Arnaud Doublet, un jeune homme de Raucourt-et-Flaba de 20 ans, dort à la prison de Charleville-Mézières depuis hier soir, à l'issue de sa condamnation à 2 ans de prison dont 10 mois de sursis assorti d'une mise à l'épreuve pendant deux ans. Le sursis TIG dont il avait écopé lors d'une précédente condamnation a été révoqué hier à l'audience. Il effectuera donc 18 mois de prison ferme à la maison d'arrêt de Charleville-Mézières.
Le jeune homme, qui compte déjà cinq mentions sur son casier judiciaire, a été présenté au tribunal en procédure de comparution immédiate avec son cousin, Jason, 20 ans. Ce dernier avait été interpellé pour recel car il a accompagné Arnaud dans cette « folle virée » et a participé a au moins trois des huit infractions reprochées.
Mercredi dernier, Arnaud est convoqué au tribunal correctionnel pour avoir frappé avec un casque de moto une personne qui s'en était sortie avec huit jours d'ITT. Ce jour-là, le jeune homme arrive en retard à son procès où il a écopé d'un an de prison ferme avec mandat d'arrêt.
Le véhicule… de sa belle-mère !
En sortant du tribunal vers 18 heures, comme il n'avait pas de moyen de locomotion pour rentrer chez sa compagne à Raucourt-et-Flaba, il décide de voler une voiture. L'homme jette son dévolu sur une Peugeot 406 garée à côté de l'esplanade du palais de justice. Un véhicule avec lequel il se rend à La Francheville pour voir son cousin Jason.
Sur la route, la voiture qu'il avait volée tombe en panne. Les deux « pieds nickelés de la cambriole » décident d'en « prendre » une autre… celle de la belle-mère d'Arnaud, qu'il dérobe avec la technique du home-jacking.
Il rentre dans la maison tandis que les occupants dorment, et récupère la clef de la voiture qui se trouve sur le buffet. La voiture en panne est abandonnée au niveau d'un stop et revoilà nos deux cousins qui repartent au volant de leur nouvelle acquisition, une Peugeot 309, avec laquelle ils vont causer un accident. En perdant le contrôle, le conducteur arrache une barrière de protection.
Paniqués et certainement alcoolisés, les deux Ardennais conduisent le véhicule dans un bois et y mettent le feu.
Dès les premières heures de l'enquête, Arnaud a été mis en cause par sa belle-mère car lorsqu'il est rentré dans la maison, le chien, qui aurait pu « alerter » ses maîtres de la présence d'étrangers dans la maison, n'a pas aboyé.
Si l'un des prévenus dort en prison, le second, ayant un casier judiciaire comportant une mention et suivant une formation professionnelle avec une promesse d'embauche, est ressorti libre du tribunal. Les juges l'ont condamné à un an de prison avec sursis. Les deux cousins devront solidairement indemniser les victimes.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/il-vole-une-voiture-en-sortant-du-tribunal
Les articles de la presse internet les plus lus ou les plus commentés ici rassemblés pour vous.....la revue de presse des faits divers d'un seul coup d'oeil... la presse de France pour vous faire aimer la presse. Les articles publié sont une invitation à aller consulter les journaux....
mercredi 29 février 2012
170 kg de cannabis saisis à Cannes
La Sûreté urbaine de Cannes a réalisé un joli coup, avec la saisie de 170 kg de cannabis, conditionné pour être revendu.
A la suite à l'interpellation de quatre dealers en flagrant délit (une transaction de 20 g) par les policiers de la BAC (Brigade Anti Criminalité) vendredi soir, la marchandise a été découverte dans le coffre d'une Renault Laguna, dissimulée dans un box du Boulevard Carnot à Cannes.
Un revolver de gros calibre, une grenade de défense et une compteuse à billets ont également été saisis lors de perquisition effectuées dans la cité des festivals et dans les Bouches du Rhône.
Les investigations devraient se poursuivre, et la Police judiciaire de Nice a été co-saisie de l'enquête.
http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/170-kg-de-cannabis-saisis-a-cannes.802696.html
A la suite à l'interpellation de quatre dealers en flagrant délit (une transaction de 20 g) par les policiers de la BAC (Brigade Anti Criminalité) vendredi soir, la marchandise a été découverte dans le coffre d'une Renault Laguna, dissimulée dans un box du Boulevard Carnot à Cannes.
Un revolver de gros calibre, une grenade de défense et une compteuse à billets ont également été saisis lors de perquisition effectuées dans la cité des festivals et dans les Bouches du Rhône.
Les investigations devraient se poursuivre, et la Police judiciaire de Nice a été co-saisie de l'enquête.
http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/170-kg-de-cannabis-saisis-a-cannes.802696.html
Au volant d'une voiture, il prend de l'essence sur l'autoroute... à 12 ans
Un mineur de 12 ans et demi a été interpellé lundi au volant d'une voiture sur une aire d'autoroute des Bouches-du-Rhône, où il s'apprêtait à prendre de l'essence, a indiqué mardi la préfecture. Des fonctionnaires de la CRS autoroutière Marseille Provence sécurisaient l'aire de Gignac-la-Nerthe, sur l'A55, quand ils ont décidé de contrôler le véhicule conduit par le garçon, "au palmarès déjà impressionnant" selon la même source.
Vols, cambriolages...
Le garçon faisait l'objet de cinq fiches de recherche, dont un mandat d'amener par un juge d'instruction de Toulon, pour des faits de vols avec effraction et circonstances aggravantes. Il était également recherché par les services de police de Marseille et d'Arles (Bouches-du-Rhône) pour des faits de cambriolage.
http://www.midilibre.fr/2012/02/28/insolite-un-pere-et-son-fils-fetent-leurs-onze-ans-la-meme-annee,463986.php
Vols, cambriolages...
Le garçon faisait l'objet de cinq fiches de recherche, dont un mandat d'amener par un juge d'instruction de Toulon, pour des faits de vols avec effraction et circonstances aggravantes. Il était également recherché par les services de police de Marseille et d'Arles (Bouches-du-Rhône) pour des faits de cambriolage.
http://www.midilibre.fr/2012/02/28/insolite-un-pere-et-son-fils-fetent-leurs-onze-ans-la-meme-annee,463986.php
Six mois ferme pour treize vols
Six mois de prison ferme ont été infligés à un habitant de Neuilly-Saint-Front, poursuivi pour treize vols, les uns avec effraction, les autres après avoir escaladé une clôture. Le tout en récidive puisque le prévenu, présenté en comparution immédiate, et détenu, comptait déjà onze mentions sur son casier judiciaire.
Son air triste et abattu parlait de lui-même. Cédric Gastel était, hier, à la barre du tribunal correctionnel de Soissons pour répondre d'une série de vols commis à Neuilly-Saint-Front - la commune où il réside - et Vichel-Nanteuil, la plupart en février.
L'homme vient d'avoir 30 ans mais son visage en fait moins. Aux questions du président, soit il ne répond pas, soit il tente « si on me laissait tranquille… » Une expertise fait mention d'une déficience intellectuelle moyenne, d'une impulsivité et d'une intolérance à la frustration. Un état qui, semble-t-il, le rend vulnérable, comme l'expliquait Me Miel pour sa défense.
Certaines personnes de la connaissance du prévenu ont, selon l'avocat, demandé au jeune homme de faire des travaux, sans le payer, arguant d'une vengeance par rapport à des faits antérieurs et sans fournir le matériel, poussant le garçon à voler le nécessaire !
L'énumération de ses larcins ressemble à un inventaire à la Prévert sur le thème de la nature. Taille-haie, brouettes, motoculteur et autres bidons d'essence étaient pris dans les garages des particuliers par ce passionné de travail dans les bois et de pêche.
À la barre, près du prévenu, aucune victime mais un représentant d'un établissement de Coyolles, prêt à le prendre en charge pour lui permettre de travailler dans ce domaine en bénéficiant d'un accompagnement correspondant à sa personnalité.
Les réquisitions de Marion de La Lande d'Olce, substitut du procureur, sont allées dans ce sens. Au regard des précédents du prévenu, elle a expliqué être forcée de requérir de la prison ferme mais a exprimé le souhait de voir interdire au voleur d'habiter à Neuilly.
Le président n'a pas pu le faire mais a choisi une peine de prison adaptée pour laisser à l'organisme le temps de libérer l'appartement du délinquant, qui sera ensuite pris en charge, hors de sa commune d'origine.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/six-mois-ferme-pour-treize-vols
Son air triste et abattu parlait de lui-même. Cédric Gastel était, hier, à la barre du tribunal correctionnel de Soissons pour répondre d'une série de vols commis à Neuilly-Saint-Front - la commune où il réside - et Vichel-Nanteuil, la plupart en février.
L'homme vient d'avoir 30 ans mais son visage en fait moins. Aux questions du président, soit il ne répond pas, soit il tente « si on me laissait tranquille… » Une expertise fait mention d'une déficience intellectuelle moyenne, d'une impulsivité et d'une intolérance à la frustration. Un état qui, semble-t-il, le rend vulnérable, comme l'expliquait Me Miel pour sa défense.
Certaines personnes de la connaissance du prévenu ont, selon l'avocat, demandé au jeune homme de faire des travaux, sans le payer, arguant d'une vengeance par rapport à des faits antérieurs et sans fournir le matériel, poussant le garçon à voler le nécessaire !
L'énumération de ses larcins ressemble à un inventaire à la Prévert sur le thème de la nature. Taille-haie, brouettes, motoculteur et autres bidons d'essence étaient pris dans les garages des particuliers par ce passionné de travail dans les bois et de pêche.
À la barre, près du prévenu, aucune victime mais un représentant d'un établissement de Coyolles, prêt à le prendre en charge pour lui permettre de travailler dans ce domaine en bénéficiant d'un accompagnement correspondant à sa personnalité.
Les réquisitions de Marion de La Lande d'Olce, substitut du procureur, sont allées dans ce sens. Au regard des précédents du prévenu, elle a expliqué être forcée de requérir de la prison ferme mais a exprimé le souhait de voir interdire au voleur d'habiter à Neuilly.
Le président n'a pas pu le faire mais a choisi une peine de prison adaptée pour laisser à l'organisme le temps de libérer l'appartement du délinquant, qui sera ensuite pris en charge, hors de sa commune d'origine.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/six-mois-ferme-pour-treize-vols
mardi 28 février 2012
Une équipe de France 3 agressée
Une équipe de la rédaction de France 3 Ile-de-France a été agressée ce matin par des personnes cagoulées munies de barres de fer dans la cité de La Grande-Borne à Grigny (Essonne), a-t-on appris mardi auprès de la chaîne. "Ce matin, deux journalistes en reportage pour le 12/13 de France 3 Paris Ile de France à la cité de la Grande Borne à Grigny, accompagnées de leur opérateur de prise de son, ont été agressées par des individus cagoulés et munis de barres de fer", a annoncé France 3 dans un communiqué.
"Elles ne sont pas blessées mais très choquées et ont déposé plainte au commissariat. La caméra leur a été volée", a ajouté la chaîne, qui a "dénoncé cette agression portée à l'encontre de journalistes dans le cadre de l'exercice de leur métier".
L'agression survient après celle d'une autre journaliste dimanche à la cité de La Grande-Borne, travaillant pour RMC. Une journaliste, également en reportage, a été agressée physiquement et son matériel a été volé, a-t-on annoncé à la rédaction de RMC.
Ces agressions se produisent alors que l'Opievoy, bailleur social d'Ile-de-France, a annoncé lundi soir dans un communiqué avoir porté plainte contre X, après l'agression mercredi d'un de ses gardiens en poste dans la cité de La Grande-Borne.
Le parquet d'Evry a précisé qu'une enquête a été confiée au commissariat de Juvisy-sur-Orge (Essonne).http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/28/97001-20120228FILWWW00483-une-equipe-de-france-3-agressee.php
"Elles ne sont pas blessées mais très choquées et ont déposé plainte au commissariat. La caméra leur a été volée", a ajouté la chaîne, qui a "dénoncé cette agression portée à l'encontre de journalistes dans le cadre de l'exercice de leur métier".
L'agression survient après celle d'une autre journaliste dimanche à la cité de La Grande-Borne, travaillant pour RMC. Une journaliste, également en reportage, a été agressée physiquement et son matériel a été volé, a-t-on annoncé à la rédaction de RMC.
Ces agressions se produisent alors que l'Opievoy, bailleur social d'Ile-de-France, a annoncé lundi soir dans un communiqué avoir porté plainte contre X, après l'agression mercredi d'un de ses gardiens en poste dans la cité de La Grande-Borne.
Le parquet d'Evry a précisé qu'une enquête a été confiée au commissariat de Juvisy-sur-Orge (Essonne).http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/28/97001-20120228FILWWW00483-une-equipe-de-france-3-agressee.php
Victime d'un traumatisme crânien, le maire de Tramezaïgues entre la vie et la mort
Les employés de la régie du pic du Midi et de la station de La Mongie sont sous le choc depuis l'accident dramatique de leur collègue Gérard Palasset, dimanche, en début d'après-midi.
Le maire de Tramezaïgues, un village à côté de Saint-Lary-Soulan, est entre la vie et la mort. « Il a été victime d'un traumatisme crânien et son pronostic vital est engagé », souligne le directeur du pic du Midi Daniel Soucaze des Soucaze, qui a accompagné, dimanche soir, la compagne de l'employé au CHU de Purpan où il a subi une délicate intervention.
Dès hier matin 9 heures, le directeur a convoqué une réunion avec l'ensemble du personnel en présence du médecin du travail. « L'objectif était de renforcer notre solidarité face à cet événement difficile et d'essayer de faire parler les employés qui avaient besoin d'exprimer leurs sentiments. Nous nous sommes réunis durant de longues minutes en pensant très fort à lui en espérant que nos pensées puissent l'aider à s'en sortir », explique Daniel Soucaze des Soucaze. Leurs pensées ont également été à sa famille. Gérard Palasset a deux enfants avec sa compagne qui est également mère de deux enfants.
Une cellule d'aide psychologique est mise en place mercredi matin, à l'hôpital de Bagnères, avec le docteur Blanché, médecin psychiatre des Hôpitaux de Lannemezan, « pour les salariés qui désirent une prise en charge individuelle ».
Dimanche en début d'après-midi, Gérard Palasset est monté sur une échelle pour faire tomber, à la pioche, par petites touches, la neige accumulée sur le toit de la gare du téléphérique du pic du Midi pour éviter qu'elle ne tombe sur la tête des clients. Malheureusement, au premier coup de pioche, un bloc de neige, sans doute glacé par le froid, s'est brusquement détaché, faisant chuter l'employé de 4 m sur la tête.
Les règles de sécurité ont-elles été respectées lors de la manœuvre ? « L'inspecteur du travail (NDLR : qui s'est rendu sur les lieux hier matin) n'aurait pas relevé d'infraction », se contente de répondre Daniel Soucaze des Soucaze, qui souhaite se montrer très prudent sur les détails de l'accident.
La chute dramatique du maire de Tramezaïgues a déclenché automatiquement une enquête de la gendarmerie qui s'attachera à déterminer précisément les circonstances de l'accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/28/1293772-la-mongie-pic-du-midi-l-elu-de-la-vallee-d-aure-entre-la-vie-et-la-mort.html
Le maire de Tramezaïgues, un village à côté de Saint-Lary-Soulan, est entre la vie et la mort. « Il a été victime d'un traumatisme crânien et son pronostic vital est engagé », souligne le directeur du pic du Midi Daniel Soucaze des Soucaze, qui a accompagné, dimanche soir, la compagne de l'employé au CHU de Purpan où il a subi une délicate intervention.
Dès hier matin 9 heures, le directeur a convoqué une réunion avec l'ensemble du personnel en présence du médecin du travail. « L'objectif était de renforcer notre solidarité face à cet événement difficile et d'essayer de faire parler les employés qui avaient besoin d'exprimer leurs sentiments. Nous nous sommes réunis durant de longues minutes en pensant très fort à lui en espérant que nos pensées puissent l'aider à s'en sortir », explique Daniel Soucaze des Soucaze. Leurs pensées ont également été à sa famille. Gérard Palasset a deux enfants avec sa compagne qui est également mère de deux enfants.
Une cellule d'aide psychologique est mise en place mercredi matin, à l'hôpital de Bagnères, avec le docteur Blanché, médecin psychiatre des Hôpitaux de Lannemezan, « pour les salariés qui désirent une prise en charge individuelle ».
Dimanche en début d'après-midi, Gérard Palasset est monté sur une échelle pour faire tomber, à la pioche, par petites touches, la neige accumulée sur le toit de la gare du téléphérique du pic du Midi pour éviter qu'elle ne tombe sur la tête des clients. Malheureusement, au premier coup de pioche, un bloc de neige, sans doute glacé par le froid, s'est brusquement détaché, faisant chuter l'employé de 4 m sur la tête.
Les règles de sécurité ont-elles été respectées lors de la manœuvre ? « L'inspecteur du travail (NDLR : qui s'est rendu sur les lieux hier matin) n'aurait pas relevé d'infraction », se contente de répondre Daniel Soucaze des Soucaze, qui souhaite se montrer très prudent sur les détails de l'accident.
La chute dramatique du maire de Tramezaïgues a déclenché automatiquement une enquête de la gendarmerie qui s'attachera à déterminer précisément les circonstances de l'accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/28/1293772-la-mongie-pic-du-midi-l-elu-de-la-vallee-d-aure-entre-la-vie-et-la-mort.html
Elle se jette du pont sur le périphérique
Un geste désespéré très rare. Une femme dont l’identité n’a pas été révélée hier soir, s’est jetée du pont situé entre l’avenue du Roule, à Neuilly, et l’avenue des Ternes, dans le XVIIe, au niveau de la porte Maillot. Les faits se sont déroulés aux environs de 21 h 30.
Après avoir enjambé le parapet, la victime a été percutée par une voiture et est décédée malgré l’intervention des pompiers. La circulation a été fortement perturbée au niveau du périphérique intérieur alors que de nombreux véhicules de secours étaient encore sur place à 22 heures.
Après avoir enjambé le parapet, la victime a été percutée par une voiture et est décédée malgré l’intervention des pompiers. La circulation a été fortement perturbée au niveau du périphérique intérieur alors que de nombreux véhicules de secours étaient encore sur place à 22 heures.
