant plusieurs heures.
Une arrestation
Vers 9 heures, un suspect correspondant au signalement d’un des deux fuyards a été arrêté par des gendarmes de la compagnie d’Is-sur-Tille, au centre d’Is-sur-Tille. Cet homme de 26 ans, appartenant à la communauté des gens du voyage, se trouvait, hier soir, toujours en garde à vue.L’enquête se poursuit pour retrouver le deuxième homme ayant pris la fuite à pied, ainsi que les occupants du second véhicule.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/06/23/la-chasse-aux-cambrioleurs
jeudi 23 juin 2011
Un ex-policier en garde à vue dans l'affaire de l'élu de Valenton
L’enquête sur l’affaire de la tentative d'assassinat contre un élu de Valenton (Val-de-Marne) vient de s’accélérer avec l’interpellation d’un autre suspect. Ce dernier, ancien policier de l’ex-direction de la surveillance du territoire (DST), a été arrêté, ce matin, par les enquêteurs du service départemental de police judiciaire (SDPJ) du Val-de-Marne.
Sa garde à vue est toujours en cours. L’homme est notamment soupçonné d’avoir pu prêter assistance à Laurence Honoré, l’épouse de Christian Honoré, élu (divers droite) de Valenton, qui voulait tuer son mari. Le 14 juin aux alentours de minuit, cette femme de 44 ans avait été interpellée à proximité de leur domicile à Saint-Maurice (Val-de-Marne), armée d’un revolver 22 long rifle, cagoulée, casquée et entièrement vêtue de noir. Elle avait mis en joue les forces de l’ordre avant d’être maîtrisée.
Dans ce dossier, un policier affecté à la protection de Bernard Accoyer, le président de l’Assemblée Nationale, a déjà été mis en examen pour «complicité» avant d’être écroué
http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-ex-policier-en-garde-a-vue-dans-l-affaire-de-l-elu-de-valenton-23-06-2011-1505562.php
Sa garde à vue est toujours en cours. L’homme est notamment soupçonné d’avoir pu prêter assistance à Laurence Honoré, l’épouse de Christian Honoré, élu (divers droite) de Valenton, qui voulait tuer son mari. Le 14 juin aux alentours de minuit, cette femme de 44 ans avait été interpellée à proximité de leur domicile à Saint-Maurice (Val-de-Marne), armée d’un revolver 22 long rifle, cagoulée, casquée et entièrement vêtue de noir. Elle avait mis en joue les forces de l’ordre avant d’être maîtrisée.
Dans ce dossier, un policier affecté à la protection de Bernard Accoyer, le président de l’Assemblée Nationale, a déjà été mis en examen pour «complicité» avant d’être écroué
http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-ex-policier-en-garde-a-vue-dans-l-affaire-de-l-elu-de-valenton-23-06-2011-1505562.php
Farah, 17 ans, n'a pas donné de nouvelles depuis trois semaines
Cela fait trois semaines que Farah Chereiguene, 17 ans, n’a plus donné de nouvelle à son entourage. Samedi 4 juin, la jeune fille, apprentie coiffeuse appréciée à Lunel (34), est sortie dans une boîte nîmoise, Le Complexe.
Depuis, elle aurait été repérée dans un squatt à Beaucaire avant de disparaître à nouveau.
Son père, Mohamed Chereiguene, a d’abord pensé à une fugue qu’il a signalé à la gendarmerie. Désormais, il est rongé par l’inquiétude.
http://www.midilibre.fr/2011/06/23/dma-sans-nouvelle-de-sa-fille-de-17-ans-depuis-trois-semaines,341664.php
Depuis, elle aurait été repérée dans un squatt à Beaucaire avant de disparaître à nouveau.
Son père, Mohamed Chereiguene, a d’abord pensé à une fugue qu’il a signalé à la gendarmerie. Désormais, il est rongé par l’inquiétude.
http://www.midilibre.fr/2011/06/23/dma-sans-nouvelle-de-sa-fille-de-17-ans-depuis-trois-semaines,341664.php
La soeur de Xavier Dupont de Ligonnès «pense qu'il a été tué comme tout le monde»
La famille du suspect dans le massacre de sa famille à Nantes ne croit pas qu'il ait pu commettre un tel acte...