Chute mortelle dans l'escalier
Hier, peu avant 1 heure, les secours sont appelés au 34, rue du Moulin à Lesquielles-Saint-Germain. Un homme âgé de 44 ans, vivant sous le même toit que sa sœur et son beau-frère, vient de chuter dans les escaliers.
Sa sœur qui se trouvait au rez-de-chaussée, regagnait sa chambre à l'étage, lorsqu'elle a découvert son frère, allongé au sol, au bas de l'escalier. Les sapeurs-pompiers de Guise sont prévenus et se rendent sur les lieux, renforcés par le Samu. Hélas à leur arrivée, ils ne peuvent plus rien, l'homme est mort. Les gendarmes de la communauté de communes arrivent sur place.
Ils viennent avec un technicien en identification criminelle. Une enquête est ouverte, mais la cause accidentelle de ce drame, ne semble faire aucun doute.
D'après leurs déductions et les témoignages, Franck Hombert se serait levé, puis aurait quitté sa chambre pour se rendre aux toilettes. Il aurait alors perdu équilibre en descendant l'escalier particulièrement dangereux, d'autant qu'il est privé d'éclairage. La chute lui a été fatale. Franck Hombert serait décédé sur le coup, la nuque brisée.
Un médecin légiste s'est rendu sur place pour confirmer le décès et enlever les éventuels doutes sur les circonstances de la mort.
Une autopsie sera pratiquée demain après-midi sur le corps du malheureux. Il semblerait selon les premières constatations, que la victime était dans un état d'ébriété. La brigade de la section de recherches de Saint-Quentin, se trouvait également sur les lieux.
Contacté, l'adjoint au maire n'était pas au courant du décès accidentel, mais il a dit connaître cette famille. « Il y a environ cinq ans, un autre membre de cette famille était décédé lui aussi accidentellement, noyé dans une trentaine de centimètres d'eau, dans un ruisseau situé à proximité de la maison où a été découvert le cadavre de Franck Hombert. Là aussi l'alcool était en cause. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/chute-mortelle-dans-lescalier
Sa sœur qui se trouvait au rez-de-chaussée, regagnait sa chambre à l'étage, lorsqu'elle a découvert son frère, allongé au sol, au bas de l'escalier. Les sapeurs-pompiers de Guise sont prévenus et se rendent sur les lieux, renforcés par le Samu. Hélas à leur arrivée, ils ne peuvent plus rien, l'homme est mort. Les gendarmes de la communauté de communes arrivent sur place.
Ils viennent avec un technicien en identification criminelle. Une enquête est ouverte, mais la cause accidentelle de ce drame, ne semble faire aucun doute.
D'après leurs déductions et les témoignages, Franck Hombert se serait levé, puis aurait quitté sa chambre pour se rendre aux toilettes. Il aurait alors perdu équilibre en descendant l'escalier particulièrement dangereux, d'autant qu'il est privé d'éclairage. La chute lui a été fatale. Franck Hombert serait décédé sur le coup, la nuque brisée.
Un médecin légiste s'est rendu sur place pour confirmer le décès et enlever les éventuels doutes sur les circonstances de la mort.
Une autopsie sera pratiquée demain après-midi sur le corps du malheureux. Il semblerait selon les premières constatations, que la victime était dans un état d'ébriété. La brigade de la section de recherches de Saint-Quentin, se trouvait également sur les lieux.
Contacté, l'adjoint au maire n'était pas au courant du décès accidentel, mais il a dit connaître cette famille. « Il y a environ cinq ans, un autre membre de cette famille était décédé lui aussi accidentellement, noyé dans une trentaine de centimètres d'eau, dans un ruisseau situé à proximité de la maison où a été découvert le cadavre de Franck Hombert. Là aussi l'alcool était en cause. »
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/chute-mortelle-dans-lescalier
lundi 27 février 2012
Vingt kilomètres à contresens et ivre sur l'A29
Panique sur l'autoroute A 29! Il est 20h40 ce mardi 21 février lorsque les gendarmes du peloton autoroutier reçoivent l'alerte: une voiture circule à contresens sur l'autoroute, dans le sens Saint-Quentin-Neufchâtel, en direction d'Amiens. Il n'y a pas encore eu de drame, mais on y a échappé de peu: un couple vient de frôler la mort.
Leur voiture en doublait une autre, lorsque l'AX folle s'est soudainement présentée face à eux, dans la nuit. Coup de volant miraculeux. Les deux voitures se touchent, mais côté contre côté. Les dégâts ne sont que matériels. Au péage Jules-Verne de Boves, l'accès est bloqué. Plus aucun véhicule n'est autorisé à s'engager sur l'autoroute.
Les gendarmes mettent en place un dispositif un peu plus loin, pour bloquer la voiture folle. Ils n'auront pas longtemps à attendre. L'AX apparaît, complètement «défoncée». Son conducteur continue d'accélérer, même s'il roule sur une jante, un pneu ayant explosé lors de l'accident précédent. Le chauffard force le barrage.
Il poursuit sa course folle. Les militaires parviennent finalement à le stopper à hauteur du péage. L'homme qui se trouve au volant refuse de descendre de la voiture. Il est extirpé par la force. On découvre alors un homme complètement ivre. Un chauffard qui s'est uriné dessus. On le retrouve vendredi dans le box du tribunal d'Amiens. Quinze jours plus tôt, il se trouvait au même endroit, il avait écopé de 6 mois de prison ferme, avec aménagement de peine, pour conduite alcoolisée!
«Je ne me souviens de rien», dit René Roger, 49 ans, aux juges du tribunal. Cet habitant d'Ignaucourt dit ne pas même se souvenir de son premier verre: «J'ai un traitement médicamenteux lourd, et j'ai pris d'autres médicaments du fait d'une violente rage de dents». La présidente peine visiblement à le croire. Les juges suivent les réquisitions du procureur: 24 mois de prison, dont 6 avec sursis. Il a été conduit en cellule à l'issue du procès.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Vingt-kilometres-a-contresens-et-ivre-sur-l-A29
Leur voiture en doublait une autre, lorsque l'AX folle s'est soudainement présentée face à eux, dans la nuit. Coup de volant miraculeux. Les deux voitures se touchent, mais côté contre côté. Les dégâts ne sont que matériels. Au péage Jules-Verne de Boves, l'accès est bloqué. Plus aucun véhicule n'est autorisé à s'engager sur l'autoroute.
Le chauffard force le barrage
Les gendarmes mettent en place un dispositif un peu plus loin, pour bloquer la voiture folle. Ils n'auront pas longtemps à attendre. L'AX apparaît, complètement «défoncée». Son conducteur continue d'accélérer, même s'il roule sur une jante, un pneu ayant explosé lors de l'accident précédent. Le chauffard force le barrage.
Il poursuit sa course folle. Les militaires parviennent finalement à le stopper à hauteur du péage. L'homme qui se trouve au volant refuse de descendre de la voiture. Il est extirpé par la force. On découvre alors un homme complètement ivre. Un chauffard qui s'est uriné dessus. On le retrouve vendredi dans le box du tribunal d'Amiens. Quinze jours plus tôt, il se trouvait au même endroit, il avait écopé de 6 mois de prison ferme, avec aménagement de peine, pour conduite alcoolisée!
«Je ne me souviens de rien»
«Je ne me souviens de rien», dit René Roger, 49 ans, aux juges du tribunal. Cet habitant d'Ignaucourt dit ne pas même se souvenir de son premier verre: «J'ai un traitement médicamenteux lourd, et j'ai pris d'autres médicaments du fait d'une violente rage de dents». La présidente peine visiblement à le croire. Les juges suivent les réquisitions du procureur: 24 mois de prison, dont 6 avec sursis. Il a été conduit en cellule à l'issue du procès.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Vingt-kilometres-a-contresens-et-ivre-sur-l-A29
Pas de numéro de boîte aux lettres, pas de courrier
Faute d'avoir indiqué leur numéro de boîte aux lettres à tous leurs expéditeurs, certaines personnes se plaignent de ne plus recevoir leur courrier.
Dans l'entrée de cette résidence du centre-ville de Toulouse, quatre-vingt-dix boîtes aux lettres se côtoient. De quoi égarer le visiteur à la recherche d'un nom, voire le facteur. « Mais est-ce une raison pour ne pas distribuer notre courrier ? » peste cet habitant, locataire au 12 rue Maurice Fonvielle, dans le quartier Saint-Georges. Depuis le décret du 5 janvier 2007 relatif au service universel postal, l'obligation de signaler son numéro de boîte aux lettres à La Poste tend à se généraliser.
Pas à pas, quartier par quartier, le service postal signifie aux résidents d'habitats collectifs qu'ils doivent préciser le numéro de leur boîte aux lettres auprès de leurs émetteurs, sous peine que leur courrier soit renvoyé à l'expéditeur. « Je trouve scandaleux la façon dont est gérée La Poste. À cause de cette nouvelle mesure, j'ai dû payer 10 % supplémentaires sur mon impôt foncier car je n'avais pas reçu mon courrier et je n'avais pu payer à temps », déplore ce même locataire, dont les locaux commerciaux sont basés dans l'immeuble de la rue Maurice Fonvielle.
Au mois de mars 2011, il avait pourtant reçu un courrier lui notifiant qu'il fallait indiquer le numéro de sa boîte aux lettres à ses expéditeurs, dans un délai de deux mois.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/27/1293017-pas-de-numero-de-boite-aux-lettres-pas-de-courrier.html
Dans l'entrée de cette résidence du centre-ville de Toulouse, quatre-vingt-dix boîtes aux lettres se côtoient. De quoi égarer le visiteur à la recherche d'un nom, voire le facteur. « Mais est-ce une raison pour ne pas distribuer notre courrier ? » peste cet habitant, locataire au 12 rue Maurice Fonvielle, dans le quartier Saint-Georges. Depuis le décret du 5 janvier 2007 relatif au service universel postal, l'obligation de signaler son numéro de boîte aux lettres à La Poste tend à se généraliser.
Pas à pas, quartier par quartier, le service postal signifie aux résidents d'habitats collectifs qu'ils doivent préciser le numéro de leur boîte aux lettres auprès de leurs émetteurs, sous peine que leur courrier soit renvoyé à l'expéditeur. « Je trouve scandaleux la façon dont est gérée La Poste. À cause de cette nouvelle mesure, j'ai dû payer 10 % supplémentaires sur mon impôt foncier car je n'avais pas reçu mon courrier et je n'avais pu payer à temps », déplore ce même locataire, dont les locaux commerciaux sont basés dans l'immeuble de la rue Maurice Fonvielle.
Au mois de mars 2011, il avait pourtant reçu un courrier lui notifiant qu'il fallait indiquer le numéro de sa boîte aux lettres à ses expéditeurs, dans un délai de deux mois.
« Boîte aux lettres non identifiable »
« Sur le moment je ne l'ai pas fait et puis j'ai oublié ensuite, jusqu'à ce que je reçoive ce courrier pour un retard de paiement », justifie-t-il. Il ajoute : « Depuis j'ai signalé mon changement d'adresse au trésor public en précisant mon numéro de boîte aux lettres mais les démarches sont longues ». Le 23 mai, la mairie d'Arcachon (où il possède un logement) reçoit un courrier marqué de la mention « boîte aux lettres non identifiable ». Depuis, il essaye d'obtenir gain de cause et de se faire rembourser les frais supplémentaires dépensés. Pour l'instant il n'a pas eu de réponse.« ça facilite le travail de tri»
Isabelle Courbin-Prouzat est directrice de la communication du courrier à Toulouse. Elle s'explique : « Nous signalons à chaque fois à nos clients qu'il faut indiquer leur numéro de boîte aux lettres, en leur signalant qu'il leur faut prévenir leurs grands expéditeurs (banque, impôts, téléphone...). Nous prenons aussi en compte la carte postale laquelle nous acheminerons à bon port même si celà est un peu plus long. Dans quelques années tout le monde aura ce système de numéros de boîte aux lettres qui facilite le travail de tri automatisé. Pour le client, la première étape est de demander au syndic d'installer des numéros, puis de contacter ses émetteurs par courrier. Pour tout litige, il y a possibilité de contacter notre service réclamation au 36-31».http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/27/1293017-pas-de-numero-de-boite-aux-lettres-pas-de-courrier.html
Les “Bagdad“ pirataient les distributeurs à billets
Ils sont surnommés les “Bagdad” en raison de leurs origines irakiennes et vivent dans le quartier populaire de la Belle de Mai, à Marseille. Et ce trio, jugé mardi par le tribunal correctionnel, a aussi une spécialité bien de chez lui, le fameux collet marseillais, cette vieille arnaque aux distributeurs de billets née du côté du Vieux-Port, dans les années 1980.
Alain, 21 ans, affiche déjà une dizaine de condamnations pour ces escroqueries ; Jenny, 23 ans, six mentions à son casier judiciaire et Nasser, 48 ans, a, lui aussi, été jugé neuf fois pour ces mêmes faits... Et durant l’hiver 2009, ils ont sévi dans l’Hérault.
"Vous avez tous un profil identique, issus du même quartier et condamnés pour des faits similaires. D’ailleurs, les photos extraites des bandes de vidéosurveillance des agences bancaires ont été montrées aux policiers marseillais qui vous ont formellement identifiés", indique la présidente Claudine Laporte. Les enquêteurs pensent les épingler sur une demi-douzaine de faits, commis en périphérie de Montpellier durant l’hiver 2009. "Et c’est vraiment a minima, dans la procédure, il y a beaucoup plus de faits", rappelle la présidente.
Ils jouent pour plus de 5 000 € dans un bureau de tabac
La technique n’est pas forcément très élaborée : un collet destiné à piéger la carte bancaire est installé dans la fente du distributeur à billet. "J’aborde la victime, je note son code confidentiel en la distrayant et je prends la carte bancaire", résume Alain, qui, pourtant, conteste formellement les faits commis dans le coin. "Je suis la seule personne à faire ça ? Ce n’est pas moi ! J’étais au chevet de ma mère malade."
La description donnée par l’une des victimes ne correspond d’ailleurs absolument pas à lui. Pour cette fois, il a logiquement été relaxé "au bénéfice du doute".
Ses deux complices, eux, absents à l’audience mais représentés par leurs avocats, ont reconnu les arnaques. Ils ne visaient que des personnes très âgées et sévissaient le samedi soir ou le dimanche, pour gagner le maximum de temps avant que les victimes n’aillent se plaindre de la disparition de leur CB dans les agences bancaires. Puis ils retiraient de l’argent ou faisaient des achats, pour plusieurs milliers d’euros, entre Montpellier et Marseille. Jenny faisait les courses pour son enfant et Nasser dépensait tout dans les jeux à gratter. De manière frénétique puisque lors d’un vol, de retour vers sa ville natale, il s’arrête à Nîmes et avec trois cartes bancaires dérobées, ils jouent pour plus de 5 000 € dans un bureau de tabac.
Pour cette nouvelle série d’arnaques, ces deux “Bagdad”, ont écopé de quatre mois de prison pour la jeune femme et de deux ans dont un avec sursis pour le quadragénaire.
http://www.midilibre.fr/2012/02/26/les-bagdad-pirataient-les-distributeurs-a-billets,463004.php
Alain, 21 ans, affiche déjà une dizaine de condamnations pour ces escroqueries ; Jenny, 23 ans, six mentions à son casier judiciaire et Nasser, 48 ans, a, lui aussi, été jugé neuf fois pour ces mêmes faits... Et durant l’hiver 2009, ils ont sévi dans l’Hérault.
"Vous avez tous un profil identique, issus du même quartier et condamnés pour des faits similaires. D’ailleurs, les photos extraites des bandes de vidéosurveillance des agences bancaires ont été montrées aux policiers marseillais qui vous ont formellement identifiés", indique la présidente Claudine Laporte. Les enquêteurs pensent les épingler sur une demi-douzaine de faits, commis en périphérie de Montpellier durant l’hiver 2009. "Et c’est vraiment a minima, dans la procédure, il y a beaucoup plus de faits", rappelle la présidente.
Ils jouent pour plus de 5 000 € dans un bureau de tabac
La technique n’est pas forcément très élaborée : un collet destiné à piéger la carte bancaire est installé dans la fente du distributeur à billet. "J’aborde la victime, je note son code confidentiel en la distrayant et je prends la carte bancaire", résume Alain, qui, pourtant, conteste formellement les faits commis dans le coin. "Je suis la seule personne à faire ça ? Ce n’est pas moi ! J’étais au chevet de ma mère malade."
La description donnée par l’une des victimes ne correspond d’ailleurs absolument pas à lui. Pour cette fois, il a logiquement été relaxé "au bénéfice du doute".
Ses deux complices, eux, absents à l’audience mais représentés par leurs avocats, ont reconnu les arnaques. Ils ne visaient que des personnes très âgées et sévissaient le samedi soir ou le dimanche, pour gagner le maximum de temps avant que les victimes n’aillent se plaindre de la disparition de leur CB dans les agences bancaires. Puis ils retiraient de l’argent ou faisaient des achats, pour plusieurs milliers d’euros, entre Montpellier et Marseille. Jenny faisait les courses pour son enfant et Nasser dépensait tout dans les jeux à gratter. De manière frénétique puisque lors d’un vol, de retour vers sa ville natale, il s’arrête à Nîmes et avec trois cartes bancaires dérobées, ils jouent pour plus de 5 000 € dans un bureau de tabac.
Pour cette nouvelle série d’arnaques, ces deux “Bagdad”, ont écopé de quatre mois de prison pour la jeune femme et de deux ans dont un avec sursis pour le quadragénaire.
http://www.midilibre.fr/2012/02/26/les-bagdad-pirataient-les-distributeurs-a-billets,463004.php
Deux jeunes Sedanais grièvement blessés
A peine quatre mois après l'accident qui, à Balan, avait coûté la vie à un conducteur de 25 ans, deux jeunes Sedanais ont été grièvement blessés suite à une perte de contrôle survenue, hier matin, exactement au même endroit.
UNE fois encore, un terrible accident s'est produit, hier matin, vers 5 h 30, dans la traversée de Balan, à hauteur des établissements « Point S », là où l'avenue de Gaulle présente une légère courbe à gauche lorsque l'on vient de Bazeilles en direction de Sedan. Courbe qui peut paraître complètement anodine dès lors que l'on roule à la vitesse préconisée, c'est-à-dire 50 km/h, et encore beaucoup moins si l'on respecte les panneaux de limitations 30 km/h qui ont été installés ces derniers jours suite à des travaux de voirie. Il semble cependant que le jeune conducteur de la Citroën C2 VTR (une petite « bombe » développant 110 CV pour un poids plume de 1.000 kg) n'ait pas vraiment tenu compte de ces limitations, ni de la chaussée détrempée.