«C’est absurde de penser qu’il ait pu commettre l’inacceptable.» Christine, la sœur de Xavier Dupont de Ligonnès, refuse de croire que son frère puisse être l’auteur du quintuple meurtre de sa famille à Nantes. «Je pense qu’il a été tué comme tout le monde», a-t-elle confié à Paris Match au cours d’un entretien auquel assistait aussi sa mère Geneviève.
«J’ai édité un petit livret dans lequel j’écrivais des messages qui me venaient de l’au-delà. Ne riez pas, c’est quelque chose que je ne peux pas expliquer. Ce livret a été vendu à 11.000 exemplaires», reconnaît Geneviève. Mais, si elle indique qu’un «chanoine» est devenu son «père spirituel», elle assure n’avoir jamais appartenu à une secte ni avoir «une emprise sur quiconque».
Volage, Xavier Dupont de Ligonnès l’était aussi. «Mon père avait une double vie, pas Xavier», tranche Christine. Comme sa mère, elle décrit un homme «sentimental, pas séducteur», un mari aimant, un père attentif. Un portrait qui ne cadre pas avec l’image d’un homme qui aurait massacré sa famille. «Pour quelle raison aurait-il fait ça, se demande Geneviève. J’ai beau chercher, je n’ai aucune réponse.»
http://www.20minutes.fr/article/746599/soeur-xavier-dupont-ligonnes-pense-tue-comme-tout-monde
«C’est absurde de penser qu’il ait pu commettre l’inacceptable.» Christine, la sœur de Xavier Dupont de Ligonnès, refuse de croire que son frère puisse être l’auteur du quintuple meurtre de sa famille à Nantes. «Je pense qu’il a été tué comme tout le monde», a-t-elle confié à Paris Match au cours d’un entretien auquel assistait aussi sa mère Geneviève.
«J’ai édité un petit livret dans lequel j’écrivais des messages qui me venaient de l’au-delà»
«J’essaie de comprendre. Je suis si lasse, mais ma foi en Dieu m’aide à tenir le coup», raconte la mère mère de Xavier Dupont de Ligonnès. Son appartement versaillais est en effet décoré d’objets religieux. Cette femme de 81 ans a même été suspectée d’avoir appartenu à une secte. Ce qu’elle nie farouchement.«J’ai édité un petit livret dans lequel j’écrivais des messages qui me venaient de l’au-delà. Ne riez pas, c’est quelque chose que je ne peux pas expliquer. Ce livret a été vendu à 11.000 exemplaires», reconnaît Geneviève. Mais, si elle indique qu’un «chanoine» est devenu son «père spirituel», elle assure n’avoir jamais appartenu à une secte ni avoir «une emprise sur quiconque».
Adultère
«J’ai élevé mes enfants dans la religion catholique, mais jamais avec rigidité», se défend Geneviève. Le seul traumatisme dans l’enfance de son fils Xavier, selon elle, c’est la décision de son père de quitter le domicile conjugal. «Mon mari, je l’avoue, n’était pas un modèle de sainteté! Je n’ai jamais voulu savoir», concède Geneviève en allusion aux relations extraconjugales de son mari.Volage, Xavier Dupont de Ligonnès l’était aussi. «Mon père avait une double vie, pas Xavier», tranche Christine. Comme sa mère, elle décrit un homme «sentimental, pas séducteur», un mari aimant, un père attentif. Un portrait qui ne cadre pas avec l’image d’un homme qui aurait massacré sa famille. «Pour quelle raison aurait-il fait ça, se demande Geneviève. J’ai beau chercher, je n’ai aucune réponse.»
http://www.20minutes.fr/article/746599/soeur-xavier-dupont-ligonnes-pense-tue-comme-tout-monde
Haisnes : un différend entre deux voisins se termine par un coup de fusil
La petite rue des Quatre-Poteaux, à quelques pas seulement de la mairie d'Haisnes, avait retrouvé son calme en milieu d'après-midi. Les portes étaient closes et personne n'ouvrait. Seuls quelques ados passaient après avoir entendu qu'il y avait eu « du grabuge ». C'est en fait d'une tentative d'homicide par arme à feu qu'il s'agit.