« Il devait être 5 h 30. Mon concubin, qui travaille de nuit, venait juste de rentrer à la maison. Il n'était pas encore couché lorsqu'il a entendu un bruit de freinage ou de dérapage, puis un énorme impact. Il m'a aussitôt crié : ''Je crois qu'il vient d'y avoir encore un accident juste devant chez nous''», raconte cette jeune femme (qui souhaite garder l'anonymat) habitant une petite maison contiguë aux établissements Point S. « On est aussitôt sorti avec mon ami et on n'en croyait pas nos yeux. La voiture venait de percuter le tas de terre situé juste devant chez nous, avant de frôler une pelleteuse et de s'immobiliser une trentaine de mètres plus loin. On a aussitôt appelé les secours. »
De la fumée s'échappait de sous le capot
Lorsque le couple s'approche de la voiture, rejoint bientôt par d'autres riverains, le spectacle n'est pas beau à voir : « Ils étaient deux jeunes dans la voiture. Sur le coup, j'ai bien cru que le passager était mort. Je lui ai parlé et il a fini par reprendre connaissance. J'ai tenté de le rassurer en lui disant que les secours arrivaient, mais tout ce qu'il répétait, c'est ''J'ai mal, j'ai mal…''. Le conducteur, lui, était conscient. Lui aussi disait qu'il avait mal aux cervicales. Une dame lui a demandé ''Vous alliez vite ?'' Il a répondu ''Oui, on allait vite''. Le pire dans tout ça, c'est qu'ils étaient tous les deux coincés dans l'habitacle et que de la fumée s'échappait de sous le capot. J'ai vraiment eu peur à un moment donné qu'ils finissent carbonisés dans la voiture. »
Heureusement, un jeune homme, arrivé entre-temps sur les lieux, a eu l'excellent réflexe de couper le contact, ce qui fut appartement assez délicat vu que les deux airbags s'étaient déclenchés et ne facilitaient pas l'accès au tableau de bord.
Arrivés sur les lieux en nombre, les sapeurs-pompiers, ont carrément débranché la batterie, avant d'utiliser leur matériel de désincarcération pour dégager les deux occupants du véhicule. Une opération qui aura duré une bonne heure.
Les blessés sont deux Sedanais âgés de 20 ans. Le conducteur fêtait ses 20 ans hier. Quant au passager, il les a eus voilà cinq jours. Vu la gravité des blessures, ils ont tous deux été directement transportés au centre hospitalier de Manchester à Charleville-Mézières. Leurs jours ne seraient cependant pas en danger.
Selon toute vraisemblance (l'état de la voiture le laisse en tout cas supposer), une vitesse excessive serait à l'origine de cette perte de contrôle.
Les constats d'usage ont été effectués par la police de Sedan. Comme toujours dans pareil cas, il a été procédé à des prélèvements sanguins à des fins d'analyses toxicologiques afin de savoir si le conducteur conduisait sous l'emprise de l'alcool ou d'une quelconque drogue.
Cette violente sortie de route fait suite à un grave accident survenu exactement au même endroit le 5 novembre 2011 (également un samedi, mais à 1 heure du matin). Ce jour-là, un Sedanais de 25 ans, qui lui aussi conduisait trop vite, avait trouvé la mort après avoir percuté le mur de la petite maison jouxtant les établissements Point S.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/deux-jeunes-sedanais-grievement-blesses
UNE fois encore, un terrible accident s'est produit, hier matin, vers 5 h 30, dans la traversée de Balan, à hauteur des établissements « Point S », là où l'avenue de Gaulle présente une légère courbe à gauche lorsque l'on vient de Bazeilles en direction de Sedan. Courbe qui peut paraître complètement anodine dès lors que l'on roule à la vitesse préconisée, c'est-à-dire 50 km/h, et encore beaucoup moins si l'on respecte les panneaux de limitations 30 km/h qui ont été installés ces derniers jours suite à des travaux de voirie. Il semble cependant que le jeune conducteur de la Citroën C2 VTR (une petite « bombe » développant 110 CV pour un poids plume de 1.000 kg) n'ait pas vraiment tenu compte de ces limitations, ni de la chaussée détrempée.
« Il devait être 5 h 30. Mon concubin, qui travaille de nuit, venait juste de rentrer à la maison. Il n'était pas encore couché lorsqu'il a entendu un bruit de freinage ou de dérapage, puis un énorme impact. Il m'a aussitôt crié : ''Je crois qu'il vient d'y avoir encore un accident juste devant chez nous''», raconte cette jeune femme (qui souhaite garder l'anonymat) habitant une petite maison contiguë aux établissements Point S. « On est aussitôt sorti avec mon ami et on n'en croyait pas nos yeux. La voiture venait de percuter le tas de terre situé juste devant chez nous, avant de frôler une pelleteuse et de s'immobiliser une trentaine de mètres plus loin. On a aussitôt appelé les secours. »
De la fumée s'échappait de sous le capot
Lorsque le couple s'approche de la voiture, rejoint bientôt par d'autres riverains, le spectacle n'est pas beau à voir : « Ils étaient deux jeunes dans la voiture. Sur le coup, j'ai bien cru que le passager était mort. Je lui ai parlé et il a fini par reprendre connaissance. J'ai tenté de le rassurer en lui disant que les secours arrivaient, mais tout ce qu'il répétait, c'est ''J'ai mal, j'ai mal…''. Le conducteur, lui, était conscient. Lui aussi disait qu'il avait mal aux cervicales. Une dame lui a demandé ''Vous alliez vite ?'' Il a répondu ''Oui, on allait vite''. Le pire dans tout ça, c'est qu'ils étaient tous les deux coincés dans l'habitacle et que de la fumée s'échappait de sous le capot. J'ai vraiment eu peur à un moment donné qu'ils finissent carbonisés dans la voiture. »
Heureusement, un jeune homme, arrivé entre-temps sur les lieux, a eu l'excellent réflexe de couper le contact, ce qui fut appartement assez délicat vu que les deux airbags s'étaient déclenchés et ne facilitaient pas l'accès au tableau de bord.
Arrivés sur les lieux en nombre, les sapeurs-pompiers, ont carrément débranché la batterie, avant d'utiliser leur matériel de désincarcération pour dégager les deux occupants du véhicule. Une opération qui aura duré une bonne heure.
Les blessés sont deux Sedanais âgés de 20 ans. Le conducteur fêtait ses 20 ans hier. Quant au passager, il les a eus voilà cinq jours. Vu la gravité des blessures, ils ont tous deux été directement transportés au centre hospitalier de Manchester à Charleville-Mézières. Leurs jours ne seraient cependant pas en danger.
Selon toute vraisemblance (l'état de la voiture le laisse en tout cas supposer), une vitesse excessive serait à l'origine de cette perte de contrôle.
Les constats d'usage ont été effectués par la police de Sedan. Comme toujours dans pareil cas, il a été procédé à des prélèvements sanguins à des fins d'analyses toxicologiques afin de savoir si le conducteur conduisait sous l'emprise de l'alcool ou d'une quelconque drogue.
Cette violente sortie de route fait suite à un grave accident survenu exactement au même endroit le 5 novembre 2011 (également un samedi, mais à 1 heure du matin). Ce jour-là, un Sedanais de 25 ans, qui lui aussi conduisait trop vite, avait trouvé la mort après avoir percuté le mur de la petite maison jouxtant les établissements Point S.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/deux-jeunes-sedanais-grievement-blesses
dimanche 26 février 2012
Après les obsèques, colère autour des PV
Coup de colère, après les obsèques de Jean Escande, jeudi entre 14h30 et 15h30 en l'église Saint Sauveur, pour une partie de la famille touchée par la disparition et les PV qui sont tombés durant la cérémonie. Nathalie Escande, concernée par l'amende de 17€ constatant le nom respect de la zone bleue sur le parking de l'Arnette, parle de «chose inadmissible d'autant que l'on nous avait indiqué qu'il y avait tolérance durant les enterrements». Le mécontentement est plus fort puisque l'habitante du Bout du Pont de l'Arn dénonce le fonctionnement «d'une zone bleue qui fait fuir les gens du centre ville. Certains n'osent plus y venir de peur de se prendre une pastille!». Et la verbalisée, comme son beau frère, clame pas d'indulgence mais bien l'urgence de revoir ce dispositif, «une heure gratuite c'est bien plus facile que d'obliger les gens à se munir d'un disque bleue qu'ils ne savent où trouver. Je me sens solidaire de mes collègues commerçants qui peuvent ressentir les effets négatifs de cette mesure. Je constate que les clients du mazamétain font le choix des zones périphériques pour y faire les achats. Est ce que les investisseurs vont pas les suivre au détriment d'un centre ville». Dans la foulée, Nathalie Escande a interpellé l'agent municipal du service de la voie publique, le maire et le directeur des services. «On m'a indiqué que la règle était la même pour tous et qu'il n'y avait pas de passe droit. Peu importe le prix du PV, c'est bien un dispositif qu'il faut revoir d'autant que l'on ne verbalise pas ceux que l'on soupçonne ne pas payer leurs amendes alors que nous la règlerons» s'autorise à répéter la mise en cause. Au kiosque Saint Sauveur, à la Maison de la Presse, en grande surface le disque est en vente, et il en reste à disposition en mairie.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/26/1292264-mazamet-apres-les-obseques-colere-autour-des-pv.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/26/1292264-mazamet-apres-les-obseques-colere-autour-des-pv.html
Paris : les arracheurs de sacs trahis par les caméras
Deux hommes soupçonnés d'avoir agressé une femme pour lui voler son sac ont été arrêtés samedi matin, vers 11 heures, dans le XVIIe arrondissement de Paris. Ils ont été repérés grâce aux caméras de vidéoprotection de la préfecture de police. Les deux suspects ont été placés en garde à vue. Ils pourraient être impliqués dans une série de vols commis dans plusieurs parkings souterrains d'immeubles situés à proximité de la porte d'Asnières et dans le XVIIe arrondissement.
Tout commence, vers 10 h 45, lorqu'un policier chargé de visionner les images filmées par les caméras situées à proximité de la rue de Saussure (XVIIe) aperçoit deux hommes en train d'observer avec insistance plusieurs véhicules en stationnement. Une patrouille de police est aussitôt dépêchée sur les lieux. Dans l'intervalle, les deux suspects ont eu le temps de s'en prendre à une femme âgée de 43 ans. Ils lui ont arraché son sac à main avant de prendre la fuite. Rapidement interpellés, les deux voleurs, âgés de 21 ans, et déjà très connus des services de police ont été trouvés en possession de divers effets appartenant à la victime.
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75017/paris-les-arracheurs-de-sacs-ont-ete-filmes-25-02-2012-1877938.php
Tout commence, vers 10 h 45, lorqu'un policier chargé de visionner les images filmées par les caméras situées à proximité de la rue de Saussure (XVIIe) aperçoit deux hommes en train d'observer avec insistance plusieurs véhicules en stationnement. Une patrouille de police est aussitôt dépêchée sur les lieux. Dans l'intervalle, les deux suspects ont eu le temps de s'en prendre à une femme âgée de 43 ans. Ils lui ont arraché son sac à main avant de prendre la fuite. Rapidement interpellés, les deux voleurs, âgés de 21 ans, et déjà très connus des services de police ont été trouvés en possession de divers effets appartenant à la victime.
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75017/paris-les-arracheurs-de-sacs-ont-ete-filmes-25-02-2012-1877938.php
Pour un regard de travers Roué de coups et déshabillé à la sortie d'une discothèque
Début février. Un froid quasi-polaire s'abat sur la région. Tout le monde s'en souvient. Sans doute encore plus ce jeune homme qui n'avait rien demandé à personne et qui s'est retrouvé presque tout nu dans une rue de Laon en pleine nuit, qui plus est, salement amoché.
La soirée avait plutôt bien commencé. Il était invité à une petite fête chez des amis et tout le monde a pris la direction d'une discothèque de la ville haute. Là, il aurait regardé de travers et insulté - ce sont eux qui le disent - deux des participants de la fête, qu'il ne connaissait pas quelques heures plus tôt. Quand il a décidé de sortir de la discothèque, les deux hommes l'ont suivi puis l'ont roué de coups. Non contents de leur performance, ils l'ont déshabillé, ne lui laissant que son slip alors qu'il faisait près de -15° dehors.
Le visage tuméfié, la victime est retournée tant bien que mal à la discothèque pour appeler à l'aide. Il a été hospitalisé pendant trois jours.
Ses deux agresseurs ont été rapidement identifiés. Il s'agit d'un jeune militaire de 21 ans originaire de Colmar et d'un apprenti de 19 ans domicilié à Mons-en-Laonnois, qui envisageait jusqu'à présent une carrière dans la police ou dans l'armée…
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/laon-pour-un-regard-de-travers-roue-de-coups-et-deshabille-a-la-sortie-dune-discothequ
La soirée avait plutôt bien commencé. Il était invité à une petite fête chez des amis et tout le monde a pris la direction d'une discothèque de la ville haute. Là, il aurait regardé de travers et insulté - ce sont eux qui le disent - deux des participants de la fête, qu'il ne connaissait pas quelques heures plus tôt. Quand il a décidé de sortir de la discothèque, les deux hommes l'ont suivi puis l'ont roué de coups. Non contents de leur performance, ils l'ont déshabillé, ne lui laissant que son slip alors qu'il faisait près de -15° dehors.
Le visage tuméfié, la victime est retournée tant bien que mal à la discothèque pour appeler à l'aide. Il a été hospitalisé pendant trois jours.
Ses deux agresseurs ont été rapidement identifiés. Il s'agit d'un jeune militaire de 21 ans originaire de Colmar et d'un apprenti de 19 ans domicilié à Mons-en-Laonnois, qui envisageait jusqu'à présent une carrière dans la police ou dans l'armée…
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/laon-pour-un-regard-de-travers-roue-de-coups-et-deshabille-a-la-sortie-dune-discothequ
samedi 25 février 2012
Retrouvée morte à son domicile
Depuis plusieurs jours le courrier s'amoncelait dans la boîte à lettres de manière assez inquiétante. Devant ce phénomène, l'alerte a été donnée auprès des services concernés par le facteur et les voisins de cette quinquagénaire qui résidait dans une petite maison du centre- ville de Laguépie située rue du Barry. Les sapeurs-pompiers, les gendarmes de la COB de Saint-Antonin-Caylus, le maire de Laguépie, Jacques Alaux, le docteur Philippe Grazon, et un peu plus tard, les Techniciens d'investigations criminelles (TIC) de la gendarmerie se rendaient au domicile de cette femme de 58 ans découverte morte sur son lit après qu'une vitre a été brisée afin de pénétrer dans les lieux. Il semblerait que son décès remonte au début du mois de janvier puisque du courrier daté du 4 janvier a été retrouvé dans sa boîte à lettres. Le permis d'inhumer a été délivré car la mort naturelle de l'occupante des lieux ne faisait aucun doute.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/25/1291535-trouvee-morte-a-son-domicile.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/25/1291535-trouvee-morte-a-son-domicile.html
Son bébé est décédé : non lieu pour la maman, après un "cauchemar"
Sabrina, la mère de famille veut récupérer maintenant ses trois autres filles, qui lui ont été retirées.
Lolita, son bébé, est morte le 25 décembre 2009 à Nîmes. Sabrina, 32 ans, la maman, a été mise en examen pour homicide involontaire. Plus de deux ans après ce drame, la jeune femme assistée de Me Carmelo Vialette vient d’obtenir un non-lieu. Un soulagement pour la jeune mère de famille. "Du jour au lendemain, je me suis retrouvée en garde à vue et traitée comme un chien. Tout en sachant que ma petite fille était autopsiée. Je fermais les yeux. Je me disais : c’est un cauchemar, je vais me réveiller."
Un cauchemar pour la maman
Ce jour de Noël 2009 à Nîmes, dans un logement modeste de la rue Vincent-Faïta, Sabrina a découvert le corps inanimé de son bébé et appelé aussitôt les urgences. Selon les premières constatations du médecin légiste, l’enfant serait mort par étouffement, un biberon dans la bouche. La maman aurait tenté de calmer les pleurs de son bébé en lui donnant un biberon, sans pour autant lever l’enfant et prendre les mesures qui s’imposent.
"La prise du biberon n’est en rien concernée dans la mort de ce bébé. Il est décédé d’un reflux gastrique, déclare Me Carmelo Vialette. Le parquet a ouvert une information judiciaire pour délaissement d’enfant ayant entraîné la mort, une qualification de nature criminelle.
Deux juges d’instruction se sont succédé dans ce dossier et nous ont entendus. On voit là l’importance du juge d’instruction. Un premier magistrat, Bernard Courazier, a requalifié les faits en homicide involontaire. Et un deuxième magistrat, David De Pas, a rendu un non-lieu qui a été confirmé par la chambre d’instruction, après un appel du parquet."
"Pas retirés. Arrachés !"
"Je vais pouvoir enfin avoir droit à une vie normale", souffle Sabrina, aujourd’hui enceinte d’un petit garçon. La maman n’en a pas fini pour autant avec la justice. Car après sa mise en examen, puis l’agression dont a été victime son compagnon trois mois plus tard, ses enfants lui ont été retirés. "Pas retirés. Arrachés !", proteste-t-elle.
Mélissa, 8 ans, et Manon, 7 ans, vivent aujourd’hui chez leur oncle paternel en Gironde. Et la petite dernière, Océane, 4 ans, a été placée en famille d’accueil dans le Gard. "Je peux la voir une fois par semaine. Et pour les deux aînées, je n’ai pas les moyens d’aller régulièrement sur place. Je suis au RSA."
Son avocat bataille maintenant pour que la maman récupère les trois enfants et soit indemnisée. "Ce non-lieu, cela prouve aux services sociaux et à toutes les personnes qui m’ont démolie que je n’y étais pour rien et qu’ils se sont trompés, poursuit Sabrina. J’ai fait du mieux possible pour mon bébé. Maintenant je veux revoir mes petites filles."
http://www.midilibre.fr/2012/02/24/son-bebe-est-decede-non-lieu-pour-la-maman,462309.php
Lolita, son bébé, est morte le 25 décembre 2009 à Nîmes. Sabrina, 32 ans, la maman, a été mise en examen pour homicide involontaire. Plus de deux ans après ce drame, la jeune femme assistée de Me Carmelo Vialette vient d’obtenir un non-lieu. Un soulagement pour la jeune mère de famille. "Du jour au lendemain, je me suis retrouvée en garde à vue et traitée comme un chien. Tout en sachant que ma petite fille était autopsiée. Je fermais les yeux. Je me disais : c’est un cauchemar, je vais me réveiller."
Un cauchemar pour la maman
Ce jour de Noël 2009 à Nîmes, dans un logement modeste de la rue Vincent-Faïta, Sabrina a découvert le corps inanimé de son bébé et appelé aussitôt les urgences. Selon les premières constatations du médecin légiste, l’enfant serait mort par étouffement, un biberon dans la bouche. La maman aurait tenté de calmer les pleurs de son bébé en lui donnant un biberon, sans pour autant lever l’enfant et prendre les mesures qui s’imposent.
"La prise du biberon n’est en rien concernée dans la mort de ce bébé. Il est décédé d’un reflux gastrique, déclare Me Carmelo Vialette. Le parquet a ouvert une information judiciaire pour délaissement d’enfant ayant entraîné la mort, une qualification de nature criminelle.
Deux juges d’instruction se sont succédé dans ce dossier et nous ont entendus. On voit là l’importance du juge d’instruction. Un premier magistrat, Bernard Courazier, a requalifié les faits en homicide involontaire. Et un deuxième magistrat, David De Pas, a rendu un non-lieu qui a été confirmé par la chambre d’instruction, après un appel du parquet."
"Pas retirés. Arrachés !"
"Je vais pouvoir enfin avoir droit à une vie normale", souffle Sabrina, aujourd’hui enceinte d’un petit garçon. La maman n’en a pas fini pour autant avec la justice. Car après sa mise en examen, puis l’agression dont a été victime son compagnon trois mois plus tard, ses enfants lui ont été retirés. "Pas retirés. Arrachés !", proteste-t-elle.
Mélissa, 8 ans, et Manon, 7 ans, vivent aujourd’hui chez leur oncle paternel en Gironde. Et la petite dernière, Océane, 4 ans, a été placée en famille d’accueil dans le Gard. "Je peux la voir une fois par semaine. Et pour les deux aînées, je n’ai pas les moyens d’aller régulièrement sur place. Je suis au RSA."
Son avocat bataille maintenant pour que la maman récupère les trois enfants et soit indemnisée. "Ce non-lieu, cela prouve aux services sociaux et à toutes les personnes qui m’ont démolie que je n’y étais pour rien et qu’ils se sont trompés, poursuit Sabrina. J’ai fait du mieux possible pour mon bébé. Maintenant je veux revoir mes petites filles."
http://www.midilibre.fr/2012/02/24/son-bebe-est-decede-non-lieu-pour-la-maman,462309.php
Il la bat parce qu'elle travaille
Un trentenaire battait sa femme depuis cinq ans parce qu'il ne supportait pas qu'elle travaille. Cette habitante du quartier de Presles a déposé plainte au commissariat de Soissons le 16 janvier, expliquant recevoir des coups de son époux depuis 2007 ainsi que des menaces de morts verbales et par SMS.
Elle disposait d'un certificat médical faisant état d'une incapacité temporaire totale (ITT). Cet homme, souvent saoul et ne travaillant pas, insultait sa femme, refusant qu'elle travaille, car la religion islamique l'interdit. Le tout se déroulait souvent sous les yeux de leur enfant de deux ans. Le couple s'était connu en Algérie, marié religieusement dans ce pays en 2004 avant de venir vivre en France où le mariage civil a eu lieu en 2006.
Traces de coups
Les policiers étudiaient le dossier et s'apprêtaient à convoquer cet homme quand, mercredi, à 12 h 35, ils ont été appelés par son épouse en pleurs. Cette femme née en 1985 était enfermée dans son domicile, le mari ayant changé le barillet de la porte. Les hommes du commissariat se sont alors rendus sur place, ont entendu les insultes du mari au téléphone à travers la porte. Une demi-heure plus tard, il est arrivé tranquillement et a ouvert. Les policiers ont alors découvert la victime portant des traces de coups. Elle bénéficiera d'une ITT de cinq jours.
Quant à son conjoint, il a été présenté au parquet puis remis en liberté avec interdiction d'entrer en contact avec sa victime. Cette dernière a quitté le domicile conjugal. L'homme a reconnu les faits et s'en expliquera devant le tribunal le 19 mars.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-la-bat-parce-quelle-travaille
Elle disposait d'un certificat médical faisant état d'une incapacité temporaire totale (ITT). Cet homme, souvent saoul et ne travaillant pas, insultait sa femme, refusant qu'elle travaille, car la religion islamique l'interdit. Le tout se déroulait souvent sous les yeux de leur enfant de deux ans. Le couple s'était connu en Algérie, marié religieusement dans ce pays en 2004 avant de venir vivre en France où le mariage civil a eu lieu en 2006.
Traces de coups
Les policiers étudiaient le dossier et s'apprêtaient à convoquer cet homme quand, mercredi, à 12 h 35, ils ont été appelés par son épouse en pleurs. Cette femme née en 1985 était enfermée dans son domicile, le mari ayant changé le barillet de la porte. Les hommes du commissariat se sont alors rendus sur place, ont entendu les insultes du mari au téléphone à travers la porte. Une demi-heure plus tard, il est arrivé tranquillement et a ouvert. Les policiers ont alors découvert la victime portant des traces de coups. Elle bénéficiera d'une ITT de cinq jours.
Quant à son conjoint, il a été présenté au parquet puis remis en liberté avec interdiction d'entrer en contact avec sa victime. Cette dernière a quitté le domicile conjugal. L'homme a reconnu les faits et s'en expliquera devant le tribunal le 19 mars.http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-la-bat-parce-quelle-travaille
vendredi 24 février 2012
Une mère et son fils poursuivis pour la séquestration et la mort d’un homme de 77 ans
Une femme de 44 ans et son fils de 20 ans ont été mis en examen aujourd’hui à Caen pour la « séquestration suivie de la mort » d’un homme de 77 ans, a-t’on apprit de source judiciaire.
Le procureur de la République, Catherine Denis, a déclaré que, selon les premiers éléments de l’enquête, la femme et son fils (qui n’avaient aucun lien de parenté avec la victime) "étaient arrivés dans la vie de ce monsieur depuis un à deux ans et que ces dernières semaines, voire ces deux derniers mois, ils le séquestraient et ne le nourrissaient quasiment pas".
La victime, découverte morte le 8 février dans son appartement où elle avait été séquestrée, faisait l’objet d’un « signalement des services sociaux du Conseil régional » du Calvados « qui soupçonnaient un abus de faiblesse » sur la victime.
Ce signalement a permis au parquet d’ordonner une autopsie qui a conclu à la « mort par dénutrition » de l’homme. Ce dernier, suivi par les services sociaux, n’était « ni sous tutelle, ni sous curatelle », a précisé Catherine Denis.
La femme a été écrouée à Caen et son fils à Coutances
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/24/1291308-caen-une-mere-et-son-fils-poursuivis-pour-la-sequestration-et-la-mort-d-un-homme-de-77-ans.html
Le procureur de la République, Catherine Denis, a déclaré que, selon les premiers éléments de l’enquête, la femme et son fils (qui n’avaient aucun lien de parenté avec la victime) "étaient arrivés dans la vie de ce monsieur depuis un à deux ans et que ces dernières semaines, voire ces deux derniers mois, ils le séquestraient et ne le nourrissaient quasiment pas".
La victime, découverte morte le 8 février dans son appartement où elle avait été séquestrée, faisait l’objet d’un « signalement des services sociaux du Conseil régional » du Calvados « qui soupçonnaient un abus de faiblesse » sur la victime.
Ce signalement a permis au parquet d’ordonner une autopsie qui a conclu à la « mort par dénutrition » de l’homme. Ce dernier, suivi par les services sociaux, n’était « ni sous tutelle, ni sous curatelle », a précisé Catherine Denis.
La femme a été écrouée à Caen et son fils à Coutances
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/24/1291308-caen-une-mere-et-son-fils-poursuivis-pour-la-sequestration-et-la-mort-d-un-homme-de-77-ans.html
Tribunal correctionnel / « La vie de couple, vous savez… »
L'un a cogné son ex-compagne et minimise. L'autre a fait pareil et pleure son malheur. Le dernier, drogué au volant en récidive, désespère sa famille. Mercredi, trois jeunes aux trajectoires compliquées étaient confrontés à leurs vieux démons.
LA présidente pose son regard sur le prévenu : « Vous êtes en manque de quelque chose, Monsieur ? » Sébastien, 22 ans, répond par la négative en secouant un peu trop vigoureusement la tête.
Le 18 février, à Sedan, il a frappé son ex-concubine, mère de ses deux filles. Lui parle de « bonne gifle », la victime de « coup de poing ». Total : trois points de suture à l'arcade et quelques jours d'ITT.
Aux policiers, elle a raconté des violences antérieures, précisant sur le soir des faits : « Je voyais dans ses yeux qu'il était défoncé ». A chaque propos accusateur, Sébastien roule des gros yeux et cherche des regards compatissants, y compris chez les gendarmes de son box.
En vain. « La remise en question est difficile chez vous, non ? », demande la présidente. Lui, superbe : « J'ai fait une erreur mais c'est pas une raison pour mettre tous les torts sur moi ». L'expert parle d'un jeune homme « immature, égocentrique et impulsif ».
Sébastien a déjà été condamné six fois. Le 15 mars, il doit repasser au tribunal pour des faits similaires. Mandatée par l'association SOS victimes, l'avocate de la jeune femme pointe les « propos alarmants » du prévenu.
« On a l'impression que c'est un lion dans une cage », ajoute-t-elle. Sébastien, tel un fil électrique où passerait trop d'électricité, ne fait rien pour la démentir.
Avec constance, il lève ostensiblement les yeux au ciel et ne cesse de secouer frénétiquement un index tendu pour exprimer son désaccord. Son avocate, rappelant que le couple déchiré était encore réuni quelques jours plus tôt, note : « La vie de couple vous savez, ce n'est jamais tout noir, tout blanc […] Pour lui comme pour elle, il ne faut plus qu'ils se voient ». Le substitut du procureur réclame 6 mois ferme.
A l'issue du délibéré, Sébastien écope de 6 mois ferme avec mandat de dépôt « à la maison d'arrêt de Charleville, uniquement pour que vous puissiez voir plus facilement vos enfants ! », sous-titre la présidente. En outre, il devra verser 1.650 euros à la victime sans chercher à la fréquenter.
Poing sur le cœur. - Le 30 janvier, Antoine, 25 ans, se fait contrôler au volant d'une voiture, près d'Attigny : positif à l'héroïne et au cannabis. Et il est en récidive.
« Que vous mettiez en danger votre santé, c'est une chose mais si en plus, vous risquez la vie des autres, ça devient vraiment embêtant », « euphémise » la présidente.
Illusions
Antoine dit « gérer » son sevrage mais lâche un curieux : « Interdisez-moi tout ce que vous voulez ». « On ne peut pas vous prendre par la main », objecte la présidente. Par ses rechutes addictives, Antoine « désespère » ses parents.
Eux aimeraient qu'il reprenne la ferme familiale. Le substitut demande 8 mois ferme. Finalement, Antoine est condamné à 5 mois de prison. Son permis de conduire est annulé.
« Les soins vont commencer dès demain », assure la présidente. La mère d'Antoine croise le regard de son fils de nouveau menotté et, brièvement, serre son poing droit sur le cœur.
Minerve. - « Pfff, aujourd'hui, c'est la loi des séries », souffle une avocate. Vincent a pris place dans le box. Ce robuste garçon, âgé de 33 ans, s'est violemment disputé avec sa compagne.
Au premier rang de la salle, une brune élégamment vêtue se lève : « J'aurais aimé dire un mot mais je refuse de me porter partie civile ».
A peine assise, elle plonge son regard dans celui du prévenu pour ne plus le lâcher. Elle porte une minerve, stigmate de leur dernière dispute.
Dans la soirée du 20 février, à Charleville-Mézières, ces deux-là regardaient un film. « Un truc de princesses », se souvient Vincent. Et puis tout dérape. Éclats de voix, menaces, violences.
Elle quitte les lieux, il la poursuit, la rattrape et la traîne de force. La scène se termine sur le parvis de la gare : elle hurle en pleurs, maintenue à terre par Vincent qui la cogne devant témoins.
5 jours d'ITT pour la victime qui avait déjà déposé 4 plaintes. « Je lui disais que je l'aimais, que je ne voulais pas la perdre, se met à sangloter Vincent. J'essaie de calmer les gens mais j'y arrive pas, alors après c'est mon instinct ».
« Je crois toujours qu'il va changer, justifie-t-elle ensuite. Je l'aime. »
Endetté, au chômage, ce Carolo avait acheté une bague pour la dernière Saint-Valentin : « Je voulais me faire pardonner (de violences antérieures, ndlr), ça a mal marché ». Il dit encore : « Je suis malheureux, elle me brise ».
Cela fait un an qu'ils sont ensemble. Avec une précédente compagne, il a eu un fils qu'il n'a jamais vu. Dans son enfance, son père et son grand-père l'auraient violenté. L'expert dit de lui : « Il peut la mépriser comme parfois il se méprise lui-même ».
Le substitut résume : « Il n'est pas maître de ses réactions, on a toutes les raisons de craindre que ça dégénère ». Et requiert 10 mois ferme. Saisie, la victime se couvre la bouche d'une main sans parvenir à réprimer un cri d'effroi. L'avocate de Vincent analyse : « Il ne sait pas aimer car il n'a jamais été aimé. Elle, il l'aime mais il ne sait pas comment faire quand ça ne va pas, alors il cogne. » Déclaré coupable, Vincent est condamné à 10 mois de prison avec mandat de dépôt et obligations de soins. Le visage de la victime se tord de douleur. Sans lâcher Vincent des yeux, elle pleure en silence. ça ne fait pas de bruit, des illusions qui s'effondrent.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/tribunal-correctionnel-la-vie-de-couple-vous-savez
LA présidente pose son regard sur le prévenu : « Vous êtes en manque de quelque chose, Monsieur ? » Sébastien, 22 ans, répond par la négative en secouant un peu trop vigoureusement la tête.
Le 18 février, à Sedan, il a frappé son ex-concubine, mère de ses deux filles. Lui parle de « bonne gifle », la victime de « coup de poing ». Total : trois points de suture à l'arcade et quelques jours d'ITT.
Aux policiers, elle a raconté des violences antérieures, précisant sur le soir des faits : « Je voyais dans ses yeux qu'il était défoncé ». A chaque propos accusateur, Sébastien roule des gros yeux et cherche des regards compatissants, y compris chez les gendarmes de son box.
En vain. « La remise en question est difficile chez vous, non ? », demande la présidente. Lui, superbe : « J'ai fait une erreur mais c'est pas une raison pour mettre tous les torts sur moi ». L'expert parle d'un jeune homme « immature, égocentrique et impulsif ».
Sébastien a déjà été condamné six fois. Le 15 mars, il doit repasser au tribunal pour des faits similaires. Mandatée par l'association SOS victimes, l'avocate de la jeune femme pointe les « propos alarmants » du prévenu.
« On a l'impression que c'est un lion dans une cage », ajoute-t-elle. Sébastien, tel un fil électrique où passerait trop d'électricité, ne fait rien pour la démentir.
Avec constance, il lève ostensiblement les yeux au ciel et ne cesse de secouer frénétiquement un index tendu pour exprimer son désaccord. Son avocate, rappelant que le couple déchiré était encore réuni quelques jours plus tôt, note : « La vie de couple vous savez, ce n'est jamais tout noir, tout blanc […] Pour lui comme pour elle, il ne faut plus qu'ils se voient ». Le substitut du procureur réclame 6 mois ferme.
A l'issue du délibéré, Sébastien écope de 6 mois ferme avec mandat de dépôt « à la maison d'arrêt de Charleville, uniquement pour que vous puissiez voir plus facilement vos enfants ! », sous-titre la présidente. En outre, il devra verser 1.650 euros à la victime sans chercher à la fréquenter.
Poing sur le cœur. - Le 30 janvier, Antoine, 25 ans, se fait contrôler au volant d'une voiture, près d'Attigny : positif à l'héroïne et au cannabis. Et il est en récidive.
« Que vous mettiez en danger votre santé, c'est une chose mais si en plus, vous risquez la vie des autres, ça devient vraiment embêtant », « euphémise » la présidente.
Illusions
Antoine dit « gérer » son sevrage mais lâche un curieux : « Interdisez-moi tout ce que vous voulez ». « On ne peut pas vous prendre par la main », objecte la présidente. Par ses rechutes addictives, Antoine « désespère » ses parents.
Eux aimeraient qu'il reprenne la ferme familiale. Le substitut demande 8 mois ferme. Finalement, Antoine est condamné à 5 mois de prison. Son permis de conduire est annulé.
« Les soins vont commencer dès demain », assure la présidente. La mère d'Antoine croise le regard de son fils de nouveau menotté et, brièvement, serre son poing droit sur le cœur.
Minerve. - « Pfff, aujourd'hui, c'est la loi des séries », souffle une avocate. Vincent a pris place dans le box. Ce robuste garçon, âgé de 33 ans, s'est violemment disputé avec sa compagne.
Au premier rang de la salle, une brune élégamment vêtue se lève : « J'aurais aimé dire un mot mais je refuse de me porter partie civile ».
A peine assise, elle plonge son regard dans celui du prévenu pour ne plus le lâcher. Elle porte une minerve, stigmate de leur dernière dispute.
Dans la soirée du 20 février, à Charleville-Mézières, ces deux-là regardaient un film. « Un truc de princesses », se souvient Vincent. Et puis tout dérape. Éclats de voix, menaces, violences.
Elle quitte les lieux, il la poursuit, la rattrape et la traîne de force. La scène se termine sur le parvis de la gare : elle hurle en pleurs, maintenue à terre par Vincent qui la cogne devant témoins.
5 jours d'ITT pour la victime qui avait déjà déposé 4 plaintes. « Je lui disais que je l'aimais, que je ne voulais pas la perdre, se met à sangloter Vincent. J'essaie de calmer les gens mais j'y arrive pas, alors après c'est mon instinct ».