Vers 11 h 50, les secours ont été appelés pour un homme blessé par un coup de feu. « Une patrouille d'Auchy est arrivée, explique le commissaire Matthieu Collin. Les pompiers étaient déjà là, rejoints par le SAMU. Il y avait un homme allongé sur le pas de la porte du no 3, touché à l'abdomen par un coup de feu. Il a été très vite emmené au centre hiospitalier de Lens, pronostic vital engagé. »
Toutes les autorités sur place ont donc donné leur accord pour une intervention des hommes du GIPN, sous le regard de nombreux Haisnois attirés par le déploiement de forces. « Ils sont entrés rapidement et ont maîtrisé l'homme sans incident ni coup de feu », témoigne encore le commissaire. À 14 h 40, la tension est retombée, pas les craintes pour la victime, un homme de 62 ans qui était sur la table d'opération hier soir.
Le suspect, lui, a été placé en garde à vue au commissariat de Béthune pour tentative d'homicide volontaire. Les policiers de la brigade de sûreté urbaine sont chargés de l'enquête, qui pourrait avoir pour origine un simple différend de voisinage. « C'est encore assez obscur pour nous, mais ça semble être un motif futile. On sait juste que l'auteur du coup de feu a perdu son emploi il y a peu, et qu'il est semble-t-il dépressif. » À Haisnes, c'est l'incompréhension. Fabien Pruvost, l'ancien maire, avouait ne pas comprendre « qu'on puisse essayer de donner la mort. Deux femmes pleurent, celle de la victime et celle de l'auteur du coup de feu. »
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/23/article_haisnes-un-differend-entre-deux-voisins.shtml
Vers 11 h 50, les secours ont été appelés pour un homme blessé par un coup de feu. « Une patrouille d'Auchy est arrivée, explique le commissaire Matthieu Collin. Les pompiers étaient déjà là, rejoints par le SAMU. Il y avait un homme allongé sur le pas de la porte du no 3, touché à l'abdomen par un coup de feu. Il a été très vite emmené au centre hiospitalier de Lens, pronostic vital engagé. »
Le suspect retranché, le GIPN en renfort
Rapidement les policiers ont appris que l'auteur du coup de feu est un voisin de 60 ans, armé (visiblement d'une carabine 22 long rifle), qui s'est retranché chez lui avec trois personnes, sa femme et deux autres voisins. Des renforts sont vite arrivés, le sous-préfet, le directeur adjoint de la sécurité publique... Le quartier a été bouclé, le gaz et le courant coupés, alors que dans le même temps le commissaire a tenté de joindre au téléphone les personnes dans la maison. « J'ai réussi à entrer en contact et à les faire sortir. Il restait alors l'homme seul, armé. J'ai donc fait appel au GIPN qui est arrivé vers 13 h 45. » Mais le suspect n'a jamais répondu aux appels du négociateur du GIPN.Toutes les autorités sur place ont donc donné leur accord pour une intervention des hommes du GIPN, sous le regard de nombreux Haisnois attirés par le déploiement de forces. « Ils sont entrés rapidement et ont maîtrisé l'homme sans incident ni coup de feu », témoigne encore le commissaire. À 14 h 40, la tension est retombée, pas les craintes pour la victime, un homme de 62 ans qui était sur la table d'opération hier soir.
Le suspect, lui, a été placé en garde à vue au commissariat de Béthune pour tentative d'homicide volontaire. Les policiers de la brigade de sûreté urbaine sont chargés de l'enquête, qui pourrait avoir pour origine un simple différend de voisinage. « C'est encore assez obscur pour nous, mais ça semble être un motif futile. On sait juste que l'auteur du coup de feu a perdu son emploi il y a peu, et qu'il est semble-t-il dépressif. » À Haisnes, c'est l'incompréhension. Fabien Pruvost, l'ancien maire, avouait ne pas comprendre « qu'on puisse essayer de donner la mort. Deux femmes pleurent, celle de la victime et celle de l'auteur du coup de feu. »
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/23/article_haisnes-un-differend-entre-deux-voisins.shtml
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