« Je crois toujours qu'il va changer, justifie-t-elle ensuite. Je l'aime. »
Endetté, au chômage, ce Carolo avait acheté une bague pour la dernière Saint-Valentin : « Je voulais me faire pardonner (de violences antérieures, ndlr), ça a mal marché ». Il dit encore : « Je suis malheureux, elle me brise ».
Cela fait un an qu'ils sont ensemble. Avec une précédente compagne, il a eu un fils qu'il n'a jamais vu. Dans son enfance, son père et son grand-père l'auraient violenté. L'expert dit de lui : « Il peut la mépriser comme parfois il se méprise lui-même ».
Le substitut résume : « Il n'est pas maître de ses réactions, on a toutes les raisons de craindre que ça dégénère ». Et requiert 10 mois ferme. Saisie, la victime se couvre la bouche d'une main sans parvenir à réprimer un cri d'effroi. L'avocate de Vincent analyse : « Il ne sait pas aimer car il n'a jamais été aimé. Elle, il l'aime mais il ne sait pas comment faire quand ça ne va pas, alors il cogne. » Déclaré coupable, Vincent est condamné à 10 mois de prison avec mandat de dépôt et obligations de soins. Le visage de la victime se tord de douleur. Sans lâcher Vincent des yeux, elle pleure en silence. ça ne fait pas de bruit, des illusions qui s'effondrent.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/tribunal-correctionnel-la-vie-de-couple-vous-savez
Des cambrioleurs pris la main dans le sac
Mercredi, vers 2 h 20 du matin, les policiers mazamétains étaient prévenus de bruits suspects provenant d'un immeuble de la rue André-Blattes, en plein centre-ville. Une patrouille, rapidement sur place, prenait en chasse un individu surpris dans le hall de l'immeuble et qui tentait de prendre la fuite. Intercepté peu après, l'homme était reconnu comme ayant été récemment mis en cause dans un cambriolage avec violences commis dans une commune voisine. Avec le renfort d'une seconde patrouille, les fonctionnaires inspectaient l'immeuble. Un appartement en étage était découvert fracturé et cambriolé. À proximité, des objets visiblement dérobés, accompagnés d'un pied de biche, étaient retrouvés. Au cours de sa garde à vue, le jeune Mazamétain a reconnu partiellement les faits de vol avec effraction. Quatre autres jeunes ont été interpellés à proximité du lieu du vol et entendus. Leur responsabilité dans l'affaire n'a pu être formellement établie. Le principal mis en cause a été conduit au tribunal de Castres où il a reçu une convocation pour une procédure de « plaider coupable ».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/24/1291091-gaillac-des-cambrioleurs-pris-la-main-dans-le-sac.html
Anti-cambriolage
C'est dans ce contexte qu'une opération anti-cambriolage a été menée hier matin dans tout le département. Elle a été particulièrement visible dans le Mazamétain. Entre 9 h 30 et 12 h 30, policiers et gendarmes ont uni leurs forces, tenant les entrées de l'agglomération. Les militaires se sont positionnés sur les points sensibles d'Aiguefonde ou Payrin alors que les policiers s'installaient au rond-point du Leclerc, au Bout-du-Pont-de-l'Arn. Cet endroit a même mobilisé un temps gendarmes et policiers ensemble. Une action spectaculaire qui a engagé localement 6 à 8 gendarmes et autant de policiers. Elle a montré une forte présence de sécurisation visant les cambriolages récurrents sur la vallée du Thoré et permis le contrôle de nombreux véhicules entrant ou sortant de la zone. Aucun incident n'est à signaler et quelques infractions routières graves ont été relevées.http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/24/1291091-gaillac-des-cambrioleurs-pris-la-main-dans-le-sac.html
Charente : elle utilisait un faux certificat de médecin du travail
Ancien médecin généraliste de Vars, au nord d'Angoulême, le Dr Christine Droy-Plessier vient d'être suspendue six mois pour avoir utilisé un faux certificat de médecin du travail.
Lorsque, arrivant de l'Oise au milieu des années 2000, Christine Droy-Plessier s'est installée au cabinet médical de Vars, cette doctoresse chevronnée et quinquagénaire a tout fait pour se faire admettre de la communauté. En quelques mois, elle est entrée au conseil départemental de l'Ordre des médecins, est devenue médecin-capitaine des pompiers de la Charente et s'est fait référencer comme médecin du travail au sein des services de santé interentreprises départementaux.
Diplôme non validé
Cette mission de médecin du travail, Christine Droy-Plessier la connaît bien : elle l'a exercée pendant vingt ans à Compiègne, ainsi qu'au sein du Club Med. Aux autorités de tutelle de la Charente, elle remet le certificat d'études spéciales sans lequel aucun docteur ne peut prétendre exercer au sein de la médecine du travail. Ce certificat, la praticienne dit l'avoir obtenu à la faculté de médecine de Lille.
Mais alors que, dans l'Oise, on l'avait crue sur parole, le Conseil départemental de l'Ordre des médecins de Charente se montre plus suspicieux. La faculté de Lille est contactée et la réponse du doyen tombe : si Christine Droy-Plessier a bien été inscrite dans cette spécialité, elle n'a jamais validé son diplôme. Le document remis à Angoulême serait donc un faux, ce dont l'intéressée se défend encore aujourd'hui.
Saisie par le conseil national de l'Ordre, la chambre disciplinaire de Poitiers n'a pas été convaincue par ces dénégations. Elle a condamné le médecin à deux ans d'interdiction d'exercer, dont six mois ferme. Le Dr Droy-Plessier, qui selon nos informations est aujourd'hui inscrite au conseil de l'Ordre de la Gironde mais n'exerce pas, peut faire appel.
http://www.sudouest.fr/2012/02/24/elle-utilisait-un-faux-certificat-de-medecin-du-travail-641936-1148.php
Lorsque, arrivant de l'Oise au milieu des années 2000, Christine Droy-Plessier s'est installée au cabinet médical de Vars, cette doctoresse chevronnée et quinquagénaire a tout fait pour se faire admettre de la communauté. En quelques mois, elle est entrée au conseil départemental de l'Ordre des médecins, est devenue médecin-capitaine des pompiers de la Charente et s'est fait référencer comme médecin du travail au sein des services de santé interentreprises départementaux.
Diplôme non validé
Cette mission de médecin du travail, Christine Droy-Plessier la connaît bien : elle l'a exercée pendant vingt ans à Compiègne, ainsi qu'au sein du Club Med. Aux autorités de tutelle de la Charente, elle remet le certificat d'études spéciales sans lequel aucun docteur ne peut prétendre exercer au sein de la médecine du travail. Ce certificat, la praticienne dit l'avoir obtenu à la faculté de médecine de Lille.
Mais alors que, dans l'Oise, on l'avait crue sur parole, le Conseil départemental de l'Ordre des médecins de Charente se montre plus suspicieux. La faculté de Lille est contactée et la réponse du doyen tombe : si Christine Droy-Plessier a bien été inscrite dans cette spécialité, elle n'a jamais validé son diplôme. Le document remis à Angoulême serait donc un faux, ce dont l'intéressée se défend encore aujourd'hui.
Saisie par le conseil national de l'Ordre, la chambre disciplinaire de Poitiers n'a pas été convaincue par ces dénégations. Elle a condamné le médecin à deux ans d'interdiction d'exercer, dont six mois ferme. Le Dr Droy-Plessier, qui selon nos informations est aujourd'hui inscrite au conseil de l'Ordre de la Gironde mais n'exerce pas, peut faire appel.
http://www.sudouest.fr/2012/02/24/elle-utilisait-un-faux-certificat-de-medecin-du-travail-641936-1148.php
Pour des barquettes de viande, il devient fou dans la supérette
C’est en levant les yeux sur l’écran de la vidéo surveillance que le gérant de la supérette Utile de l’avenue Jean-Moulin à Béziers s’aperçoit qu’un de ses clients tente de voler trois barquettes de viande en les dissimulant sous ses vêtements.
Il se rend alors au rayon boucherie et demande au voleur de lui restituer la marchandise. Le jeune homme, âgé de 25 ans, s’excuse à demi-mot en remettant l’une des barquettes au gérant mais lorsque ce dernier insiste pour qu’il restitue la totalité, il s’emporte et lui assène un coup de poing au visage. Pire, un deuxième individu arrivé dans son dos le saisit tandis que le voleur lui donne des coups de pied aux côtes.
A coup de tête pour de la nourriture
Dans la bagarre, des étagères tombent dans le magasin, des bocaux se brisent au sol et des cris se font entendre. La caissière arrive alors à la rescousse pour tenter de les séparer mais elle est prise à partie par le voleur qui lui assène un coup de tête avant de la pousser sur des chariots.
La belle-mère du gérant débarque à son tour mais elle aussi est repoussée violemment sur un présentoir à journaux. Puis le jeune Biterrois se saisit de deux bouteilles d’alcool et les casse sur la caisse avant de menacer tout ce petit monde, tel un fou furieux, et de prendre la fuite.
"J’avais trop bu ce jour-là"
C’est finalement grâce à la vidéo surveillance que les policiers remontent jusqu’à lui et l’interpellent le lendemain. Et c’est dans le cadre d’une comparution immédiate que ce jeune Biterrois d’adoption, faisant état de dix condamnations à son casier judiciaire, était présenté, hier matin, devant le tribunal correctionnel de Béziers.
Tête basse, à peine audible, le prévenu n’a eu de cesse de s’excuser pour son comportement. "J’avais trop bu ce jour-là et je me suis emporté lorsque le gérant m’a bousculé. Vraiment, je regrette..."
Mais au vu de la gravité des faits, le tribunal n’a eu que faire de ses remords et a suivi les réquisitions du Parquet en le condamnant à huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt et à deux amendes de 250 € chacune.
http://www.midilibre.fr/2012/02/23/le-vol-alimentaire-se-termine-en-vol-avec-violences-sur-le-gerant,461762.php
Il se rend alors au rayon boucherie et demande au voleur de lui restituer la marchandise. Le jeune homme, âgé de 25 ans, s’excuse à demi-mot en remettant l’une des barquettes au gérant mais lorsque ce dernier insiste pour qu’il restitue la totalité, il s’emporte et lui assène un coup de poing au visage. Pire, un deuxième individu arrivé dans son dos le saisit tandis que le voleur lui donne des coups de pied aux côtes.
A coup de tête pour de la nourriture
Dans la bagarre, des étagères tombent dans le magasin, des bocaux se brisent au sol et des cris se font entendre. La caissière arrive alors à la rescousse pour tenter de les séparer mais elle est prise à partie par le voleur qui lui assène un coup de tête avant de la pousser sur des chariots.
La belle-mère du gérant débarque à son tour mais elle aussi est repoussée violemment sur un présentoir à journaux. Puis le jeune Biterrois se saisit de deux bouteilles d’alcool et les casse sur la caisse avant de menacer tout ce petit monde, tel un fou furieux, et de prendre la fuite.
"J’avais trop bu ce jour-là"
C’est finalement grâce à la vidéo surveillance que les policiers remontent jusqu’à lui et l’interpellent le lendemain. Et c’est dans le cadre d’une comparution immédiate que ce jeune Biterrois d’adoption, faisant état de dix condamnations à son casier judiciaire, était présenté, hier matin, devant le tribunal correctionnel de Béziers.
Tête basse, à peine audible, le prévenu n’a eu de cesse de s’excuser pour son comportement. "J’avais trop bu ce jour-là et je me suis emporté lorsque le gérant m’a bousculé. Vraiment, je regrette..."
Mais au vu de la gravité des faits, le tribunal n’a eu que faire de ses remords et a suivi les réquisitions du Parquet en le condamnant à huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt et à deux amendes de 250 € chacune.
http://www.midilibre.fr/2012/02/23/le-vol-alimentaire-se-termine-en-vol-avec-violences-sur-le-gerant,461762.php
Avec chéquier volé et faux papiers, ils écumaient les magasins
Alors qu'ils en étaient à leur quatrième supermarché de la journée, le gérant d'un magasin a permis l'arrestation de deux escrocs.
PAS de chance pour ces deux escrocs, venus de la région parisienne s'approvisionner à bon compte au magasin Aldi de Mont-d'Origny après en avoir fait, le matin même, trois sur Saint-Quentin. Ils sont arrivés lundi, à bord d'un fourgon blanc, immatriculé dans l'Oise. L'un des malfrats a commencé à faire ses achats, essentiellement de l'alcool. Le gérant du magasin l'a rapidement repéré et douté de son honnêteté. Le responsable du magasin a préféré téléphoner aux gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont, signalant un individu suspect actuellement dans son magasin. Le second, son complice, était resté au volant du fourgon sur le parking, prêt à partir.
Les militaires se sont rendus sur les lieux tandis que le gérant tentait avec succès de le retenir à la caisse en attendant que les forces de l'ordre n'arrivent. Quelques minutes plus tard, les gendarmes interviennent et commencent par un contrôle de papiers d'identités avant d'en venir au chéquier. Le gérant avait bien vu, le chéquier était volé et les pièces d'identités falsifiées. Les deux hommes s'apprêtaient à partir avec environ 800 euros de marchandises.
Pas un coup d'essai
Appréhendés, les deux malfaiteurs ont été placés en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie avant d'être présentés mardi, en début d'après-midi, au parquet. Interrogés, il semblerait qu'ils n'en étaient pas à leur coup d'essai. Le fourgon a été mis sous scellés mais sera restitué. Ils n'en sont pas les propriétaires, le véhicule ayant été loué lundi. Ils ont été présentés l'après-midi devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une comparution immédiate.
Cyriaque Courtais et Kossi Messiga étaient tous deux à la barre pour s'expliquer. Le second, resté dans le véhicule s'est tout de suite défendu en plaidant qu'il était innocent. « Je me suis contenté de l'accompagner et de l'aider dans ses achats. » Pas tout à fait la même version du côté du procureur qui voit là de la délinquance préméditée avec un réseau extrêmement structuré.
Quant à Cyriaque Courtais, pris la main dans le sac, difficile de se défendre, il sera reconnu coupable et condamné à huit mois de prisons dont trois avec sursis.
Il sera déféré le soir même à la prison d'arrêt de Laon. Quant à son complice, inconnu jusqu'à ce jour des forces de l'ordre, il écope de la même peine de prison, mais sans mandat de dépôt.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/avec-chequier-vole-et-faux-papiers-ils-ecumaient-les-magasins
PAS de chance pour ces deux escrocs, venus de la région parisienne s'approvisionner à bon compte au magasin Aldi de Mont-d'Origny après en avoir fait, le matin même, trois sur Saint-Quentin. Ils sont arrivés lundi, à bord d'un fourgon blanc, immatriculé dans l'Oise. L'un des malfrats a commencé à faire ses achats, essentiellement de l'alcool. Le gérant du magasin l'a rapidement repéré et douté de son honnêteté. Le responsable du magasin a préféré téléphoner aux gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont, signalant un individu suspect actuellement dans son magasin. Le second, son complice, était resté au volant du fourgon sur le parking, prêt à partir.
Les militaires se sont rendus sur les lieux tandis que le gérant tentait avec succès de le retenir à la caisse en attendant que les forces de l'ordre n'arrivent. Quelques minutes plus tard, les gendarmes interviennent et commencent par un contrôle de papiers d'identités avant d'en venir au chéquier. Le gérant avait bien vu, le chéquier était volé et les pièces d'identités falsifiées. Les deux hommes s'apprêtaient à partir avec environ 800 euros de marchandises.
Pas un coup d'essai
Appréhendés, les deux malfaiteurs ont été placés en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie avant d'être présentés mardi, en début d'après-midi, au parquet. Interrogés, il semblerait qu'ils n'en étaient pas à leur coup d'essai. Le fourgon a été mis sous scellés mais sera restitué. Ils n'en sont pas les propriétaires, le véhicule ayant été loué lundi. Ils ont été présentés l'après-midi devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une comparution immédiate.
Cyriaque Courtais et Kossi Messiga étaient tous deux à la barre pour s'expliquer. Le second, resté dans le véhicule s'est tout de suite défendu en plaidant qu'il était innocent. « Je me suis contenté de l'accompagner et de l'aider dans ses achats. » Pas tout à fait la même version du côté du procureur qui voit là de la délinquance préméditée avec un réseau extrêmement structuré.
Quant à Cyriaque Courtais, pris la main dans le sac, difficile de se défendre, il sera reconnu coupable et condamné à huit mois de prisons dont trois avec sursis.
Il sera déféré le soir même à la prison d'arrêt de Laon. Quant à son complice, inconnu jusqu'à ce jour des forces de l'ordre, il écope de la même peine de prison, mais sans mandat de dépôt.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/avec-chequier-vole-et-faux-papiers-ils-ecumaient-les-magasins
jeudi 23 février 2012
Il fonce sur la police, accuse son cousin et prend un an ferme
Je suis innocent. Ils m'ont tiré dessus au flash-ball. Ils m'ont gazé… J'ai pris la fuite car j'avais peur, mais ils se sont trompés de gars. Ils se sont tous mis sur moi, mais ils n'ont pas eu le bon. » Rachid Lachhab, 23 ans, a nié les évidences.
Ce grand gaillard au passé judiciaire bien rempli - treize mentions au casier - a tenté le tout pour le tout. Avec aplomb, faisant fi des huit chefs d'inculpation qui pesaient sur lui : défaut de maîtrise de véhicule, délit de fuite, mise en danger d'autrui par vitesse excessive, refus d'obtempérer, refus de se soumettre aux vérifications alcoologiques et toxicologiques, rébellion…, il a soutenu avoir été confondu avec un vague cousin.
Le 13 janvier dernier, il aura pourtant fallu pas moins de deux patrouilles de police pour venir à bout du jeune homme, formellement identifié par les policiers.
Tout commence vers 1 h 50. De passage rue Sainte-Thérèse, au Pont de Witry, un équipage de police voit débouler une Renault Clio, une épave, qui roule à vive allure. Le chauffeur va percuter la voiture de police et tenter de s'enfuir en enclenchant la marche arrière. Il va alors heurter l'un des policiers avec le rétroviseur. Un coup de flash-ball sera tiré, mais le chauffard parviendra à s'enfuir. Une deuxième patrouille va se lancer à sa recherche.
Dix minutes plus tard, la Clio sera repérée alors qu'elle tourne dans le quartier. Nouveau dérapage, nouvelle collision contre deux voitures en stationnement, rue Hélène-Nautré. Le chauffard n'a pas le temps de redémarrer. Il va s'enfuir à pied et sera rattrapé dans le jardin d'un particulier. Il va se débattre, dégrader un cabanon puis parvenir à s'échapper en escaladant une clôture…
Dans la bagarre, il perdra son téléphone portable et la capuche de sa veste. Il sera finalement interpellé quelques mètres plus loin… avec quelques cicatrices au visage.
Il refusera alors de se soumettre aux contrôles d'alcoolémie et de toxicologie… « Ce n'était pas moi ! », a martelé lundi après-midi à la barre du tribunal correctionnel de Reims le prévenu, placé en détention provisoire depuis son interpellation mouvementée.
Difficile de convaincre… Rachid Lachhab a été condamné à un an de prison ferme avec maintien en détention, ainsi qu'à une annulation pendant deux ans de son permis de conduire. Le substitut du procureur, Jocelyn Poul, avait requis 18 mois de prison ferme.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-fonce-sur-la-police-accuse-son-cousin-et-prend-un-an-ferme
Ce grand gaillard au passé judiciaire bien rempli - treize mentions au casier - a tenté le tout pour le tout. Avec aplomb, faisant fi des huit chefs d'inculpation qui pesaient sur lui : défaut de maîtrise de véhicule, délit de fuite, mise en danger d'autrui par vitesse excessive, refus d'obtempérer, refus de se soumettre aux vérifications alcoologiques et toxicologiques, rébellion…, il a soutenu avoir été confondu avec un vague cousin.
Le 13 janvier dernier, il aura pourtant fallu pas moins de deux patrouilles de police pour venir à bout du jeune homme, formellement identifié par les policiers.
Tout commence vers 1 h 50. De passage rue Sainte-Thérèse, au Pont de Witry, un équipage de police voit débouler une Renault Clio, une épave, qui roule à vive allure. Le chauffeur va percuter la voiture de police et tenter de s'enfuir en enclenchant la marche arrière. Il va alors heurter l'un des policiers avec le rétroviseur. Un coup de flash-ball sera tiré, mais le chauffard parviendra à s'enfuir. Une deuxième patrouille va se lancer à sa recherche.
Dix minutes plus tard, la Clio sera repérée alors qu'elle tourne dans le quartier. Nouveau dérapage, nouvelle collision contre deux voitures en stationnement, rue Hélène-Nautré. Le chauffard n'a pas le temps de redémarrer. Il va s'enfuir à pied et sera rattrapé dans le jardin d'un particulier. Il va se débattre, dégrader un cabanon puis parvenir à s'échapper en escaladant une clôture…
Dans la bagarre, il perdra son téléphone portable et la capuche de sa veste. Il sera finalement interpellé quelques mètres plus loin… avec quelques cicatrices au visage.
Il refusera alors de se soumettre aux contrôles d'alcoolémie et de toxicologie… « Ce n'était pas moi ! », a martelé lundi après-midi à la barre du tribunal correctionnel de Reims le prévenu, placé en détention provisoire depuis son interpellation mouvementée.
Difficile de convaincre… Rachid Lachhab a été condamné à un an de prison ferme avec maintien en détention, ainsi qu'à une annulation pendant deux ans de son permis de conduire. Le substitut du procureur, Jocelyn Poul, avait requis 18 mois de prison ferme.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-fonce-sur-la-police-accuse-son-cousin-et-prend-un-an-ferme
La maison des Dupont de Ligonnès est à vendre
Le 21 avril 2011, à Nantes, les corps d’Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants avaient été retrouvés enterrés sous la terrasse de la maison familiale. Laquelle est désormais en vente. C'est une information de RTL.
Lire également
> Dupont de Ligonnès. Les enquêteurs lancent de nouvelles recherches dans tout le pays
> Retour sur l'affaire Dupont de Ligonnès
> La chronologie de l'affaire
A Nantes, une maison pas comme les autres vient d'être mise en vente : il s'agit de celle située au 55, boulevard Schumann et dans le jardin de laquelle avaient été retrouvés les corps d’Agnès Dupont de Ligonnès et de ses quatre enfants en avril 2011.
Cette maison, la famille Dupont de Ligonnès la louait. La propriétaire était une vieille dame, qui est décédée depuis cette sordide découverte et la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, le père de famille. La justice ayant décidé de lever les scellés, les héritiers de la défunte ont choisi de se séparer du bien, dont la vente pourrait atteindre les 400.000 €. Mais, selon RTL qui a révélé l'information, les acheteurs potentiels ne se bousculent pas.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/drame-de-nantes-la-maison-des-dupont-de-ligonnes-est-a-vendre-23-02-2012-1610768.php
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Cette maison, la famille Dupont de Ligonnès la louait. La propriétaire était une vieille dame, qui est décédée depuis cette sordide découverte et la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, le père de famille. La justice ayant décidé de lever les scellés, les héritiers de la défunte ont choisi de se séparer du bien, dont la vente pourrait atteindre les 400.000 €. Mais, selon RTL qui a révélé l'information, les acheteurs potentiels ne se bousculent pas.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/drame-de-nantes-la-maison-des-dupont-de-ligonnes-est-a-vendre-23-02-2012-1610768.php
La famille de Fatima, tuée de 389 coups de couteau, conteste la folie du meurtrier
« Comment peut-on affirmer que cet homme est fou quand on connaît les détails du calvaire qu'il a fait subir à ma tante ? » Choukri, porte-parole de la famille de Fatima Amine, ne décolère pas. Dans la soirée du 1er janvier 2011, cette retraitée a été assassinée, frappée de 389 coups de couteau dans son appartement de la rue de la Manche, dans le quartier Bagatelle, à Toulouse. Un crime, véritable torture imposée par Samir Touati, 34 ans. Ce voisin avait l'habitude de passer voir la victime et il a été rapidement interpellé par les enquêteurs de la sûreté départementale.
« Lors de ses auditions devant les policiers, cet homme a reconnu les faits et a présenté des explications assez cohérentes. Le mobile était l'argent », rappelle Me Alexandre Martin qui défend les intérêts de la famille de la victime avec Me Julien Soubiran. Ensuite, notamment devant le juge d'instruction Guichard, Samir Touati est devenu beaucoup plus confus. « Son comportement et ses déclarations étaient réellement incohérents », estime Me Laurent Boguet, son défenseur avec Me Fournier-Rivière. Depuis deux collèges d'experts ont estimé Samir Touati « irresponsable de ses actes ». Cet homme est d'ailleurs toujours incarcéré dans un établissement spécialisé. « Un hôpital prison près d'Avignon », précise son avocat.
« Son abolition du discernement nous choque, souligne pourtant Choukri, le neveu de la victime. Quand on est fou, est-ce que l'on pense à mettre la musique à fond pour cacher les cris de sa victime ? Est-ce que l'on fouille tout, des placards jusqu'au matelas ? Est-ce qu'on coupe le téléphone ? Est ce qu'on nettoie les lieux ? Mis bout à bout, ces éléments nous éloignent de la folie. »
Ce matin devant la chambre de l'instruction, Mes Martin et Soubiran vont demander une nouvelle contre-expertise. « La famille de cette femme, qui était très appréciée dans son quartier, a le droit de savoir si elle ne se trouve pas face à un homme qui cherche à échapper à ses lourdes responsabilités », expliquent les deux avocats.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/23/1289840-la-famille-de-fatima-conteste-la-folie.html
« Lors de ses auditions devant les policiers, cet homme a reconnu les faits et a présenté des explications assez cohérentes. Le mobile était l'argent », rappelle Me Alexandre Martin qui défend les intérêts de la famille de la victime avec Me Julien Soubiran. Ensuite, notamment devant le juge d'instruction Guichard, Samir Touati est devenu beaucoup plus confus. « Son comportement et ses déclarations étaient réellement incohérents », estime Me Laurent Boguet, son défenseur avec Me Fournier-Rivière. Depuis deux collèges d'experts ont estimé Samir Touati « irresponsable de ses actes ». Cet homme est d'ailleurs toujours incarcéré dans un établissement spécialisé. « Un hôpital prison près d'Avignon », précise son avocat.
« Son abolition du discernement nous choque, souligne pourtant Choukri, le neveu de la victime. Quand on est fou, est-ce que l'on pense à mettre la musique à fond pour cacher les cris de sa victime ? Est-ce que l'on fouille tout, des placards jusqu'au matelas ? Est-ce qu'on coupe le téléphone ? Est ce qu'on nettoie les lieux ? Mis bout à bout, ces éléments nous éloignent de la folie. »
Ce matin devant la chambre de l'instruction, Mes Martin et Soubiran vont demander une nouvelle contre-expertise. « La famille de cette femme, qui était très appréciée dans son quartier, a le droit de savoir si elle ne se trouve pas face à un homme qui cherche à échapper à ses lourdes responsabilités », expliquent les deux avocats.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/23/1289840-la-famille-de-fatima-conteste-la-folie.html
Plus d'un million d'euros saisis en espèces dans une affaire de stupéfiants
Neuf personnes ont été interpellées ces derniers jours, dans le cadre d'une enquête sur un trafic de stupéfiants, au cours de laquelle une saisie record de plus d'un million d'euros a été réalisée par les policiers lyonnais.
L’affaire, qui révèle un blanchiment d'argent de grande ampleur, est qualifiée de très importante par les enquêteurs.
La police judiciaire de Lyon et le groupe d'intervention régional Rhône-Alpes ont interpellé ces neuf suspects depuis samedi, en région lyonnaise et dans le sud de la France.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/02/22/plus-d-un-million-d-euros-saisis-en-especes-dans-une-affaire-de-stupefiants
L’affaire, qui révèle un blanchiment d'argent de grande ampleur, est qualifiée de très importante par les enquêteurs.
La police judiciaire de Lyon et le groupe d'intervention régional Rhône-Alpes ont interpellé ces neuf suspects depuis samedi, en région lyonnaise et dans le sud de la France.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/02/22/plus-d-un-million-d-euros-saisis-en-especes-dans-une-affaire-de-stupefiants
Les deux fillettes avaient bouclé leur ceinture de sécurité
L'autopsie pratiquée sur les deux fillettes décédées dimanche soir lors d'un tragique accident de la route a révélé qu'elles portaient bien leur ceinture de sécurité.
Le chauffeur du minibus devrait prochainement être mis en examen pour homicides et blessures involontaires par conducteur.
DEPUIS l'accident mortel qui a eu lieu dimanche soir sur la route de Monthermé en direction de Bogny-sur-Meuse où deux fillettes âgées de 9 et 13 ans, avaient perdu la vie et deux autres enfants avaient été grièvement blessés, une question était sur toutes les lèvres : les enfants avaient-ils bouclé leur ceinture de sécurité ?
Une interrogation qui a été levée, hier soir, par la substitut du procureur Marlène Borde : « L'autopsie pratiquée sur les deux victimes confirme qu'elles portaient leur ceinture de sécurité ».
Dans son rapport d'autopsie remis à la justice ardennaise, le médecin légiste révèle également que les deux fillettes sont décédées brutalement lorsque le minibus a tapé l'arbre sur le côté droit du véhicule au niveau de la porte coulissante.
Par ailleurs, les premiers éléments de l'enquête ont montré que le minibus a rebondi sur l'arbre avant de se coucher sur le côté où se trouvaient les deux victimes décédées pour ensuite glisser sur une bonne centaine de mètres. Les fillettes n'avaient donc aucune chance de sortir vivant de ce terrible accident.
En état de choc, l'éducateur qui conduisait le véhicule avait réussi à s'extraire de l'habitacle pour porter secours aux enfants qu'il ramenait à la maison Don Bosco où ils étaient placés suite à une décision de justice du juge des enfants du tribunal de grande instance de Charleville-Mézières.
L'éducateur a alors téléphoné aux secours et a pris des nouvelles de chaque enfant en les appelant par leur prénom. La fillette âgée de 11 ans, dont les parents résident à Mouzon, a été la première à répondre à l'appel du chauffeur. Ce dernier a raconté aux enquêteurs, lors de son audition, que le frère des deux victimes, âgé de 12 ans, pleurait et qu'il lui a dit qu'il avait mal à la main. Il a d'ailleurs été transféré dans un hôpital parisien où il a été amputé d'un doigt. Alors que les deux autres enfants ne répondaient pas, l'éducateur s'est aperçu que l'une d'elles perdait beaucoup de sang et que l'autre était manifestement déjà morte.
Une véritable patinoire
Le procureur de la République de Charleville-Mézières a expliqué, lundi lors d'une conférence de presse, que l'accident avait été causé par un dérapage du minibus sur une plaque verglas très ciblé. « Le conducteur a bien senti qu'il était incapable de maîtriser son véhicule lorsqu'il est passé sur la plaque située dans un virage ». Le procureur a aussi raconté qu'il avait recueilli des témoignages de personnes qui se trouvaient sur les lieux : « Elles m'ont confirmé qu'il était impossible de rester debout dans ce virage à cause de la plaque de verglas qui s'est formée très tard dans la soirée. Le maire de Bogny-sur-Meuse était passé au même endroit vers 17 heures et a confirmé que la route ne glissait pas. Mais, il est tombé un peu de neige et le temps s'est humidifié. Le froid est arrivé rapidement en soirée transformant le virage en véritable patinoire. L'accident s'est produit dans une zone forestière généralement propice à la formation de verglas », a encore souligné le chef du parquet.
Les deux enfants qui ont été blessés dans l'accident ont été entendus par les gendarmes. Une expertise du véhicule a été pratiquée car le parquet cherche à connaître l'état du minibus mais aussi à quelle vitesse roulait le conducteur sur cette route considérée comme dangereuse par tous les spécialistes.
Selon toute vraisemblance, le sort réservé à l'éducateur de Don Bosco devrait être le même que celui du conducteur anglais dans l'accident de bus de l'A26. Il devrait être mis en cause en fin de semaine car le code de la route indique que tout conducteur droit rester maître de son véhicule. Il devrait être mis en examen pour homicides et blessures involontaires par conducteur.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/les-deux-fillettes-avaient-boucle-leur-ceinture-de-securite
Le chauffeur du minibus devrait prochainement être mis en examen pour homicides et blessures involontaires par conducteur.
DEPUIS l'accident mortel qui a eu lieu dimanche soir sur la route de Monthermé en direction de Bogny-sur-Meuse où deux fillettes âgées de 9 et 13 ans, avaient perdu la vie et deux autres enfants avaient été grièvement blessés, une question était sur toutes les lèvres : les enfants avaient-ils bouclé leur ceinture de sécurité ?
Une interrogation qui a été levée, hier soir, par la substitut du procureur Marlène Borde : « L'autopsie pratiquée sur les deux victimes confirme qu'elles portaient leur ceinture de sécurité ».
Dans son rapport d'autopsie remis à la justice ardennaise, le médecin légiste révèle également que les deux fillettes sont décédées brutalement lorsque le minibus a tapé l'arbre sur le côté droit du véhicule au niveau de la porte coulissante.
Par ailleurs, les premiers éléments de l'enquête ont montré que le minibus a rebondi sur l'arbre avant de se coucher sur le côté où se trouvaient les deux victimes décédées pour ensuite glisser sur une bonne centaine de mètres. Les fillettes n'avaient donc aucune chance de sortir vivant de ce terrible accident.
En état de choc, l'éducateur qui conduisait le véhicule avait réussi à s'extraire de l'habitacle pour porter secours aux enfants qu'il ramenait à la maison Don Bosco où ils étaient placés suite à une décision de justice du juge des enfants du tribunal de grande instance de Charleville-Mézières.
L'éducateur a alors téléphoné aux secours et a pris des nouvelles de chaque enfant en les appelant par leur prénom. La fillette âgée de 11 ans, dont les parents résident à Mouzon, a été la première à répondre à l'appel du chauffeur. Ce dernier a raconté aux enquêteurs, lors de son audition, que le frère des deux victimes, âgé de 12 ans, pleurait et qu'il lui a dit qu'il avait mal à la main. Il a d'ailleurs été transféré dans un hôpital parisien où il a été amputé d'un doigt. Alors que les deux autres enfants ne répondaient pas, l'éducateur s'est aperçu que l'une d'elles perdait beaucoup de sang et que l'autre était manifestement déjà morte.
Une véritable patinoire
Le procureur de la République de Charleville-Mézières a expliqué, lundi lors d'une conférence de presse, que l'accident avait été causé par un dérapage du minibus sur une plaque verglas très ciblé. « Le conducteur a bien senti qu'il était incapable de maîtriser son véhicule lorsqu'il est passé sur la plaque située dans un virage ». Le procureur a aussi raconté qu'il avait recueilli des témoignages de personnes qui se trouvaient sur les lieux : « Elles m'ont confirmé qu'il était impossible de rester debout dans ce virage à cause de la plaque de verglas qui s'est formée très tard dans la soirée. Le maire de Bogny-sur-Meuse était passé au même endroit vers 17 heures et a confirmé que la route ne glissait pas. Mais, il est tombé un peu de neige et le temps s'est humidifié. Le froid est arrivé rapidement en soirée transformant le virage en véritable patinoire. L'accident s'est produit dans une zone forestière généralement propice à la formation de verglas », a encore souligné le chef du parquet.
Les deux enfants qui ont été blessés dans l'accident ont été entendus par les gendarmes. Une expertise du véhicule a été pratiquée car le parquet cherche à connaître l'état du minibus mais aussi à quelle vitesse roulait le conducteur sur cette route considérée comme dangereuse par tous les spécialistes.
Selon toute vraisemblance, le sort réservé à l'éducateur de Don Bosco devrait être le même que celui du conducteur anglais dans l'accident de bus de l'A26. Il devrait être mis en cause en fin de semaine car le code de la route indique que tout conducteur droit rester maître de son véhicule. Il devrait être mis en examen pour homicides et blessures involontaires par conducteur.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/les-deux-fillettes-avaient-boucle-leur-ceinture-de-securite
mercredi 22 février 2012
Policiers blessés par des Russes ivres
Deux agents de la police aux frontières (PAF) de l'aéroport de Roissy ont été blessés dans la nuit de mercredi à jeudi par un couple de Russes éméchés qui refusaient d'être débarqués de leur vol pour Rio à la demande du commandant de bord, a-t-on appris de sources aéroportuaires.
Le couple, une femme de 28 ans et un homme de 30 ans, était en classe affaire du vol AF 442 à destination de Rio de Janeiro (Brésil), "éméché et violent par la parole et les gestes", selon une source. Le commandant de bord a alors demandé qu'ils soient débarqués avant le décollage. Les policiers de la PAF sont intervenus. La jeune femme leur a alors porté plusieurs coups, ainsi que son compagnon.
Blessés au visage et au nez
"Un des policiers a été blessé au visage, un autre s'est vu prescrire 6 jours d'interruption temporaire de travail (ITT)", selon une autre source aéroportuaire. "Un policier a eu une plaie à l'arcade sourcilière et au nez", a précisé une de ces sources.
Le couple a été interpellé pour violence aggravée sur personne dépositaire de l'autorité publique et placé en garde à vue.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/22/97001-20120222FILWWW00511-policiers-blesses-par-des-russes-ivres.php
Le couple, une femme de 28 ans et un homme de 30 ans, était en classe affaire du vol AF 442 à destination de Rio de Janeiro (Brésil), "éméché et violent par la parole et les gestes", selon une source. Le commandant de bord a alors demandé qu'ils soient débarqués avant le décollage. Les policiers de la PAF sont intervenus. La jeune femme leur a alors porté plusieurs coups, ainsi que son compagnon.
Blessés au visage et au nez
"Un des policiers a été blessé au visage, un autre s'est vu prescrire 6 jours d'interruption temporaire de travail (ITT)", selon une autre source aéroportuaire. "Un policier a eu une plaie à l'arcade sourcilière et au nez", a précisé une de ces sources.
Le couple a été interpellé pour violence aggravée sur personne dépositaire de l'autorité publique et placé en garde à vue.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/22/97001-20120222FILWWW00511-policiers-blesses-par-des-russes-ivres.php
Lot-et-Garonne : interpellés après une tentative de vol à main armée
Cinq jeunes nés entre 1987 et 1991, domiciliés à Aiguillon, au Passage-d'Agen et à Marseille, ont été interpellés, sans difficulté, lundi, vers 23 heures, à bord d'une Polo Volkswagen, dans le secteur du Gravier à Agen par les hommes de la brigade anticriminalité (BAC).
Ce véhicule était signalé comme ayant servi à une tentative de braquage au préjudice du multiservice de Tayrac, le 17 février dernier. Ce jour-là, à l'heure de la fermeture, les propriétaires surprenaient des individus en train d'arpenter les alentours du magasin.
L'un d'eux était également dissimulé derrière un mur. En voyant le manège, les propriétaires parvenaient à sécuriser rapidement le commerce après avoir entendu tirer des coups de feu. Après cette nouvelle tentative de vol visant un dépôt de tabac, le parquet d'Agen saisissait la section de recherches de la gendarmerie, à laquelle les policiers ont donc livré les cinq suspects et les objets saisis dans la voiture avant-hier soir.
Des armes saisies
À l'intérieur de la Polo, ils ont notamment découvert des pistolets d'alarme et des cagoules ayant pu servir à la tentative de vol à main armée de la semaine dernière.
Sur les cinq personnes interpellées et placées en garde à vue, trois ont été mises hors de cause. Sont toujours entendus dans cette enquête le jeune désormais installé à Marseille, où il est supposé travailler dans le cadre de l'application d'une décision de justice, et son complice d'Aiguillon. Selon des sources proches du dossier, rien dans le casier judiciaire pourtant de nombreuses fois mentionné des deux principaux suspects ne laissait envisager un passage au braquage. Pourtant, il s'agit bien d'une montée en puissance sur l'échelle de la délinquance que ces deux individus ont entreprise en décidant de s'attaquer au multiservice de Tayrac, déjà touché par un cambriolage il y a quelques semaines.
Déférés cet après-midi
Au terme de leur garde à vue à la gendarmerie d'Agen, les braqueurs présumés seront déférés cet après-midi devant le magistrat de permanence du parquet d'Agen. Deux options s'offrent à lui : soit faire juger les deux complices par le tribunal correctionnel dans une procédure de comparution immédiate, soit ouvrir une information judiciaire et transmettre le dossier à un juge d'instruction qui poursuivra l'enquête. Se posera alors la question du placement en détention provisoire des braqueurs présumés, passibles en l'état d'un procès devant la cour d'assises.
http://www.sudouest.fr/2012/02/22/ils-ont-ete-interpelles-apres-une-tentative-de-vol-a-main-armee-639988-3603.php
Ce véhicule était signalé comme ayant servi à une tentative de braquage au préjudice du multiservice de Tayrac, le 17 février dernier. Ce jour-là, à l'heure de la fermeture, les propriétaires surprenaient des individus en train d'arpenter les alentours du magasin.
L'un d'eux était également dissimulé derrière un mur. En voyant le manège, les propriétaires parvenaient à sécuriser rapidement le commerce après avoir entendu tirer des coups de feu. Après cette nouvelle tentative de vol visant un dépôt de tabac, le parquet d'Agen saisissait la section de recherches de la gendarmerie, à laquelle les policiers ont donc livré les cinq suspects et les objets saisis dans la voiture avant-hier soir.
Des armes saisies
À l'intérieur de la Polo, ils ont notamment découvert des pistolets d'alarme et des cagoules ayant pu servir à la tentative de vol à main armée de la semaine dernière.
Sur les cinq personnes interpellées et placées en garde à vue, trois ont été mises hors de cause. Sont toujours entendus dans cette enquête le jeune désormais installé à Marseille, où il est supposé travailler dans le cadre de l'application d'une décision de justice, et son complice d'Aiguillon. Selon des sources proches du dossier, rien dans le casier judiciaire pourtant de nombreuses fois mentionné des deux principaux suspects ne laissait envisager un passage au braquage. Pourtant, il s'agit bien d'une montée en puissance sur l'échelle de la délinquance que ces deux individus ont entreprise en décidant de s'attaquer au multiservice de Tayrac, déjà touché par un cambriolage il y a quelques semaines.
Déférés cet après-midi
Au terme de leur garde à vue à la gendarmerie d'Agen, les braqueurs présumés seront déférés cet après-midi devant le magistrat de permanence du parquet d'Agen. Deux options s'offrent à lui : soit faire juger les deux complices par le tribunal correctionnel dans une procédure de comparution immédiate, soit ouvrir une information judiciaire et transmettre le dossier à un juge d'instruction qui poursuivra l'enquête. Se posera alors la question du placement en détention provisoire des braqueurs présumés, passibles en l'état d'un procès devant la cour d'assises.
http://www.sudouest.fr/2012/02/22/ils-ont-ete-interpelles-apres-une-tentative-de-vol-a-main-armee-639988-3603.php
Il avait menacé de brûler sa femme : deux mois ferme
Un père de famille de 35 ans a été condamné lundi soir par le tribunal correctionnel de Nîmes à huis mois de prison, dont six assortis d’un sursis, avec mandat de dépôt.
Il devra également indemniser la victime, son ex-compagne, qu’il a désormais interdiction d’approcher.
Et c’est donc en présence de la police municipale qu’il a perdu son calme et proféré des menaces de mort. « Je vais te brûler vive » a-t-il notamment déclaré, avant de tracer au couteau une croix sur le mur en expliquant : « Tu sais ce que ça veut dire… » Puis d’être escorté dehors par les policiers.
Le lendemain, l’homme s’était présenté au commissariat de Villeneuve-lez-Avignon. Au même moment sa femme déposait plainte. De nouvelles menaces de mort l’ont conduit en garde à vue. Déféré devant le parquet de Nîmes vendredi, il a donc été jugé en comparution immédiate trois jours plus tard.
http://www.ledauphine.com/gard/2012/02/21/il-menacait-de-bruler-sa-femme-deux-mois-ferme
Il devra également indemniser la victime, son ex-compagne, qu’il a désormais interdiction d’approcher.
Une croix au couteau sur le mur
Les faits remontent à mercredi dernier. Dans le cadre d’une procédure de divorce, cet homme était interdit de passage au domicile familial, à la suite d’une décision du juge des affaires familiales de Nîmes. Une interdiction qu’il a bravée, ce qui a conduit son épouse à prévenir les forces de l’ordre.Et c’est donc en présence de la police municipale qu’il a perdu son calme et proféré des menaces de mort. « Je vais te brûler vive » a-t-il notamment déclaré, avant de tracer au couteau une croix sur le mur en expliquant : « Tu sais ce que ça veut dire… » Puis d’être escorté dehors par les policiers.
Le lendemain, l’homme s’était présenté au commissariat de Villeneuve-lez-Avignon. Au même moment sa femme déposait plainte. De nouvelles menaces de mort l’ont conduit en garde à vue. Déféré devant le parquet de Nîmes vendredi, il a donc été jugé en comparution immédiate trois jours plus tard.
http://www.ledauphine.com/gard/2012/02/21/il-menacait-de-bruler-sa-femme-deux-mois-ferme
Ils mettent en fuite les braqueurs au fusil
Ils sont entrés en courant avec un fusil à canon scié, deux gars musclés et souples, encagoulés et encapuchonnés. L’un a lancé : “Que personne ne bouge” et après, je ne me rappelle plus ce qu’il a dit. Ça s’est passé très vite et c’était très violent."
Hier matin, derrière son comptoir, la gérante du bureau de tabac de la rue Georges-Brassens, adjacente à l’avenue de Toulouse, dans le quartier Lemasson, raconte sans frémir le braquage dont elle a été la cible, lundi soir. Et pourtant, celle-ci aurait pu y perdre la vie, puisqu’un coup de feu a été tiré à quelques centimètres d’elle...
Vers 19 h, peu de temps avant la fermeture, alors qu’un client est encore dans le commerce, les deux individus arrivent donc à toute allure : l’un brandit le fusil vers la gérante alors que l’autre se précipite derrière le comptoir, un sac dans les mains, en direction du tiroir-caisse.
"J’aurais pu prendre une balle dans le ventre.. J’ai une bonne étoile"
Christine, gérante du tabac "J’ai vu rouge, je ne voulais pas qu’il vienne là, c’est chez moi derrière le comptoir, je me suis sentie agressée. Alors, je me suis jetée sur lui, c’était un réflexe, ça n’avait rien de courageux", minimise la commerçante. Mais le complice au fusil vient aussitôt prêter main forte à son comparse. Il n’hésite pas à tirer un coup de feu, entre les jambes de la victime, les plombs de la cartouche faisant un trou impressionnant dans le plancher...
"La vie continue, on est en vie. Si on ferme, on ne mange pas"
Dans le même temps, son mari, alerté par le grabuge alors qu’il se trouve dans la réserve, se jette à son tour dans la bagarre. "J’ai vite compris qu’il y avait quelque chose de grave. Je suis venu, je me suis battu avec un des gars, je lui ai arraché un morceau de son anorak mais je n’ai pas vu son visage. Et puis ils se sont enfuis en courant. Ça a duré moins d’une minute", explique Pierre, conscient qu’un drame n’est pas passé loin. "Elle a pris un risque énorme ; si le fusil avait été tenu un plus haut, c’était la morgue." Christine acquiesce : "J’aurais pu prendre la balle dans le ventre... J’ai eu du bol, j’ai une bonne étoile."
Pourtant, dés hier matin, ils n’ont pas hésité à rouvrir leur magasin. "La vie continue, on est en vie. Si on ferme, on ne mange pas", lance la gérante. Prête, s’il le faut, à dissuader d’autres braqueurs : "Ça fait deux fois que je les mets en fuite (lire ci-dessous)... Qu’ils se passent le mot, qu’ils ne perdent pas de temps ici."
Le SRPJ a été saisi de l’affaire. Un lien pourrait être fait avec le vol à main armée de la station service Agip de l’avenue de Palavas, perpétré la semaine dernière par deux individus armés et encagoulés.
http://www.midilibre.fr/2012/02/21/ils-mettent-en-fuite-les-braqueurs-au-fusil,460997.php
Hier matin, derrière son comptoir, la gérante du bureau de tabac de la rue Georges-Brassens, adjacente à l’avenue de Toulouse, dans le quartier Lemasson, raconte sans frémir le braquage dont elle a été la cible, lundi soir. Et pourtant, celle-ci aurait pu y perdre la vie, puisqu’un coup de feu a été tiré à quelques centimètres d’elle...
Vers 19 h, peu de temps avant la fermeture, alors qu’un client est encore dans le commerce, les deux individus arrivent donc à toute allure : l’un brandit le fusil vers la gérante alors que l’autre se précipite derrière le comptoir, un sac dans les mains, en direction du tiroir-caisse.
"J’aurais pu prendre une balle dans le ventre.. J’ai une bonne étoile"
Christine, gérante du tabac "J’ai vu rouge, je ne voulais pas qu’il vienne là, c’est chez moi derrière le comptoir, je me suis sentie agressée. Alors, je me suis jetée sur lui, c’était un réflexe, ça n’avait rien de courageux", minimise la commerçante. Mais le complice au fusil vient aussitôt prêter main forte à son comparse. Il n’hésite pas à tirer un coup de feu, entre les jambes de la victime, les plombs de la cartouche faisant un trou impressionnant dans le plancher...
"La vie continue, on est en vie. Si on ferme, on ne mange pas"
Dans le même temps, son mari, alerté par le grabuge alors qu’il se trouve dans la réserve, se jette à son tour dans la bagarre. "J’ai vite compris qu’il y avait quelque chose de grave. Je suis venu, je me suis battu avec un des gars, je lui ai arraché un morceau de son anorak mais je n’ai pas vu son visage. Et puis ils se sont enfuis en courant. Ça a duré moins d’une minute", explique Pierre, conscient qu’un drame n’est pas passé loin. "Elle a pris un risque énorme ; si le fusil avait été tenu un plus haut, c’était la morgue." Christine acquiesce : "J’aurais pu prendre la balle dans le ventre... J’ai eu du bol, j’ai une bonne étoile."
Pourtant, dés hier matin, ils n’ont pas hésité à rouvrir leur magasin. "La vie continue, on est en vie. Si on ferme, on ne mange pas", lance la gérante. Prête, s’il le faut, à dissuader d’autres braqueurs : "Ça fait deux fois que je les mets en fuite (lire ci-dessous)... Qu’ils se passent le mot, qu’ils ne perdent pas de temps ici."
Le SRPJ a été saisi de l’affaire. Un lien pourrait être fait avec le vol à main armée de la station service Agip de l’avenue de Palavas, perpétré la semaine dernière par deux individus armés et encagoulés.
http://www.midilibre.fr/2012/02/21/ils-mettent-en-fuite-les-braqueurs-au-fusil,460997.php
mardi 21 février 2012
L'épouse d'un gendarme mise à la porte de la caserne
Conflits de voisinage, troubles et nuisances divers, au sein et à l'extérieur de la caserne de gendarmerie, ont eu raison de la hiérarchie qui a décidé de pousser vers la sortie la femme d'un adjudant, tenue pour responsable. Une décision rare, mais mûrement réfléchie.
LA décision est exceptionnelle. Lundi dernier au soir, la hiérarchie de la gendarmerie de Champagne-Ardenne a en l'occurrence notifié à l'un de ses adjudants affectés à la brigade territoriale autonome de Dormans, l'interdiction formelle à son épouse de pénétrer dans l'enceinte de la caserne et, a fortiori, d'accéder à son logement de service. Aussi rare soit-elle, cette mesure coercitive émanant du colonel Bolot, commandant de région, a été « mûrement réfléchie » indique-t-on en haut lieu.
Depuis le jour de la Saint-Valentin, la femme du sous-officier est donc sommée de quitter sans délai l'appartement qu'elle occupe avec son mari et sa fille de 11 ans. Bien que demeurant dans un studio dans le bourg de Dormans, ses deux fils de 16 et 18 ans sont eux aussi concernés, contrairement à leur petite sœur. Au motif de « leurs comportements » portant « atteinte à l'institution », provoquant « des troubles au sein de la caserne » et nuisant « à la bonne exécution du service », tous les trois y sont aujourd'hui persona non grata. En cause : des relations conflictuelles liées au bruit entre l'épouse du gendarme et certains de ses voisins, ainsi que des atteintes aux biens au sein de la caserne, de même que des troubles commis à l'extérieur. A tel point que, selon la hiérarchie, la situation serait devenue « insupportable ».
Crises d'angoisse
En dépression depuis plusieurs mois à la suite de problèmes familiaux, la mise en cause récuse cependant son entière responsabilité dans cette affaire en pointant du doigt des nuisances sonores occasionnées par d'autres locataires. « J'ai besoin de calme et de tranquillité », déclare-t-elle. Mais plusieurs interventions des sapeurs-pompiers au sein de la gendarmerie nécessitées par des crises d'angoisse, n'ont pas vraiment plaidé en sa faveur. Pas plus que les hospitalisations d'office en unité psychiatrique auxquelles le commandement de la brigade de Dormans a dû avoir recours ces dernières semaines. Quant aux atteintes aux biens et aux troubles extérieurs, « c'est faux », s'insurge la femme de l'adjudant. « Et mes deux garçons, ils n'ont jamais rien fait dans la caserne. »
La situation ne manque évidemment pas de poser un fâcheux dilemme au sous-officier en question qui encourt des sanctions disciplinaires si son épouse devait ne pas quitter les lieux. Clairement, il lui est ordonné de mettre sa femme dehors sans tarder. Une décision couperet à laquelle le militaire ne peut pour le moment se plier, faute de solution de relogement. Au pied du mur, celui-ci ne peut faire autrement que de garder, encore à ce jour, son épouse à la maison en attendant de pouvoir se retourner, tandis que la hiérarchie, elle, s'impatiente un peu plus chaque jour.
« Nous aurions aimé plus d'humanité », déplore la femme de l'adjudant, âgée de 41 ans. La gendarmerie de Champagne-Ardenne se défend cependant d'avoir pris une telle décision à la légère.
« Il fallait dire les choses »
« Nous l'avons prise en toute connaissance d'un contexte délétère, souligne le colonel Bolot. Il est toujours malheureux d'en arriver là, mais j'avais à trancher pour préserver la tranquillité des autres occupants de la caserne. Il y a des règles dans la vie, mais elles ont été trop souvent transgressées. Beaucoup d'avertissements, de mises en garde, ont été donnés au préalable. Depuis des mois. La situation qui m'a été rapportée sur place au début du mois de février, m'a d'ailleurs globalement conforté dans la décision que j'avais à prendre. Il fallait le faire. Il fallait dire les choses. Notre volonté n'était pas d'aller au pugilat. » Et d'assurer : « Nous allons gérer la situation avec le plus d'humanité et de concertation. »
En arrêt maladie, l'adjudant doit désormais faire face avec une femme et trois enfants à charge. Il y a urgence.
A 50 ans, après vingt-huit ans de carrière, celui-ci songe pourtant à quitter la gendarmerie, même si on lui reconnaît de grandes compétences en matière de police judiciaire.
Dans l'immédiat : trouver un relogement avec l'aide d'une assistante sociale, malgré des contraintes budgétaires importantes, d'autant plus depuis que son épouse a perdu son emploi. « Et dire que pour nous, c'était une nouvelle vie qui commençait à Dormans », confie cette dernière. Le temps de trouver un nouveau pied-à-terre, c'est désormais ailleurs qu'elle devra se poursuivre. Probablement sans user du recours administratif dont dispose le sous-officier.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/lepouse-dun-gendarme-mise-a-la-porte-de-la-caserne
LA décision est exceptionnelle. Lundi dernier au soir, la hiérarchie de la gendarmerie de Champagne-Ardenne a en l'occurrence notifié à l'un de ses adjudants affectés à la brigade territoriale autonome de Dormans, l'interdiction formelle à son épouse de pénétrer dans l'enceinte de la caserne et, a fortiori, d'accéder à son logement de service. Aussi rare soit-elle, cette mesure coercitive émanant du colonel Bolot, commandant de région, a été « mûrement réfléchie » indique-t-on en haut lieu.
Depuis le jour de la Saint-Valentin, la femme du sous-officier est donc sommée de quitter sans délai l'appartement qu'elle occupe avec son mari et sa fille de 11 ans. Bien que demeurant dans un studio dans le bourg de Dormans, ses deux fils de 16 et 18 ans sont eux aussi concernés, contrairement à leur petite sœur. Au motif de « leurs comportements » portant « atteinte à l'institution », provoquant « des troubles au sein de la caserne » et nuisant « à la bonne exécution du service », tous les trois y sont aujourd'hui persona non grata. En cause : des relations conflictuelles liées au bruit entre l'épouse du gendarme et certains de ses voisins, ainsi que des atteintes aux biens au sein de la caserne, de même que des troubles commis à l'extérieur. A tel point que, selon la hiérarchie, la situation serait devenue « insupportable ».
Crises d'angoisse
En dépression depuis plusieurs mois à la suite de problèmes familiaux, la mise en cause récuse cependant son entière responsabilité dans cette affaire en pointant du doigt des nuisances sonores occasionnées par d'autres locataires. « J'ai besoin de calme et de tranquillité », déclare-t-elle. Mais plusieurs interventions des sapeurs-pompiers au sein de la gendarmerie nécessitées par des crises d'angoisse, n'ont pas vraiment plaidé en sa faveur. Pas plus que les hospitalisations d'office en unité psychiatrique auxquelles le commandement de la brigade de Dormans a dû avoir recours ces dernières semaines. Quant aux atteintes aux biens et aux troubles extérieurs, « c'est faux », s'insurge la femme de l'adjudant. « Et mes deux garçons, ils n'ont jamais rien fait dans la caserne. »
La situation ne manque évidemment pas de poser un fâcheux dilemme au sous-officier en question qui encourt des sanctions disciplinaires si son épouse devait ne pas quitter les lieux. Clairement, il lui est ordonné de mettre sa femme dehors sans tarder. Une décision couperet à laquelle le militaire ne peut pour le moment se plier, faute de solution de relogement. Au pied du mur, celui-ci ne peut faire autrement que de garder, encore à ce jour, son épouse à la maison en attendant de pouvoir se retourner, tandis que la hiérarchie, elle, s'impatiente un peu plus chaque jour.
« Nous aurions aimé plus d'humanité », déplore la femme de l'adjudant, âgée de 41 ans. La gendarmerie de Champagne-Ardenne se défend cependant d'avoir pris une telle décision à la légère.
« Il fallait dire les choses »
« Nous l'avons prise en toute connaissance d'un contexte délétère, souligne le colonel Bolot. Il est toujours malheureux d'en arriver là, mais j'avais à trancher pour préserver la tranquillité des autres occupants de la caserne. Il y a des règles dans la vie, mais elles ont été trop souvent transgressées. Beaucoup d'avertissements, de mises en garde, ont été donnés au préalable. Depuis des mois. La situation qui m'a été rapportée sur place au début du mois de février, m'a d'ailleurs globalement conforté dans la décision que j'avais à prendre. Il fallait le faire. Il fallait dire les choses. Notre volonté n'était pas d'aller au pugilat. » Et d'assurer : « Nous allons gérer la situation avec le plus d'humanité et de concertation. »
En arrêt maladie, l'adjudant doit désormais faire face avec une femme et trois enfants à charge. Il y a urgence.
A 50 ans, après vingt-huit ans de carrière, celui-ci songe pourtant à quitter la gendarmerie, même si on lui reconnaît de grandes compétences en matière de police judiciaire.
Dans l'immédiat : trouver un relogement avec l'aide d'une assistante sociale, malgré des contraintes budgétaires importantes, d'autant plus depuis que son épouse a perdu son emploi. « Et dire que pour nous, c'était une nouvelle vie qui commençait à Dormans », confie cette dernière. Le temps de trouver un nouveau pied-à-terre, c'est désormais ailleurs qu'elle devra se poursuivre. Probablement sans user du recours administratif dont dispose le sous-officier.http://www.lunion.presse.fr/article/marne/lepouse-dun-gendarme-mise-a-la-porte-de-la-caserne
Deux ados arrêtés après une course poursuite de Sussargues à Montpellier
Deux adolescents de 16 et 17 ans ont été interpellés, vendredi soir, au terme d’une longue et mouvementée course-poursuite.
De Sussargues à Montpellier
Tout a démarré après 20 heures, à Sussargues, dans le Lunellois, où des habitants ont signalé deux cambrioleurs en action. Une patrouille de gendarmerie est intervenue et les a pris en chasse. Les deux suspects s’étaient enfuis dans une Clio en direction de l’autoroute. Le duo a réussi à fausser compagnie aux militaires mais ces derniers ont alerté leurs homologues du commissariat de Montpellier.
Plusieurs patrouilles se sont positionnées aux sorties d’autoroute et un équipage de la Brigade anticriminalité (Bac) a repéré la Clio au niveau du Zénith. La course-poursuite s’est alors engagée jusqu’à la sortie des Prés-d’Arènes. Coincé dans la circulation, le conducteur a foncé en marche arrière sur la voiture de la Bac.
Coup de flash-ball
Les policiers ont riposté en tirant un coup de flash-ball qui a brisé la lunette arrière du véhicule sans faire de blessé. Les individus sont alors repartis de l’avant, percutant une Skoda pour se frayer un passage, roulant à contresens, sur les voies de bus et piétonnes, jusqu’au centre-ville, où rue Pitot, ils ont fini en contrebas d’un trottoir...
Puis ils ont pris la fuite en courant avant d’être neutralisés.
http://www.midilibre.fr/2012/02/21/course-poursuite-et-coup-de-flash-ball,460806.php
De Sussargues à Montpellier
Tout a démarré après 20 heures, à Sussargues, dans le Lunellois, où des habitants ont signalé deux cambrioleurs en action. Une patrouille de gendarmerie est intervenue et les a pris en chasse. Les deux suspects s’étaient enfuis dans une Clio en direction de l’autoroute. Le duo a réussi à fausser compagnie aux militaires mais ces derniers ont alerté leurs homologues du commissariat de Montpellier.
Plusieurs patrouilles se sont positionnées aux sorties d’autoroute et un équipage de la Brigade anticriminalité (Bac) a repéré la Clio au niveau du Zénith. La course-poursuite s’est alors engagée jusqu’à la sortie des Prés-d’Arènes. Coincé dans la circulation, le conducteur a foncé en marche arrière sur la voiture de la Bac.
Coup de flash-ball
Les policiers ont riposté en tirant un coup de flash-ball qui a brisé la lunette arrière du véhicule sans faire de blessé. Les individus sont alors repartis de l’avant, percutant une Skoda pour se frayer un passage, roulant à contresens, sur les voies de bus et piétonnes, jusqu’au centre-ville, où rue Pitot, ils ont fini en contrebas d’un trottoir...
Puis ils ont pris la fuite en courant avant d’être neutralisés.
http://www.midilibre.fr/2012/02/21/course-poursuite-et-coup-de-flash-ball,460806.php
Salelles-du-Bosc : le forcené écroué pour tentative d’assassinat
C’est en déambulateur que le forcené de Salelles-du-Bosc a été mis en examen pour tentative d’assassinat avant de comparaître devant le juge des libertés, samedi soir. Mais malgré son état de santé précaire, lié à une maladie dégénérative, cet ancien plombier et restaurateur, âgé de 67 ans, a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone.
Au grand dam de son avocate, Me Vanesa Hermes, qui a demandé sa remise en liberté. "Bien que les faits soient graves, son état de santé n’est pas compatible avec une détention à Villeneuve-lès-Maguelone, sa maladie nécessite des soins particuliers."
"Il n’avait pas l’intention de tuer sa femme"
Me Vanessa Hermes Mais le juge des libertés a justifié son choix en évoquant le risque de récidive et le trouble à l’ordre public. Mercredi dernier, le sexagénaire a grièvement blessé son ex-compagne d’un coup de fusil de chasse dans l’épaule, sans que les jours de cette dernière, toujours hospitalisée, ne soient en danger. Il s’est ensuite retranché chez lui pendant trente heures avant d’être délogé par le GIGN, l’unité d’élite de la gendarmerie.
Pour autant, Me Hermes entend formuler une demande de remise en liberté dès que possible "car il n’est pas fait pour rester à Villeneuve-lès-Maguelone". Tout comme l’avocate annonce qu’elle va demander une requalification des faits reprochés à son client, contestant la tentative d’assassinat.
"Pour lui, il ne voulait pas la viser, il n’avait absolument pas l’intention de tuer sa femme. Il est abattu de l’avoir ainsi blesser." Une vision de l’affaire qui n’est pas du tout celle du parquet, qui a ouvert une information judiciaire pour tentative d’homicide volontaire contre ce passionné de chasse. "Il a quand même tiré à hauteur de hanche et le jour même des faits, son fils lui avait déjà enlevé une arme des mains", rappelle le procureur Brice Robin. Les investigations à venir des gendarmes de la brigade de recherches de Lodève devront tenter de déterminer l’élément intentionnel ou non du geste. Tout comme les enquêteurs vont tenter de comprendre les raisons de cette dispute qui a dégénéré entre ce couple qui avait longtemps tenu un restaurant routier.
Certains évoquent un problème sur la vente de la maison, voulue par la victime, qui habite Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales) depuis plusieurs années mais refusée par le mis en cause, vivant aussi mal la séparation et le ressenti de sa lourde maladie. "La vente de la maison n’est pas du tout évoquée dans le cadre du dossier", certifie Me Hermes.
http://www.midilibre.fr/2012/02/20/le-forcene-ecroue-pour-tentative-d-assassinat,460538.php
Au grand dam de son avocate, Me Vanesa Hermes, qui a demandé sa remise en liberté. "Bien que les faits soient graves, son état de santé n’est pas compatible avec une détention à Villeneuve-lès-Maguelone, sa maladie nécessite des soins particuliers."
"Il n’avait pas l’intention de tuer sa femme"
Me Vanessa Hermes Mais le juge des libertés a justifié son choix en évoquant le risque de récidive et le trouble à l’ordre public. Mercredi dernier, le sexagénaire a grièvement blessé son ex-compagne d’un coup de fusil de chasse dans l’épaule, sans que les jours de cette dernière, toujours hospitalisée, ne soient en danger. Il s’est ensuite retranché chez lui pendant trente heures avant d’être délogé par le GIGN, l’unité d’élite de la gendarmerie.
Pour autant, Me Hermes entend formuler une demande de remise en liberté dès que possible "car il n’est pas fait pour rester à Villeneuve-lès-Maguelone". Tout comme l’avocate annonce qu’elle va demander une requalification des faits reprochés à son client, contestant la tentative d’assassinat.
"Pour lui, il ne voulait pas la viser, il n’avait absolument pas l’intention de tuer sa femme. Il est abattu de l’avoir ainsi blesser." Une vision de l’affaire qui n’est pas du tout celle du parquet, qui a ouvert une information judiciaire pour tentative d’homicide volontaire contre ce passionné de chasse. "Il a quand même tiré à hauteur de hanche et le jour même des faits, son fils lui avait déjà enlevé une arme des mains", rappelle le procureur Brice Robin. Les investigations à venir des gendarmes de la brigade de recherches de Lodève devront tenter de déterminer l’élément intentionnel ou non du geste. Tout comme les enquêteurs vont tenter de comprendre les raisons de cette dispute qui a dégénéré entre ce couple qui avait longtemps tenu un restaurant routier.
Certains évoquent un problème sur la vente de la maison, voulue par la victime, qui habite Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales) depuis plusieurs années mais refusée par le mis en cause, vivant aussi mal la séparation et le ressenti de sa lourde maladie. "La vente de la maison n’est pas du tout évoquée dans le cadre du dossier", certifie Me Hermes.
http://www.midilibre.fr/2012/02/20/le-forcene-ecroue-pour-tentative-d-assassinat,460538.php
Incendie criminel chez Millenium-motos
Un incendie d'origine criminelle a éclaté, hier après-midi, dans un magasin de motos de Charleville-Mézières. Les investigations se poursuivent.
LE magasin Millenium-motos, situé à l'angle de l'avenue Carnot et de la rue des anciens combattant de l'AFN, a été victime d'un incendie d'origine criminel, hier vers 13 h 45. Les premiers éléments de l'enquête ont permis de confirmer qu'il y a eu deux déclenchements d'alarmes d'intrusion.
Des traces d'effractions ont été relevées sur une porte située à l'arrière du magasin. Les policiers de la sûreté départementale du commissariat carolomacérien n'ont pas attendu la fin de l'intervention des sapeurs-pompiers de Charleville-Mézières et de Poix-Terron pour commencer les investigations en interrogeant les rares témoins de la scène ainsi que les propriétaires du magasin de motos.
Deux techniciens en identification criminelle sont arrivés sur les lieux du sinistre pour prendre des empreintes sur la porte et sur les motos calcinées. Ils ont aussi récupéré les bandes des caméras vidéo, situées sur le site.
« Nous avons quelques indices et des éléments qu'il nous faudra analyser pour interpeller le plus rapidement possible ceux qui ont effectué cet acte crapuleux. Toutes les pistes sont actuellement à l'étude dans le cadre de l'enquête », a dévoilé un des responsables de la police ardennaise.
Lorsque les pompiers sont intervenus, la fumée sortait déjà de la toiture. Les 900 m2 du magasin étaient enfumés et le phénomène était deux fois plus important au niveau du hall d'exposition et de l'atelier de stockage.
C'est d'ailleurs dans cette réserve - où étaient stockés des bidons d'huiles et autres produits inflammables, des pièces détachées - que le départ du feu a été localisé.
Avec les deux camions pompe-tonne et la grande échelle, une vingtaine de soldats du feu, sous les ordres du chef de colonne le capitaine Pascal Christophe, ont procédé à l'extinction de l'incendie. Ils ont sauvegardé cent motos et ils ont ventilé les lieux pour permettre au responsable du magasin de pénétrer dans son local afin de déménager les motos, les vêtements, les casques et les pièces détachées qui se trouvaient encore à l'intérieur.
Sur plusieurs motos - notamment celles qui se trouvaient à proximité des flammes - le plastique, les tuyaux en caoutchouc, les roulements, les joints ont particulièrement souffert de la chaleur et, selon certains spécialistes, ne sont plus récupérables.
Tout ce qui se trouvait dans le magasin a été imprégné par l'odeur de brûlé et recouvert d'une couche de poussière de fumée. « Il y a de la casse », a révélé l'un des responsables qui venait de faire le tour du propriétaire.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/incendie-criminel-chez-millenium-motos
LE magasin Millenium-motos, situé à l'angle de l'avenue Carnot et de la rue des anciens combattant de l'AFN, a été victime d'un incendie d'origine criminel, hier vers 13 h 45. Les premiers éléments de l'enquête ont permis de confirmer qu'il y a eu deux déclenchements d'alarmes d'intrusion.
Des traces d'effractions ont été relevées sur une porte située à l'arrière du magasin. Les policiers de la sûreté départementale du commissariat carolomacérien n'ont pas attendu la fin de l'intervention des sapeurs-pompiers de Charleville-Mézières et de Poix-Terron pour commencer les investigations en interrogeant les rares témoins de la scène ainsi que les propriétaires du magasin de motos.
Deux techniciens en identification criminelle sont arrivés sur les lieux du sinistre pour prendre des empreintes sur la porte et sur les motos calcinées. Ils ont aussi récupéré les bandes des caméras vidéo, situées sur le site.
« Nous avons quelques indices et des éléments qu'il nous faudra analyser pour interpeller le plus rapidement possible ceux qui ont effectué cet acte crapuleux. Toutes les pistes sont actuellement à l'étude dans le cadre de l'enquête », a dévoilé un des responsables de la police ardennaise.
Lorsque les pompiers sont intervenus, la fumée sortait déjà de la toiture. Les 900 m2 du magasin étaient enfumés et le phénomène était deux fois plus important au niveau du hall d'exposition et de l'atelier de stockage.
C'est d'ailleurs dans cette réserve - où étaient stockés des bidons d'huiles et autres produits inflammables, des pièces détachées - que le départ du feu a été localisé.
Avec les deux camions pompe-tonne et la grande échelle, une vingtaine de soldats du feu, sous les ordres du chef de colonne le capitaine Pascal Christophe, ont procédé à l'extinction de l'incendie. Ils ont sauvegardé cent motos et ils ont ventilé les lieux pour permettre au responsable du magasin de pénétrer dans son local afin de déménager les motos, les vêtements, les casques et les pièces détachées qui se trouvaient encore à l'intérieur.
Sur plusieurs motos - notamment celles qui se trouvaient à proximité des flammes - le plastique, les tuyaux en caoutchouc, les roulements, les joints ont particulièrement souffert de la chaleur et, selon certains spécialistes, ne sont plus récupérables.
Tout ce qui se trouvait dans le magasin a été imprégné par l'odeur de brûlé et recouvert d'une couche de poussière de fumée. « Il y a de la casse », a révélé l'un des responsables qui venait de faire le tour du propriétaire.http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/incendie-criminel-chez-millenium-motos
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